ces trois parties de toute composition, nous aurons occasion de faire
connaître
les préceptes relatifs au choix et à la préparati
ceux qu’une sotte vanité pousse à écrire avec rapidité. Tout le monde
connaît
les préceptes de Quintilien, d’Horace et de Boile
iptio, de scribere), est la définition de l’objet que l’on veut faire
connaître
. Elle le caractérise en déterminant sa nature, et
onnaître. Elle le caractérise en déterminant sa nature, et en faisant
connaître
les attributs et les qualités qui le distinguent
treprend de décrire la nature, ou bien il ne sait que nommer et faire
connaître
les choses, ou bien il n’aperçoit rien de neuf, r
article sera divisé en deux paragraphes. Dans le premier, nous ferons
connaître
les règles générales du genre ; dans le second, n
ions. § I. — Des règles générales de la description. 344. Faites
connaître
les règles générales de la description. Les règl
ère à le séparer nettement de toute autre chose. Il faudra donc faire
connaître
ses qualités particulières, ses attributs spéciau
autre que la description en général, en tant que cette dernière fait
connaître
exactement l’objet tel qu’il doit être dans son e
es hommes qui exercent une grande influence sur les événements soient
connus
, l’historien emploie assez fréquemment le portrai
caractéristiques et d’idées frappantes, qui, en se mêlant à des faits
connus
, forment pour ainsi dire un corps et non pas seul
abandonné à la seule nature, il semblait avoir tout oublié ou ne rien
connaître
du monde, de ses grandeurs, de ses peines, de ses
s citerons, parmi les contrastes les plus remarquables, les vers bien
connus
de Racine sur Sion : Déplorable Sion… ; la peintu
ouleurs de la vérité. — Le narrateur, s’il veut réussir, devra encore
connaître
parfaitement toutes les règles générales et parti
différentes parties qui la composent ; dans le troisième, nous ferons
connaître
ses différentes espèces ; enfin, le quatrième ser
naître et à augmenter sans cesse dans l’esprit du lecteur le désir de
connaître
le dénoûment. Il y a dans toute narration deux so
er l’événement de manière à faire croire qu’il est arrivé, en faisant
connaître
ses causes et ses motifs, ainsi que les circonsta
er l’intelligence du récit et exciter la curiosité et l’intérêt, fait
connaître
les circonstances relatives au lieu de la scène,
tres constituent le début pompeux et le début dramatique. 406. Faites
connaître
les qualités de l’exposition ordinaire. Destinée
doit surtout se faire remarquer par la clarté. On devra donc y faire
connaître
les circonstances préliminaires sans détour et av
le lecteur ou l’auditeur au milieu des faits comme s’ils étaient déjà
connus
: In medias res Non secùs ac nota
ortes d’exposition ? Outre l’exposition ordinaire ou simple qui fait
connaître
sans recherche et sans pompe ce qui est nécessair
s sans l’annoncer et sans le laisser entrevoir. — On peut aussi faire
connaître
dès le commencement ce qui doit arriver ; mais ce
ations qui, dans le corps du récit, ont vivement provoqué le désir de
connaître
l’issue de l’action. Ainsi, le dénoûment est la p
ction. Ainsi, le dénoûment est la partie de la narration où l’on fait
connaître
le résultat heureux ou malheureux de l’événement.
qui demande le plus de rapidité. Le résultat de l’événement une fois
connu
, l’intérêt est épuisé, la curiosité satisfaite ;
sire savoir ce qu’ils sont devenus. Dans ce cas, le narrateur le fera
connaître
très brièvement ; et le récit aura un complément
usqu’au style sublime, et Mme de Sévigné dont le talent de narrer est
connu
de tout le monde. Parmi les narrations historique
érité pour guide, la narration fabuleuse ne vit que de fictions et ne
connaît
d’autres bornes que celles de la possibilité et d
ée à transmettre à une personne absente ce qu’on désirerait lui faire
connaître
de vive voix. C’est de ce principe qu’il faut par
tres familières ou lettres proprement dites. 452. Est-il important de
connaître
les règles de l’art épistolaire ? Il n’est perso
s d’affaires. Chacun a donc intérêt à écrire convenablement et à bien
connaître
les règles relatives à la lettre. D’ailleurs, com
émonial rentrent aussi dans les convenances épistolaires. 459. Faites
connaître
brièvement les qualités du style épistolaire. Le
à orner les lettres, principalement les lettres d’amitié. 461. Faites
connaître
les principaux ornements du genre épistolaire. E
forcés, de tours proscrits depuis longtemps, d’expressions dont on ne
connaît
pas bien la valeur. Une manière trop négligée a q
us ces trois titres les différentes espèces de lettres, pour en faire
connaître
la nature et en déterminer les règles. I. — Let
ténuer, de redresser des renseignements que l’on croit faux, de faire
connaître
l’intention que l’on a eue ; mais, le plus souven
ut cela dépend du caractère de celui à qui l’on s’adresse. Il faut le
connaître
par soi-même ou par la voix publique. Dans ces le
i, je vous jure, ont réveillé bien d’honnêtes gens en votre honneur :
connu
ou non connu, chacun vous félicite à sa manière.
re, ont réveillé bien d’honnêtes gens en votre honneur : connu ou non
connu
, chacun vous félicite à sa manière. Souffrez donc
nésime. 479. Qu’avez-vous à dire sur les réponses ? Un proverbe bien
connu
dit que toute lettre mérite une réponse. Cependan
ur de lui, qu’il vit seul avec sa femelle et ses petits, qui lui font
connaître
la voix de l’homme : sans eux il n’en connaîtrait
petits, qui lui font connaître la voix de l’homme : sans eux il n’en
connaîtrait
que les gémissements. Un signal lugubre est donné
mon cœur. Parmi toutes les idées qui me déchirent, celle de ne pas te
connaître
, celle de ne te connaître peut-être jamais, est l
idées qui me déchirent, celle de ne pas te connaître, celle de ne te
connaître
peut-être jamais, est la plus cruelle. Je t’ai gr
e particulier pour toi, par la raison que tu dis : parce que je ne te
connais
pas. Tu crois, peut-être, chère enfant, que je pr
, et je puis aussi t’assurer que l’idée de partir de ce monde sans te
connaître
est une des plus épouvantables qui puissent se pr
s épouvantables qui puissent se présenter à mon imagination. Je ne te
connais
pas, mais je t’aime comme si je te connaissais. I
mon imagination. Je ne te connais pas, mais je t’aime comme si je te
connaissais
. Il y a même, je t’assure, je ne sais quel charme
la morale de l’homme dans la vie civile. Comme chrétiens, nous devons
connoître
les grandes vérités de notre religion, et toutes
son. Elle nous montre de plus combien il nous importe d’étudier et de
connoître
nos semblables. Ainsi la morale de l’homme du mon
là le moyen d’être toujours content de soi. Il est donc essentiel de
connoître
ces vertus morales, et d’y conformer sa conduite,
prend jusqu’à quel point nous devons la porter. L’homme en place doit
connoître
le cœur humain, et les différens ressorts qui le
eloppé les meilleurs moyens de l’acquérir, il nous apprend à les bien
connoître
par rapport aux talens de l’esprit et aux qualité
L’Homme de cour, par Balthasar Gracïan. En nous traçant les moyens de
connoître
les hommes, l’auteur nous apprend parfaitement la
aître. Mais parmi toutes les religions qui ont été et qui sont encore
connues
des divers peuples, la raison n’admet que la meil
ée d’une manière si éclatante et si victorieuse. Il nous suffira d’en
connoître
et d’en bien saisir les preuves démonstratives. E
rans esprits qui aient jamais été au monde. » Ce n’est point assez de
connoître
les preuves de notre religion. Il nous importe be
e du monde. Le livre où l’on peut le mieux la puiser, est l’Art de se
connoître
soi-même, par Abbadie ; ouvrage écrit avec force,
e LI. Ce prince, dont les vertus sublimes et le mérite rare ne furent
connus
qu’après sa mort, et qui, dans tout le cours de s
ur la religion, et pour les devoirs qu’elle nous impose, me sont trop
connus
. Vous savez trop d’ailleurs (et j’ose bien assure
. Sereine et austère, malgré l’essor d’un cœur ardent, sa jeunesse ne
connut
que les troubles et les orages de la pensée. Mis
uoique toujours égale en elle-même, elle n’est pas toujours également
connue
. Les expériences qui nous en donnent l’intelligen
it impossible d’apercevoir. Notre vue a plus d’étendue, et quoiqu’ils
connussent
aussi bien que nous tout ce qu’ils pouvaient rema
en que nous tout ce qu’ils pouvaient remarquer de la nature, ils n’en
connaissaient
pas1 tant néanmoins, et nous voyons plus qu’eux.
senter un autre prodige aussi étonnant, qu’il recherche dans ce qu’il
connaît
les choses les plus délicates ; qu’un ciron lui o
de n’en point avoir. La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se
connaît
misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable.
e l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se
connaît
pas misérable. C’est donc être misérable que de s
rbre ne se connaît pas misérable. C’est donc être misérable que de se
connaître
misérable ; mais c’est être grand que de connaîtr
isérable que de se connaître misérable ; mais c’est être grand que de
connaître
qu’on est misérable. Toutes ces misères-là même p
sont misères de grand seigneur, misères d’un roi dépossédé1. L’homme
connaît
qu’il est misérable. Il est donc misérable, puisq
onc misérable, puisqu’il l’est ; mais il est bien grand, puisqu’il le
connaît
. Ce n’est point de l’espace que je dois chercher
naturelle. Qu’il se haïsse, qu’il s’aime : il a en lui la capacité de
connaître
la vérité et d’être heureux ; mais il n’a point d
and Condé, à qui il avait présenté Pascal, pour que le philosophe fît
connaître
au prince cette même machine arithmétique. (Voyez
passer sous silence les premiers principes, sous prétexte qu’ils sont
connus
. Cette supposition ne peut pas raisonnablement se
rt se communiquent réciproquement de la lumière, et que, pour en bien
connaître
toute la justesse et toute l’étendue, il faut les
eurs observations utiles qui en tiennent lieu. Son objet est de faire
connaître
les beautés et les défauts d’un ou de plusieurs o
que de médiocres ; louer un ouvrage sur le seul nom de l’auteur, déjà
connu
par d’excellents écrits, ce serait juger avec pré
les souffre point ; et il importe au critique de faire voir qu’il la
connaît
. Plus son jugement est sévère et défavorable à l’
stion qu’on veut discuter et résoudre, ou une vérité qu’on veut faire
connaître
et solidement établir. Les interlocuteurs doivent
ollin, après avoir lu cet excellent ouvrage, dit que s’il avait pu le
connaître
lorsqu’il travaillait à son Traité des études, la
lui serait tombée des mains. Les meilleurs modèles de critique que je
connaisse
en notre langue, sont les Sentiments de l’Académi
re je dois à lui, à elle. Masculin, le. Féminin, la. Exemples. Je le
connais
, c’est-à-dire je connais lui. Je la connais, c’es
Masculin, le. Féminin, la. Exemples. Je le connais, c’est-à-dire je
connais
lui. Je la connais, c’est-à-dire je connais elle.
nin, la. Exemples. Je le connais, c’est-à-dire je connais lui. Je la
connais
, c’est-à-dire je connais elle. Pluriel. Masculin
connais, c’est-à-dire je connais lui. Je la connais, c’est-à-dire je
connais
elle. Pluriel. Masculin, ils ou eux. Féminin, el
à-dire je dois à eux, à elles. Les pour eux, elles. Exemple. Je les
connais
, c’est-à-dire je connais eux, elles. 37. — Il y
lles. Les pour eux, elles. Exemple. Je les connais, c’est-à-dire je
connais
eux, elles. 37. — Il y a encore un pronom de la
que l’on surpasse jamais. C’est le Racine des prosateurs ; et nous ne
connaissons
rien au-dessus d’un pareil éloge, quand il est au
a plus sûre marque que nous n’avons point de foi, et que nous ne nous
connaissons
pas nous-mêmes, c’est que nous ne savons que dire
nne, et qui fait tout le plaisir de ce commerce divin. Dieu veut être
connu
pour être aimé. Le monde perd à être approfondi ;
, vanité, chagrin, agitation et misère Mais, le Seigneur ! il faut le
connaître
et le goûter à loisir, pour sentir tout ce qu’il
goûter à loisir, pour sentir tout ce qu’il a d’aimable. Plus vous le
connaissez
, plus vous l’aimez ; plus vous vous unissez à lui
sentez qu’il n’y a de véritable bonheur sur la terre, que celui de le
connaître
et de l’aimer ». (Sermon sur la prière). C’est a
tte sans examen tout ce qui contrarie, non pas ses principes, il n’en
connaît
qu’un, et c’est de n’en point avoir, mais ses pen
e. L’éducation fortifia ces sentiments de la nature : on lui apprit à
connaître
un Dieu, à l’aimer, à le craindre ; on lui montra
châtiments, il attendit ses promesses. D’où vient donc qu’il n’a plus
connu
de Dieu ; que le crime lui a paru des polices hum
et qu’il a eu raison surtout de mépriser certains philosophes, qu’il
connaissait
bien, et qu’il a peints, comme il peignait tout c
n plus rationnelle, empruntons-lui son titre et tachons de faire bien
connaître
successivement les pièces dont il parle. Nous com
ésigner par des dénominations diverses, que nous devons d’abord faire
connaître
. Madame Deshoulières, par exemple, a écrit sur la
ous aime tendrement, Je n’écris que pour vous le dire. Tout le monde
connaît
ce madrigal de Voltaire à la marquise de Pompadou
couplet épigrammatique : Cet homme gros et court, Si
connu
dans l’histoire, Ce grand comte d’Harcour
rodige effroyable ; » et cet autre assez heureusement tourné et bien
connu
: Au mois de mai, se baignant dans la Seine, Cer
t ; Les lieux les plus cachés sont les lieux que j’habite. Le sage me
connaît
et la folle m’évite ; Personne ne me voit, jamais
le à trouver Et plus encore à conserver. Les curieux, pour me
connaître
, Avec grand soin me font la cour. Mais mon de
deviner est partagé en deux, rarement en trois autres, que l’on fait
connaître
par leurs définitions. En voici un exemple : Pou
(p. 136) ; à moins qu’elle ne soit faite tout entière sur un air déjà
connu
, auquel cas la longueur des vers est déterminée p
a liqueur que le poète célèbre qui les a fait naître78. Tout le monde
connaît
celle d’Adam Billaut, le menuisier de Nevers, qui
igueurs de la pauvreté et que l’on ne soulage pas, parce qu’on ne les
connaît
pas, et qu’on ne veut point les connaître ! Si l’
ulage pas, parce qu’on ne les connaît pas, et qu’on ne veut point les
connaître
! Si l’on savait l’extrémité de leurs besoins, on
Combien de honteux dans les familles particulières ! Parmi ceux qu’on
connaît
pour pauvres, et dont on ne veut ni ignorer, ni m
et ceux que l’on sait agir même de bonne foi là-dessus, et que chacun
connaît
pour véritablement touchés, ceux-là, dis-je, sont
nt aveuglément les singes de leurs actions. Combien crois-tu que j’en
connaisse
qui, par ce stratagème, ont rhabillé adroitement
s méchants hommes du monde ? On a beau savoir leurs intrigues, et les
connaître
pour ce qu’ils sont, ils ne laissent pas pour cel
passer sous silence les premiers principes, sous prétexte qu’ils sont
connus
. Cette supposition ne peut pas raisonnablement se
rt se communiquent réciproquement de la lumière, et que, pour en bien
connaître
toute la justesse et toute l’étendue, il faut les
teur est ainsi prévenu d’une relation réelle, qu’il ne peut cependant
connaître
en ce moment à fond. Mais, en général, un princip
s avions d’abord vu. Mais ce premier instant ne suffit pas pour faire
connaître
cette campagne, c’est-à-dire pour nous faire démê
eurs observations utiles qui en tiennent lieu. Son objet est de faire
connaître
les beautés et les défauts d’un ou de plusieurs o
éclairée, c’est que l’ouvrage qu’il s’agit de juger soit parfaitement
connu
du critique. Il n’a, pour cela, qu’à en faire l’a
; louer un ouvrage sur le seul nom de l’auteur, parce qu’il est déjà
connu
par d’excellents écrits, ce serait juger avec pré
arquables. Pour ne citer ici que les auteurs ou les ouvrages les plus
connus
, et qui roulent sur les matières purement littéra
stion qu’on veut discuter et résoudre, ou une vérité qu’on veut faire
connaître
et solidement établir. Les interlocuteurs doivent
nnemis ! le fils du grand Pompée agir en scélérat ! Ah ! Ménas, tu me
connais
mal. Ménas. Vous m’entendez encore plus mal. Ce
Et plus encore à conserver. Les curieux, pour me
connaître
, Avec grand soin me font leur cou
pour modèle, je ne ferai point difficulté de le citer, quoiqu’il soit
connu
de tout le monde. Grand Dieu, tes jugements sont
découvre d’abord et sans la moindre peine. Une des plus belles que je
connaisse
, est celle du grand Turenne par Chevreau. La voic
enre est odieux et infâme. Il n’y a que les méchants et les scélérats
connus
dans l’histoire, dont l’honnête homme puisse se p
s contre Dieu même Vomi quelque horrible blasphème. C’est qu’il ne le
connaissait
pas. Ces vers sont une traduction libre de l’épi
ettre à la postérité la mémoire de quelque événement, soit pour faire
connaître
aux passants un fait, une chose, une personne. La
on et la clarté font le principal mérite de ce petit ouvrage. Je n’en
connais
pas de plus belle pour un monument public, que ce
ce genre, Son épithalame de Manlius et de Junie est charmant. Je n’en
connais
point, dont le coloris soit plus frais et plus ag
ouveauté jusque dans le fond des choses, comme dans cette chanson peu
connue
: Oiseaux, si tous les ans vous changez de clima
e du moins la vigne et les buveurs. Adam Billaut, que j’ai déjà fait
connaître
, offre les plus beaux modèles de chansons bachiqu
hansons bachiques dans le genre élevé. Voyez surtout cette chanson si
connue
: Aussitôt que la lumière A redoré nos coteaux :
manier le raisonnement avec force et même avec dextérité, et qu’il en
connaisse
les règles, pour en mieux discerner les vices. Un
la couleur. Les bons livres en sont la source, et ce moyen est assez
connu
: mais ce qui ne l’est pas de même, c’est le frui
siens, lorsqu’en parcourant les campagnes il leur fait distinguer et
connaître
les plantes dont ils doivent un jour savoir appli
, réels ou fantastiques, dont la pinture peut nous plaire : la vérité
connue
, la feinte, le mensonge, tout est de son ressort.
utile, et le vrai dans ces trois rapports, mais le vrai qui n’est pas
connu
ou qui n’est pas assez senti ; sans quoi l’éloque
ent et redoublent de force et d’impétuosité, c’est là qu’elle se fait
connaître
et perd le nom d’élocution pour prendre celui d’é
e à vaincre dans son auditoire, ne ferait que lui exposer des vérités
connues
, serait un beau parleur, et, si l’on veut, un hom
es, non-seulement comme plus simples, mais comme plus propres à faire
connaître
les grandes régions de l’éloquence1, et comme un
ou de la force à l’élocution. Mais il faut que l’élève apprenne à les
connaître
, et non pas à les employer. Celles qui, dans la c
l’agrément d’une femme que l’agrément des vers. Mais ceux qui ne s’y
connaissent
pas l’admireraient en cet équipage ; et il y a bi
je juge par ma montre. XXXII. On ne passe point dans le monde pour se
connaître
en vers, si l’on n’a mis l’enseigne de poëte, de
t Paul. Voilà le caractère chrétien. — Albe vous a nommé : je ne vous
connais
plus. Corneille8. — Voilà le caractère inhumain.
ite l’esprit juste pour ne pas raisonner faussement sur des principes
connus
. Tous les géomètres seraient donc fins, s’ils ava
la vue bonne, car ils ne raisonnent pas faux sur les principes qu’ils
connaissent
; et les esprits fins seraient géomètres, s’ils p
nt qu’au lieu qu’en parlant des choses humaines on dit qu’il faut les
connaître
avant que de les aimer, ce qui a passé en proverb
re disent en parlant des choses divines qu’il faut les aimer pour les
connaître
et qu’on n’entre dans la vérité que par la charit
urs de leurs actions. Ceux de l’esprit sont des vérités naturelles et
connues
à tout le monde, comme que le tout est plus grand
les choses qu’on veut faire croire sont bien établies sur des vérités
connues
, mais qui sont en même temps contraires aux plais
t dont le succès est bien incertain, puisqu’il faudrait pour en juger
connaître
tout ce qui se passe dans le plus intérieur de l’
e qui se passe dans le plus intérieur de l’homme, que l’homme même ne
connaît
presque jamais. Il paraît de là que quoi que ce s
der, il faut avoir égard à la personne à qui on en veut, dont il faut
connaître
l’esprit et le cœur, quels principes il accorde,
s pour plaire que pour démontrer, et que qui les saurait parfaitement
connaître
et pratiquer ne réussit aussi sûrement à se faire
je sais que si quelqu’un en est capable, ce sont des personnes que je
connais
, et qu’aucun autre n’a sur cela de si claires et
définitions. I. N’entreprendre de définir aucune des choses tellement
connues
d’elles-mêmes, qu’on n’ait point de termes plus c
I. N’employer dans la définition des termes que des mots parfaitement
connus
, ou déjà expliqués. Règles pour les axiomes. I. N
ur les définitions. Ne définir aucun des termes qui sont parfaitement
connus
. Pour les axiomes. N’omettre à demander aucun de
inition ; N’employer dans les définitions que des termes parfaitement
connus
ou déjà expliqués. Règle nécessaire pour les axi
de leur art, je voudrais que la chose fut véritable et qu’elle fût si
connue
, que je n’eusse pas eu la peine de rechercher ave
a pas à celui qui en aurait jeté la semence, sans y penser et sans la
connaître
, dans une terre abondante qui en aurait profité d
s, les ayant ouï estimer, les empruntent et s’en parent, mais sans en
connaître
l’excellence ; et c’est alors que la différence d
st certain qu’elles sont toutes naturelles et à notre portée, et même
connues
de tout le monde. Mais on ne sait pas les disting
uve souvent que l’expression qu’il cherchait depuis longtemps sans la
connaître
, et qu’il a enfin trouvée, est celle qui était la
reuses dans le choix des termes, qu’elles placent si juste, que, tout
connus
qu’ils sont, ils ont le charme de la nouveauté, e
es deux comiques ! J’ai lu Malherbe et Théophile25. Ils ont tous deux
connu
la nature, avec cette différence que le premier,
iter sur les théâtres, et qu’on nomme la terreur et la pitié, ont été
connues
de ces deux poètes : Oreste, dans l’Andromaque de
erbole exprime au-delà de la vérité, pour ramener l’esprit à la mieux
connaître
. Le sublime ne peint que la vérité, mais en un su
la société. Après cette étude générale vient la particulière. Il faut
connaître
les lois et les coutumes de son pays, le rapport
on Platon, se réduit à bien savoir ce qu’il faut persuader, et à bien
connaître
les passions des hommes et la manière de les émou
riosités de l’astrologie et des mathématiques ; surtout il veut qu’il
connaisse
la composition de l’homme et la nature de ses pas
s vérités générales ont un enchaînement nécessaire, et qu’il faut les
connaître
presque toutes, pour en traiter solidement une en
re soutenue par quelque cabale. Les gens qui savent les règles et qui
connaissent
le but de l’éloquence, n’ont que du dégoût et du
est pourtant pas par cet endroit qu’il faut voir Cicéron pour le bien
connaître
; c’est dans les harangues qu’il a faites, dans u
e force et de dignité. Il est très-capable de convaincre ; mais je ne
connais
guère de prédicateur qui persuade et qui touche m
armes, frappe bien plus au but de l’éloquence. B. Mais quel moyen de
connaître
en détail les gestes et les inflexions de voix co
rs n’ont point pris cette règle. Les pères de l’Eglise ne l’ont point
connue
: saint Bernard, le dernier d’entre eux, marque s
et les mouvements propres à exciter les passions. Pour cela, il faut
connaître
la liaison que les passions ont entre elles, cell
ée. Mais la grossièreté des derniers temps est allée jusqu’à ne point
connaître
l’ordre d’un discours, à moins que celui qui le f
t éblouis ; mais dans la suite ces affectations fatiguent l’auditeur.
Connaissez
-vous l’architecture de nos vieilles églises, qu’o
ecture de nos vieilles églises, qu’on nomme gothique ? B. Oui, je la
connais
; on la trouve partout. A. N’avez-vous pas remar
, avaient entièrement dégénéré. Comme je vous le disais hier, il faut
connaître
Homère, Platon, Xénophon et les autres des ancien
raisonne avec une force singulière, qui est plein d’idées nobles, qui
connaît
le fond du cœur de l’homme, qui est poli et atten
une partie de l’éloquence. D’ailleurs nous voyons que saint Augustin
connaissait
bien le fond des véritables règles. Il dit qu’un
p beau met l’auditeur en défiance. Il y applique ces paroles que vous
connaissez
: qui sophistice loquitur, odibilis est 60. Il tr
: tout tend à la persuasion : il place chaque chose avec dessein : il
connaît
bien l’Ecriture sainte et les mœurs des hommes ;
ction. Il avait profondément médité tout le détail de l’Évangile ; il
connaissait
à fond les maladies de l’homme, et c’est un grand
à la bonne voie ; et il y a encore bien des gens fort éloignés de la
connaître
. Il ne faut pas laisser de respecter non-seulemen
resque jamais bien examiné. Je répondis avec franchise : Hélas ! je
connais
assez peu Les lois de cet aimable dieu ; Mais je
conteur de voyage, Qui vous dit d’un air ingénu Ce qu’il n’a ni vu ni
connu
, Et qui vous ment à chaque page. Cependant, comm
: J’ai beaucoup d’or, de l’esprit davantage ; Je n’appris rien, je me
connais
à tout ; Je suis un aigle, en conseil, en affaire
jamais apprise, et encore plus tout de la musique italienne, qu’il ne
connaissait
que par de mauvais airs inconnus à Rome, et estro
le. Il est plus aisé de dire ce que ce temple n’est pas que de faire
connaître
ce qu’il est. J’ajouterai seulement en général, p
; Vous y venez pour fronder notre dieu : Contentez-vous de ne le pas
connaître
. M. Bardou se mit alors à crier : Tout le monde
Allemagne. Puis, me faisant approcher, elle me dit tout bas : Tu le
connais
; il fut ton ennemi, et tu lui rends justice. Tu
construite par Perrault et par Louis Le Vau, grands artistes trop peu
connus
. Là est le dessin de la porte Saint-Denis, dont l
t le dessin de la porte Saint-Denis, dont la plupart des Parisiens ne
connaissent
pas plus la beauté, que le nom de François Blonde
r. Lui-même il les efface, et semble encor nous dire : Ou sachez-vous
connaître
, ou gardez-vous d’écrire. Despréaux, par un ordr
lles l’humanité est soumise, et dont nul grand homme n’est exempt. Je
connus
alors que le dieu du Goût est très-difficile à sa
ui présenter ses héros ; Et c’est en répandant des larmes Que ce dieu
connaît
leurs défauts. Malheur à qui toujours raisonne, E
tremble de paraître : Si jamais vous le rencontrez, Il est aisé de le
connaître
: Toujours accablé d’ornements, Composant sa voix
re-Il traite ensuite des passions et des mœurs, que tout orateur doit
connaître
. Il examine quelles preuves on doit employer dans
est à remarquer que la Grèce fut la seule contrée de la terre où l’on
connût
alors les lois de l’éloquence, parce que c’était
e les mêler à propos. La grande éloquence n’a guère pu en France être
connue
au barreau, parce qu’elle ne conduit pas aux honn
inrent qu’ensuite, comme l’avoue Burnet, évêque de Salisbury ; ils ne
connurent
point l’oraison funèbre ; ils évitèrent dans les
, ce don de discerner nos aliments, a produit dans toutes les langues
connues
la métaphore qui exprime, par le mot goût, le sen
’habitude pour se former. Il ne suffit pas, pour le goût, de voir, de
connaître
la beauté d’un ouvrage ; il faut la sentir, en êt
missement de l’empire de Shakespeare. Le vulgaire en aucun pays ne se
connaît
· en beaux vers ; et le vulgaire anglais aime mieu
pour l’ordinaire, ne s’introduise que chez l’oisiveté opulente. J’ai
connu
un commis des bureaux de Versailles, né avec beau
contredire visiblement. Si l’homme apprend les lois de la nature, il
connaîtra
ce que nous entendons par les causes des phénomèn
Henri IV était haï. Ce grand homme disait au duc de Sully : Ils ne me
connaissent
pas ; ils me regretteront. » Remontez à travers c
omparaison des Grecs et de leurs disciples les Romains, qui seuls ont
connu
la vraie prosodie. Il faut surtout que la nature
ls en disent du mal, parce qu’ils sentent que si M. Despréaux les eût
connus
, il les aurait méprisés autant qu’ils méritent de
s, des Grecs et des Romains ; mais, dès qu’il est venu aux temps plus
connus
, il s’est arrêté tout court. Je ne connais, après
’il est venu aux temps plus connus, il s’est arrêté tout court. Je ne
connais
, après lui, aucun historien où je trouve du subli
nt point entre ses mains ; mais ce sont toujours les mêmes fleurs. Je
connais
peu de génies variés tels que Pope, Addison » Mac
prêcherai donc éternellement cet art d’écrire que Despréaux a si bien
connu
et si bien enseigné, ce respect pour la langue, c
des Paul Véronèse et des Titien. Je sais, Monsieur, que le public ne
connaît
pas encore assez tous les défauts de Corneille ;
au caractère national. Aussi voit-on que celles des nations qui sont
connues
pour avoir eu en même temps le plus de souplesse
remière force pour être mâles et vigoureux, dans le temps même qu’ils
connurent
les délicatesses du luxe : et de là résulte l’éto
ne infinité de détails qui ont besoin d’être relevés, le poëte qui ne
connaît
que les ressources et les beautés du style simple
trompe, Julie. Rome n’est point sujette, ou mon fils est sans vie. Je
connais
mieux mon sang, il sait mieux son devoir. On l’a
e ce poëte en parallèle avec Racine. L’un et l’autre ont parfaitement
connu
le cœur de l’homme ; l’un et l’autre se sont atta
nt sans les dire. Les uns parlent, et toujours trop, afin de se faire
connaître
; les autres se font connaître parce qu’ils parle
nt, et toujours trop, afin de se faire connaître ; les autres se font
connaître
parce qu’ils parlent. Surtout Corneille paraît ig
t j’en rapporterais de grands exemples, si ses ouvrages étaient moins
connus
. Il est vrai qu’il la quitte un peu, par exemple,
ille ; c’est ce que j’appelle, en quelque sorte, Parler pour se faire
connaître
, et dire de grandes choses sans les inspirer. Mai
dialogue d’ailleurs admirable, Curiace parle ainsi d’abord : Je vous
connais
encore, et c’est ce qui me tue. Mais cette âpre v
ncore, et c’est ce qui me tue. Mais cette âpre vertu ne m’était point
connue
: Comme notre malheur, elle est au plus haut poin
ent très-bien imaginées et très-bien conduites. Je crois même qu’il a
connu
mieux que personne l’art des situations et des co
eviens encore à Corneille afin de finir ce discours. Je crois qu’il a
connu
mieux que Racine le pouvoir des situations et des
’ils ne regardent qu’aux traits originaux de leurs modèles, et qu’ils
connaissent
mieux le prix de l’invention et du génie. Mais le
les que les autres ou pour éviter de répéter des choses qui sont trop
connues
. Pour finir, et marquer chacun de ces poëtes par
marquer. J.-B. Rousseau. On ne peut disputer à Rousseau d’avoir
connu
parfaitement la mécanique des vers. Égal peut-êtr
ue je ne le suis pour les véritables beautés de leurs ouvrages. Je ne
connais
peut-être pas tout le mérite de Rousseau, mais je
, et que tant de poètes après lui ont négligée, ou parce qu’ils ne la
connaissaient
pas, ou parce qu’il leur a été bien plus facile d
qui, par des exemples tirés de la peinture ou de la musique, me fait
connaître
les beautés de l’éloquence et l’étroite liaison d
pouvait mépriser la gloire la plus empruntée et la plus à nous qu’on
connaisse
. Il n’est pas besoin de citer, après un si grand
hevalier Guillaume Temple106, et une infinité d’autres qui sont aussi
connus
par leurs écrits que par leurs actions immortelle
nres le génie, et qui fait que les idées les plus simples et les plus
connues
ne peuvent vieillir. L. Les grands philosophes so
lace sur ce premier plan qu’un sujet sera circonscrit, et que l’on en
connaîtra
l’étendue ; c’est en se rappelant sans cesse ces
oit sa dimension, et on sait le placer. Il faut souvent, pour en bien
connaître
le sens, la force, la propriété, avoir appris son
et citées, et l’on doit en rendre digne tout ce qui est digne d’être
connu
, il devient nécessaire de les exprimer avec soin.
ements de l’esprit, opérations aussi agréables et aussi importantes à
connaître
que les pensées elles-mêmes. On reconnaît souvent
sont particulièrement propres à exprimer les pensées qui doivent être
connues
de tous, offertes à tous, et exposées, comme en u
présumées de bon aloi, comme l’or et l’argent marqués d’une empreinte
connue
. Ils inspirent de la confiance pour celui qui s’e
aisons, passer du proche au loin, de l’intérieur à l’extérieur, et du
connu
à l’inconnu. Il ne suffit pas en effet qu’elles s
es que les autres, ou pour éviter de répéter des choses qui sont trop
connues
. SUARD. 99. Œuvres choisies de Fénelon, Lettre
2 », qui, dans la vérité, hurlaient plutôt qu’elles ne criaient. Vous
connaissez
peut-être les cris aigus de Madame de Choisi ; Ma
pas les petits intérêts, qui n’ont jamais été son faible, et où il ne
connaissait
pas les grands, qui d’un autre sens n’ont pas été
ison. Nous voyons les effets de cette irrésolution, quoique nous n’en
connaissions
pas la cause. Il n’a jamais été guerrier quoiqu’i
l y était entré, me fait conclure qu’il eût beaucoup mieux fait de se
connaître
et de se réduire à passer, comme il l’eût pu, pou
ait volontiers à ce projet. 2. Le cardinal était fine bouche, et s’y
connaissait
. 3. Mazarin avait là sa maison de campagne. 4.
l’épée que son bréviaire. 2. Turenne est encore ici tel que nous le
connaissons
; il a sang-froid, courage et prudence. 3. Le hé
uffit. Il doit instruire, c’est-à-dire, éclairer l’esprit, en faisant
connaître
la vérité ; plaire, c’est à-dire, flatter l’imagi
opose d’instruire, doit exposer clairement la vérité qu’il veut faire
connaître
. Mais après l’avoir exposée, il faut qu’il l’étab
principe de l’élévation de ce ministre fut le mérite, mais un mérite
connu
, estimé, éprouvé, qui ne s’élève à des emplois pl
de la patrie, etc. C’est de cette même manière que Fléchier nous fait
connaître
la vraie valeur, dans cet endroit de son oraison
rages, soit en prose, soit en vers, est l’imitation que je vais faire
connaître
. Imitation. Le mot imiter, dans le sens le p
ne tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais. Je
connais
mes fureurs, je les rappelle toutes. Il me semble
icaces moyens de faire goûter une vérité, c’est de persuader qu’on la
connaît
, et qu’on en est soi-même convaincu. Les Païens m
rangées en bataille, sont au moment d’en venir aux mains. Un général
connu
par sa bravoure, et couvert d’honorables blessure
iculières. Un des devoirs les plus essentiels de l’orateur est de les
connaître
, ainsi que les usages et le commerce ordinaire de
es usages et le commerce ordinaire de la vie : c’est ce qu’on appelle
connaître
le cœur humain et le monde. Il est, sans doute, à
ture, qui est toujours et partout la même, qu’Aristote a parfaitement
connue
, puisqu’en peignant ses contemporains, il a peint
du défaut d’expérience ; la franchise et la simplicité, parce qu’ils
connaissent
peu les hommes, et qu’ils s’en défient encore moi
une ». Voilà les mœurs, les caractères que l’orateur doit étudier et
connaître
à fond, parce qu’il ne peut vraiment intéresser,
n, dans son discours sur les tentations des grands, prouve bien qu’il
connaissait
parfaitement ce qui caractérise ce vice. La voici
est lui-même dévoré ? Rappelons encore ici ce précepte si vrai et si
connu
, que, pour être éloquent, il faut sentir vivement
auditeur, qui, dès que le sujet lui a été annoncé, est impatient d’en
connaître
le fond. Si l’Orateur parle de lui-même, il prend
la gloire du Prince de Condé » ! Comparons deux exemples qui feront
connaître
l’art, avec lequel l’Orateur doit commencer son e
er le poignard ». Un orateur sacré qui expose une grande vérité déjà
connue
, peut aussi commencer son exorde d’une manière fr
rouver les choses qui sont claires par elles-mêmes, que tout le monde
connaît
, et que personne ne conteste : il suffit de les s
re ? Ah ! l’état où nous sommes n’en est-il pas une ? Pour moi, je ne
connais
point de nécessité plus pressante pour des hommes
us empêcher de les chérir, quand bien même nous ne les aurions jamais
connus
. Vous donc, que nous avons le bonheur de voir de
. Vous donc, que nous avons le bonheur de voir de nos yeux, dont nous
connaissons
les dispositions et les sentiments les plus intim
euse et plus véhémente. Je croirais sans peine que le lecteur, qui ne
connaissait
pas ces deux harangues, et qui en ignorait le suc
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’une, voix qui vous fut
connue
; vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu d
ité, voilà ce qu’il faut pour réussir dans l’art d’écrire. 32. Faites
connaître
les éléments du style. Les éléments du style, qu
r des choses dont on n’aurait pas la notion dans l’esprit. 36. Faites
connaître
les qualités des pensées. Les qualités des pensé
çon, ferait bien ton affaire : C’est un fort bon enfant, sage, que tu
connais
; Épouse-le, crois-moi, tu ne saurais mieux faire
ins élevé et qui tient de la simplicité et de la bonhomie. 45. Faites
connaître
les défauts voisins de la naïveté. Remarquons d’
évu. Tel est le sentiment exprimé dans le dernier vers du dialogue si
connu
et si beau du Passant et de la Tourterelle : Que
Condé après la victoire de Senef, nous terminerons par le placet bien
connu
qui fut envoyé au même prince, au sujet d’une île
croît que des saules, Et tu n’aimes que le laurier. 65. Faites
connaître
le sentiment gracieux. Le sentiment gracieux est
ains : Ituri in aciem, et majores et posteros cogitate. 67. Faites
connaître
le sentiment fort ou énergique. Le sentiment for
crainte. Zénobie dit à Rhadamiste, dans la tragédie de ce nom : Je
connais
la fureur de tes soupçons jaloux ; Mais j’ai trop
its qui ne sont pas les siens, mais ceux d’un objet analogue et mieux
connu
. Pour dire que l’homme conserve jusqu’à la mort d
être adaptées aux habitudes du peuple pour qui l’on écrit. 77. Faites
connaître
les règles à suivre pour les images usitées. Les
, si vives et si fortes, que l’âme est ravie d’admiration. 85. Faites
connaître
quelques images sublimes. Voici comment s’exprim
les pics sauvages. Comme un fil de Morvan me vêtissait d’orages. On
connaît
ces paroles d’un étranger à Fénelon : Monseigneu
d’une mauvaise santé, mais avoir une mauvaise santé, etc. 93. Faites
connaître
les autres défauts contraires à la pureté. Parmi
r que des termes qui ne disent ni trop ni trop peu, et pour cela d’en
connaître
la vraie signification. La propriété des mots, ai
ie des premiers chrétiens, des prolétaires du xiie siècle, etc. Pour
connaître
la propriété des expressions, et par conséquent é
ine, sont précis ; Ovide et Voltaire sont souvent diffus. 105. Faites
connaître
la diffusion et la sécheresse. Les défauts oppos
émue, à être passionnée. De là, le sentiment par lequel nous pouvons
connaître
, comprendre et apprécier certaines choses sans le
et les défauts de chaque partie ; il voit des qualités distinctes, il
connaît
ce qui est digne de louange et ce qui doit être r
beautés les plus sublimes de l’éloquence et de la poésie. 15. Faites
connaître
les caractères du goût. Un goût exquis doit avoi
ne sont pas des lois imaginées avant que personne eût composé et fait
connaître
le talent de la parole. Il y avait des orateurs,
que n’est autre chose que l’art de juger un ouvrage d’esprit, pour en
connaître
les beautés et en signaler les défauts. Elle a do
qui sont propres à toutes les productions littéraires, et qu’il faut
connaître
avant de s’exercer à la composition. C’est l’art
mpositions. Comme la poésie a précédé l’éloquence, on en fera ensuite
connaître
les règles spéciales. Enfin, on s’occupera des pr
mble ajouter encor. Heureux, qui dès le temps de son adolescence, A
connu
cette ivresse, en abreuva son cœur ! Le vase, qui
x yeux vifs, aux fronts purs et limpides Toujours jeune et joyeux, ne
connaît
pas les rides ! Tout ce qui m’y ramène est aimabl
! Arrêtons. Respirons. Presque tremblant, je sonne ; La cloche au son
connu
jusqu’en mon sein résonne. La vaste porte, ouvran
e porte, ouvrant ses battants vermoulus, Me demande mon nom, et ne me
connaît
plus1. Hélas ! je ne suis pas un de vos anciens m
térieur me soulève avec elles, Me porte, et je m’envole à chaque lieu
connu
, Léger comme un oiseau vers son nid revenu. Ah !
ment alors en moi fit naître Celle qui m’y guidait, lorsque, sans me
connaître
, De moi-même, en l’ouvrant, soudain elle parla, E
évoiler les desseins, les pensées de ses personnages, à nous en faire
connaître
les mœurs et le caractère, sans cependant s’amuse
r si Annibal avait les dents bêtes. pourvu que son historien me fasse
connaître
la grandeur de son génie ; qu’il me montre un esp
istence, sous un double point de vue ; dans les siècles où elle a été
connue
d’un seul peuple, et dans ceux où elle a été répa
s, de la morale sublime de la religion, et du droit canonique ; faire
connaître
le véritable esprit des lois, des règles, des déc
Mœurs des chrétiens ; excellent ouvrage où il nous fait parfaitement
connaître
ces hommes si admirables par leurs vertus ; supér
s qui puisse instruire un homme ignorant ? L’écrivain aurait dû faire
connaître
les personnages dont il parle, et raconter briève
la peinture des mœurs et des caractères. Il serait trop long de faire
connaître
ici tous les bons historiens tant anciens que mod
ar la description des objets, et par la richesse du style. En faisant
connaître
la situation des lieux, les beautés de la nature,
e dans l’art de saisir les moindres nuances des passions, et de faire
connaître
tout le manège des cours. Son coloris est mâle et
ous des traits frappants et vrais, les grands hommes qu’il veut faire
connaître
. L’abbé Vallart l’a traduit. Historiens frança
snoy. « Veut-on repasser, dit-il119, tous ces temps ; de troubles, et
connaître
même les différends survenus dans l’empire d’Alle
e coloris qu’on pourrait désirer. Le président Hénault qui assurément
connaissait
notre histoire, et qui était bien en état d’appré
swick en 1697, jusqu’à la paix d’Utrecht, en 1713. Ils font très bien
connaître
les affaires du temps. La pureté du style en égal
il n’a pas rempli le titre de son ouvrage : il s’y est borné à faire
connaître
les grands hommes du siècle dernier, en donnant u
out entier ne soit rien en comparaison d’une âme, parce qu’une âme se
connaît
et que l’univers ne se connaît pas2, l’étude de l
araison d’une âme, parce qu’une âme se connaît et que l’univers ne se
connaît
pas2, l’étude de l’âme ne sera-t-elle pas toujour
authentique de sa supériorité, puisque c’est par elle que la science
connaît
l’univers et s’en empare. Mais l’âme, qui étudie
a science connaît l’univers et s’en empare. Mais l’âme, qui étudie et
connaît
tout, a le privilége de s’étudier et de se connaî
âme, qui étudie et connaît tout, a le privilége de s’étudier et de se
connaître
elle-même, de sonder sa destinée, de s’élever de
u’il n’y a pas plus de passage et de relations possibles de l’être au
connaître
que d’analogie et de représentation possibles de
on et Quintilien, chez les Romains. Mais celui de tous qui a le mieux
connu
son sujet et qui a traité le plus éloquemment de
nds orateurs ont employés avec succès. Il y a plaisir et profit à les
connaître
; mais nous ne les recommandons pas comme nécessa
s préceptes, dis-je, sont curieux, mais est-il bien nécessaire de les
connaître
pour savoir qu’avant de parler il faut avoir des
in toutes vos causes. La lecture d’un dossier ne suffit pas pour bien
connaître
une affaire. Le dossier c’est la procédure morte
la procédure morte ; tandis que le client c’est la cause vivante. Qui
connaît
mieux que lui ses intérêts ? Qui est plus capable
à votre insu, vous a transporté, pour quelques heures, loin du monde
connu
que vous habitez dans un monde idéal que sa fanta
est le caractère, ou, comme disent les rhétoriques, les mœurs. Soyez
connu
pour un homme probe, loyal, désintéressé, incapab
deux antithèses. Cet Ulysse-là n’est pas le héros d’Homère, dont nous
connaissons
l’esprit fin et délié, mais un rhéteur qui a fait
es et les plus expérimentés penchent pour l’expectative. Mais Montluc
connaît
le prince et sait qu’à lui seul appartient le dro
un grand point. Mais avant qu’il puisse les apprécier, il faut qu’il
connaisse
les faits de la cause. L’exposition des faits s’a
issons de la route, la narration n’est qu’un moyen. Si les faits sont
connus
, ils se contentent de les effleurer et courent dr
ue, et vous la prononcerais avec assez de gravité. » Mais le Béarnais
connaît
trop les hommes pour avoir besoin de chercher sa
de la maladie et du tempérament du malade. Une fois leur inclination
connue
, vous n’avez plus qu’à l’entretenir et à tourner
mme les individus, leur caractère, et par conséquent leur style. Donc
connaître
les traits distinctifs de l’éloquence, c’est conn
ur style. Donc connaître les traits distinctifs de l’éloquence, c’est
connaître
la couleur qui lui convient. L’éloquence, étant u
botanistes, ce n’est point la science qui les a créées : hier encore,
connues
de tous, elles parfumaient les champs et les sent
osthène disait que ce qui domine dans l’éloquence, c’est l’action. On
connaît
aussi le mot d’Eschine aux Rhodiens. Il venait de
de tons, qui nous la donne ? L’éducation, l’usage, l’exercice : je ne
connais
pas d’autres maîtres. Les repos de la période son
i constitue la nature et la forme de l’histoire, et nous devons faire
connaître
d’abord ces principes généraux. Nous ajouterons q
c les dates ; il faut, avant de passer au second, que le premier soit
connu
tout entier, ou au moins par parties assez distin
s événements et les circonstances qui les accompagnent, il doit aussi
connaître
et surtout faire connaître les hommes. Le détail
tances qui les accompagnent, il doit aussi connaître et surtout faire
connaître
les hommes. Le détail des motifs qui les font agi
évoiler les desseins, les pensées de ses personnages, à nous en faire
connaître
les mœurs et le caractère sans cependant s’amuser
si Annibal avait les dents belles, pourvu que son historien me fasse
connaître
la grandeur de son génie, qu’il me montre un espr
r les soins de son roi, ils furent négligés en Angleterre, où l’on ne
connut
plus qu’une politique dure et inquiète, conforme
elle change et se modifie à mesure que des découvertes nouvelles font
connaître
de nouveaux rapports entre les êtres ; tandis que
stérieurs à sa mort, sont appelés le Nouveau Testament 50. Si on veut
connaître
l’histoire dans toute sa grandeur et dans toute s
ses connaissances et ses talents pour distinguer le vrai et le faire
connaître
aux autres, il faut qu’il soit profondément instr
ères, de la morale de la religion et du droit canonique ; qu’il fasse
connaître
le véritable esprit des lois, des règles, des déc
t environ un siècle et demi plus tard par Justin, écrivain latin, peu
connu
d’ailleurs. Chez nous, les histoires générales so
roposa d’imiter tout de ces deux conquérants, hors leurs vices. Il ne
connut
plus ni magnificence, ni jeu, ni délassement ; il
e Colomb1. Ses habitants vivaient dans une ignorance extrême. Loin de
connaître
les sciences, ils ne connaissaient pas les arts l
nt dans une ignorance extrême. Loin de connaître les sciences, ils ne
connaissaient
pas les arts les plus simples et les plus nécessa
ts que le roi envoya tenir les grands jours3 en quelques provinces le
connurent
dans leur voyage, et sentirent bientôt que son gé
ents un peu trop mise au jour et trop exercée. A Paris il fut bientôt
connu
de M. de Pontchartrain, alors contrôleur général,
urs d’autant plus ignoré qu’il est plus parfait. Mais qui voudrait le
connaître
et l’approfondir en serait effrayé. Entretenir pe
e qu’elle lui fût ; il accommodait la raison à l’usage de ceux qui la
connaissaient
le moins ; il conciliait avec bonté des esprits f
rt si difficile, quoique frivole, des agréments et du badinage. Il ne
connaissait
point à l’égard du travail la distinction des jou
s que contient cet ouvrage ont pour but de former le style en faisant
connaître
quels sont les moyens que l’on peut employer pour
le premier livre ; il lui vient en aide et offre l’avantage de faire
connaître
plus amplement les bons écrivains de notre pays.
sions qui constituèrent des idiomes particuliers : ici un objet était
connu
sous un certain nom ; là il prenait et admettait
ais l’effet d’un accord heureux avec les idées que nous voulons faire
connaître
. § IV. L’Écriture L’homme qui avait reçu du
e de nos langues actuelles. Il ne serait peut-être pas indifférent de
connaître
ici brièvement les nobles fonctions du grammairie
es langues, de l’écriture et de la grammaire, il est naturel de faire
connaître
que l’habitude fut bientôt prise d’assembler plus
lu qu’au sortir de leurs cours, les élèves des lycées et des collèges
connussent
, avec les plus grands noms de notre littérature,
n mot les plus visibles défauts de sa personne et les crimes les plus
connus
de sa vie, cette grande lettre, cette lettre inju
r, où les empoisonnements, les trahisons, les calomnies, soient moins
connus
, et où il soit demeuré plus de restes de l’innoce
ée, et en les empêchant de juger de ce qu’ils ne sont pas capables de
connaître
. Il est vrai néanmoins qu’une grande partie des f
t d’attention, qui fait que l’on juge témérairement de ce que l’on ne
connaît
que confusément et obscurément. Le peu d’amour qu
s’en trouve d’autres, au contraire, qui ayant assez de lumières pour
connaître
qu’il y a quantité de choses obscures et incertai
pas l’attention nécessaire, et qu’il y a bien des choses que l’on ne
connaît
que par un long et difficile examen, il est certa
ésents ; il comprend, il imagine les plus grandes choses ; il voit et
connaît
les plus petites ; ses pensées sont relevées, éte
onter les difficultés ; il se plie aisément à ce qu’il veut ; il sait
connaître
l’esprit et l’humeur de ceux avec qui il traite ;
vantageux, et il s’attache avec fermeté à ses pensées, parce qu’il en
connaît
toute la force et toute la raison. Il y a de la d
utient leur mauvaise conduite. La souveraine habileté consiste à bien
connaître
le prix des choses. La flatterie est une fausse m
’il en sait faire. Nous désirerions peu de choses avec ardeur si nous
connaissions
parfaitement ce que nous désirons. On est quelque
de personnes raisonnables, celles qui servent Dieu parce qu’elles le
connaissent
, et celles qui le cherchent parce qu’elles ne le
elles le connaissent, et celles qui le cherchent parce qu’elles ne le
connaissent
pas. L’immortalité de l’âme est une chose qui no
ce que je dis, qui fait réflexion sur tout et sur elle-même, et ne se
connaît
non plus que le reste. Je vois ces effroyables es
mme une ombre qui ne dure qu’un instant sans retour85. Tout ce que je
connais
est que je dois bientôt mourir, mais ce que j’ign
Rien n’accuse davantage une extrême faiblesse d’esprit que de ne pas
connaître
quel est le malheur d’un homme sans Dieu ; rien n
onnables : ou ceux qui servent Dieu de tout leur cœur parce qu’ils le
connaissent
, ou ceux qui le cherchent de tout leur cœur parce
ssent, ou ceux qui le cherchent de tout leur cœur parce, qu’ils ne le
connaissent
pas. Mais pour ceux qui vivent sans le connaître
arce, qu’ils ne le connaissent pas. Mais pour ceux qui vivent sans le
connaître
et sans le chercher, ils se jugent eux-mêmes si p
t du monde. Je voudrais de bon cœur voir le livre italien, dont je ne
connais
que le titre, qui vaut lui seul bien des livres,
des livres, Della opinione regina del mondo 99. J’y souscris sans le
connaître
, sauf le mal, s’il y en a. Ibid. (p. 187 de l’é
senter un autre prodige aussi étonnant, qu’il recherche dans ce qu’il
connaît
les choses les plus délicates. Qu’un ciron lui of
quelque apparence du milieu des choses, dans un désespoir éternel de
connaître
ni leur principe ni leur fin ? Toutes choses sont
de n’en point avoir. La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se
connaît
misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable.
e l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se
connaît
pas misérable. C’est dupe être misérable que de s
rbre ne se connaît pas misérable. C’est dupe être misérable que de se
connaître
misérable ; mais c’est être grand que de connaîtr
isérable que de se connaître misérable ; mais c’est être grand que de
connaître
qu’on est misérable. Toutes ces misères-là mêmes
re, ils trouvent et grandeur et misère en l’homme, En un mot, l’homme
connaît
qu’il est misérable. Il est donc misérable, puisq
onc misérable, puisqu’il l’est ; mais il est bien grand, puisqu’il le
connaît
. Ce n’est point de l’espace que je dois chercher
ou s’y abandonner par lâcheté ou en sortir par l’orgueil. Car, s’ils
connaissaient
l’excellence de l’homme, ils en ignoraient la cor
attentat d’y ajouter, comme s’ils n’avaient plus laissé de vérités à
connaître
. N’est-ce pas là traiter indignement la raison de
t donc, ces mauvais juges de la solidité et de l’éloquence, qu’ils ne
connaissent
ni l’une ni l’autre, quand, par une conséquence r
ntage des lettres de madame de Sévigné, c’est qu’elles nous font bien
connaître
et fort admirer le siècle qu’elle a honoré par se
jette, verra-t-il périr sans ressource ce qu’il a fait capable de le
connaître
et de l’aimer ? Ici un nouvel ordre de choses se
Fronde : quel fut le rôle de la princesse pendant ces troubles ? Elle
connut
par expérience toute la vanité et toute l’illusio
es humaines. La princesse Anne l’invite à se faire instruire194 : il
connut
bientôt les erreurs où les derniers de ses pères,
rdée, non plus comme un état de désolation, car ces mots ne sont plus
connus
, mais comme un état désirable, où, affranchi de t
riantes que le monde trouve si heureuses199 ! Mais surtout quand on a
connu
Jésus-Christ, et qu’on a eu part à ses grâces ; q
at, qui renouvelle contre Jésus-Christ, et encore contre Jésus-Christ
connu
et goûté, tous les outrages des Juifs, et le cruc
raître toutes les richesses de son esprit. Je ne dis rien qui ne soit
connu
. Toujours fidèle à l’État et à la grande Anne d’A
pas dans ces besoins ? Mais quel fruit lui en revint-il212, sinon de
connaître
par expérience le faible des grands politiques ;
pas, messieurs, de ces magnifiques paroles qui ne servent qu’à faire
connaître
, sinon un orgueil caché, du moins les efforts d’u
de, « blasphèment ce qu’ils ignorent, et se corrompent dans ce qu’ils
connaissent
naturellement227. » Hommes deux fois morts, dit l
reuses dans le choix des termes, qu’elles placent si juste, que, tout
connus
qu’ils sont, ils ont le charme de la nouveauté, e
s deux comiques ! J’ai lu Malherbe et Théophile242. Ils ont tous deux
connu
la nature, avec cette différence que le premier,
quid debeat, et quid amicis261. D’ordinaire, un déclamateur fleuri ne
connaît
point les principes d’une saine philosophie262, n
ngage plus propre à les captiver et à les soumettre : aucun n’a mieux
connu
le cœur humain et ne l’a peint avec plus d’éloque
ard de la croix ; et enfin, que je parle à une troupe illustre qui ne
connaît
les périls que pour les affronter, que mille acti
il n’enviera plus nos richesses et il respectera notre charité. C’est
connaître
peu la sainteté de notre ministère que de se pers
e la vertu qui puisse le rendre respectable ; mais c’est encore moins
connaître
le monde que de croire lui inspirer du respect po
s premiers élans dont on est si rarement maître, et qui par là, à qui
connaît
la carte et les gens, deviennent des inductions s
jouet de ses passions, et dupe de ses vertus mêmes ; un prince qui ne
connut
jamais sa force ni sa faiblesse ; qui ne sut se c
plus forte raison pour l’estimer beaucoup, c’est que, avec des fautes
connues
, il a plus de réputation qu’aucun de ses contempo
l’Europe reçurent à la fois des récompenses de lui, étonnés d’en être
connus
. « Quoique le roi ne soit pas votre souverain, le
ait-elle aussi étendue du temps de Henri IV ? non, sans doute ; on ne
connaissait
que l’italien et l’espagnol. Ce sont nos excellen
lui indiqua au pied d’une montagne, près de la cabane d’un montagnard
connu
d’elle et affidé, et elle promit de venir le pren
lace sur ce premier plan qu’un sujet sera circonscrit, et que l’on en
connaîtra
l’étendue ; c’est en se rappelant sans cesse ces
jusque dans cette possession imaginaire des faveurs du monde vous en
connaîtrez
l’imposture. Ô mortels, l’espérance enivre ; mais
lle en était responsable. On n’est pas né pour la gloire lorsqu’on ne
connaît
pas le prix du temps. La loi des esprits n’est pa
tre, et je vais l’accomplir. Je rends grâces au Dieu que tu m’as fait
connaître
De cette occasion qu’il a si tôt fait naître, Où
hrétiens, c’est le mien, c’est le vôtre ; Et la terre et le ciel n’en
connaissent
point d’autre. PAULINE. Adorez-le dans l’âme et n
nne415 : Avec trop de mérite il vous plut la former, Pour ne vous pas
connaître
et ne vous pas aimer, Pour vivre des enfers escla
ment n’est pas encor venu ; Il viendra, mais le temps ne m’en est pas
connu
. PAULINE. Quittez cette chimère, et m’aimez. POLY
que sur mon cœur puissent des noms si doux, À ces marques enfin je ne
connais
que vous. As-tu bien entendu ? dis-tu vrai, Timag
sé l’une et l’autre ; Comme par sa prudence il a tout adouci, Il vous
connaît
peut-être, et me connaît aussi. À Antiochus. Seig
me par sa prudence il a tout adouci, Il vous connaît peut-être, et me
connaît
aussi. À Antiochus. Seigneur, c’est un moyen de v
urprendre : Heureux si sa fureur qui me prive de toi Se fait bien tôt
connaître
en achevant sur moi436, Et si du ciel trop lent à
ur ces vérités paraissent, J’en laisse la vengeance aux dieux qui les
connaissent
, Et vais sans plus tarder… RODOGUNE.
mme dont Marc-Aurèle Nous fait un portrait fort fidèle467. On
connaît
les premiers : quant à l’autre, voici Le
ble de sa verve maligne, a réjoui et réjouira tant de générations, ne
connut
que le sourire des lèvres et ne ressentit jamais
travers de son masque on voit à plein498 le traître : Partout il est
connu
pour tout ce qu’il peut être ; Et ses roulements
cette union veut naître ; Avant que513 nous lier, il faut nous mieux
connaître
; Et nous pourrions avoir telles complexions, Que
sultés539. Le village au-dessus forme un amphithéâtre ; L’habitant ne
connaît
ni la chaux ni le plâtre ; Et dans le roc, qui cè
lant vos prés délicieux, Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et
connu
de vous seuls oublier tout le monde544. Mais
dre à témoin et la cour et la ville : — Non ; à d’autres, dit-il ; on
connaît
votre style. Combien de temps ces vers vous ont-i
travail occupé, Et, ne trompant jamais, n’était jamais trompé : On ne
connaissait
point la ruse et l’imposture ; Le Normand même al
u’en un sujet d’intrigue enveloppé, D’un secret tout à coup la vérité
connue
Change tout, donne à tout une face imprévue569. …
comme s’il n’eût cessé d’acquérir des forces, loin que son génie ait
connu
la décadence, sa dernière création fut son chef-d
iner. MONIME. Non, seigneur, vainement vous croyez m’étonner. Je vous
connais
: je sais tout ce que je m’apprête, Et je vois qu
que je vive, Et rappelle en mon sein mon âme fugitive ? ASSUÉRUS. Ne
connaissez
-vous pas la voix de votre époux ? Encore un coup5
neur est bon, que son joug est aimable ! Heureux qui dès l’enfance en
connaît
la douceur ! Jeune peuple, courez à ce maître ado
neur est bon, que son joug est aimable ! Heureux qui dès l’enfance en
connaît
la douceur ! Athalie617 (Extraits.) Act
l’or sa soif insatiable, Il lui feint625 qu’en un lieu que vous seul
connaissez
, Vous cachez des trésors par David amassés. Enfin
moins quel pays est le vôtre ? JOAS. Ce temple est mon pays : je n’en
connais
point d’autre. ATHALIE. Où dit-on que le sort vou
e Phénice, dont, malgré ce titre, elle n’avait pas été jusque-là plus
connue
que des autres : femme du roi d’Arménie Rhadamist
l’ont arraché à ceux qui le poursuivaient : il les a servis sans être
connus
d’eux, et a mérité leur estime par sa valeur. Ins
permettre, Dans tes mains, en ces lieux, je viendrai me remettre. Je
connais
la fureur de tes soupçons jaloux ; Mais j’ai trop
ais on vient lui annoncer que ce Romain fuit, enlevant celle qu’il ne
connaît
que sous le nom d’Isménie. Il s’élance après eux,
vu poursuivre avec tant de courroux, Que j’ai cru qu’en effet j’étais
connu
de vous. PHARASMANE. Pourquoi me le cacher ? Ah,
seil et règle vos exploits. Croyez-moi, les humains, que j’ai trop su
connaître
, Méritent peu, mon fils, qu’on veuille être leur
Horreur de ma patrie ! Parmi les malheureux que ton pouvoir a faits,
Connais
-tu bien Zamore, et vois-tu tes forfaits ? GUSMAN.
qu’un horrible serment Me donne au meurtrier qui m’ôta mon amant. Je
connais
mal peut-être une loi si nouvelle ; Mais j’en cro
Je meurs ; le voile tombe ; un nouveau jour m’éclaire : Je ne me suis
connu
qu’au bout de ma carrière ; J’ai fait, jusqu’au m
nés pour leur donner des lois. (À Zamore.) Des dieux que nous servons
connais
la différence : Les tiens t’ont commandé le meurt
ort suprême, Je commence à le croire, est la loi d’un Dieu même. J’ai
connu
l’amitié, la constance, la foi ; Mais tant de gra
on s’est soumis728, Il ignore en effet s’il a des ennemis : Je ne les
connais
plus. Déjà de la carrière L’auguste Vérité vient
à peine les consomme745 ; Et jamais le prix du grand homme N’est bien
connu
qu’après sa mort746. Oui, la mort seule nous dél
omme ingrat, son vieil ami qui l’aime. Parle : était-ce bien lui ? le
connais
-tu toi-même ? En quels lieux était-il ? où portai
ues aux Thermopyles. Il en gardait encore un douloureux effroi. Je le
connais
; je fus son ami comme toi. D’un même sort jaloux
eul m’est resté) Sa marque d’alliance et d’hospitalité. Vois si tu la
connais
. » — Ô surprise ! Immobile, Lycus a reconnu son p
a propriété des termes et la juste mesure des périodes. » 21. Pour
connaître
ce grand homme il faudra lire l’Éloge que lui a c
consiste dans la considération de la nature de nos âmes, que je pense
connaître
si clairement durer après cette vie, et être nées
urd’hui. 68. Le morceau du cardinal de Retz cité tout à l’heure fera
connaître
en détail les événements qui suivirent à Paris l’
i rappelle ces paroles de Descartes, dans l’une de ses lettres : « Je
connais
clairement que nos âmes doivent durer après cette
n cher Socrate, que ce n’est pas une nécessite, pour être orateur, de
connaître
ce qui est véritablement juste, mais seulement ce
dique M. Beuchot. 351. Charles-Édouard était le fils de Jacques III,
connu
sous le nom de chevalier de Saint-Georges et qui,
s occupations de l’Académie française forme une suite naturelle. Pour
connaître
complètement les règles de la composition et du s
e dieu des âges : Lui seul embrasse tous les temps. Rivarol, qui s’y
connaissait
, a donné aussi de l’esprit cette définition : « C
t beau que le vrai » ; ce qui rappelle cette définition de Platon, si
connue
, et surtout juste relativement au style : « Le be
Chateaubriand, égale les plus beaux mots d’Horace. Corneille, qui se
connaissait
si bien en sublime, a senti que l’amour pour la r
ement, complètement. Pascal dit aussi dans les Pensées : « Qui voudra
connaître
à plein la vanité de l’homme… » Aujourd’hui en pl
(Boileau), à 39 kil. de Paris, du côté de Mantes. Voltaire, qui avait
connu
l’illustre greffier, l’appelle dans son Épître à
aux incidents de la pièce et les saisir avec facilité. Il lui a fait
connaître
Athalie et Joad, le jour de l’action et le lieu d
ée. Par d’autres citations, il serait aisé de montrer que Racine, qui
connaissait
si bien les Grecs et les Romains, n’avait nulleme
Racine. Il se trouve dans la traduction de quelques vers de Grotius,
connus
sous le nom de Prosopopée d’Ostende, sur lesquels
é. C’est ce qui a fait dire à La Harpe : « Ce morceau est ce que l’on
connaît
de plus parfait en situation et en éloquence dram
c’est la force de la situation qui lui arrache son secret. Alzire ne
connaît
pas nos convenances sociales : loin de reculer de
Vous, loin d’oser ici condamner ma douleur, Jugez de ma constance et
connaissez
mon cœur… 722. L’intérêt va en grandissant : c
qué, dans son premier voyage en Angleterre (1727 à 1730) que Voltaire
connut
et adopta le système de Newton, à une époque où i
de la Philosophie de Newton : elle était adressée à Mme du Châtelet,
connue
par son goût pour les sciences exactes et par que
ssade, que je lui dis :« Seigneur cavalier, je ne croyais pas mon nom
connu
à Pennaflor. — Comment, connu ! reprit-il sur le
eur cavalier, je ne croyais pas mon nom connu à Pennaflor. — Comment,
connu
! reprit-il sur le même ton : nous tenons registr
té la dupe de ses démonstrations ni de ses hyperboles ; j’aurais bien
connu
à ses flatte ries outrées que c’était un de ces p
rmais en garde contre les louanges ; défiez-vous des gens que vous ne
connaîtrez
point6Vous en pourrez rencontrer d’autres qui vou
toujours du français gaulois. 6. « Défiez-vous des gens que vous ne
connaîtrez
point, etc. » Ce parasite est un spirituel compèr
Je leur dois le peu que je suis ; je leur dois même l’honneur d’être
connu
de vous. Mais consultons l’intérêt de nos affaire
ants pour éclairer le monde et conduire ses aveugles habitants, je ne
connais
rien d’aussi fou qu’un peuple de sages. Convenez-
est encore ce qui m’afflige. Oh ! que le sort dont j’ai joui n’est-il
connu
de tout l’univers ! chacun voudrait s’en faire un
ient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais les plus voluptueux n’ont
connu
de pareilles délices, et j’ai cent fois plus joui
se sent quelque talent, et qui tarde jusqu’à quarante ans à le faire
connaître
, soit assez fou pour aller s’ennuyer le reste de
l pour la solitude, qui n’a fait qu’augmenter à mesure que j’ai mieux
connu
le monde. Je trouve mieux mon compte avec les êtr
me vois et tel que je suis ; car, passant ma vie avec moi, je dois me
connaître
, et je vois, par la manière dont ceux qui pensent
ns et ma conduite, qu’ils n’y entendent rien. Personne au monde ne me
connaît
que moi seul. Vous en jugerez quand j’aurai tout
harge et à décharge, je ne crains point d’être vu tel que je suis. Je
connais
mes grands défauts, et je sens vivement tous mes
ns le Dieu suprême, et très-persuadé que, de tous les hommes que j’ai
connus
en ma vie, aucun ne fut meilleur que moi1. 1.
r cette page de Lacordaire. (Ed. Poussielgue.) « La félicité, qui la
connaît
? qui l’a vue ? qui peut savoir où elle gît ? Job
ime la botanique. Le moly est un poison. 4. Madame de Beaumont, qui
connut
Rousseau, le caractérisait ainsi : « Il s’est él
ablir des nouveautés, l’obscurité de la retraite avec le désir d’être
connu
de tout le monde. On l’a vu invectiver contre les
neur qu’il met dans ma famille Montre à tous qu’il est juste, et fait
connaître
assez Qu’il sait récompenser les services passés.
ère de Chimène. D. rodrigue. Le… ? D. Diègue. Ne réplique point, je
connais
ton amour ; Mais qui peut vivre infâme est indign
hrétiens, c’est le mien, c’est le vôtre ; Et la terre et le ciel n’en
connaissent
point d’autre. Pauline. Adorez-le dans l’âme, et
ienne ; Avec trop de mérite il vous plut la former, Pour ne vous pas
connaître
et ne vous pas aimer, Pour vivre des enfers escla
nt n’est pas encor venu ; Il viendra2 ; mais le temps ne m’en est pas
connu
. Pauline. Quittez cette chimère, et m’aimez. Po
i ; Mais, de quoi que pour vous notre amour m’entretienne, Je ne vous
connais
plus, si vous n’êtes chrétienne1 C’en est asse
ujet. Rapprochez ces vers de Vauquelin de la Fresnaye, poëte normand,
connu
par son Art poétique : — Quelle es-tu, dis-le mo
, dis-le moy, si povrement vestue ? — Je suis Religion, fille de Dieu
connue
. — Pourquoy l’habit as-tu d’une si povre laine ?
que je peux me passer de votre hommage, et vous n’êtes pas en état de
connaître
la mère que vous avez ; vous apprendrez dans la v
vous aliénez de vous votre mère, votre frère, votre sœur. Je ne vous
connais
pas un lien sérieux. M. de Montmorency est ici, v
ot qui devrait être décisif, mais nous étonne un peu. 1. Je ne vous
connais
plus. C’est fanatique. Il a peur de faiblir, et s
s toujours ! (A Elvire.) 1. Ces beaux vers grondeurs n’étant guère
connus
, j’ai cru pouvoir les mettres en vue, parce qu’il
t le poète français qui, du consentement de tout le monde, a le mieux
connu
, avant Molière, les mœurs et le caractère des hom
me force. Ô Dieux ! quelle injustice ! Alors, mais las trop tard ! je
connus
mon supplice : Mais pour l’avoir, connu, je dus l
ors, mais las trop tard ! je connus mon supplice : Mais pour l’avoir,
connu
, je dus l’éviter, Tant le destin se plaît à me pe
au de la tête, Nous vint dire tout haut que la soupe était prête ; Je
connus
qu’il est vrai ce qu’Homère en écrit, Qu’il n’est
aujourd’hui nulle marque paraître ; En ce miracle seul, il peut assez
connaître
Quelle force a la main qui nous a garantis. Mais
e assurée ! Qu’elle a fait richement son armure étoffer ! Et qu’il se
connaît
bien, à la voir si parée, Que tu vas t
lherbe plus encore que de Desportes. Les pièces du premier genre sont
connues
sous le titre de Bergeries. Elles tiennent à l’ar
aine, a été de dépeindre la politique des Romains au dehors, de faire
connaître
leur impérieuse manière d’agir avec les rois leur
narques Qui veulent aux vertus rendre de dignes marques De les savoir
connaître
, et ne pas ignorer Ceux d’entre leurs sujets qu’i
; Je ne veux rien devoir à ceux qui m’ont fait naître, Et suis assez
connu
sans les faire connaître. Mais, pour en quelque s
voir à ceux qui m’ont fait naître, Et suis assez connu sans les faire
connaître
. Mais, pour en quelque sorte obéir à vos lois, Se
ant de valeur que vous-même le dites, Il sait quelle est la vôtre, et
connaît
vos mérites, Et jugera de vous avec plus de raiso
t vos mérites, Et jugera de vous avec plus de raison Que moi qui n’en
connais
que la race et le nom. Marquis, prenez ma bague,
t grand pour vous, toute la cour y penche : De grâce, dites-moi, vous
connaissez
-vous bien ? Carlos. Plût à Dieu qu’en mon sort j
vous connaissez-vous bien ? Carlos. Plût à Dieu qu’en mon sort je ne
connusse
rien ! Si j’étais quelque enfant épargné des temp
d’œil sur moi rabat soudain à terre ! Je ne suis point don Sanche, et
connais
mes parents ; Ce bruit me donne en vain un nom qu
prince ; une heure ou deux peut-être Avec vos députés vous le feront
connaître
Laissez-moi cependant à cette obscurité Qui ne fa
e, Carlos, Don Manrique, Don Lope. Carlos. Eh bien ! madame, enfin on
connaît
ma naissance : Voilà le digne fruit de mon obéiss
que les lois de la décence ne semblaient pas devoir permettre : elle
connaît
, elle avoue tous ses crimes ; le silence même qu’
ont cause, où le vice est peint partout avec des couleurs qui en font
connaître
et haïr toute la difformité. Ce caractère de Phèd
ortel, Tartuffe ou l’Imposteur. On pouvait croire que le poète, assez
connu
pour être un libertin, avait voulu frapper de rid
nd écrivain. Nul, parmi les poètes ni parmi les prosateurs, n’a mieux
connu
, saisi et développé le génie et la force de la la
e en sait toujours assez, Quand la capacité de son esprit se hausse À
connaître
un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Les leurs
Halte-là, mon beau-frère : Vous ne
connaissez
pas celui dont vous parlez. Cléante. Je ne le co
e : Vous ne connaissez pas celui dont vous parlez. Cléante. Je ne le
connais
pas, puisque vous le voulez ; Mais enfin, pour sa
quel homme ce peut être… Orgon. Mon frère, vous seriez charmé de le
connaître
enfin, Et vos ravissements ne prendraient point d
le sujet ait été bien creusé. Toujours favorisé par le jeu, il ne le
connaissait
que sous ses couleurs riantes, ou, s’il avait l’i
. Géronte. Le beau nom ! Il devait appeler Angélique, Pallas, du nom
connu
de la dame de pique. Hector. Secondement, il doi
oyons. Hector. Premièrement Isaac de la Serre. Il est
connu
de vous. Géronte.
ffets véreux. Cela sent comme baume ; or donc ce de la Serre, Si bien
connu
de vous et de toute la terre, Ne nous doit rien.
lons, marquis, montre de la vigueur, Il craint… Je suis pourtant fort
connu
dans la ville ; Et si vous l’ignorez, sachez que
ansonnier et l’âme du festin : Je suis parfait en tout, ma valeur est
connue
, Je ne me bats jamais qu’aussitôt je ne tue. De c
lé ; J’ai la botte trompeuse, et le jeu très brouillé. Mes aïeux sont
connus
, ma race est ancienne80 : Mon trisaïeul était vic
ronte, en son fauteuil à bras, « Étant en son bon sens, comme on a pu
connaître
, « Par le geste et maintien qu’il nous a fait par
ruit aux vents engouffrés dans les arbres. Jamais désert ne fut moins
connu
des humains : À peine le soleil en savait les che
ent sans nul fond de beauté. Je ne nomme personne : on peut tous nous
connaître
. Je pris certain auteur autrefois pour mon maître
d il faut railler, j’ai ce que je souhaite. Alors, certes alors je me
connais
poète : Phœbus, dès que je parle, est prêt à m’ex
in ? Et que craindre, après tout, d’une fureur si vaine ? Personne ne
connaît
ni mon nom ni ma veine. On ne voit point mes vers
vère en cette posture Dans l’astre lumineux le dieu de la nature ; Il
connaît
des vertus l’usage précieux ; Il est reconnaissan
hyre, Appien, Et Lipse, leur écho, gens à Votre Excellence Peu
connus
, comme je le pense, Mais dans le tribunal
Le souvenir de tous mes maux. Emplois, grandeurs tant désirées, J’ai
connu
vos illusions : Je vis loin des préventions Que f
e idée de la poésie de Pindare, dont tout le monde parle sans la bien
connaître
, tel est le principal objet que se proposa Rousse
r la vie Dans les horreurs du trépas. Seigneur, il faut que la terre
Connaisse
en moi vos bienfaits ; Vous ne m’avez fait la gue
nsiste guère qu’à se servir avec plus ou moins de facilité des formes
connues
de la poésie, à revêtir de plus ou moins d’élégan
retiens ma colère, Espérant que bientôt il me sera permis De me faire
connaître
et de punir mon fils ; Et mon juste dépit lui pré
mérite. Œdipe. — Voltaire n’avait que dix-huit ans et n’était encore
connu
que par des pièces fugitives, par quelques épître
’antique, remontra à la France une grande et sévère poésie qu’elle ne
connaissait
plus depuis bien longtemps. La tragédie du Duc de
; le don de la comédie n’a pas été accordé à cet homme qui a si bien
connu
la plaisanterie et la satire, et qui a peint avec
mmencer. La morale du Discours sur la nature de l’homme est qu’on n’y
connaît
rien, et qu’il ne faut pas perdre son temps à la
e chef-d’œuvre du genre. D’Ailly, à la bataille d’Ivry, tue sans le
connaître
son fils qui combattait dans les rangs opposés. (
un de l’autre ils cherchent un passage, Dans ce cœur ennemi qu’ils ne
connaissent
pas. Le fer qui les couvrit brille et vole en écl
xiome Que rien n’est rien, que de rien ne vient rien. Du genre humain
connais
quelle est la trempe : Avec de l’or, je te fais p
nde, Qu’il n’est permis d’en aimer le fracas Qu’à l’étourdi qui ne le
connaît
pas. Après dîner, l’indolente Glycère Sort pour s
e. Puissé-je vivre et mourir dans tes bras, Loin du méchant qui ne te
connaît
pas ! Gresset (J.-B. Louis) (1709-1777) A
p resserré dans les bornes d’un cloître, Un tel mérite au loin se fit
connoître
; Dans tout Nevers, du matin jusqu’au soir, Il n’
he sans le savoir et la Gageure imprévue, écrivait à Sedaine qu’il ne
connaissait
personne qui entendit mieux le théâtre que lui et
cès d’enthousiasme, en parlant du Philosophe sans le savoir, qu’il ne
connaissait
rien qui ressemblât à cela ; que c’était une des
e vous remercie ! Que je valus hier, grâce à votre valeur ! Je me
connais
, et plus je m’apprécie, Plus j’entrevois qu’i
se les torrents. Ainsi se forment les orbites Que tracent ces globes
connus
; Ainsi dans les bornes prescrites Volent et Merc
bien meilleure que ses vers : c’est là surtout qu’on peut apprendre à
connaître
l’homme et à l’aimer. Extrait d’Hamlet. Ac
tionnantes politiques. Ses productions les plus importantes ne seront
connues
que trente ans après sa mort ; mais elles exciter
portait aux modèles grecs n’est pas exclusif des modèles latins qu’il
connaît
, cultive et apprécie comme les véritables héritie
tte abondance d’images qui caractérisent la poésie antique. Non moins
connue
et non moins digne de l’être est la belle ode int
e plaît de se voir si savant. Que ne vient-il vers moi ? je lui ferai
connaître
Mille de mes larcins qu’il ignore peut-être, Mon
le à mon passage Mes tristes compagnons reclus Qui me
connaissaient
tous avant l’affreux message, Mai
issaient tous avant l’affreux message, Mais qui ne me
connaissent
plus ! Eh bien ! j’ai trop vécu. Quelle franchise
le même écrivain, une mélancolie ignorée du siècle de Louis XIV, qui
connaissait
seulement l’austère et sainte tristesse de l’éloq
uefois, Heureux de fuir la cour et d’oublier les rois. J’ai trop
connu
Paris : mes légères pensées, Dans son enceinte im
issé plusieurs contes en vers et en prose, parmi lesquels le conte si
connu
du Meunier de Sans-Souci et le Doyen de Badajoz q
s la comédie des succès qui nous étonneraient aujourd’hui, si l’on ne
connaissait
pas la stérilité de l’époque. Les Étourdis (1787)
l se fit un silence. On avait beau chercher ; chacun, excepté soi, Ne
connaissait
personne à mettre en cet emploi. Cependant, à la
f, il montra l’homme d’abord étudiant les cieux ; ensuite cherchant à
connaître
le séjour qu’il habite ; puis se repliant sur lui
Chênedollé est un disciple d’André Chénier, dont l’un des premiers il
connut
et goûta avec enthousiasme la poésie. Il fait trè
de tes pas. Douce haleine, à nos champs si chère ! Qu’aux cités on ne
connaît
pas. À travers la cime agitée Du saule incliné s
……………………… …………………………………… Je demande quel est l’Apelle Le plus
connu
par ses portraits. « C’est, me répond l’ami D
. « Ce poète de guinguette213 », comme il se qualifie lui-même214, ne
connaît
que le plaisir et le libertinage, et ne saurait j
Sous le chaume bien longtemps ; L’humble toit, dans cinquante ans, Ne
connaîtra
plus d’autre histoire. Là viendront les villageoi
n vivre loin d’elle ? Si l’on a vu les feux dont son golfe étincelle,
Connu
ses bords charmants, respiré son air doux, Le cie
s notre premier toit, semblent faire partie, Que l’on a toujours vus,
connus
, aimés, touchés, Cette première couche où Dieu no
iel plein de lumières, Viens sous mon ciel plein de zéphyrs ! « J’ai
connu
ton père et ta mère Dans leurs bons et leurs mauv
! — Lorsqu’elle était petite encore, Que sa sœur était tout enfant !
Connaissez
-vous, sur la colline Qui joint Montlignon à Saint
quelques tons agréables à l’œil, d’ajouter quelques notes aux accents
connus
, quelques nombres et couplets aux rythmes en usag
ine, Avoir goûté les fruits de l’arbre et sa racine, Et fiers de tout
connaître
, ils raillent en sortant. Ô vous, plus humbles qu
s… qui sont venus peut-être ! En suis-je plus heureux qu’avant de les
connaître
? Et, tout rêvant ainsi, pauvre rêveur, voilà Que
aire, Son enfance et les jeux de mon père, son frère, Que je n’ai pas
connu
; car je naquis en deuil, Et mon berceau d’abord
lui-même : « On m’a dit l’an passé que j’imitais Byron ; Vous qui me
connaissez
, vous savez bien que non. Je hais comme la mort l
i perdu jusqu’à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j’ai
connu
la vérité, J’ai cru que c’était une amie ; Quand
nsi. Et de Wailly ni Boiste, au moins, n’en sont la cause. Non, je ne
connais
pas de métier plus honteux, Plus sot, plus dégrad
les nommer. Dupré. Je les
connais
d’avance. Dans le grand monde il est aisé de devi
inant un repas d’une lieue à la ronde, Misérables bouffons, parasites
connus
, Des Lucullus nouveaux complaisants assidus ; D’a
t toujours à l’état latent. Mais peu à peu l’auteur apprend à voir, à
connaître
, à aimer l’auteur de la nature ; il s’élève des r
qu’un homme nous voie, Poète, sois le bienvenu ! L’orgueil, dont tu
connais
l’empire, T’avait dit, peut-être, à quoi sert La
du bandeau virginal. Dans son ravin, seule et paisible, La fleur n’y
connaît
pas l’ennui, Car le jardinier invisible Nous cult
ier invisible Nous cultive au désert pour lui. Il nous aime, il nous
connaît
toutes, Et, malgré son amour jaloux, Il cède aux
’en soulever les voiles ; Nature, histoire, il savait tout à fond, Et
connaissait
la marche des étoiles. Bien plus encor, dans ses
ut-être, Il eût voulu savoir du Paradis Ce qu’ici-bas l’homme ne peut
connaître
. Mais il avait une ancre dans sa foi, Qui le gar
i, voyant leur surprise s’accroître : « Moi, qui je suis ! nul ne me
connaîtrait
!… Mais ce matin, en faisant ma prière, Je suis a
On le voyait prier, prier souvent ; Mais son esprit cherchait à tout
connaître
. Un beau matin il s’en alla rêvant, Et nul depuis
lui. Intelligence ouverte aux beautés de toutes les littératures, il
connaissait
par une intime fréquentation Shakespeare, Byron,
on chemin Arrive, et faisant signe au prêtre de la main, Demande s’il
connaît
sous le bois un passage Vers certaine vallée amou
tait dans les Cent-Jours287. J’étudiais à Rennes. Ces temps vous sont
connus
, leurs discordes, leurs haines. Le pays se soulèv
use, D’un fanatisme ardent n’avaient pas eu l’excuse. Des hommes bien
connus
paraîtront devant vous. Girondins, Montagnards, j
convoitises qu’a fait naître de nos jours la soif de l’or. Elle fait
connaître
les courtiers, les agioteurs, les tripoteurs de l
tion de l’Odyssée comme très dramatique, mais comme un moyen de faire
connaître
les mœurs de l’époque et de montrer Homère aux sp
mblée où vous devez paraître. Êtes-vous bien au fait de ce qu’il faut
connaître
? George. Oh ! mon Dieu, non ; fort peu. Le Not
ée sera bientôt la femme d’un autre. George réplique : George. Je la
connais
, monsieur, et réponds de sa foi. Le Notaire. Je
it dans les fontaines bleues, Là-bas, sous les dattiers des panthères
connus
. Pas un oiseau ne passe en fouettant de son aile
nuances délicates du sentiment, ce poète qui a creusé des filons peu
connus
du sentiment et de la passion, a un domaine qui c
étaient pâles. « Je veux sortir d’ici ! » Mais il se sentit choir, Et
connut
ce que c’est que de ne pas pouvoir Quand on a dit
erait pas ce langage à un personnage historique, encore qu’il fût peu
connu
; son époque est connue, et cela suffit. Mais l’A
un personnage historique, encore qu’il fût peu connu ; son époque est
connue
, et cela suffit. Mais l’Agamemnon d’Homère, le ro
par ici, et d’ens, de intus, dedans. 75. C’est-à-dire : vous a fait
connaître
à grand bruit. Vaugelas a dit : « Tympaniser, pou
e romain au vingt et unième jour d’octobre. Saint Jérôme, qui l’avait
connu
, a écrit sa vie vers 392 (Oper., t. IV, p. II, p.
147. Tiriot ou Thiriot, et mieux Thierriot, né en 1699, mort en 1772,
connut
Voltaire dans une étude de procureur, se lia avec
as que les desseins sont découverts ! qu’éclairée de toutes parts, et
connue
de tous ceux qui sont ici, ta conjuration est arr
seul parmi nous qui n’en soit instruit ? Ô temps, ô mœurs ! Le sénat
connaît
ces complots, le consul les voit, et Catilina vit
re Partie. L’orateur se propose, dans cette première partie, de faire
connaître
les qualités du cœur du prince : 1° sa valeur : l
générosité pendant la Fronde. Deuxième Partie. L’orateur nous y fait
connaître
son héros par les qualités du cœur considérées so
ille de Rocroi À la nuit qu’il fallut passer en présence des ennemis,
connue
un vigilant capitaine, le duc d’Enghien reposa le
re ? Ah ! l’état où nous sommes n’en est-il pas une ? Pour moi, je ne
connais
point de nécessité plus pressante pour des hommes
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut
connue
, vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de
et pathétique comme Bossuet, il a de l’onction, il est insinuant, il
connaît
intimement le cœur humain, met la passion aux pri
re. On se détermine d’ordinaire dans un âge où à peine la raison peut
connaître
, loin qu’elle soit capable de choisir. Une démarc
notre âme ; découvrant en nous mille dispositions cachées que nous ne
connaissons
pas, et qui n’attendent que l’occasion pour paraî
rmer comme le fil et toute la suite de notre destinée. Dieu seul nous
connaît
, et nous ne nous connaissons pas nous-mêmes : nos
e la suite de notre destinée. Dieu seul nous connaît, et nous ne nous
connaissons
pas nous-mêmes : nos penchants nous séduisent ; n
isir à nous-mêmes un état sans nous méprendre, parce que nous ne nous
connaissons
pas assez pour décider sur ce qui nous convient :
seuls dignes de ce nom. Tous nos soins devraient donc se borner à la
connaître
, tous nos talents à la manifester, tout notre zèl
de ; vous l’ignorez, et je l’ignore moi-même : vous seul, ô mon Dieu,
connaissez
ceux qui vous appartiennent ! Mais si nous ne con
ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent ! Mais si nous ne
connaissons
pas ceux qui lui appartiennent, nous savons du mo
o ». (De Prov. cons. nº 8). Nos orateurs français ont également bien
connu
tous les avantages de cette figure, heureusement
s, etc. etc. » (Pro Rosc. Am. nº 73 et 74). Massillon, qui a si bien
connu
et si heureusement employé toutes les ressources
heureusement employé toutes les ressources de l’éloquence, a surtout
connu
ce grand art de s’entretenir avec ses auditeurs,
lors que, fort de leur propre conscience qu’il a dévoilée, et dont il
connaît
tous les secrets, il prend hautement la parole po
il est clair cependant qu’il a adapté leurs discours à leur caractère
connu
, et que, s’il a quelquefois substitué sa pensée à
e ; car les discours ne contribuent pas moins que les actions à faire
connaître
les hommes. Il y a même une différence essentiell
, dans une circonstance importante pour lui, nous font d’autant mieux
connaître
l’esprit et les mœurs de ce peuple, que l’orateur
a victime de tous les genres de corruption. Le commun des lecteurs ne
connaît
de lui que son opulence, et l’on ignore assez gén
ignorent l’usage du vin, et n’ont que de l’eau pour boisson ; qui ne
connaissent
ni les figues, ni aucun autre fruit agréable. Vai
, et son pacte est celui que la nature a établi : il ne devait pas en
connaître
d’autre. 73« Jurando gratiam Scythas sancire ne
de la faiblesse avec laquelle vous cédez au malheur ». Il faut bien
connaître
le peuple à qui l’on parle, et être bien sûr de s
e qu’il va faire. « Oui, vous vous en prenez à moi, qui me flatte de
connaître
vos affaires aussi bien que personne, et de savoi
s point servir ; mais nous ne sommes pas jaloux de commander. Veux-tu
connaître
la nation des Scythes ? Un attelage de bœufs, une
faveur inconstante A des gens dont pas un, certes, n’en doit mourir.
Connaissais
tu si peu l’ingratitude humaine ? Quel rêve as-tu
ssée. Vous sentiez les tourments dont mon cœur est rempli, Et vous la
connaissiez
, cette amère pensée Qui fait frissonner l’homme e
’un nous entend, qu’il nous prenne en pitié2 ! O toi que nul n’a pu
connaître
, Et n’a renié sans mentir, Réponds-moi, toi qui m
i perdu jusqu’à la fierté Qui faisait croire à mon génie3. Quand j’ai
connu
la Vérité, J’ai cru que c’était une amie ; Quand
e but divin de l’humanité. 3. Mon père. Le père d’Alfred de Musset,
connu
sous le nom de Musset-Pathay, était lui-même un p
Joubert. 5. Ferme les yeux, et tu verras. Joubert. 1. Si l’on veut
connaître
ces rêveries et ces aventures, il faut lire le li
onner. Tous les hommes, dit Cicéron, par un sentiment secret, et sans
connaître
les règles de l’art, discernent ce qu’il y a de b
e l’esprit dans toute composition littéraire. De là cette division si
connue
dans les traités sur les belles-lettres : inventi
çon, ferait bien ton affaire ; C’est un fort bon enfant, sage, que tu
connais
; Épouse-le, crois-moi, tu ne saurais mieux faire
trancher enfin des discours superflus, Albe vous a nommé, je ne vous
connais
plus. Aussi, les cœurs généreux se révoltent con
vertu, et ils applaudissent à la noble réponse de Curiace : Je vous
connais
encore, et c’est ce qui me tue. (Horace, acte II
nouveaux. Voulez-vous être toujours compris, employez des termes bien
connus
de ceux qui vous lisent ou vous écoutent ; évitez
sciences ou à des professions que vos lecteurs ne sont pas obligés de
connaître
. 88. Ce qu’il y a de plus contraire à la pureté d
condition pour bien parler et bien écrire, et le jeune humaniste qui
connaît
et observe rigoureusement les règles de la gramma
rler successivement de ces diverses qualités, et pour mieux les faire
connaître
, nous dirons un mot des défauts qui leur sont opp
ait quelquefois trop haut quand il voulait être noble. Racine a mieux
connu
ces limites, et par la facilité avec laquelle il
ant, pour mieux observer ce que prescrit la convenance, il est bon de
connaître
les trois principaux genres que distinguent les a
160. Par ornements du style, nous entendons ici certains tours moins
connus
, certaines expressions plus choisies qui donnent
trope par excellence, nous nous attacherons particulièrement à faire
connaître
les règles qu’on doit suivre dans l’emploi de cet
l et assez sensible. Une métaphore recherchée et tirée d’un objet peu
connu
jette de l’obscurité dans le discours. Dumarsais
’avec elle. C’est comme un tableau à double face qui, sous des images
connues
, nous révèle des objets cachés qu’on a le plaisir
es de pensées. Comme nous ne voyons aucune utilité réelle à les faire
connaître
toutes, nous ne rappellerons que les plus importa
le prince coupable. Dans le discours où Auguste déclare à Cinna qu’il
connaît
tous ses projets, il y a aussi une longue suspens
la lettre de Mme de Sévigné sur le mariage de Lauzun et les vers bien
connus
de Scarron sont aussi des suspensions fréquemment
mais c’est uniquement pour frapper l’imagination et amener l’esprit à
connaître
les choses telles qu’elles sont. Les phrases hype
élémentaires, en le dégageant de tous ses ornements, afin d’en mieux
connaître
le fond et la valeur. L’analyse est un moyen infa
Horace et Boileau nous ont laissé sur ce point des conseils qui sont
connus
de tous ceux qui cultivent les lettres. Hâtez-vo
ation. 300. L’exposition a pour but de préparer les esprits, de faire
connaître
le lieu de la scène, l’époque de l’événement, les
jette tout à coup le lecteur au milieu du sujet, comme s’il lui était
connu
, et l’on amène ensuite avec art les premiers évén
d’autant plus vivement son attention qu’il lui reste plus de choses à
connaître
; mais ce début demande beaucoup d’habileté, parc
ue les personnages aient assez intéressé le lecteur pour qu’il désire
connaître
quel a été leur sort dans la suite, on peut lui e
tous les autres cas, il faut s’arrêter aussitôt que le dénouement est
connu
. Point de longueurs en ce moment décisif, point d
teur aux événements que l’on raconte, et à lui inspirer le désir d’en
connaître
le dénouement. Il faut que l’intérêt aille toujou
sés. 316. Le but de l’histoire est d’instruire l’homme en lui faisant
connaître
ses semblables, les causes et les effets des dive
edisent ou qui ne s’accordent pas avec le caractère de personnes déjà
connues
; et s’il en est qui paraissent inexplicables, il
ité pour guide ; celle-là, au contraire, ne vit que de fictions et ne
connaît
d’autres bornes que celles de la vraisemblance et
avec les actions, les temps, les lieux, les mœurs et les usages déjà
connus
. L’intérêt progressif convient spécialement à la
e ressortir les traits principaux des personnages que l’on veut faire
connaître
. La Bruyère fait ainsi le parallèle de Corneille
ions sur tous les grands événements de l’époque où il a vécu. Nous ne
connaissons
guère de lecture plus instructive pour un jeune h
èle en ce genre. 361. Les critiques littéraires ont pour but de faire
connaître
les beautés ou les défauts d’un ouvrage d’esprit.
s les livres des prophètes et des autres écrivains sacrés que nous ne
connaissons
pourtant que par une pâle et imparfaite traductio
mistiche. Ainsi on ne peut pas dire : C’est dans l’infortune — qu’on
connaît
ses amis ; Mais on dira bien : C’est dans l’adv
nnaît ses amis ; Mais on dira bien : C’est dans l’adversité — qu’on
connaît
ses amis. Est-on dans l’infortune ? — on connaît
l’adversité — qu’on connaît ses amis. Est-on dans l’infortune ? — on
connaît
ses amis. Il n’est pas nécessaire que le sens fi
et des portraits que par des actions et des discours qu’on doit faire
connaître
les mœurs et les caractères de ces personnages. H
labores Impulerit. 472. Après l’invocation, le poète fait peu à peu
connaître
les personnages principaux et les circonstances n
t feinte ou du moins mêlée à la fiction. Ce genre, qui était-il peine
connu
de l’antiquité, a pris de nos jours un développem
. Les Hébreux, chez qui la poésie eut toujours un caractère sacré, ne
connurent
jamais ni drame ni théâtre. Chez les Grecs, le dr
xposition, le nœud et le dénouement. L’exposition du sujet doit faire
connaître
les principaux personnages, laisser entrevoir le
ent a lieu lorsqu’un événement particulier met fin à l’action et fait
connaître
le sort des principaux personnages. Comme dans l’
entremêlée de couplets, de petits duos, le plus souvent sur des airs
connus
. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la p
embrasse les pièces où la musique joue le principal rôle et qui sont
connues
sous le nom d’opéra. On distingue le grand opéra,
que les couplets du vaudeville se chantent généralement sur des airs
connus
, tandis qu’un compositeur spécial fait toujours l
est avec le roman le grand fléau de notre société. 539. Tout le monde
connaît
ce que les saints Pères et nos orateurs sacrés on
f. 546. Chez les anciens, le poème purement descriptif n’était pas
connu
. On se contentait d’employer fréquemment la métho
igner, une action qui cache cette vérité, un récit par lequel on fait
connaître
l’action et la vérité qu’elle renferme. Ainsi l’a
Elle doit être juste et naturelle, c’est-à-dire conforme au caractère
connu
des acteurs qu’on met en scène, et tout à fait pr
d’un portrait, d’une statue, pour rappeler un événement ou pour faire
connaître
au passant une personne ou une chose. Le style de
e. 587. L’énigme est une définition vague et obscure, où l’on fait
connaître
un objet par ses causes, ses propriétés et ses ef
ouver Et plus encor à conserver. Les curieux, pour me
connaître
, Avec grand soin me font Ta cour. Mais mo
randes veines, et ne laisse que des filons. S’il se saisit d’un sujet
connu
, il le pénètre si profondément, que ce champ, que
Ma chère petite Constance, comment donc est-il possible que je ne te
connaisse
point encore, que tes jolis petits bras ne se soi
d’aimer ton papa comme s’il était à côté de toi : quand même tu ne me
connais
pas, je ne suis pas moins dans ce monde, et je ne
e Nancy n’aurait fait un coup de cette sorte. Un bon oncle, que tu ne
connais
pas encore, te portera bientôt, de ma part, un li
tre, et je vais l’accomplir. Je rends grâces au Dieu que tu m’as fait
connaître
De cette occasion qu’il a sitôt lait naître, Où d
t de l’action ? 307. Faut-il s’arrêter aussitôt que le dénouement est
connu
308. Quelles sont les qualités générâtes de la na
es sont les qualités que doivent avoir ces mœurs ? 467. Faut-il faire
connaître
tes mœurs des personnages plutôt par des discours
ils sur la nature et sur l’histoire de l’épigramme, nous allons faire
connaître
les parties dont elle se compose et les qualités
ettre à la postérité la mémoire de quelque événement, soit pour faire
connaître
aux passants un fait, une personne ou une chose.
nécessairement dans le genre simple. Tel est le suivant. 125. Faites
connaître
quelques sonnets. Le sonnet suivant, quoique dan
quoique dans le genre simple, n’est pas sans mérite, parce qu’il fait
connaître
les règles du genre, et donne ainsi le précepte e
itez un exemple de ce genre de poésie. Nous citerons le rondeau bien
connu
de Voiture, parce qu’il explique tout le mécanism
s difficile à trouver, Et plus encore à conserver Les curieux pour me
connaître
Avec grand soin me font la cour. Mais mon destin
ssez cette définition par des exemples. La charade suivante est bien
connue
: Mon premier est cruel quand il est solitaire
os mains auront cultivés, deviendront la proie de nations que vous ne
connaissiez
pas même de nom ; et vous serez vous-mêmes, avec
vils troupeaux, et vous ne trouverez pas même d’acheteurs ». Nous ne
connaissons
, dans aucun orateur grec ou romain, français ou é
s. Si on leur racontait, par exemple, que le plus bel exorde que l’on
connaisse
, et qui a produit le plus beau mouvement oratoire
ription : au Dieu inconnu ! Eh bien ! ce Dieu que vous adorez sans le
connaître
, c’est celui qui a fait le monde et tout ce qu’il
e vous afflige, je le vois, en vous tenant ce langage, parce que vous
connaissez
mon cœur ; vous savez qu’il est pur du sang qui a
ne m’astreindrai point à la division de ces trois genres, pour faire
connaître
les différentes espèces de discours, que chacun d
tions pastorales, les discours synodaux, etc. Il suffira que je fasse
connaître
ici ceux des trois premières espèces. I. Du Ser
t un grand docteur90, la prédication a trois fins, que la vérité soit
connue
, qu’elle soit écoutée avec plaisir, et qu’elle to
le soit écoutée avec plaisir, et qu’elle touche les cœurs. Pour faire
connaître
la vérité, l’orateur chrétien doit non seulement,
t si vraie, que chacun s’y voit lui-même et s’y reconnaît. Ce Jésuite
connaissait
parfaitement le monde et le cœur humain. Jamais O
après une longue étude des lettres françaises et surtout des latines,
connaissait
si bien toutes les finesses et toutes les beautés
es couronnées. De toutes parts on avait recours à lui, parce que l’on
connaissait
sa probité, et son incorruptible équité, etc. » F
fonde l’éloge du Prince sur les qualités de son cœur, et nous en fait
connaître
la solidité, la droiture, la piété. « Un cœur, di
n’est peut-être pas de discours en ce genre, dont le plan seul fasse
connaître
autant que celui-là, l’homme de génie et le grand
la raison et de l’équité. Dans la péroraison, l’Orateur pourra faire
connaître
les bonnes mœurs de son client. Il récapitulera e
n grand talent ; et un fragment de Démade. Il est fâcheux que nous ne
connaissions
que de nom Hypéride, dont Cicéron, qui avait fait
es circonstances de la vie des grands hommes qu’on loue, et les faire
connaître
par la peinture de leur caractère, de leurs senti
at qui délibèrent sur la paix ou sur la guerre, doivent non seulement
connaître
les forces du royaume, et les moyens par lesquels
flatter de bien traiter un sujet concernant le commerce, si l’on n’en
connaît
l’étendue et les différentes branches, la nature
sages et de justes propositions sur l’établissement des lois, il faut
connaître
les différentes espèces de gouvernement, et ce qu
ue personne, de savoir bien sa langue et de l’écrire correctement, de
connaître
la valeur des mots, et l’art de les bien placer.
s étaient ignorées en France ; il se vante surtout de nous avoir fait
connaître
Locke et Newton, les deux plus beaux génies de l’
e traductions d’ouvrages anglais, et que Boileau, Corneille et Racine
connaissaient
à peine les noms de Milton et de Shakspeare. À ce
en France qu’elle ne l’avait été dans aucun temps : nous avons voulu
connaître
des ouvrages justement célèbres, dont quelques tr
travail : « Les Leçons de Rhétorique de Blair, dit-il, sont trop bien
connues
, non seulement en Angleterre, mais encore dans to
our rassembler les fragments du poème de Fingal, et des autres pièces
connues
sous la dénomination de poésies d’Ossian. On ouvr
lui faisaient une obligation de suivre cette méthode. Il devait faire
connaître
à ses élèves tout ce qui pouvait contribuer à leu
le et pédante, l’application de ces principes ; pour apprendre à bien
connaître
ce que de faux ornements s’efforcent de cacher ;
application particulière à l’étude, qu’avec la meilleure des méthodes
connues
; mais, en même temps, quoique l’on ne puisse pas
r les fautes les plus graves, perfectionnent notre goût. Celui qui ne
connaît
pas encore les productions du génie n’éprouve, lo
ons pas combien ils sont opposés à la nature et au bon sens. Venons à
connaître
une fois comment l’art pouvait imiter avec plus d
eux s’appuient, n’est autre chose que l’expérience qui nous apprend à
connaître
ce qui plaît le plus généralement ; voilà pourquo
ncours des sentiments des hommes, comme à ce qui peut seul nous faire
connaître
le beau dans les arts, il n’est question que des
genre. C’est à ces ouvrages, en effet, que nous sommes redevables de
connaître
ces beautés qui enlèvent les suffrages de tous le
t de la force. Après avoir défini la nature du goût, après avoir fait
connaître
le caractère et l’importance de la critique, et é
cette opinion comme une théorie générale ; il me suffit d’avoir fait
connaître
en quoi consiste le sublime et dans quels objets
n sens plus obscur ou plus vague, que celle de sublime. Tout le monde
connaît
les Commentaires de César et le style dans lequel
cette censure je veuille rabaisser le mérite de son traité, car je ne
connais
aucun critique ancien ou moderne qui discerne ave
e. Mais comme son ouvrage sert en tout lieu de règle, je devais faire
connaître
ma façon de penser sur le genre d’utilité qu’on p
ité qu’on peut en retirer. Il faut le consulter, non pour apprendre à
connaître
le sublime, mais pour avoir des idées générales s
de la beauté ni la variété, ni l’uniformité, ni aucun principe que je
connaisse
. Nous ne pouvons lui assigner d’autre cause que l
signes arbitraires et de convention, qui ne parlent qu’à ceux qui les
connaissent
; ces signes sont les mots et l’écriture. Les par
former. Il se composait alors de races errantes et dispersées qui ne
connaissaient
de société que celle de la famille ; association
rtains signes, quelle autorité eussent-ils pu employer pour les faire
connaître
et admettre par les autres tribus, par les autres
rconstances les plus importantes où ils se trouvaient ; ils faisaient
connaître
aussi clairement leurs volontés en se donnant ou
uées d’accents aigus, graves ou circonflexes dont aujourd’hui nous ne
connaissons
plus la valeur ; nous savons seulement qu’ils ind
sanglante. On sait qu’en effet cette manière d’écrire était la seule
connue
au Mexique lors de la découverte du nouveau monde
es annales étaient sans doute bien inexactes, et les peuples qui n’en
connaissaient
pas d’autres devaient être plongés dans la barbar
nnent à l’ordre moral, ils se servaient de figures d’animaux dont ils
connaissaient
le penchant naturel, ou d’autres productions de l
’eût pensé à s’en servir, si les caractères de l’alphabet avaient été
connus
plus tôt. Cette invention en elle-même prouve ass
sition ; d’autres mots qui dénotent la qualité de ces objets, et font
connaître
ce que nous avançons à leur égard ; d’autres mots
roposons, il vaut encore mieux n’avoir recours qu’à ces dénominations
connues
. Il est assez naturel que nous commencions notre
stantif, comme « homme, lion ou arbre, » comment cet autre pouvait-il
connaître
entre tous les individus compris sous le même nom
ment parler, possède toute la force de l’article, indique un individu
connu
et déterminé parmi ceux de son espèce, comme le l
ifie a king, un roi ; ὁ βασιλεὺς, the king, le roi. Les Latins ne les
connaissaient
pas ; ils se servaient à leur place d’un pronom,
orts que chacun de ces objets pouvait avoir avec les autres, et faire
connaître
s’ils approchaient, s’éloignaient, se réunissaien
a personne qui parle ou à celle à qui l’on parle, et dont le sexe est
connu
, puisqu’on a cette personne sous les yeux, on n’a
moi-même. » La langue grecque, la plus parfaite de toutes les langues
connues
, possède exactement tous les temps et tous les mo
vec les progrès des langues, les verbes auxiliaires, déjà inventés et
connus
, eurent des temps et des modes comme les autres v
. Cette langue fut donc celle des Bretons, les plus anciens habitants
connus
de notre île, jusqu’à l’arrivée des Saxons en Ang
eut les déployer avantageusement qu’autant que l’on écrit ou que l’on
connaît
bien la sienne. Un écrivain peut produire un ouvr
objet se présente à moi ; c’est, je suppose, un animal dont je désire
connaître
bien la forme ; je veux qu’on lui ôte tout ce qui
pensée d’un écrivain, parce qu’il est probable que le sujet est déjà
connu
et familier au lecteur, et qu’on ne se méprendra
défauts ; il ne saurait être un excellent modèle à suivre. Cet auteur
connaissait
parfaitement la force de chaque expression ; cell
et montreront avec quelle rigoureuse exactitude il est nécessaire de
connaître
la valeur des termes lorsqu’on veut écrire avec p
t ou l’on parle avec d’autant plus de précision et de force, que l’on
connaît
mieux le sens de chaque mot, et que l’on apporte
idées de l’auteur soient claires et distinctes ; et la seconde, qu’il
connaisse
parfaitement la valeur des mots qu’il emploie. Au
le meilleur effet quand nos conceptions sont bien nettes, et que nous
connaissons
la valeur de chaque mot, et toute l’étendue de la
s les uns des autres de manière à ce que le sens ne soit complètement
connu
qu’à la fin. C’est la manière d’écrire la plus br
ncer en appuyant dessus qui indique à quoi ils se rapportent, et fait
connaître
le sens qu’ils doivent avoir. C’est à cela que no
ettres à un membre du parlement : « Je viens, monsieur, de vous faire
connaître
mon opinion aussi bien que celle de la majorité d
ons que fort peu de règles à cet égard. Ces motifs, je vais les faire
connaître
pour me justifier de n’avoir pas suivi les traces
t utiles pour former l’oreille à l’harmonie du langage, je vais faire
connaître
celles qui me paraissent les plus essentielles. L
ue, chez lui, le nombre nuit quelquefois à l’énergie. Cette finale si
connue
esse videatur, qui revient onze fois dans son dis
en offrent à chaque instant des exemples dont la plupart sont si bien
connus
et ont été cités si souvent, qu’il est inutile de
: « Il est impossible, quelque recherche que nous puissions faire, de
connaître
parfaitement la nature divine. » Mais en disant :
é. Je pense qu’il est possible de bien écrire et de bien parler, sans
connaître
le nom d’aucune des figures du discours, sans avo
rencontre tous les jours des personnes qui chantent agréablement sans
connaître
une note de la gamme ; cependant on a senti la né
autant susceptibles de perfectionnement que l’oreille et la voix ; et
connaître
les principes de ces beautés, apprécier les motif
ugmenta à mesure que les idées des hommes se multiplièrent, ou qu’ils
connurent
un plus grand nombre d’objets. Enfin, aucune lang
mot qui appartient proprement à l’objet principal, mot cependant bien
connu
, on emploie à sa place le nom d’une idée correspo
al au sens figuré ; et ils en sont restés là, comme s’il suffisait de
connaître
le nom et la classification des tropes pour les f
les divisions infinies et les noms divers des tropes n’étaient point
connus
de son temps, et sont une invention des rhéteurs
gles qui déterminent l’emploi des métaphores. Mais avant de les faire
connaître
, je vais citer un passage où cette figure se mont
vent, » il devient languissant et perd beaucoup de sa dignité. Je ne
connais
aucun auteur anglais plus heureux que M. Addison
rivières dont tout le monde voit le cours, mais dont peu de personnes
connaissent
la source ; » ce simple exemple montrera suffisam
lles ne doivent être prises que parmi ces objets remarquables et bien
connus
, que presque tous les lecteurs ont vus, et dont i
qu’elles produisaient alors. Ces sortes d’objets ne nous sont presque
connus
aujourd’hui que par ouï-dire, ou par les descript
tions que nous en avons lues ; en sorte que ces poètes feraient mieux
connaître
le naturel des lions et des serpents en les compa
des lions et des serpents en les comparant aux hommes, qu’ils ne font
connaître
les hommes en les comparant aux lions et aux serp
e les admettent d’ailleurs que comme une chose secondaire. Étudier et
connaître
son propre génie, suivre la nature, chercher à l’
de rassembler de très grandes beautés dans sa composition. Pour faire
connaître
ces caractères généraux du style, je ne puis qu’i
st que l’un, tout à fait dépourvu d’ornements, semble même ne les pas
connaître
, tandis qu’il suffit à l’autre de ne pas les rech
acité. Tous ses sujets, sérieux ou badins, sont traités en maître. Il
connaissait
mieux que qui que ce fût la pureté, l’étendue et
r un bon style. Dans la Lecture précédente, j’ai commencé à faire
connaître
les caractères généraux du style ; j’ai traité du
le nous montre sans déguisement les pensées d’un auteur, et nous fait
connaître
la véritable tournure de son esprit. Un style étu
croit converser avec lui ; ce n’est pas l’auteur que nous apprenons à
connaître
, c’est l’homme lui-même, et nous finissons par lu
cité. J’ai déjà parlé quelquefois de cet auteur. Je veux ici le faire
connaître
. C’est, sans contredit, un homme de grand mérite.
l’avaient imaginé. En troisième lieu, il est évident que nous devons
connaître
à fond le style des meilleurs auteurs, si nous vo
outes sortes de sujets. Lorsqu’on lit les auteurs dans l’intention de
connaître
leur style, il faut remarquer attentivement les p
servations qu’il ne faut jamais perdre de vue dans cette étude. Je ne
connais
pas d’exercice plus propre à former le style, que
es propres moyens. Gardons-nous principalement de prendre des phrases
connues
d’un auteur, ou d’en transcrire des passages enti
essources que l’art. C’est le fondement de cette règle si juste et si
connue
: Si vis me flere, dolendum e
rochement entre les hommes étaient encore assez rares, et que l’on ne
connaissait
presque d’autres décisions que celles de la viole
il n’exerça toutefois qu’avec modération. L’histoire ne nous fait pas
connaître
les orateurs qui fleurirent depuis cette époque j
traire, était plein et soutenu ; et l’on prétend qu’il fit le premier
connaître
la méthode d’écrire en périodes régulières et har
é que je regarde comme un des meilleurs morceaux de critique que nous
connaissions
, comme un de ceux que l’on puisse consulter avec
arrière, et il est bien difficile que ce soit autrement. Il leur fait
connaître
cette régularité, cette harmonie et cette magnifi
re et le style de ce grand modèle. La vie de Démosthène est trop bien
connue
pour que nous nous y arrêtions ici. Son ardente a
ger. Nous le voyons mettre en usage tout ce qui peut animer un peuple
connu
par sa justice, son humanité et sa valeur, mais c
détermine à agir. Il n’a ni parade ni ostentation ; il semble ne pas
connaître
les moyens de s’insinuer ; ses introductions ne p
guerrier, absolument étrangers à la culture des beaux-arts, qu’ils ne
connurent
que plusieurs siècles après la fondation de leur
lement éloquent ; et c’est sous ce point de vue que nous allons faire
connaître
son mérite et ses défauts, si toutefois nous en t
de faire naître les passions douces qu’il réussit. Aucun écrivain ne
connut
mieux que Cicéron la valeur et la force des mots
oduit l’obscurité, la langue dans laquelle il écrivit nous soit moins
connue
que celle des Latins, et que nous soyons moins fa
thène apprennent autre part que dans un traité de rhétorique l’art de
connaître
les hommes et de les émouvoir. Un autre critique
; mais ces grands noms de Démosthène et de Cicéron n’ont point encore
connu
de rivaux ; il serait présomptueux et absurde de
tion que celui du prédicateur ; j’aurai plus tard occasion d’en faire
connaître
la cause ; mais il suffit, pour être convaincu de
les modernes ; le système de nos lois est bien plus compliqué, et les
connaître
est le résultat d’une étude si pénible, si diffic
s règles un peu plus tard, parce que je crois devoir avant tout faire
connaître
l’esprit, le caractère et la manière propres à ch
tout à fait illimitée. Il est des restrictions qu’il importe de bien
connaître
pour éviter de dangereuses méprises. Premièrement
un événement, la nécessité ? mais la plus pressante nécessité que je
connaisse
pour des hommes libres, c’est de prévenir le désh
slation ; il pensait même qu’on pouvait être un excellent avocat sans
connaître
les lois. Il y avait à Rome une classe de citoyen
ragmatici, qui se chargeaient de remettre à l’orateur toutes les lois
connues
qui se rapportaient à la cause qu’il devait plaid
rties qui constituent un discours régulier, j’aurai occasion de faire
connaître
les règles qui s’appliquent à la conduite de la n
e avec intelligence et bonne foi. L’on est alors porté à croire qu’il
connaît
bien ce que l’on peut dire des deux côtés, mais q
ri au meurtre de son fils, qu’elle haïssait mortellement, parce qu’il
connaissait
tous les crimes dont elle s’était couverte. Tous
omment Cicéron présente cet incident étrange. Stalenus, dit-il, était
connu
pour un homme de peu de probité, et depuis longte
c intérêt. Il prouve que tous les faits n’étaient pas alors très bien
connus
, que ces décisions furent rendues à la hâte, et q
rangue de Cicéron. Ce que je me proposais surtout, c’était d’en faire
connaître
la distribution et la méthode, l’arrangement des
-uns des arguments. Mais c’est le plaidoyer qu’il faut lire pour bien
connaître
le sujet, et voir l’art avec lequel il est ménagé
le que de donner de la grâce et de la nouveauté à une chose déjà bien
connue
. Aucun genre de composition n’est plus propre à m
r il est impossible de réussir dans tel art que ce soit, si l’on n’en
connaît
bien la fin et l’objet. Ce but est de persuader a
ncipes qu’il veut inculquer aux autres ; ce n’est pas assez qu’il les
connaisse
par spéculation, il faut qu’il en soit vivement e
ard, je traiterai de la distribution du discours en général, je ferai
connaître
les règles relatives à la distribution des différ
y a toujours bien des choses que le prédicateur suppose suffisamment
connues
, et auxquelles il ne doit toucher que légèrement.
és à se relâcher à cet égard, que je ne crois pas nécessaire de faire
connaître
les inconvénients qui peuvent résulter d’une trop
l le mette par écrit. Alors, et seulement alors, il pourra chercher à
connaître
comment d’autres ont traité le même sujet. Par ce
ces règles générales, il était nécessaire que je fisse préalablement
connaître
le caractère distinctif et le but essentiel de ch
d’introduction, pour préparer l’esprit des auditeurs. On fait ensuite
connaître
le sujet, et l’on expose les faits qui y sont lié
aux dépens du public. Il termine son exorde en disant qu’il va faire
connaître
les motifs sur lesquels il appuie son opinion, et
ntion ; on l’emploie avec succès, lorsque l’on rencontre quelque fait
connu
qui se rapporte à la fois au texte et au sujet, e
n’y doit traiter qu’un seul point, ou que l’orateur ne veut pas faire
connaître
d’avance la méthode qu’il a l’intention de suivre
les et tendent au même but, en servant l’une et l’autre à faire mieux
connaître
la cause ou le sujet que l’on veut traiter, avant
persuadé que c’est en expliquant d’une manière lumineuse les vérités
connues
de la religion, qu’il donnera une grande idée de
s lettres ou les syllabes radicales, qui, dans la plupart des langues
connues
lui semblent posséder cette vertu expressive, son
objet particulier, et servaient à donner quelque information. à faire
connaître
quelque désir ou quelque crainte, suivant la posi
ont en effet les mots de presque toutes les langues barbares que nous
connaissons
. 24. A, en anglais, est notre article indéfini
de mon cœur, m’est ravi par les tempêtes ; il a disparu avant d’être
connu
par la renommée, sans que la nouvelle de sa perte
re, en ce qui y entre d’humain et du talent de l’orateur, est cachée,
connue
de peu de personnes, et d’une difficile exécution
es anciens, et sa complaisante admiration pour quelques modernes, qui
connaissaient
peu ou jugeaient mal ces mêmes anciens. Mais, ren
ossible de lui ôter une tache sans lui faire perdre une beauté. Je ne
connais
, parmi les modernes, que l’anglais Shakespeare qu
us avions de mieux en ce genre : il faut dire franchement que nous ne
connaissons
point de code aussi complet, en fait de goût et d
rt, et je ne sais même si celui de tous nos prosateurs qui a le moins
connu
et recherché l’art en écrivant, si le grand Bossu
lus : c’est peu enfin d’introduire dans le style, des formes qu’il ne
connaissait
pas, et dont Fénelon, Voltaire, Buffon et Roussea
es ; et peut-être les systèmes mêmes du grand Newton, jusqu’alors peu
connus
en France, durent-ils aux beaux vers de Voltaire
traducteur, était d’avoir fait lire et aimer Virgile, de ceux qui le
connaissaient
à peine de nom ; et d’avoir placé sur la toilette
ardées ; et surtout par une concision nerveuse que Voltaire n’a point
connue
, et que la traduction d’un ouvrage didactique com
iginal. J’ignore quel rang M. Delille, que je n’ai point l’honneur de
connaître
, donne à ses productions, dans son estime particu
der trop souvent par les mêmes formes périodiques ; de ne point assez
connaître
le grand art des transitions ; de recourir trop f
neur qu’il met dans ma famille Montre à tous qu’il est juste, et fait
connaître
assez Qu’il sait récompenser les services passés.
Chimène. D. Rodrigue. Le… ? D. Diègue. Le… ?Ne réplique point, je
connais
ton amour : Mais qui peut vivre infâme est indign
e. D. Rodrigue. A moi, comte, deux mots. Parle.Ote-moi d’un doute1.
Connais
-tu bien don Diègue ? Le comte. Connais-tu bien
. Parle.Ote-moi d’un doute1. Connais-tu bien don Diègue ? Le comte.
Connais
-tu bien don Diègue ?Oui. D. Rodrigue. Connais-t
Diègue ? Le comte. Connais-tu bien don Diègue ?Oui. D. Rodrigue.
Connais
-tu bien don Diègue ? Oui.Parlons bas ; écoute. Sa
es à la main ? D. Rodrigue. Mes pareils à deux fois ne se font point
connaître
, Et pour leurs coups d’essai veulent des coups de
ent d’une sérénade qui lui avait été donnée sur l’eau, et dont ils ne
connaissaient
pas l’auteur, lorsque Dorante, leur ami, les acco
s sur mon âme un absolu pouvoir, De Lucrèce en un mot, vous la pouvez
connaître
… Géronte. Dis vrai : je la connais, et ceux qui
crèce en un mot, vous la pouvez connaître… Géronte. Dis vrai : je la
connais
, et ceux qui l’on fait naître ; Son père est mon
er un cœur de père ; Je veux encore un coup pour toi me hasarder : Je
connais
ta Lucrèce, et la vais demander ; Mais si de ton
rtagerons ce chapitre en deux articles : dans le premier, nous ferons
connaître
les règles de la grande épopée ; et, dans le deux
entreprise épique doit avoir plusieurs qualités que nous allons faire
connaître
. Ces qualités sont : la réalité et la vraisemblan
ve un autre inconvénient : c’est que, dans le récit d’événements très
connus
, la vérité et la fiction ne se mêlent pas d’une m
es caractères. Les mœurs doivent encore être égales ; nous avons fait
connaître
cette qualité en parlant des caractères. — C’est
caractères. — C’est par les discours et par les actions que l’on fait
connaître
les mœurs et les caractères. III. — Merveilleu
de la terre au ciel, du ciel aux enfers ; il remue tous les ressorts
connus
; il s’empare de tout ce qui est excellent, et le
quels on écrit, et que le poète ne fasse agir que les agents célestes
connus
et honorés dans les pays et dans les temps oh s’e
oix, ou plus souvent une figure humaine, ordinairement même un visage
connu
, parce qu’un inconnu causerait du trouble dans l’
uation des personnages au moment où le poème commence, en lui faisant
connaître
les circonstances nécessaires pour l’intelligence
rmette au lecteur de se reposer, sans cesser toutefois de le porter à
connaître
la suite de l’entreprise. III. — Dénoûment.
Le poète présente quelquefois les portraits de certains personnages
connus
dans l’histoire, d’où il a tiré le sujet de son p
s, où il voit, dans les Champs-Élysées, son père Anchise qui lui fait
connaître
les héros les plus célèbres de la république roma
’est donc pas une nécessité que les sujets soient tirés des histoires
connues
. Il serait même ridicule de l’exiger, par la rais
t même ridicule de l’exiger, par la raison évidente que les histoires
connues
ne le sont que du petit nombre, et que les pièces
et le délivrer de ses frayeurs par rapport à sa mère, en lui faisant
connaître
qui il était, et on fait tout le contraire. De mê
ce simple, quand l’un des personnages reconnaît l’autre dont il était
connu
, et la reconnaissance double, lorsque deux person
se faire comme chez les anciens, par des personnes qui sachent et qui
connaissent
; comme Euripide lui-même l’a fait dans sa Médée,
ipide lui-même l’a fait dans sa Médée, qui égorge ses enfants qu’elle
connaît
. Secondement, on peut achever, mais sans connaîtr
ses enfants qu’elle connaît. Secondement, on peut achever, mais sans
connaître
, et reconnaître après avoir achevé, comme l’Œdipe
me manière, qui est d’aller jusqu’au moment d’achever, parce qu’on ne
connaît
pas, et de reconnaître avant que d’achever. Il n’
es ; car il faut achever ou ne pas achever, avec connaissance ou sans
connaître
. Être au moment d’achever avec connaissance et ne
ère est d’achever ; et dans cette espèce, il est mieux d’achever sans
connaître
et de reconnaître après avoir achevé : l’ignoranc
poème, lorsque le discours ou la manière d’agir d’un personnage font
connaître
quelle est sa pensée, son dessein. Les mœurs sont
fils. Cet homme, après des travaux infinis, revient chez lui, se fait
connaître
à quelques amis fidèles, attaque ses ennemis, les
autres vers que l’héroïque : nous l’avons dit, la nature même a fait
connaître
quel devait être son partage. Homère, admirable p
édit qu’elles mourraient au lieu où elles avaient été exposées. On ne
connaît
point le sujet de cette pièce. 8. C’est-à-dire q
pas ? Le style de l’apologue doit être simple, naturel et élégant. On
connaît
ces diverses qualités du style82 ; nous rappelons
avait donné l’idée de ces allégories. Les fables étaient certainement
connues
en Grèce avant Ésope, puisqu’on en lit dans Hésio
nt nous avons le recueil. Babrius, poète grec très estimé, dont on ne
connaît
pas précisément l’époque, a mis en vers une grand
gle à la porte de sa bergère ; parce que les bergers ne doivent point
connaître
les degrés des passions qui mènent à de tels empo
bre justement admiré. Virgile, né à Mantoue 70 ans avant J.-C, se fit
connaître
à Rome par ses poésies pastorales. Il est le seul
vers que nous avons cités de lui tout à l’heure le font suffisamment
connaître
. Madame Deshoulières, née en 1653, a fait plusieu
juste titre Segrais et Racan. La petite pièce des Deux ruisseaux fera
connaître
et sa manière et la nature de ses pensées : Daph
tant qu’il brille et qu’il vole, Par un souffle s’évanouit. Français,
connaissez
votre image : Des modes vous êtes l’ouvrage ; Leu
un monastère : « Alidor, dit un fourbe, il est de mes amis ; Je l’ai
connu
laquais avant qu’il fût commis. C’est un homme d’
et Chénier sont bien moins réservés quand ils reprochent à des hommes
connus
et qu’ils nomment, leur lâcheté, leur hypocrisie
telle que l’ont donnée Horace, Perse et Juvénal, et telle que nous la
connaissons
aujourd’hui100, c’est-à-dire qu’il y traita un su
ospérité. Dans les palais des rois cette plainte est commune ; On n’y
connaît
que trop les jeux de la fortune, Ses trompeuses f
rtune, Ses trompeuses faveurs, ses appas inconstants ; Mais on ne les
connaît
que quand il n’est plus temps. Lorsque sur cette
es et de certaines villes qui ont eu peu de part dans les révolutions
connues
de l’histoire ancienne116. Je ne parle pas d’Anac
ure. Ils se conservent dans un repos de corruption, et parmi des maux
connus
et accoutumés. Et si on voulait les réveiller, si
rds ni de couleuvres, et, de toutes les sortes de reptiles39, nous ne
connaissons
que les melons et les fraises. Je ne veux pas vou
st la plus secrète partie de mon désert, et qui jusqu’ici n’avait été
connue
de personne. C’est un pays à souhaiter42 et à pei
er, où les empoisonnements, les trahisons, les calomnies soient moins
connus
, et où il soit demeuré plus de restes de l’innoce
ache125 à ce que je dis. Je suis fort resserré126 avec ceux que je ne
connais
pas, et je ne suis pas même extrêmement ouvert av
je ne suis pas même extrêmement ouvert avec la plupart de ceux que je
connais
. C’est un défaut, je le sais bien, et je ne négli
beaucoup de petites choses pour rire, ce n’est pas du moins que je ne
connaisse
pas ce que valent les bagatelles bien dites, et q
rand plaisir que de m’avertir sincèrement de mes défauts. Ceux qui me
connaissent
un peu particulièrement, et qui ont eu la bonté d
ours, quand on le quitte pour en prendre un autre. Il faut essayer de
connaître
celui qui nous est naturel, n’en point sortir, et
s cet air et ces manières que la nature leur a donnés, et qu’ils n’en
connaissent
point d’autres. Ils les changent et les corrompen
65 » qui, dans la vérité, hurlaient plutôt qu’elles ne criaient. Vous
connaissez
peut-être les cris aigus de Madame de Choisi ; Ma
prendrai à laisser M. Dimanche dans une antichambre, et je vous ferai
connaître
les gens. m. dimanche. Monsieur, cela n’est rien
décident toujours225, et parlent hardiment de toutes choses sans s’y
connaître
; qui, dans une comédie, se récrieront aux méchan
nes du monde à lui apprendre à lire271; et il avait neuf ans qu’il ne
connaissait
pas encore ses lettres. Bon ! disais-je en moi-mê
. Sereine et austère, malgré l’essor d’un cœur ardent, sa jeunesse ne
connut
que les troubles de la pensée. Mis en relation av
ne branlent287 presque que par ses secousses. Nos magistrats ont bien
connu
ce mystère. Leurs robes rouges, leurs hermines do
t du monde. Je voudrais de bon cœur voir le livre italien, dont je ne
connais
que le titre, qui vaut lui seul bien des livres,
es livres, dell’ Opinione, regina del mondo 295. J’y souscris sans le
connaître
, sauf le mal, s’il y en a296. Du divertissemen
ur à courir après un lièvre qu’ils ne voudraient pas avoir acheté, ne
connaissent
guère notre nature. Ce lièvre ne nous garantirait
sans repartie307. Mais ils ne répondent pas cela, parce qu’ils ne se
connaissent
pas eux-mêmes308; ils ne savent pas que ce n’est
endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s’éveillerait sans
connaître
où il est, et sans moyen d’en sortir. Et sur cela
habits ne furent faits405. » Cela fut reçu agréablement. Ah ! que je
connais
un homme de qualité406 à qui j’aurais bien plutôt
exquis vin de Saint-Laurent433. Mon cher cousin, quelle vie ! vous la
connaissez
sous de moindres degrés de soleil : elle ne fait
e Roi en fit là-dessus, et qu’il jugeât par là combien il est loin de
connaître
jamais la vérité 457. La mort de Vatel458 A
s surtout qui voit les saints tellement ravis de ce divin exercice de
connaître
, d’aimer et de louer Dieu, qu’ils ne le quittent
férence que les autres créatures du monde visible l’ont reçue sans la
connaître
, au lieu qu’elle a été inspirée à l’homme par un
urs va-t-il rencontrer ! Il est perdu : je ne le vois plus ; il ne se
connaît
plus lui-même, et ne sait où il est ; il marche p
cur et caché, n’ayant pour tout exercice que l’obéissance, et n’étant
connu
au monde que comme le fils d’un charpentier. Oh !
son patronage, il devint précepteur chez M. de Caumartin, qui lui fit
connaître
la société la plus choisie. Des vers latins adres
pprobations sincères et désintéressées ; un homme qui le loue sans le
connaître
, un auditeur qui s’écrie, un passant qui le montr
igueurs de la pauvreté et que l’on ne soulage pas, parce qu’on ne les
connaît
pas, et qu’on ne veut point les connaître ! Si l’
ulage pas, parce qu’on ne les connaît pas, et qu’on ne veut point les
connaître
! Si l’on savait l’extrémité de leurs besoins, on
Combien de honteux dans les familles particulières ! Parmi ceux qu’on
connaît
pour pauvres, et dont on ne veut ni ignorer, ni m
ls devraient y mettre eux-mêmes. En protégeant quelqu’un qui vous est
connu
, songez au tort que vous faites à un homme de mér
onnu, songez au tort que vous faites à un homme de mérite que vous ne
connaissez
pas. Soyez tendre aux prières des malheureux. Die
l oublie de dire ce qu’il sait ou de parler d’événements qui lui sont
connus
, et, s’il le fait quelquefois, il s’en tire mal ;
’ils méritent, et ils ne méritent guère que ce qu’ils craignent ; ils
connaissent
si c’est à tort ou avec raison qu’on les châtie,
lus aguerries s’étaient cachées dans un coin de la belle île que vous
connaissez
; de là, elles vinrent en bon ordre de bataille m
qu’aux autres, ou qu’il paraît aimer davantage. Non, sa bizarrerie ne
connaît
personne ; elle s’en prend sans choix à tout le m
rez pas tous les devoirs de votre état. Il faut mépriser le monde, et
connaître
néanmoins le besoin de le ménager ; il faut s’en
renant, on apprend tout. Que sait celui qui n’a pas été tenté ? Il ne
connaît
ni la bonté de Dieu, ni sa propre faiblesse. Je s
ainsi ? Rien ne serait plus sot et plus déplacé ; mais j’ai appris à
connaître
les hommes en vieillissant, et je crois que le me
à la morale plus qu’au dogme. Il a de l’onction, il est insinuant, il
connaît
intimement le cœur humain, met la passion aux pri
ande : vous l’ignorez, je l’ignore moi-même ; vous seul, ô mon Dieu !
connaissez
ceux qui vous appartiennent ; mais si nous ne con
ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent ; mais si nous ne
connaissons
pas ceux qui lui appartiennent, nous savons du mo
sade, que je lui dis : « Seigneur cavalier, je ne croyais pas mon nom
connu
à Pennaflor. — Comment, connu ! reprit-il sur le
eur cavalier, je ne croyais pas mon nom connu à Pennaflor. — Comment,
connu
! reprit-il sur le même ton ; nous tenons registr
té la dupe de ses démonstrations ni de ses hyperboles ; j’aurais bien
connu
à ses flatteries outrées que c’était un de ces pa
rmais en garde contre les louanges ; défiez-vous des gens que vous ne
connaîtrez
point962. Vous en pourrez rencontrer d’autres qui
profiter des instructions qu’elle avait reçues. Son habile père, qui
connaissait
à fond notre cour, la lui avait peinte, et lui av
autrefois les femmes sous leurs ornements et leurs parures. Vous les
connaissez
; ils ne sont pas rares chez les Orientaux, où le
iée, et en ne lui donnant que de vagues espérances. Il apprit mieux à
connaître
le monde dans une demi-journée que dans tout le r
s, dites-moi, qui a fait vingt bons vers alexandrins de suite ? Je ne
connais
personne dont on puisse en citer un pareil nombre
a pour tout instinct qu’une rage constante, une fureur aveugle qui ne
connaît
, qui ne distingue rien, et qui lui fait souvent d
il ne veut boire que de la plus claire, et aux ruisseaux qui lui sont
connus
; il boit aussi sobrement qu’il mange, et n’enfon
, je vous demande mille pardons... ; je n’avais pas l’honneur de vous
connaître
... : sans cela… » Le président le prend par la ma
ouverais en échange des biens d’un prix inestimable, des biens si peu
connus
de mes égaux, la franchise et le vrai plaisir. Je
etite île, qu’on appelle à Neufchâtel l’île de la Motte, est bien peu
connue
, même en Suisse. Aucun voyageur, que je sache1339
ination, pleine d’un seul objet, se refusait à tout le reste ; ils ne
connaissaient
ni pitié, ni miséricorde ; ils auraient sacrifié
Paris, le 20 décembre 1754. Sans avoir l’honneur, monsieur, d’être
connu
de vous, j’espère qu’ayant à vous offrir des excu
ournent de moi. — Je plains ces misères cachées que la crainte d’être
connues
rend plus pesantes1408. Un homme aimable Êt
principal mérite à tourner continuellement en ridicule tout ce qu’il
connaît
sur la terre de sérieux et de respectable. Le
ctable. Le mérite frivole Un homme du monde n’est pas celui qui
connaît
le mieux les autres hommes, qui a le plus de prév
x-mêmes sont tout d’une pièce1415; ils craignent les hommes qu’ils ne
connaissent
pas ; ils les évitent ; ils se cachent au monde e
ligion et la vertu, c’est-à-dire comme une chose qu’ils ne peuvent ni
connaître
, ni pratiquer, ni aimer. Personne néanmoins n’ign
Figaro. Aux vertus qu’on exige dans un domestique, Votre Excellence
connaît
-elle beaucoup de maîtres qui fussent dignes d’êtr
y résisterait1451 ? Son portrait, par lui-même Vous qui m’avez
connu
, vous qui m’avez suivi sans cesse, ô mes amis ! d
86. Que ceux qui prophétisaient depuis huit jours mon opinion sans la
connaître
, qui calomnient en ce moment mon discours sans l’
mon cœur. Parmi toutes les idées qui me déchirent, celle de ne pas te
connaître
, celle de ne te connaître peut-être jamais1498, e
idées qui me déchirent, celle de ne pas te connaître, celle de ne te
connaître
peut-être jamais1498, est la plus cruelle. Je t’a
e particulier pour toi, par la raison que tu dis : parce que je ne te
connais
pas. Tu crois peut-être, chère enfant, que je pre
, et je puis aussi t’assurer que l’idée de partir de ce monde sans te
connaître
est une des plus épouvantables qui puissent se pr
lus épouvantables qui puissent se présenter mon imagination. Je ne te
connais
pas, mais je t’aime comme si je te connaissais. I
mon imagination. Je ne te connais pas, mais je t’aime comme si je te
connaissais
. Il y a même, je t’assure, je ne sais quel charme
et cet indicateur muet de ce qui doit être évité ou ne doit pas être
connu
. Ce qu’est leur cristal aux fontaines, un verre à
blime ; l’amour des plaisirs innocents, les seuls qu’on ait longtemps
connus
; la facilité d’être heureux par l’habitude où l’
comme spirituel, éclairé, mais un peu frondeur. Je lui demandai s’il
connaissait
le duc de Mendoce. — Fort peu, répondit-il ; mais
vis à peu près tel que je l’avais passé deux lieues plus haut sans le
connaître
: il peut avoir devant Sparte la largeur de la Ma
t le clergé destiné à la cérémonie : c’est un vieux pasteur qui n’est
connu
que sous le nom de curé, et ce nom vénérable, dan
araître. En effet, il ne suffit pas qu’il existe : il faut qu’il soit
connu
; il faut qu’il se connaisse lui-même. Jusque-là
suffit pas qu’il existe : il faut qu’il soit connu ; il faut qu’il se
connaisse
lui-même. Jusque-là toutes les tentatives sont va
ses1594. Le Directoire exécutif de la République française avait fait
connaître
à S. M. l’Empereur le désir de mettre fin à la gu
partout1598 des agents qui m’informent de tout ce qu’il m’importe de
connaître
. Par eux, je sais en quels lieux et dans quels te
fait cependant trembler toutes les puissances de l’Inde. Tu me feras
connaître
ce que tu désires, et nous renouvellerons les rap
emier besoin, et prier Dieu, c’est commencer à posséder Dieu, Le père
connaît
les besoins de son fils : faut-il à cause de cela
vie1650 » L’enfance et la vieillesse Après l’enfance, ce que je
connais
de plus intéressant au monde, c’est la vieillesse
d’un ministre, et chacun d’eux ignore les inquiétudes des autres. Les
connût
-il, il n’y prendrait aucune part. Passez seulemen
, et particulièrement leur histoire militaire ; il faut surtout qu’il
connaisse
les hommes, car les hommes à la guerre ne sont pa
ivres très-bons dans leur genre, je n’en doute pas, que tout le monde
connaît
et avec lesquels je ne ferai jamais connaissance.
out entier ne soit rien en comparaison d’une âme, parce qu’une âme se
connaît
et que l’univers ne se connaît pas1731, l’étude d
araison d’une âme, parce qu’une âme se connaît et que l’univers ne se
connaît
pas1731, l’étude de l’âme ne sera-t-elle pas touj
authentique de sa supériorité, puisque c’est par elle que la science
connaît
l’univers et s’en empare. Mais l’âme qui étudie e
la science connaît l’univers et s’en empare. Mais l’âme qui étudie et
connaît
tout, a le privilège de s’étudier et de se connaî
’âme qui étudie et connaît tout, a le privilège de s’étudier et de se
connaître
elle-même, de sonder sa destinée, de s’élever de
des temples, où il dédaignait de consulter la sagesse : l’Orient l’a
connu
, et toutes les mers l’ont porté. Il est venu s’as
s prémices d’immortalité qui me détachaient de moi-même ; et enfin je
connus
, en aimant cet homme, qu’on pouvait aimer Dieu, e
enant, solitaire, au milieu de ces hommes de votre âge ! Pas un ne me
connaissait
ni ne se souciait de moi ; j’étais comme n’exista
Tous ses personnages ont des traits nets, précis et arrêtés. Une fois
connus
, ils ne s’oublient jamais. On croit en eux, parce
mpérissable qui s’attache à toutes les œuvres où l’homme apprend à se
connaître
. Nul ne s’insinue avec plus d’adresse dans l’inti
l, c’est le bien-être par une fortune rapide. Nous ne manquons pas de
connaître
des gens qui y sont parvenus : c’est presque une
rmer au-delà, il en garde un souvenir propre, et attache à chaque nom
connu
une idée précise. L’art de la critique, en un mot
ieu jugeait ainsi les lettres de Balzac : « Bien que j’aie déjà fait
connaître
à l’un de vos amis le jugement que je faisais des
qui en aient un contraire, j’ose vous assurer que le temps leur fera
connaître
que les défauts qu’ils remarquent en vos lettres
Il leur faudrait un Hôtel des Invalides. 148. C’est le proverbe bien
connu
, Larmes de crocodile. 149. Dans cette page que
t volontiers à ce projet. 159. Le cardinal était fine bouche, et s’y
connaissait
. 160. Mazarin avait là sa maison de campagne. 1
pée que son bréviaire. 165. Turenne est encore ici tel que nous le
connaissons
; il a sang-froid, courage et prudence. 166. Le
eraient la bouche. 308. Pour Socrate, toute la sagesse consiste à se
connaître
soi-même. 309. La prise, c’est-à-dire la proie
dans toute cette page une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui
connaît
à fond la misère humaine, et en souffre, parce qu
pourquoi je vous en parle. Les appartements des prélats, dont vous ne
connaissez
que le salon, sont meublés fort honnêtement, et l
ait capable de contenir tout le soin d’un Etat, cet homme donc que je
connaissais
, voyant que ce matin la marée n’était pas arrivée
vertu. Je n’ai point changé de sentiment pour vous depuis que je vous
connais
, et je crois vous avoir dit plus d’une fois qu’on
nce, qu’ils méprisaient, était Louis de Bourbon, alors duc d’Enghien,
connu
depuis sous le nom du grand Condé, La plupart des
n coup, mais il se déploie petit à petit, et il gagna beaucoup à être
connu
. Il ne s’empresse pas à acquérir l’estime et l’am
’estime et l’amitié des uns et des antres; il choisit ceux qu’il veut
connaître
et qu’il veut aimer, et pour peu qu’il trouve de
et ceux que l’on sait agir même de bonne foi là-dessus, et que chacun
connaît
pour véritablement touchés, ceux-là, dis-je. sont
nt aveuglément les signes de leurs actions. Combien crois-tu que j’en
connaisse
qui, par ce stratagème ont rhabillé adroitement l
s méchants hommes du monde ? On a beau savoir leurs intrigues, et les
connaître
pour ce qu’ils sont ; ils ne laissent pas pour ce
laissent un vide affreux, une inquiétude, une lassitude, une envie de
connaître
autre chose, parce qu’en tout cela rien ne satisf
on s’est donné à Dieu. Après ceux qui ont les premières places, je ne
connais
rien de plus malheureux que ceux qui les envient.
me. 712. La phrase est elliptique et veut dire : Ces mouvements sont
connus
de.. 713. Cette théorie est commode, mais bien p
omparaison des Grecs et de leurs disciples les Romains, qui seuls ont
connu
la vraie prosodie Il faut surtout que la nature a
d’une extrême frugalité, ses mœurs d’une pureté irréprochable. Il ne
connaissait
ni le jeu ni l’ennui : son seul délassement était
met de la vie vous en dérobe le déclin ; de ses deux pentes vous n’en
connaissez
qu’une, celle que vous montez. Elle est riante, e
très-difficile de peindre le bonheur. Est-ce parce que les hommes le
connaissent
peu ? Voilà pourquoi les descriptions des enfers
ours du français gau’ois. 962. « Défiez-vous des gens que vous ne
connaîtrez
point, etc. » Ce parasité est un spirituel compèr
République. L’ancienne jurisprudence avait institué un tribunal pour
connaître
des entreprises tentées contre le peuple romain,
ais jamais il n’est sérieux. Ses grâces mêmes sont effrontées. « Il
connut
la clarté et se joua dans la lumière, mais pour l
s êtes arrivé à soixante-dix ans avec la machine frêle que je vous ai
connue
, et les travaux sans nombre auxquels vous l’avez
ement de pieds dans le parterre qui doit faire plaisir à un homme qui
connaît
son monde et qui a vécu ; c’est votre approbation
de Saint-Marc était fermier général. 1271. Diderot mourut pauvre et
connut
presque l’indigence. 1272. L’Hotel du fermier gé
Décliner son nom veut dire, se nommer dans un lieu où l’on n’est pas
connu
. 1275. Comme un homme distrait qui rêve à autre
ique. 1284. Joubert a dit : « On ne comprend la terre que quand on a
connu
le ciel. Sans le monde religieux, le monde sensib
et cet indicateur muet de ce qui doit être évité ou ne doit pas être
connu
. De là cette timidité qui rend circonspects tous
oralistes. La conscience lui suffit. 1387. C’est un mal que Rousseau
connaît
par expérience. 1388. Voltaire écrivait à une da
ris sur le vif ! 1393. Rousseau disait des voyages à pied : « Je ne
connais
qu’une manière de voyager plus agréable que d’all
auteur. Ce n’est que dans un commerce libre et ingénu qu’on peut bien
connaître
les hommes, qu’on se tâte, qu’on se démêle, qu’on
’est un bien qu’on ne saurait trop estimer, c’est ce que la nature ne
connaît
point et ne veut point connaître ; il n’y a que D
rop estimer, c’est ce que la nature ne connaît point et ne veut point
connaître
; il n’y a que Dieu qui en donne le pouvoir à ceu
fortune ! ô destin ! peut-être aussi, ô Providence ! Mais nous qui ne
connaissons
pas les décrets du ciel, et à qui le ciel a donné
attirent, et lui concilient presque tous ceux qui l’approchent. Je ne
connais
aucune femme et même aucun homme qui soit plus co
Je me permettrai de ne pas partager ici l’avis de Mme de Staël. Je ne
connais
pas de ville plus charmante que Venise. 1528. Le
ant de l’onde, ils passent en chantant loin des bords, et le monde ne
connaît
rien d’eux que leurs voix. 1583. Écrit au coup
e ? il fut toujours l’objet de son mépris ; D’une vertu ? son cœur en
connaît
tout le prix ; D’aïeux ? eh ! n’a-t-il pas les si
iverselle. 1669. Allusions à ses oraisons funèbres. 1670. Qui veut
connaître
le vrai génie de Bossuet doit lire avant tout ses
arce que le roi en a. Qui aurait dit qu’on se piquerait un jour de se
connaître
en vers dans le pays des Vandales ? On y prend po
tous les temps ; de sorte qu’en le lisant nous apprenons à nous mieux
connaître
. 1814. Ces grands hommes se disent : « Il me res
qui, par le mot de plaisirs, n’imaginent que ceux des sens ! Faute de
connaître
les plaisirs de l’âme qui durent, ils courent apr
un mystère pour un seul d’entre nous" ? Ô temps ! ô mœurs ! le sénat
connaît
ces complots, le consul les voit, et cependant ce
dans mon lit. Tous ces détails, vous étiez à peine séparés que je les
connaissais
déjà. Je fis garder et défendre ma maison par des
ant, ces premiers crimes, je n’y insiste point ; d’ailleurs, ils sont
connus
de tous, et bien d’autres les ont suivis. Que de
che la sanction d’un arrêt, que leur silence te fait si manifestement
connaître
? Ah ! si j’avais tenu le même langage au jeune e
r mon consulat ! Aujourd’hui, en effet, les passions de ces hommes ne
connaissent
plus de bornes ; leur monstrueuse audace ne saura
plans qu’il avait adoptés pour la conduite de la guerre, je fis tout
connaître
. Puis, le voyant interdit, confondu, je lui deman
d’y parvenir, s’ils veulent seulement écouter ma voix. Je vous ferai
connaître
d’abord, citoyens, de quelles classes d’hommes se
s lui seraient réduits à l’impuissance. Mais quand je vis ceux que je
connaissais
comme les plus furieux et les plus criminels se t
ment pour la république ; je leur exposai toute l’affaire et leur fis
connaître
les mesures que je croyais devoir prendre. Eux, e
t. Sur son aveu : « En effet, lui dis-je, il porte une empreinte bien
connue
; c’est l’image de ton aïeul, un grand homme, qui
l était à craindre, lui seul, et encore tant qu’il restait à Rome. Il
connaissait
tout, avait accès partout : fallait-il s’adresser
ins, toutes nos dissension domestiques, non seulement celles que vous
connaissez
par ouï-dire, mais encore celles dont vous avez g
. Je ne crois pas non plus inutile, pères conscrits, de vous faire
connaître
l’ardeur qui anime les affranchis. Depuis que leu
vos délices ? puis-je mieux faire que de choisir vos apologistes ? On
connaîtra
sans doute plus aisément comment vous avez traité
r du même Héjus ces tapisseries si renommées dans toute la Sicile, et
connues
sous le nom de tapisseries attaliques ? Vous pouv
Siciliens, disaient d’un commun accord (car la chose était claire et
connue
) que vous aviez enlevé ces objets à Philarque, co
z fait votre butin. XIII. Il est à présent essentiel, juges, de
connaître
la méthode qu’il employait dans ses perquisitions
que Verrès était fort curieux des ouvrages de leur art. Ils l’avaient
connu
lorsqu’il alla à Cibyre avec de vaines obligation
a donné une somme d’argent à des peintres grecs. Après les avoir bien
connus
et éprouvés, il les conduisit avec lui en Sicile.
s toujours étonné que Verrès eût du goût en cette partie, lui dont je
connaissais
la stupidité en tout le reste. XV. Ce récit
tte démarche peut le conduire. Ils lui représentent que la vérité est
connue
, que son procédé le rend odieux, qu’il y a de la
us citer n’est pas fort ancien. Il y en a beaucoup parmi vous qui ont
connu
L. Pison, père de celui qui fut préteur. Lorsqu’i
ort à la pierre. Voici un fait qui paraît incroyable ; mais il est si
connu
, que Verrès n’aura pas, je pense, le front de le
es, sous le prétexte de les montrer à ses ouvriers. Ce prince, qui ne
connaît
point le caractère de cet homme, lui fait porter
la part de tant de peuples qui avaient vu faire cet ouvrage et qui en
connaissaient
la destination. Verrès s’emporte et le menace ; m
vriez vous-même en dénoncer l’auteur et en poursuivre la punition. Je
connais
donc les dispositions que vous devez apporter sur
us avez entendu, il n’y a pas longtemps, les députés de Tyndare, tous
connus
par leur probité, et les premiers citoyens de cet
u devenir l’instrument de leur supplice ? Avez-vous prétendu donner à
connaître
qu’il n’y avait point de protection efficace cont
t bientôt de ce qui se passe ; la trompette donne le signal qui était
connu
de tous les environs. Les habitants de la campagn
s donc le seul qui soyez curieux de ces vases de Corinthe ? vous seul
connaissez
bien le juste mélange de ces métaux et la délicat
u burin ? Scipion, cet homme universel et d’un goût si exquis, ne s’y
connaissait
donc pas ? Et vous, Verrès, sans principes, sans
qui se vantent d’être connaisseurs en cette partie. C’est parce qu’il
connaissait
la beauté de ces ouvrages qu’il ne les croyait pa
ppris par une femme, puisque les hommes n’ont jamais vu, n’ont jamais
connu
l’intérieur de ce lieu saint ? Juges, que pensez-
ne, d’où Flamininus le fit transporter et placer dans le Capitole. On
connaissait
trois statues de Jupiter, chef des armées, toutes
rrès. Alors chaque membre du sénat en particulier commença à me faire
connaître
, autant que cela était possible dans une expositi
ui les a dépouillés de ce qu’ils avaient conservé dans ce jour fatal.
Connaissez
, juges, toute l’impudence et la folle vanité de c
ts on oppose comme un mur impénétrable le nom d’excellent général. Je
connais
le terrain. Je vois le champ où Hortensius va dép
ls de Dioclès de Palerme, et surnommé Géminus ? Y a-t-il rien de plus
connu
dans la Sicile ? Quelle action plus indigne d’un
lance, ses soins protecteurs pour la province, vous sont suffisamment
connus
. Comme il y a plusieurs sortes de généraux, ce qu
tes de généraux, ce qui est essentiel au sujet se réduit à vous faire
connaître
de quel genre est celui-ci, de crainte que, les g
on juge quand des soupçons bien fondés ne font point impression. Vous
connaissez
l’homme, vous n’ignorez pas la conduite que tienn
s un chef de pirates sans qu’il ait eu la tête tranchée ? Faites-nous
connaître
quelqu’un qui ait fait comme vous : montrez-nous
u parler des prisons souterraines de Syracuse : plusieurs de vous les
connaissent
. Ce vaste et magnifique ouvrage, construit par le
, le chef de vos pirates de terre. Et comme si Verrès eût voulu faire
connaître
à tout le monde qu’il s’était conduit ainsi pour
armi ces citoyens romains, les uns, dans la crainte qu’ils ne fussent
connus
, étaient traînés, la tête enveloppée, de la priso
longtemps après, sur ma requête et malgré vous, devant ceux qui ne le
connaissent
point, un homme que vous donnez pour ce capitaine
dans le temps trancher la tête à Syracuse, en présence de ceux qui le
connaissaient
, à la vue de presque toute la Sicile ? Voyez la d
ans le port (car je veux m’expliquer plus clairement pour ceux qui ne
connaissent
pas les lieux), je veux dire jusqu’à la ville, et
miers sauvages qu’ils avaient trouvées dans nos vaisseaux, pour faire
connaître
à tout le monde la méchanceté de Verrès et les ca
ovince plusieurs portent comme celui-ci des noms latins) ; cet homme,
connu
et estimé dans sa patrie tant qu’il vécut, le fut
mène. » Il dit encore dans son apologie (et, si le peuple romain vous
connaît
bien, ce n’est pas sans fondement qu’il l’a dit p
e ; vous avez fait trancher la tête à des hommes, citoyens romains et
connus
pour tels. Vous avez eu l’audace d’emmener chez v
eût parmi le peuple de Syracuse plus de cent citoyens romains qui le
connaissaient
, et qui, les larmes aux yeux, le défendirent avec
non à quelque étranger ou à quelque ennemi, mais à ce citoyen romain
connu
de toute l’assemblée, connu de Syracuse entière.
quelque ennemi, mais à ce citoyen romain connu de toute l’assemblée,
connu
de Syracuse entière. Ces bruits, ces clameurs, ce
ois et de votre jugement. Mais aujourd’hui, Verrès, que tout le monde
connaît
dans quel état est votre cause, et qu’on en prévo
d’autres témoins de même espèce, et qui disaient non seulement avoir
connu
Gavius, mais l’avoir vu conduire au supplice, et
entendre que celui-ci : Je suis citoyen romain ? Et quand, sans être
connu
chez des peuples sauvages et habitant aux extrémi
t en des lieux qu’ils n’avaient jamais vus, dont les habitants ne les
connaissent
même point, où ils ne trouvent pas toujours des r
me, vous pouviez dans ce cas adoucir son supplice ; s’il ne l’eût pas
connu
pour être citoyen romain, alors, si c’était votre
ens romains, non à des amis de notre république, non à des hommes qui
connussent
le nom du peuple romain, enfin non à des hommes,
sser croire qu’il disait vrai. LXIX. Je me flatte que j’ai fait
connaître
à mes plus grands ennemis l’intégrité avec laquel
nimitiés sourdes et secrètes sont plus à craindre que celles qui sont
connues
et déclarées. À peine quelqu’un d’entre les noble
, Des cieux, du globe de la terre, Du droit civil, du droit canon, Et
connaissait
assez les choses Par leurs effets et par leurs ca
n ne fit jamais par la soif de l’or (quatrième membre) ; voilà ce que
connaît
de vous l’Europe, et ce que dira la postérité » (
la, de savoir d’abord quelles doivent être les qualités du style ; de
connaître
ensuite le style figuré, c’est-à-dire, les tours,
toutes les autres sont comprises dans ces deux là. Je vais les faire
connaître
, et je dirai ensuite un mot des défauts qui leur
que des termes qui ne disent ni trop ni trop peu, et pour cela, d’en
connaître
la véritable signification. Tous les mots en ont
er, révéler, déceler, ont une signification commune, qui est de faire
connaître
ce qui était ignoré. Mais chacun d’eux en a aussi
en dire assez, pour qu’on sente la nécessité où je suis de leur faire
connaître
les fautes de style échappées à nos meilleurs écr
par l’usage. Ce n’est pas qu’on ne puisse quelquefois unir deux mots
connus
, qui n’ont jamais été liés ensemble. Mais il faut
On voit tous les jours des personnes qui chantent agréablement, sans
connaître
les notes, les clés, ni les règles de la musique
rs de ma loi ; C’est le sang des martyrs…… ô fille encor trop chère,
Connais
-tu ton destin ? Sais-tu quelle est ta mère ? Sai
, qu’enlevée à tout ce qu’elle a de sagesse et de modération, elle ne
connaît
plus Dieu ni elle-même. » Périphrase. La P
Égyptiens : « Des villes entières adorent des chiens ; et personne ne
connaît
Dianea. C’est un crime de manger des oignons et d
stesse. Voilà les principales figures de mots, qu’il est important de
connaître
d’une manière particulière. Quant aux figures de
ur la magistrature ; des voiles, pour des vaisseaux, etc. 188. Faites
connaître
l’origine des figures. Le langage figuré offre u
, Et mourons-y du moins fidèle à mon devoir. Marmontel. 200. Faites
connaître
l’hypallage. L’hypallage est une figure par laqu
que expression explicative ou quelque habile préparation. 212. Faites
connaître
les autres règles. 4° Il faut éviter les métapho
rection. La Fontaine s’est servi d’une charmante allégorie pour faire
connaître
les périls de la bonne fortune : Lorsque sur cet
e O Navis, d’Horace ; le portrait de l’Envie, par Ovide ; la pièce si
connue
de Mme Deshoulières : Dans ces prés fleuris… ; l’
prit plus ou moins qu’il ne signifie dans le sens propre. 221. Faites
connaître
les principales sortes de synecdoque. La synecdo
ces places Qu’on voit fumer encor du sang des Curiaces ? 233. Faites
connaître
l’antéoccupation et la subjection. L’antéoccupat
quoique le plus juste, n’avait jamais été le plus grand. 234. Faites
connaître
l’atténuation et l’exagération. L’atténuation ou
viæ ejus ! II. Figures de pensée propres à plaire. 237. Faites
connaître
les principales figures d’imagination. Les princ
de faire l’éloge de sa clémence, afin de sauver Ligarius. 241. Faites
connaître
la dubitation. La dubitation exprime l’incertitu
nde ; vous l’ignorez, et je l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu,
connaissez
ceux qui vous appartiennent : mais si nous ne con
ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent : mais si nous ne
connaissons
pas ceux qui lui appartiennent, nous savons du mo
es sentiments de l’orateur à l’égard de celui dont il parle, qui font
connaître
l’ironie. Il est évident que, dans un écrit, elle
plus d’impression sur l’imagination et d’amener l’esprit à les mieux
connaître
. Elle emploie des mots qui, pris à la lettre, von
nde-t-elle à être employée avec beaucoup de discernement. 260. Faites
connaître
les règles de la prosopopée. La première de ces
usseau, Saint-Lambert, Delille, Chateaubriand, Lamartine. 279. Faites
connaître
quelques règles relatives à l’harmonie imitative.
mesures lentes pour les sujets tristes et mélancoliques. 286. Faites
connaître
des exemples de cette espèce d’harmonie. Peintu
s fréquemment employées dans la poésie que dans la prose. 294. Faites
connaître
avec quelques détails les principaux effets des é
ment à la composition. Pour réussir ici, l’écrivain doit parfaitement
connaître
le génie de la langue et la force des mots, et êt
s auditeurs jusqu’à la conclusion. On les mène pas à pas d’une vérité
connue
à une autre vérité, jusqu’à ce qu’on les force, p
qui l’a traité avec beaucoup de sens, se donne la peine de nous faire
connaître
les moyens dont il se servait, lorsqu’il parlait
son grand âge : « Agréez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut
connue
: vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu d
. Aucun art ne peut apprendre à bien parler sur une matière qu’on ne
connaît
point, ou, si cet art existe, c’est un art de cha
t toujours quelque chose qu’il ne faut point imiter. Cherchons à bien
connaître
les beautés particulières et caractéristiques d’u
st-à-dire à ne point parler trop souvent, ou sur des sujets qu’ils ne
connaissent
pas, et à ne prendre la parole que lorsqu’ils ont
crivains de l’antiquité que nous devons avoir recours ; et ne les pas
connaître
, est un juste sujet de reproche à faire à ceux qu
bre de choses très utiles, et l’on ne peut que gagner beaucoup à bien
connaître
l’idée que Cicéron s’était formée de l’éloquence.
utile des écrivains anciens sur l’art oratoire, c’est Quintilien. Je
connais
peu de livres plus remplis de bon sens ; j’en con
Quintilien. Je connais peu de livres plus remplis de bon sens ; j’en
connais
peu où l’on découvre plus de goût que dans ses In
ces écrivains célèbres en ont réuni les suffrages, et ce tribunal ne
connaît
point d’appel. En matière de raisonnement, les ho
e que Newton profita des découvertes plus récentes qu’Aristote ne put
connaître
. Mais il en est tout autrement en matière de goût
originalité du génie, Milton et Shakspeare ne le cèdent à aucun poète
connu
. Il est à propos d’observer que les temps anciens
ez nuit et jour ces antiques modèles. (Trad. de Daru.) Sans les bien
connaître
, on ne passera jamais pour un homme instruit ; on
chefs était moins bien appréciée, et les causes politiques moins bien
connues
que dans nos temps modernes. Une plus longue expé
ressorts secrets des événements. C’est ainsi qu’au lieu de nous faire
connaître
la situation des partis qui divisaient alors la v
la profondeur et la clarté de ses connaissances stratégiques. Tacite
connaissait
supérieurement le cœur humain ; ses pensées sont
t encore l’avantage d’être très instructifs, et d’apprendre surtout à
connaître
le cœur humain. Quoique sa politique soit souvent
n des plus grands et des plus aimables princes des temps modernes. Je
connais
peu d’ouvrages où l’on trouve plus de sagesse et
uve plus de sagesse et de vertu que dans les Mémoires de Sully ; j’en
connais
peu qui soient plus propres à former l’esprit et
esprit, les vertus et les vices des hommes célèbres, et les leur fait
connaître
d’une manière plus intime et plus exacte que le g
érite véritablement supérieur, et c’est à lui que nous devons de bien
connaître
les personnages les plus éminents de l’antiquité.
s, qu’il est digne de toute l’attention de ceux qui veulent écrire ou
connaître
l’histoire des temps qu’il a parcourus. Lectur
retenir sur quelque matière importante. Tout ce qu’ils nous donnent à
connaître
, c’est que l’un des personnages, homme instruit e
rincipalement à Atticus. Le cours de sa correspondance nous apprend à
connaître
plusieurs des principaux personnages de la ville
ne classe d’ouvrages très nombreux et en général assez insignifiants,
connus
sous le nom de romans ou nouvelles. Il semble au
Blas, par Le Sage, est un livre plein de bon sens, qui nous apprend à
connaître
le monde. Les romans de Marivaux, et surtout Mari
écisément où finit l’éloquence et commence la poésie. Pourvu que l’on
connaisse
bien la nature de chacune, leurs limites n’ont pa
Grèce. Mais la poésie existait longtemps avant que leurs noms fussent
connus
, et même chez des peuples où ils ne parvinrent ja
rs principaux amusements. La découverte de l’Amérique nous a appris à
connaître
l’homme dans l’état de sauvage. Les récits des vo
purent axer l’attention des hommes encore barbares, et même ils n’en
connurent
point d’autres. De froids raisonnements ou de sim
nt les historiens les plus anciens, tels que Saxo Grammaticus13. Nous
connaissons
l’admiration que les Celtes, les Gaulois, les Bre
différentes formes, dans la poésie des nations qui nous sont le mieux
connues
, et dans celle des peuples du nord de l’Europe, d
ages et des allusions aux objets que leur offrait la nature et qu’ils
connaissaient
le mieux ; mais je ne crois pas que les scènes ca
rsque, rassemblés dans les grandes villes, les hommes eurent appris à
connaître
la distinction des rangs et le tumulte des cours.
r de Ptolémée que Théocrite écrivit les premières pastorales que nous
connaissions
, et c’est à la cour d’Auguste que Virgile les imi
licité où la vie champêtre était aisée et abondante, où les hommes ne
connaissaient
presque d’autres richesses que leurs troupeaux, o
des hommes lancés dans le tourbillon des villes. Nous avons déjà fait
connaître
une des principales difficultés que le poète doit
anglais, quelques compositions lyriques d’un très grand mérite. L’on
connaît
l’ode de Dryden à sainte Cécile ; celles de M. Gr
l quelques épisodes agréables. Ce sont toujours les parties les mieux
connues
de l’ouvrage, celles qui contribuent le plus à so
lques exemples vont rendre ces règles générales plus sensibles. Je ne
connais
, en aucune langue, de compositions descriptives p
répondent à la grandeur et à l’importance du sujet. Ceux qui veulent
connaître
à fond la matière qui va nous occuper, pourront l
sies sacrées, et même de tous les poèmes en général, il faudrait bien
connaître
les occasions particulières pour lesquelles ils o
mence par la poésie épique. Nous emploierons cette Lecture à en faire
connaître
les principes généraux ; nous examinerons ensuite
à la Jérusalem, les trois poèmes épiques les plus réguliers que nous
connaissions
, elle fait rentrer dans le genre de l’épopée plus
mieux développés. Dans la poésie dramatique, les personnages se font
connaître
par leurs sentiments et leurs passions, dans l’ép
là, il éprouvera le désavantage de ne pouvoir, dans un événement bien
connu
, donner du naturel au mélange de la fiction et de
et leurs imperfections. Voilà pourquoi des histoires modernes et bien
connues
peuvent fournir d’excellents sujets à la tragédie
teur peut y puiser des noms, des caractères et des événements à peine
connus
, et profiter de la distance des temps ou de l’élo
exposé sans pompe et sans affectation ; car, suivant le précepte bien
connu
d’Horace, le poète ne doit ni débuter sur un ton
humain que nous admirons dans Homère. Quand on lit ce grand poète, on
connaît
intimement tous ses héros ; il semble que l’on ai
le la poésie de quelques livres de l’Ancien Testament. Ceux qui ne le
connaissent
que par la traduction de M. Pope, ne peuvent s’en
ge de Pope nous n’apercevons plus la simplicité du vieux barde. Je ne
connais
pas, il est vrai, d’auteur dont il soit plus diff
livre, surtout le discours qu’il lui adresse après qu’elle lui a fait
connaître
qu’elle n’ignore pas qu’il a résolu de l’abandonn
mpée : au lieu de donner de l’importance à des faits si récents et si
connus
, les divinités de la fable n’y eussent produit qu
glais suivirent leur exemple ; mais il est probable qu’aucun d’eux ne
connaissait
bien son poème, ou qu’au moins ils le lurent avec
caractères, la richesse des descriptions et la beauté du style, je ne
connais
qu’Homère, Virgile et Milton qui lui puissent êtr
t aussi d’une date trop récente, et appartient à une partie trop bien
connue
de l’histoire. Pour remédier à cet inconvénient,
es ne se trouvèrent jamais réunis. Au milieu de faits si généralement
connus
, de telles fictions choquent le lecteur, et forme
ontestable qu’il laisse loin derrière lui Virgile, et tous les poètes
connus
. Les premier et second livres du Paradis perdu so
ais qu’il puisât ce sujet dans l’histoire ou parmi les faits les plus
connus
. C’est ce que firent presque tous les tragiques g
esquels il sera dans la suite obligé de passer avec rapidité. Il fera
connaître
les personnages qui doivent jouer un rôle dans la
’aveugle destin. Dans une rencontre fortuite, il tue son père sans le
connaître
, ensuite il épouse sa propre mère ; enfin, découv
ivé ce bel art avec le plus de succès. J’ai déjà eu occasion de faire
connaître
les caractères essentiellement distinctifs de la
tains caractères, qu’autant que ces mœurs et ces caractères nous sont
connus
. Il est donc évident que la scène et le sujet d’u
médie, et l’origine et les progrès de celle-ci nous sont encore moins
connus
. Ce qu’il y a de plus probable, c’est qu’ainsi qu
cienne était une satire directe et avouée contre certains personnages
connus
que l’on mettait en scène sous leur propre nom. T
de théâtre ; mais un tel nombre cessera de nous étonner lorsque nous
connaîtrons
la nature de ces pièces. Il paraît, s’il faut en
e décision, sans doute, n’est point due à la partialité ; car je n’en
connais
aucun qui lui puisse être raisonnablement préféré
ompe, Julie ; Rome n’est point sujette, ou mon fils est sans vie ; Je
connais
mieux mon sang ; il sait mieux son devoir. « On l
de ; vous l’ignorez, et je l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu !
connaissez
ceux qui vous appartiennent. — Mes frères, notre
r qui seul la sentence de mort devrait tomber ; grand Dieu ! que l’on
connaît
peu dans le monde les terreurs de votre loi ! « “
tor, vainement loué par ceux qui ne louent que l’antique. Personne ne
connaît
plus Dryas ; on n’a guère entendu parler d’Exadiu
nsible au mérite des anciens et des modernes, apprécie leurs beautés,
connaît
leurs fautes, et les pardonne ! » De la poési
c le ton ordinaire de la parole. » Quant à Voltaire, il a assez fait
connaître
son opinion à cet égard : « Pour les poèmes en p
r que notre poésie ne soit pas confondue avec la prose. Tout le monde
connaît
ces vers : Où me cacher ? fuyons dans la nuit inf
économiques ne plairaient assurément pas en vers français. Quiconque
connaîtra
bien le goût de notre nation sentira qu’il serait
u de réputation, les beaux esprits de la cour de Charles II, ou ne le
connaissaient
pas, ou n’avaient pour lui nulle estime. Il n’est
s ; la seconde est la beauté des détails. « Je fus le premier qui fis
connaître
aux Français quelques morceaux de Milton et de Sh
en parlant de ses dieux, les caractérisait par leurs attributs qu’on
connaissait
; mais un lecteur chrétien a envie de rire quand
it ; mais un lecteur chrétien a envie de rire quand on veut lui faire
connaître
à fond Nisroth, Moloc et Abdiel. On a reproché à
e son génie, ce sont Othello et Macbeth. » Ces deux pièces, les plus
connues
du théâtre de Shakspeare, ont été transportées su
sur notre théâtre, et qu’ils devaient n’avoir en vue que de le faire
connaître
à leurs compatriotes, il fallait qu’ils conservas
té ordinaire des églogues étaient écrites avant qu’une traduction fît
connaître
en Angleterre les idylles de Gessner, dans lesque
aucana, poème épique espagnol, par Alonzo de Ercilla, parce que je ne
connais
point la langue dans laquelle il est écrit, et qu
otes de son Essai sur la poésie épique. 32. Milton semble avoir bien
connu
la portée de son génie ; il semble avoir senti qu
osophie de la Rhétorique du docteur Campbell, liv. I, ch. ii. Il fait
connaître
les hypothèses que les différents critiques ont f
ait son guide. Ce n’est point dans les livres qu’il avait appris à la
connaître
. Il descendaitau fond de son cœur, et c’est là qu
des caractères ; il les a puisés la plupart dans les individus qu’il
connaissait
; ses ennemis l’accusèrent d’avoir fait des portr
sont bien placés qu’à la fin d’un règne ou d’un siècle, pour en faire
connaître
les personnages principaux. En ne dépeignant que
ions, leurs actions remarquables, sont dignes d’être particulièrement
connus
, on ne prodiguera point les portraits et on dispo
en est simple. Dans l’histoire, un personnage se développe et se fait
connaître
par ses actions ; dans les mémoires, le lecteur e
imple. Une plaideuse ruinée explique ses malheurs à un chicaneur bien
connu
, et en attend des consolations et des conseils. E
les laissent deviner, qui en donnent ridée, mais qui ne la font point
connaître
positivement. Remarquons ces derniers mots. Si ap
ès une allégorie on prend soin de l’expliquer, d’appliquer aux objets
connus
et sensibles chaque trait de la composition, on n
mes à son genre, ils tournent au profit de la vérité qu’il veut faire
connaître
ou des vertus qu’il veut inspirer. Il admet dans
urel, répartie fine et transition habile. On voit bien que le roseau
connaît
tout l’orgueil du chêne ; mais il cache sa pensée
lecteur remarque les mots Reine des nuits, cette périphrase est bien
connue
, mais elle est placée là si à propos que la lune
on de mieux à faire que de créer un genre qui, reposant sur des bases
connues
et avérées, ne fût cependant pas ennemi des embel
teaubriand. ANALYSE. Le commencement de cette belle narration fait
connaître
la situation du principal personnage. La grande f
il préparait des chefs-d’œuvre de narration historique et il faisait
connaître
les découvertes de Newton. Précurseur de la révol
agédie classique et le drame moderne ? (Toulouse, avril 1888.) Faites
connaître
d’après Boileau et au moyen d’exemples que vous c
st celle des pièces du théâtre classique que vous préférez, et faites
connaître
les raisons de votre préférence. (Grenoble, avril
: « C’est un véritable homme de bien. » (Clermont, août 1891.) Faire
connaître
et comparer les caractères d’Alceste et de Philin
t oubli et engage Boileau à le réparer. (Paris, juillet 1888.) Faire
connaître
et apprécier l’influence exercée par Boileau sur
, près de l’île de Pharos, une ville qui portera son nom et leur fait
connaître
les raisons qui lui dictent cette résolution. [Al
définir toutes les autres ; et de ne point prouver toutes les choses
connues
des hommes et de prouver toutes les autres ; cont
is de Rouen, pour lui rendre compte de la nouvelle pièce et lui faire
connaître
le succès éclatant qu’elle a obtenu. (Paris, août
du xvii e et du xviii e siècles ? Quels sont leurs ouvrages les plus
connus
? Quel reproche peut-on faire aux historiens de c
u plus d’un siècle après, à la date du 5 octobre 1789, et faites-nous
connaître
la situation du roi Louis XVI à cette époque. (Pa
l’importance maritime, commerciale, industrielle ou agricole ; faites
connaître
le caractère des habitants, la physionomie du pay
au xvi e siècle. Résultats économiques des découvertes. (1886.) Faire
connaître
l’origine, les motifs et les applications du prin
-t-il défendue dans son épitre contre Malherbe et son école ? – Faire
connaître
, d’après Boileau, la réforme opérée par Malherbe.
yère ? Pascal, La Rochefoucauld et La Bruyère se sont appliqués à
connaître
et à peindre l’homme et ils en ont fait un portra
pe. Molière a eu tous les dons qui font le grand poète comique ; il a
connu
les hommes ; il a su descendre jusqu’au fond de l
Ie siècle ? La poésie didactique se propose d’instruire, de faire
connaître
les règles d’un art quelconque. Pour bien enseign
lleur poème didactique du xvii e siècle, le seul qui soit aujourd’hui
connu
est l’Art poétique de Boileau. Le poète y enseign
ujours vaincu, est chose nouvelle au théàtre. Les anciens n’ont guère
connu
d’autres ressorts dramatiques que la terreur ou l
est que M. Corneille possède un art secret supérieur à celui que nous
connaissons
. Vous voudrez bien, d’ailleurs, considérer que le
sa supériorité, et elle ne fait que grandir jusqu’à la fin. Faire
connaître
brièvement quel a été le rôle de Boileau parmi se
œur ou de leur intelligence. On n’y réussit qu’à la condition de bien
connaître
l’homme et de posséder pleinement son sujet. Pasc
fait à chacun d’eux sa juste part. Les grands écrivains n’en ont pas
connu
d’autre ; c’est parce qu’ils ont bien pensé qu’il
Il a d’abord pour lui son antiquité. Sans parler des Indous que nous
connaissons
mal, la Bible nous offre plus d’une parabole et l
porte envie, c’est au savetier. Les deux portraits sont achevés. Nous
connaissons
les personnages, écoutons-les parler. La Fontaine
omme, Et reprenez vos cent écus. Il échange l’or contre la joie ; il
connaît
maintenant le prix de celle-ci, et la richesse ne
sa logique. « Il est, dit-il, très capable de convaincre, mais je ne
connais
guère de prédicateur qui persuade et qui touche m
utation par ses sermons, mais elle a passé avec lui. Ils sont surtout
connus
l’un et l’autre par une oraison funèbre de Turenn
attention et pour la retenir, d’inépuisables ressources. La Bruyère a
connu
tous les secrets de l’art d’écrire et personne, m
voit clair jusque dans les replis du cœur, et qui nous apprend à nous
connaître
nous-mêmes, en dépouillant les autres de tous les
de les égaler aux chefs-d’œuvre de Corneille et de Racine. Voltaire a
connu
tous les ressorts dramatiques ; il a su faire une
ettres, à des loisirs studieux, mais l’ambition m’en a détourné, j’ai
connu
le pouvoir et je ne puis plus m’en passer. Monte
maine du roi lui-même n’en sera pas exempt ; c’est vous dire qu’on ne
connaîtra
point de privilégiés. La libre circulation des gr
princes, Et, le combat fini, calcule les profits ! – Combien j’en ai
connu
sur la machine ronde Qui, pouvant vivre à l’aise
, c’est-à-dire troublée, plaintive et passionnée, elle montre qu’elle
connaît
son devoir. Phœdime, si je puis, je ne le verrai
nité exquise d’Audromaque envers Pyrrhus, pour sauver Astyanax. Nous
connaissons
le dénouement : au moment où Monime s’apprête, av
onnel et la question reste en suspens. La Bruyère ne semble pas avoir
connu
ces incertitudes. Il faut remarquer que sa critiq
our eux une place au grand foyer des peuples libres ! Messieurs, vous
connaissez
tous l’homme de cœur dont je viens d’évoquer la g
ats qui se préparent à une autre école. Il y a corrélation entre eux.
Connaître
les extraits de rapports qui s’appliquent par exe
s pouvoir attribuer cet oubli à des motifs indignes du caractère bien
connu
de Boileau. L’importance de la fable comme genre
religieuse qui finit par avoir raison d’elle ; à seize ans, l’une ne
connaît
presque de l’existence que les côtés faciles et c
mmencé la vie diversement, elles la continuèrent de même. Pour qui ne
connaîtrait
pas les lettres de Mme de Sévigné, l’étude même r
t soucieux de justice, qui étudierait la vie de Mme de Maintenon sans
connaître
ses lettres, n’aurait qu’une ressource : s’absten
Mme de Sévigné ne comprend pas toujours ses devoirs de justice, elle
connaît
du moins et pratique ses devoirs de charité ; dan
de cristal. » Autant Mme de Sévigné est expansive, ouverte, facile à
connaître
, autant Mme de Maintenon se livre peu. Elle écriv
ses amis et sa famille, qui s’étend à presque toute sa vie, on ne la
connaît
pas mieux qu’auparavant. Elle n’est elle-même qu’
le a observé, et qui explique pourquoi sa correspondance nous la fait
connaître
si peu, principe qui consiste « à ne rien laisser
on, qui, à tant d’égards, a été une institutrice remarquable, n’a pas
connu
un des principes de la morale, qui est de respect
il faut railler, j’ai ce que je souhaite, Alors, certes, alors je me
connais
poète. Je sens que mon esprit travaille de génie.
grande influence ; il était bien en cour ; une simple malice de lui,
connue
et goûtée du roi, pouvait rendre un auteur ridicu
é qu’elles pouvaient généraliser le sujet, faute peut-être d’en avoir
connu
suffisamment le point spécial, et se sont étendue
xvii e, et dont il avait lui-même, dans son œuvre d’écrivain, si bien
connu
et mis à profit les ressources ? N’y a-t-il pas à
s d’un tel sujet, et nous avons dû pardonner à nos jeunes lettrées de
connaître
beaucoup mieux les grands salons du xvii e siècle
. En quoi l’étude des langues étrangères peut-elle nous aider à mieux
connaître
et à mieux pratiquer la nôtre ? – Que pensez-vous
es n’a pas changé et qu’il est devenu plus grand depuis qu’on a mieux
connu
la patrie. – La Fontaine aux champs. – La Fontain
s plus neuves. Ils ont encore contre eux leurs longs alexandrins ; je
connais
des jeunes filles et non des moins intelligentes,
rand nombre. Cela n’a rien de très extraordinaire ; il y a des hommes
connus
qui en sont à ce point ; je trouve cela rassurant
jeunes filles après l’avoir lu, s’analyseront ; c’est inévitable ; se
connaître
est bon ; il peut leur enseigner cela ; mais où s
juste fierté, car il se sent faible et petit devant le tout, mais il
connaît
sa puissance sur la nature ; il sait qu’il est un
e, l’esprit de finesse, ont bien aussi leur prix » (Renan). Le second
connaît
le prix de l’observation patiente, minutieuse, si
lles semblent s’être plus occupées de s’instruire que d’instruire, de
connaître
que d’apprécier. Une autre conséquence de leur se
curiosités de l’histoire de la langue, ils sont tenus aujourd’hui de
connaître
les principes essentiels qui en fécondent l’étude
s, les exercices ordinaires de nos aspirantes y suffisaient. Ce qu’on
connaît
le mieux de notre littérature, c’est le théâtre.
littérature. C’est dans cette pensée que nous avions emprunté le mot
connu
de Vauvenargues. Les idées qu’il éveille ont été
ce de Junie, d’Iphigénie ou d’Esther, de Célimène ou d’Henriette ? On
connaissait
La Rochefoucauld ; mais n’avait-on rien à dire de
reuve n’a pas surpris. Non seulement le sujet était généralement bien
connu
, mais il a été traité avec une exactitude et une
ipes. Il est vrai que la plupart des hommes ne sont guère capables de
connaître
profondément ; mais il est vrai aussi que cette s
iments, ses passions ; enfin, si les œuvres poétiques sont assez bien
connues
, si les tragiques grecs, en particulier, ont été
ts très superficiels, ne suffisaient pas. L’éloquence aussi était peu
connue
. Enfin l’histoire de l’art, au plus beau siècle d
concours d’enseignement, il est bien évident que nous voulons surtout
connaître
d’après quelles règles les maîtresses de nos lycé
cette opinion : que l’esprit humain, dans sa marche vers le vrai, ne
connaît
qu’une seule voie, et que la séparation qu’on pré
omme ceux qui ont une montre à l’égard des autres. » – « Voulez-vous
connaître
la morale ? lisez les poètes », disait un penseur
it français lui-même, vif, léger, brillant, piquant ? Le moyen age ne
connaissait
pas le style périodique, apanage des langues synt
ises par cœur, des souvenirs empruntés aux manuels et aux précis trop
connus
. Elles chercheront à faire œuvre personnelle. Pou
. » Mais quelles sont les lectures qu’il faut avoir faites pour bien
connaître
les alentours des questions littéraires, les biog
liger. La collection des grands écrivains publiée chez Hachette est à
connaître
. Nous signalons surtout : Mme de Sévigné par M. G
gie est très importante. Certainement il faut savoir de la pédagogie,
connaître
les théories, mais il faut surtout apporter des o
? Que faire de nos filles ? Les volumes de Gausseron, encore trop peu
connus
, forment toute une encyclopédie pédagogique, écri
e, par Michel Bréal (voir Lectures pédagogiques). Littérature. Faire
connaître
le Cid. Importance de cette pièce dans l’histoire
préférence. Concours de 1884. Littérature. D’après ce que vous
connaissez
de la correspondance de Mme de Sévigné, quelle id
spire le ton dogmatique. » Morale. Lequel est le plus difficile, de
connaître
les autres ou de se connaître soi-même ? Conco
orale. Lequel est le plus difficile, de connaître les autres ou de se
connaître
soi-même ? Concours de 1890. Littérature o
iction ne devait pas se réaliser. Pour quelles causes ? – Faites-nous
connaître
le caractère d’Éliante, dans le Misanthrope. Mont
s. » – On vantait, dans une réunion, le savoir d’une jeune fille qui
connaissait
, outre sa langue maternelle, le latin, le grec et
famille a opté conformément à la demande de la jeune fille. Elle fait
connaître
à son amie la profession qu’elle a décidé d’embra
aire plaisir et à se rendre utile. » Commentez ces paroles et faites
connaître
dans quelle mesure elles peuvent trouver leur app
mmes qui ont tenu la plume en ce siècle si fécond en littérateurs. Il
connaît
tous les auteurs, il connaît toutes les œuvres. S
ce siècle si fécond en littérateurs. Il connaît tous les auteurs, il
connaît
toutes les œuvres. Ses épîtres sont toutes fourni
ttre à son inspecteur primaire, une institutrice qui débute, lui fait
connaître
les difficultés qu’elle éprouve pour le classemen
ire plaisir et à se rendre utile. » Commentez ces paroles et faites
connaître
dans quelle mesure elles peuvent trouver leur app
r d’un style naïf et pittoresque, où s’agite une petite société qu’il
connaît
et qu’il aime, celle des animaux, image de celle
on. Avant de consulter sa fantaisie, consulter sa bourse. » – Faites
connaître
comment une jeune fille de 15 à 18 ans peut le mi
es, – surtout les grands événements, ceux que l’on ne peut pas ne pas
connaître
. L’érudition est inutile. Il s’agit simplement de
te. Sans entrer dans une étude particulière de l’esthétique, on devra
connaître
, pour l’histoire artistique : le Précis de l’hist
aîtres italiens, peintres et sculpteurs ? Citez leurs œuvres les plus
connues
. – Quels sont les grands peintres : – de l’école
les œuvres. – Quels sont les artistes de l’antiquité grecque que vous
connaissez
? Citez leurs principales œuvres. – Quels sont le
sainte Geneviève. – Raconter les principales prises de Rome que vous
connaissez
. – Raconter le règne de Clovis. – Raconter le règ
ux annales de la France maritime, il est nécessaire que les candidats
connaissent
à fond dates et faits et qu’ils se soient livrés
urs, dialogue, portrait, développement de pensées. Il convient qu’ils
connaissent
des ouvrages où on leur parle de la mer et des ma
s son extérieur, ne le désignait à l’attention. Duguay-Trouin, qui le
connaissait
bien, l’arrête, et, le saluant avec respect, dit
belle conduite, parle de ses victoires, et ajoute que, s’il n’est pas
connu
à la cour, il est la terreur des ennemis. Vous me
e rendront compte que pour rédiger ce rapport, il était nécessaire de
connaître
à fond, même en ses parties anecdotiques, le cour
– « A qui ? » – A Darius, souverain tout-puissant, dont la volonté ne
connaît
pas d’obstacle et qui n’a d’autre règle que sa fa
sa famille sans savoir à qui il doit sa liberté. Son fils seul croit
connaître
l’auteur de ce bienfait : c’est sans doute l’étra
s, à sa gauche sa sœur la gouvernante Marie, il prit la parole et fit
connaître
son dessein. Il rappela brièvement les actes qu’i
mposition, une narration historiques. Le règne de Charles-Quint était
connu
des candidats. Il fallait ne pas le raconter par
ouanges à la vie des champs. (Metz.) éloge de la science. Désir de
connaître
naturel à l’homme. Exercice instinctif de ses sen
plaignent souvent de la fortune ; c’est qu’ils sont faibles et ne se
connaissent
pas assez eux-mèmes ; c’est à eux surtout, et non
u inconnu ; c’est ce dieu, le seul vrai Dieu, que vous adorez sans le
connaître
, que je viens vous annoncer aujourd’hui….. ….. J’
nesse. Ma philosophie repose sur l’inscription du temple de Delphes :
Connais
-toi toi-même. Elle s’appuie sur la conscience pou
lques instants, son cœur est troublé ; mais bientôt il se rassure, il
connaît
le courage de ses soldats, il se fie aux disposit
la fille de Henri IV, la veuve de Charles Ier, qui meurt après avoir
connu
toutes les misères et toutes les grandeurs, toute
llit tout, est préférable à la réalité. Quand le terme des choses est
connu
, cette perspective corrompt notre félicité. – Con
it la marche et il peut se garantir de leurs effets. L’eau, le feu, –
connus
, étudiés, utilisés, – deviennent ses aides dans l
principes, leurs moyens et leurs fins ? Concours de 1886. Faire
connaître
par des analyses et des exemples les différences
es grands écrivains, des grands artistes, des grands savants que vous
connaissez
. – Un ouvrier vient d’être broyé par une machine
du poète ont été vraies en 1889 au point de vue industriel. – Faites
connaître
les bienfaits principaux que la France doit à la
e rédigées avant le concours. Une préparation pratique s’impose. Nous
connaissons
bon nombre de jeunes gens qui après avoir tourné
oge de la science. 1° Elle satisfait dans l’homme son besoin inné de
connaître
. 2° Elle met l’homme en possession des forces de
evenu chez soi pour l’ouverture de la chasse. Les bateaux à vapeur ne
connaissent
plus de vents contraires sur l’Océan, de courants
uté des inventions contemporaines. – Leur rapidité. Si l’antiquité
connaissait
l’art de tirer parti des forces de l’homme ou des
rs le plus négligée, quand ils ne l’ont pas complètement omise. On ne
connaît
cependant qu’à demi l’histoire des sciences, quan
rares, difficiles, enveloppées de mystère ; leurs travaux ne sont pas
connus
hors du cercle le plus étroit. 3° Peu à peu la sc
re lui ont acquis l’affection de tous ceux qui ont eu l’honneur de le
connaître
personnellement. Dans un de ses derniers voyages,
a été présenté par l’ambassadeur de Suède au roi Louis-Philippe, qui
connaît
non seulement la Suède, jadis visitée par lui, ma
ents et quels profits me procurerait ce voyage. Lire la jolie page si
connue
sur les voyages à pied, par J.-J. Rousseau. Lire
ter – par des exemples empruntés aux différentes professions que vous
connaissez
– le proverbe suivant : « Les étincelles n’effra
hangeant les provinces, selon les régions que l’on habite et que l’on
connaît
.) – Dans une lettre à un ami, vous lui dites comm
plaindre qu’il y avait beaucoup trop d’impôts (énumérez ceux que vous
connaissez
), que le percepteur était exigeant et que le Gouv
er cette pensée d’un poète latin : « Heureux l’homme des champs, s’il
connaît
son bonheur. » – Un agriculteur, un industriel,
z à un de vos amis pour lui raconter ce que vous avez vu et lui faire
connaître
vos impressions. – Il ne faut pas pousser l’écon
ez faire aujourd’hui. » – Commenter ces deux vers d’une romance bien
connue
: Combien j’ai douce souvenance Du joli lieu de
e les faire souffrir ou de les tuer ? On parle d’animaux féroces : en
connaissez
-vous un plus féroce que l’homme, surtout quand il
e faut entr’aider, c’est la loi de nature. » Qui a dit cela ? Si vous
connaissez
le récit qui suit, racontez-le. En tout cas, dite
er le pourquoi, non le comment de l’arrêt. Les conséquences sont plus
connues
, plus faciles à déduire. On les trouve énumérées
. – Surtout, elle est indispensable au commerce. – Par elle, le marin
connaît
les côtes, l’emplacement des ports, traverse les
’échange de leurs produits. 2° Paragraphe. – Par elle, le commerçant
connaît
les ressources des divers pays, ce qu’il leur fau
e, ce qu’il peut acheter. 3° Paragraphe. – Par elle, le consommateur
connaît
plus de bien-être, et à meilleur compte, car elle
. 2° Paragraphe. – Intérêt des voyages à l’étranger. – Ils nous font
connaître
des peuples parfois rivaux dont nous diminuons l’
s. Et aussi complexité, entrecroisement des intérêts. – Difficulté de
connaître
tout ce qui se rapporte au commerce. 1erParagrap
s été habitués à observer autour d’eux le mouvement des affaires. Ils
connaissent
peu ou point les langues étrangères, indispensabl
e les accès ordinaires d’une maladie chronique dont le traitement est
connu
. La douceur de ce régime salutaire, la paix de ce
e qui manque à la France ; mais sa critique, plus pénétrante, a mieux
connu
et déterminé les conditions de l’épopée, mieux co
ésuite, et siégeant à l’hôtel de Rohan ; mais l’autre, plus hardie et
connue
sous le nom de club de l’entresol, comptait parmi
-elle pas bientôt à d’autres problèmes, que le dix-huitième siècle ne
connaissait
pas, et qui intéressent les fondements mêmes de l
tion absolue et arrive à cette dernière formule : « Rien ne peut être
connu
que les faits et les lois qui ne sont que des fai
qu’ils avaient outragé, à leurs crimes qu’ils n’ont pas eu loisir de
connaître
, loin de les détester ; sans le secours des derni
s que tu deviendras un excellent voleur de grand chemin, ou je ne m’y
connais
pas. » Le lieutenant et les autres applaudirent à
emarque demande un esprit désintéressé. Je fais choix du tien, que je
connais
bon ; je m’en rapporterai à ton jugement86. — Grâ
gence que par respect pour la volonté du feu Roi. Tout le monde aussi
connaît
sa vertu, son mérite, son application, sa probité
écise des grandes vérités sociales. Cependant Montesquieu, curieux de
connaître
et d’étudier les peuples chez eux, entreprend en
ins. Il a cru ses recherches utiles, parce que le bon sens consiste à
connaître
les nuances des choses. » Ces lignes essentielles
de sa prison. Il passa en Angleterre. La société anglaise, encore mal
connue
en France, fut pour Voltaire comme une révélation
Cependant les Lettres philosophiques, où le dessein apparent de faire
connaître
l’Angleterre, couvrait des critiques hardies cont
i quinze années d’une retraite féconde en travaux. Le premier, il fit
connaître
la philosophie naturelle de Newton, mais en y mêl
tait ruiné : il fallait un prince qui sût faire la guerre et la paix,
connaître
toutes les blessures de son État, et y apporter l
lé, dans lequel les blessés et les malades eurent le secours qu’on ne
connaissait
point encore. Chaque troupe auparavant avait soin
il ne le croirait pas. Il n’est que trop vrai que Henri IV ne fut ni
connu
ni aimé pendant sa vie. Il ne commença à devenir
, ce don de discerner nos aliments, a produit dans toutes les langues
connues
la métaphore qui exprime par le mot goût le senti
comme lui, d’habitude189. Il ne suffit pas, pour le goût, de voir, de
connaître
la beauté d’un ouvrage ; il faut la sentir, en êt
e le firent gémir dans les prisons, à soixante et dix ans, pour avoir
connu
le mouvement de la terre ; et ce qu’il y a de plu
ne et laborieuse, voyagea en Italie, en Angleterre, et se fit d’abord
connaître
par la traduction de la Statique des Végétaux de
, puisqu’elle est nécessaire. Ainsi l’état de pure nature est un état
connu
: c’est le sauvage vivant dans le désert, mais vi
vant dans le désert, mais vivant en famille, connaissant ses enfants,
connu
d’eux, usant de la parole et se faisant entendre.
demeurer dans un état semblable à celui des nations sauvages que nous
connaissons
. Cela dépendra surtout de la proximité ou de l’él
il ne veut boire que de la plus claire, et aux ruisseaux qui lui sont
connus
. Il boit aussi sobrement qu’il mange, et n’enfonc
contre ceux qui, par état, ne sont faits que pour importuner ; il les
connaît
aux vêtements, à la voix, à leurs gestes, et les
ye à toutes sortes de métiers sans se fixer à aucun, mais curieuse de
connaître
, de sentir, passionnée pour la lecture et les lib
e ? Oui, je le soutiens : pour sentir les grands biens, il faut qu’il
connaisse
les petits maux : telle est sa nature. Si le phys
re. Si le physique va trop bien, le moral se corrompt. L’homme qui ne
connaîtrait
pas la douleur ne connaîtrait ni l’attendrissemen
n, le moral se corrompt. L’homme qui ne connaîtrait pas la douleur ne
connaîtrait
ni l’attendrissement de l’humanité ni la douceur
comme l’eau : de cruelles épreuves leur apprennent bientôt qu’ils ne
connaissent
ni leur état, ni leurs forces ; ne pouvant tout,
ue à sa vue. Qui est-ce qui, aimant un peu l’agriculture, ne veut pas
connaître
les productions particulières au climat des lieux
ieur, me sont parvenus dans ma solitude239 ; et quoique tous mes amis
connaissent
l’amour que j’ai pour vos écrits, je ne sais de q
est encore ce qui m’afflige. Oh ! Que le sort dont j’ai joui n’est-il
connu
de tout l’univers ! Chacun voudrait s’en faire un
ient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais les plus voluptueux n’ont
connu
de pareilles délices, et j’ai cent fois plus joui
indigné ; il n’épargne pas les mots durs à cet enfant dénaturé qui ne
connaît
plus ni père, ni mère, ni devoirs, et qui lui ren
es soient tout bons ou tout méchants, absolument grands ou petits, ne
connaissent
pas la nature. Introduction à la Connaissance de
ensées viennent du cœur. On n’est pas né pour la gloire, lorsqu’on ne
connaît
pas le prix du temps. Ce n’est point un grand ava
écu dans son intimité l’ont aimé avec passion. Avant M. de Loménie on
connaissait
surtout le Beaumarchais du dehors, le dramaturge,
Figaro. — Aux vertus qu’on exige dans un domestique, Votre Excellence
connaît
-elle beaucoup de maîtres qui fussent dignes d’êtr
les ordinaires sur nos noms et qualités, on nous demanda si nous nous
connaissions
. « Pour cela non, dit madame Goëzmann, je ne le «
s nous connaissions. « Pour cela non, dit madame Goëzmann, je ne le «
connais
ni ne veux jamais le connaître. » Et l’on écrivit
ela non, dit madame Goëzmann, je ne le « connais ni ne veux jamais le
connaître
. » Et l’on écrivit. — « Je n’ai pas l’honneur non
e connaître. » Et l’on écrivit. — « Je n’ai pas l’honneur non plus de
connaître
madame ; « mais en la voyant je ne puis m’empêche
arce qu’il est « mon ennemi capital, et parce qu’il a une âme atroce,
connue
« pour telle dans tout Paris, » etc. Je trouvai l
x, sans ostentation et sans reproche. O vous qui me calomniez sans me
connaître
, venez entendre autour de moi le concert de bénéd
foule de bons cœurs, et vous sortirez détrompés ! Et vous qui m’avez
connu
, vous qui m’avez suivi sans cesse, ô mes amis ! d
tre occupées, comme moi, à observer. Je dédaignai, comme suffisamment
connues
, toutes les tribus des autres insectes qui étaien
des fumées de Paris. Je ne l’observais qu’à des moments perdus. Je ne
connaissais
point les insectes qui le visitaient dans le cour
ignorance doit être aussi merveilleuse que leur science. Comme ils ne
connaissent
à fond que l’harmonie des plus petits objets, cel
ans doute, qu’il y a des hommes, et parmi les hommes, des savants qui
connaissent
tout, qui expliquent tout ; qui, passagers comme
e peuvent atteindre, tandis qu’eux, à la faveur de leur petitesse, en
connaissent
un autre dans les dernières divisions de la matiè
Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas
connu
, qu’il faut du temps pour le développer, l’examin
, une longue expérience, la réputation du premier talent de financier
connu
, et, s’il faut tout dire, une destinée telle qu’e
us. Que ceux qui prophétisaient depuis huit jours mon opinion sans la
connaître
, qui calomnient eh ce moment mon discours sans l’
qu’avez-vous ? que vous est-il arrivé ? Je n’ai pas l’honneur de vous
connaître
. (Je croyais que cet homme était fou). — Monsieur
nie violemment à la France, il s’exila et alla vivre en Suisse, où il
connut
Mme de Staël. Le premier ouvrage qui rendit son n
aires, d’une tendresse passionnée à l’égard de ses filles, dont il ne
connut
la dernière qu’en 1814, attentif de loin à leur é
. Pour nous, contentons-nous de savoir que tout a sa raison, que nous
connaîtrons
un jour. Ne nous fatiguons pas à savoir les pourq
de vingt-quatre ans, il fréquenta la société des hommes de lettres et
connut
particulièrement Diderot, dont il reçut l’éveil e
ui a le don de transporter les autres hors et loin de tout ce qui est
connu
. Cette règle trop négligée, et que les savants mê
œuvre de Mme de Staël, initiait la France à un monde nouveau, qu’elle
connaissait
mal et dédaignait. La curiosité du dix-huitième s
se à l’homme, à la créature bornée, un invincible effroi. Ce que nous
connaissons
est aussi inexplicable que l’inconnu ; mais nous
une espèce de confrérie, dont les mots de ralliement servent à faire
connaître
les adeptes les uns aux antres. Quand les étrange
e confondait pas l’incrédulité raisonneuse, il apprenait à la foule à
connaître
la religion autrement que par les sarcasmes que l
vis à peu près tel que je l’avais passé deux lieues plus haut sans le
connaître
; il peut avoir devant Sparte la largeur de la Ma
e. Votre pamphlet que nous venons de condamner, par exemple, je ne le
connais
point ; je ne sais, en vérité, ni ne veux savoir
à cet excès ? Y a t-il de vrais athées ? Peut-être : car, hélas ! qui
connaît
les bornes de la perversité humaine ! « Cependant
Dieu ? Ainsi, des choses qu’ils croient, il n’en est aucune qu’ils ne
connaissent
, qu’ils ne comprennent parfaitement. Que croient-
la vie. Rien ne leur est plus incompréhensible que leur être. Ils ne
connaissent
rien pleinement ; leur science ne se compose que
utre père, il ne s’y était point arrêté : « car, disait-il, Dieu, qui
connaît
toutes ses créatures et qui veille sur elles, vei
amais Dieu n’abandonne les siens. Son amour a des secrets que nous ne
connaissons
point. Croyons, espérons, aimons, et poursuivons
ctacle, la grandeur de la cause et l’attente qu’excitait le caractère
connu
de l’accusé. Conduit par eau de la Tour à Westmin
C’est lui, plus encore que tous les orateurs de l’antiquité, qui doit
connaître
tous les détours du cœur humain, toutes les vicis
par vanité, ou par tout autre motif de ce genre qui paraisse et soit
connu
, et supposons que cette action produise les meill
s pouvez vivre assez longtemps avec le bonheur de ce monde avant d’en
connaître
la vanité. Mais cet étourdissement ne peut durer
, à la constante hostilité qui se déclare entre elles dès qu’elles se
connaissent
; quand on songe à cette obscure prédestination q
lle est cette loi sous laquelle marche le troupeau des hommes sans la
connaître
, et qui l’emporte avec eux d’une origine ignorée
e de ma vie déjà avancée, mes descendants seront peut-être charmés de
connaître
les moyens que j’ai employés pour cela, et qui, g
par un décret public498. Sans doute il ne sera pas facile à ceux qui
connaîtront
le mieux Franklin de l’égaler. Le génie ne s’imit
ianisme a renouvelé la société, en lui révélant des vertus qu’elle ne
connaissait
pas, dire quelle force il possède, toujours activ
jeunes gens sur la vie chrétienne, et nulle part on n’apprend mieux à
connaître
ce noble esprit et ce cœur d’apôtre. Quelques moi
les et en arrache cet accent qui me trouble moi-même, et que je ne me
connaissais
pas. Qui donc est aimé des grands hommes ? Qui da
et il est difficile de faire naître ce sentiment dans une âme qui ne
connaît
rien de la vie, qui se voit entourée de soins et
est aujourd’hui certain que, sauf pour Piquet à la Houppe, dont on ne
connaît
pas encore l’analogue, Perrault, dans tous ses au
uraient pas compris. Et il n’est guère probable que Perrault lui même
connût
ce recueil. » Ainsi donc, il est bien entendu que
, qu’il sente par où ses aïeux, les premiers hommes, ont passé. On ne
connaît
bien, a-t-on dit, que ce qu’on aime : on ne compr
nt à écrire. Ils ont un sentiment confus des beautés du style, ils en
connaissent
assez bien le mécanisme ; mais, comme ils manquen
rt mal. L’histoire de Perse, c’est l’histoire d’un jeune homme que je
connais
, que nous connaissons tous, qui porte un nom géné
de Perse, c’est l’histoire d’un jeune homme que je connais, que nous
connaissons
tous, qui porte un nom générique, celui d’homme d
ours raison en critiquant le gouvernement et le prince, même sans les
connaître
. S’il a quelques images dans la tète, du mouvemen
ller, toutes parées, à mes lectures, pour gagner la réputation de s’y
connaître
; j’ai un piano dans l’entr’acte, et une belle ch
randir ou aies rabaisser. Pradon ne jugeait si mal que parce qu’il se
connaissait
plus mal encore. Il est tout simple que, s’étant
stât le don de l’observation à Molière, prétendant qu’avant lui on ne
connaissait
ni marquis ni précieuses. De même, avant Boileau
connaissait ni marquis ni précieuses. De même, avant Boileau qui donc
connaissait
de méchants poètes ? Ces marquis et ces méchants
lui révèle le secret de ces larmes des choses dont parle Virgile, il
connut
la sensibilité de l’homme de Térence : rien de ce
58, elle s’épanche en des vers d’une harmonie que Racine même n’a pas
connue
. Cuvier comparait ces vers, apparus pour la premi
, mais des visages. C’est la pensée de Pascal retournée : « L’univers
connaît
l’homme, et s’il écrasait l’homme, il saurait qu’
l, c’est le bien-être par une fortune rapide. Nous ne manquons pas de
connaître
des gens qui y sont parvenus : c’est presque une
essein de donner une idée des fougues de l’ode, qu’aucun Français n’a
connues
, » il n’a guère étendu les limites du genre telle
ille Compose son cher trésor. Mais sans tes clartés sacrées, Qui peut
connaître
, Seigneur, Les faiblesses égarées Dans les replis
ans les sources de ta grâce : Et, de ses eaux abreuvé, Ma gloire fera
connaître
Que le Dieu qui m’a fait naître Est le Dieu qui m
quand Pharasmane apprend que ce Romain fuit, enlevant celle qu’il ne
connaît
que sous le nom d’Isménie il s’élance après eux,
d’Arsame, il s’étonne de ressentir une pitié et un trouble dont il va
connaître
la cause. Rhadamiste, porté par des soldats, va l
vu poursuivre avec tant de courroux, Que j’ai cru qu’en effet j’étais
connu
de vous. PHARASMANE. Pourquoi me le cacher ? Ah,
Je meurs ; le voile tombe ; un nouveau jour m’éclaire : Je ne me suis
connu
qu’au bout de ma carrière ; J’ai fait, jusqu’au m
nés pour leur donner des lois. (A Zamore.) Des dieux que nous servons
connais
la différence : Les tiens t’ont commandé le meurt
ort suprême, Je commence à le croire, est la loi d’un Dieu même. J’ai
connu
l’amitié, la constance, la foi ; Mais tant de gra
ton s’est soumis, Il ignore, en effet, s’il a des ennemis : Je ne les
connais
plus. Déjà de la carrière L’auguste Vérité vient
sprits, que le souverain Être Plaça près de son trône, et fit pour le
connaître
, Qui respirent dans lui, qui brûlent de ses feux,
ivresse ; Apprenez, insensés, qui cherchez le plaisir, Et l’art de le
connaître
, et celui de jouir. Les plaisirs sont les fleurs
esserré dans les bornes d’un cloître646, Un tel mérite au loin se fit
connaître
: Dans tout Nevers, du matin jusqu’au soir, Il n’
e si honteux succès ont-ils de quoi vous plaire ? Du rôle de plaisant
connaissez
la misère. J’ai rencontré souvent de ces gens à b
au milieu de la société, Et partout fugitif, et partout rejeté, Vous
connaîtrez
bientôt par votre expérience Que le bonheur du cœ
u monde Et marqua de sa croix les drapeaux des Césars. Jaloux de tout
connaître
, un jeune amant des arts, L’amour de ses parents,
omme ingrat, son vieil ami qui l’aime. Parle : était-ce-bien lui ? le
connais
-tu toi-même ? En quels lieux était-il ? où portai
ues aux Thermopyles. Il en gardait encore un douloureux effroi. Je le
connaisse
fus son ami comme toi. D’un même sort jaloux, une
m’est resté) Sa marque d’alliance et d’hospitalité718. Vois si tu la
connais
. » De surprise immobile, Lycus a reconnu son prop
massant en foule à mon passage, Mes tristes compagnons reclus, Qui me
connaissaient
tous avant l’affreux message, Mais qui ne me conn
us, Qui me connaissaient tous avant l’affreux message, Mais qui ne me
connaissent
plus... S’il est écrit aux cieux que jamais une é
i.Téméraire ! Vous les avez gardés ? PISON. Vous les avez gardés ?Je
connaissais
Tibère738. TIBÈRE. Et des audacieux connaissez-vo
s les avez gardés ?Je connaissais Tibère738. TIBÈRE. Et des audacieux
connaissez
-vous le sort ? PISON. Vous ne pouvez, César, comm
Sous le chaume bien longtemps. L’humble toit, dans cinquante ans, Ne
connaîtra
pas d’autre histoire. Là viendront les villageois
ue le jour d’aujourd’hui ; Notre crime est d’être homme et de vouloir
connaître
: Ignorer et servir, c’est la loi de notre être.
le mal où le mieux pouvait être, Et je l’ai blasphémé, ne pouvant le
connaître
; Et ma voix, se brisant contre ce ciel d’airain,
qui n’était pas a paru devant toi ! J’ai reconnu ta voix avant de me
connaître
, Je me suis élancé jusqu’aux portes de l’Être : M
bien accompli cette loi de mon être ; La nature insensible obéit sans
connaître
, Moi seul, te découvrant sous la nécessité, J’imm
la nuit… De ces astres brillants, son plus sublime ouvrage, Dieu seul
connaît
le nombre, et 1a distance, et l’âge : Les uns, dé
rs le nuage ; Toute la mer brûlait. Mais quand le jour revint, chacun
connut
son œuvre. Les trois vaisseaux flottaient démâtés
t tableau ; Elle est pleine d’oubli pour les choses passées ; Elle ne
connaît
pas les mauvaises pensées, Qui passent dans l’esp
recevait à l’Académie française : « Bien des gens, lui disait-il, ne
connaissent
pas M. Barbier : l’auteur des ïambes est connu de
ui disait-il, ne connaissent pas M. Barbier : l’auteur des ïambes est
connu
de tout le monde. Ainsi les noms de nos vieux mar
as cherche la passe, Et ne peut la trouver ; et ces derniers signaux,
Connus
des gens de mer, ont traversé les eaux. Lutte aff
. » Sous ses cheveux dorès, le pâtre au blanc visage, Je l’avais bien
connu
: son âge était mon âge ; Comme j’aimais Marie, i
ai perdu jusqu’à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j’ai
connu
la Vérité, J’ai cru que c’était une amie ; Quand
abandonne au sein des tourbillons, Montaigne s’examine, et ne peut se
connaître
. Pascal fuit en tremblant ses propres visions. Py
ssée. Vous sentiez les tourments dont mon cœur est rempli, Et vous la
connaissiez
, cette amère pensée Qui fait frissonner l’homme e
, il faudrait Du soleil, de l’azur, un recoin de forêt, Un des arbres
connus
de notre paysage, Et la montagne, enfin, pour cad
ule, La vierge avait conquis les honneurs d’une aïeule. Son pas était
connu
, son nom était béni Sous les chaumes obscurs où l
des cachots. L’aloès, le palmier, s’éloignent de ses plages ; Elle ne
connaît
point le reflet des feuillages, Ni la molle fraîc
e sera pas fondée, Si l’on ne suit ma simple et lumineuse idée. On la
connaît
déjà : je l’ai dans mes écrits Indiquée aux pense
oulais te donner ce redoutable emploi. Ton audace m’a plu ; mais j’ai
connu
bien vite Que l’audace était grande et la sphère
victorieux dans la mollesse échoue859. ROBESPIERRE, à demi-voix. J’en
connais
de plus fous. MARAT. J’en connais de plus fous.J
59. ROBESPIERRE, à demi-voix. J’en connais de plus fous. MARAT. J’en
connais
de plus fous.J’ai, la lanterne en main, Cherché ;
urquoi pas portefaix ou commissionnaire ? RODOLPHE. Eh ! Ma foi, j’en
connais
qui te valent. — Enfin, Il faut prendre un parti,
ent à Roncevaux pour y faire un pèlerinage d’expiation. AMAURY. Vous
connaissez
, Radbert, le but de mon voyage. Ou plutôt de ce l
de grands yeux bleus. De joie et d’amour sa vie était pleine : Il ne
connaissait
le mal ni la haine ; Bien aimé de tous, et partou
avait béni son enfant. L’écolier quittait les héros d’Homère : Car on
connaissait
la défaite amère, Et que l’ennemi marchait triomp
frappé d’une balle ; Mais un vieux soldat l’a pris sur son dos. Il ne
connaît
pas la fuite fatale ; La mort a déjà cerné son fr
Coppée).(Fragment.) SILVIA. Et n’ai-je pas le droit de chercher à
connaître
Celui qui prétendait dormir sous ma fenêtre ? ZAN
toucher et manier, elle- ne perd rien à être vue de près : plus on la
connaît
, plus on l’admire ; elle se courbe par bonté vers
t instructive, par le grand nombre d’hommes et de peuples qu’il avait
connus
; elle était coupée comme son style, pleine de se
e la tyrannie exercée par les comédiens sur les auteurs. Si l’on veut
connaître
la nature de ces rapports souvent difficiles, on
re du souper « qu’il était une des quatre fins de l’homme. » 200. On
connaît
le célèbre aphorisme qui semblait la conclusion d
marcher d’un pas rapide ou tombe épuisé sur la route ; celui qui vous
connaît
accourt à vous, rafraîchit son front et rajeunit
ntées à la vie ordinaire. 254. Cette esquisse est devenue le tableau
connu
sous le nom de la Malédiction paternelle. Il a ét
ibrairie L’heureux, en 20 vol. in-8°. 501. La page est essentielle à
connaître
: « C’est cette qualité, appliquée aux grands obj
fait tomber toute sévérité, car ce serait un malheur ; mais quand on
connaît
l’humanité et ses faiblesses, quand on sait ce qu
terrain de chacun, à s’y trouver à l’aise, à s’y jouer en maître et à
connaître
de toute chose Le génie critique prend tout en co
iture sur Uranie. — Georges de Scudéry (1601-1667), qui reste surtout
connu
par ses Observations sur le Cid (1637), et sa sœu
t madame la « dauphine est une princesse accomplie ; mais je crois me
connaître
en vers un « peu mieux qu’eux. » Louis XIV ne man
a pas de le savoir, « Pour cela dit-il, Despréaux a bien raison. » On
connaît
aussi la vive riposte de Boileau à Louis XIV, qui
adé. Je sais de personnes bien dignes de foi et de respect, qui l’ont
connu
de près à Bruxelles, que, pendant le long séjour
es compositions de Rousseau, et La Harpe allait jusqu’à dire qu’il ne
connaissait
rien qui lui fût supérieur, dans notre langue, po
c’est la force de la situation qui lui arrache son secret. Alzire ne
connaît
pas nos convenances sociales : loin de reculer de
Vous, loin d’oser ici condamner ma douleur, Jugez de ma constance et
connaissez
mon cœur… 620. Ce dénouement, le plus beau peu
rononçait encore claître, que l’on écrivait cloistre, comme on disait
connaître
, tout en écrivant connoistre : ce qui fait que ce
ureux et facile, nous rend avec fidélité l’image de ce Ducis trop peu
connu
, le Ducis des Épîtres, le poète familier et aimab
Trithème, l’ami et le secrétaire de Charlemagne. Le roman historique
connu
sous le nom de Chronique de l’Archevêque Turpin a
les Orientales de M. V. Hugo. 798. Sainte-Beuve. 799. Si l’on veut
connaître
en théorie et en action la révolution tentée par
pierre, il nous fait sentir quelque chose de cette crainte inouïe que
connurent
nos pères, et qui s’appela la Terreur, crainte d’
est un petit mot que l’on met devant les noms communs, et qui en fait
connaître
le genre et le nombre. Nous n’avons qu’un article
els, soit masculins, soit féminins, les pères, les mères. Ainsi, l’on
connaît
qu’un nom est du genre masculin, quand on peut me
nom est du genre masculin, quand on peut mettre le devant ce nom ; on
connaît
qu’un nom est du genre féminin, quand on peut met
lut. Il savait tous leurs égarements dans les choses de la nature. Il
connaissait
mieux que personne en quoi consistait la véritabl
uence. La vérité de tous les événements passés lui était parfaitement
connue
. Cependant il n’a point donné charge à ses apôtre
x qui nous incommodent, et de les rendre raisonnables en leur faisant
connaître
qu’ils ont tort d’agir avec nous comme ils font.
véritable cause de ce sentiment, mais cette cause n’en fait que mieux
connaître
l’injustice. Car si nous nous faisions justice à
ls étaient entièrement conformes à la vérité, et si ceux qui les font
connaissaient
tous nos véritables maux. S’ils nous font donc qu
chefoucauld. (1613-1680.) [Notice] La Rochefoucauld, que l’on
connut
dans sa jeunesse sous le nom de prince de Marsill
air et dans ces manières que la nature leur a donnés, et qu’ils n’en
connaissent
point d’autres2. Ils les changent et les corrompe
ous rend si changeants dans nos amitiés, c’est qu’il est difficile de
connaître
les qualités de l’âme et facile de connaître cell
t qu’il est difficile de connaître les qualités de l’âme et facile de
connaître
celles de l’esprit. Tout le monde se plaint de sa
nt instruire, mais aussi éclairer l’esprit, et intéresser, en faisant
connaître
le fait que l’on expose et en l’exposant agréable
fin, 7° les Circonstances. 1° Définition La Définition nous fait
connaître
un objet par rémunération des qualités ou attribu
s le même rôle que la définition. Elle a aussi pour but de bien faire
connaître
l’objet qui occupe l’écrivain. Elle présente l’én
et le met sous les yeux du lecteur. Chateaubriand voulant nous faire
connaître
le caractère des chevaux arabes, nous en fait la
jour. La Bruyère se sert ingénieusement de ce moyen pour nous faire
connaître
la différence Qui existe entre la Personne à la m
veut arriver. Il y a plusieurs sortes de raisonnements. Nous ferons :
connaître
les principaux, qui sont : 1° le Syllogisme ; 2°
éclairés, les plus braves, les plus vertueux de la terre n’ont point
connu
le duel, je dis qu’il n’est point une institution
qu’enfin elle se brise ; et, comme dit fort bien cet auteur que je ne
connais
pas, l’homme est, en ce monde, ainsi que l’oiseau
s ajouterons le Jugement. Le Jugement est cette faculté qui nous fait
connaître
la nature et le caractère des passions. C’est d’a
de ainsi de tenir compte de toutes ces nuances : Étudiez la cour, et
connaissez
la ville ; L’une et l’autre est toujours en modèl
pouse enlevée, Qu’il cherche une victoire à mon sang réservée : Je ne
connais
Priant, Hélène, ni Paris, Je voulais votre fille,
i ait assez de vigueur pour se soutenir jusqu’à la fin. Je vais faire
connoître
ces grands poëmes, en exposant les règles, 1°. du
er ; le terroir qui convient à chacune de ces espèces ; la manière de
connoître
la nature d’un sol, et de cultiver la vigne et le
u’en les surmontant qu’il peut mériter le nom de vrai poëte, et faire
connoître
tout le prix de son travail. Voyez de quelles cou
ntion des chars, est, pour ainsi dire, enchâssée dans les préceptes.
Connois
donc et son âge, et sa race, et son cœur, Et sur
. Je ne croirai pas inutile d’en citer ici un morceau qui fera autant
connoître
le mérite du traducteur, que le caractère et les
ous les principaux qui doivent concourir à l’action, et qu’on y fasse
connoître
en partie leur caractère. Il faut donc que ces pe
-on, le spectateur peut-il ne pas prévoir le dénouement dans un sujet
connu
? Je conviens que cela est impossible. Mais il n’
e surpris d’un accueil si étrange, et se croyant outragé, trahi, veut
connoître
le crime et le coupable. Voilà le nœud qui se ser
caractères des personnages dramatiques Le poëte ne peut bien faire
connoître
et bien représenter ses personnages que par les m
avancé. Les mœurs seront ressemblantes, si les mœurs des personnages
connus
sont précisément celles que l’histoire ou la fabl
e de lui donner. Mais pour’ ceux que l’histoire on la fable nous fait
connoître
, ils doivent être peints tels que nous les y trou
aine des for faits qu’on ose m’imputer. C’est par-là qu’Hippolyte est
connu
dans la Grèce. J’ai poussé la vertu jusques à la
si dans ces circonstances mêmes le dialogue tend à son but. Pour bien
connoître
l’art du dialogue, qui est une des parties les pl
la mauière de vivre des hommes dans la société ordinaire. Pour faire
connoître
tous les divers ouvrages que renferme ce genre, j
, ensuite imaginer, arranger, distribuer une action propre à le faire
connoître
et à le développer. Il faut donc que toutes les p
ce soient des soubrettes, des valets, ou d’autres acteurs) le feront
connoître
par leurs discours ou par des récits dont il soit
e vos yeux entendu le langage ; Que vos secrets desirs lui sont assez
connus
; Et que c’est vous donner des soucis superflus,
e premier acte ne renferme en grande partie que des discours qui font
connoître
les personnages, et qu’il n’y a pas beaucoup d’ac
uit. Pour réussir dans ces trois genres, il faut bien étudier et bien
connoître
les mœurs de tous les états. Le haut comique sur-
ans chaque âme est marquée à de différens traits…… Etudiez la cour et
connoissez
la ville, L’une et l’autre est toujours en modèle
st de sa nature consacré à peindre le ridicule ; qu’il n’a jamais été
connu
sous une autre idée ; que jamais les spectateurs
le mettre à bout, j’ai des moyens tout prêts. Jetez ici les yeux, et
connoissez
vos traits ; Ce billet découvert suffit pour vous
Nous enseigne les lois. Martine. J’ai, madame, à vous dire Que je ne
connois
point ces gens-là. Philaminte. Quel martyre ! B
e en sait toujours assez, Quand la capacité de son esprit se hausse A
connoître
un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Les leurs
que prend la comédie, suivant les sujets qu’elle imite. Je vais faire
connoître
les bons poëtes comiques, soit anciens, soit mode
oms. Ils mettoient sur la scène des aventures réelles, des caractères
connus
; ils représentoient au naturel les vices, les ri
ret par lequel il fut défendu aux poëtes comiques d’employer des noms
connus
. Alors à la vieille comédie succéda la me. Les no
sus-Christ, et surnommé le prince de la comédie nouvelle, ne nous est
connu
que par des fragmens, qui nous font juger que Plu
ar intervalles quelques foibles lueurs de vrai comique. Les Espagnols
connurent
avant nous la bonne comédie. Nous leur devons mêm
té de le répéter) comme le premier poëte comique de tous les théâtres
connus
. On lui reproche avec raison de n’être pas souven
plaisent pas moins à la lecture qu’à la représentation. Je vais faire
connoître
les principaux, en commençant par ceux qui furent
iqu’il n’y ait que le Bon Soldat, et le Baron de la Crasse qui soient
connues
au théâtre. On y voit aussi reparoître assez souv
e autre nation : mais elle n’en a pas un bien grand nombre qui soient
connus
lors de leur pays. Lopez de Vega, né en 1562, et
st en général un ouvrage en vers, composé sur quelque pièce de poésie
connue
, que l’on détourne à un autre sujet et à un autre
ier est tout entier, ou presque tout entier en chansons, sur des airs
connus
. Je dis presque tout entier, parce que souvent il
que nous entendons Cléopâtre, dont l’horrible caractère nous est déjà
connu
, dire avec emportement : Sors de mon cœur, natur
chevé, soit avant la tragédie, comme Œdipe qui a tué son père sans le
connoître
, soit dans la tragédie, comme Orosmane qui tue Za
e que lui fournit l’histoire, et qu’il ne falsifie pas les caractères
connus
. Quant à l’usage, au retranchement des circonstan
ente, qu’un oracle effrayant lui annonce qu’elle ne peut, sans périr,
connoître
le sang dont elle sort ; mais que le plus funeste
colère. Près d’imposer silence à ce bruit imposteur, Achille en veut
connoître
et confondre l’auteur. Bannissez ces soupçons qui
rop sous les yeux des jeunes gens, pourvu qu’ils soient bons. Veut-on
connoître
le vrai langage des héros tragiques qu’enflamment
ennemi même avant que de naître ; Et tu le fus encor quand tu pus me
connoître
; Et l’inclination jamais n’a démenti Ce sang qui
ain Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en ta main. Apprends à te
connoître
et descends en toi-même. On t’honore dans Rome, o
r trancher enfin ces discours superflus, Albe vous a nommé je ne vous
connais
plus. Curiace. Je vous connois encore, et c’est
perflus, Albe vous a nommé je ne vous connais plus. Curiace. Je vous
connois
encore, et c’est ce qui me tue : A ces mots, dit
tre, et je vais l’accomplir. Je rends graces au Dieu que tu m’as fait
connoître
, De cette occasion qu’il a sitot fait naître, Où
. Heureux ou malheureux, il suffit qu’on me craigne. Britannicus. Je
connois
mal Junte, on de tels sentimens Ne mériteront pas
rler à lui-même, et le monologue ne fera jamais un bon effet. Je n’en
connois
pas de plus beau ni de plus propre à confirmer ce
il nous en est parvenu dix-neuf. Le P. Brumoi nous fait parfaitement
connoître
le caractère et le génie de ces trois tragiques d
e dans son Théâtre des Grecs sur la plupart de ces tragédies, en font
connoître
le goût, le génie et le caractère. Nous n’en avon
ons vraiment attendrissantes. Chateaubrun s’est fait avantageusement
connoître
par son Philoctète et ses Troyennes ; pièces très
et le Castor et Pollux de Bd. Les opéras d’Italie, qui sont les plus
connus
et les plus admirés en France, sont ceux de Me. I
diesse, tout le feu, toute l’étendue du génie. Fondé sur un événement
connu
, soit par l’histoire, soit par la tradition, soit
s divinités du paganisme), telle que la religion existante la faisoit
connoître
aux peuples, par rapport aux choses humaines ; et
ur lesquels on écrit, et que le poëte ne fasse agir que les divinités
connues
et honorées dans les pays et dans les temps où s’
nt à entendre ce que sont les épisodes dans l’épopée. Mais pour faire
connoître
en même temps et l’effet qu’ils doivent y produir
ns oratoire, les portraits brillans, ne sont pas ce qui fait le mieux
connoître
ces divers caractères. Ce sont les propres discou
e présente quelquefois avec art les portraits de certains personnages
connus
dans l’histoire, d’où il a tiré le sujet de son p
fers, et voit dans les Champs-Elysées, son père Anchise, qui lui fait
connoître
les héros les plus célèbres de la République roma
qui doivent naître un jour….. Approchons-nous ; le ciel te permet de
connoître
Les rois et les héros qui de toi doivent naître.
e, Digne appui de son roi, digne rival d’Eugène(a). Après avoir fait
connoître
par les exemples le style de l’épopée, il est à p
oit en Grèce, vers l’an 980 avant J.C., est le plus ancien des poëtes
connus
, et le père de la poésie épique. La critique a re
égulier ; mais il n’y a presque pas de poésie. Cet ouvrage dont je ne
connois
pas de traduction, fut, comme je l’ai dit ailleur
très-beaux : on a trouvé le reste foible et très-souvent bas. Je n’en
connois
pas de traduction. Milton, né à Londres en 1608,
succédé, dans les fêtes de Bacchus, à la poésie lyrique. 409. Faites
connaître
l’origine de la poésie dramatique. L’origine de
re dramatique en trois parties : dans un premier article, nous ferons
connaître
les règles qui concernent le drame en général ; d
onstre et traîné par ses chevaux. Les choses de ce genre doivent être
connues
par le récit. 419. En quoi consiste l’intégrité d
emps avant notre nouvelle école littéraire, le drame romantique était
connu
en Europe. Il suffira de nommer ses principaux re
ur faciliter l’intelligence de ce qui va suivre. Elle doit leur faire
connaître
les principaux personnages qui paraîtront sur la
u de sa faiblesse. Iphigénie va sacrifier son frère Oreste qu’elle ne
connaît
pas. Le sacrifiera-t-elle ? voilà le nœud qui inq
de deux manières : par reconnaissance, lorsqu’un personnage, ou ne se
connaît
pas lui-même, ou ne connaît pas celui avec lequel
naissance, lorsqu’un personnage, ou ne se connaît pas lui-même, ou ne
connaît
pas celui avec lequel il se trouve ; ou par périp
e péripétie pour conclusion. IV. — Actes et scènes. 448. Faites
connaître
la division matérielle du drame. Outre la divisi
es, entraînés hors de la scène par des circonstances qui doivent être
connues
des spectateurs, sont censés agir loin du théâtre
’en sont pas susceptibles. En second lieu, le premier acte doit faire
connaître
tous les acteurs avec leurs caractères. On les fa
t faire connaître tous les acteurs avec leurs caractères. On les fait
connaître
en les faisant paraître eux-mêmes, comme dans Cin
u drame bourgeois, et la tragédie lyrique ou opéra. Nous allons faire
connaître
dans les trois paragraphes suivants le caractère
Nous ferons comprendre cette vérité par des exemples. Ainsi, veut-on
connaître
le vrai langage des héros tragiques qu’enflamment
mythologique, l’opéra de Thétis et Pélée, par Fontenelle. 494. Faites
connaître
les règles propres à ce genre d’opéra. Dans l’op
ou comique noble, le comique bourgeois et le bas comique. 512. Faites
connaître
l’objet de chaque genre de comique ? Le comique
, de Molière, la rencontre d’Harpagon avec son fils, lorsque, sans se
connaître
, ils viennent traiter ensemble, l’un comme usurie
t de la composition. Seulement ses couplets doivent être sur des airs
connus
, tandis que les airs de l’opéra à ariettes sont c
e, Homme, quel usage fais-tu ? Des plantes, des métaux tu
connais
la vertu, Des différents pays les mœurs, la polit
rême ; Et sur tant de choses savant, Tu ne te
connais
pas toi-même. À des personnes mortes : tel est l
e des âmes simples, faut-il donc tant de peines et d’appareil pour te
connaître
? Tes principes ne sont-ils pas gravés dans tous
rbes Troyens ? Trop aveugle Didon ! puis-je après cette injure Ne pas
connaître
encor cette race parjure ? Et comment mes soupirs
ion de la colère et du désespoir. Les deux plus beaux exemples que je
connaisse
en ce genre d’imprécation, se trouvent dans Corne
pprend du vieillard Phorbas que le Roi Laius, qu’il avait tué sans le
connaître
, était son père, et que la Reine Jocaste, dont il
hadamisthe par Crébillon. C’est Zénobie qui parle à Rhadamisthe : Je
connais
la fureur de tes soupçons jaloux ; Mais j’ai trop
; et ce Dieu vient en maître. Malheureux, qui pour lors commence à le
connaître
! Ses anges ont partout fait entendre leur voix ;
t de la convenance du style en général. L’Écrivain, qui non seulement
connaît
les principes de sa langue, et qui les observe, q
accrues avec ses ressources. Se servir de l’esprit de son temps pour
connaître
celui des autres siècles ; unir la fermeté des ju
ds motifs qui les ont produits. En effet, les événements essentiels à
connaître
éclatent avec évidence, s’accomplissent avec suit
e de ma vie déjà avancée, mes descendants seront peut-être charmés de
connaître
les moyens que j’ai employés pour cela, et qui, g
ât par un décret public. Sans doute il ne sera pas facile, à ceux qui
connaîtront
le mieux Franklin, de l’égaler. Le génie ne s’imi
e chacun, suivant ce qu’il peut être, Doit pratiquer, voir, entendre,
connaître
; Et, leur exemple en diverses façons Donnant à t
arquins Brute.5. Je veux le bien de Rome, et je le veux solide.
Connais
mieux mes projets. Jusqu’ici l’entretien Roula1
ds1 ; J’en ai pour tout un jour d’une belle peinture ; De mes auteurs
connus
je me fais la lecture, Ou bien à travers champs j
rés verdir et les bois bourgeonner. Mais aller chez des gens que l’on
connaît
à peine, Pour échanger sans but quelque parole va
e sera pas fondée, Si l’on ne suit ma simple et lumineuse idée. On la
connaît
déjà ; je l’ai dans mes écrits1 Indiquée aux pen
oulais te donner ce redoutable emploi. Ton audace m’a plu ; mais j’ai
connu
bien vite Que l’audace était grande et la sphère
e victorieux dans la mollesse échoue. Robespierre, à demi-voix. J’en
connais
de plus fous. Marat. J’ai, la lanterne en main,
r Robespierre, il nous fait sentir quelque chose de cette crainte que
connurent
nos pères, et qui s’appelle la Terreur, crainte d
oyen de gagner bientôt tous les autres. Étant si sage qu’il est, il a
connu
après tant d’expériences ce qui est de meilleur,
s aimé d’un royaume, mais non pas le plus grand et le plus craint. Il
connaît
que les plus nobles et les plus anciennes conquêt
’à cette heure. Alors les bourgeois de Paris seront ses gardes, et il
connaîtra
combien il est plus doux d’entendre ses louanges
c d’Enghien, puis prince de Condé, né en 1621, mort en 1686. Il avait
connu
intimement Voiture à l’hôtel Rambouillet. 3. Le
éléments, les lettres de l’argumentation. Qui veut s’en servir, et ne
connaît
pas à fond son sujet, ou ne possède pas une érud
a prévient, et nous nous trouvons corrompus, avant presque d’avoir pu
connaître
ce que nous sommes. Ce penchant infortuné, qui so
t-ils pas à l’éclaircir en même temps qu’à la développer ! Pour faire
connaître
le chameau, Buffon décrira l’Arabie ; il peindra
pour satisfaire leur orgueil et pour honorer leur paresse : il se fit
connaître
au public par l’application à ses devoirs, la con
ssance des affaires, l’éloignement de tout intérêt. » A ces exemples
connus
la littérature contemporaine pourrait en ajouter
s. « Monsieur, me dit-il, j’habite ici une terre étrangère, et je n’y
connais
personne. Bien des gens me font de pareilles ques
que je dusse troubler le repos d’une grande ville où je n’étais point
connu
. Cela me fit résoudre à quitter l’habit persan, e
ncore dans ma physionomie quelque chose d’admirable. Cet essai me fit
connaître
ce que je valais réellement. Libre de tous les or
rdin1. Ah ! bon Dieu ! dis-je en moi-même : quel homme est-ce là ! Il
connaîtra
tout à l’heure les rues d’Ispahan mieux que moi.
République. L’ancienne jurisprudence avait institué un tribunal pour
connaître
des entreprises tentées contre le peuple romain,
devint par son patronage précepteur chez M. de Caumartin, qui lui fit
connaître
la société la plus choisie. Des vers latins adres
ace le portrait d’un de vos amis et des miens, d’un original que vous
connaissez
aussi bien que moi. S’il y a plaisir à vous obéir
n coup, mais il se déploie petit à petit, et il gagne beaucoup à être
connu
. Il ne s’empresse pas à acquérir l’estime et l’am
estime et l’amitié des uns et des autres ; il choisit ceux qu’il veut
connaître
et qu’il veut aimer ; et pour peu qu’il trouve de
ipales est sans doute le bonheur d’avoir une femme et des enfants qui
connaissent
et qui aiment la vertu et la solide religion. Je
rhéteurs modernes les plus estimés ; persuadé que si Fénélon les eût
connus
, il aurait consenti qu’on joignît leurs textes à
raison, d’avoir traité, dans sa Rhétorique, du genre judiciaire sans
connaître
ce qui lui est propre. Pour me mettre à l’abri d’
et qu’on peut employer dans toute sorte de sujets seraient inutiles à
connaître
? Qu’est-ce donc que le fruit de l’étude, sinon u
indre aux préceptes de rhétorique les règles de la logique. J’ai fait
connaître
les différentes formes de raisonnement dont on a
sportées dans le discours. L’homme qui dans le commerce de la société
connaît
ce qui convient dans les manières et dans les pro
adversaire fait arme contre lui ; mais elles négligent trop de faire
connaître
en quoi un argument peut pécher, et comment on do
auts du style n’y sont pas assez détaillés. Il est vrai qu’en faisant
connaître
les qualités d’un bon style on en indique les vic
sé de plus sage et dit de plus exquis sur la pratique d’un art qu’ils
connaissaient
si bien et dont ils nous ont laissé de si admirab
i, pour parler convenablement sur une matière, il ne suffit pas de la
connaître
, il faut connaître encore tout ce qui peut s’y ra
enablement sur une matière, il ne suffit pas de la connaître, il faut
connaître
encore tout ce qui peut s’y rapporter. Des connai
ut cela, qu’on le nomme art, observation ou pratique, consiste à bien
connaître
les régions dans lesquelles on veut chasser et al
inv. Rh., l. II, n°. 15.) Après ces observations, nous allons faire
connaître
les lieux, l’esprit, le caractère et la manière p
il est impossible de réussir dans quel art que ce soit, si l’on n’en
connaît
bien la fin et l’objet. § Ier. Éloquence de la
-à-fait illimitée. Il est quelques restrictions qu’il importe de bien
connaître
pour éviter de dangereuses méprises. Si l’orateur
t, aux personnes devant qui l’on parle ; car il est important de bien
connaître
les dispositions de l’auditeur, ses sentimens, se
oyen des tableaux oratoires. Diverses espèces de panégyriques. Nous
connaissons
parmi nous le panégyrique des saints, l’Oraison f
s, l’esprit, les qualités du cœur de quelque homme illustre, de faire
connaître
les services qu’il peut avoir rendus aux arts, au
t les mêmes. Comme on ne peut louer dignement les hommes de bien sans
connaître
leurs vertus, il n’est pas possible non plus de b
es lieux, nous n’en persistons pas moins à croire qu’elle est bonne à
connaître
, et qu’elle peut être d’une utile instruction, su
lé trouvé sur une personne l’inculpe plus que l’inclination qu’on lui
connaît
pour le vol. Des Présomptions. Définitio
énérale du cœur humain ; ou sur le caractère, les qualités, les mœurs
connues
de ceux qu’il s’agit de juger. Tel est le fond où
el, pensant et libre. Les philosophes, pour mieux les observer et les
connaître
, les ont rangées par classes, leur ont donné des
n de l’esprit par laquelle on tire un jugement d’autres jugemens déjà
connus
. Cette opération suppose une comparaison préalabl
laisirs d’un petit nombre d’heureux qui l’habitent, et qui souvent ne
connaissent
pas le Dieu qui les comble de bienfaits ! Si Dieu
ogisme dont une des prémisses est supprimée comme trop claire et trop
connue
, comme étant facilement suppléée par ceux à qui l
Ailleurs, Aricie dit à sa confidente : L’insensible Hippolyte est-il
connu
de toi ? Sur quel frivole espoir penses-tu qu’il
il. Le premier est le plus audacieux des acquéreurs ; l’autre, qui ne
connaît
ni le fonum ni les tribunaux, redoute les procès
our l’or sa soif insatiable, Il lui feint qu’en un lieu que vous seul
connaissez
Vous cachez des trésors par David amassés. Enfin,
er le repos, Et dormir en plein champ le harnais sur le dos ? Je vous
connais
pour noble à ces illustres marques ; Alors soyez
r cet exemple. Nous avons indiqué les formes de raisonnement les plus
connues
, sans prétendre épuiser la matière ; car chaque e
e servir de l’une et de l’autre. L’analyse lui est indispensable pour
connaître
un sujet, pour en examiner toutes les parties. Qu
assions, des préjugés de ceux à qui l’on s’adresse. Un habile orateur
connaît
ses auditeurs et de quelle manière il faut les pr
ous allons exposer pareillement le second et le troisième, en faisant
connaître
les moyens que l’on peut tirer des personnes. Mo
oluntatis propendeat in nos. (De orat. l. II.) Pour plaire, il faut
connaître
le cœur humain en général et ses auditeurs en par
der, il faut avoir égard à la personne à qui on en veut, dont il faut
connaître
l’esprit et le cœur, quels principes il accorde,
ose, dont il veut se rendre maître par le discours. Un tel homme doit
connaître
à fond toutes les affections, toutes les habitude
ais, de l’aveu du même poëte, le commerce de la société peut le faire
connaître
encore mieux2. C’est là qu’on étudie l’homme à to
de s’étudier soi-même. Les hommes se ressemblent tous : celui qui se
connaît
bien soi-même peut se flatter de connaître aussi
semblent tous : celui qui se connaît bien soi-même peut se flatter de
connaître
aussi les autres. L’orateur trouve moyens de pla
leurs facultés, à leurs lumières, à leurs inclinations. Il tâchera de
connaître
leur opinion particulière, leurs préventions. (Ci
. Mais ce sont les mœurs du défenseur, sa droiture et sa délicatesse
connues
, son respect de la vérité, son amour de la justic
iculière pour ne point irriter les esprits. Il est important de faire
connaître
les tours qu’il doit employer en ces occasions di
onvenables, lorsqu’on hasarde un sentiment contraire à celui d’hommes
connus
par leur sagesse et leurs lumières1. « On ne parl
ur profiter de toutes les ressources de l’éloquence ; car, si l’on ne
connaît
pas la nature de l’homme en général, et le caract
eur à remplir du bruit de ses armes la terre entière ; le soldat n’en
connaît
point d’autre que celui de braver le péril, de te
avoir exposé les moyens d’exciter les passions, il convient de faire
connaître
ceux qu’on emploie pour les calmer. Moyens pour
c. cit.) Sources du ridicule. On entreprendrait vainement de faire
connaître
en détail les choses capables d’exciter le rire ;
c l’éclat qu’il eut à la tribune et au barreau de Rome. Tout le monde
connaît
les exordes des sermons de Masillon, ceux des ora
sion, l’ordre et la méthode, les repos et la variété. Nous avons fait
connaître
les deux premiers dans le chapitre précédent ; dé
out ce qui aura été prouvé dans cette première partie servira à faire
connaître
l’énormité du crime de Catilina, et l’orateur se
ent dans un tel excès, qu’ils prouvaient bien souvent des choses plus
connues
et plus claires d’elles-mêmes, que celles qu’ils
n. Quand l’historien raconte un fait, il n’a pour but que de le faire
connaître
. L’avocat se propose de plus l’avantage de sa cau
on d’une clause ; si tout est dans une question de droit ; si le juge
connaît
déjà le fait par l’exposé de l’adversaire, il n’y
aux arts et aux sciences. 4°. A faire un dénombrement imparfait. Vous
connaissez
une ou plusieurs manières dont une chose se fait,
le tempéré ou le moyen, et le sublime, et cette division est la plus
connue
dans nos écoles. (Cic., Orat., n. 75 et suiv. — Q
er. Ces choses ont entre elles des rapports si intimes, qu’on ne peut
connaître
l’une sans connaître les autres. Les pensées et l
tre elles des rapports si intimes, qu’on ne peut connaître l’une sans
connaître
les autres. Les pensées et les sentimens dépenden
doit parler dans nos chambres législatives. Au reste, l’orateur doit
connaître
à fond la matière qu’il veut traiter, l’intérêt q
blit. Netteté. Pour avoir de la netteté dans le style, il faut bien
connaître
son sujet, en bien posséder l’ensemble, savoir l’
e se servir que des mots de la langue dans laquelle on écrit. Comment
connaît
-on que des mots sont français ? Par l’usage, par
exprimer la pensée avec le moins de termes qu’on peut. L’esprit veut
connaître
; rien n’est plus impatient que lui quand il atte
des plus difficiles de l’art d’écrire. Boileau loue Malherbe d’avoir
connu
et enseigné le pouvoir d’un mot mis à sa place. (
, et je l’ai lu avec plaisir. — C’est l’homme le plus vertueux que je
connaisse
, et il a de la probité. Cependant il ne faut pas
s, ils ont honte de la vaine joie que leur cause la flatterie, et ils
connaissent
que la vraie gloire ne peut s’accorder qu’avec le
, ils ont honte de la vaine joie que leur cause la flatterie ; et ils
connaissent
que la vraie gloire ne peut s’accorder qu’avec le
la postérité sait nous la rendre. » (La Bruyère.) « Il l’avait bien
connu
que cette dignité et cette gloire dont on l’honor
recherches que nous puissions faire, il nous est aussi impossible de
connaître
la nature divine, que d’atteindre la hauteur du c
l’autre. Il suit de là qu’on distingue différens tropes. Nous ferons
connaître
les principaux, c’est-à-dire les plus nécessaires
emple un vers d’Homère que Boileau a traduit ainsi : Vous ne sauriez
connaître
, au fort de la mêlée, Quel parti suit le fils du
e l’usage autorise. C’est par une liaison fine et juste des mots déjà
connus
, qu’ils enrichissent le langage, selon le précept
la longue liste qu’ils en ont faite ; nous nous contenterons de faire
connaître
les plus énergiques et en même temps les plus usi
comparaison ; 3°. qu’elles ne soient pas tirées d’objets rares ou peu
connus
, ce qui les rendrait peu intelligibles pour le gr
vait devant les yeux. Par ce moyen, il les lui fait plus parfaitement
connaître
et comprendre, et produit sur lui une impression
plus naturel ; dans la délibération, il importe encore plus de faire
connaître
les hommes et par conséquent de les peindre ; dan
s affections personnelles n’ont eu certainement aucune influence ; je
connais
trop la sagesse et l’équité de son caractère. Tou
ans leurs cœurs la surprise et l’admiration. Dans le genre simple, on
connaît
la fameuse lettre de madame de Sévigné à M. de Co
e, et ce silence est une victoire que nous remportons. Exemples. On
connaît
ce beau début de Cicéron qui, ne pouvant contenir
ette égalité dont se forme le sage, Qui jamais moins que l’homme en a
connu
l’usage ? …………………….. Ce roi des animaux, combien
z-vous sur les suites inséparables d’une naissance illustre ? Vous en
connaissez
qui, avec un nom encore plus distingué que le vôt
sermons, panégyriques des saints, oraisons funèbres. Notre barreau en
connaît
peu l’usage. Prosopopée La prosopopée ou person
t d’empressement ! etc… » (In Pis., n. 58.) Il n’est personne qui ne
connaisse
et qui n’admire l’ironie qui fait l’exorde du pla
les qualités principales dont se forme un bon style, c’est avoir fait
connaître
implicitement les défauts d’où il en résulte un m
cune espèce de préparation n’aurait précédé. Il suppose que l’orateur
connaît
déjà le fond du sujet sur lequel il est obligé de
s les faces, puisqu’il est impossible de traiter une matière qu’on ne
connaît
pas : Neque enim quisquam est qui causam quam no
accent grammatical est celui qu’on met sur les voyelles pour en faire
connaître
la prononciation. Il y a trois sortes d’accens :
et pour en tirer du fruit. « Il faut, dit Cicéron, lire les poètes,
connaître
l’histoire, avoir continuellement dans les mains
ourquoi elles y sont. Voilà pourquoi après avoir tout considéré, tout
connu
, il faut y revenir. » (Quint., lac. cit.) A-t-on
t toujours quelque chose qu’il ne faut point imiter. Cherchons à bien
connaître
les véritables beautés et n’imitons que cela. Pou
ition à multiplier les noms sans nécessité : « L’orateur, dit-il, qui
connaît
le point litigieux, les prétentions de la partie
on entend par moyens de plaire dans le discours. Pour plaire, il faut
connaître
le cœur humain en général et ses auditeurs en par
étant donné tout entier aux travaux et à la guerre, il n’avait jamais
connu
la société2. Le goût Le sens, le don de d
, le don de discerner nos aliments, a produit dans toutes les langues
connues
la métaphore qui exprime par le mot goût le senti
elquefois besoin, comme lui, d’habitude. Il ne suffit pas de voir, de
connaître
la beauté d’un ouvrage ; il faut la sentir, en êt
prêcherai donc éternellement cet art d’écrire que Despréaux a si bien
connu
et si bien enseigné, ce respect pour la langue, c
e le firent gémir dans les prisons, à soixante et dix ans, pour avoir
connu
le mouvement de la terre ; et ce qu’il y a de plu
e genre humain s’il fallait étudier la dynamique et l’astronomie pour
connaître
l’Être suprême ? Celui qui nous a créés tous doit
ces que des écrivains inconnus font courir sous mon nom, qui est trop
connu
. Lorsqu’on imprime une prétendue lettre de feu mi
mais jamais il n’est sérieux. Ses grâces mêmes sont effrontées. « Il
connut
la clarté et se joua dans la lumière, mais pour l
n’a de goût que par accident ; il faut s’attendre qu’un peuple qui ne
connut
pas d’abord le mérite du Misanthrope et d’Athalie
ls en disent du mal, parce qu’ils sentent que si M. Despréaux les eût
connus
, il les aurait méprisés autant qu’ils méritent de
Bibliothèque de l’Institut. De tous les ouvrages de Pigalle, le plus
connu
et le plus digne de l’être est sans contredit le
de versus facere, est l’art, la manière de faire des vers. Elle fait
connaître
le mécanisme du vers et enseigne les règles de la
ur : Un sort errant ne conduit qu’à l’erreur. Vert-Vert. 46. Faites
connaître
le vers de huit syllabes. Le vers de huit syllab
émistiche. Ainsi, on ne doit pas dire : C’est dans l’infortune qu’on
connaît
ses amis. Mais on dira bien : Est-on dans l’inf
onnaît ses amis. Mais on dira bien : Est-on dans l’infortune ? — on
connaît
ses amis. C’est dans l’adversité — qu’on connaî
l’infortune ? — on connaît ses amis. C’est dans l’adversité — qu’on
connaît
ses amis. En effet, dans ces vers le repos a lie
Le bon Socrate, Ésope, et certain paysan Des rives du Danube… Vous
connaissez
l’impétueuse ardeur De nos Français ; ce sont fo
tragédie en rimes croisées, c’est la Tancrède de Voltaire. 85. Faites
connaître
les rimes mêlées. On appelles rimes mêlées, cell
es de nombre impair sont de cinq, sept et neuf vers. Après avoir fait
connaître
les règles relatives à chacune de ces stances, no
yr cueille sur les fleurs Les parfums que la terre exhale. 93.Faites
connaître
les stances de six vers. Dans la stance de six v
le bras du Dieu des armées S’armera pour notre secours ? 95.Faites
connaître
les règles de la stance de dix vers. Voici pour
al, la stance n’a pas moins de quatre vers ni plus de dix. 97. Faites
connaître
le tercet et la stance de cinq vers. Le tercet e
cts divers, et les inclinations compatibles ou opposées que nous leur
connaissons
. Il paraît, par exemple, qu’il n’est pas vraisemb
e tant qu’un secret. Le porter loin est difficile aux dames. Je
connais
même sur ce fait Bon nombre d’hommes qui so
de plus gracieux ! Elle est, à mon avis, la plus propre à nous faire
connaître
le vrai génie de ce charmant fabuliste. La Motte
n souvent égalé. De la Métamorphose. C’est ici le lieu de faire
connaître
la Métamorphose, mot qui signifie changement. C’e
ulette, une panetière. Quoi qu’il en soit, le plus ancien poète grec,
connu
par des ouvrages dans le genre pastoral, est Théo
tant qu’il brille et qu’il vole, Par un souffle s’évanouit. Français,
connaissez
votre image ; Des modes vous êtes l’ouvrage ; Leu
iller par les grâces du bel esprit et le faste des ornements. Je n’en
connais
pas d’autre traduction que celle de Martignac, qu
er le repos, Et dormir en plein champ le harnois sur le dos ? Je vous
connais
pour noble à ces illustres marques. Alors soyez i
rospérité. Dans le palais des rois cette plainte est commune : On n’y
connaît
que trop les jeux de la fortune, Ses trompeuses f
ortune, Ses trompeuses faveurs, ses appas inconstants. Mais on ne les
connaît
que quand il n’est plus temps. Lorsque sur cette
rale. Poètes élégiaques. Il ne nous reste des Grecs aucun poème
connu
sous le nom d’élégie. Mais on peut principalement
de la délicatesse, du sentiment et de la facilité. La Fontaine n’est
connu
en ce genre que par la belle élégie que j’ai cité
queur et l’abat, etc. » Ces exemples suffisent sans doute pour faire
connaître
le ton de l’ode. Mais il faut, comme le dit Boile
lors qu’il l’a parfaitement rempli. Mais parmi toutes les odes que je
connais
, celle qui, à mon avis, peut donner la plus juste
Le souvenir de tous mes maux. Emplois, grandeurs tant désirées, J’ai
connu
vos illusions. Je vis loin des préventions Qui fo
iques. Mais les ouvrages du plus grand nombre ont été perdus. Nous ne
connaissons
Simonide, Stésichore, Alcée, et Tyrthée, que par
m. Né, en 1555, dans un siècle qui sortait à peine de la barbarie, il
connut
le premier le génie de notre langue, et fut, parm
oses comparées aient entre elles une analogie réelle ; que l’écrivain
connaisse
parfaitement celle qu’il compare et celle à laque
: In maxuma fortuna minuma licentia est. Tout le monde, par exemple,
connaît
et admire le charmant petit poëme de la Fontaine,
aphores dont les écrivains des deux derniers siècles, les eussent-ils
connues
, se seraient soigneusement gardés, parce que leur
leur fait éclater sa prison de verre, sous les yeux de son gardien. »
Connaissez
-vous aucune fleur, même exotique, qui possède cet
istorique, une fiction mythologique, une opinion en vogue, un passage
connu
de quelque écrivain, c’est ce qu’on appelle l’all
rsonnage mis en scène rappelle à son insu aux lecteurs un fait qu’ils
connaissent
, mais auquel ils ne songeaient pas, parce que, au
it rappeler des faits, des idées, des opinions, des mots généralement
connus
, et appartenant en quelque sorte au domaine publi
le remède à vos misères. Toutes vos lumières ne peuvent arriver qu’à
connaître
que ce n’est point dans vous-mêmes que vous trouv
ils donné des remèdes à vos maux, puisqu’ils ne les ont pas seulement
connus
? Vos maladies principales sont l’orgueil, qui vo
le moyen de vous guérir de vos injustices, que ces sages n’ont point
connues
… Dieu a voulu racheter les hommes, et ouvrir le s
s impénétrables. Nous sommes si présomptueux, que nous voudrions être
connus
de toute la terre, et même des gens qui viendront
on sens, toutefois3 que son intérêt ne le portait point au mal, qu’il
connaissait
parfaitement quand il le faisait. Il ne considéra
pas les petits intérêts, qui n’ont jamais été son faible, et où il ne
connaissait
pas les grands, qui d’un autre sens n’ont pas été
ison. Nous voyons les effets de cette irrésolution, quoique nous n’en
connaissions
pas la cause. Il n’a jamais été guerrier quoiqu’i
l y était entré, me fait conclure qu’il eût beaucoup mieux fait de se
connaître
et de se réduire à passer, comme il l’eût pu, pou
e les poëmes d’Homère aient jamais été chantés. Homère, cependant, ne
connaît
pas d’autres poëtes que les aèdes ou chanteurs l
ros, poëte comique syracusain, que l’on place après Rhinton, nous est
connu
par un assez long fragment en dialecte attique.
Plutarque, De la Manière d’entendre les poëtes, chap. II : « Nous ne
connaissons
pas une fable sans poésie et sans fiction. Les ve
er ce qu’est la comédie en soi, pour voir si elle est condamnable. On
connaîtra
, sans doute, que n’étant autre chose qu’un poëme
qui décident toujours, et parlent hardiment de toutes choses sans s’y
connaître
; qui, dans une comédie, se récrieront aux méchan
e de l’Ecole des Femmes, sc. vii.) 1. Platon disait : « On ne peut
connaître
les choses honnêtes et sérieuses, si l’on ne conn
: « On ne peut connaître les choses honnêtes et sérieuses, si l’on ne
connaît
les malhonnêtes et risibles ; et, pour acquérir d
risibles ; et, pour acquérir de la prudence et de la sagesse, il faut
connaître
les contraires. » 1. Parmi ces adversaires de l
résente ces gens du monde qui condamnent d’un mot les ouvrages qu’ils
connaissent
à peine et seraient incapables de juger. 1. Cau
tels vous firent naître ! Mais venez, que mes mains cherchent à vous
connaître
; Je crois avoir des yeux : vous êtes beaux tous
pitalière ! Car sur tes bords heureux je suis déjà venu ; Amis, je la
connais
. Vos pères m’ont connu : Ils croissaient comme vo
ords heureux je suis déjà venu ; Amis, je la connais. Vos pères m’ont
connu
: Ils croissaient comme vous ; mes yeux s’ouvraie
ençons par les dieux : Souverain Jupiter ; Soleil, qui vois, entends,
connais
tout, et toi, mer, Fleuves, terre, et noirs dieux
n mot les plus visibles défauts de sa personne et les crimes les plus
connus
de sa vie, cette grande lettre, cette lettre inju
ples naissent sous ses pas, Races barbares et mêlées Que leur mère ne
connaît
pas ; Les uns indomptés et farouches, Les autres
s. Lamennais 10. L’Éloquence chrétienne Les anciens n’ont
connu
que l’éloquence judiciaire et politique : l’éloqu
sme impétueux de Condé ni l’héroïsme réfléchi de Turenne ; bien qu’il
connût
à fond le cœur humain et sût fort bien traiter av
e. Elle regardait avec une certaine inquiétude cette Europe qui ne la
connaissait
pas, et à qui elle demandait aussi de la sympathi
Provence, et issu d’une famille noble. De bonne heure il s’était fait
connaître
par ses désordres, ses querelles et une éloquence
climater chez nous cette virilité, cette indépendance d’esprit qui ne
connaît
que le droit et n’a pour la révolte pas plus de g
tous les droits. L. Vitet. La Jeunesse de 1880 Ah ! j’ai
connu
des jours et je les ai vécu Où les droits désarmé
ue fait-il de la vie, Le malheureux qui, seul, exclu de tout lien, Ne
connaît
pas un cœur où reposer le sien, Une âme où dans s
’est-à-dire, l’utilité des phares ; les miroirs métalliques profonds,
connus
sous le nom de miroirs paraboliques, en ont fourn
l oublie de dire ce qu’il sait ou de parler d’événements qui lui sont
connus
; et, s’il le fait quelquefois, il s’en tire mal
que ces lignes n’aillent navrer quelque cœur désespéré de n’avoir pas
connu
cette félicité ou, l’ayant connue, de l’avoir per
uelque cœur désespéré de n’avoir pas connu cette félicité ou, l’ayant
connue
, de l’avoir perdue sans retour. Montalembert 4
ouse enlevée ; Qu’il cherche une victoire à mon sang réservée ; Je ne
connais
Priam, Hélène, ni Paris : Je voulais votre fille,
ue celle-là me guide : Je veux le bien de Rome, et je le veux solide.
Connais
mieux mes projets : jusqu’ici l’entretien Roula s
et je tiens pour certain Qu’il prépare au pays un glorieux destin. Tu
connais
maintenant mon sentiment intime ; Dis-moi s’il a
n ennemi même avant que de naître, Et tu le fus encor quand tu me pus
connaître
, Et l’inclination jamais n’a démenti Ce sang qui
ain Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en ta main. Apprends à te
connaître
, et descends en toi-même ; On t’honore dans Rome,
e vous n’oserez croire ? Mais, seigneur, les Romains ne vous sont pas
connus
: Non, non, dans leurs discours ils sont plus ret
ses maux, au-delà du trépas, Des maux plus grands encore, et qu’il ne
connaît
pas. Redoutable avenir, tu glaces mon courage ! V
premier pas, Mais dont l’emportement, croissant dans la carrière, Ne
connaît
bientôt plus ni fossé ni barrière. Qu’on ne détou
ourra d’après vos plans achever l’édifice. RICHELIEU. Pour moi, je ne
connais
propre à me succéder Que le père Joseph. LE ROI.
e sera pas fondée, Si l’on ne suit ma simple et lumineuse idée. On la
connaît
déjà ; je l’ai dans mes écrits Indiquée aux pense
oulais te donner ce redoutable emploi : Ton audace m’a plu, mais j’ai
connu
bien vite Que l’audace était grande et la sphère
la Capoue Où le victorieux dans la mollesse échoue. ROBESPIERRE. J’en
connais
de plus fous. MARAT.
! vieux mot, spectre abattu ! Où sont-ils ? qui sont-ils ! à quoi les
connais
-tu ? MARAT. C’est facile : les mains blanches et
ace guerrière et forte ; en toute circonstance, Athènes de ses fils a
connu
la vaillance. Le Barbare l’atteste, et peut s’en
Mais… la mienne ; Et j’en
connais
une autre à vendre qui la vaut. MADAME HUGUET. To
ande : vous l’ignorez, je l’ignore moi-même ; vous seul, ô mon Dieu !
connaissez
ceux qui vous appartiennent ; mais, si nous ne co
mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent ; mais, si nous ne
connaissons
pas ceux qui lui appartiennent, nous savons du mo
Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas
connu
; qu’il faut du temps pour le développer, l’exami
, une longue expérience, la réputation du premier talent de financier
connu
, et, s’il faut tout dire, une destinée telle qu’e
elle serait ridicule. Conseillers de la couronne, auteurs de la loi,
connus
ou inconnus, qu’il nous soit permis de vous le de
dont ils ont besoin et l’espace qu’il faut à leurs idées, vivent peu
connus
sur la terre, et y meurent sans monument, n’ayant
de prendre ses rangs. Quoique non préparé sur les mots, si l’orateur
connaît
bien les choses, s’il sent vivement, s’il est sou
prit humain lui-même. » Belle et profonde parole, messieurs ! Je n’en
connais
guère qui soit plus digne de ce grand esprit, qui
ël respire encore et parle dans ses tableaux. La Fontaine m’est mieux
connu
que si, lui vivant, je le voyais sans lire ce qu’
e humaine rassurée éprouve comme un grand repos qu’elle n’avait point
connu
. Prenez un homme que vous voudrez ; qu’il raconte
e notre langue. Pour apprendre les langues à inversions, il suffit de
connaître
les mots et leurs régimes ; pour apprendre la lan
; mais jamais il n’est sérieux. Ses grâces mêmes sont effrontées. Il
connut
la clarté et se joua dans la lumière, mais pour l
tudes de sa jeunesse au gouvernement, dans sa vie austère et pure, ne
connut
guère d’autre passion que l’ambition. Au contrair
Lui-même il les efface, et semble encor nous dire : « Ou sachez vous
connaître
, ou gardez-vous d’écrire. » Après avoir salué D
ats. Le sage, généreux même dans l’indigence, De l’or faux et du vrai
connaît
la différence, Et tient sa bourse ouverte à ses d
rs que vous marquez sur un ouvrage de deux mille, et que ceux qui s’y
connaissent
n’appelleront jamais de simples traductions ; vou
e je vous veux laisser pour tel que vous êtes, maintenant que je vous
connais
; mais vous n’aurez pas sujet de vous plaindre, q
ilée le firent gémir dans les prisons, à soixante-dix ans, pour avoir
connu
le mouvement de la terre ; et ce qu’il y a de plu
ion d’aller à Paris pour ses affaires ; le roi lui fit répondre qu’il
connaissait
mieux ses affaires que lui-même, et qu’il n’avait
opérateur. C’est que, moi, je crois comme les petits enfants. J’en ai
connu
un qui avait un Jésus de cire ; sa bonne, en touc
on trop nécessaire. Je ne suppose pas qu’un Français raisonnable, qui
connaît
son siècle et son pays, puisse lire deux pages de
Il se fit un silence. On avait beau chercher, chacun, excepté soi, Ne
connaissait
personne à mettre en cet emploi. Cependant, à la
t du monde. Je voudrais de bon cœur voir le livre italien, dont je ne
connais
que le titre, qui vaut lui seul bien des livres,
ien des livres, Della opinione regina del mondo. J’y souscris sans le
connaître
, sauf le mal, s’il y en a. Pascal. L’Amou
inie d’un tout si fini. Le microscope nous découvre dans chaque objet
connu
mille objets qui ont échappé à notre connaissance
de ces sages encore ignorés de l’antique Orient et de ces sages mieux
connus
de notre vieille Europe, hommes admirables, simpl
ne. CRÉON. Toi, réponds, et sois brève ! En deux mots, téméraire,
Connaissais
-tu l’édit que j’ai rendu naguère ? ANTIGONE. Oui,
, Connaissais-tu l’édit que j’ai rendu naguère ? ANTIGONE. Oui, je le
connaissais
: pouvais-je l’ignorer ? CRÉON. En lutte avec ma
travaux, de nos entreprises, de nos dévoûments mêmes ? Le chrétien ne
connaît
qu’un seul but infaillible et nécessaire : le sal
e de ma vie déjà avancée, mes descendants seront peut-être charmés de
connaître
les moyens que j’ai employés pour cela, et qui, g
ât par un décret public. Sans doute il ne sera pas facile, à ceux qui
connaîtront
le mieux Franklin, de l’égaler. Le génie ne s’imi
dépendance ; mais c’est un espoir éternellement trompé. Non, nous ne
connaissons
pas un homme, si bien partagé qu’il soit des bien
ir en se rendant ce témoignage qu’il ne doit rien à personne. Nous ne
connaissons
pas de fils qui se soit jamais acquitté envers sa
sang, le prêtre celle de sa parole, de sa pensée, de son cœur, qui ne
connaîtra
jamais les joies de la famille. Et la patrie à so
rvé aux natures raisonnables, et le seul être doué de raison que nous
connaissions
, c’est l’homme. L’homme est, par sa constitution,
e et la sienne. Non-seulement l’homme a le pouvoir et de sentir et de
connaître
les choses qui lui sont bonnes ou mauvaises, mais
es substances inertes, il en résulte une substance active, capable de
connaître
, de vouloir et d’aimer ? Merveilleux effet de l’o
palpitant d’amour pour la vérité, la justice, et une intelligence qui
connaît
Dieu. Lamennais. Le Plaisir Oui je di
on ; La terre voit son œuvre et le ciel sait son nom ! Heureux qui le
connaît
, plus heureux qui l’adore ! Lamartine. La
ent les États et poser les fondements de la tranquillité publique. Il
connaît
la sagesse humaine, toujours courte par quelque e
st d’origine et d’institution divine. L’une vient de l’homme avide de
connaître
; l’autre est la lumière venue de Dieu, c qui écl
bandonne au sein des tourbillons ; Montaigne s’examine, et ne peut se
connaître
; Pascal fuit en tremblant ses propres visions ;
ssée. Vous sentiez les tourments dont mon cœur est rempli, Et vous la
connaissiez
cette amère pensée Qui fait frissonner l’homme en
qu’un nous entend, qu’il nous prenne en pitié ! Ô toi que nul n’a pu
connaître
, Et n’a renié sans mentir, Réponds-moi, toi qui m
que d’être applaudi. M. Saint-Marc Girardin. 62. Le distique si
connu
d’Ovide est une paraphrase d’un mot de Polynice d
en soi-même : « Comment ! je ne fais que penser en mon pot ; les gens
connaissent
bien à ma façon219 qu’il y a quelque chose de nou
me mis à faire des vaisseaux de terre, combien que jamais je n’eusse
connu
terre292, et ayant employé l’espace de sept ou hu
des hommes illustres de Plutarque et les petits traités de cet auteur
connus
sous le nom d’Œuvres morales ; cette traduction,
utant plus enquise et soupçonnée391 que moins elle était apparente et
connue
, une dame romaine, sage au demeurant392, mais fem
tres par haine particulière ? Il n’y a pas trois semaines que je vous
connais
; quelle raison vous a pu mouvoir à entreprendre
mé par Richelieu, à son retour à Paris, où ses Lettres l’avaient fait
connaître
, conseiller d’État et historiographe de France. C
la plus secrète partie de mon désert et qui, jusques ici, n’avait été
connue
de personne. C’est un pays à souhaiter et à peind
cennes. Vous vous étonnerez du choix de ce dernier ; et si vous aviez
connu
le bonhomme Broussel, vous ne seriez pas moins su
homme avait une sorte d’éloquence qui lui était particulière : il ne
connaissait
point d’interjection ; il n’était pas congru537 d
la Rochefoucauld, qui fut mêlé aux troubles de la Fronde, est surtout
connu
par le petit livre intitulé Réflexions et Sentenc
prendrai à laisser M. Dimanche dans une antichambre, et je vous ferai
connaître
les gens. M. Dimanche. — Monsieur, cela n’est ri
ne branlent662 presque que par ses secousses. Nos magistrats ont bien
connu
ce mystère. Leurs robes rouges, leurs hermines do
e Roi en fît là-dessus, et qu’il jugeât par là combien il est loin de
connaître
jamais la vérité. (Lettre du ler décembre 1664.)
Le soleil n’en est pas plus nébuleux dans les pays où Dieu n’est pas
connu
, la pluie n’en arrose pas moins les champs et les
’il ne voulut point perdre un vieux gentilhomme qu’il avait autrefois
connu
particulièrement, et qui n’avait que fort peu de
France dans cette cour, revenu à Paris depuis quelques jours, que je
connais
familièrement, que j’ai fort interrogé, et qui ne
oublie de dire ce qu’il sait, ou de parler d’événements qui lui sont
connus
; et s’il le fait quelquefois, il s’en tire mal,
. » Termes, s’étant fait un front d’airain, fit semblant de ne le pas
connaître
, et se mit à le repousser assez brutalement. « Oh
uctions en vers et en prose. Il réussit mieux quand il tenta de faire
connaître
au public les lois de l’astronomie et les découve
e nous ne comptions peut-être pas alors pour un assez grand bien, peu
connus
. (Éloge de M. Varignon.) Massillon (1663-174
sade, que je lui dis : « Seigneur cavalier, je ne croyais pas mon nom
connu
à Peñaflor984. — Comment, connu ! reprit-il sur l
r cavalier, je ne croyais pas mon nom connu à Peñaflor984. — Comment,
connu
! reprit-il sur le même ton ; nous tenons registr
la dupe de ses démonstrations ni de ses hyperboles987 ; j’aurais bien
connu
, à ces flatteries outrées, que c’était un de ces
ormais en garde contre les louanges. Défiez-vous des gens que vous ne
connaîtrez
point. Vous en pourrez rencontrer d’autres qui vo
être instruit de tout, et comparer les rapports avec ce qu’il aurait
connu
par lui-même. Les vingt dernières années de sa vi
son projet, qui était à peu près le même que celui de Vauban, sans se
connaître
l’un l’autre1042. De ce travail naquit un livre s
que je dusse troubler le repos d’une grande ville où je n’étais point
connu
. Cela me fit résoudre à quitter l’habit persan et
ncore dans ma physionomie quelque chose d’admirable. Cet essai me fit
connaître
ce que je valais réellement ; libre de tous les o
1071. « Ah ! bon Dieu ! dis-je en moi-même, quel homme est-ce là ? Il
connaîtra
tout à l’heure les rues d’Ispahan1072 mieux que m
Il fut traité à peu près de même par tous ses amis, et apprit mieux à
connaître
le monde dans une demi-journée que dans tout le r
il ne veut boire que de la plus claire et aux ruisseaux qui lui sont
connus
. Il boit aussi sobrement qu’il mange… Il est susc
algré la protection de personnages illustres ou puissants, à se faire
connaître
du public, il conquit tout d’un coup la célébrité
ur faire chercher le reste des paroles, si tant est que quelqu’un les
connaisse
encore. Mais je suis presque sûr que le plaisir q
ue à sa vue. Qui est-ce qui, aimant un peu l’agriculture, ne veut pas
connaître
les productions particulières au climat des lieux
dans le pays. Il me semble qu’un seul fait de cette espèce fait mieux
connaître
la Suisse que toutes les descriptions des voyageu
ouverais en échange des biens d’un prix inestimable, des biens si peu
connus
de mes égaux, la franchise et le vrai plaisir. Je
Paris, le 29 décembre 1754. Sans avoir l’honneur, monsieur, d’être
connu
de vous, j’espère qu’ayant à vous offrir des excu
t, je vous demande mille pardons..., je n’avais pas l’honneur de vous
connaître
… ; sans cela… » Le président le prend par la main
fut tour à tour horloger, musicien, financier, écrivain, est surtout
connu
pour avoir écrit, d’abord, à propos d’un procès d
c. viii.) Apologie de Beaumarchais par lui-même Vous qui m’avez
connu
, vous qui m’avez suivi sans cesse, ô mes amis, di
à part, je n’en vois aucun contre qui je voulusse le troquer. Mais je
connais
trop bien le prix du temps, qu’il m’apprit à mesu
populaire Je dois rendre cette justice à notre peuple que je n’en
connais
point, en Europe, de plus généreux. Je pourrais c
gers : « Il n’en vient guère, nous dit le vieillard ; ce lieu est peu
connu
; mais quand il s’en présente, nous ne refusons p
ises dans tout leur jour, et l’on raisonne ensuite comme si on ne les
connaissait
pas. Cependant peut-on s’empêcher de contempler a
plus d’exagération et moins de profondeur que s’il les avait vraiment
connus
.... Schiller était le meilleur ami, le meilleur p
d’histoire naturelle, de philologie et de bibliographie, est surtout
connu
comme conteur. L’expérience qu’il avait acquise d
t adossés au flanc gauche de ma jument se trouvait un fourrier que je
connaissais
. Cet homme, attaqué et blessé par plusieurs grena
’abbé Hugues-Félicité-Robert de la Mennais, dit Lamennais, qui se fit
connaître
, par la publication du premier volume de son Essa
it avoir établi une muette intelligence entre ces deux âmes qui ne se
connaissaient
que dans ce retentissement. La veille du jour où
la ville pour prison, mais ils y étaient surveillés de près. J’avais
connu
cet officier en France. Nous nous retrouvâmes ave
us cuisants remords. Personne n’était plus raisonnable… Quand je l’ai
connue
, elle était déjà bien triste de nos épreuves, mai
rois mille âmes. Mon Dieu ! c’est comme une petite république. On n’y
connaît
ni le juge, ni l’huissier. Le maire fait tout. Il
grand penseur et un grand écrivain. Citons, parmi ses livres les plus
connus
, de vastes poèmes en prose : Ahasvérus (1830), Me
château de Nohant (Indre), Aurore Dupin dame Dudevant, qui s’est fait
connaître
sous le pseudonyme de George Sand, est un des plu
l’attrait de spectacles dignes d’une caverne de voleurs… Tout le pays
connaît
l’aventure du greffier qu’on laissa entrer avec q
nu1648 pour n’y plus retourner. Qu’ai-je besoin d’une femme que je ne
connais
pas ? — Mon petit père, dit l’enfant, pourquoi do
lus tard suivi des Consolations et des Pensées d’août, se lit surtout
connaître
comme critique. Dès 1828, l’Académie française av
Legouvé, fils du poète Gabriel-Jean-Baptiste Legouvé1666, s’est fait
connaître
lui-même comme poète, comme romancier, comme aute
e l’atmosphère des grands caractères et des grands cœurs. Il m’a fait
connaître
la sensation délicieuse d’aimer les yeux levés, d
entes études de critique et de philosophie de Renan ne sont pas moins
connues
et n’ont pas exercé sur la pensée française, à no
leur sœur en croix les remplissait de joie et d’ardeur. Attale était
connu
de toute la ville ; aussi la ville l’appela-t-ell
c un million de Français, tous patriotes comme lui. Le monde n’a rien
connu
de plus généreux, de plus désintéressé, de plus g
re, ni la fortune, ni les relations1744 ne comptent pour rien. On n’y
connaît
ni les protections ni les influences1745; l’émula
lle, que tout bon Provençal se paye à sa majorité. C’est au plus s’il
connaissait
Beaucaire, et cependant Beaucaire n’est pas bien
ombre, je jouissais d’un vaste horizon et j’éprouvais, entre des murs
connus
, ces surprises qui font le charme des voyages. C’
our dans des paysages et des milieux divers, ces marins bretons qu’il
connaît
bien pour avoir vécu de leur vie, Mon frère Yves
an passe une porte, Et ne daigne me regarder ; Et plus je ne lui suis
connu
, Ni mes vers ni ma poésie, Non plus qu’un étrange
prendre à commander, A ouïr vos sujets, les voir et demander1986, Les
connaître
par nom et leur faire justice, Honorer la vertu e
nce doux. Audience et faveur vous donnerez à tous. Votre palais royal
connaîtrez
en présence1991, Et ne commettrez point une petit
ême dans cette ville en 1532, mort en 1589, Jean-Antoine de Baïf, qui
connut
Ronsard au collège Coqueret, à Paris2014, fut, si
nsemble, Font qu’on est mal reçu, si l’on ne leur ressemble. Cliton.
Connaissez
mieux Paris, puisque vous en parlez. Paris est un
endroits Dont il n’ait le rebut aussi bien que le choix. Comme on s’y
connaît
mal, chacun s’y fait de mise2125. Et vaut communé
e, S’il le échauffe au dedans. Cet avis écouté seulement par caprice,
Connu
sans être aimé, cru sans être observé, C’est ce q
poèmes, des comédies, des poésies diverses, des lettres, est surtout
connu
par ses douze livres de Fables. Les sujets de ces
âge avancé, A quoi me résoudrai-je ? II est temps que j’y pense. Vous
connaissez
mon bien, mon talent, ma naissance Dois-je dans l
sse2226. » Au visage sur l’heure un rouge m’est monté Que l’on me vît
connu
d’un pareil éventé2227. Je l’étais peu pourtant ;
is on en voit paraître, De ces gens qui de rien2228 veulent fort vous
connaître
, Dont il faut au salut2229 les baisers essuyer, E
tend, ai-je dit, c’est injure.... — Tu te moques, marquis : nous nous
connaissons
tous, Et je trouve avec toi des passe-temps plus
es ouvrages ; C’est par eux qu’à mes yeux il a d’abord paru, Et je le
connaissais
avant que l’avoir vu2323. Je vis, dans le fatras
s-rimés2341 je vous trouve adorable. Trissotin. Si la France pouvait
connaître
votre prix, Vadius. Si le siècle rendait justice
rtez de tous côtés vos regards brusquement ; Et ceux que vous pourrez
connaître
, Ne manquez pas, d’un haut ton, De les saluer par
oches, Prenez le parti doucement D’attendre le prince au passage : Il
connaîtra
votre visage Malgré votre déguisement ; Et lors,
insultés. Le village au-dessus forme un amphithéâtre : L’habitant ne
connaît
ni la chaux ni le plâtre ; Et dans le roc, qui cè
ant vos prés délicieux, Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et,
connu
de vous seuls, oublier tout le monde2391 ! (Épîtr
tre effacés, Qu’en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais
connaître
à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu p
n de ce Paradis perdu de Milton que son père et Boileau n’avaient pas
connu
et qui commençait à trouver en France un public p
énissaient leurs bourreaux2483 ! Eux seuls étaient chrétiens, je n’en
connais
point d’autres ; Ils mouraient pour leurs rois, v
urs de ma loi ; C’est le sang des martyrs. O fille encore trop chère,
Connais
-tu ton destin ? Sais-tu quelle est ta mère ? Sais
Je meurs ; le voile tombe, un nouveau jour m’éclaire ; Je ne me suis
connu
qu’au bout de ma carrière. J’ai fait, jusqu’au mo
nés pour leur donner des lois. (A Zamore.) Des dieux que nous servons
connais
la différence : Les tiens t’ont commandé le meurt
ort suprême, Je commence à le croire, est la loi d’un Dieu même. J’ai
connu
l’amitié, la constance, la foi ; Mais tant de gra
ou malicieux. Le Roi d’Yvetot Il était un roi d’Yvetot2593 Peu
connu
dans l’histoire, Se levant tard, se couchant tôt,
mbles Ne dites pas, enfants, comme d’autres ont dit : « Dieu ne me
connaît
pas, car je suis trop petit ; Dans sa création ma
es Et du guide infidèle enseveli les pas. Le pied du passereau ne s’y
connaîtrait
pas2630. Il revient épuisé de sa course inutile.
en 1793, mort en 1843, Jean-François-Casimir Delavigne se fit d’abord
connaître
par quelques pièces de poésie que lui inspirèrent
s le nuage : Toute la mer brûlait. Mais, quand le jour revint, chacun
connut
son œuvre. Les trois vaisseaux flottaient démâtés
qu’elle était petite encore, Que sa sœur2693 était tout enfant2694… —
Connaissez
-vous, sur la colline Qui joint Montlignon à Saint
ns ? — Frank, réponds, est-ce toi ? Ce n’est pas d’aujourd’hui que je
connais
ta vie. Tu le es qu’un paresseux, plein d’orgueil
Né en 1813 à Marseille, mort en 1877, Joseph Autran se fit d’abord
connaître
par un poème sur la Mer (1835) ; un autre poème,
ut l’été, Alla demander quelque charité Chez une fourmi qu’elle avait
connue
: « J’ai grand faim, dit-elle, et me voilà nue… »
n, toi l’écrivain que j’aime, Jean-Jacques2857 ! bien souvent tu l’as
connu
, toi-même, Ce profond sentiment, triste et délici
, fils de la tombe ! Parmi les autres confondu, Nul regard ne peut le
connaître
: Dans la corbeille il est perdu ; Seul je le voi
l huit cent trois, je n’ai plus de nourrice, Et j’ai, depuis dix ans,
connu
de tels chagrins, Que ce n’est pas l’adieu ni la
elin. D’un passé douloureux notre cœur est trop plein... Elle ne vous
connaît
que par deux ans de honte, Et de vingt ans de ple
temps déjà ces périls sont passés ; Ma mère a fait de moi ce que vous
connaissez
. Si le mal fût venu, vous étiez le coupable ; Je
able ; Je voudrais l’oublier, je m’en sens incapable ; Je n’ai jamais
connu
qu’elle, je lui dois tout. Vous étiez mort pour m
it rien ! Enfant, ai-je entendu quelque bonne parole ? Je n’ai jamais
connu
le chemin de l’école ; Je lis, c’est tout au plus
des poésies diverses et quelques courts poèmes ; il s’est aussi fait
connaître
comme critique et comme romancier. Mais c’est sur
leur échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés. Je
connus
mon bonheur, et qu’au monde où nous sommes Nul ne
pportait comme un de ses oiseaux ; Mais la nature, ici, ne pouvait me
connaître
. Et même, à la cité, toits aigus des maisons, Pav
nt les premières œuvres ont été publiées dès 1872, s’est surtout fait
connaître
, quatre ans plus tard, par sa Chanson des Gueux,
en 1855) M. Maurice Bouchor n’avait pas vingt ans quand il se fit
connaître
par un recueil de vers d’une verve copieuse et ju
ons, à propos de chaque auteur, dans le recueil du second cycle, fait
connaître
les éditions que nous suivions. Nous avons cru su
es « bonnes paroles et les bons enseignements du roi », c’est la plus
connue
, celle à laquelle Joinville doit surtout sa réput
importante, le Grand Testament, appartient à un genre de poèmes fort
connu
au moyen âge, où le poète, disant adieu à ses ami
es deux premiers vers (cinq syllabes chacun) d’une chanson alors très
connue
. — Sus, qui est ici préposition avec le sens de s
expression indéterminée, remplaçant le nom de terre sous lequel était
connu
ce gentilhomme, et que Montaigne ignore ou ne veu
dans l’Alzire de Voltaire (voir page 604). Des dieux que nous servons
connais
la différence : Les tiens t’ont commandé le meurt
ançais, est encore fréquent au xvie siècle. Le xviie siècle a aussi
connu
cet emploi, qui est devenu plus rare dans la lang
vie de Montaigne. 445. Police, règlement : le règlement fameux bien
connu
(c’est ici le sens du démonstratif). 446. Faill
n appel, mais par pièces écrites et sans audiences ni plaidoiries, et
connaissaient
aussi en première instance de certaines causes do
es corps constitués, et particulièrement les parlements. 537. Il ne
connaissait
point d’interjection. Entendez que son éloquence
doute par dérivation qu’il a ensuite été appliqué au légume que nous
connaissons
sons ce nom. 601. Pâté en pot. fait avec du bœu
ieuses. Sens dérivé du mot, qui désigne d’abord une personne avide de
connaître
, et, ensuite, un objet capable d’exciter la curio
révôt proprement dit était un officier de la maison du roi, chargé de
connaître
des crimes qui pouvaient se commettre à la Cour o
Napolitains contre les Espagnols (1647-1648) ; mais il était surtout
connu
en France pour son élégante frivolité. 875. Que
es anciens placent à l’origine des sociétés et où les hommes auraient
connu
la félicité parfaite. 916. Des oracles. Non seu
ait certains arbres comme les interprètes de la Divinité, qui faisait
connaître
ses volontés par l’agitation et le bruissement de
est fort ingénieuse ; car le faune est un habitant des forêts ; il ne
connaît
pas les habitudes des cours ; et, non sans malice
que résultat heureux. 1042. La correction exigerait : sans qu’ils se
connussent
. 1043. Il est intitulé : Détail de la France (16
Pierre 1er. C’est sous ce nom, qui devint illustre, que devait être
connu
dans l’histoire le jeune frère de Foedor et de la
s familles de Russie Maffeu (ou Matheof, Mathieu) n’est pas autrement
connu
. 1098. A la Chine, se disait aussi bien que : e
ue des violons de village… Ne mettons rien à côté de Virgile. Vous le
connaissez
par les traductions ; mais les poètes ne se tradu
ue, par un lieutenant-colonel du même régiment, M. de Lorri, Voltaire
connut
le dévouement du chevalier d’Assas. « J’en suis s
on verra qu’il parle d’eux comme il parlerait des hommes, cherchant à
connaître
leurs sentiments intimes d’après leur apparence e
u de prix, une friandise qu’on leur offre. L’origine du mot n’est pas
connue
. 1189. Sous-entendu : si j’étais riche. Cette pr
bandes d’étoffes tressées. 1228. Allusion à un conte populaire très
connu
, dont on trouvera une version dans la fable de La
u sang, comte de Charolais (1700-1760), s’était particulièrement fait
connaître
par des cruautés restées impunies. 1238. Le prés
restées impunies. 1238. Le président de Meinières (1705-1785), assez
connu
dans la société littéraire du temps. 1239. Proc
, qui, dans une de ses satires, représente l’empereur Tibère (14-37),
connu
d’ailleurs par sa dissimulation et ses cruautés,
Pierre. C’était la prison Mamertine, ou [...] cachot de cette prison,
connu
sous le nom de Tullianum, et où, [...] tradition,
Guizot (1829-1908), devenue Mme Conrad de Witt, s’est fait elle-même
connaître
par ses travaux originaux et par les soins qu’ell
1794. 1585. Epictète, philosophe du ier siècle de l’ère chrétienne,
connu
pour l’austérité de ses mœurs et de sa doctrine,
e la Noue, dit Bras-de-Fer (1531-1591), célèbre capitaine calviniste,
connu
pour sa bravoure et son esprit politique. C’est l
nalistes et de nos critiques littéraires les plus estimés et les plus
connus
. 1749. Rue des Minimes : rue Culture-Sainte-Cat
s les œuvres de cet homme du monde, qui fut un excellent écrivain. On
connaît
assez les spirituels dialogues de Lucien (iie si
. Toutefois la distinction des deux verbes n’est déjà plus usuelle ni
connue
au temps de Marot, qui les confond lui-même, puis
’une espèce de farce assez grossière que les Grecs et les Romains ont
connue
: on avait cependant, dès l’antiquité, tiré des m
, en s’adressant à ce roi : Tant d’ennemis à tes pieds abattus... Ont
connu
ta fortune, et que (a) l’art de la guerre A moins
: de lui, d’elle ; à lui, à elle, etc. Mais le xviie siècle n’a pas
connu
cette distinction. 2057. Voir page 492, note 2.
tant né en 1601. — Cependant, pendant ce temps. (a) Entendez : et ont
connu
, ont appris que... 2061. Dedans l’ombre, on di
Ton serviteur, oui, je le suis. Donne-moi l’intelligence, pour que je
connaisse
ta loi. — Incline mon cœur pour que j’entende les
ugé sur le fait d’avoir entendu ta parole sans l’exécuter, de l’avoir
connue
sans l’aimer, d’y avoir cru sans l’observer. — Pa
in, qui est, au plus tard, du xve siècle, et dont l’auteur n’est pas
connu
. 2148. Ésope est probablement un personnage lége
2190. Dans quelque endroit. L’histoire du meunier et son fils était
connue
longtemps avant Malherbe ; plusieurs auteurs ital
ent racontée. 2191. S’éclata. Voir la note 7 de la page 20. 2192.
Connaît
, reconnaît. 2193. Cure, souci. 2194. D’aventu
t latin qui a passé en français dans le sens de personnage dont on ne
connaît
pas le nom, avec une nuance de dénigrement ou de
e (1679 ; — l’épître que Boileau lui dédie est de 1674), et qui était
connu
comme l’un des hommes les plus spirituels de son
e trop bien les paroles à double entente de la reine. 2491. Vous la
connaissez
. Mérope se doute bien que Polyphonte n’ignore pas
êt de faire remarquer que c’est à ce mot, dont le sens est d’ailleurs
connu
, et qui vient d’une origine germanique, qu’il fau
e espérait que se trouverait le salut. 2633. C’est du phénomène bien
connu
du mirage que le poète veut ici parler 2634. Voi
Roland, il est représenté mourant avec Roland lui-même. Mais Vigny ne
connaissait
pas notre vieux poème, qui ne fut publié pour la
32) a conservé le souvenir de cette légende. Mais Alfred de Vigny la
connaissait
sans doute par un ouvrage qui fut célèbre dans le
. Le poète interrompt son récit pour ouvrir une espèce de parenthèse (
connaissez
-vous...), qui en amène elle-même une autre (pénèt
old : « Les vagues bondissent au-dessous de moi comme un coursier qui
connaît
son cavalier. La bienvenue à leur rugissement ! R
t déjà séjourné quelque temps à la cour d’Hiéron, à Syracuse. Nous ne
connaissons
pas les causes de cet exil volontaire. Autran a f
teint seul ne renaît jamais ! » Et Méganire lui ayant demandé s’il se
connaissait
un rival : « Non, ma fille, répond-il, pas un ; o
mble à mes chagrins, Je m’ensevelirais dans les lieux souterrains. Tu
connais
le seul but auquel mon âme aspire ; Je veux que s
ter concevant son dessein et l’exécutant, prend soin de nous la faire
connaître
comme une jeune fille dont les sentiments sont ex
originale. 2976. Luron, joyeux compère (l’origine du mot n’est pas
connue
). 2977. « Les rivières sont des chemins qui marc
ammaires, c’est toujours la seconde qui doit triompher. Tout le monde
connaît
les vers de Boileau : Surtout qu’en vos écrits l
ue soient l’érudition et l’habitude de l’écrivain, est-il possible de
connaître
assez à fond les phases de la langue, pour ne pas
emagne, faire parler les personnages en anglais ou en allemand. Je ne
connais
guère qu’une circonstance où ces pastiches puisse
t, à toutes les idées de celui qui l’a sérieusement étudié, et qui le
connaît
bien. Le terrain, jadis ingrat pour tous, ne l’es
envolé avec la mode. Parlerai-je du jargon d’Almack que nous ont fait
connaître
Byron et les romans de la haute vie anglaise, ou
obscurité. » Ce jour même des miens est le dernier peut-être : » Trop
connu
de la terre, on meurt sans se connaître. » Je l’a
est le dernier peut-être : » Trop connu de la terre, on meurt sans se
connaître
. » Je l’attends cette mort, sans crainte, sans dé
point dans moi, je ne le trouvais pas. Je me suis fait une étude De
connaître
les mortels : J’ai vu leurs chagrins cruels Et le
ton emploi ? Tu prétends réformer les décrets de ton maître, Tu ne te
connais
pas, et tu veux le connaître ! C’est d’après sa
former les décrets de ton maître, Tu ne te connais pas, et tu veux le
connaître
! C’est d’après sa propre expérience, que parlai
l’Ecclésiaste. Séduit lui-même un instant par cette ambition de tout
connaître
et de tout vouloir juger, il avait abordé l’école
il faut courir devant les magistrats, Pour répondre de tel que je ne
connais
pas. Vite, courons, de peur que l’on ne nous prév
las pour divinité. Il n’y a que les peuples en voie de finir qui n’en
connaissent
plus le prix, parce que, plaçant la matière au-de
là que le commencement de l’homme. Lui, le prédestiné de l’infini, ne
connaît
encore que le sein de sa mère, son berceau, sa ch
u peuple. Un peuple est assoupi dans les mœurs de la barbarie ; il ne
connaît
pas même le premier des arts, qui est d’assujetti
st heureux. Mais nous voulons tous en sortir, croyant que nous sommes
connus
hors de notre village. C’est là que les échecs no
e suis monsieur un tel, disons-nous « d’un petit air modeste. — Je ne
connais
pas”, répond l’interlocuteur. Quel désappointemen
amartine : il a dit son nom, et il a trouvé que son nom n’était point
connu
. « C’était dans le Liban, il est vrai, mais vous,
lupté, le désir insatiable d’accumuler, voilà les vertus que le monde
connaît
et estime, voilà les vertus auxquelles il porte s
sation même. Si l’on ne compose pas soi-même, il est encore besoin de
connaître
les règles pour apprécier dignement les compositi
ont il faut également trouver les parties constitutives. Les éléments
connus
, il faut diriger notre attention sur l’ordre dans
e la disposition de ses parties constitutives. — Maintenant que vous
connaissez
les parties constitutives de ce morceau, examinez
ront ensuite quelques portraits d’hommes célèbres et d’une biographie
connue
, des parallèles, soit entre de grands hommes d’un
n, nous indiquerons l’Exercice suivant conseillé par Blair : « Je ne
connais
, dit cet excellent rhéteur, aucun exercice plus u
us apprendra à les corriger. Elle servira en particulier à nous faire
connaître
, entre plusieurs manières d’exprimer la même pens
e nous lui présentons. Il y trouvera des termes nouveaux dont il faut
connaître
la valeur, et qui, alors, se présenteront à lui c
r, et qui, alors, se présenteront à lui comme les signes d’idées déjà
connues
. Traité de rhétorique. Sommaire. Définiti
la logique, et l’art de parler correctement, qui est la grammaire. On
connaît
la grammaire par les études grammaticales. La tra
de rhétorique ont pour objet la composition du discours ; il faut les
connaître
, soit qu’on veuille composer soi-même, soit qu’il
les compositions des autres. Les règles du discours en général étant
connues
, servent à juger — ou à diriger toutes sortes de
clure de l’une à l’autre ; 4° la cause et les effets : la cause étant
connue
, on en tire les effets qu’elle est propre à produ
spèce ne peut pas également se dire du genre. Il n’est pas inutile de
connaître
en gros ces différentes sources de preuves, que l
l se pénètre lui-même d’une passion quelconque, il faut de plus qu’il
connaisse
les dispositions de l’auditeur, qu’il commence pa
’admiration qu’elle commande n’est pas l’effet d’un goût réfléchi qui
connaît
les règles, mais l’éruption subite et involontair
ouces, il y a des passions véhémentes. La nature seule, sans que nous
connaissions
encore les règles, nous porte déjà à choisir et m
ut-il informer ? Sur le fait ? il est constant. Sur l’auteur ? il est
connu
. Pompée a donc vu que, nonobstant l’aveu du fait,
ieuse ou noble, présente à l’esprit une image au moyen de laquelle il
connaît
l’objet dont on veut l’occuper. Les poètes abonde
g et de fumée. La frayeur les emporte, et sourds à cette fois, Ils ne
connaissent
plus ni le frein, ni la voix. En efforts impuissa
pas que tes desseins sont découverts ! qu’éclairée de toutes parts et
connue
de tous ceux qui sont ici, ta conjuration est arr
mi nous un seul qui n’en soit instruit ? Ô temps ! ô mœurs ! Le sénat
connaît
tes complots, le consul les voit, et Catilina vit
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut
connue
. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de
iel envoie, et par une espèce d’instinct admirable dont les hommes ne
connaissent
pas le secret, semble né pour entraîner la fortun
e. Ainsi, de même que l’éloquence a précédé la rhétorique qui en fait
connaître
les règles, de même la poésie a précédé la poétiq
n mot de chacun de ces ouvrages. Aristote. La plus ancienne poétique
connue
est celle d’Aristote, célèbre philosophe, né à St
nous parlerons de la poésie en général ; dans la seconde, nous ferons
connaître
les règles particulières applicables aux différen
la tragédie de la mort de César par Voltaire. Cassius a. Écoute. Tu
connais
avec quelle furie Jadis Catilinab menaça sa patri
ption, à laquelle se rapportent plusieurs autres figures que je ferai
connaître
. Antithèse. L’Antithèse est une figure, par
toucher et manier : elle ne perd rien à être vue de près ; plus on la
connaît
, plus on l’admire. Elle se courbe par bonté vers
qu’elle est, développe le caractère de ses personnages, pour le faire
connaître
dans toute son étendue ; et sans trop s’attacher
e pour faire les fonctions de tous les emplois, et, ce qui peut faire
connaître
l’étendue de son génie, tandis qu’il paraissait d
istoire leur donne. Parmi tous les portraits de cette espèce, je n’en
connais
pas de mieux frappé que celui de Rhadamisthe, dan
in, Jouet infortuné de ma douleur extrême, Dans l’état où je suis, me
connais
-je moi-même ? Mon cœur de soins divers sans-cesse
er au crime. Je cède au repentir, mais sans en profiter ; Et je ne me
connais
que pour me détester. Dans ce cruel séjour sais-j
style propre aux lettres familières, est renfermé dans ce précepte si
connu
et si souvent recommandé ; qu’on doit écrire comm
Tout cela dépend du caractère de celui à qui l’on demande. Il faut le
connaître
par soi-même, ou par la voix publique. À ces sort
nt, ni moins pathétique dans ses lettres de recommandation. Nous n’en
connaissons
qu’une tout entière d’Horace, celle qu’il écrivit
tête d’une armée. Tibère en effet agréa Septimius, et le fit ensuite
connaître
d’Auguste, qui ne tarda pas à lui donner son affe
grandeur à d’autres personnes que les circonstances de la vie feront
connaître
. La politesse exige que dans le cours d’une lettr
mière fois à des personnes, dont il est à présumer qu’ils ne sont pas
connus
, il conviendra, je crois, qu’ils ajoutent le titr
s de l’art ; que de géographie précise du monde intellectuel, on n’en
connaît
pas ; qu’on n’a pas encore vu les cartes routière
ujet doit être en rapport avec le talent de l’écrivain. Tout le monde
connaît
la maxime d’Horace : Sumite materiam vestris, qu
me, un roman qui appartiennent à une époque ou à un pays que l’auteur
connaît
mal ou ne peut connaître, dont le but n’est pas f
iennent à une époque ou à un pays que l’auteur connaît mal ou ne peut
connaître
, dont le but n’est pas franc et bien déterminé, o
uriants. Il est classique, par une facture dont l’aisance apparente a
connu
le travail et les lenteurs de la lime1. Souve
Hélas ! soudain, tristement il s’écrie : « C’est un drapeau que je ne
connais
pas2 ! » Ah ! si jamais vous vengez la patrie, Di
ous le chaume bien longtemps. L’humble toit, dans cinquante ans, Ne
connaîtra
plus d’autre histoire. Là viendront les village
. 1. C’est le style d’un poëte lyrique. 2. Le drapeau blanc. Il ne
connaît
que le drapeau tricolore. 3. Jemmapes, village
e de ceux qui forment une pièce. Il ne paraît pas que les Grecs aient
connu
la division de la tragédie ou de la comédie en ac
e devait contenir. On a demandé, par exemple, que le premier acte fît
connaître
tous les acteurs et une partie de leurs caractère
le que le sujet en demande. Le poète ne peut bien distinguer et faire
connaître
ses personnages que par les mœurs et les caractèr
ons, étaient mêlés sans goût, sans choix. Jodelle, Garnier, Hardi, ne
connurent
que l’existence de l’art ; à peine soupçonnèrent-
idicules des provinciaux et les caquets des lieux où tout le monde se
connaît
. Ce sont ces pièces qu’on appelle comédies de mœu
chez nos vieux poètes quelques lueurs de vrai comique. Les Espagnols
connurent
avant nous la bonne comédie ; nous leur devons mê
t ensemble Font qu’on est mal reçu si l’on ne leur ressemble. CLITON.
Connaissez
mieux Paris, puisque vous en parlez : Paris est u
ndroits Dont il n’ait le rebut aussi bien que le choix ; Comme on s’y
connaît
mal, chacun s’y fait de mise, Et vaut communément
uplets, de petits duos, de petits trios, le plus souvent sur des airs
connus
. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la p
er votre ouvrage, de le surcharger et de le grossir outre mesure ; je
connais
d’excellents livres classiques qu’on a fini, à fo
érience et sur la nature du cœur humain, l’essentiel est moins de les
connaître
que d’en découvrir l’esprit et l’usage. Si l’on m
tiens n’est pas ce que l’on pense ; On les hait ; la raison, je ne la
connais
pas. Enfin, chez les chrétiens les mœurs sont inn
n, dit Bossuet, il faut sentir qu’on est voyageur ; et celui-là ne le
connaît
pas qui ne court point sans relâche à la bienheur
théories. Il est bon d’observer comment la nature des choses se fait
connaître
par la définition, par la division du genre en se
ux raisonnements. Pour démontrer clairement la vérité, l’orateur doit
connaître
les diverses formes que la preuve peut revêtir da
z négligé un élément essentiel qui modifierait cette conclusion. Vous
connaissez
plusieurs manières dont une chose se fait, et vou
oire de faire prononcer l’acquittement à l’unanimité. Sa probité bien
connue
lui donnait le droit de commencer sa plaidoirie p
la politique et les projets de Philippe. Celui qui ne les aurait pas
connus
par une étude longue et attentive, fût-il zélé, f
s auditeurs, les mœurs consistent dans le soin que prend l’orateur de
connaître
le caractère et les dispositions de l’auditoire e
Quand l’orateur possède les vertus que nous avons indiquées, quand il
connaît
et respecte les dispositions de son auditoire, il
es parties de la rhétorique. 106. S’il est difficile, dit Cicéron, de
connaître
ce qui convient le mieux dans chaque action de la
mmes. Mais je saurai, j’espère, exposer devant vous ce que vous devez
connaître
, et vous taire ce qui ne doit pas être révélé. 1
lui-même certaines qualités personnelles, et, en second lieu, il doit
connaître
les moyens ou les ressorts qui servent à exciter
pas. Relativement aux passions oratoires, le discernement consiste à
connaître
la nature et le caractère de chaque passion, les
us appris. « C’est moi que j’étudie, disait Fontenelle, quand je veux
connaître
les autres. » 135. On entend par pathétique l’em
ion qui lui échappe. Laisser ainsi son œuvre imparfaite, c’est ne pas
connaître
le cœur humain ; est-on arrivé jusqu’à lui, il ve
e, se tournent et se retournent en tous sens comme un voyageur qui ne
connaît
pas sa rouie. Abordez franchement votre sujet et
le fait dans tous ses rapports et tous ses aspects, parce que vous ne
connaîtrez
bien un événement qu’en l’étudiant dans ses cause
on le fera ressortir au moyen des règles que nous avons données pour
connaître
les sophismes. 226. Lorsqu’on est obligé de réfut
ans les détails. Le syllogisme est également la pierre de touche pour
connaître
la solidité des preuves et des pensées qui compos
our ; l’élocution achève l’ouvrage et lui donne l’âme et la vie. Pour
connaître
le mérite des pensées et apprécier une belle ordo
bre ; 2º les gestes imitatifs, qui, par des signes pittoresques, font
connaître
les personnes et les choses ; 3º les gestes affec
plus de cacher votre marche aux auditeurs quand il leur importe de la
connaître
. 336. La péroraison d’un sermon peut renfermer ju
, mais qui serait dans la chaire un véritable sacrilège. La chaire ne
connaît
de vraiment grand que ce qui est fondé sur la rel
et presque toujours inutiles pour le bien de la cause. L’orateur doit
connaître
tous les points de vue de la question, le fort et
t, par rapport à la science, sont graves et nombreux. Il doit d’abord
connaître
la jurisprudence ou le droit civil, qui est la sc
l’équité. Que jamais il n’ait donc recours au mensonge ou au sophisme
connu
pour tel. Vainement il dirait que son devoir est
et la bravoure, et ces mots ont été vraiment prononcés. Tout le monde
connaît
certaines paroles chevaleresques échappées à Fran
de l’Église n’aurait désavoué, il termina par ce mot : « Enfin, je me
connais
en hommes, et je te dis que Jésus-Christ n’était
ces hauteurs auxquelles vous aspirez, vous direz à votre tour : Je me
connais
en hommes, et je te dis que Jésus-Christ n’était
e vous souvenez point alors du mal que j’ai fait et que je n’ai point
connu
; puisque de ne l’avoir pas connu, dans l’obligat
que j’ai fait et que je n’ai point connu ; puisque de ne l’avoir pas
connu
, dans l’obligation où j’étais de le connaître, c’
; puisque de ne l’avoir pas connu, dans l’obligation où j’étais de le
connaître
, c’est déjà un crime dont vous seriez en droit de
était écrit : Au Dieu inconnu. Ce Dieu donc, que vous adorez sans le
connaître
, est celui que je vous annonce : Le Dieu qui a fa
x ; il vient seulement leur manifester le Dieu qu’ils adorent sans le
connaître
, et que leurs pères ont aussi honoré. Mais remarq
ne dit point aux Athéniens que ce Dieu inconnu qu’il veut leur faire
connaître
est le Dieu d’Isaac et de Jacob ; ces dénominatio
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut
connue
; vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu d
s peur ! » « Pour faire du bien aux enfants, disait quelqu’un qui s’y
connaît
, il faut les intéresser, les faire rire, les fair
les de Dieu ; 2º elle met l’homme à sa véritable place en lui faisant
connaître
sa nature et sa destination ; elle règle mieux qu
tendra une main secourable ? qui deviendra son guide et sa lumière ?
Connaissez
-vous, en dehors du christianisme, beaucoup de ces
et laissé au fond d’un impénétrable tombeau par le seul être qui nous
connaisse
au monde, le seul qui puisse nous faire entendre
Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas
connu
, qu’il faut du temps pour le développer, l’examin
même ; que, si sa bouche a dit le mensonge, du moins son cœur n’a pas
connu
la vérité. » Voilà, monsieur, ce que je dirais à
n, de lui offrir quelques espérances, quelques illusions consolantes.
Connaissez
-vous, messieurs, un spectacle plus émouvant que c
nt les États, et poser les fondements de la tranquillité publique. Il
connaît
la sagesse humaine, toujours courte par quelque e
ieu d’un… Jamais homme n’a été si près d’être parfait ; et plus on le
connaissait
, plus on l’aimait, et plus on le regrette. Les so
’idée. Tous ceux qui ont pris part aux luttes de la presse périodique
connaissent
cette ivresse de la polémique, qui finit par exer
urope, les armes à la main, ce fils des croisés, pour rappeler un mot
connu
, se croise à sa manière, et, dans ses véhémentes
et comment peut-on faire des digressions ? 246. Quel est le moyen de
connaître
si le plan est juste et solide ? 247. Tous les ge
a seconde source de la prédication ? 312. Le prédicateur doit-il bien
connaître
la théologie ? 313. Quelle est l’utilité des scie
, au moins pour ce qui concerne la poésie, aucun des traités que nous
connaissons
ne nous a paru répondre complètement à l’idée que
trer avec un savant critique, ancien inspecteur de l’Université, bien
connu
dans la presse religieuse. Après avoir pris conna
us recevons d’un professeur distingué, dont les savants ouvrages sont
connus
dans toute la France, ces encouragements bienveil
Nœud et Dénouement. PREMIÈRE PARTIE. L’Exposition. L’exposition fait
connaître
: 1° Le caractère original de Bougainville ; 2° Q
liger de ce qui a un rapport direct avec le sujet. Il faut bien faire
connaître
les personnages, leurs actions, leurs caractères
ron Au long bec, emmanché d’un long cou ; et qu’Andrieux nous fait
connaître
Frédéric II Qui tout roi qu’il était fut un pen
bon abbé est déconcerté, puis bientôt l’ouvrier lui apprend qu’il est
connu
pour honnête homme dans son quartier, mais que de
sonnes surtout qui veulent posséder une instruction complète, devront
connaître
quels sont les défauts à éviter dans ce genre de
e est sujette aux règles de l’art d’écrire, il est important qu’elles
connaissent
, je ne dirai pas les règles de ce style, qui n’en
s par Toulouse, où je rendrai mes respects à Clémence Isaure que vous
connaissez
si bien. Si vous y gagnez le prix, mandez-le moi
ettre de madame de Scudéry au Comte de Bussy « Ne vous vantez plus de
connaître
l’amitié, monsieur ; il y a six mois que je ne vo
evrez qu’on ne peut l’être sans rendre à Dieu ce qu’on lui doit. Vous
connaissez
la religion : je puis même dire que vous la conna
lui doit. Vous connaissez la religion : je puis même dire que vous la
connaissez
belle et noble comme elle est : ainsi, il n’est p
nt les États, et poser les fondements de la tranquillité publique. Il
connaît
la sagesse humaine toujours courte par quelque en
re lumière infinie ! Le soleil s’avançait, et son approche se faisait
connaître
par une céleste blancheur qui se répandait de tou
prise est bientôt cessée, après que j’ai eu médité que ceux qui ne se
connaissent
point en pierreries sont trompés par le moindre é
t en pierreries sont trompés par le moindre éclat, et que le monde se
connaît
si peu en vertu, que la moindre apparence éblouit
ue la vie est dans l’action. Mais les mondains, toujours dissipés, ne
connaissent
pas l’efficace de cette action paisible et intéri
de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut
connue
, vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de
écise et indispensable, elle doit, avant toutes choses, s’appliquer à
connaître
à fond les misères des provinces, et surtout ce q
acun est jaloux de ce qu’il est, et on aime mieux être aveugle que de
connaître
son faible ; surtout les grandes fortunes veulent
car les flatteurs du dehors, âmes vénales et prostituées, savent bien
connaître
la force de cette flatterie intérieure. C’est pou
ci l’unique remède : un amour généreux de la vérité, un désir de nous
connaître
nous-mêmes tels que nous sommes, à quelque prix q
que ce soit. Quelle honte et quelle faiblesse que nous voulions tout
connaître
, excepté nous-mêmes ; que les autres sachent nos
de s’essayer à composer sur cet instrument, il faut nécessairement le
connaître
, le posséder, en avoir compris toutes les ressour
dans la Chrestomathie française de M. Vinet, le meilleur livre que je
connaisse
en ce genre. A l’imitation de ces habiles profess
de sciences diverses, plus on aura ouvert de sources à l’invention. «
Connaître
, a dit madame de Staël, sert beaucoup pour invent
s vérités générales ont un enchaînement nécessaire, et qu’il faut les
connaître
presque toutes pour en traiter solidement une en
e et à l’excentrique ; elle présente la méthode la plus efficace pour
connaître
à fond les annales des peuples anciens et moderne
phe des chœurs grecs et les imitations qu’en ont faites les modernes.
Connaissez
-vous rien de plus grand que l’antithèse de Socrat
sait qu’elle fut admirée dans un âge où les autres ne sont pas encore
connues
; qu’elle eut de la sagesse dans un temps où l’on
es temps qui doit devenir la règle et la loi de Dieu. » Tout le monde
connaît
l’épigramme d’Ausone : Pauvre Didon, où t’a rédu
nde ; vous l’ignorez et je l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu !
connaissez
ceux qui vous appartiennent. Mais si nous ne conn
ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent. Mais si nous ne
connaissons
pas ceux qui lui appartiennent, nous savons du mo
je vous ai remis, il y a dix ans, un exemplaire qui vous aurait fait
connaître
son mérite si vous l’aviez lu, mais que vous n’av
ui a le don de transporter les autres hors et loin de tout ce qui est
connu
. Cette règle trop négligée, et que les savants mê
bienséances, le paraître hautement et publiquement. Sans moi, vous ne
connaîtriez
pas, hors de votre famille, les délices de la con
t dont il ont besoin et l’espace qu’il faut à leurs idées, vivent peu
connus
sur la terre, et y meurent sans monument, n’ayant
é doit nécessairement avoir dans sa bibliothèque. N’ayant pu le faire
connaître
ici que par échappée, nous conseillons de lire l’
la même importance que dans les républiques anciennes, mérite d’être
connue
, et comme exercice d’esprit, et à cause de ses an
orateur. Il doit instruire, c’est-à-dire éclairer l’esprit en faisant
connaître
la vérité ; plaire, c’est-à-dire flatter l’imagin
mais ce n’est pas le but principal. Si l’art prescrit à l’orateur de
connaître
les mœurs de ceux à qui il parle, c’est afin de p
’impression que vous voulez lui faire. La troisième règle est de bien
connaître
le cœur de l’homme en général, et les inclination
oute qu’avec la maligne curiosité d’un auditeur prévenu. Mais Cicéron
connaît
la passion dominante de ce juge ; c’en est assez
d étudions la narration. La narration est un récit par lequel on fait
connaître
à l’auditeur le fond du sujet. L’orateur raconte
rouver les choses qui sont claires par elles-mêmes, que tout le monde
connaît
, et que personne ne conteste ; il suffit de les é
anciens. Prenons pour exemple l’éloquence sacrée, que les anciens ne
connaissaient
pas, et qui a produit chez nous les chefs-d’œuvre
vant saint Augustin, la prédication a trois fins : que la vérité soit
connue
, qu’elle soit écoutée avec plaisir, et qu’elle to
ù il avait choisi sa solitude, parut à la tête du peuple de Dieu, fut
connu
depuis Dan jusqu’à Bersabée, régla les différends
us. Que ceux qui prophétisaient depuis huit jours mon opinion sans la
connaître
, qui calomnient en ce moment mon discours, sans l
ent, exclu du concours et même du jugement des pièces dont il pouvait
connaître
les auteurs. Aussi fit-il parvenir son discours à
t un monastère : Alidor ! dit un fourbe, il est de mes amis : Je l’ai
connu
laquais avant qu’il fût commis : C’est un homme d
venimée, qui assaisonne les railleries du sel le plus amer : elle est
connue
sous le nom de sarcasme. C’est ainsi qu’un homme
, qu’enlevée à tout ce qu’elle a de sagesse et de modération, elle ne
connaît
ni Dieu ni elle-même. Mascaron, Oraison funèbre
e idée et lui donner plus de noblesse. Ainsi Boileau, pour nous faire
connaître
qu’il a une perruque et cinquante-huit ans, se se
st-il besoin de nouvelles recherches et de spéculations pénibles pour
connaître
ce qu’est Dieu ? Nous n’avons qu’à lever les yeux
et eu beautés ; elle est faite pour plaire à. l’esprit et nous faire
connaître
les objets avec les qualités qui leur appartienne
eu n’aurait jamais commandé ce sacrifice à une mère ! » Si l’on veut
connaître
quelques beaux exemples d’hypotypose, on pourra l
iable de s’instruire, et du goût pour les arts qu’il protège sans s’y
connaître
. Il a de l’agrément dans la conversation : de la
sainte. Une femme apparut………………………… La Vaccine. Voltaire nous fait
connaître
le moment où Égisthe attaque Polyphonte, dans une
su hauts : la Lettre de madame de Sévigné à M. de Coulanges est bien
connue
: Je m’en vais vous mander la chose la plus éton
oint avoir : Le matin incrédule, on est dévot le soir. Tout le monde
connaît
cette célèbre antithèse, qui est même une petite
ent à leurs ennemis, et finirent par en être les victimes : tous deux
connaissaient
le grand art de s’attacher les hommes et de les e
: le succès dépend du tireur. L’exaltation furieuse d’un sauvage qui
connaît
les passions de la foule et qui les partage peut
arts, par un culte profond du beau et un amour inné de la proportion.
Connaître
bien ce personnage, c’est connaître l’éloquence g
t un amour inné de la proportion. Connaître bien ce personnage, c’est
connaître
l’éloquence grecque, jusqu’au temps où l’art des
Grecs, la ruse est un don divin qui se confond avec la sagesse. Nous
connaissons
l’homme : voyons maintenant l’orateur. Il a dans
l’amère déception qu’ils viennent d’éprouver. Mais l’orateur, qui les
connaît
, sait l’art de les calmer. Il leur rappelle d’abo
est à son orgueil, à son ambition, à sa convoitise. L’homme d’Ithaque
connaît
merveilleusement le cœur humain ; il a étudié les
Thomas. Étudions donc le caractère de cet orateur, et, quand nous le
connaîtrons
, nous connaîtrons et la nature de son éloquence,
donc le caractère de cet orateur, et, quand nous le connaîtrons, nous
connaîtrons
et la nature de son éloquence, et les causes de l
s que soulevait chez eux le moindre écart de parole ? Mais Démosthène
connaissait
cette multitude comme un bon pilote connaît la me
ole ? Mais Démosthène connaissait cette multitude comme un bon pilote
connaît
la mer qui a bercé son enfance. C’est plaisir de
plus claires, ses attaques plus directes : — Le meilleur avis, je le
connais
, Athéniens, mais quelle tournure prendre pour l’é
orts de Chéronée et convia les générations futures à les imiter. Vous
connaissez
cette belle revendication du droit contre la forc
ours, quand on le quitte pour en prendre un autre. Il faut essayer de
connaître
celui qui nous est naturel, n’en point sortir, et
s cet air et ces manières que la nature leur a donnés, et qu’ils n’en
connaissent
point d’autres. Ils les changent et les corrompen
. Il leur faudrait un Hôtel des Invalides. 5. C’est le proverbe bien
connu
: Larmes de crocodile. 6. La misanthropie du ph
araître. En effet, il ne suffit pas qu’il existe : il faut qu’il soit
connu
; il faut qu’il se connaisse lui-même. Jusque-là
suffit pas qu’il existe : il faut qu’il soit connu ; il faut qu’il se
connaisse
lui-même. Jusque-là toutes les tentatives sont va
neuses2. Le Directoire exécutif de la République française avait fait
connaître
à S. M. l’Empereur le désir de mettre fin à la gu
és, l’épopée se soumet à des règles et à des convenances que l’ode ne
connaissait
pas. Caractères et destinées de la poésie épique
modernes, elle a emprunté quelque chose de la poésie lyrique. Elle ne
connaît
pas les élans et l’enthousiasme de l’ode ; mais s
raison ; dans la théodicée, elle démontre l’existence de Dieu et fait
connaître
ses attributs infinis. C’est parmi les philosophe
une habileté qui est le fruit de l’étude et de l’expérience. Ceux-là
connaissent
, l’art oratoire, et l’ont usage de la Rhétorique.
tes les forces de la nature, qui s’emploient au mal comme au bien. On
connaît
l’apologue d’Ésope servant des langues à son maît
éfini l’homme une intelligence servie par des organes : il importe de
connaître
le jeu et les secrets de toutes ses facultés. Les
uestion tout entière, et persuade en déterminant le sens des mots. On
connaît
les belles définitions que Fléchier a faites de l
haine des forfaits qu’on ose m’imputer, C’est par là qu’Hippolyte est
connu
dans la Grèce ; J’ai poussé la vertu jusques à la
ts dont il peignit Burrhus. C’est par la probité que Burrhus se fait
connaître
du spectateur : — Burrhus pour le mensonge eut t
saire du discours que dans le genre judiciaire ; quand les faits sont
connus
, il n’y a plus de récit. Dans le discours, la nar
finir un objet par le terme qui a besoin d’être défini. Tout le monde
connaît
le fameux raisonnement du Malade imaginaire sur l
la juste mesure, sans longueur et sans insuffisance. On peut la faire
connaître
, comme la clarté, par ses contraires, la diffusio
mploient également le pronom en pour désigner un nom de personne. Il
connaît
Nicodème, il connaît sa marâtre, Il en sait, il e
pronom en pour désigner un nom de personne. Il connaît Nicodème, il
connaît
sa marâtre, Il en sait, il en voit la haine opini
à sa parole, en quelque endroit que vous soyez de cet auditoire, peu
connus
des hommes et connus de Dieu, vous commencerez à
que endroit que vous soyez de cet auditoire, peu connus des hommes et
connus
de Dieu, vous commencerez à lever la tête. » (Or.
yère, la belle apostrophe à Zénobie, etc. En voici des exemples moins
connus
: « C’est, sans doute un grand spectacle de voir
énétration effrayante, une éloquence passionnée que la philosophie ne
connaissait
pas avant lui. Descartes, pressé comme Pascal du
orps. Il en est de même des expressions figurées ; elles font d’abord
connaître
ce qu’on pense ; elles ont d’abord cette propriét
alédiction. Chacun sait par cœur celle de Camille. En voici une moins
connue
: « Enfin, enfin disent les démons, nous ne sero
incertain, comme si mon autorité était douteuse ? Race infidèle, me
connaissez
-vous à cette fois ? suis-je votre roi ? suis-je v
re mieux entendre. C’est encore une figure familière à la passion. On
connaît
la réponse d’Alceste furieux à Célimène : Que to
ur, je ne tairai pas ces paroles qu’il répéta si souvent, qu’il vous
connaissait
, etc. » (Oraison funèbre de Louis de Bourbon.)
ein de goût10 a rapporté spirituellement à cette figure des vers bien
connus
de La Fontaine : Le renard sera bien habile S’il
Auguste ? Boileau, Satire Ie, v. 89. Citons encore, comme utiles à
connaître
, l’Antiphrase, qui exprime une idée par son contr
., — et l’Euphémisme qui adoucit l’expression d’une idée fâcheuse. On
connaît
le célèbre euphémisme de Cicéron annonçant au peu
. Sereine et austère, malgré l’essor d’un cœur ardent, sa jeunesse ne
connut
que les troubles de la pensée. Mis en relation av
i ne branlent1 presque que par ses secousses. Nos magistrats ont bien
connu
ce mystère. Leurs robes rouges, leurs hermines do
endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s’éveillerait sans
connaître
où il est, et sans moyen d’en sortir. Et sur cela
dans toute cette page une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui
connaît
à fond la misère humaine, et en souffre, parce qu
à Constantinople, élevé sous le beau ciel du Languedoc, André Chénier
connut
dès l’enfance la langue d’Homère. Il devait inaug
posé des charmes. Ton corps débile a vu trois retours du soleil, Sans
connaître
Cérès, ni tes yeux le sommeil ! Prends, mon fils,
e plaît de se voir si savant. Que ne vient-il vers moi ? je lui ferai
connaître
Mille de mes larcins qu’il ignore peut-être3. Mo
croire que le caractère original doive exclure l’art d’imiter. Je ne
connais
point de grands hommes qui n’aient adopté de modè
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