Chapitre III. du
choix
du sujet. Le sujet est donné par les circonstan
’à le traiter dignement. Dans le second, vous êtes libre, et alors le
choix
est-il indifférent ? Assurément, répondent quelqu
s dont elle flatte les caprices et l’irréflexion. Non, la question du
choix
du sujet n’est pas interdite à la critique. Lorsq
dée admise, qui pourrait, en bonne logique, reprocher à l’écrivain le
choix
d’un sujet même contraire à la morale, au patriot
aberrations même de ces écrivains prouvent qu’ils ne regardent pas le
choix
du sujet comme indifférent. Ils pensent, comme no
une pensée qui eût mérité les développements de l’in-8°. Car dans le
choix
du sujet est compris celui de la forme, qui appel
, a consacré plus de soixante pages de son livre aux préceptes sur le
choix
du sujet, et ce n’est pas trop, si l’on admet cet
eur : votre ouvrage est mauvais ; il faut ajouter le pourquoi ; et le
choix
du sujet est un des plus puissants éléments de ce
ive semaine.) La loi doit régner sur les rois Sire, c’est le
choix
de la nation qui mit d’abord le sceptre entre les
l’ennui et le fardeau le plus pesant de notre vie1. (Carème, IV.)
Choix
d’un état Le choix d’un état est, de toutes l
e plus pesant de notre vie1. (Carème, IV.) Choix d’un état Le
choix
d’un état est, de toutes les circonstances de la
n accoutume de loin notre esprit naissant à ces images suggérées ; le
choix
d’un état n’est plus qu’une impression portée de
us fait suivre la fortune et la destinée d’un ami. Enfin, de tous les
choix
, il n’en est point où la prudence chrétienne ait
plus ordinaire. Car comment voulez-vous ne pas vous méprendre dans un
choix
si grave et si décisif pour vous, auquel vous app
mollesse, de volupté, d’autant plus inévitables pour vous, que votre
choix
déclare vos penchants infortunés pour ces vices.
sque toujours à la décision de nos destinées, et qui nous force à des
choix
que tous nos penchants désavouent. Tel prend le p
croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des morceaux de
choix
. Puisse-t-on ne point adresser ce reproche à nos
aits, ou du moins (car ce mot serait trop ambitieux), d’indiquer avec
choix
ce qu’il y a de plus expressif dans la physionomi
garantie de la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le
choix
des pages que nous soumettons au jugement bienvei
mposer en grande partie de lectures, d’extraits abondants, faits avec
choix
… L’accent qui insiste, qui souligne, pour ainsi d
faut, à la rigueur, lui en avoir déjà offert et servi un assez ample
choix
, pour que, même sans aller s’informer au delà, il
croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des morceaux de
choix
. Puisse-t-on ne point adresser ce reproche à nos
raits, ou du moins (car ce mot serait trop ambitieux) d’indiquer avec
choix
ce qu’il y a de plus expressif dans la physionomi
garantie de la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le
choix
des pages que nous soumettons au jugement bienvei
mposer en grande partie de lectures, d’extraits abondants, faits avec
choix
… L’accent qui insiste, qui souligne, pour ainsi d
faut, à la rigueur, lui en avoir déjà offert et servi un assez ample
choix
, pour que, même sans aller s’informer au delà, il
ndrais volontiers à l’étymologie, eligere, choisir. L’élégance est le
choix
, le choix en tout, choix de pensées, choix d’expr
ontiers à l’étymologie, eligere, choisir. L’élégance est le choix, le
choix
en tout, choix de pensées, choix d’expressions, c
mologie, eligere, choisir. L’élégance est le choix, le choix en tout,
choix
de pensées, choix d’expressions, choix de tours,
choisir. L’élégance est le choix, le choix en tout, choix de pensées,
choix
d’expressions, choix de tours, choix de nombres.
st le choix, le choix en tout, choix de pensées, choix d’expressions,
choix
de tours, choix de nombres. Ajouter à la justesse
choix en tout, choix de pensées, choix d’expressions, choix de tours,
choix
de nombres. Ajouter à la justesse, au naturel, à
Fut assez fou pour entreprendre Un voyage en lointain pays… Mais ce
choix
même, qui constitue l’élégance, suppose un travai
oit plaire qu’à des esprits faux et superficiels. La clarté dépend du
choix
des mots, de la construction des phrases et de l’
ale des mots français ; mais il n’a été ni heureux ni habile dans son
choix
. Le style néanmoins manque de propriété, quand il
les beautés du langage ; mais il les fait consister seulement dans le
choix
et dans l’arrangement des mots. Rien de traînant,
de concilier l’élégance avec le naturel ; il y en a deux moyens : le
choix
des idées et des choses, et le talent de placer l
es jeunes artistes ne pèchent par la profusion des ornements, dont le
choix
et la distribution n’ont pu être réglés encore pa
e old aside. (Essay on Criticism). Montrez-vous circonspect dans le
choix
de vos mots ; Ils plaisent rarement, trop vieux o
parler. Boileau. § 2. Propriété des Mots La Propriété est un
choix
de mots que l’usage le plus généralement adopté p
à propos ; et aucune étude n’est plus propre à nous instruire du bon
choix
des mots que celle des Synonymes de notre langue.
s. Il y a trois sortes d’ornements, qui sont : 1° L’harmonie, — 2° Le
choix
des pensées, — 3° L’emploi des figures. L’harmoni
res et les réunir suivant ce précepte de Boileau : Il est un heureux
choix
de mots harmonieux ; Fuyez des mauvais sons le co
ser ou la rebuter entièrement. Puisque l’harmonie des mots résulte du
choix
et de l’arrangement des mots entre eux, il faut d
des beautés d’un ordre aussi élevé, et nous apprend qu’en général le
choix
des expressions, la tournure des phrases, la coup
onie mesurée ou le nombre Comme l’harmonie dépend non seulement du
choix
et de la succession des mots, mais encore de la c
ce genre sont susceptibles de différentes formes. Le poète peut faire
choix
d’un sujet instructif, comme la religion, l’agric
e ? Les qualités du poème didactique peuvent se réduire à trois : le
choix
d’un sujet utile, intéressant et susceptible de r
lopper le détestable système d’Épicure. Virgile, plus modeste dans le
choix
de son sujet, semble n’avoir voulu qu’instruire l
ses sur le sujet que l’on traite. Quant aux détails, il faut faire un
choix
judicieux, et sacrifier ce que l’on désespère d’e
d’un vernis poétique ; il faut qu’il relève tout ce qu’il dit par le
choix
des épithètes, l’emploi des termes métaphoriques,
: Vere novo… ruperunt horrea messes. (Géorg. I, 43.) Parle-t-il du
choix
des chevaux, il en fait la plus vive et la plus m
e en vers. Il n’est point de genre de poésie plus libre, soit dans le
choix
des sujets, soit dans le choix du style, qui peut
nre de poésie plus libre, soit dans le choix des sujets, soit dans le
choix
du style, qui peut prendre tous les tons, s’éleve
ilier dans l’apologue ? Le style familier de l’apologue doit être un
choix
de ce qu’il y a de plus fin et de plus délicat da
à toute autre, ne peut manquer de nous être utile pour diriger notre
choix
, et pour apprécier avec justesse le mérite d’un é
contre Romains, parents contre parents Combattaient seulement pour le
choix
des tyrans… Rome entière noyée au sang de ses enf
tyle est un concours, une combinaison de sons agréables, résultant du
choix
et de l’arrangement des mots, ainsi que de la dis
in aure, velut quodam vestibulo, statim offendit. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux. Fuyez des mauvais sons le con
est l’harmonie mécanique ; l’autre qui consiste dans le rapport de ce
choix
, de cet arrangement avec les pensées, les images
ique consiste dans l’accord des sons entre eux, accord produit par le
choix
et le mélange des expressions et par la coupe et
a reçu le nom d’harmonie du discours. 267. Qu’avez-vous à dire sur le
choix
des mots ? Nous commençons par le choix des mots
. Qu’avez-vous à dire sur le choix des mots ? Nous commençons par le
choix
des mots, sur lequel il n’y a pas beaucoup à dire
ment à l’harmonie, dépend plus de la combinaison des mots que de leur
choix
. Cette combinaison est plus compliquée, plus diff
lque sonores que soient les mots, quelque attention que l’on donne au
choix
qu’on en fait, si leur arrangement est vicieux, l
rit. — Fléchier, Boileau et Racine nous offrent de beaux exemples du
choix
et de la combinaison des mots. Nous ne citerons i
ur n’est pas plus pur que le fond de mon cœur. 270 Que produisent le
choix
et l’arrangement des mots ? L’harmonie dans les
mitative reproduit les sons de la nature. Il est certain que, par un
choix
convenable de mots, on peut imiter les sons de la
Rousseau appelle le clinquant du discours, Et qui, par force et sans
choix
enrôlés, Hurlent d’effroi de se voir accouplés.
nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes2 ; Et ce
choix
sert de preuve à tous les courtisans Qu’ils saven
ent mal payer les services présents. D. Diègue. Ne parlons plus d’un
choix
dont votre esprit s’irrite : La faveur l’a pu fai
s honneur ; Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne, Malgré le
choix
du roi m’en a su rendre indigne. Et toi, de mes e
voulant pour gendre un cavalier2 parfait, Je ne me trompais point au
choix
que j’avais fait. Mais je sens que pour toi ma pi
, Le comte en votre cour l’a fait presque à vos yeux, Jaloux de votre
choix
, et fier de l’avantage Que lui donnait sur moi l’
is-je à présent parler sans vous déplaire ? Dorante. Je remets à ton
choix
de parler ou te taire ; Mais quand tu vois quelqu
.Mon cœur en un moment Étant de ses regards charmé si puissamment, Le
choix
que vos bontés avaient fait de Clarice, Sitôt que
on, nous aurons occasion de faire connaître les préceptes relatifs au
choix
et à la préparation du sujet, ainsi qu’à la révis
oute espèce de composition. 330. L’invention ne demande-t-elle pas un
choix
convenable et une sérieuse préparation ? Horace
ta potenter erit res, Nec facundia deseret hunc nec lucidus ordo. Le
choix
du sujet étant fait, il faut s’occuper de la prép
de la littérature qui a pour objet les règles du style, et surtout le
choix
des mots et la facture des phrases. On peut compa
. En même temps, guidé par un goût délicat, il sait toujours faire un
choix
harmonieux et capable d’intéresser. En effet, tou
la description ? Parmi les ornements de la description, on compte le
choix
judicieux des circonstances, les contrastes, l’ar
tyle. 352. Comment faut-il choisir les circonstances ? C’est dans le
choix
des circonstances que consiste le grand art de la
es et les autres ornements. Il en est de même pour ce qui concerne le
choix
de l’objet lui-même, qui sera gracieux ou sombre,
emple, une ville, un paysage, etc. Il n’y faut rien de vague, mais un
choix
délicat des circonstances, la beauté du coloris,
Il n’est pour le poète, qui se jette au milieu de l’action et fait un
choix
parmi les circonstances, qu’un moyen de toucher l
n, un amas confus de phrases qui ne présentent point d’idées, mais un
choix
intelligent de tous les détails frappants, de tou
passant, la recherche et la négligence. L’extrême délicatesse dans le
choix
des mots, les pensées raffinées, les figures trop
er les diverses pensées qui s’offrent à l’esprit ; on fera ensuite un
choix
, on tracera son plan d’après ce canevas improvisé
e déposer dans leurs rayons. De même que les abeilles savent faire un
choix
parmi les fleurs, nous devons choisir avec soin n
ent et la sensibilité s’exercent, se perfectionnent par un travail de
choix
et d’exclusion ; le goût acquiert un degré remarq
ltat d’un jugement faux et d’un sentiment perverti. Les lectures sans
choix
et sans régie contribuent surtout à dépraver le g
ensable ici, qu’il n’y a pas un poète épique qui ait négligé de faire
choix
d’un sujet considérable par la nature même de l’a
ière à tous les lecteurs. Voltaire a péché contre cette règle dans le
choix
de son sujet ; et son poème a eu moins de succès
dissement et l’ennui. Le succès du poème dépend en grande partie d’un
choix
de sujet auquel le public prenne de l’intérêt : c
trouver des sujets vraiment épiques ? Le but du poète épique, dans le
choix
du sujet, doit être de porter l’intérêt au plus h
a-t-il à examiner par rapport aux personnages de l’épopée ? Après le
choix
du sujet vient le choix des acteurs ou personnage
pport aux personnages de l’épopée ? Après le choix du sujet vient le
choix
des acteurs ou personnages qui doivent favoriser
sonnages d’invention, le poète a toute liberté pour la peinture et le
choix
des caractères ; il doit seulement observer la vr
là toutes les destinées ; Pèse et choisis ; mais, pour régler ton
choix
, Sache que les plus fortunées Pèsent
Elle pèserait moins encore, Lui dit alors le dieu qui lui donnait le
choix
; Mais tel en jouit qui l’ignore ;
nt si ingénieux, il les a si bien arrangés, il est si heureux dans le
choix
et l’expression des détails, quoique loin encore
des combats poétiques, des récits intéressants. Mais il faut faire un
choix
de ce que l’on admettra, et se souvenir que tout
un certain art qu’elle n’avait pas. On y vit plus de finesse, plus de
choix
, moins de négligence. En gagnant du côté de l’exa
orêts. Ce poète a, en effet, une grande douceur de style, un heureux
choix
de mots, une grande fécondité de pensées et de to
remière espèce, l’assortiment et le nombre des vers est à peu près au
choix
et à la disposition du poète ; mais la première s
t incompréhensibles, et dans la forme par une liberté entière dans le
choix
des vers et la longueur des stances. Il est, du r
arrative, outre les qualités dont je viens de parler, exige encore un
choix
bien fait des meilleures pensées d’un sujet. Il f
étorique, l’élocution est la partie de la composition qui s’occupe du
choix
et de l’arrangement des mots. Ainsi considérée, e
pprend leurs devoirs d’une manière souveraine et digne de lui. 12. Le
choix
des synonymes contribue beaucoup à la correction
mes contribue beaucoup à la correction du style ; mais il faut que ce
choix
soit heureux, car il n’y a pas de synonymes parfa
us un exemple d’une période carrée et d’une période croisée. — 12. Le
choix
des synonymes contribue-t-il à la correction du s
dubitation est employée par l’orateur quand il semble hésiter sur le
choix
de ses moyens. La prolepse lui sert à prévenir et
ie, 3° la Variété, 4° les Inversions, 5° les Alliances de mots, 6° le
Choix
des épithètes, 7° les Images, 8° les Pensées, 9°
d’harmonie dans le style : l’harmonie mécanique, qui résulte d’un bon
choix
et d’une disposition heureuse des mots, et l’harm
parlant d’un roi coupable et malheureux : l’auguste misérable. 9. Le
choix
des épithètes consiste à n’employer comme telles
? — 8. Quand fait-on une alliance de mots ? — 9. En quoi consiste le
choix
des épithètes ? — 10. Quel effet les images font-
2° le Bas, 3° l’Ignoble, 4° le Disparate, 5° le Forcé, 6° le mauvais
Choix
d’épithètes, 7° la Dureté, 8° la Sécheresse, 9° l
s adjectifs qui n’ajoutent rien au substantif, c’est faire un mauvais
choix
d’épithètes. 8. La dureté est opposée plus partic
? — 4. L’ignoble ? — 5 Le disparate ? — 6. Le forcé ? — 7. Le mauvais
choix
d’épithètes. — 8. La dureté ? — 9. La sécheresse
ur du langage populaire, l’éloignement de tout ce qui est trivial, le
choix
de tout ce qui est piquant, le triomphe de la mét
ne grande action, qui peut être à la fois héroïque et merveilleuse.
Choix
du sujet. L’épopée est la plus grande, la plus
s mentionnées, l’unité, la grandeur, l’intégrité ; il tient encore au
choix
du sujet, aux caractères des personnages ; à la m
or, Priam. Voulez-vous longtemps plaire et ne jamais lasser ? Faites
choix
d’un héros propre à m’intéresser, En valeur éclat
Chapitre II. —
Choix
des Pensées Le second des ornements que peut re
e second des ornements que peut recevoir le discours consiste dans le
Choix
des Pensées. « Une pensée, dit Domairon, est la
13° Pensées brillantes Les pensées brillantes consistent dans le
choix
d’une heureuse comparaison, relevée par une tourn
s pensées ordinaires, mais qui doivent leur charme à l’expression, au
choix
des mots dont on se sert pour les représenter. El
donner les premières leçons de style, d’être très-rigoureux dans nos
choix
; nous les avons donc restreints à l’époque où, d
ts, serviront en outre à la culture et à l’ornement de la mémoire. Ce
choix
appartient au bon goût du professeur. C’est là le
re. 88. Ce qu’il y a de plus contraire à la pureté du langage dans le
choix
des mots, c’est d’employer des barbarismes. Le ba
sou. M. Guiraud sait très bien relever cette pensée par un admirable
choix
d’expressions : J’ai faim : vous qui passez daig
aresse et la médiocrité murmurent toutes seules contre la sagesse des
choix
. (Massillon.) 6º Le possesseur pour la chose pos
lle, d’après Quintilien, est le vestibule du cœur. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux. Fuyez des mauvais sons le con
osition. Quelque sujet que l’on traite, il faut, en effet, que par le
choix
des expressions et la variété du nombre on rende
santes pour l’oreille. Cette harmonie générale du discours résulte du
choix
et de l’arrangement des mots, et de la combinaiso
des mots, et de la combinaison des phrases ou des périodes. I. — Du
choix
et de l’arrangement des mots. 226. Dans le cho
riodes. I. — Du choix et de l’arrangement des mots. 226. Dans le
choix
des mots considérés comme sons, il faut admettre
seul nom de Heusden ? 228. L’harmonie des mots dépend moins de leur
choix
que de leur arrangement. Nous venons de voir que
mais mes pas. (Lamartine.) II. — Harmonie des phrases. 231. Le
choix
et l’arrangement des mots produisent tout naturel
eur surtout, elle a une foule d’avantages et d’attraits. 261. Pour le
choix
des livres, il y a trois précautions principales
uent l’homme moral. 263. La seconde règle qu’il faut observer dans le
choix
des livres, c’est de ne point lire les auteurs mé
s beaux siècles qu’il faut toujours s’attacher12. 264. Enfin, dans le
choix
de ses livres, il faut savoir se borner. Ce n’est
les séparent et de faire de chacun l’emploi qui lui convient. Dans le
choix
des constructions et des tours, il a aussi besoin
icales, le jeune homme qui traduit doit considérer quatre choses : le
choix
des expressions, les tours de phrase, les inversi
tions à prendre dans l’imitation d’un écrivain : discernement dans le
choix
du modèle, liberté dans l’imitation, intelligence
dans une composition quelconque cinq choses sont nécessaires : 1º le
choix
du sujet ; 2º une méditation ou préparation série
trer ; 6º les contrastes qui peuvent le rendre plus saillant. 327. Le
choix
de l’objet doit se régler sur l’intention de l’éc
ici déplacées. Fuyez donc la roideur et l’extrême délicatesse dans le
choix
des mots, les périodes arrondies, les cadences ha
nt par le rythme du langage ordinaire. Elle en diffère surtout par le
choix
des expressions, par l’abondance des images, par
et le nombre des vers qui entrent dans une stance sont à peu près au
choix
du poète ; mais la première strophe sert de règle
concourent toutes au même but. Cette entreprise doit être faite avec
choix
et dessein. Elle doit être une, c’est-à-dire que
prévenir le refroidissement et l’ennui. Le succès dépend beaucoup du
choix
d’un sujet qui se lie aux intérêts généraux de la
cipaux ; les personnages accessoires sont laissés à la liberté de son
choix
. 464. Il faut toujours qu’il y ait un personnage
ésie. Lorsqu’il fait des descriptions, il a besoin plus que jamais de
choix
et de vivacité dans les couleurs, d’harmonie et d
s, ou idylle (εἰδύλλιον, petite image), ou églogue (ἐϰ λέγω, pièce de
choix
). Ce mélange indique que chez eux l’églogue et l’
autre des petits. Dans la première, Virgile donne des conseils sur le
choix
des mères ; à cette occasion, il peint la vache e
IV. Après une invocation à Mécène, le poète donne des conseils sur le
choix
d’une habitation commode pour les abeilles et pro
es littérateurs ? 261. Combien faut-il prendre de précautions pour le
choix
des livres ? 262. Faut-il s’interdire tout ouvrag
françaises ; Essai sur la composition, par M. Capot. 19. Voir notre
Choix
de compositions littéraires comme terme de compar
CHAPITRE II. Du
choix
et de la délicatesse des expressions. « C'est
égantes qui ont été employées par les bons auteurs. ARTICLE I. du
choix
et de l’élégance des substantifs. I En fr
Asie est devenue la possession du peuple romain. ARTICLE II. du
choix
et de l’élégance des adjectifs. I Les adj
us grand prix que tous les discours des hommes. ARTICLE III. du
choix
et de l’élégance des verbes. I Le verbe s
u. Res tua agitur, paries quùm proximus ardet. Virg. XI Dans le
choix
des verbes, il faut préférer ceux qui font image,
rt que la méchanceté de cet homme sera déjouée. ARTICLE IV. du
choix
et de l’élégance des participes. Les particip
Non facilè dijudicatur amor verus et fictus. Cic. ARTICLE V. du
choix
et de l’élégance des adverbes. I Il y a d
ujours eu beaucoup de zèle et d’amour pour vous. ARTICLE VI. Du
choix
et de l’élégance des prépositions. Les préposi
igendis amicis negligentes ne simus. Ne soyons pas négligents dans le
choix
de nos amis. 4° Il faut aussi remarquer cette loc
et même trop de fautes pendant tant d’années. ARTICLE VII. du
choix
et de l’élégance des conjonctions. Comme il y
ient passés, où l’on donnait les charges par nécessité plutôt que par
choix
, et où chacun voulant profiter des troubles de l’
fait usage des ornements d’éclat. Les figures vives et piquantes, le
choix
et l’harmonie des mots, la variété des sons, les
s, pour les développer davantage : elle consiste aussi un peu dans le
choix
des mots opposés, comme on le voit dans cette pen
lle, sont en si grand nombre, qu’il serait bien difficile de faire un
choix
. En voici quelques-uns de ceux qui s’offrent à ma
u’on ne pénétrait qu’après l’événement, un grand discernement dans le
choix
des moyens, une fermeté inébranlable dans l’exécu
lle comporte encore quelque chose de plus, et c’est principalement un
choix
judicieux de circonstances capables de mettre l’o
rdu, mais en l’ennoblissant par les détails, et en la relevant par le
choix
des expressions. Aussi prompts que la foudre, il
me. Ces modèles de descriptions prouvent combien le sublime dépend du
choix
des circonstances, et avec quel soin il faut évit
s mes efforts pour réaliser quelques progrès sur trois points : 1° Un
choix
très sévère parmi les observations des rhéteurs a
ipes odieux et ignobles ; La justice n’est pas une vertu d’État : Le
choix
des actions ou mauvaises ou bonnes Ne fait qu’ané
éniens, à quel point d’arrogance il est monté : cet homme vous ôte le
choix
de la guerre ou de la paix ; il vous menace ; il
nt indispensables pour acquérir la délicatesse de goût que réclame ce
choix
, et ta juste mesure hors de laquelle il n’y a que
tation du peuple, ni le frémissement de tous les bons citoyens, ni le
choix
de ce lieu fortifié pour la convocation du Sénat,
ième. — 2- objet de la confirmation. — 3. Recherche des preuves. — 4.
Choix
des preuves. — 5- ordre des preuves. — 6. Manière
e, au lieu de s’égarer en rêveries et en digressions inutiles. 4. Du
choix
des preuves. — Le travail méthodique de la médita
es différents lieux communs et en essayer l’application. II. Dans le
choix
des arguments, songer moins à leur nombre qu’à le
force de la multitude des paroles ; elle doit sa puissance au
choix
et à la gradation des moyens et des détails. Si l
rs, l’écrivain et l’orateur ont besoin d’un goût très-éclairé dans le
choix
de ces moyens. Les plus simples sont presque touj
tous les sophismes de la vanité, de l’égoïsme, de la mauvaise foi. Le
choix
de la place où cette argumentation négative doit
ts et aux épithètes. 1. Objet et utilité de ces observations. — Le
choix
les mois par lesquels la pensée ou l’émotion est
5. Des épithètes. — Outre les modifications utiles qui résultent du
choix
et du changement des mots, il faut signaler comme
a deux choses à considérer à propos des épithètes : c’est d’abord le
choix
qu’il en faut faire et ensuite quelle place elles
onnée, par suite elles peuvent être variées à l’infini. C’est dans le
choix
de ces épithètes que se signalent les meilleures
rien ici de rude pour cette princesse. Bossuet. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux. Boileau. Boileau dit, à pro
présages de la mort26 ! » Quintilien fait admirer de même l’heureux
choix
d’expression qui rendent vivant le portrait que C
du nombre des détails accumulés ; il résulte surtout de l’heureux
choix
des moyens et de leur gradation. Leçon XXIX.
Ainsi Démosthène veut reprocher aux Athéniens leur frivolité dans le
choix
de leurs généraux : Vous ressemblez à des mouleu
sante élégie de la jeune Captive 29 tire son charme et son intérêt du
choix
des objets auxquels André Chénier compare la jeun
s loin que la périphrase, pourvu qu’on ne la répande pas partout sans
choix
et sans mesure ; car aussitôt elle languit et ren
is seulement à ma haine. Le plus grand soin doit être apporté dans le
choix
des expressions ; une gradation maladroite ou inv
une chose et en faire entendre une autre ; paraître incertain sur le
choix
de ses pensées et de ses paroles ; établir des di
lus occupés du sentiment qui les possède que du soin de plaire par le
choix
des mots et des pensées. Les figures sortiront do
pensée ; c’est un caractère de la diction qui résulte à la fois et du
choix
et de la construction des mots ; c’est une manièr
3. De l’harmonie. — L’harmonie est un agrément musical résultant du
choix
des mots et de leur arrangement dans la phrase. E
de leur arrangement musical dans la proposition. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux ; Fuyez des mauvais sons le co
er sur un terrain langeux. 8. Du rhythme. — Le rhythme résulte d’un
choix
des sons capables de rendre les mouvements passio
ns ses mains redoutables, Ma fille ! Outre le sens même des mots, le
choix
des sons contribue à augmenter la terreur : c’est
e, nos grands poëtes classiques ont porté le plus grand soin tuais le
choix
des mots et des sons qui ajoutent un effet physiq
t à la fois le plus précis et le plus clair. La convenance résulte du
choix
même des mots ; et un ancien philosophe avait rai
ts qui sont comme le clinquant du discours, Et qui par force et sans
choix
enrôlés Hurlent d’effroi île se voir accouplés.
ce, mais où le bon goût règne avec l’économie : le bon goût, c’est le
choix
. Rollin complète avec sagesse les observations d
. — L’élégance est une qualité difficile à définir, son nom veut dire
choix
; elle consiste en effet dans le choix d’expressi
e à définir, son nom veut dire choix ; elle consiste en effet dans le
choix
d’expressions distinguées ; elle résulte de l’uni
té doit toujours s’allier à la richesse. IV. L’élégance résulte d’un
choix
d’expressions nobles et harmonieuses. V. La grâc
r et de magnificence a été produit par Bossuet à l’aide d’un, heureux
choix
d’expressions vives et frappantes. Il s’agit de l
La plupart de ceux qui veulent faire de beaux discours cherchent sans
choix
également partout la pompe des paroles : ils croi
ersification. Ainsi s’est formée une langue poétique, c’est-à-dire un
choix
de mots et de tours réservés aux poëtes. Pour fra
Pour apprendre à bien penser, à bien sentir, à bienrendre, il faut un
choix
tout particulier dans les lectures ; il ne faut q
tère général en harmonie avec le caractère même du sujet, et c’est un
choix
auquel il faut penser avant tout autre travail. L
te partie ; la qualité la plus importante dans une description est le
choix
des détails auxquels il convient de s’attacher. L
tyle ; l’aisance comprend l’enjouement et l’urbanité, elle résulte du
choix
des mots et des tournures les plus faciles ; elle
, et choisies par l’Eglise même, ne seraient-elles donc pas dignes du
choix
d’un prédicateur ? Pourquoi laisser cet endroit e
pas tenu de dire toute la vérité. La sobriété dans le ton et dans le
choix
des expressions est indispensable au succès série
connaisseur saisit toutes les nuances. Le style consiste donc dans le
choix
et dans l’arrangement, non seulement des mots, ma
t sans doute aux sentiments et aux pensées qui s’y trouvent ; mais le
choix
des expressions et l’harmonie du style y ont une
isifs ont oublié ma voix. 8° De l’harmonie. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux : Fuyez des mauvais sons le co
nie, est ce charme du style qui résulte, pour l’oreille, de l’heureux
choix
des mots et de leur habile combinaison. Le style
mots, 2) l’harmonie des phrases. L’harmonie des mots consiste dans le
choix
et l’arrangement des mots considérés comme sons ;
belle description du cheval : C’est partout une harmonie soutenue, un
choix
d’expressions où préside le goût le plus pur. «
Ouvrages historiques. § 23. Définition. — Division du chapitre. —
Choix
, arrangement et récit des faits ; digressions.
qui sont dignes de mémoire. Puisqu’elle est fondée sur les faits, le
choix
des faits et la manière de les raconter, voilà ce
ent passer sous la plume de l’historien ? Non, sans doute ; il y a un
choix
à faire, et ce choix dépend d’un esprit sage et j
ume de l’historien ? Non, sans doute ; il y a un choix à faire, et ce
choix
dépend d’un esprit sage et judicieux, d’un discer
our instruire et intéresser le lecteur. Un discernement juste pour le
choix
des événements est donc nécessaire à celui qui ve
e parlons plus ici de Claude et d’Agrippine ; Ce n’est point par leur
choix
que je me détermine : C’est à moi seul, madame,
j’en savais quelque autre au-dessus de Néron. Oui, pour vous faire un
choix
où vous puissiez souscrire, J’ai parcouru des yeu
ne veut point avouer. Songez-y donc, madame, et pesez en vous-même Ce
choix
digne des soins d’un prince qui vous aime, Digne
Ayez moins de frayéur, ou moins de modestie. N’accusez point ici mon
choix
d’aveuglement ; Je vous réponds de vous ; consent
raisemblable, dit Boileau, et dès lors il est inintelligible. Par le
choix
et l’opportunité des accessoires dans les choses,
ets ; dans les petits, la grâce, la finesse, la naïveté ; partout, le
choix
des détails, la variété des tours ; et voilà ce q
aussi à la précision. Pour l’une comme pour l’autre, il faut faire un
choix
dans l’ensemble des objets, déterminer les points
ntraire arrivait presque dans tous les discours. On délibérait sur le
choix
d’un général ; l’éloge de Pompée déterminait les
asion. L’invention oratoire consiste dans la connaissance et dans le
choix
des moyens de persuasion. On entend par persuader
leur imagination ; il s’appliquera plus au mécanisme du langage qu’au
choix
des idées et des expressions. Mais s’il adresse l
avons déjà parlé, et qui n’est pas d’une moindre importance. Pour le
choix
des lieux et l’emploi des argumens dans le discou
s clair. Quatre choses concourent à la clarté de l’argumentation : le
choix
des preuves, la propriété des mots, la précision
été des mots, la précision des phrases, l’analogie des propositions.
Choix
des preuves. Et d’abord il est nécessaire que l’
oix des preuves. Et d’abord il est nécessaire que l’orateur fasse un
choix
entre les différens matériaux qui se présentent à
n grand nombre, comme il arrive souvent, je pense qu’il faut faire un
choix
, et négliger ceux qui ont peu de poids ou qui res
de les compter. » (De Orat. l. II, n°. 308.) C’est ce triage et ce
choix
faits avec soin qui peuvent seuls écarter l’incon
.) Aristote établit une règle bien propre à diriger l’orateur dans le
choix
dont il s’agit. Il recommande de ne pas recourir
rreur pareille dans le plan, erreur qui est l’équivalent d’un mauvais
choix
de sujet, pour ôter à un discours comme à un dram
manière de s’exprimer en parlant. La diction s’entend spécialement du
choix
et de l’arrangement des mots, sous le rapport de
endroit sensible pour l’oreille, auraient été insoutenables. Quant au
choix
des locutions qui peuvent passer du langage famil
l’appeler capitale du royaume. » (Pensées, art. 10.) Règle pour le
choix
des mots. Rien n’est plus vrai ; mais la distinc
toujours aisée à faire. Essayons de donner quelques principes sur ce
choix
. D’abord, il faut éviter d’employer les noms pro
i qui veut bien parler et bien écrire, doit éviter avec soin, dans le
choix
et dans l’arrangement des mots, le mélange des so
à la fois le précepte et l’exem-de cette euphonie. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux : Fuyez des mauvais sons le co
és de Bossuet. Bossuet n’a pas donné une attention aussi sérieuse au
choix
des nombres. Son harmonie est plutôt dans la coup
’il traite. Voilà ce qui doit déterminer le ton de son discours et le
choix
des expressions propres à émouvoir et à persuader
ais il n’y a point de mouvement dans la nature, qui ne trouve dans le
choix
des mots et dans leur succession des sons qui lui
La netteté n’est pas la même chose que la clarté. Celle-ci dépend du
choix
et de l’arrangement des mots, de la construction
r. « En effet, dit Voltaire (Dict. phil., au mot élégance), il y a du
choix
dans tout ce qui est élégant. L’élégance est un r
grâces de la diction, soit en éloquence, soit en poésie, dépendent du
choix
des mots, de l’harmonie des phrases, et encore pl
Tout ce qu’on écrit se compose de mots, de phrases et de périodes. Le
choix
des mots, la construction des phrases et des péri
oints dont nous devons nous occuper. Article premier. § I. Du
choix
des mots. Choix des mots. Dans le choix des
s nous occuper. Article premier. § I. Du choix des mots.
Choix
des mots. Dans le choix des mots, deux choses so
e premier. § I. Du choix des mots. Choix des mots. Dans le
choix
des mots, deux choses sont à considérer, la puret
; mais, pour bien réussir, quelle attention ne doit-il pas porter au
choix
des mots ! La plupart des auteurs les confondent,
’en servir ; car ils ne doivent pas s’employer indifféremment et sans
choix
. La phrase et la période sont indiquées par la n
es autres. Lorsqu’on veut exprimer une pensée seule, isolée, on a le
choix
entre plusieurs constructions de phrase : mais on
oix entre plusieurs constructions de phrase : mais on ne l’a point ce
choix
, lorsqu’on écrit une suite de pensées. Dans ce ca
faire un tissu. Article II. Nous venons de considérer le bon
choix
des mots et la construction gracieuse, exacte et
dans la fable, etc. ; mais le jugement et le goût doivent présider au
choix
qu’on en veut faire. Manière de les introduire d
force, de l’énergie et de l’éclat ne laisse point d’équivoque sur le
choix
des moyens propres à y parvenir. A la narration,
ons, des divers intérêts de l’empire. (De Orat.,l. I, n. 158, 159.)
Choix
qu’il faut ou faire. On doit recommander aux jeu
x jeunes gens de choisir d’abord leurs lectures, ou de suivre dans ce
choix
les conseils d’hommes éclairés. Il ne faut lire q
ière de les lire. Mais comment doit-on lire les auteurs dont on fait
choix
? Lisez peu à la fois ; les objets se fixeront pl
e presque aussi haut que l’idée que nous avons conçue de leur génie.
Choix
des modeles. Le choix des modèles dont on se pro
e l’idée que nous avons conçue de leur génie. Choix des modeles. Le
choix
des modèles dont on se propose l’imitation est d’
s moyens à employer pour se former un bon style 253 Art. I. § I. Du
choix
des mots ibid. § II. De la construction des phra
on dans le discours. De la division. Moyens de renforcer les preuves.
Choix
des preuves. Propriété des mots. Précision des ph
cules. Les meilleurs écrivains ont blâmé l’affectation. Règle pour le
choix
des mots. Euphonie dans le style. (1). Mot qui s
es passions et les émotions de l’âme. Les sons de la nature. 1°. Un
choix
convenable de mots peut produire un son ou une sé
ouvrage. Variété du style. Elle ne doit pas être recherchée partout.
Choix
des mots. Pureté. Ce qu’on doit entendre par l’us
erté de moduler à son gré les syllabes, les mots et les phrases. « Le
choix
des intonations, dit Marmontel, fait partie de la
il y avait dans la langue un accent tonique déterminé, invariable, le
choix
des intonations n’aurait plus lieu, ou serait san
se former à l’art de parler et d’écrire. La lecture des bons modèles.
Choix
qu’il faut ou faire. Manière de les lire. Utilité
vre en commençant. Utilité d’un guide. L’imitation. Manière d’imiter.
Choix
des modeles. Imitation servile. Différence qu’il
rate. — La justesse des pensées est plus ou moins frappante, selon le
choix
des expressions, qui doivent être justes elles-mê
faut apporter beaucoup plus de circonspection et de sévérité dans le
choix
des images rarement employées, ou nouvellement in
ntion. 90. Quelles sont les qualités nécessaires aux mots ? Comme le
choix
des mots est très important pour quiconque veut a
Qu’est-ce que la propriété des mots ? La propriété consiste dans le
choix
des mots que l’usage le meilleur et le mieux étab
s les mots consiste dans une certaine dignité de ton, dans un certain
choix
, une certaine élégance, en rapport avec le sujet,
rase destinés à cet emploi aient entre eux quelque conformité dans le
choix
et dans la disposition des mots. Quand on dit :
t le jugement, la raison et le goût, donne cette éloquence qui met du
choix
, de l’ordre, de l’intérêt, de la variété dans les
e donc à se remplacer auprès de son successeur. Or sur qui tombera le
choix
de ce prince vieilli dans l’étude et dans la conn
ns l’étude et dans la connaissance des hommes ; de ce prince, dont le
choix
des Bossuet et des Fénelon avait prouvé et honoré
vait un grand caractère, des talents rares, quelquefois sublimes ; un
choix
unique d’expressions, une connaissance profonde d
’emportait déjà sur celui des sages, et que le génie du mal, à qui le
choix
des armes est indifférent, triomphe trop aisément
artie du charme des poètes anciens dépend de l’harmonie du vers et du
choix
heureux de l’expression, mérite qui disparaît pre
qu’elle s’offre à leurs yeux, et font, dans ce qui les environne, le
choix
des accidents les plus heureux, des rapports les
rits auquel ne s’applique le précepte de Boileau : Il est un heureux
choix
de mots harmonieux ; Fuyez des mauvais sons le co
clusion incroyable : la beauté du style ne consiste ni dans l’heureux
choix
des expressions, ni dans la savante construction
s, est cependant très-sensible pour toute oreille un peu délicate. Le
choix
ou l’arrangement des sons plus ou moins doux, le
plicité ; mais elle exige quelquefois davantage, et réclame encore un
choix
convenable de circonstances dans la description,
malade et ivre. Cet exemple montre combien le sublime dépend du juste
choix
des circonstances, et avec quel soin on doit évit
es qui sont limitées par des lignes droites et triangulaires. Il fait
choix
de la ligne ondoyante, ou qui représente une succ
lange de mots ou de tours étrangers. La propriété nous fait sentir le
choix
que nous devons faire de telle expression préféra
la précision, être fleuri en même temps que correct et exact dans le
choix
des mots, est une chose difficile. D’ailleurs, te
évités avec le plus grand soin. L’ambiguïté naît de deux causes : un
choix
vicieux de mots et un arrangement ou construction
struction mal conçue. Après avoir traité, dans le dernier chapitre du
choix
des mots, nous allons nous occuper de leur arrang
musicale en prose dépend, comme cela est évident, de deux choses, le
choix
et l’arrangement des mots. Les mots sont plus ou
référence de tel principe sur tel autre, c’est apprendre à diriger le
choix
avec convenance. La deuxième, c’est que, quoique
igurés ou métaphoriques s’introduit dans toutes les langues, plus par
choix
que par nécessité. C’est ainsi que nous disons :
la place qu’il occupe. La deuxième règle que je pose est relative au
choix
du sujet d’où l’on tire la métaphore et les autre
lque ut precario, non vi, venisse videatur. Il faut éviter, dans le
choix
des métaphores, des tableaux communs et vulgaires
ns parlé ; mais, pour réussir, il faut une imagination brûlante et un
choix
de circonstances tellement heureux qu’il présente
ière de penser de l’auteur, mais surtout de son mode d’expression, du
choix
des mots, de l’arrangement des phrases, de son de
iption, soit en prose, soit en vers, dépendent davantage de l’heureux
choix
d’une ou de deux circonstances frappantes que de
l’objet de son attention, mais il cherche à y atteindre plutôt par le
choix
des mots et leur arrangement gracieux, que par de
ose une extrême clarté et une grande convenance, de la pureté dans le
choix
des mots, des tours heureux d’expression, et de l
nmoins observer qu’il peut y avoir excès dans le soin que l’on met au
choix
des mots. Nous ne devons pas arrêter la marche de
er de mémoire les oraisons des plus célèbres Grecs, et alors j’eus le
choix
de tous les termes de ma langue pour exprimer les
la masse des citoyens. La confection des lois, la paix, la guerre, le
choix
des magistrats appartenaient au peuple. Le chemin
es, le grand objet est la persuasion : l’orateur vise à influencer le
choix
ou la conduite de ses auditeurs, en leur montrant
être soigneusement conservée, et par une certaine délicatesse dans le
choix
des causes, et par la manière de les conduire ; e
s l’emploi des passions, la clarté de la diction, la sévérité dans le
choix
et l’usage d’ornements, l’oubli de soi-même pour
ardent qu’elles puissent faire impression sur l’âme les auditeurs. Le
choix
des sujets est aussi un objet de la plus haute im
ce dans toutes les compositions ; mais dans les autres discours où le
choix
et la direction du sujet n’appartiennent pas enti
on ne peut à cet égard tracer des règles générales. J’en laisserai le
choix
aux prédicateurs, suivant leur génie. L’expressio
parmi les divers arguments qu’une cause peut offrir, il faut faire un
choix
de ceux qui paraissent les plus puissants, et les
r objet de son travail toutes les idées ou tous les objets sans aucun
choix
. Il y a dans le monde une multitude d’objets qui
rose dans sa constitution grammaticale69 : il en diffère aussi par le
choix
des pensées et des expressions. Il faut que celle
Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux. (Boileau). Indépendamment de
me encore la foudre qui l’a frappé , il se soit arrêté à dessein à ce
choix
de syllabes longues et tristement sonores, pour t
isir, dis pour diversim, de divers côtés), signifie choisir, faire un
choix
, et, par extension, aimer par choix, par estime,
ôtés), signifie choisir, faire un choix, et, par extension, aimer par
choix
, par estime, par préférence. Amicos diligere debe
goût. L’élocution est la partie de la composition qui a pour objet le
choix
, l’arrangement et l’ornement des mots. C’est le v
attention des élèves sur la coupe des phrases, des périodes et sur le
choix
des synonymes. [De la phrase] 1° La phrase e
musique, et charment ainsi l’oreille en même temps que la pensée. [
Choix
des synonymes] 3° Le choix des synonymes contr
reille en même temps que la pensée. [Choix des synonymes] 3° Le
choix
des synonymes contribue beaucoup à la correction
soit pour ne pas se répéter, soit pour ne pas choquer l’oreille ; le
choix
doit alors se porter sur le mot, qui, par son sen
consiste à exposer plusieurs idées et à se montrer embarrassé sur le
choix
de celle sur laquelle on veut insister. L’orateur
nie dans le style est de deux sortes. L’harmonie mécanique résulte du
choix
et de la disposition des mots, c’est par elle que
out le inonde de découvrir et encore moins de placer à propos. VI.
Choix
des epithètes. L‘épithète est un adjectif qui
contient deux ou plusieurs propositions différentes dont on laisse le
choix
à l’adversaire, de telle sorte que quoiqu’il acco
ée et qu’elle manque de grâce, d’aisance et de naturel. Le mauvais
choix
d’épithètes. — Accumuler une série d’adjectif
ur du langage populaire, l’éloignement de tout ce qui est trivial, le
choix
de tout ce qui est piquant, le triomphe de la mét
e nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes, Et ce
choix
sert de preuve à tous les courtisans Qu’ils saven
ent mal payer les services présents. D. Diègue. Ne parlons plus d’un
choix
dont votre esprit s’irrite ; La faveur l’a pu fai
ns honneur, Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne, Malgré le
choix
du Roi, m’en a su rendre indigne. Et toi, de mes
comte, en votre cour, l’a fait presque à vos yeux3 ; Jaloux de votre
choix
, et fier de l’avantage Que lui donnait sur moi l’
t par je ne sais quoi de spontané et d’imprévu. Elle consiste dans le
choix
de certaines expressions simples d’une molle douc
finesse du style consiste dans la délicatesse des tours et l’heureux
choix
des mots, et surtout dans l’art de n’exprimer qu’
elle est susceptible, les caractères qu’elle donne à la pensée par le
choix
, le mélange, l’assortiment des mots. La nécessité
e la grâce du style ? La grâce du style est le charme qui résulte du
choix
des mots, de la richesse et de l’élégance des exp
, une sorte de pléonasme vicieux que l’on doit éviter. Il y a donc un
choix
à faire, et ce choix exige beaucoup de discerneme
sme vicieux que l’on doit éviter. Il y a donc un choix à faire, et ce
choix
exige beaucoup de discernement. On doit recherche
age dans le vers et en augmente la poésie. Il faut remarquer aussi le
choix
et la beauté des autres expressions : le mot stab
u’on voit s’amollir sous la pression de ses petits doigts ; enfin, le
choix
de cette épithète mirabile, convenant si bien à c
’est que M. l’abbé Piron, qui a fait preuve d’un goût parfait dans le
choix
de ses exemples, cherche constamment à former le
la méthode, la clarté des divisions, l’exactitude des définitions, le
choix
des exemples, la sagesse des conseils et la sobri
idée des plus essentiels, en parcourant les objets suivants. I. Du
Choix
et de l’Arrangement des Faits. Le champ qui s’
ent passer sous la plume de l’historien ? Non, sans doute : il y a un
choix
à faire ; et ce choix dépend d’un esprit sage et
me de l’historien ? Non, sans doute : il y a un choix à faire ; et ce
choix
dépend d’un esprit sage et judicieux, d’un discer
conter brièvement l’histoire de Joseph. Un discernement juste pour le
choix
des événements, est nécessaire à celui qui veut f
sque, ou, ce qui est la même, chose, vraiment poétique, s’attacher au
choix
des pensées et des expressions. Il faut qu’elles
quel coup venez-vous de frapper ? Le poète doit encore s’attacher au
choix
des tours. Ils consistent dans le judicieux emplo
s vous parlent par ma voix, Souffrez que j’ose ici me flatter de leur
choix
, Et qu’à vos yeux, Seigneur, je montre quelque jo
ots entraîne, qui résiste et qui cède alternativement. Voyez comme le
choix
des syllabes, la marche des vers et le grand nomb
x trepidare rivo. Comme tout est achevé dans ce petit tableau ! Quel
choix
heureux, quelle justesse dans l’expression ! Cett
et de la pensée, caresser l’oreille et charmer l’esprit par l’heureux
choix
des mots et l’harmonie d’une période savante. Mai
l’art qui consiste à caresser l’oreille et à charmer l’esprit par un
choix
de mots harmonieux. En voulant faire admirer Ture
nt éprise de la gloire, madame de Staël a des qualités viriles par le
choix
de ses sujets et l’étendue de ses vues. Elle a re
3, quand on se courbe par devoir devant celui qu’on aurait honoré par
choix
, les plus grandes marques du plus profond respect
u’on a choisis pour ses lectures. Sans revenir sur l’importance de ce
choix
, nous ferons remarquer avec d’Aguesseau, qu’on ne
s, il faut user d’une grande sagacité dans le discernement et dans le
choix
, pour ne pas se laisser égarer par les défauts qu
sque toujours forte si elle est concise ; cependant il faut encore un
choix
de circonstances telles qu’il en résulte que l’ob
tomber. La haute importance de la règle que je viens d’établir sur le
choix
convenable des détails dans les descriptions subl
emblables exemples montrent jusqu’à quel point le sublime dépend d’un
choix
heureux de circonstances, et avec quelle attentio
les, et dans l’assemblage des sons articulés dont chacun d’eux a fait
choix
pour se communiquer ses idées. Cette méthode arti
t été inventés, ou que les noms ont été assignés arbitrairement, sans
choix
et sans raison. Quelques motifs devaient toujours
r. On se servit d’abord des hiéroglyphes plutôt par nécessité que par
choix
; ils ne furent point un effet du perfectionnemen
, elle mérite nos soins et notre application, tant sous le rapport du
choix
des mots dont nous nous servons, que sous celui d
fin qu’aucune autorité suffisante n’a consacrées. La propriété est un
choix
de mots que l’usage le meilleur et le plus généra
que d’expressions et de phrases véritablement anglaises, en a fait un
choix
malheureux. D’un autre côté, le style n’a de prop
re regardée comme un modèle de pureté et de précision relativement au
choix
des mots, modèle dont il semble que nous nous éca
iété dans ses expressions évite les deux autres. La propriété dans le
choix
des termes rend la pensée telle qu’elle est conçu
mais pour bien réussir, quelle attention ne doit-on pas apporter aux
choix
que l’on fait ? La plupart des auteurs confondent
la fois facile et gracieux, et en même temps exact et correct dans le
choix
des mots, voilà sans doute le plus haut degré de
entale, qui est la clarté ; ce que j’en ai dit se rapporte surtout au
choix
des mots ; je vais passer des mots aux phrases ;
air qu’on pourrait d’abord l’imaginer. L’ambiguïté vient d’un mauvais
choix
de mots ou d’un arrangement vicieux. J’ai dit, da
ieux. J’ai dit, dans la Lecture précédente, tout ce qui concernait le
choix
des mots relativement à la clarté ; nous allons n
car le génie de notre langue ne laisse pas une grande liberté dans le
choix
des constructions. Presque toujours les mots esse
évident que l’harmonie de ces sortes de phrases dépend tout à fait du
choix
des mots et de leur arrangement. Je commencerai p
fait du choix des mots et de leur arrangement. Je commencerai par le
choix
des mots, sur lequel il y a peu de choses à dire,
se, dans quelque langue que ce soit, la prose doit être libre dans le
choix
de ses nombres, et les modulations des phrases do
ents, enfin les émotions ou les affections de l’âme. 1º. Je dis qu’un
choix
convenable de mots peut produire un son ou une sé
ble à une autre, ne peuvent que nous aider et nous diriger dans notre
choix
. La seconde observation que j’ai annoncée est que
ur ses moyens d’expression ; en sorte qu’autant par nécessité que par
choix
, les tropes se multiplient sans cesse. Tous les o
ans examiner s’il convient au sujet. La seconde règle est relative au
choix
des objets dont nous devons emprunter les métapho
à leur sujet, se sont en quelque sorte efforcés de le dégrader par un
choix
malheureux de figures déplacées. Des écrivains, m
e ne connais aucun auteur anglais plus heureux que M. Addison dans le
choix
de ses métaphores ; son imagination, sans avoir l
xécution en soit heureuse, il faut une imagination ardente, et un tel
choix
de circonstances, que nous puissions aisément nou
s du style que nous avons précédemment examinées, c’est-à-dire par le
choix
des mots, l’arrangement des phrases, la précision
la nature du sujet que nous traitons qui doit nous déterminer dans le
choix
du style. Des discours destinés à être prononcés
ers. La force et la vivacité d’une description dépendent bien plus du
choix
heureux d’une ou deux circonstances frappantes, q
s du langage. Elles partagent son attention, qui se porte plus sur le
choix
des mots et sur la grâce de leur arrangement, que
sans une grande clarté, une grande justesse d’expression, un heureux
choix
de mots et une construction soignée, facile et ha
l peut souffrir le moins, c’est une attention trop minutieuse dans le
choix
des mots. Habeat ille, dit Cicéron (Orator, c. 2
la chaleur du débit. Il est singulièrement heureux et précis dans le
choix
de ses expressions. Si pour l’exactitude de la co
ue l’on doit éviter de porter à l’excès l’attention que l’on donne au
choix
des mots. Il ne faut pas arrêter le cours de nos
ses talents en combattant les préjugés opposés à sa cause, en faisant
choix
d’arguments solides sur lesquels il insiste de to
persuasion ; l’orateur veut déterminer ceux qui l’écoutent à faire un
choix
ou à prendre un parti qu’il croit bon et utile. P
ver soigneusement cette réputation d’honneur et de probité, et par le
choix
des causes, et par la manière de les plaider. Car
de l’objet de l’éloquence de la chaire, doit mettre tous ses soins au
choix
des sujets. C’est à la théologie, plutôt qu’à la
u’à la rhétorique, à déterminer les règles qui peuvent guider dans ce
choix
. Nous dirons seulement que ces sujets, en général
pas toujours le maître de l’observer, parce qu’il n’a pas toujours le
choix
et la direction de son sujet. Mais si, dans un se
e procurent les sentiments véritablement religieux, fixent souvent le
choix
des jeunes prédicateurs, parce qu’ils leur semble
intes Écritures, commandent toujours l’attention lorsqu’on en fait un
choix
heureux. Il ne faut pas laisser échapper une occa
nterprétation], est rempli d’observations tellement détaillées sur le
choix
et l’arrangement des mots, que souvent elles nous
leur sont moins accessibles. J’ai voulu présenter aux jeunes gens un
choix
tout fait qu’ils liront avec le dessein d’y trouv
ression de Cicéron abat une forêt de matériaux, et l’autre en fait le
choix
et les met en œuvre avec intelligence. La rhétori
ire les oraisons des plus célèbres orateurs grecs ; et alors j’eus le
choix
de tous les termes de ma langue, pour exprimer en
inis circumscribat aut definiat jus suum. (De Orat. 1. I.) Et dans le
choix
des sujets qu’on propose, ou des exemples qu’on p
ar l’attention qu’il donnera aux points essentiels de la cause, parle
choix
qu’il fera des moyens décisifs ; car rien ne dist
te âme impérieuse qui se vantait de n’agir que par raison suit par un
choix
honteux et téméraire ce qu’une volonté corrompue
ong travail et d’une pénible recherche : elles sont heureuses dans le
choix
des termes, qu’elles placent si juste, que, tout
de plus simple ; il en fait la peinture ou l’histoire. L’autre, sans
choix
, sans exactitude, d’une plume libre et inégale, t
e pensent point. Ils disent ce que les auteurs ont pensé, et comme le
choix
des pensées est invention, ils l’ont mauvais, peu
u’on appelle la jeunesse, ou l’on n’a pas la force de l’embrasser par
choix
, ou l’on n’a pas celle d’y persévérer ; et si l’o
essé de l’être ; si quelques poètes s’en sont servis, c’est moins par
choix
que par la contrainte de la mesure. Issu prospère
êtres ont mieux écrit que nous, ou si nous l’emportons sur eux par le
choix
des mots, par le tour et l’expression, par la cla
une vertu qui ne soit pas la sienne. Toucherai-je aussi votre dernier
choix
, si digne de vous56 ? Quelles choses vous furent
s tours et toutes les finesses de la langue, qui plaisent par un beau
choix
de paroles, qui fassent aimer les solennités, les
à l’idée qu’on veut lui donner. Ainsi il faut être judicieux pour le
choix
des circonstances ; mais il ne faut point craindr
a plupart des gens qui veulent faire de beaux discours cherchent sans
choix
également partout la pompe des paroles : ils croi
ucun autre mot latin puisse être son étymologie : en effet, il y a du
choix
dans tout ce qui est élégant. L’élégance est un r
la seule harmonie, le seul nombre ; c’est la clarté, le nombre, et le
choix
des paroles. Il y a des langues en Europe dans le
ue dans la scène ils s’attachaient au naturel par discernement et par
choix
, c’est que dans les chœurs, qui étaient des odes,
le sa noblesse et son élégance : car il faut savoir être naturel avec
choix
, simple avec dignité et négligé même avec grâce.
iment, ont leur beauté, leurs grâces naturelles. Et ce n’est pas sans
choix
, sans l’étude et sans art, mais avec un choix, u
. Et ce n’est pas sans choix, sans l’étude et sans art, mais avec un
choix
, une étude, un art imperceptible, et d’autant plu
il fait paraître non-seulement dans ses ouvrages, mais encore dans le
choix
de ses modèles, qu’il a pris chez les Espagnols e
génie, si l’on joint de la délicatesse et du goût, du scrupule sur le
choix
des expressions, de l’attention à ne nommer les c
sées. Dans les langues encore nouvelles, il est contraint de faire ce
choix
, par le retardement que lui imprime la nécessité
un verre ! Mais on voit clair et on voit loin : image de ces mots de
choix
. On les place dans la mémoire, et on les y garde
est vrai, quand cette obscurité lui vient de son excellence même, du
choix
des mots qui ne sont pas communs, du choix des mo
de son excellence même, du choix des mots qui ne sont pas communs, du
choix
des mots qui ne sont pas vulgaires. Il est certai
séances, Convenances, Analogie du style, Vérité relative ; et pour le
choix
du naturel le plus exquis. voyez: Imitation. 93
: l’harmonie des mots, des phrases, imitative et des périodes ; 3° Le
choix
des pensées ; 4° Les rapports des pensées entre e
rêté du Gouvernement, le 27 frimaire an xi (27 octobre 1802), pour le
choix
des Livres classiques dans chaque classe de latin
parses dans un si grand nombre d’ouvrages, et dont nous avons fait un
choix
sévère, en essayant de donner quelquefois plus de
panégyriques, sinon des exhortations à la vertu ? On délibère sur le
choix
d’un général ; l’éloge de Pompée détermine les su
retrace en quelque sorte le caractère de l’orateur. Il est un certain
choix
de pensées et d’expressions qui, joint à une acti
éniens, à quel point d’arrogance il est monté : cet homme vous ôte le
choix
de la guerre ou de la paix ; il vous menace ; il
arguments que de les choisir, de les arranger et de les traiter. 1º.
Choix
des preuves. Parmi les preuves qui se présentent
et pas, et vous vous nuiriez par un mensonge. » C’est ce triage et ce
choix
fait avec soin qui seul peut écarter l’inconvénie
ce, recommande à l’orateur ce juste discernement qui doit présider au
choix
des idées et des images que l’amplification lui f
rce. Mais il n’abusera point d’un tel trésor : il n’y puisera qu’avec
choix
et discernement ; car tous les temps, toutes les
étrangères, ou inutiles ; et le goût doit éclairer l’orateur dans son
choix
. Autrement saura-t-il s’arrêter et se fixer aux b
l’hospitalité, la reconnaissance. Voilà l’Invention. Après avoir fait
choix
des raisons, il fallait leur donner un ordre conv
rdente entasse images sur images ; la sage est celle qui emploie avec
choix
tous ces différents caractères, mais qui admet tr
dent leur proie. III, 5. L’harmonie du style résulte, en général, du
choix
des mots et de leur arrangement dans la phrase. N
nous a donné à la fois le précepte et l’exemple : Il est un heureux
choix
de mots harmonieux : Fuyez des mauvais sons le co
Mais il est dans l’harmonie une condition non moins nécessaire que le
choix
et la succession des mots, et qui demande une ore
ce, mais où le bon goût règne avec l’économie ; le bon goût, c’est le
choix
. On ne trouvera ici aucune de ces figures des rhé
la seule harmonie, le seul nombre : c’est la clarté, le nombre et le
choix
des paroles. La poésie surtout, ne peut faire d’e
a plupart de ceux qui veulent faire de beaux discours, cherchent sans
choix
également partout la pompe des paroles : ils croi
t J.-B. Rousseau le clinquant du discours. Et qui, par force et sans
choix
enrôlés, Hurlent d’effroi de se voir accouplés.
oètes grecs et les latins n’étaient pas aussi sévères que nous sur le
choix
des épithètes. Ils disaient flavum aurum, humida
loin que la périphrase, pourvu qu’on ne la répande point partout sans
choix
et sans mesure ; car aussitôt elle languit et ren
une chose et en faire entendre une autre ; paraître incertain sur le
choix
de ses pensées et de ses paroles ; établir des di
de vague des autres préceptes, si vous demandez qui vous indiquera le
choix
de ces styles, de ces figures, nous vous répondro
r, les traiter. Cicéron, au deuxième livre de l’Orateur, donne sur le
choix
des preuves d’excellents préceptes. Il faut moins
omparer, à peser les preuves, à se déterminer dans leur ordre et leur
choix
d’après son propre discernement, à se mouvoir, en
es Grecs vous parlent ma voix, Soutirez que j’ose ici flatter de leur
choix
; Et qu’à vos yeux, seigneur, je montre quelque j
its, et quelle est l’insolence de cet homme. Il ne vous laisse pas le
choix
de l’action ou du repos. Il use de menace : il pa
ale doit être naïf et gracieux. La naïveté du style consiste dans le
choix
de certaines expressions simples, pleines de moll
elées églogues. Le mot églogue, ἐκλογή, ecloga, signifie une pièce de
choix
ou un recueil de pièces choisies dans quelque gen
; voilà le judiciaire uni au démonstratif. On met en délibération le
choix
d’un général, et le panégyrique que Cicéron fait
sort », on dira : « C’est comme si l’on avait recours au sort pour le
choix
des athlètes, pour le choix d’un pilote, etc ». A
mme si l’on avait recours au sort pour le choix des athlètes, pour le
choix
d’un pilote, etc ». Aristt., Rhét., liv. II. On s
oire. La confirmation se propose tout naturellement trois objets : le
choix
des preuves, leur arrangement, leur développement
bjets : le choix des preuves, leur arrangement, leur développement.
Choix
des preuves. Parmi les preuves que le sujet fo
choses, et jusqu’où va l’insolence de cet homme : il ne vous donne le
choix
ni de l’action, ni du repos. Mais il menace, il p
es auditeurs ou des juges. Elle réclame un grand discernement dans le
choix
, une grande variété dans les tours de phrases, da
Il y a donc nécessité pour l’écrivain d’apporter un soin attentif au
choix
de l’expression. Par elle, il donne aux idées, au
is cette convenance du style avec le sujet ne dépend pas seulement du
choix
des mots et de leur propriété, mais encore de leu
ur introduire dans les langues cette espèce d’harmonie qui résulte du
choix
judicieux et de l’heureux arrangement des mots, i
es vives et brillantes, tableaux animés, sentiments doux et délicats,
choix
et harmonie des mots, tours ingénieux et brillant
s, dans les sentiments, quelquefois il naît des figures ou résulte du
choix
et de l’arrangement des mots. Il peut se trouver
s de la divinité, c’est au moment même qu’il lui offre une victime de
choix
qu’il succombe, victime lui-même de sa vengeance.
il a goûté en écoutant sa tragédie ; il exprime ses sentiments sur le
choix
du sujet, sur le caractère des personnages ; il i
.) Formez pour votre usage, à la campagne, une petite bibliothèque de
choix
; vous direz quels auteurs, quels ouvrages vous y
s, historiens, etc…. Il fera preuve d’intelligence et de goût dans le
choix
de ses auteurs favoris. (Paris, août 1876.) Un am
’associe pas au sentiment de ceux qui reprochent à l’auteur du Cid le
choix
de ce sujet. Il n’en est pas de plus digne de la
ions. Un charme d’élocution continuel, une harmonie enchanteresse, un
choix
de mots qui vont tous au cœur ou qui parlent à l’
uvrage, à qui n’échappent ni l’habile disposition des matières, ni le
choix
heureux des pensées, ni la mesure, ni la justesse
qu’il attaque, il met ses pires railleries : « Ne parlons plus d’un
choix
dont votre esprit s’irrite. La cabale l’a fait pl
ien dirigé, à mettre dans leurs lectures expliquées la prévoyance, le
choix
, la méthode, sans lesquels ne saurait être donnée
l’innovation qu’il propose, en donnant d’assez bonnes raisons de leur
choix
; peu ont pris soin de marquer comme il convenait
en fait, pour notre langue, la part de la volonté intelligente et du
choix
dans l’introduction des néologismes ? Morale. De
hoisies. Indiquer les principes que doit suivre une maîtresse dans le
choix
des lectures qu’elle conseille à ses élèves. Extr
en fait, pour notre langue, la part de la volonté intelligente et du
choix
dans l’introduction des néologismes ? Ce sujet n’
es préceptes ou les conseils qu’on a pris soin d’ajouter, au sujet du
choix
de lectures le meilleur à faire, auraient dû s’éc
es événements ? (Insister seulement sur les plus marquants ; faire un
choix
.) L’état actuel de nos connaissances et l’histoir
es mérites essentiels aux bons vers ; noblesse et justesse de pensée,
choix
parfait d’expressions, clarté, précision, proprié
l’histoire et la morale. (Essais, III, 3.) Expliquer les motifs de ce
choix
. – Tout en s’inspirant des mêmes principes, mais
le Bidois. La Littérature française par les écrivains contemporains (
choix
de jugements, extraits, analyses, etc.) C’est tou
on de leurs manières, par la parfaite convenance de leur mise, par le
choix
de leurs termes en parlant. Ce point nous a paru
iques. Cet art, nous l’avons presque trouvé dans quelques morceaux de
choix
. En revanche, nous avons dû noter assez bas les c
position, pour le fonds surtout, a montré combien était nécessaire le
choix
d’une matière pareille, comme une indication et u
de style, une sévère précision, qui n’exclut ni l’élégance, ni le bon
choix
des termes. » Ordre des sciences Littérat
n sujet où l’antiquité aurait indirectement sa place, nous a dicté le
choix
du sujet d’histoire. Relativement facile, ce suje
érité, on prendra pour exemple un des grands écrivains français à son
choix
. Pédagogie. Pourquoi les bons maîtres ont-ils mo
e. Commenter l’une des deux sentences de La Bruyère ci-après, à votre
choix
: « La moquerie est souvent indigence d’esprit.
hoisies. Indiquer les principes que doit suivre une maitresse dans le
choix
des lectures qu’elle conseille à ses élèves. – Si
otre classe, laquelle choisiriez-vous ? Indiquez les raisons de votre
choix
. – Expliquez et développez cette pensée : « Les q
me de Berval (6 août 1698) : « Je crois, ma chère fille, que, dans le
choix
des sujets pour votre maison, vous devez vous att
’engagement. Choisissez votre devise et expliquez les motifs de votre
choix
. – Faites le portrait de la femme telle que vous
ez que cette bibliothèque se compose, et exposez les raisons de votre
choix
. – Lettre d’une institutrice à une amie, de même
re sûr de soi, – pour ne pas être pris en défaut. B. Il faut faire un
choix
judicieux des questions – ni trop difficiles, ni
Littérature. Analysez et appréciez une fable de La Fontaine à votre
choix
, en indiquant sur quels points vous insisteriez s
sont indiquées par sa triple fonction. – En outre il faut que pour le
choix
d’un plan, pour le style, pour l’évocation du pas
ture, février 1888.) le poecile. CONSEILS ET PLAN CONSEILS L’on a le
choix
entre trois scènes. Il convient de mettre en reli
Le récit doit être tenu pour vrai et être rendu vraisemblable par le
choix
des détails. Il convient d’éviter les épisodes oi
aucun document à sa portée, il doit se sauver par l’invention, par le
choix
ingénieux des détails, par leur agencement. Le dé
à propos ; mécontent de sa faiblesse, le lion pense à faire un autre
choix
; qu’il ne laisse pas échapper, par une timidité
humanité ? En faire ressortir l’importance de manière à justifier son
choix
. – Expliquer et commenter ces paroles d’Augustin
e une lettre de deux pages dans laquelle le candidat racontera, à son
choix
, une excursion faite dans Paris ou aux alentours.
pellier, de s’initier aux règles de la composition. Ils trouveront un
choix
de sujets et de plans littéraires dans la partie
pérances, leurs projets. Faites la lettre que l’un des trois, à votre
choix
écrit le lendemain à son père, en lui rendant com
s volumes que vous avez achetés, vous lui donnez les raisons de votre
choix
. Commenter le vers suivant du poète Du Belloi
rps du sujet, le développement, les paragraphes seront fournis par un
choix
judicieux d’exemples. Pour être complet, on pourr
ce, etc… – Quelle est l’invention que vous préférez ? Justifiez votre
choix
en mettant en relief son importance. – Lettre d’u
e mal porte en lui-même son remède. Entre la faim et l’émigration, le
choix
s’impose. Mieux vaut partir que mourir. La misère
arole ou l’écriture ses idées et ses sentiments. Il n’y a donc que le
choix
et la disposition qui nous appartiennent ; et il
s le rapport de l’Harmonie. L'harmonie dans le discours résulte du
choix
et de la disposition ingénieuse des mots qui form
l’éclat à nos pensées par la beauté sonore des expressions, exige un
choix
, un ensemble de mots d’une prononciation facile,
oindre le précepte à l’exemple, quand il a dit : « Il est un heureux
choix
de mots harmonieux ; Fuyez des mauvais sons le co
qui composent le discours17. Cette harmonie résulte non seulement du
choix
des mots et de leur disposition ; mais encore de
a nécessité de n’en confier la conduite qu’à un général habile, et le
choix
de ce général ; voilà le plan et la division natu
braves et intègres citoyens, pour que vous fussiez embarrassés sur le
choix
de celui qu’il faut mettre à la tête d’une pareil
ous, venus si tard, tâchons du moins d’être nous-mêmes. Faisons notre
choix
dans nos propres instincts. Ayons la sincérité et
end son vrai sens, et qu’il se définit pour tout homme de goût par un
choix
de prédilection et irrésistible. Le goût est fait
de fournir les embellissements. Or les règles aident l’esprit dans le
choix
du sujet, soutiennent le génie dans la création d
érité d’aucune e ses propositions. En admettant que vous ayez fait un
choix
heureux d’arguments, il est évident que l’effet q
s étendues ne soient d’un grand secours ; le goût nous dirige dans le
choix
des ornements, les connaissances nous ouvrent des
ues ; elle donne de la vivacité aux pensées et excite l’émulation. Le
choix
des modèles dont on se propose l’imitation est sa
être utiles. Si dans les sujets de leurs discours ils font de mauvais
choix
, s’ils se livrent à des discussions ridicules ou
osent de semblables réunions d’apporter l’attention la plus sévère au
choix
des sujets qu’ils y traitent. Que ces sujets soie
xposer ensuite dans tout leur jour. Il doit, en second lieu, faire un
choix
convenable entre les circonstances diverses qui s
soit pur, clair, et rien de plus. La trop grande délicatesse dans le
choix
des mots décèle le travail et l’étude ; aussi doi
e une des principales difficultés que le poète doit surmonter dans le
choix
et le langage de ses personnages, celle de tenir
dent mal ensemble ! » En supposant que le poète soit bien fixé sur le
choix
des personnages qui doivent figurer dans sa pasto
et soutient l’attention. Leur mérite consiste aussi beaucoup dans le
choix
et la fidélité des caractères qu’on y retrace. Co
ts produisent au premier instant une expression profonde ; un heureux
choix
des circonstances dans les descriptions en transm
urs. Le grand art d’une description pittoresque consiste donc dans le
choix
des circonstances. Premièrement, elles ne doivent
ssez d’exemples pour prouver ce que j’ai avancé sur l’importance d’un
choix
heureux de circonstances dans un ouvrage descript
repose doucement le clair de lune ! asseyons-nous ici. » Un heureux
choix
d’épithètes contribue surtout à embellir une desc
s. Il n’est aucune personne de goût qui puisse mettre en doute que le
choix
d’un héros ne doive, avant tout, fixer l’attentio
tout, fixer l’attention du poète épique, et que ce n’est qu’après ce
choix
qu’il puisse déterminer la fable qui sera le suje
milière. Lucain et Voltaire ont tous deux méconnu cette règle dans le
choix
de leur sujet, ce qui sans doute a nui au succès
ans une action épique. Comme le poète doit copier la nature, et faire
choix
d’une action vraisemblable et intéressante, il fa
rgile est inférieur à tous les deux. Tous les poètes épiques ont fait
choix
d’un personnage pour l’élever au-dessus des autre
ndant qu’il me semble qu’Homère fut moins heureux que Virgile dans le
choix
de son sujet. Le plan de l’Énéide embrasse un plu
dans un but politique. Comme poète, il suffisait, pour déterminer son
choix
, que ce sujet fût grand par lui-même, convînt à l
ès héroïque, je ne crois pas que Lucain ait été bien heureux dans son
choix
. Je trouve dans ce sujet deux défauts essentiels
ut ce qui porte le nom de poème épique. Milton fut-il heureux dans le
choix
de son sujet, c’est ce que l’on peut mettre en qu
intéressant ou plus pathétique. Ces deux qualités ne dépendent que du
choix
de l’action, du talent avec lequel le poète sait
r tragique que l’exposition du caractère de ses interlocuteurs, et le
choix
d’événements capables de disposer les spectateurs
at, plus naturel qu’ingénieux, et plus amoureux de l’abondance que du
choix
. Il a saisi, par une supériorité de goût, les pre
x ténèbres, plus d’horreur à ce qui est effroyable. Aussi a-t-il fait
choix
d’un sujet sur lequel il pouvait donner un libre
pas ? Quelquefois un discours entier a dû son mérite et son succès au
choix
heureux du passage qui lui sert de texte. Bossuet
re convenable. Il faut aussi que le langage soit beau, et que, par le
choix
des mots, la délicatesse des expressions, la stru
nements ; il comporte l’agrément des expressions, se distingue par le
choix
et l’harmonie des mots, par la variété des sons e
out fidèle au goût le plus pur et le plus délicat. Scrupuleux dans le
choix
des mots, il n’admet que la fleur des expressions
es traits les jeux d’esprit et les antithèses. Il s’occupe surtout du
choix
des mots, de l’arrangement des phrases et des art
génie, si l’on joint de la délicatesse et du goût, du scrupule sur le
choix
des expressions, de l’attention à ne nommer les c
μον ɛἰληφɛν ἑϰατέρας δυνάμɛως. — Des manuscrits portent ϰɛϰρίσθαɩ. Le
choix
ne peut être douteux entre ces deux variantes. To
tout ce qu’il dit par la beauté de l’élocution, c’est-à-dire, par le
choix
des épithètes, l’emploi des termes métaphoriques,
és : Tes greniers crouleront sous tes grains entassés. Parle-t-il du
choix
dès chevaux ? Il en fait la plus vive et la plus
? Il en fait la plus vive et la plus magnifique description. Dans le
choix
des coursiers, ne sois pas moins sévère. Du troup
de la course des chevaux et de l’invention des chars, à l’occasion du
choix
des chevaux ; et celle d’une peste qui avoit fait
irgile, par l’économie du plan, l’élégance et les grâces du style, le
choix
des ornemens, et la variété des descriptions. On
devoir. Je laisse, poursuit-il en parlant de Léonor, je laisse à son
choix
liberté tout entière. Si quatre mille écus de re
ntimens, De mon cœur agité font tous les mouvemens. L’un par un juste
choix
où l’honneur m’intéresse, A toute mon estime et t
s, des bourgeois, des hommes du peuple. On n’a qu’à y ajouter plus de
choix
, plus de précision, plus de vivacité, plus de sel
traduit mot à mot son modèle. Il montre un goût pur et exquis dans le
choix
de ses tableaux, un art infini dans la manière do
Métromanie, qui sera toujours comptée au nombre des chef d’œuvres. Le
choix
des caractères et la manière de les faire ressort
qu’il renonce à son premier dessein. Il laisse à Andromaque le triste
choix
de l’épouser, ou de voir périr son fils. Dans cet
tères connus. Quant à l’usage, au retranchement des circonstances, au
choix
des moyens, à l’invention des incidens, il peut,
elle. Mais quoique ce combat me promette un cercueil, La gloire de ce
choix
m’enfle d’un juste orgueil. Mon esprit en conçoit
e N’ont pu mettre un moment mon esprit en balance ; Et puisque par ce
choix
, Albe(a) montre en effet Qu’elle m’estime autant
défauts. Voulez-vous long-temps plaire et jamais ne lasser ? Faites
choix
d’un héros propre à m’intéresser, En valeur éclat
évation dans les sentimens, la même vivacité dans les images, le même
choix
; la même pompe d’expressions, la même hardiesse
examen sévère. La guerre est un devoir, et l’honneur la prescrit ; Le
choix
des armes seul doit fixer notre esprit. Il dit ;
e. Citons les premiers exemples qui se présenteront : il n’y a pas de
choix
à faire. Voici trois héros qui se mettent en marc
temps l’instruction du lecteur. Le poëte peut sans doute se borner au
choix
d’un sujet propre seulement à plaire. Mais celui
e veut dire petite pièce, petit tableau ; et le mot églogue, pièce de
choix
. La différence entre ces deux genres est à peu pr
inventives que lui a données la nature, il peut traiter un sujet. Le
choix
du sujet n’est pas indifférent. Le sujet doit pré
essentielles l’agrément et la distinction, et elle y parvient par le
choix
des pensées, des expressions, des tours, des nomb
un fils pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde, et j’ai fait
choix
de vous, Pharnace : allez, soyez ce bienheureux é
ore. Vous, que rien n’y retient, partez dès ce moment, Et méritez mon
choix
par votre empressement : Achevez cet hymen ; et,
a réticence. 1°. J’eus soin de vous nommer, par un contraire
choix
, Des gouverneurs que Rome honorait de sa voix ; J
re tant de pages, également inspirées par la vertu et le génie, notre
choix
était bien difficile. Au moins nous sommes-nous a
t à la liberté, mêlée à la retenue, qui est l’effet du jugement et du
choix
. La licence est restreinte par les préceptes ; et
on est l'expression de la pensée par la parole ; elle a pour objet le
choix
et l'arrangement des mots, c'est-à-dire le style
, et quand on veut avoir trop d'esprit. L'harmonie du style dépend du
choix
des mots et de l'arrangement de ces mots dans la
de ces pensées prise séparément se nomme membre de période. C'est du
choix
des mots et de leur arrangement dans la phrase qu
L'imitation et le plagiat. L'imitation guide l'écrivain dans le
choix
des pensées et dans le choix des tours qui peuven
L'imitation guide l'écrivain dans le choix des pensées et dans le
choix
des tours qui peuvent orner son style ; elle exig
riches et si fécondes, qu’il n’est guère possible de se méprendre au
choix
des uns ou des autres. Comment s’égarer, en effet
va puiser ; l’une enfin prépare les matériaux, et l’autre en fait le
choix
et les met en usage. Sans doute, c’est la nature
donner les premières leçons de style, d’être très rigoureux dans nos
choix
; nous les avons donc restreints à l’époque où, d
ts, serviront en outre à la culture et à l’ornement de la mémoire. Ce
choix
appartient au bon goût du professeur. C’est là le
re tant de pages, également inspirées par la vertu et le génie, notre
choix
était bien difficile. Au moins nous sommes-nous a
ce, meurent par nécessité, il est mort, je ne dis pas précisément par
choix
et par une disposition libre de sa volonté, mais
avantage. Non ; sa bizarrerie ne connaît personne, elle se prend sans
choix
à tout ce qu’elle trouve ; le premier venu lui es
je l’avoue, dans un petit nombre d’auteurs, à la pureté du style, au
choix
et à l’arrangement des matières ; et toutes les b
mier pas il ne se perdait dans les nues ; une érudition entassée sans
choix
décidait de la beauté et du mérite des éloges ; e
rsonnes, et de voir, pour ainsi dire, ratifier chaque jour le premier
choix
de la nation qui éleva ses ancêtres sur le trône
grâces de la diction, soit en éloquence, soit en poésie, dépendent du
choix
des mots, de l’harmonie des phrases, et encore pl
aucun autre mot latin puisse être son étymologie. En effet, il y a du
choix
dans tout ce qui est élégant351. L’élégance est u
la seule harmonie, le seul nombre ; c’est la clarté, le nombre et le
choix
des paroles. Un discours peut être élégant sans ê
ssent tous les objets de la création ; mais l’homme est votre être de
choix
: vous avez éclairé son âme d’un rayon de votre l
nce a fait l’homme libre afin qu’il fît, non le mal, mais le bien par
choix
. Elle l’a mis en état de faire ce choix en usant
non le mal, mais le bien par choix. Elle l’a mis en état de faire ce
choix
en usant bien des facultés dont elle l’a doué ; m
ustice On nous imputerait ce mauvais artifice. L’honneur d’un si beau
choix
serait trop acheté ; Si l’on nous soupçonnait de
tre Romains, parents contre parents, « Combattaient seulement pour le
choix
des tyrans495. « J’ajoute à ces tableaux la peint
les guerres civiles, « Sont les degrés sanglants dont Auguste a fait
choix
« Pour monter sur le trône et nous donner des loi
et rendez-vous justice : Pouvez-vous attenter sur ceux dont j’ai fait
choix
Pour soutenir mon trône et dispenser mes lois, Sa
tout point, chez moi, l’affaire est résolue. Au moins ne dites mot du
choix
de cet époux : Je veux à votre fille en parler av
e, Ne soit d’une voyelle en son chemin heurtée. Il est un heureux
choix
de mots harmonieux : Fuyez des mauvais sons le co
éron m’apprend par votre voix Qu’en vain Britannicus s’assure sur mon
choix
. En vain, pour détourner ses yeux de sa misère, J
t un fils qui succède à son père. En adoptant Néron, Claudius par son
choix
De son fils et du vôtre a confondu les droits : R
le n’a été abattue qu’assez récemment. 15. M. Campenon en a donné un
choix
(1807). M. Ubicini, et en outre M. A. Roux ont ré
est magnifique, le second est riche, le troisième encore d’un heureux
choix
; mais souvent le premier suffirait, et les deux
in celle de Crapelet, 1822, considérée même comme la meilleure, et un
choix
de ses pièces publié par Auger en 1810. 781.
père et d’un époux. 834. Cette narration, dit La Harpe, « par le
choix
des circonstances, la vérité des détails et des e
n’a plus son équivalent. C’était question de sobriété, de tact ou de
choix
; mais fallait-il envelopper dans une commune pro
essé de l’être ; si quelques poètes s’en sont servis, c’est moins par
choix
que par la contrainte de la mesure. Issue prospèr
êtres ont mieux écrit que nous, ou si nous l’emportons sur eux par le
choix
des mots, par le tour et l’expression, par la cla
é rédigé. Nous ne manquons pas de travaux, ou au moins de morceaux de
choix
sur les différents genres de littérature répandus
ant. Vous êtes belle, et votre sœur est belle ; Entre vous deux tout
choix
serait bien doux : L’Amour159 était blond comme v
, mon Dieu, la grandeur de mon impiété Ne laisse à ton pouvoir que le
choix
du supplice ; Ton intérêt s’oppose à ma félicité,
ie. Elle comprend l’apologue et la fable. L’apologue intéresse par le
choix
de l’allégorie, la naïveté qui séduit et persuade
d’après tout ce qui précède, que décrire ce n’est pas accumuler sans
choix
tous les détails d’une action ou d’un objet, quel
es. Un style familier, rempli d’aisance, de grâce et de naturel ; un
choix
de détails intéressants, feront le mérite d’une n
s toujours dirigé par le goût. 30. Montrez que la poésie s’attache au
choix
des pensées. La poésie dédaigne toute pensée tri
lets, qui sont chez elle le genre le moins élevé, il y ait un certain
choix
d’idées qui réveille le goût, et qui annonce un c
le implique toujours un élément harmonique plus ou moins apparent, un
choix
, une combinaison, un enchaînement de sons express
riade, Ch. 3). Quelle différence entre ces deux tableaux, et comme le
choix
et l’arrangement des mots sont également vrais, é
la folie, sans doute, à prendre les armes, si, heureux d’ailleurs, le
choix
eût dépendu de vous ; mais, s’il ne vous restait
ties, avec le degré de vraisemblance nécessaire à l’illusion ; sur le
choix
des caractères fidèlement empruntés de la nature,
e but de l’orateur est surtout de déterminer ses auditeurs à faire le
choix
, à prendre le parti qui lui semble le meilleur, l
rie-t-il, l’utile défiance de l’orateur sagement timide, qui, dans le
choix
et dans le partage de ses occupations, a perpétue
vous en avez reçu d’eux. Lettre cxl. 1. M. Campenon en a donné un
choix
(1807). M. Ubicini, en outre, et M. A. Roux ont r
alités, qui les étende et les augmente imperceptiblement1. Ibid.
Choix
de maximes. L’amour-propre est le plus grand d
mon Dieu ! la grandeur de mon impiété Ne laisse à ton pouvoir que le
choix
du supplice. Ton intérêt s’oppose à ma félicité ;
y va puiser ; l’une abat une forêt de matériaux et l’autre en fait le
choix
et les met en œuvre avec intelligence ; et enfin
donner les premières leçons de style, d’être très rigoureux dans nos
choix
; nous les avons donc restreints à l’époque où, d
ts, serviront en outre à la culture et à l’ornement de la mémoire. Ce
choix
appartient au bon goût du professeur. C’est là le
té élevé ; 2º choisit toujours l’opinion la plus vraisemblable, et ce
choix
une fois fait, la suivre avec fermeté ; 3º tâcher
erses occupations qu’ont les hommes en cette vie, pour tâcher à faire
choix
de la meilleure ; et, sans que je veuille rien di
avec ce qui le suit regarde l’autre. » Le nœud dépend entièrement du
choix
et de l’imagination industrieuse du poète, et l’o
e point, pût s’arrêter dans une chambre ou dans une salle, suivant le
choix
qu’on en aurait fait ; mais souvent cela est si m
unes vraies, les autres fausses ; et c’est à la raison d’en faire le
choix
. Ceux qui choisissent bien sont ceux qui ont l’es
ncommode. Réflexions diverses, p. 417 et suiv. de l’édit. citée.
Choix
de maximes. L’amour-propre est le plus grand
re tant de pages, également inspirées par la vertu et le génie, notre
choix
était bien difficile. Au moins nous sommes-nous a
ong travail et d’une pénible recherche : elles sont heureuses dans le
choix
des termes, qu’elles placent si juste, que, tout
de plus simple ; il en fait la peinture ou l’histoire. L’autre, sans
choix
, sans exactitude, d’une plume libre et inégale, t
génie, si l’on joint de la délicatesse et du goût, du scrupule sur le
choix
des expressions, de l’attention à ne nommer les c
rtient pas de faire fléchir leur courage393. Caractères 394, IX.
Choix
de maximes. Lorsqu’une pensée est trop faible
ait du tombeau. On voit Sertorius, Œdipe et Rodogune Rétablis par ton
choix
dans toute leur fortune ; Et ce choix montrerait
pe et Rodogune Rétablis par ton choix dans toute leur fortune ; Et ce
choix
montrerait qu’Othon et Suréna Ne sont pas des cad
er le nom, Que de vouloir le mettre à toute occasion. Avec lumière et
choix
cette union veut naître ; Avant que513 nous lier,
ais si le style Pourra vous en paraître assez net et facile, Et si du
choix
des mots vous vous contenterez. ALCESTE. Nous all
l’âme, Le fit enfin songer à choisir une femme, Et l’honneur dans ce
choix
ne fut point regardé. Vers son triste penchant so
ingratitude. Mais, pour punir enfin nos maîtres à leur tour, Dieu fit
choix
de Cyrus avant qu’il vît le jour, L’appela par so
d’exciter sa vengeance. Alliée ou plutôt sujette des Romains, De leur
choix
l’Arménie attend des souverains. Vous le savez, s
ue je frissonne ? et quel est donc mon crime ? Me serais-je mépris au
choix
de la victime ? Ou le sang des Romains est-il si
épeuplent les rivages ? Ah ! Dieu nous envoyait, quand de nous il fit
choix
, Pour annoncer son nom, pour faire aimer ses lois
t à la liberté, se mêle la retenue, qui est l’effet du jugement et du
choix
» (Remerciement à l’Académie). 376. Scribe
oire, il ne faut point attendre Qu’elles viennent t’offrir ce que son
choix
doit prendre. Les grands hommes, Colbert, sont ma
il s’y connaît en maître, Et te dira toujours, pour l’honneur de ton
choix
, Sur qui tu dois verser l’éclat des grands emploi
relief les mœurs, les lois et les institutions. Mais il faut faire un
choix
dans les détails, et ne rien mettre d’inutile. —
ersuadé que vous le ferez, et quelque attention que vous ayez dans le
choix
de vos amis, il sera presque impossible que vous
t de la pensée, caresser l’oreille, et charmer l’esprit par l’heureux
choix
des mots et l’harmonie d’une période savante. Mai
vaste dans ses desseins, pénétrant dans ses conseils, juste dans ses
choix
, heureux dans ses entreprises, et, pour tout dire
nt de renommée. Il semble pressentir sa défaite, quand, apprenant le
choix
qu’on a fait d’Horace, il s’écrie : Puisque vous
remettre au goût des gens éclairés ou aux décisions de l’Académie le
choix
des termes qui peuvent être importés dans notre l
nd, on est incomplet. En se privant du temps nécessaire pour faire un
choix
parmi les matières de développement, on néglige d
le, pleine d’écueils et d’incertitudes. Le ministre que votre auguste
choix
désignera pour mon successeur sera aux prises ave
e je vous exhorte à lui conférer ; mais ils ne prouvent pas que votre
choix
doive nécessairement s’arrêter sur lui, et c’est
ouvoir convaincre Votre Majesté. La raison qui vous oblige à faire ce
choix
, Sire, la voici : par une confiance de vingt anné
la tombe l’espoir qu’il achèvera mon œuvre commencée, et ratifiez le
choix
que je vous propose. Votre gloire vous le conseil
me sembleront telles ; mais, outre que je pourrai me tromper dans mon
choix
, il ne sera pas bien difficile de donner un autre
Despréaux quel était l’écrivain le plus remarquable de son règne ; le
choix
pouvait sembler difficile ; le satirique n’hésita
t de celles qui la constituent dans son espèce. Chapitre XIII. Du
choix
des personnages principaux. Du dénouement. Vo
t. Qui hérisserait un discours de métaphores, de mots étrangers, sans
choix
et sans mesure, et pour être ridicule, y réussira
. Chapitre XXIII. Différence entre l’épopée et l’histoire pour le
choix
du sujet et la durée des événements. Quant au
es premiers caractères de l’épopée consacrée par les maîtres. Faites
choix
d’un héros propre à m’intéresser, En valeur éclat
s révoltent le spectateur. La justice n’est pas une vertu d’État. Le
choix
des actions ou mauvaises ou bonnes Ne fait qu’ané
matiques. En effet, dans les sciences exactes, il n’y a ni liberté ni
choix
; la vérité est rigoureuse et n’abandonne rien à
là que le commerce de ces sublimes génies forme notre langage, par le
choix
excellent des termes, comme il élève l’âme, l’écl
est plein de traits d’une concision sublime. On n’a que l’embarras du
choix
: L’amour n’est qu’un plaisir, l’honneur est un
ers excellents, où l’exemple s’allie au précepte : Il est un heureux
choix
de mots harmonieux : Fuyez des mauvais sons le co
de l’Académie. Là se formait cet esprit de discipline, de règle et de
choix
qui a dominé tout le grand siècle. Là se contrôla
coûtent toujours cent fois plus que les besoins. Soyez délicat sur le
choix
de vos amis ; votre fortune et votre salut dépend
Lorraine se disputaient le droit d’imposer à la France un roi de leur
choix
. Le tocsin avait partout appelé le peuple aux arm
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