le préalable de toutes les formes de langage que l’on appelle tropes.
Comparer
en effet n’est autre chose que rapprocher d’une i
littéraire, la rhétorique pose certaines conditions : que les choses
comparées
aient entre elles une analogie réelle ; que l’écr
e analogie réelle ; que l’écrivain connaisse parfaitement celle qu’il
compare
et celle à laquelle il compare, et rende les rapp
ain connaisse parfaitement celle qu’il compare et celle à laquelle il
compare
, et rende les rapports saisissables à première vu
même que, ainsi, comme, tel que, substituez enfin au signe de l’idée
comparée
celui de l’idée à laquelle vous comparez, et vous
uez enfin au signe de l’idée comparée celui de l’idée à laquelle vous
comparez
, et vous arrivez au trope. Voici une comparaison
t défectueuse quand elle est forcée, quand l’analogie entre les idées
comparées
n’est ni assez naturelle, ni assez sensible, et c
glace qui couvre la surface de l’eau peut jusqu’à un certain point se
comparer
à une écorce, on se figure mal de l’écorce fondue
’autre est d’un critique qui, dissertant sur les comédies de Molière,
compare
Agnès « à cette fleur exotique qui se développe e
mpête, et à la république que menacent de nouvelles guerres civiles !
Comparez
à cette admirable allégorie des morceaux de quelq
e détail parfaitement juste, que je trouve dans M. Wey : « Evitez de
comparer
les objets que vous prétendez faire valoir avec d
ctacle est magnifique… Quel panorama ! s’écrie le voyageur. » « Voilà
comparer
la lune avec un fromage. — « Cet admirable paysag
es guipures, les dentelles les plus délicates : les arts peuvent être
comparés
entre eux, et c’est donner une haute opinion de l
ier, sont imitées de Plante. (Amphitryon, acte 1er, sc. 1re.) On peut
comparer
aussi Rotrou, qui a traité le même sujet, mais av
ute à donner plus de vérité à ses peintures. Ainsi, le public pouvait
comparer
les originaux avec leurs copies. La suppression d
, il était brave et hardi, mais courtisan insolent, moqueur et bas. »
Comparez
aussi La Bruyère, (Le fat impertinent ou Thèodect
l a raison : elle lui a coûté beaucoup de peine. » (De la Cour.) 1.
Comparez
au portrait de Périandre dans La Bruyère. (Des bi
au portrait de Périandre dans La Bruyère. (Des biens de fortune.) 2.
Comparez
le portrait de Sannion, ou le parvenu anobli dans
rouiller n’avait pas alors comme aujourd’hui une acception basse. 4.
Comparez
Égésippe dans La Bruyère. (Du mérite personnel.)
montrer son mécontentement par d’aigres paroles. Terme familier. 2.
Comparez
Cliton, ou l’homme né pour la digestion. (La Bruy
ont une des armes les plus redoutables de la calomnie ou de la haine.
Comparez
la Prude et la Sage. (La Bruyère, des Femmes, p.
. 1. Veut paraître. Voilà le trait qui porte au cœur. Bien touché !
Comparez
le portrait de Lise, la coquette. (La Bruyère, de
iano… dans l’arrière-boutique. (L’Éducation, acte III, sc. x.) 1.
Comparez
le portrait de la précieuse par Boileau. On peut
uelconque, mais une correspondance bien marquée entre les deux objets
comparés
. Si je dis, à propos d’un soldat : C’est un lion
princes. La métonymie exige donc que les deux objets métaphoriquement
comparés
se correspondent mutuellement, chacun d’eux exist
une connexion, une cohésion des deux idées ; non-seulement les objets
comparés
se correspondent, mais ils ne forment qu’un tout.
me la métonymie, connexion, comme la synecdoque, entre les deux idées
comparées
, mais, pour ainsi dire, absorption presque totale
Hyperbole vaut autant qu’exagération. Comme la métaphore, l’hyperbole
compare
; mais au lieu de comparer à des idées semblables
xagération. Comme la métaphore, l’hyperbole compare ; mais au lieu de
comparer
à des idées semblables, elle compare à des idées
rbole compare ; mais au lieu de comparer à des idées semblables, elle
compare
à des idées plus grandes ou moindres : plus blanc
rer qu’on les reprenne, et c’est pourquoi le grand saint Grégoire les
compare
à des hérissons. Étant éloigné de cet animal, vou
rité. 3. Conseils signifie dans cette phrase desseins prudents. 4.
Comparez
à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil
C’est la familiarité même de son langage qui captive les attentions.
Comparer
la Mort et le Mourant. (La Fontaine.) 2. On lit
et plus vifvement et essentiellement. » (Montaigne, Ess., I, 19.) 3.
Comparez
le sermon de vêture, prononcé pour la profession
xxvi. 1. Il se compose, c’est-à-dire : se discipline, se règle. 2.
Comparez
le passage de Fénelon, intitulé Le présent et l’a
hante d’un orateur qui a conscience de sa responsabilité morale. 3.
Comparez
ce fragment du sermon de Jocelyn aux enfants du v
Rome, avec saint Pierre, l’an 56. On célèbre sa fête le 29 juin. 1.
Comparer
Aristote. (Rhétorique, liv. II, chap. xii.) 2. C
ossuet était tout jeune encore quand il parlait ainsi de la jeunesse.
Comparer
Boileau. (Art poétique, les âges de la vie.)
4 Métaphysique, IV, 1 Du Langage, chap. vii. N’est beau que, etc.]
Comparez
Politique, VII, 4. Un animal très-petit, etc.] Co
au que, etc.] Comparez Politique, VII, 4. Un animal très-petit, etc.]
Comparez
le traité De la Sensation, chap iii et iv. « Ce s
dam, Antiquités grecques, t. I, p. 180 (traduction fr., 2e édit.) et
comparez
, sur la durée des représentations théâtrales à At
recommande surtout par sa traduction des Géorgiques que Chateaubriand
comparait
à un tableau de Raphaël copié par Mignard. On lit
êt et de fausse symétrie dans ce qui devrait être un calque fidèle !
Comparez
l’enclos de Jocelyn : Une cour le précède, enclos
pas sourire ceux qui se rappelleront que Delille devint aveugle. 4.
Comparez
Buffon, et les vers de Jocelyn sur le chien Fido.
ait à l’échafaud, il récitait à son ami une scène d’Andromaque. 1.
Comparez
à l’élégie d’Hégésippe Moreau sur la Voulzie, jol
cet État. » 4. Ville du Puy-de-Dôme, au sud de Clermont-Ferrand. 1.
Comparez
à la pièce de M. Lebrun, le Bonheur de l’étude, t
de joie ceux qui les écoutent. » (Pratique du théâtre, I, 2.) On peut
comparer
encore Gravina, Della Ragione poetica, I, 14 : de
gouvernement de l’État). En récitant des chants épiques.] Ῥαψωδοῦντα.
Comparez
la Rhétorique, III, 1. Aristote ne semble pas ici
oyennes, v. 590-595. L’étendue de son imitation est plus restreinte.]
Comparez
le mot malicieux de Xanthias dans les Grenouilles
e, peut consister en un seul mot composé. Voy. Athénée, X, p. 448, et
comparez
Démétrius, Sur le Style, § xcii. J’ai vu, etc.] E
ique, III, 2, et cité avec un vers de plus dans Athénée, X, p. 452 C.
Comparez
Celse, De Medicina, II, 11. Le barbarisme.] Voy.
μένῃ τῇ δɩαλέϰτῳ χρώμɛνοɩ. Les ornements.] Voyez plus haut, p. 115 et
comparez
Quintilien, VIII, 3, § 61. Euclide l’ancien.] C’e
, elle fut imbue. » Il se rapporte à vase : la forme est latine. 1.
Comparez
les vers de Lamartine : Adieux au collège de Bell
Montmorency, lorsqu’il était receveur des finances en Normandie. 1.
Comparez
Jocelyn, le Retour à la maison paternelle. 2. Al
Allusion aux Montmorency, les antiques possesseurs de ce manoir. 3.
Comparez
M. de Lamartine. (Le chien Fido, Jocelyn.) 1. M
milliaire sur laquelle était gravé le terrible sénatus-consulte. 1.
Comparez
la fable de La Fontaine sur le combat des Rats et
us, Sur le Style, § xxxviii - xlix Longin, Du Sublime, viii, § 3 et
comparez
Aristote, Rhétorique, III, 6 et 12. Changer les é
Παραλογίζεται ὁ ἀϰροατὴς ὄτι ἐποίησεν ἢ οὐϰ ἐποίησεν οϋ δεδειγμένου.
Comparez
plus haut, chap. xvi. Si le premier fait est faux
ophocle, intitulée aussi Νίπτρα. — Sur ἐϰ τῶν Νίπτρων, au lieu de ἐν,
comparez
dans la Rhétorique, II, 23, et III, 16, des locut
bre de Canova. Une morbidezza divine y respire. » Sainte-Beuve. 2.
Comparez
l’Italie de Lamartine à celle de Chateaubriand. L
: M. de Chateaubriand a dû la voir quand la moisson était faite. 1.
Comparez
ces beaux vers de Lamartine sur la chute du Rhin
yant au hasard, En cent torrents brisés roule de toute part. 1.
Comparez
ces beaux vers de Lamartine sur la chute du Rhin
ennel et ambitieux. C’était alors le règne des périphrases poétiques.
Comparez
le presbytère de Jocelyn (Lamarine). 3. L’apôtr
2. C’est ici la sensation même. 1. Le paysage a du lointain. 2.
Comparez
le début de la méditation de Lamartine intitulée
roblèmes, XXX, 10 Hist. des Animaux, VIII, 1. Qu’on n’ait point vu.]
Comparez
la Rhétorique, II, 23 fin. Quant au mètre.] Même
23 fin. Quant au mètre.] Même observation dans la Rhétorique, III, 8.
Comparez
, sur la différence du mètre et du rhythme, Vincen
’attribuait, ainsi que la Batrachomyomachie, à Pigrès d’Halicarnasse.
Comparez
Harpocration au mot Mαρ-γίτης, et le scholiaste d
it naître ; Voir de combien de mains avaient grandi leurs troncs, Les
comparer
de l’œil, comme alors, à nos fronts, En froisser
classiques auxquelles ils ont rendu d’éminents services. 1. On peut
comparer
à ces beaux vers ce fragment lyrique emprunté à u
humbles détails du tableau. 2. L’idéal est ici dans la réalité. 3.
Comparez
le Crucifix et Gethzemani, ou la Mort de Julia.
ns le soin à nos lecteurs. Qu’ils en fassent un exercice de goût. 1.
Comparez
les vers de M. Lebrun intitulés : le Retour à Tan
érite d’être aussi impérissable que le chien d’Ulysse dans l’Odyssée.
Comparez
les deux poëtes. 2. Cette larme me rappelle ce
ma chambrette où se passent mes secrets. » (Eugénie de Guérin.) 1.
Comparez
le Chien du Louvre. (Casimir Delavigne,) 1. Fr
égalé. » Louis Ratisbonne, Auteurs et Livres. M. Théophile Gautier
comparait
la gloire sereine, mais peu bruyante d’Alfred de
. (L’Oiseau.) 5. Prononcez ce mot en articulant quatre syllabes. 1.
Comparez
l’oiseau-mouche de Buffon. — Ce morceau est éblou
. 1. M. de Vigny aime les images empruntées au Cygne. On pourrait le
comparer
lui-même à ce noble oiseau, qui plane dans l’azur
e savait pas peindre aussi vivement. Disons-le bien haut. 3. On peut
comparer
à cette description la pièce de M. Victor Hugo, i
oupirs de Mme de Staël exilée de Paris par un pouvoir ombrageux. 1.
Comparez
la petite ville par La Bruyère (de la société), p
son ménage il y avait des arrangements domestiques à prendre. » 1.
Comparez
la petite ville par La Bruyère (de la société), p
son ménage il y avait des arrangements domestiques à prendre. » 1.
Comparez
un passage où La Bruyère représente la dévotion d
s ont fleuri ? Quels monuments se sont élevés ? (10 novembre 1882). •
Comparer
l’état de la littérature française à la paix de N
e, leur portrait, leur caractère, leurs actions. (6 novembre 1883). •
Comparer
entre eux les trois tragiques grecs. (30 juillet
et la versification françaises. (13 novembre 1882). • Pourquoi a-t-on
comparé
Corneille et Sophocle ? (10 novembre 1881). • De
es mœurs antiques peintes dans Horace, de Corneille. (7 août 1882). •
Comparer
le rôle d’Émilie dans Cinna et celui de Chimène d
881). • Auguste dans l’histoire, Auguste dans Cinna. (3 août 1882). •
Comparer
le rôle du père dans le Cid et dans Polyeucte. (4
• Du rôle d’Agamemnon dans l’Iphigénie de Racine. (9 novembre 1882) •
Comparer
le rôle de Narcisse dans Britannicus et celui de
81). • La journée des Barricades pendant la Fronde. (18 août 1881). •
Comparer
le caractère et le rôle de Richelieu et de Mazari
dignes de mention. [4] (30 juillet 1884) et (15 novembre 1884)
Comparer
, dans leurs caractères généraux, la littérature g
et la littérature romaine. Développement. — Il est intéressant de
comparer
dans leurs caractères essentiels, les deux littér
atins même. II. — Ce qui caractérise en effet la littérature romaine,
comparée
à la littérature grecque, c’est une originalité a
propre à rendre les nuances abstraites et les délicatesses. — Si nous
comparons
la littérature philosophique de Rome à celle de l
qui lui a fourni la plupart de ses modèles. [5] (14 août 1885)
Comparer
la littérature grecque du siècle de Périclès avec
icole ; on y sent partout le janséniste austère que madame de Sévigné
comparait
à Pascal, « c’est de la même étoffe », dit-elle.
à leur auteur le titre glorieux que Racine lui a donné. Un critique a
comparé
une certaine partie de cet ouvrage à un poème épi
u langage. Tels sont les caractères du style de Tacite, qu’on ne peut
comparer
à celui d’aucun autre écrivain, quoiqu’on ait vou
le a été composée. Développement 10. — Parmi les critiques qui ont
comparé
entre elles l’Iphigénie de Racine et celle d’Euri
s impressions grandioses que nous subissons. [16] (6 août 1884)
Comparer
les deux rôles d’Horace et de Curiace dans Cornei
seconde fois. Enfin sa sensibilité, qui se trahit à propos, a pu être
comparée
à celle de Virgile. Il est intéressant du reste d
nsi dire, approprié ! Qu’on prenne le Chêne et le Roseau, et qu’on le
compare
à la fable d’Ésope. Que le modèle semblera langui
fable d’Ésope. Que le modèle semblera languissant et froid ! Si l’on
compare
dans Phèdre et La Fontaine, la fable de la Grenou
vre de Boileau en littérature à celle de Descartes en philosophie, et
comparer
avec assez de justesse l’Art poétique au Discours
est le, plus grec des poètes français. [23] (11 novembre 1885)
Comparer
les caractères d’Andromaque et d’Hermione dans l’
l’auteur d’Horace et de Cinna ; témoin Narcisse et Mathan qu’il faut
comparer
avec Maxime. Ce dernier n’est, en effet, dans Cin
ans la complication savante des événements. [26] (18 août 1885)
Comparer
, dans Le Misanthrope, les caractères de Philinte
morceaux qu’il convient de citer : récit de la bataille de Rocroy, à
comparer
avec la narration oratoire de Bossuet dans l’orai
et de rancune… « C’est Andromaque qui conduit la pièce ; on a souvent
comparé
l’âme à une balance. Rien ne rappelle mieux cette
r faut apprendre ce que c’est qu’un lion, un renard, et pourquoi l’on
compare
quelquefois un homme à ce renard et à ce lion. Le
ui a pardonné. Sa mémoire reste donc pure et glorieuse, et Bossuet le
compare
aux saints pénitents qui ont mérité et obtenu la
se et si pénible de notre pauvre ami. En effet, quelle gloire peut-on
comparer
à la sienne ? Quand il fit paraître sur la scène
fait saine. 4. Il y a dans ce trait de la tristesse et de la grâce.
Comparez
les Tombeaux aériens de Châteaubriand. « La jeune
r que. 2. Certaines éditions portent : sans jamais perdre terre. 3.
Comparez
Florian (la Vie et la Mort, même recueil.) 4. L
etites mains, joveuses et bénies, N’ont point fait mal encore. 1.
Comparez
ces vers de M. de Laprade : L’enfant est roi par
ensemble est charmant d’esprit, et d’émotion souriante ou naïve. 6.
Comparez
ces vers de Corneille, dont l’accent est le même
que susciter le désir de lire l’ensemble de ce chef-d’œuvre, et de le
comparer
au Lac de M. de Lamartine. (Voir éd. Hachette.)
un grammairien publié par Cramer, Anecdota Oxon., t. IV, p. 312, 313.
Comparez
notre Histoire de la Critique chez les Grecs, p.
s étant d’ordinaire célébrées au temps et à l’occasion des vendanges.
Comparez
avec ce passage une addition à la Vie d’Euripide,
Chapitre XVII. Se mettre à la place du spectateur.]
Comparez
la Rhétorique, III, 10, 11. — Dans le même ouvrag
ce sujet. La Poétique de la Mesnardière, chap. v, mérite aussi d’être
comparée
avec ce chapitre.
aperçoit à la fois un grand nombre d’idées ; et, comme il ne les a ni
comparées
ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
on que de chaleur1. (Discours sur le style.) L’histoire naturelle
comparée
a l’histoire politique Comme, dans l’histoire
ns les airs ; leur vol est continu, bourdonnant et rapide. Marcgrave1
compare
le bruit de leurs ailes à celui d’un rouet… ; leu
Historiœ rerum naturalium Brasilue libri VIII (Amsterdam, 1648). 2.
Comparez
ces vers de Delille sur le colibri : Enfin, pour
nombreux parallèles, Avec la lourde autruche et ses mesquines ailes,
Comparez
cet oiseau qui, moins vu qu’entendu, Ainsi qu’un
er à l’équateur déterminer la grandeur et la figure de la terre. 2.
Comparer
une lettre de Voltaire à madame de Champbonin. (R
les deux tropiques. 1. Rouge clair entre le cerise et le rose. 2.
Comparez
ce paysage de Maurice de Guérin : « Le 2 avril.
ses descriptions des sentiments moraux ou des idées religieuse ; 2.
Comparez
ce paysage de Maurice de Guérin : c’est peint de
n glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.
Comparez
aussi la cinquième promenade de Rousseau dans la
Ce laconisme est une menace. 1. Commis veut dire confié. — On peut
comparer
aux héros de cette scène le personnage d’Ion, dan
presque éloquent. 2. C’est encore le cas de dire : le pauvre homme !
Comparez
le monologue mélancolique d’Auguste, dans Corneil
le désarmer par la pitié, et lui parle comme s’il était généreux. 2.
Comparez
à ces vers ce passage du Petit Carême : « Hélas !
ster. 6. Graisser la patte, veut dire corrompre par un présent. 7.
Comparez
, dans les Guêpes d’Aristophane, v : 86-126, le pa
riaient ici de bon cœur. 1. Où le pathétique va-t-il se nicher ? 2.
Comparez
la Grandeur et la misère de l’Homme, par Pascal,
quoi l’on est triste, c’est être bien près de savoir ce qu’on vaut »
Comparez
aussi la pièce de M. Victor Hugo, À un Voyageur (
bre de Canova. Une morbidezza divine y respire. » (Sainte-Beuve.) 2.
Comparer
l’Italie de Lamartine à celle de Chateaubriand. L
ci, c’est du pur Chateaubriand. Voilà le défaut de ses qualités. 1.
Comparez
la Liberté, de M. de Lamartine, entre autres ces
1. C’est ici la sensation même. 1. Le paysage a du lointain. 2.
Comparez
le début de la méditation de Lamartine intitulée
peint les objets comme il les voit, et il les voit comme il les aime.
Comparez
ces vers de Saint-Victor sur le Meschacebé : On
que tu éprouves était dû à ma vieillesse. » (Virgile, l. xi, v. 165.)
Comparez
aussi le désespoir de la mère d’Euryale. (L. ix,
ants, entrecoupés. On y sent la trépidation, le frisson de la fièvre.
Comparez
les accents de Didon (Énéide, l. iv), ou de Phèdr
vec quel art le poëte saura varier ce motif ! 1. Elle est en prison.
Comparez
les plaintes d’Iphigénie qui va mourir. (Racine.)
nus, le fils qu’il avait eu jadis de Circé. Voy. Hygin, Fable 127, et
comparez
le livre de Welcker, sur les Tragédies grecques c
ui paraissait la plus touchante de toutes les tragédies d’Euripide. »
Comparez
Lessing, Dramaturgie, p. 184, trad. fr. de 1785.
rer qu’on les reprenne, et c’est pourquoi le grand saint Grégoire les
compare
à des hérissons. Étant éloigné de cet animal, vou
nt ici le portrait du grand Apôtre. 2. Dans le sens d’élocution. 1.
Comparer
Aristote. (Rhétorique, livre II, chap. xii.) 2.
Bossuet était tout jeune encore quand il parlait ainsi de la jeunesse
Comparer
Boileau. (Art poétique, les âges de la vie.) 3.
la jeunesse Comparer Boileau. (Art poétique, les âges de la vie.) 3.
Comparer
le début de l’Oraison funèbre de la reine d’Angle
Comparer le début de l’Oraison funèbre de la reine d’Angleterre. 4.
Comparer
l’Oraison funèbre du prince de Condé : C’est lui
m super montes . 2. In cunctis convallibus corruent rami ejus. 1.
Comparer
Pascal. 1. Haccine est urbs perfecti decoris, g
concilier la liberté du prédicateur avec le respect du sujet. Il faut
comparer
la lettre de Fénelon à Louis XIV. 1. Ce premier
ure de Bossuet. 2. Passage dramatique et plein de poésie. Il faut le
comparer
aux vers de Lucrèce représentant un dialogue entr
a d’où partir qu’il ne sache préalablement où arriver, et qu’il n’ait
comparé
, dans son esprit, les voies plus ou moins faciles
l aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et comme il ne les a ni
comparées
ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
ni les Méandres, ni Sous les tilleuls, ni Au jour le jour, etc., etc.
Comparez
à tout cela les admirables expositions de certain
XIV, son esprit frappé de la misère de toutes les grandeurs humaines,
comparées
à la grandeur de Dieu, trouve ce début réellement
que le jugement ? Le jugement est cette faculté de l’âme qui sert à
comparer
, à juger, et qui donne une exacte connaissance de
jamais séduire par des beautés fausses, qui estime avec justesse, qui
compare
avec équité les beautés des divers genres, et qui
ure, Jamais surpris et toujours enchanté. Si nous voulons maintenant
comparer
le goût au génie, nous dirons que le génie est la
e plus agréable et plus naturel. 1. Allusion à l’allégorie où Platon
compare
les hommes dont la Philosophie n’a pas encore écl
est à la matière. L’arrangement sans ordre est un corps sans âme. 3.
Comparez
l’éloge de Démosthène, qui est dans le Ier Dialog
ugement des anciens sur Démosthène, et § 4, De l’éloquence de Cicéron
comparée
avec celle de Démosthène. Le parallèle des deux o
u des superstitions païennes qui déshonoraient la raison. 2. Il faut
comparer
à ce passage le sermon de Bossuet sur l’unité de
soif de l’or que par la foi chrétienne et la charité évangélique. 6.
Comparez
Balzac, page 9, même recueil. 7. « Le voyez-vou
ttre est adressée à M. de la Motte, l’adversaire déclaré des anciens.
Comparez
le § X de la Lettre sur les occupations de l’Acad
ardonnons-lui donc sa métaphore. 1. Célèbres voyageurs en Perse. 2.
Comparez
dans La Bruyère Arias ou le parleur impertinent,
nt dans les journaux sur tous les riens qui voltigent dans l’air. 1.
Comparez
ce passage au Nouvelliste, de La Bruyère 2. Rê
esquieu aime ces expressions fortes qui parlent à l’imagination. 6.
Comparez
ces vers de M. J. Chénier (1764-1811) : Quand So
aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et, comme il ne les a ni
comparées
ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
r à l’équateur, déterminer la grandeur et la figure de la terre. 2.
Comparez
une lettre de Voltaire à madame de Champbonin. (R
s morales de la personne. 3. L’âme éclaire les traits du visage. 4.
Comparez
Fénelon. (Traité de l’existence de Dieu.. 1re par
passé que par saint Jean Chrysostôme, auquel il ne faut songer à rien
comparer
. Jamais homme, dit l’abbé Auger, n’a peut-être pl
ut se rappeler sans cesse le pays et l’époque où ils ont vécu, et les
comparer
à ceux de leurs contemporains qui ont joui alors
r les Tragiques grecs, t. II, p. 301, Examen de l’Iphigénie à Aulis.)
Comparez
la Harpe, Analyse de la Poétique. Dans la Médée.]
ose ingénieusement, mais sans nécessité, de lire ici ἁπλότητος, et il
compare
avec ce passage la Rhétorique, I, 9, et le vers 9
ier par l’exemple d’une biche à cornes, récemment observée en France.
Comparez
Élien, Hist. des Animaux, VII, 39. On trouve une
4° à la ponctuation, 5° à l’ambiguïté des termes, 6° à l’usage, et il
compare
fort à propos cette fin du chapitre xxv avec le c
es inédites. Sainte-Beuve, p. 430, t. VI, Causeries du lundi. ) 2.
Comparez
ce paysage de Maurice de Guérin : c’est peint de
ts. Ses harmonies nous font aimer les dissonances. » 1. On pourra
comparer
à cette description une lettre où Jacquemont pein
glissant vers Misène, Se perd en pâlissant dans les feux du matin.
Comparez
aussi la cinquième promenade de Rousseau dans la
ρώτην τινὰ λέγουσι φιλοσοφίαν τὴν ποιητιϰήν Polybe (Histoire, II, 56)
compare
, d’une façon peu instructive d’ailleurs, l’histoi
un fragment du Cléophane d’Antiphane dans Athénée, III, p. 98, 99 et
comparez
dans Aristote le commencement du livre sur Xénoph
sophique analogue à notre Cours supérieur de grammaire, où l’on devra
comparer
et discuter les opinions différentes, et se prono
et qu’on apprend encore une langue qu’on doit en même temps étudier,
comparer
et classer tous les auteurs qui l’ont illustrée.
. 28. — Le comparatif, c’est l’adjectif avec comparaison : quand on
compare
deux choses, on trouve que l’une est ou supérieur
lle que la tulipe. Le mot que sert à joindre les deux choses que l’on
compare
. Nous avons trois adjectifs qui expriment seuls u
couleurs qui venaient en corps citer saint Paul et saint Augustin et
comparer
les grands jours au jugement universel. Un jésuit
. Qui pourrait dire quelles furent les grâces de son discours ! Il me
compara
au soleil ; bientôt après, je fus la lune ; tous
gne au destin de tous les gens modérés, que le grand Cosme de Médicis
comparait
à ceux qui habitent le second étage des maisons :
ns ne sauraient faire oublier. M. Sainte-Beuve a dit de lui : « Je le
comparerais
volontiers à ces arbres dont il faut choisir les
oyez avec quel naturel madame de Sévigné et d’autres dames écrivent ;
comparez
ce style avec les phrases entortillées de nos pet
71. Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser
comparer
le fils de Sophronisque1372 au fils de Marie ! qu
e, plus exercé à juger, plus difficile à satisfaire, parce qu’il peut
comparer
davantage ; cette seconde épreuve n’est pas moins
directe de son idée. Il a, dit-il, le fanatisme de la simplicité, et
compare
lui-même son style à ces glaces sans tain à trave
quarantaine : c’est ce vin vieux dont parle Voltaire, et auquel il a
comparé
le poëme d’Horace ; il gagne à vieillir, et de mê
histoire. 24. C’est-à-dire, une divine folie. 25. Dispersion. 26.
Comparez
à un très-beau passage de Lamennais (Recueil de m
ont été composées dans le ciel. » 27. Qui vont tomber. 28. Il les
compare
à des malades, qui rendraient l’âme, en passant d
ité de ce prince. » Il aimait l’encens, mais administré délicatement.
Comparez
à cette lettre celle de Voiture (1er recueil, pro
IV. 205. Cela le console un peu, d’avoir été si bon prophète. 206.
Comparer
l’Aululaire de Plaute, ac. IV, sc. X. 207. Ce tr
aisons pour l’interrompre ; ce jeu de scène fait toujours rire. 218.
Comparez
une scène de l’Avocat Patelin. (Recueil des class
es traits de mœurs qui font revivre un classe presque disparue. 239.
Comparer
l’entretien comique de Sancho Pansa et sa femme.
i ! (Montaigne.) 287. Sont mis en mouvement par ses secousses. 288.
Comparer
à Lafontaine ; le Chat et les Lapins. 289. Quat
e les conditions de la violence et de la vérité se ressemblent. 339.
Comparez
un passage de Fléchier (Recueil des classes supér
it pas alors usé par un long usage, et avait un sens énergique. 378.
Comparez
un beau passage de Massillon sur la vérité. (Recu
cette mort va courant partout, et attrapant de tous côtés ! » 417.
Comparer
la page où la Bruyère nous représente Irène qui v
497. Conseils signifie dans cette phrase desseins prudents. 498.
Comparez
à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil
ne philosophie de l’art, mais esquissée par un Platon chrétien. 506.
Comparer
au roseau pensant de Pascal. 507. Remarquez avec
C’est la familiarité même de son langage qui captive les attentions.
Comparer
la Mort et le Mourant (La Fontaine). 512. On
plus rien ! Je suis sur mon fumier, comme toi sur le tien. » 513.
Comparez
le sermon de vêture, prononcé pour la profession
ent dernier et universel, vous y voyez reluire un ordre admirable. Je
comparerai
le monde à ces tableaux qui sont comme un jeu de
tre serviteur. 569. Remarquez la couleur épique de ce récit. 570.
Comparez
la résistance de la garde impériale à Waterloo. (
blement s’abandonne, Et console Cérès des fureurs de Bellone. 578.
Comparez
le passage de Fénelon, intitulé Le présent et l’a
, la prudence d’un docteur et la force d’un grand esprit. » 596.
Comparez
ce fragment du sermon de Jocelyn aux enfants du v
. 630. Espérait. Le mot est d’une impayable naïveté. 631. On peut
comparer
l’ironie de cette page à une lettre où Fénélon s’
é est simplement la voix, le mouvement instinctif de la nature. 650.
Comparez
les beaux vers de Victor Hugo sur l’Aumône. 651
ne finissions pas d’en parler. Après avoir lu nous étions toujours à
comparer
les faits des uns et des autres. Une telle femme,
rance. 700. La jeune princesse de Savoie venait d’arriver en France;
comparez
le portrait tracé par Saint-Simon. 701. A Montar
a va dans ce portrait les ridicules du maréchal de Villeroi. 751. Il
compare
ce fat à un habit qui va montrer la corde quand s
taine) Je ne me satisfais d’aucunes conjectures. (Corneille.) 762.
Comparez
une page de madame de Staël (même recueil). 763.
ne fournit aucune variété pour embellir l’histoire. » 802. On peut
comparer
Bossuet (Recueil des classes supérieures), et cet
Vient l’âge mûr, ensuite la vieillesse : L’une après l’autre. 803.
Comparez
la belle lettre de Bossuet à Louis XIV (1er recue
. 870. Fénelon a réconcilié la muse païenne avec la muse chrétienne.
Comparez
ses Champs-Élysées avec ceux de Virgile (6e livre
nts au pouvoir infernal. (Odes, 1. I, 3.) J.-B, Rousseau. 918.
Comparez
Bossuet disant : « Elle viendra an jour destiné,
encore, tant ce chrétien a passé avec douceur. Chateaubriand. 921.
Comparez
les beaux passages de Rousseau et de Chateaubrian
ieu aime ces expressions fortes qui parlent à l’imagination. 1023.
Comparez
ces vers de M. J. Chénier (1764-1811) : Quand so
ans les journaux sur tous les riens qui volitgent dans l’air. 1045.
Comparez
ce passage au Nouvelliste, de la Bruyère. 1046.
Tous les deux sont ridicules parce qu’ils sont exclusifs et pédants.
Comparez
la dispute du musicien, du philosophe et du maîtr
us n’humiliez personne, et vous humiliez tout le monde. Quand je vous
compare
à ces hommes absolus que je vois partout, je les
le plus joliment de ses maux. Il a les doléances souriantes et gaies.
Comparez
une lettre de Joubert se plaignant d’un rhumatism
. 1177. A ces spirituelles doléances de Voltaire sur la vieillesse,
comparez
celles de Ducis que voici : « Il n’est pas impos
les de la personne. 1189. L’âme éclaire les traits du visage. 1190.
Comparez
Fénelon. (Traité de l’existence de Dieu. Ire part
uant la tête : Ma foi, non plus que nous, l’homme n’est qu’une bête !
Comparez
ces vers de Delille : Moins vif, moins valeureux,
re. 1246. L’éloge de l’animal fait ici la satire de l’homme. 1247.
Comparez
ces vers de Delille : A leur tête est le chien,
al en ce temps-là, surtout quand on se piquait de philosophie. 1259.
Comparez
le rossignol de Châteaubriand. 1260. On allait n
y a dans cette lettre la simplicité d’une émotion naïve et profonde.
Comparez
aux regrets d’Horace parlant de son père. Joubert
recueillir l’impôt. Ils y faisaient des fortunes scandaleuses. 1273.
Comparez
dans Labruyère les portraits de Pamphyle et de Cl
5. Il avait en horreur les colifichets de l’art, le faux, le convenu.
Comparez
la chute du Rhin, par Lamartine. 1286. Il était
texte à la contemplation. 1349. Un réduit est un lieu retiré. 1350.
Comparez
la grotte de Jocelyn (Lamartine). Voir notre Cour
a ici de l’exagération. Rousseau devient sentimental et faux. 1355.
Comparez
le portrait de l’enfant dans Horace et Boileau. (
a Silésie. Vauvenargues avait fait campagne dans ces contrées. 1421.
Comparez
au passage des Martyrs, le Réveil au camp, 1. vi.
eux tropiques. 1456. Rouge clair entre le cerise et le rose. 1457.
Comparez
ce paysage de Maurice de Guérin : « Le 2 avril.
rance, depuis le départ de Virginie. 1473. Serviteur de Paul. 1474.
Comparez
le naufrage de Cymodocée dans les Martyrs de Chat
lga par divers canaux. 1491. Dais qui sert de toiture mobile. 1492.
Comparez
le portrait tracé par Voltaire. (Hist. de Charles
poussière du crayon no s’enlève pas, on les met sous verre. 1517. Il
compare
ce germe à l’enfant qui dort dans son berceau.
irs de Mme de Staël exilée de Paris par un pouvoir ombrageux. 1521.
Comparez
la petite ville par la Bruyère (de la société), p
y avait une course de chevaux : c’était de l’extraordinaire. 1530.
Comparez
un passage où Labruyère représente la dévotion de
ou la mesure, toutes choses dont l’exactitude est divine. » 1533.
Comparez
ces beaux vers de Lamartine sur la chute du Rhin.
e, sous l’impression de la sensation vive, et de l’émotion immédiate.
Comparez
cette page de M. de Lamartine : « Au-delà des de
ennel et ambitieux. C’était alors le règne des périphrases poétiques.
Comparez
le presbytère de Jocelyn (Lamartine). 1554. L’a
ue tous : chacun d’eux nous donne un couplet du rossignol. » 1564.
Comparez
ce passage à celui de Bernardin de Saint-Pierre s
577. Il parle ici, à mots voilés, du Dernier des Abeucérages. 1578.
Comparez
la pièce de Lamartine, Novissima Verba. 1579.
pre caractère. » 1625. Lisez Massillon : La Mort du juste. 1626.
Comparez
les vers de Lamartine sur la Prière. En voici que
goteurs. » 1657. Didier. — Méditations et Études morales, p. 312.
Comparez
aux pages de la Rochefoucauld sur l’amour-propre.
de la noblesse dans ce tableau, mais il est un peu académique. 1664.
Comparez
une scène analogue tirée de Colomba (M. Mérimée)
culture, et au plaisir des grandes études. 1699. Le 18 février 1587.
Comparez
à cette page le 6e acte du drame de Schiller. Aux
par un douloureux hurlement de regret et de gourmandise ! » 1730.
Comparez
cette page du bibliophile Jacob, (Paul Lacroix) :
. C’est le mot de l’honneur, du devoir, de la responsabilité. 1754.
Comparez
cette page tirée des actes des apôtres : « Penda
père de Colomba : il y avait vendette entre les deux familles. 1780.
Comparez
les Choéphores d’Euripide, entre antres passages,
page dont l’éloquence est comme la voix même de l’Université. 1839.
Comparez
les conseils que M. Théodore Jouffroy donnait aus
ns ne sauraient faire oublier. M. Sainte-Beuve a dit de lui : « Je le
comparerais
volontiers à ces arbres dont il faut choisir les
oyez avec quel naturel madame de Sévigné et d’autres dames écrivent ;
comparez
ce style avec les phrases entortillées de nos pet
le plus joliment de ses maux. Il a les doléances souriantes et gaies.
Comparez
une lettre de Joubert se plaignant d’un rhumatism
ier. 2. A ces spirituelles doléances de Voltaire sur la vieillesse,
comparez
celles de Ducis que voici : « Il n’est pas imposs
gne au destin de tous les gens modérés, que le grand Cosme de Médicis
comparait
à ceux qui habitent le second étage des maisons :
ardonnons-lui donc sa métaphore. 1. Célèbres voyageurs en Perse. 1.
Comparer
dans La Bruyère Arias ou le parleur impertinent,
ails, a découvert des causes invisibles jusqu’à lui ; il a rassemblé,
comparé
, opposé les faits avec cette sagacité laborieuse
formules pleines d’autorité. 3. Ce mot a le sens de résolution. 1.
Comparer
le tableau tracé par Bossuet dans l’Oraison funèb
crivain. Celui qui la possède ne se doute pas de son mérite, il ne se
compare
avec personne, et abandonne à ses lecteurs le soi
gination. Cette figure est donc née de notre disposition habituelle à
comparer
nos affections morales avec nos sensations, et à
toutes les autres. Mais il y en a aussi où les objets matériels sont
comparés
entre eux. On a dit la fleur de l’âge, parce que
ur lui la chose intellectuelle est sensible, il la voit, l’admire, la
compare
à la chose physique, et la métaphore, qui a peut-
euille de papier, La glace d’un miroir. Pour faire cette figure, on a
comparé
le papier aux feuilles des arbres, et l’on a vu q
nd ses termes de rapport dans un ordre unique, c’est que la métaphore
compare
, et que la catachrèse imite. Ces deux nuances bie
on parle éclipse en son genre tous ses rivaux. Dans le second cas, on
compare
ceux dont on parle aux modèles que nous trace l’h
u glou. TROPES. La Métaphore veut des formes décidées, Elle unit et
compare
ensemble deux idées. Par la Métonymie on peut cha
tiste habile les arrangeât dans un ordre parfait. 3° On ne peut mieux
comparer
une bonne composition qu’à ces parterres disposés
ngage ; enfin, dans le bosquet de repos, le but du discours. Que l’on
compare
ce magnifique parterre à une prairie de mai liée
ressions rebattues et devenues trop communes à force d’être répétées.
Comparer
un homme en colère à un lion, est une figure triv
vils et populaires. Le disparate. — Il a lieu quand les idées
comparées
sont entr’elles sans aucun rapport, ou quand le s
s le plus souvent il faudra qu’il revienne sur ce qu’il a fait, qu’il
compare
de nouvelles tournures aux premières adoptées ; q
lle être juste, noble et claire. Comme l’objet de cette figure est de
comparer
deux choses entre elles, et de découvrir le côté
e un tonneau en perce. Dans une Épître au président Hénault, Voltaire
compare
leur gloire, et fait une allusion flatteuse et pi
on a parlé sur le même sujet que l’abbé Poulle. Il est intéressant de
comparer
leurs pensées. Nous trouvons aussi un bel exemple
a Comparaison est un rapport de convenance entre deux objets que l’on
compare
ensemble. Cette figure est propre à orner la pens
t pour exprimer ses regrets sur la mort d’Henriette d’Angleterre : il
compare
la rapidité avec laquelle Madame a passé sur cett
rincesse si précises et si littérales ! Le coucher du soleil est ici
comparé
la manifestation d’un monarque à ses sujets : Un
sons. Boileau est fort amusant lorsque, dans son poème Le Lutrin, il
compare
la défaite et la fuite des chantres à la fuite d’
n canal régulièrement tracé au cordeau sera quelque chose d’insipide,
comparé
aux sinuosités d’une rivière. Des cônes, des pyra
n qu’ils lui donnent, à certains égards, la préférence, lorsqu’ils le
comparent
à la peinture et à la sculpture. Observons cepend
αι δὲ πάντα ἀριθμῷ ὁ δὲ τοῦ σχήματος τῆς λέξεως ἀριθμὸς ῥυθμός ἐστιν.
Comparez
Longin, Fragments ii et iii de notre édition. Le
a musique, Aristote, Politique, VIII, 5. Chap vi. — La paracataloge.]
Comparez
, pour plus de détails, Plutarque, De la Musique,
re plus tranquille. » 1. État, poste envié, convoité, obtenu. 3.
Comparer
Molière distinguant la vraie et la fausse dévotio
i comme une tache qui eu obscurcit tout l’éclat et le ternit. » 1.
Comparer
Bossuet. — Pour compléter ce portrait idéalisé, r
, mais non par écrit, car ce serait un traité dans les formes3. 1.
Comparer
une leçon de M. Cousin Sur la guerre. 1. Arbre g
, que de Maistre est un partisan fougueux de l’ancien régime. On peut
comparer
à ce morceau la dissertation de Rivarol sur les m
nistre du roi de Sardaigne auprès de la Confédération helvétique. 2.
Comparer
à la lettre de Balzac, L’homme s’agite et Dieu le
e plie sans efforts à tous les genres de composition. Aussi, quand on
compare
les productions de la Grèce et de Rome, trouve-t-
moins à être modeste, et plus à être grand. Démosthène et Cicéron
comparés
. Les critiques de tous les temps ont beaucoup
e fable, la sensibilité était fort en honneur dans notre littérature.
Comparez
les Deux Amis de La Fontaine. Aidons-nous mutuel
e fable, la sensibilité était fort en honneur dans notre littérature.
Comparez
les Deux Amis de La Fontaine. 1. C’est une rémi
urut dans la misère. 4. Pyrrhus, roi d’Épire (313-272.) 1. Il faut
comparer
à ces vers le chapitre xxxii, l. 1 er de Gangantu
i sont bien français ; celui-ci surtout : est vain dans ses discours.
Comparez
le portrait de la jeunesse, par Bossuet. (Recueil
l’on fait de ses ouvrages. » (La Buyère. Ouvrages de l’Esprit.) 3.
Comparez
à l’Art poëtique d’Horace. 1. Le goût et la con
ux les traits vrais ou spécieux dont ils ont peint une passion ; elle
compare
les morceaux, non pour donner des rangs, mais pou
us de souci de la morale que de l’esthétique. C’est de la littérature
comparée
qui conclut par de la morale. J’éprouve quelque e
tableaux, la vie des portraits, les rapprochements de la littérature
comparée
. J’ai peut-être des raisons personnelles pour ne
au un chanteur, un poëte comme lui. 1. Béni soit le bouvreuil ! 2.
Comparez
cette page de Xavier de Maistre pleurant la mort
tissait une maison d’école dans son village, l’idée vint à Brizeux de
comparer
la blanche maison qui s’élevait à ces autres écol
Dorothée 3. Son vers a de l’ampleur, de l’élan, de la sérénité. Il a
comparé
quelques-uns de ses poëmes à un vase athénien rem
assait à chanter ! 2. Ah ! je comprends l’attrait de son école. 3.
Comparez
Jocelyn, le maître d’école, le pasteur évangéliqu
sur les questions dont le développement leur est donné par nous. Ils
compareront
ensuite leur travail au nôtre et ils verront ce q
° du style des deux écrivains. (Toulouse, juillet 1886.) Racine
Comparer
dans Racine l’amour maternel d’Andromaque, de Cly
véritable homme de bien. » (Clermont, août 1891.) Faire connaître et
comparer
les caractères d’Alceste et de Philinte dans Le M
plis ? Esquisser le tableau de ce progrès. (Bordeaux, novembre 1889.)
Comparer
le développement colonial des nations européennes
u’une sanction ? Enumérer les principales sanctions morales, puis les
comparer
sous le rapport de l’efficacité. (Rennes, avril 1
in à celle d’un grand capitaine. Vous profiterez de cette pensée pour
comparer
sans emphase et sans fausse sensibilité, les arts
Donnez une idée sommaire des ministères de Colbert et de Louvois, et
comparez
les services et les caractères de ces deux hommes
es et les caractères de ces deux hommes célèbres. (Paris, août 1876).
Comparez
Turenne et Condé. Vous rappellerez ce qu’ont été
t apprécier le caractère d’Auguste dans la tragédie de Cinna. (1883.)
Comparez
d’après vos lectures, Voltaire et Rousseau comme
Joad ; montrer qu’il est vraiment l’âme de la tragédie d’ Athalie. –
Comparer
Burrhus à Abner. – Expliquer pourquoi Athalie n’e
Est-il vrai que Voltaire ait exagéré la grandeur du xvii e siècle ? –
Comparer
les lettres de Voltaire à celles de Mme de Sévign
s étaient-elles d’accord en France vers le temps de la Révolution ? –
Comparer
Turgot à Necker. – Washington et Franklin. – Quel
és qui vous ont surtout frappé dans les lettres de Mme de Maintenon ?
Comparez
ses lettres à celles de Mme de Sévigné. – Roussea
st-il vrai qu’elle ressemble à une jeune fille chrétienne moderne ? –
Comparer
le caractère d’Agamemnon à celui de Don Diègue.
est moins apparent et par là même il est d’un ordre plus relevé.
Comparer
dans Racine l’amour maternel d’Andromaque, de Cly
ostérité sans doute hésitera comme eux à préférer l’un à l’autre.
Comparer
le rôle de Narcisse dans Britannicus et celui de
poète est moins grande aujourd’hui qu’autrefois. Ses contemporains le
comparaient
comme poète tragique à Corneille et à Racine ; no
uffon, Rousseau n’ont écrit qu’en prose. On ne peut sérieusement leur
comparer
les poètes, leurs contemporains. Gresset, Piron,
ec la régente et il se contentera des plus médiocres concessions.
Comparer
Richelieu et Mazarin. Richelieu et Mazarin ont
Les Femmes savantes et Tartufe, pourraient seuls, peut-être, lui être
comparés
. Si l’on y regarde bien, on reconnaît vite que ma
Louis XIV. Il interroge les témoins, il consulte les Mémoires, il les
compare
, il se fait une opinion d’après des documents aut
grand poète. La Henriade passa d’abord pour un chef-d’œuvre et on la
comparait
à l’Iliade et à l’Énéide. Vers la fin du xviiie s
révèlent plus de dextérité et plus d’artifice que d’art réel. Elle a
comparé
son pathétique forcé et larmoyant aux solides bea
ez la scène et vous développerez le caractère esquissé par Boileau. –
Comparer
Corneille et Racine comme poètes comiques. – Mme
l’exercice de la piété et des bonnes œuvres à paraître devant Dieu. –
Comparer
les caractères de Chimène, de Pauline et d’Émilie
e Mme de Sévigné et de Voltaire. Appréciez, d’après cette lecture, et
comparez
les deux écrivains. – Mme de Staël a dit que l’en
e de l’autre, elles suivent chacune sa route et ne peuvent guère être
comparées
. Aussi, si nous étudions, dans leur vie et dans l
mères n’aiment leurs enfants, moins qu’il n’en était digne, si on le
compare
à sa sœur. Sa morale, sur ce point (sur d’autres
ittérature. La science, l’industrie et l’art. – Les distinguer et les
comparer
. Déterminer leur but, les besoins physiques ou in
oi consiste le vrai dans les œuvres d’imagination, dans l’éloquence ?
Comparer
la recherche de la vérité telle qu’elle se pratiq
ne est encore plus perfide que Corneille ; ceux qui lisent vite l’ont
comparé
à une belle prairie unie et plane ; non ; mais il
avoir ? Concours de 1888. Ordre des lettres Littérature.
Comparer
Corneille et Racine. Langue française. Dans son
de la critique contemporaines, en état d’écrire désormais l’histoire
comparée
des littératures. Sans espérer ni demander que le
rançaise, même une certaine familiarité des problèmes de linguistique
comparée
, et, en tout cas, un savoir assez étendu pour pre
ensuel, où les préférences personnelles ont leur place, ne saurait se
comparer
au goût intellectuel, produit d’une culture spéci
à ou au-delà, et ce qu’était, en somme, ce point de perfection, quil
compare
à l’exquise maturité d’un fruit, et sur lequel ne
ns au désavantage dont Voltaire se plaint ? Langue française. étude
comparée
des trois textes suivants, au point de vue du voc
on se rend compte de l’infériorité de la prose coupée de cette époque
comparée
à la belle prose du xvii e siècle. Le style coupé
de ces héroïnes peut amener dans l’éducation des jeunes personnes. –
Comparez
, d’après la lecture que vous avez faite de leurs
euse. – De Corneille et de Racine. – Vous vous attacherez moins à les
comparer
qu’à porter sur chacun d’eux un jugement précis,
poésie qu’on ne trouve nulle part ailleurs dans les autres auteurs. –
Comparer
entre eux les rôles de femmes dans le Misanthrope
d’or, que les poètes placent si loin derrière nous, est devant. » –
Comparer
l’étude des sciences mathématiques à celle des sc
raons ; 2° Sous les Ptolémées1. (Section d’architecture, mars 1891.)
Comparer
l’art et la littérature des Romains à l’art et à
uines et des monuments en Perse, en Assyrie, en Égypte, en Grèce ? –
Comparer
le caractère, les mœurs, les monuments des Égypti
t attirer sur la Perse de terribles dangers !… Concours de 1873
Comparer
Richard Cœur de Lion avec Philippe-Auguste. CONSE
et les plus magnifiques monuments détruits avec un vandalisme qu’on a
comparé
à celui des soldats romains de Mummius lors de la
des yeux de tous ses compagnons. Décrire cette scène avec détail, et
comparer
cette courtoisie chevaleresque à l’ignoble traite
ne vous demande que deux ou trois navires et une centaine d’hommes…..
Comparez
ce que vous risquez à ce que je vous offre….. Pou
ffre….. Pourriez-vous hésiter ? (La Flèche.) socrate a ses juges. Je
comparais
devant vous pour la première fois de ma vie, à so
eureusement sa retraite. Le vieux Caton, en racontant cette aventure,
comparait
le dévouement du tribun à celui de Léonidas, et i
ldats mercenaires ou des esclaves sont en général de mauvais soldats.
Comparer
les qualités militaires de différentes nations. A
ies, les saisir dans leur ensemble, en bien comprendre la portée, les
comparer
entre elles. Il faut remonter aux principes, s’en
e est l’utilité des leçons d’agriculture professées à la campagne ? –
Comparer
la vie du laboureur, du bûcheron, du vigneron ? L
s qualités, – son rôle dans l’histoire, – sa place dans la société. –
Comparer
l’existence du montagnard – et de l’habitant de l
Comparer l’existence du montagnard – et de l’habitant de la plaine. –
Comparer
la vie et l’état social du paysan avant 1789 – et
les inconvénients de la prodigalité et les avantages de l’économie. –
Comparez
la condition du cultivateur avec celle de l’ouvri
du cheval de trait ? – du cheval d’attelage ? – du cheval de course ?
Comparez
leurs formes, – leurs aptitudes, – l’emploi qu’on
chesse, les progrès – en exagérant les nôtres. Ils nous permettent de
comparer
leur civilisation avec la nôtre, de les imiter, d
– Pourquoi le siècle de Louis XIV est-il appelé le grand siècle ? –
Comparer
les caractères généraux du xviie et du xviiie siè
ait de trois mois en trois mois changer de comptoir pour le former. –
Comparer
l’industriel et le commerçant. – Utilité des Ecol
ici. Ainsi Homère et Virgile ont pu, sans blesser la majesté épique,
comparer
tantôt le nombre, l’ardeur et l’impatience des Gr
e observateur bien plus scrupuleux des bienséances, n’a pas craint de
comparer
, dans sa Henriade, les troupes françaises à une m
eux héros qui s’avancent fièrement au combat l’un contre l’autre, les
comparent
au dieu Mars et à l’Épouvante, s’élançant du fond
gination. La mémoire conserve et retrouve les idées ; Le jugement les
compare
, les choisit, les coordonne ; L’imagination les m
au mot propre supposent une correspondance préalable entre les objets
comparés
, la cause pour l’effet, l’effet pour la cause, le
’a plus de signe propre et exclusif dans la langue ; L’hyperbole, qui
compare
, comme la métaphore, une idée à des idées semblab
une sorte de contradiction avec ce qui sera dit plus loin sur Cratès.
Comparez
, plus bas, le commentaire sur le chapitre XII. Ép
us que l’œil puisse apercevoir sans peine. » (Commentaire sur le Cid.
Comparez
sur Cinna, acte II, scène I.) Enfin l’élève de Vo
ar une de ces illusions que l’éloignement dissipe, ont été jusqu’à le
comparer
à Bossuet. Il suffit de dire, à son éloge, qu’il
torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs. 2. On peut ici
comparer
Massillon à Fléchier. Celui-là a fait également,
e d’estampes populaires dont s’orneront les chaumières rustiques. 5.
Comparez
Victor Hugo : Réveries d’un passant à propos d’un
t familières. On croit entendre la voix chevrotante de l’aïeule. 2.
Comparez
M. Victor Hugo. Feuilles d’automne, iv, et surtou
r leur goût, et de fixer leurs idées sur le caractère de notre langue
comparée
aux langues étrangères. Après un court éloge du p
aperçoit à la fois un grand nombre d’idées ; et comme il ne les a ni
comparées
, ni subordonnées, rien ne le détermine à préférer
vements célestes reconnus, combinés, représentés, le ciel et la terre
comparés
, l’univers agrandi et le Créateur dignement adoré
rter dans les airs ; leur vol est continu, bourdonnant et rapide : on
compare
le bruit de leurs ailes à celui d’un rouet. Leur
Dieu que voilà ! » 1. Sont mis en mouvement par ses secousses. 2.
Comparez
à La Fontaine ; le chat et les lapins. 3. Quatre
Que les conditions de la violence et de la vérité se ressemblent. 3.
Comparez
un passage de Fléchier. (Même recueil, page 138.)
tous les termes de cette admirable comparaison. 2. Il est curieux de
comparer
à ce passage ce que dit Fénelon sur l’éloquence d
l’exactitude physiologique de la description qu’on va lire. — On peut
comparer
, à ce sujet, Fénelon, Lettres sur la religion, II
au lieu que l’homme reçoit l’éducation de tous les siècles… » On peut
comparer
aussi ce que Buffon a dit des castors, qui ont ét
étranger Croit qu’on rit de ses maux et qu’on veut l’outrager : Ne me
comparez
point à la troupe immortelle : Ces rides, ces che
et l’éloge de l’Italie, que renferme le IIe livre des Géorgiques. On
comparera
aussi avec intérêt à ces vers l’éloge de l’Anglet
, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon
compare
nos merveilles. Je suis chose légère, et vole à t
il est toujours prêt à s’éveiller pour être Gros-Jean comme devant. »
Comparez
à cette fable ce passage des Châteaux en Espagne,
a lieu de craindre pour son éloquence et sa vertu. 6. Octogénaire.
Comparez
le vieillard de Tarente dans Virgile. Homère nous
ui cause nos peines. Ici l’emploi de la périphrase est expressif. 5.
Comparez
les inquiétudes d’Harpagon dans Molière, ou d’Euc
t de l’importance du sujet. 3. Exemple de suspension expressive. 4.
Comparer
à la Peste des animaux (Virgile), et au début d’Œ
si vrais et si féconds de la Poétique d’Horace. Je prie le lecteur de
comparer
les deux écrits, et surtout de méditer ces parole
n ou par la recherche de ces pensées déliées et fugitives, que Buffon
comparait
aux feuilles du métal battu, il arrive que les pa
Pour bien comprendre cet artifice de la disposition, il suffirait de
comparer
un discours d’Isocrate, par exemple, à un discour
directe de son idée. Il a, dit-il, le fanatisme de la simplicité, et
compare
lui-même son style à ces glaces sans tain à trave
refuse à l’historien, son histoire nous l’a plus d’une fois donné. —
Comparez
à ce morceau le chapitre de Fénelon qui traite le
r2. Quels préjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser
comparer
le fils de Sophronisque3au fils de Marie ! quelle
2. Rousseau devient sentimental, comme on l’était sous Louis XIV. 1.
Comparez
le portait de l’enfant dans Horace et Boileau. (A
. On doit y recueillir les raisons de l’une et de l’autre partie, les
comparer
, les balancer, et se déterminer sa faveur des mei
t facile, une peinture exacte des mœurs et des caractères. Quintilien
compare
son éloquence à un ruisseau pur et clair, plutôt
qui succédait à son frère. En voici un morceau frappant. Après avoir
comparé
le grand Corneille aux Eschyle, aux Sophocle, aux
propos certains droits déjà établis, ou pour en imposer de nouveaux ;
comparer
la recette avec la dépense, pour retrancher ou mo
t les augmenter, mais encore celles des puissances voisines, pour les
comparer
les unes aux autres. Il leur est aussi essentiel
aison, parce que j’exprime tous les points de rapport des deux objets
comparés
. Mais si je dis simplement : Ce ministre est la c
e. 2º De circonstances triviales et familières qui avilissent l’objet
comparé
, comme ce vieux poète français qui dit que le dou
ition. Comme la comparaison est fondée sur la ressemblance des objets
comparés
, l’antithèse consiste dans le contraste ou l’oppo
By envy’s hand, and murder’s bloody ax. 38. Cicéron, comme Horace,
compare
souvent la république à un vaisseau agité par la
lequel le prédicateur a voulu diriger nos pensées. On peut alors les
comparer
à des excroissances qu’on aimerait mieux ne pas a
nt que Quintilien. Cinquième partie. Lecture XXXV. Du mérite
comparé
des anciens et des modernes. — Des historiens.
plus loin, je crois devoir faire quelques observations sur le mérite
comparé
des anciens et des modernes, afin de nous mettre
caractérise les poètes, les orateurs et les historiens de l’antiquité
comparés
aux modernes. Chez les premiers, nous trouvons de
lité d’adopter dans les compositions historiques un plan général ; il
compare
la faible instruction que l’on retire de l’étude
ues observations sur la diversité des opinions relativement au mérite
comparé
des anciens et des modernes, je suis entré dans d
n assez vague contre le luxe et la corruption des mœurs de ce siècle,
comparés
à la simplicité des premiers temps de la républiq
ions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux espèces, l’une qu’ils
comparaient
à des perles détachées, l’autre à des perles enfi
. De tous les poètes lyriques anciens et modernes, aucun ne peut être
comparé
à Horace pour la correction, l’harmonie et le bon
offrent un genre de composition magnifique auquel nous n’avons rien à
comparer
. Considérés comme une inspiration divine, ils ouv
ure de l’homme ; mais, s’il veut peindre la beauté d’une femme, il la
compare
au mont Carmel, caput tuum ut Carmelus (Cant. c
dans la distribution des matières que celui d’aucun prophète. Si nous
comparons
Isaïe aux autres poètes sacrés, nous sommes d’abo
ere, impetu, granditate, nemo unquam eum superavit. Ce savant auteur
compare
Isaïe à Homère, Jérémie à Simonide, et Ézéchiel à
tout entier ; les batailles de Virgile et de tous les autres poètes,
comparées
aux siennes, paraissent inanimées et froides. Auc
ompent mal à propos une description. La ressemblance entre les choses
comparées
n’est pas toujours très claire ; les mêmes objets
s consacrer quelques lignes à l’Odyssée. C’est avec raison que Longin
compare
Homère, dans ce poème, au soleil couchant qui bri
loge. Si, maintenant, sous le rapport de leur mérite en général, nous
comparons
l’un à l’autre ces deux princes de la poésie épiq
s beautés et les défauts que l’on doit attendre d’un auteur original,
comparé
à ceux qui sont entrés après lui dans la carrière
Pompée ; rien n’est plus poétique que ce beau passage dans lequel il
compare
Pompée à un vieux chêne ruiné par le temps :
le poète courait trop après les expressions saillantes et originales.
Comparé
à Virgile, Lucain a peut-être plus de grandeur et
yle, je ne connais qu’Homère, Virgile et Milton qui lui puissent être
comparés
. L’Arioste, le rival du Tasse dans la poésie ital
de passages admirables ; il y a des morceaux auxquels on ne peut rien
comparer
: mais aussi il n’en est peut-être pas une que l’
ouvrage en plusieurs volumes, de la discussion du mérite des opinions
comparées
de Blair, de Campbell, et des meilleurs littérate
s critiques de toutes les nations, et dans tous les temps, ont aimé à
comparer
ces deux grands orateurs ; et, suivant leur goût
t que « les lumières que nous avons acquises nous ont appris à ne lui
comparer
aucun des hommes qui se sont mêlés du gouvernemen
un chef-d’œuvre auquel les temps anciens et modernes n’avaient rien à
comparer
. Le sujet du sermon est le petit nombre de ceux q
essembler à la foule.” (Massillon, Sermons, vol. iv.) » Du mérite
comparé
des anciens et des modernes. Tome II, page 51.
e était encore trop peu cultivée, et que si quelquefois on ne peut le
comparer
qu’à lui-même pour le naturel et pour le sublime,
ours égal à lui-même ; s’il l’avait été, ce ne serait pas assez de le
comparer
aux hommes que leur genie a élevés au-dessus de l
ue l’art d’écrire. Comment parle-t-il du style simple ? Après l’avoir
comparé
à une beauté négligée qui a des grâces d’autant p
n ouvrage en aucun genre d’eloquence ou de poésie. » Aussi Quintilien
comparait
-il l’invention et la disposition séparées de l’él
comme moyen d’arriver à la connaissance de la vérité. Quintilien les
compare
à la grêle qui ne renverse pas comme la foudre, m
que l’ensemble d’une composition, je vais, à l’exemple de Quintilien,
comparer
un auteur à un architecte qui veut construire un
u, ou bien, soit. 4° Pour marquer exception : sinon, quoique. 5° Pour
comparer
: comme, de même que, ainsi que. 6° Pour ajouter
ex verbis Aristotelis recte constituendis (Neu-Brandenburg, 1837). —
Comparez
le grammairien anonyme, publié par Cramer, Anecdo
n aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et comme on ne les a ni
comparées
ni subordonnées, on ne sait auxquelles on doit s’
sentent les pensées et les sentiments qu’il en a tirés. Il faut qu’il
compare
entre elles les différentes parties, qu’il les di
tyle, et surtout le choix des mots et la facture des phrases. On peut
comparer
le travail de l’élocution à celui de l’architecte
par l’étude des tableaux divers qu’un même sujet a produits. Que l’on
compare
les assauts, les batailles, les combats singulier
ssemblances. Dans la Henriade, Voltaire fait une similitude lorsqu’il
compare
les Seize au limon soulevé par la violence d’une
se faire une idée de la brièveté qui convient à la narration, on peut
comparer
deux fables composées sur le même sujet, La Mort
opération de l’intelligence qui observe les choses, les embrasse, les
compare
, afin de porter un jugement sur leurs rapports. O
par l’image du cèdre et de l’hysope. L’habitant d’un climat pluvieux
compare
la vue de ce qu’il aime à la vue d’un ciel sans n
me à la vue d’un ciel sans nuages ; l’habitant d’un climat brûlant la
compare
à la rosée. Quelle différence entre les idées que
attacher aux mots principaux dont elles dépendent. 5° Lorsqu’on veut
comparer
deux objets pour en montrer la ressemblance ou l’
et le fondement des états : il parcourut toutes les législations, et
compara
ensemble les lois de tous les peuples. Il ne fut
. » De l’examen de mes sens, je passai à celui de ma raison, et je la
comparai
encore à mes devoirs. Je vis que, pour bien gouve
n leur juste cercle et à jamais disparues1. La postérité On a
comparé
souvent l’impression mélancolique que produisent
mes que des violons de village. Comment voulez-vous d’ailleurs que je
compare
des épitres à un poëme épique, aux amours de Dido
: Hérodote, V, 9 Hésychius, et le Grand Étymologique. La métaphore.]
Comparez
la Rhétorique, III, 2, 3, 10. On voit que ce mot
le la même carrière ; ils ont été par conséquent rivaux ; ils ont été
comparés
et jugés par leurs auditeurs. Ce n’est donc pas d
En un mot, il y a beaucoup d’exemples de ce genre dans la tragédie. »
Comparez
Villemain, Tableau du xviii e siècle, IIIe partie
té retouchées dans cette édition, et les maîtres qui voudront bien la
comparer
avec la précédente reconnaîtront aisément que nou
essaires. 19. Le jugement est une faculté par laquelle l’intelligence
compare
les objets et distingue le vrai du faux. Ainsi, l
jamais tromper par des beautés fausses ; il estime avec justesse, il
compare
avec équité les beautés des divers genres, il se
ensée (pendere, pensare, peser) est un acte par lequel l’intelligence
compare
deux idées et juge des rapports qu’elles ont entr
x idées, l’idée de Dieu et l’idée de la bonté ; il les examine et les
compare
, et lorsqu’il affirme que la bonté convient à Die
tent entre un sentiment ou une idée et l’objet physique auquel on les
compare
. Si par exemple le génie ou l’éloquence d’un orat
e ne vois aucun rapport entre l’idée du poète et l’objet auquel il la
compare
. 79. Les images doivent être naturelles et propor
n léger changement dans les mots pour relever et ennoblir une pensée.
Comparez
ces deux vers. Il ne s’est donc pour moi battu q
re tête De la rébellion. Louis se trouve successivement
comparé
à Jupiter maître de la foudre, à un lion, et enfi
fendant son fils condamné à mort. Tite Live et Corneille peuvent être
comparés
en ce dernier point. (Voir le nº vi.) 195. La com
le livre, prenez la plume, essayez de le reproduire à votre façon, et
comparez
votre travail avec le modèle. Ce genre d’imitatio
Enfin, analysez un discours, travaillez sur ce plan emprunté, et puis
comparez
vos développements et vos preuves avec la marche
l aperçoit à la fois un grand nombre d’idées, et comme il ne les a ni
comparées
ni subordonnées, rien ne le détermine à les préfé
fait le portrait de deux personnages qui se ressemblent, et qu’on les
compare
ensemble pour en montrer les rapports et les diff
ont entre eux quelque rapport de ressemblance. Ainsi Chateaubriand a
comparé
Virgile et Racine, le songe d’Énée et le songe d’
Virgile et Racine, le songe d’Énée et le songe d’Athalie. Avez-vous à
comparer
deux auteurs ? Examinez les traits les plus frapp
thètes et les périphrases qui peuvent faire ressortir une idée ; vous
comparez
ensemble une foule de mots et de tours, et vous l
ette recherche est pour nous l’objet d’un nouveau travail. Enfin nous
comparerons
les mots aux faits et aux pensées qu’ils rendent,
aura jamais. » Toute cette partie du discours est figurée : l’auteur
compare
les sentiments de reconnaissance et d’amour que l
s une morne stupeur, sont déjà comme privés de la vie ; l’orateur les
compare
à des cadavres ; la ville qui les renferme n’est
bien qu’on pourra le faire. Après cela on reprendra le livre, et l’on
comparera
son style avec celui de l’auteur. Cette compositi
ux remarquables ; la première : « Mais quelle absurdité à moi d’oser
comparer
les Drusus, les Scipion, les Pompée, de me compar
dité à moi d’oser comparer les Drusus, les Scipion, les Pompée, de me
comparer
moi-même à Clodius ? Ces attentats étaient toléra
llèle rapproche les actions, les personnes, les vertus et les vices ;
compare
, pèse et juge s’il y a égalité ou supériorité. Vo
udes ; en éloquence rien de plus noble que celle par laquelle Bossuet
compare
la fermeté de la reine d’Angleterre aux colonnes
à la fin tout leur cas s’en va en fumée…4 et ne les sçauroit-on mieux
comparer
qu’à une bonne femme qui portoit une potée de lai
le inaugure la haute comédie ; ici, il l’élève au ton de la tragédie.
Comparez
une scène analogue du don Juan de Molière. Lisez
, comme autrefois à Pauline. Le style a je ne sais quoi de claustral.
Comparez
ces strophes à l’ode de Malherbe, Paraphrase d’un
. Le cœur de l’épouse fait explosion ; elle ne peut plus se contenir.
Comparez
aux plaintes de Didon dans Virgile. Elle dit tu m
erminer Auguste à garder le pouvoir absolu, définit l’état populaire.
Comparez
à ce morceau celui où Voltaire, dans Brutus, trai
qui a survécu à tout le reste. La rhétorique, comme la logique, peut
comparer
le sujet ou l’idée à traiter à cette campagne don
s rappelez bien des périphrases pour rendre ces mots : il fait nuit ;
comparez
-les ensemble, et, si elles appartiennent à de vra
hés par mon bras Parleront au lieu d’elle, et ne se tairont pas. Il
compare
ce dernier hémistiche aux dictons de M. de la Pal
rmi nous et presque sans rival chez les étrangers : on ne saurait lui
comparer
, par exemple, celui de Pope, la Boucle de cheveux
: tel est le sens primitif, aujourd’hui presque oublié, du mot fusil.
Comparez
ici Virgile à Boileau : Géorg., I, 135 ; En., I,
adie 2, bien différent de ce grand saint, mais très-digne de lui être
comparé
, quand il parle de la religion chrétienne (demand
ure lui-même en admirant la noblesse de ce sentiment. » 1. Il faut
comparer
cette narration à celle qui a été faite par Volta
es notes sur le chap. vii, § 1, des Notions élémentaires de Grammaire
comparée
(7e édit., 1874). L’élément.] Στοιχεῖον est ordin
e la Silésie. Vauvenargues avait fait campagne dans ces contrées. 3.
Comparez
au passage des martyrs, le réveil au camp, I. vi.
n général dans la mémoire de tous, et qu’il sera ainsi plus facile de
comparer
toutes les pensées qui entrent dans ce morceau av
. » On sera facilement de l’avis de Racine, si l’on prend la peine de
comparer
entre elles d’une manière complète les idées anal
que ce que je vous ai appris, et ce que je vous ai appris n’est rien,
comparé
à ce qui me resterait à vous apprendre. Quant à l
summum jus, summa injuria . 3. Trait vif et spirituel. 1. On peut
comparer
Bossuet (Même recueil), et cette page de M. Jouff
les cieux… 1. Essai sur l’Indifférence (édition Garnier frères).
Comparer
à un très-beau passage de Balzac : Les victoires
ommentaires de l’Évangile selon saint Marc. (Édition Garnier frères.)
Comparez
cette belle page de madame de Staël : « Tout ce
Chapitre XXIII. Un ensemble dramatique.]
Comparez
, plus haut, le chapitre viii, et, pour plus de dé
tait longtemps avant nous ? Pour décider cette question, il suffit de
comparer
nos traités de Rhétorique aux institutions oratoi
: apprenez à trembler1. 1. Je lis dans M. Sainte-Beuve : « Je le
comparerais
volontiers à ces arbres dont il faut choisir les
pour et du contre, quand on juge Voltaire. 4. Trop tard encore. 5.
Comparez
les médisances de Célimène. (Misanthrope.) 1. Le
nistre du roi de Sardaigne auprès de la Confédération helvétique. 3.
Comparer
à la lettre de Balzac, l’Homme s’agite et Dieu le
la poussière du rayon ne s’enlève pas, on les met sous verre. 2. Il
compare
ce germe à un enfant qui dort dans son berceau.
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