ermait d’hommes corrompus, avait résolu le meurtre des plus illustres
citoyens
et l’incendie de la ville. Informé du complot, Ci
es hommes de cœur n’hésitassent pas à frapper avec plus de rigueur un
citoyen
dangereux que l’ennemi le plus redoutable. Aujour
i également au sénat que tu avais fixé le massacre des plus illustres
citoyens
au cinq des kalendes de novembre, ce jour où beau
tement ceux dont j’avais d’avance annoncé à plusieurs de nos premiers
citoyens
la visite chez moi, pour cette heure-là préciséme
ples des dieux immortels, les demeures des hommes, la vie de tous les
citoyens
, enfin toute l’Italie, sur lesquels tu appelles l
assassins, apostée par toi, devait tuer les consuls et les principaux
citoyens
? Que, si ta fureur criminelle demeura sans effet
ndale auquel tu n’aies pris part ; toi seul as pu égorger de nombreux
citoyens
, tyranniser et piller les alliés en toute impunit
ers romains, hommes honorables et vertueux, et pour tous ces généreux
citoyens
qui entourent le sénat, et dont toi-même, il n’y
de tes complices, va retrouver ton Mallius, soulève tous les mauvais
citoyens
, sépare-toi des bons, porte tes armes contre ta p
ise, chef d’une conjuration, soulève les esclaves et les plus mauvais
citoyens
; et cet homme, tu le laisses partir, sans voir q
’une fois, de simples particuliers, dans cette république, voyant des
citoyens
en compromettre la sûreté, les ont frappés de mor
a sûreté, les ont frappés de mort. Les lois relatives au supplice des
citoyens
romains ? mais jamais, dans cette ville, ceux qui
ux qui se sont révoltés contre l’État, n’ont conservé leurs droits de
citoyens
. Craindrais-tu les reproches de la postérité ? ce
e heure de plus. Car si autrefois les plus grands, les plus illustres
citoyens
, en frappant Saturninus, les Gracques, Flaccus, e
les maisons de la ville, ses remparts, la vie, la fortune de tous les
citoyens
. Et tous ces persécuteurs des honnêtes gens, ces
sources de Catilina les forces de la république. Enfin il exhorte les
citoyens
à veiller autour de leurs maisons et même à les f
artir d’ici ; s’être vu arraché le fer des mains par moi, laisser les
citoyens
pleins de vie et ces murailles debout, quel chagr
ennemi si redoutable, et de l’avoir laissé partir, je lui répondrais,
citoyens
, que la faute n’en est pas à moi, mais aux circon
, en le laissant se déclarer ouvertement votre ennemi. Et cet ennemi,
citoyens
, vous pouvez juger combien je le trouve redoutabl
l. Au premier mot d’exil, il s’est soumis, il s’en est allé. Eh bien,
citoyens
, hier, après avoir failli être assassiné dans ma
qui ne le regarda de l’œil dont on regarde, je ne dis pas un mauvais
citoyen
, mais le plus redoutable des ennemis ? Que dis-je
est alors que moi, moi ce consul impitoyable, qui d’un mot envoie les
citoyens
en exil, je demandai a Catilina s’il était vrai o
les projets, anéanti les espérances et les efforts ; non, ce sera un
citoyen
condamné sans procès, un innocent jeté en exil pa
s veulent seulement écouter ma voix. Je vous ferai connaître d’abord,
citoyens
, de quelles classes d’hommes se compose la troupe
er contre l’usure ; ils seraient aujourd’hui plus riches et meilleurs
citoyens
. Mais, du reste, ces hommes me semblent assez peu
s, que je suis là, que je veille sur la république ; ensuite, que les
citoyens
honnêtes sont pleins de courage, unis entre eux,
sent-ils donc qu’au milieu de Rome en cendres, noyée dans le sang des
citoyens
, ils verraient se réaliser leurs espérances sacri
s colonies, jadis fondées par Sylla, colonies formées, en général, de
citoyens
honnêtes et courageux, je le sais ; mais il en es
ôtre à tous. Ce sont des ennemis, à coup sûr ; cependant ils sont nés
citoyens
, et, à ce titre, je ne veux pas leur ménager les
t sur terre et sur mer, échappe aux fureurs parricides de ses mauvais
citoyens
, grâce à leur divine protection. Troisième d
t l’attentat a été dévoilé par lui en plein sénat, et engage tous les
citoyens
à se rendre, avec leurs femmes et leurs enfants,
tre son habitude, une partie de la nuit à veiller. Un grand nombre de
citoyens
, des plus élevés et des plus distingués, s’étaien
itions arrêtés d’avance, et où l’on massacrerait un nombre immense de
citoyens
, Catilina fût à portée d’arrêter ceux qui voudrai
mme le sénatus-consulte n’est point encore rédigé par écrit, je vais,
citoyens
, vous dire de mémoire les résolutions qui ont été
e décret porte ces mots : Pour avoir préservé Rome de l’incendie, les
citoyens
du massacre, l’Italie de la guerre. Si l’on compa
ie, les citoyens du massacre, l’Italie de la guerre. Si l’on compare,
citoyens
, le texte de ce décret avec d’autres analogues, o
’autres analogues, on est frappé de cette différence : que les autres
citoyens
ont obtenu un tel honneur pour avoir bien servi l
x du sénat, non seulement sa qualité de préteur, mais encore celle de
citoyen
; néanmoins il se démit officiellement de sa char
nous arrêter quand il faudra punir P. Lentulus : ce n’est plus qu’un
citoyen
ordinaire. VII. Maintenant, Romains, que le
ourd’hui que nous avons pu la voir en place. IX. Et maintenant,
citoyens
, peut-il exister un homme assez ennemi de la véri
es, des incendies, la ruine de la république, tout cela tramé par des
citoyens
romains ; et ces forfaits, que leur énormité même
, ont été, vous avez dû le reconnaître, non seulement médités par des
citoyens
impies, mais presque consommés. Comment d’ailleur
us tous avez été sauvés. Ce sont les dieux immortels qui m’ont guidé,
citoyens
, ce sont eux qui, éclairant mes conseils, dirigea
ous sommes fut alors couvert d’un monceau de cadavres, et le sang des
citoyens
y coula à grands flots. Cinna et Marius triomphèr
flots. Cinna et Marius triomphèrent à leur tour ; alors les premiers
citoyens
furent massacrés, et avec eux la république vit s
it, et la république eut à pleurer, sinon sa mort, du moins celle des
citoyens
qui périrent avec lui. Et cependant, Romains, tou
devenant impossible, elles ne purent s’éteindre que dans le sang des
citoyens
. Mais dans la guerre actuelle, la plus redoutable
uver leur salut dans le salut de Rome, j’ai si bien pris mes mesures,
citoyens
, que vous voilà tous sauvés. Et, tandis que vos e
de leur rage, tout sauvé. XI. En échange de si grands services,
citoyens
, je ne vous demande ni récompense pour mon courag
mais qu’une si vaste et si menaçante conjuration eût pour auteurs des
citoyens
romains, voilà ce que jamais je n’aurais pensé. M
e fois, dans cette république la peine capitale a été appliquée à des
citoyens
dangereux. L’autre est persuadé que la mort a été
ir au sénat, sans doute pour n’avoir pas à se prononcer sur la vie de
citoyens
romains. Ce sont les mêmes hommes qui, il y a tro
ains. Ce sont les mêmes hommes qui, il y a trois jours, privaient des
citoyens
romains de leur liberté, les mêmes qui décrétaien
Pour César, s’il sait que la loi Sempronia fut établie en faveur des
citoyens
romains, il sait aussi que l’homme qui se déclare
t aussi que l’homme qui se déclare l’ennemi de la patrie ne peut être
citoyen
à aucun titre ; il n’ignore pas également que l’a
s les fers pour sa vie : il va même jusqu’à ôter dans l’avenir à tout
citoyen
la possibilité de se faire valoir, en demandant l
ge Céthégus d’égorger les sénateurs, Gabinius de massacrer les autres
citoyens
, Cassius de livrer Rome aux flammes, Catilina de
in, qui est bien décidé à sauver son empire et la fortune de tous les
citoyens
. Autour de nous se sont rangés les hommes de tous
depuis la fondation de Rome, qui unisse dans une même pensée tous les
citoyens
, excepté ceux qui, voyant leur perte inévitable,
tiers une classe à part ; ce ne sont pas même, à mes yeux, de mauvais
citoyens
; je les relègue au nombre des ennemis les plus a
ait voler à la défense de l’État les tribuns du trésor, ces courageux
citoyens
; je les vois autour de nous, et, avec eux, la cl
courus ici, même les plus obscurs d’entre eux. Quel est, en effet, le
citoyen
pour qui ces temples, l’aspect de cette ville, la
ranchis. Depuis que leur mérite leur a valu l’heureuse fortune d’être
citoyens
romains, ils regardent comme leur véritable patri
i d’hommes et de classes que l’intérêt de leur fortune, les droits de
citoyens
auxquels ils sont admis, la liberté enfin, si dou
ondition soit tolérable, qui n’ait horreur d’un complot tramé par des
citoyens
romains, qui ne désire la conservation de cette r
s. À vous elle confie le soin de son salut, à vous la vie de tous les
citoyens
, à vous la citadelle et le Capitole, à vous les a
entat puisse être, je ne dis pas commis, mais simplement rêvé par des
citoyens
, voilà à quoi il vous faut aviser en ce jour. Si
eçu en grâce, se croit enchaîné par la reconnaissance. Mais quand des
citoyens
, égarés par je ne sais quel délire, se sont une f
donc une guerre éternelle qu’il me faudra soutenir contre les mauvais
citoyens
, je le vois ; mais, fort de votre appui et de cel
particuliers, dans les villes même, chez les Siciliens comme chez le
citoyen
romain, en un mot, que dans la Sicile entière, il
la plus indigne vos amis les Mamertins. II. Caïus Héjus est le
citoyen
de Messine le plus riche en meubles et en ornemen
e pour faire son apologie a pour chef Héjus, car Héjus est le premier
citoyen
de sa ville ; et il est à craindre que, portant l
l les avait vendues au prix qu’il en avait exigé. Mais ce respectable
citoyen
de Messine, qui voulait vous donner une juste idé
os larcins, vous poursuit comme les autres : voici un de ses premiers
citoyens
, député par elle à l’occasion de ce procès intent
nateur nommé par la ville pour présider à cette construction. Ce même
citoyen
, juges, reprenant sa qualité de particulier, s’ad
pages de Caton, celui-là qui fut consul. Et quel était cet homme ? un
citoyen
également illustre et puissant ; néanmoins la dig
croix sur laquelle, en présence de la multitude, il a fait élever un
citoyen
romain : attentat qu’il n’aurait osé commettre ai
raché du port de votre ville cette croix où coule encore le sang d’un
citoyen
de Rome ! vous ne l’avez pas jetée au fond de la
deraient, en venant de l’Italie, l’instrument du supplice d’un de nos
citoyens
, avant qu’ils pussent voir un ami de la républiqu
bitants de Rhégium, dont la puissance excite votre jalousie, et à nos
citoyens
établis parmi vous, afin de les humilier, et de l
arrasser de ces tapisseries. De plus, Philarque, ce riche et illustre
citoyen
de Centorbe, avait de magnifiques ornements de ch
public, il alla le matin, durant les jeux du cirque, chez L. Sisenna,
citoyen
recommandable. Comme il y avait des tables dressé
Lilybée, d’où nous nous sommes éloignés. Dioclès, surnommé Popilius,
citoyen
de cette ville, est le gendre de Pamphile, à qui
ui, par l’obligeante entremise de Catulus, reçut de Sylla le titre de
citoyen
romain, ne l’avez-vous pas enlevée publiquement d
en Sicile et s’était éloigné de sa maison. Tous les Siciliens et les
citoyens
romains qui sont dans cette île, voyant jusqu’où
dise : Il a enlevé une coupe à Eschyle de Tyndare, un vase à Thrason,
citoyen
de la même ville, un encensoir à Nymphodorus d’Ag
il n’était pas maître de ses mains. Cn. Pompée Philon était autrefois
citoyen
de Tyndare. Il invita Verrès à souper dans sa mai
a ville. Il fit ce que les Siciliens n’osaient faire ; comme il était
citoyen
romain, il crut qu’il le ferait sans risque : il
ment l’argenterie. Quoi ! n’en fit-il pas autant à Eupolème, illustre
citoyen
de Catane, l’hôte et l’ami de la famille des Lucu
e, que sa naissance, ses vertus, ses richesses, mettent à la tête des
citoyens
de cette ville, n’a-t-il pas déposé, après avoir
ue les chemins étaient difficiles à gravir. Il fait venir Archagathe,
citoyen
de cette ville, homme respecté dans sa patrie et
est exécuté : on l’arrache du doigt de L. Titius, père de famille et
citoyen
romain. Et sa passion pour les ornements de lits,
. Il chargeait des mêmes soins, a Nétum, Attale, homme fort riche, et
citoyen
de cette ville ; Lyson à Lilybée ; Critolaüs à En
n, je renouvelle cette consécration en présence de cette assemblée de
citoyens
romains ; je donne ce candélabre, je l’offre, je
bien soigneusement aux Ségestains et reportée dans leur ville, où les
citoyens
, avec de grands transports de joie et d’allégress
e toute cette ville rendait à cette déesse ; hommes libres, esclaves,
citoyens
, étrangers, personne n’osa toucher à sa statue. O
e, mais Rome tout entière. J’ai moi-même ici un rôle à remplir, comme
citoyen
d’une ville qu’il a rendue plus puissante et plus
l’avarice, souhaite déjà que tous les hommes de cœur et tous les bons
citoyens
se joignent à ses descendants pour les défendre e
les députés de Tyndare, tous connus par leur probité, et les premiers
citoyens
de cette ville ; ils nous ont dit que ce Mercure,
le protecteur, je ne dis pas de toute la Sicile, mais du dernier des
citoyens
? Par vos ordres, la statue d’un Marcellus a serv
en justice. Zosippe et Hisménias, hommes distingués, et les premiers
citoyens
de Tyndare, ont parlé de même en votre présence.
nombre et le courage des Agrigentins, et l’intervention de plusieurs
citoyens
romains, gens honnêtes et pleins de bravoure, qui
de bandelettes et de couronnes de verveine, suivis d’une multitude de
citoyens
. Tandis que je parlais à cette assemblée, ce n’ét
ient qu’elle réside au milieu d’eux : aussi me semblent-ils moins les
citoyens
d’Enna que les prêtres, les concitoyens et les po
s les corsaires et aux brigands de la Cilicie ; qu’en persécutant les
citoyens
, en déshonorant leurs femmes, il les a accablés d
in, vit et respecta, qu’il laissa à la religion de ce peuple, que les
citoyens
et les habitants de cette grande ville honoraient
arrivée de Verrès que la victoire de Marcellus ne leur avait coûté de
citoyens
. Ce conquérant, plein d’humanité, ne fut pas plut
e. Quelle somme, je le demande, les habitants de Rhégium, aujourd’hui
citoyens
romains, exigeraient-ils pour laisser emporter le
oumis et si généreux envers lui. Je ne voyais donc à Syracuse que des
citoyens
romains, je ne consultais que leurs registres, et
ui fit cet appel ? un magistrat ? non. Un sénateur ? encore moins. Un
citoyen
de Syracuse ? point du tout. Qui donc ? celui qui
le peuple comble d’éloge son sénat et lui témoigne sa gratitude ; les
citoyens
romains ne me quittent point : ma plus grande aff
des Siciliens, il a fait battre de verges et frapper de la hache des
citoyens
romains. L’orateur s’étend surtout en termes path
res publics, toute la ville de Lilybée, et une nombreuse assemblée de
citoyens
romains. Rien ne peut sauver les fugitifs ; on le
er des bras de la mort et les délivrer ! Était-ce pour réserver à des
citoyens
romains, qui n’étaient pas condamnés, cette croix
és pour des attentats qui menaçaient la vie et la fortune de tous les
citoyens
. Ici, c’est un événement si nouveau, qu’il semble
il ne fallait pas punir avec tant de rigueur un homme fort distingué,
citoyen
d’une ville respectable, ni le condamner sans l’e
renfermés par l’autorité publique. Comme Verrès y retenait plusieurs
citoyens
romains, et qu’il avait ordonné d’y conduire les
à la place de ceux qu’il avait fait conduire, chez lui, substitua des
citoyens
romains qu’il avait mis en prison auparavant. Il
raison, s’étaient volontairement associés avec eux. Ainsi, parmi ces
citoyens
romains, les uns, dans la crainte qu’ils ne fusse
ntenter contre la cruauté de Verrès et pour l’injuste mort de tant de
citoyens
romains, je m’expliquerai si énergiquement, que,
une physionomie agréable et les artistes sont conduits chez lui ; des
citoyens
romains, substitués pour en remplir le nombre, so
éposition de M. Annius, homme des plus illustres, qui déclara que des
citoyens
romains, avaient eu la tête tranchée, mais que le
romain est admirable et rare ! Annius, chevalier romain, dépose qu’un
citoyen
a eu la tête tranchée, vous vous taisez ; que le
ps ? pourquoi, dis-je, après avoir fait sans délai couper la tête aux
citoyens
romains pris par les pirates, avez-vous laissé à
que je vous ai contraint d’avouer qu’après avoir fait supplicier des
citoyens
romains, vous aviez laissé vivre et gardiez dans
et aux lieutenants ? Où étaient vos intendants, vos tribuns ? Si nul
citoyen
romain ne s’est trouvé digne de remplir ces fonct
e vaisseau d’Haluntium fut pris le premier : il était commandé par un
citoyen
d’Haluntium nommé Philarque, homme de distinction
la réputation de la ville, parce que Syracuse renferme une réunion de
citoyens
romains assez imposante pour mériter non seulemen
stice, vertu qui vous fut toujours inconnue. Dexion le père, l’un des
citoyens
les plus distingués de Tyndaris, était du nombre
aient donné pour obtenir leur congé. Il y avait encore un autre père,
citoyen
d’Herbite, nommé Eubulide, homme recommandable et
ait pas même prétexte d’accusation. On voyait parmi ces capitaines un
citoyen
d’Héraclée, nommé Furius (dans cette province plu
ge et la main de ton bourreau Sestius, lorsque, dans une assemblée de
citoyens
romains, tu fis trancher la tête à leurs concitoy
e importance, dans une cause qui intéressait tant d’hommes et tant de
citoyens
, il n’appela ni Vettius, son questeur, ni P. Cerv
sté par sa déposition. Voici Phalargus de Centorbe, l’un des premiers
citoyens
de cette ville si considérable ; il dit la même c
tre moi-même témoin de l’indignité de leur supplice. XLVII. Les
citoyens
de ces provinces, les laboureurs de ces champs, q
ces trophées, les a encore privées, par un crime détestable, de leurs
citoyens
les plus illustres. Voici ce que ceux de Tyndaris
nir la vie de l’un de ses plus irréprochables, de ses plus honorables
citoyens
. XLVIII. À qui les alliés auront-ils recour
yeux de tout le monde ; vous avez fait trancher la tête à des hommes,
citoyens
romains et connus pour tels. Vous avez eu l’audac
lle province, chez les plus fidèles alliés, devant de très honorables
citoyens
romains, dans les alarmes et les périls de toute
de l’armée navale au lieutenant du peuple romain et l’avez donné à un
citoyen
de Syracuse ; vos soldats dans la Sicile ont manq
l ne s’agit point ici de l’intérêt de nos alliés, il est question des
citoyens
romains, c’est-à-dire de la sûreté et de la conse
affaire était douteuse. Tout ce que je dirai touchant le supplice des
citoyens
romains, est si clair et si frappant, que je pour
à la folie, et il n’hésitait jamais de faire éprouver en public à des
citoyens
romains les supplices destinés aux esclaves conva
sans que Verrès fît un signe, tombait par habitude sur les corps des
citoyens
romains. LIV. Pouvez-vous nier, Verrès, que
ique de Lilybée, devant un concours nombreux du peuple, C. Servilius,
citoyen
romain, ancien négociant dans la ville de Palerme
e en est témoin, la Sicile l’a entendu dire. Oui ; je soutiens que ce
citoyen
romain fut, en votre présence, accablé de coups p
un sujet qui donnât lieu d’en user de la sorte avec justice contre un
citoyen
romain, je demande quelle fut la cause de ce trai
ais-je plutôt en particulier qu’en général sur le supplice des autres
citoyens
romains ? La prison que Denys, ce cruel tyran, fi
ières, fut, sous le gouvernement de Verrès, le domicile ordinaire des
citoyens
romains. Quiconque lui choquait la vue ou lui dép
s en quelque endroit, chez quelque peuple que soit violé le droit des
citoyens
romains, vous jugez que cela intéresse la liberté
ires et aux ennemis que vous avez osé renfermer un si grand nombre de
citoyens
romains ? Vous n’avez point songé à ce tribunal,
e que d’autres confirmeront. On tranchait la tête inhumainement à ces
citoyens
romains dans la prison, en sorte que cette parole
la prison, en sorte que cette parole et cette réclamation : « Je suis
citoyen
romain, » qui en a secouru et sauvé plusieurs che
ou de son exécution. Registre des Syracusains… Vous entendez que des
citoyens
romains ont été conduits par troupes dans les Car
étrangères, si quelque peuple avait fait de semblables outrages à un
citoyen
romain, l’État ne s’en vengerait-il pas ? ne leur
ancêtres ont entrepris de guerres importantes sur le rapport que des
citoyens
romains avaient reçu quelque injure, que l’on ava
leurs biens, je vous le passe encore ; mais qu’après avoir pris à des
citoyens
romains leurs vaisseaux, leurs esclaves, leurs ma
tant. Si je faisais ce récit chez les Scythes, et non en présence des
citoyens
, des plus recommandables sénateurs de Rome, sur l
Rome, sur la place publique, le détail de tous les tourments que des
citoyens
romains ont soufferts toucherait le cœur des barb
qu’une pareille cruauté ne paraît être permise à personne contre nos
citoyens
. Puis-je m’imaginer qu’il vous reste quelque ress
une issue moins déplorable quand il est permis de conserver tous les
citoyens
échappés aux fureurs politiques. Mais Verrès, qui
al. Ne les a-t-il pas conservés tous avec le plus grand zèle ? À quel
citoyen
suppliant sa main victorieuse n’a-t-elle pas offe
m’est pas permis de profiter d’un avantage si considérable. Tous les
citoyens
de Putéoles sont ici présents ; un grand nombre d
e à Leptis ? Quoiqu’il y eût parmi le peuple de Syracuse plus de cent
citoyens
romains qui le connaissaient, et qui, les larmes
ancher la tête, non à quelque étranger ou à quelque ennemi, mais à ce
citoyen
romain connu de toute l’assemblée, connu de Syrac
l’exécution des supplices. Il commença pour lors à faire conduire les
citoyens
romains la tête couverte ; néanmoins il les faisa
portes de Rome, fidèle, remplie d’excellents alliés, de très honnêtes
citoyens
, n’a-t-elle en tout temps reçu de si bon cœur dan
n’a-t-elle en tout temps reçu de si bon cœur dans ses villes tous les
citoyens
romains, que pour être témoin de leur supplice ?
ous les citoyens romains, que pour être témoin de leur supplice ? Ces
citoyens
, qui revenaient du fond de la Syrie et de l’Égypt
ient été traités avec honneur chez les barbares, parce qu’ils étaient
citoyens
de Rome, qui avaient échappé aux embûches des pir
arrivés dans leurs foyers ? LXI. Que rapporterai-je de Gavius,
citoyen
municipal de Cosa ? Où trouver une voix assez for
qu’il pût paraître vraisemblable Contraint par les larmes de tous les
citoyens
romain qui font le commerce dans la Sicile, press
pèce de parfum des lois, commença à se plaindre dans Messine qu’étant
citoyen
romain, on l’eût mis en prison. Il ne dissimula p
hasard, Verrès arriva le même jour. On lui rapporte qu’ils avaient un
citoyen
romain qui se plaignait d’avoir été dans les Carr
les verges. En vain ce malheureux criait-il à haute voix qu’il était
citoyen
romain, de la ville de Cosa ; qu’il avait servi s
te à tous les licteurs de le saisir et de le battre avec violence. Un
citoyen
romain, juges, être battu de verges sur la place
s ni gémissements ; il ne faisait que répéter ces paroles : « Je suis
citoyen
romain. » Il croyait, en rappelant un si beau tit
, tandis qu’il ne cessait de réclamer et de faire valoir son titre de
citoyen
, une croix, oui, une croix était préparée à cet i
romain ! tout cela est-il tombé au point de n’avoir pu empêcher qu’un
citoyen
romain, dans une province romaine, dans une ville
et infortuné ne vous retenaient pas, les pleurs, les gémissements des
citoyens
romains qui pour lors étaient présents ne pouvaie
rien sur vous ? Vous avez osé mettre en croix un homme qui se disait
citoyen
romain ! Je n’ai point voulu, juges, dans la prem
tion et la haine, et par la crainte d’un péril qui intéresse tous les
citoyens
. Je me suis prescrit des bornes, j’ai usé de modé
our les juges, que ce Gavius que vous avez fait mettre en croix était
citoyen
romain, bourgeois de leur ville, et non un espion
ait retarder son supplice, avait crié à diverses reprises qu’il était
citoyen
romain, mais que c’était un espion. Mes témoins s
s, mais l’avoir vu conduire au supplice, et entendu crier qu’il était
citoyen
romain. Vous dites la même chose, Verrès : vous a
votre soupçon : je vous accuse par vos propres paroles ; il se disait
citoyen
romain. Si, arrêté chez les Perses ou aux extrémi
, quel autre cri, Verrès, feriez-vous entendre que celui-ci : Je suis
citoyen
romain ? Et quand, sans être connu chez des peupl
qui que ce pût être, quoiqu’il vous fût inconnu, dès qu’il se disait
citoyen
romain, ne devait-il pas à ce titre obtenir d’un
répondants ; cependant, sur la confiance que leur inspire ce droit de
citoyens
romains, ils croient qu’ils seront en sûreté, non
ois et de l’opinion contient dans le devoir, non seulement auprès des
citoyens
romains, qui leur sont unis par le langage, par l
eur servira de protection. Ôtez cette espérance, ôtez ce refuge à nos
citoyens
; supposez qu’ils ne doivent se promettre aucun a
doivent se promettre aucun avantage de cette déclaration : « Je suis
citoyen
romain ; » et qu’un préteur ou tout autre puisse
unément ordonner tel supplice qu’il voudra contre un homme qui se dit
citoyen
romain, sous prétexte qu’il ne sait pas s’il l’es
t : dès ce moment, par le principe de votre défense vous fermez à nos
citoyens
toutes les provinces, tous les royaumes, toutes l
dans ce cas adoucir son supplice ; s’il ne l’eût pas connu pour être
citoyen
romain, alors, si c’était votre bon plaisir, vous
vous serait inconnu et n’aurait pas un riche répondant serait, fût-il
citoyen
romain, condamné à périr sur la croix. LXVI.
ontré l’ennemi déclaré du nom, des familles et des droits de tous les
citoyens
. Ce n’était pas à cet homme, c’était à tous les c
de tous les citoyens. Ce n’était pas à cet homme, c’était à tous les
citoyens
libres, que vous en vouliez. Dites-moi, quelle ra
ic) que vous choisissiez ce lieu afin que celui qui se vantait d’être
citoyen
romain pût de cette croix voir l’Italie et regard
le dernier supplice de l’esclavage. C’est un attentat d’enchaîner un
citoyen
romain ; c’est un grand crime de le frapper de ve
point, Verrès, Gavius seul, ce n’est point un seul homme, le premier
citoyen
venu, c’est la cause commune de l’État et de la l
r. LXVII. Si je parlais de cet affreux spectacle, non pas à des
citoyens
romains, non à des amis de notre république, non
eurs de la justice, je suis persuadé que Verrès leur paraîtra le seul
citoyen
romain digne d’être attaché à cette croix, et tou
s vive quand il s’agit de notre propre sang ? car le sang de tous les
citoyens
romains doit être regardé comme mêlé et confondu,
éclament la sûreté générale et la vérité. En cette occasion, tous les
citoyens
, soit présents, soit absents, implorent votre jus
est ici une cause éclatante, facile à soutenir, et flatteuse pour les
citoyens
. Enfin, s’il paraît ici que j’aie voulu m’élever
, vous avez été dépouillé de tous ces avantages. Les yeux de tous les
citoyens
sont aujourd’hui fixés sur chacun de nous, pour v
ession des alliés, la spoliation des dieux immortels, le supplice des
citoyens
romains expirant sur la croix, ne paraissent suiv
glée. Il allume des flambeaux qui ne s’éteindront plus. En un mot, le
citoyen
est digne de l’écrivain. « Le principal mérite de
de monter à des postes plus éminents, parce qu’il est permis à chaque
citoyen
de souhaiter d’être en état de rendre de plus gra
, je n’avais pas besoin d’être consolé par des grâces. Je suis un bon
citoyen
; mais dans quelques pays que je fusse né, je l’a
es pays que je fusse né, je l’aurais été tout de même. Je suis un bon
citoyen
, parce que j’ai toujours été content de l’état où
je n’ai jamais rougi d’elle ni envié celle des autres. Je suis un bon
citoyen
, parce que j’aime le gouvernement où je suis né,
république pouvait facilement subsister. Tout soldat était également
citoyen
; chaque consul levait une armée ; et d’autres ci
tait également citoyen ; chaque consul levait une armée ; et d’autres
citoyens
allaient à la guerre sous celui qui succédait. Le
agnes dans les pays qu’on soumettait, perdirent peu à peu l’esprit de
citoyens
; et les généraux, qui disposèrent des armées et
eraineté universelle, qu’on ne fut rien dans le monde si l’on n’était
citoyen
romain, et qu’avec ce titre on était tout, les pe
tait qu’un amour de l’égalité. Les peuples d’Italie étant devenus ses
citoyens
, chaque ville y apporta son génie, ses intérêts p
ille déchirée ne forma plus un tout ensemble ; et comme on n’en était
citoyen
que par une espèce de fiction, qu’on n’avait plus
es sans résistance ; et si l’on y voit de l’union, ce ne sont pas des
citoyens
qui sont unis, mais des corps morts ensevelis les
n était libre avec les lois, on veut être libre contre elles : chaque
citoyen
est comme un esclave échappé de la maison de son
est une dépouille ; et sa force n’est plus que le pouvoir de quelques
citoyens
et la licence de tous. Athènes eut dans son sein
et pendant qu’elle servit avec tant de honte. Elle avait vingt mille
citoyens
lorsqu’elle défendit les Grecs contre les Perses,
ils pas l’accuser devant les Romains ? Malheureux, qui voulaient être
citoyens
sans qu’il y eût de cité, et tenir leurs richesse
Bientôt Rome leur demanda pour otages trois cents de leurs principaux
citoyens
; elle se fit livrer les armes et les vaisseaux,
ela porta quelques peuples à se soumettre ; et comme on les fit aussi
citoyens
, d’autres posèrent encore les armes ; et enfin il
de Cicéron : la multitude des auditeurs, et le concours nombreux des
citoyens
, dont la plus grande partie était entièrement dév
fait, parce qu’il a délivré la patrie d’un scélérat reconnu, et d’un
citoyen
pernicieux à la république. Arrêtons-nous un mome
dangereux, s’ensuit-il que le droit de le tuer appartienne au premier
citoyen
qui voudra s’en saisir, pour venger des injures p
ui environne habituellement vos sièges ; ce n’est plus ce concours de
citoyens
avides de nous entendre. Ces soldats placés devan
dre » 114. « Quant au reste des auditeurs (et je parle ici des vrais
citoyens
), tous nous sont favorables ; et dans cette multi
endre aujourd’hui, seront un motif de plus pour vous, de conserver un
citoyen
qui brava constamment, pour votre salut, et cette
que leurs visages et leurs discours témoignèrent si souvent aux bons
citoyens
, c’est aujourd’hui surtout qu’elle se présente, c
constants de votre autorité ; ou si, persécutés si longtemps par les
citoyens
les plus pervers, nous devrons enfin le repos et
igieuses ; celui qui, à la tête de vils esclaves, a chassé de Rome un
citoyen
que le sénat, que le peuple, que toutes les natio
119. « Si donc, Milon, tenant son épée sanglante, s’écriait : Venez,
citoyens
, écoutez-moi : j’ai donné la mort à Clodius ; les
, la pudeur et la chasteté ne sont point bannis de Rome, c’est à moi,
citoyens
, à moi seul qu’on en est redevable ». 120. « Si
hangement dans sa contenance ni dans ses discours, est-ce une raison,
citoyens
juges, pour vous inspirer moins d’intérêt ? N’en
ne la devons-nous pas, cette pitié, quand il s agit de nos meilleurs
citoyens
» ! 121. « Ils pénètrent, ils déchirent mon coeu
dans l’oppression, les chevaliers romains sans pouvoir, tous les bons
citoyens
sans espérance, leur ai consacré tout ce que le t
e faisait au moyen de petites tablettes que l’on distribuait à chaque
citoyen
, lequel sortait de son rang, et les jetait dans l
iteurs. C’est une âme pleine qui cherche à s’épancher : c’est un vrai
citoyen
qu’afflige l’état de son pays et l’insouciance de
s avoir conspiré la perte de Rome et de tout ce qu’elle renfermait de
citoyens
estimables, touchait au moment de réaliser ses in
s à la république, eût intérêt à la renverser ; tandis qu’un Cicéron,
citoyen
de Rome par emprunt, en serait le conservateur ?
it presque flétri. Alors la liberté ne savait pas dans Rome Du simple
citoyen
distinguer le grand homme. Malgré tous ses exploi
régner enfin, Abdique insolemment le pouvoir souverain, Comme un bon
citoyen
meurt heureux et tranquille, En bravant le courro
qu’elle portait dans son sein ». 60. « S’il se trouve cependant des
citoyens
qui, animés de ce zèle qui eût dû être général, m
erte commune. Quoique nos ennemis par le fait, ils sont cependant nés
citoyens
, et c’est ce qui m’engage à leur donner un nouvel
os hommages, et conjurez-les de défendre, contre l’audace de quelques
citoyens
indignes de ce nom, celle ville dont l’éclat égal
assions leur doivent être étrangères. Ce qui ne serait dans un simple
citoyen
qu’un mouvement de colère, est traité, dans celui
hâtiment, pour peu qu’il ait paru trop sévère. » Je sais que Silanus,
citoyen
ferme et courageux, a dit ce que lui inspire l’in
le défend ? Mais d’autres lois portent qu’on ne fera point mourir les
citoyens
condamnés, et qu’on leur permettra de vivre dans
ra s’élever, me direz-vous, contre un décret arraché au sénat par des
citoyens
parricides ? Qui s’élèvera ? Le temps, les circon
Après la défaite des Athéniens, les Lacédémoniens confièrent à trente
citoyens
le gouvernement de l’état. Ils commencèrent par f
ette liberté, et firent indistinctement périr les bons et les mauvais
citoyens
au gré de leur caprice et frappèrent tout le rest
ne de la loi Porcia, et de plusieurs autres qui permettent l’exil aux
citoyens
condamnés. Cette considération me paraît d’un gra
florissante qu’entre nos mains, puisque nous avons plus d’alliés, de
citoyens
et de troupes en tout genre qu’ils n’en eurent ja
eut s’en saisir. » Mais laissons ces reproches et venons au fait. Des
citoyens
distingués par leur naissance ont conspiré l’ince
’avons donc pas un moment à perdre, et voici mon avis : » Puisque des
citoyens
pervers ont mis par leurs complots la république
le carnage, l’incendie et les cruautés les plus inouïes contre leurs
citoyens
et contre leur patrie, il faut, suivant l’usage d
absence, le tribun Sextius, de concert avec Pompée, et tous les bons
citoyens
, s’occupèrent si efficacement de son retour, qu’i
fet rappelé par un décret du sénat, et reçu par toutes les classes de
citoyens
, avec les démonstrations de la joie la plus vive
à la fois, dans Cicéron, l’homme d’état, le grand orateur et le vrai
citoyen
. Exorde. Cicéron commence son discours par des
issante, et dans un aussi illustre empire, il se rencontrât si peu de
citoyens
assez fermes, assez intrépides, pour oser dévouer
onne bien plus aujourd’hui de rencontrer encore de braves et généreux
citoyens
, que de trouver des hommes timides et plus occupé
uilles pour eux-mêmes, ils se plaisent à précipiter dans le péril les
citoyens
les plus fermes et les plus courageux. Ce qui m’i
mbre ; ils repoussent avec violence M. Cispius, tribun du peuple, bon
citoyen
, homme ferme, qui se rendait au Forum : ils font
Clodius, qui avait déjà triomphé plus d’une fois dans le massacre des
citoyens
, pousse un cri, s’anime, se jette sur le tribun d
grand génie, une grande fermeté. Dans une si prodigieuse multitude de
citoyens
, il en est beaucoup, ou, qui se sentant coupables
tions formelles faites aux lois. 1º Une loi défend de couronner aucun
citoyen
chargé d’une administration quelconque, avant qu’
qu’on va lire. « C’est ici le lieu de vous dire un mot de ces braves
citoyens
, qu’il a envoyés à un péril manifeste, quoique le
odieux. Il assemble autour de la tribune les ombres de ces infortunés
citoyens
; il les place entre le peuple et Démosthène : il
Platée, à Salamine, à Artémise ; j’en jure par cette foule de grands
citoyens
, dont les cendres reposent dans des monuments pub
e peuple était-il donc ingrat ? Non, mais il était magnanime ; et les
citoyens
auxquels il n’accordait pas cet honneur, étaient
ur prix de ses trahisons. Croyez-vous que Thémistocle, que nos braves
citoyens
morts à Marathon et à Platée, que les tombeaux mê
aucun de vous, Dieux puissants, ne favorise leurs désirs (des mauvais
citoyens
) ! mais rectifiez, s’il est possible, leur esprit
a main, et quarante récompenses militaires : il montre au peuple huit
citoyens
qu’il a arrachés à la mort dans les combats, et q
mains calleuses, teint brûlé, forte lignée de paysans. — « Regardez,
citoyens
, dit l’homme au peuple, voilà ma magie, voilà mes
ue de prosopopées touchantes ! Un jour l’orateur Crassus défendait un
citoyen
accusé par un certain Brutus, quand, au milieu de
tion des coutumes des ancêtres, sa morale aux devoirs du soldat et du
citoyen
. On donnait des consultations à ses clients ; on
reçut Démosthène, et vous verrez la différence des temps et des pays.
Citoyen
d’une municipalité qui n’a avec les autres peuple
l n’était destiné qu’à défendre la cause du sénat et les intérêts des
citoyens
, il lui suffirait de lire les annales de Rome, le
e la tribune. Ses Philippiques sont l’œuvre d’un grand esprit et d’un
citoyen
courageux. Elles respirent la haine de la tyranni
isons pathétiques, comme s’il avait des juges à passionner et non des
citoyens
à convaincre. Il prend Catilina à partie comme se
de ses dangers, de l’anxiété de sa famille, de la désolation des bons
citoyens
. Son discours est beau, mais ce n’est pas avec de
qu’elle s’adressera à des passions plus élevées. Ulysse, alors devenu
citoyen
, s’appellera Démosthène ; il ne frappera plus les
e de tant de gloire et de puissance. Mais il n’était pas donné à tout
citoyen
de monter sur ce piédestal et de s’y maintenir. I
dans une cité de soixante-dix mille hommes, un groupe de vingt mille
citoyens
libres, tous égaux et maîtres des affaires. Quara
pares, vir bonus dicendi peritus, le premier entre ses égaux, un bon
citoyen
qui sait parler. S’il dit : — Il faut déclarer la
vues s’accordent avec les traditions des ancêtres, avec l’honneur des
citoyens
et les principes politiques de l’État. C’est le l
que pour s’entretenir la main7. Enfin, à qui persuadera-t-on que des
citoyens
qui, par la seule force de la persuasion, firent
écier leur éloquence ? Par les effets qu’elle a produits. J’ai vu des
citoyens
réunir les Grecs divisés, chasser les barbares de
ien, regardez les peuples libres comme autant d’associations dont les
citoyens
sont les actionnaires et les orateurs les gérants
e et Philocrate, se vendaient effrontément au Macédonien. Les autres,
citoyens
honnêtes, mais faibles ou obstinés, comme Isocrat
contenter de ses conquêtes, peut-être se trouverait-il à Athènes des
citoyens
disposés à se résigner et à acheter le repos au p
soixante talents pour équiper quarante trirèmes et lever une armée de
citoyens
, et comment il n’est sorti de ce beau décret qu’u
épond à leurs vœux, il rend un service à l’État, il fait œuvre de bon
citoyen
. Si je vous fais admirer cette habileté, ce n’est
omme Plutarque, l’or de la Macédoine le trouva inexpugnable. Ce qu’un
citoyen
peut faire pour le salut commun, il le fit, sans
et pris toutes les mesures de précaution, convoque auprès de lui les
citoyens
dans le prétoire, et leur parle en ces termes : P
parle en ces termes : Première partie. « Hommes de cœur, excellents
citoyens
, nous avons appris que les Turcs, nos ennemis ach
e ne l’aurais voulu et qu’il n’est nécessaire. Votre valeur, généreux
citoyens
, est trop ardente, pour avoir besoin d’aiguillons
ssible de se fier à sa clémence, à sa loyauté ?… Combattons, généreux
citoyens
, combattons avec l’aide de Dieu, qu’il faut avant
onné sa foi, je lui ai donné la mienne ; il m’a inscrit au nombre des
citoyens
, m’a nommé général et m’a confié la direction de
lle conformité de pensées et d’intentions, qu’ils paraissent être les
citoyens
d’une seule et unique cité. Aujourd’hui, ces guer
mère des Gracques, à son second fils Caïus Gracchus. Le sang d’un
citoyen
romain a coulé sur les degrés du Capitole. Tibéri
tendresse la plus chère, de leurs liaisons les plus douces, tous ces
citoyens
qui ne leur avaient fait aucun mal ! Aussi, plus
que pouvait-on attendre d’une nation qui avait si rudement traité les
citoyens
de Mytilène, innocents de tout crime, possédés se
s mêmes épreuves ; en sorte qu’ils n’imiteront pas un grand nombre de
citoyens
, qui, étant peu expérimentés, désirent la guerre,
s deveniez des meurtriers, que vous rougissiez vos mains du sang d’un
citoyen
, que dis-je ? du sang d’un empereur, prenez garde
bien malgré moi, j’en atteste les dieux, j’ai tiré l’épée contre les
citoyens
, quand on me forçait de réclamer le fer à la main
pitulation ; ils ne doivent pas, je pense, être comptés au nombre des
citoyens
, ni admis dans ce conseil. Je m’adresse à ceux qu
i : « Je désire, lui dit-il, t’adresser une question. Tu es Grec, et
citoyen
d’une ville qui n’est ni la plus faible, ni la mo
.C.). Il avait été proposé d’admettre les affranchis au nombre des
citoyens
romains : — une vive opposition se manifesta au S
t indigne de la majesté de Rome que des esclaves usurpent le titre de
citoyens
? Mais ignorez-vous donc par quels moyens notre c
assimilés à des troupeaux ! Si vous rendez aux affranchis le titre de
citoyens
, sénateurs, cette égalité procurera, à eux de dou
et vous donner assez d’or et d’argent pour vous mettre au niveau des
citoyens
les plus opulents. Je suis persuadé que rien ne s
que ce que peut, et même ce que doit faire le plus honnête homme, le
citoyen
le plus dévoué à sa patrie. Je vous prie seulemen
res, tandis que des hommes, et des hommes tels que les soldats et les
citoyens
romains, étaient obligés à errer çà et là avec le
la honte abaissant nos paupières nous oblige à fermer les yeux ? Nos
citoyens
, plongés dans l’humiliation la plus profonde, son
ngage à veiller à la conservation de leur liberté et à songer que les
citoyens
d’une ville sont avant tout nés pour leur patrie
s seulement pour eux-mêmes : « Permettez-moi de vous le dire encore,
citoyens
: jamais notre ville n’a préféré une sûreté honte
aient pas de cultiver les Fabricius, les Cincinnatus et tant d’autres
citoyens
distingués. — Tous les pères de famille ont laiss
rmer au décret et de faire périr Marius ; mais il ne se trouva pas un
citoyen
qui voulût se charger de cette mission. Enfin un
uaire de la justice, elle défende la fortune, la vie et l’honneur des
citoyens
; soit que, dans les sociétés littéraires, elle e
iscuter les grandes affaires nationales : un orateur va parler. Aucun
citoyen
n’ignore qu’on admire en lui des connaissances ét
36, Préteur de Sicile, qui avait condamné au dernier supplice Gavius,
citoyen
romain. Voici, à peu près, le sens littéral de ce
ral de ce morceau. « Au milieu de la place publique de Messine37, un
citoyen
romain était cruellement frappé de verges ; tandi
faisait entendre d’autre plainte, d’autre cri que celui-ci : Je suis
citoyen
romain. Il croyait qu’en réclamant ce titre, il s
nt même, où sa voix gémissante répétait, sans interruption, le nom de
citoyen
romain, le supplice de la croix, oui de la croix,
qui défendaient de condamner au supplice des verges ou de la mort un
citoyen
de Rome, sans l’ordre du peuple romain, s’écrie p
fois rendue au peuple romain ! Tout s’est-il évanoui, jusque-là qu’un
citoyen
romain, dans une des provinces du peuple romain,
pectacle. Tu as osé faire attacher à une croix un homme qui se disait
citoyen
romain » ! L’orateur n’en reste pas là : il j’ap
it de la ville, qui est près du détroit, afin que celui qui se disait
citoyen
romain, pût du haut de cette croix jeter ses dern
t si pathétiques. « Si j’adressais ces plaintes, je ne dis pas à des
citoyens
romains, je ne dis pas à quelques-uns de nos alli
avait donnée de faire réparer les murs d’Athènes, Ctésiphon, illustre
citoyen
de cette ville, persuada aux Athéniens de lui déc
angue de Démosthène. La voici. « Au reste, messieurs, il faut que le
citoyen
naturellement vertueux (car en parlant de moi, je
rnes étroites dans lesquelles il semble que la nature l’ait renfermé.
Citoyen
de toutes les républiques, habitant de tous les e
, ni cette rumeur du peuple, ni ce concours empressé de tous les bons
citoyens
, ni l’attention de choisir un lieu fortifié pour
de Thucydide, c’est qu’on fit dans Athènes des obsèques publiques aux
citoyens
qui avaient été tués à la guerre de Samos, l’an 4
ndre par le talent de la parole les biens, l’honneur, la vie même des
citoyens
, contre la mauvaise foi, l’imposture, la calomnie
s lignes extraites du récit du supplice de Gavius. Ce Gavius était un
citoyen
romain qui s’était échappé de la prison où le pré
ndrait bientôt compte de sa conduite, pour avoir mis dans les fers un
citoyen
romain. Le premier magistrat de Messine était une
; et, contre toute loi, en dépit des privilèges attachés au titre de
citoyen
romain, il ordonne qu’il soit dépouillé, attaché
ous les coups de fouet, au milieu de la place publique de Messine, un
citoyen
romain. Cependant, aucun gémissement n’échappa de
le bruit des coups répétés, on entendait seulement ces mots : Je suis
citoyen
romain. En rappelant ce titre, il croyait écarter
d’un tel abus de pouvoir. Ô doux nom de liberté ! Ô droits sacrés du
citoyen
! loi Porcia ! loi de Sempronius !… étiez-vous do
nce du peuple romain, dans une ville de nos alliés, devait-on voir un
citoyen
romain attaché à l’infâme poteau, et battu de ver
ité ; il allume des flambeaux qui ne s’éteindront plus. En un mot, le
citoyen
est digne de l’écrivain. Il mourut épuisé par ses
de tranquillité dans un État, où les mœurs font toujours de meilleurs
citoyens
que les lois. C’est, de toutes les puissances, el
-même dans le plus bas esclavage de quelques-uns de ses plus indignes
citoyens
, et s’exterminer par ses propres arrêts ! on n’él
-1811) : Quand Sous le crime heureux tout languit abattu, Malheur au
citoyen
coupable de vertu, Et dont la gloire pure offensa
fondés à la célébrité. Comme orateur, c’est son chef-d’œuvre ; comme
citoyen
, c’est une de ses plus belles actions. Après un t
er. 90. « Plût aux Dieux que Rome eût assez de braves et intègres
citoyens
, pour que vous fussiez embarrassés sur le choix d
vos plaintes amères, à ces soupçons si donloureux pour nous. Tous les
citoyens
de Rome, ceux surtout qui vous doivent la vie, on
us étiez né pour vous seul. Mais aujourd’hui que le salut de tous les
citoyens
et le sort de la republique dépendent de la condu
parent du maître du monde, il fut forcé à s’éclairer comme le dernier
citoyen
». À ce premier tableau de l’éducation physique
ire, on m’ordonna de me rendre au palais. S’il n’eût été qu’un simple
citoyen
, je me serais rendu chez lui ; mais je crus que l
s. (Ce qui était tout simple assurément). S’il n’eût été qu’un simple
citoyen
, je me serais rendu chez lui ; mais je crus que l
ns cette assemblée du peuple romain était une foule d’étrangers et de
citoyens
de toutes les parties de l’empire. Les uns se tro
smes ! J’étais stoïcien avec Sénèque ; j’aurais voulu être le parfait
citoyen
avec Cicéron, l’homme juste, généreux, aimable, n
rivait ; tout y tend à former non-seulement l’honnête homme et le bon
citoyen
, mais le galant homme et l’homme aimable. Enfin u
es orateurs et des écrivains de Rome a été aussi le plus grand de ses
citoyens
. « Je sais que ce dernier point est contesté. On
ne sensibilité si profonde : O doux nom de liberté ! droits sacrés du
citoyen
! loi Porcia ! loi Sempronia ! O nomen dulce libe
odius, pouvais-je penser que je me verrais un jour abandonné des bons
citoyens
? Et toi (car il s’adresse souvent à moi), lorsqu
air calme que vous lui voyez. Il ne convient point d’avoir servi des
citoyens
ingrats ; seulement il avoue qu’ils sont faibles,
t à vous que je m’adresse dans les dangers d’un homme courageux, d’un
citoyen
invincible. Pourra-t-on, je ne dis pas sous vos y
Est-ce pour bannir sous mes yeux ceux mêmes qui m’ont rétabli, si les
citoyens
auxquels je dois mon rappel sont arrachés, de mes
république : « Et puisqu’il s’agit de la mort de Clodius, imaginez,
citoyens
, car nos pensées sont libres, et notre âme peut s
espoir ; en un mot, les campagnes elles-mêmes déplorent la perte d’un
citoyen
si bienfaisant, si utile, si débonnaire, etc. »
eau, et qu’on apprête les verges. Ce malheureux s’écriait qu’il était
citoyen
romain, habitant de la ville de Cosa ; qu’il avai
la fois. « Dans la place publique de Messine, on battait de verges un
citoyen
romain, et au milieu des coups qui l’accablaient,
ccablaient, on n’entendait d’autre gémissement que ces mots : Je suis
citoyen
romain. Il pensait que cette réclamation seule él
me qu’il répétait sans cesse et faisait tristement retentir le nom de
Citoyen
romain, une croix infâme était dressée pour ce ma
que. « Ô doux nom de liberté ! ô droits augustes attachés au titre de
citoyen
! loi Porcia ! loi Sempronia ! puissance tribunit
u peuple ! est-ce là votre pouvoir, et a-t-il été rétabli, pour qu’un
citoyen
romain, dans une ville de l’empire, dans une vill
comment pouvais-tu être insensible aux pleurs et aux gémissements des
citoyens
romains présents à cet affreux spectacle ? tu as
tu as osé, Verrès, tu as osé mettre en. Croix quelqu’un qui se disait
citoyen
romain ! » Pour exemple d’éthopée, on cite celle
t le charme des hommes futiles. Que vit donc Cynéas de majestueux ? Ô
citoyens
! il vit un spectacle que ne donneront jamais vos
de la Milonienne, met dans la bouche de son client des vœux d’un bon
citoyen
, d’une âme élevée et supérieure aux passions du v
hose, le pauvre comme le riche, l’ignorant comme le savant, le simple
citoyen
comme l’homme d’État. Elle offre surtout des ense
omme honnête ; s’il a été un homme d’État glorieux, il a été aussi un
citoyen
dévoué. C’est par ce côté du bon sens, de l’honnê
Rois, magistrats, législateurs suprêmes, Princes, guerriers, simples
citoyens
mêmes, Dans ce sincère et fidèle miroir Peuvent a
g de ses proches, ou n’en sortoit que pour dévorer nos plus illustres
citoyens
. Alors veillaient aux portes la menace et l’épouv
0. « Notre empereur est d’autant plus grand, qu’il croit n’être qu’un
citoyen
comme nous. Il se souvient qu’il est homme, et qu
fer tout succombe ; Par un même trépas, dans une même tombe, Tous les
citoyens
sont plongés. Adieu, champs où fut Troie ! adieu
! nous chantions sur vos rives, Quand des murs de Priam les nombreux
citoyens
, Enrichis dans la paix, triomphaient dans la guer
evinrent les égaux et les frères du maître, du puissant, du riche, du
citoyen
. Il y eut une seconde création morale de l’humani
ui dans le parlement anglais, paraît avoir été vertu familière à tout
citoyen
grec. Le goût et le talent de l’éloquence étaient
mes se disciplinait si facilement, on peut juger de ce qu’étaient des
citoyens
, pères de famille, attachés au sol de la patrie e
ant ; mais vous oubliez que je n’ai jamais fait prendre le deuil à un
citoyen
. » En un mot, il fut homme de bien et admirable d
ances pour briller. Dans la paix la plus profonde, sur le cercueil du
citoyen
le plus obscur, elle trouvera ses mouvements les
otestants l’état civil, c’est-à-dire à les reconnaître au moins comme
citoyens
, comme membres de l’État ; le clergé, par l’organ
age ! Les Prussiens arrivaient !… On entendait des cris. « Aux armes,
citoyens
, il faut sauver Paris ! » Et l’on voyait courir,
enne. Aucune distinction n’appelait aux emplois publics une classe de
citoyens
préférablement aux autres. Il n’y avait plus de n
emphis à Vienne, de Cadix à Moscou : il se défend avec une poignée de
citoyens
sur une terre sans célébrité, dans le cercle étro
nérailles, n’arrête ni n’étonne le passant : qu’avaient à pleurer les
citoyens
? Washington a été le représentant des besoins, d
jurons Qui mâchait la cartouche, et qui, noire de poudre, Criait aux
citoyens
: Mourons ! II Quant à tous ces beaux fil
nchi du péril de nos rivaux anciens, Il s’essaie à présent contre les
citoyens
. Son audace s’accroît du peu de résistance ; Rome
tout le monde, et les nobles anciens, Tombés nobles, se sont relevés
citoyens
! MARAT. Tu n’y comprends rien. DANTON.
être guillotineur ! MARAT. À ton gré ! ROBESPIERRE.
Citoyens
, trêve à cette dispute ! Le patriote est calme et
usque sur leurs vaisseaux leur troupe était atteinte. C’est qu’alors,
citoyens
, sans fourbe et sans détour, Loin d’être sycophan
aux pour l’honneur véritable, Souviens-toi qu’il vaut mieux tomber en
citoyen
Sous le mépris de tous, que mériter le tien. C
parler ; mais il ne faut pas se dissimuler que si aucune assemblée de
citoyens
avait ce droit, elle en ferait le même usage. C’e
ançais : choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez ; car ne faut-il pas qu’un petit
et nous précipiter dans l’anarchie. Ils ont frémi du serinent que les
citoyens
ont prêté de protéger de toutes leurs forces la s
où nous pourrons à notre gré nous désaltérer de sang. Et savez-vous,
citoyens
, comment disposent de la liberté des citoyens ces
de sang. Et savez-vous, citoyens, comment disposent de la liberté des
citoyens
ces hommes qui s’imaginent qu’on a fait la révolu
ême. Voilà de quelle étrange série dépendent la liberté et la vie des
citoyens
; voilà entre quelles mains repose la sûreté publ
de tous les prisonniers. Vergniaud. Défense de Louis XVI
Citoyens
représentants de la nation, Il est donc enfin arr
vous la démontrer ; il n’a pas pu vous en produire les preuves. Moi,
citoyens
, je vous les apporte, je les apporte à ce peuple
; mais il est permis à Louis de regretter qu’une multitude immense de
citoyens
ait reçu l’impression des inculpations dont il es
d nous aurons démontré qu’il est innocent. Je ne dois pas d’ailleurs,
citoyens
, vous dissimuler, et ça été pour nous une profond
d’efforts, je n’ai pas eu seulement huit jours. Je vous supplie donc,
citoyens
, de m’entendre avec l’indulgence que notre respec
rivait ; tout y tend à former non-seulement l’honnête homme et le bon
citoyen
, mais le galant homme et l’homme aimable. Mais un
es orateurs et des écrivains de Rome a été aussi le plus grand de ses
citoyens
. Je sais que ce dernier point est contesté. On re
publique ; D’impertinents bavards, soi-disant orateurs, Des meilleurs
citoyens
ardents persécuteurs, Excitent à dessein les hain
e ; et son autorité Calme un instant les flots de ce peuple irrité. «
Citoyens
, leur dit-il, la divine justice À vos vœux redoub
les rois. » Tout le peuple applaudit une seconde fois, « Voici donc,
citoyens
, le parti qu’il faut suivre : Parmi ces sénateurs
voir aucun vice, Et que tout le sénat soit ainsi composé. Vous voyez,
citoyens
, que rien n’est plus aisé. » La motion aux voix e
! Eh ! que ne disiez-vous que vous vouliez leurs places ? Ajournons,
citoyens
, ce dangereux procès ; D’Annibal qui s’avance arr
e serait plus bénigne et plus légère à ses os. C’est pourquoi de bons
citoyens
s’affectionnent à leur terre natale. « J’étais de
hose, le pauvre comme le riche, l’ignorant comme le savant, le simple
citoyen
comme l’homme d’État. Elle offre surtout des ense
omme honnête ; s’il a été un homme d’État glorieux, il a été aussi un
citoyen
dévoué. C’est par ce côté du bon sens, de l’honnê
ntiendraient entre eux la paix, comme les tribunaux le font parmi les
citoyens
? Mais comme, en dépit d’espérances toujours rena
n était libre avec les lois, on veut être libre contre elles : chaque
citoyen
est comme un esclave échappé de la maison de son
est une dépouille ; et sa force n’est plus que le pouvoir de quelques
citoyens
et la licence de tous. Athènes eut dans son sein
et pendant qu’elle servit avec tant de honte. Elle avait vingt mille
citoyens
lorsqu’elle défendit les Grecs contre les Perses,
ils pas l’accuser devant les Romains ? Malheureux, qui voulaient être
citoyens
sans qu’il y eût de cité, et tenir leurs richesse
Bientôt Rome leur demanda pour otages trois cents de leurs principaux
citoyens
; elle se fit livrer les armes et les vaisseaux,
c, la patrie, la société, et cette admirable civilité qui fait le bon
citoyen
... Bossuet. La poésie est plus utile et plus
le courage du génie. Suivons Périclès. « Le grand intérêt de chaque
citoyen
consiste moins dans sa prospérité personnelle, qu
é personnelle, que dans le bonheur de la cité dont il fait partie. Le
citoyen
le plus heureux, si sa patrie vient à tomber, tom
es, vous n’avez plus la force de maintenir vos résolutions ; mais les
citoyens
d’une puissante république, des hommes élevés dan
ques et dans d’autres occasions, peut exciter la jalousie de quelques
citoyens
; mais elle fait admirer aux étrangers la grandeu
nt le plus éloquent, mais encore le plus pur et le plus dévoué de ses
citoyens
. Sujet et plan. Eschine est vaincu et déclaré cal
s et des confiscations. Vers le milieu de septembre suivant, Roscius,
citoyen
d’Amérie (petite ville de 16 lieues de Rome) qui
t agitation du père : il répond qu’il restera fidèle à ses devoirs de
citoyen
et de soldat. 2e partie. Don Jayme exécute son af
e profiter du désordre pour exterminer les sénateurs et tous les bons
citoyens
. C’était dans l’année 63 avant J.-C. Cette conspi
l fait passer dans leur âme la noble ardeur dont il est enflammé. Les
citoyens
et les soldats, pleins d’ardeur, marchent à l’enn
Deux propriétés contiguës, séparées par un mur, appartenaient à deux
citoyens
d’Athènes, l’un riche, l’autre pauvre. L’une cons
valeur, dont le sol était maigre et tout à fait improductif ; mais le
citoyen
pauvre auquel cet enclos appartenait y trouvait s
e discours doit être à la fois modeste et ferme. En demandant que les
citoyens
pauvres ne soient pas sacrifiés aux caprices des
l’orateur ne doit faire paraître ni animosité ni jalousie contre les
citoyens
à qui la fortune a été plus favorable qu’à son cl
lle est si odieuse, si injuste, si criminelle, que des chrétiens, des
citoyens
et des hommes doivent la rejeter avec horreur. P
; car ils sont impolitiques, et peuvent rendre la patrie odieuse aux
citoyens
. Telles seront les trois parties successivement d
contre Mélanthe. Exorde : C’est avec regret que l’orateur accuse un
citoyen
recommandable par ses talents. Narration : Il a
emandait aux dieux la faveur de guérir ses malades. Connu pour un bon
citoyen
, pourrait-il avoir souhaité le malheur de son pay
ssitôt qu’ils avaient cessé de vivre, un conseil formé de l’élite des
citoyens
se rassemblait pour décider sur leur mémoire. S’i
dre plus élevé : l’intérêt de la république, les droits d’un généreux
citoyen
dont tout le malheur vient d’avoir combattu avec
int fortifiée ; elle ne voulait d’autre rempart que le courage de ses
citoyens
. Pendant que cette attaque avait lieu sur plusieu
devoirs d’élève en quittant le gymnase ; il a manqué aux devoirs d’un
citoyen
en prenant les armes sans autorisation, et enfin,
nécessité de maintenir parmi les jeunes gens l’obéissance, parmi les
citoyens
la discipline : La république a assez d’hommes po
faut encourager par tous les moyens possibles dans le cœur des jeunes
citoyens
cet enthousiasme qui brave tout pour la défense d
le législateur qui, en consacrant l’ancienne loi sur la sépulture des
citoyens
moissonnés dans les combats, crut devoir y ajoute
ns de talent d’un seul orateur, je croirais suffisant de décerner aux
citoyens
que des vertus réelles ont rendus recommandables,
, le récipiendaire prit pour sujet de son discours l’homme de lettres
citoyen
. Voici l’idée qu’il s’en forme, et de quels trait
rme, et de quels traits il le caractérise : « J’aime à me peindre ce
citoyen
généreux méditant dans son cabinet solitaire. La
vée ni de solitude ; l’État se chargeait pour ainsi dire d’amuser les
citoyens
. Toute la Grèce courait aux jeux Olympiques pour
ue formait une première et grande uniformité ; le reste de la vie des
citoyens
, se passant sur la place publique, était trop ouv
deux cents chevaliers, Cicéron lui-même, et un nombre infini d’autres
citoyens
. Après ces exécutions sanglantes, Octave et Antoi
d’enchaîner, de lier, de garrotter, de frapper ou de mettre à mort un
citoyen
romain : elle permettait seulement de condamner à
n citoyen romain : elle permettait seulement de condamner à l’exil un
citoyen
convaincu d’un crime capital. Potose, montagne d
l’an de Rome 630, environ 124 ans avant J.-C., défendait de juger un
citoyen
, pour crime capital, sans l’aveu du peuple. Elle
son fils, sur un char traîné par des colombes ou des cygnes. Verrès,
citoyen
romain, qui exerça la charge de préteur en Sicile
ui dans le parlement anglais, parait avoir été vertu familière à tout
citoyen
grec. Le goût et le talent de l’éloquence étaient
mes se disciplinait si facilement, on peut juger de ce qu’étaient des
citoyens
pères de famille, attachés au sol de la patrie et
ù il est attaché : Civis romanus sum, il énonce d’abord sa qualité de
citoyen
romain, celle qui peut lui être le plus utile dan
dans la ville, ni l’effroi du peuple, ni le concours de tous les bons
citoyens
, ni les regards, ni les visages de ceux qui t’ent
onis, tribunus plebis, Marcus Drusus occisus est. Cic., pro Mil. Un
citoyen
de la naissance la plus distinguée, le défenseur
i periculum non timeret ? Cic. Quelle femme n’oserait faire mourir un
citoyen
pernicieux, un scélérat, si elle n’avait rien à c
moi de manifester de la crainte, en commençant à défendre la cause du
citoyen
le plus courageux. IV On place ordinairemen
els sont les chefs d’une république, tels sont d’ordinaire les autres
citoyens
. Quot oratores, totidem penè reperiuntur genera
ançais : choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez ; ne faut-il pas qu’un petit nom
r, de décréter un impôt extraordinaire du quart des revenus de chaque
citoyen
. Cette mesure extrême et urgente allait être ajou
n’a jamais rien compris… — Madame, ai-je dit, si votre mari avait été
citoyen
de Berg-op-Zoom, M. le chevalier de Beauteville l
eauteville lui aurait très-mal fait passer son temps ; mais, s’il est
citoyen
de Genève, et s’il a écrit des sottises, soyez tr
fort faisant la loi, non-seulement de peuple à peuple, mais encore de
citoyen
à citoyen. » 2. Joubert a dit de Voltaire :
nt la loi, non-seulement de peuple à peuple, mais encore de citoyen à
citoyen
. » 2. Joubert a dit de Voltaire : « Impétueu
ion à Robespierre et à son parti. La gradation. — « Si empoisonner un
citoyen
romain est un crime, si le battre de verges est u
rançais. Choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez ; car ne faut-il pas qu’un petit
guérir nos maux. — 9. La Gaule était remplie de marchands, pleine de
citoyens
Romains. — 10. La maison d’Antoine était pleine d
spoir ne porte l’honnête homme à faire des choses honteuses. — 2. Les
citoyens
dangereux excitent le peuple à la sédition. — 3.
ait une multitude innombrable d’hommes très-courageux et d’excellents
citoyens
. — 10. Le bon et laborieux propriétaire a toujour
vec joie les leçons des vieillards. — 12. La victoire prive l’État de
citoyens
courageux. — 13. Mummius dépouilla Corinthe de se
son patrimoine à Fabius Maximus, fils de Fabius Maximus Allobrogicus,
citoyen
et général très-illustre. — 16. L’eau et le feu f
ris en pitié le bas peuple de Rome, ont secouru la misère des pauvres
citoyens
. — 5. Alcibiade porta les armes pour les Lacédémo
rinale, Viminale et Esquiline ; le premier il fit le dénombrement des
citoyens
, et divisa le peuple Romain en tribus, en classes
aîtres, réputé le plus savant, instruisait les enfants des principaux
citoyens
. Il avait coutume avant la guerre de mener ses él
un mot, il menaçait la ville du fer et de la flamme, et tous les bons
citoyens
de la mort. Il sollicitait les Allobroges, peuple
de la Grèce, eût ignoré à jamais le monument du plus ingénieux de ses
citoyens
, si un homme d’Arpinum ne le lui avait révélé.
« Vous vous souvenez, juges, que le Tibre était rempli de cadavres de
citoyens
, que les égouts en regorgeaient, que sur le Forum
ibal. — 5. Pendant la bataille de Pharsale, César cria d’épargner les
citoyens
. — 6. Alexandre se dirigeant en hâte vers Babylon
Il nous importe que le souverain ne soit pas élu par les plus mauvais
citoyens
. — 8. La loi Oppia ne permettait pas aux femmes r
utilius, tribun du peuple, l’en fit sortir, disant qu’il n’était plus
citoyen
. — 12. Vous devez prendre garde d’écrire ou de pa
s chefs, et les chefs à la justice. Il conseilla l’épargne à tous les
citoyens
, pensant que les fatigues de la guerre deviendrai
non la somme, mais la personne. Il partagea également entre tous les
citoyens
la totalité des terres, afin que l’égalité des pa
ublique, déclara qu’il se réjouissait fort que sa patrie possédât des
citoyens
meilleurs que lui. — 11. Protagoras d’Abdère ayan
la foi et la justice en rendant odieux, par une fausse accusation, un
citoyen
très-digne et très-honorable, dont il était le li
— 3. Émilius Lépidus, étant encore enfant, tua un ennemi et sauva un
citoyen
. — 4. Publilius, étant dictateur, porta des lois
l’eau et le feu seraient interdits à quiconque aurait fait mourir un
citoyen
Romain sans condamnation. Quoique Cicéron ne fût
s, en poussant des hurlements lamentables, en présence d’une foule de
citoyens
. Quelqu’un d’entre eux lui ayant jeté un morceau
server les fruits. Il pourvut à ses frais à la sépulture de plusieurs
citoyens
pauvres, qui n’avaient pas laissé assez pour (ou
— 3. Il est certain que les lois ont été inventées pour le salut des
citoyens
. — 4. Lénéus, affranchi du grand Pompée, montra u
tardaient à venir, ils armèrent, sans attendre ce secours, dix mille
citoyens
et mille Platéens auxiliaires, et allèrent livrer
qu’à paraître bien mériter de la patrie en sauvant ces deux éminents
citoyens
, Cicéron et Caton. § 249. Valoir la peine.
ragédie d’Horace, par Corneille, Sabine, native d’Albe, et femme d’un
citoyen
de Rome, voit la guerre allumée entre ces deux vi
le naïf a toujours quelque chose de petit ou de moins élevé. Verrès,
citoyen
romain, exerçant en Sicile la préture, charge qui
ncienne beauté ; mais les ruines de tant de murs, sous lesquelles des
citoyens
paisibles ont été ensevelis ; mais tant de calami
it d’une Oraison de Cicéron : « C’est un crime de mettre aux fers un
citoyen
romain ; c’est une scélératesse de le faire battr
décider si tu n’es que le plus vil des hommes ou seulement un honnête
citoyen
», je me serais prosterné, et j’aurais répondu :
3 Pour lire un joli poëme, s’amuser d’un ouvrage, il faut, mon cher
citoyen
, avoir le cœur sérieux, la tête libre ; et bien p
s ; et ce que n’avaient pu obtenir les larmes et les gémissements des
citoyens
, une femme l’obtint par un ingénieux expédient :
à Abdère ; or il était de cette ville. Le hasard fit que. Démocrite,
citoyen
d’Abdère comme lui, Démocrite, un des personnages
Il ne voulut pas se donner la peine de monter jusque-là. Il manda un
citoyen
d’Haluntium, Archagathe, qui jouit de la plus hau
la république de Sparte tint pendant quelque temps les regards de ses
citoyens
détournés du spectacle de l’Asie, de peur que cet
ait plus monter davantage, la fin du plus vertueux, du plus noble des
citoyens
: il périt à l’âge de cinquante-huit ans, la veil
n était plongé, firent prévaloir l’autre tradition. Une démarche d’un
citoyen
servit encore, dit-on, à l’accréditer. Proculus J
strats. Il fit une égale répartition de tous les biens entre tous les
citoyens
, pour établir l’égalité civile par celle des fort
r, tristement déchirée par les factions, s’il ne s’était rencontré un
citoyen
, qui sut, en employant l’apologue, obtenir plus p
apport du climat ? Et pourtant on y rencontre plus d’étrangers que de
citoyens
. Version C. Marius. 100. L’ambition d’a
[illisible chars][texte coupé]appé de la foudre ; et il se trouva un
citoyen
qui lui ouvrit [illisible chars][texte coupé]es b
u terrain et par un coteau : il résolut d’en faire le siége. Mais les
citoyens
[illisible chars][texte coupé]rent bientôt élevé
ui donne peu de rivaux. Son père, Néoclès, était noble. Il épousa une
citoyenne
d’Halicarnasse, dont il eut Thémistocle. La licen
à leur chute, que cette humeur vagabonde et cette dispersion de leurs
citoyens
, à qui l’amour du commerce et de la navigation av
lui parle, je le tiens… Nous avons et nous aurons peut-être quelques
citoyens
qui égalent ses vertus, mais personne qui égale s
i, à la nouvelle de cette récente calamité, après avoir partagé comme
citoyen
la publique affliction, puisse s’empêcher de te d
-moi ce langage !), et de surprendre dans leur carrière les meilleurs
citoyens
? Peu s’en faut que cette nation, frappée de si t
is de leur fécondité, en voyant à quel prince elles avaient donné des
citoyens
, à quel général elles avaient donné des soldats.
u côté de Sylla : c’était une précaution pour sa postérité. Aussi les
citoyens
ne se montrèrent point ingrats, et sur cette seul
es compatriotes par ses lumières et son crédit, engage les principaux
citoyens
de sa ville à fonder chez eux des écoles publique
eux aller lui-même au-devant des hommes, entrer dans les ateliers des
citoyens
, assister aux réunions publiques, se mêler à la v
lique romaine après la défaite de Carthage. 84. Les divisions des
citoyens
en parti populaire et en faction du sénat, et tou
nistraient la république avec un esprit de paix et de modération. Les
citoyens
ne se disputaient point les honneurs et le pouvoi
esse usa donc sans ménagement de la victoire, se défit d’une foule de
citoyens
par le fer ou par l’exil, et se prépara pour l’av
honte d’avoir pour collègues dans le triumvirat les plus pervers des
citoyens
; son indisposition pendant la bataille de Philip
e bienveillance, égale pour tous, voulant porter aux honneurs plus de
citoyens
que les honneurs n’en pouvaient admettre, et ce f
ails sur les mœurs des Germains. 308 72. Pline engage les principaux
citoyens
de sa ville à fonder chez eux des écoles publique
12. 2. §§ 474 et 472. 3. § 80. 4. § 220. 5. § 472. 6. § 219. *.
Citoyen
d’Athènes, qui avait proposé au peuple de récompe
ans le cœur de tous les hommes ; l’autre civil, qui astreint tous les
citoyens
d’une même ville, d’une même république, à taire
os et l’intérêt commun. On ne peut violer cette loi sans être mauvais
citoyen
; on ne peut violer la loi naturelle sans offense
i au délibératif. On prouve qu’il faut admettre Archias au nombre des
citoyens
romains ; pourquoi ? parce qu’il a un génie qui f
verges dans la place de Messine, quoiqu’il réclamât le privilège des
citoyens
, puis attaché à une croix sur un rivage d’où il p
étiques. C’est là qu’on voit ces grandes idées : « Mettre aux fers un
citoyen
a romain, c’est un crime ; le battre de verges, c
pour se procurer l’impunité, enlevait tout le peuple en montrant les
citoyens
qu’il avait conservés, les dépouilles des ennemis
t dans un bois sacré, d’où il ne pouvait plus montrer le Capitole aux
citoyens
. Apparuit tribunis (dit Tite-Live, VI, 20), nisi
ville, ni la consternation du peuple, ni ce frémissement général des
citoyens
vertueux, ni ce lieu fortifié où s’assemble le sé
non seulement que vous ne devez pas retrancher Archias du nombre des
citoyens
, puisqu’il est véritablement citoyen, mais que, s
etrancher Archias du nombre des citoyens, puisqu’il est véritablement
citoyen
, mais que, s’il ne l’était pas, vous devriez l’ad
élicat, si frêle, si incertain, si variable, que la bienveillance des
citoyens
à l’égard de quiconque prétend aux charges publiq
magnifique. Jubellius Tauréa et Pacuvius Calavius, seuls de tous les
citoyens
de Capoue, furent admis à ce repas ; et le dernie
n., II, 56.) Cette apostrophe fait sentir toute la tendresse d’un bon
citoyen
pour sa patrie. Changez une lettre, staret, maner
nte ferme la bouche à tout le monde. Seule, la femme de ce malheureux
citoyen
, fondant en larmes, et se jetant aux pieds du vai
projets de son tribun, il convoque l’assemblée publique. Cependant un
citoyen
pervers, tout rempli de pensées funestes et crimi
eule plainte, tombe en silence. Le meurtrier, arrosé du sang d’un bon
citoyen
, s’avance la tête haute comme s’il eût fait une b
de Cicéron (in Verr., V, 66) : « C’est un crime de mettre aux fers un
citoyen
romain ; c’est un attentat de le battre de verges
dans son camp le fils de votre empereur en le menaçant de vos armes ?
Citoyens
, vous qui foulez aux pieds avec tant de mépris l’
faites descendre dans un même tombeau, pour consoler les mânes de vos
citoyens
, ne vous accusent pas auprès du Juge suprême ? Co
perdu ses tables, et l’épée du vainqueur, encore fumante du sang des
citoyens
, traçait seule nos lois ; Constantin, même après
auvages qui viennent s’abreuver dans ses eaux ; cette campagne que le
citoyen
de Rome dédaigne maintenant de cultiver, se réser
’opinion d’une nation, d’hommes renommés pour leur sagesse, de garuds
citoyens
, d’Illustres poëtes, je n’exclus pas même les pro
as croire à la vertu dans ces affreux climats ; qu’il ait confondu le
citoyen
indolent et incapable avec le citoyen perfide et
climats ; qu’il ait confondu le citoyen indolent et incapable avec le
citoyen
perfide et dangereux ; qu’il n’ait pas toujours e
isonniers que j’ai rachetés, des pères dont j’ai doté les filles, des
citoyens
indigents dont j’ai acquitté les dettes. Ce n’est
e principe, n’est digne ni du nom d’honnête homme, ni de celui de bon
citoyen
. Romanciers. Je croirais hors de propos de r
bien public, et au bien de nos semblables. La qualité de sujet et de
citoyen
, ainsi que l’humanité naturelle, jointe à notre p
nés de la morale dont je parle ici, dans ses Devoirs de l’homme et du
citoyen
. Cet ouvrage profond, solide, lumineux et méthodi
nt on n’osait se servir dans les actes publics ; usage pernicieux aux
citoyens
, dont le sort était réglé dans une langue qu’ils
me susceptible de recevoir trois applications différentes ; quand des
citoyens
, réunis en corps politique, discutent les intérêt
sauvages qui viennent s’abreuver dans ses eaux ; cettecampagne que le
citoyen
de Rome dédaigne maintenant de cultiver, se réser
oulever l’indignation contre le supplice de M. Marius et de plusieurs
citoyens
distingués, battus de verges par l’ordre des magi
es conversations de tous les jours. Mais écoutez Cicéron, lorsque des
citoyens
romains, des citoyens innocents, au mépris du dro
us les jours. Mais écoutez Cicéron, lorsque des citoyens romains, des
citoyens
innocents, au mépris du droit des gens et des loi
rappait de verges, s’écrie-t-il, au milieu de la place de Messine, un
citoyen
romain. Ce malheureux, au milieu des souffrances
sait entendre d’autres cris, d’autres plaintes que celle-ci : Je suis
citoyen
romain. Il croyait, en rappelant ce titre, qu’il
au peuple romain ! O institutions sacrées, qu’êtes-vous devenues ? Un
citoyen
romain, dans une province romaine, au sein d’une
Rome les haches et les faisceaux qu’il faisait porter devant lui, un
citoyen
romain était lié et battu de verges sur la place
arracher des biens plus méprisables qu’eux ; Entraîner au tombeau des
citoyens
qu’on aime, Laisser à ces tyrans la moitié de soi
le mot principal, comme dans ce jugement sur Cicéron : « Il était bon
citoyen
: mais de mollesse et de vanité ambitieuse, il en
Obéit à leur voix dans cette ville immense. L’esclavage est pour les
citoyens
esclaves. Racine dit, dans Athalie ; A vous fair
ée de décréter un impôt extraordinaire du quart des revenus de chaque
citoyen
. Un grand nombre de députés voulaient qu’on exami
ançais : choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
; mais choisissez : car ne faut-il pas qu’un peti
e combinaison d’événements qui peut forcer l’homme le plus obscur, le
citoyen
le plus paisible, à prendre la parole en présence
société repose, et qui doivent revenir dans l’entretien habituel des
citoyens
; les découvertes de l’industrie, qui pourvoit au
ccomber au milieu de ses succès, et qui, après avoir été le modèle du
citoyen
, servira de modèle à l’orateur. Le général Foy a
factieux, il prononçait ces terribles harangues qui enflammaient les
citoyens
de Rome et les excitaient à la guerre civile. Cet
tait inspiré d’un Dieu et possédé de l’esprit d’Apollon même : « Non,
citoyens
, non, vous n’avez pas failli, j’en jure par les m
ce serait un art méprisable indigne de l’étude d’un bon ou d’un sage
citoyen
; mais rien n’est plus éloigné de la vérité. Pour
t et le maniement habile des passions et des intérêts de la masse des
citoyens
. La confection des lois, la paix, la guerre, le c
river aux dignités, objet de la convoitise de l’homme ambitieux et du
citoyen
vertueux. Chez une nation si spirituelle et si vi
mourut, il se glorifia de n’avoir jamais fait porter le deuil à aucun
citoyen
pendant sa longue administration. Une remarque im
de la guerre du Péloponnèse, Cléon, Alcibiade, Critias et Théramène,
citoyens
distingués d’Athènes, qui se firent remarquer par
ançais : choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
; mais choisissez, car ne faut-il pas qu’un petit
ence captivait les cœurs ; tout chez lui était image et sentiment. «
Citoyens
, disait-il, profitons des leçons de l’expérience
plus populaire que les harangues que Démosthène adressait à tous les
citoyens
d’Athènes. Cependant si on les examine avec soin,
s la loi, comme cela se pratique aujourd’hui, mais à une assemblée de
citoyens
romains. De là tous ces artifices d’éloquence pop
cée par Verrès, alors gouverneur de Sicile, contre un certain Gavius,
citoyen
romain. Ce Gavius s’était échappé des prisons où
ferait rendre compte de sa conduite pour avoir jeté dans les fers un
citoyen
. Le premier magistrat de Messine, créature de Ver
les bourreaux ; et, contre la loi, contre les privilèges avérés d’un
citoyen
romain, le fait dépouiller et battre de verges de
mer opposé aux côtes de l’Italie, « Afin que cet homme qui se disait
citoyen
romain pût, du haut de sa croix, apercevoir l’Ita
us seul que Verrès insultait, c’était vous, ô Romains, c’était chaque
citoyen
qui m’écoute ; il vous bravait dans la personne d
ancienne beauté ; mais les ruines de tant de murs, sous lesquels des
citoyens
paisibles ont été ensevelis ; mais tant de calami
du public, à ceux qui peuvent découvrir îles voluptés nouvelles. Les
citoyens
ne se souviennent que des bouffons qui les ont di
les plaisirs, semble n’avoir de délicatesse que pour les peines ; un
citoyen
fut fatigué toute la nuit d’une feuille de rose q
t le prêtre et dont il vendait chèrement le sacerdoce aux plus riches
citoyens
; de sa manie à se donner tantôt pour Jupiter, ta
fut suivi dans sa retraite de Vignay par les regrets de tous les bons
citoyens
. « Quand cette neige sera fondue, avait-il dit en
par le roi Fait des procès-verbaux, tyrannise, emprisonne, Ravit aux
citoyens
le pain que je leur donne, Et traîne en des cacho
s satires éloquentes avaient leur raison d’être. Aujourd’hui tous les
citoyens
sont égaux devant l’impôt, et les percepteurs ne
nchi du péril de nos rivaux anciens, Il s’essaye à présent contre les
citoyens
. Son audace s’accroît du peu de résistance ; Rome
tout le monde, et les nobles anciens, Tombés nobles, se sont relevés
citoyens
. Marat. Tu n’y comprends rien. Danton. Non ; j
on qu’il en fera aisément un orateur habile, quand il en aura fait un
citoyen
vertueux. Parcourons ce que Cicéron a écrit sur l
emande pas plus. Mais qu’un orateur public, qu’un homme d’état, qu’un
citoyen
enfin, qui fait partie de l’assemblée devant laqu
uvert au genre délibératif, c’est là que se sont illustrés les grands
citoyens
des républiques anciennes : Périclès, Démosthène,
: Si un peuple a son honneur à défendre, il en est de même de chaque
citoyen
. De l’espéce au genre : Si chaque citoyen a pou
en est de même de chaque citoyen. De l’espéce au genre : Si chaque
citoyen
a pour devoir de défendre son honneur, le même de
! ne le croyez pas ; c’est un hypocrite de patriotisme et un mauvais
citoyen
: il n’y a de bon citoyen que l’honnête homme.
t un hypocrite de patriotisme et un mauvais citoyen : il n’y a de bon
citoyen
que l’honnête homme. 4. Les circonstances. — C’
république pouvait facilement subsister. Tout soldat était également
citoyen
; chaque consul avait une armée ; et d’autres cit
était également citoyen ; chaque consul avait une armée ; et d’autres
citoyens
allaient à la guerre sous celui qui succédait. Le
uissant. Manlius Capitolinus, pour s’assurer l’impunité, montrait aux
citoyens
qu’il avait sauvés, les dépouilles des ennemis tu
e comparer entre eux ces deux récits d’un même fait, le supplice d’un
citoyen
romain frappé de verges. Voici comment Caïus Grac
tracé par Cicéron ! On frappait de verges sur la place de Messine un
citoyen
romain. Ce malheureux, au milieu des souffrances
ait entendre ’d’autres cris, d’autres plaintes que celle-ci : Je suis
citoyen
romain. II croyait, en rappelant ce litre, qu’il
carter tous les supplices. O doux nom de liberté ! ô droits sacrés du
citoyen
! ô lois de Porçius et de Sempronius ! puissance
ribunitienne, ô institutions de la patrie, qu’êtes-vous devenues ? Un
citoyen
romain, dans une province romaine, au sein d’une
dres d’un homme qui devait à Rome les faisceaux portés devant lui, un
citoyen
romain a été lié et battu de verges sur la place
ville, ni l’agitation du peuple, ni le frémissement de tous les bons
citoyens
, ni le choix de ce lieu fortifié pour la convocat
non seulement que vous ne devez pas retrancher Archias du nombre des
citoyens
parce qu’il est véritablement citoyen ; mais que
trancher Archias du nombre des citoyens parce qu’il est véritablement
citoyen
; mais que s’il ne l’était pas vous devriez l’ado
us grands, effets. La prosopopée des guerriers morts à Marathon ; les
citoyens
romains attachés sur le gibet de Verrès ; la nuit
nte ferme la bouche à tout le monde. Seule, la femme de ce malheureux
citoyen
, fondant en larmes, et se jetant aux pieds du bri
dans son camp le fils de votre empereur en le menaçant de vos armes ?
Citoyens
, vous qui foulez aux pieds avec tant de mépris l’
ancienne beauté ; mais les ruines de tant de murs, sous lesquels des
citoyens
paisibles, ont été ensevelis ; mais tant de calam
unérailles n’arrête ni n’étonne le passant : qu’avaient à pleurer les
citoyens
? Les sciences et les lettres. Sujet. — Les sci
y avoir une éducation spéciale et professionnelle qui larme aussi le
citoyen
elle prépare à servir sa patrie dans telle ou tel
te encore des éloges ? nous devons des actions de grâces. Quel est le
citoyen
, qui, en voyant cet homme si grand et si simple,
1. Allusion aux funérailles du général Foy. Un concours immense de
citoyens
accompagna son cercueil. Ses enfants furent dotés
er que les juges délibèrent sur l’utilité de conserver à la patrie un
citoyen
honnête, courageux, dévoué et innocent ; voilà le
s fureurs, des violences, des attentats publics et particuliers de ce
citoyen
pervers ; le contraste de son caractère et de ses
les armes à la main, avez assiégé, cerné le fils de votre Empereur !
citoyens
, vous qui avez foulé, à ce point, l’autorité du S
« J’espère vous faire voir, magistrats, que non seulement Archias est
citoyen
romain, mais que, s’il ne l’était pas, il mériter
erne, vous enveloppe et vous investit de toute part. » En quel temps,
citoyens
d’Athènes, en quel temps a ferez-vous ce que vous
Cicéron contre Verrès, V, 66 : « C’est un crime de mettre aux fers un
citoyen
romain, c’est un attentat de le battre de verges
inte ferme la bouche à tout le monde. Seule la femme de ce malheureux
citoyen
fondant en larmes et se jetant aux pieds du vainq
mplot, le chef de la conjuration et qui fait appel à tous les pervers
citoyens
, tu le laisseras s’en aller ?… » L’autre se peut
t le charme des hommes futiles. Que vit donc Cynéas de majestueux ? Ô
citoyens
! il vit un spectacle que ne donneront jamais vos
s et ses avantages, elle a aussi ses défauts et ses inconvénients. Un
citoyen
, mal renseigné, ayant annoncé dans Athènes la mor
art merveilleux s’empara de tous les esprits ; et les plus illustres
citoyens
de la république s’y distinguèrent. Bientôt la Gr
rdres qui font aller de concert les magistrats et les capitaines, les
citoyens
et les soldats, les provinces et les armées par m
nquille ; Qui ne connaît point d’autres biens, Que ceux que ses vrais
citoyens
De sa bonté peuvent attendre ; Et qui, prompt à l
jets : il prête un langage différent au monarque, au héros, au simple
citoyen
, au berger, en prenant, pour ainsi dire, leurs se
s juges versés dans la connaissance des lois, mais d’une assemblée de
citoyens
romains. De là, ces moyens de l’éloquence populai
u’il est honteux de se taire, lorsqu’Isocrate parle, etc. Mais, comme
citoyen
, sa conduite a été généralement admirée : après l
ait pour être républicain, parce qu’il n’était ni sujet fidèle ni bon
citoyen
; aussi vain, plus hardi et moins honnête homme q
umentales, nous retrouvons toutes les joies ou toutes les douleurs du
citoyen
. Il a l’éloquence du patriotisme. Si l’on a pu re
ains redoutable assemblage ; Venez, vainqueurs des rois, vengeurs des
citoyens
, Vous tous, mes vrais amis, mes égaux, mes soutie
ous qui avez assiégé le fils de votre empereur dans son propre camp ;
citoyens
? vous qui foulez aux pieds l’autorité du sénat.
arler de soi. Chacun songe à soi. N’aimer que soi, c’est être mauvais
citoyen
. 128. — Il ne faut pas se servir du pronom son,
e ne savait pas même où elle allait. 2. Aujourd’hui, tout soldat est
citoyen
. 3. Ce mot voulait dire : Indiscipline, qui n’ob
ait pour être républicain, parce qu’il n’était ni sujet fidèle ni bon
citoyen
; aussi vain, plus hardi et moins honnête homme q
it l’usage des souliers à la mode de Berne, fit attacher au pilori un
citoyen
surpris avec un jeu de cartes. Il prétendait insp
Démosthène bourgeois, aussi honnête qu’habile. Jamais la probité d’un
citoyen
n’a parlé plus brave et plus loyal langage. Tout
la richesse y produit encore des voluptueux, elle y produit aussi des
citoyens
; si elle énerve des âmes, elle en fortifie d’aut
u délibératif. On prouvait qu’il fallait mettre Archias au nombre des
citoyens
romains, parce qu’il avait un génie qui pouvait f
de Cicéron pour le poëte Archias : On ne saurait disputer le nom de
citoyen
à un homme qui en est réellement en possession, e
en être investi sur-le-champ ; Or le poëte Archias est véritablement
citoyen
romain, et, s’il ne l’était pas, il mériterait d’
pour réprimer le crime, et que le criminel est l’ennemi commun, tout
citoyen
est autorisé à venir au secours des lois ; Or c’e
sius dit à Brutus dans la Mort de César : » ……. Si tu n’étais qu’un
citoyen
vulgaire, » Je te dirais : Va, sers, sois tyran s
us, en apprenant par le même messager, la mort de tant de milliers de
citoyens
romains massacrés dans le même temps, de quels se
ur du peuple romain ? Eux, ils ne purent supporter que la liberté des
citoyens
de Rome éprouvât la plus légère atteinte ; vous,
celle d’un jeune homme. Le magistrat ne s’exprime pas comme le simple
citoyen
, etc…. Il est difficile de garder un ton convenab
l’espérance ou la crainte de ceux qui l’entendent. Ainsi, le père, le
citoyen
, le propriétaire blessé dans ses droits, dans son
on honneur, dans ses biens, rencontre parmi ses juges, des pères, des
citoyens
, des propriétaires blessés comme lui, ou qui peuv
t quelque action vertueuse qui attire à l’accusé la haine des mauvais
citoyens
, et les fait conspirer contre lui. Surtout, on n’
ône ; le sujet, dans un état despotique, le trouve à bien servir ; le
citoyen
, dans une république, à jouir de la liberté. Ains
propre à l’éloquence du barreau. La vie, l’honneur ou les biens des
citoyens
compromis, la loi toujours présente, l’autorité d
dans celles qui mettent en péril la dignité, la vie ou la fortune des
citoyens
, le style s’élèvera convenablement et s’animera a
rai-je fait s’il eût été fidèle ? Mais ce tour serait languissant. «
Citoyens
, étrangers, ennemis, peuples, rois, empereurs, le
ont combattu à Platée, à Salamine, à Arthémise ; par tous ces grands
citoyens
dont la Grèce a recueilli les cendres dans des mo
la Couronne.) Par ce serment, ajoute Longin, il déifie ces anciens
citoyens
, et montre qu’il faut regarder tous ceux qui meur
soldats, vous qui assiégez dans sa tente le fils de votre empereur ?
citoyens
, vous qui foulez aux pieds avec tant de mépris l’
lles, l’auteur du crime, le chef de la conjuration, le corrupteur des
citoyens
, tu le laisses sortir de Rome ! Tu l’envoies pren
ortune où vous êtes, c’est le pouvoir de conserver un grand nombre de
citoyens
; ce qu’il y a de meilleur dans votre âme, c’est
que et assemble pour ainsi dire, autour de la tribune, les ombres des
citoyens
morts à la bataille de Chéronée. Ce qu’on entend
que le chef, le premier habitant d’une république tranquille, où les
citoyens
n’ont rien à craindre d’un maître qui ne demande
e, et brief, en toutes sciences libérales et arts méchaniques, si les
citoyens
ne jouissent d’une paix très-haute et assurée, qu
e subsister, si les jugements publics y perdent leur force, si chaque
citoyen
peut les enfreindre à son gré ? — Eh quoi ! si la
pour lui annoncer la mort de Franklin, avril 1790. Il fait l’éloge du
citoyen
, du savant et du philosophe, et rappelle les rela
ne veulent pas se soustraire aux charges que leur impose le titre de
citoyens
anglais, mais ils entendent jouir des franchises
ce titre leur assure. Ils sont, eux aussi, les descendants des grands
citoyens
qui ont acheté au prix de longues luttes les libe
. (Besançon, avril 1891.) L’étude de l’économie politique est pour un
citoyen
instruit un devoir et presque une nécessité. (Bor
, mais ils obéissent à des motifs fort différents. Burrhus est un bon
citoyen
; il aime Néron dont il est le gouverneur et il a
million de protestants les droits qui devraient appartenir à tous les
citoyens
. Ces protestants qu’on a l’air de considérer comm
rticuliers et celle de l’État, il faut encore essayer d’améliorer les
citoyens
eux-mêmes. Une administration mauvaise nuit à la
s d’admiration, ces dialogues sublimes de l’amour et de l’honneur, du
citoyen
et du père, des roi et des grands, quand d’un cou
puté Guadet propose à l’Assemblée législative de décerner le titre de
citoyen
français à l’Anglais William Wilberforce (26 août
e législative de décerner à l’Anglais William Wilberforce le titre de
citoyen
français, je ne pouvais me flatter de concilier d
vos suffrages. Certes, c’est un nom glorieux entre tous que celui de
citoyen
; les Romains s’en sont montrés justement avares,
tière avec une prodigalité insouciante, le titre et les privilèges du
citoyen
français. Comme la plupart d’entre vous sans dout
ancipation des esclaves. J’estime qu’en déclarant William Wilberforce
citoyen
français l’Assemblée Législative fera œuvre de ha
vous propose, Messieurs, de donner à William Wilberforce le titre de
citoyen
français. Concours et examens de l’enseignem
apercevoir. (Section des Lettres.) Morale. L’Etat et les devoirs du
citoyen
envers l’Etat. (Section des Lettres et section de
assique. Etymologiquement, le « classicus », le « classique », est un
citoyen
qui appartient à la première des cinq classes ins
e la destinée de la femme se résume en ces mots : épouse et mère d’un
citoyen
. » – Développer et commenter cette pensée : « C
eignements peut y puiser la jeunesse ? Pédagogie. C’est préparer des
citoyens
, que d’apprendre aux enfants l’histoire et la géo
quoi l’enfant doit-il obéir à ses parents, l’écolier à son maître, le
citoyen
aux lois de son pays ? Concours de 1889. L
r. Pourquoi ? A. Elle a la responsabilité des actes accomplis par ses
citoyens
. Elle doit les mettre à même de remplir le plus u
: « Le but de l’éducation doit être de faire des hommes, de faire des
citoyens
, de faire des heureux. » – De la politesse. Néce
ue des devoirs sociaux, des vertus qui font l’honnête homme et le bon
citoyen
. – Tracez l’idéal d’un caractère d’instituteur. –
de nouveau services. Répondez comme il convient à des Français, à des
citoyens
, à des éducateurs de la jeunesse, qui doivent sur
Antonius, ne la relâchent que pour une forte rançon, et insultent des
citoyens
romains, qu’ils ont la barbarie de noyer dans les
e Sainte-Sophie, assemble les généraux, les officiers, les principaux
citoyens
, et cherche à ranimer leur courage par le discour
vie, à soixante-dix ans….. J’ai rempli fidèlement tous mes devoirs de
citoyen
….. Soldat, j’ai combattu vaillamment pour mon pay
ux devoirs de l’âge qui suit. L’âge mùr, – l’homme complet, – l’homme
citoyen
, époux et père. La vieillesse, – âge du repos, –
’une nation qui a subi de grands désastres se relève, il faut que les
citoyens
qui la composent sachent bien que la confiance en
he, que Chappe venait d’inventer. C’était l’annonce d’une victoire. «
Citoyens
, dit Carnot, voici la nouvelle qui nous arrive à
gtième année, c’est qu’on fit dans Athènes des obsèques publiques aux
citoyens
qui avaient été tués à la guerre de Samos, l’an 4
re, par le talent de la parole, les biens, l’honneur, la vie même des
citoyens
contre les détours frauduleux de la mauvaise foi,
roult. Il y eut à Rome une infinité de personnages consulaires, ou de
citoyens
distingués, qui coururent avec éclat la carrière
en, et que personne ne s’y trompe. Je comprends par moralité celle du
citoyen
, de l’homme d’honneur, de l’homme actif et pratiq
ent le plus solide de la domination à laquelle il aspirait. Né simple
citoyen
d’une république, il forma, dans une condition pr
elles ne sont violées par un prince qui, étant toujours le plus grand
citoyen
de l’État, a le plus d’intérêt à sa conservation.
onore des écrits de trois novateurs, hommes de bien, utiles et grands
citoyens
: — Ambroise Paré (1517-1590), chirurgien de Char
omme de la chambre de Charles IX ; à Rome, en 1581, il reçut celui de
citoyen
romain. Il fut élu pendant cette dernière absence
ng, qu’on emprisonne tes Senateurs, qu’on chasse et bannisse tes bons
citoyens
et Conseillers, qu’on pende, qu’on massacre tes p
n Roy débonnaire232, si facile, si familier, qui s’estoit rendu comme
citoyen
et bourgeois de ta ville qu’il a enrichie, qu’il
ur ancienne beauté, mais les ruines de tant de murs sous lesquels des
citoyens
paisibles ont été ensevelis, mais tant de calamit
s orateurs chrétiens un homme qui a plus agi que parlé, « le meilleur
citoyen
que la France ait eu », dit Maury, Vincent de Pau
urs publiques, était toute sa pensée. Personne ne fut jamais meilleur
citoyen
, sans le dire, sans le savoir » (Villemain, Table
dit le philosophe. On nous a déjà établi ce beau paradoxe, reprit le
citoyen
; mais ce sont des discours de sage, c’est-à-dire
ans de sollicitations que la cour d’Isabelle consentit au bien que le
citoyen
de Gênes voulait lui faire. La cour d’Espagne éta
un innocent. Il croyait que les lois étaient faites pour secourir les
citoyens
, autant que pour les intimider. Son principal tal
fort faisant la loi, non seulement de peuple à peuple, mais encore de
citoyen
à citoyen. Cette scène du monde, presque de tous
nt la loi, non seulement de peuple à peuple, mais encore de citoyen à
citoyen
. Cette scène du monde, presque de tous les temps
que pour être le monarque particulier de chaque nation et le premier
citoyen
de chaque ville. Les Romains conquirent tout pour
Vous avez divulgué ce fatal secret, et ôté ce qui fait seul les bons
citoyens
d’une république trop riche et trop grande, le dé
c’est l’abeille de la France551. La France n’a jamais eu de meilleur
citoyen
que Louis XII. Le maréchal de Catinat a soutenu l
ançais : choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez ; car ne faut-il pas qu’un petit
vient cette espèce de torpeur dans laquelle paraissent ensevelis les
citoyens
restés à Paris ? Ne nous le dissimulons pas, il e
ses, afin de soulever contre elle les nations amies de l’humanité ! Ô
citoyens
de Paris, je vous le demande avec la plus profond
ts que la bassesse de leurs moyens et l’audace de leurs prétentions ?
Citoyens
, vous les reconnaîtrez facilement. Lorsque l’enne
pour le repousser, vous engage à égorger froidement des femmes et des
citoyens
désarmés, celui-là est un ennemi de votre gloire,
est ami de votre gloire, ami de votre bonheur : il veut vous sauver !
Citoyens
, repoussez donc les traîtres, abjurez donc vos di
ans nos discordes, de ne pas triompher sur nos ruines ! Au camp donc,
citoyens
, au camp ! Eh quoi ! tandis que vos frères, que v
e nouveau604 ? » Ah ! détestons cette avilissante mollesse ! Au camp,
citoyens
, au camp ! Tandis que nos frères, pour notre défe
eurs les plaines de Saint-Denis pour protéger leur retraite. Au camp,
citoyens
, au camp ! Oublions tout, excepté la Patrie. Au c
camp, citoyens, au camp ! Oublions tout, excepté la Patrie. Au camp,
citoyens
, au camp ! (Prononcé dans l’Assemblée Législati
ue de quelques articles additionnels à cette loi, pour envelopper les
citoyens
et les cités entières dans la proscription. Augus
r le génie divin de Caligula : pour y avoir manqué un grand nombre de
citoyens
furent déchirés de coups, condamnés aux raines et
ement, un air ouvert et calme. Tout donnait de l’ombrage au tyran. Un
citoyen
avait-il de de la popularité, c’était un rival du
ient bien. Hominem publicis bonis mæstum. Suspect. Si au contraire un
citoyen
se donnait du bon temps, il ne se divertissait qu
ut dans son lit ; ce qui parut tenir du prodige. » La mort de tant de
citoyens
recommandables semblait une moindre calamité que
dans sa feuille, pousse au désespoir et à la révolte vingt classes de
citoyens
; qui, pour s’étourdir sur ses remords et ses cal
selle, le créateur du mot bienfaisance ; et Turgot (1727-1781), grand
citoyen
, comme Vauban, et économiste éminent. La philosop
enaient leur bassesse pour de la raison ne trouvassent ridicule qu’un
citoyen
obscur osât lutter seul contre toute la puissance
marche assurée, il a donné la mesure de son insuffisance, et que les
citoyens
les plus modérés sont forcés de convenir que l’Ét
ination, la passion. Toujours dans le prêtre et le moine respirait le
citoyen
: il fut l’apôtre ardent et aimé de l’union du ca
bourgeois ; il parlera autrement. Les bourgeois, qui ne sont pas des
citoyens
d’Athènes ou de Rome, n’auront pas cette rage de
de Cyrène, et souvent aussi dans les maisons et à la table de riches
citoyens
, dont il célébrait, pour des présents ou par amit
tions anciennes la liberté, c’est la liberté politique, la liberté du
citoyen
: ce n’est pas de sa liberté personnelle que l’ho
erté personnelle que l’homme est préoccupé, c’est de sa liberté comme
citoyen
; il appartient à une association, il est dévoué
, de n’être pas devenus des maréchaux. Ils ont eu l’honneur de mourir
citoyens
et libres, sans être réduits, comme Moreau814, à
ec les Brutus et les Manlius de l’ancienne Rome, il disparaît dans le
citoyen
. On dirait qu’au commencement des sociétés les in
tte dans les anses. 598. Contribution du quart des revenus de chaque
citoyen
, demandée à l’Assemblée nationale par Necker, min
à peindre d’une manière très ressemblante et très vive les mœurs des
citoyens
, et à y joindre en même temps un certain grotesqu
la concevons aujourd’hui, faisant non plus la satire personnelle des
citoyens
, mais attaquant les vices généraux sans désigner
l fut lieutenant général de police de la ville de Paris, en 1697. Les
citoyens
d’une ville bien policée jouissent de l’ordre qui
ise qui, vivement émue par toutes les joies ou toutes les douleurs du
citoyen
, fait tressaillir les fibres les plus vives du pa
ron dans la défense du poète Archias : il démontre que son client est
citoyen
romain, et il charme ses auditeurs par l’éloge du
in : « Celui qui ne gémit pas comme voyageur ne se réjouira pas comme
citoyen
. Qui non gemit peregrinus, non gaudebit civis. »
, que fallait-il ? Vouloir le salut d’Athènes ? et vous et les autres
citoyens
vous seriez accourus à la tribune. Compter parmi
ient parlé. Ah ! c’est qu’un tel jour, une telle crise, appelaient un
citoyen
non seulement riche et dévoué, mais qui eût encor
l faut et rien de plus. Le magistrat ne s’exprime pas comme le simple
citoyen
, et celui dont la réputation s’étend au loin peut
vœux de tout le militaire français, de toute la noblesse, de tous les
citoyens
éclairés qui sont encore alarmés par l’arrêt du m
i voir, dit Cicéron dans son pro Archia, non seulement qu’Archias est
citoyen
romain, mais que, s’il ne l’était pas, vous devri
st permis sans doute à Louis de regretter qu’une multitude immense de
citoyens
aient reçu l’impression des inculpations dont il
s’était rendue à Annibal et l’avait reçu dans ses murs. Deux frères,
citoyens
les plus considérables de la ville, donnèrent à m
rançais. Choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez ; car ne faut-il pas qu’un petit
ns laquelle il a élevé au-dessus d’eux-mêmes et les magistrats et les
citoyens
dont il était environné. Mais il a eu un instant
mp fertile ; entre le sauvage de la Colchide et l’Assyrien ; entre le
citoyen
de Thèbes et celui d’Argos. Suivez la tradition,
s carrefours : il y aurait à de quoi révolter patriciens, chevaliers,
citoyens
aisés ; et les applaudissements de la canaille qu
n puits ou dans une fosse ; il aura beau crier à tue-tête : « A moi !
citoyens
, au secours ! » gardez-vous bien de l’en tirer, a
ttant des merles, 1326il aurait-beau crier longtemps : 1327« Holà !
citoyens
! au secours ! » 1328qu’il n’y ait personne 132
il est affreux d’empoisonner le bien, Et de porter le nom de mauvais
citoyen
. Non, le gain les excite, et l’argent les enfièvr
renard gascon ; une Hélène au beau plumage ; Sa Majesté fourrée ; un
citoyen
du Mans, chapon de son métier ; Monsieur du Corbe
ue le sujet l’exige, il peut être formé de femmes, de jeunes gens, de
citoyens
, d’esclaves, de prêtres, de soldats : seuls, les
ion sans cesse grandissante, voilà la seule préoccupation de tout bon
citoyen
. Aussi voyons-nous les enfants apprendre, dès le
t très en honneur à Rome, il faut citer les Gracques, ces deux grands
citoyens
, qui parvinrent, à force d’éloquence, à faire ado
a de sa vie, et la postérité doit conserver une haute estime au grand
citoyen
qui prononça les Catilinaires et les Philippiques
amine rien… Albe vous a nommé, je ne vous connais plus. Chez lui, le
citoyen
est admirable, mais l’homme est vraiment sauvage.
d’emmener avec lui la troupe odieuse de ses complices : le mépris des
citoyens
, l’aversion du Sénat, ses complots déjoués, tout
déjoués, tout l’y engage. Qu’il délivre donc de sa présence les bons
citoyens
, et coure se joindre aux brigands de l’armée de M
que pour être le monarque particulier de chaque nation et le premier
citoyen
de chaque ville. Les Romains conquirent tout pour
ni l’effroi répandu parmi le peuple, ni le concours de tous les bons
citoyens
, ni l’appareil redoutable de ce lieu auguste, ni
us. Liberis civibus nata est eloquentia. L'éloquence est née pour les
citoyens
libres. Aptum ad insidias hostis locum cepit. L'e
Cic. Marius est fort blâmable d’avoir fait mourir un grand nombre de
citoyens
. Dans ce dernier sens, on ajoute élégamment le co
fiée ; on se la figure comme animée et capable de parler au cœur d’un
citoyen
. (Gantrelle, Gram. lat.) 8. La proposition incid
inances, ne demandait rien moins que le quart de la fortune de chaque
citoyen
; songez quelle opposition devait soulever et sou
s, tantôt il personnifie la patrie, pour gémir sur les attentats d’un
citoyen
rebelle. Il élève son discours par la hardiesse d
qu’à brouiller ; et les critiques sages, au contraire, comme de bons
citoyens
qui ne travaillent qu’à faire fleurir la raison e
sique, pris en ce sens, parait chez les Romains, où il signifiait les
citoyens
de la première classe, qui possédaient un revenu
es vertus publiques ; et les titres de bon parent, de bon ami, de bon
citoyen
, méritent bien d’être gravés sur le marbre. 121.
l’article, soit simple, soit particulé : = les pauvres et les riches
citoyens
sont égaux dans le sanctuaire de la justice : = v
a pauvreté n’est pas un vice. Voyez aussi cette phrase de Fléchier :
citoyens
, étrangers, ennemis, peuples, rois, empereurs le
aurait eu, si l’orateur, faisant usage de l’article, avait dit : les
citoyens
, les étrangers, les ennemis, les peuples, les roi
timents, dans les habitudes, qui doivent les distinguer du commun des
citoyens
et se refléter dans leur langage. « Des âmes sans
vous ont dirigé dans l’École que vous quittez, et principalement à ce
Citoyen
vertueuxa que ses grandes qualités ont, pour ains
afic dans lequel ils veulent tout attirer à eux, et asservir tous les
citoyens
. Le misanthrope fait plus de peur et moins de mal
n crucem tollere ? In Verr., 66. C'est un crime de mettre aux fers un
citoyen
romain, c’est un attentat de le battre de verges,
sont au désespoir ; les campagnes elles-mêmes déplorent la perte d’un
citoyen
si bienfaisant, si utile, si débonnaire. Le plus
idum. Civitas (de civis, formé de coire) désigne une totalité de
citoyens
formant un corps politique. Cœtus hominum jure so
qu’on levait les impôts par tribus) était l’argent que payait chaque
citoyen
à raison de ses revenus. — Vectigal (de vehere) c
e jugement que ce grand philosophe portait de l’un des plus illustres
citoyens
d’Athènes, qui avait longtemps gouverné la Républ
ostérité. Mais Platon demandait si l’on pouvait nommer un seul homme,
citoyen
ou étranger, esclave ou libre, à commencer par se
n était libre avec les lois, on veut être libre contre elles ; chaque
citoyen
est comme un esclave échappé de la maison de son
est une dépouille ; et sa force n’est plus que le pouvoir de quelques
citoyens
et la licence de tous. Athènes eut dans son sein
et pendant qu’elle servit avec tant de honte. Elle avait vingt mille
citoyens
lorsqu’elle défendit les Grecs contre les Perses,
pas l’accuser devant les Romains164 ? Malheureux, qui voulaient être
citoyens
sans qu’il y eût de cité, et tenir leurs richesse
Bientôt Rome leur demanda pour otages trois cents de leurs principaux
citoyens
; elle se fit livrer les armes et les vaisseaux,
ux. Les paroles qu’il y prononça sont encore dans la mémoire des bons
citoyens
qui savent l’histoire de leur pays : « Déjà par l
tendait que sa mort, qui la prédisait sans cesse : le sort du moindre
citoyen
paisible dans sa famille était bien préférable au
e nos regrets, que l’homme animal farouche fût plus digne que l’homme
citoyen
civilisé ? Oui, car tous les malheurs viennent de
arrive-t-il qu’avec une vie et des intentions toujours honorables, un
citoyen
se voie aussi violemment déchiré ? qu’un homme ga
ibution patriotique, qui devait s’élever au quart du revenu de chaque
citoyen
. Mirabeau soutint la proposition du ministre : à
rançais. Choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez : car ne faut-il pas qu’un petit
e plus profond. L’on n’aperçoit d’abord sur le visage de ces généreux
citoyens
que du calme : il y a trop de dignité dans leurs
hiloctète ou d’Hécube ; nous aurions pu ouïr les applaudissements des
citoyens
aux discours de Démosthène. Mais, hélas ! aucun s
les deux chambres ; les communes voulurent même l’imposer à tous les
citoyens
; et, sur le refus des lords, elles déclarèrent q
de une vertu plus malheureuse et même plus mal employée que celle des
citoyens
qu’on a appelés les derniers Romains ? Brutus, en
hose, le pauvre comme le riche, l’ignorant comme le savant, le simple
citoyen
comme l’homme d’État. Elle offre surtout des ense
omme honnête ; s’il a été un homme d’État glorieux, il a été aussi un
citoyen
dévoué. C’est par ce côté du bon sens, de l’honnê
les intérêts mécontents ? Et comment y aurait-il puissance, si chaque
citoyen
n’est pas prêt à prendre, au premier ordre, le po
monde ! Livreras-tu toujours à l’exil, aux bourreaux, Tes plus grands
citoyens
, tes plus grands généraux ! A tes meilleurs enfan
tout le monde, et les nobles anciens, Tombés nobles, se sont relevés
citoyens
. MARAT. Tu n’y comprends rien. DANTON. Tu n’y co
l’Assemblée nationale de porter pendant trois jours le deuil du grand
citoyen
. Son éloge a été heureusement résumé dans un vers
ribution patriotique qui devait s’élever au quart du revenu de chaque
citoyen
. Mirabeau soutint la proposition du ministre : à
rançais. Choisissez parmi les plus riches, afin de sacrifier moins de
citoyens
. Mais choisissez ; car ne faut-il pas qu’un petit
s qui sont liés avec les ministres et leurs agents ; de l’autre, « le
citoyen
paisible, vertueux, ignoré, sans ambition, qui tr
à celui de reconstruire : vous compterez la plupart de ces énergiques
citoyens
qui, au commencement des états généraux (c’est ai
e plus profond. L’on n’aperçoit d’abord sur le visage de ces généreux
citoyens
que du calme ; il y a trop de dignité dans leurs
hiloctète ou d’Hécube ; nous aurions pu ouïr les applaudissements des
citoyens
aux discours de Démosthène. Mais, hélas ! aucun s
les deux chambres ; les communes voulurent même l’imposer à tous les
citoyens
; et sur le refus des lords, elles déclarèrent qu
de une vertu plus malheureuse et même plus mal employée que celle des
citoyens
qu’on a appelés les derniers Romains ? Brutus, en
hose, le pauvre comme le riche, l’ignorant comme le savant, le simple
citoyen
comme l’homme d’État. Elle offre surtout des ense
omme honnête ; s’il a été un homme d’État glorieux, il a été aussi un
citoyen
dévoué. C’est par ce côté du bon sens, de l’honnê
ennemie. Quand sous le crime heureux tout languit abattu Malheur aux
citoyens
coupables de vertu, Et dont la gloire offense, à
eunesse française d’avoir voulu porter elle-même le cercueil du grand
citoyen
. Aussi, quelle que soit la célébrité que lui aien
l’assemblée nationale de porter pendant trois jours le deuil du grand
citoyen
. Son éloge a été heureusement résumé dans un vers
it athée par principes, je conviens qu’il pourra se trouver plusieurs
citoyens
qui, nés tranquilles et doux, assez riches pour n
racchus prononçait ces terribles harangues qui armaient la moitié des
citoyens
de Rome contre l’autre moitié. Quintilien, en blâ
gouvernement essentiellement démocratique, et où le corps entier des
citoyens
formait la législature. Il y avait cependant un s
a longue administration il n’avait pas fait porter le deuil à un seul
citoyen
. Une remarque particulière que Suidas fait au suj
ponnèse, nous voyons paraître Cléon, Alcibiade, Critias et Théramène,
citoyens
qui, dans Athènes, occupèrent un rang élevé, et s
s développée, plus lente que celle qui était à la portée des derniers
citoyens
d’Athènes, et que sans ce développement et cette
ait populaires, qui furent prononcées devant l’assemblée générale des
citoyens
d’Athènes ; et comme le sujet des unes et des aut
ses armées étaient au cœur de leur pays. Il tint le même langage aux
citoyens
de Phères, jusqu’au moment où il commença l’attaq
aginaires qui n’existent que par écrit. Je veux une armée composée de
citoyens
; que ce soit en une force athénienne que vous pl
llent avocat sans connaître les lois. Il y avait à Rome une classe de
citoyens
appelés pragmatici, qui se chargeaient de remettr
personnes versées dans la jurisprudence, mais devant une assemblée de
citoyens
romains. Aussi l’orateur employa-t-il avec succès
a ville de Larinum. Dans une contestation publique sur les droits des
citoyens
de cette ville, ils avaient été d’opinions opposé
t de ce bruit, et l’on s’écriait partout que la vie et la liberté des
citoyens
n’étaient plus en sûreté, si l’on ne repoussait p
les termes les plus honorables, et appuyés d’un concours nombreux de
citoyens
de cette ville présents à l’audience, et prêts à
erres conquises par la république, pour en faire le partage entre les
citoyens
. Des magistrats factieux avaient souvent proposé
onné de ses victoires au lieu de gardes Ce poète s’adresse ainsi à un
citoyen
qui a formé le projet d’assassiner le héros au mi
nobles figures, le chancelier de l’Hospital (1505-1573), aussi grand
citoyen
qu’éloquent orateur, et le président de Thou, don
religion. Composez vos bataillons, non pas de gens sans aveu, mais de
citoyens
qui se nourrissent des principes de la république
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