ous considérer nous-mêmes sous deux rapports ; comme hommes, et comme
chrétiens
. Comme hommes, c’est-à-dire, comme membres de la
c’est ce que j’appelle la morale de l’homme dans la vie civile. Comme
chrétiens
, nous devons connoître les grandes vérités de not
obligations qu’elle nous impose : c’est ce que j’appelle la morale du
chrétien
. I. Morale de l’homme dans la vie civile. N
commandable par son esprit et par ses vertus, y a répandu des maximes
chrétiennes
, qui respirent la plus saine morale de l’évangile
r lequel je ne pourrai guères m’étendre davantage. C’est la morale du
chrétien
, dont la connoissance est absolument indispensabl
ale du chrétien, dont la connoissance est absolument indispensable au
chrétien
même, et la plus utile de toutes à celui qui ne l
lus utile de toutes à celui qui ne le seroit pas. II. Morale du
chrétien
. Vous savez que ces hommes fameux de l’ancienn
uel d’Epictète qui est un précis des maximes des Stoïciens, un manuel
chrétien
, suivant pied-à-pied celui du philosophe (c’est c
fait le Mourgues, jésuite, dans son excellent Parallèle de la morale
chrétienne
avec celle des anciens philosophes), et vous verr
e le héros. » C’est selon l’esprit de cet Evangile, que la morale du
chrétien
nous apprend à vivre. Elle veut que nous conformi
préférence. « Chose admirable ! s’écrie Montesquieu (a), la religion
chrétienne
qui ne semble avoir d’objet que la félicité de l’
bler. Nous devons lire ensuite le Traité de la vérité de la religion
chrétienne
, par Ae. C’est le meilleur ouvrage que nous ayons
ties qu’ils contiennent, la divinité du messie, auteur de la religion
chrétienne
, dont l’établissement, les progrès et la propagat
ésuite, nous en fournit les moyens dans son Exposition de la doctrine
chrétienne
par demandes et par réponses. Cet ouvrage précieu
s matières de foi. Mais une étude simplement spéculative de la morale
chrétienne
ne nous seroit pas d’une bien grande utilité, pui
e de soi-même ; connoissance la plus importante de toutes, et pour le
chrétien
, et même pour l’homme du monde. Le livre où l’on
uvrage, traduit de l’espagnol, qui est un vrai chef-d’œuvre de morale
chrétienne
: c’est la Conversion du Pécheur, par le P. Salaz
es devoirs de la religion, il y en a deux sous le même titre d’ Année
chrétienne
, qu’on doit sans contredit mettre au nombre des m
rs (et j’ose bien assurer que vous ne l’oublierez jamais) que le vrai
chrétien
s’attire toujours l’estime générale ; que les hom
nt la mort fut tout à la fois, et celle du héros, et celle du parfait
chrétien
. En vous indiquant, mon cher ancien élève, ce pet
oigne sur-tout à ces qualités de l’homme du monde, les vertus du vrai
chrétien
; et l’on aura l’homme parfait, autant qu’il peut
es modernes ont souvent agité la question de savoir si le merveilleux
chrétien
peut être employé comme ressort d’une action épiq
’opinion de Boileau, qui dit, dans-son Art poétique : De la foi d’un
chrétien
les mystères terribles D’ornements égayés ne sont
e la poésie moderne doit reposer sur des bases nouvelles. La religion
chrétienne
, m effet, a renouvelé le monde et transformé les
ns quelque chose par les idées et les sentiments, c’est à la religion
chrétienne
que nous le devons : la proscrire des chants du p
teaubriand, dans son Génie du Christianisme, a prouvé que la religion
chrétienne
est poétiquement supérieure à l’Olympe païen, et,
il nous semble que la question avait déjà été résolue par les épopées
chrétiennes
du Dante, du Tasse, de Milton, de Klopstock. Cett
la vérité. Rien n’empêche donc d’introduire dans l’épopée le Dieu des
chrétiens
avec sa majesté terrible et douce, la sainte Vier
l’abîme. Il y a, dans les régions célestes où plane l’imagination du
chrétien
, tout un monde resplendissant de poésie, dont l’é
Camoëns, ce n’est pas d’avoir emprunté des personnages à la religion
chrétienne
, c’est d’avoir laissé à côté d’eux quelques souve
mmande, Orosmane, il va reconnaître son fils dans Nérestan, chevalier
chrétien
, qui était venu pour racheter les captifs de sa r
r Orosmane. Zaïre, Lusignan, Châtillon, Nérestan, plusieurs esclaves
chrétiens
. Lusignan. Du séjour du trépas quelle voix me r
ignan. Du séjour du trépas quelle voix me rappelle ? Suis-je avec des
chrétiens
?… Guidez mes pas tremblants ; Mes maux m’ont aff
lon. Vous vivez, vous calmez nos douleurs inquiètes. Tous nos tristes
chrétiens
… Lusignan. Tous nos tristes chrétiens…O jour !
s inquiètes. Tous nos tristes chrétiens… Lusignan. Tous nos tristes
chrétiens
…O jour ! o douce voix ! Châtillon, c’est donc vou
st inconnu, Par la gloire amené des rives de la France, Venait de dix
chrétiens
payer la délivrance : Le soudan, comme lui gouver
uvert de sang et chargé de liens, Je suivis en ces lieux la foule des
chrétiens
. Lusignan. Vous, seigneur !… Ce sérail éleva vot
uit sa fortune et la mienne, Mon Dieu qui me la rends, me la rends-tu
chrétienne
? Tu pleures, malheureuse, et tu baisses les yeux
au sang qui coule dans tes veines ! C’est le sang de vingt rois, tous
chrétiens
comme moi ; C’est le sang des héros, défenseurs d
nan. M’ôter, par un seul mot, ma honte et mes ennuis ; Dire : Je suis
chrétienne
. Zaïre. Dire : Je suis chrétienne.Oui… seigneur
te et mes ennuis ; Dire : Je suis chrétienne. Zaïre. Dire : Je suis
chrétienne
.Oui… seigneur… je le suis. Lusignan. Dieu, reçoi
, pour étonner l’imagination, pour intéresser le sentiment. L’orateur
chrétien
est l’organe de la religion, l’interprète de Dieu
que l’église enseigne, et à déraciner les vices contraires aux vertus
chrétiennes
. Ainsi, suivant un grand docteur90, la prédicatio
t qu’elle touche les cœurs. Pour faire connaître la vérité, l’orateur
chrétien
doit non seulement, comme je l’ai déjà dit, possé
a bien mieux que tous les préceptes. C’est celui du sermon sur la loi
chrétienne
, par le père Bourdaloue. « Division. Deux rappor
« Division. Deux rapports sous lesquels nous devons considérer la loi
chrétienne
: rapport à l’esprit, et rapport au cœur sous ces
I. Partie : loi souverainement aimable, II. Partie. » I. Partie. Loi
chrétienne
, loi souverainement raisonnable. Il ne nous appar
uissants, pour que je m’attache à ma religion, etc. » II. Partie. Loi
chrétienne
, loi souverainement aimable. Jésus-Christ nous l’
par toutes sortes de moyens, d’entretenir, prétends qu’autant la loi
chrétienne
est parfaite, autant l’onction qui raccompagne, l
dicateurs, dit l’Abbé Fleury, dans son ouvrage des mœurs des premiers
chrétiens
, n’étaient pas des discoureurs oisifs, comme les
e fit applaudir à la cour de Louis XIV. « Le vrai goût de l’éloquence
chrétienne
, dit-il dans la préface de ses Sermons, s’est tou
ingue ceux du P. Griffet. Cet Orateur ne s’écarte jamais de la morale
chrétienne
, et y ramène tous ses sujets. C’est le vrai moyen
on préconise les rares vertus, ou les glandes actions. Le Panégyrique
Chrétien
est uniquement consacré à la louange des Saints.
re de Dieu, et pour obéir à Dieu et il préféra toujours la qualité de
Chrétien
à celle de Roi. De là procédait ce zèle admirable
5º. Grand dans sa conduite avec les étrangers. C’était dans le monde
chrétien
, le pacificateur et le médiateur de tous les diff
nt eu ce Prince pour Maître et pour Chef ». La sainteté de la chaire
chrétienne
ne permet pas à l’Orateur de se borner, dans l’él
ce que le monde a admiré dans ce Prince ; mais je le dirai en Orateur
chrétien
, pour vous faire encore davantage admirer en lui
a vérité, au zélateur de la justice, au vrai sage, et surtout au vrai
chrétien
. Quant à la marche qu’ils doivent suivre dans la
nous représente ici son Héros mourant. « Il est mort, dit-il, en sage
Chrétien
, parce qu’il a voulu que sa mort fût précédée de
écédée de sa conversion et de son retour à Dieu. Il est mort en Héros
chrétien
, parce qu’il a fait paraître, en mourant, toute l
tre, en mourant, toute la grandeur de son âme. Il est mort en parfait
Chrétien
, parce qu’il a consacré les derniers moments de s
ce n’est proprement qu’à la renaissance des lettres que les Orateurs
chrétiens
commencèrent à louer les hommes illustres après l
s a conservé. Cet orateur vivait dans le cinquième siècle avant l’ère
chrétienne
. Peu de temps après la mort de Périclès, parut da
destin vois la suite effroyable3 Le Scythe va venger la Perse et les
chrétiens
. Encore un peu plus outre4, et ton heure est venu
ine. Monde, pour moi tu n’as plus rien : Je porte en un cœur tout
chrétien
Une flamme toute divine, Et je ne regarde Pau
t, Et ne peut m’assurer de celui qui le suit ? Pauline. Voilà de vos
chrétiens
les ridicules songes ; Voilà jusqu’à quel point v
bois, de marbre, ou d’or5, comme vous les voulez : C’est le Dieu des
chrétiens
, c’est le mien, c’est le vôtre ; Et la terre et l
en témoignez rien1. Polyeucte. Que je sois tout ensemble idolâtre et
chrétien
! Pauline. Ne feignez qu’un moment : laissez par
és il faut que je l’obtienne6 ; Elle a trop de vertus pour n’être pas
chrétienne
; Avec trop de mérite il vous plut la former, Po
fait verser des larmes. Il a peur de lui-même, et se persuade que le
chrétien
pleure au lieu de l’époux. 6. Il faut, prière i
t met du baume sur les blessures. 8. A jamais. C’est déjà l’épouse
chrétienne
. 9. T’adore. Voilà le mot qui devrait être déci
connais plus. C’est fanatique. Il a peur de faiblir, et son stoïcisme
chrétien
s’endurcit jusqu’à la cruauté, pour couper court
. Voilà une sainte colère. 4. Je n’adore qu’un Dieu. C’est le Credo
chrétien
mis en vers. Il se réfugie au pied de la croix.
e le ferais. Il brave, et veut enfin attirer la foudre. 2. Je suis
chrétien
, est un des mots sublimes de Corneille. Tout le r
le ainsi : Je renonce à la haine et déteste l’envie Qui m’a fait des
chrétiens
persécuter la vie ; Leur créance est ma foi, leur
eur espoir est le mien ; C’est leur Dieu que j’adore ; enfin, je suis
chrétien
! Quelque effort qui s’oppose à l’ardeur qui m’en
. Chère Pauline. Voici un mot qui nous fait aimer Polyeucte. Ici, le
chrétien
et l’époux se confondent. 2. Je lis dans M. de
e, puisqu’elle avait pour but de délivrer le tombeau du Christ et les
chrétiens
de la Terre-Sainte ; le sujet de l’Odyssée et cel
, Adam et le Démon. 369. Le merveilleux peut-il figurer dans un sujet
chrétien
? L’intervention des dieux du paganisme, qui pro
popées modernes, c’est-à-dire dans celles dont l’histoire des peuples
chrétiens
a fourni ou peut fournir le sujet. La raison veut
passée l’action qu’il raconte. Mais peut-on introduire, dans un sujet
chrétien
, Dieu, les anges, les saints, les démons ? Boilea
ianisme puisse se prêter au merveilleux de l’épopée : De la foi d’an
chrétien
les mystères terribles, D’ornements égayés ne son
le, nous soutenons, avec la plupart des critiques, que le merveilleux
chrétien
peut être, dans un poème épique, la source des be
’illustre auteur des Martyrs ne craint pas d’affirmer que le Dieu des
chrétiens
est poétiquement supérieur au Jupiter antique. Qu
ment jusqu’à nous, et a pitié de nos souffrances. 371. Le merveilleux
chrétien
se borne-t-il aux ressources que lui fournit la D
ppements à cette question ? Les auteurs sacrés, les grands écrivains
chrétiens
et les annales de l’Église, nous offrent encore l
regards. Mais quel essaim de vénérables ombres, à la voix d’un poète
chrétien
, se réveille dans la caverne de Membré ? Abraham,
Anatole de Ségur vient d’exprimer les mêmes idées sur le merveilleux
chrétien
dans l’Introduction de son beau Poème de saint Fr
373. Quelles précautions faut-il prendre dans l’emploi du merveilleux
chrétien
? D’abord, le poète épique doit prendre garde de
’écrivain et des peuples, et qu’il n’est jamais permis, dans un sujet
chrétien
, de mêler les fables du paganisme au merveilleux
e vue le devoir sacré qui lui est imposé, l’initiation de la jeunesse
chrétienne
aux vérités de la foi et à la pratique des devoir
et il aime à former leur goût sur les chefs-d’œuvre de l’inspiration
chrétienne
. L’intéressant Recueil de modèles qui doit complé
e qu’il doit avoir infailliblement pour la formation des littérateurs
chrétiens
. « Bien que l’on cultive particulièrement la lang
initions, par la justesse des divisions, par l’esprit si profondément
chrétien
qui l’inspire, me parait fait, entre tous les aut
chesses littéraires de nos saintes Écritures et de nos grands auteurs
chrétiens
. Votre Cours complet sera suivi avec fruit dans n
est appliquée au raisonnement. Arnobe, par exemple, définit ainsi le
chrétien
par des négations réitérées : Être chrétien n’es
xemple, définit ainsi le chrétien par des négations réitérées : Être
chrétien
n’est pas seulement ne pas sacrifier aux idoles,
sacrifier aux passions, qui sont les faux dieux de notre cœur ; être
chrétien
n’est pas seulement se détacher des biens de la t
er des biens de la terre, c’est se dépouiller de ses cupidités ; être
chrétien
, ce n’est pas avoir un habit pauvre et modeste, c
un habit pauvre et modeste, c’est être revêtu de Jésus-Christ ; être
chrétien
, ce n’est pas seulement aimer ses amis, c’est aim
us grand usage pour soi ; et tout le fruit qu’on retire d’un discours
chrétien
se borne à en avoir mieux remarqué les défauts qu
s pour étonner l’imagination, pour intéresser le sentiment. L’orateur
chrétien
est l’organe de la religion, l’interprète de Dieu
que l’Église enseigne, et à déraciner les vices contraires aux vertus
chrétiennes
. Ainsi, suivant saint Augustin, la prédication a
ruira mieux que tous les préceptes ; c’est celui du sermon sur la loi
chrétienne
, par Bourdaloue : Division. — Deux rapports, so
ivision. — Deux rapports, sous lesquels nous devons considérer la loi
chrétienne
: rapport à l’esprit et rapport au cœur. Sous ces
la poursuivre : il prouvera la première partie en montrant que la loi
chrétienne
est une loi sainte et parfaite, et ensuite que c’
l’éloge ordinaire que par la grandeur de l’assemblée. Le panégyrique
chrétien
a un tout autre caractère ; il est uniquement con
n funèbre du prince de Condé par Bourdaloue. La sainteté de la chaire
chrétienne
ne permet pas qu’on se borne, dans l’éloge des hé
l ne craint pas de les sacrifier à l’instruction du reste des hommes.
Chrétiens
, ne murmurez pas si Madame a été choisie pour nou
omment est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d’Israël ? »
Chrétiens
, qu’une triste cérémonie assemble en ce lieu, ne
ntion, très louable, était de former par cette fondation des orateurs
chrétiens
, et l’Académie a dû se conformer autant qu’il a é
-Pères. On peut considérer les apôtres comme les premiers orateurs
chrétiens
; saint Jean Chrysostôme avance, et prouve que sa
es premiers leurs talents et leur courage à l’apologie de la religion
chrétienne
, nous distinguons d’abord saint Justin, qui comba
style toujours noble, persuadèrent enfin aux sophistes grecs que les
chrétiens
avaient leur Platon et leur Démosthène. Sans con
es temps, et hâtons-nous d’arriver au règne de la véritable éloquence
chrétienne
chez les Français.
es martyrs : mais ce sang même devient la semence la plus féconde des
chrétiens
. L’église s’étend, s’agrandit, et attire dans son
ui ont protégé la religion, des savants qui l’ont défendue, des héros
chrétiens
qui l’ont cimentée de leur sang. Un des meilleurs
conspect que savant et judicieux. Nous lui devons aussi les Mœurs des
chrétiens
; excellent ouvrage où il nous fait parfaitement
dées. Plutarque, né à Chéronée dans la Béotie, vers l’an 50 de l’ère
chrétienne
, écrit avec force et avec clarté dans ses Vies de
Pausanias, né à Césarée en Cappadoce dans le deuxième siècle de l’ère
chrétienne
, a laissé un Voyage historique de la Grèce, où il
ans le comtat de Venaissin, avait fait, vers le commencement de l’ère
chrétienne
, une histoire, où il retraçait tout ce qui s’étai
œuvre. Velleius Paterculus, né à Naples, quelques années avant l’ère
chrétienne
, avait fait une Histoire abrégée de la Grèce, de
L’abbé Paul l’a traduit. Tacite, né à Rome, environ l’an 53 de l’ère
chrétienne
, appelé avec saison le Bréviaire des politiques,
’opinion la plus probable, vivait à la fin du premier siècle de l’ère
chrétienne
, avait composé l’Histoire d’Alexandre-le-Grand en
os, né à Hostilie, près de Vérone, dans le dernier siècle avant l’ère
chrétienne
, a donné les Vies des plus illustres capitaines d
e rapport des grandes révolutions avec l’établissement de la religion
chrétienne
; idée la plus vaste et la plus sublime peut-être
ses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où vient cela,
chrétiens
? C’est que Paul a des moyens pour persuader que
ole de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimons donc, aimons,
chrétiens
, la simplicité de Jésus, aimons l’Évangile avec s
des applaudissements de tout le peuple, je me sens fortement pressé,
chrétiens
, de mettre aux pieds de notre Sauveur quelqu’un d
veux abattre aujourd’hui aux pieds du Sauveur. Je ne me contente pas,
chrétiens
, de lui refuser de l’encens avec les trois enfant
êmes quelquefois pressés, et se plaignent de cette contrainte ; mais,
chrétiens
, ne les croyez pas : ils se moquent, ils ne saven
sagesse. Mais d’où vient donc une si étrange disproportion ? faut-il,
chrétiens
, que je vous le dise ? et ces masures mal assorti
nt pas de quoi se vanter d’une éternité si onéreuse. Que dirons-nous,
chrétiens
? que répondrons-nous à une plainte si pressante
es : Et nunc, Reges, intelligite ; erudimini, qui judicatis terram .
Chrétiens
, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme,
l ne craint pas de les sacrifier à l’instruction du reste des hommes.
Chrétiens
! ne murmurez pas si Madame a été choisie pour no
eur, ni à quoi je puis appliquer un si beau titre. Convainquons-nous,
chrétiens
, de cette importante vérité par un raisonnement i
tre être même. Maintenant, qu’est-ce que notre être ? Pensons-y bien,
chrétiens
: qu’est-ce que notre être ? Dites-le-nous2, ô mo
e l’étendue de notre vie qui nous distingue du néant ; et vous savez,
chrétiens
, qu’il n’y a jamais qu’un moment qui nous en sépa
tre Majesté avoir le moyen d’assouvir son cœur de ce plaisir vraiment
chrétien
et vraiment royal ! » 4. « Abimer l’État. » Le
de trois ans, il allait frapper à la porte des frères de la doctrine
chrétienne
, et comme on lui en refusait l’entrée, parce qu’i
ant de Sparte et de Rome, ou, pour mieux dire encore, comme un enfant
chrétien
, en qui la beauté du naturel et l’effusion de la
’accusera son passage d’avoir été un malheur. Ah ! messieurs, je suis
chrétien
, et pourtant je m’attendris à ce nom d’honnête ho
dans sa plénitude. Saluez-le donc en passant, et qui que vous soyez,
chrétien
et même saint, aimez entendre à votre oreille, et
un seul qui ne doive le chérir comme un père : c’est ce qui me ravit,
chrétiens
; c’est en quoi la majesté des rois me semble ent
lontés ne reçoit pas la loi de leurs mouvements : Voulez-vous savoir,
chrétiens
, quand Dieu se plaît de parler ? quand les hommes
eçoivent d’en haut ce que méritent les autres : Aimez donc la vérité,
chrétiens
, et elle vous sera annoncée : ayez appétit de ce
êmes quelquefois pressés, et se plaignent de cette contrainte ; mais,
chrétiens
, ne les croyez pas : ils se moquent, ils ne saven
rps immobile, là elle le secoue par le tremblement. Pitoyable vanité,
chrétiens
! c’est la maladie qui se joue, comme il lui plaî
2. Bossuet revient souvent sur cette idée : « Si vous voulez voir,
chrétiens
, des peintures de ces gouffres éternels, n’allez
e charger du supplice. 1. Bossuet eut aussi le génie de la charité
chrétienne
. 2. Monseigneur. Il s’adresse au grand dauphin,
ang des martyrs a été fertile, et la persécution a peuplé le monde de
chrétiens
. Les premiers persécuteurs, voulant éteindre la l
bien qu’ils se soient vantés d’avoir purgé la terre de la nation des
chrétiens
, d’avoir aboli le nom chrétien en toutes les part
avoir purgé la terre de la nation des chrétiens, d’avoir aboli le nom
chrétien
en toutes les parties de l’empire, l’expérience n
ioclétien : « Les tyrans passent, mais la vérité demeure. » (Socrate
chrétien
, Disc. iii.) 1. La Bruyère a dit : « Balzac,
cu et il meurt pour Jésus-Christ ; il meurt en priant pour ses frères
chrétiens
, afin qu’ils persévèrent ; pour tout ce peuple de
iers soucis pour une dernière heure ! Allez, grands hommes, ce pauvre
chrétien
a quelque chose que Zénon ne vous a point enseign
morale : elle est pure et sévère. Que lui manque-t-il donc pour être
chrétienne
? Il lui manque le zèle du prosélytisme. La vertu
n : « Le stoïcisme ne nous a donné qu’un Épictète, et la philosophie
chrétienne
forme des milliers d’Épictète qui ne savent pas q
pèlerinage au double berceau de l’antiquité. Les beautés païennes et
chrétiennes
s’y associent avec adresse. L’originalité de Chat
vent des mers sifflait sur la bruyère de Cona. Maintenant la religion
chrétienne
, fille aussi des hautes montagnes, a placé des cr
éroces poussaient jadis dans cet amphithéâtre, en voyant déchirer des
chrétiens
par des lions, on n’entendait que les aboiements
gieux entre les deux plus grands monuments de Rome païenne et de Rome
chrétienne
me causa une vive émotion : je songeai que l’édif
énorme amphithéâtre. Les voûtes qui répétaient les sons de la cloche
chrétienne
étaient l’ouvrage d’un empereur païen marqué dans
ner l’ordre grec et toscan du créneau gothique ; enfin, des religieux
chrétiens
, ramenant la civilisation dans ces lieux, plantai
récompensé sa foi par des tribulations et par des disgrâces. L’usage
chrétien
des prospérités peut nous donner droit au royaume
r les ennemis de la foi. Il voyait avec douleur les armes des princes
chrétiens
employées à s’exterminer les uns les autres, et l
pprocher ici de Massillon la plupart des grands orateurs de la chaire
chrétienne
: Bourdaloue, qui, au jugement de Maury, excelle
sable et orgueilleuse. Ne perdez pas de vue cette considération toute
chrétienne
. 2º Les accidents de la vie sont les maladies, la
orgueil de l’esprit humain d’une part de l’autre l’humilité de la foi
chrétienne
. N° 35. — Le Flatteur. Qu’est-ce que le fla
us courez aux plaisirs du monde — … le prêtre part — il va visiter un
chrétien
mourant — … Voilà le prêtre. Avis. Voici un cane
canevas. Disposez votre sujet, comme vous le voudrez. N° 62. — Les
Chrétiens
et les Païens Quel plus beau spectacle pour la
s Païens Quel plus beau spectacle pour la divinité, que de voir un
chrétien
aux prises avec la douleur, braver les menaces et
ce qu’on désire. Vous nous opposez Mucius Scévola — … mais combien de
chrétiens
Vous parlez de Régulus — … mais, sans parler des
ais le vain éclat des grandeurs ? — Mais les hommes sont égaux. — Les
chrétiens
pensent avec raison autrement que vous — et leur
médiatement après chaque objection du païen, de placer la réplique du
chrétien
que vous ferez parler, DÉCOMPOSITION. Le modèle,
t de Junon. — Avis. Style simple et naïf. N° 91. — La Mort et le
Chrétien
. Un jour, un homme vertueux rencontra la mort.
ux, — je vois ton cortège, — je t’accueille comme une amie, — je suis
chrétien
… La mort souffla sur l’homme et tout disparut dan
es attirèrent mes regards vers les nuages ; dans ces nuages je vis le
chrétien
. Il souriait… Des esprits célestes l’accueillaien
is, je regardais dans la tombe… il n’y avait que la dépouille usée du
chrétien
. Avis. Vous emploierez la disjonction dans la co
Vous emploierez la disjonction dans la conversation de la mort et du
chrétien
; car celui-ci répondra immédiatement à chacune d
0 prisonniers faits à Tibériade. Jérusalem avait été conquise par les
Chrétiens
, quatre-vingts ans auparavant. N° 147. — Incen
ses troupes. — Il se préparait à avancer, lorsque Dieu prit pitié des
chrétiens
malgré leurs crimes — … Nœud. Déjà la trompette
rsque l’ange des ténèbres, voulant contrarier les projets du Dieu des
chrétiens
, — vint ranimer le courage des barbares — … il qu
acile, l’asile de la tyrannie va tomber en leur pouvoir ; immolez les
chrétiens
, purgez le sol du Chili, etc., etc. En avant — …
s — N° 156. — Combat nocturne de Clorinde et Tancrède Note. Les
chrétiens
avaient élevé une tour pour escalader Jérusalem a
’éclaire ; la vérité descend dans son cœur et d’une infidèle fait une
chrétienne
. D’une voix mourante elle s’avoue vaincue et dema
nstructions de Rome pendant deux mille ans. C’est là que les premiers
chrétiens
enterraient leurs morts et célébraient les saints
hardiment dans ces routes ténébreuses. Son admiration d’artiste et de
chrétien
. Mais voilà qu’en voulant saisir une urne antique
À une époque de foi où les pèlerinages étaient en honneur parmi les
chrétiens
, un jeune gentilhomme entreprend un pèlerinage à
aux prières de sainte Clotilde, que la France doit le bonheur d’être
chrétienne
. La conversion de Clovis a entraîné celle de tout
i adresse une courte allocution pour rengager à embrasser la religion
chrétienne
. L’élève prendra pour motifs qui doivent décider
La probabilité de l’agrandissement de son royaume entouré de peuples
chrétiens
, qui sont disposés à se donner à lui ; 2º l’incer
aurice commande la légion thébaine, composée toute entière de soldats
chrétiens
. L’empereur leur a ordonné d’abjurer leur loi ou
te au martyre. Il commence par s’étonner de leurs cris séditieux ; un
chrétien
doit connaître la résignation, et ambitionner le
sance de l’empereur, et des soldats séditieux sont indignes du nom de
chrétiens
… Vous êtes forts !… Mais avez-vous reçu la missio
ur moi, je veux mourir — … Imitez mon exemple, et sachez succomber en
chrétiens
— … La gloire et l’immortalité ne sont point dans
s, Sa joie est troublée par la pensée que, peut-être, elle n’est plus
chrétienne
; il la questionne et apprend avec douleur qu’ell
e au sang qui coule dans tes veines, C’est le sang de vingt rois tous
chrétiens
comme moi ; C’est le sang des héros défenseurs de
angue parvenue à sa maturité. Ses principaux ouvrages sont le Socrate
chrétien
, où une teinte antique relève la beauté de la mor
ieux les punir qu’en laissant leur peine à leur discrétion. Socrate
chrétien
. Démosthène. La souveraine éloquence gouve
et les plus terribles. L’humilité est la véritable preuve des vertus
chrétiennes
: sans elle nous conservons tous nos défauts, et
ces premières assises du monument qu’il voulait élever à la religion
chrétienne
, on peut apercevoir quelle en eût été la grandeur
au contraire à rétablissement de ses principales vérités. Car la foi
chrétienne
ne va principalement qu’à établir ces deux choses
apables ; qu’ils soient au moins honnêtes gens, s’ils ne peuvent être
chrétiens
, et qu’ils reconnaissent enfin qu’il n’y a que de
itée). Petitesse et grandeur de l’homme conciliées par la religion
chrétienne
. Nous avons une si grande idée de l’âme de l’
icuriens, des dogmatistes et des académiciens, etc. La seule religion
chrétienne
a pu guérir ces deux vices, non pas en chassant l
urent, quelles solides qualités d’un cœur droit, généreux et vraiment
chrétien
ne joint-elle pas ? On peut dire que ses lettres
65, mais très digne de lui être comparé quand il parle de la religion
chrétienne
: demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce li
mples. Et nunc, reges, intelligite ; erudimini qui judicatis terram.
Chrétiens
, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme,
l ne craint pas de les sacrifier à l’instruction du reste des hommes.
Chrétiens
, ne murmurez pas si Madame a été choisie pour nou
nt les nuits et les jours dans la prière ! » Voilà l’état d’une veuve
chrétienne
, selon les préceptes de saint Paul ; état oublié
s chemins difficiles et avec des peines extrêmes. Quoi qu’il en soit,
chrétiens
, l’un et l’autre s’est vérifié dans la princesse
Tout change en un moment, et on déclare au prince sa mort prochaine.
Chrétiens
, soyez attentifs, et venez apprendre à mourir ; o
e vous les laissiez agir à leur mode et passer leur vie à leur gré. «
Chrétiens
en l’air, dit Tertullien234, et fidèles si vous v
Messeigneurs235, c’est sans doute un grand spectacle de voir l’Église
chrétienne
figurée dans les anciens Israélites ; la voir, di
oint être. Ibid., des Biens de fortune. Certitude de la religion
chrétienne
. Immatérialité de l’âme humaine. Si ma religi
tré de l’esprit antique et des inspirations supérieures de la sagesse
chrétienne
, Fénelon a laissé d’excellents traités philosophi
s qu’il est de foi que tous ceux qui ne vivront pas dans la vigilance
chrétienne
seront surpris par une ruine prompte et inévitabl
rs pour le sacre de l’électeur de Cologne272. (Fragment.) L’Église
chrétienne
n’a pas besoin, pour durer, du secours des hommes
lui que tempérée par la douceur383. Vanité du bonheur sans la foi
chrétienne
. Heureux sont ceux dont l’esprit se repose da
int d’abjurer le paganisme, malgré les édits cruels portés contre les
chrétiens
. Pauline pressent les malheurs qui vont l’accable
référé. » À ces mots j’ai frémi, mon âme s’est troublée ; Ensuite des
chrétiens
une impie assemblée, Pour avancer l’effet de ce d
, Mais je sais qu’à sa mort tous ont contribué403. Polyeucte, devenu
chrétien
, veut entraîner Néarque au temple pour y renverse
êlez aux vœux d’une troupe infidèle ! Oubliez-vous déjà que vous êtes
chrétien
? POLYEUCTE. Vous par qui je te suis, vous en sou
t assure ? Quand elle ouvre le ciel, peut-elle sembler dure ? Je suis
chrétien
, Néarque, et le suis tout à fait, La foi que j’ai
Ménagez votre vie, à Dieu même elle importe ; Vivez pour protéger les
chrétiens
en ces lieux. POLYEUCTE. L’exemple de ma mort les
? S’il vous en reste encor, n’êtes-vous point jaloux Qu’à grand’peine
chrétien
j’en montre plus que vous ? NÉARQUE. Vous sortez
it, Et ne peut m’assurer de celui qui le suit ? PAULINE. Voilà de vos
chrétiens
les ridicules songes : Voilà jusqu’à quel point v
bois, de marbre ou d’or, comme vous les voulez410 : C’est le Dieu des
chrétiens
, c’est le mien, c’est le vôtre ; Et la terre et l
n’en témoignez rien. POLYEUCTE. Que je sois tout ensemble idolâtre et
chrétien
! PAULINE. Ne feignez qu’un moment : laissez part
-les, ou meurs. POLYEUCTE. Je suis
chrétien
. FÉLIX.
onsens qu’il périsse. Acte V, scène V. Pauline embrasse la foi
chrétienne
. Félix, Pauline, Albin. PAULINE. Père barbare ac
s désabusée422 : De ce bienheureux sang tu me vois baptisée ; Je suis
chrétienne
enfin : n’est-ce point assez dit ? Conserve, en m
ui parle, et non le désespoir. Le faut-il dire encor ? Félix, je suis
chrétienne
. Affermis, par ma mort, ta fortune et la mienne :
s tyranniques ! Les pouvez-vous aimer, ces forfaits politiques, Vous,
chrétien
, vous choisi pour régner désormais Sur des chréti
politiques, Vous, chrétien, vous choisi pour régner désormais Sur des
chrétiens
nouveaux au nom d’un Dieu de paix ? Vos yeux ne s
brise leurs liens, J’y consens ; mais songez qu’il faut qu’ils soient
chrétiens
. Ainsi le veut la loi : quitter l’idolâtrie Est u
pardonne. Alzire, vaincue par les instances de son père, s’est faite
chrétienne
, et, malgré ses vives répugnances, devient l’épou
cet hymen entraîné ma faiblesse. Ta criminelle amante, aux autels des
chrétiens
, Vient presque sous tes yeux de former ces liens.
combats, Les pleurs que j’ai trois ans donnés à ton trépas : Que, des
chrétiens
vainqueurs esclave infortunée, La douleur de ta p
cœur ? ALZIRE. Quand Montèze, Alvarez, peut-être un dieu vengeur, Nos
chrétiens
, ma faiblesse, au temple m’ont conduite, Sûre de
trois d’horreur et de pitié. (En montrant Zamore.) C’est ce Dieu des
chrétiens
que devant vous j’atteste ; Ses autels sont témoi
mi, sois libre, et te souvien Quel fut, et le devoir, et la mort d’un
chrétien
. (À Montèze, qui se jette à ses pieds.) Montèze,
passé mes crimes. Instruisez l’Amérique ; apprenez à ses rois Que les
chrétiens
sont nés pour leur donner des lois. (À Zamore.) D
: Que du ciel, par vos soins, le jour luise sur eux. Aux clartés des
chrétiens
si son âme est ouverte, Zamore est votre fils, et
. ZAMORE. Je demeure immobile, égaré, confondu. Quoi donc ! les vrais
chrétiens
auraient tant de vertu ! Ah ! la loi qui t’oblige
! Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit chère ! Zamore, sois
chrétien
! je suis content ; je meurs. ALVAREZ, à Montèze.
t des hommes, même lorsqu’elle semble demander leur peine, est la loi
chrétienne
. » — Cette belle personnification des lois rappel
ns son sermon prononcé un jour de Pâques sur les motifs de la joie du
chrétien
: « On voudrait s’arrêter : Marche ! marche ! etc
ort élevées de Balzac sur les commencements du christianisme, Socrate
chrétien
, disc. III. 165. C’était un protestant né dans l
a de la France. Il est auteur d’un livre sur la Vérité de la religion
chrétienne
, 1684, sur lequel on peut voir l’édit citée de Bl
e discours, l’opinion de M. Villemain dans son Tableau de l’Éloquence
chrétienne
au quatrième siècle. Cf. Fénelon, Dialogues sur l
quement hommage à l’éloquence de Bossuet : « Il ne m’appartenait pas,
chrétiens
, de vous faire goûter ni sentir l’onction d’une m
accents d’une telle voix : quelques mots suffisaient au grand orateur
chrétien
pour rendre à Dieu sa place et remettre l’homme à
, dans sa théorie de l’art oratoire, même quand il parle de l’orateur
chrétien
, se montre le disciple de Platon, dont il invoque
s’est élevé aussi haut pour abaisser la vanité humaine : l’éloquence
chrétienne
ne craint pas d’exposer dans leur cruelle réalité
n des morceaux les plus touchants et les plus parfaits de l’éloquence
chrétienne
», n’est pas indigne d’être rapproché du sermon s
xpressions, gagnait tour à tour et perdait du terrain dans le cœur du
chrétien
et de l’homme. 300. Elle partageait à l’égard de
fermeté du tour et la poésie de l’expression. 400. 1640. La tragédie
chrétienne
de Polyeucte martyr, imprimée seulement en 1644,
cle après Jésus-Christ, au temps des persécutions dirigées contre les
chrétiens
et sous l’empire de Dèce, que s’accomplit le fait
euse témérité du nouveau converti et la prudente sagesse du vieillard
chrétien
. 405. C’est-à-dire avec assurance. 406. La pens
thousiasme et quelle dignité ! La gravité et la noblesse du caractère
chrétien
sont marquées jusque dans ces vous opposés aux tu
religion pouvait s’élever au dernier degré d’enthousiasme, puisque le
chrétien
aime Dieu comme la souveraine beauté et le ciel c
t pas seulement Pauline, c’est Félix lui-même qu’il engendre à la foi
chrétienne
. La conversion de celui-ci termine la tragédie. I
sent des démonstrations. » 606. L’auteur de Polyeucte, parlant des
chrétiens
, avait dit, IV, 6 : Les a-t-on vus mutins ? les
ces premières assises du monument qu’il voulait élever à la religion
chrétienne
, on peut apercevoir quelle en eût été la grandeur
choses dont la connaissance est inséparable. Il n’y a que la religion
chrétienne
qui rende l’homme aimable et heureux tout ensembl
e la force et de la bonté ». 3. De même, Montesquieu : « La religion
chrétienne
, qui ne semble avoir pour but que la félicité de
nom : la première est l’étude des preuves de la vérité de la religion
chrétienne
; la seconde est l’étude de la doctrine qu’elle e
de foi humaine qu’on acquiert par l’étude des preuves de la religion
chrétienne
soient d’un ordre inférieur à la foi divine, qui
qu’il ne fût pas plus possible de douter de la vérité de la religion
chrétienne
, qu’il l’est de douter s’il y a eu un César ou un
dans toute leur beauté, comme celle que nous offre l’Ode aux princes
chrétiens
sur l’armement des Turcs : Comme un torrent fougu
ie beauté de la prière, c’est-à-dire le principal ornement de l’hymne
chrétienne
. L’enthousiasme y est moins élevé, l’inspiration
ode au prince Eugène de Savoie, celles qui sont adressées aux princes
chrétiens
, sur l’armement des Turcs contre Venise en 1715,
sensibles ; d’un autre côté, pour l’homme de bien, et surtout pour le
chrétien
, elle ne peut manquer d’avoir un caractère plus o
icencieuses, et par l’expression de sentiments coupables, La religion
chrétienne
, qui est la source de toutes les inspirations sai
funèbre qu’il composa sur la mort de Jonathas et de Saül. La religion
chrétienne
qui, en épurant le cœur, le dispose à la poésie l
r tout à la plus déplorable des passions, sans aucun retour de morale
chrétienne
. § V. De la chanson. 232. Qu’est-ce que la
erait beaucoup plus convenable, lorsqu’il s’agit de poètes et d’époux
chrétiens
, de substituer les idées si pures de notre religi
sa croyance ». Tout en regrettant qu’il ait troublé la paix du monde
chrétien
, bornons-nous à dire quelques mots de l’homme et
igence. Le plus mémorable de ses titres littéraires est l’Institution
chrétienne
, dont la première édition parut en 1535, et qu’il
que je lui fis du psaume. 6. Tenue, c.-à-d. obligée. 1. De ma foi
chrétienne
. 2. Des exhortations me confirment dans. 3. Ver
de notre littérature. Il y fixe la langue que parleront les maîtres.
Chrétien
sincère, et ambitieux de donner aux vérités de la
e se faire justice à eux-mêmes : et c’est par son esprit que les rois
chrétiens
ne se la font pas dans les crimes de lèse-majesté
ôt de la part de Dieu. Est-ce par grimace et par feinte que les juges
chrétiens
ont établi ce règlement ; et ne l’ont-ils pas fai
eure de la justice ne fût contraire aux sentiments intérieurs que des
chrétiens
doivent avoir ? Supposez que ces personnes publiq
tée à Montaigne. P. F. 2. Joubert a dit : « Pascal a la misanthropie
chrétienne
: forte, douce et tendre. » 1. Pascal a dit : «
orgueil et ne ménage point l’amour-propre. Rien ne doit dédommager le
chrétien
dans le pardon des offenses, que la consolation d
i personnes ; qui ne doit jamais s’éteindre. Et quand la religion des
chrétiens
n’aurait point d’autre preuves contre l’incréduli
impose la corruption des mœurs, de venir prouver à des hommes, à des
chrétiens
, la certitude d’une vérité qui n’excitait pas mêm
ue c’est un ridicule pour le vrai philosophe, et un blasphème pour le
chrétien
que d’en douter, il n’est pas moins certain qu’un
digne de leur bienveillance et plus utile aux enfants de nos maisons
chrétiennes
! Notions préliminaires I. Éloquence1.
iproquement. Dans Polyeucte, Sévère avoue son estime secrète pour les
chrétiens
, et il juge leur morale par les effets qu’elle pr
et il juge leur morale par les effets qu’elle produit : La secte des
chrétiens
n’est pas ce que l’on pense ; On les hait ; la ra
ense ; On les hait ; la raison, je ne la connais pas. Enfin, chez les
chrétiens
les mœurs sont innocentes, Les vices détestés, le
glise avec beaucoup de convenance et d’à-propos : Pour être vraiment
chrétien
, dit Bossuet, il faut sentir qu’on est voyageur ;
e par l’étude, par la réflexion et surtout par la pratique des vertus
chrétiennes
. Montrez-vous sensibles à tout ce qui peut faire
assions contre un adversaire qu’ils voulaient perdre ; mais la morale
chrétienne
ne permet point de pareils procédés, et elle veut
e n’est point sur de pareils exemples que doivent se former de jeunes
chrétiens
. Nous aimons mieux citer une narration de Lally-T
é et n’a plus de droit à la confiance de ses auditeurs. La rhétorique
chrétienne
condamne donc absolument toutes les amplification
re. 302. Par le caractère et la mission dont il est revêtu, l’orateur
chrétien
n’est pas seulement un homme qui parle plus ou mo
plus à toucher les cœurs qu’à convaincre les esprits. 313. L’orateur
chrétien
ne doit pas être étranger aux sciences profanes ;
s vastes et vraiment évangéliques qui embrassent tous les intérêts du
chrétien
. Pour plaire et intéresser, il faut aussi que les
sophismes et les erreurs inventés par l’impiété. Si vous parlez à des
chrétiens
qui ne doivent jamais entendre certaines objectio
t de Lacordaire. Qu’il possède, avant tout, l’ensemble de la doctrine
chrétienne
, qu’il en embrasse tous les détails et tous les r
xxiv). Article cinquième. Du panégyrique36. 343. Le panégyrique
chrétien
, dont il est ici uniquement question, est un disc
t Dieu. En abattant d’une main ce qu’il a élevé de l’autre, l’orateur
chrétien
ne se combat pas lui-même ; il ne combat que des
solutions publiques ou secrètes, mais les malheurs du premier royaume
chrétien
, de cette vigne si chérie que votre main elle-mêm
que le ciel accordait au zèle et à la ferveur de nos pères. Mais les
chrétiens
de nos jours ont-ils droit de prétendre aux mêmes
us ? Il n’y a pas trente années encore, que nous avons vu les chaires
chrétiennes
remplies par des orateurs dignes des plus beaux s
i certain que la civilisation tout entière s’est trouvée dans la zone
chrétienne
; hors de cette zone, il n’y a pas de civilisatio
le, roule dans l’espace et répète : Vengeance ! vengeance ! L’orateur
chrétien
embrasse dans son amour tout le genre humain. Il
t et régulier : c’est celui de Massillon sur la vérité de la religion
chrétienne
. Exorde. Malgré les preuves solides et éclatante
de sur trois grands caractères qui distinguent éminemment la religion
chrétienne
: 1º elle est raisonnable ; 2º elle est glorieuse
; 3º elle est nécessaire. Confirmation. Première partie. La religion
chrétienne
est raisonnable. Subdivision. En ce qu’elle repo
sprits les moins crédules. 1er membre de la subdivision. La religion
chrétienne
a pour elle l’ancienneté, la perpétuité et l’unif
, c’est la seule qui possède cet avantage. 2e membre. 1º La religion
chrétienne
donne les seules idées convenables de Dieu ; 2º e
de l’univers entier. Conclusion de la 1re partie : Donc la religion
chrétienne
est raisonnable. Deuxième partie. La religion chr
la religion chrétienne est raisonnable. Deuxième partie. La religion
chrétienne
est glorieuse. Subdivision. 1º Du côté des promes
n de gloire. 2e membre. Peinture de la grandeur et de l’élévation du
chrétien
dans toutes les circonstances de la vie. Rien n’e
embre. Les hautes vertus de tous les grands hommes, de tous les héros
chrétiens
, depuis Abel jusqu’à nos jours, sont proposées à
e ouverte devant lui ? Conclusion de la 2e partie : Donc la religion
chrétienne
est glorieuse. Troisième partie. La religion est
emps, des hommes, etc. Conclusion de la 3e partie : Donc la religion
chrétienne
est nécessaire. Conclusion de tout le discours ou
s et convertissent les âmes. C’est à ce but que doit tendre l’orateur
chrétien
. Il doit travailler à se diminuer, à s’anéantir,
e. » Épouse, sa fidélité va jusqu’à paralyser son énergie naturelle ;
chrétienne
, elle se résigne à tout, excepté à une apparence
e pour réussir dans la conférence ? 343. Qu’est-ce que le panégyrique
chrétien
? 344. D’où se tire l’éloge des saints ? 345. De
Lettre XXXIe à l’archevêque de Bourges ; Louis de Grenade, Rhétorique
chrétienne
; le P. Gisbert, De l’Éloquence chrétienne ; Maur
uis de Grenade, Rhétorique chrétienne ; le P. Gisbert, De l’Éloquence
chrétienne
; Maury, Essai sur l’éloquence ; Laurentie, De l’
initions, par la justesse des divisions, par l’esprit si profondément
chrétien
qui l’inspire, me paraît fait, entre tous les aut
chesses littéraires de nos saintes Écritures et de nos grands auteurs
chrétiens
. Votre Cours complet sera suivi avec fruit dans n
œuvre plus de méthode, d’ordre, de netteté, de précision et d’esprit
chrétien
, que dans les œuvres de même nature destinées à s
on remarque dans cet édifice ! Les païens ont divinisé la vie, et les
chrétiens
ont divinisé la mort : tel est l’esprit des deux
ance d’un autre monde étant chez eux beaucoup moins vive que chez les
chrétiens
, les païens s’efforçaient de disputer à la mort l
tentions sévères, mais des interprétations très douces ; la théologie
chrétienne
et les images du paganisme ; enfin la réunion la
s à l’âme une impression religieuse, et nous faisons hommage au culte
chrétien
de tous les chefs-d’œuvre que les autres cultes o
ans beaucoup d’esprits élevés, une juste réaction en faveur de la foi
chrétienne
. La nouvelle imprévue de la mort de sa mère, son
lus contesté. On reprocha à l’auteur d’avoir transporté dans un sujet
chrétien
les procédés et le merveilleux de l’épopée antiqu
si heureusement opposés du monde barbare dans sa rudesse et de la vie
chrétienne
dans sa première innocence. À partir de 1815, la
iii. Un camp romain Le jeune Grec Eudore, dont la famille est
chrétienne
, vint à Rome sous le règne de Dioclétien. Devenu
e de Dioclétien. Devenu suspect à Galérius par ses relations avec les
chrétiens
, il reçoit l’ordre de quitter la ville et du se r
s après il combattit et mourut en héros, et nous apprîmes qu’il était
chrétien
. Les Francs avaient été surpris par Constance : i
rêtent. Il se fait un profond silence : César, du milieu de la légion
chrétienne
, ordonne d’élever la cotte d’armes de pourpre, si
, aperçoit le découragement des cohortes. Il se tourne vers la légion
chrétienne
: « Braves soldats, la fortune de Rome est entre
rayeur, mais aussi aucune joie, ne paraissait sur le visage des héros
chrétiens
. Leur valeur tranquille était pareille à un lis s
pée haute à l’ennemi. Le combat recommence de toutes parts. La légion
chrétienne
ouvre une large brèche dans les rangs des barbare
sant des imprécations contre César et contre les dieux. Là, un soldat
chrétien
meurt isolé, d’une main retenant ses entrailles,
tre, prêt à être livré aux bêtes féroces ; sa jeune épouse Cymodocée,
chrétienne
comme lui, s’est échappée de la maison paternelle
s du martyre : on attend l’arrivée de l’empereur pour livrer Ces deux
chrétiens
à la fureur d’un tigre. Tout à coup retentit le
ntin, proclamé César par les légions, s ‘ était en même temps déclaré
chrétien
, et se disposait à marcher vers Rome. Ces nouvell
le voix étouffent sa voix : « Qu’on donne le signal ! Les bêtes ! Les
chrétiens
aux bêtes ! » Le son de la trompette se fait ente
ymodocée, répondit Eudore, il y a plus longtemps que vous que je suis
chrétien
: je pourrais mieux supporter la douleur ; laisse
embrasures d’une muraille chargée de canons, les débris gothiques des
chrétiens
et les masures des musulmans. Deux petites collin
ature ne réussiront jamais à leur inspirer un amour tel que celui des
chrétiens
pour leur Dieu ! Si vous veniez à mourir, vos enf
rme aucune comparaison entre l’enthousiasme des soldats et la charité
chrétienne
, qui sont aussi différents que leur cause ! Mais
ns ou mauvais, de notre société. J’ai retracé le réveil et le progrès
chrétien
; je ne retranche rien de la force que je leur ai
diverses ; là aussi le respect des croyances religieuses et le réveil
chrétien
ont fait des progrès. Mais c’est là que le mal de
ivine de notre nature. Que les amis de la vie religieuse et de la foi
chrétienne
ne se fassent pas illusion : c’est là le plus gra
t, du moins le plus grave de notre temps. C’est contre ce mal que les
chrétiens
doivent surtout diriger leurs efforts ; ils ont l
odigieuse activité. En 1846 paraissait la belle étude sur l’Éloquence
chrétienne
au quatrième siècle, qui, retouchée dans les lois
ur vasselage. Les légendes attestent que non-seulement le premier roi
chrétien
, mais encore ses successeurs, furent souvent obli
Franks de la plus haute classe. Lorsque les nobles efforts du clergé
chrétien
eurent déraciné les pratiques féroces et les supe
rendre ; et l’on disait : Le doigt de Dieu est là. C’était la formule
chrétienne
; mais, à les voir suivre en aveugles, et comme d
élevée, mais que n’éclairaient plus les grands horizons de la pensée
chrétienne
. À peine M. Jouffroy était-il monté dans la chair
Elle avait la dignité d’une reine et le paisible recueillement, d’une
chrétienne
. L’échafaud avait été dressé dans la salle basse
en la main sans que le cœur en soit touché, et rien ne sied mieux au
chrétien
qui va mourir que l’image de son Rédempteur. » Lo
mps fidèle aux vertus de famille dont il eut le modèle sous les yeux.
Chrétien
pratiquant et de mœurs austères, il avait commenc
. Assis dans un esquif, l’œil tourné vers le bord, Un jeune homme, un
chrétien
, glisse sur l’onde amère. Il remplit dans le temp
e poursuit… Notre asile à nous, c’est la tombe ! « Heureux qui meurt
chrétien
! Grand Dieu ! leur cruauté Veut convertir les cœ
libre en ses jours glorieux N’adorait pas encor ta parole éternelle :
Chrétienne
, elle est aux fers, elle invoque les cieux. Dieu
peux pas. FRANÇOIS DE PAULE. Roi, je ne le peux pas.Mais tu le dois,
chrétien
. LOUIS. Je me suis repenti, c’est assez. FRANÇOIS
ir les horizons d’au-delà, ces horizons voilés à l’orgueil, et que le
chrétien
découvre dans sa foi ! Le poète avait épuisé tout
Ma raison révoltée Essaye en vain de croire et mon cœur de douter, Le
chrétien
m’épouvante, et ce que dit l’athée, En dépit de m
vous sur vos tombeaux. Venez, rhéteurs païens, maîtres de la science,
Chrétiens
des temps passés et rêveurs d’aujourd’hui ; Croye
s monuments comme dans les chefs-d’œuvre de sa littérature ; le génie
chrétien
, plus tourmenté dans ses aspirations vers un idéa
it consacré sa tille unique au culte des Muses. Eudore l’avait rendue
chrétienne
. Virgile (Géorg., liv. IV), quand il montre empor
’Eudore et de Cymodocée (liv. I, à la fin) ; le tableau de la famille
chrétienne
de Lasthénès, et la visite de Cyrille, confesseur
du Vésuve (liv. V) ; la délibération du sénat romain sur le sort des
chrétiens
(liv. XV et XVI). 73. Ce corps d’élite, créé au
Après avoir dans une première partie étudie l’essence de la religion
chrétienne
et les solutions qu’elle donne aux problèmes fond
l’humanité, M. Guizot consacre la seconde partie à retracer le réveil
chrétien
au dix-neuvième siècle et le mouvement antichréti
herchera dans une dernière série à pressentir l’avenir de la religion
chrétienne
. Le grand historien, nous en avons la ferme espér
renversé ses statues. Voir à ce sujet, dans le Tableau de l’éloquence
chrétienne
au quatrième siècle, le chap. sur saint Ambroise.
gia dans Sainte-Sophie et ce fut pour défendre le réfugié de l’église
chrétienne
que saint Chrysostome prononça le célèbre discour
de la Grèce moderne, et l’autre, les cérémonies funèbres de la Grèce
chrétienne
. 166. La fin du dix-huitième siècle et la périod
, dit M. Augustin Thierry, un homme de civilisation autant que de foi
chrétienne
, une de ces natures délicates à qui la vue du mon
oquentes de M. de Lamartine, et fera jaillir du cœur et des lèvres du
chrétien
un acte de loi et d’amour envers la Providence qu
se croisent de toutes parts, retrouve son chemin grâce aux chants des
chrétiens
qu’il entend tout à coup : « Une harmonie, sembla
ièce, si parfaite de sentiment et d’expression, les beaux vers sur le
Chrétien
mourant dans les premières Méditations poétiques.
nation au récit des crimes du roi, tempérée par un sentiment de pitié
chrétienne
, s’opposent fort bien au spectacle de l’âme si tr
, les qualités nécessaires au poète, la versification, le merveilleux
chrétien
dans l’épopée, la question des trois unités, les
astorale, dans le genre didactique, et surtout dans l’ode. Les poètes
chrétiens
, considérés sans prévention, ne nous ont point pa
le voile ; le perpétuel combat du bien et du mal, dans lequel la foi
chrétienne
vient interposer sa morale divine et son autorité
vangile du jour. L’homélie est une sorte d’entretien, une instruction
chrétienne
où dominent la chaleur et l’onction ; elle a asse
er l’éloquence partout où elle se trouve. 29. Principaux orateurs
chrétiens
: Pères grecs. Saint Athanase, saint Grégoire de
partagé l’engouement de ses contemporains. Toutefois, dans le Socrate
chrétien
, il annonce Bossuet, et ses Entretiens à Ménandre
art de l’homme, mais la force qui accable est toute de Dieu. (Socrate
chrétien
, discours viii.) Tibère Que les princes s
mieux les punir qu’en laissant leur peine à leur discrétion. (Socrate
chrétien
.) L’homme s’agite et Dieu le mène À monsi
aux nues Balzac et Voiture. Admis dans la congrégation de la Doctrine
chrétienne
, puis professeur de rhétorique à Narbonne, où il
mment est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d’Israël ! »
Chrétiens
, qu’une triste cérémonie assemble en ce lieu, ne
ause la nature dans les cœurs tendres comme le vôtre ; mais vous êtes
chrétien
; aussi vous devez regarder avec une satisfaction
r du sort du monde. D’un côté, c’est Constantin, à la tête de l’armée
chrétienne
; de l’autre, Maxence6, à la tête des soldats qui
z remarquer que cette bataille doit fixer le sort du monde. Sera-t-il
chrétien
? Sera-t-il païen ? C’est ce que va décider le so
rs la fin du règne de Dioclétien, une persécution terrible contre les
chrétiens
s’éleva dans tout l’empire, et ne survit, en géné
ivez sa sérénité, sa joie. Il rencontre quelques-uns de ses amis qui,
chrétiens
comme lui naguère, avaient par crainte abjuré leu
riminelle faiblesse, ils s’écrient d’une voix unanime : « Nous sommes
chrétiens
! » Ils rejettent leurs couronnes de fleurs et ma
de raconter le fait. Ce fait a eu lieu environ mille ans avant l’ère
chrétienne
. 56. Amour filial, tendresse conjugale. Suj
fidèles amis et de ses plus habiles ministres, d’abjurer la religion
chrétienne
qu’il avait récemment embrassée. Enfin, il lui en
pas sa religion. Vous mettrez dans la réponse de Keoven la fermeté du
chrétien
, la douleur du père, et l’inébranlable dévouement
mé par ce langage, et plein d’admiration et d’estime pour ce généreux
chrétien
, l’empereur lui permet de pratiquer sa religion,
eu lieu dans le xvie siècle. Quatre-vingts ans plus tard, la religion
chrétienne
fut anéantie dans le Japon, à la suite d’une pers
onçoivent le projet de doter de cette source de richesses les nations
chrétiennes
. Ils remarquent que la brièveté de la vie de ces
ait la main d’Hedwige, d’embrasser, avec tout son peuple, la religion
chrétienne
, et de réunir la Lithuanie à la Pologne. Il était
e jour, la Lithuanie et la Pologne furent unies ; la Lithuanie devint
chrétienne
. Jagellon fut roi de Pologne sous le nom de Ladis
l’année suivante. Peu de temps après, Constantin embrassa la religion
chrétienne
, et devint seul maître de l’empire romain16. 1
ers des Asturies, l’intrépide Pélage a relevé l’étendard de l’Espagne
chrétienne
; qu’Alphonse se rende auprès de ce héros ; qu’il
crimes de son père. Après la bataille de Xérès, Pélage, avec quelques
chrétiens
fidèles, s’était réfugié dans les montagnes des A
découvrir son secret. Après trois ans, un grand combat se livre. Les
chrétiens
, grâce à Pélage et plus encore à Alphonse, sont c
lle devait décider si la France et l’Europe devaient rester libres et
chrétiennes
, ou si elles seraient asservies aux Mahométans. S
serait utile, elle est si odieuse, si injuste, si criminelle, que des
chrétiens
, des citoyens et des hommes doivent la rejeter av
rand de ces monuments, vivait, dit-on, vingt-deux siècles avant l’ère
chrétienne
. Sujet. Chéops, dans le désir insensé d’éterniser
rope avec toutes ses horreurs, et de décréter que la personne de tout
chrétien
est libre. Les motifs qu’il fera valoir se rattac
ile de Latran décréta l’abolition de la servitude et déclara que tout
chrétien
était libre. 157. Discours de Fonteius dans le
ses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où vient cela,
chrétiens
? C’est que Paul a des moyens pour persuader que
ole de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimons donc, aimons,
chrétiens
, la simplicité de Jésus, aimons l’Evangile avec s
illir les impressions de confiance et de piété que cette âme vraiment
chrétienne
y avait laissées avec les derniers soupirs. A la
ce à connaître Dieu. Qu’elle nous parut alors au-dessus de ces lâches
chrétiens
qui s’imaginent avancer leur mort quand ils prépa
mère ne s’accommode point de ces belles choses. un peu de résignation
chrétienne
, la peinture du bonheur céleste de Sophie et l’él
adame de Sévigné, sa mère, dont elle déplore la perte. Point de force
chrétienne
dans les moments les plus solennels de la vie ! C
rgueilleuse qui est souvent contraire à l’humilité et à la simplicité
chrétienne
, et qui, laissant souvent la vérité pour le menso
tacles, aux fêtes, accourt en grande hâte près du ministre sacré : un
chrétien
touche à ses derniers moments, il va mourir, et p
le tombeau d’un grand homme et la gloire. Cousin. N° 62. — Les
Chrétiens
et les Païens. Quel beau spectacle pour la di
t les Païens. Quel beau spectacle pour la divinité que de voir un
chrétien
, aux prises avec la douleur, braver les menaces,
ar la vertu seule que nous différons. C’est donc avec raison que les
chrétiens
, qui ne tirent vanité que de leur vie, que de leu
mouiller l’œil d’une immortelle. Lessing. N° 91. La Mort et le
Chrétien
. Un jour, un homme vertueux rencontra la mort
ence. Et qui es-tu donc, mortel, pour ne pas me craindre ? Je suis
chrétien
, répondit celui-ci en souriant. Soudain la mort l
s attirèrent mes regards vers les nuages ; dans ces nuages, je vis le
chrétien
: il souriait encore comme il avait souri à la mo
e reconnus ce qui était au fond : ce n’était que la dépouille usée du
chrétien
. J.-G. Lavater. N° 92. — Le Ver luisant et le
t les obtenir. La soif, le plus cruel de tous les fléaux, consume les
chrétiens
. Le tyran de la Judée a infecté toutes les fontai
nqué ni de grandeur ni de pompe ; mais l’expression du poète est plus
chrétienne
: car ces âmes qui viennent de quitter leurs enve
unestes projets, lorsque le Très-Haut jeta un regard de pitié sur les
chrétiens
; il résolut de ne point écouter la justice qui r
t que l’Éternel allait enchaîner le courage des ennemis et sauver les
chrétiens
, osa tenter un dernier effort pour endurcir le cœ
. « Hâtez-vous, s’écrie-t-il, généreux défenseurs de la liberté ; les
chrétiens
humiliés et tremblants fuient de toutes parts dev
ous emparerez sans peine. Portez-y le fer et la flamme ; que tous les
chrétiens
soient immolés à votre juste vengeance, et que le
ez-vous d’attaquer les guerriers de la Castille. Dieu combat avec les
chrétiens
, et il a établi leur domination sur vous et sur c
éclaire ; la vérité descend dans son cœur, et d’une infidèle fait une
chrétienne
. D’une voix mourante elle prononce ces paroles de
ux anneaux destinés à transmettre aux siècles la tradition des vertus
chrétiennes
, aussi intacte que les apôtres l’ont reçue de Die
lacer l’image de Marie, ce soleil de pureté, cette mère angélique des
chrétiens
, toujours prête à demander grâce pour ses enfants
225. — Sainte Clotilde à Clovis. Elle exhorte son époux à se faire
chrétien
. Mon noble époux ! Vos préparatifs de départ sont
ndre notre union éternelle ? Ah ! grand roi des Francs, si vous étiez
chrétien
, vous seriez invincible : le Dieu des armées comb
t foudroyés ; il regarde, et les armées ne sont plus. — Si vous étiez
chrétien
, vous seriez le plus puissant roi de la terre, le
r résister par la force à leurs bourreaux, et les exhorte à mourir en
chrétiens
. Soldats, Je vous l’avoue, ce ne sont point les
de vos rangs. Pour moi, tel est le cri que la foi m’inspire : je suis
chrétien
; chrétien, je serai martyr ; et il me semble qu’
s. Pour moi, tel est le cri que la foi m’inspire : je suis chrétien ;
chrétien
, je serai martyr ; et il me semble qu’un véritabl
de César ; vous êtes les premiers qui ayez dit :nous ne voulons pas,
chrétiens
, disciples d’un Dieu crucifié, nous laisser immol
irain plus puissant que la foi protégera nos vies. Et vous vous dites
chrétiens
, vous que la vengeance et la rébellion soulèvent
rieuses : la Gaule ! l’Italie ! terres de héros et de martyrs, où les
chrétiens
plus nombreux et plus puissants que les idolâtres
leur cœur un remords éternel. Ainsi séparés par votre révolte et des
chrétiens
et des idolâtres, il ne vous restera plus qu’à vo
tre ardeur sacrilège. Pour moi, je connais des devoirs de sujet et de
chrétien
qui ne me permettent plus de marcher à votre tête
ui ne te croyais si brave, si invincible, que parce que je te croyais
chrétienne
, pourquoi faut-il que je pleure sur le crime, lor
e voix échappés à l’émotion ; je vous entends dire : Oui, nous sommes
chrétiens
, et c’est ce titre que nous allons défendre. — Vo
es chrétiens, et c’est ce titre que nous allons défendre. — Vous êtes
chrétiens
? mais où sont les persécutions que vous voulez s
sang que vous voulez donner pour mériter ce nom glorieux ? Vous êtes
chrétiens
! Laissez donc là ces armes menaçantes ; le coura
ourage et la foi suffiront ici pour assurer votre triomphe. Vous êtes
chrétiens
! Réjouissez-vous donc d’être nés dans des jours
e. Apprenez aux générations à venir, qu’intrépides dans leur foi, les
chrétiens
peuvent braver les menaces d’une puissance impie,
mon troupeau, les infidèles s’écrieront : Qu’il est grand le Dieu des
Chrétiens
! Des hommes il sait faire des anges ; il les élè
s enfants qu’il croyait morts, combattu toute sa vie pour la religion
chrétienne
, reconnaît sa fille dans le palais d’un prince mu
palais d’un prince musulman. Sa fille ! il a cru qu’elle était restée
chrétienne
, mais les ennemis de la loi l’ont rendue infidèle
r et d’indignation qui devaient se combattre dans l’âme du père et du
chrétien
. Son discours à sa fille est un petit chef-d’œuvr
. Lusignan va le lui faire sentir. C’est le sang de vingt rois tous
chrétiens
comme moi ; C’est le sang des héros défenseur
frir de profanation. Elle est issue de rois, de héros, de martyrs, de
chrétiens
; comment elle seule pourrait-elle rester païenne
errogation. Après les motifs qui doivent décider Zaïre à aimer la loi
chrétienne
, viennent ceux qui vont la porter à haïr les musu
vers, qu’elle l’a renié ; cette circonstance rend son oubli de la loi
chrétienne
plus odieux et plus inexcusable. La description q
s le syllogisme suivant : Tu dois rentrer dans le sein de la religion
chrétienne
, si, en y renonçant, tu as commis un crime abomin
il mourut pour toi. Donc tu dois rentrer dans le sein de la religion
chrétienne
. Quoique un vieillard et un père n’aient guère be
aient des hommes chargés d’iniquités ; en ce temple, il n’y a que des
chrétiens
qui craignent Dieu et ses jugements. Patience, no
st la simplicité d’Homère, ou plutôt c’est celle de la nature. La loi
chrétienne
, qui semblait contredire les afflictions du cœur,
qui va droit au but, l’ardente ferveur d’un apôtre, et une austérité
chrétienne
que tempère l’onction d’une âme évangélique. Écri
qu’ils peuvent faire. » 1. La charité est une vertu religieuse et
chrétienne
. L’humanité est simplement la voix, le mouvement
ferveur religieuse s’alliant à la bravoure chevaleresque, l’héroïsme
chrétien
deviendra l’inspiration des puissantes ébauches q
st le fabliau qui s’annonce, mais furtivement ; car si l’enthousiasme
chrétien
n’a plus la candeur de l’enfance, si l’élan des c
Si Rutebeuf a de nobles accents lorsqu’il songe aux revers des armes
chrétiennes
, et au Saint-Sépulcre resté aux mains des infidèl
le, n’appartenaient pas aux sources germaines, devenues françaises et
chrétiennes
. Ils se rattachaient aux traditions celtiques, do
e, est la récompense de la vertu. Et saint Paul, parlant aux premiers
chrétiens
déjà persécutés, haïs, moqués, leur disait cepend
persécutés, haïs, moqués, leur disait cependant : Notre gloire . Les
chrétiens
avaient une gloire dans les catacombes et les éch
le y sera éternellement. Ainsi, aux jours du moyen âge, on voyait des
chrétiens
quitter leur patrie pour se donner à quelque cath
pur de tout ce qui peut compromettre ou affaiblir en moi l’honneur du
chrétien
. N’y eût-il qu’une âme attentive à la mienne, je
pellerais volontiers un sage qui mérita d’être heureux. Spiritualiste
chrétien
, métaphysicien ingénu, sybarite littéraire, épris
t et le mourant, Le Vieillard et les trois jeunes hommes, les pensées
chrétiennes
de Bossuet sur le même sujet. Vous verrez comment
le qu’en fait le P. Quesnel, dans son beau livre : Bonheur de la mort
chrétienne
: « Celui qui a la foi, loin de regarder la mort
qui veut produire un effet moral, édifier et convertir, une austérité
chrétienne
qui n’a rien d’excessif et tempère par sa douceur
is prédicateur n’a prêché si hautement ni si généreusement les vertus
chrétiennes
. Il est d’une force à faire trembler les courtisa
le crois, avec les illusions antiques. Après la lumière que la morale
chrétienne
a répandue sur les plaies de notre cœur et sur le
triste et d’amer se répandra sur nos gaietés mêmes. En cessant d’être
chrétiens
, nous ne deviendrons pas païens. Il n’y a pas de
être quelque chose de mieux, je veux dire de vrais sages et de vrais
chrétiens
. Quels bons moments que ceux que l’on passe avec
gue parvenue à sa maturité. Ses principaux ouvrages sont : le Socrate
chrétien
, où une teinte antique relève la beauté de la mor
s enseigne tout ce qu’il est nécessaire que nous apprenions. Socrate
chrétien
, discours Ier. De la conduite de Dieu dans les
aux nues Balzac et Voiture. Admis dans la congrégation de la doctrine
chrétienne
, puis professeur de rhétorique à Narbonne, où il
rgueilleuse qui est souvent contraire à l’humilité et à la simplicité
chrétienne
, et qui, laissant souvent la vérité pour le menso
l y a là des pages qui rappellent Poussin et Lucrèce, mais un Lucrèce
chrétien
, comme l’attestent ses Poëmes évangéliques où abo
nscience. Au sentiment de l’art antique il a su allier celui de l’art
chrétien
. Homère et l’Évangile furent ses maîtres. Ajouton
angue parvenue à sa maturité. Ses principaux ouvrages sont le Socrate
chrétien
, où une teinte antique relève la beauté de la mor
can5 fait de leur butin ; bien qu’encore depuis, vivant sous les lois
chrétiennes
, ils s’obligeassent par serment de prendre des vi
ces premières assises du monument qu’il voulait élever à la religion
chrétienne
, on peut apercevoir quelle en eût été la grandeur
très grand nombre d’années. Mais, pour détourner encore davantage les
chrétiens
des homicides volontaires, elle a puni très sévèr
e se faire justice à eux-mêmes ; et c’est par son esprit que les rois
chrétiens
ne se la font pas dans les crimes même de lèse-ma
ôt de la part de Dieu. Est-ce par grimace et par feinte que les juges
chrétiens
ont établi ce règlement ; et ne l’ont-ils pas fai
eure de la justice ne fût contraire aux sentiments intérieurs que des
chrétiens
doivent avoir ? Supposez que ces personnes publiq
urent, quelles solides qualités d’un cœur droit, généreux et vraiment
chrétien
ne joint-elle pas ? On peut dire que ses lettres
3). Anne de Gonzague116 convertie par une vision. En cet état,
chrétiens
, où la foi même est perdue, c’est-à-dire où le fo
grâces, et ne tenait à Jésus-Christ par aucun lien ? qu’y restait-il,
chrétiens
, si ce n’est ce que dit saint Augustin ? Il resta
porte141. D’où vient une dureté si étonnante ? Je ne m’en étonne pas,
chrétiens
; d’autres pauvres plus pressants et plus affamés
pas, mais ils arrachent. Ô Dieu ! quelle violence ! Représentez-vous,
chrétiens
, dans une sédition, une populace furieuse, qui de
répété que Bourdaloue avait fait entendre le premier, dans la chaire
chrétienne
, une raison toujours éloquente : c’est une grave
Or Jésus-Christ a vaincu l’idolâtrie et attiré à lui le monde devenu
chrétien
. Nous devons trembler si notre foi résiste aux ef
s comme un mystère de puissance et de sagesse. Or c’est à cette idée,
chrétiens
, que je m’attache, parce qu’elle m’a paru, d’une
ns l’univers, et que rien ne résiste à sa puissance, c’est une chose,
chrétiens
, si naturelle pour lui, que ce n’est presque pas
e : Et hæc est victoria quæ vincit mundum, fides nostra. Il est vrai,
chrétiens
: Jésus-Christ a souffert, et il est mort. Mais e
’esprit opiniâtre, qui n’en doive être touché. Venons au détail. Non,
chrétiens
, il n’appartient qu’à un Dieu de pénétrer dans l’
eurt, cet Homme-Dieu, faisant des miracles ; et quels miracles ! Ah !
chrétiens
, y en eut-il jamais et jamais y en aura-t-il de p
ans la mort même la souveraineté et l’indépendance de Dieu. Or voilà,
chrétiens
, sur quoi j’ai fondé cette autre proposition, que
. Toutefois ce qu’avait dit l’Apôtre est arrivé : ce qui fut pour les
chrétiens
de ce temps-là un point de foi a cessé en quelque
veux dire le triomphe de sa croix, le monde converti, le monde devenu
chrétien
, le monde sanctifié par sa croix ; nous le voyons
tré de l’esprit antique et des inspirations supérieures de la sagesse
chrétienne
, Fénelon a laissé d’excellents traités philosophi
; l’Église refleurit, et son ancienne beauté se renouvelle. Là, être
chrétien
, et ne plus tenir à la terre, est la même chose.
a même chose. Là, on n’ose montrer à ces fidèles enflammés nos tièdes
chrétiens
d’Europe, de peur que cet exemple contagieux ne l
om de fidèles que pour le flétrir et le profaner ? Lâches et indignes
chrétiens
, par vous le christianisme est avili et méconnu.
nne, dès qu’on la trouve ou inutile ou ennuyeuse. Est-ce donc là être
chrétien
? Allons, allons dans d’autres terres, où nous ne
de Jésus-Christ. Ô Évangile ! est-ce là ce que vous enseignez ? Ô foi
chrétienne
! vengez-vous ; laissez une éternelle nuit sur la
être, par une heureuse alliance de la sagesse antique et de la piété
chrétienne
, d’assainir les cœurs aussi bien que d’éclairer l
s282, et qu’il n’est pas permis à un honnête homme, encore moins à un
chrétien
, de se livrer à l’inaction et à la mollesse, voic
rfections et ses fautes. Corneille mourut le 30 septembre 1684. Le
chrétien
à son Dieu. Parle, parle, Seigneur, ton servi
Le flux et le reflux… Liv. III, ode I. Appel aux rois
chrétiens
contre les Turcs774. Ô honte ! ô de l’Europe i
’aumône, et traduites par M. Villemain dans le Tableau de l’éloquence
chrétienne
au quatrième siècle, in-12, 1854, p. 175 et suiv.
gment, généralement regardé comme un des chefs-d’œuvre de l’éloquence
chrétienne
, suffirait pour justifier l’admiration que madame
du troisième siècle, dit M. Villemain dans le Tableau de l’éloquence
chrétienne
au quatrième siècle, l’Église d’Afrique comptait
deux cents évêques qui présidaient dans toutes les villes la société
chrétienne
chaque jour plus nombreuse. » 279. Les Vandales
lus beaux qu’il ait laissés, l’un de ceux où le langage du philosophe
chrétien
atteint à la plus grande élévation. 308. Ce morc
l’éloge qu’il en fait sur les considérations suivantes : « Un orateur
chrétien
, qui a pour but de frapper fortement d’une pensée
é mieux inspiré, comme le remarque Chateaubriand, que par la religion
chrétienne
, prêchent la douceur, la patience, l’indulgence.
core une étude digne d’intérêt. Voltaire, qui a rapproché sa tragédie
chrétienne
. Saint Genest, de Polyeucte, lui a accordé du gén
général. 777. Cf. Virgile. Énéide, l. II, v. 496 et suiv. 778. Les
chrétiens
y remportèrent la victoire en 1176 sur le sultan
is les Sarrasins ou Arabes la rasèrent entièrement, l’an 698 de l’ère
chrétienne
. On en voit encore quelques ruines à trois lieues
hantilli, dans la culture des lettres, et dans la pratique des vertus
chrétiennes
. Ce prince s’étant rendu à Fontainebleau pour voi
tier ; mais ce trop vaste Empire romain fut divisé, l’an 396 de l’ère
chrétienne
, en Empire d’occident, dont Rome fut la capitale,
II, sultan des Turcs, l’an 1463. Rome, aujourd’hui capitale du monde
chrétien
, est le siège du souverain pontife, ou chef de l’
homme social, toutes les vertus de l’honnête homme, et celles du vrai
chrétien
. Tyr, ville de Phénicie, une des plus anciennes
use, Et que ce soit à tort qu’on vous ait accusé ; N’est-il pas d’un
chrétien
de pardonner l’offense Et d’éteindre en son cœur
e la période le rend très harmonieux. Ex. Je porte | en un cœur tout
chrétien
Une flamme | toute divine. (P. Corneille, Polyeuc
s hommes : Qu’aux accents de ma voix la terre se réveille, etc. Le
Chrétien
mourant, de Lamartine : Qu’entends-je ? autour d
et de goût ; préceptes d’Horace et de Boileau ; merveilleux païen et
chrétien
Quelques écrivains modernes (le père Le Bossu,
; il célèbre le merveilleux païen, mais n’approuve pas le merveilleux
chrétien
. La Pucelle de Chapelain, le Clovis de Desmarets
u le Paradis perdu de Milton et il n’a pas compris que le merveilleux
chrétien
est le ressort de la Jérusalem délivrée du Tasse.
poésie. Ce n’est plus qu’un souvenir historique. Quant au merveilleux
chrétien
, bien que Chateaubriand ait brillamment soutenu d
ntéressante, héroïque et merveilleuse (merveilleux païen, merveilleux
chrétien
). 2° Il y a toujours un personnage principal sur
oduit au moyen âge deux cents poèmes populaires consacrés à des héros
chrétiens
et français. Ces poèmes, chantés par nos jongleur
s. Ce caractère ne fait que s’accentuer, au troisième siècle de l’ère
chrétienne
, dans les Églogues de Calpurnius, de Némésien, et
s et dogmatiques de la religion. Les qualités nécessaires à l’orateur
chrétien
, pour porter avec fruit la parole évangélique, so
, et dont il ne nous reste presque rien, mêlée d’érudition païenne et
chrétienne
au seizième siècle, l’éloquence sacrée n’a attein
ntemporaine. Il suffit de rappeler la brillante succession d’orateurs
chrétiens
qui ont illustré la chaire de Notre-Dame et de Sa
re L’oraison funèbre est un discours prononcé du haut de la chaire
chrétienne
pour honorer les morts illustres par leur naissan
. Chez les Grecs, excepté dans l’origine et au premier siècle de Père
chrétienne
, les rhéteurs n’étaient guère que des sophistes q
J.-C.), — celles de Sénèque, de Pline le jeune (ier siècle de l’ère
chrétienne
) ; de Fronton, au iie de Symmaque au ive , et en
ans réplique, écrites avec modération, suivant l’esprit de la charité
chrétienne
. La politesse ne doit pas moins régner dans les o
es deux arts. Longin, né à Athènes dans le troisième siècle de l’ère
chrétienne
, avait composé en grec des Remarques critiques su
u troisième par l’exposition admirable de la naissance de la religion
chrétienne
, des miracles de son auteur, de l’accomplissement
ée, pour devenir jusqu’à la fin des siècles, le centre de la religion
chrétienne
. Après ces preuves tirées des faits, l’auteur ras
es difficultés auxquelles le déiste ne peut répondre ; au lieu que le
chrétien
y trouve la réponse dans la révélation. A l’égard
des poëtes d’ailleurs les plus corrompus du paganisme, avec celle des
chrétiens
. Cette pensée, continue J. B. Rousseau, que la re
ement ; et comme cette vertu est le couronnement de toutes les vertus
chrétiennes
, l’auteur ne pouvoit mieux couronner son Ouvrage,
njustice et tout l’odieux. Il n’y a rien dans ce poëme, dont la piété
chrétienne
puisse s’alarmer. Les principes généraux de la mo
un exemple. Poliencte, dans la tragédie de ce nom, vient dé se faire
chrétien
, et de recevoir le baptême, au moment où l’on va
rsque l’empereur Decius fit publier un édit très-rigoureux contre les
chrétiens
. Lié de la plus étroite amitié avec un chrétien,
rigoureux contre les chrétiens. Lié de la plus étroite amitié avec un
chrétien
, nommé Néarque, il lui témoigna le désir qu’il au
beau-père, qui avoit ordre de la part de l’empereur de persécuter les
chrétiens
, tenta d’abord par des prières, des menaces, et e
ler aux vœux d’une troupe infidelle ! Oubliez-vous déjà que vous êtes
chrétien
? Polyeucte. Vous par qui je le suis, vous en so
t assure ? Quand elle ouvre le ciel, peut-elle sembler dure ? Je suis
chrétien
, Néarque, et le suis tout-à-fait. La foi que j’ai
Ménagez votre vie, à Dieu même elle importe. Vivez pour protéger les
chrétiens
en ces lieux. Polyeucte. L’exemple de ma mort le
est celle de la Jérusalem délivrée, qui intéresse principalement les
chrétiens
, puisque c’est la délivrance du tombeau de Jésus-
poëmes modernes, c’est-à-dire, dans ceux dont l’histoire des peuples
chrétiens
a fourni ou peut fournir le sujet. La raison veut
u’il raconte. S’ensuit-il de-là qu’on puisse introduire dans un sujet
chrétien
les anges, les saints et les démons ? Il y a des
Les anges, les saints et les démons ne doivent paroître dans un sujet
chrétien
que de loin à loin, et sans que le merveilleux qu
nquête de Jérusalem ; les démons excitant un violent orage contre les
chrétiens
, pour leur arracher la victoire qu’ils remportoie
dans une forêt prennent toutes sortes de formes, pour épouvanter les
chrétiens
qui vouloient en couper les arbres ; cette Clorin
n myrthe entr’ouvert, et qui paroît aux yeux de Renaud ; ce vieillard
chrétien
, qui marche sur les eaux, les divise, et conduit
ité ». On peut hardiment faire usage de ce merveilleux dans un poëme
chrétien
, pourvu qu’en l’employant, on garde une certaine
amie, et sort de Jérusalem pendant la nuit pour aller offrir au héros
chrétien
de le guérir de ses blessures. Elle envoie à la t
ité par Armide, tombe entre les mains de cette anchanteresse ; et les
Chrétiens
, privés alors du plus vaillant de leurs guerriers
Herminie se trouvant ensuite dans le camp des Egyptiens, ennemis des
chrétiens
, reconnoît Vafrin, écuyer de Tancrède, et l’espio
iers déguisés en Français, vêtus et armés comme les gardes du général
chrétien
, doivent se jeter dans la mêlée, et enfoncer dans
t les obtenir. La soif, le plus cruel de tous ces fléaux, consume les
Chrétiens
: le tyran de la Judée(a) a infecté toutes les fo
pour terrasser d’autres hommes. Lorsque les nobles efforts du clergé
chrétien
eurent déraciné les pratiques féroces et les supe
urd’hui, Aplanissait sa route et marchait devant lui ; Et des tristes
chrétiens
la foule délivrée Vint porter avec nous ses pas d
ri que des maux de ses frères. Seigneur, depuis ce temps, ce père des
chrétiens
, Resserré loin de nous, blanchi dans ses liens, G
de l’armée des Maures. Au milieu des débris de Carthage, le camp des
chrétiens
offrait l’image de la plus affreuse douleur ; auc
ire la comparaison de la mort du philosophe stoïcien et du philosophe
chrétien
. Plus heureux que Caton, Saint Louis ne fut point
venir. Fénelon. Saint Louis Roi, il est le modèle des rois ;
chrétien
, il est le modèle de tous les hommes. Quel exempl
es étaient chez les anciens ; les vertus divines ne sont que chez les
chrétiens
. Voir d’un même œil la couronne et les fers, la s
souffrir, ne mourir que pour lui : voilà saint Louis, voilà le héros
chrétien
; toujours grand et toujours simple, toujours s’o
comment l’homme peut se transfigurer par la foi et l’amour. Quel cœur
chrétien
pourrait ne pas tressaillir d’admiration en songe
ire bravoure ; c’était à la fois le meilleur chevalier et le meilleur
chrétien
de France : on le vit à Taillebourg et à la Masso
t sans son armée, de peur que son exemple n’autorisât les autres rois
chrétiens
à faire de même. Ils firent mieux : pas un n’y al
alla après lui. Il fut le dernier des rois croisés, des rois vraiment
chrétiens
, des rois pontifes : il en avait été le plus gran
e Renferme en ce moment de peuples éperdus ! Le musulman, le juif, le
chrétien
, l’infidèle, Devant le même Dieu s’assemblent con
re ; que les inconnus même appellent, mon père ; aux pieds duquel les
chrétiens
vont répandre leurs aveux les plus intimes, leurs
les, aux fêtes, on accourt en grande hâte près du ministre sacré : un
chrétien
louche à ses derniers moments ; il va mourir, et
eligion est aujourd’hui ce qu’elle fut à son origine. Il y a moins de
chrétiens
, mais les chrétiens ne sont pas changés. Les plus
hui ce qu’elle fut à son origine. Il y a moins de chrétiens, mais les
chrétiens
ne sont pas changés. Les plus pures vertus, des v
te, on l’interroge, et elle répond par un petit tintement qu’elle est
chrétienne
et veut sonner pour Dieu. Pour qui encore ? car e
êler aux vœux d’une troupe infidèle ! Oubliez-vous déjà que vous êtes
chrétien
? Polyeucte. Vous par qui je le suis, vous en sou
t assure ? Quand elle ouvre le ciel, peut-elle sembler dure ? Je suis
chrétien
, Néarque, et le suis tout à fait ; La foi que j’a
Ménagez votre vie, à Dieu même elle importe : Vivez pour protéger les
chrétiens
en ces lieux. Polyeucte. L’exemple de ma mort les
les : Et nunc, Reges, intelligite ; erudimini, qui judicatis terram.
Chrétiens
, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme,
qu’il n’y a point de paroles capables de l’exprimer. » Vous attendez,
chrétiens
, quel sera le réveil d’un sommeil si doux et si m
d’honnêtes gens, j’en ai honte. Finissons. Fénelon. L’Éloquence
chrétienne
Les philosophes de la Grèce énoncèrent dans l
leurs on m’accuse de vous avoir encouragé à écrire contre la religion
chrétienne
, c’est vous qui me faites des reproches, et qui a
re, qui ne peut être réellement produite que par une amitié chaste et
chrétienne
! « Nous aspirions tous deux également à la scien
la foi rassure, Regarde sans pâlir le crucifix de bois Que la vierge
chrétienne
a saisi de ses doigts : Et l’eau sainte, et le bu
ton sein à jamais absorbe ma pensée. Lamartine. Profession de foi
chrétienne
J’aime la pauvreté, parce que Jésus-Christ l’
, l’immensité de son ambition morale. On a souvent mis l’œuvre morale
chrétienne
en regard de celle des grands hommes qui ont auss
abli une discipline ; ils ont fondé des écoles ou des sectes. L’œuvre
chrétienne
a été tout autre. Jésus-Christ n’est pas un philo
destinée humaine ? Et cette ambition n’a pas été chimérique ; l’œuvre
chrétienne
a été poursuivie et se poursuit dans le monde ave
u nom et avec les seules armes de la foi et de la liberté que l’œuvre
chrétienne
a commencé à conquérir l’homme et le monde. Et au
uvais penchants. Une différence complète distingua toutefois le monde
chrétien
du monde qui l’avait précédé, Dans l’antiquité pa
lainte ou dans le soulèvement. Il n’en fut pas ainsi dans la religion
chrétienne
. Sans doute il y eut, il y a encore des esclaves.
évêques, des moines, des prédicateurs, pour faire retentir l’égalité
chrétienne
aux oreilles des puissants. Malgré cet ennoblisse
tent ; leurs travaux produisent des systèmes, des écoles. La religion
chrétienne
est une œuvre pratique, non une étude scientifiqu
n le langage des hommes de guerre, la base d’opération de la religion
chrétienne
; c’est sur cette base qu’elle engage la lutte mo
oint à l’indigence. — Qu’il y a loin de ce froid égoïsme à la charité
chrétienne
! Eh quoi ! l’homme est-il donc si sensible aux d
songèrent qu’à se mettre par la fuite à l’abri de la contagion ; les
chrétiens
, alors si cruellement persécutés, prirent soin de
et idolâtres ; et se vengèrent de leurs ennemis, comme se vengent les
chrétiens
, en s’immolant pour eux. Combien l’histoire de l’
aque jour de semblables parmi nous. Lamennais 10. L’Éloquence
chrétienne
Les anciens n’ont connu que l’éloquence judic
mpagne de Rome. On n’a pas compté moins de soixante de ces cimetières
chrétiens
, et les circonvallations qu’ils forment autour de
’ouvrage des anciens. Mais au-dessous ou à côté de ces carrières, les
chrétiens
ont eux-mêmes creusé dans le tuf granulé, d’autre
-les, ou meurs. POLYEUCTE. Je suis
chrétien
. FÉLIX.
mpie ! Adore-les, te dis-je ; ou renonce à la vie. POLYEUCTE. Je suis
chrétien
. FÉLIX. Tu l’es ? Ô cœu
ouronne ! Roi, je ne le veux pas. FRANÇOIS DE PAULE. Mais tu le dois,
chrétien
. LOUIS. Je me suis repenti, c’est assez. FRANÇOIS
ire, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disant : « Chiens de
chrétiens
! » Ne pouvant avilir l’esprit, on se venge en le
eur des prophètes hébreux, et l’imagination véhémente de ces orateurs
chrétiens
du ive siècle, dont la voix avait retenti au mil
ses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où vient cela,
chrétiens
? C’est que Paul a des moyens pour persuader que
gnorer l’antiquité païenne, et qui naquit sur les tombes des premiers
chrétiens
, Bossuet semble l’avoir créé, tant il se l’est re
lors, du sein de cette ruine et de cette cendre, il fait sortir l’âme
chrétienne
, qui prend son vol vers son créateur. M. Patin
ait dans cette grande ville, et conclut qu’il fallait que la religion
chrétienne
fût toute sainte et toute miraculeuse de subsiste
t, mais très-digne de lui être comparé, quand il parle de la religion
chrétienne
(demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce liv
me. J’ambitionne votre estime, non-seulement comme auteur, mais comme
chrétien
. Je suis, mon révérend père, et je ferai professi
ne se fait pas chercher ; il se montre tout vivant dans cette société
chrétienne
qui vous environne, il est devant vous, il vous p
sont dissipés les miens. Il vous manque si peu pour être un excellent
chrétien
, il vous manque seulement un acte de volonté : cr
endra ajouter sa douceur infinie à votre prospérité. Soyez heureux et
chrétien
, c’est le vœu de votre ami. Ozanam. Folie
but de nos travaux, de nos entreprises, de nos dévoûments mêmes ? Le
chrétien
ne connaît qu’un seul but infaillible et nécessai
tes, de dénoncer l’aumône comme un des détestables abus de la société
chrétienne
. Car, disent-ils, l’aumône insulte le pauvre, pui
ez-vous la preuve ? Qu’est-il sorti du christianisme et de la société
chrétienne
? La liberté moderne, les gouvernements représent
adation profonde, là une tyrannie sans bornes. Au contraire, l’Europe
chrétienne
est le berceau de la liberté ; et si c’était ici
et la philosophie moderne est essentiellement la fille d’une société
chrétienne
. Je fais donc profession de croire que les grande
re, selon moi, toute vraie philosophie est en germe dans les mystères
chrétiens
. V. Cousin. Discussion entre M. Cousin et
Ma raison révoltée Essaye en vain de croire et mon cœur de douter, Le
chrétien
m’épouvante, et ce que dit l’athée, En dépit de m
vous sur vos tombeaux. Venez, rhéteurs païens, maîtres de la science,
Chrétiens
des temps passés et rêveurs d’aujourd’hui ; Croye
e l’Imitation de Jésus-Christ. 113. Les Méditations sur la religion
chrétienne
. (Mich. Lévy édit.) 114. Manichéisme, qui admet
sion des esprits cultivés, M. Walckenaer a cité un recueil de Poésies
chrétiennes
et diverses, formé par Loménie de Brienne et par
épeint en traits ineffaçables cette époque de transition où l’élément
chrétien
envahissait la société romaine, et où l’élément p
rtus morales, politiques, et quelquefois même les plus grandes vertus
chrétiennes
. De tous ses personnages il fait des types mervei
d’un cœur païen toute la profondeur et toute l’efficacité du repentir
chrétien
. La coupable n’attire sur elle ni colère ni indig
Sa femme ne dit plus rien ; Elle enterra vers et prose Avec le pauvre
chrétien
. En cela je plains son zèle, Et ne sais au par-d
ce Peu connus, comme je le pense, Mais dans le tribunal
chrétien
Tenus pour fort hommes de bien Et p
ticulier pour les rôles forts et terribles. Elle fut appelée tragédie
chrétienne
, et jouée souvent à la place de Polyeucte. La Har
Le principal personnage de la pièce, Guzman, est le type du véritable
chrétien
. Aussi Alzire est-elle la pièce réellement chréti
type du véritable chrétien. Aussi Alzire est-elle la pièce réellement
chrétienne
de Voltaire. L’émotion y pénètre l’âme d’un bout
taire de retirer sa tragédie de Mahomet comme contraire à la religion
chrétienne
. Il la dédia au pape Benoît XIV, Lambertini, homm
sa vie, Gresset rompit avec les philosophes et revint aux sentiments
chrétiens
qu’il n’aurait jamais dû oublier ; mais il ne ret
is au fer de l’oppresseur ! C’est là qu’ils se cachaient, et les
chrétiens
fidèles Que la Religion protégeait de ses ailes,
la foi rassure, Regarde sans pâlir le crucifix de bois Que la vierge
chrétienne
a saisi de ses doigts, Et l’eau sainte, et le bui
vous bénira, grand’mère, Dieu vous bénira. » Le Juif errant.
Chrétien
, au voyageur souffrant. Tends un verre d’eau sur
cte quand il ne s’agit pas de l’Italie pontificale ou d’autres sujets
chrétiens
qu’il aborde toujours avec prévention. La pièce i
crainte, de l’intérêt ou de l’ambition. Le jeune Diacre ou la Grèce
chrétienne
. Messénienne (1824). Entre le mont Evan et le
. Assis dans un esquif, l’œil tourné vers le bord, Un jeune homme, un
chrétien
, glisse sur l’onde amère. Il remplit dans le temp
uples, des cités en cendre. Et tandis que, sous les couteaux, Le sang
chrétien
à longs ruisseaux Inonde la terre où nous sommes,
misères, Amusent de nos pleurs l’oisiveté des cours ; Et nous sommes
chrétiens
, et nous avons des frères. Et nous ex
e poursuit. Notre asile à nous, c’est la tombe ! « Heureux qui meurt
chrétien
! Grand Dieu ! leur cruauté Veut convertir les cœ
libre en ses jours glorieux N’adorait pas encor ta parole éternelle ;
Chrétienne
, elle est aux fers, elle invoque les cieux. Dieu
rançois de Paule. Mais tu le dois,
chrétien
. Louis. Je me suis repenti, c’est assez. Franç
es les plus élevées ; les Élégies, le Vallon, l’Isolement, le Lac, le
Chrétien
mourant, étaient empreintes d’une mélancolie qui
et religieuses, qui, malgré quelques pièces admirables, comme le très
chrétien
Hymne au Christ, sont la reprise malheureuse des
rme cependant de très belles pièces ; telle est l’admirable bucolique
chrétienne
intitulée : la Bénédiction de Dieu dans la solitu
visible et formidable et sous l’influence de cet esprit de mélancolie
chrétienne
et de critique philosophique que nous observerons
on a des pensées et des sentiments, pensées et sentiments sinon d’un
chrétien
, du moins d’un philosophe et d’un spiritualiste.
ombeau, et, dans la partie désignée sous les titres du Cycle héroïque
chrétien
et des Chevaliers errants, le Parricide, le Maria
de plus original, de plus élevé, de plus poétique et souvent de plus
chrétien
. Par un autre contraste, qu’on ne peut s’empêcher
ses, les effusions d’un mysticisme à moitié philosophique et à moitié
chrétien
, les pensées d’art, les souvenirs d’enfance, les
n de sa plus grande force, — qu’il veut redevenir, qu’il est redevenu
chrétien
. Le dernier recueil de Musset, malgré d’incompara
eu, et apprend à goûter les sublimes pensées de vertu et d’immolation
chrétienne
. Les Idylles héroïques sont des dialogues avec to
une renommée égale à son mérite. C’est un poète de grande inspiration
chrétienne
. Son principal mérite est d’avoir naturalisé dans
tières, celui de ses recueils qui contient le plus de pièces vraiment
chrétiennes
. Tout n’y est pas égal, mais on trouve là quelque
i, je l’aperçois ; À genoux, mes amis ! et saluons la croix ! » Oui,
chrétiens
, louez Dieu ! Devant ce cap du monde, Dont la crê
renant la tragédie d’Agnès de Méranie. Il fait quelquefois parler des
chrétiens
du douzième siècle comme des libres penseurs du d
traignant le sceptre et le glaive à s’humilier sous le joug de la foi
chrétienne
. On rencontre dans ce drame des scènes fortes, ém
1, il inséra une paraphrase du psaume xvii dans un Recueil de Poésies
chrétiennes
. En 1694, infirme et converti, il traduisit le Di
s’en étonnaient-ils, et en faisaient des proverbes. Ils parlaient des
chrétiens
comme de personnes travaillées d’une mélancolie i
ang des martyrs a été fertile, et la persécution a peuplé le monde de
chrétiens
. Les premiers persécuteurs, voulant éteindre la l
bien qu’ils se soient vantés d’avoir purgé la terre de la nation des
chrétiens
, d’avoir aboli le nom chrétien en toutes les part
avoir purgé la terre de la nation des chrétiens, d’avoir aboli le nom
chrétien
en toutes les parties de l’empire, l’expérience n
ioclétien : « Les tyrans passent, mais la vérité demeure. » (Socrate
chrétien
, Disc, iii, Balzac26.) Les réformateurs N’e
, on trouvera cette raisonnable médiocrité112, que demande une morale
chrétienne
, qui a pour but d’instruire, et ne se met pas en
gue que parleront les maîtres. Ses Pensées sont inspirées par une âme
chrétienne
, éprise du vrai, et dévouée au bien de l’humanité
un seul qui ne doive le chérir comme un père : c’est ce qui me ravit,
chrétiens
; c’est en quoi la majesté des rois me semble ent
cet esprit ouvrier504 qui a fait le monde505 ? Que s’il en est ainsi,
chrétiens
, qui ne voit que toute la nature conjurée ensembl
les savants, les gens de littérature, les beaux esprits. A la vérité,
chrétiens
, ils sont dignes d’être distingués des autres, et
neur, pourvu, que les morsures soient ingénieuses : tant il est vrai,
chrétiens
, que la vanité corrompt tout, jusqu’aux exercices
s aux autres, » disait autrefois saint Jérôme527. Non, je ne le puis,
chrétiens
, je ne puis jamais me fier à la seule raison huma
s ! l’orgueil le fait rentrer en soi-même. Et n’est-ce pas l’orgueil,
chrétiens
, qui a retiré tant de philosophes du milieu de la
longtemps dissipée ? Ce sera sans doute la loi de Dieu et l’humilité
chrétienne
. Les railleurs Hommes doctes et curieux, si
olontés ne reçoit pas la loi de leurs mouvements. Voulez-vous savoir,
chrétiens
, quand Dieu se plaît de parler ? quand les hommes
eçoivent d’en haut ce que méritent les autres : Aimez donc la vérité,
chrétiens
, et elle vous sera annoncée ; ayez appétit de ce
rps immobile, là elle le secoue par le tremblement. Pitoyable vanité,
chrétiens
! c’est la maladie qui se joue, comme il lui plaî
aux nues Balzac et Voiture. Admis dans la congrégation de la Doctrine
chrétienne
, puis professeur de rhétorique à Narbonne, où il
rgueilleuse qui est souvent contraire à l’humilité et à la simplicité
chrétienne
, et qui, laissant souvent la vérité pour le menso
qui va droit au but, l’ardente ferveur d’un apôtre, et une austérité
chrétienne
que tempère l’onction d’une âme évangélique. Écri
enflure de l’orgueil, non-seulement corrompt le mérite de la sévérité
chrétienne
, mais qu’il en détruit même la substance. Qu’il e
é qui ressemblait à une monomanie. Honnête homme de la vieille roche,
chrétien
fervent, ambitieux de grandes choses et réduit à
dignes d’être achevées dans le monde des purs esprits. Spiritualiste
chrétien
, écrivain épris de la perfection, ami et mentor d
bonté, et nous donne la force et le courage de la supporter en vrais
chrétiens
: nous approchons des jours mauvais, des jours qu
pliée autour du mât, la croix qui la surmonte, tout annonce un navire
chrétien
. Il approche, il aborde ; et tandis que les escla
uillé par Mahomet, et nous venons chercher un asile dans cette Europe
chrétienne
qui n’a pas voulu nous secourir. Des funéraill
Elle avait la dignité d’une reine et le paisible recueillement d’une
chrétienne
. L’échafaud avait été dressé dans la salle basse
ts les plus criminels et la dépravation la plus honteuse ? L’humilité
chrétienne
, si rare, et qui paraît si ridicule à ceux qui s’
auditoire qui avait lu Chateaubriand, Lamartine et Victor Hugo. Le
chrétien
Il y a dix-huit siècles, Néron régnait sur le
dai son nom. Il me répondit comme il l’avait fait à César : « Je suis
chrétien
. » Les nations élues Il y a des peuples dan
’accusera son passage d’avoir été un malheur. Ah ! messieurs, je suis
chrétien
, et pourtant je m’attendris à ce nom d’honnête ho
dans sa plénitude. Saluez-le donc en passant, et qui que vous soyez,
chrétien
et même saint, aimez entendre à votre oreille, et
ais le retranchement de l’inutile, est la grande route du détachement
chrétien
comme de la force antique. Quiconque est arrivé à
, et deux ou trois hommes qui, dans l’occasion, auraient tiré sur des
chrétiens
avec autant de sang-froid que sur des perdrix, se
e le rejoindre, oui certains, grâce à l’humble et tremblant espoir du
chrétien
, et redisant volontiers, comme lui, d’une foi brû
te maison du faubourg, il osait dire, lui, si accoutumé à la pratique
chrétienne
du mécontentement intérieur : « Ici, je jouis de
st en péril, jeunes élèves, c’est la doctrine éminemment française et
chrétienne
qui voit en vous des intelligences libres appelée
pensées toute une philosophie de l’art, mais esquissée par un Platon
chrétien
. 506. Comparer au roseau pensant de Pascal. 507
583. Bossuet revient souvent sur cette idée : « Si vous voulez voir,
chrétiens
, des peintures de ces gouffres éternels, n’allez
charger du supplice. 584. Bossuet eut aussi le génie de la charité
chrétienne
. 585. Monseigneur. Il s’adresse au grand dauphi
u’ils peuvent faire. » 649. La charité est une vertu religieuse et
chrétienne
. L’humanité est simplement la voix, le mouvement
On lui donna celui d’Amable 673. Cela n’est pas d’un Homme et d’un
chrétien
suffirait. 674. Cette lettre fait honneur à mada
trop simple. 870. Fénelon a réconcilié la muse païenne avec la muse
chrétienne
. Comparez ses Champs-Élysées avec ceux de Virgile
e tous ses discours. Massillon est le plus philosophe de nos orateurs
chrétiens
. Dans un siècle éminemment religieux, on a pu lui
te scène se renouvelle chaque jour sur l’humble grabat du dernier des
chrétiens
qui expire. Enfin le moment suprême est arrivé :
autour de sa couche ; car ils croient qu’il sommeille encore, tant ce
chrétien
a passé avec douceur. Chateaubriand. 921. Comp
aux nègres, qui sont des hommes, doivent paraître indignes de nations
chrétiennes
. 1038. Conventions signifie traités dont les ar
istesse : « Ce fut alors que je sentis la supériorité de la religion
chrétienne
sur toutes les religions du monde. Quelle profond
premier n’est jamais plus pathétique que quand il célèbre les vertus
chrétiennes
; et le morceau le plus éloquent qu’ait écrit l’a
mort qui servait d’interprète à la mort m’ont frappé ; je suis devenu
chrétien
. Ma conviction est sortie du cœur ; j’ai pleuré e
mais plus pathétique et plus touchant que quand il célèbre les vertus
chrétiennes
; et le morceau le plus éloquent qu’ait écrit l’a
par ses questions pressantes, émeut en nous le sentiment religieux et
chrétien
. 1818. Pascal possédait à fond l’œuvre de Montai
aisant, d’austères et fortes leçons. Il a eu ses heures de mélancolie
chrétienne
. 1826. « Il ne suffit pas d’être éclairé et bo
et entraîné la ruine et la mort du favori. Où en serait le philosophe
chrétien
avec une pareille conséquence ? Combien de méchan
ui donne un si grand avantage à la simplicité touchante du philosophe
chrétien
, sur toute la pompe poétique de l’écrivain profan
i ne trouvera point de rivaux : c’est enfin le génie de l’immortalité
chrétienne
qui inspirait Young, comme c’est le sentiment et
plus d’affinité avec son génie ; il donne à ses emprunts une couleur
chrétienne
, et accommode ses réminiscences mythologiques aux
égal : Voilà bien des enfants réduits à l’hôpital. Plaintes d’un
chrétien
2 Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouv
rdre patience : la colère froide se trahit. 1. Elle a une conscience
chrétienne
. 2. Ironie sèche : il devine une autre raison, e
rique religieux, dont l’origine est très ancienne, a chez les peuples
chrétiens
un double objet : celui de proposer à l’admiratio
le compte qu’il en faut rendre ». C’est sur cette distinction, aussi
chrétienne
que philosophique, qu’est fondé tout le discours.
oquence ; mais il puisa surtout aux sources nouvelles que la religion
chrétienne
a ouvertes aux lettres. Son style est plein de l’
e livre par excellence, et les grandes inspirations de la littérature
chrétienne
; lorsqu’on aura étudié les chefs-d’œuvre des plu
t fausse, elle est du moins très mal exprimée. Elle est beaucoup plus
chrétienne
et plus vraie, cette pensée d’un jeune poète de n
-t-elle remercié Dieu de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite
chrétienne
; l’autre… messieurs, qu’attendez-vous ? peut-êtr
persécutez ; Et soyez l’instrument de nos félicités : Celle d’un vrai
chrétien
n’est que dans les souffrances, Les plus cruels t
escrivait à un aspirant au sacerdoce, nous osons le conseiller à tout
chrétien
qui veut devenir orateur ou poète : Divinas scri
lege ; imo nunquam de manibus tuis sacra lectio deponatur. 254. Le
chrétien
doit aussi étudier le type du beau dans les auteu
jeune élève étudie en même temps nos écrivains sacrés et nos auteurs
chrétiens
, les dieux et les héros d’Homère et de Virgile lu
n préparé le dénouement dans le récit du sacrifice d’Eudore. Ce jeune
chrétien
a souffert la torture et va souffrir la mort, lor
nverse les aigles, et, se tournant vers les martyrs, il dit : Je suis
chrétien
! La résolution d’Eudore est ignorée jusqu’à la
ppelé le héros à ses devoirs et qu’il est suivi de ces mots : Je suis
chrétien
! le cœur oppressé bat à l’aise et le lecteur tri
ici une composition d’une médiocre étendue, où l’on expose une vérité
chrétienne
, un devoir, une vertu. Les qualités principales d
le voir dans une ode de Klopstock, l’Ange du pur amour. Toutefois le
chrétien
devra chercher dans les psaumes de David de vrais
e et Virgile ont tiré le merveilleux de leurs poèmes. Mais les poètes
chrétiens
doivent puiser dans les croyances et les merveill
. Il y a plusieurs précautions à prendre dans l’emploi du merveilleux
chrétien
. Il faut d’abord se garder de dénaturer les croya
ncieuses et frivoles, n’offrent aucun véritable intérêt à la jeunesse
chrétienne
. 530. Les principaux poètes comiques sont, chez l
que aucun de leurs ouvrages qui puisse être étudié par le littérateur
chrétien
. On peut aussi compter parmi les élégies, l’Églog
êler aux vœux d’une troupe infidèle ! Oubliez-vous déjà que vous êtes
chrétien
? POLYEUCTE. Vous, par qui je le suis, vous en so
t assure ? Quand elle ouvre le ciel, peut-elle sembler dure ? Je suis
chrétien
, Néarque, et le suis tout à fait, La foi que j’ai
Ménagez votre vie : à Dieu même elle importe. Vivez pour protéger les
chrétiens
en ces lieux. POLYEUCTE. L’exemple de ma mort les
n’est-elle pas un modèle qu’il faut méditer continuellement ? 254. Le
chrétien
doit-il aussi étudier les auteurs païens ? 255. Q
. Quelles sont les précautions à prendre dans 1’emploi du merveilleux
chrétien
? 455. À combien d’objets se rapportent les règle
la part de plus en plus restreinte faite au dogme dans la prédication
chrétienne
au profit de la morale purement naturelle. Les se
te ce trait d’origine ; il est composé dé jeunes poètes royalistes et
chrétiens
, an moins par le sentiment : Alphonse de Lamartin
pter cette étrange séparation, établie par Boileau, entre une société
chrétienne
et une poésie qui resterait mythologique et païen
caractère nouveau s’accusait encore plus chez Massillon. Si la parole
chrétienne
y perdait quelque chose de son autorité doctrinal
in. Comme, dans le temps que l’empire s’affaiblissait, la religion
chrétienne
s’établissait, les chrétiens reprochaient aux paï
e l’empire s’affaiblissait, la religion chrétienne s’établissait, les
chrétiens
reprochaient aux païens cette décadence, et ceux-
aïens cette décadence, et ceux-ci en demandaient compte à la religion
chrétienne
. Les chrétiens disaient que Dioclétien avait perd
dence, et ceux-ci en demandaient compte à la religion chrétienne. Les
chrétiens
disaient que Dioclétien avait perdu l’empire en s
ujet de l’autel de la Victoire, fit le plus valoir contre la religion
chrétienne
des raisons populaires, et par conséquent très ca
alvien fit son livre où il soutint que c’étaient les dérèglements des
chrétiens
qui avaient attiré les ravages des Barbares152 ;
ts du christianisme, à juger l’histoire des premiers siècles de l’ère
chrétienne
aussi peu digne d’être écrite « que celle des our
tentions sévères, mais des interprétations très douces ; la théologie
chrétienne
, et les images du paganisme ; enfin la réunion la
s à l’âme une impression religieuse, et nous faisons hommage au culte
chrétien
de tous les chefs-d’œuvre que les autres cultes o
e Chateaubriand. Sans doute, dans le retour de Chateaubriand à la foi
chrétienne
il ne faut pas diminuer la part qui est due à des
ontesté. On reprocha à l’auteur d’avoir transporté dans un sujet tout
chrétien
les procédés de l’épopée antique ; mais, cette ré
dans sa décadence, du monde barbare dans sa rudesse, et de la société
chrétienne
dans sa première innocence. A partir de 1815, la
rêtent. Il se fait un profond silence : César, du milieu de la légion
chrétienne
, ordonne d’élever la cotte d’arme de pourpre, sig
l’histrion, l’incendiaire et le parricide : semblable à ces premiers
chrétiens
de l’Égypte qui, au péril de leurs jours, pénétra
ent, se désespère comme s’il était éternellement abandonné418. Faible
chrétien
, sursum corda ! attache à ton cœur les ailes de l
main : dans l’étude sur Pindare, comme dans le Tableau de l’Éloquence
chrétienne
au quatrième siècle, dans les Souvenirs contempor
Elle avait la dignité d’une reine et le paisible recueillement d’une
chrétienne
. L’échafaud avait été dressé dans la salle basse
en la main sans que le cœur en soit touché, et rien ne sied mieux an
chrétien
qui va mourir que l’image de son Rédempteur. » Lo
plus précieuse est celle qui est consacrée à l’étude des populations
chrétiennes
de l’Orient. Mais le plus durable honneur de Sain
e s’étonnera pas que notre siècle ait vu se développer dans la chaire
chrétienne
une prédication d’enseignement et de controverse.
s pas été subordonnés aux exigences d’une thèse à soutenir. La chaire
chrétienne
11e pouvait échapper à ces influences. Là aussi,
nférences de Lacordaire sont moins une démonstration directe du dogme
chrétien
que le large développement du mot de l’Évangile :
a laissé une série de lettres adressées à des jeunes gens sur la vie
chrétienne
, et nulle part on n’apprend mieux à connaître ce
ots. On ne tombe pas sans déchoir. Lettre à un jeune homme sur la vie
chrétienne
. Sainte-Beuve.(1804-1869.) Né à Boulogne-s
rivages, et qui a pu apporter quelque invisible semence. L’antiquité
chrétienne
, littérairement imparfaite, moralement supérieure
amuser de propos délibéré : contes moraux, contes philanthropiques et
chrétiens
, contes humoristiques, etc. Mme Guizot, Bouilly,
stianisme. Alzire, vaincue par les instances de son père, s’est faite
chrétienne
, et, malgré ses vives répugnances, devient la fem
cet hymen entraîné ma faiblesse. Ta criminelle amante, aux autels des
chrétiens
, Vient presque sous tes yeux de former ces liens.
combats, Les pleurs que j’ai trois ans donnés à ton trépas : Que, des
chrétiens
vainqueurs esclave infortunée, La douleur de ta p
cœur ? ALZIRE. Quand Montèze, Alvarez, peut-être un dieu vengeur, Nos
chrétiens
ma faiblesse, au temple m’ont conduite, Sûre de t
emi, sois libre et te souvien Quel fut, et le devoir, et la mort d’un
chrétien
. (A Montèze, qui se jette à ses pieds.) Montèze,
passé mes crimes. Instruisez l’Amérique ; apprenez à ses rois Que les
chrétiens
sont nés pour leur donner des lois. (A Zamore.) D
: Que du Ciel, par vos soins, le jour luise sur eux. Aux clartés des
chrétiens
si son âme est ouverte, Zamore est votre fils, et
. ZAMORE. Je demeure immobile, égaré, confondu. Quoi donc ! les vrais
chrétiens
auraient tant de vertu ! Ah ! la loi qui t’oblige
! Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit chère ! Zamore, sois
chrétien
! je suis content ; je meurs. ALVAREZ, à Montèze.
mps fidèle aux vertus de famille dont il eut le modèle sous les yeux.
Chrétien
pratiquant et de mœurs austères, il avait commenc
. Assis dans un esquif, l’œil tourné vers le bord, Un jeune homme, un
chrétien
, glisse sur l’onde amère. Il remplit dans le temp
le poursuit… Notre asile à nous, c’est la tombe ! « Heureux qui meurt
chrétien
! Grand Dieu ! leur cruauté Veut convertir les cœ
libre en ses jours glorieux N’adorait pas encor ta parole éternelle ;
Chrétienne
, elle est aux fers, elle invoque les Cieux. Dieu
veux pas. FRANÇOIS DE PAULE. Roi, je ne le veux pas.Mais tu le dois,
chrétien
. LOUIS. Je me suis repenti, c’est assez. FRANÇOIS
les plus divers aspects et les plus contraires. La foi monarchique et
chrétienne
, la passion de la liberté, l’orgueilleux souvenir
us belle, Mais que sa chute au moins brise la croix rebelle ! Plus de
chrétiens
! allez, exterminez-les tous ! Que Rome de ses ma
niés, Sur la côte on ne voit que soldats ou douaniers. Autrefois, les
chrétiens
pouvaient vivre en Bretagne. Alors, contre tout l
raison révoltée Essaye en vain de croire, et mon cœur de douter ; Le
chrétien
m’épouvante, et ce que dit l’athée, En dépit de m
vous sur vos tombeaux. Venez, rhéteurs païens, maîtres de la science,
Chrétiens
des temps passés et rêveurs d’aujourd’hui ; Croye
éliques (1852) marquaient, chez M. de Laprade, non un retour à la foi
chrétienne
, mais un redoublement de ferveur pour des croyanc
ecit, causa christiani. » Ce fut pour répondre à ces ennemis du culte
chrétien
que saint Augustin composa la Cité de Dieu (427)
, que nous appelons païens, rejetant cette désolation sur la religion
chrétienne
, commencèrent à se répandre contre le vrai Dieu e
e : De Symmaque et de saint Ambroise, dans son Tableau de l’Éloquence
chrétienne
au quatrième siècle. 150. Lettres de Symmaque,
nversé ses statues. Voir, à ce sujet, dans le Tableau, de l’Éloquence
chrétienne
au quatrième siècle, le chapitre sur saint Ambroi
ia dans Sainte-Sophie, et ce fut pour défendre le réfugié de l’Église
chrétienne
que saint Chrysostome prononça le célèbre Discour
tes éloquentes de Lamartine, et fera jaillir du cœur et des lèvres du
chrétien
un acte de foi envers la Providence, qui n’a ento
er Stagiro sont analysés par Villemain dans le Tableau de l’Eloquence
chrétienne
au quatrième siècle, page 155 et suiv. 542. Sain
se croisent de toutes parts, retrouve son chemin grâce aux chants des
chrétiens
qu’il entend tout à coup : « Une harmonie, sembla
ièce, si parfaite de sentiment et d’expression, les beaux vers sur le
Chrétien
mourant dans les Premières Méditations poétiques.
nation au récit des crimes du roi, tempérée par un sentiment de pitié
chrétienne
, s’opposent fort bien au spectacle de l’âme si tr
its, c'est un sentiment que Dieu a mis dans nos cœurs ; or, la morale
chrétienne
nous rend plus parfaits, car elle corrige nos mœu
mœurs et nous porte à aimer les hommes ; donc il faut aimer la morale
chrétienne
. 4° Le sorite est formé de plusieurs propositions
useau, Tourne sans bruit auprès de son berceau. Marie, ô toi que le
chrétien
révère, Ma faible voix s'anime en t'implorant ; T
ercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l'une, de l'avoir fait
chrétienne
, l'autre….. Messieurs, qu'attendez-vous ? peut-êt
au sang qui coule dans tes veines : C'est le sang de vingt rois, tous
chrétiens
comme moi ; C'est le sang des héros, défenseurs d
vivre avec nous-même et avec les hommes qui nous entourent. La morale
chrétienne
, telle qu'elle est présentée dans les livres sain
hérien, Finit sa course vagabonde Par n’être pas même
chrétien
. Rarement à courir le monde On de
onner ? et si cette haute élévation est un précipice affreux pour les
Chrétiens
, ne puis-je pas dire, pour me servir des paroles
ivré son cœur, Ne trouve devant lui que la rage et l’horreur. Le vrai
chrétien
lui seul ne voit rien qui l’étonne, Et sur ce tri
eur des prophètes hébreux, et l’imagination véhémente de ces orateurs
chrétiens
du quatrième siècle, dont la voix avait retenti a
(S. B.) 1. Cela est surtout sensible dans le théâtre. 1. Historien
chrétien
du quatrième siècle. 2. Réponse au discours de r
ses temples, un cours de prédications, formé sur le plan des chaires
chrétiennes
; mais la mort l’empêcha d’accomplir ce projet.
he de sa puissance, est regardée comme le chef-d’œuvre de l’éloquence
chrétienne
. Rien ne tient à côté de cette première partie, p
ment à son caractère. Dans la tragédie de Polyeucte, Sévère parle des
chrétiens
en homme politique ; il est précis : Ils font de
° Jésus-Christ ; Divinité de sa mission. Vol. II, nº 84. — 2° Le vrai
Chrétien
. Vol. II, nº 85. 7° Convenance La Convenanc
rappé par la main de Dieu, se résignant à son sort avec le courage du
chrétien
, et s’avouant heureux d’être appelé au ciel le ve
’ait reproduit l’immense mouvement qu’imprima au monde la prédication
chrétienne
. Toute une civilisation est dans cette croix de b
. Trogue-Pompée, historien romain, fit, vers le commencement de l’ère
chrétienne
, une histoire où il retraçait tout ce qui s’était
uteur inconnu. Tacite, né à Intéramne, près de Rome, l’an 55 de l’ère
chrétienne
se consacra, sous Trajan, à écrire l’histoire. Il
re, et Plutarque, né à Chéronée dans la Béotie, vers l’an 50 de l’ère
chrétienne
, qui, dans ses Vies des hommes illustres, nous a
sus de lui-même, continue son discours par l’exposition suivante : «
Chrétiens
, qu’une triste cérémonie assemble en ce lieu, ne
. Je confondrai quelquefois peut-être le général d’armée, le sage, le
chrétien
. Je louerai tantôt les victoires, tantôt les vert
ait dans cette grande ville, et conclut qu’il fallait que la religion
chrétienne
fût toute sainte et toute miraculeuse de subsiste
t, mais très-digne de lui être comparé, quand il parle de la religion
chrétienne
(demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce liv
s murmurer un bras obéissant ? De même Bossuet, pour faire honte aux
chrétiens
de leur cruauté dans la guerre, invoque l’exemple
douceur. Sainte institution, s’il en fut jamais et qui fait honte aux
Chrétiens
, à qui un Dieu venu au monde pour pacifier toutes
laquelle Bossuet ouvre l’oraison funèbre de la reine d’Angleterre :
Chrétiens
, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme,
que Dieu n’aurait pas couronnées… mais, grâces à J. C., je parle d’un
chrétien
éclairé des lumières de la foi. Il a puisé encor
e de l’imagination et de la mémoire, et avec la sensibilité d’une âme
chrétienne
, a su deviner les gémissements de l’amour paterne
de sur trois grands caractères qui distinguent éminemment la religion
chrétienne
: 1° elle est raisonnable ; 2° elle est glorieuse
use ; 3° elle est nécessaire. Confirmation. 1re Partie. La religion
chrétienne
est raisonnable : En ce qu’elle repose : 1° sur l
es à soumettre les esprits les moins crédules. 2e Partie. La religion
chrétienne
est glorieuse : 1° Par les promesses qu’elle renf
rands modèles qu’elle lui propose à imiter. 3e Partie. La religion
chrétienne
est nécessaire : 1° Parce que la raison de l’homm
ucte, Sévère, avec la précision d’un homme d’État, fait cet éloge des
chrétiens
: Ils font des vœux pour nous qui les persécu
ajoutent un charme littéraire à tous les développements de l’orateur
chrétien
. 4. Sources de développements. — Les moyens d’am
l qui lui demandait ce qu’il avait mérité, le précurseur de la morale
chrétienne
répondit : j’ai mérité d’être nourri aux frais de
ercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite
chrétienne
; l’autre… Messieurs, qu’attendez-vous ? Peut-êtr
n usé, Et que ce soit à tort qu’on vous ait accusé. N’est-il pas d’un
chrétien
de pardonner l’offense Et d’éteindre en son cœur
ateur romain pour Cicéron. Bossuet voulant désigner saint Paul : Un
chrétien
toujours attentif à combattre ses passions meurt
magistrat. Boileau. De même, M. Villemain à propos de l’éloquence
chrétienne
: Le christianisme élevait une tribune où les p
ourmi, est assez peu conforme aux sentiments d’humanité et de charité
chrétienne
; on peut donc supposer à cette fable bien connue
son trône et persécuté par son fils Absalon, avec l’humiliation d’un
chrétien
qui se met des cendres sur le front pour penser à
les, aux fêtes, on accourt en grande hâte près du ministre sacré ; un
chrétien
touche à ses derniers moments ; il va mourir et p
s d’éloges. Saint Louis. Sujet. — Saint Louis est le modèle du héros
chrétien
; humble dans la grandeur, prêt à servir les pauv
il rapporte tout. Développement. — Roi, il est le modèle des rois ;
chrétien
, il est le modèle de tous les hommes. Quel exempl
es étaient chez les anciens ; les vertus divines ne sont que chez les
chrétiens
. Voir d’un même œil la couronne et les fers, la s
souffrir, ne mourir que pour lui : voilà saint Louis, voilà le héros
chrétien
; toujours grand et toujours simple toujours s’ou
ple toujours s’oubliant lui-même. Autre développement. — Quel cœur
chrétien
pourrait ne pas tressaillit d’admiration en songe
ire bravoure ; c’était à la fois le meilleur chevalier et le meilleur
chrétien
de France : on le vit à Taillebourg et à la Masso
ercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite
chrétienne
; l’autre… Messieurs, qu’attendez-vous ? Peut-êtr
sans se soucier de l’approbation des hommes, une charité généreuse et
chrétienne
. » L’énallage est une figure de syntaxe. Elle su
és de morale mondaine, religieuse et politique, Aristippe, le Socrate
chrétien
, le Prince, dans lesquels il trouve souvent la ju
d’un grand ouvrage, qui devait être intitulé Apologie de la religion
chrétienne
; ce sont ces fragments, auxquels on a joint des
, et qu’elle avait été envoyée de Dieu à cet enfant pour consoler les
chrétiens
affligés par les Turcs. Figurez-vous quelle conso
cs. Figurez-vous quelle consolation et quel rapport de cette dent aux
chrétiens
ni aux Turcs938 ! En la même année, afin que cett
in1371 est un des derniers voyageurs qui ait profité de cette coutume
chrétienne
: il allait à Rome, de monastère en monastère, en
r la poitrine une feuille de papyrus portant ces deux mots ; « Eudore
chrétien
. » Le peuple le chargeait d’opprobres. « Où est m
frappèrent le soldat, et quelques jours après il embrassa la religion
chrétienne
. Eudore parvient ainsi jusqu’à l’amphithéâtre, co
nier assaut. Les gladiateurs, selon l’usage1422, voulurent revêtir le
chrétien
d’une robe des prêtres de Saturne. « Je ne mourr
sation en France (1845), Méditations sur l’état actuel de la religion
chrétienne
(1864), et Mémoires pour servir à l’histoire de m
en la main sans que le cœur en soit touché, et rien ne sied mieux au
chrétien
qui va mourir que l’image de son Rédempteur. »
être pas d’égal dans la seconde moitié du xixe siècle1691. Martyrs
chrétiens
Le légat1692 fit donner une de ces fêtes hideu
ères1693.... Une foule exaspérée couvrait les gradins et appelait les
chrétiens
à grands cris. Maturus, Sanctus, Blandine el Atta
es coups, décidait de la mort ou de la vie. L’exaspération contre les
chrétiens
était telle qu’on réclamait contre eux les suppli
ne put tirer de Sanctus qu’un seul mot, toujours le même : « Je suis
chrétien
! » Les deux martyrs semblaient ne pouvoir mourir
ples de la Gaule étaient représentés, allait commencer. L’affaire des
chrétiens
tombait à propos pour en relever l’intérêt et la
urent pompeusement amenés. On leur demandait simplement s’ils étaient
chrétiens
. Sur la réponse affirmative, on tranchait la tête
jour, les combats de gladiateurs furent relevés par des supplices de
chrétiens
. Il est probable qu’on introduisait les victimes
Et ont rempli les champs de meurtre et de carnage. Mais les princes
chrétiens
n’estiment leur vertu Procéder ni de sang ni de g
2482… Comme un roi, comme un père, il vient vous gouverner ; Et, plus
chrétien
que vous, il vient vous pardonner, Tout est libre
s pasteurs, indignes citoyens, Que vous ressemblez mal à ces premiers
chrétiens
, Qui, bravant tous ces dieux de métal ou de plâtr
percés de coups, bénissaient leurs bourreaux2483 ! Eux seuls étaient
chrétiens
, je n’en connais point d’autres ; Ils mouraient p
uit sa fortune et la mienne, Mon Dieu qui me la rends, me la rends-tu
chrétienne
? Tu pleures, malheureuse, et tu baisses les yeux
au sang qui coule dans tes veines ; C’est le sang de vingt rois, tous
chrétiens
comme moi ; C’est le sang des héros, défenseurs d
sois libre, et te souvien2499 Quel fut et le devoir et la mort d’un
chrétien
. (A Montèze qui se jette à ses pieds.) Montèze, A
passé mes crimes. Instruisez l’Amérique ; apprenez à ses rois Que les
chrétiens
sont nés pour leur donner des lois. (A Zamore.) D
: Que du ciel, par vos soins, le jour luise sur eux ! Aux clartés des
chrétiens
si son âme est ouverte, Zamore est votre fils, et
Zamore. Je demeure immobile, égaré, confondu. Quoi donc ! les vrais
chrétiens
auraient tant de vertu ! Ah ! la loi qui t’oblige
; Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit chère ! Zamore, sois
chrétien
; je suis content ; je meurs. alvarez, à Montèze
ernier fils du baron Angelier, Au champ de Roncevaux mort pour la foi
chrétienne
: Permets qu’en ce moment ma main serre la tienne
lèbre écrivain grec, qui vivaient tous deux au second siècle de l’ère
chrétienne
, attribuent la même pensée à Socrate. 599. D’ab
rase, qui veut dire : il n’y avait point de rapport de cette dent aux
chrétiens
ni aux Turcs. 939. Martin Ruland (1532-1611), mé
, sept philosophes ou savants qui vivaient au vie siècle avant l’ère
chrétienne
, et dont les principaux sont Thalès, Bias et Solo
Hippocrate, célèbre médecin grec qui vivait au ve siècle avant l’ère
chrétienne
, et dont le nom est devenu proverbial. 1003. Les
ement délimité. 1297. Hernouten. La secte des Frères Moraves (secte
chrétienne
, répandue dans plusieurs parties de l’Allemagne,
triomphe de Constantin. 1409. Confesseurs : nom donné aux premiers
chrétiens
qui, sans crain [...] supplices, confessaient, av
la mythologie grecque. Le rhéteur latin Apulée (iie siècle de l’ère
chrétienne
) en a fait un épisode de ses Métamorphoses. Notre
t mariés en 1794. 1585. Epictète, philosophe du ier siècle de l’ère
chrétienne
, connu pour l’austérité de ses mœurs et de sa doc
Vous, et non pas nous : allusion à l’accusation proférée contre les
chrétiens
, de tuer des hommes et surtout des enfants pour s
tre littéraire du monde grec) avait pris, au iiie siècle avant l’ère
chrétienne
, ce nom de Pléiade, emprunté à l’astronomie, et q
in Claudien (mort dans les premières années du ve siècle après l’ère
chrétienne
), qui célèbre un vieillard content de son sort et
tiquité, tiré des mimes d’un auteur romain du ier siècle avant l’ère
chrétienne
, Publius Syrus, une collection de maximes morales
aître en Phrygie ou en Thrace vers la fin du viie siècle avant l’ère
chrétienne
et lui attribuaient un certain nombre d’apologues
n Phèdre, qui vécut dans les premières années du ier siècle de l’ère
chrétienne
, il publia cinq livres de fables en vers, imitées
rétendez la défendre, vous l’outragez. 2483. Entendez : les premiers
chrétiens
respectaient le souverain légitime se soumettaien
e, vous vous révoltez contre le vôtre, malgré sa bonté. 2484. Zaïre,
chrétienne
de naissance, mais faite prisonnière dès sa plus
e dernier, prince généreux, a fait rendre la liberté à des chevaliers
chrétiens
, parmi lesquels se trouve un vieillard issu des r
aliers chrétiens, parmi lesquels se trouve un vieillard issu des rois
chrétiens
de Jérusalem, Lusignan, prisonnier depuis vingt a
l s’arrête, frappé de ce pressentiment que peut-être Zaïre n’est plus
chrétienne
. 2486. Sans toi, si je n’avais pas voulu vivre
chinois, qui vivait dans la seconde moitié du vie siècle avant l’ère
chrétienne
. Les philosophes du xviiie siècle ont affecté de
ue Jephté, neuvième juge d’Israël (xiiie ou xiie siècle avant l’ère
chrétienne
), avait fait vœu d’immoler à Dieu, s’il rentrait
romaine, vivait dans les dernières années du vie siècle avant l’ère
chrétienne
. 2859. Tunique, vêtement de dessous qu’on recou
troisième groupe. 2872. Scipion l’Africain (iie siècle avant l’ère
chrétienne
). 2873. Œuvres publiées chez Lemerre, éditeur.
courte et délicieuse idylle d’un poète grec du Ier siècle avant l’ère
chrétienne
. Méléagre : « L’hiver, saison des tempêtes, a dis
fit décider la réunion des États-généraux. Ses conseils de modération
chrétienne
eussent sauvé la France s’ils avaient pu être ent
tres à Mme de Chantal sont un des plus précieux monuments de l’esprit
chrétien
au xvii e siècle. Voilà bien l’intime entretien d
quent chez les peuples Orientaux, plus de douze cents ans avant l’ère
chrétienne
. Celui qui passe pour en avoir été l’inventeur ch
poésie pastorale prit naissance en Sicile, bien longtemps avant l’ère
chrétienne
. Daphnis, dit-on, berger de cette contrée, fut le
tres poésies. Perse, né à Volterre dans la Toscane, l’an 34 de l’ère
chrétienne
, inférieur à Horace pour la grâce et la délicates
ville du royaume de Naples, vers le milieu du premier siècle de l’ère
chrétienne
, fait dans toutes ses satires une guerre ouverte
leur beauté ; telles sont celles-ci que nous offre, l’Ode aux princes
Chrétiens
sur l’armement des Turcs, par le même poète. Com
l’honneur d’appartenir quelque temps à la Congrégation de la Doctrine
chrétienne
. J’y entrai trop jeune et y restai trop peu, pour
dignes d’être achevées dans le monde des purs esprits. Spiritualiste
chrétien
, écrivain épris de la perfection, ami et mentor d
reconnaissance de tous les amis des lettres, mais surtout des lettres
chrétiennes
; d’apprécier toute l’importance de notre œuvre,
s ; » Prêts à nous séparer que la foi nous soutienne, » Et pleurez en
chrétiens
, si ma mort est chrétienne, » Pourquoi vivrais-je
que la foi nous soutienne, » Et pleurez en chrétiens, si ma mort est
chrétienne
, » Pourquoi vivrais-je encore ! Inutile ici bas,
Chapitre premier. Objet de l’Éloquence de la chaire. Le rhéteur
chrétien
avait autrefois rempli sa tâche quand il avait tr
é qui ressemblait à une monomanie. Honnête homme de la vieille roche,
chrétien
fervent, ambitieux de grandes choses et réduit à
ire, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disant : « Chiens de
chrétiens
! » Ne pouvant avilir l’esprit, on se venge en le
huit syllabes n’a pas de césure obligée : Je porte | en un cœur tout
chrétien
Une flamme | toute divine. P. Corneille. Les ve
eu n’aurait pas couronnées… Mais, grâce à Jésus-Christ, je parle d’un
chrétien
éclairé des lumières de la foi, etc. » (Or. fun.
ndrissants par lesquels il prend congé du grand Condé et de la chaire
chrétienne
: vous aurez entendu le langage le plus puissant,
ins connus : « C’est, sans doute un grand spectacle de voir l’Église
chrétienne
figurée dans les anciens Israélites, la voir, dis
c la passion et l’énergie de Sophocle. Deux prosateurs, deux orateurs
chrétiens
, au xviie siècle, ont consolé la France de n’avo
grâces, et ne tenait à Jésus-Christ par aucun lien ? Qu’y restait-il,
chrétiens
, si ce n’est ce que dit saint Augustin : Il resta
d’avance. « Quoi donc ? n’y a-t-il point de valeur et de générosité
chrétienne
? L’Écriture, qui commande de sanctifier les guer
impatient de revoir ta Troyenne. Andromaque, acte IV, sc. iv. « Un
chrétien
, toujours attentif à combattre ses passions, meur
eu profonds2. » Saint Louis Roi, il est le modèle des rois ;
chrétien
, il est le modèle de tous les hommes. Quel exempl
es étaient chez les anciens ; les vertus divines ne sont que chez les
chrétiens
. Voir d’un même œil la couronne et les fers, la s
souffrir, ne mourir que pour lui : voilà Saint Louis, voilà le héros
chrétien
; toujours grand et toujours simple, toujours s’o
objet qu’on s’est proposé n’est pas seulement de détruire la religion
chrétienne
. L’impiété ne borne pas ses projets d’innovation
e plus d’afrinité avec son génie. Il donne à ses emprunts une couleur
chrétienne
, et accommode ses réminiscences mythologiques aux
e ses écrits antérieurs, ne passa pas sans protestation. Le stoïcisme
chrétien
du traité De la constance et de la consolation de
ns ses traités divers (le Prince, Aristippe ou de la Cour, le Socrate
chrétien
, de la Gloire) su donner au développement des pen
e souffrances continues, un grand ouvrage apologétique de la religion
chrétienne
, dont les fragments, trouvés et publiés après sa
ses harangues qu’elle a entendues de son Cicéron. Et d’où vient cela,
chrétiens
? C’est que Paul a des moyens pour persuader que
e de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimons donc, aimons,
chrétiens
, la simplicité de Jésus, aimons l’Évangile avec s
les : Et nunc, Reges, intelligite ; erudimini, qui judicatis terram.
Chrétiens
, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme,
criture, consiste tout l’homme ; tout l’homme, dis-je, raisonnable et
chrétien
: Hoc est enim omnis homo ; des passions à ménage
t dont la pratique doit être prompte et fervente. Or, pour tout cela,
chrétiens
, je prétends que la pensée de la mort nous suffît
nde et à s’y établir. Ajoutez à cela le poids des obligations dont un
chrétien
se charge devant Dieu, quand il se procure un deg
ces titres d’honneur avec des obligations si rigoureuses ? Non, non,
chrétiens
, cela ne me surprend pas ; mais ce qui m’étonne,
gliger ce qu’ils ne peuvent pas en retrancher. Voilà ce qui m’étonne,
chrétiens
, et ce qui me donne de la compassion pour les amb
…………………………………………………………… Les emplois, dit-on, font les hommes. Erreur,
chrétiens
, les emplois doivent perfectionner les hommes, et
ardent une modération honnête dans leurs désirs ? S’il ne s’agissoit,
chrétiens
, que d’essuyer la censure du monde, et que l’on e
omment est mort cet homme puissant qui sauvoit le peuple d’Israël ? »
Chrétiens
, qu’une triste cérémonie assemble en ce lieu, ne
oit dans cette grande ville, et conclut qu’il falloit que la religion
chrétienne
fût toute sainte et toute miraculeuse de subsiste
t, mais très digne de lui être comparé, quand il parle de la religion
chrétienne
(demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce liv
». Il dut à la fois à ses idées et à son style le surnom de « Platon
chrétien
». Des lumières naturelles L’âme reçoit de
mépris des grandeurs humaines, la joie dans les afflictions, l’usage
chrétien
des richesses, vous dites vrai, et on vous l’acco
nous permettent heureusement de mettre en tête du groupe des orateurs
chrétiens
un homme qui a plus agi que parlé, « le meilleur
plus courts, sont classiques : Mœurs des Israélites (1681), Mœurs des
Chrétiens
(1682). Le plus considérable, l’Histoire ecclésia
es hommes, on commenceroit à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes
chrétiens
. De petits esprits exagèrent trop l’injustice que
nce de la Chaire, et qui pratiqua lui-même l’éloquence du panégyriste
chrétien
dans la chaire et celle de l’orateur politique à
e que la raison et la vertu doivent l’honneur de la victoire. Orateur
chrétien
, voilà votre premier modèle dans l’art de prépare
éroces poussaient jadis dans cet amphithéâtre, en voyant déchirer des
chrétiens
par des lions, on n’entendait que les aboiements
gieux entre les deux plus grands monuments de Rome païenne et de Rome
chrétienne
me causa une vive émotion : je songeai que l’édif
énorme amphithéàtre. Les voûtes qui répétaient les sons de la cloche
chrétienne
étaient l’ouvrage d’un empereur païen marqué dans
l’histrion, l’incendiaire et le parricide : semblable à ces premiers
chrétiens
d’Égypte, qui, au péril de leurs jours, pénétraie
re dans le ton évangélique, et retrouve les grandes pensées, les vues
chrétiennes
qui remplissent les dernières oraisons funèbres ;
Agé de trois ans, il allait frapper à la porte des Frères des écoles
chrétiennes
et, comme on lui en refusait l’entrée parce qu’il
s. Il nous eût été facile d’appeler autour de votre tombeau les mânes
chrétiens
de vos anciens frères d’armes, et de mêler votre
ce, serviteur ardent et désintéressé de la patrie, solitaire stoïque,
chrétien
sincère, humble, chaste, aimant les pauvres jusqu
ses écrits. S’il a oublié le chien de l’aveugle, et avec lui l’image
chrétienne
du malheur et de la charité, il n’est aucun bon s
s livres de Méditations sur l’essence ou l’état actuel de la religion
chrétienne
: M. Guizot était protestant. Pour signaler ici p
ion européenne ; il était inconnu au monde romain, inconnu à l’Église
chrétienne
, inconnu à presque toutes les civilisations ancie
t à se sacrifier à une association. Il en était de même dans l’Église
chrétienne
; il y régnait un sentiment de grand attachement
nne ; il y régnait un sentiment de grand attachement à la corporation
chrétienne
, de dévoûment à ses lois, un vif besoin d’étendre
mpête. Il aurait complété sur terre et sur mer cette défense des pays
chrétiens
, et aurait devancé dans le protectorat de la Médi
les maladies de l’homme, les fatigues du souverain, les sentiments du
chrétien
. La retraite ne le changea point ; le profond pol
dans son temps François Ier ; songeant sans cesse à garantir les pays
chrétiens
des dévastations des Turcs, qu’il avait autrefois
situations diverses, s’il a terminé sa vie dans l’humble dévotion du
chrétien
, il a pensé jusqu’au bout avec la persévérante ha
ertus de famille, sans un jour de désordre ni d’oubli dans les mœurs,
chrétien
, catholique, pratiquant, aimant à faire des tourn
casser. » Un sentiment de famille se mêlait sans cesse à cette joie
chrétienne
du solitaire, et venait la tempérer par quelques
ttes de la Réforme allaient nous rendre l’intelligence de l’antiquité
chrétienne
. Deux causes ne nous en dérobaient plus depuis lo
losophie, chassa la scolastique née de leur confusion, et l’antiquité
chrétienne
apparut dans toute sa beauté. La Réforme a donc e
, et deux ou trois hommes qui, dans l’occasion, auraient tiré sur des
chrétiens
avec autant de sang-froid que sur des perdrix, se
1re vérité : il y a un dieu et une vraie religion ; 2e : la religion
chrétienne
est seule vraie ; 3e : la communion catholique es
charme magique. Cf. Corneille, Polyeucte, I, 3 : Mais je crains des
Chrétiens
les complots et les charmes. 371. Nescio quâ
application aux Champs-Élysées païens, de cette félicité de « paradis
chrétien
», dit Chateaubriand. Comparez les plaisirs matér
tutis (1709). 511. C’est le vieillard de Tarente, de Virgile, devenu
chrétien
, et « ne vivant que pour Dieu et pour l’étude ».
chien de l’aveugle. Et c’est celui-là dont se fût d’abord souvenu un
chrétien
. » (Génie du Christian., part. III, liv. iv, ch.
ans les armées romaines, réunit dans son monastère de la Thébaïde 500
chrétiens
. 842. Népomucène Lemercier (1731-1810), poète dr
éritable a échauffé leur verve. Lamartine a trouvé, dans le sentiment
chrétien
et dans l’admiration de la nature, des élans lyri
e le rejoindre, oui certains, grâce à l’humble et tremblant espoir du
chrétien
, et redisant volontiers, comme lui, d’une foi brû
rsqu’on s’est donné à Dieu. » 1. Cela n’est pas d’un homme, et d’un
chrétien
suffirait. 2. Cette lettre fait honneur à madame
ontinuels pour votre salut. C’est peu d’être philosophe, il faut être
chrétien
. Le roi ira à Chambord le 15 de septembre, de là
refuse de sacrifier aux idoles, et le gouverneur païen : Je suis
chrétien
. — Impie ! Adore-les, te dis-je, ou renonce à la
étien. — Impie ! Adore-les, te dis-je, ou renonce à la vie. — Je suis
chrétien
. — Tu l’es ? ô cœur trop obstiné ! Soldats, exécu
sein de la société. On comprend par là combien il est difficile à un
chrétien
fidèle à ses devoirs, non-seulement de fréquenter
e n’ignore ce que les Pères de l’Église et les orateurs et moralistes
chrétiens
ont dit des dangers que présente ce genre de dive
urent, quelles solides qualités d’un cœur droit, généreux et vraiment
chrétien
ne joint-elle pas ? On peut dire que ses lettres
rgueilleuse qui est souvent contraire à l’humilité et à la simplicité
chrétienne
, et qui, laissant souvent la vérité pour le menso
il veut détruire nos villes et n’a d’autre but que d’anéantir le nom
chrétien
qui lui est odieux. « Pour repousser ces outrages
e leur concours et de leurs efforts : tous ceux qui portent le nom de
chrétiens
) s’empresseront de se rendre dans notre camp ; ma
erre l’Ermite le récit des cruautés exercées par les Turcs contre les
chrétiens
, le pape Urbain II convoqua un concile à Clermont
sans frémir d’horreur, de quelle sorte les Sarrasins tyrannisent les
Chrétiens
dans les terres que la permission divine leur a a
és par le sien ; allons, en un mot, combattre les Turcs, ce fléau des
Chrétiens
. Autrement, vous les verrez venir fondre sur nos
, et de leurs dépouilles élevez de magnifiques trophées à la religion
chrétienne
et à la nation française. » Extrait de Mézeray (
ouraient avec la blanche écume le long des flancs du navire. Dieu des
chrétiens
! c’est surtout dans les eaux de l’abîme et dans
s vraie, plus séduisante : c’est le sentiment religieux, le sentiment
chrétien
. Je cherche en vain dans l’âme de la captive une
rnes devraient plus souvent imiter : mais, je le répète, le sentiment
chrétien
aurait pu lui communiquer cette douce haleine de
au sang qui coule dans tes veines : C’est le sang de vingt rois, tous
chrétiens
comme moi, C’est le sang des héros défenseurs de
donc un anathème qui efface en eux le caractère d’hommes, le titre de
chrétien
, l’empreinte de la Divinité même ? Et pour les ex
Ah ! cher ami, demeure, Demeure ; il n’est pas temps… Je veux que ce
chrétien
, Devant elle amené… Non… Je ne veux plus rien… Je
gue que parleront les maîtres. Ses Pensées sont inspirées par une âme
chrétienne
, éprise du vrai, et dévouée au bien de l’humanité
ion donner naissance à l’art dramatique. C’est, qu’en effet, le culte
chrétien
n’était, surtout à cette époque de foi naïve et s
, et il constitua désormais un genre indépendant. Les premiers drames
chrétiens
, qui furent ainsi joués après le sermon, par les
achevèrent de le séculariser. C’est à cette seconde phase du théâtre
chrétien
que se rattachent les principaux mystères et mira
ale, comme celle de Pascal, est dominée par des préoccupations toutes
chrétiennes
; il y a une élévation et une austérité qui tienn
traitée par Boileau dans son Art poétique, à savoir si le merveilleux
chrétien
peut servir à l’épopée, a été tranchée affirmativ
éritable canevas de comédie : le sujet est un sujet tout religieux et
chrétien
, et dès lors le premier rôle n’est pas celui de l
n artificielle de la mythologie antique, à l’exclusion du merveilleux
chrétien
. Il faut savoir aujourd’hui reconnaître à quel po
ont pas empruntés à l’antiquité, pour la remplacer par le merveilleux
chrétien
, condamné à tort par Boileau. [22] (29 juill
ssion à la volonté de Dieu, sur les jugements téméraires, la civilité
chrétienne
, la connaissance de soi-même, l’amour-propre, etc
le jeune, celles de Fronton, et celles d’un grand nombre d’écrivains
chrétiens
, sont aussi curieuses par les sujets que par le s
▲