ion ēheu. 1° dans le génitif alīus (pour aliius) ; il est
commun
dans les autres génitifs en ius : unĭus, illĭus,
am, fīent. Il est bref aux autres temps : fĭeri, fĭerem. 3° I est
commun
dans Orĭon, Dĭana, Marĭa. O est long dans les
un oméga, comme trōes, herōes, etc. (en grec : τρώες, ἠρωες). Il est
commun
dans [ATTcaractere]he. 1° après la lettre
les, lacrymas, supremus, patris, etc., la voyelle qui précède devient
commune
. Ainsi, i, bref dans lĭber, est commun dans l[ATT
a voyelle qui précède devient commune. Ainsi, i, bref dans lĭber, est
commun
dans l[ATTcaractere]bri ; e, bref dans păter, est
s lĭber, est commun dans l[ATTcaractere]bri ; e, bref dans păter, est
commun
dans p[ATTcaractere]tris ; il en est ainsi dans t
ă, ită, quiă et pută (adverbe), qui suivent la règle. A final est
commun
, mais le plus souvent long, dans les nombres card
etē, tempē. 3° à l’impér. des verbes en ēre, eo : monē, timē. Il est
commun
dans cav[ATTcaractere], et quelquefois bref dans
(On trouve quelquefois ē long chez les vieux poètes.) I final est
commun
: 1° aux datifs grecs en i : Pallad[ATTcaractere
) ; dans l’interjection iō, dans ergō mis pour causā. O final est
commun
: 1° dans les noms, au nominatif et au vocatif :
gō, sērmō, canto, ībō, etc. O final précédé d’une longue n’est devenu
commun
qu’à une époque postérieure. Il en fut ainsi de q
nĕc, donĕc, făc, où la finale est brève, et hἵc (pronom), où elle est
commune
. III L final. Les finales en l sont brève
eclamo, la particule re est généralement brève ; quelquefois elle est
commune
, comme dans r[ATTcaractere]cludo, r[ATTcaractere]
ts composés où pro remplace la préposition grecque προ, antè. Pro est
commun
dans pr[ATTcaractere]curo, pr[ATTcaractere]pino,
ρα, lyră, etc. 3. O final est bref dans egŏ et long dans εγώ ; il est
commun
dans les verbes latins, bien que, dans le grec, i
rre, Paul, livre, chapeau. 11. — Il y a deux sortes de noms, le nom
commun
et le nom propre. Le nom commun est celui qui con
— Il y a deux sortes de noms, le nom commun et le nom propre. Le nom
commun
est celui qui convient à plusieurs personnes ou à
à plusieurs choses semblables : homme, cheval, maison, sont des noms
communs
; car le mot homme convient à Pierre, à Paul, etc
.) Aïeul, ciel, œil, font au pluriel aïeux, cieux, yeux. 1. Le non
commun
convient à toutes les personnes, à toutes les cho
ne s’appelle hémistiche. D’autres vers ont dix pieds : on les appelle
communs
; et ils ont la césure après le quatrième. Il y e
ire que les grands vers féminins ont treize pieds ; les vers féminins
communs
, onze ; ainsi des autres. Mais cette dernière syl
ues-cri-mes-tou-jours |pré-cé-dent-les grands-cri-mes. Vers masculin
commun
, ou de dix pieds. On-vit-heu-reux | quand on-est
ix pieds. On-vit-heu-reux | quand on-est-sans-dé-sirs. Vers féminin
commun
, ou de dix pieds. Le-na-tu-rel | est-le sceau-du
nt pu le garantir, au milieu de son âge, De la
commune
loi. Il n’est plus, et les Dieux en des temps si
s d’entremêler les rimes, et de varier la mesure. Celle qui est assez
commune
et fort belle consiste à faire rimer les deux pre
er, ce que nous avons dit de l’imitation de la belle nature, principe
commun
de tous les beaux-arts. On imite la nature, en re
es, selon la diversité des sujets, et qu’elles n’aient jamais rien de
commun
et de trivial. Il y a des mots qui sont en eux-mê
le propre a de rude et de rebutant. Il y a d’autres mots qui sont si
communs
, qu’ils paraissent devoir être entièrement bannis
e nommer de part et d’autre trois combattants seulement pour la cause
commune
. Ce furent de l’un et de l’autre côté trois frère
ssent sans effort du sujet que traite l’écrivain. Elles sont simples,
communes
et souvent triviales. Il faut nécessairement les
’Asie aux Romains : il avait une grande taille ; sa pensée aurait été
commune
. Mais en disant que ce capitaine était armé d’un
lus vrai, de plus juste, mais en même temps de plus simple et de plus
commun
que cette pensée, la mort n’épargne personne. Voy
des rois, et les cabanes des pauvres ? Une autre pensée vraie, mais
commune
, et tout à fait dénuée d’agréments, est celle-ci
eur marche soutenue, dans leurs gradations, tendent toutes à la chute
commune
et finale. Il faut en bannir avec soin les mots q
leur est particulière. Les synonymes, qui se ressemblent par une idée
commune
, sont néanmoins distingués l’un de l’autre par qu
larer, découvrir, manifester, révéler, déceler, ont une signification
commune
, qui est de faire connaître ce qui était ignoré.
té des sujets ; agréments qui ont tous un même principe et une source
commune
, la propriété des termes. Il suffira de dire simp
ment du naturel. Dire en termes trop recherchés des choses simples et
communes
, pour les faire paraître plus grandes et plus ing
L’Enflure du style consiste, ou à présenter des pensées simples et
communes
sous des expressions sonores et pompeuses, ou à d
l’emploient pour étendre, orner, ennoblir une idée simple et souvent
commune
. C’est ainsi que Boileau s’est servi d’un tour tr
espèce de Synecdoque, par laquelle on prend un nom propre pour un nom
commun
ou pour un adjectif ; comme lorsqu’on dit d’un ho
op mous et le pouvoir trop fort. Depuis qu’il ne sert plus la défense
commune
, Le sceptre n’a servi qu’à sa propre fortune ; Af
besoin qu’on le guide. Il s’assied. Je dis qu’il faut régler, par un
commun
accord, La révolution dont nous tenons le sort. —
patience, et se promène vers la gauche. Eh bien ! substituer, pour le
commun
bonheur, Les lois de la morale aux lois d’un faux
Car ce n’est qu’à la loi que ces respects sont dus. Le nouveau droit
commun
confond toutes les classes ; Je ne distingue plus
t là des affiches, des proclamations, des journaux, des arrêtés de la
Commune
. Des volumes ouverts sont enfassés sur le planche
Vingt d’entre eux périrent sur l’échafaud, le 31 octobre 1793. 1.
Commune
. On entendait par ce mot un comité révolutionnair
tes parler ces trois hommes, qui, à peine vainqueurs de leurs ennemis
communs
, se sont insupportables l’un à l’autre, et qui, v
uité ; c’est qu’enfin tous deux se rencontraient ici sur leur terrain
commun
, la vérité et la raison. Oui, quelque sujet qu’on
nd aujourd’hui par les mots, unité humanitaire, unité sociale, la loi
commune
qui régit les individualités renfermées sous les
ns divers, ainsi, dans un livre, l’unité de dessein indique la pensée
commune
qui régit, l’idée finale où tendent, sous des for
visions de l’ouvrage son caractère propre et spécial ; elles n’ont de
commun
, outre l’éclat et la majesté d’une expression qui
our la conserver de l’autre, il a obtenu la variété. 2° La licence du
commun
des hommes est retenue par la crainte des diseour
veloppement semblable au précédent ; opposition entre la situation du
commun
des hommes32 et celle des grands33, traitée des d
ible. 29. La crainte du public est un autre frein pour la licence du
commun
des hommes. Quelque corrompues que soient nos mœu
s, grandes, magnifiques, nobles et sublimes ; — d’autres sont basses,
communes
ou triviales, fausses, gigantesques, etc. Ces der
un se dit ami ; mais fou qui s’y repose: Rien n’est plus
commun
que ce nom, Rien n’est plus rare que
être soigneusement bannies du style. Ce sont : 1° les pensées basses,
communes
ou triviales, qui n’offrent à l’esprit que des id
n les relève, leur donne quelque élégance, et les empêche de paraître
communes
. On se rappelle avec plaisir une bonne action.
trange problème. Qui de nous en tout temps est fidèle à soi-même ? Le
commun
caractère est de n’en point avoir : Le matin incr
dre de longs beuglements Pradon, et cette expression nous paraît trop
commune
; ce que Racine a remplacé heureusement par celle
loie des termes pompeux et recherchés pour dire des choses simples et
communes
. En voici des exemples : Platon a dit en parlant
ant de la piété de Louis XIV, relève le mot pavé, qui n’a rien que de
commun
et de bas par lui-même : Tu le vois tous les jou
temples. 4° Par une expression plus noble rapprochée du terme bas ou
commun
, ou par une allusion piquante : Ai-je besoin du
bjectes ou puériles, des images dégoûtantes, ou à se servir de termes
communs
ou ignobles, d’expressions vulgaires, triviales o
dans tous les sujets où l’on parle sérieusement de choses simples et
communes
. 139. Quels sont les qualités propres au style si
pelle une naïveté, ainsi que des manières de voir trop basses et trop
communes
, de même, dans le style, il faut se garder d’empl
res à la dignité du style (129) les expressions grossières, basses et
communes
; nous allons maintenant donner une idée de la pl
i vient souvent de ce qu’on veut paraître naturel, est un défaut très
commun
parmi les romantiques. II. Grâce. 160. Qu’
iez, avec une intention générale de le glorifier, les choses les plus
communes
que vous êtes engagés à faire. » C’est cette priè
s. « L’impie apporta en naissant les principes de religion naturelle
communs
à tous les hommes : il trouva écrite dans son cœu
mêmes parmi tous les peuples : le sentiment de l’immortalité leur est
commun
à tous. Ce n’est pas une secte ; car, outre que c
, de désavouer votre propre cœur ; et reconnaissez, dans un sentiment
commun
à tous les hommes, l’impression commune de l’aute
econnaissez, dans un sentiment commun à tous les hommes, l’impression
commune
de l’auteur qui les a tous formés ». À la certit
cette nomenclature, à appliquer toutes les faces d’une idée à ce type
commun
, à bien voir ce que chacun de ces universaux pour
dans un lexique, elles ont cependant un certain nombre de caractères
communs
qui, présents à la mémoire et saisis à propos, co
(res publica) ; « c’est la chose publique, le bien de tous, l’intérêt
commun
… Ce n’est pas sans motif que les anciens, si prud
ivement à toute autre… c’était donc la seule où se rencontrât le bien
commun
, la chose de tous, etc… » Il en est de même des m
e religare, lier de nouveau ; vouloir unir, relier, par une sympathie
commune
, les hommes divisés par l’égoïsme et l’antagonism
mœurs et les passions des hommes à leurs traits généraux, universels,
communs
à toute l’humanité, indépendants des variétés de
conquérant vulgaire. lbid., 256. L’unité d’action est une condition
commune
à toutes les œuvres de l’art ; mais Boileau la pr
la vigueur et l’éclat de l’expression. On voit que cette division est
commune
à la Rhétorique et à tous les arts. Le peintre, c
. La preuve se présente sous deux formes : les Arguments et les Lieux
communs
. Arguments, Syllogisme. — Les Arguments sont le
n souverain Oui, pour tout conserver, tienne tout en sa main. Lieux
communs
. — Tous les arguments que nous venons de passer e
r le raisonnement : on les appelle lieux communs intrinsèques. Lieux
communs
extrinsèques. — On rangeait sous ce titre tout ce
accident du sujet. Aristote y ajoutait froidement la torture. Lieux
communs
intrinsèques. La Définition. — La définition est
it, dans la discussion, dans l’attaque et dans la défense ! Une règle
commune
à l’ensemble et aux détails, au discours et à la
qualités. 4° Dénombrement imparfait. Dans ce sophisme, l’un des plus
communs
et qui se reproduit tous les jours, on affirme la
rit. — Un sot savant est sot plus qu’un sot ignorant. — Le sentiment
commun
est contre vos maximes, Puisque ignorant et sot s
l ferait horreur. » (Lettres sur les spectacles.) Ces principes sont
communs
à la dialectique et à l’éloquence, ajoutons à la
cienne division de la Rhétorique en trois parties. Cette division est
commune
à tous les arts, et elle est éternelle. Depuis le
e beau langage, Buffon n’a fait que résumer les règles de l’éloquence
communes
à l’orateur, au philosophe et au savant. Combien
hommes. Aussi Buffon passe-t-il en revue toutes les règles oratoires
communes
a tous les genres de discours ou d’écrits : l’ or
ants : il s’amoindrit et s’abaisse par la recherche de la familiarité
commune
et puérile. La simplicité, le naturel, la naïveté
qu’on y emploie est fort naturel, et qu’il s’écarte peu de la manière
commune
de parler, on s’imagine qu’il ne faut pas beaucou
nde raideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les
communs
usages. Molière. Que le sage se demande dans de
nt bien faits, justes et précis. Plusieurs sont passés dans la langue
commune
, comme ironie, apostrophe, métaphore, hyperbole.
rouve fort bien, ma mère, d’être bête, Et j’aime mieux n’avoir que de
communs
propos Que de me tourmenter à dire de grands mots
ime les liaisons, les articles, les particules. Le loup est l’ennemi
commun
; Chiens, chasseurs, villageois s’assemblent pour
e est encore une substitution de nom. Il consiste à prendre : Le nom
commun
pour le nom propre (et de même le nom patronymiqu
e par excellence. L’antonomase prend aussi le nom propre pour un nom
commun
, par une transposition très-élégante et très-usit
eur puérile. On retrouve à chaque pas dans la conversation et l’usage
commun
, les procédés, les formes, les figures employées
Ni vulgaire, c’est-à-dire pouvant appartenir à plusieurs sujets ; Ni
commun
, c’est-à-dire pouvant être également employé par
e de l’homme, car il prend sa source dans des qualités et des besoins
communs
à tous, penchant à l’imitation, association d’idé
s tropes, ceux d’usage ou de la langue qui entrent dans les habitudes
communes
du discours, et ceux d’invention ou de l’écrivain
concret, etc. L’antonomase, sorte de synecdoque, qui substitue un nom
commun
à un nom propre, et réciproquement, ou bien un no
m commun à un nom propre, et réciproquement, ou bien un nom propre ou
commun
à un autre moins expressif ; La métalepse qui emp
nature du sujet. Or, le sujet est grand, noble et sublime, ou il est
commun
, gracieux et familier. De là, doux classes bien d
incidents se rapportent à un personnage principal, comme à un centre
commun
. Le héros est l’âme, le mobile, le principe de l’
randes vertus, qu’il triomphe de la passion, qu’une âme élevée et peu
commune
soit le principe de ses défauts. Ce héros, doit t
personnages qui doivent y paraître. Mais ces deux poèmes ont cela de
commun
qu’ils n’en souffrent point d’inutiles. Dans le p
uront un caractère grand ou héroïque, si, éloignés de tout ce qui est
commun
et vulgaire, ils se font remarquer par des qualit
t. La raison veut que le merveilleux soit tiré du fond de la croyance
commune
des peuples pour lesquels on écrit, et que le poè
e ? Le poème héroï-comique est le récit comique d’une action simple,
commune
et presque toujours risible. Le poète y prend le
st l’opposé du poème héroï-comique, puisque celui-ci élève ce qui est
commun
à la hauteur de l’épopée, tandis que celui-là, pa
stice ; ils aimaient la vertu. Ils travaillaient avec une sollicitude
commune
pour l’intérêt commun ; ils n’avaient de différen
vertu. Ils travaillaient avec une sollicitude commune pour l’intérêt
commun
; ils n’avaient de différends que ceux qu’une dou
ntir que l’intérêt des particuliers se trouve toujours dans l’intérêt
commun
; que vouloir s’en séparer, c’est vouloir se perd
ui qui expirait était d’abord prise par un autre, qui, outre la cause
commune
, avait encore une mort particulière à venger. Tel
c les trois parties de l’invention oratoire. § 4. Preuves. — Lieux
communs
intérieurs et extérieurs. On entend par preuve
t s’y appliquer exactement, et n’être pas un début banal ou tellement
commun
et sans caractère, qu’on puisse le mettre à l’ent
raisemblable, si l’on ne dit rien qui choque le bon sens et l’opinion
commune
, si l’on montre les causes et les moyens des prin
avec lui. Si la réputation et la vertu pouvaient dispenser d’une loi
commune
, l’illustre et la vertueuse Julie vivrait encore
le point de céder au torrent, et de se laisser entraîner par l’erreur
commune
. À tant de calamités, à des plaies si hideuses et
cesseur24. Mais ces éloges, purement humains, n’avaient à peu près de
commun
que le nom avec notre oraison funèbre. Le dogme d
Tout doit y être plein de force et de dignité. Il ne souffre rien de
commun
, rien de médiocre. L’éloquence doit y déployer to
tement, les conseils d’arrondissement, les conseils des villes et des
communes
, les sociétés et associations particulières donne
ptait sur la douleur pour tirer de lui la vérité. 10. Batteux, Lieux
communs
de l’oraison. 11. Rhét, Lieux communs extérieur
a vérité. 10. Batteux, Lieux communs de l’oraison. 11. Rhét, Lieux
communs
extérieurs. 12. Batteux, des Mœurs comme moyen d
ialement chacune d’elles, quand l’une ou l’autre n’atteint pas le but
commun
. L’unité est d’ailleurs l’indispensable condition
ent que l’on ne peut s’élever à des vues très-générales dans un sujet
commun
et léger, et en même temps que là où l’on s’élève
et admirable eri de dévouement à l’honneur et à la patrie n’a rien de
commun
avec la généralisation des idées ; qu’au contrair
it toute la différence… Le style rend singulières les choses les plus
communes
, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur
quatre pieds s’appelle souvent petit vers ; celui de cinq pieds, vers
commun
; et celui de six pieds, grand vers ou vers alexa
ou superflues. Les rimes pauvres sont celles qui n’ont absolument de
commun
que le son consonant, comme voilà et creva, arrêt
es, selon la diversité des sujets, et qu’elles n’aient jamais rien de
commun
ni de trivial. Il y a des mots qui sont en eux-mê
ts intéressants, d’y découvrir, d’y développer ce que n’y voit pas le
commun
des hommes ; de choisir, entre les pensées qui se
ec beaucoup de travail, puisque telle de ses fables n’a que deux vers
communs
avec la première ébauche ; Bossuet corrigeait ave
te condition cependant, on pourra peindre les traits qui lui seraient
communs
avec d’autres objets. C’est ainsi qu’on évitera c
es formes très souvent employées. Il y a, en effet, des circonstances
communes
, des couleurs usées, qui ont besoin d’être rajeun
saillants, les traits les plus intéressants, sans admettre les idées
communes
, les images vulgaires, les détails minutieux et i
avec combien d’intelligence et de génie chacun d’eux a varié ce fond
commun
, par des circonstances tirées des lieux, des temp
les ambitieux, avec les pensées, les habitudes et les vices qui sont
communs
à chacune de ces catégories. Si le portrait convi
rejeter tout ce qui ne fait pas corps avec le sujet, tout ce qui est
commun
, usé, et tout ce qui n’est pas de nature à faire
s, des périodes symétriques, des mouvements passionnés, une abondance
commune
ou de mauvais goût, une sécheresse rebutante, une
rques avez-vous à faire sur la convenance du style, les circonstances
communes
et les expressions basses ? Le narrateur doit se
intéressantes par la diction les petites circonstances et les choses
communes
. Enfin, les mots trop communs et les expressions
es petites circonstances et les choses communes. Enfin, les mots trop
communs
et les expressions basses ne devront jamais paraî
et au naturel ? Les pensées simples et naturelles ne doivent être ni
communes
ni affectées. Les pensées trop communes et trop v
naturelles ne doivent être ni communes ni affectées. Les pensées trop
communes
et trop vulgaires n’offrent pas assez d’intérêt.
rément à cette autre pensée, déjà relevée par Horace, et qui est très
commune
: Le chagrin nous suit partout : L’homme, dit-il,
t triviales qui sont le résultat d’instincts grossiers ou d’habitudes
communes
et sans dignité. Comme exemple de bassesse, nous
u peuple ; d’autres sont réservées au langage héroïque ; il en est de
communes
à tous les styles et à tous les tons. C’est au go
au fleuve, etc. La règle est simple, sûre et facile ; rien n’est plus
commun
cependant que de la voir négliger, et surtout par
Les images doivent être nobles, c’est-à-dire avoir une élévation peu
commune
unie à l’énergie et à la hardiesse, et ne rien of
peu commune unie à l’énergie et à la hardiesse, et ne rien offrir de
commun
ou de bas. La réminiscence d’un objet fétide, nou
justice ou grâce. Oui, ce don suffit aux enfants ; il suffit même au
commun
des hommes, dans les débats de la société. Mais p
loquence artificieuse, sera-t-on prudent de se fier au don naturel et
commun
de parler de ce qu’on fait bien, ou de ce qu’on s
l rare, curieux et piquant : l’éloquence ne veut qu’une vraisemblance
commune
; elle rejette les paradoxes, et tire sa force de
ou ce qui la distingue et l’excepte de la loi générale et de l’ordre
commun
. De ces études on verra se former, non pas un sys
rs dans lequel ces parties, distribuées selon l’usage, tendent au but
commun
de la persuasion : l’exorde, par sa modestie et s
a rhétorique ont trois degrés : que celles de la première classe sont
communes
à tous les hommes dont on veut former la raison,
ne sait pas la vérité d’une chose, il est bon qu’il y ait une erreur
commune
qui fixe l’esprit des hommes, comme, par exemple,
ur les entretiens ordinaires de la vie ; comme quand on parlera de la
commune
erreur qui est parmi les hommes que la lune est c
n ne sait pas la vérité d’une chose il est bon qu’il y ait une erreur
commune
, etc., qui est la pensée ci-dessus. XXII. Épigra
se En l’un, les principes sont palpables, mais éloignés de l’usage
commun
; de sorte qu’on a peine à tourner la tête de ce
appent. Mais dans l’esprit de finesse les principes sont dans l’usage
commun
et devant les yeux de tout le monde. On n’a que f
us véritables. Ceux de la volonté sont de certains désirs naturels et
communs
à tous les hommes, comme le désir d’être heureux,
es. Les unes se tirent, par une conséquence nécessaire, des principes
communs
et des vérités avouées. Celles-là peuvent être in
us universel. Pour la première objection, qui est que ces règles sont
communes
dans le monde : qu’il faut tout définir et tout p
a source de tous les défauts des raisonnements qui sont véritablement
communs
. Mais cela l’est si peu, que si l’on en excepte l
on prix par son abondance et qu’il ôtait en ajoutant. Rien n’est plus
commun
que les bonnes choses : il n’est question que de
ient pu faire. La nature, qui seule est bonne, est toute familière et
commune
. Je ne fais donc pas de doute que ces règles, éta
es, élevées, sublimes. Cela perd tout. Je voudrais les nommer basses,
communes
, familières : ces noms-là leur conviennent mieux
son caractère au-dessus des jugements humains, il abandonne aux âmes
communes
le mérite d’une vie suivie et uniforme ; et il n’
t et sans peine des choses frivoles et puériles, quelquefois fades et
communes
, et d’être moins incertains de la pensée d’un aut
point les choses où il faut s’animer ; ils s’épuisent sur des choses
communes
, et sont réduits à dire faiblement celles qui dem
ent ni figure dans ses paroles. A un tel style il faudrait une action
commune
de conversation ; ou bien il faudrait à cette act
chose : il ne lui reste pour l’exécution qu’à trouver les expressions
communes
qui doivent faire le corps du discours. Croyez-vo
rées sans les apprendre par cœur, de plus, ces négligences lui seront
communes
avec les plus éloquents orateurs de l’antiquité,
s rend si incrédule : c’est que vous jugez de ceci par une expérience
commune
. Si les gens qui apprennent leurs sermons par cœu
ue ces grands hommes, qui avaient des vues plus hautes que les règles
communes
de l’éloquence, se conformaient au goût du temps,
qué que le peuple même s’exprime par des figures, que rien n’est plus
commun
, plus naturel que les tours qu’on appelle tropes.
nt celui de Téniers, ni l’architecture d’un temple celle d’une maison
commune
, ni la musique d’un opéra-tragédie celle d’un opé
nt tant d’autres, ont des beautés nécessaires qui leur sont également
communes
: ces beautés sont la justesse des idées, leur co
urs ont voulu peindre ! Le style rend singulières les choses les plus
communes
, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur
rès-estimables sont infectés de cette tâche. La source d’un défaut si
commun
vient, ce me semble, du reproche de pédantisme qu
maque. La douceur, l’harmonie, la peinture naïve et riante des choses
communes
, voilà son caractère ; il prodigue les fleurs de
ès-noble à la vérité, mais un peu barbare, et aussi propre aux hommes
communs
et bornés qu’aux gens d’esprit. Je ne vous croyai
la nature. Mais, dans chacune d’elles, tel ou tel caractère est plus
commun
, tel ou tel est plus rare ; et c’est le caractère
ion, il croit en faire assez pour plaire, en déployant, sur les idées
communes
, la parure d’une expression harmonieuse et brilla
u style simple s’abaissera nécessairement jusqu’à devenir familier et
commun
, toutes les fois qu’il n’aura pas de grandes chos
al. Comme il y a, du côté de l’esprit, des facultés indispensables et
communes
à tous les genres, il y a aussi, du côté du style
tendu On croirait ces deux règles inutiles à prescrire ; rien de plus
commun
cependant que de les voir négliger. On prend la p
ruction plus facile et plus attrayante ; ne quid nimis est leur règle
commune
, et si, d’un côté, l’emphase, l’enflure, la redon
l parle, et à ceux qui l’écoutent. Après ces qualités essentielles et
communes
à tous les genres, viennent celles qui les distin
s. J’aime bien mieux sa prose que ses vers, etc. Cependant l’opinion
commune
est qu’aucun des auteurs de notre théâtre n’a por
el que la peine qu’on se donne pour exprimer des choses ordinaires ou
communes
d’une manière singulière ou pompeuse ; rien ne dé
était trop intelligent pour ne pas aller puiser aussi à cette source
commune
de lumières. J. Joubert (1754-1824) Du styl
rt bons, car ils font trait. XX. Les hommes qui n’ont que des pensées
communes
et de plates cervelles, ne doivent employer que l
é lui vient de son excellence même, du choix des mots qui ne sont pas
communs
, du choix des mots qui ne sont pas vulgaires. Il
ensées plus sensibles ; car on reconnaît à un tel emploi de la langue
commune
, un homme qui sait la vie et les choses, et qui s
ellement appropriés et rendus habituels, que les expressions les plus
communes
lui suffisent pour exprimer des idées devenues vu
nt, mais qu’il se les sçachie approprier. La vérité et la raison sont
communes
à un chascun, et ne sont non plus à qui les a dit
èce de correctif. S. 96. Alceste n’est certainement pas un homme du
commun
; il y a peu de caractères plus nobles. S. 97.
littéraires se partagent en divers genres, mais il est des principes
communs
à tous. Concevoir, coordonner et exprimer ses id
oquée ne peut être recousue. (V. Hugo.) 50. Outre ces trois qualités
communes
à toutes les pensées, il est certains caractères
et la vie. 67. Les sentiments, comme les pensées, ont des caractères
communs
qui conviennent à tous les sujets, et des caractè
ractères particuliers qui varient avec les situations. Les caractères
communs
sont la vérité et le naturel, les caractères part
il n’a pas d’écho dans le cœur humain. On n’est touché que des choses
communes
à tous les hommes : les bizarreries et les except
vulgaire qui admire aisément ce qu’il ne comprend pas. Ce défaut est
commun
de nos jours. Diderot définit ainsi la naïveté :
nsiste à dire en termes brillants et recherchés des choses simples et
communes
. Un rhéteur ancien appelle les vautours des tombe
oque le plus le lecteur. Quoi de plus puéril en effet que des pensées
communes
et vulgaires tournées avec une froide recherche ?
noblesse et de l’élévation, quoiqu’il emploie assez souvent des mots
communs
et vulgaires : il le doit à cet art de les placer
, dans leurs plus beaux endroits, ils n’emploient que des expressions
communes
et ordinaires. Le comble de l’art, dit Marmontel,
e ou la grossièreté. Elle consiste à employer des expressions basses,
communes
, triviales, qu’on supporterait à peine dans les e
mpeux et des phrases magnifiques pour exprimer des pensées fausses ou
communes
. Rien ne rend le style rebutant comme des mots em
ἀντὶ, pour, ὄνομα, nom) consiste à employer un nom propre pour un nom
commun
, ou un nom commun pour un nom propre. 1º L’apôtre
nom) consiste à employer un nom propre pour un nom commun, ou un nom
commun
pour un nom propre. 1º L’apôtre pour saint Paul ;
particulière qui concerne le changement des noms propres et des noms
communs
. Quant à la synecdoque, elle n’est qu’une espèce
ntre elles que le sens demeure suspendu jusqu’à un repos qui leur est
commun
à toutes. 236. Toute phrase complexe et composée
sciences et des arts à ceux qui sont censés les ignorer. Rien de plus
commun
aujourd’hui que les doctrines vagues, fausses, in
plaisanterie, maniée finement et à propos, produit quelquefois sur le
commun
des lecteurs un plus grand effet que les raisons
, et elle se rapproche plus ou moins du roman, qui a quelque chose de
commun
et de familier. Si le poète veut intéresser le le
dans l’oubli. 481. Le poème héroï-comique donne à une action simple,
commune
, souvent même risible, la forme et le merveilleux
te d’épopée bourgeoise qui représente les scènes de la vie sociale et
commune
, et nous offre une action entièrement feinte ou d
. L’action dramatique peut être illustre, héroïque, sérieuse, ou bien
commune
, bourgeoise et enjouée. De là, trois espèces prin
s les plus funestes et des situations les plus malheureuses de la vie
commune
. Il diffère de la tragédie en ce qu’il remplace l
genre est difficile, parce qu’il faut montrer une action populaire et
commune
, souvent pleine de bassesse et de noirceur, et pa
g, ἄδω, chanter) est la représentation d’une action prise dans la vie
commune
et montrée sous le côté ridicule. L’objet de la c
Petit-Jean et de l’Intimé est une fine critique d’un défaut autrefois
commun
chez les avocats. De la comédie-ballet. 526
s qui rentrent dans le genre lyrique ; mais ces poésies n’ont rien de
commun
avec le petit poème dont nous venons de parler.
t sublime et à le mettre en activité ; il est négligé dans les choses
communes
, parce qu’elles sont au-dessous de lui et n’ont p
ts et des rapports sur lesquels nos regards ont glissé mille fois. Le
commun
des hommes regarde sans voir ; l’homme de génie v
semblait le principal délégué de Billaud-Varennes et du Comité de la
Commune
; retournons à l’Abbaye, nous y trouverons du gib
a-t-il entre le jugement et le goût ? 22. Le goût est-il une faculté
commune
à tous les hommes ? 23. Peut-on distinguer un bon
que faut-il pour bien juger un ouvrage ? 32. Quels sont les principes
communs
à toute composition ? 33. Comment se divisent les
ntiment doit-il accompagner la pensée ? 67. Quels sont les caractères
communs
et les caractères particulier8 des sentiments ? 6
s, elle les dirige vers un but, et les dispose pour produire un effet
commun
; elle met à profit les passions humaines, les éc
n’appartiennent qu’à l’éloquence parlée, les trois premières lui sont
communes
avec l’éloquence écrite. Invention, disposition,
cause, quoique d’un intérêt privé, se réfère au genre et au principe
commun
des choses. (De Orat. l. II, n°. 138.) Son usage
in inventione verborum et sententiarum aliquid habent dignitatis, in
communes
locos conferuntur. » (De inv. Rh., l. II, n°. 15.
es grandes, extraordinaires ou nouvelles. Mais tout ce qui est petit,
commun
ou vulgaire n’excite pas l’admiration et ne mérit
Tout doit y être plein de force et de dignité ; il ne souffre rien de
commun
, rien de médiocre. L’orateur chrétien ne se borne
approche successivement de cette idée moyenne qu’il prend pour mesure
commune
, chacune des deux idées qu’il veut comparer, et i
raison de deux idées, par le moyen d’une troisième qui sert de mesure
commune
. Exemples de syllogisme. Si je veux prouver que
je choisirai encore une troisième idée moyenne pour servir de mesure
commune
entre ces deux idées la vertu et le vrai bonheur
ion, chacun, à son égard, ne rentrait-il pas dans le droit naturel et
commun
de pourvoir au salut de tous ? Cicéron raisonne d
impuissantes pour réprimer le crime, et que le criminel est l’ennemi
commun
, tout citoyen est autorisé à venir au secours des
nce de l’enthymème est surtout commode aux sophistes, pour dérober au
commun
des esprits le vice de leurs raisonnemens. Pour s
t il s’agit. Il recommande de ne pas recourir à des preuves vagues et
communes
à plusieurs sujets ; comme, par exemple, de louer
capitaines qui firent le siége de Troie, parce que tout cela lui est
commun
avec beaucoup d’autres ; mais d’employer des preu
un même titre, parce qu’ils ont un principe, des élémens et un objet
communs
. Les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir o
mmuns. Les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir ont un principe
commun
. En effet, toute émotion cause une impression de
uvoir ; l’intelligence, l’imagination, la sensibilité. Enfin, l’objet
commun
est d’achever l’œuvre de la conviction, et souven
s, fait plus d’impression ; pour cette raison, s’il s’agit d’un péril
commun
, il faut s’attacher à le faire paraître personnel
endant et de l’empire sur tous les cœurs. Le mot honneur est un terme
commun
à une foule d’idées différentes ; sa significatio
et abondance, charger même à propos les couleurs ; tirer d’une action
commune
, d’une situation vulgaire, une scène touchante, u
cord entre elles et qui aillent directement et sensiblement à une fin
commune
. Moyen de mettre de l’unité. Le moyen de mettre
derne donne rarement lieu à l’appareil de la haute éloquence. Dans le
commun
des procès, l’exorde n’est que l’exposé de la nat
euses. Précepte fondamental. Nous finirons par un principe général,
commun
à toutes les péroraisons, de quelque genre qu’ell
it toute la différence… Le style rend singulières les choses les plus
communes
, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur
tant d’autres, ont des beautés nécessaires et qui leur sont également
communes
; ces beautés sont la justesse des idées, leur co
ont celles qui constituent son essence, et qui sont indispensables et
communes
à tous les genres d’ouvrage. Qualités particuliè
ion couvre et orne la petitesse de la matière. La pensée suivante est
commune
: les bergers furent heureux dans les cabanes. Ne
ans un sens très-ingénieux. Lorsqu’on veut relever, ennoblir une idée
commune
, au lieu de son expression simple et habituelle,
raison fun. de Henriette, duchesse d’Orléans.) C’est le mot simple et
commun
qui en fait toute la force. Si l’orateur eût dit
l doivent être placés, et dans les intervalles, les mots familiers et
communs
. Quelques exemples feront sentir cette industrie
lui-même, selon la remarque de Fénélon ; tout était dit pour le salut
commun
, aucun mot n’était pour l’orateur. (Lettre à l’Ac
t, en poésie, à relever des détails qui seraient trop simples et trop
communs
, s’ils n’étaient élégamment exprimés. C’est un ar
le synonymes. Ces mots se ressemblent parce qu’ils expriment une idée
commune
, mais ils l’expriment toujours avec quelques circ
e cette phrase ne seraient point du tout d’accord, n’auraient rien de
commun
avec son commencement. Cette phrase d’une traduct
est fausse ; car il n’y a rien de si naturel, de si ordinaire, de si
commun
, que les figures dans le langage des hommes. L’au
iment d’étonnement et d’admiration. Et cette autre pensée triviale et
commune
, on tirait le canon, ne s’embellit-elle pas singu
ajoutent des ornemens au discours ; ils relèvent des idées simples et
communes
par une expression qui ne l’est pas, et qui a le
ad. de Delille.) Antonomase. L’antonomase consiste à mettre un nom
commun
pour un nom propre, et un nom propre pour un nom
mettre un nom commun pour un nom propre, et un nom propre pour un nom
commun
. L’orateur romain, pour marquer Cicéron ; l’orat
Cicéron ; l’orateur athénien, pour désigner Démosthène ; c’est le nom
commun
pour le nom propre. Rien n’est plus usité que ces
s dans le style noble. Il y a une sorte d’emphase à substituer un nom
commun
à un nom propre dont l’usage est plus ordinaire.
n un protecteur des gens de lettres ; c’est le nom propre pour le nom
commun
. Boileau a dit : Aux Saumaises futurs préparer d
si que tout ce qui appartient à notre âme est exprimé dans le langage
commun
par des images sensibles. Nous disons la pénétrat
uvent employée comme simple ornement, pour relever une idée simple et
commune
par une image qui plaise à l’esprit du lecteur. C
: le roi vient ; et n’imitez pas ce poëte qui, trouvant ces mots trop
communs
, dit : « Ce grand roi roule ici ses pas impérieu
aturelle, qu’elle entre à chaque instant dans le discours familier du
commun
des hommes ; elle est aussi une des plus énergiqu
par vous déclarer que la grâce que vous ferez à Ligarius absent sera
commune
à tous ceux qui sont présens dans cette assemblée
on. Il ne faudrait pas énoncer d’une manière sententieuse des maximes
communes
, triviales, des vérités rebattues. Traits. Le m
défauts viennent de ce que l’écrivain présente des pensées simples et
communes
sous des expressions pompeuses, ou de ce qu’il ve
comment, que la plupart tombent dans ce vice, fondé sur cette maxime
commune
: Dans un noble projet on tombe noblement. » Il e
entendre dans un autre ; là, un rapport délicat entre deux idées peu
communes
: c’est une métaphore singulière ; c’est une rech
des passions deviennent froids quand ils sont exprimés en termes trop
communs
et dénués d’imagination. C’est ce qui fait que l’
e ces rapprochemens singuliers, souvent pour n’exprimer que des idées
communes
. C’est ainsi qu’on dit : C’est une idée heureuse
ui qui écrit en prose ne chante pas ; il parle, et il parle la langue
commune
. Il n’est point soutenu par la magie du rhythme,
tion, il est sûr de plaire à tout le monde, en disant même des choses
commune
et ordinaires. C’est de là qu’il arrive que tant
sonnes. Les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir ont un principe
commun
. Différence qu’il y a entre les uns et les autres
fs se retrouvent dans toutes les langues : ils sont à la vérité moins
communs
et moins marqués dans la nôtre que dans le grec e
eux, négligent expriment un défaut contraire au travail, voilà l’idée
commune
à tous ; et voici les idées accessoires ou les nu
qui entrent dans la composition des vers sont longues, ou brèves, ou
communes
23. Les syllabes longues se prononçent lentement
oncent rapidement ; elles se marquent ainsi : făcĭnŏră. Les syllabes
communes
sont longues ou brèves à volonté ; elles se marqu
ours, de certaines façons de s’exprimer qui s’éloignent de la manière
commune
de parler. Cette définition, comme l’observe Duma
er éloignées du langage ordinaire, il n’y a rien de si naturel, de si
commun
dans le discours des hommes. L’expérience le prou
urs ont remarqué quel avantage on pouvait tirer du langage figuré, si
commun
dans les premiers temps. Ils ont vu que les figur
cile de confirmer par des exemples connus. L’usage et l’effet le plus
commun
des tropes est 1º de réveiller une idée principal
communément. Tous les hommes meurent également : voilà une idée bien
commune
. Voyez quelle noblesse elle emprunte de ces beaux
soleil se lève : il serait difficile de s’exprimer d’une manière plus
commune
, sans doute ; mais cette idée presque triviale va
eur le plus habile. Mais c’est précisément parce que la métaphore est
commune
par elle-même, qu’il faut savoir la choisir et la
e monde : c’est d’être toujours le même. J’aime encore mieux les gens
communs
que les gens monotones. J’ajoute que ce qui nuit
elques initiés, cet homme parle de sa croyance comme de la nourriture
commune
de tous les hommes. Sa mort est une de ces morts
r celui qui s’en sert ; car on reconnaît à un tel emploi de la langue
commune
un homme qui sait la vie et les choses et qui s’e
u style est un des plus grands obstacles à la clarté. C’est un défaut
commun
aux jeunes gens qui veulent donner trop de dévelo
d’une proposition. Ex.: « Les savants, qui sont plus instruits que le
commun
des hommes, devraient aussi les surpasser en sage
e. » Phrase principale: Les savants devraient surpasser en sagesse le
commun
des hommes. Phrase incidente explicative : qui so
hommes. Phrase incidente explicative : qui sont plus instruits que le
commun
des hommes. On pourrait supprimer l’incidence, et
suffit pas que les hommes instruits vous comprennent ; il faut que le
commun
des hommes vous entende aussi ; et d’autre part,
à voir dans les figures la chose et non l’expression. Rien n’est plus
commun
dans le langage ordinaire que les figures, nous n
ste à mettre ensemble sans conjonction deux noms dont l’un est un nom
commun
, ensuite que dernier sert de qualificatif.
al. L’antonomase se borne a deux applications. 1° Ou elle fait un nom
commun
d’un nom propre ; L’Orateur romain, pour Cicéron
u peuple, pour Louis XII. 2° Ou bien elle fait un nom propre d’un nom
commun
. Un Crésus, pour un homme très riche, Un Caton,
naturel et grammatical de dire rapidement. Ces hypallages sont très
communes
dans la langue latine, où elles font très bon eff
t. Il faut prendre garde d’employer celles qui sont vieillies ou trop
communes
, et les choisir neuves, autant que possible. La c
elle est dans la forme quand on remplace à propos une expression trop
commune
: Si Boileau avait dit de Louis XIV, qu’il ne s’e
ui qui cherche trop les pensées, risque de s’en permettre beaucoup de
communes
, de forcées, de fausses même ; car rien n’est si
and on se sert de pensées et d’expressions rebattues et devenues trop
communes
à force d’être répétées. Comparer un homme en col
ujours dire qu’en général il n’offrira que ténèbres et phébus pour le
commun
des lecteurs. Pour le style romantique, la régula
devant le peuple assemblé, les discours du genre délibératif étaient
communs
; la fortune, la réputation, l’autorité, étaient
à taire ou à ne pas faire certaines choses pour le repos et l’intérêt
commun
. On ne peut violer cette loi sans être mauvais ci
ra écouter avec attention et bienveillance, s’il montre que l’intérêt
commun
est blessé, que l’humanité est outragée dans l’ac
e les Arguments proprement dits, et les Lieux des arguments, ou Lieux
communs
. Nous commencerons par les premiers. 1. Argumen
l’écoutent. Il ne négligera pas même ces doctrines abstraites que le
commun
des hommes ne méprise que parce qu’il les ignore.
et il parlera comme un orateur23. 2. Lieux des Arguments, ou Lieux
communs
. Les Lieux des Arguments, ou Lieux communs 24,
des Arguments, ou Lieux communs. Les Lieux des Arguments, ou Lieux
communs
24, sont des espèces de répertoires où les ancien
il le pique, il lui montre l’abîme ouvert. Tout est dit pour le salut
commun
; aucun mot n’est pour l’orateur ; on le perd de
e séduise. Modération, désintéressement, piété, dévouement à la cause
commune
, amour des grands hommes, regrets pour celui dont
tte précaution, il s’expose à amplifier inutilement des idées vagues,
communes
, étrangères à la matière qu’il va traiter . Id qu
llum mihi occurrit, nisi aut exile, aut nugatorium, aut vulgare atque
commune
(de Orat., II, 77). L’exorde, comme nous l’avons
hangements pour remployer contre nous ; c’est ce qu’on appelle exorde
commun
. On l’appelle étranger ou d’emprunt (separatum, t
ac et jetés ensuite à la mer91 : « Qu’y a-t-il qui soit plus du droit
commun
que l’air pour les vivants, la terre pour les mor
ignorance, jointe à la vanité, rend cette façon de mal raisonner très
commune
. Sommes-nous témoins d’un effet dont nous ignoron
urs ont voulu peindre ! Le style rend singulières les choses les plus
communes
, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur
s pensées, dont le sens est suspendu jusqu’à un dernier repos qui est
commun
à toutes. Chacune de ces pensées, prise séparémen
vons pas tous, et que pour juger il ne faut que le sentiment, présent
commun
de la nature. Il en est de même des rythmes. J’ai
truction plus facile et plus attrayante. Ne quid nimis est leur règle
commune
; et si d’un côté l’emphase, la divagation, la re
Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre ; Racan, par des mots
communs
qui ne font point d’image, qui ne peignent rien :
d’ingénuité et de bonne foi, qu’il intéresse dans les choses les plus
communes
. Il commence ainsi la fable de l’âne et du chien
as celui de Téniers, ni l’architecture d’un temple celle d’une maison
commune
: aussi chaque genre d’écrire a son style propre
on fausse : car il n’y a rien de si naturel, de si ordinaire et de si
commun
que les figures dans le langage des hommes ; et l
si que tout ce qui appartient à notre âme est exprimé dans le langage
commun
par des images sensibles. Nous disons la pénétrat
L’antonomase est une espèce de synecdoque par laquelle on met un nom
commun
pour un nom propre, ou bien un nom propre pour un
t un nom commun pour un nom propre, ou bien un nom propre pour un nom
commun
. L’orateur romain pour marquer Cicéron ; le destr
, pour désigner noblement le second Scipion l’Africain : c’est le nom
commun
pour le nom propre. Un Sardanapale, pour exprimer
, ou bien un protecteur des lettres : c’est le nom propre pour le nom
commun
. Boileau a dit : Aux Saumaises futurs préparer d
che plus ferme. Voici les principales. La répétition est une des plus
communes
et des plus énergiques. Le mot emporte la définit
ue les figures sont des manières de s’exprimer éloignées de la forme
commune
et ordinaire , comme si le mouvement ne nous étai
: le roi vient ; et n’imitez pas ce poète qui, trouvant ces mots trop
communs
, dit : Ce grand roi roule ici ses pas impérieux.
nnaissez-vous celui qui aurait consacré ses jours au bonheur de notre
commune
patrie, si le tyran avait pu souffrir une âme lib
iés, ces enfants de la grande famille qui entourent au loin leur mère
commune
d’un rempart invincible ? Vous allez transporter
it en vain son or et ses richesses ; l’empire n’aurait plus de centre
commun
, et bientôt nous verrions les membres dispersés d
respecter Paris. Cette capitale est pour tous nos Français un centre
commun
, une commune patrie ; les sciences et les lettres
aris. Cette capitale est pour tous nos Français un centre commun, une
commune
patrie ; les sciences et les lettres y réunissent
et développés ; mais le plus souvent il les confond. Ils sont appelés
communs
, parce qu’ils servent indifféremment à toutes les
Milone, regnaturum putaret ! (Pro Milone, c. 16.) 91. Quid enim tam
commune
, quam spiritus vivis, terra mortuis, mare fluctua
Antonomase L’Antonomase emploie un nom propre à la place d’un nom
commun
, et un nom commun à la place d’un nom propre. Ex.
ntonomase emploie un nom propre à la place d’un nom commun, et un nom
commun
à la place d’un nom propre. Ex. : Le Sauveur, pou
La douceur, pour l’homme doux, etc. 6° Les noms propres devenus noms
communs
, pour désigner une classe particulière d’individu
Périphrase La Périphrase ou circonlocution sert à relever une idée
commune
, à éviter la répétition des mêmes termes, à orner
r que le roi vient, n’imitez pas ce poète qui, trouvant ces mots trop
communs
, dit : Ce grand roi roule ici ses pas majestueux
plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus
commune
, la plus éclatante, la plus secrète jusqu’aujourd
ainsi la pensée contenue dans les deux derniers vers précédents : Le
commun
caractère est de n’en point avoir : Le matin incr
ient avec grâce, et paraissaient disposés à se grouper vers un centre
commun
. Soudain ces nuages s’écartent, et le soleil couc
i saute à la gorge de son ennemi. Ainsi encore l’orgueil national est
commun
à toutes les races, mais bien plus puissant chez
ui permettra de puiser à pleines mains l’or et l’argent dans le butin
commun
, et d’en charger ses vaisseaux ; il le laissera l
une civilisation à peine ébauchée. Un orateur veut rallier à la cause
commune
un chef dissident, et, au lieu de lui faire enten
espérance, refrénant avec l’une la fierté et témérité insolente de la
commune
en prospérité, et avec l’autre reconfortant son e
le parti populaire, et pour parler comme le bon Amyot, gratifia à la
commune
8. Il lâcha la bride au peuple, faisant toute cho
fils légitime de la maison, c’est un intrus, un homme qui n’a rien de
commun
avec la Grèce, un Macédonien, pour tout dire, un
ine le trouva inexpugnable. Ce qu’un citoyen peut faire pour le salut
commun
, il le fit, sans hésitation, sans peur, sans arri
bles intérêts ; qu’elle n’aurait pu trahir la cause de l’indépendance
commune
, sans manquer à son devoir et aux traditions des
u sujet, et les lieux communs extrinsèques ou hors du sujet. Lieux
communs
intrinsèques. Les principaux lieux communs int
e la patrie ; et l'effet était la gloire, le salut de Rome. Lieux
communs
extrinsèques. Les principaux lieux communs ext
simple, tempéré ou sublime. Le tour doit être facile, gracieux et peu
commun
. Le style est pur quand il n'emploie que des expr
dent, forme un sens qui ne se termine qu'au dernier repos, lequel est
commun
à toutes. Chacune de ces pensées prise séparément
rtiennent : 1° les expressions hardies qui, en s'éloignant de l'usage
commun
, charment l'esprit en même temps qu'elles l'étonn
sont tirées de sujets bas ou qu'elles emploient des expressions trop
communes
. On reproche à Tertullien d'avoir dit que le délu
rattachent l'antonomase et l'antiphrase. L'antonomase emploie un nom
commun
pour un nom propre, ou un nom propre pour un nom
mploie un nom commun pour un nom propre, ou un nom propre pour un nom
commun
: Un Mécène est un protecteur des lettres, etc. L
rreur, la pitié, on l'appelle tragédie. Si elle est prise dans la vie
commune
et peint nos travers, nos ridicules, elle prend l
moins gai que la comédie. Le drame est pris ordinairement dans la vie
commune
; et il déplore des malheurs attachés à des préju
ns sa composition. On appelle ornements du style certains tours moins
communs
, certains arrangements de mots moins usités, cert
ornes du langage. Dans la suite, le plaisir et l’agrément l’ont rendu
commun
. Ainsi, si l’on dit une feuille de papier, c’est
ant la vertu sur un papier coupable. Boileau. Cette figure est plus
commune
en latin que dans notre langue. Le vers suivant,
ort n’est pas assez naturel, ni la comparaison assez sensible pour le
commun
des lecteurs, parce que ces figures embrouillent
’esprit, est une espèce de métaphore par laquelle on se sert d’un nom
commun
ou d’une périphrase pour un nom propre, ou d’un n
u d’une périphrase pour un nom propre, ou d’un nom propre pour un nom
commun
, ou enfin d’un nom propre déterminé par un adject
mun, ou enfin d’un nom propre déterminé par un adjectif ou par un nom
commun
au lieu d’un autre nom propre. 217. Citez des exe
aises. 290. Combien y a-t-il de sortes de transitions ? — Transitions
communes
? Si l’on veut considérer les diverses espèces d
s, on pourra les réduire à deux classes principales : les transitions
communes
et les transitions adroites et délicates. Les tra
et les transitions adroites et délicates. Les transitions simples ou
communes
consistent dans les mots, dans un adverbe ou une
evant laquelle il parle, et dont les intérêts lui sont par conséquent
communs
, ne soit et ne paraisse pas intimement convaincu
s’il saura s’élever au-dessus des petites passions, fronder l’opinion
commune
quand elle ne sera pas d’accord avec le bien géné
sies. D’abord, il faut éviter d’employer celles qui sont vulgaires et
communes
; mais choisir au contraire celles qui offrent qu
du sentiment, les choses les plus simples et les événements les plus
communs
. 11 n’est presque point d’objet qui ne puisse ser
r les traits les plus frappants, et les présenter sous des images peu
communes
. Il répandra en même temps sur sa critique tout l
dinaires, les plus petits détails, la description des objets les plus
communs
, pourvu que tout y soit exprimé avec grâce, comme
énement plaisant vrai ou supposé, dont le modèle est pris dans la vie
commune
, et que l’on fait dans le but d’amuser et en même
récit qui ne serait qu’un enchaînement d’aventures, sans une tendance
commune
qui les réunit en un point, serait un roman et no
bonheur d’avoir sacrifié au salut de la république une vie que la loi
commune
de la nature leur aurait tôt ou tard enlevée ; ma
aturel la peine qu’on se donne pour exprimer des choses ordinaires ou
communes
. Il pense que l’écrivain perd son temps à faire d
el que la peine qu’on se donne pour exprimer des choses ordinaires ou
communes
du ne manière singulière ou pompeuse : rien ne dé
lle qui appartienne à un peuple particulier, mais quelle est la ville
commune
de tous les peuples, et le centre de leur commerc
naître ? Jusques à quand ne verrez-vous pas que la nature, votre mère
commune
, présente également la nourriture tous ses enfant
tère la simplicité, cependant il admet quelques figures dont les plus
communes
sont la Métaphore et la Comparaison, la Répétitio
s : ce sont les palmes et les cèdres, les lions et les aigles, objets
communs
en Palestine et qui donnent au style une feinte c
ésent. VI. Nous ne pourrions en effet donner une (autre) dénomination
commune
aux mimes de Sophron, à ceux de Xénarque9, et aux
re cette qualification ; mais, entre Homère et Empédocle, il n’y a de
commun
que l’emploi du mètre. Aussi est-il juste d’appel
èmes épiques. VIII. Des parties qui les composent, les unes leur sont
communes
, les autres sont propres à la tragédie. Aussi, lo
cette partie, l’entrée (πάροδος) et la station. II. Ces éléments sont
communs
à toutes (les tragédies). Les éléments particulie
uté sans anapeste et sans trochée. VII. Le commos est une lamentation
commune
au chœur et aux acteurs en scène. VIII. Nous avon
e la vue, mais seulement des effets prodigieux, cela n’a plus rien de
commun
avec la tragédie, car il ne faut pas chercher, da
, tel événement prend place après tel autre sans qu’ils aient une fin
commune
. III. C’est ce que font la presque généralité des
ucune des deux façons, c’est ainsi (dira-t-on) que les voit l’opinion
commune
; par exemple, ce qui se dit sur les dieux. Car i
dialectique179. L’une comme l’autre s’occupe de certaines choses qui,
communes
par quelque point à tout le monde, peuvent être c
sitions prises pour chaque genre particulier, et lieux 206 ce qui est
commun
à tous indistinctement. Parlons d’abord des espèc
our lui-même. XVII. La justice, qui est en quelque sorte d’un intérêt
commun
. Tels sont, à peu près, tous les biens reconnus c
genres247. XXXV. La louange et les délibérations possèdent une forme
commune
, car ce que tu établiras en principe dans la déli
approchements, sinon avec des personnages illustres, du moins avec le
commun
des hommes, puisque la supériorité semble être la
tre la marque d’une vertu. XL. Généralement parlant, parmi les formes
communes
à tous les genres de discours, l’amplification es
un contrairement à la loi ; or la loi est tantôt particulière, tantôt
commune
. J’appelle « loi particulière » celle dont la réd
dont la rédaction écrite constitue un fait de gouvernement, et « loi
commune
» celle qui, sans avoir été jamais écrite, semble
sibilité, nous en parlerons dans la suite274, car ces caractères sont
communs
à toutes les parties de la rhétorique275. II. Ceu
deux manières. II. Je veux parler de la loi particulière et de la loi
commune
. La loi particulière est celle que chaque collect
rtes de lois se divisent en : loi non écrite et en loi écrite. La loi
commune
est celle qui existe conformément à la nature. En
te conformément à la nature. En effet, il y a un juste et un injuste,
communs
de par la nature, que tout le monde reconnaît par
si la loi écrite est contraire à notre cause, il faut invoquer la loi
commune
et les considérations d’équité comme étant plus j
ité est éternelle, qu’elle n’est pas sujette au changement, et la loi
commune
non plus ; car elle est conforme à la nature ; le
idérer si elles sont contraires soit à une loi écrite, soit à une loi
commune
, soit à ce qui est juste, soit à ce qui est honnê
. Il y a encore amitié entre ceux pour qui les biens et les maux sont
communs
, et qui ont les mêmes amis et les mêmes ennemis :
maraderie plus que les autres âges, parce qu’ils se plaisent à la vie
commune
et que rien n’est encore apprécié par eux au poin
alheureux, de l’homme sans puissance. Chapitre XVIII Des traits
communs
à tous les genres de discours. I. L’emploi des
en rapport avec les mœurs, il nous reste à discourir sur les (lieux)
communs
. III. En effet, il est nécessaire à tous les orat
e de ce qui est impossible : par exemple, cette proposition qu’il y a
commune
mesure entre le diamètre (d’un cercle et la circo
eur emploi, leur opportunité. I. Il nous reste à parler des preuves
communes
à tous (les genres), puisque l’on a parlé des pre
l’on a parlé des preuves particulières (à chacun d’eux). Les preuves
communes
sont de deux sortes : l’exemple et l’enthymème, c
is du moins, de se bien porter. En effet, ce paraît être une opinion
commune
. Il en est d’autres qui, aussitôt énoncées, devie
erre et l’eau, c’est se laisser asservir », ou « participer à la paix
commune
, c’est exécuter les conditions qu’elle impose438
; car il est admissible que ce fut là son mobile. XXI. Un autre lieu,
commun
à ceux qui plaident et à ceux qui délibèrent, c’e
i convient. Par exemple, le mot voyant, qui n’a pas une signification
commune
, accordé avec le bruit ou la couleur ; tandis que
accordé avec le bruit ou la couleur ; tandis que le mot percevant est
commun
. Il y a obscurité lorsque tu parles d’un fait que
VIII. L’opportunité ou l’inopportunité dans l’application est un fait
commun
à tous ces artifices. IX. Or il est un remède reb
’on parle par antithèse. Dans cette phrase : « Et jugeant que la paix
commune
aux autres était la guerre pour eux-mêmes en part
ore : « Les (deux) villes ont été mises au même niveau644. » Un trait
commun
à deux choses très différentes, la surface et les
espèces (d’exorde) mis en usage sont des expédients d’une application
commune
. On les emprunte soit à la personne de l’orateur
l y a de bien en le mêlant à ce qu’il y a de mal. Or c’est un procédé
commun
à l’imputation malveillante et à la défense, puis
t τόπος, qui, pour lui, désigne proprement un procédé d’argumentation
commun
soit aux trois classes de questions dialectiques,
xii, 243. Cp. Cic., De senectute, § 4. 394. Littéralement, Mars est
commun
. Hom., Il., xviii, 309. 395. Cp. ci-dessus, liv.
toire. 506. Poét., ch. xx-xxii. 507. Suivant qu’elle est élevée ou
commune
. 508. Chap. xxi. 509. Γλῶτται, les mots étrange
ds pas que la Mécanique céleste de Laplace soit obscure, parce que le
commun
des lecteurs ne la comprend pas. Mais dans tout c
progrès des technologies diverses, qui, après avoir envahi le langage
commun
, s’infiltrent dans la langue littéraire, les doct
des mots, dans l’art de relever les petites idées froides, puériles,
communes
, par une expression recherchée. » Et le xviiie
et son ambition incertaine, et il n’eut jamais avec lui aucun intérêt
commun
. Seul ainsi avec son génie, il attaquait le despo
repartie de Mirabeau au grand maître des cérémonies de la cour : “Les
communes
de France ont résolu de délibérer ; et vous, mons
taques à la vérification des pouvoirs, j’en recevrai au sein même des
Communes
. Et, qu’il me soit permis de le dire, à vous qui
52, met au nombre des matières qui doivent entrer dans l’enseignement
commun
à la section des lettres et à la section des scie
des divisions, et que chacune d’elles se subdivise autant que l’usage
commun
le demande. C’est ici le moment de dire comment l
bonheur, soutien de l’infortune, De l’enfant, du vieillard nourriture
commune
, ……… L’étude…… Rend à son nourrisson la nature as
volume, les principes généraux de l’art d’écrire, principes qui sont
communs
à tous les genres de productions littéraires. Dan
gesse, contribue plus efficacement qu’ils ne le pensent à la félicité
commune
. Qu’il est grand en effet, qu’il est beau, le min
éristiques de l’éloquence qui convient à la chaire : mais il n’est ni
commun
ni facile de réunir ces deux caractères d’éloquen
cela il est utile de considérer ce qui suit1. Les défauts étant aussi
communs
qu’ils sont, c’est une sottise d’en être surpris
utrui comme des maladies, mais aussi comme des maladies qui nous sont
communes
; car nous y sommes sujets comme eux. Il n’y a po
’ébranleront jamais, et, si faible que soit notre part dans l’édifice
commun
, elle y sera éternellement. Ainsi, aux jours du m
cesse l’occupation de ses propres intérêts, les intérêts de la chose
commune
lui apparaissent et sollicitent son génie et son
en quelque sorte prêter leur voix à toute la nature pour célébrer en
commun
les louanges et les bienfaits de celui qui les a
faisant entre eux qu’une même famille, dont les intérêts doivent être
communs
, il semble, ô mon Dieu, que dans ce monde corromp
; dans le poëme et le roman ; dès qu’on y sème ces détails de la vie
commune
et positive qui leur donnent un air de franchise,
it pardonner malaisément. Si l’on décrit les campagnes, les épithètes
communes
sont d’autant plus à redouter qu’elles s’offrent
et font qu’elle ressemble à tout. » Mais songez-y bien. La fuite du
commun
et du banal mène souvent soit au recherché et à l
eptes de la tactique, au coup d’œil du général. C’est une observation
commune
à toute la rhétorique. Bien que les plus grands o
ne soupçonnait pas l’existence. Démontrez la vulgarité des arguments
communs
, l’insignifiance des faibles, l’absurdité des con
angers à la question ; méfiez vous des similitudes, et appuyez sur le
commun
proverbe : Comparaison n’est pas raison ; dévoile
ifformités de la nature. Cette faculté est, jusqu’à un certain point,
commune
à tous les hommes ; et rien de plus général que l
t ne laisse échapper que de légères étincelles : les beautés les plus
communes
sont celles qui les affectent le plus agréablemen
nêtre étroite. Sa cuirasse se terminait, suivant une mode alors assez
commune
, par une espèce de jupon de fer1 qui couvrait les
silence parmi les assaillants ; puis, tous ensemble, et comme par un
commun
accord, ils poussèrent une clameur de guerre pour
e du moment que des esprits sublimes, passant de bien loin les bornes
communes
, se distinguent, s’immortalisent par des chefs-d’
un grand poëte était un homme comme un autre, et ne se distinguait du
commun
des mortels que par l’excellence de son esprit. O
parties forment un ensemble, puisqu’elles concourent toutes à un but
commun
, il doit exister des liens qui les unissent ; cet
preuves, que les anciens nommaient lieux oratoires, et qui leur sont
communs
avec les logiciens : le mal serait de leur donner
eur veut produire. D’abord il y a des sujets peu relevés, ordinaires,
communs
; alors il s’agit seulement de présenter la pensé
es, soit dans les mots, soit dans les tours, n’a rien qui ne paraisse
commun
, ordinaire et facile ; il n’a ni élévation, ni éc
arallèles ; les pensées y sont relevées par les contrastes, les idées
communes
embellies par l’expression, l’oreille flattée par
sion. Il est inutile de dire que des pensées ordinaires ou des images
communes
exprimées en mots pompeux, ne seraient qu’une emp
t qui, de l’autre doivent être liés pour produire un effet général et
commun
. C’est par là qu’il y a unité dans l’ensemble, di
out, la matière pour la chose7 ; 4° l’Antonomase, qui applique un nom
commun
à un individu, un nom propre à plusieurs8 ; 5° la
sieurs8 ; 5° la Métaphore, translatio ; c’est le principal et le plus
commun
des tropes ; alors qu’elle a le plus de hardiesse
froide si elle est continuée trop longtemps. Tous ces tropes sont si
communs
qu’à peine les remarque-t-on dans le discours.
er et nous flétrir ? De grâce, Sextus Clodius, montrez ce code, votre
commun
ouvrage, que vous avez, dit-on, emporté de la mai
nobles à celles qui auraient quelque chose ou de trop dur ou de trop
commun
: « Une partie des esclaves fut massacrée ; les
e même temps et dans les mêmes campagnes, ces deux hommes que la voix
commune
de toute l’Europe allait aux plus grands capitain
u elle est illustre, héroïque, sérieuse, touchante ; ou bien elle est
commune
, enjouée et légère. De là, deux espèces de drames
ue toutes les parties ont un même principe et aboutissent à un centre
commun
. On doit s’y proposer un seul but ; et tous les m
s tendent de près ou de loin, médiatement ou immédiatement, à une fin
commune
. C’est par cette division de l’action totale en d
ertaine étendue. Cette espèce, ordinaire à nos théâtres, n’est pas si
commune
à celui des Grecs. Ils usent fréquemment du dialo
tragique, constitue le troisième ressort de la tragédie. Les actions
communes
, en effet, les qualités vulgaires ne suffisent pa
us nuisibles qu’utiles à la tragédie, parce que c’est un ressort trop
commun
et trop facile ; et Bossuet pense avec raison que
s les plus funestes et des situations les plus malheureuses de la vie
commune
. Le drame bourgeois se rapproche de la tragédie e
e autre éloquence. Les malheurs domestiques, les événements de la vie
commune
, ont aussi l’avantage d’être plus près de nous, e
tuations pathétiques ou attendrissantes. Ce genre présente les vertus
communes
avec des traits qui les font aimer, et dans des p
ui trouve son bonheur et son existence dans l’existence et le bonheur
commun
. » Je ne suivrai pas cet exemple. Je ne crois pas
ant de périls, déjouèrent tant de résistances pour passer au sein des
communes
, à qui ce dévouement donna les encouragements et
deur de Suède ; mais cette union mal assortie fut bientôt rompue d’un
commun
accord. Les grands événements qui agitaient la Fr
s regards, quelques mots dits à voix basse, qui sortaient de la ligne
commune
; mais la petite opinion du petit pays, toute-pui
quel plaisir de découverte qui inspire un intérêt continuel. Tout est
commun
, tout est prosaïque dans l’extérieur de la plupar
Quelques raisonneurs prétendent que l’enthousiasme dégoûte de la vie
commune
, et que, ne pouvant pas toujours rester dans cett
’en fis deux fois le tour, et je comptai mille cinq cent soixante pas
communs
; mais il faut remarquer que j’embrasse dans ce c
qui avaient précédé ou préparé la nôtre ; de là aussi cette tendance
commune
des historiens de cette époque à laisser dans l’o
e dignité. Les écoles historiques de la restauration eurent ce mérite
commun
de rejeter ces fausses délicatesses. L’érudit dut
ord fut irrévocablement résolue ; son procès commença. La chambre des
communes
tout entière y voulut assister, pour soutenir l’a
voulut assister, pour soutenir l’accusation de sa présence. Avec les
communes
d’Angleterre siégeaient les commissaires d’Écosse
ents comme juges ; les évêques, d’après le vœu violemment exprimé des
communes
, s’étaient récusés, comme dans tout procès de vie
ait la poursuite, se récria avec emportement : « C’était, dit-il, aux
communes
que s’adressait cette injure, et il y avait crime
nt d’énergie embarrassait et humiliait les accusateurs. Deux fois les
communes
sommèrent les lords de mener plus vite un procès
ncu, du moins quant à la preuve de la haute trahison. L’agitation des
communes
devint extrême ; à la faveur du texte de la loi e
ions furieuses ; les conseils de Strafford furent entendus ; mais les
communes
ne leur répondirent point, n’assistèrent même pas
sayait, par des concessions et des promesses, d’adoucir les chefs des
communes
, on conspirait pour faire évader le prisonnier. M
par le capitaine Billingsley, officier mécontent : il en informa les
communes
. Chaque jour voyait naître et échouer, pour le sa
, aucune crainte, ne le ferait consentir à sa mort. Mais la haine des
communes
était inflexible et plus hardie que la douleur du
t à presser l’accomplissement de ses vœux. Cinquante-neuf membres des
communes
avaient voté contre le bill ; leurs noms furent p
quant. Les lords, provoqués par un message du roi, se plaignirent aux
communes
de ces désordres ; les communes ne répondirent po
un message du roi, se plaignirent aux communes de ces désordres ; les
communes
ne répondirent point. Cependant le bill demeurait
ouble des esprits. Le bruit se répandit dans la cité que la salle des
communes
était minée et près de sauter ; la milice prit le
d’agitations, des mesures savamment combinées assuraient l’empire des
communes
et le succès de leurs desseins. À l’imitation du
nte et des libertés publiques, fut adopté par les deux chambres ; les
communes
voulurent même l’imposer à tous les citoyens ; et
périeures qui travaillent l’esprit humain. L’insouciance, aujourd’hui
commune
, ne pense seulement pas à ces questions, n’imagin
conflits d’opinions, ces maîtres et ces orateurs avaient une ambition
commune
, celle d’entretenir dans la jeunesse le goût des
tes allusions pour une souveraineté affaiblie et tombante. Cette voie
commune
d’enthousiasme et d’ardeur pour la réformation so
n effet, toute classification suppose un principe qui serve de mesure
commune
. Cette mesure n’est autre que l’expression. L’exp
souffrances et des révolutions de notre pays. L’affranchissement des
communes
, l’élévation graduelle du tiers-état, devenaient
la terre, où il va ; aucun ne sait par quel lien il se rattache à la
commune
humanité ! Quand on réfléchit à cette histoire de
toutes ces circonstances sous une même formule ; car ce qui leur est
commun
à toutes et ce qui fait qu’elles conduisent égale
res fortes et généreuses qui doivent s’élever au-dessus des destinées
communes
. Ce n’est point sans difficulté qu’il a cultivé s
ges et les habiles des divers siècles ajoutent sans cesse à ce trésor
commun
où puise l’humanité, qui sans eux serait restée d
t alors au goût public c’était l’art secondaire d’embellir les objets
communs
par les grâces de l’expression et les artifices d
’on se dit tout haut que Tibère et Livie, Heureux secrètement dans le
commun
malheur, Cachent leur allégresse et non pas leur
encontres ; elle retombait aussitôt dans la sphère préférée des idées
communes
cl vulgaires, où rien ne contrariait le sans-faço
a vierge héroïque, les accents du génie. Il était l’écho du la pensée
commune
lorsqu’il pleurait sur les malheurs de la Grèce,
les uns des autres, et concourent tous par un jeu naturel à l’action
commune
: si l’auteur effleure le drame à certains instan
l’école classique avait élevée entre la langue poétique et la langue
commune
fut reculée, et le mot propre remplaça les élégan
nd maître des cérémonies, vint, après le départ du roi, signifier aux
communes
l’ordre de se séparer : « Oui, Monsieur, s’écria
contre son gré la poursuite de Strafford, décrétée par la chambre des
communes
. 128. Cette note, écrite de la main de Strafford
on avait pour effet de suspendre les formes (égales de la juridiction
commune
et de priver l’accusé de tous les privilèges atta
pplication de cette loi d’exception. Le bill d’attainder porté par la
commune
contre Strafford déclarait que le crime de haute
et l’idée de la raison comme concevant l’ordre absolu qui est la base
commune
de ces grandes doctrines. On voit par là l’accord
le 17 avril 1790, et Mirabeau, se faisant l’interprète de la douleur
commune
, proposa à l’assemblée nationale de porter pendan
Vers parasites amenés pour le besoin de la rime, épithètes vagues ou
communes
(temps affreux, palais pompeux), hémistiches d’un
ffecte de n’emprunter ses métaphores que des arts les moins connus du
commun
des lecteurs. Il multiplie à tous propos les mass
présence, et que plus il les rapproche, plus les traits qui leur sont
communs
ou différents, doivent se rapprocher aussi de l’œ
, parce qu’elle nous montre notre poète s’occupant des affaires de sa
commune
, et tâchant d’obtenir du surintendant Fouquet une
ui nous paraît aujourd’hui fort exagéré, était si bien dans l’opinion
commune
au xviie siècle, que Lancelot, à la fin de son T
es qui veulent être fines et ingénieuses, et ne sont dans le fait que
communes
, obscures et affectées. « Voici, dit-il, tout le
ci, dit-il, tout le secret de ces tours recherchés. Prenez une pensée
commune
, exprimez-la d’abord avec obscurité, devenez ensu
ilité, tantôt de l’intempérance des idées, souvent d’une diction trop
commune
, quelquefois d’une dieuon trop recherchée. » 92
oulage mes faibles yeux. Je demande un poëte aimable, proportionné au
commun
des hommes, qui fasse tout pour eux et rien pour
de liaison avec aucun autre homme qui ait pu leur donner des notions
communes
, parlent aux deux extrémités de la terre sur un c
ont, est unique. Où est-elle cette sagesse ? Où est-elle cette raison
commune
et supérieure tout ensemble à toutes les raisons
bornée ; enfin elle ne possède jamais rien que d’emprunt. L’autre est
commune
à tous les hommes, supérieure à eux ; elle est pa
s que jamais avec nous. Nous le trouvons sans cesse dans notre centre
commun
. Il nous y voit, il nous y procure les vrais seco
n prendrai un autre, à la fois moins rigoureux et plus utile au salut
commun
. Si j’ordonne ta mort, la république ne sera pas
etraite pour te dérober à leurs yeux. Eh bien ! la patrie, notre mère
commune
à tous, te déteste et te craint ; depuis longtemp
mises au grand jour, il se lève, et demande aux Gaulois ce qu’il a de
commun
avec eux, et ce qu’ils sont venus faire chez lui
cruels ; les temples, les sanctuaires, cette belle patrie, notre mère
commune
, au fléau de l’incendie ; enfin, l’Italie tout en
ouverai bien des villes qui, jalouses de concourir avec vous au salut
commun
, ne regarderont pas comme indigne d’elles de vous
de la liberté, cette lumière même qui nous éclaire, cette terre de la
commune
patrie, ne soient à la fois et le bien le plus pr
de contribuer, autant du moins qu’il l’ose et qu’il le peut, au salut
commun
de l’État ? Si donc quelqu’un d’entre vous s’est
né de torches et de poignards par des conspirateurs sacrilèges, notre
commune
patrie tend vers vous ses mains suppliantes. À vo
uivie. En effet, la mort, dont peut-être ils me menacent, est le sort
commun
de tous les hommes ; mais une gloire comme celle
Héjus est de Messine : la ville de Messine est la seule qui, par une
commune
délibération, fait publiquement l’éloge de Verrès
tais en Sicile, les Centorbains, et tous les Siciliens, disaient d’un
commun
accord (car la chose était claire et connue) que
les donnent qu’à regret, quoique ce soit pour le salut et la défense
commune
. Ne doutez pas qu’il n’en ait coûté des larmes bi
qui en a violé la sainteté ; mais aujourd’hui qu’il s’agit d’un culte
commun
à tous les peuples, d’une déesse que nos pères on
ur entrée particulière, mais ensuite ils se réunissent dans un bassin
commun
. Par ce moyen, la partie de Syracuse qu’on appell
diesse de l’emporter ? On célébrait tous les ans à Syracuse des fêtes
communes
à Apollon et à Esculape ; Aristée, que les Grecs
avaient point agi d’intelligence avec les autres envoyés pour le bien
commun
de la Sicile. LXIII. Considérant que leur r
s je les exhortai à ne point abandonner l’intérêt général et la cause
commune
, et à rétracter cet éloge que la force et la crai
r, et d’un préteur accusé, que l’on ne défend pas comme un préteur du
commun
, mais que l’on vante comme un excellent général.
n, qui était noble, et celle d’Eschrion, d’une naissance au-dessus du
commun
, souffrirent impatiemment que la fille du comédie
plus déclaré, le plus pernicieux du peuple romain, ou plutôt l’ennemi
commun
de tous les peuples et de toutes les nations, a-t
res intérêts plutôt que ceux du peuple pourraient l’exiger ? L’ennemi
commun
serait sous la garde d’un particulier ? Ceux même
essés de la faim, cueillirent des racines de palmiers sauvages, aussi
communs
en ce lieu que dans une grande partie de la Sicil
r leur autorité, leur réputation et leur gloire : telle est l’opinion
commune
. XXXVIII. Comment ce pirate a-t-il osé péné
ues réciproques d’un attachement inviolable ? Que deviendra la vie en
commun
sur cet agréable rivage ? Il ne lui était pas pos
uple romain ne veut point que l’on porte des accusations triviales et
communes
contre Verrès ; il attend des crimes d’un genre n
ue plusieurs braves généraux ont souvent échoué au milieu des chances
communes
et hasardeuses des combats, et sur terre et sur m
tels ! quel en fut donc le sujet ? Quoique je fasse injure à la cause
commune
et à nos droits par une telle question, comme s’i
ce n’est point un seul homme, le premier citoyen venu, c’est la cause
commune
de l’État et de la liberté que vous avez immolée
fie chant du village. La comédie et la tragédie ont donc pour origine
commune
le chant lyrique nommé dithyrambe. Ce poème était
e, de manière à ce que toutes les parties de la pièce aient un centre
commun
. L’observation de ces trois unités a pour but de
ame romantique. 1° Le drame bourgeois représente les scènes de la vie
commune
dans ce qu’elles ont de plus touchant et de plus
antité de causes, mais qui paraissent toutes se rattacher à un centre
commun
: le contraste. Nous avons de chaque chose une id
d ? Célimène. Et ne faut-il pas bien que monsieur contredise1 ? A la
commune
voix veut-on qu’il se réduise, Et qu’il ne fasse
ujours en main l’opinion contraire, Et penserait paraître un homme du
commun
, Si l’on voyait qu’il fût de l’avis de quelqu’un.
Tout cela, si je puis vous parler franchement, Madame, fut blâmé d’un
commun
sentiment. « A quoi bon, disaient-ils, cette mine
son caractère au-dessus des jugements humains, il abandonne aux âmes
communes
le mérite d’une vie suivie et uniforme ; et il n’
t parler, sût écrire, sans étude et sans travail. Cette illusion trop
commune
me rappelle quelques pauvres aventuriers de notre
uve rien contre l’excellence de cet art car la rhétorique n’a rien de
commun
avec l’artifice mensonger qui ajoute aux objets d
it pas être confondue avec l’art de parler et d’écrire : rien de plus
commun
, de plus vulgaire, de plus facile que la pratique
rivain. 7. Extension des règles de la rhétorique. — C’est une erreur
commune
que de borner l’empire de la rhétorique à l’art o
t nées que plus tard, ce sont comme des rameaux détachés de la souche
commune
. L’orateur parfait étant l’homme qui sait persuad
n philosophique st la preuve oratoire. — Si le syllogisme est le fond
commun
de tout raisonnement, si l’esprit humain ne peut
hétorique ont indiqué encore d’après le maître certains points de vue
communs
à tous les sujets ; c’est là ce qu’on appelle les
aisse entendre dans un autre, là un rapport délicat et deux idées peu
communes
; c’est une métaphore singulière ; c’est une rech
e le néant de ses pompes et de ses grandeurs. Enfin, de cette pensée
commune
: La mort n’épargne personne, Malherbe tire une p
e cherche pas à plaire, maïs à être utile. Tout est dit pour le salut
commun
; aucun mot n’est pour l’orateur ; on le perd de
éduisent : modération, désintéressement, piété, dévouement à la cause
commune
, regrets pour celui dont on pleure la perte, tout
ut à fait stérile, ou bien à ne trouver que des idées banales, vides,
communes
et vulgaires. Ce ridicule trop commun a été rail
ue des idées banales, vides, communes et vulgaires. Ce ridicule trop
commun
a été raillé par Racine, lorsque au IIIe acte de
ut quand il pourrait servir à soutenir la thèse opposée, il est alors
commun
et par conséquent fort dangereux. On appelle étra
un sujet de début. VIII. Se tenir en garde contre tout exorde banal,
commun
, étranger. IX. Le style de l’exorde doit avan
timé fait trop précipitamment un récit trop long. C’est une confusion
commune
de croire qu’on abrège parce qu’on dit beaucoup d
est une source très-fréquente d’erreurs ; en effet, par une curiosité
commune
, nous cherchons à toutes choses une cause ; et pa
ment ce qui est vrai à quelque égard. Ces trois sophismes ont cela de
commun
que l’erreur naît de l’irréflexion avec laquelle
prit est tenté, de généraliser, on peut donc les réunir sous le titre
commun
d’induction précipitée. C’est commettre cette err
l’expression ou dans le style, je style approprie les choses les plus
communes
, fortifie es plus faibles, donne de la grandeur a
tours généraux et les tours particuliers. 2. Les tours généraux ou
communs
. — Les tours généraux ou communs sont ceux qui, d
culiers. 2. Les tours généraux ou communs. — Les tours généraux ou
communs
sont ceux qui, dépendant du mouvement même de la
rs il s’en reproduit mille. * Il semble que le temps soit un ennemi
commun
contre lequel les hommes sont conjurés. Racine f
s traits, des sentiments et des mots qui doivent concourir à un effet
commun
. Ainsi Boileau, dans le portrait de Chapelain :
as failli, quand vous vous êtes sacrifiés pour la liberté et le salut
commun
; j’en jure par nos ancêtres qui ont combattu à M
figures de pensée persistent encore. Les plus frappantes et les plus
communes
des figures de mots sont les tropes. Ce nom, qui
mase c’est-à-dire substitution de mot, la figure qui substitue le nom
commun
au nom propre ou réciproquement : Ainsi, l’ orate
es intérêts partout abandonnés.... La répétition du verbe est la plus
commune
: Guillot dormait alors profondément, Son chien d
out moment, m’offriront devant toi. Racine. Le loup est l’ennemi
commun
: Chiens, chasseurs, villageois, s’assemblent pou
rappelle qu’il s’est laissé tomber à terre ; il a embrassé notre mère
commune
; ainsi les oracles ont toujours raison. C’est à
ands tonnerres contre les Philistins. Le meilleur remède à ce mal si
commun
, c’est d’user de répétitions fréquentes, de prépo
ce, sa physionomie en perdant/sa vivacité et sa précision. Mérite non
commun
ni facile de clore en peu de mots beaucoup de sen
and l’écrivain ‘orme son style d’expressions choisies dans le langage
commun
qu’if approprie à son sujet. Aristote fait de cet
d’ingénuité et de bonne foi, qu’il intéresse dans les choses les plus
communes
. Il commence ainsi la fable de l’Ane et le Chi
du critique latin. Comme le style simple s’écarte peu de la manière
commune
de parler, on s imagine qu’il ne faut pas beaucou
Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre ; Racan, par des mots
communs
qui ne font point image et ne peignent rien : Les
s cette époque si brillante, si féconde, si admirable, qu’y a-t-il de
commun
, je le demande, entre Venise, la reine des mers d
cet art aux mille couleurs du Titien et de Véronèse. ; qu’y a-t-il de
commun
entre cette aristocratique Venise et la démocrati
point, comme ses premiers travaux, sur l’état positif, les instincts
communs
, les vœux déterminés de la société ; il se perd e
ir un homme honnête et intelligent, habile et vertueux ; c’est la fin
commune
, générale, nécessaire. Mais, de plus, il a toujou
e entre les trois ordres convoqués pour travailler de concert au bien
commun
, et à la régénération de toutes les parties de l’
re, entre les deux premiers ordres de l’état et les représentants des
communes
, une lutte qui affligea sensiblement le monarque,
rlant plaisamment de choses sérieuses, l’autre pompeusement de choses
communes
ou insignifiantes. Pour éviter toute espèce de bu
ans les sentiments, dans les habitudes, qui doivent les distinguer du
commun
des citoyens et se refléter dans leur langage. «
rsonnalité, à la répulsion instinctive de la douleur et du sacrifice,
communs
à l’humanité si égoïste, et à laquelle pourtant,
emé passagèrement sur un sol borné, et, no pouvant agrandir la partie
commune
, il agrandit son cœur pour s’y contenter de peu.
cesse l’occupation de ses propres intérêts, les intérêts de la chose
commune
lui apparaissent, et sollicitent son génie ou son
lle soit intéressante, courte et claire ; c’est-à-dire que, sans être
commune
et triviale, elle soit exprimée en peu de mots et
Que vous avez à redouter, Cette crainte nous est
commune
; Sur notre liberté chacun veut attenter
du sentiment, les choses les plus simples et les événements les plus
communs
. Il n’est presque point d’objets qui ne puissent
r les traits les plus frappants, et les présenter sous des images peu
communes
. Il répandra en même temps sur sa critique tout l
de la Chartreuse. Pourrais-je, en proie aux soins vulgaires, Dans la
commune
illusion, Offusquer mes propres lumières Du bande
dinaires, les plus petits détails, la description des objets les plus
communs
, pourvu que tout y soit exprimé avec grâce. C’est
chanteurs de la prospérité. Dans le palais des rois cette plainte est
commune
: On n’y connaît que trop les jeux de la fortune,
s jours de fleurs nouvelles Ont soin de parer son front ; Et par leur
commun
suffrage, Avec elles il partage Le sceptre du dou
ces qui devaient les différencier, tous ces personnages ont un défaut
commun
, l’exagération du sentiment de l’injure, plus de
de compositions. L’auteur n’y tourne guère que dans un cercle d’idées
communes
et cent fois rebattues, exprimées le plus souvent
ger celui de l’expression : il n’est que trop facile, et surtout trop
commun
, de se croire sublime, parce qu’on prodigue de gr
enflammée par tant d’objets réunis ? On conçoit aisément que rien de
commun
, rien d’ordinaire ne peut sortir d’une réunion de
point, comme ses premiers travaux, sur l’état positif, les instincts
communs
, les vœux déterminés de la société ; en combinais
igence, sa puissante volonté au service de la pensée générale, du vœu
commun
; maintenant il veut employer la force publique a
qui pleurent : c’est un des préceptes de Marc-Aurèle, et la doctrine
commune
des stoïciens. Le sage, dit Virgile, ne compatit
orsqu’il a déjà été altéré par les gouvernements divers. Les qualités
communes
aux peuples de l’Italie et de la Grèce, les quali
t son ambition incertaine ; et il n’eut jamais avec lui aucun intérêt
commun
. Seul ainsi avec son génie, il attaquait le despo
nde et intarissable ! Bonaparte pouvait enrichir également le domaine
commun
; il agissait sur la nation la plus intelligente,
ntend ; d’autant mieux dite qu’elle l’est plus brièvement, mérite non
commun
, savez-vous ? ni facile de clore en peu de mots b
ceptre, ils n’ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d’une chute
commune
Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteu
e tombe, l’homme reste, Et le héros s’évanouit. L’effort d’une vertu
commune
Suffit pour faire un conquérant : Celui qui dompt
tre, en succombant sous le fardeau des âges, Un jour tu subiras notre
commun
destin, Tu seras insensible à la voix du matin, E
és, par la réflexion qu’ils éprouvent sur les parois, à une direction
commune
; leur divergence primitive est détruite ; ils fo
entendre dans un autre ; là, un rapport délicat entre deux idées peu
communes
: c’est une métaphore singulière, c’est une reche
et nos vœux. Tout s’empresse, tout part ; la seule Iphigénie Dans ce
commun
bonheur pleure son ennemie. Des mains d’Agamemnon
rangs à plaindre les victimes, Et, par leur attentat contre le droit
commun
, En s’adressant à tous, font craindre pour chacun
p mous, et le pouvoir trop fort. Depuis qu’il ne sert plus la défense
commune
, Le sceptre n’a servi que sa propre fortune ; Aff
l’un contient l’autre, et cet heureux partage Tourne leur jalousie au
commun
avantage. Mais un règne trop long fait des loisir
ont encore assassiné personne ; Je n’ai pour ennemis que ceux du bien
commun
; Je leur fais bonne guerre, et n’en proscris pas
l’Euphrate, Faites voir à l’Asie un autre Mithridate. Que nos tyrans
communs
en pâlissent d’effroi, Et que le bruit, à Rome, e
ue le peuple a besoin qu’on le guide. Je dis qu’il faut régler par un
commun
accord La révolution dont nous tenons le sort. —
ent puissant, unité d’action, Tout est là ! Mais d’abord désarmons la
Commune
. Deux souverainetés, c’est trop. Il n’en faut qu’
rez fait bientôt que changer de service. Eh bien ! substituer pour le
commun
bonheur Les lois de la morale aux lois d’un faux
Car ce n’est qu’à la loi que ces respects sont dus. Le nouveau droit
commun
confond toutes les classes ; Je ne distingue plus
end ? CÉLIMÈNE. Et ne faut-il pas bien que monsieur contredise ? À la
commune
voix veut-on qu’il se réduise, Et qu’il ne fasse
ujours en main l’opinion contraire, Et penserait paraître un homme du
commun
, Si l’on voyait qu’il fût de l’avis de quelqu’un.
pas même cette ressource dans un royaume où le mécontentement serait
commun
à toute la province. On dira que le danger que j’
Tuileries ? Savez-vous comment sont décernés les mandats d’arrêt ? La
commune
de Paris s’en repose à cet égard sur son comité d
et consolide le règne de la liberté. Je demande que les membres de la
commune
répondent sur leurs têtes de la sûreté de tous le
ut remonter de ruine en ruine jusqu’au jour de l’affranchissement des
communes
, sinistre précurseur de la liberté de la presse,
rne et qui n’eut que peu de confidents. Joubert 71. Des Lieux
communs
On a reproché souvent à Horace de n’avoir cha
à lui, mais une forme exquise et nouvelle pour des idées qui lui sont
communes
avec le genre humain. Sur deux cents fragments qu
ant de ce sol de nuages sur le sol populaire, sur la patrie des idées
communes
, pour y retrouver, comme Antée touchant la terre,
(Trad. de Juvénal). La Loi du Travail Le travail est la loi
commune
des hommes ; c’est aussi celle des intelligences,
ù l’on habite ensemble ; on la regarde comme une mère et une nourrice
commune
, on s’y attache, et cela unit. C’est ce que les L
tant arrivé en Judée, il appelle ses concitoyens, que l’amour de leur
commune
patrie unissait ensemble. « Vous savez, dit-il, n
yen employé pour les garantir ou les rétablir a-t-il quelque chose de
commun
avec le but qu’on veut atteindre ? Alors il ne fa
soi des forces assez imposantes ou assez d’alliés intéressés au salut
commun
pour décourager d’avance l’adversaire et pour ass
ture, tous y tendent avec énergie. Voilà ce que tous les êtres ont de
commun
. Mais, cette destination, la plupart l’ignorent e
es vertus, les vices, les mœurs, les usages, les caractères de la vie
commune
; c’est l’histoire de chacun et l’histoire de tou
e, raisonneur, observateur des peuples septentrionaux. Il n’a rien de
commun
avec le Midi, pays des chimères, des aventures, d
t et qui avaient faveur à la cour avaient peur d’être oubliés dans la
commune
persécution ; ils allaient s’accuser eux-mêmes, s
ient, tandis que ses qualités heureuses étaient devenues la propriété
commune
de la langue qu’il avait embellie. » 3. Cette e
néanmoins un sens vrai : Les savants, qui sont plus instruits que le
commun
des hommes, devraient aussi les surpasser en sage
-il à la correction du style ? — 13. La pureté du style est-elle bien
commune
? N’est-ce pas la même chose que la correction ?
s conjonction deux noms dont l’un est un nom propre et l’autre un nom
commun
, en sorte que ce dernier sert de qualificatif, ou
). 6. L’antonomase est un trope par lequel on substitue tantôt un nom
commun
à un nom propre : ex. : l’Apôtre pour saint Paul
opre : ex. : l’Apôtre pour saint Paul ; tantôt un nom propre à un nom
commun
: ex. : un Benjamin pour un enfant chéri. 7. La m
au présent ce qui devrait être au passé. C’est une figure extrêmement
commune
dans la conversation et le style. Ex. : L’autre j
r sa tête dans son chapeau. Il faut être sobre de cette figure, assez
commune
dans la poésie et dans la langue latine, mais con
elle est dans la forme quand on remplace à propos une expression trop
commune
. 11. La richesse du style consiste dans l’abondan
and on se sert de pensées et d’expressions rebattues et devenues trop
communes
à force d’être répétées. 3. Le bas, c’est tout ce
produite forcément par l’enjambement. L’espèce d’enjambement la plus
commune
aux poètereaux, c’est celle du génitif, et c’est
que je l’ai retouchée ; que cela serve du moins à amuser les douleurs
communes
de notre éloignement. J’ai bien peur que vous ne
des vers ? — Ah ! monsieur, il les fait détestables. — Cela est fort
commun
, madame ; mais que peut un ambassadeur de France
nous a créés tous doit être manifeste à tous, et les preuves les plus
communes
sont les meilleures, par la raison qu’elles sont
es les plus communes sont les meilleures, par la raison qu’elles sont
communes
; il ne faut que des yeux et point d’algèbre pour
le, hormis les beaux-arts. Il ne saurait ravaler son génie aux choses
communes
. Cependant le bonheur des hommes mérite bien auss
partout : ici, tellement familière qu’elle se confond avec le langage
commun
; là, si neuve et si brillante qu’elle réveille p
; l’on en voit encore moins qui soient sublimes et transcendants. Le
commun
des hommes nage entre les deux extrémités. » Le m
un décor d’opéra… » Autre fromage ; sottise la plus grande et la plus
commune
de toutes. Quelle gloire pour le Créateur, d’avoi
res fortes et généreuses qui doivent s’élever au-dessus des destinées
communes
. Ce n’est point sans difficulté qu’il a cultivé s
ges et les habiles des divers siècles ajoutent sans cesse à ce trésor
commun
où puise l’humanité, qui sans eux serait restée d
s et à tous les degrés de la société française, un désir et un effort
communs
pour faire pénétrer et prévaloir l’équité dans l’
ge : les songes furent en possession de la mode. Tel est le caractère
commun
que présentent, dans la diversité de leur génie e
ncilie le principe de la monarchie absolue et celui de la liberté des
communes
; l’abbé Mably qui propose comme modèle à la Fran
madame de Staël. Entre ces deux esprits si divers, il y a des points
communs
. Ils croient l’un et l’autre que l’accord doit êt
donne pour base à la science la méthode expérimentale. Cette méthode
commune
laisse, d’ailleurs, subsister entre les écoles de
t permis de parler ainsi, une certaine teinture d’esprit qui leur est
commune
, et qui dans cette diversité de génie et de style
nos pères, nous y conduisent ; ce sont aujourd’hui les morts les plus
communes
et les plus fréquentes. Comptez, si vous le pouve
mêmes parmi tous les peuples ; le sentiment de l’immortalité leur est
commun
à tous. Ce n’est pas une secte : car, outre que c
, de désavouer votre propre cœur ; et reconnaissez, dans un sentiment
commun
à tous les hommes, l’impression commune de l’aute
econnaissez, dans un sentiment commun à tous les hommes, l’impression
commune
de l’auteur qui les a formés. Carême, lre semain
ne joie secrète lorsqu’on a fait quelque règlement qui allait au bien
commun
. J’aime les maisons où je puis me tirer d’affaire
ent éviter de devenir la proie ; tous également pénétrés du sentiment
commun
d’une terreur funeste, tous également pressés par
pourront demeurer séparées, mais qui, toujours réunies par les liens
communs
des usages et du langage, formeront une petite na
el que la peine qu’on se donne pour exprimer des choses ordinaires ou
communes
d’une manière singulière ou pompeuse, rien ne dég
onheur de croire. Si je ramène ces questions diverses à leur principe
commun
, il me semble qu’elles se rapportent toutes à cel
outes ses hauteurs, et ne laisse entre elle et lui que la rime. Étant
commune
à tous les hommes, elle a plus de juges que la ve
enfle la voix, s’arme de la rime et de la mesure, et tire une pensée
commune
du sentier vulgaire ; mais aussi que de faiblesse
mourant. Les esprits extraordinaires tiennent grand compte des choses
communes
et familières, et les esprits communs n’aiment et
ennent grand compte des choses communes et familières, et les esprits
communs
n’aiment et ne recherchent que les choses extraor
Quelques raisonneurs prétendent que l’enthousiasme dégoûte de la vie
commune
, et que, ne pouvant pas toujours rester dans cett
rait-ce encore un pamphlet ? — Peut-être, me dit-il, dans l’acception
commune
; mais, proprement parlant, le pamphlet n’a qu’un
en quelque vérité, dont il n’a d’autre certitude que le consentement
commun
. Il parle, il agit, donc il croit : car on n’agit
ord fut irrévocablement résolue ; son procès commença. La chambre des
communes
tout entière y voulut assister, pour soutenir l’a
voulut assister, pour soutenir l’accusation de sa présence. Avec les
communes
d’Angleterre siégeaient les commissaires d’Écosse
ents comme juges ; les évêques, d’après le vœu violemment exprimé des
communes
, s’étaient récusés, comme dans tout procès de vie
it la, poursuite, se récria avec emportement : « C’était, dit-il, aux
communes
que s’adressait cette injure, et il y avait crime
nt d’énergie embarrassait et humiliait les accusateurs. Deux fois les
communes
sommèrent les lords de mener plus vite un procès
ncu, du moins quant à la preuve de la haute trahison. L’agitation des
communes
devint extrême ; à la faveur du texte de la loi e
ions furieuses ; les conseils de Strafford furent entendus ; mais les
communes
ne leur répondirent point, n’assistèrent même pas
sayait, par des concessions et des promesses, d’adoucir les chefs des
communes
; on conspirait pour faire évader le prisonnier.
par le capitaine Billingsley, officier mécontent : il en informa les
communes
. Chaque jour voyait naître et échouer, pour le sa
, aucune crainte, ne le ferait consentir à sa mort. Mais la haine des
communes
était inflexible et plus hardie que la douleur du
t à presser l’accomplissement de ses vœux. Cinquante-neuf membres des
communes
avaient voté contre le bill ; leurs noms furent p
quant. Les lords, provoqués par un message du roi, se plaignirent aux
communes
de ces désordres : les communes ne répondirent po
un message du roi, se plaignirent aux communes de ces désordres : les
communes
ne répondirent point. Cependant le bill demeurait
ouble des esprits. Le bruit se répandit dans la cité que la salle des
communes
était minée et près de sauter ; la milice prit le
d’agitations, des mesures savamment combinées assuraient l’empire des
communes
et le succès de leurs desseins. A l’imitation du
nte et des libertés publiques, fut adopté par les deux chambres ; les
communes
voulurent même l’imposer à tous les citoyens ; et
n effet, toute classification suppose un principe qui serve de mesure
commune
. Cette mesure n’est autre que l’expression. L’exp
souffrances et des révolutions de notre pays. L’affranchissement des
communes
, l’élèvation graduelle du tiers état, devenaient
la terre, où il va ; aucun ne sait par quel lien il se rattache à la
commune
humanité ! Quand on réfléchit à cette histoire de
toutes ces circonstances sous une même formule : car ce qui leur est
commun
à toutes, et ce qui fait qu’elles conduisent égal
res fortes et généreuses qui doivent s’élever au-dessus des destinées
communes
. Ce n’est point sans difficulté qu’il a cultivé s
ges et les habiles des divers siècles ajoutent sans cesse à ce trésor
commun
où puise l’humanité, qui sans eux serait restée d
l’idée de ses Contes de Fées ; il les a pris dans le grand réservoir
commun
, et là d’où ils lui arrivaient avec toute leur fr
e fées, a sa note et sa gamme. D’où nous vient-il, pourtant, ce fonds
commun
de contes merveilleux, d’ogres, de géants, de Bel
tendue. Dieu parle, et le cahos se dissipe à sa voix : Vers un centre
commun
tout gravite à la fois625. Ce ressort si puissant
terre est libre ainsi que moi ; « C’est le plus beau présent de notre
commun
Roi. « La liberté, qu’il donne à tout être qui pe
aisé, Combien il en faut peu, comme il est méprisé !… On dit l’esprit
commun
; par son succès bizarre, La méchanceté prouve à
alors au goût public, c’était l’art secondaire d’embellir les objets
communs
par les grâces de l’expression et les artifices d
a vierge héroïque, les accents du génie. Il était l’écho de la pensée
commune
lorsqu’il pleurait sur les malheurs de la Grèce,
les uns des autres, et concourent tous par un jeu naturel à l’action
commune
: si l’auteur effleure le drame à certains instan
rière élevée par les classiques entre la langue poétique et la langue
commune
fut reculée. Mais le romantisme ne sut pas se con
n gouvernement régulier856. DANTON. Je dis qu’il faut régler, par un
commun
accord, La révolution dont nous tenons le sort. —
ervice. Danton se lève avec impatience. Eh bien ! Substituer, pour le
commun
bonheur, Les lois de la morale aux lois d’un faux
Car ce n’est qu’à la loi que ces respects sont dus. Le nouveau droit
commun
confond toutes les classes ; Je ne distingue plus
dire à Rollin (Traité des Études, I, 1) : « On a justement comparé le
commun
des traductions à un revers de tapisserie qui tou
haute société, les mœurs sont plus pures, les vertus domestiques plus
communes
, que le caractère français a gagné en force et en
ontre son gré, la poursuite de Strafford, décrétée par la chambre des
communes
. 427. Cette note, écrite de la main de Strafford
n, avait pour effet de suspendre les formes légales de la juridiction
commune
et de priver l’accusé de tous les privilèges atta
plication de cette loi d’exception. Le bill d’attainder, porté par la
commune
contre Strafford, déclarait que le crime de haute
le 17 avril 1790, et Mirabeau, se faisant l’interprète de la douleur
commune
, proposa à l’Assemblée nationale de porter pendan
e chaîne et clostures ? Si le lieu estoit plus grant que d’une prison
commune
, aussi estoit-il plus grant que prisonnniers comm
que d’une prison commune, aussi estoit-il plus grant que prisonnniers
communs
. » 525. Voir la partie intitulée Poétique du Chr
ites parler ces trois hommes qui, à peine vainqueurs de leurs ennemis
communs
, sont insupportables l’un à l’autre, et qui, venu
uquel la raison prête une nouvelle puissance. Le goût est une faculté
commune
à tous les hommes, puisque ce n’est qu’un attrait
même à l’égard des objets de sentiment ou goût intime. Les sensations
communes
aux hommes doivent servir de titre pour fonder le
ciper à l’effet. La moindre circonstance inutile, une pensée basse ou
commune
suffit pour faire évanouir le charme. Telle est l
’attention du lecteur, invoque sa muse, et vante, par des expressions
communes
et insignifiantes, la grandeur et la majesté de s
u analogues, ils les rangèrent en classes, et leur donnèrent des noms
communs
ou génériques, et l’expérience leur apprit bientô
ent que l’on veut exprimer. La première espèce d’harmonie est la plus
commune
; la deuxième est plus rare, et appartient au bea
ressemblance qui existe entre deux objets. C’est le premier, le plus
commun
et le plus beau de tous les tropes. Elle a beauco
ideatur. Il faut éviter, dans le choix des métaphores, des tableaux
communs
et vulgaires. Il est quelquefois beau d’être naïf
vent, blanc comme la neige, et autres semblables. Les termes les plus
communs
de nos compliments sont, pour la plupart, d’extra
ité de conception de nos auditeurs ; notre style doit être tel que le
commun
des hommes puisse nous suivre sans efforts. Un st
udinem. Il est plus facile de revêtir de belles expressions une idée
commune
et triviale, que de posséder un fonds de pensées
sister aux efforts de tous les souverains ligués et unis par le péril
commun
. La France, dont il avait méprisé les droits, l’a
rhéteurs. Ces trois espèces d’éloquence ont des règles qui leur sont
communes
; j’en parlerai par la suite avec détails ; mais
e la dirigent. Il faut, au contraire, tirer son discours d’une source
commune
où tout le monde puise ; et s’il s’écarte de ces
’occuper à établir les règles de la construction du discours qui sont
communes
à ces trois genres. Les vues générales que j’ai o
et et dans chaque cause De là leur doctrine sur les topiques, ou loci
communes
et sedes argumentorum, qui joue un rôle si import
scours insipide et fatigant. Mais la précipitation est un défaut plus
commun
, et dont il faut tâcher de se garantir avec soin,
s prononciations vulgaires ou locales ; c’est un défaut grave et trop
commun
peut-être parmi les jeunes gens de province qui s
servent de modèles. Quelques-uns de ces regards et de ces gestes sont
communs
à tous les hommes. Il y a aussi certaines particu
mettre en garde contre une certaine divagation d’esprit qui est très
commune
chez ceux qui commencent à parler en public. Il d
L’éloquence, dans la véritable acception du mot, n’est pas un talent
commun
et facile à acquérir. Certes, pour composer une h
tarir les sources de son talent. Platon, le premier, a dit qu’un lien
commun
unit tous les arts et toutes les sciences dont la
ces. Cette heureuse méthode par laquelle plusieurs esprits mettent en
commun
leurs travaux et leurs sciences, fait évanouir pr
hesses, et l’objet et la victime de tous les genres de corruption. Le
commun
des lecteurs ne connaît de lui que son opulence,
e faut-il pas que tous se réunissent pour venir au secours de la mère
commune
, et déploient une fermeté d’âme… dont vous êtes b
! Je vous vois perdre courage au premier revers ; désespérer du salut
commun
, vous reprocher à vous-même, aussi injustement qu
es. » Or, pourquoi la faculté de saisir et de formuler les rapports,
commune
à divers degrés, organiquement ou accidentellemen
poésie, du moins en ne la considérant que sous les faces qui lui sont
communes
avec la prose, et sans empiéter sur le domaine de
na, et le temple de la déesse Persuasion, qu’elle-même, selon le dire
commun
, avait bâti sur ses lèvres, que sont-ce autre cho
ient, tandis que ses qualités heureuses étaient devenues la propriété
commune
de la langue qu’il avait embellie. »
ets Séparent rarement leurs plus chers intérêts : Leurs plaisirs sont
communs
aussi bien que leurs peines. L’âme, guide du corp
stances représentées sont dans le second. L’action dramatique est, ou
commune
, bourgeoise, enjouée ; ou illustre, héroïque, sér
iculièrement chacune de ces deux espèces, donnons une idée des règles
communes
à l’une et à l’autre : elles conviennent aussi en
t l’accomplissement, ont un même principe, et aboutissent à un centre
commun
. On doit s’y proposer un seul but ; et tous les m
e, en imaginant, comme il l’a fait dans Polieucte, un grand vestibule
commun
à tous les appartemens du palais, et où Cinna, Em
a scène des personnages qui font une action amusante et risible, mais
commune
, c’est-à-dire relative au caractère, aux moeurs,
arvient à ces deux fins, en représentant une action prise dans la vie
commune
, digne de risée, et de laquelle nous pouvons reti
vices qui règnent dans tous les temps, où il dessinera ces caractères
communs
au Grec, au Romain, à l’Espagnol, au Français, à
que la tristesse et la compassion ont lieu dans les actions de la vie
commune
, mais que c’est par le côté ridicule, et non par
oujours été regardée comme l’imitation d’une action prise dans la vie
commune
, et propre à instruire, non pas en remuant les gr
. En effet que seroit-ce qu’une intrigue tragique entre des hommes du
commun
? Ce seroit seulement avilir le cothurne ; ce ser
cela, il n’auroit pas été l’homme universel ; il n’auroit pas plu au
commun
des spectateurs, comme il avoit plu aux connoisse
scène du monde. Ainsi les actions qui se passent dans des conditions
communes
, entre des hommes ordinaires, ne peuvent pas être
se mesurer avec notre valeur ; Et comme il voit en nous des ames peu
communes
, Hors de l’ordre commun il nous fait des fortunes
eur ; Et comme il voit en nous des ames peu communes, Hors de l’ordre
commun
il nous fait des fortunes. Combattre un ennemi po
t par sa variété. Ce sont des actes détachés, et réunis sous le titre
commun
de Ballet ; petit poëme dramatique qui diffère de
. Le récit est ce qui la distingue de la tragédie, et ce qu’elle a de
commun
avec l’histoire : le récit poétique, c’est-à-dire
fiés, et cestaines fictions hardies qui sont hors du cercle des idées
communes
. 1°. L’intervention des dieux : première branche
africains d’un orage emportés, Ce n’est qu’une aventure ordinaire et
commune
, Qu’un coup peu surprenant des traits de la fortu
ette première branche du merveilleux soit tirée du fond de la créance
commune
des peuples pour lesquels on écrit, et que le poë
personnages qui doivent y paroître. Mais ces deux poëmes ont cela de
commun
, qu’ils n’en souffrent point d’inutiles. Dans l’é
ndes vertus ; qu’il triomphe de sa passion ; qu’une âme élevée et peu
commune
soit le principe de ses défauts. Voulez-vous lon
paraisons, une foule de traits sublimes dans ce récit d’une action si
commune
, donnent à ce charmant ouvrage tout le sel, tout
oins d’égard à la vérité, qu’à ce qui est considéré comme vrai par le
commun
de ses contemporains. De toutes les traductions q
est quelque grand orateur en françois, parce qu’il desdaigne l’usance
commun
de parler. » Cette excellente leçon ne va-t-elle
e sobriété, de tact ou de choix ; mais fallait-il envelopper dans une
commune
proscription les élus et les réprouvés ? D’autre
es uns ou à la prétendue science des autres, à l’absence de principes
communs
, s’ajoutaient les incertitudes ou les bévues des
. 1. Maigret, grammairien qui publia en 1542 un Traité touchant le
commun
usage de l’écriture, et en 1550, le Tretté de la
on Action 1° Arguments. 1° Arguments proprement dits ; 2° Lieux
communs
: Intrinsèques ; Extrinsèques. 2° Mœurs. Qualités
urs sur le style, le passage où il fait la revue des règles oratoires
communes
à tous les genres de discours ou d’écrits : ordre
ut en sa main. (P. Corneille, Cinna, acte V, scène i.) II° Lieux
communs
Les arguments que nous venons d’énumérer se ra
de la preuve. Les anciens rhéteurs les appelaient lieux communs (loci
communes
chez les Latins, τόποι chez les Grecs, d’où le no
ion. Ex. Un sot savant est sot plus qu’un sot ignorant. Le sentiment
commun
est contre vos maximes, Puisque ignorant et sot s
sonnelle et vivante que l’écrivain donne à sa pensée. L’élocution est
commune
à tout le monde, le style appartient au véritable
nversion, la périphrase. L’autre emprunte ses expressions à la langue
commune
; son allure est libre et dégagée. Il ne suffit p
que les idées. Ex. de disjonction : Le loup est l’ennemi
commun
: Chiens, chasseurs, villageois s’assemblent pour
α, de ἀντὶ, au lieu de — ὄνομα, nom) substitue un nom propre à un nom
commun
. Ex. Un Benjamin, pour un enfant favori. Un Aris
( ut pictura, poesis , a dit Horace). Outre les conditions générales
communes
à toutes les productions de l’esprit humain (géni
, a été complètement modifiée comme sujet et comme forme. Elle n’a de
commun
avec l’ancienne qu’une certaine simplicité dans l
vaut seul un long poëme. Cette opinion sur le sonnet était tellement
commune
au xviie siècle que Lancelot, dans son Traité de
es espèces La comédie est la représentation d’une action de la vie
commune
sous une forme plaisante. Son but est de corriger
, dans Buffon, etc. L’éthopée est une variété de la description, plus
commune
aux historiens qu’aux poètes, dans laquelle on pe
ments des passions deviennent, froids quand ils sont rendus en termes
communs
et dénués d’imagination. Voilà pourquoi l’amour s
ilité, tantôt de l’intempérance des idées, souvent d’une diction trop
commune
, quelquefois d’une diction trop recherchée. Entr
toujours eu le défaut d’être un peu vague, elle eut celui de devenir
commune
. Les passions, de leur côté, apprivoisées par les
, s’éloigne plus ou moins de ce qui en eût été l’expression simple et
commune
. » Tout cela me semble long et gêné. 97. Et c’es
e aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison
commune
: L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
oit Faire avancer ses gens et hâter la victoire. La mouche, en ce
commun
besoin, Se plaint qu’elle agit seule, et qu’elle
ai jamais présumé que mon esprit fût en rien plus parfait que ceux du
commun
; même j’ai souvent souhaité d’avoir la pensée au
un tableau, afin que chacun en puisse juger, et qu’apprenant du bruit
commun
les opinions qu’on en aura, ce soit un nouveau mo
ement émus par un sentiment d’affection, ils n’avaient d’autre langue
commune
que des sons énergiques et rapides. Ainsi, ces ex
particulier à certaines régions ou à certains climats, mais qu’il est
commun
à toutes les nations, lorsque leur langage est à
es et les peuplades peu éloignées les unes des autres se soumirent en
commun
aux mêmes lois grammaticales mais les montagnes,
s (l’an 212 de l’ère chrétienne), les lois de Rome devinrent le droit
commun
dans presque toute la Gaule ; la plupart des habi
orps humain ou des choses d’un usage journalier, et qui n’ont rien de
commun
avec le latin ou l’allemand, sont de l’ancien gau
se entendre dans un autre, là un rapport délicat entre deux idées peu
communes
; c’est une métaphore singulière ; c’est une rech
urs ont voulu peindre ! Le style rend singulières les choses les plus
communes
, fortifie les plus faibles, donne de la grandeur
» Une idée peut être juste, et cependant être contraire à l’opinion
commune
: c’est ce qu’on appelle un paradoxe. Mais, la pl
ste à exprimer d’une manière qui vous est propre les pensées qui sont
communes
à tous. Une idée juste ou non, quand elle est adm
. » Remarquez comme toutes ces idées sont unies ensemble par un lien
commun
; comme toutes les parties de ce développement se
Écoutez Pascal voulant prouver que amour de la gloire est une passion
commune
à tous les hommes, et remarquez comme tous les fa
quefois l’orateur semble se confondre avec ses auditeurs, faire cause
commune
avec eux, et les consulter sur ce qu’il doit leur
t en parlant des rois qui meurent : Et tombent avec eux, d’une chute
commune
, Tous ceux que la fortune Fit leurs adorateurs.
la présence d’esprit. Les alarmes pour la fortune troublent autant e
commun
des hommes que la crainte de la mort, et n’inspir
l’espérance d’une union prochaine. Le mariage fut proposé par un ami
commun
: les parents, éblouis de la splendeur de cette a
el que la peine qu’on se donne pour exprimer des choses ordinaires ou
communes
d’une manière singulière ou pompeuse ; rien ne dé
onseil général de votre département, ou seulement du conseil de votre
commune
: si vous ne savez pas lier ensemble quelques idé
appe à leur ignorance quelque tournure inusitée ou quelque expression
commune
, leurs paroles font sourire la gravité du tribuna
plus clair, et éviter, en les exprimant, les répétitions, les termes
communs
et les constructions embarrassées : sur tous ces
les beaux-arts et la littérature, ce luxe de la vie sociale, ce lien
commun
qui rapproche les hommes de toutes les classes, e
c’est un travers à éviter. Un défaut bien différent et beaucoup plus
commun
, c’est de plaisanter sans motif, de rire à tout p
ndre les règles de cet art pour être éloquent, et rien ne serait plus
commun
que les orateurs. 10. L’étude des préceptes est i
t règles particulières. Les règles générales embrassent les principes
communs
à toutes sortes de discours ; les règles particul
fendre sa vie contre un injuste agresseur. 41. Les autorités humaines
communes
à tous les genres sont au nombre de cinq : les ma
e exemple. (Voir le nº iv.) 47. Outre ces lieux extrinsèques qui sont
communs
à tous les genres d’éloquence, les rhéteurs en as
sée a perdu son énergie et sa beauté. Toutefois, l’enthymème est plus
commun
dans le discours, et Aristote l’appelle le syllog
isent pas, ou ce qu’ils disent dans un autre sens. C’est un vice très
commun
dans toutes les polémiques et même dans les discu
angers personnels nous frappent et nous touchent plus que les dangers
communs
; appliquez-vous donc à faire voir dans les péril
es dangers communs ; appliquez-vous donc à faire voir dans les périls
communs
des périls personnels. Pour inspirer la pitié, fa
is sa volonté. Vous conviendrez tous, ô juges, que ces débats me sont
communs
avec Ctésiphon, et que je ne leur dois pas moins
erait devant une assemblée de philosophes et de savants. Rien de plus
commun
pourtant que l’oubli de cette règle. Une foule d’
la surabondance. 217. La prolixité, qui est peut-être le vice le plus
commun
, consiste à noyer une pensée dans une multitude d
, est vraiment éloquent qui s’exprime avec simplicité dans les sujets
communs
, avec majesté dans les grands sujets, et qui ne s
ateur, est toujours sûr de plaire, même en disant les choses les plus
communes
. Ses paroles semblent couler de source et sans pr
faire comprendre aux fidèles que la sainteté consiste dans les vertus
communes
et dans cette piété uniforme et constante qui est
itieux de Philippe, et de se joindre aux autres Grecs contre l’ennemi
commun
qui voulait tout envahir. Mais il reste encore à
essés, ils le sont encore dans le choix d’un ami. Leur défaut le plus
commun
, c’est de passer les bornes ; ils violent à chaqu
aire nous-mêmes ; et pourquoi ? pour payer enfin à la nature la dette
commune
et inévitable ; suivre ceux-ci, précéder ceux-là
ue des enfants également chers à Dieu, et dans le ciel, que la patrie
commune
de tous les hommes. Et tandis que l’enthousiasme
e ses exemples. La Providence l’a attaché, ce semble, à une vie assez
commune
, afin qu’elle nous devint imitable. Il a borné to
a loi naturelle ? 41. Combien y a-t-il de genres d’autorités humaines
communes
à tous les genres ? 42. Quel usage fait-on des ma
eut-il être vicieux ? 168. Expliquez les défauts de l’exorde les plus
communs
? 169. Les défauts de l’exorde ne sont-ils pas fr
de là que vient la doctrine de leurs topiques ou lieux communs [loci
communes
, sedes argumentorum], qui tiennent une si grande
n les divisait en intrinsèques et extrinsèques ; quelques-uns étaient
communs
à tous les genres de discours, d’autres étaient p
cours, d’autres étaient particuliers à tel ou tel genre. Les topiques
communs
ou généraux étaient pris dans la différence entre
ion vive et durable. Car c’est un principe naturel, c’est un principe
commun
à toutes les conclusions, qu’elles doivent renfer
nez-les pour modèles. La plupart de ces gestes et de ces regards sont
communs
à tous les hommes ; mais quelques-uns ont dans ch
dividus de tous rangs et de toutes professions, qui n’ont ensemble de
commun
qu’une ridicule manie de parler devant beaucoup d
e sont, comme je l’ai déjà démontré, les affections et les sentiments
communs
à tous les hommes. Ces sentiments ont été suffisa
ndirect ; il faut que, liées ensemble, elles se rattachent à une base
commune
, et produisent sur l’esprit du lecteur l’impressi
andes opérations du gouvernement. Dans d’autres États, le pouvoir des
communes
exerça pendant un certain temps une influence con
il a décrit, toutes les grandes opérations des peuples avaient un but
commun
, et pouvaient être considérées comme les parties
que l’histoire, mais il n’est peut-être pas moins instructif pour le
commun
des lecteurs, parce qu’il leur fait voir, en quel
ouissances très vives. Ainsi, la musique et la poésie ont une origine
commune
; les mêmes circonstances les firent naître, le c
des directions diverses au génie et aux mœurs descendus d’une source
commune
. Cependant la différence des climats et de la man
en forme sont vagues et obscures, ses expressions sont nécessairement
communes
et faibles. Ce sont des mots qu’il nous donne, bi
onstances. Premièrement, elles ne doivent pas être si vulgaires ou si
communes
qu’elles méritent à peine l’attention ; il faut q
Il substituait ainsi, par le manque de goût le plus étrange, l’image
commune
et triviale d’une rivière sablonneuse à l’image p
ière bien plus minutieuse, les détails de ce que nous appelons la vie
commune
; mais il se montre, à cet égard, bien inférieur
la poésie, mais il montre généralement une ardeur et une énergie peu
communes
. Je rapporterai les expressions élégantes de l’év
re d’États indépendants, obligés souvent de se réunir contre l’ennemi
commun
. Dans cette situation politique, l’instruction la
incidents Se rapportent à un personnage principal, comme à un centre
commun
. Nous nous intéressons plus vivement à l’entrepri
jeta le plan de son poème ; et, bien qu’il ne vécût, selon l’opinion
commune
, que deux ou trois siècles seulement après cette
se reproduisent trop souvent, et sont trop remplis des lieux les plus
communs
de la morale. Ces défauts étaient peut-être néces
s et les passions des hommes, son poème eût été un peu mieux goûté du
commun
des lecteurs. Le sujet qu’il a préféré convenait
livre des Tropes, que les figures de rhétorique ne sont nulle part si
communes
que dans les querelles des halles. Essayons de le
t dans la fureur de Cromwell, et, par une fatalité qui n’est que trop
commune
, ce zélé républicain fut le serviteur d’un tyran.
s, un nommé Mazen ou Mazenius, et beaucoup d’autres, tous inconnus au
commun
des lecteurs ; il a pu prendre dans le Tasse la d
riste situation de personnages qui ne sont point au-dessus de l’ordre
commun
, leur entretien ne peut être que sérieux dans tou
en vers sur le geste et la voix de l’orateur : Loquere ; hoc vitium
commune
, loquatur Ut nemo, ac tensa declamitet omnia voce
in tabernaculis aut suum fatum querebantur, aut cum familiaribus suis
commune
periculum miserabantur. Vulgo totis castris testa
ontel, dans sa Poétique française, fait remarquer que cette coupe est
commune
aux Italiens et aux Anglais, et soutient que les
persuadé que la douleur du coup qui nous frappe aujourd’hui nous est
commune
, et que vous partagez sans réserve les sentiments
r le fer de leur cruauté innée, de leur perfidie habituelle, un péril
commun
nous menace tous, moi, mes chevaliers et vous-mêm
, prêt à affronter avec vous les hasards des batailles, pour le salut
commun
. Ayez confiance en moi, et surtout songez que Die
rojet d’apporter dans le sein de ta patrie des malheurs qui te seront
communs
avec ceux dont la tête est menacée. Où vas-tu por
regrets qu’ils nous inspirent. La gloire acquise ne leur est-elle pas
commune
avec nous ? Ne doivent-ils pas la partager comme
comblerait d’éloges ceux qui ont sacrifié leur existence à la liberté
commune
, et pourtant on n’aurait pas honte de préférer le
rahi vos alliés, et quand vous pouvez anéantir à tout jamais l’ennemi
commun
, vous lui rendrez toutes ses forces, en lui resti
sont pour vous et les récompenses pour les autres. Mais tout nous est
commun
: je partage vos périls et vos peines ; le prix e
présentes. Si nous réussissons, les avantages nous appartiendront en
commun
. Ce ne sont pas des espérances frivoles et légère
ne cherche pas à vous flatter ; en agissant autrement, notre liberté
commune
ne serait peut-être pas sauvegardée dans l’avenir
t du barreau ont, comme le duel, leurs moments de crise où les règles
communes
de l’attaque et de la défense deviennent inutiles
enfermés dans un défilé. Un tribun militaire se dévoue pour le salut
commun
. Pour donner à l’armée le temps de se dégager, il
ne étoffe légère dessine les formes du corps. Les idées sont un fonds
commun
que chacun peut s’approprier par l’usage qu’il en
palette des aspects différents. De même les arguments sont la matière
commune
de l’éloquence : mais chaque orateur en varie l’o
que les boulets pleuvent fait une métaphore ; un maire qui dit que sa
commune
compte soixante feux fait une synecdoche. Quand u
usin, et se fit remarquer en diverses actions par une intrépidité peu
commune
. Louis XIV, témoin de son courage au siège de Mae
range problème : Qui de nous en tout temps est fidèle à soi-même ? Le
commun
caractère est de n’en point avoir : Le matin incr
ntendre dans un autre ; là, un rapprochement délicat entre deux idées
communes
; c’est une métaphore singulière ; c’est une rech
ceux qui restent ; ils n’ont plus rien à pleurer. Ces réflexions sont
communes
: qu’importe ? en sont-elles moins naturelles ? E
ci quels sont les écueils à éviter : 1° Rejetez les locutions basses,
communes
, triviales ; 2° Ne manquez jamais d’égards, de re
es, selon la diversité des sujets, et qu’elles n’aient jamais rien de
commun
ni de trivial. Il préfère surtout les expressions
es emploient pour étendre, orner, ennoblir une idée simple et souvent
commune
. C’est ainsi que Boileau s’est servi d’un tour tr
e plus que les sons essentiels, on l’appelle suffisante, régulière ou
commune
; elle est riche ou heureuse lorsqu’elle offre un
on roi, N’ont pu le garantir, au milieu de son âge, De la
commune
loi. Pour vous l’amante de Céphale Enrichit Flo
s 16 Mots 3 Mots dans lesquels la lettre k est aspirée 69 Nom 5 —
commun
5 — propre 5 — formation du pluriel 5 Nombre 5
icle. 15. — L’Article est un petit mot que l’on met devant les noms
communs
, et qui en fait connaître le genre et le nombre.
gner à la campagne les débauches, les vices, et tous ces désordres si
communs
dans nos villes. Il semble que le séjour des cham
comme lui sur de bonnes raisons, J’entre, autant que je peux, dans le
commun
système, En remuant et tournant mes tison
e, et généralement dans tous ceux, où l’on parle de choses simples et
communes
. On compte parmi les figures qui lui sont propres
els, étant le livre même, se succèdent sans interruption et sans lien
commun
, je n’en suis guère plus partisan que d’un salon
nversation ordinaire, qu’il évite toute forme antipathique au langage
commun
, toute emphase, toute fleur de diction, principal
re la figure qu’on a souvent appelée antonomase, qui substitue un nom
commun
à un nom propre, et réciproquement, ou encore un
commun à un nom propre, et réciproquement, ou encore un nom propre ou
commun
à un autre qui présenterait la même idée, mais d’
mêmes. Ils semblaient oublier que la justice et la vérité sont la loi
commune
de tout écrivain, et que celui qui parle sur les
s, quel vif et piquant dialogue marquaient votre part dans ce travail
commun
! C’est par là, Monsieur, que vos pièces, transpl
t qui les fixe sous la forme la plus parfaite, les retranche du fonds
commun
; ils n’appartiennent plus qu’à l’artiste dont le
énie est le partage d’un bien petit nombre ; le talent même n’est pas
commun
. N’arrive pas qui le veut à un savoir profond ; m
pression de l’article. On supprime encore l’article avant les noms
communs
, pris dans une partie indéterminée de leur signif
e principalement l’article, pour déterminer la signification des noms
communs
, soit, comme je l’ai dit ailleurs, qu’on veuille
mien, le tien, le sien, etc., ne peuvent point se rapporter à un nom
commun
, qui n’est point précédé de l’article, ou d’un mo
evant, dans, au travers, près, vis-à-vis, et hors. L’usage le plus
commun
aujourd’hui, est de supprimer le que après la pré
ieurs choses liées ensemble, auxquelles on veut rendre la négociation
commune
, les bons grammairiens exigent qu’en supprimant p
re à la langue française. Cette construction est contraire aux règles
communes
de la grammaire : mais elle est autorisée par l’u
style qui en fait toute la différence : il relève les choses les plus
communes
, fait ressortir les plus singulières, donne de la
. » Également enchanté et de l’esprit laconique et de la modestie peu
commune
du jeune Alamir, le président l’embrassa avec cor
e et Corneille ont heureusement placé dans leurs vers les expressions
communes
chiens, boucs, pavé, etc. Ex. : Joad à Abner. Je
n parle en termes trop recherchés, trop étudiés des choses simples et
communes
. C’est un défaut qui se fait remarquer dans les é
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