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1 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
le préalable de toutes les formes de langage que l’on appelle tropes. Comparer en effet n’est autre chose que rapprocher d’une i
littéraire, la rhétorique pose certaines conditions : que les choses comparées aient entre elles une analogie réelle ; que l’écr
e analogie réelle ; que l’écrivain connaisse parfaitement celle qu’il compare et celle à laquelle il compare, et rende les rapp
ain connaisse parfaitement celle qu’il compare et celle à laquelle il compare , et rende les rapports saisissables à première vu
même que, ainsi, comme, tel que, substituez enfin au signe de l’idée comparée celui de l’idée à laquelle vous comparez, et vous
uez enfin au signe de l’idée comparée celui de l’idée à laquelle vous comparez , et vous arrivez au trope. Voici une comparaison 
t défectueuse quand elle est forcée, quand l’analogie entre les idées comparées n’est ni assez naturelle, ni assez sensible, et c
glace qui couvre la surface de l’eau peut jusqu’à un certain point se comparer à une écorce, on se figure mal de l’écorce fondue
’autre est d’un critique qui, dissertant sur les comédies de Molière, compare Agnès « à cette fleur exotique qui se développe e
mpête, et à la république que menacent de nouvelles guerres civiles ! Comparez à cette admirable allégorie des morceaux de quelq
e détail parfaitement juste, que je trouve dans M. Wey : « Evitez de comparer les objets que vous prétendez faire valoir avec d
ctacle est magnifique… Quel panorama ! s’écrie le voyageur. » « Voilà comparer la lune avec un fromage. — « Cet admirable paysag
es guipures, les dentelles les plus délicates : les arts peuvent être comparés entre eux, et c’est donner une haute opinion de l
2 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
ier, sont imitées de Plante. (Amphitryon, acte 1er, sc. 1re.) On peut comparer aussi Rotrou, qui a traité le même sujet, mais av
ute à donner plus de vérité à ses peintures. Ainsi, le public pouvait comparer les originaux avec leurs copies. La suppression d
, il était brave et hardi, mais courtisan insolent, moqueur et bas. » Comparez aussi La Bruyère, (Le fat impertinent ou Thèodect
l a raison : elle lui a coûté beaucoup de peine. » (De la Cour.) 1. Comparez au portrait de Périandre dans La Bruyère. (Des bi
au portrait de Périandre dans La Bruyère. (Des biens de fortune.) 2. Comparez le portrait de Sannion, ou le parvenu anobli dans
rouiller n’avait pas alors comme aujourd’hui une acception basse. 4. Comparez Égésippe dans La Bruyère. (Du mérite personnel.)
montrer son mécontentement par d’aigres paroles. Terme familier. 2. Comparez Cliton, ou l’homme né pour la digestion. (La Bruy
ont une des armes les plus redoutables de la calomnie ou de la haine. Comparez la Prude et la Sage. (La Bruyère, des Femmes, p.
. 1. Veut paraître. Voilà le trait qui porte au cœur. Bien touché ! Comparez le portrait de Lise, la coquette. (La Bruyère, de
iano… dans l’arrière-boutique. (L’Éducation, acte III, sc. x.) 1. Comparez le portrait de la précieuse par Boileau. On peut
3 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
uelconque, mais une correspondance bien marquée entre les deux objets comparés . Si je dis, à propos d’un soldat : C’est un lion
princes. La métonymie exige donc que les deux objets métaphoriquement comparés se correspondent mutuellement, chacun d’eux exist
une connexion, une cohésion des deux idées ; non-seulement les objets comparés se correspondent, mais ils ne forment qu’un tout.
me la métonymie, connexion, comme la synecdoque, entre les deux idées comparées , mais, pour ainsi dire, absorption presque totale
Hyperbole vaut autant qu’exagération. Comme la métaphore, l’hyperbole compare  ; mais au lieu de comparer à des idées semblables
xagération. Comme la métaphore, l’hyperbole compare ; mais au lieu de comparer à des idées semblables, elle compare à des idées
rbole compare ; mais au lieu de comparer à des idées semblables, elle compare à des idées plus grandes ou moindres : plus blanc
4 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bossuet 1627-1704 » pp. 65-83
rer qu’on les reprenne, et c’est pourquoi le grand saint Grégoire les compare à des hérissons. Étant éloigné de cet animal, vou
rité. 3. Conseils signifie dans cette phrase desseins prudents. 4. Comparez à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil
C’est la familiarité même de son langage qui captive les attentions. Comparer la Mort et le Mourant. (La Fontaine.) 2. On lit
et plus vifvement et essentiellement. » (Montaigne, Ess., I, 19.) 3. Comparez le sermon de vêture, prononcé pour la profession
xxvi. 1. Il se compose, c’est-à-dire : se discipline, se règle. 2. Comparez le passage de Fénelon, intitulé Le présent et l’a
hante d’un orateur qui a conscience de sa responsabilité morale. 3. Comparez ce fragment du sermon de Jocelyn aux enfants du v
Rome, avec saint Pierre, l’an 56. On célèbre sa fête le 29 juin. 1. Comparer Aristote. (Rhétorique, liv. II, chap. xii.) 2. C
ossuet était tout jeune encore quand il parlait ainsi de la jeunesse. Comparer Boileau. (Art poétique, les âges de la vie.)
5 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
4  Métaphysique, IV, 1  Du Langage, chap. vii. N’est beau que, etc.] Comparez Politique, VII, 4. Un animal très-petit, etc.] Co
au que, etc.] Comparez Politique, VII, 4. Un animal très-petit, etc.] Comparez le traité De la Sensation, chap iii et iv. « Ce s
dam, Antiquités grecques, t. I, p. 180 (traduction fr., 2e édit.)  et comparez , sur la durée des représentations théâtrales à At
6 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
recommande surtout par sa traduction des Géorgiques que Chateaubriand comparait à un tableau de Raphaël copié par Mignard. On lit
êt et de fausse symétrie dans ce qui devrait être un calque fidèle ! Comparez l’enclos de Jocelyn : Une cour le précède, enclos
pas sourire ceux qui se rappelleront que Delille devint aveugle. 4. Comparez Buffon, et les vers de Jocelyn sur le chien Fido.
ait à l’échafaud, il récitait à son ami une scène d’Andromaque. 1. Comparez à l’élégie d’Hégésippe Moreau sur la Voulzie, jol
cet État. » 4. Ville du Puy-de-Dôme, au sud de Clermont-Ferrand. 1. Comparez à la pièce de M. Lebrun, le Bonheur de l’étude, t
7 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
de joie ceux qui les écoutent. » (Pratique du théâtre, I, 2.) On peut comparer encore Gravina, Della Ragione poetica, I, 14 : de
gouvernement de l’État). En récitant des chants épiques.] Ῥαψωδοῦντα. Comparez la Rhétorique, III, 1. Aristote ne semble pas ici
oyennes, v. 590-595. L’étendue de son imitation est plus restreinte.] Comparez le mot malicieux de Xanthias dans les Grenouilles
8 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXII. » pp. 122-123
e, peut consister en un seul mot composé. Voy. Athénée, X, p. 448, et comparez Démétrius, Sur le Style, § xcii. J’ai vu, etc.] E
ique, III, 2, et cité avec un vers de plus dans Athénée, X, p. 452 C. Comparez Celse, De Medicina, II, 11. Le barbarisme.] Voy.
μένῃ τῇ δɩαλέϰτῳ χρώμɛνοɩ. Les ornements.] Voyez plus haut, p. 115 et comparez Quintilien, VIII, 3, § 61. Euclide l’ancien.] C’e
9 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
, elle fut imbue. » Il se rapporte à vase : la forme est latine. 1. Comparez les vers de Lamartine : Adieux au collège de Bell
Montmorency, lorsqu’il était receveur des finances en Normandie. 1. Comparez Jocelyn, le Retour à la maison paternelle. 2. Al
Allusion aux Montmorency, les antiques possesseurs de ce manoir. 3. Comparez M. de Lamartine. (Le chien Fido, Jocelyn.) 1. M
milliaire sur laquelle était gravé le terrible sénatus-consulte. 1. Comparez la fable de La Fontaine sur le combat des Rats et
10 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIV. » pp. 128-130
us, Sur le Style, § xxxviii - xlix  Longin, Du Sublime, viii, § 3  et comparez Aristote, Rhétorique, III, 6 et 12. Changer les é
Παραλογίζεται ὁ ἀϰροατὴς ὄτι ἐποίησεν ἢ οὐϰ ἐποίησεν οϋ δεδειγμένου. Comparez plus haut, chap. xvi. Si le premier fait est faux
ophocle, intitulée aussi Νίπτρα. — Sur ἐϰ τῶν Νίπτρων, au lieu de ἐν, comparez dans la Rhétorique, II, 23, et III, 16, des locut
11 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233
bre de Canova. Une morbidezza divine y respire. » Sainte-Beuve. 2. Comparez l’Italie de Lamartine à celle de Chateaubriand. L
: M. de Chateaubriand a dû la voir quand la moisson était faite. 1. Comparez ces beaux vers de Lamartine sur la chute du Rhin 
yant au hasard, En cent torrents brisés roule de toute part. 1. Comparez ces beaux vers de Lamartine sur la chute du Rhin 
ennel et ambitieux. C’était alors le règne des périphrases poétiques. Comparez le presbytère de Jocelyn (Lamarine). 3. L’apôtr
2. C’est ici la sensation même. 1. Le paysage a du lointain. 2. Comparez le début de la méditation de Lamartine intitulée
12 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
roblèmes, XXX, 10  Hist. des Animaux, VIII, 1. Qu’on n’ait point vu.] Comparez la Rhétorique, II, 23 fin. Quant au mètre.] Même
23 fin. Quant au mètre.] Même observation dans la Rhétorique, III, 8. Comparez , sur la différence du mètre et du rhythme, Vincen
’attribuait, ainsi que la Batrachomyomachie, à Pigrès d’Halicarnasse. Comparez Harpocration au mot Mαρ-γίτης, et le scholiaste d
13 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lamartine 1790-1869 » pp. 506-523
it naître ; Voir de combien de mains avaient grandi leurs troncs, Les comparer de l’œil, comme alors, à nos fronts, En froisser
classiques auxquelles ils ont rendu d’éminents services. 1. On peut comparer à ces beaux vers ce fragment lyrique emprunté à u
humbles détails du tableau. 2. L’idéal est ici dans la réalité. 3. Comparez le Crucifix et Gethzemani, ou la Mort de Julia.
ns le soin à nos lecteurs. Qu’ils en fassent un exercice de goût. 1. Comparez les vers de M. Lebrun intitulés : le Retour à Tan
érite d’être aussi impérissable que le chien d’Ulysse dans l’Odyssée. Comparez les deux poëtes. 2. Cette larme me rappelle ce
ma chambrette où se passent mes secrets. » (Eugénie de Guérin.) 1. Comparez le Chien du Louvre. (Casimir Delavigne,) 1. Fr
14 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
égalé. » Louis Ratisbonne, Auteurs et Livres.   M. Théophile Gautier comparait la gloire sereine, mais peu bruyante d’Alfred de
. (L’Oiseau.) 5. Prononcez ce mot en articulant quatre syllabes. 1. Comparez l’oiseau-mouche de Buffon. — Ce morceau est éblou
. 1. M. de Vigny aime les images empruntées au Cygne. On pourrait le comparer lui-même à ce noble oiseau, qui plane dans l’azur
e savait pas peindre aussi vivement. Disons-le bien haut. 3. On peut comparer à cette description la pièce de M. Victor Hugo, i
15 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Staël 1766-1817 » pp. 218-221
oupirs de Mme de Staël exilée de Paris par un pouvoir ombrageux. 1. Comparez la petite ville par La Bruyère (de la société), p
son ménage il y avait des arrangements domestiques à prendre. » 1. Comparez la petite ville par La Bruyère (de la société), p
son ménage il y avait des arrangements domestiques à prendre. » 1. Comparez un passage où La Bruyère représente la dévotion d
16 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
s ont fleuri ? Quels monuments se sont élevés ? (10 novembre 1882). • Comparer l’état de la littérature française à la paix de N
e, leur portrait, leur caractère, leurs actions. (6 novembre 1883). • Comparer entre eux les trois tragiques grecs. (30 juillet 
et la versification françaises. (13 novembre 1882). • Pourquoi a-t-on comparé Corneille et Sophocle ? (10 novembre 1881). • De
es mœurs antiques peintes dans Horace, de Corneille. (7 août 1882). • Comparer le rôle d’Émilie dans Cinna et celui de Chimène d
881). • Auguste dans l’histoire, Auguste dans Cinna. (3 août 1882). • Comparer le rôle du père dans le Cid et dans Polyeucte. (4
• Du rôle d’Agamemnon dans l’Iphigénie de Racine. (9 novembre 1882) • Comparer le rôle de Narcisse dans Britannicus et celui de
81). • La journée des Barricades pendant la Fronde. (18 août 1881). • Comparer le caractère et le rôle de Richelieu et de Mazari
dignes de mention. [4] (30 juillet 1884) et (15 novembre 1884) Comparer , dans leurs caractères généraux, la littérature g
et la littérature romaine. Développement. — Il est intéressant de comparer dans leurs caractères essentiels, les deux littér
atins même. II. — Ce qui caractérise en effet la littérature romaine, comparée à la littérature grecque, c’est une originalité a
propre à rendre les nuances abstraites et les délicatesses. — Si nous comparons la littérature philosophique de Rome à celle de l
qui lui a fourni la plupart de ses modèles. [5] (14 août 1885) Comparer la littérature grecque du siècle de Périclès avec
icole ; on y sent partout le janséniste austère que madame de Sévigné comparait à Pascal, « c’est de la même étoffe », dit-elle.
à leur auteur le titre glorieux que Racine lui a donné. Un critique a comparé une certaine partie de cet ouvrage à un poème épi
u langage. Tels sont les caractères du style de Tacite, qu’on ne peut comparer à celui d’aucun autre écrivain, quoiqu’on ait vou
le a été composée. Développement 10. — Parmi les critiques qui ont comparé entre elles l’Iphigénie de Racine et celle d’Euri
s impressions grandioses que nous subissons. [16] (6 août 1884) Comparer les deux rôles d’Horace et de Curiace dans Cornei
seconde fois. Enfin sa sensibilité, qui se trahit à propos, a pu être comparée à celle de Virgile. Il est intéressant du reste d
nsi dire, approprié ! Qu’on prenne le Chêne et le Roseau, et qu’on le compare à la fable d’Ésope. Que le modèle semblera langui
fable d’Ésope. Que le modèle semblera languissant et froid ! Si l’on compare dans Phèdre et La Fontaine, la fable de la Grenou
vre de Boileau en littérature à celle de Descartes en philosophie, et comparer avec assez de justesse l’Art poétique au Discours
est le, plus grec des poètes français. [23] (11 novembre 1885) Comparer les caractères d’Andromaque et d’Hermione dans l’
l’auteur d’Horace et de Cinna ; témoin Narcisse et Mathan qu’il faut comparer avec Maxime. Ce dernier n’est, en effet, dans Cin
ans la complication savante des événements. [26] (18 août 1885) Comparer , dans Le Misanthrope, les caractères de Philinte
morceaux qu’il convient de citer : récit de la bataille de Rocroy, à comparer avec la narration oratoire de Bossuet dans l’orai
et de rancune… « C’est Andromaque qui conduit la pièce ; on a souvent comparé l’âme à une balance. Rien ne rappelle mieux cette
r faut apprendre ce que c’est qu’un lion, un renard, et pourquoi l’on compare quelquefois un homme à ce renard et à ce lion. Le
ui a pardonné. Sa mémoire reste donc pure et glorieuse, et Bossuet le compare aux saints pénitents qui ont mérité et obtenu la
se et si pénible de notre pauvre ami. En effet, quelle gloire peut-on comparer à la sienne ? Quand il fit paraître sur la scène
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
fait saine. 4. Il y a dans ce trait de la tristesse et de la grâce. Comparez les Tombeaux aériens de Châteaubriand. « La jeune
r que. 2. Certaines éditions portent : sans jamais perdre terre. 3. Comparez Florian (la Vie et la Mort, même recueil.) 4. L
etites mains, joveuses et bénies, N’ont point fait mal encore. 1. Comparez ces vers de M. de Laprade : L’enfant est roi par
ensemble est charmant d’esprit, et d’émotion souriante ou naïve. 6. Comparez ces vers de Corneille, dont l’accent est le même 
que susciter le désir de lire l’ensemble de ce chef-d’œuvre, et de le comparer au Lac de M. de Lamartine. (Voir éd. Hachette.)
18 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre III. » p. 77
un grammairien publié par Cramer, Anecdota Oxon., t. IV, p. 312, 313. Comparez notre Histoire de la Critique chez les Grecs, p. 
s étant d’ordinaire célébrées au temps et à l’occasion des vendanges. Comparez avec ce passage une addition à la Vie d’Euripide,
19 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVII. » p. 114
Chapitre XVII. Se mettre à la place du spectateur.] Comparez la Rhétorique, III, 10, 11. — Dans le même ouvrag
ce sujet. La Poétique de la Mesnardière, chap. v, mérite aussi d’être comparée avec ce chapitre.
20 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
aperçoit à la fois un grand nombre d’idées ; et, comme il ne les a ni comparées ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
on que de chaleur1. (Discours sur le style.) L’histoire naturelle comparée a l’histoire politique Comme, dans l’histoire
ns les airs ; leur vol est continu, bourdonnant et rapide. Marcgrave1 compare le bruit de leurs ailes à celui d’un rouet… ; leu
Historiœ rerum naturalium Brasilue libri VIII (Amsterdam, 1648). 2. Comparez ces vers de Delille sur le colibri : Enfin, pour
nombreux parallèles, Avec la lourde autruche et ses mesquines ailes, Comparez cet oiseau qui, moins vu qu’entendu, Ainsi qu’un
er à l’équateur déterminer la grandeur et la figure de la terre. 2. Comparer une lettre de Voltaire à madame de Champbonin. (R
21 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bernardon de Saint-Pierre 1737-1814 » pp. 203-209
les deux tropiques. 1. Rouge clair entre le cerise et le rose. 2. Comparez ce paysage de Maurice de Guérin : « Le 2 avril. 
ses descriptions des sentiments moraux ou des idées religieuse ; 2. Comparez ce paysage de Maurice de Guérin : c’est peint de
n glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin. Comparez aussi la cinquième promenade de Rousseau dans la
22 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
Ce laconisme est une menace. 1. Commis veut dire confié. — On peut comparer aux héros de cette scène le personnage d’Ion, dan
presque éloquent. 2. C’est encore le cas de dire : le pauvre homme ! Comparez le monologue mélancolique d’Auguste, dans Corneil
le désarmer par la pitié, et lui parle comme s’il était généreux. 2. Comparez à ces vers ce passage du Petit Carême : « Hélas !
ster. 6. Graisser la patte, veut dire corrompre par un présent. 7. Comparez , dans les Guêpes d’Aristophane, v : 86-126, le pa
riaient ici de bon cœur. 1. Où le pathétique va-t-il se nicher ? 2. Comparez la Grandeur et la misère de l’Homme, par Pascal,
23 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
quoi l’on est triste, c’est être bien près de savoir ce qu’on vaut » Comparez aussi la pièce de M. Victor Hugo, À un Voyageur (
bre de Canova. Une morbidezza divine y respire. » (Sainte-Beuve.) 2. Comparer l’Italie de Lamartine à celle de Chateaubriand. L
ci, c’est du pur Chateaubriand. Voilà le défaut de ses qualités. 1. Comparez la Liberté, de M. de Lamartine, entre autres ces
1. C’est ici la sensation même. 1. Le paysage a du lointain. 2. Comparez le début de la méditation de Lamartine intitulée
peint les objets comme il les voit, et il les voit comme il les aime. Comparez ces vers de Saint-Victor sur le Meschacebé : On
24 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487
que tu éprouves était dû à ma vieillesse. » (Virgile, l. xi, v. 165.) Comparez aussi le désespoir de la mère d’Euryale. (L. ix,
ants, entrecoupés. On y sent la trépidation, le frisson de la fièvre. Comparez les accents de Didon (Énéide, l. iv), ou de Phèdr
vec quel art le poëte saura varier ce motif ! 1. Elle est en prison. Comparez les plaintes d’Iphigénie qui va mourir. (Racine.)
25 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
nus, le fils qu’il avait eu jadis de Circé. Voy. Hygin, Fable 127, et comparez le livre de Welcker, sur les Tragédies grecques c
ui paraissait la plus touchante de toutes les tragédies d’Euripide. » Comparez Lessing, Dramaturgie, p. 184, trad. fr. de 1785.
26 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
rer qu’on les reprenne, et c’est pourquoi le grand saint Grégoire les compare à des hérissons. Étant éloigné de cet animal, vou
nt ici le portrait du grand Apôtre. 2. Dans le sens d’élocution. 1. Comparer Aristote. (Rhétorique, livre II, chap. xii.) 2.
Bossuet était tout jeune encore quand il parlait ainsi de la jeunesse Comparer Boileau. (Art poétique, les âges de la vie.) 3.
la jeunesse Comparer Boileau. (Art poétique, les âges de la vie.) 3. Comparer le début de l’Oraison funèbre de la reine d’Angle
Comparer le début de l’Oraison funèbre de la reine d’Angleterre. 4. Comparer l’Oraison funèbre du prince de Condé : C’est lui
m super montes . 2. In cunctis convallibus corruent rami ejus. 1. Comparer Pascal. 1. Haccine est urbs perfecti decoris, g
concilier la liberté du prédicateur avec le respect du sujet. Il faut comparer la lettre de Fénelon à Louis XIV. 1. Ce premier
ure de Bossuet. 2. Passage dramatique et plein de poésie. Il faut le comparer aux vers de Lucrèce représentant un dialogue entr
27 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
a d’où partir qu’il ne sache préalablement où arriver, et qu’il n’ait comparé , dans son esprit, les voies plus ou moins faciles
l aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et comme il ne les a ni comparées ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
ni les Méandres, ni Sous les tilleuls, ni Au jour le jour, etc., etc. Comparez à tout cela les admirables expositions de certain
XIV, son esprit frappé de la misère de toutes les grandeurs humaines, comparées à la grandeur de Dieu, trouve ce début réellement
28 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
que le jugement ? Le jugement est cette faculté de l’âme qui sert à comparer , à juger, et qui donne une exacte connaissance de
jamais séduire par des beautés fausses, qui estime avec justesse, qui compare avec équité les beautés des divers genres, et qui
ure, Jamais surpris et toujours enchanté. Si nous voulons maintenant comparer le goût au génie, nous dirons que le génie est la
29 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
e plus agréable et plus naturel. 1. Allusion à l’allégorie où Platon compare les hommes dont la Philosophie n’a pas encore écl
est à la matière. L’arrangement sans ordre est un corps sans âme. 3. Comparez l’éloge de Démosthène, qui est dans le Ier Dialog
ugement des anciens sur Démosthène, et § 4, De l’éloquence de Cicéron comparée avec celle de Démosthène. Le parallèle des deux o
u des superstitions païennes qui déshonoraient la raison. 2. Il faut comparer à ce passage le sermon de Bossuet sur l’unité de
soif de l’or que par la foi chrétienne et la charité évangélique. 6. Comparez Balzac, page 9, même recueil. 7. « Le voyez-vou
ttre est adressée à M. de la Motte, l’adversaire déclaré des anciens. Comparez le § X de la Lettre sur les occupations de l’Acad
30 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
ardonnons-lui donc sa métaphore. 1. Célèbres voyageurs en Perse. 2. Comparez dans La Bruyère Arias ou le parleur impertinent,
nt dans les journaux sur tous les riens qui voltigent dans l’air. 1. Comparez ce passage au Nouvelliste, de La Bruyère 2. Rê
esquieu aime ces expressions fortes qui parlent à l’imagination. 6. Comparez ces vers de M. J. Chénier (1764-1811) : Quand So
31 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184
aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et, comme il ne les a ni comparées ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
r à l’équateur, déterminer la grandeur et la figure de la terre. 2. Comparez une lettre de Voltaire à madame de Champbonin. (R
s morales de la personne. 3. L’âme éclaire les traits du visage. 4. Comparez Fénelon. (Traité de l’existence de Dieu.. 1re par
32 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre III. Idée de l’Éloquence des Saints-Pères. »
passé que par saint Jean Chrysostôme, auquel il ne faut songer à rien comparer . Jamais homme, dit l’abbé Auger, n’a peut-être pl
ut se rappeler sans cesse le pays et l’époque où ils ont vécu, et les comparer à ceux de leurs contemporains qui ont joui alors
33 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
r les Tragiques grecs, t. II, p. 301, Examen de l’Iphigénie à Aulis.) Comparez la Harpe, Analyse de la Poétique. Dans la Médée.]
ose ingénieusement, mais sans nécessité, de lire ici ἁπλότητος, et il compare avec ce passage la Rhétorique, I, 9, et le vers 9
34 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
ier par l’exemple d’une biche à cornes, récemment observée en France. Comparez Élien, Hist. des Animaux, VII, 39. On trouve une
4° à la ponctuation, 5° à l’ambiguïté des termes, 6° à l’usage, et il compare fort à propos cette fin du chapitre xxv avec le c
35 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bernardin de Saint-Pierre, 737-1814 » pp. 357-367
es inédites. Sainte-Beuve, p. 430, t. VI, Causeries du lundi. ) 2. Comparez ce paysage de Maurice de Guérin : c’est peint de
ts. Ses harmonies nous font aimer les dissonances. » 1. On pourra comparer à cette description une lettre où Jacquemont pein
glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin. Comparez aussi la cinquième promenade de Rousseau dans la
36 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101
ρώτην τινὰ λέγουσι φιλοσοφίαν τὴν ποιητιϰήν Polybe (Histoire, II, 56) compare , d’une façon peu instructive d’ailleurs, l’histoi
un fragment du Cléophane d’Antiphane dans Athénée, III, p. 98, 99  et comparez dans Aristote le commencement du livre sur Xénoph
37 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
sophique analogue à notre Cours supérieur de grammaire, où l’on devra comparer et discuter les opinions différentes, et se prono
et qu’on apprend encore une langue qu’on doit en même temps étudier, comparer et classer tous les auteurs qui l’ont illustrée.
38 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre III. Troisième espèce de mots. » pp. 8-11
.   28. — Le comparatif, c’est l’adjectif avec comparaison : quand on compare deux choses, on trouve que l’une est ou supérieur
lle que la tulipe. Le mot que sert à joindre les deux choses que l’on compare . Nous avons trois adjectifs qui expriment seuls u
39 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
couleurs qui venaient en corps citer saint Paul et saint Augustin et comparer les grands jours au jugement universel. Un jésuit
. Qui pourrait dire quelles furent les grâces de son discours ! Il me compara au soleil ; bientôt après, je fus la lune ; tous
gne au destin de tous les gens modérés, que le grand Cosme de Médicis comparait à ceux qui habitent le second étage des maisons :
ns ne sauraient faire oublier. M. Sainte-Beuve a dit de lui : « Je le comparerais volontiers à ces arbres dont il faut choisir les
oyez avec quel naturel madame de Sévigné et d’autres dames écrivent ; comparez ce style avec les phrases entortillées de nos pet
71. Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque1372 au fils de Marie ! qu
e, plus exercé à juger, plus difficile à satisfaire, parce qu’il peut comparer davantage ; cette seconde épreuve n’est pas moins
directe de son idée. Il a, dit-il, le fanatisme de la simplicité, et compare lui-même son style à ces glaces sans tain à trave
quarantaine : c’est ce vin vieux dont parle Voltaire, et auquel il a comparé le poëme d’Horace ; il gagne à vieillir, et de mê
histoire. 24. C’est-à-dire, une divine folie. 25. Dispersion. 26. Comparez à un très-beau passage de Lamennais (Recueil de m
ont été composées dans le ciel. » 27. Qui vont tomber. 28. Il les compare à des malades, qui rendraient l’âme, en passant d
ité de ce prince. » Il aimait l’encens, mais administré délicatement. Comparez à cette lettre celle de Voiture (1er recueil, pro
IV. 205. Cela le console un peu, d’avoir été si bon prophète. 206. Comparer l’Aululaire de Plaute, ac. IV, sc. X. 207. Ce tr
aisons pour l’interrompre ; ce jeu de scène fait toujours rire. 218. Comparez une scène de l’Avocat Patelin. (Recueil des class
es traits de mœurs qui font revivre un classe presque disparue. 239. Comparer l’entretien comique de Sancho Pansa et sa femme.
i ! (Montaigne.) 287. Sont mis en mouvement par ses secousses. 288. Comparer à Lafontaine ; le Chat et les Lapins. 289. Quat
e les conditions de la violence et de la vérité se ressemblent. 339. Comparez un passage de Fléchier (Recueil des classes supér
it pas alors usé par un long usage, et avait un sens énergique. 378. Comparez un beau passage de Massillon sur la vérité. (Recu
cette mort va courant partout, et attrapant de tous côtés ! » 417. Comparer la page où la Bruyère nous représente Irène qui v
497. Conseils signifie dans cette phrase desseins prudents. 498. Comparez à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil
ne philosophie de l’art, mais esquissée par un Platon chrétien. 506. Comparer au roseau pensant de Pascal. 507. Remarquez avec
C’est la familiarité même de son langage qui captive les attentions. Comparer la Mort et le Mourant (La Fontaine). 512. On
plus rien ! Je suis sur mon fumier, comme toi sur le tien. » 513. Comparez le sermon de vêture, prononcé pour la profession
ent dernier et universel, vous y voyez reluire un ordre admirable. Je comparerai le monde à ces tableaux qui sont comme un jeu de
tre serviteur. 569. Remarquez la couleur épique de ce récit. 570. Comparez la résistance de la garde impériale à Waterloo. (
blement s’abandonne, Et console Cérès des fureurs de Bellone. 578. Comparez le passage de Fénelon, intitulé Le présent et l’a
, la prudence d’un docteur et la force  d’un grand esprit. » 596. Comparez ce fragment du sermon de Jocelyn aux enfants du v
. 630. Espérait. Le mot est d’une impayable naïveté. 631. On peut comparer l’ironie de cette page à une lettre où Fénélon s’
é est simplement la voix, le mouvement instinctif de la nature. 650. Comparez les beaux vers de Victor Hugo sur l’Aumône. 651
ne finissions pas d’en parler. Après avoir lu nous étions toujours à comparer les faits des uns et des autres. Une telle femme,
rance. 700. La jeune princesse de Savoie venait d’arriver en France; comparez le portrait tracé par Saint-Simon. 701. A Montar
a va dans ce portrait les ridicules du maréchal de Villeroi. 751. Il compare ce fat à un habit qui va montrer la corde quand s
taine) Je ne me satisfais d’aucunes conjectures. (Corneille.) 762. Comparez une page de madame de Staël (même recueil). 763.
ne fournit aucune variété pour embellir l’histoire. » 802. On peut comparer Bossuet (Recueil des classes supérieures), et cet
Vient l’âge mûr, ensuite la vieillesse : L’une après l’autre. 803. Comparez la belle lettre de Bossuet à Louis XIV (1er recue
. 870. Fénelon a réconcilié la muse païenne avec la muse chrétienne. Comparez ses Champs-Élysées avec ceux de Virgile (6e livre
nts au pouvoir infernal.    (Odes, 1. I, 3.) J.-B, Rousseau. 918. Comparez Bossuet disant : « Elle viendra an jour destiné,
encore, tant ce chrétien a passé avec douceur. Chateaubriand. 921. Comparez les beaux passages de Rousseau et de Chateaubrian
ieu aime ces expressions fortes qui parlent à l’imagination. 1023. Comparez ces vers de M. J. Chénier (1764-1811) : Quand so
ans les journaux sur tous les riens qui volitgent dans l’air. 1045. Comparez ce passage au Nouvelliste, de la Bruyère. 1046.
Tous les deux sont ridicules parce qu’ils sont exclusifs et pédants. Comparez la dispute du musicien, du philosophe et du maîtr
us n’humiliez personne, et vous humiliez tout le monde. Quand je vous compare à ces hommes absolus que je vois partout, je les
le plus joliment de ses maux. Il a les doléances souriantes et gaies. Comparez une lettre de Joubert se plaignant d’un rhumatism
. 1177. A ces spirituelles doléances de Voltaire sur la vieillesse, comparez celles de Ducis que voici : « Il n’est pas impos
les de la personne. 1189. L’âme éclaire les traits du visage. 1190. Comparez Fénelon. (Traité de l’existence de Dieu. Ire part
uant la tête : Ma foi, non plus que nous, l’homme n’est qu’une bête ! Comparez ces vers de Delille : Moins vif, moins valeureux,
re. 1246. L’éloge de l’animal fait ici la satire de l’homme. 1247. Comparez ces vers de Delille : A leur tête est le chien,
al en ce temps-là, surtout quand on se piquait de philosophie. 1259. Comparez le rossignol de Châteaubriand. 1260. On allait n
y a dans cette lettre la simplicité d’une émotion naïve et profonde. Comparez aux regrets d’Horace parlant de son père. Joubert
recueillir l’impôt. Ils y faisaient des fortunes scandaleuses. 1273. Comparez dans Labruyère les portraits de Pamphyle et de Cl
5. Il avait en horreur les colifichets de l’art, le faux, le convenu. Comparez la chute du Rhin, par Lamartine. 1286. Il était
texte à la contemplation. 1349. Un réduit est un lieu retiré. 1350. Comparez la grotte de Jocelyn (Lamartine). Voir notre Cour
a ici de l’exagération. Rousseau devient sentimental et faux. 1355. Comparez le portrait de l’enfant dans Horace et Boileau. (
a Silésie. Vauvenargues avait fait campagne dans ces contrées. 1421. Comparez au passage des Martyrs, le Réveil au camp, 1. vi.
eux tropiques. 1456. Rouge clair entre le cerise et le rose. 1457. Comparez ce paysage de Maurice de Guérin : « Le 2 avril.
rance, depuis le départ de Virginie. 1473. Serviteur de Paul. 1474. Comparez le naufrage de Cymodocée dans les Martyrs de Chat
lga par divers canaux. 1491. Dais qui sert de toiture mobile. 1492. Comparez le portrait tracé par Voltaire. (Hist. de Charles
poussière du crayon no s’enlève pas, on les met sous verre. 1517. Il compare ce germe à l’enfant qui dort dans son berceau.
irs de Mme de Staël exilée de Paris par un pouvoir ombrageux. 1521. Comparez la petite ville par la Bruyère (de la société), p
y avait une course de chevaux : c’était de l’extraordinaire. 1530. Comparez un passage où Labruyère représente la dévotion de
ou la mesure, toutes choses dont l’exactitude est divine. » 1533. Comparez ces beaux vers de Lamartine sur la chute du Rhin.
e, sous l’impression de la sensation vive, et de l’émotion immédiate. Comparez cette page de M. de Lamartine : « Au-delà des de
ennel et ambitieux. C’était alors le règne des périphrases poétiques. Comparez le presbytère de Jocelyn (Lamartine). 1554. L’a
ue tous : chacun d’eux nous donne un couplet du rossignol. » 1564. Comparez ce passage à celui de Bernardin de Saint-Pierre s
577. Il parle ici, à mots voilés, du Dernier des Abeucérages. 1578. Comparez la pièce de Lamartine, Novissima Verba. 1579.
pre caractère. » 1625. Lisez Massillon : La Mort du juste. 1626. Comparez les vers de Lamartine sur la Prière. En voici que
goteurs. » 1657. Didier. — Méditations et Études morales, p. 312. Comparez aux pages de la Rochefoucauld sur l’amour-propre.
de la noblesse dans ce tableau, mais il est un peu académique. 1664. Comparez une scène analogue tirée de Colomba (M. Mérimée)
culture, et au plaisir des grandes études. 1699. Le 18 février 1587. Comparez à cette page le 6e acte du drame de Schiller. Aux
par un douloureux hurlement de regret et de gourmandise ! » 1730. Comparez cette page du bibliophile Jacob, (Paul Lacroix) :
. C’est le mot de l’honneur, du devoir, de la responsabilité. 1754. Comparez cette page tirée des actes des apôtres : « Penda
père de Colomba : il y avait vendette entre les deux familles. 1780. Comparez les Choéphores d’Euripide, entre antres passages,
page dont l’éloquence est comme la voix même de l’Université. 1839. Comparez les conseils que M. Théodore Jouffroy donnait aus
40 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
ns ne sauraient faire oublier. M. Sainte-Beuve a dit de lui : « Je le comparerais volontiers à ces arbres dont il faut choisir les
oyez avec quel naturel madame de Sévigné et d’autres dames écrivent ; comparez ce style avec les phrases entortillées de nos pet
le plus joliment de ses maux. Il a les doléances souriantes et gaies. Comparez une lettre de Joubert se plaignant d’un rhumatism
ier. 2. A ces spirituelles doléances de Voltaire sur la vieillesse, comparez celles de Ducis que voici : « Il n’est pas imposs
41 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
gne au destin de tous les gens modérés, que le grand Cosme de Médicis comparait à ceux qui habitent le second étage des maisons :
ardonnons-lui donc sa métaphore. 1. Célèbres voyageurs en Perse. 1. Comparer dans La Bruyère Arias ou le parleur impertinent,
ails, a découvert des causes invisibles jusqu’à lui ; il a rassemblé, comparé , opposé les faits avec cette sagacité laborieuse
formules pleines d’autorité. 3. Ce mot a le sens de résolution. 1. Comparer le tableau tracé par Bossuet dans l’Oraison funèb
42 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
crivain. Celui qui la possède ne se doute pas de son mérite, il ne se compare avec personne, et abandonne à ses lecteurs le soi
gination. Cette figure est donc née de notre disposition habituelle à comparer nos affections morales avec nos sensations, et à
toutes les autres. Mais il y en a aussi où les objets matériels sont comparés entre eux. On a dit la fleur de l’âge, parce que
ur lui la chose intellectuelle est sensible, il la voit, l’admire, la compare à la chose physique, et la métaphore, qui a peut-
euille de papier, La glace d’un miroir. Pour faire cette figure, on a comparé le papier aux feuilles des arbres, et l’on a vu q
nd ses termes de rapport dans un ordre unique, c’est que la métaphore compare , et que la catachrèse imite. Ces deux nuances bie
on parle éclipse en son genre tous ses rivaux. Dans le second cas, on compare ceux dont on parle aux modèles que nous trace l’h
u glou. TROPES. La Métaphore veut des formes décidées, Elle unit et compare ensemble deux idées. Par la Métonymie on peut cha
tiste habile les arrangeât dans un ordre parfait. 3° On ne peut mieux comparer une bonne composition qu’à ces parterres disposés
ngage ; enfin, dans le bosquet de repos, le but du discours. Que l’on compare ce magnifique parterre à une prairie de mai liée
ressions rebattues et devenues trop communes à force d’être répétées. Comparer un homme en colère à un lion, est une figure triv
vils et populaires. Le disparate. —  Il a lieu quand les idées comparées sont entr’elles sans aucun rapport, ou quand le s
s le plus souvent il faudra qu’il revienne sur ce qu’il a fait, qu’il compare de nouvelles tournures aux premières adoptées ; q
43 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
lle être juste, noble et claire. Comme l’objet de cette figure est de comparer deux choses entre elles, et de découvrir le côté
e un tonneau en perce. Dans une Épître au président Hénault, Voltaire compare leur gloire, et fait une allusion flatteuse et pi
on a parlé sur le même sujet que l’abbé Poulle. Il est intéressant de comparer leurs pensées. Nous trouvons aussi un bel exemple
a Comparaison est un rapport de convenance entre deux objets que l’on compare ensemble. Cette figure est propre à orner la pens
t pour exprimer ses regrets sur la mort d’Henriette d’Angleterre : il compare la rapidité avec laquelle Madame a passé sur cett
rincesse si précises et si littérales ! Le coucher du soleil est ici comparé la manifestation d’un monarque à ses sujets : Un
sons. Boileau est fort amusant lorsque, dans son poème Le Lutrin, il compare la défaite et la fuite des chantres à la fuite d’
44 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »
n canal régulièrement tracé au cordeau sera quelque chose d’insipide, comparé aux sinuosités d’une rivière. Des cônes, des pyra
n qu’ils lui donnent, à certains égards, la préférence, lorsqu’ils le comparent à la peinture et à la sculpture. Observons cepend
45 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
αι δὲ πάντα ἀριθμῷ ὁ δὲ τοῦ σχήματος τῆς λέξεως ἀριθμὸς ῥυθμός ἐστιν. Comparez Longin, Fragments ii et iii de notre édition. Le
a musique, Aristote, Politique, VIII, 5. Chap vi. — La paracataloge.] Comparez , pour plus de détails, Plutarque, De la Musique,
46 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bourdaloue, 1632-1704 » pp. 133-137
re plus tranquille. » 1. État, poste envié, convoité, obtenu. 3. Comparer Molière distinguant la vraie et la fausse dévotio
i comme une tache qui eu obscurcit tout l’éclat et le ternit. » 1. Comparer Bossuet. — Pour compléter ce portrait idéalisé, r
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
, mais non par écrit, car ce serait un traité dans les formes3. 1. Comparer une leçon de M. Cousin Sur la guerre. 1. Arbre g
, que de Maistre est un partisan fougueux de l’ancien régime. On peut comparer à ce morceau la dissertation de Rivarol sur les m
nistre du roi de Sardaigne auprès de la Confédération helvétique. 2. Comparer à la lettre de Balzac, L’homme s’agite et Dieu le
48 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »
e plie sans efforts à tous les genres de composition. Aussi, quand on compare les productions de la Grèce et de Rome, trouve-t-
moins à être modeste, et plus à être grand. Démosthène et Cicéron comparés . Les critiques de tous les temps ont beaucoup
49 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
e fable, la sensibilité était fort en honneur dans notre littérature. Comparez les Deux Amis de La Fontaine. Aidons-nous mutuel
e fable, la sensibilité était fort en honneur dans notre littérature. Comparez les Deux Amis de La Fontaine. 1. C’est une rémi
50 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Boileau 1636-1711 » pp. 401-414
urut dans la misère. 4. Pyrrhus, roi d’Épire (313-272.) 1. Il faut comparer à ces vers le chapitre xxxii, l. 1 er de Gangantu
i sont bien français ; celui-ci surtout : est vain dans ses discours. Comparez le portrait de la jeunesse, par Bossuet. (Recueil
l’on fait de ses ouvrages. » (La Buyère. Ouvrages de l’Esprit.) 3. Comparez à l’Art poëtique d’Horace. 1. Le goût et la con
51 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
ux les traits vrais ou spécieux dont ils ont peint une passion ; elle compare les morceaux, non pour donner des rangs, mais pou
us de souci de la morale que de l’esthétique. C’est de la littérature comparée qui conclut par de la morale. J’éprouve quelque e
tableaux, la vie des portraits, les rapprochements de la littérature comparée . J’ai peut-être des raisons personnelles pour ne
52 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563
au un chanteur, un poëte comme lui. 1. Béni soit le bouvreuil ! 2. Comparez cette page de Xavier de Maistre pleurant la mort
tissait une maison d’école dans son village, l’idée vint à Brizeux de comparer la blanche maison qui s’élevait à ces autres écol
53 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
Dorothée 3. Son vers a de l’ampleur, de l’élan, de la sérénité. Il a comparé quelques-uns de ses poëmes à un vase athénien rem
assait à chanter ! 2. Ah ! je comprends l’attrait de son école. 3. Comparez Jocelyn, le maître d’école, le pasteur évangéliqu
54 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
sur les questions dont le développement leur est donné par nous. Ils compareront ensuite leur travail au nôtre et ils verront ce q
° du style des deux écrivains. (Toulouse, juillet 1886.) Racine Comparer dans Racine l’amour maternel d’Andromaque, de Cly
véritable homme de bien. » (Clermont, août 1891.) Faire connaître et comparer les caractères d’Alceste et de Philinte dans Le M
plis ? Esquisser le tableau de ce progrès. (Bordeaux, novembre 1889.) Comparer le développement colonial des nations européennes
u’une sanction ? Enumérer les principales sanctions morales, puis les comparer sous le rapport de l’efficacité. (Rennes, avril 1
in à celle d’un grand capitaine. Vous profiterez de cette pensée pour comparer sans emphase et sans fausse sensibilité, les arts
Donnez une idée sommaire des ministères de Colbert et de Louvois, et comparez les services et les caractères de ces deux hommes
es et les caractères de ces deux hommes célèbres. (Paris, août 1876). Comparez Turenne et Condé. Vous rappellerez ce qu’ont été
t apprécier le caractère d’Auguste dans la tragédie de Cinna. (1883.) Comparez d’après vos lectures, Voltaire et Rousseau comme
Joad ; montrer qu’il est vraiment l’âme de la tragédie d’ Athalie. –  Comparer Burrhus à Abner. – Expliquer pourquoi Athalie n’e
Est-il vrai que Voltaire ait exagéré la grandeur du xvii e siècle ? –  Comparer les lettres de Voltaire à celles de Mme de Sévign
s étaient-elles d’accord en France vers le temps de la Révolution ? –  Comparer Turgot à Necker. – Washington et Franklin. – Quel
és qui vous ont surtout frappé dans les lettres de Mme de Maintenon ? Comparez ses lettres à celles de Mme de Sévigné. – Roussea
st-il vrai qu’elle ressemble à une jeune fille chrétienne moderne ? –  Comparer le caractère d’Agamemnon à celui de Don Diègue.
est moins apparent et par là même il est d’un ordre plus relevé. Comparer dans Racine l’amour maternel d’Andromaque, de Cly
ostérité sans doute hésitera comme eux à préférer l’un à l’autre. Comparer le rôle de Narcisse dans Britannicus et celui de
poète est moins grande aujourd’hui qu’autrefois. Ses contemporains le comparaient comme poète tragique à Corneille et à Racine ; no
uffon, Rousseau n’ont écrit qu’en prose. On ne peut sérieusement leur comparer les poètes, leurs contemporains. Gresset, Piron,
ec la régente et il se contentera des plus médiocres concessions. Comparer Richelieu et Mazarin. Richelieu et Mazarin ont
Les Femmes savantes et Tartufe, pourraient seuls, peut-être, lui être comparés . Si l’on y regarde bien, on reconnaît vite que ma
Louis XIV. Il interroge les témoins, il consulte les Mémoires, il les compare , il se fait une opinion d’après des documents aut
grand poète. La Henriade passa d’abord pour un chef-d’œuvre et on la comparait à l’Iliade et à l’Énéide. Vers la fin du xviiie s
révèlent plus de dextérité et plus d’artifice que d’art réel. Elle a comparé son pathétique forcé et larmoyant aux solides bea
ez la scène et vous développerez le caractère esquissé par Boileau. –  Comparer Corneille et Racine comme poètes comiques. – Mme
l’exercice de la piété et des bonnes œuvres à paraître devant Dieu. –  Comparer les caractères de Chimène, de Pauline et d’Émilie
e Mme de Sévigné et de Voltaire. Appréciez, d’après cette lecture, et comparez les deux écrivains. – Mme de Staël a dit que l’en
e de l’autre, elles suivent chacune sa route et ne peuvent guère être comparées . Aussi, si nous étudions, dans leur vie et dans l
mères n’aiment leurs enfants, moins qu’il n’en était digne, si on le compare à sa sœur. Sa morale, sur ce point (sur d’autres
ittérature. La science, l’industrie et l’art. – Les distinguer et les comparer . Déterminer leur but, les besoins physiques ou in
oi consiste le vrai dans les œuvres d’imagination, dans l’éloquence ? Comparer la recherche de la vérité telle qu’elle se pratiq
ne est encore plus perfide que Corneille ; ceux qui lisent vite l’ont comparé à une belle prairie unie et plane ; non ; mais il
avoir ? Concours de 1888. Ordre des lettres Littérature. Comparer Corneille et Racine. Langue française. Dans son
de la critique contemporaines, en état d’écrire désormais l’histoire comparée des littératures. Sans espérer ni demander que le
rançaise, même une certaine familiarité des problèmes de linguistique comparée , et, en tout cas, un savoir assez étendu pour pre
ensuel, où les préférences personnelles ont leur place, ne saurait se comparer au goût intellectuel, produit d’une culture spéci
à ou au-delà, et ce qu’était, en somme, ce point de perfection, quil compare à l’exquise maturité d’un fruit, et sur lequel ne
ns au désavantage dont Voltaire se plaint ? Langue française. étude comparée des trois textes suivants, au point de vue du voc
on se rend compte de l’infériorité de la prose coupée de cette époque comparée à la belle prose du xvii e siècle. Le style coupé
de ces héroïnes peut amener dans l’éducation des jeunes personnes. –  Comparez , d’après la lecture que vous avez faite de leurs
euse. – De Corneille et de Racine. – Vous vous attacherez moins à les comparer qu’à porter sur chacun d’eux un jugement précis,
poésie qu’on ne trouve nulle part ailleurs dans les autres auteurs. –  Comparer entre eux les rôles de femmes dans le Misanthrope
d’or, que les poètes placent si loin derrière nous, est devant. » –  Comparer l’étude des sciences mathématiques à celle des sc
raons ; 2° Sous les Ptolémées1. (Section d’architecture, mars 1891.) Comparer l’art et la littérature des Romains à l’art et à
uines et des monuments en Perse, en Assyrie, en Égypte, en Grèce ? –  Comparer le caractère, les mœurs, les monuments des Égypti
t attirer sur la Perse de terribles dangers !… Concours de 1873 Comparer Richard Cœur de Lion avec Philippe-Auguste. CONSE
et les plus magnifiques monuments détruits avec un vandalisme qu’on a comparé à celui des soldats romains de Mummius lors de la
des yeux de tous ses compagnons. Décrire cette scène avec détail, et comparer cette courtoisie chevaleresque à l’ignoble traite
ne vous demande que deux ou trois navires et une centaine d’hommes….. Comparez ce que vous risquez à ce que je vous offre….. Pou
ffre….. Pourriez-vous hésiter ? (La Flèche.) socrate a ses juges. Je comparais devant vous pour la première fois de ma vie, à so
eureusement sa retraite. Le vieux Caton, en racontant cette aventure, comparait le dévouement du tribun à celui de Léonidas, et i
ldats mercenaires ou des esclaves sont en général de mauvais soldats. Comparer les qualités militaires de différentes nations. A
ies, les saisir dans leur ensemble, en bien comprendre la portée, les comparer entre elles. Il faut remonter aux principes, s’en
e est l’utilité des leçons d’agriculture professées à la campagne ? –  Comparer la vie du laboureur, du bûcheron, du vigneron ? L
s qualités, – son rôle dans l’histoire, – sa place dans la société. –  Comparer l’existence du montagnard – et de l’habitant de l
Comparer l’existence du montagnard – et de l’habitant de la plaine. –  Comparer la vie et l’état social du paysan avant 1789 – et
les inconvénients de la prodigalité et les avantages de l’économie. –  Comparez la condition du cultivateur avec celle de l’ouvri
du cheval de trait ? – du cheval d’attelage ? – du cheval de course ? Comparez leurs formes, – leurs aptitudes, – l’emploi qu’on
chesse, les progrès – en exagérant les nôtres. Ils nous permettent de comparer leur civilisation avec la nôtre, de les imiter, d
– Pourquoi le siècle de Louis XIV est-il appelé le grand siècle ? –  Comparer les caractères généraux du xviie et du xviiie siè
ait de trois mois en trois mois changer de comptoir pour le former. –  Comparer l’industriel et le commerçant. – Utilité des Ecol
55 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
ici. Ainsi Homère et Virgile ont pu, sans blesser la majesté épique, comparer tantôt le nombre, l’ardeur et l’impatience des Gr
e observateur bien plus scrupuleux des bienséances, n’a pas craint de comparer , dans sa Henriade, les troupes françaises à une m
eux héros qui s’avancent fièrement au combat l’un contre l’autre, les comparent au dieu Mars et à l’Épouvante, s’élançant du fond
56 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
gination. La mémoire conserve et retrouve les idées ; Le jugement les compare , les choisit, les coordonne ; L’imagination les m
au mot propre supposent une correspondance préalable entre les objets comparés , la cause pour l’effet, l’effet pour la cause, le
’a plus de signe propre et exclusif dans la langue ; L’hyperbole, qui compare , comme la métaphore, une idée à des idées semblab
57 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
une sorte de contradiction avec ce qui sera dit plus loin sur Cratès. Comparez , plus bas, le commentaire sur le chapitre XII. Ép
us que l’œil puisse apercevoir sans peine. » (Commentaire sur le Cid. Comparez sur Cinna, acte II, scène I.) Enfin l’élève de Vo
58 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fléchier. (1632-1710.) » pp. 69-75
ar une de ces illusions que l’éloignement dissipe, ont été jusqu’à le comparer à Bossuet. Il suffit de dire, à son éloge, qu’il
torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs. 2. On peut ici comparer Massillon à Fléchier. Celui-là a fait également,
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
e d’estampes populaires dont s’orneront les chaumières rustiques. 5. Comparez Victor Hugo : Réveries d’un passant à propos d’un
t familières. On croit entendre la voix chevrotante de l’aïeule. 2. Comparez M. Victor Hugo. Feuilles d’automne, iv, et surtou
60 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
r leur goût, et de fixer leurs idées sur le caractère de notre langue comparée aux langues étrangères. Après un court éloge du p
aperçoit à la fois un grand nombre d’idées ; et comme il ne les a ni comparées , ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
61 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152
vements célestes reconnus, combinés, représentés, le ciel et la terre comparés , l’univers agrandi et le Créateur dignement adoré
rter dans les airs ; leur vol est continu, bourdonnant et rapide : on compare le bruit de leurs ailes à celui d’un rouet. Leur
62 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
Dieu que voilà ! » 1. Sont mis en mouvement par ses secousses. 2. Comparez à La Fontaine ; le chat et les lapins. 3. Quatre
Que les conditions de la violence et de la vérité se ressemblent. 3. Comparez un passage de Fléchier. (Même recueil, page 138.)
63 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
tous les termes de cette admirable comparaison. 2. Il est curieux de comparer à ce passage ce que dit Fénelon sur l’éloquence d
l’exactitude physiologique de la description qu’on va lire. — On peut comparer , à ce sujet, Fénelon, Lettres sur la religion, II
au lieu que l’homme reçoit l’éducation de tous les siècles… » On peut comparer aussi ce que Buffon a dit des castors, qui ont ét
64 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
étranger Croit qu’on rit de ses maux et qu’on veut l’outrager : Ne me comparez point à la troupe immortelle : Ces rides, ces che
et l’éloge de l’Italie, que renferme le IIe livre des Géorgiques. On comparera aussi avec intérêt à ces vers l’éloge de l’Anglet
65 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles. Je suis chose légère, et vole à t
il est toujours prêt à s’éveiller pour être Gros-Jean comme devant. » Comparez à cette fable ce passage des Châteaux en Espagne,
a lieu de craindre pour son éloquence et sa vertu. 6. Octogénaire. Comparez le vieillard de Tarente dans Virgile. Homère nous
ui cause nos peines. Ici l’emploi de la périphrase est expressif. 5. Comparez les inquiétudes d’Harpagon dans Molière, ou d’Euc
t de l’importance du sujet. 3. Exemple de suspension expressive. 4. Comparer à la Peste des animaux (Virgile), et au début d’Œ
66 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117
si vrais et si féconds de la Poétique d’Horace. Je prie le lecteur de comparer les deux écrits, et surtout de méditer ces parole
n ou par la recherche de ces pensées déliées et fugitives, que Buffon comparait aux feuilles du métal battu, il arrive que les pa
Pour bien comprendre cet artifice de la disposition, il suffirait de comparer un discours d’Isocrate, par exemple, à un discour
67 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
directe de son idée. Il a, dit-il, le fanatisme de la simplicité, et compare lui-même son style à ces glaces sans tain à trave
refuse à l’historien, son histoire nous l’a plus d’une fois donné. —  Comparez à ce morceau le chapitre de Fénelon qui traite le
68 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195
r2. Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque3au fils de Marie ! quelle
2. Rousseau devient sentimental, comme on l’était sous Louis XIV. 1. Comparez le portait de l’enfant dans Horace et Boileau. (A
69 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
. On doit y recueillir les raisons de l’une et de l’autre partie, les comparer , les balancer, et se déterminer sa faveur des mei
t facile, une peinture exacte des mœurs et des caractères. Quintilien compare son éloquence à un ruisseau pur et clair, plutôt
qui succédait à son frère. En voici un morceau frappant. Après avoir comparé le grand Corneille aux Eschyle, aux Sophocle, aux
propos certains droits déjà établis, ou pour en imposer de nouveaux ; comparer la recette avec la dépense, pour retrancher ou mo
t les augmenter, mais encore celles des puissances voisines, pour les comparer les unes aux autres. Il leur est aussi essentiel
70 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
aison, parce que j’exprime tous les points de rapport des deux objets comparés . Mais si je dis simplement : Ce ministre est la c
e. 2º De circonstances triviales et familières qui avilissent l’objet comparé , comme ce vieux poète français qui dit que le dou
ition. Comme la comparaison est fondée sur la ressemblance des objets comparés , l’antithèse consiste dans le contraste ou l’oppo
By envy’s hand, and murder’s bloody ax. 38. Cicéron, comme Horace, compare souvent la république à un vaisseau agité par la
71 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
lequel le prédicateur a voulu diriger nos pensées. On peut alors les comparer à des excroissances qu’on aimerait mieux ne pas a
nt que Quintilien. Cinquième partie. Lecture XXXV. Du mérite comparé des anciens et des modernes. — Des historiens.
plus loin, je crois devoir faire quelques observations sur le mérite comparé des anciens et des modernes, afin de nous mettre
caractérise les poètes, les orateurs et les historiens de l’antiquité comparés aux modernes. Chez les premiers, nous trouvons de
lité d’adopter dans les compositions historiques un plan général ; il compare la faible instruction que l’on retire de l’étude
ues observations sur la diversité des opinions relativement au mérite comparé des anciens et des modernes, je suis entré dans d
n assez vague contre le luxe et la corruption des mœurs de ce siècle, comparés à la simplicité des premiers temps de la républiq
ions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux espèces, l’une qu’ils comparaient à des perles détachées, l’autre à des perles enfi
. De tous les poètes lyriques anciens et modernes, aucun ne peut être comparé à Horace pour la correction, l’harmonie et le bon
offrent un genre de composition magnifique auquel nous n’avons rien à comparer . Considérés comme une inspiration divine, ils ouv
ure de l’homme ; mais, s’il veut peindre la beauté d’une femme, il la compare au mont Carmel, caput tuum ut Carmelus (Cant. c
dans la distribution des matières que celui d’aucun prophète. Si nous comparons Isaïe aux autres poètes sacrés, nous sommes d’abo
ere, impetu, granditate, nemo unquam eum superavit. Ce savant auteur compare Isaïe à Homère, Jérémie à Simonide, et Ézéchiel à
tout entier ; les batailles de Virgile et de tous les autres poètes, comparées aux siennes, paraissent inanimées et froides. Auc
ompent mal à propos une description. La ressemblance entre les choses comparées n’est pas toujours très claire ; les mêmes objets
s consacrer quelques lignes à l’Odyssée. C’est avec raison que Longin compare Homère, dans ce poème, au soleil couchant qui bri
loge. Si, maintenant, sous le rapport de leur mérite en général, nous comparons l’un à l’autre ces deux princes de la poésie épiq
s beautés et les défauts que l’on doit attendre d’un auteur original, comparé à ceux qui sont entrés après lui dans la carrière
Pompée ; rien n’est plus poétique que ce beau passage dans lequel il compare Pompée à un vieux chêne ruiné par le temps :    
le poète courait trop après les expressions saillantes et originales. Comparé à Virgile, Lucain a peut-être plus de grandeur et
yle, je ne connais qu’Homère, Virgile et Milton qui lui puissent être comparés . L’Arioste, le rival du Tasse dans la poésie ital
de passages admirables ; il y a des morceaux auxquels on ne peut rien comparer  : mais aussi il n’en est peut-être pas une que l’
ouvrage en plusieurs volumes, de la discussion du mérite des opinions comparées de Blair, de Campbell, et des meilleurs littérate
s critiques de toutes les nations, et dans tous les temps, ont aimé à comparer ces deux grands orateurs ; et, suivant leur goût
t que « les lumières que nous avons acquises nous ont appris à ne lui comparer aucun des hommes qui se sont mêlés du gouvernemen
un chef-d’œuvre auquel les temps anciens et modernes n’avaient rien à comparer . Le sujet du sermon est le petit nombre de ceux q
essembler à la foule.” (Massillon, Sermons, vol. iv.) » Du mérite comparé des anciens et des modernes. Tome II, page 51.
e était encore trop peu cultivée, et que si quelquefois on ne peut le comparer qu’à lui-même pour le naturel et pour le sublime,
ours égal à lui-même ; s’il l’avait été, ce ne serait pas assez de le comparer aux hommes que leur genie a élevés au-dessus de l
72 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
ue l’art d’écrire. Comment parle-t-il du style simple ? Après l’avoir comparé à une beauté négligée qui a des grâces d’autant p
n ouvrage en aucun genre d’eloquence ou de poésie. » Aussi Quintilien comparait -il l’invention et la disposition séparées de l’él
73 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre second. De la disposition. »
comme moyen d’arriver à la connaissance de la vérité. Quintilien les compare à la grêle qui ne renverse pas comme la foudre, m
que l’ensemble d’une composition, je vais, à l’exemple de Quintilien, comparer un auteur à un architecte qui veut construire un
74 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IX. Neuvième espèce de mots.  » p. 44
u, ou bien, soit. 4° Pour marquer exception : sinon, quoique. 5° Pour comparer  : comme, de même que, ainsi que. 6° Pour ajouter 
75 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XII. » p. 103
ex verbis Aristotelis recte constituendis (Neu-Brandenburg, 1837). —  Comparez le grammairien anonyme, publié par Cramer, Anecdo
76 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
n aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et comme on ne les a ni comparées ni subordonnées, on ne sait auxquelles on doit s’
sentent les pensées et les sentiments qu’il en a tirés. Il faut qu’il compare entre elles les différentes parties, qu’il les di
tyle, et surtout le choix des mots et la facture des phrases. On peut comparer le travail de l’élocution à celui de l’architecte
par l’étude des tableaux divers qu’un même sujet a produits. Que l’on compare les assauts, les batailles, les combats singulier
ssemblances. Dans la Henriade, Voltaire fait une similitude lorsqu’il compare les Seize au limon soulevé par la violence d’une
se faire une idée de la brièveté qui convient à la narration, on peut comparer deux fables composées sur le même sujet, La Mort
77 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
opération de l’intelligence qui observe les choses, les embrasse, les compare , afin de porter un jugement sur leurs rapports. O
par l’image du cèdre et de l’hysope. L’habitant d’un climat pluvieux compare la vue de ce qu’il aime à la vue d’un ciel sans n
me à la vue d’un ciel sans nuages ; l’habitant d’un climat brûlant la compare à la rosée. Quelle différence entre les idées que
attacher aux mots principaux dont elles dépendent. 5° Lorsqu’on veut comparer deux objets pour en montrer la ressemblance ou l’
78 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
et le fondement des états : il parcourut toutes les législations, et compara ensemble les lois de tous les peuples. Il ne fut
. » De l’examen de mes sens, je passai à celui de ma raison, et je la comparai encore à mes devoirs. Je vis que, pour bien gouve
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
n leur juste cercle et à jamais disparues1. La postérité On a comparé souvent l’impression mélancolique que produisent
mes que des violons de village. Comment voulez-vous d’ailleurs que je compare des épitres à un poëme épique, aux amours de Dido
80 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXI. » pp. 120-121
: Hérodote, V, 9  Hésychius, et le Grand Étymologique. La métaphore.] Comparez la Rhétorique, III, 2, 3, 10. On voit que ce mot
81 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre IV. Prédicateurs français. »
le la même carrière ; ils ont été par conséquent rivaux ; ils ont été comparés et jugés par leurs auditeurs. Ce n’est donc pas d
82 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
En un mot, il y a beaucoup d’exemples de ce genre dans la tragédie. » Comparez Villemain, Tableau du xviii e siècle, IIIe partie
83 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
té retouchées dans cette édition, et les maîtres qui voudront bien la comparer avec la précédente reconnaîtront aisément que nou
essaires. 19. Le jugement est une faculté par laquelle l’intelligence compare les objets et distingue le vrai du faux. Ainsi, l
jamais tromper par des beautés fausses ; il estime avec justesse, il compare avec équité les beautés des divers genres, il se
ensée (pendere, pensare, peser) est un acte par lequel l’intelligence compare deux idées et juge des rapports qu’elles ont entr
x idées, l’idée de Dieu et l’idée de la bonté ; il les examine et les compare , et lorsqu’il affirme que la bonté convient à Die
tent entre un sentiment ou une idée et l’objet physique auquel on les compare . Si par exemple le génie ou l’éloquence d’un orat
e ne vois aucun rapport entre l’idée du poète et l’objet auquel il la compare . 79. Les images doivent être naturelles et propor
n léger changement dans les mots pour relever et ennoblir une pensée. Comparez ces deux vers. Il ne s’est donc pour moi battu q
re tête             De la rébellion. Louis se trouve successivement comparé à Jupiter maître de la foudre, à un lion, et enfi
fendant son fils condamné à mort. Tite Live et Corneille peuvent être comparés en ce dernier point. (Voir le nº vi.) 195. La com
le livre, prenez la plume, essayez de le reproduire à votre façon, et comparez votre travail avec le modèle. Ce genre d’imitatio
Enfin, analysez un discours, travaillez sur ce plan emprunté, et puis comparez vos développements et vos preuves avec la marche
l aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et comme il ne les a ni comparées ni subordonnées, rien ne le détermine à les préfé
fait le portrait de deux personnages qui se ressemblent, et qu’on les compare ensemble pour en montrer les rapports et les diff
ont entre eux quelque rapport de ressemblance. Ainsi Chateaubriand a comparé Virgile et Racine, le songe d’Énée et le songe d’
Virgile et Racine, le songe d’Énée et le songe d’Athalie. Avez-vous à comparer deux auteurs ? Examinez les traits les plus frapp
thètes et les périphrases qui peuvent faire ressortir une idée ; vous comparez ensemble une foule de mots et de tours, et vous l
84 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ette recherche est pour nous l’objet d’un nouveau travail. Enfin nous comparerons les mots aux faits et aux pensées qu’ils rendent,
aura jamais. » Toute cette partie du discours est figurée : l’auteur compare les sentiments de reconnaissance et d’amour que l
s une morne stupeur, sont déjà comme privés de la vie ; l’orateur les compare à des cadavres ; la ville qui les renferme n’est
bien qu’on pourra le faire. Après cela on reprendra le livre, et l’on comparera son style avec celui de l’auteur. Cette compositi
ux remarquables ; la première : « Mais quelle absurdité à moi d’oser comparer les Drusus, les Scipion, les Pompée, de me compar
dité à moi d’oser comparer les Drusus, les Scipion, les Pompée, de me comparer moi-même à Clodius ? Ces attentats étaient toléra
llèle rapproche les actions, les personnes, les vertus et les vices ; compare , pèse et juge s’il y a égalité ou supériorité. Vo
udes ; en éloquence rien de plus noble que celle par laquelle Bossuet compare la fermeté de la reine d’Angleterre aux colonnes
85 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
à la fin tout leur cas s’en va en fumée…4 et ne les sçauroit-on mieux comparer qu’à une bonne femme qui portoit une potée de lai
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
le inaugure la haute comédie ; ici, il l’élève au ton de la tragédie. Comparez une scène analogue du don Juan de Molière. Lisez
, comme autrefois à Pauline. Le style a je ne sais quoi de claustral. Comparez ces strophes à l’ode de Malherbe, Paraphrase d’un
. Le cœur de l’épouse fait explosion ; elle ne peut plus se contenir. Comparez aux plaintes de Didon dans Virgile. Elle dit tu m
87 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
erminer Auguste à garder le pouvoir absolu, définit l’état populaire. Comparez à ce morceau celui où Voltaire, dans Brutus, trai
qui a survécu à tout le reste. La rhétorique, comme la logique, peut comparer le sujet ou l’idée à traiter à cette campagne don
88 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
s rappelez bien des périphrases pour rendre ces mots : il fait nuit ; comparez -les ensemble, et, si elles appartiennent à de vra
hés par mon bras Parleront au lieu d’elle, et ne se tairont pas. Il compare ce dernier hémistiche aux dictons de M. de la Pal
89 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
rmi nous et presque sans rival chez les étrangers : on ne saurait lui comparer , par exemple, celui de Pope, la Boucle de cheveux
: tel est le sens primitif, aujourd’hui presque oublié, du mot fusil. Comparez ici Virgile à Boileau : Géorg., I, 135 ; En., I,
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
adie 2, bien différent de ce grand saint, mais très-digne de lui être comparé , quand il parle de la religion chrétienne (demand
ure lui-même en admirant la noblesse de ce sentiment. » 1. Il faut comparer cette narration à celle qui a été faite par Volta
91 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XX. » pp. 117-119
es notes sur le chap. vii, § 1, des Notions élémentaires de Grammaire comparée (7e édit., 1874). L’élément.] Στοιχεῖον est ordin
92 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Vauvenargues 1715-1747 » pp. 196-198
e la Silésie. Vauvenargues avait fait campagne dans ces contrées. 3. Comparez au passage des martyrs, le réveil au camp, I. vi.
93 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
n général dans la mémoire de tous, et qu’il sera ainsi plus facile de comparer toutes les pensées qui entrent dans ce morceau av
. » On sera facilement de l’avis de Racine, si l’on prend la peine de comparer entre elles d’une manière complète les idées anal
94 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
que ce que je vous ai appris, et ce que je vous ai appris n’est rien, comparé à ce qui me resterait à vous apprendre. Quant à l
summum jus, summa injuria . 3. Trait vif et spirituel. 1. On peut comparer Bossuet (Même recueil), et cette page de M. Jouff
95 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
les cieux… 1. Essai sur l’Indifférence (édition Garnier frères). Comparer à un très-beau passage de Balzac : Les victoires
ommentaires de l’Évangile selon saint Marc. (Édition Garnier frères.) Comparez cette belle page de madame de Staël : « Tout ce
96 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
Chapitre XXIII. Un ensemble dramatique.] Comparez , plus haut, le chapitre viii, et, pour plus de dé
97 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
tait longtemps avant nous ? Pour décider cette question, il suffit de comparer nos traités de Rhétorique aux institutions oratoi
98 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463
: apprenez à trembler1. 1. Je lis dans M. Sainte-Beuve : « Je le comparerais volontiers à ces arbres dont il faut choisir les
pour et du contre, quand on juge Voltaire. 4. Trop tard encore. 5. Comparez les médisances de Célimène. (Misanthrope.) 1. Le
99 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
nistre du roi de Sardaigne auprès de la Confédération helvétique. 3. Comparer à la lettre de Balzac, l’Homme s’agite et Dieu le
100 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217
la poussière du rayon ne s’enlève pas, on les met sous verre. 2. Il compare ce germe à un enfant qui dort dans son berceau.
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