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1 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
s, Du moins à votre roi n’imputez point vos larmes ; S’il cherche les combats , c’est pour donner la paix : Peuples, sa main sur
ir vos maux, il vous plaint, il vous aime, Et dans ce jour affreux il combat pour vous-même. Les moments lui sont chers, il co
coutelas3 Déjà de tous côtés porte un double trépas… On se mêle, on combat  ; l’adresse, le courage, Le tumulte, les cris, la
Phrygie, De la terre et des cieux les moteurs éternels Mêlés dans les combats sous l’habit des mortels ; Ou tel que du vrai Die
nt du prince de Condé : Il monte un cheval superbe, Qui, furieux aux combats , A peine fait courber l’herbe Sous la trace de se
nsi Racine dans Athalie, IV, 3 : Marchons en invoquant l’arbitre des combats . 2. « Voltaire a pris, dit La Harpe, le ton d’
mes : ce qui ne l’empêchait nullement d’être un héros. Il eut dans ce combat en particulier, deux chevaux tués sous lui. 2.
2 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VI. Des éloges funèbres. »
rant l’ancienne loi sur la sépulture des citoyens moissonnés dans les combats , crut devoir y ajouter celle qui ordonne de prono
nges de notre république, c’est que je voulais faire concevoir que le combat n’est pas égal entre nous et des hommes à qui la
fiés avec la victoire, et leur âme, exempte de crainte, est sortie du combat avec toute sa gloire, sans avoir même senti pench
z jamais des périls glorieux. Eh ! qui doit prodiguer sa vie dans les combats  ? Sera-ce l’infortuné qui n’a point d’avantage à
3 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
otre ennemi l’a ambitionné en vain au milieu de tant de guerres et de combats  ? Eh quoi ? N’était-ce pas un assez grand déshonn
ôt que je n’ai rien négligé pour assurer la victoire. Marchez donc au combat , en ayant souvenir de votre patrie : portez les a
ine de la victoire que je vois éclater sur vos visages, portez-les au combat , confiants dans votre courage, dans votre bonheur
guerres que j’ai entreprises, qui avez bravé avec moi les périls des combats , et qui remportez des victoires depuis dix années
ée par l’immense multitude des soldats : c’est la valeur qui dans les combats a le plus d’influence. « Quant à moi, je suis prê
ui osent affronter les glaives de César vainqueur dans de si nombreux combats  ? Cette vile multitude abandonnera son général qu
e sur la rive opposée. Le roi prend aussitôt ses dispositions pour le combat . Alors Parménion s’avance et s’exprime ainsi : «
se soumettent pas à de pénibles exercices, pour s’occuper toujours de combats , mais ils espèrent que, devenus habiles guerriers
coutumes que vous avez adoptées. Ainsi vous serez toujours prêts aux combats et invincibles. « Si vous cultivez la vertu, les
rmi vous regrettent des frères, des parents, des amis perdus dans les combats  ! » À ces paroles, beaucoup des assistants répon
sains, que de braves guerriers aient succombé volontairement dans les combats pour vous défendre, et que vous ne tiriez aucune
vous ! Qui les a forcés, ces ennemis cruels, à tenter les chances des combats , pour venir apporter ici la ruine et la désolatio
ées de Troie. Ni les dieux du ciel, ni les traités qui suspendent les combats , ni les sommets des Alpes, ni la roche Tarpéienne
assin, un parricide ! Soyons amis, à dater de ce jour : commençons un combat qui par son issue montre qui de nous deux aura re
ups de l’adversité. Grâce à cette modération, nous sommes propres aux combats et aux mesures prudentes ; nous ne critiquons pas
ur existence avec les corps de ceux que leur âge rendait impropres au combat , mais ils ne capitulèrent pas devant l’ennemi. Si
aurons-nous besoin de tirer nos glaives du fourreau. Marchez donc au combat , pleins de confiance ; préparez vos arcs et vos f
te de leur maître absolu, ou redoutant les coups de fouet, marcher au combat , quoique inférieurs en nombre : mais indépendants
toujours la même chose : elle leur défend formellement de s’enfuir du combat , quelle que soit la multitude des ennemis ; elle
ait pu les venger et défendre nos murs, tu viens de l’immoler dans un combat où il signalait sa valeur pour protéger sa patrie
sclaves ne sont-ils pas des hommes libres, faits prisonniers dans les combats  ? Ils ont porté les armes contre nous ! Les Sabin
es Troyennes, si comme un lâche je me tenais à l’écart pour éviter le combat  ? Et d’ailleurs, mon cœur se révolte à cette idée
ses fruits en abondance ? cultive-la. Si tu recherches la gloire des combats , si tu veux rendre tes amis à la liberté, asservi
onduiras ton armée en Grèce à travers l’Europe : mais les chances des combats peuvent nous être défavorables : car nous aurons
léments à la fois : on peut du moins craindre que, vainqueurs dans un combat naval, ils ne viennent avec leur flotte briser le
s de César, si l’on considère la grandeur des intérêts, le nombre des combats , la variété des pays, la rapidité de l’exécution.
ne, soit que l’on examine l’importance des intérêts, ou le nombre des combats , ou la variété des pays, ou la rapidité de l’exéc
4 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
arbre qui conduirait à un hangar. Les gladiateurs préludaient à leurs combats par des assauts plus gracieux que meurtriers. L’o
ourne à la gloire de son personnage. Que Condé s’endorme la veille du combat , c’est pour l’historien un incident naturel qui p
ons derrière les rangs, dans l’infanterie espagnole. Quand viendra le combat , c’est-à-dire l’argumentation, c’est alors qu’il
rès, c’est un bouclier avec un bras tenant une lance : cela veut dire combat , bataille. Donc la réunion de ces deux caractères
ractères forme cette devise que je trouve assez belle : La vie est un combat . » Un logicien aura besoin de toute une série de
s rapports qui peuvent exister entre ces deux termes éloignés, vie et combat . Il montrera la faiblesse de l’homme qui aspire a
essus des événements. Enfin il conclura que la vie est semblable à un combat . L’orateur, dont l’imagination est plus vive, imi
es rapports, et, rapprochant les deux termes, il dira : La vie est un combat . Il n’y a que les âmes passionnées pour franchir
i assis aux portes de la ville. Elle personnifie les abstractions. Un combat devient un juge qui tient dans ses mains le sort
frayeurs, cessez lâches tendresses ; amour, sers mon devoir et ne le combats plus. Dans l’argumentation philosophique, les pre
e rappelle non l’attitude du comédien, mais celle du guerrier dans le combat et de l’athlète dans la palestre ; que la main n’
sition de l’auditoire, les bornes étroites de l’enceinte réservée aux combats oratoires. Une action trop fougueuse, dans de tel
5 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
rir avec vous. Gardez bien vos rangs, je vous prie : si la chaleur du combat vous les fait quitter, pensez aussitôt au ralliem
un de leurs chefs ; Dieu est vivant et vous regarde. Il les ramène au combat  ; et ces mêmes hommes qui fuyaient éperdus, rempo
« Nous ferons quelques marches fatigantes ; nous livrerons plusieurs combats  ; nous réussirons dans toutes nos entreprises ; l
6 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
eu d’un diamant, le feu des yeux, un rayon d’espérance, la chaleur du combat , le torrent bondit, une colonne de feu, le lever
s rapports. Un de nos écrivains modernes, Capefigue, dans le récit du combat à la lance de Guillaume des Barres, contre Richar
lès dit, en parlant de la jeunesse athénienne qui avait péri dans les combats  : L’année a été dépouillée de son printemps. Mé
u’il porte ses coups : il préfère à un triomphe facile l’honneur d’un combat dangereux. Deux fois il ose l’aborder, deux fois
deuil. Il avait dix-huit ans, et s’était déjà signalé dans plusieurs combats . À la bataille ou Chéronée, il avait enfoncé et m
’Iphigénie, Agamemnon ne peut se résoudre à immoler sa fille ; Ulysse combat sa tendresse paternelle en employant ce moyen ora
ictoires ? Mais j’ai, dit-on, perdu beaucoup de monde dans le dernier combat . Peut-on donc livrer des batailles contre une nat
es que celles que vous m’aviez confiées, je n’ai pas laissé, après un combat opiniâtre, de les enfoncer ; j’ai mis en déroute
t à leur secours ; enfin, s’il a fallu recommencer tout de nouveau le combat  ; et si, dans cette dernière action, j’ai perdu q
s de votre territoire, que je leur ai tué beaucoup de monde dans deux combats , que j’ai forcé les débris de leurs armées de s’e
age, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans. Frappez, ne craignez rien,
7 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
auriers, victoire sur victoire. Le prince à mes côtés ferait dans les combats L’essai de son courage à l’ombre de mon bras : Il
cherche point à faire un coup d’essai fatal ; Dispense ma valeur d’un combat inégal ; Trop peu d’honneur pour moi suivrait cet
emander au roi d’Espagne le châtiment de Rodrigue, qui a tué Gomès en combat singulier. Rodrigue est défendu par son père.
p vécu, Recevoir un affront, et demeurer vaincu. Ce que n’a pu jamais combat , siége, embuscade, Ce que n’a pu jamais Aragon, n
e. Que lui va-t-il conter ?Et durant ces quatre ans Il ne s’est fait combats , ni siéges importants, Nos armes n’ont jamais rem
généreux Dès ce premier moment oublia tout pour eux. Vaincre dans les combats , commander dans l’armée, De mille exploits fameux
vit pour la première fois, représenté avec dignité et avec charme, le combat des passions entre elles et du devoir contre les
8 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
ogement des abeilles ; de leur nourriture, de leurs essaims, de leurs combats  ; des différentes abeilles et de leur espèce do p
climat ; et celle de la vie heureuse des laboureurs, à l’occasion des combats nés au milieu des festins et de la débauche : dan
à bondir, à cadencer leurs pas, Et gouverna leur fougue au milieu des combats . Mais soit qu’il traîne un char, soit qu’il porte
n est pas de même dans ls. Le héros de la pièce revenant vainqueur du combat contre les trois Curiaces, est sorti d’un péril g
inonder de sang, à renverser le bûcher, à massacrer le prêtre même, à combat I re avec ses Thessaliens contre toute l’armée, s
âtre, parce qu’il n’est pas dans la nature. Le monologue doit être un combat du cœur. Le personnage y paroît irrésolu, et déli
n ne touche guère davantage, parce que d’ailleurs elle n’excite aucun combat dans l’âme de celui qui la fait. Les actions de c
ment à la tragédie. Une action de cette espèce nous offre en effet un combat des plus vifs, entre la nature et la passion, ou
sont toujours opposés aux emportemens ou à la sévérité de l’autre. Ce combat , ces oppositions agitent l’âme avec violence, la
igue, ne peut pas achever, parce que la victoire de son amant dans le combat qu’elle a obtenu de la justice du roi, lui impose
faire ? Puis-je leur prononcer cet ordre sanguinaire ? Cruel, à quel combat faut-il te préparer ? Quel est cet ennemi que tu
n le félicitant de ce que Rome l’a nommé avec ses deux frères pour le combat , ne peut s’empêcher de lui témoigner ses craintes
, Pouvaient bien mieux que nous soutenir sa querelle. Mais quoique ce combat me promette un cercueil, La gloire de ce choix m’
ateur Spartacus(a), un esclave, un vil gladiateur : S’ils suivent aux combats des brigands qui les vengent, De quelle noble ard
iace vient d’apprendre qu’il a été nommé avec ses deux frères pour le combat , et maudit ce fatal honneur, qui l’oblige de s’ar
lle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu’on aime, S’attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti, qui
gue, il faut se rappeler qu’il doit toujours être dans la tragédie un combat de cœur. On veut absolument que le spectateur s’i
age, ses vertus, ses malheurs, ses foiblesses fassent dans son âme un combat noble, attachant et animé : sans ces conditions,
lancé contre Hector, qui n’en a pas été atteint, et lorsque, dans le combat de la course des chars, Apollon ayant fait tomber
her la victoire qu’ils remportoient sur les infidèles ; dans un autre combat l’archange Michel, armé de sa lance redoutable, f
uche, La sombre politique, au cœur faux, à l’œil louche, Le démon des combats respirant les fureurs, Dieux enivrés de sang, Die
ts de Paris ils fondent, ils s’arrêtent ; En faveur de d’Aumale(a) au combat ils s’apprêtent, Voilà qu’au même instant du haut
ans Milton que le Péché, qui n’est pas un être moral, se préparant au combat contre Satan, qui est un être physique et réel, f
avageoit cette contrée. La description brillante et pittoresque de ce combat ne tient donc au poëme que par occasion. Ce n’est
changer à ses gardes d’habillement et d’armure ; et, dans ce dernier combat , qui, décidant de l’empire d’Asie, termine entièr
tre, dans les revers qu’il essuie, dans ses malheurs, ses périls, ses combats  ; et notre admiration est portée à son comble, à
opre à intéresser. Virgile exposant son sujet, dit : « Je chante les combats et ce héros troyen, qui, forcé par les destins de
feu, quelle énergie, quels traits pittoresques animent ce récit d’un combat du ceste, dans le même poëte. « A ces mots, Ente
aux bras des deux combattans. Aussitôt l’un et l’autre s’apprêtent au combat , se dressent sur leurs pieds, et d’un air intrépi
. Entelle, sans être déconcerté ni affoibli par sa chûte, retourne au combat avec plus d’ardeur. La colère, la honte, le coura
genre, et qu’on ne lira pas avec moins de plaisir. C’est le récit du combat de Tancrède et d’Argant, dans la Jérusalem délivr
nous attira vers le palais de Priam (a). Nous vimes en cet endroit un combat si furieux, qu’il sembloit que toute l’armée des
les portes, et y colloient tendrement leur bouche. Pyrrhus, dans les combats aussi ardent que son père, donne le dernier assau
, Ce que le fer atteint, tombe réduit en poudre, Et chacun des partis combat avec la foudre. Jadis avec moins d’art, au milieu
s partis combat avec la foudre. Jadis avec moins d’art, au milieu des combats , Les malheureux mortels avançoient leur trépas ;
vemens, à leurs marches, à leurs différentes évolutions, que c’est un combat réel. Tantôt ils fuient, tantôt ils font volte-fa
s leurs circuits et dans leurs détours, dans leur fuite et dans leurs combats  ; semblables aux dauphins attroupés, qui fendent
sujets, Il a de vos grands noms illustré la mémoire ; Et l’honneur du combat suffit à votre gloire. N’est-il donc plus d’espoi
ous prendre ce honteux parti ? Heureux ceux qui auroient péri dans le combat , pour n’être pas les témoins d’une ss indigne lâc
, si je suis le seul obstacle à la paix ; si les Troyens demandent un combat singulier entre leur roi et moi, et si ce parti v
victoire, pour abandonner de si grandes espérances par le refus d’un combat . Je marcherai contre ce rival, fût-il un autre Ac
rd’hui pour vous et pour le roi son beau-père. Enée m’appelle seul au combat  ; c’est ce que j’ambitionne ». Des portraits
os va naître en ces climats. Je vois tous les Bourbons voler dans les combats  : A travers mille feux je vois, Condé(a) paroître
ville, les ennemis s’opposent à sa descente. Il se livre un sanglant combat , dans lequel Pallas, fils du roi Evandre, est tué
tale de son royaume. Mézence, qui prend la place de ce prince dans le combat , est tué, avec son fils Lausus, par le héros troy
scade dans les montagnes où est Enée. D’un autre côté, il se livre un combat de cavalerie, dans lequel les Latins défaits, son
. Enée le suit et l’atteint. Mais la nuit les sépare. XII. Livre. Un combat singulier entre Enée et Turnus doit terminer cett
. Enée blessé d’une flèche lancée par une main inconnue, se retire du combat . Vénus le guérit aussi-tôt ; et il reparoît sur l
ntrer à l’entrée du repaire de ce monstre, et excite alors un violent combat entre les Chanoines et les Chantres. La Nuit, la
9 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
4 — … DÉCOMPOSITIONS. → Le Modèle, tome 1er, page258. N° 136. — Le Combat du Taureau Le signal se donne, la barrière s’
s, secondés par les habitants d’Orléans qui tirent sur la Bastille. —  Combat , Jeanne d’Arc s’écrie : Tout est vôtre, entrez. P
la victoire resta incertaine. —  La blessure d’Epaminondas arrêta le combat — Il vivait encore, au milieu du camp désespéré —
z des enfants. — Le général répond qu’il en laisse deux célèbres, les combats glorieux de Leuctres et de Mantinée. Ce furent ce
tres et de Mantinée. Ce furent ces dernières paroles. —  N° 145. —  Combat des Thermopyles Exposition. L’armée grecque f
e rallient, accablent de flèches les Grecs, Léonidas tombe ; après un combat terrible, ceux-ci, emportant le corps de leur gén
avoir fatigué longtemps son ennemi, le gladiateur se prépara enfin au combat —. Il attendit l’animal de pied ferme. Descriptio
enfin au combat —. Il attendit l’animal de pied ferme. Description du combat , dont voici les principales circonstances : le ti
… Je montai sur la muraille pour regarder avec le peuple cet affreux combat de deux frères l’un contre l’autre — … Nœud, En
re les deux armées ; arrêtez, s’écrie-t-il — … Les soldats cessent le combat — … Le prince leur dit alors, en leur apprenant l
et menaçante. — Où courez-vous ? — Retournez dans vos montagnes… Dieu combat avec les guerriers de la Castille… Par votre révo
r panique, ils s’enfuient éperdus dans leurs montagnes — N° 156. —  Combat nocturne de Clorinde et Tancrède Note. Les chr
sa réponse qu’il apporte la guerre et la mort, Clorinde s’apprête au combat . — Tancrède met pied à terre. —  Nœud. Combat ac
Clorinde s’apprête au combat. — Tancrède met pied à terre. —  Nœud. Combat acharné. — Tableau brillant. Choc des épées, agit
tour — ….. Tancrède répond que c’en est trop — … (Court dialogue.) Le combat recommence — … mais les forces sont épuisées, c’e
ombat recommence — … mais les forces sont épuisées, c’est la rage qui combat — … Enfin Clorinde reçoit dans la poitrine un cou
s ennemis jusque sur leurs vaisseaux, inutile triomphe ! N° 190. —  Combat singulier de Turenne et de d’Aumale Turenne, d
ti d’Henri IV, et d’Aumale du parti de la ligue, se sont provoqués en combat singulier. Ils vont se battre à l’épée, sans bouc
lier. Ils vont se battre à l’épée, sans bouclier. La trompette sonne. Combat , d’Aumale est plus fort, Turenne est plus adroit.
mortel. Avis. Vous aurez à imaginer dans le nœud tous les détails du combat . N° 191. — Le peintre Robert aux catacombes
iries étaient peintes sur les boucliers. Les champions s’apprêtent au combat et le silence devient si complet que l’on n’enten
liers présents, s’oppose à ce qu’on admette un inconnu à l’honneur du combat — … Eh bien ! dit le chevalier blessé, je suis Wi
ncu au tournoi d’Acre et à la passe d’armes d’Ashby, si tu refuses le combat , je t’appellerai lâche à la face de l’univers — …
signal, le grand-maître jette dans l’arène le gant de Rébecca, et le combat commence — … Au premier coup de lance, Ivanhoé to
re de chevalier allant à la taille de Mathilde — … Arrivée au lieu du combat , elle voulut combattre à pied — … Elle était calm
nt — … La première pria — … Le second fit semblant — … Description du combat , tel qu’on peut l’imaginer entre une jeune fille
e, la France, la Prusse, la Bavière et la Hongrie. La Hongrie surtout combat avec fureur, car elle veut recouvrer son indépend
s Valtelins et les Grisons, qui attendent, pour l’achever, le sort du combat . La retraite est impossible au milieu de ces préc
t-ce là mon crime ? Mais j’ai perdu beaucoup de monde dans le dernier combat  ?… Eh ! Peut-on vaincre sans pertes ; surtout qua
Un vieillard, père de deux fils qui ont perdu la vie dans le dernier combat , prend la défense des prisonniers, et surtout de
s’avance pour recevoir leur parole, l’alarme se met parmi eux, et le combat recommence. Les Français sont furieux, et couvren
10 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
cle, tué par Hector, lui fit reprendre les armes. Il terrassa dans un combat singulier le prince troyen, qu’il traîna trois fo
sa le jeune Octave, fils adoptif et héritier de César. Après quelques combats , ces deux ennemis se réconcilièrent, et formèrent
dieu Mars, selon la fable, et déesse, comme lui, de la guerre et des combats . On la représente armée d’un casque et d’une cuir
e), y rassembla quelques légions mal armées, et tenta la fortune d’un combat , où, après avoir fait des prodiges de valeur, il
avait fait celle de bien d’autres pays. Crassus avait été tué dans un combat contre les Parthes ; et Pompée, jaloux des belles
nesse. Vainqueur à Rocroi, à 22 ans, il le fut à Fribourg, dans trois combats de suite, à 23 ; à Nortlingue, à 24, et à Lens, à
la fable, de Jupiter et de Junon, Dieu de la guerre, et l’arbitre des combats . Les anciens le représentaient avec un visage irr
ne patience admirable dans les revers, d’un courage héroïque dans les combats , et le plus éloquent, le plus sage, le plus ruse
11 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
t la bataille de Senef. — 2° Sa présence d’esprit dans l’action. — Le combat du faubourg Saint-Antoine ; la bataille de Lens.
ais la victoire va devenir plus terrible pour le duc d’Enghien que le combat . Pendant qu’avec un air assuré il s’avance pour r
on La Réfutation est la partie du discours dans laquelle l’orateur combat et détruit les objections qui pourraient lui être
rédicateur : l’avocat parle à un adversaire qui lui réplique et qu’il combat  ; mais le prédicateur parle à des auditeurs silen
12 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
ront, elles pousseront aussi-tôt le cri de guerre et vous suivront au combat . Tous les y pousse en effet : leurs instincts bel
aves, pardonnent quelquefois à l’ennemi terrassé, et, dans la rage du combat , détournent leur lance de la poitrine d’un hôte.
un mauvais soldat, sans force et sans cœur : tu ne comptes ni dans le combat , ni dans le conseil. — Crois-tu que nous allons t
fallait être riche et généreux ; il fallait s’être distingué dans les combats et dans les jeux Olympiques ; il fallait enfin ég
core, l’éternuement d’un soldat, le vol d’une chouette au moment d’un combat , tous ces incidents que la superstition commente
itter sa belle Athènes pour les fatigues de la mer et les hasards des combats . Ils n’étaient plus ces hardis marins, maîtres de
les plus perçants de son éloquence. Dès son entrée en politique il la combat , mais avec quelle réserve d’abord, avec quels dét
s auditoires. Démosthène n’a pas de ces inconséquences. Dans le grand combat qu’il soutint pour la liberté de son pays contre
t de liberté aux prises avec l’esprit de conquête et d’oppression. Le combat n’a plus pour théâtre un petit coin de l’Europe,
13 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
us, et non tiré du dehors, comme si Jupiter faisait finir lui-même le combat . Il doit donc être naturel, c’est-à-dire paraître
chants suivants les brillantes actions d’Achille, couronnées par son combat contre Hector et la mort de celui-ci126. Or, comm
uche, La sombre Politique, au cœur faux, à l’œil louche, Le Démon des combats respirant la fureur, Dieux enivrés de sang, dieux
parts de Paris ils fondent, ils s’arrêtent ; En faveur de d’Aumale au combat ils s’apprêtent, etc. Ici, le Fanatisme, la Disc
e poudreuse. Son front cicatrisé rend son air furieux, Et l’ardeur du combat étincelle en ses yeux140, etc. § 66. Diverses
poèmes qui se rapportent à cette grande expédition : l’Iliade, ou les combats devant Ilion, et l’Odyssée, ou le retour d’Ulysse
14 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
me sujet a produits. Que l’on compare les assauts, les batailles, les combats singuliers, décrits par les plus grands poètes an
ties du tableau : cette mobilité est celle que l’on remarque dans les combats , les incendies, les naufrages, etc. Les divers ch
composition descriptive isolée et complète, comme la description d’un combat , d’un naufrage, d’une fête, d’une saison, d’un li
t de décrire un événement, un fait particulier, comme un incendie, un combat , une tempête, etc., et de l’exposer d’une manière
… (Télémaque). Le récit de la prise de Jérusalem, par Voltaire, et le combat du Taureau, par Florian, peuvent aussi être cités
Plaideurs, à l’occasion d’un chapon dévoré par un chien. Le début du combat des Thermopyles, par Barthélemy, est un bon modèl
iterons le passage de la mer Rouge, au chapitre xive de l’Exode ; le combat des Horaces et des Curiaces, par Tite-Live ; la m
ssuet ; la mort de Turenne et celle de Vatel, par Mme de Sévigné ; le combat de Thermopyles, et la peste d’Athènes, par Barthé
, au IIe livre de l’Énéide ; la mort de Polyphonte, par Voltaire ; le combat entre Mérovée et un guerrier gaulois, par Chateau
atoire, la bataille de Rocroi ; la mort de Turenne, par Fléchier ; le combat naval de Duguay-Trouin, par Thomas ; le massacre
briand a transgressé les règles des épisodes, en arrêtant le récit du combat entre les Romains et les Francs par de trop longs
15 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
r. Un gentilhomme de mes amis, qui à l’âge de vingt ans, a fait vingt combats aussi beaux que celui des Horaces et des Curiaces
qu’il faut assujétir à l’obéissance ; de lâches, qu’il faut mener au combat  ; de téméraires, qu’il faut retenir ; d’impatient
petite colère, Quelquefois même ils se livrent entre eux de très-vifs combats . L’impatience paraît être leur âme : s’ils s’appr
, Comme si nous voulions nous exterminer tous, Nous avons inventé les combats , les supplices. C’était peu de nos maux, nous y j
Se disputaient longtemps les restes de la terre ; Mais pendant leurs combats , les flots non ralentis Effaçaient à leurs yeux c
Le volcan s’éteignît, et le feu périssant Voulut en vain y rendre un combat impuissant : A l’élément vainqueur il céda le cra
serviles Ta sueur enrichit l’oisiveté des villes ; Et, quand Mars des combats fit retentir le cri, Tu défendis l’état après l’a
les de Décompositions de Tableaux ou Descriptions. N° 136. — Le combat du taureau. Ce qui frappe d’abord le lecteur d
d’abord le lecteur dans ce morceau, c’est la vie et le mouvement. Le combat du taureau dure longtemps et nous le voyons racon
du taureau ; mais admirons comment le tableau devient vivant quand le combat commence. Le style s’est relevé impétueusement da
euve et repose un moment l’esprit après le tableau du commencement du combat . Celle de la mer qui se referme après le passage
r le champ de bataille où les deux infanteries étaient aux prises. Le combat était là plus vif et plus meurtrier que par- tout
celle, ainsi qu’elle l’avait prédit le matin, avant de partir pour le combat , ramena ses troupes dans Orléans par ce même pont
victoire de Leuctres et celle de Mantinée. Bartélémy. N° 145. —  Combat des Thermopyles. Pendant la nuit, Léonidas av
mbe sous une grêle de traits. L’honneur d’enlever son corps engage un combat terrible entre ses compagnons et les troupes les
uoi on la délia. Elle fut ramenée en prison et réservée pour un autre combat . C’était là qu’elle devait remporter une victoire
érita de s’élever à une gloire immortelle. Enfin, au dernier jour des combats de gladiateurs on amena dans l’amphithéâtre Bland
encouragements que la foule semblait lui donner que des lenteurs d’un combat qui avait semblé d’abord inégal, le gladiateur l’
muraille, D’où le peuple étonné regardait, comme moi, L’approche d’un combat qui le glaçait d’effroi. À cet instant fatal le d
ontagnes et gardez-vous d’attaquer les guerriers de la Castille. Dieu combat avec les chrétiens, et il a établi leur dominatio
vorant » Ercilla, traduction de Gilibert de Merlhiae. N° 156. —  Combat nocturne de Tancrède et Clorinde. Clorinde se
tent également ma vengeance. » A l’instant la colère se rallume et le combat se ranime : quel combat ! leurs forces sont étein
nce. » A l’instant la colère se rallume et le combat se ranime : quel combat  ! leurs forces sont éteintes : ils ne connaissent
j’ai été père ?… je ne le suis plus. J’ai vu mon fils tomber dans le combat  ; il était à mon côté, je l’ai vu mourir en homme
se se mêlaient au bruit des clairons. Enfin, après de longs et cruels combats , avait fini cette époque funeste où le trône étai
moi la pensée, s’écrie l’humble chevalier. de me servir pour aller au combat ou à la chasse d’un cheval qui a porté mon Créate
Xipharès. A son roi, Xipharès toujours resté fidèle, Et qu’au fort du combat une troupe rebelle. Par ordre de son frère, avait
en est temps encor, cours et sauve la reine. » Racine. N° 190. —  Combat singulier de Turenne et de d’Aumale. Paris, l
d’Aumale. Paris, le roi, l’armée, et l’enfer et les cieux Sur ce combat illustre avaient fixé les yeux. Bientôt les deux
ps impénétrable ; Ils négligent tous deux cet appareil qui rend Et le combat plus long et le danger moins grand. Leur arme est
Dieu ! cria Turenne, arbitre de mon roi, Descends, juge sa cause, et combats avec moi : Le courage n’est rien sans la main pro
« J’attends tout de mon bras ; C’est de nous que dépend le destin des combats  ; En vain l’homme timide implore un Dieu suprême 
la trompette sonne. Ils s’élancent tous deux Ils commencent enfin ce combat dangereux. Tout ce qu’ont pu jamais la valeur et
enté, Tout mon cœur s’indignait, jour et nuit agité ; Et du bruit des combats au milieu des prairies, Seule, j’entretenais mes
s, tremble d’être infidèle ! » Je cède enfin ; je pars, respirant les combats . Le frère de ma sœur accompagnait mes pas. J’avai
sta de son innocence, et déclara qu’il était prêt à la prouver par le combat , au péril de son corps. Les écuyers des combattan
ence rendue contre elle, et pour défier sir Brian de Bois-Guilbert au combat à outrance, comme traître, meurtrier et menteur,
lance ! Prépare-toi à la mort ! — Le grand-maître, n’octroie-t-il le combat  ? demanda Ivanhoé. — Je ne puis le refuser, répon
seulement que vous fussiez plus en état de combattre. — Je demande le combat à l’instant, répondit Ivanhoé. C’est le jugement
dans ses mains que sa quenouille ou son livre de prières, réclamât ce combat contre un homme fort et brave ? c’est pourtant ce
donna le sien, puis, on les mit tous deux en prison jusqu’au jour du combat  ! Quand ce jour fut venu, ce fut bien une affaire
oldat comme lui, mais Dieu, et qu’il savait bien qu’il mourrait en ce combat , parce qu’un ange le lui avait annoncé dans sa pr
s démons. A la prière des habitants, il vint exorciser a montagne, le combat fut terrible. Le moine prononça des paroles qui é
au secours d’Egyste, et le temple devient le théâtre du plus sanglant combat . Au milieu de la mêlée j’ai perdu de vue Egyste e
te de vos troupes aguerries, vous tenterez de nouveau les hasards des combats . Puisse la victoire vous rester toujours fidèle !
à vaincre vos ennemis. Réduit à vos propres forces, vous marcherez au combat avec ardeur, je le sais : votre grand cœur ne con
on Dieu est le Dieu de la victoire… Qu’il soit à vos côtés pendant le combat , et surtout qu’il vous accompagne au retour ! Guy
nge illusion ! Ces Romains, ces Gaulois surtout si terribles dans les combats , comprennent mieux la loi du christianisme. Devan
re tête. Et maintenant abandonné de ma légion, je vais entrer dans un combat où il ne manquera à la victoire, parée de toutes
taire où notre mort aspire ! Contre ce roi barbare, et qui compte aux combats Autant de nations que nos rangs de soldats, Que p
ictoires ? Mais j’ai, dit-on, perdu beaucoup de monde dans le dernier combat . Peut-on donc livrer des batailles contre une nat
s que celles que vous m’aviez confiées : je n’ai pas laissé, après un combat opiniâtre, de les enfoncer ; j’ai mis en déroute
t à leur secours ; enfin, s’il a fallu recommencer tout de nouveau le combat  ; et si, dans cette dernière, action, j’ai perdu
s de votre territoire, que je leur ai tué beaucoup de monde dans deux combats , que j’ai forcé les débris de leurs armées de s’e
nc que de parler à sa fille, il s’adresse à Dieu, et lui rappelle ses combats , ses douleurs, sa captivité, ses prières pour ses
ais la victoire va devenir plus terrible pour le duc d’Enghien que le combat . Pendant qu’avec un air assuré il s’avance pour r
de le rendre funeste à l’ennemi ; je m’imagine le voir au milieu des combats , le feu dans les yeux et la vengeance dans le cœu
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
errants, Qu’apportent près de lui d’invisibles courants2. II Le combat Ainsi, près d’Aboukir3, reposait ma frégate 
eux léopards, Seul, au milieu de tous, sa colère étincelle ;   Il les combat de toutes parts.   L’airain lui déclare la guer
d’une mort infaillible, Sans peur, sans désespoir, calmes dans leurs combats , De ces républicains l’âme n’est plus sensible   
17 (1839) Manuel pratique de rhétorique
s vôtres. » Prince invincible. Qui est sorti victorieux de tous les combats qu’il a livrés. Faible vieillard. La vieillesse
qu’il faut assujettir à l’obéissance ; de lâches qu’il faut mener au combat  ; de téméraires qu’il faut retenir ; d’impatients
ces rapides moments d’où dépendent les victoires, et dans l’ardeur du combat . Partout ailleurs il délibère ; docile, il prête
de la prise de Fribourg ; Merci qu’on ne vit jamais reculer dans les combats  ; Merci que le prince de Condé et le vigilant Tur
, « Quand j’osai contre lui disputer l’encensoir ; « Mes brigues, mes combats , mes pleurs, mon désespoir ? « Vaincu par lui, j’
nimal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats  : aussi intrépide que son maître, le cheval voit
re, Et que méconnaîtrait l’œil même de son père. Racine. Phèdre. Combat de Turenne et de d’Aumale. Paris, le roi, l’armé
e d’Aumale. Paris, le roi, l’armée, et l’enfer, et les cieux, Sur ce combat illustre avaient axe les yeux. Bientôt les deux g
ps impénétrables. Ils négligent tous deux cet appareil qui rend Et le combat plus long et le danger moins grand. Leur arme est
ieu ! cria Turenne, arbitre de mon roi, « Descends, juge sa cause, et combats avec moi ; « Le courage n’est rien sans ta main p
J’attends tout de mon bras ; « C’est de nous que dépend le destin des combats  ; « En vain l’homme timide invoque un Dieu suprêm
la trompette sonne. Ils s’élancent tous deux, Et commencent enfin ce combat dangereux. Tout ce qu’ont pu jamais la valeur et
ais la victoire va devenir plus terrible pour le duc d’Enghien que le combat . Pendant qu’avec un air assuré il s’avance pour r
e Turenne ? — Récitez le songe d’Athalie ? — La mort d’Hippolyte ? le combat de Turenne et de d’Aumale, dans la Henriade ? — L
es exemples : la lumière de l’esprit. — Achille, est un lion dans les combats . -=-S’ennuyer de plaisir. -La Géographie et la Ch
18 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. »
ls s’exposent à un supplice infâme pour un léger intérêt ; le jour du combat vient, et souvent le soldat qui s’était rangé nag
, qu’il faut assujétir à l’obéissance ; de lâches qu’il faut mener au combat  ; de téméraires, qu’il faut retenir ; d’impatient
19 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
rt d’Autriche, qui lui disputait la couronne. Adolphe est tué dans le combat . Imogène est avertie du fatal événement par le fi
es dieux et à la gloire des héros, et accompagnaient les guerriers au combat pour animer leur courage et célébrer leurs exploi
liberté expirante de la Gaule, se distingue un jeune barde. Avant le combat , sa harpe avait enflammé l’ardeur des guerriers ;
alestine, sauve un lion des étreintes d’un dragon furieux. Tableau du combat du lion et du dragon ; arrivée du chevalier, qui
qu’il y a de plus précieux dans son camp. Le lendemain, dans un grand combat , les assiégeants sont repoussés ; et Obed, le mei
dépit, donne le signal de l’attaque. Le poste est emporté. À peine le combat était-il achevé, que Pescaire arriva à la tête de
son père ; qu’il a voulu tuer Richard et l’a tué loyalement, dans un combat . A ces mots, la fureur de Richard se calme : il p
les vieillards, les femmes et les enfants, vient attaquer Chollet. Le combat commence à deux heures. Des deux côtés, l’acharne
ndre de telles causes qu’il a étudié l’éloquence ; c’est pour de tels combats qu’il a préparé son cœur et ses forces. Il remerc
aquer cette ville à la tête d’une armée, et fut vaincu et tué dans un combat . Sujet. Sévérus, jeune Romain, séduit par des ami
échit sur ce qu’il doit faire. Son âme est en proie aux plus violents combats  : enfin le repentir l’emporte, il va tout révéler
s, à tous les plaisirs ; il ne contracte de liaison avec personne. Il combat les musulmans avec un courage et une ardeur qui o
a vainement cherché à découvrir son secret. Après trois ans, un grand combat se livre. Les chrétiens, grâce à Pélage et plus e
élance auprès de Pythias. Alors s’éleva entre les deux jeunes gens un combat d’une générosité qui eût arraché des larmes aux c
rapeaux aux drapeaux français. On nomme bataille de Tours la série de combats que Charles Martel livra aux Sarrasins entre Tour
nce. Le consul Manlius Torquatus, général des Romains, a défendu tout combat avant la bataille générale. Son fils Titus est re
ingrats et l’amour qu’il a conservé pour sa patrie, se livrent mille combats dans son cœur. Enfin le devoir et la patrie rempo
dant que cette attaque avait lieu sur plusieurs points, le bruit d’un combat qui se livrait à l’une des portes se faisait ente
a se mêler aux combattants, saisit les armes d’un guerrier blessé, et combat avec un courage admirable. Sur le point où combat
guerrier blessé, et combat avec un courage admirable. Sur le point où combat Isadas, les Thébains sont repoussés avec une pert
lation réunie de ces trois cantons s’élève à peine à 80, 000 âmes. Le combat eut lieu dans les défilés de Morgarten ; l’armée
20 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
ésence, qu’elles ne combattent point ; ou, si elles se mêlent, que le combat ne soit pas sanglant, et qu’il y ait moins de dix
on lèvera le siége. Ou l’on demeurera sur la défensive sans livrer de combat  ; ou, si on le livre, on le doit perdre ; et, si
e à voir de loin deux terribles armées Dans les champs de la mort aux combats animées : Non que le mal d’autrui soit un plaisir
21 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
ornements. Ardents, tumultueux, privés d’expérience, Ils portaient au combat leur superbe imprudence : Orgueilleux de leur pom
côtés que farouches soldats, Endurcis aux travaux, vieillis dans les combats  ; Accoutumés au sang et couverts de blessures, Le
leurs propres forces contre eux-mêmes. Mais l’exercice perpétuel des combats ajoutera à leur habileté, et les convaincra que c
’ennemi, se déployer sur deux ailes, changer à tout moment la face du combat , est la science du simple soldat, comme des chefs
22 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
igine commune, Ton bras est invaincu mais non pas invincible… Et le combat cessa faute de combattants ; et polypiote, quand
Pensez-vous par des pleurs prouver votre tendresse ? Où sont-ils ces combats que vous avez rendus ? Quels flots de sang pour e
tre qu’une odieuse hypocrisie ; elle sait fort bien qu’il n’y a eu ni combats , ni flots de sang, ni débris, ni champs couverts
23 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
rand couteau ne vous faisait plus peur. Il vous fallait des récits de combats et d’aventures : Bayard et Robinson étaient vos h
Les peuplades encore sauvages ne respirent que la joie enivrante des combats et des longs banquets. Il leur faut des hymnes co
une excellente gymnastique oratoire. C’est l’exercice en attendant le combat , c’est la petite guerre en attendant la grande. L
24 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre V. De l’Éloquence politique chez les Français. »
n’offrit plus qu’un champ de bataille, et dont chaque séance était un combat opiniâtre, au lieu d’une discussion sage et paisi
uent ce fougueux Mirabeau, dont la vie entière n’avait été qu’un long combat contre tous les genres d’autorités, qui n’étaient
25 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
tre, dans les revers qu’il essuie, dans ses malheurs, ses périls, ses combats  ; et notre admiration est portée à son comble, à
laient épouser Pénélope, et la mort de Patrocle qui ramène Achille au combat . Le dénoûment heureux ou malheureux doit être nat
signalerons le siège du palais de Priam, la mort de ce prince, et te combat simulé de cavalerie. Citons en outre, comme modèl
cavalerie. Citons en outre, comme modèles de descriptions épiques, le combat de Tancrède et d’Argant, la description de la séc
Le poème narratif est le récit d’un fait quelconque, par exemple, un combat , un voyage, ou tout autre événement intéressant.
26 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
de la prise de Fribourg : Merci, qu’on ne vit jamais reculer dans les combats  ; Merci, que le prince de Condé et le vigilant Tu
à Chantilly comme à la tête des troupes. — Qu’il est beau, après les combats et le tumulte des armes, de savoir encore goûter
27 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
ue de Genève », ce sectaire flegmatique dont la vie fut un implacable combat , même contre ses propres soldats. Dur aux autres
, qui estoit de les brider et reprimer leurs follies. Durant ce petit combat , le diable en a entrelassé d’aultres2, tellement
28 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
, pour nous donner une idée de deux héros qui s’avancent fièrement au combat l’un contre l’autre, les comparent au dieu Mars e
nt du désert.         Braves guerriers, où sont vos pères ? Dans les combats ces astres ont brillé ;         Et maintenant, om
paux dans les vers suivants : Aux champs, déshonorés par de si longs combats , La main du laboureur rend leurs premiers appas :
29 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
ns de salut ne peuvent être indifférents. Quoi de plus facile dans un combat que de jeter ses armes, et de demander la vie à l
i des bourreaux, qu’elle te jette dans les fers, qu’elle t’envoie aux combats , ton devoir est d’obéir. Dans les tribunaux, dans
30 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-8
pour te sauver, non pour t’enchaîner, mais pour t’affranchir ; car il combat déjà contre tes ennemis. Par la vertu et la sages
us souci du présent que du passé. 2. Le Colisée, où se livraient les combats du cirque 3. Voilà une période savante et noble.
31 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
apoue, il eut à soutenir contre le consul Marcellus, trois différents combats , dont le succès ne fut pas décisif. Il y avait se
Métaure, l’an 207 avant J.-C., par le consul Caius Claudius Néron. Le combat fut des plus meurtriers. L’armée carthaginoise fu
t la terreur des Grecs, dont il brûla la flotte, et soutint plusieurs combats singuliers, d’où il sortit toujours couvert de gl
ar Poltrot, gentilhomme protestant. Mayenne se signala dans plusieurs combats contre les huguenots ; et après la mort tragique
hlètes se servaient pour se frapper : c’est ce qu’on appelle aussi le combat du pugilat ; 3º le disque, sorte de palet qu’ils
32 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
as n° 222 et 223. Modèle de décomposition de narration. MATIÈRE. Combat entre Mérovée et un chef gaulois. Mérovée, rassa
u Gaulois qui venait à lui.   Toute l’armée s’arrête pour regarder le combat des deux chefs. Le Gaulois fond l’épée à la main
à bas de son char ; il se complique à l’instant de la blessure et du combat . Le dénouement se prépare lorsqu’on voit le boucl
se reposait sur son char quand un chef Gaulois vint le provoquer à un combat singulier. Le chef Sicambre accepta ce défi, et a
à un combat singulier. Le chef Sicambre accepta ce défi, et après un combat de quelques instants il fendit la tête du Gaulois
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152
nimal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats  : aussi intrépide que son maître, le cheval voit
petite colère. Quelquefois même ils se livrent entre eux de très-vifs combats  : l’impatience paraît être leur âme ; s’ils s’app
34 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
uriers, victoire sur victoire : Le prince à mes côtés ferait dans les combats L’essai de son courage, à l’ombre de mon bras ; I
p vécu, Recevoir un affront, et demeurer vaincu. Ce que n’a pu jamais combat , siége, embuscade, Ce que n’a pu jamais Aragon, n
public, à l’État. Polyeucte. Je la voudrais pour eux perdre dans un combat  ; Je sais quel en est l’heur, et quelle en est la
fort adversaire, Quels efforts à moi-même il a fallu me faire ; Quels combats j’ai donnés pour te donner un cœur Si justement a
35 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
u nous avoit fait la grace de nous trouver en ceste occasion en mesme combat et sous mesmes enseignes, qu’il falloit que l’hon
Connu. 14. Premier abord. 15. Mais. 16. Assaut se disait de tout combat violent. 17. Je me tournais en souriant vers. 1
36 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
J’étais jeune et vaillant. Aux danses des guerriers, A la course, aux combats , j’ai paru des premiers. J’ai vu Corinthe, Argos,
daine1 et bénit leur ouvrage ? Ton peuple industrieux est né pour les combats . Le glaive, le mousquet, n’accablent point ses br
37 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
peu de distance du Capitole à la roche Tarpéienne ; mais l’homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas s
u’ils livrent aux fureurs du peuple trompé celui qui depuis vingt ans combat toutes les oppressions, qui parlait aux Français
une longue espérance, tout se soulève autour d’eux comme un appel au combat  ; chaque battement de leur cœur est une pensée d’
à l’instant même il chantait ou le dénombrement des vaisseaux, ou le combat d’Ajax ou d’Hector ; ainsi les Athéniens, prisonn
s Francs avaient été surpris par Constance : ils évitèrent d’abord le combat  ; mais, aussitôt qu’ils eurent rassemblé leurs gu
, les armées se trouvèrent en présence. Les Martyrs, liv. VI. Combat des Romains contre les Francs50 Le soleil du
n chrétienne, ordonne d’élever la cotte d’armes de pourpre, signal du combat  ; les archers tendent leurs arcs, les fantassins
, elle effleurait à peine la cime des neiges nouvellement tombées. Un combat violent s’engage entre les cavaliers, sur les deu
ente au Gaulois qui venait à lui. Toute l’armée s’arrête pour voir le combat des deux chefs. Le Gaulois fond l’épée à la main
et, sans jeter ses javelots, elle marche l’épée haute à l’ennemi. Le combat recommence de toutes parts. La légion chrétienne
des Francs rompus. Aux attaques d’une armée disciplinée succèdent des combats à la manière des héros d’Ilion. Mille groupes de
e ! Ces fidèles amis, plus tendres que prudents, afin d’avoir dans le combat la même destinée, s’étaient attachés ensemble par
montrer miséricordieux ou cruel : depuis longtemps elle attendait le combat la soif du sang avait redoublé à la vue des victi
dans la carrière militaire, et si je pouvais craindre les hasards des combats , ce langage serait tout à fait déplacé. Sire, Vot
lui fut remise : « Sire, lui écrivait le comte, après un long et rude combat , j’ai pris la seule résolution qui me convienne ;
gé de ramener ses troupes en désordre vers le Rhin. Le souvenir de ce combat nous a été conservé par un poète latin du cinquiè
fer était épais et acéré et le manche très court. Ils commençaient le combat en lançant de loin cette hache, soit au visage, s
unes et les plus violents d’entre eux éprouvaient quelquefois dans le combat des accès d’extase frénétique, pendant lesquels i
d’une blancheur et d’une beauté singulières, hardie, agile et rude au combat , depuis peu convertie à la foi catholique, libre
des fêtes militaires. On se plut surtout à mettre aux prises, dans un combat simulé, des guerriers qui appartenaient aux diffé
, Guillaume fit annoncer aux Normands que le lendemain serait jour de combat . Des prêtres et des religieux qui avaient suivi e
rent, et montèrent sur une hauteur voisine, pour prier et regarder le combat . Un Normand, appelé Taillefer, poussa son cheval
es furent enfoncées ; cavaliers et fantassins y pénétrèrent ; mais le combat fut encore vif, pêle-mêle et corps à corps. Guill
up moururent, sur les chemins, de leurs blessures et de la fatigue du combat . Les cavaliers normands les poursuivirent sans re
our et plusieurs des jours suivants se passèrent en réjouissances, en combats simulés et en festins somptueux, dans lesquels le
ervé des fureurs de l’envie. Sur Macbeth, illustré par tant d’heureux combats , Il cherche à se venger d’un éclat qu’il n’a pas.
j’apprenne aujourd’hui cet effroyable songe. MACBETH. Au sortir d’un combat dans quel trouble il me plonge282 ! Mais juge s’i
Que ce fût à ta main de m’oser couronner ? Va tenter loin de moi tes combats et les sièges ; Transporte où tu voudras tes drap
leur ombre ; Là, de quelques rayons égayant ce séjour, Formez un doux combat de la nuit et du jour ; Plus loin, marquant le so
goûter la gloire : Beaux jours, qu’une autre gloire et de plus grands combats Rappelaient à Villars, mais qu’ils n’effaçaient p
scendu ! Quelle étrange union conspire à ma ruine ! Le parti de Séjan combat pour Agrippine ! Quoi ! ce Fulcinius, apprenti sé
courage au-dessus du trépas ? Les Pisons vos aïeux mouraient dans les combats  : À Rome, ils triomphaient d’une ligue ennemie. O
rs chansons ? Et ces compagnons du jeune âge Qui m’ont suivi dans les combats , Ont-ils revu tous le village ? De tant d’amis ne
eau nom. Les Grecs ont tout perdu : la langue de Platon, La palme des combats , les arts et leurs merveilles, Tout, jusqu’aux no
a perte ! COITIER. Lui qui voulait ma perte !En chevalier : son bras Combat , quand il se venge, et n’assassine pas. Je devais
noirs. Puis, empereur puissant dont la tête s’incline, Gouvernant un combat du haut de la colline, Promettant une étoile à se
aient sur le champ de bataille. Les Franks l’invoquaient en allant au combat . On pourra lire dans l’Histoire littéraire de la
38 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
tant d’une main ce qu’il a élevé de l’autre, l’orateur chrétien ne se combat point lui-même ; il ne combat que des illusions,
vé de l’autre, l’orateur chrétien ne se combat point lui-même ; il ne combat que des illusions, et avec d’autant plus de supér
je pense qu’après le même nombre de répliques de part et d’autre, le combat se trouvant égal, le seul avantage marqué sera ce
ployer la stature imposante, les membres nerveux d’un héros. Aussi le combat se terminait-il le plus souvent comme celui de l’
de la prise de Fribourg ; Merci qu’on ne vit jamais reculer dans les combats  ; Merci que le prince de Condé et le vigilant Tur
position : car tout est en scène, le héros, son ennemi, et le lieu du combat . Le nœud se serre dès son début par la peinture d
39 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — L — article »
dans la Turquie d’Europe). Ils sont célèbres dans la fable par leurs combats avec les Centaures, leurs voisins.
40 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — F — article » p. 412
lèbre bataille de Ravenne qu’il venoit de gagner. Il fut tué après le combat , en voulant envelopper un reste d’Espagnols qui s
41 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
fut tué, en 1591, en voulant surprendre la ville de Saint-Denis. Son combat singulier avec le vicomte de Turenne, dans la Hen
42 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article » p. 404
ille noble et ancienne du Dauphiné, en 1474. Son intrépidité dans les combats , et ses vertus dans la société civile, le firent
43 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
u’il peut exprimer les passions sans les sentir ; que pour décrire un combat , une tempête, un paysage, il n’est pas toujours n
la jeunesse, époque de passions fougueuses, de force expansive et de combats gigantesques. Alors apparaissent les héros et leu
44 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
e premier jour, il aimait dans la guerre, bien plus que le plaisir du combat , ce grand emploi de l’intelligence et de la volon
e que je me détache de moi-même et que le temps m’emporte loin de nos combats , j’entre sans effort dans une appréciation serein
45 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
ez dédaigner une telle victoire ; À vos cœurs généreux je promets des combats  : Je vois vos ennemis expirants sous vos bras. En
marche à leur tète. Au-dehors, au-dedans, Rome est votre conquête. Je combats Pétréius, et je m’ouvre en ces lieux ; Au pied du
rince jadis comblé de gloire, et tant de fois échappé à la fureur des combats , pour succomber sous les intrigues d’une femme !
46 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
imal, qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats  : aussi intrépide que soc maître, le cheval voit
h. Ier. Florian a fait un heureux mélange de ces deux styles dans le Combat du Taureau. Cette belle page, dont le style est s
iomphe des toréadors et la défaite de leur fière victime. Lecture. —  Combat du Taureau, vol. II, nº 4.
47 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
prémédité. Je dois aux yeux d’Alcmène un portrait militaire Du grand combat qui met nos ennemis à bas ; Mais comment diantre
a femme Alcmène, s’essaye au discours dans lequel il doit raconter le combat de son maître. Cette comédie, et cette scène en p
trop éclairé pour refuser l’instruction à l’esprit des femmes. Il ne combat ici que le ridicule de la science prétentieuse et
48 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article »
rsenna, roi d’Etrurie, marchèrent contre Rome. Il se livra un furieux combat , où ils furent entièrement défaits, mais où Brutu
49 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
bien à la pensée des hommes pieux qui vont prier. 4°Allons dans les combats porter mon désespoir, Et mourons-y du moins, fidè
. L’Arioste, en parlant d’un de ses héros, dit que dans la chaleur du combat , ne s’étant pas aperçu qu’on l’avait tué, il comb
es, attaques hardies, retraites honorables, campements bien ordonnés, combats soutenus, batailles gagnées, ennemis vaincus par
ur moi le pouvoir légitime, L’erreur où nous étions, mes regrets, mes combats , Les pleurs que j’ai trois ans donnés à ton trépa
uvrages de raisonnement, est un Roi à la tête de son armée un jour de combat . Dans les ouvrages d’imagination, elle est comme
t la pensée, il faut appeler à son aide la réflexion. « En allant au combat , disait un prince à ses soldats, songez à vos anc
eu auparavant maître d’une puissante  armée, et qui s’était avancé au combat , élevé sur un  char, dans l’appareil d’un triomph
us, maître, naguères d’une puissante armée, et qui s’était avancé, au combat , élevé sur un char, moins dans l’appareil d’un gé
alheureux. Il était maître d’une puissante armée et s’était avancé au combat sur un char de triomphe ; cette action est éloign
50 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
, a fui devant les trois Curiaces, et il ignore la véritable issue du combat  : c’est d’après cette ignorance ou cette erreur q
us avez vieilli ne vous paraisse pas une raison légitime de cesser le combat , et de goûter enfin le repos que tant d’années de
même ennemi de César. Tubéron avait été en effet du côté de Pompée au combat de Pharsale. Mais l’orateur insiste tellement sur
ses, afin que son exemple encourage ceux qui ont à soutenir les mêmes combats . En second lieu, faites voir nettement le caractè
tant d’une main ce qu’il a élevé de l’autre, l’orateur chrétien ne se combat pas lui-même ; il ne combat que des illusions et
levé de l’autre, l’orateur chrétien ne se combat pas lui-même ; il ne combat que des illusions et fait voir à ses auditeurs co
ii). 401. Lorsque, dans les conseils, un officier propose son avis ou combat celui d’un autre, il doit s’exprimer avec mesure
ntre le bon goût et les bonnes mœurs, et en travaillant pour l’un, on combat aussi pour les autres. 404. Le discours que prono
r à tour l’arme offensive et défensive, chacun à l’envi s’exerçant au combat , pour s’en procurer l’avantage, la rhétorique a d
ne peut rouler que sur des hypothèses : dans l’un et l’autre genre de combat , il y a deux grands ordonnateurs, le jugement et
sens et les agitations de cette vie, que l’on pourrait comparer à des combats de nuit, parce qu’elles en ont le désordre et l’i
croit telles ; il les développe avec vigueur et précision ; puis, il combat les objections de son adversaire avec une chaleur
pression et témoignage du Dieu qui se rend justice à lui-même, et qui combat pour le bien et le vrai dans nos cœurs. Ce besoin
toutes nos douleurs, entendra toutes nos peines, assistera à tous nos combats . Le poids de cruels secrets ne nous accablera plu
é de descendre de cheval à ce moment solennel ; puis il s’élançait au combat comme un lion. Les fanfarons, au contraire, sont
rai : Vous m’avez vu luttant contre la tyrannie, et c’est elle que je combats encore. Prenez bien garde que je suis le seul, da
; l’a-t-il comprise, il se dit : Va ! De loin, il savoure l’odeur des combats , la voix tonnante des chefs et le cri des armées.
ris qui s’entendaient de deux lieues. Ils criaient qu’on les menât au combat … Ne croyez pas que son souvenir soit jamais fini
vec ses qualités et ses défauts. M. Louis Veuillot est un écrivain de combat , aimant la bataille parce qu’il trouve dans la ba
éclate en sarcasmes ; on dirait que ses armes se fourbissent dans le combat au lieu de s’y fausser : toutes les facultés de s
51 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
e la patrie. Dans la même Tragédie, une femme qui avait été témoin du combat des trois Horaces contre les trois Curiaces, mais
hille, ressemblent à une flamme étincelante . Mais la description du combat des Dieux est une des plus vives et des plus magn
pitera leur avait permis de descendre du ciel, et de se mêler dans le combat des Grecs et des Troyens, en prenant chacun le pa
52 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
fer était épais et acéré et le manche très court. Ils commençaient le combat en lançant de loin cette hache, soit au visage, s
unes et les plus violents d’entre eux éprouvaient quelquefois dans le combat des accès d’extase frénétique, pendant lesquels i
d’une blancheur et d’une beauté singulières, hardie, agile et rude au combat , depuis peu convertie à la foi catholique, libre
x. Quel spectacle imposant s’est montré devant nous ! Quel enfant des combats et de la renommée Suspend autour de lui la course
           Et ce guerrier perfide Qui vendit sa patrie en un jour de combat . Ces juges trafiquaient du sang de l’innocence  
courroux.      Le juste enfin remporte la victoire, Et de ses longs combats , au sein de l’Éternel,      Il se repose environn
 « Ton fils est digne de son père : Il porte sans frémir la lance des combats        Et le calumet de la guerre.        Je vivr
udaine et bénit leur ouvrage. Ton peuple industrieux est né pour les combats . Le glaive, le mousquet n’accablent pas son bras.
noirs. Puis, empereur puissant dont la tête s’incline, Gouvernant un combat du haut de la colline, Promettant une étoile à se
lui ferme et pur ici-bas ; Et pour que je sois digne, après tous nos combats , D’aller, au sein du Christ, me reposer près d’el
ons ?     Et ces compagnons du jeune âge     Qui m’ont suivi dans les combats ,     Ont-ils revu tous le village ? De tant d’ami
lavage. Un Corse a des Français dévoré l’héritage. Élite de héros, au combat moissonnés, Martyrs avec la gloire à l’échafaud t
causerie ; Chacun, en la contant, recommence sa vie : L’un redit ses combats , un autre son procès, Cet autre ses amours ; d’au
iers, revient, saute et grappille, Près des ceps oubliés se livre des combats . Qu’il est doux de les voir, si vifs dans leurs é
es trésors de miel, à ces amas de cire ? Je ne vous dirai point leurs combats éclatants, Si la mort est donnée à l’un des comba
les temps, il ignore quand elles ont commencé, quand elles ont fini : combats , sièges, tout lui est nouveau. Mais il est instru
lune ». La scène tumultueuse me paraissait plutôt occasionnée par un combat d’animaux, mis aux prises accidentellement, mais
faits, qui, armés de lances et de boucliers, semblaient respirer les combats  ; des garçons qui n’étaient Agés que de dix-huit
ui, s’attaquant par intervalles, représentaient au son de la flûte le combat de Minerve contre les Titans. On voyait ensuite u
portun viendrait avec éclat Par des cris et des pleurs troubler notre combat  ; Et ce qu’elles nous sont ferait qu’avec justice
x : Faites votre devoir, et laissez faire aux dieux. Péripétie du combat des Horaces Le Vieil Horace. Nous venez-vous,
Nous venez-vous, Julie, apprendre la victoire ? Julie. Mais plutôt du combat les funestes effets : Rome est sujette d’Albe, et
sont morts, son époux seul vous reste. Le Vieil Horace. Ô d’un triste combat effet vraiment funeste ! Rome est sujette d’Albe,
cherche point à faire un coup d’essai fatal ; Dispense ma valeur d’un combat inégal ; Trop peu d’honneur pour moi suivrait cet
op vécu, Recevoir un affront et demeurer vaincu. Ce que n’a pu jamais combat , siège, embuscade, Ce que n’a pu jamais Aragon, n
asservi, mais né libre ; Arme que la nature a mise en notre main. Qui combat l’intérêt pour l’amour du prochain ; De Socrate,
53 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
mme une étincelle, et frappe comme un éclair. Tite-Live, décrivant le combat des Horaces et des Curiaces, dit en parlant de ce
eu seul est grand, M. F… Lamartine, pour expliquer les peines et les combats du juste, prête à Dieu ces paroles sublimes : Tu
uchante prière que fait Hector, lorsque, sur le point de se rendre au combat , il tient entre ses bras son fils bien-aimé : Di
imé : Dieux immortels, faites que cet enfant soit courageux dans les combats et puissant sur son peuple ; faites qu’en le voya
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
en ne résiste, rien ne peut résister à la force qui traîne l’homme au combat  ; innocent meurtrier, instrument passif d’une mai
uvent le spectacle d’une population riche et croissante au milieu des combats les plus meurtriers ; mais il y a des guerres vic
55 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
similis ero Altissimo. (Isaïe, ch. 14.) Pour peindre la fureur d’un combat , un auteur est encore allé trop loin, quand il a
rt du cœur, s’adresse au cœur et touche le cœur. Hector, armé pour le combat et prêt à partir, prend son fils dans ses bras et
prière : Dieux immortels, faites que cet enfant soit brave dans les combats et puissant sur son peuple ; faites qu’en le voya
magination le plaisir de les deviner. Un poète a dit : La vie est un combat dont la palme est aux cieux. (Delavigne.) Bossue
mots sont pris dans le sens propre ; mais si l’on dit : la chaleur du combat , la dureté du cœur, ils sont pris dans le sens fi
uvrages de raisonnement, est un roi à la tête de son armée un jour de combat  ; dans les ouvrages d’imagination, elle est comme
’exposition d’un fait particulier, le récit d’un événement, tel qu’un combat , une tempête, présentés avec tant de vérité que l
vent, comme une scène touchante ou gracieuse après une description de combats  ; 3º agréables, c’est-à-dire composés avec beauco
C’est ainsi que, dans les Horaces, on vient raconter sur la scène le combat qui s’est livré entre les Romains et les Albains.
r de ceux qui observent l’avenir l’a marquée comme le champ futur des combats réservés à nos neveux. Vous avez nommé la Syrie,
nouvelle ville, les ennemis s’opposent à sa descente. Il se livre un combat dans lequel Pallas, fils du roi Évandre, est tué
tale de son royaume. Mézence, qui prend la place de ce prince dans le combat , est tué avec son fils Lausus par le héros troyen
scade dans les montagnes où est Énée. D’un autre côté, il se livre un combat de cavalerie dans lequel les Latins défaits sont
. Énée le suit et l’atteint ; mais la nuit les sépare. Livre XII. Un combat singulier entre Énée et Turnus doit terminer cett
Énée, atteint d’une flèche lancée par une main inconnue, se retire du combat . Vénus le guérit aussitôt, et il reparaît sur le
te occasion, il peint la vache et l’étalon, une course de chars et un combat de taureaux. Dans la seconde, il apprend quels so
place le touchant épisode du vieillard d’Abalie. Il peint ensuite les combats des abeilles, et enseigne le moyen de calmer leur
56 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
e simples synonymes. L’Ulysse blessé.] Blessé, ou plutôt tué, dans un combat sur le rivage d’Ithaque, par Télégonus, le fils q
57 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
J’étais jeune et vaillant. Aux danses des guerriers, À la course, aux combats , j’ai paru des premiers. J’ai vu Corinthe, Argos,
approprié par le travail. Il livre, pour sa propre conservation, des combats continuels contre les forces de la nature ; il le
es et les dieux ! Las de cet assaut de parole, Il guide Alexandre au combat  ; L’aigle sanglant du Capitole Sur le monde, à so
rre qu’avec la loi évangélique. Cicéron défend un client ; Démosthène combat un adversaire, ou tâche de rallumer l’amour de la
us de cœur. Grâce à Dieu, nous valons toute cette noblesse ; Mon fils combat pour moi, je n’ai point de vieillesse. Je me retr
e qui sur nous épuise ses soldats, La tribune qui tonne au milieu des combats , La patrie en danger et la guerre civile Qui marq
ans le cercle étroit des foyers domestiques. Il ne livre point de ces combats qui renouvellent les triomphes d’Arbelles et de P
amp de bataille. Bonaparte n’a aucun trait de ce grave Américain : il combat avec fracas sur une vieille terre ; il ne veut cr
ime publique sont partout. Une année de gouvernement, qui fut un long combat sans résultat complet ni assuré, avait suffi pour
fin nous pleurons les victimes, Et nos frères meurtris en d’horribles combats . Age de fer, hélas ! parlez, devant quels crimes
ns barbare, Et j’oubliai les noms des antiques héros Pour chanter les combats des loups et des taureaux Brizeux 43. La
Dénouement d’Iphigénie ARCAS. N’en doutez point, madame, un dieu combat pour vous. Achille, en ce moment, exauce vos priè
maîtresse Avait sur tous les yeux mis son bandeau fatal, Et donné du combat le funeste signal. De ce spectacle affreux votre
oyen. Il est temps aujourd’hui que chacun de nous sache, Par-delà les combats , quelle sera sa tâche. Valère, si mon vœu doit pr
libérateur Spartacus, un esclave, un vil gladiateur, S’ils suivent au combat des brigands qui les vengent ; De quelle noble ar
IER.                                          En chevalier : son bras Combat , quand il se venge, et n’assassine pas. Je devais
ensée ou chimère emphatique, Adieu. — J’ai pu faillir dans le feu des combats  ; Quel est le combattant qui ne s’emporte pas ? M
obuste ; Qu’implacable au superbe, et clément au vaincu, Ma colère au combat n’a jamais survécu. Ponsard 56. Le Peuple
votre conscience vous le dit encore plus haut que nous. La loi que je combats annonce l’existence d’une faction dans le gouvern
u’il savait enseigner ici-bas La vertu, la valeur, Mars, et l’art des combats  ? BACCHUS. Cela n’empêche pas qu’il ne réussit gu
tueux d’un cœur vivement ému par les intérêts de la patrie, volent au combat sans prendre le temps de polir leurs armes ! Ah !
ul nom d’Horace ? Ces vainqueurs dans les fêtes de la Grèce, dans les combats des arts et dans ceux de la force et l’adresse, p
insensiblement sans ressource. Pendant que vous prenez, dans un rude combat , le champ de bataille et le canon de l’ennemi, pe
ense ; Vous pouvez les punir, vous pouvez vous venger, Sans livrer de combats , sans courir de danger. Contre eux tout est permi
e donc la préméditation du meurtre ; car en réglant les conditions du combat , on en accepte les conséquences. On ne peut pas d
lut commun pour décourager d’avance l’adversaire et pour assurer sans combat le triomphe de la justice. En résumé, le gouverne
58 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre V. De la disposition. »
es, attaques-hardies, retraites honorables, campements bien ordonnés, combats soutenus, batailles gagnées, ennemis vaincus par
ais la victoire va devenir plus terrible pour le duc d’Enghien que le combat . « Pendant qu’avec un air assuré il s’avance pour
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Boileau 1636-1711 » pp. 401-414
ut diviser sa carrière poétique en trois périodes. De 1660 à 1668, il combat à outrance les méchants poëtes et le mauvais goût
le de cœur, Puisant la vérité jusqu’en son origine, De tous ses longs combats Arnauld sortit vainqueur, Et soutint de la foi l’
60 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre V. Barreau français. — Le Normant et Cochin. »
a vérité dans tout leur jour, pour les faire aimer de ceux même qu’il combat . Partout le naturel, la force, l’érudition, la so
61 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
plein d’honneur. Son action est surtout dans le mouvement et dans le combat des passions, et l’on n’y trouve point de ces nar
is ne me fait point de honte. Depuis plus de six ans il ne s’est fait combat Qui ne m’ait bien acquis ce grand nom de soldat :
s’il en faut notre reconnaissance, Nous avoûrons tous deux qu’en ces combats derniers L’un et l’autre, sans lui, nous étions p
s lui-même. Comtes, de cet anneau dépend le diadème ; Il vaut bien un combat  ; vous avez tous du cœur ; Et je le garde… Don L
dans mes mains pourra briller longtemps. Dona Léonor. Laissons là ce combat , et parlons de don Sanche. Ce bruit est grand pou
ibérateur Spartacus, un esclave, un vil gladiateur ; S’ils suivent au combat des brigands qui les vengent, De quelle noble ard
est connue, Je ne me bats jamais qu’aussitôt je ne tue. De cent jolis combats je me suis démêlé ; J’ai la botte trompeuse, et l
fuyez encor d’autres appas : On ne sort qu’en fuyant vainqueur de ces combats . La paix que nous goûtons a-t-elle moins de charm
eurs. Le cinquième cependant est resté célèbre par le récit du fameux combat entre les partisans du chantre et ceux du prélat,
ïre. — Zaïre est la seule pièce où Voltaire ait essayé de peindre les combats et les transports de l’amour, qu’il n’avait jamai
Phrygie, De la terre et des cieux les moteurs éternels Mêlés dans les combats sous l’habit des mortels ; Ou tel que du vrai Die
s rapides, De l’âme d’un héros mouvements intrépides, Qui changent le combat , qui fixent le destin. Aux chefs des légions il l
r sa défense seule il a tiré l’épée ; Et son rare courage, ennemi des combats , Sait affronter la mort, et ne la donne pas. De T
t la crainte et le trépas ; D’Ailly tout orgueilleux de trente ans de combats , Et qui, dans les horreurs de la guerre cruelle,
s ans, Qui, dans cette journée illustre et meurtrière, Commençait des combats la fatale carrière. D’un tendre hymen à peine il
ur, sa jeune épouse, en accusant le ciel, En détestant la ligue et ce combat mortel, Arma son tendre amant, et, d’une main tre
c de Broglie135 osez suivre les pas : Sage en projets et vif dans les combats , Il a transmis sa valeur aux soldats ; Il va veng
ent sur son corps affermi, Comme un réseau l’enferme et l’emprisonne, Combat , s’épuise en mouvements divers, S’arme contre eux
                                   À quelle horreur livrée, Par quels combats affreux son âme est déchirée ! Hamlet, à sa mèr
r. L’animal aux abois Se montre digne encor de l’empire des bois ; Il combat de la tête, il couvre de blessures L’aboyant enne
fense, Vous pouvez les punir, vous pouvez vous venger, Sans livrer de combat , sans courir de danger. Contre eux tout est permi
us leurs froments d’or ces coteaux éclatants, Et ce donjon témoin des combats du vieux temps, Qui, du sein rembruni des masses
eau nom. Les Grecs ont tout perdu : la langue de Platon, La palme des combats , les arts et leurs merveilles, Tout jusqu’aux nom
nonchalant, rêveur, puis amoureux des tempêtes, puis emporté dans les combats , puis rentrant dans son Arcadie aux sons de la fl
duchesse ; Bivar est une nonne aux sévères atours ; Toujours prête au combat , la sombre Pampelune, Avant de s’endormir aux ray
      Sur la trace de nos soldats, De suspendre sa lyre au bronze des combats , Et, dans les tourbillons de flamme et de poussiè
ie obscur est loin de tant d’audace ;         Fuyant la guerre et les combats , J’aime mieux, sur les pas de Virgile ou d’Horace
Cachés, rochers, rime défectueuse. 277. C’est Tyrtée, qui chanta le combat terrible de Stényclaros, dans les guerres de Mess
62 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre X. Genre pastoral. »
e s’est permis de traiter toutes sortes de sujets. Dans Théocrite, le Combat de Pollux et d’Amycus est un morceau épique ; dan
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Vauvenargues 1715-1747 » pp. 196-198
se passe en Moravie2 occupe ses jours, et pendant la nuit il rêve des combats qu’on donne sans lui3 1. « Grandissant au mil
64 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
adversaire en Algérie, Abd-el-Kader. On supposera que le lendemain du combat le maréchal écrit en France à un de ses amis et l
premiers feux du matin éclairent une vaste plaine où va se livrer un combat qui doit décider du sort de deux grands empires.
e grandeur, Clytemnestre se souvient seulement qu’elle est mère. Elle combat la résolution d’Agamemnon avec emportement et ave
rts dramatiques que la terreur ou la pitié ; Corneille nous montre le combat des passions. D’un seul coup il crée la tragédie
droits. – Va, mets-toi sur les bras les juges et les princes, Et, le combat fini, calcule les profits ! – Combien j’en ai con
qui, à travers les mêmes péripéties douloureuses, combattent le même combat  ? Ne sont-ils pas nos frères, eux aussi ? N’ont-i
nous manqueront pas. Il sait trouver le point sensible de celui qu’il combat  ; il sait varier ses attaques ; toutes formes, to
s cette prose ferme et saine du xvi e siècle, lui aussi une époque de combat . Le triomphe de la prose est complet au xviii e s
ure du xviii e siècle devint un instrument de propagande, une arme de combat , et elle dut acquérir les qualités nécessaires po
lui parait désirable. Un capitaine meurt debout, à la barre, en plein combat naval. cassard et duguay-trouin. Lors de la dise
lques réflexions sur cette lutte glorieuse, prélude de cette série de combats , que les Italiens devaient appeler des batailles
te d’une maladie mortelle, touchait à ses derniers moments. Témoin du combat que se livraient la tendresse et le devoir dans l
t la défaite plus glorieuse qu’une victoire. Concours de 1866. combat naval des romains et des venètes sous les yeux de
Brutus, jusqu’à la pointe Saint-Jacques, où elle se range en ordre de combat près du rivage. La flotte des Venètes, d’abord ré
son mouillage et vient se placer en face de la flotte des Romains. Le combat a lieu sous les yeux de César, campé sur les haut
ns furent repoussés avec des pertes énormes. Concours de 1879. combat des romains et des francs (Vers 300 après J.-C.)
rancs (Vers 300 après J.-C.) 1° Les deux armées sont en présence, le combat s’engage. Les Gaulois alliés des Romains, s’élanc
2° Sur les deux ailes des armées, les cavaliers se livrent un violent combat . 3° Tableau de la mêlée générale. 4° Les rangs de
nt à la légion chrétienne, aux Romains, aux Gaulois et aux Grecs ; on combat presque corps à corps. 5° Les Francs se retirent
Romains passent la nuit sous les armes et dans l’attente d’un nouveau combat . CONSEILS ET CORRIGÉ La matière a été calquée, po
n chrétienne, ordonne d’élever la cotte d’armes de pourpre, signal du combat  ; les archers tendent leurs arcs, les fantassins
, elle effleurait à peine la cime des neiges nouvellement tombées. Un combat violent s’engage entre les cavaliers sur les deux
des Francs rompus. Aux attaques d’une armée disciplinée succèdent des combats à la manière des héros d’Ilion. Mille groupes de
. – A l’aide de souvenirs historiques et littéraires, décrire : 1° un combat homérique ; 2° un combat entre la phalange macédo
historiques et littéraires, décrire : 1° un combat homérique ; 2° un combat entre la phalange macédonienne et la légion romai
macédonienne et la légion romaine ; 3° une mèlée au moyen âge ; 4° un combat dans les temps modernes. – Lettre d’Aristote à Al
ordage et le tir à longue distance, les torpilleurs, etc. Imaginer un combat maritime au xvii e siècle et au xix e. – Comment
nne de déposer son épée et de se constituer prisonnier. 3° Un violent combat se livre dans l’àme du prince. Doit-il tirer une
’immortalité de l’âme et l’amour d’un Dieu juste et bienfaisant. Elle combat les sophistes qui obscurcissent les notions du bi
quence il donnera l’ordre cette nuit même. Après tout, il ira seul au combat s’il le faut, avec sa dixième légion dont il ne d
telligence, ni sentiment, et n’étaient que des automates. La Fontaine combat cette doctrine dans ce discours en vers, qu’il a
lourde armure. Il offre de vider la querelle des deux peuples par un combat singulier. – Nul, parmi les Israélites, n’ose rel
Rendre le dialogue du consul et du tribun ; marche des quatre cents ; combat  ; ils succombent tous. Le tribun seulement fut pr
a bataille. Placé sur une éminence qui domine au loin la plaine où le combat va se livrer, le général en chef observe la posit
longtemps préparée par de savantes manœuvres ; il donne le signal du combat . (Strasbourg.) description d’une fête de néron.
e la foule qui répond par des applaudissements exécutés en mesure. Un combat de gladiateurs où figurent dans l’arène des homme
urs après, Cyrus livre une nouvelle bataille aux Lydiens. Le matin du combat Panthée revêt son époux d’une armure qu’elle a or
après l’arrivée de Jeanne d’Arc, les Anglais, vaincus dans plusieurs combats , lèvent précipitamment le siège. Concours de 1
erce du Havre François Ier a Charles-Quint (1525). La fortune des combats a décidé entre eux ; mais elle n’a pas donné au v
e objection, c’est l’inévitable et obsédant refrain ; c’est l’arme de combat qu’ont forgée les Anglais, que nous avons aiguisé
65 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
note sur Corneille.) Exemple de rimes trop communes. A la suite d’un combat ridicule, et par ironie : Bravo ! bravo ! victo
ibérateur Spartacus, un esclave, un vil gladiateur ; S’ils suivent au combat des brigands qui les vengent, De quelle noble ard
ousse un cri qui pénètre la nue. Il maudit dans son cœur le démon des combats , Et de l’horreur du coup il recule six pas. Mais
66 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
conjuré sa ruine. Mais elle sort glorieuse et triomphante de tous ses combats  ; et nous la voyons, au milieu des fréquents assa
es ? Furieux dans la guerre, ils souffrent nos bourreaux, Et lions au combat , ils meurent en agneaux. II. De l’Histoire p
re. Le lecteur est conduit, comme par la main, dans les sièges et les combats qu’ils décrivent. Les ruses, les stratagèmes, les
67 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
des  Fauriel, Histoire de la Poésie provençale (Paris, 1846)  etc. Le combat naval de Salamine, etc.] Voy. des exemples analog
68 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
lus loin. — « Madame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat  ? Et mon fils ! » On ne lui répondit rien. « Ah !
ion, nous citerons trois morceaux de genres et de styles différents. Combat de Mérovée contre le chef des Gaulois. « Mérovée
u Gaulois qui venait à lui. « Toute l’armée s’arrête pour regarder le combat des deux chefs. Le Gaulois fond, l’épée à la main
es de l’antiquité songèrent-ils jamais à venger leurs injures par des combats particuliers ? César envoya-t-il un cartel à Cato
69 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
isfaire son ambition. Qui le rendait si intrépide et si fier dans les combats  ? C’était le zèle de la cause de Dieu qu’il défen
eur ; ce sang-froid qu’il savait si bien conserver dans la chaleur du combat  ; cette tranquillisé dont il n’était jamais plus
de fatigue et couverts de blessures après cinq jours et cinq nuits de combats continuels, conseillent à ce prince de faire retr
rir avec vous. Gardez bien vos rangs, je vous prie : si la chaleur du combat vous les fait quitter, pensez aussitôt au ralliem
70 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463
quatre sous par jour. Je les vois, prodiguant leur vie, Chercher ces combats meurtriers Couverts de fange et de lauriers, Et p
uc de Broglie5 osez suivre les pas : Sage en projets, et vif dans les combats Il a transmis sa valeur aux soldats ; Il va venge
71 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
, Ramènent la gaîté dans vos foyers déserts. Lucrèce. Quand mon mari combat en bon soldat de Rome, Je dois agir en femme ains
yen ; Il est temps aujourd’hui que chacun de nous sache, Par delà les combats , quelle sera sa tâche. — Valère, si mon vœu doit
72 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
descendre ; Chanter Flore210, les champs, Pomone211, les vergers, Au combat de la flûte animer deux Bergers ; Des plaisirs de
quatre sous par jour. Je les vois, prodiguant leur vie, Chercher ces combats meurtriers, Couverts de fange et de lauriers, Et
Il cherche des périls terribles, Épargne les troupeaux paisibles, Et combat les dragons ailés. Ou tel que sur l’herbe nouvel
tes, témoigne à Louis XIII avec quelle ardeur il le suivrait dans les combats , si la vieillesse ne glaçait ses sens, et termine
aspect menaçant d’un tyran sanguinaire, Ni des vents et des flots les combats orageux. Des Dieux et des mortels le monarque su
73 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre II. Des qualités essentielles du poète » pp. 16-21
mée, qui, après avoir médité avec sagesse sur le plan de la bataille, combat avec fureur. 25. Quels sont les objets les plus p
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
que je me détache de moi-même, et que le temps m’emporte loin de nos combats , j’entre sans effort dans une appréciation serein
75 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mézeray. (1610-1683.) » pp. 12-14
de Biron, le père de Charles de Biron à qui Henri IV sauva la vie au combat de Fontaine-Française. Celui-ci, après être deven
76 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
errier des peuples soumis au gouvernement féodal, l’établissement des combats singuliers dans les différends où la justice et l
er au commencement du siècle suivant. L’abolition des tournois et des combats singuliers, l’incrédulité aux effets de la magie
er, » dit Homère, en décrivant un de ses héros (Diomède) au moment du combat , « de son casque et de son bouclier sortait conti
délassent le lecteur en changeant le lieu de la scène. Au milieu des combats , par exemple, le récit d’une aventure guerrière n
cteurs que ne fatiguent des descriptions continuelles de sièges et de combats . Il fera bien mieux de s’adresser à notre cœur ;
que l’Iliade n’est consacrée presque tout entière qu’à des récits de combats . C’est avec raison que l’on paya dans tous les te
l fuit devant Ménélas ; mais il revient sur-le-champ, et lui offre le combat . Dans ses discours règnent beaucoup de grâce et d
e ciel, et repose agréablement l’esprit du lecteur fatigué de tant de combats et de carnage. Il faut cependant avouer que si le
avec tant de vérité, que le lecteur se croit transporté au milieu des combats . Le feu de son génie y brille tout entier ; les b
la lune et des étoiles pendant la nuit ; celle où Pâris qui court au combat est assimilé à un cheval qui bondit et s’élance d
Le poète ne s’élève plus jusqu’à chanter les dieux, les héros et les combats , mais il nous en dédommage par de charmantes pein
font naître une foule d’événements qui occasionnent des voyages, des combats , et présentent au poète l’occasion de mêler aux d
lesquels il a su jeter la plus heureuse variété ; les descriptions de combats ne sont ni assez longues ni assez multipliées pou
deux descriptions sont entre autres d’un art et d’un goût exquis. Ses combats sont très animés, les incidents y sont heureuseme
livres ; elle manque tout à fait de vigueur dans les descriptions de combats . La critique la plus sérieuse que l’on ait faite
t religieux, et l’on y employait bien moins que chez les modernes ces combats violents des grandes passions, et les grands reve
t rude et enflé. Il abonde en pensées martiales et en descriptions de combats  ; il a beaucoup d’élévation et de feu, et moins d
les bienséances. Les tragédies anglaises mettent devant nos yeux les combats des passions les plus fortes, toute leur violence
ux son devoir. « On l’assure que, se voyant seul, il s’est échappé du combat  ; alors à la confiance trompée succède l’indignat
-ci a de plus grand, j’oppose hardiment Cicéron. Je n’ignore pas quel combat j’aurai à soutenir contre les partisans de Démost
n néant, Et, formé pour agir, se plaisait à rien faire, etc. « Horace combat ce préjugé avec autant de finesse que de force da
de leur donner la mort ? quoi de plus naturel que la description des combats auxquels son cœur est livré dans cette occasion ?
77 (1873) Principes de rhétorique française
telle. Racine dit encore : Le Dieu que nous servons est le Dieu des combats , Non, non, il ne souffrira pas Qu’on égorge ainsi
d les magistrats ; autant vaudrait tirer au sort les athlètes pour le combat , le pilote pour le gouvernail. Aristote recommand
es, attaques hardies, retraites honorables, campements bien ordonnés, combats soutenus, batailles gagnées, ennemis vaincus par
les cicatrices de blessures reçues en pleine poitrine dans plusieurs combats . — Cicéron lui-même provoqua les sanglots de son
messe, Me dit d’un ton aisé, doux, simple, harmonieux : Je chante tes combats et cet homme pieux Qui des bords phrygiens condui
e deuil. Il avait dix-huit ans et s’était déjà signalé dans plusieurs combats . A la bataille de Chéronée, ‘il avait enfoncé et
tinée d’y tendre librement ; oui, le poëte a bien dit : La vie est un combat dont la palme est aux cieux. Le tour négatif est
que les rochers renvoyaient plus affreux, Enfin, toute l’horreur d‘un combat ténébreux. Que pouvait la valeur dans ce trouble
relle, Quand j’osai contre lui disputer l’encensoir, Mes brigues, mes combats , mes pleurs, mon désespoir Enfin Fléchier a fait
it : La mort n’est vraiment pas un. Le guerrier de Virgile courant au combat avec ardeur s’écrie : Est-ce donc un si grand mal
qui affaiblit les raisons de l’adversaire, car il le désarme avant le combat en dépouillant ses moyens d’action du mérite de l
qu’elle inflige, les verges, la prison ; que lorsqu’elle t’envoie aux combats recevoir des blessures, et la mort, tout devoir e
a eu soin d’ajouter cette chute brillante et sonore et la gloire des combats . Il continue : Aussi intrépide que son maître, l
il a dit, dans cette phrase où il fait passer le lecteur, du récit du combat au tableau de la victoire : Mais la victoire va
ais la victoire va devenir plus terrible pour le duc d’Enghien que le combat . Ces deux formes très-simples de transition ont
e de Bréban. Ils désignèrent Montendre, près Bordeaux, pour le Heu du combat et choisirent pour chef le plus fameux d’entre eu
résors de l’Angleterre. C’est le sénéchal de Saintonge qui préside au combat . La rencontre a été publiée avec la pompe accoutu
do bonté à faire trêve, quand la trêve doit être suivie d’un nouveau combat . L’assistance vous invite à prendre un instant de
es, mort aux Français ! Ah ! foi de héraut d’armes, voici un glorieux combat  ! Les armures cèdent sous les coups ; plusieurs g
s le mérite et qui encourage la vertu. Alors, puisqu’il vous faut des combats et de la gloire, vous tournerez contre les Duces
 ; il n’est pas placé sur un vaste théâtre ; il ne livre point de ces combats qui renouvellent les triomphes d’Arbelles et de P
les de son pays. Bonaparte n’a aucun trait de ce grave Américain : il combat avec fracas sur une vieille terre ; il ne veut cr
78 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
sion ne pénètre que péniblement et par des efforts redoublés. Pauline combat l’ardeur du martyre qui l’a chassée du cœur de Po
l faut toute l’habileté de l’art pour livrer avec avantage de pareils combats . Si, dans les œuvres d’imagination, les poëtes dr
rité parmi les hommes ; elle empêche les erreurs de la justice ; elle combat ses propres excès et corrige même les scandales q
orateurs et des poëtes. 1. Le Dieu que nous servons est le Dieu des combats . 3. Non, non, il ne souffrira pas Qu’on égorge ai
es, attaques hardies, retraites honorables, campements bien ordonnés, combats soutenus, batailles gagnées, ennemis vaincus par
nds poëtes tragiques, auxquels on a reproché l’abus de la narration : combat de Rodrigue contre les Maures, des Horaces et des
re-garde, des fantassins nombreux et braves, pour soutenir le fort du combat  ; il pousse au centre les mauvais soldats, afin d
nt en lui à qui demeurerait le maître. Ils y faisaient un bruit et un combat continuel entre eux. » (Portrait de Dubois.) 7°
79 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
e et le nombre de ces noms. La valeur que vous avez montrée, dans ce combat sanglant, nous a remplis de la plus grande estime
e autant, aime mieux mourir, que de faire la moindre lâcheté dans les combats . Ainsi il y a une faute dans ces vers de Voltaire
dire : il n’est point de mémoire d’un plus rude et d’un plus furieux combat . Suivant le principe établi, on ne le peut point.
fère : il n’est point de mémoire d’un plus rude ni d’un plus furieux combat . Pas et point sont des conjonctions qui exprime
que les rochers renvoyaient plus affreux ; Enfin toute l’horreur d’un combat ténébreux ; Que pouvait la valeur dans ce trouble
80 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
imal, qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats . Aussi intrépide que son maître, le cheval voit l
dit la chaleur, l’éclat de la flamme ; mais si l’on dit la chaleur du combat ou du style, l’éclat de la vertu ou de la beauté,
noirs. Puis, empereur puissant dont la tête s’incline, Gouvernant un combat du haut de la colline, Promettant une étoile à se
81 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
antaient qu’une religion fausse, un héroïsme souvent mal entendu, des combats dont la gloire était quelquefois chimérique. Dans
des grands hommes dans tous les genres, des héros vainqueurs dans les combats , des souverains, des hommes d’Etat, des magistrat
d a servi jusqu’à la bataille de Poitiers, à animer le soldat dans le combat . Les sectaires et les révolutionnaires se sont so
82 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
encore, comme le dernier soupir de la muse épique. C’est ainsi que le combat des Trente fera vibrer un instant le mètre pesant
que acérée, dont le tranchant s’est aiguisé dans les conflits même du combat . Désormais, le français peut suffire à tous les b
83 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
dans la carrière militaire, et si je pouvais craindre les hasards des combats , ce langage serait tout à fait déplacé. Sire, Vot
st aussi victorieuse que l’épée de Marengo Napoléon raisonne comme il combat . 1. L’empereur d’Allemagne était élu par des pri
84 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
it naturel, de courage et d’ambition, il se mêla aux intrigues et aux combats de la Fronde, pendant la minorité de Louis XIV ;
85 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
érité. Homère ne nous montre pas un jeune homme qui va périr dans les combats , sans lui donner des grâces touchantes. Il le rep
cicatrices des blessures honorables qu’il avait reçues dans plusieurs combats . Cicéron nous apprend aussi (Orat., c. 38) qu’il
u’il lutte contre les obstacles et les dangers : sa force est dans le combat . Un brave soldat disait, à la vue de la citadelle
le d’un récit également court et intéressant. Cicéron décrit ainsi le combat entre Clodius et Milon81 : « Ils se rencontrent,
s et d’esclaves, plus propre à embarrasser qu’à servir au milieu d’un combat . Fléchier, dans l’oraison funèbre de Turenne, aya
menaçant ; et il ajoute que la colère qui les avait animés pendant le combat vivait dans la mort même : Omnium vulnera in pec
r les arbres mêmes. C’est par la même figure qu’on dit d’un héros qui combat  : La mort est dans ses mains. 3º Le contenant po
qu’elle inflige, les verges, la prison ; que lorsqu’elle t’envoie aux combats recevoir des blessures et la mort, ton devoir est
relle, Quand j’osai contre lui disputer l’encensoir, Mes brigues, mes combats , mes pleurs, mon désespoir ? (Athalie.) Je ne v
la plupart de ceux qui les suivirent, pour former leurs disciples aux combats de la parole, examinèrent devant eux des thèses g
e ; les Athéniens viennent dans le Céramique honorer les victimes des combats  ; chaque tribu accompagne les cercueils de cyprès
ui vient le venger de Rome ; et le Franc superbe, invincible dans les combats , fidèle au serment et à l’amitié ; soumis au prin
Le Seigneur est avec toi ; il te conduira par la main au travers des combats  ; il renversera les nations devant toi ; à ton ap
s le mérite et qui encourage la vertu. Alors, puisqu’il vous faut des combats et de la gloire, vous tournerez contre les Daces
m’irrite pas ; j’admire leur valeur, dont je déplore l’usage ; je les combats et je les plains. Du moins, j’accomplis ainsi le
us donnerai pas ce signal ; c’est la première fois qu’Henri refuse le combat à sa brave noblesse : il ne trouve plus de courag
86 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
es Horaces, romains, et les Curiaces, albains. Tite-Live décrivant ce combat , dit des trois jeunes guerriers : ils s’avancent
es troupes, et finit, suivant Tacite, par ces paroles : en allant au combat , songez à vos ancêtres et à vos descendants . Que
mots sont pris dans le sens propre. Mais quand on dit, la chaleur du combat , un rayon d’espérance, ils sont pris dans le sens
87 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123
cette louange : prudent et ferme dans le conseil, intrépide dans les combats sans être emporté, compatissant comme s’il n’avai
88 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre I. — Rhétorique »
ge, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs, Que le sort des combats respecta quarante ans ; Frappez, ne craignez rien
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
s les pas des vieux soldats, si vous ne pleurez pas au récit de leurs combats , si vous n’êtes pas mort presque du désir d’en vo
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bourdaloue, 1632-1704 » pp. 133-137
leur, ce sang-froid qu’il savait si bien conserver dans la chaleur du combat , cette tranquillité dont il n’était jamais plus s
91 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
ble, les contes à faire peur ; que certains peuples ont recherché les combats de gladiateurs et d’animaux. D’où vient ce singul
s fiévreuses qui ont quelques rapports avec les jeux du cirque et les combats de l’amphithéâtre. Si le drame ne se laissait pas
92 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
t si vive, si déliée, si courte, légère comme doit l’être une arme de combat , la langue poétique, au contraire, malgré quelque
uvelles et à la faveur même des passions que cette liberté soulève ou combat . La tribune se relève. Des orateurs tels que Serr
une passion : la morale même des païens en est convenue. Du moins les combats où président la fermeté, la grandeur du courage,
t l’orgueil, pour un peu de temps, peut suppléer à la vertu. Mais les combats de la foi sont des combats de tous les jours : on
temps, peut suppléer à la vertu. Mais les combats de la foi sont des combats de tous les jours : on a affaire à des ennemis qu
lui-même vous dresse des embûches ; il faut sans cesse recommencer le combat . En un mot, on peut être quelquefois plus fort ou
iqua le premier, et l’école moderne relève de lui, même quand elle le combat . Cependant les Lettres philosophiques, où le dess
t le roi, aidé de son feld-maréchal Rehnskold, ordonnait tout pour un combat général. Il rangea sur deux lignes ce qui lui res
lançaient des feux plus terribles que ceux du tonnerre, la vue de ces combats de la terre contre le ciel, fondement de la fable
rés, des efforts et des cris de colère, il donne l’alarme, avertit et combat  : aussi furieux contre les hommes de proie que co
peu de distance du Capitole à la roche Tarpéienne ; mais l’homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas s
u’ils livrent aux fureurs du peuple trompé celui qui depuis vingt ans combat toutes les oppressions, qui par lait aux Français
une longue espérance, tout se soulève autour d’eux comme un appel au combat  ; chaque battement de leur cœur est une pensée d’
s après la révolution de 1848, le 4 juillet de cette même année374. Combat des Romains contre les Francs375. Le soleil du
on chrétienne, ordonne d’élever la cotte d’arme de pourpre, signal du combat  ; les archers tendent leurs arcs ; les fantassins
, elle effleurait à peine la cime des neiges nouvellement tombées. Un combat violent s’engage entre les cavaliers, sur les deu
liance du pouvoir populaire, aristocratique et religieux. Du Guesclin combat le prince de Galles, Chandos, le captal de Buch,
lui fut remise : « Sire, lui écrivait le comte, après un long et rude combat , j’ai pris la seule résolution qui me convienne ;
, Guillaume fit annoncer aux Normands que le lendemain serait jour de combat . Des prêtres et des religieux, qui avaient suivi
rent, et montèrent sur une hauteur voisine, pour prier et regarder le combat . Un Normand, appelé Taillefer, poussa son cheval
es furent enfoncées : cavaliers et fantassins y pénétrèrent ; mais le combat fut encore vif, pêle-mêle et corps à corps. Guill
up moururent, sur les chemins, de leurs blessures et de la fatigue du combat . Les cavaliers normands les poursuivirent sans re
s, Roland l’ouvrit en deux coups de, sa Durandal. C’est le symbole du combat éternel de la France et de l’Espagne, qui n’est a
esprit alarmé redoute du génie L’assaut victorieux : Il s’étonne, il combat l’ardeur qui le possède, Et voudrait secouer du d
guidait seconda mon courage : Heureux si j’avais pu dans l’un de ces combats Prévenir mon destin par un noble trépas ! Mais je
ur moi le pouvoir légitime, L’erreur où nous étions, mes regrets, mes combats , Les pleurs que j’ai trois ans donnés à ton trépa
quatre sous par jour : Je les vois, prodiguant leur vie, Chercher ces combats meurtriers, Couverts de fange et de lauriers, Et
Que ce fût à ta main de m’oser couronner ? Va tenter loin de moi tes combats et tes sièges ; Transporte où tu voudras tes drap
scendu ! Quelle étrange union conspire à ma ruine ! Le parti de Séjan combat pour Agrippine ! Quoi ! ce Fulcinius, apprenti sé
courage au-dessus du trépas ? Les Pisons vos aïeux mouraient dans les combats  : A Rome, ils triomphaient d’une ligue ennemie. O
rs chansons ? Et ces compagnons du jeune âge Qui m’ont suivi dans les combats , Ont-ils revu tous le village ? De tant d’amis ne
eau nom. Les Grecs ont tout perdu : la langue de Platon, La palme des combats , les arts et leurs merveilles, Tout, jusqu’aux no
Sérieuse.(Fragment.) C’est le capitaine ‘ lui-même qui raconte le combat soutenu par sa frégate à Aboukir (Ie*- août 1798)
Pour contempler la flamme en bravant ses torrents. Que sont les vains combats des tigres et de l’homme ? Les sept monts aujourd
battants, Pour champ de course, alors, tu lui donnas la terre, Et des combats pour passe-temps ; Alors, plus de repos, plus de
te du foyer. Ici, exigeante et hautaine, elle appelait les peuples au combat  ; là, bienveillante et pieuse, elle n’avait d’aut
s, des sabres de soldats Se choquent : ces bords seuls ont vu de tels combats . — « O païens, je suis prêtre ! À grands coups de
n faux brillant A sa simplicité malgré toi ne s’ajoute. Grave dans le combat , légère dans la joute, « On le voit, ajoute Sain
même prière, et demande qu’un jour on dise de son fils au retour des combats  : Oui ! ce héros surpasse encore son père (Iliade
93 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »
e sur le point d’être détruite et renversée, pour montrer que dans ce combat le ciel, les enfers, les choses mortelles et immo
94 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
le ; qui, par conséquent, est plus propre pour les fêtes que pour les combats , et plaît davantage qu’elle ne sert2, quoique néa
95 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
êter la violence et ne font que l’irriter encore plus. Quand la force combat la force, la plus puissante détruit la moindre ;
96 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
e roi se vit saisi, la violence de son tempérament et la fureur où un combat si long et si terrible avait dû le mettre firent
97 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
3 qu’il faut assujettir à l’obéissance, de lâches qu’il faut mener au combat , de téméraires qu’il faut retenir, d’impatients q
98 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
ssions modérées, qui peuvent produire des plaintes, des chansons, des combats poétiques, des récits intéressants. Mais il faut
e, adressée au roi Louis XIV, où il vante les bienfaits de la paix et combat la manie de la guerre et des conquêtes. Peut-on r
t alarmé redoute du génie         L’assaut impérieux. Il s’étonne, il combat l’ardeur qui le possède, Et voudrait secouer du d
99 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
livres répandus dans sa chambre indifféremment ; ouvrez-les, c’est le Combat spirituel, le Chrétien intérieur et l’Année saint
alors il dit : « Courage ! » et distingue, comme par l’odorat, que le combat va se donner, avant qu’il se donne. Il entend, ce
trompette guerrière, son intelligence qui lui fait comprendre que le combat va s’engager, et ses frémissements par lesquels i
100 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
emps d’être le premier dans la victoire après avoir été le premier au combat  ; — Jodelle, mort en 1573, après avoir, a l’âge d
à Villegaignon235 qui ne s’est bien trouvé D’avoir ce grand Calvin au combat esprouvé. «  Quant à moy je suis prest, et ne per
is ne se veoit un teint si delicat, Mais une main robuste endurcie au combat . La sueur du harnois est nostre commun baume ; Le
endurcie au combat. La sueur du harnois est nostre commun baume ; Les combats , les assauts sont l’esbat du royaume. Nostre ame
t432 ! Quand il tient une grappe en sa vigne choisie, Dont la couleur combat avec la cramoisie !     Jamais il ne se fâche ; i
r d’Allemagne, l’an 1645 Soyez, Seigneur, bien revenu De tous vos combats d’Allemagne : Et du mal qui vous a tenu Sur la fi
le danger, Que vous aimiez tarit à le suivre ? Si vous aviez dans les combats D’Amadis l’armure enchantée784, Comme vous en ave
belles Qu’on trouve en la suite des ans ; Tant d’exploits et tant de combats . Tant de murs renversez à bas, Dont parlera toute
i la gloire te plaît, l’occasion est belle ; La querelle du ciel à ce combat t’appelle, La torture, le fer et la flamme t’atte
is ne me fait point de honte. Depuis plus de six ans il ne s’est fait combat Qui ne m’ait bien acquis ce grand nom de soldat.
s’il en faut notre reconnoissance, Nous avouerons tous deux qu’en ces combats derniers L’un et l’autre, sans lui, nous étions p
e. Comtes, de cet anneau lui-même dépend le diadème : Il vaut bien un combat  ; vous avez tous du cœur : Et je le garde… D. LOP
ulu répéter un petit929 Sur quel ton et de quelle sorte Je ferois du combat le glorieux récit. AMPHITRYON. Ensuite ? SOSIE.  
son temps, et, plus que lui, de nos jours, Son nom a été une arme de combat dans la guerre des classiques et des romantiques.
n esprit alarmé redoute du génie L’assaut victorieux. Il s’étonne, il combat l’ardeur qui le possède, Et voudroit secouer du d
de Broglie1073 osez suivre les pas ; Sage en projets, et vif dans les combats , Il a transmis sa valeur aux soldats ; Il va veng
quatre sous par jour : Je les vois, prodiguant leur vie, Chercher ces combats meurtriers Couverts de fange et de lauriers, Et p
e sang tombe des airs. Il déchire et dévore Le reptile acharné qui le combat encore ; Il le perce ; il le tient sous ses ongle
, mon désespoir, ma vie, Votre opprobre est le mien. Mais si dans les combats J’avais suivi la trace où m’ont conduit vos pas,
ent avec fracas, Lorsque sur ma niche éthérée Ils préludent aux fiers combats Qu’ils vont livrer sur vos climats ; Ou quand leu
étais jeune et vaillant. Aux danses des guerriers, « À la course, aux combats , j’ai paru des premiers. « J’ai vu Corinthe, Argo
s colorés, L’héréditaire éclat des nuages dorés1239. Mais d’un double combat Eurynome est avide, Car ses pieds, agités en un c
63 Qu’une ardeur de dispute éveilloit avant l’aube ? Contiez-vous un combat de votre régiment, Il savoit mieux que vous où, c
dont le modèle est celui-ci, qui est resté du Paria : La vie est un combat dont la palme est aux cieux. Le médecin d’un
ttu ? Sans la mort, mes amis, que serait la vertu ?… C’est le prix du combat , la céleste couronne Qu’aux bornes de la course u
sifflant des glaciers aux vallées, Tels se sont élancés, au signal du combat , Les enfants du Tyrol et du Palatinat. Maintenant
s. Le saule, fragment. — Charpentier, éditeur.) Tableaux I. Combat de louves Comme on voit dans l’été, sur les h
S’arrêter face à face, et se montrer la dent ; La rage les excite au combat  ; cependant Elles tournent en rond lentement, et
battants, Pour champ de course, alors, tu lui donnas la terre, Et des combats pour passe-temps ; Alors, plus de repos, plus de
longs récits (Les Bretons, chant II. — Calmann Lévy, éditeur.) Combat de loups et de taureaux L’été, lorsque du cie
s barbare, Et j’oubliai les noms des antiques héros, Pour chanter les combats des loups et des taureaux ! (Les Bretons, chant
d’airain. Aussi bien qu’un penseur le sage est un athlète ; Un fier combat l’attend, à toute heure, en tout lieu. Il faut, p
nous récréer en elle ! Nous reviendrons plus forts et mieux prêts au combat , Si nous pressons du cœur la terre maternelle Qui
traits que m’ont fournis les rochers et les bois ; Là, pour d’autres combats j’en trouverais encore. Si j’ai frappé jamais des
lus de mille ans, nous ont été rendus1515 ; Rappelez nos dangers, nos combats , nos victoires ; Enorgueillissez-moi du récit de
allée de Macédoine, près de Phlégra ou Pallène, que la fable place le combat des Géants contre les Dieux. 731. Put est la tr
r la bataille de Lens : Il monte un cheval superbe. Qui, furieux aux combats , À peine fait courber l’herbe Sous la trace de se
coururent Paris. 1089. Allusion à la Βατραχομνομαχία (305 vers), ou combat des Grenouilles et des Rats. 1090. Lui aussi éta
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