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1 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
ticles suivants, les onze espèces de poésies fugitives que nous avons citées plus haut. Article Ier. De l’épigramme
énéral, au-dessous de quatre, et ne pas aller au delà de quinze. 116. Citez quelques madrigaux. Un des meilleurs est celui d
blesse dans le style font le principal mérite de ce petit poème. 118. Citez quelques inscriptions. Une des plus belles inscr
lques inscriptions. Une des plus belles inscriptions que l’on puisse citer pour un monument public, est celle qui est gravée
ami, de bon citoyen, méritent bien d’être gravés sur le marbre. 121. Citez quelques épitaphes. Les suivantes nous paraissen
isse se permettre de faire la satire sur leur propre tombeau. On peut citer en ce genre les épitaphes de l’Arétin et de Volta
peu différentes, comme dans celui de Malleville sur Bois-Robert. 128. Citez un exemple de ce genre de poésie. Nous citerons
pesant pour un poème qui doit garder la naïveté du vieux temps. 130. Citez une ballade. En voici une qui donne à la fois le
n langage de cour, Promettre est un, et tenir est un autre. On peut citer encore une gracieuse ballade de Clotilde de Survi
t qui cependant laisse à la pénétration une difficulté piquante. 136. Citez quelques logogriphes. Le suivant, qui est un des
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
n ancien logogriphe latin, qui est peut-être le meilleur qu’on puisse citer . Le mot en est muscatum, que l’auteur personnifie
qui vous aime tendrement, Je n’écris que pour vous le dire. On peut citer encore pour modèle de madrigal ces jolis vers que
n, qu’en le proposant pour modèle, je ne ferai point difficulté de le citer , quoiqu’il soit connu de tout le monde. Grand Di
s, et dans leur liaison avec celui qui les précède. On ne peut pas en citer de meilleur exemple, que cet ancien et joli triol
re la satire sur leur propre tombeau. Ainsi, je ne craindrai point de citer ici l’épitaphe du fameux l’Arétin par Mainard. L
qui ont été faites en notre langue, une des plus belles que je puisse citer pour un monument, est celle que fit Piron, lorsqu
rve par sa science,               Et Vénus par sa beauté. Je pourrai citer aussi ces quatre vers du chevalier de Cailly, sur
ec Marie-Thérèse, Infante d’Espagne. Il ne serait guère possible d’en citer un plus agréable et plus beau dans le genre noble
3 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
cilement quand il a de l’âme, et quand il a saisi l’esprit du poète. Citez un exemple. Moïse, dans l’Écriture, fait dire à
oète, et que celui-ci emploie pour prouver ce qu’il a en vue. On peut citer comme modèle l’ode d’Horace : Sic te diva potens…
ter. — Racine nous a laissé de magnifiques cantiques spirituels. 201. Citez , parmi les plus remarquables, quelques odes sacré
le Jugement dernier, de Gilbert, et l’Hymne au Christ, de Lamartine. Citons parmi les hymnes, proses liturgiques et cantiques
Horace, en particulier les trois premières du livre III, nous pouvons citer en ce genre une ode de Joachim du Bellay sur la V
et de pureté que l’innocence n’en puisse jamais être alarmée. On peut citer comme modèle une ode de Klopstock, qui a pour tit
ilecta tabernacula tua ; 132, Ecce quàm bonum et quàm jucundum. 212. Citez les odes gracieuses et anacréontiques les plus re
t alors elle peut s’élever à la hauteur de la poésie lyrique. On peut citer en ce genre les admirables Lamentations de Jérémi
nnaisse ; ce sont des psaumes en grand nombre, parmi lesquels il faut citer les sept psaumes pénitentiaux, et particulièremen
xquise. 222. Quelles sont les plus belles élégies modernes ? On peut citer les suivantes : l’élégie de Martial de Paris sur
s en versant des pleurs :         Je suis l’arbre stérile ! On peut citer comme modèles de chansons religieuses, l’Église d
thalame, parce qu’il ne s’y trouve pas de vers intercalaires, on peut citer comme modèle l’épithalame que M. de Bernis fit, e
4 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VIII. » pp. 96-97
ristote. L’Héracléide.] Il y avait une Héracléide de Cinéthon qui est citée par le scholiaste d’Apollonius de Rhodes, I, 1357
ide.] Le plus ancien des poëmes ainsi intitulés paraît être celui que citent Plutarque (Vie de Thésée, chap. xxviii) et Aristo
rvée par Photius (Cod. 239), et dans un poëme intitulé Palamedea, que cite un scholiaste d’Homère (sur l’Iliade, II, 761) pu
5 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
de se garder bien d’en rien transporter dans ses opérations. Bossuet citait , mais il citait en chaire, en mitre et en croix p
en d’en rien transporter dans ses opérations. Bossuet citait, mais il citait en chaire, en mitre et en croix pectorale ; il ci
citait, mais il citait en chaire, en mitre et en croix pectorale ; il citait aux persuadés1. Ces temps-ci ne sont pas les même
assez de bonheur et assez de bonnes qualités pour qu’il leur plût de citer souvent à leurs nouveaux amis quelque trait de ma
les textes sacrés dans la mémoire de son cœur, dans sa conscience. Il citait de génie. Joubert craint pour son ami les nuages
6 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
le lecteur croie qu’il aurait facilement parlé ou écrit de même. 124. Citez quelques exemples de style naturel. Outre les ex
out le prix, comme on pourra en juger par les exemples suivants. 137. Citez des modèles de style simple. Nous citerons comme
uceur, et qui paraissent nées d’elles-mêmes plutôt que choisies. 141. Citez des modèles de style naïf. Après Joinville, hist
c’est-à-dire des pensées et des sentiments tendres et délicats. 147. Citez des exemples de style délicat. Après les vers de
que bordent des forêts verdoyantes et de délicieuses campagnes. 154. Citez des modèles en ce genre ? Nous signalerons, comm
pithètes. — On doit éviter la sécheresse et l’excès d’ornements. 164. Citez quelques modèles. On trouve des exemples de styl
ement l’esprit, et à produire sur l’âme une impression profonde. 171. Citez quelques exemples de style énergique. L’énergie
à la véhémence est la froideur, dont nous avons parlé plus haut. 174. Citez quelques modèles de style véhément. Nous signale
7 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
’admiration de sa cousine. Parmi ceux qui l’ont apprécié le mieux, on citera encore Fénelon, qui a notamment déploré sa mort d
os poëtes du seizième siècle ne l’avaient pas abordé sans succès : on citera parmi eux Haudent, liv. II, fab. 9 de ses Trois c
Fontaine, elle a trouvé de nombreux commentateurs, entre lesquels on citera , outre Chamfort, La Harpe et plus récemment Ch. N
science fut appelée clergie. » 3. Il faut voir aussi, dans la fable citée plus haut, le réquisitoire du loup : Comment ? l
8 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
ix tragédies portant ce titre, qui sont aujourd’hui perdues  Aristote cite , au chap. xvi, celle de Carcinus. Voyez Wagner, F
rque que cette pièce, ainsi que l’Alceste, a un dénoûment comique  il cite encore un exemple de Sophocle, et il ajoute : « E
9 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
passé ses originaux sans le croire et sans s’en douter86. Il faudrait citer plusieurs de ses fables si l’on voulait faire app
time publique paraît leur avoir assigné), il serait injuste de ne pas citer Arnault, dont les fables, publiées pour la premiè
tivé chez nous que par des poètes du second ou du troisième ordre. On cite la lettre d’Héloïse à Abailard par Colardeau. Enc
s, on doit supposer qu’il a lu les satires de Boileau101. » Nous n’en citons pas ici d’extrait, puisque cet ouvrage est entre
r, où se trouve cette stance d’une coupe si harmonieuse et si souvent citée  :         Félicité passée         Qui ne peux re
dans le nôtre surtout il s’en est fait beaucoup et de très belles. On cite au nombre des plus remarquables la Promenade, de
lesquels il faut distinguer surtout madame Dufresnoy et Millevoye. On cite avec raison de ce dernier, comme une élégie charm
place, il lui reste encore assez de beautés pour mériter sa renommée. Citons ici le commencement d’une de ses plus belles odes
10 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre I. » pp. 73-74
que seulement l’absence de tout accompagnement musical. Chateaubriand cite ensuite un témoignage de Denys d’Halicarnasse, qu
s pour leur lâcheté. Les dialogues Socratiques.] Athénée, XI, p. 505, cite un passage du traité d’Aristote Sur les Poëtes, o
11 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
figures proposées par M. Fontanier, la paraphrase et l’épiphrase. Il cite comme exemple de paraphrase les vers d’Iphigénie 
L’expolition sans gradation, comme celle de Racine que nous venons de citer , peut souvent paraître un pléonasme, même en pren
heureux ! etc., sans substantif exprimé, tout cela, anacoluthe. J’en citerai un seul exemple, le vers de Boileau : Sans songe
est fréquente en latin. Cependant il faut distinguer. Par exemple, on cite parmi les anacoluthes ces vers de Virgile : Saxa
12 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
s et de quatre membres. Comme exemple de la période à quatre membres, citons ces paroles du grand-prêtre Joad au sujet de Joas
e d’excellents modèles dans l’Avare et dans le Bourgeois gentilhomme. Citons , dans ce genre, le début de la comédie de Racine,
buser de l’une que de l’autre, pour ne point tomber dans l’afféterie. Citons comme modèles les deux strophes suivantes : On m
pas être sublime, cette mère qui avait perdu son fils, et à qui l’on citait , pour la consoler, l’exemple d’Abraham obligé de
n sublime quand il dit : « Tout était dieu, exempté Dieu lui-même. » Citons , comme dernier exemple, ces vers de Racine, dont
ition et l’exemple, dit : L’Allégorie habite un palais diaphane. On cite souvent comme exemple l’allégorie de Madame Desho
tes les formes que peut revêtir la pensée : nous nous contenterons de citer les principales. Les figures doivent s’offrir nat
13 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »
exemples seulement, car il faut mettre des bornes, même au plaisir de citer Homère et Virgile. Ulysse a vu dans les enfers le
Champs. Ch. 4) Si nous n’écoutions que le plaisir de parcourir et de citer de beaux vers, il nous serait aisé, sans doute, d
19. Pope sans doute avait sous les yeux les vers que nous venons de citer , quand il fit ceux-ci, où il a déployé tant de ri
14 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
que s’enflammer encore dans l’âme de l’orateur. Les rhéteurs anglais citent avec les plus grands éloges, le début d’un sermon
a presque pas une de ses narrations oratoires qui ne soit un modèle à citer . Mais nous nous arrêterons de préférence à celle
nier principalement ; car, suivant la remarque du rhéteur Apollonius, citée par Cicéron et Quintilien, rien ne sèche si vite
15 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
les héros que l’on célèbre en histoire, en éloquence, en poésie. 377. Citez quelques prosopographies. Voici comment Chateaub
ivains en ce genre sont Théophraste, La Bruyère et Vauvenargues. 383. Citez un certain nombre de portraits et de caractères.
us saillants des personnes ou des choses que l’on met en regard. 385. Citez quelques parallèles. Commençons par le parallèle
au présent, tour d’élocution qui peint les choses plus vivement. 390. Citez quelques hypotyposes. Homère, Virgile et les gra
pourrait avoir lieu dans un sujet ordinaire et peu intéressant. 409. Citez un modèle de début dramatique. Nous trouvons un
au récit en mettant toujours en relief le personnage principal. 413. Citez un modèle de nœud. Le récit de la mort de Turenn
ement ; et le récit aura un complément qu’on appelle achèvement. 419. Citez un modèle de dénoûment. Chateaubriand a admirabl
t, les narrations fabuleuses sont écrites dans le style tempéré. 428. Citez quelques narrations fabuleuses ? Nous citerons,
dmet même en quelque cas la dignité, la noblesse et l’éloquence. 462. Citez quelques exemples d’ornements épistolaires. Nous
en donner lecture ou la lui remettre non cachetée. — On ne peut rien citer de plus admirable en ce genre que la lettre de sa
16 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
leurs principes que je reproduis dans mon ouvrage : je me plais à les citer fréquemment ; et, lors même que je ne les nomme p
ntilien, de Longin et des autres célèbres auteurs. Leurs textes qu’il citerait , seraient les plus beaux ornements du sien, etc. 
17 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
et qui a plus d’un rapport avec les grands hommes que nous venons de citer , a déployé, dans une foule de circonstances, cett
est pas plus aisé de rapporter tout ce qu’ils ont dit de beau, que de citer tout ce qu’ils ont fait de grand. Nous en avons d
18 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
ègles d’un art ou d’une science. Dans le premier cas, on raisonne, ou cite des autorités, des exemples, on tire des conséque
fait connaître des observations relatives à la pratique. Nous pouvons citer en ce genre les Géorgiques, de Virgile, l’Art poé
r, sans s’astreindre toutefois à suivre toujours le même rythme. 278. Citez un exemple de ce genre de satire. Voici un fragm
êter à ses acteurs toutes les grâces dont ils avaient besoin. On peut citer , entre autres exemples de naïveté, le Savetier et
ées, dans les allusions, dans les tours et dans les expressions. 313. Citez des exemples d’images et de descriptions employée
jours coupé à propos. Tels sont les dialogues de La Fontaine. On peut citer pomme exemple celui qui se trouve dans la fable :
19 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
e rien ne peut corrompre De Jouy. Il ne nous est point difficile de citer des lectures à faire sur la Pureté du style. Ouvr
e pris au hasard nous offriront des modèles de Naturel. On ne saurait citer un meilleur exemple dans ce genre que la fable de
imitant, La cruche au large ventre est vide en un instant. Boileau. Citons comme exemple de style noble, ce morceau plein de
de la pesanteur ou de la légèreté, de la rapidité ou de la lenteur. ( Citer Boileau.) 2° Éviter les hiatus : rechercher la pr
.) 2° Éviter les hiatus : rechercher la prononciation la plus douce. ( Citer Boileau.) 3° Éviter les consonances semblables. 4
er de finir les phrases par des monosyllabes, des sons secs et durs. ( Citer Boileau.) 5° Finir chaque phrase ou chaque membre
imitative toutes les fois que le sujet s’y prête. Le morceau que nous citons ici est écrit d’un style noble et harmonieux : il
20 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
ré la beauté de ces exemples, et beaucoup d’autres que nous pourrions citer , on peut dire que les portraits ne sont vraiment
sition, ne sont pas dans l’ouvrage des défauts réels. Quelquefois, on cite les paroles des personnages, soit textuellement,
être le style de l’histoire, il n’y a peut-être rien de mieux que de citer un passage où se trouvent les défauts qui y sont
esque toujours faux. Il l’est, en particulier, dans le passage que je cite ici, et dans l’appréciation qu’il fait des hommes
est aujourd’hui oublié parce que les mœurs ne sont plus les mêmes62. Citons ici quelques-uns des ouvrages de ce genre qui ont
21 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
s ont pallié ce que cette règle a de rigoureux et de monotone ; on en citerait mille exemples : Il me représenta l’honneur et l
nres secondaires. — Enfin, après ces quatre grandes familles, il faut citer , dans un rang inférieur, quelques genres consacré
l serait injuste, après les trois grands genres en prose, de n’en pas citer d’autres moins considérables, où notre littératur
st aussi populaire que ceux de Molière et de La Fontaine ; combien en citerait -on encore, depuis la politesse laborieuse de Voit
le langage excellent d’un goût presque sans erreur. Le xviiie siècle cite avec orgueil Voltaire et La Harpe ; le xixe ne m
e. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ? — Qu’il mourût ! On en citerait mille exemples, Médée, Nicomède, Hermione. Contr
e la conclusion. Joad, pour encourager Josabeth à la résignation, lui cite l’exemple du sacrifice d’Abraham. N’êtes-vous pa
de vérités générales et imposantes, comme les paroles que nous avons citées d’Auguste ou du Paysan du Danube, comme le début
a grâce facile et charmante des Grecs. Combien de fois pourrions-nous citer nos grands poëtes tragiques, auxquels on a reproc
une harmonie merveilleuse. Les poëtes sont dans toutes les mémoires. Citons plutôt des prosateurs. « O nuit désastreuse ! ô
es critiques de Condillac sur le style. » (M. Villemain, Préface déjà citée ) Ce fut dans ce mouvement général des intelligen
La liste des ouvrages excellents en prose serait encore bien longue ; citons seulement, parmi les écrivains qui rencontrèrent
et didactique, ou véhémente et colorée. » (M. Villemain, Préface déjà citée .) Tant de talent et d’éclat ne faisait que retar
laires ou anciennes, et dans les transformations qu’elles ont subies. Citons -en quelques-unes par curiosité. La Syncope retran
ans un Mécénas, à quoi sert un Auguste ? Boileau, Satire Ie, v. 89. Citons encore, comme utiles à connaître, l’Antiphrase, q
22 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
elle, neveu de Corneille. M. Gonniot en a fait sentir les défauts. Il cite un excellent parallèle d’Auguste et de Louis XIV.
gique de l’histoire de France du président Hénault. 54. Je pourrais citer une foule d’exemples ; je me contenterai d’un pas
despotisme du cœur. » Ici toute critique est superflue, il suffit de citer . 55. Nos romanciers feuilletonistes donnent sur
23 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
t être remplacée par l’expression propre tancés ou dispersés. On peut citer comme exemple de pureté les lignes suivantes de B
donnent l’expression que de la pesanteur, de l’embarras. Nous pouvons citer , comme écueil à éviter, l’emploi du Passé défini
nymes, et parvenir à la connaissance exacte de la propriété des mots. Citons quelques exemples qui pourront nous faire appréci
nt pas moins sous sa main et sous son autorité suprême. (5e membre.) Citons cette belle période de Fléchier, chef-d’œuvre d’h
24 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
nd seigneur1 ; Dans le brillant commerce il se mêle sans cesse, Et ne cite jamais que duc, prince ou princesse. La qualité l
rs, que Molière avait achevée, et dont il brûla le manuscrit. Nous ne citons pas le poëte latin, qui paraîtrait un peu barbare
e ne m’attendais pas. Elle est bien naïve, vraiment, à son âge ! 4. Citons une rareté, des vers de Fénelon, faisant la leçon
Ces vers honorent celui qui les a faits, et celui qui les a inspirés. Citons , en terminant, cette page de M. de Lamennais : « 
25 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
ntre les deux maîtres de notre scène tragique, n’ont pas craint de ne citer que des passages médiocres de Corneille, d’y oppo
moins à l’auteur, si estimable par son savoir et sa probité, c’est de citer des vers classiques, qui doivent mourir dans les
les questions, des discussions on ne peut plus remarquables. Pour ne citer ici que les auteurs ou les ouvrages les plus conn
26 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
ment à l’usage suivi dans les éditions générales d’Aristote. Elle est citée dans ce dernier ouvrage (III, i, 10). Les manuscr
nne deux, l’auteur de la Vie d’Homère longtemps attribuée à Plutarque cite le livre III de la Poétique, mais c’est peut-être
Ce chef-d’œuvre d’esthétique littéraire devait avoir ses détracteurs. Citons entre autres Ch. Perrault, l’auteur du trop fameu
l’esprit. » (Étude sur la Rhétorique d’Aristote, 2e édition, p. 1.) —  Citons encore ces lignes, si vraies et si éloquentes : «
siècle et que reproduit l’édition critique de Spengel. La notice déjà citée de Buhle signale en outre, à Naples, un manuscrit
lamée, l’excellent manuscrit 1741 et la vieille traduction latine. On cite aussi avantageusement l’édition de Sylburg (Franc
sé des interpolations dans son texte, en vue de le rendre plus clair. Citons , par exemple, à la page 408 de l’édition posthume
Des poètes antérieurs à Homère, il n’en est aucun dont nous puissions citer une composition dans le genre des siennes ; mais
il dut y en avoir un grand nombre. À partir d’Homère, nous pouvons en citer  ; tels, par exemple, son Margitès et d’autres poè
é. III. Depuis le moment où la comédie affecta certaines formes19, on cite un petit nombre de poètes en ce genre. IV. Qui es
joute, à la place de ce dont on parle, ce à quoi cela se rapporte111. Citons un exemple : La coupe est à Bacchus ce que le bou
mmode à la longueur que comporte ce mètre, et elle paraît délayée. Je citerai comme exemple… Maintenant, si (l’épopée) se compo
s les affaires ; ce sont là autant de moyens d’action avantageux. XV. Citons encore une nature bien douée : la mémoire, la fac
conseiller de supprimer les fils, après avoir supprimé les pères, on citera cette autre maxime : Insensé celui qui, meurtrie
urs souffrances. Il faut, à l’appui de ces arguments, être en état de citer des exemples positifs, bien connus des juges311.
mpressés auprès de nous, ceux qui se plaisent dans notre société. XX. Citons encore ceux sur lesquels nous avons fait le plus
puisse paraître avoir mal agi plutôt que son adversaire. Ainsi, pour citer un cas contraire, il semblerait ridicule que l’on
ices ; en effet, les mystères sont bien les plus augustes sacrifices. Citons encore le cas où, voulant faire l’éloge de tel ch
eut devenir deux maux ; mais tout ce lieu est entaché de paralogisme. Citons encore le mot de Polycrate sur Thrasybule : « Il
t une mauvaise chose ; considérant un détail particulier, que l’on ne citerait pas « l’amour caunien482 », s’il n’y avait pas de
de les posséder vivants, soit de les abandonner après leur mort596. » Citons encore ce que quelqu’un a dit de Tholaüs et de Ly
tendait qu’il n’était pas moins honnête que tel honnête homme dont il citait le nom, alléguant que ce dernier était malhonnête
cher ce que l’on veut dire en l’exposant tout de suite. Tout le monde cite pour exemple l’exorde de l’Hélène, d’Isocrate. Ca
e grande portée, — car ces questions sont autant de matières à débat. Citons , par exemple, Iphicrate contre Nausicrate. Il dit
dégage, et que celui qui veut défendre doit le prendre en bonne part. Citons , par exemple, ce fait que Diomède a préféré Ulyss
est un exemple, lorsqu’il est retracé à Pénélope en soixante vers695. Citons encore Phayllus et son poème cyclique696 ; ainsi
oyable, il faut s’étendre sur les motifs. C’est ce que fait Sophocle. Citons ce passage de l’Antigone (où elle dit) qu’elle a
motifs et faire appel au jugement de qui l’auditoire voudra désigner. Citons , par exemple, la Jocaste de Carcinus, dans son Œd
raite, à un autre point de vue, de la « purgation des passions » ; il cite Plotin (Sur le beau, ch. v), où cette question es
ol. d’Euripide (Oreste, v. 872). 45. Toujours Œdipe roi. Aristote ne cite pas Œdipe à Colone. 46. Iphigénie en Tauride (v
e citation d’Empédocle est rapportée aussi par Strabon (l. VIII), qui cite un second exemple de ὄψ pour ὄψις, tiré d’Antimaq
’analytique), l. c., p. 247-248. Cp. chap. iv, p. 1359 b 8. M. Thurot cite plusieurs endroits de la Rhétorique où le mot ΔΙΑ
. Cp. Top., VI, 1, p. 136 b 15. 258. Aristote, dans la Métaphysique, cite aussi le même vers en l’attribuant à Evénus. Cp.
magistrat. rom. Voir aussi, plus loin, II, 25, 10, et l’édition déjà citée de Meredith Cope. 296. Soph., Antig., vers 454.
te ; par exemple, celle de Théodecte (voir Buhle). 438. Le scoliaste cite à ce propos le passage d’un discours perdu de Dém
2. Κατά τίνος εὐορκήσαντας, dit Étienne. 533. Expression de Pindare citée par Platon (Gorgias, 484 B, et Banquet, 196 C).
27 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre V. Beautés oratoires. »
sse, et qui a produit le plus beau mouvement oratoire que l’on puisse citer , a été fourni par le hasard à un malheureux que l
us avons cru plus utile encore de donner des leçons de morale, que de citer des modèles d’éloquence, apprenez de bonne heure
28 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
nement. 4. Sa bonne moitié, sa femme. 5. Les propos que je viens de citer se produisirent… 6. Les traits de sa physionomie
à d’autres libertés. — Parmi bien d’autres prescriptions tyranniques, citons celle qui interdisait aux hommes les chaînes d’or
29 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
un adjectif ou par un nom commun au lieu d’un autre nom propre. 217. Citez des exemples. On dit par antonomase : le sage, p
rir, et quand elle présente à l’esprit une image neuve et belle. 224. Citez quelques exemples. On fait allusion à l’histoire
rtout dans l’ode, a l’enflure à redouter. La fable que nous venons de citer nous en fournit un exemple remarquable :     A c
nt une vie séparée, n’offrirait qu’une idée étroite et mesquine. 261. Citez quelques exemples. Exue te, Jérusalem stolâ luc
s mots qui imitent évidemment les sons dont ils sont les signes. 282. Citez des exemples de ce genre d’harmonie. Le sifflem
offre un bon nombre d’exemples de ces sortes de transitions ; mais on cite avec raison, dit Maury, comme un chef-d’œuvre en
e et sans choix enrôlés, Hurlent d’effroi de se voir accouplés. 297. Citez quelques exemples. Corneille, dit Voltaire, a so
mme on peut le voir en la comparant à la construction ordinaire. 299. Citez d’autres exemples. Ce vers de Virgile : Accipie
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
hisse maintenant sur la justesse de la comparaison que nous venons de citer , et que l’on dise si le prophète pouvait nous don
ée ! Tous ceux qui ont fait quelques études, savent par cœur, et nous citent déjà cet admirable tableau d’une des plus belles
e la comparaison suivante : c’est toujours le prophète Isaïe que nous citons . 128« Et dixit, Sion : dereliquit me Dominus, e
31 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
ple de cette figure, c’est une singulière période de Brébeuf, souvent citée en pareil cas : elle se trouve dans ses Entretien
rosateurs. Je pourrais multiplier les exemples ; je me contenterai de citer une phrase de Fléchier : « Déjà prenait l’essor,
rayé nos provinces122 ; » et cette belle construction de Bossuet déjà citée , qui reproduit si bien, par la hardie transpositi
32 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
c. Ceci est un peu abstrait ; mais, pour me faire comprendre, je vais citer mon propre exemple. Quand j’ai voulu traiter le s
té. A l’appui de cette sentence de réprobation, je n’ai pas besoin de citer tous les auteurs des siècles passés, qui sont tom
de tel de ses amis qui, par le jeu, s’est réduit à la misère ; je lui citerai quelques faits puisés dans l’histoire, l’autorité
33 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97
la combinaison de l’enthousiasme idéal et du sang-froid personnel. On cite le De Oratore de Cicéron. « Il est impossible, di
sions tendres et énervantes. « Rien, dit Cicéron, qu’il faut toujours citer au chapitre des passions, rien ne sèche plus vite
34 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
, et qu’il est faux que cette Préface, qui existe réellement, ait été citée mal à propos ; elle a toujours été citée dans les
i existe réellement, ait été citée mal à propos ; elle a toujours été citée dans les éditions de la Henriade, depuis celle de
evienne l’usage : vous devez compte aux hommes du sang des hommes. » Citons encore ce passage : « Il est fâcheux pour la nat
eur jugement pour loi n’est pas le moyen de former le nôtre. » 2. Citons encore Joubert : « Voltaire eut l’art du style f
es d’une manie innocente et ridicule. 1. Donnons-nous le plaisir de citer encore ce billet qui prouve que Voltaire ne négli
35 (1839) Manuel pratique de rhétorique
iment de douleur, et les figures fortes s’y trouvent réunies. On doit citer aussi l’exorde de la première Catilinaire : Quou
. La satire est pleine d’ironies plus ou moins fines ou mordantes. On cite la rétractation ironique de Boileau : « Je le dé
uelqu’un qui se disait citoyen romain ! » Pour exemple d’éthopée, on cite celle de l’artificieux Cromwel, par Bossuet : « 
te, « Que le faible opprimé jamais n’implore en vain : « Et j’ose t’y citer , ô pontife romain ! « Encor quarante jours !… je
z par vous reconnaître coupables du même crime que lui. » Quintilien cite cette apostrophe comme une preuve que dans l’exor
elle peut être plus forte ; en éloquence, elle doit être adoucie. On cite , dans Virgile, la fameuse imprécation de Didon :
ocède l’énumération ? — La prétérition ? — Donnez-en des exemples ? —  Citez un exemple d’exposition ? — Citez des exemples d’
tion ? — Donnez-en des exemples ? — Citez un exemple d’exposition ? —  Citez des exemples d’anté-occupation ? — De concession 
pension ? — Donnez des exemples ? — En quoi consiste la réticence ? —  Citez des morceaux où elle se rencontre ? — Que fait l’
des exemples ? — Donnez un exemple de périphrase ou circonlocution ? Citez des exemples d’hypotypose ? — Un exemple d’éthopé
’apostrophe ? — D’interrogation et de répétition ? — De gradation ? —  Citez un modèle de prosopopée ? — En quoi consiste cett
36 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
de ne jamais sortir, Mais plus beau d’y rentrer avec le repentir. On cite le premier vers comme exemple de pensée vraie, et
ent parfaitement à la destinée de Didon et résume toute son histoire. Citons maintenant deux maximes de nos poètes : La raiso
core que toutes celles des poètes profanes. Nous nous contenterons de citer celles-ci : Stetit et mensus est terram, aspexit
es à l’intelligence du sujet, comme dans l’exemple que nous venons de citer  ; tantôt on répète la même idée sous des termes d
ombre de qualités générales du style ; mais nous nous bornerons ici à citer la clarté, la pureté, le naturel, la noblesse et
eu barbares, sont d’un fréquent usage ; mais il en est d’autres qu’on citait comme exemples de néologisme il y a trente ans, e
prêt, comme s’ils s’étaient présentés d’eux-mêmes à l’esprit. On peut citer comme modèle de style naturel ces strophes de la
pathétiques, les périodes nombreuses et les chutes cadencées. On peut citer comme modèle de style simple l’histoire de Joseph
atesse une demande ou une louange qui pourrait déplaire. Nous pouvons citer comme exemple de compositions allégoriques le psa
oi son fils ? non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse. On peut citer comme un bel exemple de suspension la parabole du
es vers bien connus de Scarron sont aussi des suspensions fréquemment citées que nous n’avons pas besoin de rapporter ici. 194
tain nombre de rhétoriques, on se convaincra que des phrases, souvent citées comme exemple de périodes, ne sont pas du tout pé
dier surtout sous ce rapport Cicéron, Bossuet, Massillon et Fléchier. Citons quelques phrases de ce dernier sur la mort de Tur
urait alors confusion et obscurité, et l’effet serait manqué. On peut citer comme un modèle en ce genre la lettre où Mme de S
en un mot tous les lieux qui ont servi de théâtre à un événement. On cite comme modèle la description de la grotte de Calyp
portraits ; La Bruyère et Molière nous ont laissé des caractères. On cite comme modèles les portraits de Catilina par Sallu
et cette soudaine inspiration qui caractérisent la poésie lyrique. On cite parmi les plus belles hymnes de la liturgie catho
ulières qui semblent le permettre ou même le demander. Au reste, nous citons en courant ce genre de comédies pour ne point lai
me Deshoulières, André Chénier ; chez les Allemands, Gessner. On peut citer aussi, comme un charmant tableau du genre pastora
aine de psaumes de David sont des chefs-d’œuvre vraiment inimitables. Citons , en particulier, le Super flumina Babylonis, le Q
bien de sortes sont les objets que peut représenter l’harmonie ? 246. Citez des exemples pour les sons de la nature ? 247. Ci
’harmonie ? 246. Citez des exemples pour les sons de la nature ? 247. Citez des exemples pour l’harmonie qui peint les mouvem
7. Citez des exemples pour l’harmonie qui peint les mouvements ? 248. Citez des exemples de l’harmonie qui représente les émo
37 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
avail était l’objet de spéculations mercantiles, mais encore qu’on le citait dans d’autres ouvrages, et que même il était mena
celles qui ont le pouvoir de plaire à tous les hommes, et je vais en citer une preuve : les règles d’Aristote sur l’unité de
ui plaît dans une belle composition. Aussi beaucoup de passages qu’il cite comme des exemples de sublime ne sont que des mod
), ne mérite pas le reproche que j’ai fait à quelques-uns de ceux que cite cet auteur d’être étrangers au sujet qu’il traite
er et second livres du Paradis perdu que ce beau génie se déploie. Je citerai pour exemple ce fameux tableau où il nous représe
égère, c’est dans ce vers qui suit immédiatement ceux que je viens de citer  : Ingeminant austri, et densissimus imber, L’air
empruntés presque tous à sir Richard Blackmore. J’ai eu occasion d’en citer un en parlant de la description du mont Etna, il
écrivain de ce genre, et c’est le meilleur modèle que l’on puisse en citer  ; un autre modèle encore, c’est Fénelon, l’auteur
est « la lumière du Seigneur qui brille sur notre tête. » On pourrait citer une foule d’autres exemples semblables. Nous appe
oyez la différence qui existe entre les phrases anglaises que je vais citer , différences qui reposent uniquement sur l’emploi
s mots qui, dans le discours, remplissent des fonctions analogues, Je cite ce petit nombre d’exemples pour montrer que, dans
e synonymes, et dont le sens est bien loin d’être le même ; j’en vais citer quelques-uns à cause de l’importance du sujet. Ce
de ce défaut dans les ouvrages sérieux de l’auteur que nous venons de citer . Uniquement attentif à n’émettre que des pensées
ins, aussi strictement qu’elle devrait l’être. Je crois nécessaire de citer quelques exemples dans lesquels son application m
affaire ; suivant l’auteur, c’est sans doute à l’opinion. Je pourrais citer encore bien d’autres exemples ; mais je crois que
nstances. Les exemples n’en sont pas difficiles à trouver ; j’en vais citer quelques uns. « L’archevêque Tillotson, dit l’aut
fifcilement saisir d’un seul coup d’œil. Ces phrases, que je viens de citer pour exemples, sont de peu d’étendue, et cependan
u l’art de trouver une place convenable. Il n’est pas nécessaire d’en citer ici beaucoup d’exemples, car on n’en rencontre qu
qu’un intérêt médiocre. Cavendum est, dit Quintilien, dont j’aime à citer l’autorité, ne decrescat oratio et fortiori subju
geratasque fortunas, una nox pæne delerit. Nous pouvons, en anglais, citer cette phrase de Milton comme un exemple d’harmoni
de l’influence d’une période harmonieuse sur toute une assemblée, il cite cette phrase des discours de Carbon, que lui-même
surtout dans les psaumes, une foule d’autres passages qu’on pourrait citer pour des modèles de construction noble et harmoni
flement des serpents, le craquement d’une pièce de bois ; on pourrait citer une foule d’autres exemples de mots qui semblent
grand nombre d’expressions imitatives. Dans notre langue, on en peut citer comme un bel exemple l’ode de Dryden sur la fête
changez le mot, la figure n’existe plus. Ainsi, dans l’exemple que je citais tout à l’heure : « Pour l’homme droit la lumière
t l’emploi des métaphores. Mais avant de les faire connaître, je vais citer un passage où cette figure se montre dans tout so
de figures déplacées. Des écrivains, même bien supérieurs à ceux que cite Dean Swift, n’ont point évité cet écueil. L’arche
ployée à propos. J’observerai en même temps que l’exemple que je vais citer nous présente cette figure portée au plus haut de
s, nous offrent une foule de passages semblables que nous eussions pu citer comme des exemples de beauté dans ce genre de com
. (Jerem., c. 47, v. 6, 7.) Je ne veux pas omettre cette occasion de citer un autre passage dans lequel sont rassemblées un
e correspondent parfaitement, comme dans l’exemple que nous venons de citer , aux mots et aux membres de la phrase qui ont déc
ce que l’on a critiqué avec raison dans le philosophe que je viens de citer . Ce genre de style paraît étudié, trop affecté, e
ots et des phrases ne manque jamais de produire un grand effet. On en cite ordinairement pour exemple ce passage remarquable
austère est fort et énergique, sans douceur et sans ornements ; il en cite pour exemple Pindare et Eschyle parmi les poètes,
positions. Cicéron est assurément le plus beau modèle que l’on puisse citer d’un style développé ; Addison et sir William Tem
beaucoup de force. Tite-Live en est un exemple, et en anglais on peut citer le docteur Barrow. La manière d’écrire de ce dern
es discours de Démosthène sont les plus beaux modèles que l’on puisse citer d’un style nerveux. Les meilleures qualités du st
regardera pas comme un modèle de la plus haute éloquence, mais on le citera comme un écrivain simple et aimable, qui a su rép
e que la critique de Milton. Des écrivains comme ceux que je viens de citer ne fatiguent jamais le lecteur. Rien dans leur st
ation. Lord Shaftsbury est l’exemple le plus frappant que l’on puisse citer d’un écrivain dont les ouvrages, d’ailleurs plein
plus nouveaux de Cochin, de d’Aguesseau ; les critiques français les citent même comme des modèles d’éloquence. Il en est de
r donner un exemple du genre d’éloquence dont je viens de traiter, je citerai quelques passages de Démosthène. Malgré les désav
eureux. Il ne faut pas laisser échapper une occasion favorable de les citer  ; ils compensent, jusqu’à un certain point, le dé
critiques modernes. Le passage remarquable de Cicéron que nous allons citer prouve que ses idées sur ce sujet se rapportent c
uisseler, sourdre ; blush, rougir de pudeur, etc. Notre savant auteur cite un bien plus grand nombre d’exemples de ce genre,
, la blessure faite avec la hache, etc. » L’auteur que nous venons de citer rapporte, à l’appui de cette opinion, des exemple
igre ; peevish, hargneux, etc., etc. Je n’ai traduit ces expressions, citées par Blair, que pour prouver que notre langue est
sur les figures du discours. Je ne finirais pas si j’entreprenais de citer ces écrivains. Celui qui a le mieux écrit sur les
38 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
rallèle entre les deux maîtres de notre scène, n’ont pas craint de ne citer que les endroits médiocrement beaux de Corneille 
int de ne citer que les endroits médiocrement beaux de Corneille ; de citer les plus beaux qu’ils avaient pu trouver dans Rac
39 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
ent ruinez par intemperance de luxure3, comme il y a eu de puissantes citez , et de grands estats destruits et renversez par a
et volonté de vivre honestement et correctement. Car ainsi comme les citez qui par guerres ordinaires avec leurs proches voi
40 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire. »
ne puis me résoudre à terminer ce qui regarde la prétermission, sans citer encore l’exemple suivant que me fournit Massillon
en soient aussi multipliés. Leur abondance même me dispense ici d’en citer aucun. Mais l’effet de cette belle figure est peu
41 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
 1883). • De la poésie lyrique chez les anciens et chez les modernes. Citer des exemples. (8 novembre 1881). • Expliquer par
u’un esprit sérieux et impartial puisse dédaigner ; témoin, pour n’en citer que quelques-unes, les Argonautiques d’Apollonius
eux orateurs distingués et qui furent très en honneur à Rome, il faut citer les Gracques, ces deux grands citoyens, qui parvi
ssage, de se caractériser lui-même, notamment dans ce vers si souvent cite  :                                               
ccusé, lui aussi, de s’être plu complaisamment à ces peintures. Enfin citons , pour être, à peu près complet, la satire, assez
me vivant ! Enfin, pour être juste envers une mémoire un peu effacée, citons Saint-Évremond, dont la morale, sans grande éléva
ouvrages de critique littéraire, antérieurs au xixe  siècle, on peut citer  : les Sentiments de l’Académie sur le Cid (1637),
es ou les Philippiques, des exemples abondent, et seraient nombreux à citer , où Cicéron, trouvant dans une indignation sincèr
passion partout, partout il cherche à la satisfaire. Voulons-nous en citer des exemples célèbres, les annales des littératur
l fût en apprentissage, vagabond, laquais, ou secrétaire d’ambassade. Citons enfin, avant de terminer, André Chénier, qui, en
des témoins plus émus de ce qui s’accomplit sous leurs yeux. Faut-il citer des exemples anciens et modernes d’auteurs ayant
on génie hors de pair, et qu’il imita librement de Guilhem de Castro. Citons aussi Don Sanche d’Aragon (1650), comédie héroïqu
lit quelques-unes, porte sur l’auteur le jugement que nous venons de citer . Sans doute, au premier abord, on se demande comm
la liste des tragédies profanes de Racine, il ne nous reste plus qu’à citer Bajazet (1672), pièce qui occupe une place à part
nement personnel de Louis XIV, — voici les morceaux qu’il convient de citer  : récit de la bataille de Rocroy, à comparer avec
42 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
latin, et dont M. Ch. Nisard a donné une traduction française. 3. On citerait difficilement dans notre littérature un tableau p
ndus qu’auprès de la fontaine qu’on voit encore au coin des deux rues citées . 1. De là cet autre mot si juste du cardinal de
43 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
t remplisse l’attente du lecteur. Telle est celle de la Lusiade. 383. Citez un modèle d’exposition ? Un bon modèle d’exposit
u des obstacles qui s’opposent à l’exécution de l’entreprise. On peut citer comme modèles de cette partie importante de l’épo
ais de Priam, la mort de ce prince, et te combat simulé de cavalerie. Citons en outre, comme modèles de descriptions épiques,
té, la grâce et la vivacité en sont les principales qualités. On peut citer le Vert-Vert de Gresset, qui est un prodige de fi
44 (1881) Rhétorique et genres littéraires
conclusion. Ex. Joad, pour encourager Josabeth à la résignation, lui cite l’exemple du sacrifice d’Abraham : N’êtes-vous p
Ex. Pascal, dans son fragment De l’esprit géométrique, ch. I, § 1, en cite un exemple dont il se moque, « J’en sais, dit-il,
L’harmonie imitative. Elles résultent les unes des autres. 1° On peut citer comme définition de l’harmonie des mots ces vers
reux exemples de ce genre de sublime que nous offre la Bible, on peut citer celui-ci : « Seigneur, mon Dieu, que vous êtes g
it, amet tua carmina, Mævi. (Virgile, Églogue III, vers 90.) On peut citer comme exemple de la réciproque l’éloge indirect d
apport et la différence de la comparaison et de la métaphore, on peut citer l’exemple suivant qui contient les deux :       
La mémoire oratoire n’est pas seulement la faculté de retenir et de citer exactement le texte d’un discours écrit d’avance,
ujours observé rigoureusement cette règle de la césure et on pourrait citer de nombreux exemples de leur liberté à cet égard.
précis et d’absolu. Il nous suffira, pour en montrer le ridicule, de citer la satire et la fable, que l’on rangeait parmi le
classiques comptent généralement cinq actes, rarement trois. On peut citer parmi ces exceptions Esther de Racine, Les Enfant
présente avec Regnard presque toute la comédie de son époque, on peut citer au xviiie  siècle Destouches, Dancourt, Piron (La
heure le caractère des oraisons funèbres. Parmi les plus célèbres, on citait dans l’antiquité celles que Jules César prononça
pi en Italie, de Thou, d’Aubigné, Guizot, Thiers en France, pour n’en citer que quelques-uns, ont été mêlés à presque tous le
e ces différents genres dans les Correspondances des auteurs que nous citons plus loin (p. 146). Les lettres philosophiques tr
45 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
ssance des contrastes dans le style ». 2. M. Helleu, dans l’édition citée , page 90, rapproche judicieusement ce célèbre pas
e dans le sens d’empirer. Ménage, dans son Dictionnaire étymologique, cite à ce terme, et pour l’expliquer, cette phrase de
46 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
ier trait faisait venir les larmes aux yeux. » 2. Pline, Hist. déjà citée , XI, 1 : « His tam parvis (corporibus) atque tam
Il emprunta sa philosophie aux écoles d’Epicure, etc. » 2. La Harpe cite les dix-huit vers qui suivent parmi les passages
47 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « [6] » p. 
e chants qui jettent l’âme dans un religieux délire.] Les lexiques ne citent pas un second exemple de ce verbe ἐξοργιάζω, et b
48 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XI. » p. 102
pèce de reconnaissance, dont Aristote ne donne pas d’exemple, on peut citer les Choéphores d’Eschyle, où Électre était déjà c
49 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
 Bruyère. Une des plus sublimes allégories est celle que nous allons citer et que nous devons au génie de l’immortel Bossuet
eurs trônes. Madame Deshoulières, dans son allégorie, que nous avons citée plus haut, emploie deux belles périphrases pour p
’il soit nécessaire de les multiplier ici : nous nous contenterons de citer le suivant : Le Sacrifice d’Abraham Une noble da
étrangers, ils sont des esclaves tout prêts pour le premier maître. Citons encore comme intéressants exemples d’éthopée les
s sentiments : Que devins-je à l’aspect du roi le plus chéri ? Etc. Citons aussi l’admirable Prosopopée de Fabricius écrite
50 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVII. Genre épistolaire. »
la correspondance, tombée dans le domaine public, a de la célébrité, citons Cicéron, Pline le Jeune, Henri IV, Balzac, Voitur
51 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
uillet 1890.) Quels sont les principaux prosateurs du xvii e siècle ? Citer et apprécier leurs principaux ouvrages. (Dijon, a
u xviii e siècle ? Quels sont les grands prosateurs de cette époque ? Citer et apprécier leurs principaux ouvrages. (Dijon, a
e en tant que genre littéraire. Dire quel est son objet, son domaine. Citer les écrivains qui l’ont illustrée en insistant de
hie de l’histoire. – Caractériser ces différentes espèces d’écrits et citer , en les appréciant très brièvement, les écrivains
fables de La Fontaine. – En faire ressortir l’esprit et la portée. –  Citer des exemples. (Paris, juillet 1891.) Montrer comm
finir et distinguer les devoirs de justice et les devoirs de charité. Citer des exemples à l’appui de cette distinction. (Par
de Bacon : « Personne ne commande à la nature qu’en lui obéissant. » Citer , à l’appui de cette pensée, des exemples tirés de
ment les côtes, de Saint-Malo à l’embouchure de la Loire et à Nantes. Citez les lieux célèbres par les souvenirs historiques
hommes de son siècle au sentiment de la nature. Qu’entend-on par là ? Citez des exemples. – Est-il vrai que Bossuet dans son
et la vertu et qu’il le jette définitivement dans la mauvaise voie. ( Citer les scènes où le rôle odieux de Narcisse se montr
là pourquoi les dénouements de ses petits drames sont souvent cruels. Citer quelques exemples. Qu’est-ce que la tragédie
ments authentiques, et il n’avance rien qu’il ne l’ait contrôlé. S’il cite quelques paroles du roi ou d’un ministre, il ne l
aisée et plus rapide que l’Histoire de Charles XII ; et l’on pourrait citer tels chapitres de l’Essai sur les mœurs, et du Si
ruelles déceptions ; Denis Papin s’en indignait, et il serait long de citer seulement les noms de tous ceux qui en ont souffe
e comparaison avec les chefs-d’œuvre tragiques de l’antiquité ; il ne cite donc Corneille et Racine que pour les blâmer. Bie
etc… Règle introduite par La Bruyère. C’est l’absence même de règle. Citer le mot. Tout procède du sentiment. C’est le cœur
isère intellectuelle. Ces œuvres-là Mme du Deffand les négligeait. En citer quelques-unes…. Conclusion. – Petite morale à ti
a pensée. C’est, comme disait un de ces anciens que nos beaux esprits citent à tout propos sans jamais les comprendre, ni jama
si La Harpe, Mme de Staël, Villemain, Nisard, Sainte-Beuve, – pour ne citer que ceux-là, – n’avaient pas existé, se sont égar
es ; presque jamais une page entière, ni même un paragraphe entier, à citer , à détacher. 2° Composition de langue française. 
as la tête épique ? – Qu’entend-on par sens propre, dérivé, figuré ? Citer des exemples. – Montre quel a été le réveil des é
nous la trouverons encore, cette galté de style ; il faut renoncer à citer , on citerait des pages entières. Tel est, je croi
rouverons encore, cette galté de style ; il faut renoncer à citer, on citerait des pages entières. Tel est, je crois, le véritab
la philosophie de l’histoire. Caractériser ces différentes espèces et citer , en les appréciant très brièvement, les écrivains
lles raisons, et quels sont les devoirs qui en résultent pour elles ? Citer brièvement quelques exemples de patriotisme fémin
vous obéirez toujours. » – Qu’entend-on par devoirs professionnels ? Citez des exemples. En quoi consistent-ils d’une manièr
nsister dans l’accomplissement des devoirs. Un philosophe grec dit : ( citer le texte). 1er Paragraphe. – (A) La santé (petit
Renaissance. En expliquer sommairement l’origine et les caractères et citer , dans les arts et dans les lettres, les principau
s a coûtés leur progrès, quels dévouements il a suscités ? Exemples à citer . 3e Paragraphe. – A propos de chaque exercice sco
ont les principaux écrivains et artistes qui ont illustré son siècle. Citer les œuvres d’une importance capitale. II. – Faire
oman, l’art gothique ? A quelles époques florissaient-ils en France ? Citer quelques monuments. (Mêmes observations que pour
re courte, une page ou une page et demie au plus. Il ne s’agit pas de citer tous les noms des personnages du temps, mais seul
 ? – Quels sont les grands maîtres italiens, peintres et sculpteurs ? Citez leurs œuvres les plus connues. – Quels sont les g
grands peintres : – de l’école espagnole, – de l’école hollandaise ? Citez leurs principales œuvres. – Quels sont les artist
 Quels sont les artistes de l’antiquité grecque que vous connaissez ? Citez leurs principales œuvres. – Quels sont les grands
nds capitaines du règne de Louis XIV ? Dites un mot sur chacun d’eux. Citez une bataille livrée par eux. – Que savez-vous sur
onnu des candidats. Il fallait ne pas le raconter par le menu, ne pas citer les traités, les batailles, les dates, mais le do
ui le décident à renoncer au tròne. Il a fait d’assez grands travaux. Citer deux ou trois événements glorieux : Pavie, Madrid
onstitue prisonnier. – Quels sont les grands hommes de mer français ? Citer leurs principaux exploits. – Quelles sont les pag
t l’esprit national, même chez les peuples asservis par l’étranger. –  Citer des exemples. L’amour de la patrie n’est pas excl
, et qu’il doit dompter. Division. – Comment ? – De quelle façon ? –  Citer la parole de Bacon. – Le sens précis en est : « P
utre. Quel que soit le milieu dans lequel on se trouve placé, on peut citer des exemples de ses heureux effets. Concours d
Quels sont les quatre grands siècles littéraires de la France ? –  Citez les plus grands noms, et les œuvres principales d
ux de contracter des habitudes coûteuses, souvent tout artificielles. Citer quelques-unes de ces habitudes et montrer l’écono
obéissent, elles s’attachent au maître dont elles se sentent aimées. Citer des exemples. 2e Paragraphe. – La violence à l’ég
juste sévérité est de rigueur et peut exercer une influence efficace. Citer des exemples. Écoles supérieures de commerce
as sans doute de milliards d’hectares comme les quatre peuples que je citais tantôt ; mais cependant, grâce à nos récentes con
52 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
uisqu’il s’agit ici d’allégories, il serait difficile sans doute d’en citer une plus touchante, mieux amenée et mieux soutenu
on originale. Nous pardonnerait-on d’avoir parlé de l’allégorie, sans citer ici la plus riante de toutes, celle de la ceintur
Malgré le mérite reconnu des deux grands écrivains que nous venons de citer , ils ont besoin l’un et l’autre d’être lus avec p
point de douceur et de flexibilité le grand poète que nous venons de citer avait su réduire l’âpreté naturelle de la langue
53 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
nt un si grand nombre peut se placer parmi les véritables savants, je citerai en France Rabelais et Montaigne, Bossuet et Pasca
t amour, secondé par les circonstances, crée des prodiges. Combien ne cite-t -on pas d’écrivains qui se sont élevés dans certai
54 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
scours de notables exemples de ces divers genres de péroraison. Je ne citerai que les Verrines et la Milonienne. Dans celle-ci,
urs français, abonde en péroraisons comme en exordes remarquables. On cite celle du discours d’Adrien au peuple de Constanti
55 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
u’on peut être éloquent sans être vertueux ; et, pour le prouver, ils citent Catilina, J.-J. Rousseau, Voltaire, Mirabeau et q
sagesse et de l’expérience des siècles. Il vaut mieux pourtant ne pas citer celles qui manquent de noblesse et de dignité. C’
r leurs longues et interminables citations. Mais Bossuet et Massillon citent les Pères de l’Église avec beaucoup de convenance
es titres, des témoins et du serment ; dans la chaire, le prédicateur cite l’Écriture, les Pères et les conciles. § III.
us de talent et le plus de vertu. Cicéron, que nous ne prétendons pas citer comme un modèle de vertu, répond cependant avec b
ar le cœur et que n’enseignent pas les préceptes de rhétorique. » On cite comme un beau modèle de mœurs oratoires la pérora
terlitz, à Friedland, à Smolensk, et que la postérité la plus reculée cite avec honneur ce que vous aurez fait dans cette jo
ers leurs adversaires les plus acharnés. L’orateur que nous venons de citer est aussi plein d’égards pour le magistrat qui s’
tion peut se présenter sous trois formes différentes. On peut avoir à citer certains faits pour servir de justification et d’
exemples que doivent se former de jeunes chrétiens. Nous aimons mieux citer une narration de Lally-Tollendal (Voir le nº xv).
e prédicateur emploiera le pathétique pour secourir l’indigence. Nous citons ici ces paroles qui se trouvent partout, mais qu’
e force et d’intérêt ; il équivaut à un mauvais choix de sujet. Maury cite comme un plan vaste et fécond celui du P. Le Chap
t être généralement courtes, agréables et tirées du fond du sujet. On cite comme modèle l’endroit où Cicéron fait l’éloge de
e s’y trouve abondamment. » Que le prédicateur ne se borne donc pas à citer de loin en loin quelques textes de l’Écriture, ma
bres ont été Burke, William Pitt, Fox, Canning ; et, de nos jours, on cite encore avec honneur lord Russell, Robert Peel, lo
ler ainsi dans une lettre, c’est être vraiment éloquent, et l’on peut citer des lettres où se trouve l’éloquence même la plus
cette touche mâle et vigoureuse, on reconnaît Démosthènes. L’orateur cite d’abord un grand nombre d’actes d’hostilité de la
an du sermon de Massillon sur la vérité de la religion. Au lieu de citer ici un fragment de sermon, nous aimons mieux donn
du panégyrique de saint François de Sales, par Bourdaloue. On peut citer comme un modèle le panégyrique d’un grand saint l
98. Que faut-il penser des harangues des historiens anciens ? 399. Ne cite-t -on pas une foule de mots heureux chez les grands
56 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XII. » p. 103
ans l’Œdipe roi, celle de toutes les tragédies grecques qu’Aristote a citée avec le plus de prédilection. M. Waldæstel étend
57 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
prenant chacun le parti de ceux qu’ils voudraient favoriser. Je n’en citerai que ce morceau, dont la plus grande partie a été
te une image sublime, lorsqu’à la suite de cette pensée que j’ai déjà citée , tout était Dieu, excepté Dieu lui-même , il ajo
ombres retraites. Ce jour est le dernier des jours de l’univers. Dieu cite devant lui tous les peuples divers ; Et pour en s
58 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
s mêmes petites pièces produites sur-le-champ ou sans préparation. On cite plusieurs impromptus très ingénieux. En voici deu
r le mot château (chat, eau), qui est plus développée, et que Beauzée cite dans l’Encyclopédie :         Chez nos aïeux pre
59 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
ans Athénée, VIII, p. 344 E. L’auteur anonyme de la Vie d’Eschyle, le cite , en altérant son nom, comme un des acteurs employ
60 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
ses procédés et ses moyens. La pratique de l’orateur que je viens de citer , pour s’instruire à fond d’une affaire, était d’e
nue le mieux, qui demeure plus dans la mémoire et qui se fait le plus citer , parce qu’elle est toute composée de pensées nées
e inégaux et peu corrects qu’ils soient, ont de beaux traits ; il les cite , et ils sont si beaux qu’ils font lire sa critiqu
sont mauvais : mais l’endroit de l’ouvrage que ces critiques croient citer , et qu’en effet ils ne citent point, n’en est pas
t de l’ouvrage que ces critiques croient citer, et qu’en effet ils ne citent point, n’en est pas pire. « Que dites-vous du liv
n un sujet faux, et dont il semble que l’on soit la dupe ? Mais, sans citer les personnes graves ou les esprits forts qui tro
isez à la source ; maniez, remaniez le texte, apprenez-le de mémoire, citez -le dans les occasions, songez surtout à en pénétr
nts affectés : par exemple, dans l’Epître à Donat, que saint Augustin cite néanmoins comme une épître pleine d’éloquence59.
t venu en France avec la reine Marie de Médicis. Voiture et Costar le citent très-souvent dans leurs lettres comme un modèle.
Zephiri ministri, Porta d’or’ la corona E d’ostro il manto. Voiture cite avec complaisance, dans sa 35e lettre à Costar, l
lly et du grand ministre Colbert : et ne pensez pas qu’il s’abaisse à citer le nom du duc de Sully, il l’appelle l’ami d’Henr
e de l’esprit humain, ces impertinences ont eu des partisans. Je vous citerais cent exemples de ces extravagants abus, si je n’a
onne finale a besoin ou non d’être accompagnée d’un e muet », et vous citez les vers du philosophe de Sans-Souci : La nuit,
rapidité lui est si Naturelle, qu’un mot de plus l’anéantirait. On en cite quelques exemples, que l’on ne cesse de répéter,
de l’éternité (la Rue) ; telle est cette expression de Bossuet, déjà citée , pour peindre le règne de l’idolâtrie : Tout étai
nt le centre est partout, la circonférence nulle part. » (Pascal.) On cite comme sublime, et avec raison, le qu’il mourût du
t cette distinction, il l’exprime à la fin du passage que je viens de citer  : Quœ in veritate causarum et rarius multo facimu
ii) Ces paroles ne sont peut-être pas d’un grand homme ; mais je les cite , parce qu’elles semblent imitées du style de Corn
la ridicule ostentation de ces paroles, et je crois qu’elles ont été citées longtemps avant moi. Il faut les pardonner au tem
Alexandre, la Thébaide, Bérénice, Esther, dans lesquelles on pourrait citer encore de grandes beautés. Ce n’est point par les
du second acte pour comprendre ce que je dis. Qu’on me permette d’en citer la fin, quoiqu’on pût trouver dans la même pièce
s empruntée et la plus à nous qu’on connaisse. Il n’est pas besoin de citer , après un si grand nom, d’autres exemples : le du
aient mieux que les préceptes ; mais, comme il ne m’est pas permis de citer les morceaux sublimes qui m’ont si souvent transp
ent facilement à l’attention, à la mémoire ; qu’ils soient commodes à citer et à déplacer. XIX. Les mots liquides et coulants
rez juste. Mais si l’on veut que ces belles idées soient répandues et citées , et l’on doit en rendre digne tout ce qui est dig
61 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
Lesbonax (p. 179, à la suite d’Ammonius, éd. Valckenaër), et dont il cite pour exemples : Σωϰράιης ἀπολογούμενός ἐστι, et H
62 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
n et de mouvement. » (Filon.) La Lettre de madame de Sévigné que nous citons ici nous offre un modèle parfait de ce genre de s
er les suffrages qu’à force d’élégance et de beauté. Nous ne saurions citer un meilleur exemple pratique que le brillant Disc
mmes immortels sont entre les mains de tous, et il serait superflu de citer ici quelques-unes de leurs œuvres pour justifier
es oppositions qui en réalité sont une sorte de comparaison ; nous en citons une ici que notre illustre Buffon aurait été fort
63 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
ce système, en dépit de quelques exemples modernes que l’on pourrait citer , est beaucoup plus dans notre civilisation et dan
ndus, il y a quelques années, ci dont Il n’est pas même nécessaire de citer les titres. 44. Un rhéteur moderne, M. Francis
64 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre V. Genre didactique et descriptif en vers. »
ménard. Allemands. Opitz, Haller, Breitinger, Wieland, Ruckert. 22. Citons parmi les poètes descriptifs : en France : Saint-
65 (1854) Éléments de rhétorique française
ins anciens, et dans un petit nombre d’orateurs de la chaire. J’ai dû citer les modernes de préférence aux anciens, et, parmi
avec une tête d’épervier, désignait la nature et Dieu qui veille sur cite . Mais, comme les qualités des objets qui servaien
ant les relations des choses entre elles. Les mots que nous venons de citer sont placés dans les grammaires sous le nom de pr
La nature fait donc l’éloquence, conclut l’auteur que nous venons de citer  : mais la nature seule n’est éloquente que par él
atilina foudroyé. On a pu le voir par les exemples que nous venons de citer , c’est le sujet que l’on traite, le lieu où l’on
es qui ont ensemble le plus d’analogie. Ainsi, dans le poëme que nous citions tout à l’heure, Boileau met l’Élégie après l’Idyl
on commune à tous les hommes, et remarquez comme tous les faits qu’il cite à l’appui de son opinion sont heureusement gradué
pithètes. On voit, par les modèles d’hypotypose que nous venons de citer , que l’emploi de l’épithète joue un grand rôle da
ragique, Tomba, de chute en chute, au trône académique. Nous pouvons citer encore ces vers de Casimir Delavigne sur Galilée 
a pu remarquer une litote au milieu des hyperboles que nous venons de citer . Le seul Agamemnon, refusant la victoire, N’ose
semble de la manière la plus pauvre et la plus désagréable. Condillac cite cet exemple dans son ouvrage, en recommandant de
verna jusqu’à nonante. Delille a fait, dans des vers que nous allons citer , un heureux emploi de la périphrase. Il s’agissai
it, c’est l’indolence qui s’endort. » Aux exemples que nous venons de citer , nous ajouterons celle sublime allégorie de Bossu
ul homme n’est plus heureux que l’Esquimau dans son pays. On pourrait citer quelques autres exemples. C’est surtout lorsque n
randes assemblées ; car, comme dit encore l’auteur que nous venons de citer , tous les cœurs sont capables d’aimer, tous les e
er la raison, à donner un tour heureux à un reproche ou à un conseil. Citons , par exemple, cette lettre à sa nièce qui s’en fa
ce style avec les phrases entortillées de nos petits romans ; je vous cite les héroïnes de votre sexe, parce que vous me par
un auteur de nos jours ne pourrait égaler. Si vous voulez que je vous cite des hommes, voyez avec quelle clarté, quelle simp
66 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
ent de trop grandes leçons de vertu, pour que je doive craindre de la citer tout entière. « J’apprends, mon cher frère, que
e. On ne parle plus des lettres de Balzac et de Voiture, que pour les citer , les premières comme des modèles de style ampoulé
67 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
’est encor ma meilleure laitière. 1. Profitons de l’occasion pour citer cette bonne pensée d’un ancien, de Guillaume du V
anecdote, dont je ne garantis pas l’authenticité, mais que l’on peut citer ici : Un illustre maréchal, qui avait l’humeur tr
68 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 313-335
ce, ô Seigneur, s’est imprimé en nos âmes.” » 1. C’est le lieu de citer cette belle page de Lacordaire sur la conscience
re dieu que quand il croit n’être plus homme. » On nous saura gré de citer cette page de Lacordaire. (Ed. Poussielgue.) « L
Il est le premier qui ait eu le sentiment des joies domestiques. 2. Citons un passage dont l’accent est aussi ému : « Je me
69 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre II. Qualités et devoirs de l’Orateur du Barreau. »
ttachée à sa réputation morale ! Quintilien, que nous nous plaisons à citer , parce qu’il serait difficile de trouver une auto
70 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
ar Aristote : les sujets traités dans les huit ou dix tragédies qu’il cite , se succédaient, sans se tenir par le lien d’une
71 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIV. » pp. 128-130
ger aux difficultés que présente le texte même. Quant à l’exemple que cite Aristote, Dacier le croit interpolé  il l’interpr
72 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »
s pères : outre les nombreux fabliaux que nous présente le moyen-âge, citons le recueil de fables de Marie de France, tirée en
73 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
tard, leur organe. Parmi les premiers écrivains en prose, nous devons citer l’historien Cadmus de Milet et son abréviateur Bi
nt la persuasion, à mesure que les cœurs sont plus fortement touchés. Citons comme un parfait modèle le discours de Germanicus
ce qu’on nomme exorde ex-abrupto. Il n’y a pas de meilleur exemple à citer que celui de la première oraison de Cicéron contr
passions, dans leur développement. Il n’y a pas de meilleur modèle à citer que le discours, si remarquablement beau, de Cicé
cus, pour Plancius, etc., sont des chefs-d’œuvre du genre pathétique. Citons , comme type du genre démonstratif, celle de l’élo
des grâces d’autant plus touchantes qu’elle s’en préoccupe moins. » Citons pour modèle le morceau suivant : « Considérez ce
s ses portraits sont naïfs à force de ressemblance. Voyez-le, pour ne citer que celle-là, dans la fable de l’Âne et du chien 
inférieure au pinceau. Voir la 3e Méditation du 2e volume dont je ne citerai qu’un passage : c’est une dernière illusion, bien
a Chartreuse de Gresset est un modèle de topographie. Il suffira d’en citer quelques vers : Si ma chambre est ronde ou carré
t non des ornements. Comme modèle d’allégorie, nous pourrions encore citer cette ingénieuse pièce où Mme Deshoulières, sous
lliblement à rendre les armes : c’était là le triomphe du philosophe. Citons pour exemple d’ironie ce passage de la Milonienne
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. »
? etc. » Rapprochons de ce morceau une autre définition d’une armée, citée partout comme un chef-d’œuvre, et mise, dans tout
75 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
ent grec de cette pièce, qui contient des observations intéressantes, cite Aristote ἐν ϓπομνήμασι. C’est la troisième fois q
76 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
ble qu’on a trop multiplié les exemples, et abusé de la permission de citer . Avec des préceptes délayés, et de nombreux extra
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
il fera trembler dans leurs tribunaux les juges devant lesquels on le cite . Rome même entendra sa voix ; et un jour cette vi
e de plusieurs autres personnes distinguées, entre lesquelles il faut citer Anne d’Autriche. 2. Henriette d’Angleterre, fill
78 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
es, son dialogue est vif, pressé, et toujours coupé à propos. Je n’en citerai que cet exemple tiré de la fable du loup et du ch
: tout y est plein, exact, sagement pensé et exprimé de même. Je n’en citerai d’autre exemple que ce morceau de son Épître, dan
La Fontaine n’est connu en ce genre que par la belle élégie que j’ai citée . Les autres qu’il a faites, sont peu dignes de lu
quel le poète lyrique chante les grands hommes, je crois bien pouvoir citer cette strophe si belle de l’Ode sur la mort du mê
de la poésie, comme on le voit dans l’une des deux strophes que j’ai citées de l’Ode à la Fortune, et dans le plus grand nomb
79 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
oliaste d’Aristophane, sur les Oiseaux, v. 914. Cependant Aristote le cite encore, sans exprimer le moindre doute, dans la M
80 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
aré de toi ; c’est la tendresse multipliée par la compassion2. 1. Citons comme curiosité quatre vers du comte de Maistre s
81 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
t qu’un préjugé barbare, qui n’a point sa racine dans le cœur humain, cite d’abord des exemples tirés de l’histoire des peup
enchantent ou nous étonnent. Pour donner plus de sens à nos paroles, citons ici le tableau dans lequel un habile maître, M. F
C’est le caractère du discours d’Hermione à Oreste que nous venons de citer , ainsi que celui d’Achille à Agamemnon au moment
82 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
ès curieux, où il met, en effet, à contribution, malheureusement sans citer ses autorités, les hommes les plus compétents et
83 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
matière humaine… etc. Tout cela fait bondir le cœur, et je pourrais citer dans M. Barbier plusieurs passages de ce genre, s
ont les excentricités métaphoriques rempliraient des volumes. Je n’en citerai qu’un exemple. Il s’agit de prouver la supériorit
84 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
ce style avec les phrases entortillées de nos petits romans ; je vous cite les héroïnes de votre sexe, parce que vous me par
un auteur de nos jours ne pourrait égaler. Si vous voulez que je vous cite des hommes, voyez avec quelle clarté, quelle simp
85 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
de la prononciation ou du débit d’un discours. Cicéron et Quintilien citent un trait de Démosthène qui nous fait voir le prix
un des plus brillants morceaux de peinture historique que l’on puisse citer . Nous voyons d’abord une description fidèle de l’
é de perfection où sont parvenus les auteurs italiens que je viens de citer . L’Angleterre, jusqu’à ces dernières années, n’ét
rand éloge. Les lettres de lady Mary Wortley Montague méritent d’être citées après celles de madame de Sévigné. Elles ont la f
vive, et le vers prend un mouvement très animé. Dans ceux que je vais citer , et que j’extrais du poème de la Boucle de cheveu
ense et non pas à un homme qui rêve. Quelque autorité que l’on puisse citer en faveur de l’incohérence et du désordre permis
s et des idées analogues à ceux que cette saison inspire. Je pourrais citer de lui un grand nombre de descriptions magnifique
d’un choix heureux de circonstances dans un ouvrage descriptif. Je ne citerai que ce passage du Penseroso :                   
, mais qu’il les place sous les yeux mêmes du lecteur. On pourrait en citer une multitude d’exemples ; mais nous nous content
rs français regardent le merveilleux comme essentiel à l’épopée ; ils citent comme un oracle cette phrase de Pétrone : Per am
si précise, qu’il le place en quelque sorte sous nos yeux. On peut en citer pour exemple cet endroit du quatrième livre où un
quelque sorte perdre de vue la plupart de ses défauts. L’on pourrait citer des passages de la Pharsale que ne désavouerait a
, d’ailleurs estimable, de l’Épouse éplorée 34. Cette pièce peut être citée comme un exemple frappant du défaut opposé à la s
sants de l’histoire de notre patrie42. Après Shakspeare, nous pouvons citer en anglais plusieurs tragédies détachées d’un trè
de rappeler en peu de mots l’opinion du professeur d’Édimbourg, et de citer ensuite, ou de rapporter textuellement les passag
rapidité lui est si naturelle, qu’un mot de plus l’anéantirait. On en cite quelques exemples, que l’on ne cesse de répéter,
éternité.” (Larue.) Telle est cette belle expression de Bossuet, déjà citée , pour peindre le règne de l’idolâtrie : « Tout ét
e centre est partout, et la circonférence nulle part.” (Pascal.) « On cite comme sublime, et avec raison, le Qu’il mourût du
ntreprendre ici ce parallèle inutile à mon objet, puisque moi-même je cite partout Démosthène comme un des premiers auteurs
ée de l’espèce d’éloquence employée par les prédicateurs français, je citerai un passage de Massillon que Voltaire, dans l’arti
son, dans un article critique sur l’Aminte, inséré au Mentor moderne, cite que « Sylvie arrive parée d’une guirlande de fleu
gile. Partout ces paroles que Sylvie adresse à des fleurs se trouvent citées comme un exemple frappant du mauvais goût des poè
86 (1852) Précis de rhétorique
a-t-il pas une quatrième partie à ajouter aux trois que vous venez de citer  ? — 4. En quoi consiste l’invention ? — 5. Dites
s de synecdoques ? — 11. Les exemples de synecdoque que vous venez de citer se rapprochent beaucoup de la métonymie. Comment
la catachrèse par imitation, et ne serait-ce pas une métaphore ? — 3. Citez -nous des exemples qui nous fassent comprendre ces
— 5. Qu’est-ce que la logique ? — 6. Parlez-nous du syllogisme. — 7. Citez un exemple de syllogisme ? — 8. Qu’est-ce que l’e
es. Il est inutile, pour faire comprendre toutes ces observations, de citer des exemples. Rien n’est obscur ni confus. 6.
arpée et sans bords. L’hiatus n’est point vicieux : 1° Quand on veut citer des expressions proverbiales et des phrases toute
87 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
temps et chez tous les peuples, la piété filiale a été en vénération. Citer comme exemples chez les anciens la conduite de Cl
tolaires ces traits caractéristiques de l’esprit, et dont nous allons citer quelques exemples pour mieux faire comprendre en
s images vives ou agréables, des traits d’esprit sans recherche. Nous citons ici quelques lettres de devoirs ; la première, à
88 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
ns les Historiens anciens. Historiens grecs. Ce que nous venons de citer de Salluste, nous conduit naturellement à parler
à infirmer la confiance des jeunes gens dans les monuments qu’on leur cite pour des modèles, ne doit rester sans réponse, no
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
20. « Hérille, soit qu’il parle, qu’il harangue ou qu’il écrive, veut citer  : Il fait dire au prince des philosophes que le v
il dit, ni peut-être pour se faire honneur de ce qu’il sait : il veut citer . » (La Bruyère.) 1. Il se jette d’un extrême dan
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
Il concilie l’estime et la sévérité. 1. 1815. 2. C’est le lieu de citer la chanson de Béranger qui commence par cette str
l est de tout soumettre à la discussion, à la vérité, à la raison. » Citons en terminant cette page de M. de Salvandy : « Na
91 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
s donner pour exemple. Rien n’est plus désagréable qu’un homme qui se cite lui-même à tout propos4. Il ne faut jamais rien d
92 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre premier. Des caractères essentiels de la poésie » pp. 9-15
lodieux, comme l’a fait Lamartine dans ses Méditations poétiques. 16. Citez les vers de Lamartine sur l’automne. Salut, boi
93 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
vérité pouvait être contestée, il serait, assurément, bien facile de citer en preuves une infinité d’exemples tirés de nos m
les connaissances profondes sont généralement reconnus. Je vais donc citer encore Racine, toujours admiré, mais toujours bie
our les rendre. Ne nous lassons pas, lorsqu’il s’agit d’instruire, de citer les observations de nos plus grands génies et de
94 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
peu de paroles, et qui fait dans l’esprit une impression profonde. On cite celle de Salluste parlant de Catilina qui fut tro
ncipium et fons. Vauvenargues, s’inspirant des paroles de Quintilien citées plus haut, a proclamé d’une manière plus explicit
ossuet présente une image sublime, lorsque à la suite de cette pensée citée plus haut : Tout était Dieu, excepté Dieu même ,
95 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »
res principes encore, l’heureuse faculté de nous charmer. M. Addisson cite , par exemple, la nouveauté. Un objet qui n’a d’au
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »
 Maury, c’est l’usage admirable qu’il fait de l’Écriture : au lieu de citer les livres saints en fastidieux érudit, il s’en s
97 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
ictoires ». (Voltaire.) Tous les compilateurs n’ont jamais manqué de citer ce morceau, et de se récrier d’admiration en le c
98 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
u chant.] Sur le sens technique de ce mot, voyez Vincent, Notice déjà citée , p. 73 et suiv. Le rhythme nous plaît, etc.] Rhét
99 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre II. »
. Ce genre a été créé et porté à sa perfection par J.-B. Rousseau. On cite surtout de lui la cantate de Circé12. 12. Pr
100 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »
as, et qui, le fût-elle, trouverait encore facilement à y reprendre ; citons ici deux sonnets de caractère moyen, où l’on verr
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