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1 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
i donnons alors La vieille meute ; et moi, je prends en diligence Mon cheval alezan. Tu l’as vu ? Éraste. Mon cheval alezan.
je prends en diligence Mon cheval alezan. Tu l’as vu ? Éraste. Mon cheval alezan. Tu l’as vu ?Non, je pense. Dorante. Comm
heval alezan. Tu l’as vu ?Non, je pense. Dorante. Comment ! c’est un cheval aussi bon qu’il est beau, Et que ces jours passés
considère. Aussi je m’en contente ; et jamais, en effet, Il n’a vendu cheval ni meilleur ni mieux fait. Une tête de barbe 1, a
veille ; Et j’en ai refusé cent pistoles, crois-moi, Au retour 8 d’un cheval amené pour le roi. Je monte donc dessus, et ma jo
trouvé l’action tellement hors d’usage, Que j’ai donné des deux à mon cheval de rage, Et m’en suis revenu chez moi toujours co
emin par une autre heurtée, 8. Sort du bois… 1. C’est le nom de chevaux de cette partie de la côte d’Afrique qu’on appell
e d’Afrique qu’on appelle la Barbarie. Ce pays produit, en effet, des chevaux très-estimés. 2. Marque blanche sur le front d’u
effet, des chevaux très-estimés. 2. Marque blanche sur le front d’un cheval . 3. Les courtisans affectaient de prononcer dret
tisans affectaient de prononcer dret, drette. 4. On appelle ainsi le cheval dont les articulations inférieures sont courtes :
; … Il faut voir, au reste, dans ce passage la description d’un beau cheval , pour la rapprocher de celle de Molière. 6. Quo
2 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152
aujourd’hui. Époques de la nature 2, VIIe et dernière époque. Le cheval . La plus noble conquête que l’homme ait jamais
guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait au bruit
t de toutes ses forces, s’excède, et même meurt pour mieux obéir1… Le cheval est de tous les animaux celui qui, avec une grand
ractère le plus ignoble de tous ; cependant, quoique les mâchoires du cheval soient fort allongées, il n’a pas comme l’âne un
r de légèreté qui est bien soutenu par la beauté de son encolure2. Le cheval semble vouloir se mettre au-dessus de son état de
ibue plus que celle de toutes les autres parties du corps à donner au cheval un noble maintien. Histoire naturelle 1 : quadru
description celle que Bossuet et Châteaubriand ont faite également du cheval  : le premier, dans les Méditations sur l’Evangile
Itinéraire de Paris à Jérusalem, IIIe partie. 2. Voy. la peinture du cheval dans Virgile, Géorgiq., III, v. 75 et suiv. Cf. M
3 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
Chevaux d’Achille et Chevaux du dieu Ms. Les chevaux d’Ac
Chevaux d’Achille et Chevaux du dieu Ms. Les chevaux d’Achille avoient été, se
Chevaux d’Achille et Chevaux du dieu Ms. Les chevaux d’Achille avoient été, selon la fable, engendrés
r le Zéphir. Ils étoient immortels, et s’appeloient Balius et Xs. Les chevaux du dieu Mars, qu’on appelle aussi Dieu de la Thra
4 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
nt au travers de Nanterre, tra, tra, tra ; ils rencontrent un homme à cheval  : Gare, gare ! Ce pauvre homme veut se ranger ; s
un homme à cheval : Gare, gare ! Ce pauvre homme veut se ranger ; son cheval ne veut pas ; et enfin le carrosse et les six che
se ranger ; son cheval ne veut pas ; et enfin le carrosse et les six chevaux renversent l’homme et le cheval, et passent par-d
as ; et enfin le carrosse et les six chevaux renversent l’homme et le cheval , et passent par-dessus, et si bien par-dessus que
ue le carrosse en fut versé et renversé. En même temps, l’homme et le cheval , au lieu de s’amuser à être roués et estropiés, s
nche, qui était le jour qu’il croyait donner la bataille1. Il monta à cheval le samedi à deux heures, après avoir mangé ; et,
aujourd’hui, cela sera le mieux du monde. » Il eut à peine tourné son cheval qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la main
Ce gentilhomme, qui le regardait toujours, ne le voit pas tomber ; le cheval l’emporte où il avait laissé le petit d’Elbeuf ;
re tombé, mais il était penché le nez sur l’arçon. Dans ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses ge
5 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
ui aussi, sous le regard du prince, il eût « changé prés et vignes en chevaux et armes pour aller mourir au lit d’honneur ». S’
doute qui estoit parmi les Siennoys. Et ainsi nous en allasmes tous à cheval au palais, et comme nous eusmes monté le degré, n
e goutte en toute la ville dés la demy-fevrier. Avions mangé tous les chevaux , asnes, muletz, chatz et ratz qu’estoient dans la
e2 qui avoit perdu la veuë de vieillesse ; messer Iheronym Espano ung cheval turc qui avoit plus de vingt ans : voilà tous les
m Espano ung cheval turc qui avoit plus de vingt ans : voilà tous les chevaux et jumens qui estoient demeurés dans ville en ces
mains. 1. Marchèrent à côté des nôtres. 2. Les gens d’armes sont à cheval .
6 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
bus, ou le Soleil, monté sur un char resplendissant traîné par quatre chevaux  ; et sur la terre Apollon, dieu des arts et des s
rmesse (dans la Turquie d’Europe d’aujourd’hui), lieux où paissait le cheval Pégase qui leur servait de monture. Ce dieu ayant
rre un olivier chargé de fruits, après que ce dieu eut fait sortir un cheval fougueux. Athènes, située sur le golfe d’Enguia,
du Rhin, il se jeta dans le bateau du prince de Condé, parce que son cheval ne voulait pas passer. Il reçut, après le passage
Rhin. Centaures, Monstres, suivant la fable, moitié hommes et moitié chevaux . Ce qui a donné lieu à cette fiction, c’est que l
é lieu à cette fiction, c’est que les premiers hommes qui montèrent à cheval , parurent de loin avoir cette forme. Ces hommes h
ésentaient avec un visage irrité, monté sur un char, et quelquefois à cheval , ayant une pique ou un fouet à la main. On l’appe
up de son trident (fourche à trois pointes), il fit sortir le premier cheval des entrailles de la terre. C’est pour cela qu’il
ailles de la terre. C’est pour cela qu’ils lui attribuent le soin des chevaux et des chars, et l’art de monter à cheval. On le
lui attribuent le soin des chevaux et des chars, et l’art de monter à cheval . On le représente avec un visage de vieillard, un
eillard, un trident à la main, et porté sur un char traîné par quatre chevaux marins, ou par des dauphins. Néron, fils de Domi
Priam, avait enlevé Hélène, femme de Ménélas, roi de Sparte. L’énorme cheval de bois, où ils enfermèrent des troupes, et qui f
de cette déesse. Enfin il tua Rhésus, roi de Thrace, et lui prit ses chevaux avant qu’ils eussent bu de l’eau du Xanthe. C’est
7 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mézeray. (1610-1683.) » pp. 12-14
e duc d’Aumale et Brissac, qui étaient dans la ville avec douze cents chevaux , tâchassent de les rassurer, et crièrent si fort
sie. Henri, fils du duc de Lorraine, était venu la joindre avec mille chevaux et deux mille hommes de pied ; le duc de Parme y
ux mille hommes de pied ; le duc de Parme y avait envoyé quatre cents chevaux et douze cents hommes de pied wallons ; Christoph
que toutes ces forces jointes ensemble faisaient près de quatre mille chevaux et plus de quinze mille hommes de pied. Le roi, é
8 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
vient à plusieurs personnes ou à plusieurs choses semblables : homme, cheval , maison, sont des noms communs ; car le mot homme
ngulier par al, ail, font leur pluriel en aux : le mal, les maux ; le cheval , les chevaux ; le travail, les travaux. (Excepté
al, ail, font leur pluriel en aux : le mal, les maux ; le cheval, les chevaux  ; le travail, les travaux. (Excepté détails, éven
9 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43
s dites ?… Harpagon. Qu’il faut nettoyer mon carrosse, et tenir mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire… Maître Jac
es chevaux tout prêts pour conduire à la foire… Maître Jacques. Vos chevaux , monsieur ! Ma foi, ils ne sont point en état de
que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes, des façons de chevaux . Harpagon. Les voilà bien malades ! ils ne font
es voir ainsi exténués ; car enfin, j’ai une telle tendresse pour mes chevaux , qu’il me semble que c’est moi-même, quand je les
sens pour vous de la tendresse, en dépit que j’en aie, et, après mes chevaux , vous êtes la personne que j’aime le plus. L’
on vous surprit une nuit, en venant dérober vous-même l’avoine de vos chevaux , et que votre cocher, qui était celui d’avant moi
comme l’égoïsme. 3. C’est le type du cocher, qui vit par et pour ses chevaux , qui, s’il les voyait pâtir, s’ôterait pour eux l
10 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Molière. (1622-1673.) » pp. 29-34
dites ?… Harpagon. Qu’il faut nettoyer mon carrosse, et tenir mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire… Maître Jac
s chevaux tout prêts pour conduire à la foire… Maître Jacques. Vos chevaux , monsieur ! Ma foi, ils ne sont point en état de
que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes, des façons de chevaux . Harpagon. Les voilà bien malades ! ils ne fon
es voir ainsi exténués. Car, enfin, j’ai une telle tendresse pour mes chevaux , qu’il me semble que c’est moi-même, quand je les
11 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
mporte un succès, et enveloppe dans une même chute et le comte et son cheval . On dit bien d’une lance qu’elle est victorieuse
le plus de rapport avec ce que l’on veut représenter. Ainsi ferrer un cheval signifie mettre une lame de fer sous le pied d’un
si ferrer un cheval signifie mettre une lame de fer sous le pied d’un cheval  ; voici ce qui motive le verbe ferrer ; mais si l
dée ; alors on continue de se servir du mot ferrer, et l’on dira : ce cheval est ferré d’argent ; comme les deux termes ferré
duit auprès de la reine, il aperçut les petits princes qui allaient à cheval sur le dos : du roi, complaisamment couché par te
t trop faibles. Nous employons cette figure, lorsque nous disons : ce cheval court plus vite que le vent ; il marche plus lent
hrase : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse venue, Sous mes faux chevaux blonds, déjà toute chenue, A jeté sur ma tête, av
yeux de Louis le Grand : Le chevalier de Nantouillet était tombé de cheval  : il va au fond de l’eau, il revient, il retourne
vient, il retourne, il revient encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval , il s’y attache ; ce cheval le mène à bord, il mo
nt encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval, il s’y attache ; ce cheval le mène à bord, il monte sur le cheval, se trouve
un cheval, il s’y attache ; ce cheval le mène à bord, il monte sur le cheval , se trouve à la mêlée, reçoit deux coups dans son
la course, et recherche dans sa parure. Il entra dans Athènes sur un cheval superbe qu’on nommait Bucéphale, que personne n’a
je ne parlerai pas de ses folles dissipations, de la passion pour un cheval dont il menaçait de faire un consul ; de ses camp
12 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
onneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé,     Six forts chevaux tiraient un coche6. Femmes, moine, vieillards, to
’attelage suait, soufflait, était rendu1. Une mouche survient, et des chevaux s’approche ; Prétend les animer par son bourdonhn
t qu’elle agit seule, et qu’elle a tout le soin ; Qu’aucun n’aide aux chevaux à se tirer d’affaire.     Le moine disait son bré
tant fait que sons gens sont enfin dans la plaine. Çà, messieurs les chevaux , payez-moi de ma peine. » Ainsi certaines gens, f
aine excelle a peindre par les sons ! Ne sent-on pas ici l’effort des chevaux  ? n’est-on pas témoin de leur fatigue ? 2. C’éta
13 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Saint François de Sales, 1567-1622 » pp. -
ui. Il y en a qui se rendent fiers et morgants1, pour être sur un bon cheval , pour avoir un panache2 en leur chapeau, pour êtr
t cette folie ? car s’il y a de la gloire pour cela, elle est pour le cheval , pour l’oiseau, pour le tailleur. Et quelle lâche
eur. Et quelle lâcheté de courage3 est-ce d’emprunter son estime d’un cheval , d’une plume, d’un godron4 ? les autres se prisen
14 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
lecteur. Chateaubriand voulant nous faire connaître le caractère des chevaux arabes, nous en fait la description suivante : L
ctère des chevaux arabes, nous en fait la description suivante : Les Chevaux arabes Les juments, selon la noblesse de leur rac
honneurs, mais toujours avec une rigueur extrême. On ne met point les chevaux à l’ombre, on les laisse exposés à l’ardeur du so
donne la sobriété, la patience et la vitesse. J’ai souvent admiré un cheval arabe ainsi enchaîné dans le sable brûlant, les c
terre ; la trompette sonne, il dit : Allons ! Et vous reconnaissez le cheval de Job. Lecture. — Pompeïa. Vol. II, nº 162.
s lui échappèrent des mains ; il tomba de son char sous les pieds des chevaux . Un soldat de l’île de Chypre lui coupa la tête,
Louis XIV, qu’il faut de la fermeté et de l’attention pour guider un cheval fougueux ; et que, à fortiori, il en faut plus en
s forces à un si grand ouvrage ? N’eussiez-vous à conduire qu’un seul cheval un peu fougueux, vous n’en viendriez pas à bout,
elle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris, Il veut les rappeler, et s
15 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
Mais il en advint « tout au rebours », et son imagination, « comme un cheval échappé », se donna tant de carrière que, pour ré
availlé ; et cette moderee agitation le met en haleine. Ie me tiens à cheval sans desmonter, et sans m’y ennuyer, huit et dix
x courts iours, est incommode. Mes chevaulx en valent mieulx : iamais cheval ne m’a failly, qui a sceu faire avecques moy la p
4. Pourquoi allons-nous… ? 5. Pourquoi monter ainsi sur nos grands chevaux , et nous guinder par un effort scientifique ? Les
ent. Morfondre, terme de vétérinaire, signifia d’abord causer chez un cheval un catarrhe nasal (morve… fondre). 16. Graves.
16 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
ands, que l’infanterie pouvait résister en pleine campagne, même sans chevaux de frise2, à la cavalerie3 ; il en osa faire ce j
piques et de fusils ; les soldats extrêmement serrés présentaient aux chevaux des ennemis une espèce de rempart hérissé de piqu
er : les coups de fusil, de pique et de baïonnette effarouchèrent les chevaux , qui se cabraient au lieu d’avancer. Par ce moyen
17 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
doit le montrer intact aux yeux d’une longue suite d’observateurs. Le cheval qui porte son maître à la chasse du tigre se pava
l pour cela ? L’homme, avec sa main et sa sagesse, qui aura dompté le cheval , animal plus viste que le lion, maniant le cheval
qui aura dompté le cheval, animal plus viste que le lion, maniant le cheval , il chasse et poursuit le lion ; en reculant et f
lant et fuyant il se sauve de devant luy : estant assis sur le dos du cheval , comme en lieu haut et relevé, il choisit et frap
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
nche, qui étoit le jour qu’il croyoit donner la bataille3. Il monta à cheval le samedi à deux heures, après avoir mangé, et, c
aujourd’hui, cela sera le mieux du monde. » Il eut à peine tourné son cheval qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la main
Ce gentilhomme, qui le regardoit toujours, ne le voit pas tomber ; le cheval l’emporte où il avoit laissé le petit d’Elbeuf ;
re tombé, mais il étoit penché le nez sur l’arçon. Dans ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses ge
19 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
es. Il part avec trente mille hommes de pied seulement, et cinq mille chevaux  ; entre dans l’Asie mineure (ou Natolie) ; défait
lais de vermeil, montée sur un char d’or et d’azur, traîné par quatre chevaux de couleur de rose, et lui font ouvrir, avec des
son successeur à l’Empire. Mais ce jeune héros mourut d’une chute de cheval à l’âge de 30 ans, laissant de la vertueuse Anton
ier vœu. Hippolyte en effet côtoyait le rivage de la mer, lorsque ses chevaux effrayés à la vue d’un monstre horrible que ce Di
s représentent vivant toujours ensemble d’un parfait accord. Pégase, cheval ailé, qui, selon la fable, naquit du sang de Médu
nq sortes d’exercices, qui étaient, 1º la course, soit à pied, soit à cheval , soit sur un char ; 2º le ceste, espèce de gantel
llux était un redoutable athlète, et Castor maniait supérieurement un cheval . Ils se signalèrent ensemble par divers exploits,
20 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
es relations de tout cela. Un chevalier de Nantouillet était tombé de cheval  ; il va au fond de l’eau, il revient ; il y rentr
ient ; il y rentre, il revient encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval , il s’y attache ; ce cheval le mène à bord ; il m
nt encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval, il s’y attache ; ce cheval le mène à bord ; il monte sur le cheval, se trouv
n cheval, il s’y attache ; ce cheval le mène à bord ; il monte sur le cheval , se trouve à la mêlée ; reçoit deux coups dans so
21 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche. Femmes, moines, vieillards, to
attelage suait, soufflait, était rendu5 Une mouche survient, et des chevaux s’approche, Prétend les animer par son bourdonnem
nt qu’elle agit seule, et qu’elle a tout le soin, Qu’aucun n’aide aux chevaux à se tirer d’affaire. Le moine disait son bréviai
i tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine. Çà, messieurs les chevaux , payez-moi de ma peine. Ainsi certaines gens, fai
mes moutons bêtauts, Que je verrai de loin revenir, à pas lents, Mes chevaux vigoureux, et mes belles génisses ! Ils sont nos
êtes-vous bien sûr que vous menez le chariot ? Est-ce « à vous ou aux chevaux que je dois savoir gré du chemin que je fais ? Pe
Puis n’y a-t-il que la mouche du coche qui dise : Cà, messieurs les chevaux , payez-moi de ma peine ? « J’ai vu bien des révo
22 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IV. Quatrième espèce de mots.  » pp. 12-15
ectifs qui marquent la possession d’une chose, comme mon livre, votre cheval , son chapeau ; c’est-à-dire, le livre qui est à m
votre cheval, son chapeau ; c’est-à-dire, le livre qui est à moi, le cheval qui est à vous, le chapeau qui est à lui 1. Si
23 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
er sur a route de St.-Germain à Paris, et a failli écraser un homme à cheval . Tout le monde en a été quitte, heureusement, pou
it au travers de Nanterre, tra, tra, tro : ils rencontrent un homme à cheval  : Gare ! gare !  Ce pauvre homme se veut ranger ;
homme à cheval : Gare ! gare !  Ce pauvre homme se veut ranger ; son cheval ne le  veut pas, et enfin le carrosse et les chev
veut ranger ; son cheval ne le  veut pas, et enfin le carrosse et les chevaux renversent sens-dessus dessous le pauvre homme et
e et les chevaux renversent sens-dessus dessous le pauvre homme et le cheval ,  et passent par-dessus, et si bien par-dessus qu
ue le  carrosse en fut versé et renversé. En même temps l’homme et le cheval , au lieu de s’amuser à être roués, se lèvent mira
24 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Courier 1773-1825 » pp. 238-242
e secret est l’âme de toute opération militaire. A minuit, on monte à cheval  ; on arrive sans bruit aux portes de Luynes ; poi
t la vérité. Dans ces montagnes les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade
25 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Prosper Mérimée Né en 1803 » pp. 286-290
explique comment, avec ce jupon de fer, on pouvait cependant monter à cheval . Les selles sont garnies d’une espèce de petit ta
valier de manière que ses genoux sont presque au niveau de la tête du cheval . 2. Les Corses appellent ainsi les traditions de
26 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
es relations de tout cela. Un chevalier de Nantouillet était tombé de cheval  : il va au fond de l’eau, il revient, il y rentre
revient, il y rentre, revient encore ; enfin, il trouve la queue d’un cheval  ; il s’y attache : ce cheval le mène à bord ; il
encore ; enfin, il trouve la queue d’un cheval ; il s’y attache : ce cheval le mène à bord ; il monte sur le cheval, se trouv
cheval ; il s’y attache : ce cheval le mène à bord ; il monte sur le cheval , se trouve à la mêlée, reçoit deux coups dans son
vous donne son équipage ; vous venez à Malicorne ; vous y trouvez les chevaux et la calèche de M. de Chaulnes : votre maison n’
de M. de Chaulnes : votre maison n’est pas prête, vous n’avez pas de chevaux , c’est en attendant ; à votre loisir, vous vous r
 ; le portrait, qui décrit un être animé : tels sont les portraits du cheval , du chien, dans Buffon ; le caractère, qui est un
27 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
meur. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er, page 226. N° 55. — Le Cheval . C’est Dieu qui parle à Job. Est-ce toi qui a
. C’est Dieu qui parle à Job. Est-ce toi qui as donné la force au cheval , qui as hérissé son cou d’une crinière mouvante ?
nte les hommes — … Leur imagination leur fait voir des ruisseaux — Le cheval languit — … Le chien fidèle oublie son maître et
t embrasé, ou respire des flammes. Supposez que vous avez entrepris à cheval la traversée du désert, un guide monté sur un dro
e. — Il s’élançait sur l’ennemi, quand un officier saisit la bride du cheval du roi, en lui disant qu’il va se faire tuer100.
à se reposer, et à prendre de la nourriture105. — Elle monta sur son cheval , alla prier dans une vigne et revint bientôt. — 
avait sous ses ordres trente mille Thébains à pied, et trois mille à cheval , il suivit le même ordre de bataille qu’à Leuctre
t et Clorinde viennent l’embraser pendant la nuit. Tancrède accourt à cheval pour sauver la tour ; il aperçoit Clorinde, et la
’il recevait une jolie toque à plumes, le troisième qu’il trouvait un cheval magnifique — … En même temps chacun dépouillait l
; il rencontre un prêtre qui portait le saint viatique. Il descend de cheval et s’agenouille ; mais un torrent grossi par les
ar les pluies va forcer le prêtre à se déchausser. Rodolphe prête son cheval au ministre du Seigneur. Le lendemain le même prê
l au ministre du Seigneur. Le lendemain le même prêtre lui ramène son cheval . Rodolphe refuse de se servir désormais de l’anim
qui regarde le lac Mœlers : c’est un grand bâtiment en forme de fer à cheval . Le cabinet du roi était à l’une des extrémités,
e devient si complet que l’on n’entend plus que les trépignements des chevaux . On donne le signal, les trompettes guerrières so
nces ; Conrad frappe au milieu du bouclier de son adversaire, dont le cheval recule de trois pas, Kenneth se comporte de même.
une homme de vingt ans, tête écervelée, s’il en fut — … Nous étions à cheval , nous nous égarâmes, et fûmes heureux de trouver
t de Turenne Le samedi après dîner, à deux heures, Turenne monte à cheval , pour aller visiter une hauteur : il était accomp
e tomba sur l’arçon de la selle, et ainsi penché, fut emporté par son cheval près de son neveu — … Là, il expire — … N° 207
n accourir un champion — … mais ce cavalier paraissait blessé, et son cheval était barrasse de fatigue —. Qui êtes-vous ? dema
combattrai point, dit à son tour Bois-Guilbert, tu es blessé, et tou cheval est mauvais — … Orgueilleux, je t’ai déjà vaincu
combat commence — … Au premier coup de lance, Ivanhoé tombe avec son cheval — … Bois Guilbert à peine touché en fait autant —
28 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
s les cœurs, les yeux roulent du sang, la main frémit sur l’épée. Les chevaux se cabrent, creusent l’arène, secouent leur crini
rmaient une espèce d’aigrette et retombaient par derrière en queue de cheval . Leur visage était entièrement rasé, à l’exceptio
es et alla faire la guerre en Italie. La garde du roi avait seule des chevaux et portait des lances du modèle romain ; le reste
bande, qui, avertis et secondés par les gens du voisinage, ayant des chevaux prêts aux portes de l’église, avaient tenté ce co
gand garrotté qu’on emmène. Fuyant alors de toute la vitesse de leurs chevaux vers un quartier de la ville où Cinci avait encor
nts de son hôte. Ce sont des vêtements précieux, de belles armes, des chevaux bien enharnachés. Quelquefois il est fait chevali
Neptune immortel bienfait qui nous honore, Double don, d’asservir un cheval indompté, Et d’obtenir des mers l’empire redouté 
s, Sur un tambour français règlent leurs pas sauvages, Et les ardents chevaux hennissent à son nom. Parfois il vient, porté su
vendange à la trace. Laprade 24. L’Âne L’âne n’est point un cheval dégénéré, un cheval à queue nue ; il n’est ni étr
. Laprade 24. L’Âne L’âne n’est point un cheval dégénéré, un cheval à queue nue ; il n’est ni étranger, ni intrus, ni
illustre, elle est tout aussi bonne, tout aussi ancienne que celle du cheval  ; pourquoi donc tant de mépris pour cet animal si
x ceux qui les servent trop bien et à trop peu de frais ? On donne au cheval de l’éducation, on le soigne, on l’instruit, on l
le plus distingué des animaux, si dans le monde il n’y avait point de cheval  ; il est le second au lieu d’être le premier, et
on le regarde, on le juge, non pas en lui-même, mais relativement au cheval  ; on oublie qu’il est âne, qu’il a toutes les qua
achés à son espèce ; et on ne pense qu’à la figure et aux qualités du cheval , qui lui manquent, et qu’il ne doit pas avoir. •
t de son naturel aussi humble, aussi patient, aussi tranquille que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il souffre avec con
se contente des herbes les plus dures, les plus désagréables, que le cheval et les autres animaux lui laissent et dédaignent 
le peu de soin qu’on prend de lui ; car il ne se vautre pas, comme le cheval , dans la fange et dans l’eau ; il craint même de
viter la boue ; aussi a-t-il la jambe plus sèche et plus nette que le cheval . Il est susceptible d’éducation, et l’on en a vu
Buffon. L’Âne Moins vif, moins valeureux, moins beau que le cheval , L’âne est son suppléant et non pas son rival ; I
’autre, qui n’ont pas vu la place Saint-Marc, et pour qui la vue d’un cheval ou d’un arbre serait une véritable merveille. Ces
ommerce avec toutes les nations connues. Charles-Quint. J’ai un petit cheval pour me promener dans ce beau vallon orné d’orang
Vous dites ?… Harpagon. Qu’il faut nettoyer mon carrosse et tenir mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire… Me Jacques.
enir mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire… Me Jacques. Vos chevaux , monsieur ? Ma foi, ils ne sont point du tout en
que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes, des façons de chevaux . Harpagon. Les voilà bien malades ! ils ne font r
cœur, de les voir exténués ; car, enfin, j’ai une tendresse pour mes chevaux , qu’il me semble que c’est moi-même quand je les
sens pour vous de la tendresse, en dépit que j’en aie ; et, après mes chevaux , vous êtes la personne que j’aime le plus. Harpag
n vous surprit, une nuit, en venant dérober vous-même l’avoine de vos chevaux  ; et que votre cocher, qui était celui d’avant mo
épouse, entêtement fatal ! Exige un nom en « Hipp » autrement dit : «  Cheval . » « Cheval blond, beau cheval ! » En bon grec :
tement fatal ! Exige un nom en « Hipp » autrement dit : « Cheval. » «  Cheval blond, beau cheval ! » En bon grec : « Callippide
e un nom en « Hipp » autrement dit : « Cheval. » « Cheval blond, beau cheval  ! » En bon grec : « Callippide ! » Moi, du nom de
x à la crèche grossière ? » — Soins perdus ! Vain espoir ! La rage du cheval Le prit dès le bas âge et mit ma bourse à mal.
irer, qu’arrivé le dernier jour de sa gloire et de sa vie. Il monta à cheval à deux heures le samedi, après avoir mangé. Il av
être tué aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. » Il tournait son cheval , il aperçut Saint-Hilaire, qui lui dit le chapeau
e gentilhomme le regardait toujours ; il ne le voit point tomber ; le cheval l’emporta où il avait laissé le petit d’Elbeuf ;
e tombé, mais il était penché le nez sur l’arçon : dans ce moment, le cheval s’arrête, il tomba entre les bras de ses gens ; i
it autre chose que le haut de la tête, quand on m’en a tiré. Pour mon cheval , il a fallu plus de quinze hommes pour l’en sorti
29 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
s du courage et de l’âme ; elle ne consiste pas en la valeur de notre cheval , ni de nos armes, mais en la nôtre. Celui qui tom
te. Quand, de huit ou dix personnes qui y ont passé sans descendre de cheval ni de carrosse, il n’y en a que trois ou quatre q
dites... ? Harpagon. — Qu’il faut nettoyer mon carrosse et tenir mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire.... Maître J
hevaux tout prêts pour conduire à la foire.... Maître Jacques. — Vos chevaux , monsieur ? Ma foi, ils ne sont point du tout en
ce ne sont plus rien que des idées603 ou des fantômes, des façons de chevaux . Harpagon. — Les voilà bien malades ! Ils ne fon
de les voir ainsi exténués604; car enfin j’ai une tendresse pour mes chevaux , qu’il605 me semble que c’est moi-même quand je l
in, qui était le dimanche » Il croyait donner la bataille, et monta à cheval à deux heures le samedi, après avoir mangé. Il av
être tué aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. » Il tournait son cheval , il aperçut Saint-Hilaire, qui lui dit, le chapea
e gentilhomme le regardait toujours ; il ne le voit point tomber ; le cheval l’emporta où il avait laissé le petit d’Elbeuf ;
e tombé, mais il était penché le nez sur l’arçon : dans ce moment, le cheval s’arrête ; il tomba entre les bras de ses gens ;
ait autre chose que le haut de la tête quand on m’en a tiré. Pour mon cheval , il a fallu plus de quinze hommes pour l’en sorti
t à Termes qu’il avait envie d’y boire un coup en attendant que leurs chevaux fussent prêts. Il était près de midi. Depuis la n
en tressaillit. Il donna sous main ordre de déferrer quelques-uns des chevaux pour n’être pas arraché de ce lieu sans y repaîtr
’acheter. Outre qu’il était tout froissé de la valise896, la sueur du cheval l’avait tout taché par devant, et je ne sais comm
x ceux qui les servent trop bien et à trop peu de frais ? On donne au cheval de l’éducation, on le soigne, on l’instruit, on l
le plus distingué des animaux, si dans le monde il n’y avait point de cheval  ; il est le second au lieu d’être le premier, et
on le regarde, on le juge, non pas en lui-même, mais relativement au cheval  ; on oublie qu’il est âne, qu’il a toutes les qua
tachés à son espèce, et on ne pense qu’à la figure et aux qualités du cheval , qui lui manquent et qu’il ne doit pas avoir. Il
de son naturel, aussi humble, aussi patient, aussi tranquille que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il souffre avec con
se contente des herbes les plus dures, les plus désagréables, que le cheval et les autres animaux lui laissent et dédaignent 
peu forts, il les exerce à la course, il les excite par l’exemple des chevaux et parvient à les rendre aussi légers et plus rob
Je ne conçois qu’une manière de voyager plus agréable que d’aller à cheval , c’est d’aller à pied. On part à son moment, on s
. A l’instant que1163 je m’ennuie, je m’en vais. Je ne dépends ni des chevaux , ni du postillon. Je n’ai pas besoin de choisir d
et pied à terre, fauche le grain, le met en trousse1300, et remonte à cheval . L’officier de cavalerie dit alors à son guide :
té favorisa leur fuite, et tous les deux en hâte allèrent prendre des chevaux à la poste. (Corinne ou l’Italie, livre 1, chap. 
la vérité. Dans ces montagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade
sions gaiement sur la place. Monsieur le maire envoie ses gens et ses chevaux caracoler tout au travers de  nos contredanses. S
vorait l’espace, franchissant les monceaux de cadavres d’hommes et de chevaux , les fossés, les affûts brisés, ainsi que les feu
vigoureusement repoussées, était entouré par un cercle de cadavres de chevaux et de dragons russes, formant une espèce de rempa
us de résistance au coup. Je fus comme anéanti, mais ne tombai pas de cheval . Le sang me coulait par le nez, les oreilles et m
t qui, me prenant pour le chef des Français, parce que j’étais seul à cheval , tiraient sur moi par-dessus la tête de leurs cam
la selle à la housarde dans laquelle j’étais assis, je me maintins à cheval , mais un nouveau danger m’attendait. La neige ven
s de Tolède1514, et se dirigea vers la porte du nord. Le roi suivit à cheval le cortège de sa fille jusqu’à un pont jeté sur l
l’Europe, Londres, la protégée des mers, seule exceptée. Napoléon, à cheval de bonne heure, était au milieu de ses soldats, q
ournée, on fit passer la garde à pied et ce qui restait de la garde à cheval . On commença ensuite le défilé des voitures de l’
me, tout ce qu’on avait pu arracher du village de Studianka. Mais les chevaux enlevaient avec leurs pieds cette espèce de litiè
s écrasait sous ses pieds. La presse était si grande que les hommes à cheval étaient, eux et leurs montures, en danger d’être
et leurs montures, en danger d’être étouffés. De temps en temps, des chevaux , devenus furieux, s’élançaient, ruaient, écartaie
e à faire était de déblayer les avenues des deux ponts de la masse de chevaux et d’hommes morts par le boulet ou par l’étouffem
ranches d’arbre, autour de grands feux, dévorant quelques lambeaux de cheval , ils craignaient les uns la trop grande affluence
eut promis leur solde, ils demandèrent qu’on les indemnisât de leurs chevaux tués, puis ils demandèrent qu’on leur payât les v
aient plier la table sous leur poids. Tout d’un coup parut un homme à cheval , sortant d’un bouquet de bois à portée de pistole
ta lestement à terre, salua les convives de la main, et conduisit son cheval à l’écurie. On n’attendait personne ; mais, en Es
illit ; il courut à l’écurie, d’où il revint bientôt emmenant son bon cheval . Puis, s’avançant vers la mariée, un bras passé d
e greffier, qui tomba mort sur le seuil de sa maison en descendant de cheval . (Mauprat, II.) La prière du soir1645 Peti
eux pas payer ton tailleur ! C’est autre chose de descendre d’un beau cheval , pour retrouver au fond d’un hôtel une bonne Fami
ottise. Ce serait, dites-vous, autre chose si je descendais d’un beau cheval pour entrer dans un bon hôtel : je crois bien ! v
 ; mais c’est pourquoi je ne m’attelle pas1689, ni plus que moins les chevaux de pur sang. Tenez ! mon oncle, ou je me trompe,
s en ami les fortes terres rouges, terres à blé qu’un attelage de six chevaux n’entame pas toujours sans peine ; j’encourageais
que j’attelai à moi-même, car j’étais tout ensemble le postillon, les chevaux et la voiture. Mon parcours s’étendait de la cuis
guerre, De garder les cités, ou les ruer1973 par terre, De piquer les chevaux , ou contre son harnois Recevoir mille coups de la
ttaché, M’a conté ses exploits, ses vertus non communes, Parlé de ses chevaux , de ses bonnes fortunes, Et de ce qu’à la cour il
ous tailler des croupières2268, Firent trois pelotons de leurs gens à cheval  ; Mais leur chaleur par nous fut bientôt réprimée
sse : La qualité l’entête2305 ; et tous ses entretiens Ne sont que de chevaux , d’équipage et de chiens ; Il tutaye2306 en parla
r de l’Espagne ! » IV Sur le plus haut des monts s’arrêtent les chevaux  ; L’écume les blanchit ; sous leurs pieds, Roncev
re tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval , le soir d’une bataille, Le champ couvert de mort
Caramba2711 ! » Le coup passa si près que le chapeau tomba, Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même
rs monts et vaux, pâle, à bride abattue. « Çà, le premier qui monte à cheval , je le tue », Dit Roland. Les infants se regardai
t l’assomme D’un coup prodigieux qui fendit en deux l’homme Et tua le cheval , et si surnaturel Qu’il creva le chanfrein et tro
a fêlure2725 ; Voyez. » Don Froïla, caressant l’encolure De son large cheval au mufle de taureau, Crie : « Allons ! — Pas un p
à travers monts et vaux ! Legoëz Ça t’amuse donc, toi, de monter des chevaux  ? Pierre Mais oui. Legoëz Moi, j’aimais mieux che
nelles. 24. Huissiers, vaisseaux à huis (portes) pour embarquer les chevaux . 25. Le 23 juin 1203. 26. Lorris  est aujourd’
oin pour apprêter le souper, il stipulera que le soin de conduire les chevaux est compris dans le marché. 608. M. Jourdain est
cour, se fit remarquer parce que, le premier, il rendit les siennes à cheval . 667. Quatre parties, quatre cinquièmes : quatr
7. Espèce de lit couvert dans lequel on se faisait ou traîner par des chevaux , ou porter par des hommes. 788. Les paroles de p
les postes était essentiellement constitué par des établissements de chevaux postés de distance en distance pour servir au tra
igne du même morceau. 1300. Mettre en trousse, derrière soi, sur le cheval . 1301. L’homme de pied, le piéton. 1302. Savo
but se répandirent en grand nombre dans l’Europe. 1364. Palefroi, cheval de voyage (d’un mot bas-latin qui signifie cheval
1364. Palefroi, cheval de voyage (d’un mot bas-latin qui signifie cheval de poste). 1365. Boucicaut (1364-1421), marécha
ce et les officiers chargés d’en faire exécuter les sentences. 1644. Cheval maigre et de peu de valeur. L’origine du mot est
coup très favorable. 1689. Je ne m’attelle pas : je suis comme les chevaux de pur sang, qui ne peuvent supporter qu’on les a
le sait, étaient représentés comme des êtres moitié hommes et moitié chevaux . 1972. Honorer, orner de manière à lui faire ho
ue jeune. 2198. Bourrique, vient d’un mot latin qui signifie petit cheval et qui vient lui-même d’un mot grec. 2199. Parb
ière, a seule subsisté. L’emploi de la calèche, souvent attelée à six chevaux , était une mode encore assez nouvelle, semble-t-i
antif avec ce sens. 2268. La croupière est la partie du harnais d’un cheval qui passe par-dessous la queue, pour aller se rat
res l’épée dans les reins d’assez près pour couper les croupières des chevaux  » (Littré). 2269. Sosie ne se trompait pas : il
l’hôpital est fausse. Il est mort chez lui des suites d’une chute de cheval , après laquelle on l’avait provisoirement transpo
ent des Hautes-Pyrénées. 2674. Palefroi (du bas-latin paraveredus), cheval de relais, cheval de voyage. 2675. Turpin, arch
énées. 2674. Palefroi (du bas-latin paraveredus), cheval de relais, cheval de voyage. 2675. Turpin, archevêque de Reims au
(tome III, note 2). 2677. Monsieur, monseigneur. 2678. Destrier, cheval qu’on mène en le tenant par la main droite, par l
er, cheval qu’on mène en le tenant par la main droite, par la dextre, cheval de parade ; mais on voit que Vigny emploie sans b
récision les mots de palefroi et de destrier, dans le sens général de cheval . 2679. Obéron, personnage fantastique, qui jou
les légendes prêtent à Roland (étymologie incertaine). 2721. Genet, cheval de petite taille. 2722. Pique des deux, locutio
e taille. 2722. Pique des deux, locution consacrée pour : pique son cheval de ses deux éperons (afin de l’exciter). 2723.
2724. Chanfrein, pièce d’armure qui couvrait le devant de la tête du cheval . — Girel, mot espagnol qui désigne les pièces qui
l qui désigne les pièces qui couvraient les épaules et le poitrail du cheval . 2725. Sa fêlure, la fêlure de son cerveau. — P
e mot russe est féminin. 2879. Des hardes d’étalons, des troupes de chevaux sauvages. — Harde est le mot propre pour désigner
30 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
ond les climats, les éléments, les saisons ; il mutile son chien, son cheval , son esclave ; il bouleverse tout, il défigure to
it la nature, pas même l’homme ; il le faut dresser pour lui comme un cheval de manége ; il le faut contourner à sa mode comme
t usurpé ; Près de ce champ fatal Jézabel immolée, Sous les pieds des chevaux cette reine foulée, Dans son sang inhumain les ch
31 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
suivent, un contraste d’un effet puissant sur l’imagination. 3. Le cheval de guerre a été représenté en traits admirables d
bataille de Lens ; c’est en parlant du prince de Condé : Il monte un cheval superbe, Qui, furieux aux combats, A peine fait c
nullement d’être un héros. Il eut dans ce combat en particulier, deux chevaux tués sous lui. 2. Pareillement Rousseau, dans s
32 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
nte. Neptune de son trident frappait la terre, et on voyait sortir un cheval fougueux : le feu sortait de ses yeux et l‘écume
e paix avec l’abondance, préférable aux troubles de la guerre dont ce cheval était l’image. La déesse demeurait victorieuse pa
33 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
ultiplient sous la plume de l’écrivain : Une mouche survient, et des chevaux s’approche, Prétend les animer par son bourdonne
t amuse tout à la fois. « Le chevalier de Nantouillet était tombé de cheval  ; il va au fond de l’eau, il revient, il retourne
vient, il retourne, il revient encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval , il s’y attache. Ce cheval le mène à bord ; il mo
ent encore ; enfin il trouve la queue d’un cheval, il s’y attache. Ce cheval le mène à bord ; il monte sur le cheval, se trouv
un cheval, il s’y attache. Ce cheval le mène à bord ; il monte sur le cheval , se trouve à la mêlée, reçoit deux coups dans son
34 (1854) Éléments de rhétorique française
es circonstances qui ont accompagné la mort de Turenne : « Il monta à cheval le samedi (27 juillet 1615), à deux heures après
ujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. » Il eut a peine tourné son cheval , qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la mai
gentilhomme, qui le regardait toujours, ne le voit point tomber : le cheval l’emporte où il avait laissé le petit d’Elbeuf ;
tit d’Elbeuf ; il était penché le nez sur l’arçon. Dans ce moment, le cheval s’arrête ; le héros tombe entre les bras de ses g
n des détails et par la vérité du coloris ? C’est que les hommes, les chevaux , les armes, tout a été jeté pêle-mêle sur la toil
on, répétée par l’écho des rochers, et les premiers hennissements des chevaux qui saluaient l’aurore, l’aimais à voir te camp p
on sait toujours les employer. Voyez, par exemple, sa description des chevaux sauvages : «  Ils errent, ils bondissent en libe
renfermons en pressant les espaces qu’ils doivent occuper. Aussi ces chevaux sauvages sont-ils beaucoup plus forts, plus léger
ils beaucoup plus forts, plus légers, plus nerveux que la plupart des chevaux domestiques. » Une épithète mal placée surcharge
s par la mélodie du langage. Qui ne sait par cœur cette phrase sur le cheval  ? « La plus noble conquête que l’homme ait jamais
blâmer ce vers où l’on dit, en pariant d’un cocher qui assujettit ses chevaux au frein : Il soumet l’attelage à l’empire du mo
à l’empire du mors. L’idée d’empire est trop grande pour un mors de cheval . Il faut aussi se garder de tirer la métaphore d’
l’on est obligé d’employer une expression figurée. Ainsi l’on dit un cheval ferré d’argent, une feuille de papier. C’est ce q
e l’on vous surprit une nuit venant dérober vous-même l’avoine de vos chevaux , et que votre cocher, qui était celui d’avant moi
té favorisa leur fuite, et tous les deux en hâte allèrent prendre des chevaux à la poste. » (Madame de Staël, Corinne ou l’Ital
L’Arabe n’oublie point le puits du chameau, la gazelle, et surtout le cheval , compagnon de ses courses ; le Nègre se rappelle
ssait au travers de Nanterre, trà, trà, trà ; il rencontre un homme à cheval  : gare ! gare ! ce pauvre homme se veut ranger, s
un homme à cheval : gare ! gare ! ce pauvre homme se veut ranger, son cheval ne le veut pas ; enfin le carrosse et les six che
veut ranger, son cheval ne le veut pas ; enfin le carrosse et les six chevaux renversent le pauvre homme et le cheval, et passe
enfin le carrosse et les six chevaux renversent le pauvre homme et le cheval , et passent par-dessus et si bien par-dessus, que
que le carrosse en fut versé et renversé. En même temps l’homme et le cheval , au lieu de s’amuser à être roués, se relèvent mi
respondance. Dans leur manie de tout dire, ils ne font pas grace d’un cheval boiteux, d’un postillon ivre, ou d’un mauvais dîn
ences ou sur les arts, et qui parlaient exclusivement de chasse et de chevaux . D’autres, qui avaient passé presque toute leur v
e et de chevaux. D’autres, qui avaient passé presque toute leur vie à cheval ou dans les bois, se hasardaient dans les spécula
35 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
du courage et de l’ame ; elle ne consiste pas en la valeur de nostre cheval , ny de nos armes, mais en la nostre. Celuy qui tu
u’ils ont moins d’esprit, il leur fault plus de corps ; ils montent à cheval parce qu’ils ne sont assez forts sur leurs iambes
s comme je vous suyvray. » Monsieur de Burie monta lors sur ung grand cheval , et s’estoit armé dernier la grand artillerie. Je
stay que je ne feuz à moingz de trente ou quarante pas de cinq ou six chevaux qu’estiont soubz ung arbre ; dont M. de Puch de P
alon-ger le pas, et dis à M. de Monferrand : « Voyés-vous ces cinq » chevaux qu’estoient soubz l’arbre ? sont coureus faire ad
oyois venir les nostres en furie. Je voyois leurs cornettes de gens à cheval  : les uns alloient, les autres tournoient. Je voy
 : les uns alloient, les autres tournoient. Je voyois trois ou quatre chevaux parmy les gens de pied, que ie congnoissois bien
cri, que nous voilà tous pesle-mesle dans leurs gens à pied et gens à cheval , sauf le cappitaine Massès ; car comme il vist to
ne, et deux autres, me deschargearent ; et y eust le dit Baratnau son cheval tué, et le mien blessé au nés et à la teste de co
é, et le mien blessé au nés et à la teste de coup de picques, car mon cheval m’avoit porté dans leur bataillon, et n’avois con
le chassoit du cousté de main gauche, et moy avecques quinze ou vingt chevaux , qui estoient reliés, chassois à main droicte ver
, qui feust bien peu de gens de pied, se relia avecques leurs gens de cheval , et chemynarent tout le demeurant du jour et tout
ied, les dix-neuf nous demeurarent, et de treize cornettes de gens de cheval , les cinq, lesquelles nous envoyasmes à monsieur
de vache pour tous mets. Bien heureux qui n’a point mangé de chair de cheval et de chien, et bien heureux qui a toujours eu du
es noms ne sont plus que noms de faquins236, dont on fait litiere aux chevaux de messieurs d’Espagne et de Lorraine. Où est la
nes, tu auras ma malédiction. » Encore que ceste troupe fust de vingt chevaux , elle eut peine à se desmesler du peuple qui s’es
vous joignez les mains quand vos amis ont le poing fermé : ils sont à cheval , et vous à genoux : ils se font demander la paix
meilleures troupes. Il se forma de cela une armée de vingt-cinq mille chevaux , de quinze mille hommes de pied et de quarante ca
le dos en lui ôtant ces quatre cents pistoles. Il fallut fouetter son cheval moi-même, tant il alloit pesamment, et se retourn
angez un morceau, et couchez-vous à bonne heure, pour être du matin à cheval à la pointe du jour. — Monsieur le contrôleur, lu
sonneur ? Allez-vous-en souper, s’il vous plaît, et que j’aie ici des chevaux de poste avant le jour. » J’avois senti pétiller
os jeu ; et c’étoient deux Allemands qui jouoient au trictrac. Jamais chevaux de carrosse n’ont joué comme ils faisoient ; mais
e c’étoit. « Un marchand de Bâle, me dit-il, qui vient vendre ici des chevaux  : mais je crois qu’il n’en vendra guère de la man
lui ayant dit que j’y allois, il me demanda si je voulois acheter des chevaux  ; qu’il en avoit bien deux cents, dont il me fero
jeu, il me dit qu’il étoit tard ; qu’il falloit qu’il allât voir ses chevaux , et se retira, me demandant pardon de la liberté
ut, monsieur le chevalier ! s’écria-t-il en ouvrant mes rideaux ; les chevaux sont à la porte, et vous dormez encore ! Nous dev
e quelqu’un de mes habits ; je voulois encore proposer au marchand de chevaux de lui en acheter bien cher à crédit, pour les re
fait. ». J’avois été, dans l’après-dînée, chercher mes hardes et mon cheval à l’hôtellerie où j’étois logé ; après quoi j’éto
et des drogues, je vendois souvent aux hommes de bonnes médecines de cheval … LE COMTE. Qui tuoient les sujets du roi ? FIGARO
ambours : c’étoit le gouverneur, M. de la Bourdonnaye, qui arrivoit à cheval , suivi d’un détachement de soldats armés de fusil
utour de leur bûcher, leurs fusils couchés à terre à leurs côtés, les chevaux , attachés à des piquets, formant un second cercle
antôt répétant avec emphase les gestes du conteur ; quelques têtes de chevaux qui s’avançaient au-dessus de la troupe, et qui s
uraient mangé la terre. Au bout de la ligne était un jeune hussard, à cheval  ; il tenait son sabre nu, il le faisait sauter et
se dire. Quand la voiture du roi passa devant lui, il fit bondir son cheval , et certainement il eut la tentation de se précip
pe avec une douzaine d’hommes, généraux et officiers, qui avaient des chevaux . Arrivé à une portée de fusil de Cannes, il s’arr
Institut ; qu’il part tous les jours des armées cent voitures à trois chevaux , portant chacune plusieurs quintaux d’écriture ro
mieux manger que t’écrire ; mais le générat Reynier, en descendant de cheval , demande son écritoire. On oublie qu’on meurt de
es de pluie continuelle ; une éponge qui ne séchera de huit jours ; à cheval dès le grand matin, à jeun ou peu s’en faut au co
; s’il réussit, je te plante là. Que te marquerai-je encore ? J’ai un cheval enragé que mes canonniers ont pris. Il mord et ru
, je ne sais pourquoi, je le confiai à un soldat qui me conduisait un cheval en main. Ce soldat fut tué et dépouillé. Que vous
t fut tué et dépouillé. Que vous dirai-je, monsieur ? J’ai perdu huit chevaux , mes habits, mon linge, mon manteau, mes pistolet
demandé à faire cette campagne, où je n’ai perdu, après tout, que mes chevaux , mon argent, mon domestique, mes nippes et celles
s tant vantés et ces arcs qu’on ne vit jamais tendus en vain ? Ni les chevaux ne sont vites, ni les hommes ne sont adroits, que
son étourdissement durait encore, quand un grand bruit d’armes et de chevaux , mêlé de clameurs étrangères, lui apprit que tout
à coups de lances, taillé à coups d’épées, meurtri sous les pieds des chevaux  ; on ne lui laissa de souffle que ce qu’il lui en
Tell896, prenait par l’ouest pour éviter El-Aghouat. Chacun montait à cheval à sa porte, ils arrivaient au rendezvous un par u
pête. La rue était si étroite, qu’à chaque fois je sentais le vent du cheval  ; et, comme elle est à peu près en escalier, c’ét
ue peuvent devenir ces fainéants, à l’air endormi, quand on les met à cheval . (Un été dans le Sahara ; II, El-Aghouat. — Plo
u, soutaché901 d’or ou d’argent, paradaient superbement sur de grands chevaux habillés de soie comme on les voyait au moyen âge
e leur croupe et de leur queue flottante. Il y avait là de fort beaux chevaux  ; mais ce qui me frappa plus que leur beauté ; ce
ent exprimées par les comparaisons de leurs poètes. — Je reconnus ces chevaux noirs à reflets bleus, qu’ils comparent au pigeon
noirs à reflets bleus, qu’ils comparent au pigeon dans l’ombre ; ces chevaux couleur de roseau, ces chevaux écarlates comme le
comparent au pigeon dans l’ombre ; ces chevaux couleur de roseau, ces chevaux écarlates comme le premier sang d’une blessure. D
veinaient de tons humains et auraient pu audacieusement s’appeler des chevaux roses902. Au centre de ce brillant état-major, à
ls noirs. Un cavalier nègre, en livrée verte ; conduisait en main son cheval de bataille, superbe animal à la robe de satin bl
on fusil de luxe. Le jeune homme était habillé de blanc et montait un cheval tout noir, énorme d’encolure, à queue traînante,
ets marqués de feu, qui bondissaient gaiement entre les jambes de son cheval . Aussitôt qu’il aperçut ce vieux grand seigneur e
s les troncs des pins et présentent le sol le plus doux aux pieds des chevaux . Le reste du terrain est couvert d’un léger duvet
thes sauvages sont si gros qu’ils ne s’écrasent point sous le fer des chevaux . À travers les colonnades de ces troncs de sapin,
enfants sur chaque bras ; des femmes enveloppées de voiles blancs, à cheval , marchant au son du fifre et du tambourin, enviro
ants vêtus d’étoffes rouges brodées d’or, et qui dansent devant leurs chevaux  ; quelques cavaliers arabes courant le dgérid aut
 ; quelques cavaliers arabes courant le dgérid autour de nous sur des chevaux dont la crinière balaie littéralement le sable ;
roit reconnaître quelque confusion dans ses mouvements. Il s’élance à cheval à la tête d’une colonne pour s’emparer de ces piè
masquée par un pli du terrain, éclate sur le front de sa colonne. Son cheval , le poitrail ouvert par un éclat d’obus, se renve
lermann, dégagé et emporté par ses soldats, revient chercher un autre cheval . Les Prussiens, qui ont vu la chute d’un général
ent au milieu des rangs. Les projectiles, les essieux, les membres de chevaux , lancés en tous sens, emportent des files entière
à toute bride à la seconde ligne, entraîne la réserve d’artillerie à cheval , la porte au galop sur le plateau du moulin, couv
sa ligne, forme son armée en colonnes par bataillons, descend de son cheval , en jette la bride à une ordonnance, fait conduir
tricolore à la main, lance sa cavalerie à la suite de l’artillerie à cheval . Le duc de Brunswick, avec le coup d’œil d’un vie
sa cavalerie, trois formidables colonnes d’attaque, et, parcourant à cheval le front de ses lignes, leur reprocha amèrement d
u pavé de Philippe-Auguste, magnifique dallage rayé par les pieds des chevaux au milieu de la voie, et si mal remplacé au seizi
ressait doucement la parole ; il la flattait de la main, comme un bon cheval qui va faire une longue course. Il la plaignait d
uasimodo : c’était un rêve, un tourbillon, une tempête ; le vertige à cheval sur le bruit ; un esprit cramponné à une croupe v
ent un front d’un quart de lieue. C’étaient des hommes géants sur des chevaux colosses. Ils étaient vingt-six escadrons. Ils po
de casques, de cris, de sabres, bondissement orageux des croupes des chevaux dans le canon et la fanfare, tumulte discipliné e
ée d’hommes. Elle entendait le grossissement du bruit des trois mille chevaux , le frappement alternatif et symétrique des sabot
refermait. Les cuirassiers répondaient par l’écrasement. Leurs grands chevaux se cabraient, enjambaient les rangs, sautaient pa
dans les carrés. Des files d’hommes disparaissaient broyées sous les chevaux . Les baïonnettes s’enfonçaient dans les ventres d
ppe et des Sables, est un immense événement. Les paysans y viennent à cheval , la plupart apportent des denrées dans des sacs.
’avait chargé. Il trouva la cour de l’hôtel encombrée de valets et de chevaux , parmi lesquels il eut de la peine à se frayer un
t aujourd’hui se mettent en mouvement. Boileau a dit (Sat. VI) : Six chevaux attelés à ce fardeau pesant Ont peine à l’émouvoi
apoléon passa le Niémen à la tête de 400 000 fantassins et de 100 000 chevaux pour faire sauter le palais des Czars à Moscou, i
monta dans la lune sur un hippogriffe (monstre fabuleux ailé, moitié cheval , moitié griffon). 936. Épisode de la bataille de
t », dit M. de Ségur. 939. « Il y eut douze assauts. Ney eut quatre chevaux tués sous lui. La moitié des cuirassiers resta su
36 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
e point jouir les autres. Les censeurs privaient ordinairement de son cheval (c’est-à-dire dégradaient) un chevalier romain qu
sa descente du navire, et le fit monter sur un char attelé de quatre chevaux blancs. Nous lisons que, chez les anciens Romains
épens du trésor, pendant le reste de ses jours. Version III. Le Cheval et le Loup. 3. Un cheval paissait librement,
este de ses jours. Version III. Le Cheval et le Loup. 3. Un cheval paissait librement, et allait broutant çà et là d
illaient toutes les parties du malade qu’il destinait à son repas. Le cheval sentit que cette prévenance cachait des embûches,
mier des chirurgiens ; et, par le ciel ! pour traiter les ulcères des chevaux , mon talent laisse bien loin tous les autres. » N
andis qu’il baisse la tête, pour examiner intérieurement la plaie, le cheval lui détache une ruade de toutes ses forces, lui b
ls entrent triomphants dans leur patrie, sur un char attelé de quatre chevaux , et jouissent pendant le reste de leur vie d’un r
nseigner, dans toutes ses parties, l’art de dresser et de conduire un cheval . Puis la diète, la soif, le froid, la chaleur, l’
ameurs, les lamentations des femmes ! On eût dit, à cette vue, que le cheval de Troie était entré dans les murs, que la ville
ropres fils, et s’épargnent aucun soin pour leur apprendre à monter à cheval [illisible chars][texte coupé]t à tirer de l’arc.
rendre les villes. C’est en [illisible chars][texte coupé]nçant leurs chevaux sur l’ennemi, ou en tournant le dos, qu’ils comba
faut recommencer [illisible chars][texte coupé]a lutte. Cavaliers et chevaux sont entièrement bardés de lames le fer, en forme
assigne les conditions. Comme c’est folie à celui qui veut acheter un cheval , d’examiner, non point l’animal, mais sa selle et
ire de confiance !) qu’il importe peu aux gens de cœur de combattre à cheval ou sur des vaisseaux, sur terre ou sur mer. Sous
quels il commanda de se munir sur-le-champ de belles armes et de bons chevaux , comme pour les emmener immédiatement avec lui au
erait de cette expédition, s’ils voulaient céder leurs armes et leurs chevaux à ses soldats. Cette jeunesse timide et peu guerr
ute taille, il voulut l’essayer à la course et à la lutte. Il mit son cheval au galop, lui fit faire un grand nombre de tours 
itié barbare, et qui savait à peine parler latin. Sévère descendit de cheval , et ordonna qu’on le mît aux prises avec les plus
s fit paraître au plafond une épée nue, qui ne tenait qu’à un crin de cheval , et qui se trouvait suspendue sur la tête de ce m
le chars][texte coupé]us, vêtus de saies de couleur. Montés sur leurs chevaux rapides ou sur leurs chameaux élancés, ils errent
ans ce pays) aussi facilement, aussi commodément que nous montons des chevaux . Quelques-uns croient bien faire en ne tuant aucu
ée qu’une plaine immense peut à peine contenir ; en la fournissant de chevaux et d’armes ; en assurant les subsistances d’une s
rofondeur et sans consistance : en vérité, il suffit des pieds de nos chevaux pour les écraser, quand même je ne lancerais cont
t que la honte les retenait, plutôt que le courage. César renvoie son cheval , et, tout hors de lui, court à la première ligne 
venir des secours de tous côtés, rassemble des armes, des traits, des chevaux , tout le matériel militaire ; il y joint des vivr
l’entretien des enfants ; il fournit aux jeunes gens des armes et des chevaux  ; il assigna aux pères des récompenses proportion
le distinguât des jeunes gens de son âge : c’étaient ses armes et ses chevaux qu’on remarquait. Il était, sans contredit, le me
s’avançaient, je ne dis pas montés sur un char et traînés par quatre chevaux blancs, mais (ce qui était plus insultant) portés
ueuse, effleurant à peine la terre de ses pas, et s’arrête devant les chevaux , qui frémissent à son affreux aspect. Mais votre
ieu d’être un assemblage formé par le hasard, chaque bande d’hommes à cheval , chaque triangle d’infanterie, est composé de gue
. Pages. 1. Les deux Sources. 18 2. Le Chien dénonciateur. 20 3. Le Cheval et le Loup. 20 4. A un ami qui relève d’une grav
dieu du conseil), autrement dit, Neptune Equestre (qui avait donné le cheval aux hommes). C’est pendant leur célébration, au r
37 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
nt fait, à des points de vue différents, de belles prosopographies du cheval . 378. Qu’est-ce que l’éthopée ? L’éthopée (ἔθος,
ui ne pouvaient être imaginés ou disposés arbitrairement. Il monta à cheval le samedi à deux heures, après avoir mangé ; et c
aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. Il eut à peine tourné son cheval , qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la mai
chapeau de Saint-Hilaire. Ce gentilhomme ne le voit point tomber ; le cheval l’emporte où il avait laissé le petit d’Elbeuf. I
etit d’Elbeuf. Il était penché le nez sur l’arçon. Dans ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses ge
Francs par de trop longs détails sur la généalogie et les qualités du cheval de Clodion. 442. Les réflexions sont-elles permis
chevalier de Nantouillet : Le chevalier de Nantouillet était tombé de cheval … ; comme exemples d’anecdotes, la mort du poète B
38 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »
us a de la guerre arboré les drapeaux, Frappé son bouclier, animé ses chevaux  ; En tumulte à sa voix tous les Latins s’unissent
dre Virgile lui-même, quand il fait retentir les profondes cavités du cheval de bois sous l’effort de la javeline lancée par L
39 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
Cyllare, nom d’un cheval que montoit Pollux, suivant Virgile, et Castor, s
40 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — E — article »
Epire, province de l’ancienne Grèce, et dont les chevaux étoient fort estimés. C’est aujourd’hui la basse
41 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — E — article »
ineure, où fut bâtie la ville de Troie) surent atteler à un char deux chevaux , et Erichthon, quatre de front.
42 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
odèles de Décompositions de Portraits et Caractères. N° 55. — Le Cheval . On est forcé de reconnaître ici une touche di
out serait à noter : Crinière mouvante . Première image. On voit le cheval hérissant sa crinière qui flotte au gré des vents
sous nos regards. Il creuse du pied la terre. Qui ne croit voir un cheval impatient de partir, qui frappe le sol ou fait ja
s combattants s’agitent, ils hurlent, tombent et meurent. Que fait le cheval au milieu de cette scène sanglante ?…  — Il rit.
adrupèdes, des oiseaux, des poissons, etc., qui nous nourrissent ; du cheval et des animaux domestiques qui nous aident dans n
l, le traître, que mille cinq cents livres se trouve dans le pas d’un cheval  ? SCAPIN. Ce sont des gens qui n’entendent point
ux vestiges de désolation. Le mugissement du bétail, la clochette des chevaux , la voix, le moindre son suffit pour causer cette
s efforts furent inutiles : je m’assis à quelque distance, tenant mon cheval en main, et n’espérant plus que dans celui qui ch
uffre. La cataracte se divise en deux branches, et se courbe en fer à cheval . Entre les deux chûtes s’avance une île creusée e
, sans eux, serait incomplet. Ici c’est la mort d’un cavalier que son cheval flaire avec douleur, là c’est le trépas de deux a
ossais qui galopait à coté du roi, saisit tout-à coup la bride de son cheval , et s’écriant en jurant :  « Voulez-vous donc vou
oute ou déjà prisonnière. Il fallut fuir ; et le roi, avec deux mille chevaux environ, se jeta du coté de Leicester, laissant s
firent, car à merveille ils lui obéissoient. Bientôt elle demanda son cheval , s’élança légèrement dessus, comme si elle eût pe
était de plus de vingt mille hommes de pied et de près de deux mille chevaux  ; celle de la ligue thébaine, de trente mille hom
eux d’avoir rencontré cet abri tutélaire, Charles descend aussitôt de cheval … mais jugez quelle est sa surprise, lorsqu’à la l
cré, lui offre sa monture, et lui met entre les mains la bride de son cheval  ; le prêtre poursuit sa route. Le lendemain, il v
mble chevalier. de me servir pour aller au combat ou à la chasse d’un cheval qui a porté mon Créateur ! Si vous ne voulez pas
qui regarde le lac Mœler : c’est un grand bâtiment en forme de fer à cheval . Le cabinet du roi était à l’une des extrémités,
’ils eussent les deux mains libres, l’une pour tenir la bride de leur cheval , l’autre pour diriger leur lance. Le bouclier du
r de son adversaire, et se brisa en morceaux jusqu’à son gantelet. Le cheval de sir Kenneth recula de deux ou trois pas, et to
, lui était entrée profondément dans la poitrine, l’avait renversé de cheval , et s’était brisée, laissant un tronçon dans la b
hariots, lorsque l’attention du vieillard fut attirée par le pas d’un cheval qui s’avançait au galop. Bientôt un cavalier se p
la vérité. Dans ces montagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade
Mort de Turenne. Mme de Sévigné à sa fille. M. de Turenne monta à cheval le samedi à deux heures, après avoir mangé ; et,
ujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. » Il eut à peine tourné son cheval , qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la mai
gentilhomme, qui le regardait toujours, ne le voit point tomber : le cheval l’emporte où il avait laissé le petit d’Elbœuf ;
etit d’Elbœuf ; il était penché le nez sur l’arçon. Dans ce moment le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses ge
solée au milieu d’une forêt. Nous eûmes beaucoup de peine à loger nos chevaux et à trouver un lit pour l’ambassadeur. Quant à m
sadeur je m’éveille et cours avertir les gens de sa suite. On met les chevaux à la voiture et nous partons sans obstacle. Ce n’
coup-d’œil détruisit l’espoir que son arrivée avait fait naître : son cheval couvert de sueur semblait épuisé de fatigue, et l
voix altérée ; va faire guérir tes blessures, munis-toi d’un meilleur cheval , et peut-être alors daignerai-je consentir à te c
tes sonnèrent, et les chevaliers s’élancèrent l’un contre l’autre. Le cheval épuisé d’Ivanhoé, et son maître, qui était encore
erdre les étriers et tomber sur l’arène. Ivanhoé, se dégageant de son cheval , se releva sur-le-champ, et mit l’épée à la main,
oins se présentèrent, qui avaient vu disaient-ils, Tellis se sauver à cheval du chemin creux où s’était trouvé le corps du ban
t de coin, battre à pied, parce qu’elle n’avait pas appris à monter à cheval . On lui accorda cela ; chacun remarquait comme el
43 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195
: Je ne connais qu’une manière de voyager plus agréable que d’aller à cheval , c’est d’aller à pied. On part à son moment, on s
reste. A l’instant où je m’ennuie, je m’en vais. Je ne dépends ni des chevaux ni du postillon. Je n’ai pas besoin de choisir de
44 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
k, dans son voyage en Orient. Nous avancions lentement au pas de nos chevaux fatigués, les yeux attachés sur les murs gigantes
ut citer comme exemple de pureté les lignes suivantes de Buffon : Le Cheval La plus noble conquête que l’homme ait jamais fai
guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que soc maître, le cheval voit le péril et l’affronte il se fait au bruit d
45 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
t nous tailler des croupières2, Firent trois pelotons de leurs gens à cheval  ; Mais leur chaleur par nous fut bientôt réprimée
princesse. La qualité l’entête, et tous ses entretiens Ne sont que de chevaux , d’équipage et de chiens ; Il tutoie, en parlant,
croupière est un morceau de cuir rembourré qui passe sous la queue du cheval . L’expression signifie poursuivre. 3. C’est-à-di
46 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
encement j’étais en doute, et que je ne savais si c’était vous ou les chevaux de poste qui me tourmentiez. Mais il y a six jour
est venimeuse… Il y a des hiboux qui craignent la lumière. Combien de chevaux , qu’on emploie a tant d’ouvrages, et qu’on abando
dites ?.,. harpagon. Qu’il faut nettoyer mon carrosse, et tenir mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire… maître jacq
mes chevaux tout prêts pour conduire à la foire… maître jacques. Vos chevaux , monsieur ! Ma foi, ils ne sont point en état de
que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes, des façons de chevaux . harpagon. Les voilà bien malades ! ils ne font
es voir ainsi exténués ; car enfin, j’ai une telle tendresse pour mes chevaux , qu’il me semble que c’est moi-même, quand je les
sens pour vous de la tendresse, en dépit que j’en aie, et, après mes chevaux , vous êtes la personne que j’aime le plus. L’o
on vous surprit une nuit, en venant dérober vous-même l’avoine de vos chevaux , et que votre cocher, qui était celui d’avant moi
nt au travers de Nanterre, tra, tra, tra ; ils rencontrent un homme à cheval , gare, gare. Ce pauvre homme veut se ranger ; son
t un homme à cheval, gare, gare. Ce pauvre homme veut se ranger ; son cheval ne veut pas ; et enfin le carrosse et les six « c
e ranger ; son cheval ne veut pas ; et enfin le carrosse et les six «  chevaux renversent l’homme et le cheval, et passent par-d
 ; et enfin le carrosse et les six « chevaux renversent l’homme et le cheval , et passent par-dessus, et si bien par-dessus que
ue le carrosse en fut versé et renversé. En même temps, l’homme et le cheval , au lieu de s’amuser à être roués et estropiés, s
sienne ; mais, pour lui, c’est le premier pas de sa course575. Le cheval dompté Voyez ce cheval ardent et impétueux, pe
c’est le premier pas de sa course575. Le cheval dompté Voyez ce cheval ardent et impétueux, pendant que son écuyer le co
e fut. Cependant, tous les gens eurent le temps de se sauver, et onze chevaux s’étant jetés dans l’eau, malgré la rapidité du f
onze heures du matin à marcher ; j’allai toujours au grand pas de mon cheval , et je ne finis qu’à huit heures du soir. J’étais
mpettes et des timbales, qu’en vérité je me laissais conduire par mon cheval , sans avoir plus d’attention à rien ; et j’eusse
ssé le vaste tour du ciel en paix, avait fini sa course et plongé ses chevaux fougueux dans le sein des ondes de l’Hespérie856.
ombres ailes sur ses paupières862. Il fut sur le point de ramener ses chevaux en arrière, et de retarder le jour, pour rendre l
c’est le sens de l’esprit, et la langue de l’intelligence1195. Le cheval La plus noble1196 conquête que l’homme ait jam
erre et la gloire des combats1197. Aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait1198 au b
tres qu’il produit1220 !     Buffon. L’âne L’âne n’est point un cheval dégénéré1221 ; il n’est ni étranger, ni intrus122
illustre, elle est tout aussi bonne, tout aussi ancienne que celle du cheval . Pourquoi donc tant de mépris pour cet animal si
ux qui les servent trop bien et à trop peu de frais1224 ? On donne au cheval de l’éducation ; on le soigne, on l’instruit, on
de son naturel aussi humble, aussi patient, aussi tranquille, que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il souffre avec con
se contente des herbes les plus dures, les plus désagréables, que le cheval et les autres animaux lui laissent et dédaignent 
le peu de soin qu’on prend de lui ; car il ne se vautre pas comme le cheval dans la fange et dans l’eau ; il craint même de s
r la boue ; aussi a-t-il la jambe plus sèche et plus nette1235 que le cheval . Il est susceptible d’éducation, et l’on en a vu
n beau matin, et à la face du ciel et de la terre. L’Empereur était à cheval . Rien n’avait été préparé ni prémédité de la part
on, répétée par l’écho des rochers, et les premiers hennissements des chevaux , qui saluaient l’aurore. J’aimais à voir le camp
me, depuis quatre jours que je suis loin de vous, j’ai toujours été à cheval et en mouvement, sans que cela prît nullement sur
la vérité. Dans ces montagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade
le secret est l’âme de toute opération militaire. A minuit on monte à cheval  ; on arrive sans bruit aux portes de Luynes ; poi
sûreté pendant la nuit, entend, vers deux heures du matin, des pas de chevaux et des bruits de voix. Il frappe alors à la porte
ier. Tout autour, dans la prairie enclose de haies, des vaches, et le cheval du meunier, paissent au milieu des herbages. Tout
mme l’égoïsme. 193. C’est le type de cocher, qui vit par et pour ses chevaux  ; s’il les voyait pâtir, il s’ôterait pour eu le
-dire en barque. 643. Équipage. Ce mot comprend le train, la suite, chevaux , carrosse et valets. 644. Il raconte la scène, l
942. Le mot cavalier n’entraîne pas nécessairement l’idée de monter à cheval  ; il est l’équivalent de l’anglais gentleman. 9
e et de l’Eglogue. 1069. Êtres mythologiques, moitié hommes, moitié chevaux . 1070. Expression familière ; il veut dire qu’il
Bellone. Je préfère cette admirable peinture de Bossuet. « Voyez ce cheval ardent et impétueux, pendant.que son écuyer le co
sse, et presque de la grâce. Je n’aime pas le mot vautrer appliqué au cheval . C’est une calomnie ou plutôt une impolitesse. 1
z ces vers de Delille : Moins vif, moins valeureux, moins beau que le cheval , L’âne est son suppléant, et non pas son rival ;
« Je ne connais qu’une manière de voyager plus agréable que d’aller à cheval , c’est d’aller à pied. On part à son moment, on s
reste. A l’instant où je m’ennuie, je m’en vais. Je ne dépends ni des chevaux ni du postillon. Je n’ai pas besoin de choisir de
1529. Le jour où je suis arrivé à Venise, il y avait une course de chevaux  : c’était de l’extraordinaire. 1530. Comparez u
et descendaient sans bruit le long des murs brûlants. Une douzaine de chevaux à demi sauvages paissaient ça et là une herbe flé
47 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
sième, il parle des animaux qui servent à l’agriculture, tels que les chevaux , les bœufs et les vaches ; ensuite des troupeaux
reniers crouleront sous tes grains entassés. Parle-t-il du choix dès chevaux  ? Il en fait la plus vive et la plus magnifique d
ère de Castor(a), Ce Cyllare(b) fameux s’assujétit au mors ; Tels les chevaux d’Achille, et du dieu de la Thrace(c), Souffloien
ciel, d’où descendoit leur race. Après cette description si belle du cheval , je ne craindrai point de citer celle du coq, tir
t de la débauche : dans le troisième, la description de la course des chevaux et de l’invention des chars, à l’occasion du choi
se des chevaux et de l’invention des chars, à l’occasion du choix des chevaux  ; et celle d’une peste qui avoit fait d’effroyabl
t modèle. On va voir comme la description qu’il fait de la course des chevaux et de l’invention des chars, est, pour ainsi dire
i le jour. On se quitte, on s’atteint, on s’approche, on s’évite. Des chevaux haletans le crin poudreux s’agite ; Et blanchissa
ève les yeux ; d’Hippolyte, attaqué par un monstre, et traîné par ses chevaux . Il y a même des choses vraies qu’il auroit de la
nd qu’un horrible monstre vomi par les flots de la mer, a effrayé les chevaux d’Hippolyte, qui étant tombé de son char, a été t
rincesse. La qualité l’entête ; et tous ses entretiens Ne sont que de chevaux , d’équipage et de chiens : Il tutoie, en parlant,
e doivent jamais être ni petites ni outrées. Homère a fait parler des chevaux , mouvoir des statues, marcher des trépieds. Virgi
e un javelot. Herminie effrayé prend la fuite et est emportée par son cheval dans une forêt. Au même instant, le bruit se répa
sporté d’amour et de joie ; il prend une partie de ses armes, monte à cheval , vole, et suit les traces qu’il croit voir. Mais
s le silence des bois. Tout-à-coup il entend derrière lui un bruit de chevaux  ; et des voix confusent frappent ses oreilles : i
c ni le coup ne font plier le front superbe de ces deux rivaux. Leurs chevaux se heurtent, tombent, et font pour se relever, de
it paroître un nombreux escadron d’enfans, traversant l’arène sur des chevaux richement équipés. L’ordre de leur marche brillan
Troie, dont la race devoit fonder une ville en Italie. Priam monte un cheval de Thrace, tigré, d’une belle encolure, ayant des
ne. Ascagne, qui par sa beauté effaçoit tous les autres, monté sur un cheval de Tyr, dont la belle reine de Carthage lui avoit
avoit fait présent, conduit la troisième. Aceste(a) avoit fourni des chevaux siciliens pour tous les autres. Ces enfans timide
eu même où Rome fut depuis bâtie. Ce prince donne à Enée quatre cents chevaux , commandés par Pallas, son fils unique, et lui co
ez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez le mot Chevaux , ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la f
48 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
oi et moi, il y a« qui cependant est très doux » (Sainte-Beuve) ; « à cheval et à pied en bataille rangée » (Desportes), « cac
ndre la peine De songer en139 Parnasse, et boire à la fontaine Que le cheval volant de son pié fit saillir140, Faisant ce que
é de voir la campagne fertile Faite un hideux desert ! voir hommes et chevaux Pesle-mesle285 entassez ! voir de sang les ruisse
les jours une hostie on n’immole. Soit où Phebus attelle au matin ses chevaux , Où la nuict les reçoit recreus de leurs travaux,
remier rang dans la poésie descriptive, témoin le portrait renommé du cheval qu’on trouvera ci-après et qui rappelle quelquefo
une armee Ou percer le rempart d’une ville sommee384, Que ce fougueux cheval , sentant lascher son frein Et piquer ses deux fla
tout seul rechargé de travaux, Or, que l’humide nuict guide ses noirs chevaux , Et que chacun jouyst de ta grâce ordinaire ? To
loux qui voit son corrival623. Sortis, il me demande : « Estes vous à cheval  ? Avez vous point ici quelqu’un de vostre troupe 
in qu’il a, ensuivant sa coustume, Fait plusieurs maux aux juments et chevaux , Les dévorant et par monts et par vaux, Dont il e
cre au courre une sauvage beste. Sa carrosse l’attend à quatre blancs chevaux Plus vistes677 que les vents………………… Ou s’il monte
re blancs chevaux Plus vistes677 que les vents………………… Ou s’il monte à cheval , son cheval vigoureux, En la bouche maschant le f
evaux Plus vistes677 que les vents………………… Ou s’il monte à cheval, son cheval vigoureux, En la bouche maschant le frein d’or es
eur course attenduë Ne partent si legers…………………………………… Le roy ferme à cheval d’une course legiere Ceux-cy, ceux-là devance, et
uand l’occasion l’y appelle Pour son amy ou son parent ; Qui a trois chevaux en l’estable, Six chiens courans et deux levriers
ux, Se passe en moindre temps que la poudre qui vole Du pied de leurs chevaux . A quoy sert d’eslever les murs audacieux Qui de
Vous parut avoir quelques charmes, Et vous sembla belle autrefois, A cheval et sous le harnois, N’a-t-elle pas une autre mine
ui donnons alors La vieille meute, et moi, je prends en diligence Mon cheval alezan. Tu l’as vu ? ÉRASTE.                     
                           Non, je pense. DORANTE. Comment ! c’est un cheval aussi bon qu’il est beau, Et que ces jours passés
considère. Aussi je m’en contente ; et jamais, en effet, Il n’a vendu cheval ni meilleur ni mieux fait. Une tête de barbe913 a
veille, Et j’en ai refusé cent pistoles, crois-moi, Au retour918 d’un cheval amené pour le roi. Je monte donc dessus, et ma jo
enrage ; Et, pestant de bon cœur contre le personnage, Je pousse mon cheval et par haut et par bas, Qui plioit des gaulis926
e Louvre entouré de tonnerres, Comme un Mont-Sinaï ! Courbé comme un cheval qui sent venir son maître, Ils se disaient entre
in du trône, Aujourd’hui, c’en est le velours1347 ! Demain, c’est le cheval qui s’abat plein d’écume, Demain, ô conquérant, c
Ni l’apparition des vieilles Pyramides ; Ni le pacha du Caire et ses chevaux numides Qui mordaient le vôtre au poitrail1355 ;
tiennent, Et la couvrent des plis d’un épais manteau blanc. Les noirs chevaux de mer la heurtent, puis reviennent ; La flairer
er ! Lorsqu’au lever du jour, joyeux, plein de courage, Monté sur tes chevaux tu sortais pour l’ouvrage, Avec toutes ses voix l
s, Son âme est en voyage au pays des chimères, Il rêve qu’Alborak, le cheval glorieux1551, L’emporte en hennissant dans la hau
xtre une fourche à trois poinctes, de l’autre il guide et conduit ses chevaux marins galoppans à bouche ouverte, ayans les piez
a employé le premier. 301. Faim-walle, faim subite et maladive des chevaux , Étym. : soit fames caballi (d’où faim-calle, qu’
s’en vient au galop et s’en retourne au pas. 379. C’est le premier cheval dompté par l’homme, par Caïn. 380. Partie inféri
dompté par l’homme, par Caïn. 380. Partie inférieure de la jambe du cheval , voisine de la corne (sabot). Étym. : Pâture, 1°
aux par excellence pour le cultivateur, les bêtes à cornes. 442. Les chevaux . Étymol. : l’arabe faras, cheval. 443. Horace,
teur, les bêtes à cornes. 442. Les chevaux. Étymol. : l’arabe faras, cheval . 443. Horace, loc. cit. : Has inter epalas, u
jambes du même côté. — Les procureurs, comme les médecins, montaient chevaux ou mulets. 503. Nourrir et entretenir. 504. All
e réunissant les deux branches du mors de la bride. On dit gourmer un cheval . 570. Les Italiens, dit Ménage, qui les cite. C
l. 570. Les Italiens, dit Ménage, qui les cite. Cf. La Fontaine, Le cheval et le loup (V, 8). 571. Étym : poinçon, de punct
çavoir, Nous voyent de bon œil, et tenant une gaule, Ainsi qu’à leurs chevaux , nous en flattent l’espaule ; Avecque bonne mine,
r Dieu, etc.). 616. Facheux, ici, désagréable, bourru. 617. Barbe, cheval de Barbarie. L’encastelure est la défectuosité du
4. Panser : 1° appliquer des appareils sur une partie malade ; 2° un cheval , un âne, l’étriller ; 3° des chiens, des oiseaux,
avoir… 761. Cf. Bossuet, Or. fun. de la princesse Palatine : Ni les chevaux ne sont vites… La Fontaine, V, 17 (Le Lièvre et l
urs, lassez de leurs travaux. Tous suans et poudreux, emmeinent leurs chevaux  ; Desja tous les bergers se reposent à l’ombre, E
cette belle strophe de son Ode sur la bataille de Lens : Il monte un cheval superbe. Qui, furieux aux combats, À peine fait c
. Ainsi, dans l’autre fable, l’œil voit successivement la montée, les chevaux , la traction, et enfin le coche, qui arrive le de
lui donne envie ; Il y vole, il est pris… Le Renard, le Loup et le Cheval (XII, 17) : Le loup, par ce discours flatté. S’a
iscours flatté. S’approcha. Mais sa vanité Lui coûta quatre dons : le cheval lui desserre Un coup, et haut le pied… 849. C
), d’où bûche, bosc, bosquet, bois, buisson. 912. Fameux marchand de chevaux . 913. Cheval de sang oriental, des contrées afri
bosc, bosquet, bois, buisson. 912. Fameux marchand de chevaux. 913. Cheval de sang oriental, des contrées africaines. Abrévi
— Étoile en tête, marque blanche des robes foncées, particulière aux chevaux et aux bœufs. Forme souvent un épi ou pelote. For
67 : … Duplex agitur per lumbos spina. 917. Jambes de derrière du cheval . 918. En retour, en échange de… 919. Chien qui
e de foin. Et ailleurs : Malherbe, en cet âge brutal, Pégase est un cheval qui porte Les grands hommes à l’hospital. Il fit
), du riche de la ville : Un char commode avec grâces orné, Par deux chevaux rapidement traîné, Paraît aux yeux une maison rou
Prométhée, tantôt l’oiseau « bercé par son vol solitaire », tantôt le cheval qui emporte Mazeppa sur des « ailes de flamme »,
1228. Il., ΙΙ, 455 sqq. 1229. Il., XIX, 404 sqq. Xanthos, un des chevaux d’Achille, lui prédit sa mort. — Dans les vers su
conds de Slaves. 1294. Dans Millevoye aussi, un cavalier parle à son cheval (l’Arabe à son coursier). On peut malgré la diffé
eaux. Par une porte ouverte, on voit l’étable pleine Des bœufs et des chevaux revenus de la plaine. Ils prennent leur repas : o
et la dernière note du présent morceau. 1551. Ou Al Borak, ou Borak, cheval qui, selon le Coran, transporta Mahomet, en une s
et de forêts, elles nourrissent d’immenses troupeaux de bœufs et des chevaux sauvages. 1558. Qui colore la neige d’un reflet
49 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XII. Abrégé des règles de la versification française. »
Boileau. On met un verbe au singulier avec plusieurs sujets : Âne, cheval et mule aux forêts habitait. La Fontaine. La
pour ville, courroux pour colère, labeur pour travail, coursier pour cheval , glaive pour épée, hymen pour mariage, onde pour
50 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278
s recourbées. Ils environnaient le char d’Amphitritec, traîné par des chevaux marins plus blancs que la neige, et qui fendant l
séditieux et toutes les noires tempêtes. Les tritons conduisaient les chevaux et tenaient les rênes dorées. Une grande voile de
les plus médiocres. On le vit faire montre de son adresse à manier un cheval , se faire le rival des poètes et des écrivains de
51 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
es ailes d’un moulin, un mérite éclatant, les figures du discours, un cheval ferré d’argent, etc. Vous dites ainsi, et vous ne
propre ; vous serez mieux compris en disant un bon violon, dix mille chevaux , que si vous disiez un bon violoniste, dix mille
52 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
de la campagne avec une suite d’environ trente personnes ; il était à cheval  ; et Milon, qui allait à Lanuvium, était dans un
r ce jour-là. » Clodius se présente à Milon dans un équipage leste, à cheval , sans voiture, sans bagage, sans aucun des Grecs
53 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
ssé le vaste tout du ciel en paix, avait fini sa course et plongé ses chevaux fougueux dans le sein des ondes de l’Hespérie.3.
sombres ailes sur ses paupières6. Il fut sur le point de ramener ses chevaux en arrière, et de retarder le jour, pour rendre l
54 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
re tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval , le soir d’une bataille, Le champ couvert de mort
« Caramba2 ! » Le coup passa si près que le chapeau tomba, Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même
55 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
méritait pas plus qu’un écuyer qui, s’étant chargé de dresser un beau cheval , ne lui aurait appris qu’à broncher, qu’à être ru
pistolets, d’une épée et d’une baïonnette, et je montais un assez bon cheval , qu’on avait pris au même gentilhomme dont je por
eût coûté beaucoup. A peine me donnèrent-ils le temps de descendre de cheval , tant ils s’empressaient de m’embrasser. « Courag
; son chapeau fut percé d’une balle de mousquet ; Menzikoff eut trois chevaux tués sous lui : les Suédois crièrent victoire  !
ff171 ; mais il allait, comme empereur, de rang en rang, monté sur un cheval turc, qui était un présent du Grand-Seigneur exho
mmença : une des premières volées du canon moscovite emporta les deux chevaux du brancard de Charles ; il en fit atteler deux a
deux drabans, qui prirent le roi par-dessous les bras et le mirent à cheval malgré les douleurs extrêmes de sa blessure. Poni
u’au bagage de l’armée suédoise. Le roi, fuyant et poursuivi, eut son cheval tué sous lui ; le colonel Gierta, blessé et perda
perdant tout son sang, lui donna le sien. Ainsi on remit deux fois à cheval dans sa fuite ce conquérant qui n’avait pu y mont
e du Borysthène175. Le roi, qui, depuis le moment où on l’avait mis à cheval jusqu’à son arrivée au bagage, n’avait pas dit un
ire Naturelle. Animaux carnassiers. L’âne. L’âne n’est point un cheval dégénéré ; il n’est ni étranger, ni intrus, ni bâ
illustre, elle est tout aussi bonne, tout aussi ancienne que celle du cheval . Pourquoi donc tant de mépris pour cet animal si
nimaux ceux qui les servent trop bien et à peu de frais ? On donne au cheval de l’éducation, on le soigne, on l’instruit, on l
, le plus distingué des animaux, si dans le monde il n’y avait pas de cheval . Il est le second, au lieu d’être le premier, et
on le regarde, on le juge, non pas en lui-même, mais relativement au cheval  : on oublie qu’il est âne, qu’il a toutes les qua
achés à son espèce ; et on ne pense qu’à la figure et aux qualités du cheval , qui lui manquent, et qu’il ne doit pas avoir. Il
de son naturel aussi humble, aussi patient, aussi tranquille, que le cheval est fier, ardent, impétueux ; il souffre avec con
e contente des herbes les plus dures et les plus désagréables, que le cheval et les autres animaux lui laissent et dédaignent.
. Je ne conçois qu’une manière de voyager plus agréable que d’aller à cheval  : c’est d’aller à pied. On part à son moment, on
este. A l’instant que je m’ennuie, je m’en vais. Je ne dépends ni des chevaux ni du postillon. Je n’ai pas besoin de choisir de
et des drogues, je vendais souvent aux hommes de bonnes médecines de cheval … Le comte. — Qui tuaient les sujets du roi ! Fi
les cœurs ; les yeux roulent du sang ; la main frémit sur l’épée. Les chevaux se cabrent, creusent l’arène, secouent leur crini
amond : les barbares prétendaient qu’elle était de la race de Rinfax, cheval de la Nuit, à la crinière gelée, et de Skinfax, c
ace de Rinfax, cheval de la Nuit, à la crinière gelée, et de Skinfax, cheval du Jour, à la crinière lumineuse : lorsque, penda
. L’haleine enflammée de cent mille combattants, le souffle épais des chevaux , la vapeur des sueurs et du sang, forment sur le
ant de longs arcs de bois ou des arbalètes d’acier. Le duc montait un cheval d’Espagne, qu’un riche Normand lui avait amené d’
prier et regarder le combat. Un Normand, appelé Taillefer, poussa son cheval en avant du front de bataille et entonna le chant
moins de commander et de combattre. L’attaque des gens de pied et de cheval recommença de près, aux cris de Notre-Dame ! Dieu
usqu’à un grand ravin recouvert de broussailles et d’herbes, où leurs chevaux trébuchèrent, et où ils tombèrent pêle-mêle et pé
combat fut encore vif, pêle-mêle et corps à corps. Guillaume eut son cheval tué sous lui ; le roi Harold et ses deux frères t
la descente, le sentier fort étroit les obligeant à marcher devant le cheval , ils étaient exposés, si l’animal faisait un faux
ues accidents de ce genre, mais en petit nombre, et il périt quelques chevaux , mais presque point de cavaliers. Vers le matin,
ient. Les arts l’ont dépeint franchissant les neiges des Alpes sur un cheval fougueux ; voici la simple vérité. Il gravit le S
voiturier basque y viendra sur son âne avec sa longue voiture à trois chevaux  ; il porte le berret du Béarn ; mais vous disting
xploits, leur rôle brillant, mais en dehors des cadres ; elles sont à cheval sur deux ou trois époques, jamais établies en ple
emblable une chose impossible. Ainsi, les souris qui sont changées en chevaux , dans Cendrillon, gardent à leur robe, sous leur
mpeur de l’Espagne ! » IV Sur le plus haut des monts s’arrêtent les chevaux  ; L’écume les blanchit ; sous leurs pieds, Roncev
re tous Pour sa grande bravoure et pour sa hante taille, Parcourait à cheval , le soir d’une bataille, Le champ couvert de mort
: « Caramba ! » Le coup passa si près que le chapeau tomba, Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même
ples ; Je sais conduire aussi les lévriers par couples, Et dompter un cheval rétif. Je sais encor Jongler dans un sonnet avec
ue jusqu’à ses dernières limites. Elle est, entre ses mains, comme un cheval qui a fourni sa course : elle est rendue ; mais l
, l’histoire peut reprendre de la vie et de la couleur. 376. Voir le cheval de guerre dans Virgile, Georgiques, liv. III. 37
ittérature françaises au moyen âge, tome Ier, 2e partie, § iii. 792. Cheval de parade. « On distinguait anciennement les chev
tie, § iii. 792. Cheval de parade. « On distinguait anciennement les chevaux en destriers, qui étaient les chevaux de bataille
On distinguait anciennement les chevaux en destriers, qui étaient les chevaux de bataille ; en palefrois, qui étaient des cheva
, qui étaient les chevaux de bataille ; en palefrois, qui étaient des chevaux de marche ordinaire pour les voyages, et en rouss
de marche ordinaire pour les voyages, et en roussins, qui étaient des chevaux de somme et de travail. » (Littré, Dictionnaire,
mot latin paravedus, mot hybride composé de παρά, à côté, et veredus, cheval de service (veredus, vehere et rheda). 793. Moin
56 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
peu près la même fable, Épéus étant l’artiste qui fabriqua le fameux cheval de bois  par conséquent cet épisode, comme aussi
57 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »
’Épervier et du Rossignol ; Stésichore adressa aux Himériens celle du Cheval et du Cerf. Le Phrygien Ésope, qu’on a regardé à
58 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
n voyage pour se distraire et se consoler. Un jour, traversant seul à cheval un vaste désert, il y trouve une bourse remplie d
oit que sa dernière heure est venue. Vesins le fait monter avec lui à cheval , l’escorte à la tête de quelques cavaliers, et le
lle de Regnier voulait lui faire, mais qu’il ne voulut pas ramener le cheval sur lequel il avait fait placer Regnier, cheval d
voulut pas ramener le cheval sur lequel il avait fait placer Regnier, cheval d’un grand prix, qu’il lui laissa. Il ne faut pas
ses compagnons soient allés de Paris au fond du Quercy sur les mêmes chevaux , dans un moment où cependant il leur importait d’
épond avec mépris et avec fureur, et se précipite dans la plaine. Les chevaux , les chiens ravagent ce riche canton, qui bientôt
 ; le chasseur, furieux, fait mettre le feu à la cabane et pousse son cheval sur le vieillard. A ce dernier trait d’inhumanité
naux de Jacques II, et poursuivi par des soldats ; il avait perdu son cheval , s’était foulé le pied, ne pouvait plus marcher e
ste retraite ; il donne à l’enfant quinze guinées pour lui acheter un cheval . Le dimanche suivant, James, sans défiance, va da
ance, va dans une petite ville voisine de la ferme pour marchander un cheval . Décrivez les diverses scènes que cette tentative
u’une révolte éclata. Rhadamiste ne dut son salut qu’à la vitesse des chevaux sur lesquels il se sauva, lui et sa femme Zénobie
59 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
ulaire. C’est alors seulement que Thierry pourra monter sur son grand cheval de bataille et courir au massacre des Auvergnats.
de Lemnos Philoctète, son ennemi ; lui qui enlève le Palladium et les chevaux de Rhésus ; lui qui conçoit la ruse du cheval de
ve le Palladium et les chevaux de Rhésus ; lui qui conçoit la ruse du cheval de bois. Mais ce que les Grecs estiment surtout e
i donnera de beaux trépieds, dix talents, des bassins d’or pur, douze chevaux vainqueurs dans les courses. Ces dons seuls suffi
60 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voiture 1598-1648 » pp. 15-17
encement j’étais en doute, et que je ne savais si c’était vous ou les chevaux de poste qui me tourmentiez. Mais il y a six jour
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Rochefoucauld 1613-1680 » pp. 18-21
t venimeuse… ; il y a des hiboux qui craignent la lumière. Combien de chevaux , qu’on emploie à tant d’ouvrages, et qu’on abando
62 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
me, depuis quatre jours que je suis loin de vous, j’ai toujours été à cheval et en mouvement, sans que cela prît nullement sur
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217
n beau matin, et à la face du ciel et de la terre. L’Empereur était à cheval . Rien n’avait été préparé ni prémédité de la part
64 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
ron répétée par l’écho des rochers, et les premiers hennissements des chevaux qui saluaient l’aurore. J’aimais à voir le camp p
s les cœurs, les yeux roulent du sang, la main frémit sur l’épée. Les chevaux se cabrent, creusent l’arène, secouent leur crini
amond ; les barbares prétendaient qu’elle était de la race de Rinfax, cheval de la Nuit, à la crinière gelée, et de Skinfax, c
ace de Rinfax, cheval de la Nuit, à la crinière gelée, et de Skinfax, cheval du Jour ; à la crinière lumineuse : lorsque, pend
. L’haleine enflammée de cent mille combattants, le souffle épais des chevaux , la vapeur des sueurs et du sang, forment sur le
r se ranime et monte en longs accents vers le ciel. On voit errer des chevaux sans maîtres, qui bondissent ou s’abattent sur de
et descendaient sans bruit le long des murs brûlants. Une douzaine de chevaux à demi sauvages paissaient çà et là une herbe flé
il venait de se réveiller ; il fumait ; il allait dormir encore. Les chevaux paissaient paisiblement dans les foyers du roi Mé
t être le tombeau de Léonidas. Le janissaire m’accompagna, tirant les chevaux par la bride ; nous allions errant de ruine en ru
rmaient une espèce d’aigrette et retombaient par derrière en queue de cheval . Leur visage était entièrement rasé, à l’exceptio
es et alla faire la guerre en Italie. La garde du roi avait seule des chevaux et portait des lances du modèle romain ; le reste
ant de longs arcs de bois ou des arbalètes d’acier. Le duc montait un cheval d’Espagne, qu’un riche Normand lui avait amené d’
prier et regarder le combat. Un Normand, appelé Taillefer, poussa son cheval en avant du front de bataille et entonna le chant
moins de commander et de combattre. L’attaque des gens de pied et de cheval recommença de près, aux cris de Notre-Dame ! Dieu
usqu’à un grand ravin recouvert de broussailles et d’herbes, où leurs chevaux trébuchèrent et où ils tombèrent pêle-mêle et pér
combat fut encore vif, pêle-mêle et corps à corps. Guillaume eut son cheval tué sous lui ; le roi Harold et ses deux frères t
venaient processionnellement à sa rencontre ; les Franks montaient à cheval pour se joindre à son cortège. Partout les acclam
la descente, le sentier fort étroit les obligeant à marcher devant le cheval , ils étaient exposés, si l’animal faisait un faux
ues accidents de ce genre, mais en petit nombre, et il périt quelques chevaux , mais presque point de cavaliers. Vers le matin,
ient. Les arts l’ont dépeint franchissant les neiges des Alpes sur un cheval fougueux ; voici la simple vérité. Il gravit le S
e s’avançait successivement homme à homme, les cavaliers menant leurs chevaux par la bride. L’officier autrichien qui commandai
l plus de soucis que le Saint-Bernard lui-même, se trouva vaincu. Les chevaux de l’artillerie avaient pris le sentier d’Albared
s, Sur un tambour français règlent leurs pas sauvages, Et les ardents chevaux hennissent à son nom438. Parfois il vient, porté
i met sa joie Dans l’éclat d’un manteau de soie, Dans la vitesse d’un cheval  ! Pour quiconque souffre et travaille, Qu’il s’en
e, l’histoire peut reprendre de la vie et de la couleur. 51. Voir le cheval de guerre dans Virgile, Géorg., l. III. 52. M
ouva une petite statue de Minerve assise sur un char attelé de quatre chevaux et une urne de métal remplie de cendres, de charb
65 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ceignis la tiare, et marchai son égal. » En prose la description du cheval , par Buffon, doit surtout être remarquée : « La
guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait au bruit
rangés. Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ; Sa main sur ses chevaux laissait flotter les rênes. Ses superbes coursier
ure. De rage et de douleur le monstre bondissant, Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente u
elle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il veut les rappeler, et s
ns lesquels Mathan peint sa criminelle ambition ? — La description du cheval par Buffon ? — Le parallèle de Richelieu et de Ma
isent les unes des autres. 5. C’est par catachrèse que l’on dit : Un cheval ferré d’argent, une feuille de papier, les branch
66 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
ontre les ambitieuses prétentions de Phalaris d’Agrigente, « celui du cheval demandant vengeance à l’homme contre l’injure du
osé, présenté ! « Clodius s’offre à la rencontre de Milon ; il est à cheval , sans voiture, sans bagage, sans aucun Grec à sa
ignant le bruit sourd, caverneux, que fit résonner dans les flancs du cheval de bois la lance de Laocoon, avait admirablement
re tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, Parcourait à cheval , le soir d’une bataille, Le champ couvert de mort
: « Caramba ! » Le coup passa si près que le chapeau tomba, Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même
la patrie, alors qu’il l’a vu lancer une flèche contre les flancs du cheval de bois, instrument de ruine pour son pays. D’aut
pagne, Est malade à la ville ainsi qu’à la campagne ; En vain monte à cheval pour tromper son ennui : Le chagrin monte en crou
usurpé ? Près de ce champ fatal, Jésabel immolée, Sous les pieds des chevaux cette reine foulée, Dans son sang inhumain les ch
a entre eux un rapport marqué de signification. Ainsi l’on dit qu’un cheval est ferré d’argent, qu’un enfant va à cheval sur
on. Ainsi l’on dit qu’un cheval est ferré d’argent, qu’un enfant va à cheval sur un bâton. Horace (liv. II, Sat. 3, vers 24) d
67 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
n offre à chaque page des modèles. Relisez cette belle description du cheval  : C’est partout une harmonie soutenue, un choix d
a guerre et la gloire des combats. Aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait au bruit
nsi que l’on dit la glace d’un miroir, une feuille de papier, aller à cheval sur un bâton. 4° Métonymie. La métonymie (c
68 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
Le Soleil est un Dieu monté sur un char étincelant, que traînent des chevaux immortels, qui vomissent la flamme. Les Vents ont
Tels sont humains pour hommes ; forfaits pour crimes ; coursier pour cheval  ; glaive pour épée ; ondes pour eaux ; antique po
69 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bossuet 1627-1704 » pp. 65-83
es-vous pour la grande affaire, pour l’affaire de l’éternité ? Le cheval dompté Voyez ce cheval ardent et impétueux, p
ire, pour l’affaire de l’éternité ? Le cheval dompté Voyez ce cheval ardent et impétueux, pendant que son écuyer le co
70 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Le Sage 1668-1747 » pp. 139-143
2. Le mot cavalier n’entraîne pas nécessairement l’idée de monter à cheval il est l’équivalent de l’anglais gentleman. 1.
71 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
ier. Tout autour, dans la prairie enclose de haies, des vaches, et le cheval du meunier, paissent au milieu des herbages. Tout
72 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre premier. Des caractères essentiels de la poésie » pp. 9-15
soleil était un dieu monté sur un char étincelant, que traînaient des chevaux immortels vomissant la flamme ; l’aurore était un
73 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262
adjectifs, ils supposent caro sous-entendu : de la chair de bœuf, de cheval , de bête sauvage. Il en est ainsi dans les exempl
quelles ils n’ont que des rapports éloignés. Ainsi, nous disons qu’un cheval est ferré d’argent, parce que nous n’avons point
rbe ferrer. Quand Horace a dit : equitare in arundine longâ, aller à cheval sur un bâton, il a fait un usage un peu exagéré d
st difficile, en effet, de se représenter un bâton sous la forme d’un cheval . Le mot feuille se dit par extension des choses q
tage l’esprit de l’auditeur. Si nous voulons peindre la légèreté d’un cheval à la course, nous disons qu’il va plus vite que l
 : Comprimere seditionem. — Frænare (de frenum), mettre un frein à un cheval , brider. Au figuré : Spes frenare avidas, réprime
ductions contre nature ; par exemple, un bœuf qui aurait la tête d’un cheval . CXCVIII. — Progenies, proles, soboles. P
74 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
le ; comme quand on dit, trente voiles, pour trente vaisseaux ; mille chevaux , pour mille cavaliers. On nomme celles-ci tropes,
usurpé ; Près de ce champ fatal, Jezabelc immolée, Sous les pieds des chevaux cette Reine foulée ; Dans son sang inhumain les c
r juste valeur par ceux qui nous entendent. On dit par hyperbole d’un cheval qui va extrêmement vite : il va plus vite que le
75 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
ne subsistent plus. Echapper, en terme de manége, c’était pousser un cheval à toute bride, le faire partir au plus vite. 2.
76 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
ôt met pied à terre, fauche le grain, le met en trousse, et remonte à cheval L’officier de cavalerie dit alors à son guide : «
77 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
ce fut. Cependant tous les gens eurent le temps de se sauver, et onze chevaux s’étant jetés dans l’eau, malgré la rapidité du f
78 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
de deux corps l’un contre l’autre. Patara-patara pour le galop d’un cheval . Lorsque le champagne fait en s’échappant Pan !
roupe et galope avec lui. (Boil.) Comment le chagrin peut-il aller à cheval  ? — Où est le rapport de comparaison, base de la
Dans le vers de Boileau, le chagrin est dans l’âme de celui qui est à cheval , et ce rapport est facile à saisir. Il en est de
est une sorte de métaphore. Il y a catachrèse par abus dans : aller à cheval sur un bâton. — Ferrer d’argent une cassette, c’e
coins et d’ornements d’argent. C’est en effet abuser des mots aller à cheval , ferrer, que de les détourner à ce point de leur
ses plus fortes et plus étendues que les choses réelles. On dira d’un cheval qui va très vite, qu’il court plus vite que le ve
79 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
s, qu’il serait un peu long de rapporter ici ; et ailleurs celle d’un cheval de bataille, que Dieu lui-même nous a tracée dans
s le livre de Job : « Est-ce vous, dit Dieu à Job, qui avez donné au cheval la force et le courage ? qui l’avez rendu terribl
d garde au bruit confus de l’armée. » Cette admirable description du cheval nous montre l’intrépidité de ce fier animal, son
80 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
. Si un peintre s’avisait de placer une tête humaine sur un cou de cheval  ; et que, bigarrant de plumes diverses un assembl
olescent imberbe, qui est libre, enfin, et hors de tutelle, adore les chevaux , les chiens, le Champ-de-Mars : cire docile aux i
s enfants des Dieux, 237et l’athlète-en-pugilat vainqueur, 238et le cheval premier (victorieux) 239dans le combat de la cou
7quand son gouverneur a été éloigné 458enfin, 459est charmé par les chevaux , 460et par les chiens, et par le gazon 461du Ch
teries) 706obscènes et indécentes. 707En effet, 708ceux qui ont un cheval (les chevaliers), 709et ceux qui ont un père sén
81 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
Tels sont humains pour hommes ; forfaits pour crimes ; coursier pour cheval  ; glaive pour épée ; ondes pour eaux ; antiques p
82 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
ore, dont j’ai déjà parlé, l’invention de l’apologue de l’homme et du cheval , qu’Horace, Phèdre et La Fontaine ont si bien ver
compagne Et malade à la ville ainsi qu’à la campagne, En vain monte à cheval pour tromper son ennui ; Le chagrin monte en crou
re est un effet de l’art. Écarts de l’Ode. Représentez-vous ce cheval ailé291, à qui la Fable a donné pour séjour les c
’il traverse les mers, le noir chagrin marche à ses côtés. S’il est à cheval , il porte en croupe son bourreau. Mais voyez dans
83 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
on propre dans la langue pour exprimer sa pensée. Exemples : Aller à cheval sur un âne, sur un bâton ; un cheval ferré d’arge
r sa pensée. Exemples : Aller à cheval sur un âne, sur un bâton ; un cheval ferré d’argent ; une feuille de papier, une feuil
longè Littora misceri, et nemorum increbrescere murmur. Le galop du cheval . Quadrupedante putrem sonitu quatit ungula camp
l’oreille en frémit. L. Racine. Le retentissement du clairon et du cheval de bois frappé par une javeline. Sed tum fortè
84 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
argile, poculum fictile. De même : la chair de bœuf, caro bubula ; de cheval , equina ; de mouton, vervecina ; de bête sauvage,
cutions suivantes et autres semblables : Ex equo pugnare, combattre à cheval  ; ex mœnibus pacem petere, demander la paix du ha
nder la paix du haut des remparts ; ex equis colloqui, s’entretenir à cheval  ; ex itinere seribere, écrire en route ; ex propi
Ex. : Quin conscendimus equos ? T. L. Pourquoi ne montons-nous pas à cheval  ? Dans ce sens, quin se joint bien aux adverbes e
85 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
ble, douce ou riante ; en décrivant la fureur du tigre, la majesté du cheval , la fierté et la rapidité de l’aigle, les couleur
usjours de mesme visage. Il a bel aller au pied, dit-on, qui mène son cheval par la bride. Le malade n’est pas à plaindre qui
86 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
ers du bourg de Courances, où le chevalier d’Achon, qui avoit là cent chevaux légers9 les arresta prisonniers, et aussi tost le
87 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
eur des princes est morte. Malherbe, en cet âge brutal, Pégase est un cheval qui porte Les grands hommes à l’hôpital. 2. A
88 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
dirait Baucis donnant l’hospitalité à Jupiter. 1. Demain, c’est le cheval qui s’abat plein d’écume. Demain, ô conquérant, c
89 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
onter en bateau le cours d’une rivière, sans rames, sans voiles, sans chevaux , jamais sottise pareille avait-elle pu naître dan
s d’usage, qui ne sert ni à la guerre, ni à la chasse, non plus qu’un cheval de manège, quoique le mieux instruit du monde. »
er l’un sans l’autre, mais les conduire également comme une couple de chevaux attelés au même timon. » – Dites ce que vous pen
cité donne des commotions violentes, on fait entrer des mulets et des chevaux dans un marais, autour duquel les pècheurs formen
us peindrez cette lutte. Les poissons se glissent, sous le ventre des chevaux , qui cherchent à échapper aux atteintes redoutabl
ns épuisés tâchent, à leur tour, de se soustraire au trépignement des chevaux et s’approchent de la rive, où ils sont harponnés
peur à double effet, qui les faisait tourner, était de la force de 18 chevaux . Cependant l’opinion n’était pas plus favorable a
. L’haleine enflammée de cent mille combattants, le souffle épais des chevaux , la vapeur des sueurs et du sang, forment sur le
r se ranime et monte en longs accents vers le ciel. On voit errer des chevaux sans maîtres, qui bondissent ou s’abattent sur le
le sort des vaincus comme à Nesle, où le duc de Bourgogne est entré à cheval dans l’église, foulant aux pieds les cadavres que
llir le fruit de ses savantes manœuvres. Le 27 juillet, étant monté à cheval , à deux heures, et s’étant porté vers une petite
x Indiens des iles marchaient au milieu des Espagnols. Colomb était à cheval , entouré de l’élite de la noblesse d’Espagne. Les
lignes des assiégeants et fait son entrée dans Orléans, montée sur un cheval blanc, armée de toutes pièces, tenant en main son
vaches, proprement tenues, occupent un côté avec leurs génisses ; les chevaux et les bœufs sont de l’autre. Les granges où l’on
e à un jardin zoologique. – Décrire un haras. – Décrire une course de chevaux . – Décrire un comice agricole. – Insister sur l’e
e au bétail. – Décrire une revue de cavalerie. – Que préférez-vous du cheval de labour ? – du cheval de cavalerie ? – du cheva
ne revue de cavalerie. – Que préférez-vous du cheval de labour ? – du cheval de cavalerie ? – du cheval de trait ? – du cheval
e préférez-vous du cheval de labour ? – du cheval de cavalerie ? – du cheval de trait ? – du cheval d’attelage ? – du cheval d
al de labour ? – du cheval de cavalerie ? – du cheval de trait ? – du cheval d’attelage ? – du cheval de course ? Comparez leu
l de cavalerie ? – du cheval de trait ? – du cheval d’attelage ? – du cheval de course ? Comparez leurs formes, – leurs aptitu
 ? – du chien en particulier ? – Vous supposerez un dialogue entre un cheval de labour et un cheval de course ? – Décrire un r
ulier ? – Vous supposerez un dialogue entre un cheval de labour et un cheval de course ? – Décrire un retour de troupeau. – Mo
crire un retour de troupeau. – Montrer la vérité de ce proverbe : « A cheval hargneux, il faut une écurie à part. » L’applique
ravail. – Que savez-vous sur Pégase, les centaures, les amazones, les chevaux d’Apollon, Bucéphale, Gladiateur ? – Vous avez su
er l’économie jusqu’à l’avarice. Un ancien a écrit : « Vends le vieux cheval , le vieux bœuf de labour, la ferraille hors d’usa
application à la tenue d’une exploitation rurale. – Fable : l’ane, le cheval et le mouton. – L’âne et le cheval se racontent l
tation rurale. – Fable : l’ane, le cheval et le mouton. – L’âne et le cheval se racontent leurs misères, se faisant le récit d
ère. Puis, après réflexion, il préfère son sort à celui du mouton. Le cheval en fait autant, car : plutôt souffrir que mourir,
courir sur la carte avec une telle rapidité que le galop même de ses chevaux cosaques ne lui tiendrait pas pied. Et ce n’est p
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Le Sage, 1668-1747 » pp. 216-222
a fait. » J’avais été, dans l’après-dînée, chercher mes hardes et mon cheval à l’hôtellerie où j’étais logé ; après quoi j’éta
91 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
ippolyte : ………………… Sur son char il monte avec adresse ; Ses superbes chevaux , dont il sait la vitesse. De leurs hennissements
ngés. Il suivait, tout pensif, le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes. Ses superbes coursier
92 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
e métamorphosant en ami du peuple, en vigneron matois, en canonnier à cheval , il guerroya, au nom d’un libéralisme bourgeois e
93 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
ière, il se vantait d’avoir fait douze chameaux, quatre chiens, trois chevaux , un tigre, deux chats, un échiquier, un tric-trac
94 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
ils semblent se refuser. Une feuille de papier, une glace de miroir, cheval ferré d’argent, aller à cheval sur un bâton. Equ
euille de papier, une glace de miroir, cheval ferré d’argent, aller à cheval sur un bâton. Equitare in arundine longâ. (Hora
vents : Luctantes ventos tempestatesque sonoras. (Id.) Le galop du cheval  : Quadrupedante putrem sonitu quatit ungula camp
ux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé,         Six forts chevaux tiraient un coche. Femmes, moines, vieillards, to
ement émue, et le coup n’en devient que plus terrible : « Il monta à cheval le samedi à deux heures, après avoir mangé ; et c
aujourd’hui ; cela sera le mieux du monde. Il eut à peine tourné son cheval qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la main
ossuet, Delille, Buffon nous ont donné de célèbres prosopographies du cheval  ; mais la plus belle de toutes est celle qu’on li
l’ordre de l’esprit. (R. P. Lacordaire.) XIII. Prosopographie. Le Cheval . I. Voyez ce cheval ardent et impétueux 
Lacordaire.) XIII. Prosopographie. Le Cheval. I. Voyez ce cheval ardent et impétueux : pendant que son écuyer le c
eu même où Rome fut depuis bâtie. Ce prince donne à Énée quatre cents chevaux commandés par Pallas, son fils unique, et lui con
95 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
ovo… ruperunt horrea messes. (Géorg. I, 43.) Parle-t-il du choix des chevaux , il en fait la plus vive et la plus magnifique de
ns le vie  siècle avant l’ère chrétienne, l’apologue de l’Homme et du Cheval que Phèdre a imité, Après ces auteurs, nous citer
96 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bernardin de Saint-Pierre, 737-1814 » pp. 357-367
es efforts furent inutiles. Je m’assis à quelque distance, tenant mon cheval en main et n’espérant plus qu’en celui qui change
97 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
a beaucoup trop loin en effet de l’idée d’empire à celle du mors d’un cheval , et la métaphore est vicieuse. Ce tour est égalem
’un coursier puisse être pris pour la muse elle-même, par allusion au cheval Pégase ; c’est le signe pour la chose signifiée.
98 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
, dit Montaigne, de fermer un propos ; et n’est rien où la force d’un cheval se connoisse plus qu’à faire un arrêt rond et net
99 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre second. De la disposition. »
distinguera de la mort de tel ou tel personnage. Dans ce moment le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses ge
100 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
l trompeur de l’Espagne ! » Sur le plus haut des monts s’arrêtent les chevaux  ; L’écume les blanchit ; sous leurs pieds, Roncev
le ciel profond et pur Reposait sur les monts sa coupole d’azur, Les chevaux au piquet hennissaient d’un ton grêle, Et le cri
Louvre entouré de tonnerres, Comme un mont Sinaï ! Courbés comme un cheval qui sent venir son maître, Ils se disaient entre
sapin du trône, Aujourd’hui, c’en est le velours ! Demain, c’est le cheval qui s’abat blanc d’écume. Demain, ô conquérant, c
nant, ont des heures de colère où elles semblent déchaînées comme les chevaux de l’Apocalypse ; alors leurs blancs escadrons se
s forces. Ses revers au début ne m’inquiètent pas : Elle est comme un cheval qui choppe au premier pas, Mais dont l’emportemen
Quiconque est en voiture, ou sort de l’Opéra, Tient maison, a valets, chevaux , et cætera, Aristocrate ! — On peut le tuer sans
rincesse. La qualité l’entête ; et tous ses entretiens Ne sont que de chevaux , d’équipage et de chiens ; Il tutoie, en parlant,
ervie : C’est la chasse qui paye avec la basse-cour ; Nous avons neuf chevaux , des chevaux de labour Si tu veux, mais qui vont
la chasse qui paye avec la basse-cour ; Nous avons neuf chevaux, des chevaux de labour Si tu veux, mais qui vont encore à la v
d’un bivouac semblable : des lances emplumées plantées au milieu des chevaux , des Arabes, des Turcs couchés à droite et à gauc
chiens, et la loi anglaise ne permet pas de maltraiter impunément les chevaux . L’assistance humilie, si elle n’a rien de récipr
me du monde. Le grand-père, Carie Vernet (celui qui peint si bien les chevaux ), dansa ce soir-là une contredanse ; il était si
u’une chose : à savoir, qu’il ait soixante-douze ans. Il fatigue deux chevaux par jour, peint et dessine un peu, et, le soir, i
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