animait au bruit de l’harmonie, il se donnait le ton et la mesure, il
chantait
, il composait d’inspiration ; les paroles naissai
générée le nom de poésie lyrique ; les poètes répétèrent souvent : Je
chante
, et parlèrent toujours des accords de la lyre, en
sur son front une marque immortelle ? Peuples de la terre,
chantez
! Jérusalem renaît plus charmante et plus belle.
erce avec les dieux. Aux athlètes, dans Pise, elle ouvre la barrière,
Chante
un vainqueur poudreux au bout de la carrière. Son
est un effet de l’art. Art poétique. Chez les anciens, l’ode était
chantée
et représentée sur la scène ; elle se composait d
e sacrée. L’ode sacrée, nommée particulièrement hymne ou cantique,
chante
la Divinité ; elle est consacrée au fêtes religie
verses. Poésie légère. L’ode varie de ton selon les sujets qu’elle
chante
: elle est héroïque, si elle célèbre les exploits
ent la guerre autant avec des chansons qu’à coups d’épée. « Le peuple
chante
? disait Mazarin, qui venait d’établir un nouvel
éon, célèbre poète grec, a laissé son nom au genre anacréontique, qui
chante
aussi l’ivresse et l’amour) ; la chanson satiriqu
tirique, dont le nom indique assez l’objet ; la chanson bachique, qui
chante
le vin, etc. La chanson satirique s’appelait autr
e, parce que l’un de nos plus anciens chansonniers, Olivier Basselin,
chantait
dans la vallée (vau) de Vire, en Normandie. Boile
e (λύρα, lyre), parce que, dans le principe, elle était non-seulement
chantée
, mais composée aux sons des instruments de musiqu
’expression entre la musique et les vers : ce fat ainsi qu’une poésie
chantée
fut naturellement soumise au nombre et à la caden
mmencèrent à faire des ouvrages en vers pour les lire et non pour les
chanter
, on réserva le nom de lyrique aux poèmes destinés
le imitation du poème lyrique des Hébreux et des Grecs. On a dit : Je
chante
, et on n’a point chanté ; on a parlé des accords
rique des Hébreux et des Grecs. On a dit : Je chante, et on n’a point
chanté
; on a parlé des accords de la lyre, et on n’avai
ans le genre lyrique, c’est le poète lui-même qui s’annonce et qui va
chanter
, le poète inspiré par les muses, et qui doit en p
merce avec les dieux, Aux Athlètes dans la Pise il ouvre la barrière,
Chante
un vainqueur poudreux au bout de la carrière. L’
t le nom donné, chez les Grecs, à tout poème lyrique qui pouvait être
chanté
, et qui se distinguait en cela de l’élégie. Telle
cœur vivement ému, il part comme un torrent qui rompt ses digues, et
chante
tout à coup sur un ton élevé. On voit dès le débu
ntiques de Moïse, de David et des Prophètes. Ces hommes incomparables
chantaient
avec une verve qu’on appellerait génie, dit Marmo
atière, ni le même esprit pour les animer dans la composition. Ils ne
chantaient
qu’une religion fausse, un héroïsme souvent mal e
cite, de Daniel, Domine, audivi, d’Habacuc, et Qui sponte obtulistis,
chanté
par Débora après la victoire sur Sisara. Tous ces
ncore le cantique de saint Ambroise et de saint Augustin, le Te Deum,
chanté
par une nation entière, après un événement heureu
e forme grave, mais ordinairement simple, et qui sont destinés à être
chantés
pendant les offices divins. Ces hymnes, tout en s
que est l’expression d’un sentiment élevé de l’âme, et demande à être
chantée
. C’est le nom qu’a pris dans les Livres Saints la
ngue vulgaire composés sur des sujets de religion, et destinés à être
chantés
par la foule des fidèles. Comme les précédentes c
richesse dans les images, de la variété dans les mouvements, si elle
chante
la gloire des vainqueurs, elle doit inspirer la v
es vallées enrichies de la multitude des grains, élèveront la voix et
chanteront
l’hymne de vos louanges. 209. Quel doit être le t
-ci, elle est émue légèrement. Ce sont les jeux et les plaisirs qu’il
chante
; c’est le sentiment qu’il peint avec les couleur
nacréontique ? L’ode badine prend le nom d’anacréontique, quand elle
chante
Bacchus ou l’Amour, c’est-à-dire la joie et les p
? Chez les Grecs, le dithyrambe était un petit poème lyrique fait et
chanté
en l’honneur de Bacchus, sur le mode phrygien, c’
ces mots : Oui, vous qui de l’Olympe usurpant le tonnerre… Lebrun a
chanté
, dans un poème de ce genre, l’arrivée à Paris des
t de la cantate. La cantate, de l’italien cantata, formé de cantare,
chanter
, a été empruntée à l’Italie par J.-B. Rousseau, q
de la chanson ? La chanson, inspirée par le plaisir, prend, pour le
chanter
, une allure plus vive, une marche plus légère. El
t par les mêmes vers. Le refrain, qui doit être facile à retenir et à
chanter
, plaît beaucoup dans la chanson, et lui donne plu
nson religieuse du cantique, c’est que celui-ci, étant destiné à être
chanté
en chœur dans le lieu saint, doit toujours être g
it toujours être grave et sérieux ; tandis que l’autre, qui doit être
chantée
parmi les beautés de la campagne, demande un ton
ont on envisage son sujet, ainsi que du rang et des personnes dont on
chante
l’union. Quant à la mesure et à la disposition de
ma dans son affliction comme en un sanctuaire où elle ne fit plus que
chanter
les litanies du souvenir. Elle fut digne d’avoir
à isoler sa vie dans un bonheur caché ou un deuil religieux. Si elle
chanta
pour égayer la branche où était son nid, ce fut c
sa petite main sur les cordes, et il a été transporté de les entendre
chanter
. Qués aco qui canto aqui 2 ? Le vent qui soufflai
hui. (Journal et fragments.) Une aumône Le 3 décembre. — Tout
chantait
le matin pendant que je faisais la prière : les p
e. Ce matin j’ai vu un beau ciel, le marronnier verdoyant, et entendu
chanter
les petits oiseaux. Je les écoutais sous le grand
— Pluie, vent froid, ciel d’hiver, le rossignol qui de temps en temps
chante
sous des feuilles mortes, c’est triste au mois de
d’hui, in-12, id. Librairie académique de Didier. 2. Qu’y a-t-il qui
chante
ainsi ? 3. Elle ajoutait : « Je me sens la vei
bellit cet enfoncement et attire les oiseaux qui aiment le frais pour
chanter
. » Terminons par cette esquisse : « Ce soir au
Brizeux pourrait être appelé un barde breton ; car sa muse a toujours
chanté
l’Armorique, soit dans des élégies familières, so
nche ; Ce n’étaient que parfums et concerts infinis, Tous les oiseaux
chantaient
sur le bord de leurs nids2. Le clocher
on jouait jadis, L’église, où tout enfant, et d’une voix légère, Vous
chantiez
à la messe auprès de votre mère, Et la petite éco
Vos fils étudier sous votre bon vieux maître, Dans l’église avec vous
chanter
au même banc, Et jouer à la porte, où l’on jouait
partout on entende et la scie et la lime, La voix du travailleur qui
chante
, et qui s’anime ! Que la fournaise flambe, et que
se couvrent de feuilles, et entre acent leurs branches ; les oiseaux
chantent
sous le feuillage ; les mouches bourdonnent parmi
r belge, Wenstenraad, dans un poéme intitulé Le haut-fourneau (1844),
chantait
ainsi l’Age de Fer : Que d’immenses travaux, que
touchante. Chez les latins, l’élégie prit encore un autre ton ; elle
chanta
dans les vers de Tibulle et de Properce, les pein
ces et harmonieuses, comme les soupirs prolongés de la souffrance. Il
chante
sa peine sur tous les tons, la peint sous toutes
i et de l’espérance religieuse : telle est entre autres le psaume qui
chante
la captivité de Babylone (Super flumina Babylonis
rimer des peines réelles ; plusieurs, comme Millevoye et Gilbert, ont
chanté
au bord de la tombe : aussi leurs vers portent-il
-ils l’empreinte d’un sentiment vrai et profond ; mais d’autres n’ont
chanté
que des douleurs factices et caressé que des chim
a disposition régulière d’une narration. EXPOSITION. La cigale ayant
chanté
tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quan
chaud ? Dit-elle à cette emprunteuse. Nuit et jour, à tout venant, Je
chantais
, ne vous déplaise. Vous chantiez ! j’en suis fort
use. Nuit et jour, à tout venant, Je chantais, ne vous déplaise. Vous
chantiez
! j’en suis fort aise ; La cigale veut emprunter
: Que faisiez-vous au temps chaud ? On sent croître l’intérêt. — Je
chantais
, dit la cigale, un peu confuse et peu rassurée pa
tile du temps. Elle devine de suite que jamais l’animal qui s’amuse à
chanterai
! lieu d’amasser des provisions, ne sera en état
r les avances qu’elle pourrait lui faire. Quoi ! s’écrie-t-elle, vous
chantiez
! Ces deux mots, quoique sans interjection, ont u
erjection, ont un caractère admirable d’indignation et d’ironie. vous
chantiez
résume toute sa pensée, nous voilà préparés au dé
ère, le feu, le poison et le fer. Hector. Si vous vouliez, monsieur,
chanter
un petit air ; Votre maître à chanter est ici : l
tor. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air ; Votre maître à
chanter
est ici : la musique Peut-être calmerait cette hu
musique Peut-être calmerait cette humeur frénétique. Valère. Que je
chante
! Hector. Que je chante !Monsieur… Valère. Qu
it cette humeur frénétique. Valère. Que je chante ! Hector. Que je
chante
!Monsieur… Valère. Que je chante ! Monsieur…Que
. Que je chante ! Hector. Que je chante !Monsieur… Valère. Que je
chante
! Monsieur…Que je chante, bourreau ! Je veux me p
. Que je chante !Monsieur… Valère. Que je chante ! Monsieur…Que je
chante
, bourreau ! Je veux me poignarder : la vie est un
dans les jeux, ou à qui une bergère aura donné la préférence, pourra
chanter
son bonheur et sa gloire. Mais il n’insultera poi
vous apprendre Par quel art sans bassesse un auteur peut descendre ;
Chanter
Flore210, les champs, Pomone211, les vergers, Au
écharges de tonnerre ; Et dans ces horreurs de la guerre, Le Français
chante
, boit, et rit. Bellonne246 va réduire en cendres
nt Horace 258, fut d’abord renfermée dans l’élégie, ensuite l’amour y
chanta
ses conquêtes. Boileau 259 a dit après le poète l
ce avec les Dieux : Aux athlètes dans Pise268 elle ouvre la barrière,
Chante
un vainqueur poudreux au bout de la carrière. L’
se. Mais dans l’ode, c’est le poète lui-même qui s’annonce, et qui va
chanter
; le poêle inspiré par les Muses, et qui doit en
les mouvements de son cœur vivement ému, il prend un essor rapide, et
chante
tout à coup sur un ton élevé. Son début est hardi
llantes images. C’est ce que fait Horace, dans cette belle Ode, où il
chante
la victoire du jeune Drusus 270, sur les Vindélic
hilosophique ou morale. Ode sacrée. Dans l’ode sacrée, le poète
chante
les perfections de l’Être suprême. Il admire avec
Nos chefs, enflammés de zèle,
Chantent
la force immortelle Du Dieu
ux Fatiguaient de leurs pris nos tribus éperdues.
Chantez
, nous disaient ces tyrans, Les hymnes préparés po
ns, Les hymnes préparés pour vos fêtes publiques ;
Chantez
; et que vos conquérants Admirent de Sion311 les
Ah ! dans ces climats odieux, Arbitre des humains, peut-on
chanter
ta gloire ! Peut-on dans ces f
i doivent donner une parfaite idée du ton sur lequel le poète lyrique
chante
les grands hommes, je crois bien pouvoir citer ce
e-ci elle est émue légèrement. Ce sont les jeux et les plaisirs qu’il
chante
; c’est le sentiment qu’il peint avec les couleur
ôt vous me verrez mourir, etc. Quand l’ode dans le genre gracieux ne
chante
que Bacchus ou l’Amour, on l’appelle proprement a
i parcourez cette plaine, Ruisseaux, coulez plus lentement : Oiseaux,
chantez
plus doucement ; Zéphyrs333, retenez votre halein
et, comme je l’ai déjà dit, inventeur de l’ode qui porte son nom, ne
chanta
que l’amour et les plaisirs de la table. Ses odes
ait dans ses bras ; Que tu disais aimer, qui t’apprit à le dire ; Qui
chantait
, et souvent te forçait à sourire Lorsque tes jeun
couronnée, et légère, et dansante, En nombres mesurés elle s’agite et
chante
. Des antiques vergers ces rameaux empruntés Crois
ur cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle
chante
, et s’élance. Est-ce à moi de mourir ? Tranquille
taient sans pitié. ……………… O mon frère, je viens, relisant tes écrits,
Chanter
l’hymne funèbre à tes manes proscrits. Là, souven
es, des épîtres, des épigrammes comme les anciens, et des psaumes que
chantèrent
les Huguenots. Ce qui fait son originalité et sa
ami, a des regrets, a des soupirs ; — du Mans, Jacques Tahureau, qui
chante
l’Admirée comme le maître chantait Hélène, Cassan
s ; — du Mans, Jacques Tahureau, qui chante l’Admirée comme le maître
chantait
Hélène, Cassandre et Marie, et qui, avec Scévole
la cour de Henri III ; Ronsard s’était cru le maître de Garnier qu’il
chanta
et qui le pleura, et c’est encore Ronsard que Rég
nier à Rapin, de Rapin à Du Perron, qui n’avait, en vers et en prose,
chanté
sa gloire et pleuré sa mort ? Qualités et défauts
prit. Malheureusement, la traduction en vers des psaumes de David que
chantèrent
les huguenots fut le signal d’une nouvelle perséc
agination, à la poésie, particulièrement à la poésie latine, pour les
chanter
. Puis line maladie grave en fit un autre homme. I
gneu d’un estrange rivage124 Ou le malheur nous fait ces tristes vos
chanter
; Comme on voit quelquefois, quand la mort les a
é163, (Odes, I, 17), Tome I, p. 117. Chant d’un berger164
Chantons
donques, bergers, et en mille façons A ces vertes
isons une chanson. Quant à ma part, je gage Pour le prix de celuy qui
chantera
le mieux Un cerf apprivoisé qui me suit en tous l
lle et chatoie dans les œuvres de la nature et de l’art. Il excelle à
chanter
avril et mai ; — il traduit Anacréon (1555), dont
s sur le chaton d’une bague ; — dans ses Petites inventions (1557) il
chante
en petits vers le papillon, la cerise, le ver lui
ed sur un perron, le coude sur un balustre, qu’il regarde, respire et
chante
les abeilles et les roses. Voir l’édition A. Gouv
na, comme Ramus, et appliqua un système d’orthographe simplifié ; qui
chanta
ses amours dans nombre de sonnets et de chansons,
tour ; Quand l’une me tendant de myrte un verd chapeau295, Me dit :
Chante
d’amour d’autres chansons nouvelles, Et tu pourra
ruy, se sert soy-mesme ; Plaisir reçoit qui plaisir fait. Tout l’été
chanta
la cigale ; Et l’hyver elle eut la faim vale301 :
e301 : Demande à manger au fourmi302. « Que fais-tu tout l’été ? — Je
chante
. — Il est hyver : dance, faineante303. « Apprend
dans ses œuvres O Pere358, done moy359 que d’une vois faconde Je
chante
à nos neveus la nessance360 du monde : O grand Di
ntentent pas son opinion » ; ce sont les Phillis et les Galatée qu’il
chante
. — Son Art poétique, qui venait après plusieurs a
ante et de plaisans festons, Les Muses cachent l’or des vers que nous
chantons
. (L’Art poétique françois.) D’Aubigné (15
vocables d’art460 de ce que j’entreprens ; Les flateurs de l’Amour ne
chantent
que leurs vices, Que vocables choisis à prendre l
oi ! serons-nous muets, serons-nous sans oreilles, Sans mouvoir, sans
chanter
, sans ouïr tes merveilles ? As-tu esteint en nous
et franche allure à droite et à gauche : au milieu de ses livres, il
chante
le mois de mai et chansonne l’Espagnol, ami de la
Charles IX et de Henri III, fort applaudies de Ronsard et de Baïf. On
chantait
encore au xviie siècle sa Villanelle de « Rozett
onneur, de l’estime, et quand par l’Univers Sur le lut de David597 on
chantera
leurs vers, Qu’ils auront joint l’utile avecq’ le
te-Marthe, le jeune et vieil ami de Vauquelin ; Pibrac, qui a aimé et
chanté
la bonne campagne comme la bonne morale647 ; Nico
Rapin, qui, comme Vauquelin, Jean de la Taille, Gauchet et Pibrac, a
chanté
la vie rustique du gentilhomme campagnard et a ai
Saint Louis (1653-1657) ; Desmarets de Saint-Sorlin (1595-1676), qui
chanta
sans succès Clovis (1657) et Marie-Madeleine ; Br
et que, homme d’épée et, à l’hôtel de Rambouillet, homme de salon, il
chanta
les bergers, la campagne et la retraite avec un c
ieux dire. Boileau n’a jamais varié sur son compte. En s’excusant de
chanter
lui-même les louanges du roi, il disait en 1667 :
t en 1667 : Sur un ton si hardi, sans être téméraire, Racan pourroit
chanter
au défaut d’un Homère (Sat. IX.) hommage plat
ire De vivre long-temps dans l’Histoire ?… Mais nous eussions eu beau
chanter
, Avant que vous faire revivre, Les Neuf filles de
s chemins de flammes, Dessus les grils ardens et dedans les taureaux,
Chanter
les condamnés et trembler les bourreaux ; J’ai vu
hui je veux plaire à l’empereur des cieux ; Je vous ai divertis, j’ai
chanté
vos louanges ; Il est temps maintenant de réjouir
ciété galante et polie de Fouquet, ballades, rondeaux, madrigaux, qui
chantait
les Clymènes, et que « maître Vincent Voiture pen
e burlesque, qui rapetisse les grandes ; la noblesse épique, quand il
chante
que Louis « n’a pas passé le Rhin » (Épît. IV) ;
ière, le feu, le poison et le fer. HECTOR. Si vous vouliez, monsieur,
chanter
un petit air ; Votre maître à chanter est ici : l
TOR. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air ; Votre maître à
chanter
est ici : la musique Peut-être calmeroit celle hu
a musique Peut-être calmeroit celle humeur frénétique. VALÈRE. Que je
chante
! HECTOR. Monsieur… VAL
onsieur… VALÈRE. Que je
chante
, bourreau ! Je veux me poignarder : la vie est un
uelles, où, sous le voile de dialogues bucoliques et allégoriques, il
chante
avec une sagesse douce et résignée les devoirs d’
gueux. Cette vie d’aventure est le cadre et l’image de sa poésie. Il
chante
la table en « goinfre » (c’est le titre d’une de
aïade Tous les soirs ouvre le portal De sa demeure de cristal Et nous
chante
une sérénade. Un froid et ténébreux silence Dort
aux, Je puis, quand il me plaît, enfler mes chalumeaux, Et je puis ne
chanter
que mon amour fidèle, Quoiqu’on ne dût chanter qu
lumeaux, Et je puis ne chanter que mon amour fidèle, Quoiqu’on ne dût
chanter
que sa gloire immortelle, Et que je doive encore
tes, Rosset (mort en 1788) et Roucher (mort en 1794), de Montpellier,
chantent
l’un l’Agriculture, l’autre les Mois, Rosset a eu
écharges de tonnerre, Et, dans ces horreurs de la guerre, Lé Français
chante
, boit et rit. Bellone va réduire en cendres Les c
rs, Critiquoit surtout sa cadence. Le linot, selon lui, ne savoit pas
chanter
; La fauvette auroit fait quelque chose peut-être
s qu’on vous admire. Sans doute vous avez une brillante voix. Daignez
chanter
pour nous instruire. » Le perroquet, dans l’embar
ête, et finit par leur dire : « Messieurs, je siffle bien, mais je ne
chante
pas. » (Fables, IV, 3.) Le paon, les deux
-Écouchard (1729-1807) Notice Le Brun-Écouchard, né à Paris,
chanta
en des odes la conquête de Minorque, l’amour des
du rocher, Dans une touffe épaisse elle va se cacher. Elle aime aussi
chanter
à la moisson nouvelle, Suivre les moissonneurs, e
it crier le pressoir. (Élégies, X, t. I.) III Voilà ce que
chantait
aux naïades prochaines Ma muse jeune et fraîche,
elle ! Sur son visage blanc quelle pourpre étincelle ! L’hirondelle a
chanté
, Zéphire est de retour : Il revient en dansant ;
l’ombre des monts, Ma conque, rappelant mes troupeaux vagabonds, Leur
chanterait
cet air si doux à ces campagnes, Cet air que d’Ap
jeté sur le rivage. « — Harmonieux vieillard1213, tu n’as donc point
chanté
? « Quelques sons de ta voix auraient tout acheté
ssis près de la poupe : « Aveugle vagabond, dit l’insolente troupe, «
Chante
: si ton esprit n’est pas comme tes yeux, « Amuse
ameaux à la main, Et vierges et guerriers, jeunes fleurs de la ville,
Chantaient
. « Viens dans nos murs, viens habiter notre île ;
ire ; les autres, parce que la nature ou le ton des sujets qu’ils ont
chantés
les exclue d’un Recueil classique ; d’autres, par
pas, non plus que celles du règne d’Alexandre, créé un poète pour les
chanter
, L’épopée s’écrivait sur les champs de bataille,
penon, etc. — Castel (1758-1832), de Vire, compatriote de Chénedollé,
chante
les Plantes et la Forêt de Fontainebleau ; Boisjo
ante les Plantes et la Forêt de Fontainebleau ; Boisjolin (1763-1832)
chante
la Botanique ; Campenon (1772-1842), de la Guadel
Botanique ; Campenon (1772-1842), de la Guadeloupe, neveu de Léonard,
chante
la Maison des Champs ; il est l’ami de Ducis et l
i respectueux de l’un et de l’autre seront, après eux, et Autran, qui
chante
les laboureurs et les marins, et Victor de Laprad
s, et Victor de Laprade, le plus renommé de l’école de Lamartine, qui
chante
les bois et les montagnes, et Leconte de Lisle, l
du Lion ramènera l’année, Ô mon frère ! je veux, relisant tes écrits,
Chanter
l’hymne funèbre à tes manes proscrits. Là, souven
vers adulateurs, Le tyran dans sa cour remarqua mon absence : Car je
chante
la gloire et non pas la puissance1281. Le tro
il dut la popularité, la gloire et l’autorité. Elles ont été beaucoup
chantées
; elles méritent encore d’être lues. Le mérite de
nt, le tour, souvent l’accent et le cri : Il est encor des gloires à
chanter
! …………………………………… Il est encor des martyrs à chant
cor des gloires à chanter ! …………………………………… Il est encor des martyrs à
chanter
! (Le Malade.) Honneur aux enfants de la Fra
in de l’âtre où je tisonne En rêvant à je ne sais quoi, Petit grillon
chante
avec moi. Celui du Vieux Sergent offre un contra
elle, Et que tout sous mes pas devient lumière ou fleur ; Quand tout
chante
ou gazouille, ou roucoule ou bourdonne, Que d’imm
rt roula son pli, Les fibres du sol palpitèrent, Et les anges surpris
chantèrent
Le second prodige accompli ! Et les hommes ravis
troupeau qui bêle, Où le chevreau lascif mord le cytise en fleurs, Où
chante
un pâtre assis sous une antique arcade, Où la bri
x, courbés dans la poussière, À l’ombre du parfum par le soleil doré,
Chantèrent
d’une voix le cantique sacré. Et, debout devant
I J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu’il
chante
les pleurs de la biche aux abois, Ou l’adieu du c
voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens,
chantons
devant Dieu ; chantons dans tes pensées, Dans tes
bre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens, chantons devant Dieu ;
chantons
dans tes pensées, Dans tes plaisirs perdus, dans
dans sa robe légère, Et te contait tout bas les amours qu’il rêvait ?
Chanterons
-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ? Trempero
e nos amours qu’il te souvienne, Si tu remontes dans les cieux. Je ne
chante
ni l’espérance, Ni la gloire, ni le bonheur, Héla
ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prête à
chanter
comme un oiseau ; Mais j’ai souffert un dur marty
r les mille détails qu’elle offre à un œil curieux, plutôt qu’il n’en
chante
avec la passion d’un amant ou l’enthousiasme d’un
circulaire1433, L’onde claire, Elle s’enfuit d’un vol sûr. Bois qui
chantent
, fraîches plaines D’odeurs pleines, Lacs de moire
nche ; Ce n’étaient que parfums et concerts infinis, Tous les oiseaux
chantaient
sur le bord de leurs nids. (Marie. — Calmann Lé
, je redevins barbare, Et j’oubliai les noms des antiques héros, Pour
chanter
les combats des loups et des taureaux ! (Les Br
nlevé à de légitimes espérances. Son nom s’associe à ceux de Gilbert,
chanté
par lui à l’hôpital, et de Malfilâtre que « la fa
e prospère À toutes mes douleurs jetait ce mot : « Espère ! Espère et
chante
l’enfant, dont le berceau trembla. Plus de frayeu
de tombeaux1466. Dans le pays des sourds j’ai promené ma lyre ; J’ai
chanté
sans échos, et, pris d’un noir délire, J’ai brisé
ce lieu de douleur : C’est là1469 qu’il vint, veuf de ses espérances,
Chanter
encor ; puis, prier et mourir : Et je répète en c
nature, a avec elle des entretiens ; il entend ses voix, et les fait
chanter
en chœur aux oiseaux, aux fleurs, aux arbres, aux
devenu les Poèmes de la Mer. Enfant de Marseille, il a d’abord vu et
chanté
les horizons et la vie maritimes ; mais enfant d’
s que ce feu, comme un reflet d’étoile, Brille au loin sur la mer, il
chante
sous sa voile : Il chante, car sa pêche est fécon
let d’étoile, Brille au loin sur la mer, il chante sous sa voile : Il
chante
, car sa pêche est féconde, ce soir. Quand ses enf
collines, Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym ; Ils
chantent
, au milieu des blanches aubépines, Avec le vent r
reille n’entend plus les murmures humains. Mais sur le sable au loin
chante
la mer divine, Et des hautes forêts gémit la gran
in sur les flots élancées, Et l’île, rougissante et lasse de sommeil,
Chantait
et souriait aux baisers du soleil1544. (Poèmes
Hugo, etc., ont écrit des ballades. C’était primitivement un poème à
chanter
et à danser. (Étym. : baller, danser.) Chant roy
ogue qu’il pleure la mort de Louise de Savoie, dans une églogue qu’il
chante
la naissance de son arrière-petit-fils, qui fut d
le duc d’Anjou, le roi de Navarre. On y fait force descriptions, on y
chante
la France délivrée des Allemands, la France honor
er l’herbe des prés au son de l’eau qui bruit. (Égl., III.) 174.
Chanté
(carmen amœbœum) par deux « pasteurs ». — Ce n’es
out à l’entour des morts celebre ton honneur. Et d’un cantique sainct
chante
de race en race Aux peuples à venir tes vertus et
t de grandes dames costumés en berger et bergères devisent, lisent et
chantent
. La nuit les sépare ; le jour suivant les rassemb
ous les poètes du temps ont soupiré après la paix et l’ont appelée ou
chantée
. Voyez R. Belleau, Ronsard, etc. 293. Affluent d
roupeau, et que des dithyrambes, composés par Ronsard et Baïf, furent
chantés
. L’affaire fit grand bruit, on les accusa d’avoir
ée même où parurent les Foresteries qui lui sont dédiées, après avoir
chanté
sous le nom de l’Admirée celle qu’il épousa deux
rent après la campagne. C’est la muse universelle. On l’aime et on la
chante
par imitation de l’antiquité et par passion ; on
, les grâces, les joies de la nature au printemps, ont été mille fois
chantés
par les poètes, au moyen âge et au xvie siècle.
remportée en 1544 sur les Espagnols. 561. Étym : cageole, de cage :
chanter
comme un oiseau en cage, et, de là, flatter. 56
e. On sait la passion de Charles IX pour la chasse. Elle fut beaucoup
chantée
pour lui ou autour de lui. Deux poètes lui dédièr
oit de jeunes desirs, Tantost vous soupiriez mes peines, Tantost vous
chantiez
mes plaisirs : Mais aujourd’huy que mes années Ve
classes de grammaire). Nous voyons les autres en personne : l’un lui
chante
un air de danse ; l’autre réclame son assistance
En 1661 la Conquête de la Toison d’or de Corneille fut représentée et
chantée
, pour les fêtes du mariage du roi, au château de
f, indépendant, riche, et aussi bienfaisant. Il était à son aise pour
chanter
, comme Horace, l’aurea mediocritas. Il y a (en ra
, le fâchent encore, mais de loin. Il est heureux, il a le luxe qu’il
chantait
dans le Mondain en 1736, et « le superflu, chose
nous aimons ; En fait de sentiment l’art n’a rien qui nous plaise. Ou
chantez
vos plaisirs ou quittez les chansons… La nature t
et quelquefois entre des buissons qui sont couverts de fleurs, et qui
chantent
. Pourquoi ne sommes-nous pas ensemble ? C’est ce
épîtres, autre moule du temps ; il les écrit « comme un bûcheron qui
chante
dans ses bois en faisant des fagots ». 1152. C’e
as à un voisin qu’ils l’ont babillé ; c’est à leurs vers qu’ils l’ont
chanté
. Delille babille un peu. A-t-il des souvenirs de
mage d’Homère. 1218. Nom donné à ceux qui allaient de ville en ville
chanter
des poésies, et particulièrement des morceaux dét
r du génie. Convaincu seulement du crime détesté D’avoir aimé, servi,
chanté
la liberté 1282. Bernardin de Saint-Pierre, Ch
remiers rayons du soleil. S’éveillant avec la nature Le Jeune oiseau
chantait
sur l’aubépine en fleurs, Sa mère lui portait la
de leur titre : elles sont un hymne à Dieu que la foi du croyant fait
chanter
à toute la nature par la voix du poète ; le nom d
et quelquefois entre des buissons qui sont couverts de fleurs et qui
chantent
. » 1333. Scipion l’Africain (Cicéron, De Rep.,
e, dans ses aspects, ses couleurs, ses harmonies, ses parfums : Tout
chante
et murmure, Tout parle à la fois, Fumée et verdur
es Deviennent des voix. (Chants du Crépuscule, XX.) Lamartine fait
chanter
par la nature un hymne à Dieu ; V. Hugo lui fait
’Alceste ; A. de Musset, dans l’indépendance de la poétique nouvelle,
chante
en son nom ce qu’il sent et ce qu’il souffre ; ma
encore : Le Laboureur et l’Alouette. Lorsque sur le sillon l’oiseau
chante
à l’aurore, Le laboureur s’arrête, et, le front e
aujourd’hui reconnu faux. 1415. Le poète a beau s’en défendre, il a
chanté
son « martyre », et il lui doit ses incomparables
heurs trempent le génie, quand même ce ne sont pas ses malheurs qu’il
chante
ou raconte. Voyez Lamartine, le Génie (Premières
et ma nourrice ! Salut, salut consolatrice ! Ouvre tes bras, je vais
chanter
. (Nuit d’Août.) Jours de travail ! seuls jour
s, Et toi, Muse, ô jeune immortelle, Dieu soit loué, nous allons donc
chanter
! (Nuit d’Octobre.) À A. Chénier aussi les Mus
Polyphème, que se tue Ajax, que s’assied l’Aveugle de Chénier, et que
chante
Lamartine à Ischia. Mais il sen que la poésie n’e
i s’effeuille a l’automne, Pas même la chanson naïve et monotone, Que
chante
un mendiant à l’angle d’un vieux pont… monte jus
Seul, perché sur un toit, un poulet étourdi Croit encore au matin et
chante
en plein midi. (Ch. Reynaud, 1821-1853, Contes,
ore, Un soleil aussi beau luire à ton désespoir, Et les mêmes oiseaux
chanter
la même aurore, Sur mon tombeau muet et noir2 !
eu repousse Du pied les hautes tours ; Mais dans le nid de mousse. Où
chante
une voix douce, Il regarde toujours ! Reste à l
ce qui est a droit d’être. Tout ce qui a droit d’être a droit d’être
chanté
. Ouvrez à deux battants la porte à tous les sujet
, on leur rappellerait que Lucrèce a dit : Frons canit, « La feuillée
chante
. » 2. Le même sentiment a été exprimé par Xavier
retentissant dans sa haute demeure, Sous le marteau sacré tour à tour
chante
et pleure, Pour célébrer l’hymen, la naissance ou
’insu de Thétis près d’elles vint se rendre, La sensible Érato voulut
chanter
l’amour ; Pour la tendre amitié Calliope eut son
Virgile, le malheur d’Orphée et d’Eurydice ; Calliope lui succède et
chante
l’amitié et la mort de Nisus et d’Euryale, célébr
et bien compris. Virgile, plus jeune de vingt-cinq ans que Lucrèce, a
chanté
l’agriculture dans ses Géorgiques. La langue lati
u, et à une place très élevée encore, il faut mettre L. Racine, qui a
chanté
la Religion. Ce poème n’est pas moins admirable p
irgile, le Tasse et Milton, a commencé sa Henriade par ces mots : Je
chante
ce héros qui régna sur la France, Et par droit de
prélat. Tel est le sujet du poème ; telle est l’action que le poète a
chantée
, et dans laquelle il a déployé autant d’imaginati
st Apollonius de Rhodes, qui vivait 250 ans avant notre ère, et qui a
chanté
l’expédition des Argonautes. Chez les Romains nou
up à lui emprunter3 ? Le Savetier et le Financier4. Un savetier
chantait
du matin jusqu’au soir : C’était merveille de
des sept sages6. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d’or,
Chantait
peu, dormait moins encor : C’était un homme de
Le moine disait son bréviaire : Il prenait bien son temps ! Une femme
chantait
: C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait
C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait ! Dame mouche s’en va
chanter
à leurs oreilles, Et fait cent sottises parei
Demandait la bavarde Pie À l’agréable et gai Pinson, Qui
chantait
au printemps sur l’épine fleurie. — Alle
aison, je te prie ? — Mais c’est que, pour s’instruire et savoir bien
chanter
, Il faudrait savoir écouter, Et ba
courir ? Dites, j’y volerai. Ma voix tremble de froid ; eh bien ! je
chanterai
, Si mes chansons peuvent vous plaire. I
osition doit avoir au moins deux mots, le sujet et le verbe, comme je
chante
, vous lisez, l’homme meurt : souvent le verbe a u
e, vous lisez, l’homme meurt : souvent le verbe a un régime, comme je
chante
un air, vous lisez une lettre, etc. 103. — La C
vagues1 de froment, Et, dans l’air, l’alouette, en secouant sa plume,
Chante
, et comme un rubis dans le ciel bleu s’allume2. M
onneurs qui ont dans les chènevières. Heureuses gens qui suent et qui
chantent
! « Eugénie de Guérin. » 2. L’héroïne de ce poë
iptique. C’est comme s’il y avait : les bons jours que l’on passait à
chanter
! 2. Ah ! je comprends l’attrait de son école.
re, ce régulateur du langage. Homère a montré sur quel ton peuvent se
chanter
les hauts faits des rois et des héros, et les hor
es bruits de l’amphithéâtre ; il est né pour l’action. L’ode inspirée
chante
sur la lyre les Dieux, et les héros fils des Dieu
e débute pas, comme autrefois le poëte cyclique, en nous criant. « Je
chanterai
la fortune de Priam, et cette guerre fameuse…. »
te plein d’adresse qui, sans se battre les flancs, nous dit : « Muse,
chantez
ce héros qui, après la chute de Troie, parcourut
, pour raconter le retour de Diomède ; ni aux deux œufs de Léda, pour
chanter
la guerre de Troie. Lui, il court au dénouement,
ge. Le Chœur remplira le rôle et l’office d’un acteur ; tout ce qu’il
chante
dans les entr’actes, doit concourir à l’action, e
qui apaise les ressentiments et glorifie l’innocence ; c’est lui qui
chante
la frugalité, la tempérance, les bienfaits de la
Thespis, le premier, dit-on, promena sur un tombereau des acteurs qui
chantaient
et jouaient ses pièces, le visage barbouillé de l
es travaux. Ne rougissez donc pas de toucher la lyre des Muses, et de
chanter
avec Apollon. Est-ce la nature, ou bien l’art, qu
re (pour l’action). 234La Muse a donné aux lyres 235de rappeler (de
chanter
) les Dieux, 236et les enfants des Dieux, 237et
ommenceras pas ainsi, 388comme autrefois un poëte cyclique. 389« Je
chanterai
(je vais chanter) 390la fortune (les malheurs) d
i, 388comme autrefois un poëte cyclique. 389« Je chanterai (je vais
chanter
) 390la fortune (les malheurs) de Priam 391et ce
e qui n’entreprend rien 400d’une manière ridicule : 401« Muse, dis (
chante
) à moi le héros, 402qui, après les temps (l’époq
s’est abstenu de l’amour et du vin. 1195Le joueur-de-flûte, 1196qui
chante
dans-les-jeux-Pythiens, 1197a pris-des-leçons au
Le moine disait son bréviaire : Il prenait bien son temps ! Une femme
chantait
: C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait
C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait ! Dame mouche s’en va
chanter
à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles
t le plus à regret. Le savetier et le financier Un savetier
chantait
du matin jusqu’au soir : C’était merveilles de le
cun des sept Sages4 Son voisin, au contraire, étant tout cousu d’or,
Chantait
peu, dormait moins encor : C’était un homme de fi
cousin de Jupiter. 7. On appelle Cochet, un jeune coq qui commence à
chanter
. 8. Rapprochez la fable intitulée le Rat et l’Hu
ant à des chevaliers et à des gentilshommes de parler tandis que l’on
chantait
la messe des morts. Ils me commencèrent à rire et
ur poussée, Et défiant, dans sa rapidité, L’attelage divin par Homère
chanté
, Comme une comète enflammée Elle jetait aux aquil
la nue des cris de vive le roi ! nous avons fait des feux de joie, et
chanté
le Te Deum de ce que Sa Majesté a bien voulu acce
sais où, jeté sur le rivage. —Harmonieux vieillard, tu n’a donc point
chanté
? Quelques sons de ta voix auraient tout acheté.
is assis près de la poupe : Aveugle vagabond, dit l’insolente troupe,
Chante
; si ton esprit n’est point comme tes yeux, Amuse
. Ainsi la cigale innocente, Sur un arbuste assise2, et se console et
chante
3. Commençons par les dieux : Souverain Jupiter ;
, lire, écrire et compter4 ; Sait instruire à l’école, au lutrin sait
chanter
; Connaît les lunaisons1, prophétise l’orage2, E
le frais des bocages. L’azur des cieux, l’ombre des bois. Les serins
chantent
dans des cages. 1. Virgile a été plus précis.
s ; géomètre, il arpente Et fait les parts autant que le notaire ; il
chante
Au lutrin, et récite au long la Passion. Secrétai
coutez ! c’est le vent, c’est l’Océan immense ; C’est un pêcheur qui
chante
au bord du grand chemin. Et de tant de beauté, de
Une apparence de bonheur. Le monde entier te glorifie ; L’oiseau te
chante
sur son nid ; Et pour une goutte de pluie Des mil
n’est pas un chant, et toutes les voix qui exécutent de beaux airs ne
chantent
pas. Le chant doit produire de l’enchantement. 3
dverbialement, et alors ils sont toujours au masculin : = cette femme
chante
faux : = elle parle haut : = elles restèrent cour
ait son enfant. Dans cet exemple, cité par Duclos : avez-vous entendu
chanter
la nouvelle actrice ? il faut répondre : je l’ai
ndu chanter la nouvelle actrice ? il faut répondre : je l’ai entendue
chanter
; c’est-à-dire, j’ai entendu elle chanter, ou, qu
répondre : je l’ai entendue chanter ; c’est-à-dire, j’ai entendu elle
chanter
, ou, qui chantait : = avez-vous entendu chanter l
i entendue chanter ; c’est-à-dire, j’ai entendu elle chanter, ou, qui
chantait
: = avez-vous entendu chanter la nouvelle ariette
re, j’ai entendu elle chanter, ou, qui chantait : = avez-vous entendu
chanter
la nouvelle ariette ? il faut répondre : je l’ai
endu chanter la nouvelle ariette ? il faut répondre : je l’ai entendu
chanter
, parce qu’on ne pourrait pas dire : j’ai entendu
, parce qu’on ne pourrait pas dire : j’ai entendu la nouvelle ariette
chanter
; il faudrait dire : j’ai entendu chanter la nouv
entendu la nouvelle ariette chanter ; il faudrait dire : j’ai entendu
chanter
la nouvelle ariette. On dira donc d’une dame qui
de négation, il faut joindre ne au second verbe. = Empêchez qu’on ne
chante
. Quand il est accompagné d’une négation, il faut
n, il faut supprimer ne avant le second verbe. = N’empêchez pas qu’on
chante
. Il en est de même des verbes craindre, avoir peu
ère, le feu, le poison et le fer. Hector. Si vous vouliez, monsieur,
chanter
un petit air. Votre maître à chanter est ici ; la
ctor. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air. Votre maître à
chanter
est ici ; la musique Peut-être calmerait cette hu
musique Peut-être calmerait cette humeur frénétique. Valère. Que je
chante
? Hector. Monsieur… Va
onsieur… Valère. Que je
chante
, bourreau ! Je veux me poignarder ; la vie est un
urer les disgrâces d’un ami ; l’autre criminelle et voluptueuse, pour
chanter
le vice et mêler d’impures harmonies aux chœurs d
les neuf Sœurs. Dans ce nouveau travail mon but est de te plaire. Je
chante
d’un héros la vertu solitaire, Ces déserts, ces f
les rendre publics. Digne ami du licencieux prieur de Vendôme, il ne
chante
que le plaisir. Cependant il cherche, à l’exemple
ccroître. Plusieurs de ces poètes de salon ou de boudoir affectent de
chanter
la nature, mais c’est pour la défigurer en préten
sermon, sur le prix des rubans, Ont épuisé leurs âmes excédées. Elles
chantaient
déjà faute d’idées ; Dans le néant leur cœur est
es messieurs font. Ma vertu donc se borne au mépris des richesses ; À
chanter
des héros de toutes les espèces ; À sauver, s’il
er un sujet tout national, et commencer un hymne destiné à être sinon
chanté
, du moins lu par les hommes du peuple, par les so
arde Et des Fingals et des Oscars, Et du sublime ennui d’un barde Qui
chante
au milieu des brouillards ! Épigramme contre
couronnée, et légère et dansante, En nombres mesurés elle s’agite et
chante
. Des antiques vergers ces rameaux empruntés Crois
Déjà levé sur ces pervers ! Pour cracher sur leurs noms, pour
chanter
leur supplice. Allons, étouffe te
uel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle
chante
et s’élance170. « Est-ce à moi de mourir ? Tranq
estiné à tracer les règles qui doivent diriger le poète dans l’art de
chanter
la campagne et ses plaisirs. On a appelé le poème
’exécution : Fontanes n’avait pas le goût du travail. Cet épicurien a
chanté
la paresse tout en la combattant. Les vers de Fon
paisible sommeil ; Souvent le cri de l’aigle avança leur réveil : Ils
chantaient
l’Éternel sur le roc solitaire, Au bruit sourd du
le, Où, sur des harpes d’or, l’immortel séraphin Aux pieds de Jéhovah
chante
l’hymne sans fin. C’est alors que sans peine un D
aussi bon fils que Millevoye devait trouver les accents de l’âme pour
chanter
l’amour maternel. Le recueil des œuvres complètes
e satirique et son rire moqueur202. Le Poète mourant. Le poète
chantait
: de sa lampe fidèle S’éteignaient par degrés les
’héritage, Et sauvez de l’oubli quelques-uns de mes vers. » Le poète
chantait
, quand la lyre fidèle S’échappa tout à coup de sa
nne plus qu’en ce val enchanté Basselin208 sur son luth ait autrefois
chanté
. Combien de fois, assis sur le roc qui domine De
up de verve et de facilité, il avait une élégante pureté de style. Il
chantait
on ne peut mieux, jouait très bien et faisait adm
bservateur et un penseur assez profond : Chateaubriand, qui avait été
chanté
par lui et qui le paya d’un très large retour d’é
vantera pour avoir exalté la patrie et relevé son drapeau, pour avoir
chanté
le peuple et flétri le courtisan, pour avoir pleu
renommée du poète patriotique. Il continua, les années suivantes, de
chanter
les grands événements qui intéressaient la libert
ppent à la fois ; Un luth qui les remplace a frémi sous ses doigts Il
chante
… Ainsi chantaient David et les prophètes. Ainsi,
s ; Un luth qui les remplace a frémi sous ses doigts Il chante… Ainsi
chantaient
David et les prophètes. Ainsi, troublant le cœur
milieu des tempêtes : « Beaux lieux où je n’ose m’asseoir, Pour vous
chanter
, dans ma nacelle, Au bruit des vagues, chaque soi
-tu moins pour elle Que Jupiter et ses faux dieux ? » Il
chantait
, il pleurait, quand d’une tour voisine Un musulma
t notre chair à nous-mêmes, qui sentent, qui pensent, qui aiment, qui
chantent
comme nous pensons, comme nous chantons, comme no
qui pensent, qui aiment, qui chantent comme nous pensons, comme nous
chantons
, comme nous aimons, nous, hommes des nouveaux jou
oureuses, plaintives, qui combattent, qui aiment, qui pleurent ou qui
chantent
sur la harpe, dans les sombres domaines de Fingal
Harmonies comme dans les Méditations, il n’est frappant que lorsqu’il
chante
le désespoir, comme Byron, son maître ; il est fa
e réchauffe et le pénètre, Il fête le printemps vainqueur ; Un oiseau
chante
à sa fenêtre, La gaîté chante dans son cœur. Alo
fête le printemps vainqueur ; Un oiseau chante à sa fenêtre, La gaîté
chante
dans son cœur. Alors, si l’orphelin, s’éveille,
De peur de la faire envoler. Ses frères riaient. — Aube pure ! Tout
chantait
sous ces frais berceaux, Ma famille avec la natur
e les nues, De ressaisir dans l’air des sons évanouis, D’entendre, de
chanter
mille chants inouïs, Me prend à mon réveil ; et v
chercher leur harmonie ; Écouter dans son cœur l’écho de son génie ;
Chanter
, rire, pleurer, seul, sans but, au hasard ; D’un
avers les phases et les épreuves des civilisations ; dans Éleusis, il
chanta
les mythes du polythéisme grec ; dans Hermia, œuv
lenteur, triste et calme, et, comme, elles, Je porte haut ma tête, et
chante
au moindre vent. Je crois le bien au fond de tou
ényclare277, Si notre âge assoupi retrouvait les accords, J’irais, je
chanterais
sur le luth de Pindare, Ou l’hymne du triomphe ou
flamme et de poussière, D’exciter leur vertu guerrière, Ou de
chanter
la gloire en face du trépas ! La Muse aime à pla
ers la forêt voisine : Mai ramenait la joyeuse saison, Et les oiseaux
chantaient
dans l’aubépine. Et lui toujours s’acheminait pr
cent ans, dans une ardente extase, Un des biseaux qu’au ciel tu fais
chanter
, Et dont la voix de ton amour embrase, « À ses a
deurs du doute, Craindre l’espoir de l’éternel séjour, Car une voix a
chanté
sur ma route. « Ce qu’elle a dit, je l’ai bien e
tendu ; Mon cœur le sait, je cours l’ouïr encore Près de l’oiseau qui
chante
un bien perdu, Et le lever d’une éternelle aurore
et breton. Il se rendait, à l’heure suprême, le témoignage de n’avoir
chanté
que la religion, la patrie, l’amour de la nature
nsoirs, étincelaient des cierges ; Et l’ardent Te Deum en chœur était
chanté
; Puis, jetant son linceul, chaque ressuscité Lev
70. Aux campagnes du ciel appelle immédiatement s’élance ; Philomèle
chante
et, qui précède, rompt la logique de la phrase.
id. 276. Cachés, rochers, rime défectueuse. 277. C’est Tyrtée, qui
chanta
le combat terrible de Stényclaros, dans les guerr
ivant Horace, fut d’abord renfermée dans l’élégie ; ensuite l’amour y
chanta
ses succès. » Boileau a dit après le poète latin
tin qu’on met souvent parmi les élégiaques français, parce qu’ils ont
chanté
les mêmes sujets que Properce et Tibulle, il est
e, en général, est celle qui est, ou que l’on suppose destinée à être
chantée
immédiatement par celui qui la produit. Je dis qu
parce qu’aujourd’hui et depuis bien longtemps les poètes lyriques ne
chantent
pas du tout leurs ouvrages. Mais on croit que les
’on a appelé cette poésie lyrique, et parce qu’autrefois, quand on la
chantait
, la lyre accompagnait la voix. Le mot ode a la mê
er. Mais, dans l’ode, c’est le poète lui-même qui s’annonce et qui va
chanter
. Le poète est inspiré par les muses, et doit en p
harmonie Entraîne les sceptres des rois. Toi que je
chante
et que j’adore, Dirige, ô Liberté ! mon vaisseau
urtout par le sentiment du tombeau de Jean-Jacques, elles se mirent à
chanter
une romance ; leurs voix douces, se mêlant aux ch
s des terrines ; mais vous aurez le plaisir d’entendre les rossignols
chanter
dans les bosquets des dames anglaises, et de voir
lle embaume mes cheveux. À la molle clarté de la voûte sereine Nous
chanterons
ensemble assis sous le jasmin, Jusqu’à l’heure où
Souvent, en l’insultant, ses vainqueurs tyranniques Lui criaient : «
Chantez
-nous quelqu’un de ces cantiques » Que vous chanti
s Lui criaient : « Chantez-nous quelqu’un de ces cantiques » Que vous
chantiez
aux jours de vos solennités ! » — Ah ! que demand
ondoyante vapeur ; Ils suspendent leur vol ; et, réunis en chœur, Ils
chantent
à l’envi ces puissantes prières Qui soulagent des
ssible, Où sur des harpes d’or l’immortel séraphin Au pied de Jehovah
chante
l’hymne sans fin. Alors de toutes parts un Dieu s
son sujet, ainsi que du rang et de la naissance des personnes dont on
chante
l’union. Ce petit poème n’a point de règles parti
du ciel est descendue : La terre est son heureux séjour ; Les oiseaux
chantent
son retour ; Toute la nature est émue. Il semble
La Chanson est un poème fort court, auquel on joint un air pour être
chanté
. Elle traite des sujets familiers, amusants, tend
t rapporter à ce genre mixte ce couplet si ingénieux, qui fut fait et
chanté
par M. le C. de B** dans une fête que donnait une
our qui se réveille : Retirez-vous, démons, qui volez dans la nuit.
Chantons
l’auteur de la lumière Jusqu’au jour où son ordre
armes : De tout péché rends-nous purs à tes yeux ; Fais que, t’ayant
chanté
dans ce séjour de larmes7, Nous te chantions dans
es yeux ; Fais que, t’ayant chanté dans ce séjour de larmes7, Nous te
chantions
dans le repos des cieux. Le véritable bonheu
utel, Je présente au grand prêtre ou l’encens ou le sel2 ; J’entends
chanter
de Dieu les grandeurs infinies ; Je vois l’ordre
? La poésie, d’abord consacrée à célébrer la gloire, de Dieu, puis à
chanter
les héros, essaya ensuite d’instruire les hommes.
La tragédie lyrique ou grand opéra est une tragédie faite pour être
chantée
. C’est un poème dramatique et lyrique où l’on réu
ène demande. Les vers dont le style est diffus sont lents, pénibles à
chanter
, et d’une expression monotone ; les vers d’un sty
gie et l’élévation. C’est ce qu’on peut remarquer dans ce morceau que
chante
Médée, dans l’opéra de Thésée : Sortez, ombres,
nté comme une dangereuse faiblesse. Tels sont ces vers énergiques que
chante
Armide : Venez, venez, haine implacable,
Qu’est-ce que la comédie ? La comédie (κώμη, bourg, village, ᾄδω, je
chante
), est une œuvre dramatique dans laquelle on repré
e toutes les expressions prêtent à la musique. L’ariette ne peut être
chantée
que dans les endroits où le personnage est agité
sseau. Voilà pourquoi l’acteur disparaît presque toujours après avoir
chanté
. 532. Que doivent faire le poète et le musicien p
ouplets qui termine les pièces de ce genre, et dont chaque personnage
chante
un couplet sur la scène. Aujourd’hui on donne le
e, 6° la cantate. 1° Ode sacrée L’ode sacrée (hymne ou cantique)
chante
la Divinité. Ex. Cantiques de Moïse, — Psaumes d
om (ode anacréontique), roule sur des sujets légers ou gracieux. Elle
chante
le vin et le plaisir. 5° Odelette L’odelett
ode, tantôt du genre héroïque, tantôt du genre gracieux, mêlée d’airs
chantés
et de récitatifs non mesurés. Ex. J.-B. Rousseau.
ers rayons du soleil. S’éveillant avec la rature, Le jeune oiseau
chantait
sur l’aubépine en fleurs, Sa mère lui portait la
s, Traité de la poésie française.) Au moyen âge, le lai fut un récit
chanté
, une sorte de roman abrégé ou de fabliau mélancol
luisant, cler et beau. Il n’y a beste ne oyseau Qu’en son jargon ne
chante
ou crie : Le temps a laissié son manteau De vent,
Amicis, 1868.) 8° Ballade La ballade est une sorte de romance
chantée
et même dansée ou ballée, comme on disait dans no
age un peu son cœur. Camoëns de son exil abrège la longueur ; Car il
chante
en sonnets l’amour et son empire. Dante aime cett
éros et les victoires des jeux olympiques : avec Sapho et Alcée, elle
chante
l’amour et les Grâces. Dans le dithyrambe, elle a
ligieuse et morale dans la partie officielle de celles d’Horace, elle
chante
aussi quelquefois avec lui Bacchus et Vénus. Chez
à peu près exclusivement ceux de la fable ou de l’histoire. L’épopée
chante
les actions, la gloire et les malheurs de l’homme
tées par le bon sens et le goût. Horace dit que le poète épique doit
chanter
, comme l’a fait Homère, les actions héroïques des
s populaires consacrés à des héros chrétiens et français. Ces poèmes,
chantés
par nos jongleurs, comme les poèmes homériques l’
s. Opéra L’opéra ou tragédie lyrique est une sorte de tragédie
chantée
et à laquelle se môle ordinairement le merveilleu
entremêlée de couplets, de duos, rarement de trios, avec des refrains
chantés
en général sur des airs connus. Proverbe Le
e L’opéra-comique est une comédie d’un genre léger, dont la partie
chantée
est entremêlée de dialogue. Dans l’opéra-comique,
n usage dans ces solennités. Elle est sortie du dithyrambe dorien que
chantait
un chœur de personnages déguisés en Pans, Faunes
uve un renouvellement nécessaire dans l’œuvre d‘un poète de génie qui
chantera
les grandes conquêtes de la science moderne. P
vous apprendre Par quel art sans bassesse un auteur peut descendre ;
Chanter
Flore, les champs, Pomone, les vergers ; Au comba
La chanson est, en général, une petite pièce de vers destinée à être
chantée
. Elle traite des sujets familiers, amusants, tend
ère et dans Regnard. Dans les Folies amoureuses de ce dernier, Agathe
chante
: Toute la nuit entière, Un vieux vilain
champêtre ; le pot-pourri, qui est une chanson composée de couplets à
chanter
sur des airs différents, et par conséquent inégau
t trop étroites, il était défendu aux nouveaux mariés de danser ou de
chanter
le jour de leurs noces. Il régla la forme des hab
incitee de nul4, elle commença à prononcer le Miserere, comme nous le
chantons
à l’Église, à haulte voix et forte, non sans gran
émoire ; mais sa muse n’a donné que de bons exemples. Il commença par
chanter
les fastes de l’empire dans des hymnes où tressai
’en fus un jour le contrôleur ; J’ai hanté ses palais de chaume, J’ai
chanté
ses pommiers en fleur. Mais son ciel est triste
ie. On reprochait à un illustre orateur du parti démocratique d’avoir
chanté
en vers la monarchie : — J’avais treize ans ! rép
magistrat intègre. Critiquez-vous les vices de la civilisation, vous
chantez
les vertus des âges primitifs. Voyez dans Roussea
même leur gaieté. Ne croirait-on pas qu’ils célèbrent une fête ? Ils
chantent
, ils rient. On ne dirait pas que l’ouvrage les fa
oûtent qu’ils sont heureux, et sentent qu’ils le seront toujours. Ils
chantent
les louanges des Dieux, et ils ne font tous ensem
aduction de quelques strophes d’une Ode, dans laquelle le Poète latin
chante
les douceurs de la vie champêtre, et le bonheur d
la scène des vendanges ; Il brille, il marche environné D’Amourse qui
chantent
ses louanges. On voit danser devant son char Les
s vers ; et l’on ne serait pas descendu de ces belles fables, si bien
chantées
par les poètes, à des récits en prose qui n’aurai
siècles. Pendant ce temps, l’Italie avait sa langue déjà fixée ; elle
chantait
avec Dante et Pétrarque, elle écoutait les contes
mprudent et le sage, Subissent même sort ; plusieurs verbes, ex. :
Chantons
, publions ses bienfaits ; plusieurs attributs, e
s] ; Ma plume t’apprendra [quel homme je puis être] ; Le rossignol ne
chante
plus [quand il a des petits] ; ou la subordonnée
urtout par le sentiment du tombeau de Jean-Jacques, elles se mirent à
chanter
une romance ; leurs voix douces, se mêlant aux ch
s des terrines ; mais vous aurez le plaisir d’entendre les rossignols
chanter
dans les bosquets des dames anglaises, et de voir
ur où je te mis. C’était ma fête, et, pour comble de gloire, Tu fus
chanté
par mes amis. Ton indigence, qui m’honore, Ne
épas ! Sa fille alors, interrompant sa plainte, Tout en filant, lui
chante
à demi-voix Ces airs proscrits qui, les frappant
rbes, la désinence llo marque un diminutif de l’action : cantillo, je
chante
tout bas, je fredonne ; sorbillo, je bois à petit
tare (de clamare), crier souvent, criailler ; cantitare (de cantare),
chanter
souvent ; pulsare (de pellere), pousser avec inst
pâles Furies, Que les pleurs des humains n’ont jamais attendries. Il
chantait
, et ravis jusqu’au fond des enfers, Au bruit harm
l’assemblée, ne lit pas, il récite. Mais quand son récit s’élève, il
chante
par intervalles, en s’accompagnant de la harpe ou
eaux l’heure, l’heure fatale, Ou sur sa lyre virginale
Chante
aux mondes vieillis ce jour, père des jours ! L
Dieu qu’il a servi, dont il aima l’empire ; Il en est plein, il
chante
ses bienfaits. L’Éternel a brisé son tonnerre inu
ans ta robe légère, Il te contait tout bas les amours qu’il rêvait ?
Chanterons
-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ? Trempero
Qu’il erre au Pausilippe avec la barque agile D’où le brun marinier
chante
Tasse et Virgile ; Toujours, sous l’arbre vert, s
e puis enchaîner cette Âme de ma vie ; Elle déborde en moi lorsque je
chante
ou prie, Et votre nom s’échappe avec celui de Die
le sur la Paix Un plein repos favorise vos vœux : Peuples,
chantez
la Paix, qui vous rend tous heureux. Char
Heureux les peuples soumis À son empire équitable ?
Chantons
, bergers, et nous réjouissons : Qu’il soit
Oublieux des vieilles amours. Ils vont étaler leur plumage, Voler et
chanter
dans le ciel, Sans entendre le cri de rage Qui so
outes parts Livres, dessins, crayons, confusément épars. Là, je dors,
chante
, lis, pleure, étudie et pense. Là, dans un calme
vers adulateurs, Le tyran dans sa cour remarqua mon absence : Car je
chante
la gloire et non pas la puissance. Le troupeau s
le maltraite, En dépit de l’orgueil, il aura son poète : Homère, qui
chanta
tant de héros divers, Auprès du grand Ajax le pla
eilles ? Ah ! je les reconnais, mes aimables abeilles. Cent fois on a
chanté
ce peuple industrieux ; Mais comment sans transpo
es Geer, Réaumur ont décrit ces merveilles, Et le chantre d’Auguste a
chanté
les abeilles. Delille. Le Loup Le loup e
ute à la façon de parler proverbiale, gai comme pinson. Il commence à
chanter
de fort bonne heure au printemps, et plusieurs jo
blanc comme un enfant qu’on va baptiser. On lui fait des onctions, on
chante
, on l’interroge, et elle répond par un petit tint
lenteur, triste et calme, et, comme elles, Je porte haut ma tête, et
chante
au moindre vent. Je crois le bien au fond de tou
; des garçons qui n’étaient Agés que de dix-huit il vingt ans, et qui
chantaient
des hymnes en l’honneur de la déesse ; de jolis e
la flûte, et quatre de la lyre. Après eux venaient des rapsodes, qui
chantaient
les poèmes d’Homère, et des danseurs armés de tou
t aller doucement au paisible courant de ces belles eaux. Les rameurs
chantaient
un air national, tandis que leurs maîtres jouissa
venu. La Fontaine. Le Savetier et le Financier47 Un savetier
chantait
du matin jusqu’au soir ; C’était merveille
es sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d’or,
Chantait
peu, dormait moins encor : C’était un homme
Un fin renard, disciple ou descendant Du célèbre flatteur qu’a
chanté
La Fontaine, En courant les monts de Py
harmé le cœur ! Un oiseau de tendresse et de mélancolie S’y pose pour
chanter
sur le rameau qui plie ! Oh ! dis, fleur que la v
rtu le charme, il prend en main sa lyre, Et plein de l’Eternel, il la
chante
et l’inspire. Ducis. Bienfaits de la poésie
yez Homère, Hésiode, Théocrite : couronnés de lauriers, ils entendent
chanter
leurs vers, mais ils n’en font plus. Virgile. J’a
ue le ver à soie file, que M. de Réaumur les dissèque et que vous les
chantiez
. Vous serez poète et homme de lettres, moins parc
’il file la soie de son sein ; qu’il pétrisse son propre miel ; qu’il
chante
son propre ramage ; il a son arbre, sa ruche son
t le planter. Les plumes au vent, sur le faîte, Voyez-vous le moineau
chanter
? Eux, ce soir, les gars de Limoge, Du travail c
us le moineau chanter ? Eux, ce soir, les gars de Limoge, Du travail
chanteront
la fin ; Et vous entendrez votre éloge, Bourgeois
saint de leur confrérie ! Les rimeurs se sont tus ! l’orgue n’a point
chanté
! Des amis, un surtout, pleurant sur ton cadavre
qu’ils seront devenus à sa place les représentants de l’honneur, ils
chanteront
avec foi le symbole du devoir, qui est aussi le s
s poètes qui se piquent volontiers d’être tristes sans raisons et qui
chantent
la mélancolie comme un don fatal du ciel, comme u
qué par ce verbe : = j’entends, j’ai entendu, j’entendrai votre frère
chanter
. Participe. Le participe a la signification du v
câtif. Le parfait défini a quatre terminaisons, ai, is, us, ins. je
chantai
; tu chantas ; il chanta ; nous chantâmes ; vous
quatre terminaisons, ai, is, us, ins. je chantai ; tu chantas ; il
chanta
; nous chantâmes ; vous chantâtes ; ils chantèren
aisons, ai, is, us, ins. je chantai ; tu chantas ; il chanta ; nous
chantâmes
; vous chantâtes ; ils chantèrent. je couvris ;
ntai ; tu chantas ; il chanta ; nous chantâmes ; vous chantâtes ; ils
chantèrent
. je couvris ; tu couvris ; il couvrit ; nous co
sse pour la première conjugaison. je chantasse ; tu chantasses ; il
chantât
; nous chantassions ; vous chantassiez ; ils chan
écharges de tonnerre, Et, dans ces horreurs de la guerre, Le Français
chante
, boit et rit. Bellone va réduire en cendres Les c
On me soutient que leur musique Cède aux bémols des Monsignis1 Qu’on
chante
à l’Opéra-Comique. Je lis cet éloge éloquent Que
saison des beaux jours ; Mais sa voix n’a plus rien de tendre, Il ne
chante
plus ses amours. Ainsi je touche encore ma lyre Q
te sur son front une marque immortelle ? Peuples de la terre,
chantez
, Jérusalem renaît plus charmante et plus belle.
d’Homère et de Virgile lui paraîtront bien petits auprès du Dieu que
chantent
les prophètes et des grands hommes que célèbrent
poésie et la musique : le poète ne parlait pas, il n’écrivait pas, il
chantait
et composait ses vers au son de la lyre. Dans la
up plus ancien et plus vénérable que le premier. « L’homme a d’abord
chanté
, dit Chateaubriand, et il parla ensuite. » 384.
ur conduire à la vérité et à la vertu. Au reste, c’est quand le poète
chante
Dieu et la vertu, qu’il atteint à la sublime perf
sublime perfection de son art. Quand il trouve le beau, c’est qu’il
chante
le bien. 387. Tous les genres de poésie ont chac
raduire au dehors l’enthousiasme ou le sentiment qui vous agite, vous
chantez
, et voilà l’ode (ὠδή) ou le genre lyrique. Si vou
nt. On l’appelle lyrique, parce qu’autrefois elle était non seulement
chantée
, mais composée aux accords de la lyre. C’était mê
on réserva le nom de lyriques aux poèmes qui étaient destinés à être
chantés
. 416. C’est surtout dans les poèmes lyriques que
une prière adressée aux dieux pour la conservation de l’empire. On la
chantait
dans les jeux qui se célébraient tous les cent an
té touché du succès, de la gloire d’un de ses amis, et il s’est mis à
chanter
son bonheur. Pour ces sortes de poèmes, nul ne tr
es, doivent être toujours frais et riants. 440. Quand l’ode badine ne
chante
que la joie et les plaisirs, on l’appelle anacréo
t d’abord qu’un poème lyrique en l’honneur de Bacchus. Ce poème était
chanté
par plusieurs chœurs qui se répondaient alternati
cte. Chez les anciens, cet intervalle était rempli par des chœurs qui
chantaient
une invocation aux dieux ou exprimaient les senti
roprement dite. 519. La comédie proprement dite (ϰὡμη, bourg, ἄδω,
chanter
) est la représentation d’une action prise dans la
orte de chanson satirique dont tous les acteurs présents sur la scène
chantaient
leur couplet à tour de rôle. Depuis, on a jeté de
9. Il nous paraît contraire au naturel et à la vraisemblance de faire
chanter
pour ainsi dire à tout propos des personnages d’u
. La tragédie lyrique ou grand opéra est une tragédie faite pour être
chantée
. C’est un spectacle qui est tout ensemble lyrique
ux pièces diffèrent seulement en ce que les couplets du vaudeville se
chantent
généralement sur des airs connus, tandis qu’un co
u la joie. En outre, l’élégie n’est pas, comme l’ode, destinée à être
chantée
ou du moins revêtue d’une forme chantante. 570. L
illes ; Je ris au gré de tes accents. Tyrtée enflamme mon courage, Il
chante
, je vole au carnage, Bellone règne dans mon cœur
agne en montagne Conduire nos troupeaux, ou, cherchant le saint lieu,
Chanter
devant l’autel les louanges de Dieu. Deux besoins
moi, Si quelque pan du ciel par moment s’y dévoile, Si quelque flot y
chante
en roulant une étoile, Que ce murmure monte à toi
qu’un lit d’ombrage, je ne conçois pas que, si le flot de votre vie y
chante
en roulant une étoile (un flot qui chante en roul
, si le flot de votre vie y chante en roulant une étoile (un flot qui
chante
en roulant une étoile !), le murmure de ce flot p
nstrent en chantant Qu’en lor cuer a de joie30 tant, Qu’il lor estuet
chanter
par force. Li rossignos lores slesforce De chante
, Qu’il lor estuet chanter par force. Li rossignos lores slesforce De
chanter
et de faire noise ; Lors s’esvertue, et lors s’en
mps bel et doucereus. Moult a dur cuer qui en mai n’aime, Quant il ot
chanter
sus la raime As oisiaus les dous chans piteus. En
en chantant — -qu’en leur cœur il y a tant de joie — qu’il leur faut
chanter
forcément. — Le rossignol alors s’efforce de chan
qu’il leur faut chanter forcément. — Le rossignol alors s’efforce de
chanter
et de faire bruit ; — alors s’évertuent et alors
s dur cœur a celui qui, en mai, n’est pas amoureux, — quand il entend
chanter
sur les branches — aux oiseaux les doux chants ém
uyant52, cler et beau. Il n’y a beste ne oiseau Qu’en53 son jargon ne
chante
ou crye : Le temps a laissié son manteau De vent,
ontent d’en avoir davantage et qu’il fût bon. Tout le long du jour il
chantait
et réjouissait tout le voisiné207. Il ne fut onc
es il ne savait la valeur. Lors, il commença de devenir pensif. Il ne
chantait
plus ; il ne songait plus qu’en210 ce pot de quin
vengé de son singe sans danger, et se remit à sa coutume première de
chanter
et faire bonne chère235, laquelle lui dura jusqu’
ir aucun secours, aide, ni consolation, sinon des chats-huants384 qui
chantaient
d’un côté et les chiens qui hurlaient de l’autre
de Babylone, en se souvenant de Sion. Ils ne pouvaient se résoudre à
chanter
leurs agréables cantiques, qui étaient les cantiq
ent heureux, et ils disaient au Seigneur, dans les psaumes qu’ils lui
chantaient
durant la captivité : « Il est temps, ô Seigneur
aux ne reposent, et que ce petit peuple, qu’il n’aime que parce qu’il
chante
, ne cesse de chanter. Il retrouve ses oiseaux dan
que ce petit peuple, qu’il n’aime que parce qu’il chante, ne cesse de
chanter
. Il retrouve ses oiseaux dans son sommeil ; lui-m
ique se cachait un jeune faune917, qui prêtait l’oreille aux vers que
chantait
l’enfant, et qui marquait à Silène, par un ris mo
eillé, le maître de musique entra, suivi des voix et des violons ; on
chanta
une cantate qui dura deux heures, et, de trois mi
ble ; la cinquième fut un supplice ; enfin, outré d’entendre toujours
chanter
: Ah ! combien monseigneur Doit être content de l
alent qui se développa bientôt avec un succès prodigieux : c’était de
chanter
agréablement des vaudevilles1124. Les grâces de l
e, j’étais toujours avec ma tante1160, à la voir broder, à l’entendre
chanter
, assis ou debout à côté d’elle ; et j’étais conte
1. Elle savait une quantité prodigieuse d’airs et de chansons qu’elle
chantait
avec un filet de voix fort douce. La sérénité d’â
uel je ne comprends rien ; mais il m’est de toute impossibilité de la
chanter
jusqu’à la fin sans être arrêté par mes larmes. J
ie, si j’avais la preuve que d’autres que ma pauvre tante Suson l’ont
chanté
, (Les Confessions, première partie, livre I, 171
.... Enfin, après avoir fait encore quelques tours dans mon jardin ou
chanté
quelque air sur mon épinette1210, je trouvais dan
ns des terrines, mais vous aurez le plaisir d’entendre les rossignols
chanter
dans les bosquets des dames anglaises1318, et de
teur1327. Sa femme était assise, occupée à coudre du linge ; un serin
chantait
dans sa cage suspendue au plafond ; des moineaux
et content, me rappelait celui des bords du Galèse1335, que Virgile a
chanté
; il causait avec plaisir et bon sens ; et, s’il
t aller doucement au paisible courant de ces belles eaux. Les rameurs
chantaient
un air national, tandis que leurs maîtres jouissa
roclament trois fois saint, Seigneur, Dieu des armées ! » Les évêques
chantaient
encore l’hymne de la victoire, Eudore, sorti de p
e partout dans son sillon pénible pour l’encourager, le soutenir, lui
chanter
l’espérance. Espoir, c’est la vieille devise de n
charmant garçon finirait peut-être un jour à la potence. Il dansa, il
chanta
, il se fit tout à tous. Vers minuit, une petite f
ppée1907. Mais, pour venir au point de ma sortie, Tant doucement j’ai
chanté
ma partie1908, Que nous avons bien accordé ensemb
uve la maison fournie De ce qu’il faut, très bien lui nie2024 Et lui
chante
une autre chanson : « Si quelqu’un en ce lieu s’o
ère, le feu, le poison et le fer. Hector. Si vous vouliez, monsieur,
chanter
un petit air ? Votre maître h chanter est ici : l
tor. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air ? Votre maître h
chanter
est ici : la musique Peut-être calmerait cette hu
musique Peut-être calmerait cette humeur frénétique. Valère. Que je
chante
! Hector. Monsieur.... Valère. Que je chante, b
tique. Valère. Que je chante ! Hector. Monsieur.... Valère. Que je
chante
, bourreau ! Je veux me poignarder ; la vie est un
sermon, sur le prix des rubans Ont épuisé leurs âmes excédées : Elles
chantaient
déjà, faute d’idées, Quand dans la chambre un fat
osent prendre l’essor. Tu voles ; comme toi la cigale a des ailes. Tu
chantes
; elle chante. A vos chansons fidèles Le moissonn
’essor. Tu voles ; comme toi la cigale a des ailes. Tu chantes ; elle
chante
. A vos chansons fidèles Le moissonneur s’égaye, e
cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle2588
chante
et s’élance. Est-ce à moi de mourir ? Tranquille
jour où je te mis. C’était ma fête, et, pour comble de gloire, Tu fus
chanté
par mes amis. Ton indigence, qui m’honore, Ne m’a
agnes, Puis elle vint s’offrir au couteau paternel. — Voilà ce qu’ont
chanté
les filles d’Israël. (Poésies : Livre antique.)
I J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu’il
chante
les pleurs de la biche aux abois, Ou l’adieu du c
peur de la faire envoler. Ses frères2696 riaient… — Aube pure ! Tout
chantait
sous ces frais berceaux, Ma famille avec la natur
Avec ses cavaliers, Tout entière debout comme une hydre vivante, Ils
chantaient
, ils allaient, l’âme sans épouvante Et les pieds
che ; Ce n’étaient que parfums et concerts infinis : Tous les oiseaux
chantaient
sur le bord de leurs nids. (Marie : la Chaîne d’o
res de trèfle en nos fraîches vallées ! Heureux les chers oiseaux qui
chantent
leurs chansons Dans les bois frissonnants où pass
on vol ! Tu n’es qu’un faible hommage ; Mais qu’en avril le rossignol
Chante
et la dédommage ; Qu’effrayé par ses chants d’amo
éternelles De ces filles de Dieu qui s’appellent entre elles. Frank.
Chantez
donc, et pleurez, si c’est votre souci. Ma malédi
is sur le toit s’ouvre le ciel, Et, tout en blanc, le chœur des anges
Chante
aux bergers : « Noël ! Noël !2810 » (Émaux et Cam
le cœur. C’était là son grand art : la lettre inanimée Vivait, riait,
chantait
sous son aiguille aimée ; Et, tout à coup, l’imag
de maraude. Oh ! les bons jours d’hiver dans la salle bien chaude, À
chanter
doucement les antiques noëls, A se faire conter d
andis qu’assis au pied de quelque térébinthe2842, Le pâtre insoucieux
chante
un air des vieux jours, Elles, dont le collier pa
e la fourmi2854 Le ciel obscurci, la bise venue, La cigale, ayant
chanté
tout l’été, Alla demander quelque charité Chez un
a terre noire, Dans ces trous obscurs où je vis sans feu. « Mangez et
chantez
, aimable personne ! Vos chants me feront revoir l
elques fleurs, Des taillis printaniers brisait les jeunes pousses, Et
chantait
! — Le soleil riait dans sa chanson ! C’était que
ents t’ont montré cette douleur qui ment ! Tu pleures maintenant : tu
chantais
tout à l’heure ! » L’enfant leva les yeux et me d
L’enfant leva les yeux et me dit simplement : « C’est pour moi que je
chante
, et pour eux que je pleure. » (Poèmes populaires
les doigts du vannier. Brins d’osier, vous serez la cage où l’oiseau
chante
, Et la nasse perfide au milieu des roseaux, Où la
oupeau bêlant Par les ajoncs fleuris où sont tapis les lièvres.... Tu
chantais
, tu sifflais pourtant, pauvre petit ! Tu prenais
s, tu me comprends ; Je dirai que c’est là mon destin et ma tâche, De
chanter
la forêt qui nous a tous nourris, Et de me souven
de la maison, La cigale, au sommet d’une tige menue, Qui s’attarde à
chanter
, la nuit presque venue, Parce que l’air est chaud
r Que le soleil ardent a cessé de briller. Mais le paysan dit qu’elle
chante
à cette heure, Lorsque, née au matin, il est temp
r dans une forme très artistique le vocabulaire du peuple. Le poète y
chantait
la misère, pitoyable ou gouailleuse, les joies, p
’est quelqu’un de vivant. Et tout ce qu’elle crie, et tout ce qu’elle
chante
, La mer, selon qu’elle est d’humeur douce ou méch
rtel azur. Vous avez la grâce et la force : Car les oiseaux vous font
chanter
Et sur votre rugueuse écorce L’effort du temps vi
resque toujours. L’homme a soin de bâtir les villes sur mon cours. Je
chante
sous les ponts en caressant leurs arches, Quand m
On sait qu’on appelle ainsi les poèmes épiques de notre moyen âge qui
chantent
les exploits, la geste — ce mot vient du pluriel
nairement accompagnée, au xviie siècle, de récits envers déclamés ou
chantés
. 864. Charles II. 865. Il, le chevalier de Gra
chanson de circonstance qui court la ville et dont l’air est facile à
chanter
» (Littré). 1125. Sans s’entendre : sans se com
le sait, sous les traits d’un mendiant allant de ville en ville pour
chanter
ses vers. 1373. Des sauvages. Il s’agit ici des
hamps, tranquille, ignorée, aisée et sans faste, ont été bien souvent
chantés
et l’on pourrait à chaque instant noter ici des r
Le monde est pour eux seuls une douce harmonie.... L’abeille rit et
chante
autour de leur berceau, Et l’humide matin pleure
ettent à naviguer et Bacchus à conduire ses chœurs, quand les oiseaux
chantent
et que les abeilles préparent leur miel, comment
thalie : Tout l’univers est plein de sa magnificence ;
Chantons
, publions ses bienfaits. Il donne aux fleurs leur
viendra interminable, elle manquera d’intérêt et de précision. « Pour
chanter
la guerre de Troie, dit Horace, il ne faut pas re
uliste ; rien ne serait plus froid qu’un tel ouvrage. Le poème épique
chante
les passions ; il les montre en action dans son r
re par la proposition ou début. Tel est le début de la Henriade : Je
chante
ce héros qui régna sur la France Et par droit de
un bouc à ce dieu ; et pendant ce sacrifice, le peuple et les prêtres
chantaient
à sa gloire des hymnes, que la victime fit nommer
bonne compagnie, divers personnages ont dû être mis sur la scène, qui
chantaient
ou dansaient, parce que la suite des événements l
rès avoir récité son impromptu Oh ! oh ! je n’y prenais pas garde, le
chante
et le danse devant Cathos et Madelon. Mais ce n’e
eville final, une chanson dont tous les acteurs présents sur la scène
chantaient
leur couplet à tour de rôle. Depuis, on a jeté de
it pas là. La poésie épique, l’élégie, l’ode, l’histoire elle-même se
chantaient
et se récitaient par les rues, sur les places, au
sans fatigue, sans effort, comme l’eau murmure et comme le rossignol
chante
. » Et le raisonneur du livre lui répond avec un g
e mots et de figures hardies dut principalement distinguer ce langage
chanté
de celui dont ces peuples se servaient dans leurs
les durent augmenter mutuellement leur influence. Les premiers poètes
chantaient
eux-mêmes les vers qu’ils composaient ; et telle
les premiers arrachés les hommes à leur état barbare. Minos et Thalès
chantaient
sur la lyre les lois qu’ils composaient, et il pa
nt à célébrer leurs dieux, leurs héros et leurs illustres ancêtres, à
chanter
leurs exploits et leurs victoires, à pleurer leur
moins c’est ce que nous portent à croire Orphée, Linus et Musée, qui
chantèrent
le chaos et la création, la formation des mondes,
les événements qui intéressaient sa patrie ou ses amis, se levait et
chantait
. Ses accents étaient rudes et sans ordre, mais il
ue chez les Grecs, comme chez la plupart des autres nations, le barde
chantait
ses vers, et jouait en même temps de la harpe ou
ose de ses premiers rapports avec la musique. Comme dans l’origine on
chantait
la poésie, elle devait se composer de certains no
n, | the direful spring Of all the grecian woes, | o Goddess, sing. «
Chante
, ô Muse, la colère du fils de Pélée, source cruel
de leurs concitoyens ou de leurs amis, furent les premiers sujets que
chantèrent
les bardes de toutes les contrées. Ce n’était qu’
’ont plus d’éclat ; ou ce sont deux bergers qui, par suite d’un défi,
chantent
alternativement quelques vers assez ordinairement
caractérise particulièrement ce poème, c’est qu’il est fait pour être
chanté
ou accompagné par la musique ; son nom même l’ind
ités, l’on donna le nom d’ode aux poèmes spécialement destinés à être
chantés
ou récités avec un accompagnement de musique. La
les plus anciens bardes donnaient essor à leur enthousiasme poétique,
chantaient
les dieux et les héros, célébraient leurs victoir
ils tendent à exciter au plus haut degré l’enthousiasme de celui qui
chante
, aussi bien que de la personne qui écoute, et jus
aut point de perfection. Secondement, les odes héroïques, destinées à
chanter
les héros, les exploits guerriers et les belles a
es écoles ou des collèges de prophètes, dans lesquels on s’exerçait à
chanter
les louanges de Dieu en s’accompagnant avec diver
atre légions, et mit à la tête de chacune un chef uniquement occupé à
chanter
des hymnes et à jouer de divers instruments penda
ercher l’origine de ce mode poétique dans la manière dont les Hébreux
chantaient
leurs hymnes sacrées. La musique accompagnait leu
chrétiennes. Il est expressément dit, dans l’Esdras, que les lévites
chantaient
alternativement [alternatim], et l’on voit assez
que la plupart des psaumes de David n’ont été composés que pour être
chantés
de cette manière. Le psaume xxiii, entre autres,
aint des saints, devait produire un bien grand effet, lorsqu’il était
chanté
selon cette méthode ; c’est ce qu’a démontré le d
s leurs autres poésies, bien qu’elles ne fussent pas destinées à être
chantées
en chœur, et que, par conséquent, cette coupe n’y
d’Homère, partout la même fécondité. Le poète ne s’élève plus jusqu’à
chanter
les dieux, les héros et les combats, mais il nous
elle ne consista longtemps qu’en une espèce d’ode ou d’hymne que l’on
chantait
ordinairement aux fêtes de Bacchus. On immolait u
et ᾠδή, cantus, carmen, hymne. Ces hymnes ou poèmes lyriques étaient
chantés
tantôt par les prêtres et le peuple ensemble, tan
les, leur donnaient des avis et des conseils, et, dans les entractes,
chantaient
des odes ou des hymnes dans lesquelles elles adre
se les spectateurs dans les entractes, un certain nombre de personnes
chantaient
des paroles, ou exécutaient une harmonie qui, san
s se retiraient, le chœur prenait immédiatement leur place, et venait
chanter
des hymnes ; mais ces chants ne partageaient pas
exemples d’événements que l’on suppose arrivés pendant que le chœur a
chanté
un hymne, et qui ont dû nécessairement employer u
Hamlet, sa mère et son beau-père boivent ensemble sur le théâtre ; on
chante
à table, on s’y querelle, on se bat, on se tue :
yez Homère, Hésiode, Théocrite : couronnés de lauriers, ils entendent
chanter
leurs vers ; mais ils n’en font plus4. Virgile.
t pas laissé toutefois de représenter les poëtes se plaisant encore à
chanter
dans les enfers. Cf. Én., VI, 644, et Od., II, 13
gâté. Si elle s’était mise à son clavecin, et qu’elle eût préludé ou
chanté
, le philosophe sensible eût pris un tout autre ca
er avec la même liberté et la même grâce que l’on sait marcher ; pour
chanter
comme on parle ; parler et s’exprimer comme l’on
our origine commune le chant lyrique nommé dithyrambe. Ce poème était
chanté
par des chœurs, qui se séparaient quelquefois en
, c’était par l’organe de son chef ; la partie lyrique du chœur était
chantée
par tous les membres et accompagnée de la flûte.
ie lyrique ou opéra. Ce poème est destiné à être mis en musique et
chanté
. On distingue l’opéra sérieux, ou tragédie lyriqu
ertains adjectifs sont quelquefois employés comme adverbes ; on dit :
chanter
juste, parler bas, voir clair, rester court, frap
de rougir, ils briguent une frivole gloire, et triomphent de ce qu’on
chante
encore au pied du Capitole, et de ce que, à de pl
ime ! Rougis !… mais non : briguant une gloire frivole, Triomphe ! en
chante
encore au pied du Capitole ! A la place du fer, c
de croire que la vie champêtre des premiers hommes dut les engager à
chanter
les riants tableaux de la campagne et les objets
n berger, vainqueur dans les jeux ou qui aura réussi à plaire, pourra
chanter
sou bonheur et sa gloire. Mais il n’insultera poi
Chateaubriand.) Hymne est féminin lorsqu'il désigne les hymnes qui se
chantent
à l'église, mais la poésie l'emploie aussi au mas
e de Victor Hugo qui a pour titre Hernani. Les poëtes de cette école
chantent
, dans la même pièce, les démons et les anges, les
remiers rayons du soleil. S'éveillant avec la nature, Le jeune oiseau
chantait
sous l'aubépine en fleurs ; Sa mère lui portait l
nquent de chaleur. (Voyez l'Abeille du Parnasse.) L'ode anacréontique
chante
l'Amour et les Grâces. C'est parmi les chansons d
on se divise en érotique, bachique et vaudeville. La chanson érotique
chante
les jeux et les plaisirs, l'Amour et sa mère. La
nte les jeux et les plaisirs, l'Amour et sa mère. La chanson bachique
chante
le vin. Le vaudeville poursuit les ridicules en a
il bénisse son nom, l’oiseau vif et joyeux Qui, dès le point du jour,
chante
aux portes des cieux ! Chœurs des airs, répétez s
yez, soyez témoins si je reste en silence ! Oui, le soir, le matin, à
chanter
ses bienfaits J’instruis les antres sourds et les
us verserons aux convives joyeux Le vin, l’ivresse et l’arrogance. «
Chantez
cette Ilion proscrite par les dieux, « Chantez, n
sse et l’arrogance. « Chantez cette Ilion proscrite par les dieux, «
Chantez
, nous diront-ils, misérables captives, « Et que l
ue l’hymne troyen retentisse en ces lieux. » Ô fleuves d’Ilion ! nous
chantions
sur vos rives, Quand des murs de Priam les nombre
ais où jeté sur le rivage. — Harmonieux vieillard, tu n’as donc point
chanté
? Quelques sons de ta voix auraient tout acheté.
ssis près de la poupe : « Aveugle vagabond, dit l’insolente troupe, «
Chante
; si ton esprit n’est point comme tes yeux, « Amu
e. Ainsi la cigale innocente, Sur un arbuste assise, et se console et
chante
. Commençons par les dieux : Souverain Jupiter ; S
ait dans ses bras ; Que tu disais aimer, qui t’apprit à le dire ; Qui
chantait
, et souvent te forçait à sourire Lorsque tes jeun
ir plus pur ; c’est d’une tour de cette maison que Néron contemplera,
chantera
l’incendie que l’histoire l’accuse d’avoir allumé
lées. L’armée applaudissait ; le luth du troubadour S’accordait pour
chanter
les saules de l’Adour ; Le vin français coulait d
pourtant il fut heureusement exécuté par Comminges, le matin que l’on
chanta
le Te Deum à Notre-Dame de la victoire de Lens, d
leur cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle
chante
et s’élance. « Est-ce à moi de mourir ? Tranquil
chercher leur harmonie ; Écouter dans son cœur l’écho de son génie ;
Chanter
, rire, pleurer, seul, sans but, au hasard ; D’un
a, je redevins barbare, Et j’oubliai les noms des antiques héros Pour
chanter
les combats des loups et des taureaux Brizeux
Des Lieux communs On a reproché souvent à Horace de n’avoir
chanté
que des lieux communs. Il est certain qu’il ne se
théâtre, aux accents d’Euripide, D’une sainte folie un peuple furieux
Chanter
: Amour, tyran des hommes et des dieux ! Puis, iv
réduit tout au plus à un demi-quart Marot, qui n’a qu’un style et qui
chante
du même ton les Psaumes de David et les merveille
s poètes, ceux qui ont mis la morale humaine en maximes, et qui l’ont
chantée
sur un mode simple, converseraient entre eux avec
poètes de la vie civile et de ceux qui ont su causer quoiqu’ils aient
chanté
: Pope, Despréaux, l’un devenu moins irritable, l
on le tue ? il expire avec gloire : « On le manque ? il triomphe, et
chante
sa victoire. » Le juge, qu’un client éveille au p
de Babylone, en se souvenant de Sion. Ils ne pouvaient se résoudre à
chanter
leurs agréables cantiques, qui étaient les cantiq
ent heureux, et ils disaient au Seigneur, dans les psaumes qu’ils lui
chantaient
durant la captivité : « Il est temps, ô Seigneur
Seigneur, » Ne faites pas battre vos ailes. Le pauvre souffre encor…
chantez
pour lui ce soir, Fauvette aux yeux d’azur, rossi
rne bien doux, Un air de Meyerbeer ! Dieu bénit, voyez vous, Ceux qui
chantent
pour ceux qui pleurent. Que de misère encor, d’a
elleraient heureux, Et quand ces grands amants de l’antique nature Me
chanteraient
la joie et le mépris des dieux, Je leur dirais à
Une apparence de bonheur. Le monde entier te glorifie ; L’oiseau te
chante
sur son nid ; Et pour une goutte de pluie Des mil
ôté, mon ami Montfort était au piano ; ses camarades l’entouraient et
chantaient
en chœur. Plus tard, on dansa, et j’aurais voulu
composé son poëme. » Chénier : « En composant l’Odyssée, il n’a point
chanté
toute la vie d’Ulysse, ni la blessure qu’il reçut
te par Scarron. Ci gît qui fut de belle taille, Qui savait danser et
chanter
, Faisait des vers vaille que vaille Et les savait
précision et de la justesse… On voit tous les jours des personnes qui
chantent
agréablement, sans connaître les notes, les clés,
onnaître les notes, les clés, ni les règles de la musique ; elles ont
chanté
pendant bien des années des sol et des fa, sans l
l parle. « Sa gloire sera toujours souillée de sang. Quelque insensé
chantera
peut-être ses victoires : mais les provinces, les
ie sous ce rapport que Caton l’appelait le consul facétieux. Homère a
chanté
le combat des rats et des grenouilles sur la même
e a chanté le combat des rats et des grenouilles sur la même lyre qui
chantait
ceux des héros et des dieux ; l’auteur des Pensée
: « Je serais fort heureuse dans ces bois, si j’avais une feuille qui
chantât
. Ah ! la jolie chose qu’une feuille qui chante !
avais une feuille qui chantât. Ah ! la jolie chose qu’une feuille qui
chante
! et la triste demeure qu’un bois où les feuilles
s poëtes, ceux qui ont mis la morale humaine en maximes, et qui l’ont
chantée
sur un mode simple, converseraient entre eux avec
poëtes de la vie civile et de ceux qui ont su causer quoiqu’ils aient
chanté
: Pope, Despréaux, l’un devenu moins irritable, l
illeurs. En chantant.] Διᾴδοντα désigne plus spécialement un dialogue
chanté
, ou une lutte entre deux chanteurs. Voyez Théocri
le ver à soie file, que M. de Réaumur193 les dissèque et que vous les
chantiez
. Vous serez poète et homme de lettres, moins parc
nt. Enfin, après avoir fait encore quelques tours dans mon jardin, ou
chanté
quelque air sur mon épinette, je trouvais dans mo
a prose et les rois. Aussi peut-on dire que leur langue fut longtemps
chantée
avant d’être parlée, et la nôtre à jamais dénuée
t aller doucement au paisible courant de ces belles eaux, Les rameurs
chantaient
un air national, tandis que leurs maîtres jouissa
’il file la soie de son sein ; qu’il pétrisse son propre miel ; qu’il
chante
son propre ramage ; il a son arbre, sa ruche et s
de la vie s’écoulent, nous sourirons quand il faudra mourir ! » Ainsi
chantaient
quarante mille barbares. Leurs cavaliers haussaie
des mœurs pastorales ou la grandeur des mœurs héroïques veulent être
chantées
sur la lyre d’Homère ; la raison et la corruption
demeure de ses enfants. Oui, c’est là qu’il se faut retrouver pour y
chanter
à jamais, dans une ineffaçable union, des cantiqu
suivi en grand nombre l’armée d’invasion, se réunirent pour prier et
chanter
des litanies, pendant que les gens de guerre prép
ent devait démentir, les Saxons se divertissaient avec grand bruit et
chantaient
de vieux chants nationaux, en vidant, autour de l
Hamlet, Werther, Childe-Harold, les Renés purs, sont des malades pour
chanter
et souffrir, pour jouir de leur mal, des romantiq
écharges de tonnerre, Et, dans ces horreurs de la guerre, Le Français
chante
, boit et rit. Bellone va réduire en cendres Les -
, Revient chargé de vices étrangers. L’affreux destin du héros que je
chante
En éternise une preuve touchante : Tous les échos
Épître à l’amitié668.(Extrait.) Noble et tendre amitié, je te
chante
en mes vers. Du poids de tant de maux semés dans
res, Qui déjà recevaient les buveurs sous leurs ombres. Mais d’autres
chanteront
les trésors des jardins : Le temps fuit ; je revo
te. Viens donc, viens, charme heureux des arts et des amours ! Je te
chantai
deux fois686, inspire-moi toujours. L’Imaginati
couronnée, et légère et dansante, En nombres mesurés elle s’agite et
chante
. Des antiques vergers ces rameaux empruntés Crois
nce, Enivré des vapeurs d’une folle opulence, Celui qui lui doit tout
chante
et s’oublie et rit, Lui peut-être il expire, affa
ngeance Déjà levé sur ces pervers ! Pour cracher sur leurs noms, pour
chanter
leur supplice ! Allons, étouffe tes clameurs ; So
du Lion ramènera l’année, O mon frère ! je veux, relisant tes écrits,
Chanter
l’hymne funèbre à tes mânes proscrits. Là, souven
r même de l’idée, il s’attache à la mémoire et « continue longtemps à
chanter
en nous, » disait Sainte-Beuve. Il faut cependant
hamps tout noircis des restes du carnage : Et tandis que l’oiseau qui
chante
ses douleurs Bâtit au bord des eaux son nid parmi
e en chants funèbres ; Il triomphe, et ta voix, sur un mode infernal,
Chante
l’hymne de gloire au sombre dieu du mal. Mais que
lumière Que d’un souffle choisi Dieu voulut animer, Et qu’il fit pour
chanter
, pour croire et pour aimer761 ! Méditations poé
pent à la fois ; Un luth qui les remplace a frémi sous ses doigts. Il
chante
… Ainsi chantaient David et les prophètes ; Ainsi,
; Un luth qui les remplace a frémi sous ses doigts. Il chante… Ainsi
chantaient
David et les prophètes ; Ainsi, troublant le cœur
milieu des tempêtes : « Beaux lieux où je n’ose m’asseoir, Pour vous
chanter
dans ma nacelle Au bruit des vagues, chaque soir,
i Dieu, feras-tu moins pour elle Que Jupiter et ses faux dieux ? » Il
chantait
, il pleurait, quand d’une tour voisine Un musulma
or. I J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu’il
chante
les pleurs de la biche aux abois, Ou l’adieu du c
allées. L’armée applaudissait. Le luth du troubadour S’accordait pour
chanter
les sanies de l’Adour ; Le vin français coulait d
ron, maître du monde et dieu de l’harmonie, Qui, sur le mode d’Ionie,
Chante
, en s’accompagnant de la lyre à dix voix ! Que mo
ui s’effeuille à l’automne, Pas même la chanson naïve et monotone Que
chante
un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! Où sont-i
sommeil était si calme et si charmant Que tu n’entendais pas l’oiseau
chanter
dans l’ombre ; Moi, pensif, j’aspirais toute la d
d’ombre, sera si morne et si farouche Que je n’entendrai pas non plus
chanter
l’oiseau ; Et la nuit sera noire ; alors, ô ma co
ant leurs belles queues, Des merles, des serins jaunes comme de l’or,
Chantent
l’amour, et l’air plus enivrant encor. Il est, so
la différence des poètes du midi, dont la muse jalouse a dédaigné de
chanter
dans une autre langue que celle de la Provence, c
ueillir des vers ! Sur la fleur du buisson Entendez-vous l’oiseau qui
chante
sa chanson ? Tout chante et fleurit ; c’est l’aur
fleur du buisson Entendez-vous l’oiseau qui chante sa chanson ? Tout
chante
et fleurit ; c’est l’aurore ! Je veux chanter aus
chante sa chanson ? Tout chante et fleurit ; c’est l’aurore ! Je veux
chanter
aussi : blonde fille du ciel, Ainsi, de fleur en
elleraient heureux, Et quand ces grands amants de l’antique nature Me
chanteraient
la joie et le mépris des dieux826, Je leur dirais
voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens,
chantons
devant Dieu ; chantons dans tes pensées, Dans tes
bre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens, chantons devant Dieu ;
chantons
dans tes pensées, Dans tes plaisirs perdus, dans
dans sa robe légère, Et te contait tout bas les amours qu’il rêvait ?
Chanterons
-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ? Trempero
e nos amours qu’il te souvienne, Si tu remontes dans les cieux. Je ne
chante
ni l’espérance, Ni la gloire, ni le bonheur, Héla
senti et parfois célébré avec plus d’éclat les beautés de la nature,
chanté
dans un rythme plus large et plus mélodieux les s
r quelques-unes des scènes évangéliques : J’ose ouvrir l’Évangile et
chanter
à mon tour, Au pied du Golgotha, le cantique d’am
; Le vent berce les peupliers. Toute chose que Dieu féconde, Prête à
chanter
, prête à fleurir, Aime le vif accent de l’onde, A
jours ; L’automne, hélas ! si précoce, a fait taire Le chœur ailé qui
chantait
les amours. D’hiver chez toi le ciel avance l’heu
elques fleurs, Des taillis printaniers brisait les jeunes pousses, Et
chantait
! — Le soleil riait dans sa chanson ! C’était que
ts t’ont montré cette douleur qui ment ! « Tu pleures maintenant ; tu
chantais
tout à l’heure ! » L’enfant leva les yeux et me d
L’enfant leva les yeux et me dit simplement : « C’est pour moi que je
chante
, et pour eux que je pleure. » Eugène Manuel 866
jamais les limites ! Entre le néant et Dieu, on ne compte plus, on ne
chante
plus ; on reste frappé de vertige et de silence,
le plus ancien comme le plus nécessaire des arts, est celui qui a été
chanté
le premier. Il le fut par Hésiode, bien long-temp
ien traduits par le P. Avril, de la même compagnie. Racine le fils a
chanté
ln. On a vu le plan de ce poëme, non moins admira
postérité. ……………… Ma vertu donc se borne au mépris des richesses ; A
chanter
des héros de toutes les espèces, A sauver, s’il s
arce que souvent il y a des choses qui auroient mauvaise grâce à être
chantées
, et qui ne peuvent être qu’en dialogue. Le sujet
seau. Voilà pourquoi l’acteur disparoît presque toujours, après avoir
chanté
. Un chant ne peut plaire, s’il est monotone. C’es
s Duo dans l’opéra comique. Les Duo sont deux personnes qu’on fait
chanter
à-la-fois. On a remarqué qu’ils sont hors de la n
du peuple, parler en vers. Pourquoi serions-nous révoltés d’entendre
chanter
ces mêmes personnages, soit dans la tragédie-lyri
’opéra. La tragédie lyrique est donc une tragédie faite pour être
chantée
. L’action qu’elle représente est héroïque et malh
terribles sont les seules qui fournissent les véritables occasions de
chanter
. La diffusion et la trop grande concision du sty
’élégance et l’agrément avec l’énergie et l’élévation. Ce morceau que
chante
Médée, dans l’opéra de Thésée, en est un exemple.
sa valeur, J’imite trop bien sa foiblesse. Et ces vers énergiques que
chante
Ae. Veuez, venez, haine implacable, Sortez du go
ché, a fait une peinture dégoûtante dans les détails. Le Tasse a fait
chanter
à un oiseau des chansons de sa composition. Ces f
puisque le poëte ne s’étoit proposé, comme il le dit lui-même, que de
chanter
la colère d’Achille, et ses funestes effets. Mais
merveilleux du poëme, et d’y laisser entrevoir que le héros qu’on va
chanter
est propre à intéresser. Virgile exposant son suj
nter est propre à intéresser. Virgile exposant son sujet, dit : « Je
chante
les combats et ce héros troyen, qui, forcé par le
de même ces deux choses dans ce début de la Jérusalem délivrée. « Je
chante
la guerre sainte, et ce capitaine qui délivra le
emplisse l’attente du lecteur. Tel est celui-ci de la Luisiade. « Je
chante
ces hommes extraordinaires, qui, des rives occide
ns souverains de l’oreille et du cœur. Français vous savez vaincre et
chanter
vos conquêtes ; Il n’est point de lauriers qui ne
. Voilà le sujet du poëme ; voilà la grande entreprise que le poëte a
chantée
. La Discorde, qui, après avoir fait relever ce lu
uverte de l’Amérique. Don Alonzo d’Ercilla conquit ce pays, et voulut
chanter
cette conquête. On a remarqué dans ce poëme des m
ristote semble ne pas savoir que les poëmes d’Homère aient jamais été
chantés
. Homère, cependant, ne connaît pas d’autres poëte
, sur Pégase monté, Crier à vos lecteurs d’une voix de tonnerre : Je
chante
le vainqueur des vainqueurs de la terre… Oh ! que
elque divinité de raconter elle-même de si grandes choses : « Déesse,
chante
la colère d’Achille… — Muse, dis-moi les erreurs
ve au milieu du chœur, des milliers de cierges brûlent à l’entour, on
chante
les dernières prières. J’interroge un assistant q
l’a vu naître, surtout dans Atala et le Génie du Christianisme. Ainsi
chantait
l’ancien des hommes vaut-il mieux que : ainsi par
: « Je serais fort heureuse dans ces bois, si j’avais une feuille qui
chantât
. Ah ! la jolie chose qu’une feuille qui chante !
avais une feuille qui chantât. Ah ! la jolie chose qu’une feuille qui
chante
! et la triste demeure qu’un bois où les feuilles
e, tome 1er, page 242. COMPOSITIONS. N° 72. — Le Tigre. Je vais
chanter
, ô mes frères, le courage d’une mère — … Déjà le
à côté de la sainte Vierge, un ange…3 Il est toujours troublé et ne
chante
point4 — … mais il regarde l’homme5 — … Il recuei
nt établi clans un jardin délicieux, choisit le plus beau rosier pour
chanter
ses airs harmonieux ; au pied de ce rosier, une f
vait établi sa petite demeure — … La fourmi travaillait, le rossignol
chantait
malgré les murmures de sa voisine — … Ainsi se pa
cents — … C’est une tendre mélodie… Quand il a vu son nid détruit, il
chante
encore — c’est le même air — … mais il a changé d
Examinez la scène du matin. — Le soleil va se lever, — le rossignol
chante
sa dernière gamme — … Les collines se dessinent à
arches d’escalier conduisent au palier abrité par un avant-toit ; là,
chantent
de petits oiseaux, enfermés dans leurs cages — …
… Un des replis de son voile sert d’asile à un nid de fauvettes… Elle
chante
. — mille fleurs couronnent sa tête88 — Abeilles e
ndaient l’aumône sur le seuil d’une chapelle — … Nœud. Le plus jeune
chantait
. — L’aîné tendait en vain la main, et disait : Al
t, L’assemblée ne connaîtra qu’à ce signe l’auteur de la belle action
chantée
par le troubadour. N° 187. — Guillaume Tell.
mes larmes, mais les dieux puniront un jour tant de cruauté — … Ainsi
chanta
le poète. — Lysandre devient pensif, il pleure. L
à mes vers : c’est toi qui m’as appris à connaître le bonheur et à le
chanter
. Avis. Je rie vous dis rien pour ce dernier cane
suit la procession, fleurs et feuillages qui la bordent, oiseaux qui
chantent
. 53. Clair de lune, voix mystérieuses de la natu
evez Homère », s’écriait un soldat de Smyrne ; et à l’instant même il
chantait
ou le dénombrement des vaisseaux, ou le combat d’
de la vie s’écoulent, nous sourirons quand il faudra mourir ! » Ainsi
chantaient
quarante mille barbares. Leurs cavaliers haussaie
sont pou de chose, comparées à la gloire de cette tombe de gazon que
chanta
Homère et autour de laquelle courut Alexandre. J’
t suivi en grand nombre l’armée d’invasion se réunirent pour prier et
chanter
des litanies, pendant que les gens de guerre prép
ent devait démentir, les Saxons se divertissaient avec grand bruit et
chantaient
de vieux chants nationaux, en vidant, autour de l
ieux295 ! Épitre à l’Amitié296 Noble et tendre amitié, je te
chante
en mes vers. Du poids de tant de maux semés dans
bres Qui déjà recevaient les buveurs sous leurs ombres. Mais d’autres
chanteront
les trésors des jardins : Le temps fuit ; je revo
ête. Viens donc, viens, charme heureux des arts et des amours ! Je te
chantai
deux fois320, inspire-moi toujours. L’Imaginat
il bénisse son nom, l’oiseau vif et joyeux Qui, dès le point du jour,
chante
aux portes des cieux ! Chœurs des airs, répétez s
yez, soyez témoins si je reste en silence ! Oui, le soir, le matin, à
chanter
ses bienfaits J’instruis les antres sourds et les
du Lion ramènera l’année, Ô mon frère ! je veux, relisant tes écrits,
Chanter
l’hymne funèbre à tes mânes proscrits. Là, souven
r même de l’idée, il s’attache à la mémoire et « continue longtemps à
chanter
en nous », disait M. Sainte-Beuve. Il faut cepend
hamps tout noircis des restes du carnage : Et tandis que l’oiseau qui
chante
ses douleurs Bâtit au bord des eaux son nid parmi
e en chants funèbres ; Il triomphe, et ta voix, sur un mode infernal,
Chante
l’hymne de gloire au sombre dieu du mal. Mais que
lumière Que d’un souffle choisi Dieu voulut animer, Et qu’il fit pour
chanter
, pour croire et pour aimer404 ! 2° Méditation p
pent à la fois ; Un luth qui les remplace a frémi sous ses doigts. Il
chante
… Ainsi chantaient David et les prophètes ; Ainsi,
; Un luth qui les remplace a frémi sous ses doigts. Il chante… Ainsi
chantaient
David et les prophètes ; Ainsi, troublant le cœur
milieu des tempêtes : « Beaux lieux où je n’ose m’asseoir, Pour vous
chanter
dans ma nacelle Au bruit des vagues, chaque soir,
Dieu, feras-tu moins pour elle Que Jupiter et ses faux dieux ? » Il
chantait
, il pleurait, quand d’une tour voisine Un musulma
Qu’il erre au Pausilippe avec la barque agile D’où le brun marinier
chante
Tasse à Virgile ; Toujours, sous l’arbre vert, su
ids et lourds à leurs os qu’ils déforment ! Les anges autour d’eux ne
chantent
pas en chœur. De tout ce qu’ils ont fait le rêve
méchante Quelqu’un peut prier aujourd’hui, C’est toi, dont la parole
chante
, C’est toi : ta prière innocente, Enfant, peut se
pelleraient heureux Et quand ces grands amants de l’antique nature Me
chanteraient
la joie et le mépris des dieux451, Je leur dirais
voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens,
chantons
devant Dieu ; chantons dans tes pensées, Dans tes
bre de plaisir, un semblant de bonheur. Viens, chantons devant Dieu ;
chantons
dans tes pensées, Dans tes plaisirs perdus, dans
dans sa robe légère, Et te contait tout bas les amours qu’il rêvait ?
Chanterons
-nous l’espoir, la tristesse ou la joie ? Trempero
e nos amours qu’il te souvienne, Si tu remontes dans les cieux. Je ne
chante
ni l’espérance, Ni la gloire, ni le bonheur, Héla
assuré du jour, toi dont le disque brillant couronne le riant matin,
chante
ses louanges dans ta sphère, pendant que monte le
e pastorale est donc une sorte d’idéal fictif et 1’allégorique ; elle
chante
la campagne à la ville ; elle l’aime l en imagina
chemins de flammes, Dessus les grils ardents et dedans les taureaux,
Chanter
les condamnés, et trembler les bourreaux. J’ai vu
ne vaste cour formée par des bâtiments de ferme très-réguliers, et où
chantent
des coqs et nasillent des canards qui de temps en
nt. Enfin, après avoir fait encore quelques tours dans mon jardin, ou
chanté
quelque air sur mon épinette, je trouvais dans mo
qu’ils seront devenus à sa place les représentants de l’honneur, ils
chanteront
avec foi le symbole du devoir, qui est aussi le s
t choses, et à n’en achever aucune, à aller et venir comme la tête me
chante
, à changer à chaque instant de projet, à suivre u
eveux crêpés, pour des mains douillettes5, pour savoir danser, jouer,
chanter
; mais ne sont-ils pas lâches de courage, de voul
qui sait tout dire. » 3. Fille de madame de Rambouillet, elle fut
chantée
par tous les beaux esprits qui fréquentaient l’hô
hir celui qui leur impose le joug ; de cigales qui passent leur vie à
chanter
; de lièvres qui ont peur de tout ; d’hirondelles
tous, enfants de l’Orient, rois, patriarches, aïeux de Jésus-Christ,
chantez
l’antique alliance de Dieu et des hommes. Redites
ché, a fait une peinture dégoûtante dans les détails. Le Tasse a fait
chanter
à un oiseau des chansons de sa composition. Ces f
ord sur Pégase monté Crier à vos lecteurs d’une voix de tonnerre : Je
chante
le vainqueur des vainqueurs de la terre. Que prod
elle-même dans les âmes que ranimait ce cantique, qui ne sera jamais
chanté
par des voix plus pures. Dans ce péril extrême, l
e aile indépendante, L’abeille à composer son miel. Mais pourquoi
chantais
-tu ? — Demande à Philomèle Pourquoi, durant les n
douce se mêle Au doux bruit des ruisseaux sous l’ombrage roulant. Je
chantais
, mes amis, comme l’homme respire, Comme l’oiseau
es vers, Des sons dans ma voix affaiblie ; Et cette liberté, que je
chantai
toujours, Redemandant un hymne à ma veine glacée,
e toutes les grâces d’une poésie douce et légère. Le fougueux Pindare
chanta
, sur le ton le plus énergique et le plus élevé, l
n. f. mets, repas. 20. Champ, n. m. campagne. Chant, n. m. action de
chanter
. 21. Chaud, n. m. chaleur. Chaud, adj. qui a de
que le CH des Picards se retrouve dans les mots champ, char, charie,
chanter
, chastel, sans exclure toutefois l’usage d’écrire
étaient les éditeurs ou les propagateurs des poëmes populaires qu’ils
chantaient
, avec accompagnement de viole ou violon, sur une
aux ne reposent, et que ce petit peuple, qu’il n’aime que parce qu’il
chante
, ne cesse de chanter. Il retrouve ses oiseaux dan
que ce petit peuple, qu’il n’aime que parce qu’il chante, ne cesse de
chanter
. Il retrouve ses oiseaux dans son sommeil ; lui-m
erchai surtout dans mes voyages les artistes et ces hommes divins qui
chantent
les dieux sur la lyre, et la félicité des peuples
s de la Calédonie, le dernier barde qu’on ait ouï dans ces déserts me
chanta
les poëmes dont un héros consolait jadis sa vieil
p, pour signifier terre, et avec nt, chant pour signifier l’action de
chanter
. 6° On écrit ainsi faim, besoin de manger, et fin
διαφωνεῖν. Voyez la Morale Nicom., I, 8. Quand on n’est pas forcé de
chanter
.] C’est ainsi que, dans les idées des anciens, et
agot, Plutôt qu’un bout-rimé me fasse entrer en…. danse ! Je vous le
chante
clair comme un ………….. chardonneret ; Au bout de l
pide de la fin. Ci-gît qui fut de belle taille, Qui savait danser et
chanter
, Faisait des vers vaille que vaille, Et les savai
descendant à la fosse, lui ont donné de saints baisers, et toutes ont
chanté
jusqu’à la fin la prière qui crie grâce pour les
buent les postes à ceux qui restent, et tous continuent à danser et à
chanter
. Leur vie, après tout, est une image de la nôtre.
, Revient chargé de vices étrangers. L’affreux destin du héros que je
chante
En éternise une preuve touchante : Tous les échos
hon qui a donné ce mauvais exemple. Car quelle différence y a-t-il de
chanter
des paroles étrangères à une pièce, ou d’insérer
tagore, d’avoir commandé, au lieu de prier, lorsqu’il a dit : « Muse,
chante
la colère du fils de Pélée ? » Car, dit-il, comma
stes en récitant l’épopée, comme faisait Sosistrate ; qu’on peut même
chanter
, comme faisait Mnasithée d’Oponte ; que toutes le
s fables les plus heureusement trouvées par La Fontaine. Un savetier
chantait
du matin jusqu’au soir : C’était mervei
ept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d’or.
Chantait
peu, dormait moins encor : C’était un h
les vallons enrichis de la multitude des grains, élèveront la voix et
chanterons
l’hymne de vos louanges. Les psalmistes trouvent
hir celui qui leur impose le joug ; de cigales qui passent leur vie a
chanter
; de lièvres qui ont peur de tout ; d’hirondelles
physique que vous voulez apprendre ? m. Jourdain. Qu’est-ce qu’elle
chante
, cette physique ? l e maître de philosophie. La
es choses non-seulement inutiles, mais encore dangereuses, comme521 à
chanter
un amour feint ou agréable, et à remplir l’univer
aux ne reposent, et que ce petit peuple, qu’il n’aime que parce qu’il
chante
, ne cesse de chanter. Il retrouve ses oiseaux dan
que ce petit peuple, qu’il n’aime que parce qu’il chante, ne cesse de
chanter
. Il retrouve ses oiseaux dans son sommeil ; lui-m
le jour comme la nuit. Sous ce feuillage, on entend Philomèle845 qui
chante
d’une voix plaintive et mélodieuse ses anciens ma
t elle n’est pas encore consolée. Une jeune fauvette, au contraire, y
chante
ses plaisirs, et elle annonce le printemps à tous
eu. Les deux oiseaux, inspirés par les Muses, commencèrent aussitôt à
chanter
ainsi : « Quel est donc ce berger, ou ce dieu inc
s mortels, et que les fleurs naissent sous ses pas ! » Pendant qu’ils
chantèrent
, les zéphyrs retinrent leurs haleines ; toutes le
antique se cachait un jeune faune, qui prêtait l’oreille aux vers que
chantait
l’enfant, et qui marquait à Silène, par un ris mo
qu’ils sont heureux, et ils sentent qu’ils le seront toujours871. Ils
chantent
les louanges des dieux ; ils ne font tous ensembl
ravaux, et saluant enfin de loin cette patrie promise à ses pères, il
chante
un cantique d’actions de grâces, meurt transporté
ître de musique entra suivi des chanteurs et des instrumentistes ; on
chanta
une cantate1113 qui dura deux heures, et de trois
; la cinquième fut un supplice1117. Enfin, outré d’entendre toujours
chanter
« Ah ! combien monseigneur doit être content de l
; mais vous, prévenez celles qui peuvent vous attaquer. Puisque vous
chantez
l’étude avec tant d’esprit et de courage, ayez au
c bien plus de part que l’autre aux agréments de la société. Le serin
chante
en tout temps ; il nous récrée dans les jours les
t aller doucement au paisible courant de ces belles eaux. Les rameurs
chantaient
un air national, tandis que leurs maîtres jouissa
rque de la tristesse que de la joie : l’oiseau qui a perdu ses petits
chante
encore ; c’est encore l’air du bonheur qu’il redi
aperçois les bornes de la course ; je vais descendre du char, et pour
chanter
l’hymne des morts, je n’ai plus besoin de ton sec
it, tout ce qui pense l’adore : l’astre du jour et ceux de la nuit le
chantent
dans leur langue mystérieuse. Il y a écrit au fir
elle-même dans les âmes que ranimait ce cantique, qui ne sera jamais
chanté
par des voix plus pures. Dans ce péril extrême, l
assaut, avec le nouveau document déployé en guise de drapeau, et lion
chante
tout d’abord victoire. Je crois cette méthode ave
descendant à la fosse, lui ont donné de saints baisers, et toutes ont
chanté
jusqu’à la fin la prière qui crie grâce pour les
rtoise et respectueuse. 90. Fille de madame de Rambouillet, elle fut
chantée
par tous les beaux esprits qui fréquentaient l’hô
. « Je serais fort heureuse dans ces bois, si j’avais une feuille qui
chantât
. Ah ! la jolie chose qu’une feuille qui chante !
avais une feuille qui chantât. Ah ! la jolie chose qu’une feuille qui
chante
! et la triste demeure qu’un bois où les feuilles
hent en mer, et ne voient que le ciel ! Ils nagent comme poissons, et
chantent
comme oiseaux ; et ce qui plus me plaît, c’est qu
t le maltraite, En dépit de l’orgueil, il aura son poëte, Homère, qui
chanta
tant de héros divers, Auprès du grand Ajax le pla
re pour qu’ils viennent écouter et prendre leçon. Avant que le maître
chante
, ils jasent entre eux, gazouillent, se saluent et
us servit de lit de repos et de table de travail, tandis que la grive
chantait
la retraite à ses compagnes, et que le pipeau du
ls et le charme continu de la diction. Le vieillard, qui d’Achille a
chanté
le courroux, S’il eût été moins grand, allait êtr
s’élança sur leurs pas aux sources où eux-mêmes avaient puisé, et il
chanta
l’Imagination. Cette brillante déesse qui l’avait
il se faisait le panégyriste du Val de Grâce ; la Fontaine, quand il
chantait
le quinquina ou la captivité de Saint-Malc ; Corn
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