Chapitre II. § I. Genre lyrique. Le
chant
lyrique est, en général, l’expression de l’enthou
ien de plus sublime que les pensées et les images qui remplissent ces
chants
. La prophétie de Joad, dans l’Athalie de Racine,
de. Le poème lyrique prend généralement le nom d’ode, qui signifie
chant
. Boileau la définit ainsi : L’ode avec plus d’éc
ainsi que les chœurs des tragédies de Sophocle. Chez les modernes, le
chant
lyrique est- souvent libre, mais l’ode a une form
différents noms, suivant le caractère de l’inspiration et l’objet du
chant
. 1° Ode sacrée. L’ode sacrée, nommée particu
un hymne consacré à Bacchus, dieu du vin ; le ton enthousiaste de ce
chant
le faisait ressembler au délire de l’ivresse. Nou
sujet sérieux de morale, d’art ou de science ; badine, si l’objet du
chant
est simple, léger et gracieux. Horace, chez les L
é malin, forma le vaudeville, Agréable indiscret, qui, conduit par le
chant
, Passe de bouche en bouche et s’accroit en marcha
roit en marchant. Art poétique. 5° Cantate. La cantate est un
chant
lyrique destiné à être mis en musique. Ce genre a
pho, Anacréon ; Rome ancienne. Horace. Chine. Le Chi-King, recueil de
chants
rassemblés par Confucius. Inde. Les livres sacrés
s. Inde. Les livres sacrés nommés Védas, Kalidasa. Perse, Arabie. Les
chants
nommés Cassideh, et Ghazèls, par divers auteurs.
hants nommés Cassideh, et Ghazèls, par divers auteurs. Grèce moderne.
Chants
populaires recueillis par Fauriel. Espagne. Les R
rne. Chants populaires recueillis par Fauriel. Espagne. Les Romances,
chants
à la fois lyriques et épiques ; les romances du C
sure, le mouvement, la période musicale ; les vers naissaient avec le
chant
, et de là, l’unité de rythme, de caractère et d’e
le nom de lyrique aux poèmes destinés à être unis à la musique ou au
chant
. 171. La poésie lyrique a-t-elle conservé le degr
, depuis Horace inclusivement, ne paraît avoir modelé ses odes sur un
chant
. Cette différence doit être attribuée à la raison
s ordinaires, comme la vue d’une fête, l’aspect des fleurs ; c’est un
chant
gracieux et doux qui, d’après le même poète, Peu
xemples et des leçons salutaires. Il se fera donc un devoir, dans ses
chants
harmonieux, de mêler l’utile à l’agréable, en fai
ivants. § Ier. De l’ode 176. Qu’est-ce que l’ode ? L’ode (ᾡδή,
chant
) était le nom donné, chez les Grecs, à tout poème
és jusqu’à l’enthousiasme qui dominent. L’ode, avons-nous dit, est un
chant
, c’est un cri produit par l’énergie du sentiment
squ’à la fin du morceau. Ces stances étaient toujours accompagnées du
chant
et de la danse. Les danseurs tournaient à droite
ndeurs de la religion. C’est l’hymne à la Divinité. Ce fut le premier
chant
que les poètes firent entendre, parce que, comme
ète est sous la main de Dieu qui règle ses inspirations et dirige ses
chants
. 194. D’où vient la supériorité de la poésie sacr
du, des combats dont la gloire était quelquefois chimérique. Dans les
chants
consacrés à la gloire du vrai Dieu, on sent au fo
men sæculare, d’Horace. 196. Qu’est-ce que l’hymne ? L’hymne (ὓμνος,
chant
) est, comme l’indique son nom, un chant, un poème
ue l’hymne ? L’hymne (ὓμνος, chant) est, comme l’indique son nom, un
chant
, un poème en l’honneur de la divinité, et diffère
out en se prêtant à l’exposition du dogme, sont plus spécialement des
chants
d’actions de grâces, des invocations, des prières
comme l’ode sacrée et comme l’hymne avec lesquelles il se confond, un
chant
en l’honneur de la divinité. Cette composition ly
en est quelquefois le modèle le plus sublime et le plus touchant. Aux
chants
sublimes de Moïse, au brillant cantique de Débora
nous avons déjà signalées, nous ajouterons pour l’Ancien Testament le
chant
si fier et si patriotique de Judith, ceux d’Anne,
irituels ? Les cantiques spirituels ou simplement cantiques, sont des
chants
en langue vulgaire composés sur des sujets de rel
dées, de sentiments et d’images, et la beauté naïve et touchante. Ces
chants
destinés aux réunions de catéchismes, de confréri
amour de la patrie, de la liberté et de la gloire. Dans ce genre, les
chants
prussiens sont à la fois des modèles d’enthousias
légers, agréables et tendres. Elle aime les descriptions riantes, les
chants
joyeux, les scènes touchantes et aimables, les pe
s, a épuré ces sentiments, et a appris aux poètes à mettre dans leurs
chants
tant de modestie et de pureté que l’innocence n’e
erons deux sortes d’élégies : l’élégie ou poésie érotique, qui est le
chant
de l’amour heureux ou malheureux ; et l’élégie pr
nous devons encore à David une des plus magnifiques élégies, c’est le
chant
funèbre qu’il composa sur la mort de Jonathas et
elques pièces remarquables en ce genre. Nous ne mentionnerons que les
chants
élégiaques de saint Grégoire de Nazianze, le Stab
e caractère de cette ode sacrée fut primitivement religieux, comme un
chant
consacré à la divinité ; vif, rapide, pétillant e
maintenant par dithyrambe ? On entend aujourd’hui par dithyrambe un
chant
lyrique qui respire l’enthousiasme et le délire p
que, et composée de deux parties : le Récit ou Récitatif, et l’Air ou
Chant
. 228. Quelles sont les règles du Récitatif ou de
sure inégale, parce qu’ainsi ils sont plus favorables à l’harmonie du
chant
. Ils peuvent être de huit, de dix, de douze sylla
ou touchant, quelquefois même pieux ou élevé, où l’on exprime par le
chant
une pensée ou un sentiment qu’on cherche à rendre
eur et l’élévation. Une des plus célèbres chansons de ce genre est le
Chant
de guerre de l’année du Rhin, dont les paroles et
ur la seconde fête annuelle de la fédération, ayant fait connaître ce
chant
dans cette ville, on lui donna leur nom qu’il a t
néants pour faire ressortir l’ardeur guerrière de Louis XIV. (Lutrin,
chant
II, vers 101 à 128.) Choses qui répugnent entr
vrages, N’offrent jamais de vous que de nobles images. (Art poétique,
chant
IV, vers 91 et 92.) 2° Mœurs oratoires Les
adresse à Sinon dans le récit de la chute de Troie (Virgile, Énéide,
chant
II, v. 57 et suiv.). 1° La première règle pour ém
tirer des pleurs, il faut que vous pleuriez. (Boileau, Art poétique,
chant
III, vers 142.) 2° Une seconde règle est celle d
jours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain. (Boileau, Art poétique,
chant
I, vers 159 et suiv.) On rencontre souvent, dans
esse ; Le style le moins noble a pourtant sa noblesse. (Art poétique,
chant
I, vers 79 et 80.) Ex. Phèdre se plaint de sa c
aire à l’esprit, quand l’oreille est blessée. (Boileau, Art poétique,
chant
I, vers 109 et suiv.) Bossuet n’a pas observé ce
rille à nos yeux, il faut qu’il nous endorme. (Boileau, Art poétique,
chant
I, vers 70 et suiv.) Le moyen de répandre de la
lui sont adressés par la Mollesse personnifiée. (Cf. Boileau, Lutrin,
chant
II, vers 105 et suiv.) Hyperbole L’hyperbo
ainte-Hélène ! Demain, c’est le tombeau ! (Victor Hugo,
Chants
du crépuscule, v.) Apposition L’appositio
x. Là, depuis trente hivers, un hibou retiré, etc. (Boileau, Lutrin,
chant
III, vers 11.) 3° le nombre déterminé pour le no
gt fois sur le métier remettez votre ouvrage. (Boileau, Art poétique,
chant
I, vers 172.) 4° le singulier pour le pluriel.
Le Français, né malin, forma le vaudeville. (Boileau, Art poétique,
chant
II, vers 182.) 5° la matière pour l’objet qui en
qui la précèdent ou qui la suivent. Ex. Mais il était trop tard, les
chants
avaient cessé. (Raynouar d, Les Templiers, acte V
ileau : Soyez vif et pressé dans vos narrations, etc. (Art poétique,
chant
III, vers 257.) À la narration ou peinture des f
e : Il me promène après de terrasse en terrasse ; etc. (Art poétique,
chant
I, vers 51 et 52.) 3° Tableau La descripti
e nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse. (Boileau, Art poétique,
chant
III, vers 167 et suiv.) Nos anciens poètes franç
les mots, Suspende l’hémistiche, | en marque le repos. (Art poétique,
chant
I, vers 105 et 106.) Les vers de dix syllabes on
ir sublime : « L’avenir ! l’avenir ! l’avenir est à moi ! » (V. Hugo,
Chants
du crépuscule, v.) Les rimes mêlées sont celles
Ne soit d’une voyelle en son chemin heurtée. (Boileau, Art poétique,
chant
I, vers 107 et 108.) L’hiatus, fréquemment usité
ent. Ainsi nommée, parce que les premiers poètes accompagnaient leurs
chants
de la lyre ou d’un instrument analogue, elle embr
es La forme la plus ordinaire de la poésie lyrique est l’ode (ὤδη,
chant
). Pour Boileau, elle la résume tout entière. L’o
ntretient dans ses vers commerce avec les dieux ; etc. (Art poétique,
chant
ii, du v. 58 au v. 72.) L’ode est un poème compo
oublé. 7° Le triolet, 8° La ballade, 9° La double ballade, 10° Le
chant
royal, 12° Le sonnet. Petits poèmes lyriques
es lyriques à forme libre 1° Élégie L’élégie (ἐλεγέια) est un
chant
de douleur ou de joie, tour à tour gracieux, tend
es cheveux épars, gémir sur un cercueil, etc. (Boileau, Art poétique,
chant
II, vers 39 et suiv.) L’élégie est individuelle
jets. C’est en vers élégiaques que Callinus et Tyrtée ont écrit leurs
chants
de guerre. Toutefois il est possible qu’à l’origi
t.) 2° Épithalame L’épithalame (ἐπί sur, θάλαμος, lit) est un
chant
nuptial en l’honneur de jeunes époux. Ex. L’épit
son La chanson est l’ode familière, gaie, tendre, badine. C’est un
chant
vif, gracieux, alerte, ennemi de tout pédantisme.
n vogue chez nos anciens poètes. 1° Lai Le lai (du celte, llais,
chant
) se composait d’une suite de vers de cinq syllabe
lire Ont un accent tendre et touchant ! Non ! ce n’est pas un dernier
chant
Que ces vers que je viens de lire ! On n’en est p
r des rimes pareilles ; elle se termine rarement par un envoi. 10°
Chant
royal Le chant royal est une espèce de ballade
les ; elle se termine rarement par un envoi. 10° Chant royal Le
chant
royal est une espèce de ballade de grande dimensi
, Charles d’Orléans, cette règle a subi de nombreuses exceptions. Ex.
Chant
royal chrestien. Qui ayme Dieu, son règne et son
nt en deux tercets par le sens partagés, etc. (Boileau, Art poétique,
chant
II, vers 85 et suiv.) Le sonnet peut être écrit
turel, un habile mélange de la fiction et de la réalité. Dans le IIIe
chant
de son Art poétique, Boileau a consacré à la poés
nt caractérisés. 3° Le poème épique se divise en un certain nombre de
chants
. Il renferme ordinairement une exposition du suje
mpli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. (Boileau, Art poétique,
chant
III, vers 45 et 46.) L’école romantique n’a cons
(Art poétique du vers 153 au vers 309), — dans Boileau (Art poétique,
chant
III, du vers 1 au vers 160), — dans Fénelon, Lett
rement le merveilleux. Dans tout opéra on distingue deux parties : le
chant
et le récitatif ou dialogue. Ex. Guillaume Tell d
ique, du vers 153 au vers 309, passim), — dans Boileau (Art poétique,
chant
III, du vers 335 jusqu’à la fin), — dans Fénelon
e principale. Féerie La féerie est une pièce mêlée de farce, de
chant
et de ballets, où l’action, le plus souvent invra
énements de l’année. Histoire de la poésie dramatique Dans le
chant
IIIe de son Art poétique (v. 61 et suiv.), Boilea
ysiaques). Ce souvenir fut conservé par son nom (τράγος, bouc, — ὠδή,
chant
), parce que le bouc, consacré à ce Dieu, y était
Bacchus était suivie d’un banquet (κῶμος). Là se faisait entendre un
chant
(ὠδή), mêlé de danses bouffonnes et de grossières
robablement donné lieu à l’étymologie peu certaine (κῶμη, bourg, ὠδή,
chant
), qu’Aristote en a donnée. Grâce à la situation p
et la Dunciade ou Guerre des sots de l’Anglais Pope, poème en quatre
chants
. 5° Épigramme L’épigramme (ἐπίγραμμα, inscr
jamais de grands mots n’épouvante l’oreille. (Boileau, Art poétique,
chant
II, vers 1 et suiv.) Bien qu’il n’y ait pas de d
elle est en dialogue ou en récit. L’églogue se compose quelquefois de
chants
alternés ou amébéens, — amant alterna Camœna (Vi
elle est de ce poème et la force et la grâce. (Boileau, Art poétique,
chant
II, vers 1 et suiv.) Poésie pastorale primit
l ; Rondeau ; Rondeau redoublé ; Triolet ; Ballade ; Double ballade ;
Chant
royal ; Sonnet. Épopée. Poème héroïque ou
e, Art poétique, vers 400.) Chez les Grecs, l’Iliade, l’Odyssée, des
chants
lyriques, les premiers monuments de la poésie phi
et qu’après eux Hérodote écrivit ses Histoires. Chez les Latins, les
Chants
des frères Arvales, Ennius, Lucrèce sont venus av
les, Ennius, Lucrèce sont venus avant Cicéron, César et Salluste. Les
Chants
saliens ont précédé les premiers essais d’éloquen
nts de son génie poétique dans les épopées du Cycle carlovingien, les
chants
des Troubadours et des Trouvères. Des genres de c
de dire : Qui ne sait se borner ne sut jamais écrire. (Art poétique,
chant
I, vers 63.) Voltaire a complété cette pensée pa
ciers de cette époque ont été quelquefois bien inspirés. Les premiers
chants
de nos Troubadours et de nos Trouvères ne furent
la brillante fécondité d’Ovide. Son Art poétique est divisé en trois
chants
. Il a été mis, dans quelques pays, au nombre des
et mort dans la même ville en 1711, a fait un Art poétique en quatre
chants
. Ce poème, écrit avec une haute raison et le plus
poésie d’une manière plus complète et plus détaillée. Dans le premier
chant
et dans le quatrième, Boileau donne les règles gé
re de la poésie française depuis Villon jusqu’à Malherbe. — Le second
chant
traite du genre pastoral, de l’élégie, de l’ode,
elques autres poésies fugitives, et de la satire. — Dans le troisième
chant
, le poète expose en détail les règles relatives à
dithyrambe, etc. Il devait parler de différentes espèces de vers, de
chants
, de rythmes, et de leur emploi, selon les différe
nous venons de parler, et qui imitent avec le rythme la parole et le
chant
, l’imitation se fait ou par un seul de ces moyens
u de cithare, ou autres genres pareils, comme le chalumeau, il y a le
chant
et le rythme. Dans la danse, il y a le rythme, et
a le chant et le rythme. Dans la danse, il y a le rythme, et point de
chant
: car c’est par les rythmes figurés que les danse
s poésies qui emploient les trois moyens : c’est-à-dire le rythme, le
chant
, le vers ; comme les dithyrambes, les nomes, la t
ans les discours, soit en prose, soit en vers, sans accompagnement de
chant
. Homère a fait les hommes meilleurs qu’ils ne son
Naissance de la poésie. Penchant naturel pour l’imitation ; goût du
chant
et du rythme. Deux caractères différents de la po
travail de l’art ou du coloris, ou de quelque autre cause. Le goût du
chant
et du rythme ne nous étant pas moins naturel que
ies : la fable, les mœurs, les paroles, les pensées, le spectacle, le
chant
. Nous parlerons ci-après de l’épopée et de la
iscours revêtu de divers agréments : ces agréments sont le rythme, le
chant
et le vers. Je dis dans ses diverses parties, par
parties où il n’y a que le vers, et d’autres où il y a le vers et le
chant
musical. Puisque c’est en agissant que la tragédi
ies : la fable, les mœurs, les paroles, les pensées, le spectacle, le
chant
; deux de ces parties sont les moyens avec lesque
ui n’ait spectacle ou représentation, fable, mœurs, pensées, paroles,
chant
. Mais de ces parties, la plus importante est la c
ce qui précède l’entrée du chœur. L’épisode est ce qui est entre les
chants
du chœur. L’exode est toute la partie qui est apr
parler et à s’unir à l’action ; le chœur restant en place, lorsque le
chant
du chœur est sans anapestes et sans trochées ; la
morale, ou pathétique. Elle a les mêmes parties composantes, hors le
chant
et le spectacle ; elle a les reconnaissances et l
elle aurait même son vers si elle voulait), elle a de plus qu’elle le
chant
et le spectacle qui causent le plus grand plaisir
hez les Grecs, elle eut d’abord un caractère guerrier, comme dans les
chants
de Tyrtée ; ce fut Mimnerme qui la rendit plainti
s Lamentations de Jérémie sont aussi d’admirables élégies, véritables
chants
funèbres de la patrie expirante, de Jérusalem, la
débordement d’élégies : jamais on ne vit tant de poètes entonner des
chants
de douleur et de mort. Plusieurs avaient sans dou
de se confondre avec elle. Les Messéniennes de C. Delavigne sait des
chants
patriotiques à la manière de Tyrtée ; les poésies
i sont assez longs pour se diviser en plusieurs parties qu’on appelle
chants
ou livres, et qu’à cause de cela nous avons appel
des abeilles. Fontanes, dans sa Maison rustique, consacre son premier
chant
au potager, le second au verger, le troisième au
l’ordre jusqu’à un certain point. Ainsi Boileau, parlant dans un même
chant
du poème épique, de la comédie et de la tragédie,
’est pas absolument nécessaire. Par exemple, Boileau, dans le dernier
chant
de son Art poétique, interrompt la série de préce
près Ovide, l’aventure de Faune, Hercule et Omphale. Voilà déjà trois
chants
. C’est Apollon qui se charge du quatrième et qui
out entier de pièces rapportées ; que, si l’on veut se borner à trois
chants
, on n’a qu’à retrancher le récit d’Apollon ; que
ts, on n’a qu’à retrancher le récit d’Apollon ; que si l’on veut deux
chants
de plus, on ajoutera deux muses qui diront chacun
les Grecs, de cette réconciliation. En effet, il représente dans les
chants
suivants les brillantes actions d’Achille, couron
le, ni les autres personnages du poème, en ajoutant ses deux derniers
chants
. § 63. Épisodes. Merveilleux. L’unité d’act
ffreux langage. C’est là-dessus que Gresset a fait un poème en quatre
chants
, si parfait dans son genre, qu’on ne peut désirer
ne ici en ridicule par ce qu’il en dit. C’est une satire en plusieurs
chants
; et le poète, qui s’y livre à toute sa malignité
Araucana, ou la Conquête du Chili. Ce poème est composé de trente-six
chants
, tous fort longs. Il est généralement médiocre. E
plus imitateur de tous les animaux. » Joignez à cet instinct celui du
chant
, de l’harmonie et de la danse, vous avez les base
vie. Des concours de poésie s’établirent dans ces fêtes ; le meilleur
chant
était récompensé par le don d’un bouc ; c’est de
e don d’un bouc ; c’est de là que vient le mot tragédie, qui signifie
chant
du bouc. Le chant du dithyrambe était accompagné
c’est de là que vient le mot tragédie, qui signifie chant du bouc. Le
chant
du dithyrambe était accompagné de farces grossièr
user de rustiques spectateurs : de là le nom de comédie, qui signifie
chant
du village. La comédie et la tragédie ont donc po
u village. La comédie et la tragédie ont donc pour origine commune le
chant
lyrique nommé dithyrambe. Ce poème était chanté p
par des strophes et des antistrophes. Pour mêler un peu de variété au
chant
, Thespis, au temps de Solon, imagina de le couper
constamment sur le théâtre pendant la pièce : il remplissait par ses
chants
les intervalles des actes ; il n’y avait pas de t
u, et revêtu partout d’une noble simplicité. La tragédie n’est pas un
chant
comme la poésie lyrique et l’épopée ; c’est un di
s personnes de goût. On appelle mélodrame une espèce de drame mêlé de
chant
, qui sert d’intermédiaire entre le drame et l’opé
. Et si, dans le chemin, rapsode ingénieux, Tu veux nous accorder des
chants
dignes des cieux, Nous dirons qu’Apollon, pour ch
es chansons ; Mais faibles, opprimés, la tristesse inquiète Glace ces
chants
joyeux sur leur bouche muette2, Pour les jeux, po
Horace, Épître aux Pisons, V. 393, et l’imitation de Boileau dans le
chant
IV, de l’Art poétique. 3. Voy. Odyssée, liv. V
c intérêt à ces vers l’éloge de l’Angleterre par Thompson dans le IIe
chant
des Saisons ; l’éloge du Languedoc par Rosset, da
s le IIe chant des Saisons ; l’éloge du Languedoc par Rosset, dans le
chant
III du poëme de l’Agriculture, etc. 2. Si la sus
éossy. — Thomas, dans son poëme inachevé sur le czar Pierre le Grand (
chant
II de la France), a rappelé aussi ces œuvres glor
n même volume. Le nom de bucoliques, qu’on leur donne aussi, signifie
chant
des bouviers ; cependant plusieurs critiques ne c
lités et les défauts de son maître, et qui a consacré à sa mémoire un
chant
funèbre justement admiré. Virgile, né à Mantoue 7
plus tard les distiques ayant exprimé l’ardeur de la guerre dans les
chants
de Tyrtée, l’exhortation à la vertu dans les poèm
serions obligés de dire le contraire de ce que nous disons. Ainsi le
chant
funèbre de Moschus sur la Mort de Bion, est pour
lyre accompagnait la voix. Le mot ode a la même origine : il signifie
chant
, chanson, hymne, cantique. On peut donc définir l
te venait l’épode ; puis c’était à recommencer dans le même ordre. Le
chant
de ces vers était accompagné de danses : les dans
rnaient dans un sens contraire, en revenant sur eux-mêmes. Pendant le
chant
de l’épode, qui était toujours plus courte, les d
que par la justesse des intonations de la parole ordinaire : c’est un
chant
qui n’est pas mesuré. Il suit de là que le poète
écrira en grands vers ou en vers libres. Un air, au contraire, est un
chant
mesuré et assujetti à certains retours symétrique
: quand cette égalité ne s’y trouve pas, on dit une pièce lyrique, un
chant
lyrique, etc. On donne à toutes ces pièces des no
e des psaumes, et mérite, par le nombre comme par l’excellence de ses
chants
, le nom exclusif de psalmiste. Plus tard encore,
grand nombre de poésies lyriques, hymnes, dithyrambes, lamentations,
chants
pour les danses sacrées, odes en l’honneur des at
de timides sons le fils de Calliope Ne préludait point à ses
chants
. Plein d’une audace pindarique, Il faut
. Voilà le Vengeur arrivé, et maintenant Lebrun va lui consacrer ses
chants
. Jusqu’ici il n’a fait qu’un long détour, une dig
é une traduction du Paradis perdu de Milton.3. La Religion1
Chant
I (fragments). Preuves de l’existence de Dieu
tyrans des airs. Puisse le même accord régner parmi les hommes !.
Chant
II (fragments). L’homme étudiant sa propre nat
Son âme s’évapore, et tout l’homme est passé. » Sur la foi de tes
chants
, ô dangereux poëte ! D’un maître trop fameux trop
ace, qui a dit du soleil, Aliusque et idem nasceris , v. 10 et 11 du
Chant
séculaire. 1. On se rappelle ce trait sublime de
n : on peut voir notamment les Tusculanes, liv. I. 1. On trouvera au
chant
III de ce poëme un tableau bien tracé, d’après Lu
serve qui en augmente le prix. 4. Le poëme entier est composé de six
chants
; et il faut avouer que, vers la fin, la marche d
s de Bacchus. Imitant tantôt par. leurs gestes, leurs danses et leurs
chants
, les expéditions de Bacchus et les autres événeme
’égalité qui constituait la base du gouvernement. Dans l’origine, les
chants
de ces chœurs, qui étaient des dithyrambes ou cha
s l’origine, les chants de ces chœurs, qui étaient des dithyrambes ou
chants
lyriques, n’étaient accompagnés d’aucune action,
ur jeter quelque variété dans ce spectacle qui, composé uniquement de
chants
, ne pouvait manquer d’être monotone, on s’avisa d
, c’est-à-dire entr’acte on mieux entre-chant, ce qui interrompait le
chant
; ensuite il reçut le nom d’action, de drame, et
récit fut divisé en plusieurs parties, pour couper plusieurs fois le
chant
et augmenter le plaisir de la variété. Eschyle, q
les Euménides, et se permettaient souvent de faire arriver pendant le
chant
du chœur bien plus d’événements que ne le comport
467. Qu’est-ce que la tragédie ? La tragédie (τράγος, bouc, ᾠδὴ,
chant
, parce que dans l’origine le prix de ce poème éta
al rôle dans l’opéra lyrique, puisque ce dernier ne se compose que de
chant
ou de récitatif, en opposition à l’opéra-comique
’entretien uni, le simple dialogue des personnages, par une espèce de
chant
qui approche beaucoup de l’accent naturel de la p
s leur force, dans leur variété, dans leur désordre, est rendu par un
chant
qui porte le nom d’air ou d’ariette. Ce chant ne
ordre, est rendu par un chant qui porte le nom d’air ou d’ariette. Ce
chant
ne peut donc être placé que dans les endroits où
où les intermèdes sont remplis par des pantomimes, des danses ou des
chants
, comme dans le Malade imaginaire. Quelquefois la
l’opéra comique ? L’opéra comique est une pièce d’intrigue mêlée de
chant
, faite pour égayer le spectateur, où les caractèr
t à la comédie par l’intrigue et les personnages, et à l’opéra par le
chant
dont il est mêlé. Le récitatif du grand opéra y e
ue à ariettes ? Les pièces à ariettes sont celles qui sont mêlées de
chants
mis sur des paroles qui expriment un sentiment ou
doivent faire le poète et le musicien pour éviter la monotonie ? Un
chant
ne peut plaire s’il est monotone. C’est au poète
. La fauvette à tête noire est de toutes les fauvettes celle qui a le
chant
le plus agréable et le plus continu : il tient un
antre du printemps s’est tu, l’on entend les bois résonner partout du
chant
de ces fauvettes ; leur voix est facile, pure et
hant de ces fauvettes ; leur voix est facile, pure et légère, et leur
chant
s’exprime par une suite de modulations peu étendu
modulations peu étendues, mais agréables, flexibles et nuancées : ce
chant
semble tenir de la fraîcheur des lieux où il se f
e l’inspiration, que sera-ce quand le poète prendra pour sujet de ses
chants
Dieu lui-même, ses perfections, sa grandeur, sa m
de Moïse, après le passage de la mer Bouge, est un chef-d’œuvre ; les
chants
de David respirent une onction touchante ; tonte
Les autres langues anciennes nous ont conservé moins fidèlement leurs
chants
pieux. Quant au christianisme, il n’a pu manquer,
a gloire des hymnes, que la victime fit nommer tragédie, c’est-à-dire
chant
du bouc. Ces chants ne se renfermaient pas seulem
, que la victime fit nommer tragédie, c’est-à-dire chant du bouc. Ces
chants
ne se renfermaient pas seulement dans les temples
e récit fut divisé en plusieurs parties pour couper plusieurs fois le
chant
, et augmenter le plaisir de la variété. Eschyle,
ure proprement dite. On a successivement mêlé aux pièces récitées, le
chant
, la musique instrumentale, la danse, enfin les dé
comédie à couplets ou à ariettes : on donne ce nom à des pièces où le
chant
et la musique sont introduits pour le plaisir qu’
ns toute la pièce, sans aucune nécessité, mais seulement parce que le
chant
fait plaisir aux spectateurs. L’opéra-comique, co
la musique qu’exprime la première partie du mot (mélos) n’est pas le
chant
qui se mêle dans la pièce : c’est surtout la musi
éunit toutes les séductions physiques dont nous venons de parler : le
chant
et la musique avant tout ; puis la danse par des
roi, Et n’a, selon Cotin, ni Dieu, ni foi, ni loi. Le Lutrin1
Chants
II et III (fragments). Le perruquier l’Amour,
s-uns des traits que ce passage renferme ont été imités par Voltaire,
chant
IX de la Henriade ; et ce n’est certes pas le seu
istiche emprunté par Boileau à Chapelain : il se trouve dans le VIIIe
chant
de son poëme sur la Pucelle d’Orléans. 4. Ribou
ordre de replacer le lutrin dans le chœur. 1. « Les quatre premiers
chants
duLutrin, a dit M. Daunou, sont au nombre des mon
, s’il n’est dirigé par un goût exquis. » — Ajoutons que le cinquième
chant
, qui renferme une très-amusante description de co
ent dormir. Elles viennent ! leur voix, leur aspect me rassure : Leur
chant
mélodieux assoupit ma blessure. (Élégies, éd. Cha
ontralto, et produisait une indicible impression par l’énergie de son
chant
dramatique. 2. Géricault, peintre, auteur du N
eux termes de l’humanité. Joubert. 2. Tout bruit modulé n’est pas un
chant
, et toutes les voix qui exécutent de beaux airs n
t, et toutes les voix qui exécutent de beaux airs ne chantent pas. Le
chant
doit produire de l’enchantement. 3. Le poëte veu
ci. Le lai était une très ancienne chanson française. C’était même le
chant
consacré aux grands événements, aux nobles infort
souvent se gêne, Sans fruit. § 40. La ballade, le
chant
royal. La ballade est une pièce de vers coupée
tait, du reste, soumise aux mêmes règles que la ballade ordinaire. Le
chant
royal est une ballade de grande dimension et d’un
accents du rossignol. C’est un fond de concert qui fait ressortir les
chants
éclatants des oiseaux, comme la douce verdure est
onnantes clairières ! N’accompagnez de vos religieux murmures que les
chants
des oiseaux ou les doux entretiens des amis qui v
nser ; ils font aussi entendre, au milieu de leur bal, des espèces de
chants
. Leurs gosiers ne sont pas résonnants comme ceux
ppe l’écho des brillants éclats du plaisir : le désordre est dans ses
chants
: il saute du grave à l’aigu, du doux au fort : i
omances françaises, chefs-d’œuvre de simplicité et de mélancolie2. Le
chant
est aussi souvent la marque de la tristesse que d
urquoi ? Seul il est créateur ; seul il varie, enrichit, amplifie son
chant
, y ajoute des chants nouveaux. Seul il est fécond
créateur ; seul il varie, enrichit, amplifie son chant, y ajoute des
chants
nouveaux. Seul il est fécond et varié par lui-mêm
tique et auguste douleur des premiers temps ; ces modèles achevés des
chants
religieux consacrés aux grandes infortunes des pu
sauvé : aussi son temple saint retentira tous les jours de ma vie des
chants
de ma reconnaissance ». Voyons maintenant l’imit
r celui qui avait dit aux humbles sépultures de l’homme champêtre les
chants
de paix et de consolation. Gray méritait de faire
n beau poème des Saisons, l’histoire de Ruth, et en fait l’épisode du
chant
de l’automne. Le fond et les détails principaux s
sujet a successivement tenté toutes les muses qui ont consacré leurs
chants
à la religion : il a été traité par Racine le fil
se pleine de douceur. C’est un fond de concert qui fait ressortir les
chants
éclatants des oiseaux, comme la douce verdure est
onnantes clairières ! N’accompagnez de vos religieux murmures que les
chants
des oiseaux, ou les doux entretiens des amis qui
es se mirent à chanter une romance ; leurs voix douces, se mêlant aux
chants
lointains des rossignols1 me firent sentir que s’
rd chanté, dit Chateaubriand, et il parla ensuite. » 384. Le premier
chant
poétique fut sans doute un hymne d’adoration en l
de sa première destination. Sans doute, dans ses tableaux et dans ses
chants
, le poète peut bien représenter l’idéal des crime
ement la grammaire, l’usage et l’harmonie : Écoutons du rossignol le
chant
. (Marot.) Mais j’aurais peur de ta mère offense
al, est l’expression animée du sentiment présentée sous la forme d’un
chant
. On l’appelle lyrique, parce qu’autrefois elle ét
ple et gracieux. Boileau a caractérisé l’un et l’autre dans le second
chant
de l’Art poétique. Ces deux genres de poésie lyri
ie lyrique sont compris sous le nom d’ode, qui vient du mot grec ὠδῂ,
chant
. Nous allons parler d’abord de l’ode en général,
nces avaient une forme différente et étaient toujours accompagnées du
chant
et de la danse. Chez les modernes, la mesure et l
domine toutes ses puissances, qui dirige lui-même ses pensées et ses
chants
. Or, c’est précisément dans l’inspiration et dans
fection de ces odes démontre leur céleste origine. Les auteurs de ces
chants
, considérés uniquement comme écrivains, l’emporte
s principaux événements de l’histoire des Hébreux. On trouve dans ses
chants
une expression variée de tous les sentiments qui
poèmes sacrés destinés à célébrer les fêtes de leurs dieux ; mais ces
chants
nous sont à peu près inconnus. Parmi les odes d’H
essait une véritable piété envers les dieux. C’est ce qui donne à ses
chants
quelque chose d’imposant et de sacré. Horace ne p
impiétés et les malheurs de sa patrie : nous sommes moins émus de ses
chants
, parce que son âme est froide, sceptique et toujo
st souvent que l’apologie du vice, a cependant mêlé quelquefois à ses
chants
de sages et aimables leçons. Lamartine et Victor
plus délicats. 441. Quand l’ode badine est destinée à exprimer par le
chant
une pensée touchante, légère ou satirique, elle p
s événements qui concourent à le resserrer, et le récit se compose de
chants
. Ce récit peut se faire de deux manières. La prem
ans toute la pièce sans aucune nécessité, mais seulement parce que le
chant
fait plaisir aux spectateurs. 529. Il nous paraît
ainsi dire à tout propos des personnages d’une certaine condition. Le
chant
ne devrait avoir lieu que dans des situations par
u poète. Une partie de l’opéra s’appelle récitatif, et l’autre est un
chant
qui porte le nom d’air. Dans l’opéra, on peut emp
comique. 534. L’opéra-comique était autrefois une comédie mêlée de
chant
. Aujourd’hui, il ne diffère du grand opéra que pa
ges est indiquée par une phrase musicale exécutée par l’orchestre. Le
chant
ne se môle pas à la pièce comme dans l’opéra-comi
et d’une douce gaieté, avec des passions modérées qui produisent des
chants
, des luttes poétiques, des récits intéressants. 5
lier, le Super flumina Babylonis, le Quemadmodum desiderat cervus, le
chant
lugubre de David sur la mort de Saül et de Jonath
ions quelques pieuses élégies de saint Grégoire de Nazianze, quelques
chants
liturgiques, tels que le Dies iræ et le Stabat Ma
illes, tels sont les quatre sujets des quatre livres des Géorgiques.
Chant
Ier. Après une invocation terminée par l’éloge d’
, ce qui sert au poète de transition pour rappeler la mort de César.
Chant
II. Une courte exposition du sujet, suivie d’une
ion du sujet, suivie d’une invocation à Bacchus, commence le deuxième
chant
: on voit ensuite la double reproduction, naturel
qui sont terminés par un épisode sur le bonheur de la vie champêtre.
Chant
III. Le troisième chant a pour objet l’éducation
épisode sur le bonheur de la vie champêtre. Chant III. Le troisième
chant
a pour objet l’éducation des troupeaux. Il se div
roupeaux, et à ce sujet il parle des chiens et de leur nourriture. Ce
chant
, comme les deux premiers, commence par une magnif
invocation, et finit par 1’intéressante description d’une épizootie.
Chant
IV. Après une invocation à Mécène, le poète donne
? 435. Quel doit être le style et le ton de l’ode héroïque ? 436. Les
chants
héroïques de Pindare et d’Horace sont-ils égaleme
e observation du Tasse, à propos de quelques stances de son quatrième
chant
, qu’on lui avait reprochées comme suspendant d’un
Iliade la favola principale. » (Lettere poetiche, 14 mai 1575.) Les
chants
Cypriaques, etc.] Voyez sur ces poëmes, qui faisa
s, ouvrez l’oreille : Que l’univers se taise et m’écoute parler3. Mes
chants
vont seconder les accords de ma lyre ; L’esprit s
s nomment cantates, parce qu’elles sont particulièrement affectées au
chant
. Ils ont coutume de les partager en trois récits,
èces, ajoutait-il, réconcilier, à l’imitation des Grecs,l’ode avec le
chant
. » Pour ce genre de poésies, dont Rousseau fit pr
primeur-poète Corrozet, traducteur d’Ésope, auteur de vers moraux, de
chants
royaux, etc., dont le joli conte du Rossignol se
furent continués à Genève. Ses Élégies (deux livres), ses Ballades et
Chants
royaux, ses Complaintes, ses Chansons, son Cimeti
insons, ou lynottes. Desja pourtant je faisois quelques nottes De
chant
rustique, et dessoubz les ormeaux Quasy enfant so
v.), des Élégies, Mascarades et Bergeries (1565), les quatre premiers
chants
de la Franciade (1572) qui resta inachevée ; puis
ienne des stances, Binet, son biographe, une églogue, Remi Belleau un
chant
pastoral, J.-B. de Thou et Daurat des vers grecs
e Fera ternir vostre beauté163, (Odes, I, 17), Tome I, p. 117.
Chant
d’un berger164 Chantons donques, bergers, et
un fond sur lequel se détachent, au milieu de séries de sonnets, des
chants
, des odes, des prières, des stances imitées des É
Voir l’édition A. Gouverneur, III vol. in-12 (Bibl. Elzévirienne).
Chant
de la paix237 Je te salue, ô Paix, fille de
pe, dessous l’ombrage, Mille fredons babillards, Fretillards, Au doux
chant
de son ramage. Tu vois en ce temps nouveau L’ess
singulière figure. Dès ses vingt ans il donnait Judith, poème en six
chants
. En 1579 il donne la Sepmaine ou la Création au M
chants. En 1579 il donne la Sepmaine ou la Création au Monde, en sept
chants
ou « jours ». Dans l’intervalle il était sorti de
peine on baille… On n’use point pour son manger et boire De tous les
chants
des filles de Memoire416 Ni d’Apollon, lequel le
et, à l’imitation de Du Bartas, un poème de la Création en vingt-cinq
chants
, publié en 1874. Voir les Œuvres complètes de Thé
font frapper des mains et dire : « C’est assez ! » Et plus loin (même
chant
) : On dit qu’il faut couler les execrables choses
a ne chappes ne reliques. Les oiseaux peints491 vous disent en leurs
chants
: Retirés vous, ne touchés à ces champs ; A Mars
r du printemps, de voir faire aux tourtr’elles Et leurs nids et leurs
chants
et et leurs amours fidelles, D’ouïr du rossignol
et leurs amours fidelles, D’ouïr du rossignol la fredonnante voix, Le
chant
d’autres oyseaux qui caquettent aux bois, Le chan
edonnante voix, Le chant d’autres oyseaux qui caquettent aux bois, Le
chant
de la bergere et son amour rustique, Voir des mou
D’une trompette ou d’un tambour, Mais plutost au braire d’un asne, Au
chant
d’un coq ou d’une cane, S’esveille dés le point d
Childebrand ! (Childebrand ou les Sarrasins chassés de France, seize
chants
, 1666-1670)706 ». De tout ce fatras ambitieux il
x pâles adulateurs. (Art Poétique, chant II.) Vers à mettre er
chant
Voici les lieux charmans où mon âme ravie Pas
e (voy. p. 179, note 4), et, à partir de 1656, sur les douze premiers
chants
de cette Pucelle longtemps annoncée comme un chef
a pas, et les épigrammes de Boileau l’achevèrent ; les douze derniers
chants
de son « poème héroïque » sont restés manuscrits.
-être dû quelque chose à sa plume. Son poème pastoral d’Athis en cinq
chants
, et les sept Églogues qui lui donnent le premier
Et la chaste Pallas, race du roi des dieux, A trouvé quelquefois mon
chant
mélodieux, Des grandes déités Pallas la plus aima
e Hymne à la France, écrit avant 1786 ; la monarchie tombe en 1792 au
chant
de la Marseillaise, inspiration de Rouget de L’Is
s. C’est encore moins la Pétréide de Thomas (1732-1785), récit en six
chants
des voyages du czar à travers la Hollande, l’Angl
alesherbes, que, le premier, il a publiées dans les notes de son XIe
chant
. Il faut lui compter cela et l’amitié de Chénier,
ouvrez l’oreille : Que l’univers se taise et m’écoute parler1038. Mes
chants
vont seconder les accords de ma lyre : L’Esprit s
; Si je pouvois du ciel franchir les vastes routes, Ou percer par mes
chants
les infernales voûtes De l’empire des morts ; Je
ose l’Œdipe de Sophocle, et en prose réduisit de vingt-quatre à douze
chants
l’Iliade d’Homère, — a mérité la réputation d’un
and crime ; Et, ce grand crime enfin se montrant à leurs yeux, Par un
chant
sacrilège ils rendoient grâce aux dieux. Étonné,
x connaisseurs, Jugeant tout, blâmant tout d’un air de suffisance, Au
chant
du rossignol il trouvoit des longueurs, Critiquoi
Ce qui manque à ce paon ; c’est bien voir, j’en conviens ; Mais votre
chant
, vos pieds, sont plus laids que les siens, Et vou
s sociétés. Il essaie et esquisse encore, et un poème biblique en six
chants
, Suzanne, et un poème philosophique, géographique
, dans le chemin, rhapsode1218 ingénieux, « Tu veux nous accorder des
chants
dignes des cieux, « Nous dirons qu’Apollon, pour
lles en quatre livres, puis deux poèmes : la Voix de la Nature (trois
chants
), les Saisons (quatre chants), Une mélancolie dou
eux poèmes : la Voix de la Nature (trois chants), les Saisons (quatre
chants
), Une mélancolie douce, un sentiment vif de la na
70. (Id., Ibid., livre IV, Le Bain.) Roucher Début d’un
chant
de Roucher Grossis par les torrens des neiges
ou à faire. C’est Esménard (1770-1811), qui donne la Navigation (huit
chants
en 1805, réduits à six en 1807). C’est Chénedollé
nus. Casimir Delavigne (1794-1843) remua la fibre patriotique par ses
chants
des Messéniennes (1818), continua avec talent l’é
tre au théâtre, en 1822, un nom auquel, deux ans après, ses Poèmes et
Chants
élégiaques et ses Chants hellènes allaient donner
un nom auquel, deux ans après, ses Poèmes et Chants élégiaques et ses
Chants
hellènes allaient donner une célébrité temporaire
Alexandre Soumet (Une fête sous Néron, 1830 ; la Divine Épopée, en 12
chants
1840 ; Jeanne d’Arc, trilogie, 1846.) Quinze ans
uvé par Mme Vestris. M.-J. Chénier, conventionnel, poète populaire du
Chant
du Départ membre de nos assemblées politiques jus
il m’en souvient, du fond de leurs roseaux, Tes nymphes répétaient le
chant
plaintif et tendre Qu’aux échos de Passy ma voix
tombe respectée, Et sur la pierre encor de larmes humectée Redire ce
chant
de douleur. La chute des feuilles1284. Élégie
je suis tente de crier au génie : Croyez et fermez les yeux. » Le
chant
du cosaque Viens, mon coursier, noble ami du
meurs qu’elle envoie ? Elle s’avance et mêle, aux cris de liberté Des
chants
d’orgueil, d’espérance et de joie. « Hydra vogue
te français de dire de la France au lendemain de Waterloo : J’ai des
chants
pour toutes ses gloires, Des larmes pour tous ses
ne est trop souvent saccadé, tendu et déclamatoire. Dans ses Derniers
chants
, qui vinrent longtemps après, la veine est plus s
ode sortent les Nouvelles Méditations, la Mort de Socrate, le Dernier
chant
du pèlerinage d’Harold, qui mène le héros en Ital
mers, L’étoile de ses feux voilée, L’astre endormi sur la vallée. Le
chant
lointain des matelots, L’horizon fuyant dans l’es
poésie intime sous tous les noms (Les Feuilles d’Automne, 1831 ; Les
Chants
du Crépuscule, 1835 ; Les Voix intérieures, 1837
urde Qu’un peuple on révolutions ! Que sert ta chanson, ô poète ? Les
chants
que ton génie émiette Tombent à la vague inquiète
est sans bruit, De cette voix d’airain fait retentir la nuit ; À ses
chants
cadencés autour de lui se mêle L’harmonieux grelo
Et la cascade unit, dans une chute immense, Son éternelle plainte au
chant
de la romance. Âmes des chevaliers, revenez-vous
blanche Oloossone à la blanche Camire. Dis-moi ; quel songe d’or nos
chants
vont-ils bercer D’où vont venir les pleurs que no
Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les
chants
les plus beaux, Et j’en sais d’immortels qui sont
tu les fleurs, les prés et la verdure, Les sonnets de Pétrarque et le
chant
des oiseaux, Michel-Ange et les arts, Shakspeare
il ait depuis donné au publie, Rimes héroïques, Odelettes, Satires et
Chants
, etc., le poète des Iambes de 1830. Dans ses Sylv
aches », « les feuilles du tremble », « une feuille morte », etc. Ses
Chants
civils et religieux embrassent, dans la suite de
de la race celtique, je ne devais pas négliger sa langue : plus d’un
chant
de la Harpe d’Armorique ou Telen Arvor (poésies e
t répandu dans nos campagnes. » Une Poétique nouvelle (1855) en trois
chants
(la nature, la cité, le temple) compléta par un e
es claires eaux dans sa vallée étroite, Et, tel qu’un doux parfum, le
chant
de mille oiseaux S’élevant du vallon avec le brui
ions fait tous deux l’école buissonnière1461 Dans les bois pleins de
chants
, die parfum et d’amour ; J’aurais vidé leurs nids
. Plus de frayeur : Camille et ta mère sont là. Moi, j’aurai pour tes
chants
de longs échos… » — Chimère ! Le fossoyeur m’a pr
e cette nuit S’élève : c’est la voix mélancolique et tendre, C’est le
chant
qu’un pêcheur à l’écho fait entendre. Sur son bat
ande voix, Et l’air sonore, aux cieux que la terre illumine, Porte le
chant
des mers et le soupir des bois1541. (Poèmes ant
mitivement un poème à chanter et à danser. (Étym. : baller, danser.)
Chant
royal. — Diffère de la ballade en ce qu’il compre
qui… 72. Ramage, adj., bocager, sauvage ; subst., 1° branchage, 2°
chant
des oiseaux sous les branches. Étym. : ramus. 7
uelquefois de basse-cour. — Dans la plus étendue des six, composée de
chants
, de chœurs, de dialogues, et appelée en sous-titr
, des Tragiques de d’Aubigné. 237. Nous donnons quelques vers de ce
chant
pour montrer qu’il s’en était fallu de peu que R.
es, en passant, dans cette âpre et sombre poésie. Et ailleurs (fin du
chant
IIe) :
ètes expressives et colorées, semble étendre et prolonger l’écho d’un
chant
de victoire. 1000. Ce dernier couplet de quatre
ne autre de ses victimes, Scudéry. Il aimait à citer le début du VIIe
chant
d’Alaric : Il n’est rien de si doux pour un cœur
, le relevé des 128 comparaisons qu’il contient ? Six dans le dernier
chant
concernent la reine Christine, à laquelle le poèm
’aigle a merveilleusement inspiré aussi A. de Vigny. Voyez dans Éloa (
chant
III) l’aigle blessé à mort : Sur la neige des mo
iption, mais peu de couleur, pas même de dessin. 1189. Poème en huit
chants
(I, L’homme intellectuel ; II, L’homme sensible ;
urabondance d’épithètes, souvent ingénieuses. 1191. Poème en quatre
chants
(L’homme des champs : I, bienfaiteur de son villa
rs fois, non sans émotion (l’Homme des champs, ch. IV, l’Imagination,
chant
IV), il s’amuse à décrire les ricochets qu’il fai
poète et a passé dans ses premiers vers pour les colorer. 1193. Ier
chant
. L’art de changer les paysages en tableaux ; les
la nature, les Trois Règnes, poème descriptif et scientifique en huit
chants
(I, la lumière et le feu ; II, l’air ; III, l’eau
; VI, le règne végétal ; VII, VIII, le règne animal). À la fin du Ier
chant
se trouve le tableau, souvent cité, du coin de fe
du coin de feu ; dans le VI, le café. 1194. Dans les deux premiers
chants
de son poème de la Conversation, Delille fait de
cupe de vous pour occuper de lui. La liste en est longue. Le dernier
chant
est consacré au vrai et bon causeur. 1195. Ou H
rceaux détachés des épopées d’Homère. Ῥαψῳδός (ῥάπτειν, coudre ; ᾡδή,
chant
). 1219. Il., II, 649, Kρήτη ἑκατόμπολις. 1220.
eur, le secret de son père, et se tue. 1273. Cf. Lamartine, Dernier
chant
du pèlerinage d’Harold, XIII. 1274. Cf. Salluste
e dit Béranger, « glanant tous leurs canons », comme il dit lui-même (
Chant
du Crépusc., II, à la Colonne) et « entassant »
u ciel bleu, aux arbres verts, à la nuit sombre, au bruit du vent, au
chant
des oiseaux. Aucune créature ne peut s abstraire
n s’échappe de droite et de gauche. (Voy. Soleils couchants, dans les
Chants
du Crép., XXXV.) Mais Te sentiment et la couleur,
et serein… Elles viennent ! leur voix, leur aspect me rassure ; Leur
chant
mélodieux assoupit ma blessure : Je me fuis, je m
logie druidique. Sur les bords de la Baie des Trépassés (les Bretons,
chant
Xe) le poète ne verra pas les souriantes Néréides
ses connues de son enfance, monte à Notre-Dame de la Garde, écoute le
chant
des Alcyons, et salue Lamartine dans une villa de
ux tableaux des travaux rustiques égayés sous le soleil ardent par le
chant
de la caille, par les cris joyeux de l’enfant qui
, le peintre des victoires de Louis XIV ? Qui ne sait aussi qu’un des
chants
nationaux de l’Angleterre est un air fait par Lul
l’ode est d’un élan et d’un mouvement admirables ; c’est un véritable
chant
d’allégresse et de triomphe. Les fameuses stances
e. Son style n’est ni chaud, ni brillant, ni frais, et, même dans ses
chants
les plus relevés, son enthousiasme est trop visib
monde. Pour y parvenir, il n’imagina rien de mieux que de donner aux
chants
bibliques un vêtement à la mode, c’est-à-dire de
entre le chantre et le trésorier de la Sainte-Chapelle. Les premiers
chants
sont un modèle de franche gaîté, de douce satire,
té, de douce satire, de verve spirituelle. Le cinquième et le sixième
chant
, composés quelques années plus tard que les autre
urs ; c’est un des endroits les plus curieux de l’ouvrage. Le dernier
chant
, tout entier sur le ton sérieux, n’a pas l’agréme
nsée, et une teinte de mélancolie douce et légère s’y mêle souvent au
chant
du plaisir. Fontenay. Désert, aimable solit
e disons pas pour faire un poète, mais seulement pour interpréter les
chants
divins de David ! Il n’a pas de foi, pas de passi
ui exerçait à la fois son talent dans des poésies sacrées et dans des
chants
ou des épigrammes obscènes, — qu’il appela le Glo
s et Henri de Bourbon, et achevé par ce dernier tout seul. Le premier
chant
fut esquissé à Saint-Ange. Ce fut sous les verrou
de Louis XIV, dont on l’accusait d’être l’auteur, qu’il fit le second
chant
dont il avait déjà le plan dans sa tête et le seu
nnaître son fils qui combattait dans les rangs opposés. (La Henriade,
chant
VIII.) Dans d’épaisses forêts de lances héris
s. Trop heureux si, dans sa clémence, Il écoute avec complaisance Les
chants
que je forme pour lui. Fidèle à marcher dans sa v
nt lyriques, couronnées par l’Académie de Caen ; à un poème en quatre
chants
écrit en vers de dix syllabes, Narcisse dans l’îl
t dans quelques Poésies diverses, dans un poème de l’Amitié en quatre
chants
, dans quelques Épîtres, produits de sa vieillesse
s’exercer contre ce poème beaucoup trop long, souvent ennuyeux, où un
chant
est uniformément employé à peindre le climat, les
valier de Bertin et le chevalier de Parny. Les poésies héroïques, les
chants
de liberté sentent le travail. Il n’y a qu’une pa
— Oh ! je m’en fie à vous. — Hélas ! trop, je vous jure. — Combien de
chants
de faits ? Pas un, je vous assure. — Comment ? »
vers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. Ces
chants
, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelqu
les belles vallées des Vosges : il le termina à Bâle. Dans le premier
chant
, le poète peint en général les plaisirs que fait
les châteaux, dans les familles où il était vénéré, pour ses derniers
chants
, comme « le poète du passé, des infortunes royale
ur. Il sut par l’espérance adoucir la tristesse : « Hier, dit-il, nos
chants
, nos hymnes d’allégresse Célébraient à l’envi ces
avançait éplorée. L’étendard de la croix marchait devant nos pas, Nos
chants
majestueux, consacrés au trépas, Se mêlaient à ce
s flambeaux brille à travers la nuit. Le cortège bruyant, qu’égaye un
chant
rustique, Marche… Honneurs innocents et gloire pa
mon triste voyage. Ô mes amis ! ô vous qui me fûtes si chers ! De mes
chants
imparfaits recueillez l’héritage, Et sauvez de l’
tachées et de petits poèmes qu’on a publiés sous le titre de Derniers
Chants
. Plusieurs de ces morceaux peignent avec agrément
ors étalés dans ce bazar du monde ; Des jeux, des bruits du port, des
chants
du gondolier ! Ah ! des fers dans ces murs qu’on
s indignes des premières, le Crucifix, la Mort de Socrate, le Dernier
chant
du Pèlerinage de Childe-Harold, et la belle pièce
e don de l’harmonie. Souvent son style semble plus la modulation d’un
chant
qu’une simple composition de paroles. Son vers to
ssocier le récit à l’ode, de jeter l’intérêt et le drame au milieu du
chant
; une poésie semée de beaux vers de circonstance
les mots. Dans le recueil qui suivit les Feuilles d’automne, dans les
Chants
du crépuscule (1835), le talent de Victor Hugo n’
et à moitié chrétien, les pensées d’art, les souvenirs d’enfance, les
chants
dictés par l’amitié, surtout l’amitié pour le poè
ablir un certain genre moyen, où le récit domestique et moral, où les
chants
inspirés par l’amitié fussent entremêlés « d’épît
ressaisir dans l’air des sons évanouis, D’entendre, de chanter mille
chants
inouïs, Me prend à mon réveil ; et voilà ma pensé
amène Le loisir et la fête, et les habits parés, Et l’église aux doux
chants
, et les jeux dans les prés ; Et plus tard, quand
e ses derniers regards. Quel accompagnement sublime Pour les
chants
inspirés du barde audacieux, Que le bruit du cano
x du penchant des collines prochaines Entendre au loin monter le doux
chant
des pasteurs, Ou bourdonner l’abeille autour du t
si ce n’est pas un songe Quand tout à coup il se sent attirer Par un
chant
pur qu’un doux écho prolonge. Ce chant, qui tien
oup il se sent attirer Par un chant pur qu’un doux écho prolonge. Ce
chant
, qui tient ses esprits interdits, Vient d’un oise
n hymne en pleurs d’exil et d’esclavage. Mais ce ne sont bientôt que
chants
joyeux De délivrance et de gloire future, Chants
ne sont bientôt que chants joyeux De délivrance et de gloire future,
Chants
inouïs, divins échos de ceux Que Dieu promet à l’
ien plus d’une heure, dit le prêtre, Que cet oiseau me charme par son
chant
; À ce plaisir j’ai trop cédé peut-être. « Allon
passés ainsi que quelques heures ; Et que sera-ce, alors que tous les
chants
Diront ta gloire aux célestes demeures ! « Étern
ais Marie. Les Naufragés de la baie de Plô-Goff282. (Les Bretons,
chant
X, « La Baie des Trépassés ».) Sur les débris
Les pâles visiteurs se traîner pas à pas, Puis, entre les rochers, au
chant
plaintif des psaumes, Monter vers eux, monter par
il qui font votre surprise, Ces voiles tomberont ! vous entendrez nos
chants
! Ceux qui semblent des morts deviendront des viv
d’Homère n’a été composé que pour encadrer une traduction du sixième
chant
de l’Odyssée. Aimant infiniment Homère pour les g
dis ! Mon frère sembles et de boche et de vis. (Garin le Loherain, 3e
chant
, iii, Paris.) 19. Et pourtant. Si, dans cette
s, CL. 174. Essai sur la littérature anglaise, t. II, p. 283. 175.
Chant
I, v. 305 à 352. 176. Chant IV, v. 449 et suiv.
ttérature anglaise, t. II, p. 283. 175. Chant I, v. 305 à 352. 176.
Chant
IV, v. 449 et suiv. 177. Chant V, v. 196 et suiv
3. 175. Chant I, v. 305 à 352. 176. Chant IV, v. 449 et suiv. 177.
Chant
V, v. 196 et suiv. 178. Tableau de la littératu
. 246. L’ange déchu. 247. Préface des Orientales. 248. Préface des
Chants
du crépuscule. 249. Préface des Rayons et les Om
quelque lampe au fond des corridors Étoilait l’ombre obscure, » (Les
Chants
du crépuscule, xxxiii.) 256. Malheureusement c
Douleurs ! La conscience de notre petitesse à la vue de l’infini, nos
chants
s’étendant au loin sur les vagues, la nuit s’appr
précipice ; Qu’il ne puisse de loin entendre, sans frémir, Le triste
chant
des morts tout prêt à retentir ; Les soupirs étou
pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. 9° Ces
chants
, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelqu
sa consolation, non dans la mort, mais dans la vie. Ce qui donne à ce
chant
de Chénier un caractère d’inspiration réelle, un
par là qu’elle termine ; c’est l’écho de sa pensée, le refrain de son
chant
: Je ne veux pas mourir encore. Non, elle ne de
et captif, ma lyre toutefois s’éveillait… La captive a terminé son
chant
, douce aspiration vers la vie et le bonheur. Main
beauté a seul pu le réveiller de son abattement, et lui a inspiré le
chant
du cygne. Ainsi, triste et captif, ma lyre… C’est
captif, ma lyre… C’est une ellipse poétique d’un bel effet. 9° Ces
chants
, de ma prison témoins harmonieux. Poète discre
ec énergie ; il chante, et la poésie est créée. La poésie est donc un
chant
; elle est sœur de la musique ; l’une et l’autre
eligion a toujours un grand empire sur son imagination ; ses premiers
chants
sont toujours consacrés à la Divinité. Alors le p
êtes féroces, c’est-à-dire les hommes sauvages, par la douceur de ses
chants
; Amphion élève les murs de Thèbes au son de sa l
s sa cave il enserre4 L’argent et sa joie à la fois. Plus de
chant
: il perdit la voix Du moment qu’il gagna ce qui
iers. 5. Ce sont des roulades, c’est-à-dire des ornements ajoutés au
chant
. 6. Ces sages de la Grèce florissaient 600 ans a
3. Delille, s’inspirant de ces vers, a montré aussi dans ses Jardins,
chant
II,… Le pas leste et vif de la jeune laitière, Q
se pleine de douleur. C’est un fond de concert qui fait ressortir les
chants
éclatants des oiseaux, comme la douce verdure est
onnantes clairières ! N’accompagnez de vos religieux murmures que les
chants
des oiseaux, ou les doux entretiens des amis qui
es se mirent à chanter une romance ; leurs voix douces, se mêlant aux
chants
lointains des rossignols1, me firent sentir que,
ser et discuter les théories développées par Boileau dans le deuxième
chant
de l’Art poétique sur le poème épique. (4 août 18
, il y a eu en Grèce, et d’après le témoignage d’Homère lui-même, des
chants
épiques, sinon des épopées étendues, dans la péri
on voit combien il serait déraisonnable de vouloir expliquer tous les
chants
épiques composés postérieurement à l’apparition d
, qu’on nomme πάροδος, était majestueuse, et j’ai trouvé fort beau ce
chant
guerrier, où les quinze vieillards thébains céléb
écède tant pour la mesure et le nombre des vers que pour la nature du
chant
, et comme on se plaît, en général, à introduire q
dans un temps égal ; et ils continuent de la sorte jusqu’à la fin du
chant
, à moins qu’ils ne le terminent, comme dans les c
μέλεια : parfois même on a recours à des danses plus vives, quand les
chants
du chœur sont plus passionnés. Une fois qu’il fut
s qui suivent les diverses péripéties du drame, ou ἐπεισόδια, par des
chants
analogues à ceux de la πάροδος, mais qu’on exécut
jours sans évolutions ; aussi les appelle-t-on στάσιμα μέλη. Dans ces
chants
, qui varient avec le nombre des ἐπεισόδια, compri
ller et déplore avec eux les malheurs qui les menacent, auquel cas le
chant
lyrique prend habituellement le nom de κομμός. On
en chercher l’étymologie dans le mot satura, désignant un mélange de
chants
, de danses, de pantomimes, le tout accompagné de
squ’il sortit graduellement des développements ajoutés au dithyrambe,
chant
sacré en l’honneur de Bacchus ; en France, on vit
re deux ou plusieurs prêtres, les proses simplement modulées, par des
chants
, appelés épîtres farcies (epistolæ farcitæ),où de
s Achillem, Impiger, iracundus, inexorabilis, acer, … Dès le premier
chant
de l’Iliade, le caractère fougueux et irascible d
logue, pas plus que de la poésie didactique, d’ailleurs. Le troisième
chant
est consacré à la tragédie, à la comédie, et à l’
antes sur les origines de la poésie, que nous retrouvons dans le IIIe
chant
de l’Art poétique, parmi ses réflexions et ses pr
’autre, tiennent la première place ; d’où les chansons de gestes, les
chants
des trouvères et des troubadours, le théâtre pres
9 août 1885) Lettre de La Fontaine à Boileau après la lecture du IIe
chant
de l’Art poétique. Plan. — 1º Il remercie Boil
e Boileau de lui avoir envoyé son Art poétique ; Il goûte fort le IIe
chant
, où se trouvent caractérisés si finement les genr
, la tragédie antique. Si cette heureuse idée de mêler le chœur et le
chant
avec l’action, vous fût venue plus tôt, vous l’eu
un prix élevé. Chère, n. f. mets, repas. 20. Champ, n. m. campagne.
Chant
, n. m. action de chanter. 21. Chaud, n. m. chaleu
ud, adj. qui a de la chaleur. Chaux, n. f. à bâtir. 22. Chœur, n. m.
chant
, troupe de chanteurs, partie de l’église. Cœur,
uctions du sol, le gouvernement, les religions, les mœurs : ainsi les
chants
sauvages du barde Ossian ne ressemblent pas aux c
rs : ainsi les chants sauvages du barde Ossian ne ressemblent pas aux
chants
naïfs et sublimes du chantre de Troie ; le style
dra le lever du soleil, la rosée couvrant les fleurs, le réveil et le
chant
des oiseaux, la fraîcheur de la brise ; le chant
urs, le réveil et le chant des oiseaux, la fraîcheur de la brise ; le
chant
du coq matinal ; et pour animer la scène, le berg
champêtres ; le silence de la nature qui ne sera plus troublé par le
chant
des oiseaux, mais par le murmure du ruisseau, le
, mais par le murmure du ruisseau, le frémissement de la brise, et le
chant
du rossignol qui célébrera la gloire du Dieu, cré
sur terre et sur mer, jusqu’à son retour dans sa patrie. Au treizième
chant
il revoit Ithaque, mais on conçoit que le poëme n
d’Achille, qui causa tant de maux aux Grecs, s’apaise au dix-neuvième
chant
, que les vieux textes ont intitulé en conséquence
clusions, celle de l’Iliade moins que toute autre, le vingt-quatrième
chant
est peut-être ce qu’Homère a fait de plus beau ;
ire des chansons, des récits intéressants, des combats de flûte ou de
chant
. La pastorale est, pour ainsi dire, la peinture d
s les pays, les poètes prirent pour sujet principal de leurs premiers
chants
les actions de leurs dieux et de leurs héros, leu
é par un rival qui a remporté le prix de la lutte, de la course ou du
chant
. Le ciel sous lequel il vit n’est pas toujours se
s la Poétique, chap. iv, et dans la Politique, VIII, 5. La variété du
chant
.] Sur le sens technique de ce mot, voyez Vincent,
ophane sur les Grenouilles, v. 1334 Suidas, au mot Φρύνιχος. Mètres,
chants
lyriques.] Voyez la Notice de Vincent, p. 194-216
igurer embellit la nature ; Et les traits que la muse éternise en ses
chants
, Récités avec art, en seront plus touchants : Ils
pectée, Et, sur la pierre encorde larmes humectée, Redire ce
chant
de douleur. Millevoye. * La Feuille. De ta tig
uccéder les clameurs et les orages de la politique5. Ver-vert1.
Chants
I et II (fragments). Puisqu’à vos yeux vou
es longues erreurs, On aurait pu faire une autre Odyssée Et par vingt
chants
endormir les lecteurs ; On aurait pu des fables s
a gloire de moins estimable et de moins solide1. La Henriade1.
Chant
VIII (fragment). Bataille d’Ivry. Près
718. Il était prisonnier à la Bastille (1716) quand il composa le IIe
chant
. La première édition, d’ailleurs fort imparfaite,
encore citer M. Daunou. On peut voir enfin, à son sujet, Delille, au
chant
V de son poëme de l’Imagination, et Châteaubriand
ures, employée par le plus sublime poète, il faut la chercher dans le
chant
triomphal d’Isaïe, sur la chute et la mort du tyr
dans leur patrie, le poète les introduit eux-mêmes, célébrant par des
chants
de victoire la ruine du barbare qui les avait opp
ceau, si ce n’est peut-être, et toujours à la distance convenable, ce
chant
de Fingal, sur la ruine de Balclutha. Elle n
cieux, s’unit avec amour, Ainsi que la gloire à la joie, Le premier
chant
des bois1 aux premiers feux du jour. Oui, souri
omme l’abeille aux champs ! Ma joie et mon bonheur, et mon âme et mes
chants
Iront où vous irez, jeunesse ! Je lis aussi d
cti membra poetæ. Nous ne donnerons qu’une idée bien affaiblie de ses
chants
. 3. Allusion à Notre-Dame de Paris. 1. Lamarti
de défaites De l’ennemi j’écoutais le canon7. Ici, ma voix, mêlée aux
chants
des fêtes, De la patrie a bégayé le nom8. Ame rê
Ont en sursaut réveillé tous les rois2. « Peuple, à ton tour, que ces
chants
te réveillent ; Il en est temps ! » dit-il aussi
ie, montrer qu’elle est vraie, et enfin qu’elle est aimable. Tous les
chants
répondent à ce dessein général, et sont amenés l’
de l’existence de Dieu. C’est ce que l’auteur a fait dans le premier
chant
, où tout ce que la physique peut fournir à la poé
lement la distinction des deux substances (c’est la matière du second
chant
), leur union pendant la vie, et leur séparation à
ur ce sujet, conduisent à la nécessité d’une révélation. Le troisième
chant
poursuit la proposition avancée à la fin du précé
et avouée par Mahomet lui - même son plus grand ennemi. Le quatrième
chant
est parfaitement lié au troisième par l’expositio
autre contre la sévérité de la morale. Il fait voir dans le cinquième
chant
jusqu’où va l’ignorance de l’homme, et les diffic
révélation. A l’égard de la morale (elle est traitée dans le sixième
chant
), ce qui m’a le plus frappé, est le parallèle éga
ce une suite raisonnée de préceptes. C’est ce que fait Rosset dans le
chant
de son poëme, où il traite des arbres. A propos d
s les objets renfermés dans un plan général, y sont divisés en quatre
chants
, dont chacun a un plan particulier. Le mérite de
èces, dont les intermèdes sont remplis par des pantomimes, ou par des
chants
et des danses. Telle est le Malade Imaginaire de
encemens, confondues ensemble. Elles n’étoient l’une et l’autre qu’un
chant
de plusieurs personnes qui formoient un chœur. Th
s à ariettes. Les pièces à ariettes sont celles qui sont mêlées de
chants
; car une ariette ou air, n’est autre chose qu’un
nt mêlées de chants ; car une ariette ou air, n’est autre chose qu’un
chant
mis sur des paroles, qui expriment un sentiment o
pourquoi l’acteur disparoît presque toujours, après avoir chanté. Un
chant
ne peut plaire, s’il est monotone. C’est au poëte
hantante ? Le discours mesuré n’est pas plus naturel à l’homme que le
chant
. Il est même vraisemblable que celui-ci a précédé
de ses organes, et conformes au sentiment qu’il éprouvoit : voilà le
chant
sans paroles. On a ensuite cherché à y adapter de
mêlent à cette fête ; et le spectacle est fermé par des danses et des
chants
. J’ai dit que l’action de la tragédie-lyrique est
s leur force, dans leur variété, dans leur désordre, est rendu par un
chant
qui porte le nom d’Air ou Ae. Ce chant ne peut do
eur désordre, est rendu par un chant qui porte le nom d’Air ou Ae. Ce
chant
ne peut donc être placé, comme je l’ai dit ailleu
xcès également nuisibles dans la tragédie-lyrique. Le premier rend le
chant
trainant et monotone. Il ne faut donc pas que le
exprime : c’est au musicien à faire le reste. Le second excès rend le
chant
trop changeant, et, si l’on peut parler ainsi, br
rend le chant trop changeant, et, si l’on peut parler ainsi, brisé ;
chant
qui ne peut avoir lieu que dans le choc et le tum
s celle-ci, c’est le fond de l’action qui amène des divertissemens de
chant
et de danse ; au lieu que dans le ballet, ce sont
touchante du bonheur des justes dans les Champs Elysées ! Le septième
chant
de la Henriade, le plus beau sans doute de ce poë
rtelles, souffle dans mon âme une ardeur divine ; échauffe, élève mes
chants
; et pardonne, si, prêtant des ornemens à la véri
uisse du siècle de Louis XIV, et la plus grande partie de ce septième
chant
. Le Vert Vert de Gresset est un badinage charmant
n. 5º. L’épithalame et la chanson. Je ne parle point de la balade, du
chant
royal, du lai, du virelai, et autres petites pièc
l’Épithalame. L’Épithalame, mot qui vient du grec, et qui signifie
chant
nuptial, est un petit poème fait à l’occasion d’u
aise au bruit de nos concerts ! Que l’Europe moins alarmée Répète nos
chants
et nos vers ! Les cents voix de la Renommée182 L
c’est à la religion chrétienne que nous le devons : la proscrire des
chants
du poète, c’est renier notre origine et nos croya
éroule sans interruption jusqu’au dénouement. L’épopée est divisée en
chants
, dont le nombre est abandonné à la volonté de l’a
nze protège ou menace327. A mesure que notre chaloupe s’éloignait, le
chant
des bateliers et le bruit confus de la ville s’ét
nne, notre Ossian, ne place à côté de la tombe que les regrets et les
chants
funèbres. Ici, vous voulez oublier et jouir ; je
ants, pour respirer les sons belliqueux376. Les Romains commencent le
chant
de Probus : « Quand nous aurons vaincu mille guer
vant d’expirer une vue de l’Olympe384, et c’est pourquoi leur dernier
chant
est si mélodieux : mes recherches furent inutiles
de la forêt, les chauves-souris accrochées aux feuilles élèvent leurs
chants
monotones : on croit ouïr des glas continus ou le
er agenouillée devant Dieu, les chœurs d’Esther et d’Athalie. Dans le
chant
célèbre de Pergolèse, Stabat Mater dolorosa, on p
les Saxons se divertissaient avec grand bruit et chantaient de vieux
chants
nationaux, en vidant, autour de leurs feux, des c
llefer, poussa son cheval en avant du front de bataille et entonna le
chant
, fameux dans toute la Gaule, de Charlemagne et de
nir, j’entends se grossir et se former les nations du Nord avec leurs
chants
de guerre ou de festin, leur mythologie, leurs lé
incomparable a été versée, qui avait reçu, dès le berceau, le don du
chant
, de l’harmonie, de la mesure, de la perfection539
ier comparait ces vers, apparus pour la première fois vers 1820, à un
chant
qu’entendrait tout à coup un promeneur solitaire,
ondrait à ses secrets sentiments. L’image est aussi juste qu’aimable.
Chant
est le mot qui convient à ces choses à la fois si
talent non moins nouveau dans l’histoire de notre poésie. Si tout est
chant
dans le premier, dans celui-ci tout est forme et
; Si je pouvais du ciel franchir les vastes routes Ou percer par mes
chants
les infernales voûtes De l’empire des morts ; Je
rendre pour eux ! » C’est ainsi qu’au-delà de la583 fatale barque Mes
chants
adouciraient de l’orgueilleuse Parque L’impitoyab
tout le poids de la pensée. Notre Iliade n’a pas dépassé ses premiers
chants
, et c’est au moyen âge qu’ils ont jailli de la do
beaucoup de facilité et de grâce636. Ver-Vert637. (Extraits).
Chants
I et II (fragments). Puisqu’à vos yeux vous
es longues erreurs, On aurait pu faire une autre Odyssée Et par vingt
chants
endormir les lecteurs ; On aurait pu des fables s
et sa muse, formée par la nature pour des sentiments plus doux et des
chants
plus légers, a parfois, grâce à cette lutte avec
and crime ; Et, ce grand crime enfin se montrant à leurs yeux, Par un
chant
sacrilège ils rendaient grace aux dieux. Étonné,
ux horizons que l’oeil puisse découvrir, Delille composa les premiers
chants
de l’Imagination, le chef-d’œuvre peut-être de la
profonde, Son cœur croit assister au premier jour du monde. Ibid.,
chant
IV. André Chénier.(1762-1794.) André Chéni
ieu de ces festins brillants d’or et d’agate, Où ses hôtes, parmi les
chants
harmonieux, Savouraient jusqu’au jour les vins dé
s la confuse succession de ses pensées, le poète l’exprimait dans des
chants
tout pénétrés de religion, de mélancolie et d’har
maintenant, régnant dans les ténèbres, Ton génie invincible éclate en
chants
funèbres ; Il triomphe, et ta voix, sur un mode i
ît dans tes yeux Un rayon éclipsé de la splendeur des cieux ! Roi des
chants
immortels ; reconnais-toi toi-même ! Laisse aux f
flambeaux jetaient une dernière flamme : Le prêtre murmurait ces doux
chants
de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murm
flamme : Le prêtre murmurait ces doux chants de la mort, Pareils aux
chants
plaintifs que murmure une femme A l’enfant qui s’
pendue et tremble à chaque haleine Sur la nuit du tombeau ; Quand des
chants
, des sanglots, la confuse harmonie N’éveille déjà
aite en répétant tour à tour les refrains moqueurs de Béranger et les
chants
émus de C. Delavigne. Les Messéniennes qui parure
pas ; Ils volent, mais on n’entend pas Battre leurs ailes. Derniers
Chants
. Alfred de Vigny.(1797-1863.) D’une famill
est sans bruit, De cette voix d’airain fait retentir la nuit ; A ses
chants
cadencés autour de lui se mêle L’harmonieux grelo
Et la cascade unit, dans une chute immense, Son éternelle plainte au
chant
de la romance. Ames des Chevaliers, revenez-vous
t Ballades, les Orientales (1828), les Feuilles d’Automne (1834), les
Chants
du Crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837)
ter à la puissance et à l’éclat d’un aussi prodigieux talent800. Un
chant
de fête de Néron801. Amis ! l’ennui nous tue,
à qui se plaît au cri de ses victimes !…… Il faut l’étouffer dans des
chants
. Je punis cette Rome et je me venge d’elle ! Ne p
jaune, » disait de Vigny en parlant des Ïambes. Après les Satires et
Chants
, qui n’étaient plus que des échos, le poète publi
, il s’est plaint que la Bretagne commençât à oublier les usages, les
chants
et la langue des ancêtres : Donc, à notre retour
st l’œuvre de Brizeux qui a le plus de fermeté et de souffle. Dans le
chant
des Lutteurs, des Conscrits, dans les scènes trag
serre, Elle était sur la mer, elle était sur la terre. Les Bretons,
chant
neuvième. La fleur de la tombe. Un soir je
lanche Oloossone à la blanche Camire837. Dis-moi, quel songe d’or nos
chants
vont-ils bercer ? D’où vont venir les pleurs que
it, cette impure furie, Séduisant de ses cris, qu’on prenait pour des
chants
, Un cortège boiteux de faunes trébuchants. Alors
e : « Oui, petit Français, tu les as vaincus. » Paul Déroulède 868,
Chants
du Soldat. Le passant (François Coppée).(Frag
morceau. Dans son enthousiasme, il marchait à grands pas, répétant le
chant
de guerre des barbares : « Pharamond ! Pharamond
e Moribus Germanorum, chap.III. 379. Le bardit, selon Tacite, est un
chant
propre à enflammer les courages, en faisant brill
pports avec les institutions sociales. 439. Boileau, Art poétique,
chant
Ier : Enfin Malherbe vint, et, le premier en Fra
Nisard contredit presque Boileau, qui a dit de Perse (Art poétique,
chant
II) : Perse, en ses vers obscurs, mais serrés et
ièces. 572. Voyez Virgile, représentant, d’après l’Odyssée d’Homère,
chant
. IV, les métamorphoses de Protée, Géorgiques, IV,
ceaux les plus remarquables de la Henriade : c’est le commencement du
chant
VII, Dans le centre éclatant de ces orbes immens
Discours de Voltaire sur l’Homme, et Delille, poème de l’Imagination,
chant
. V. 626. L’auteur désigne la décomposition de l
outes, qui se croisent de toutes parts, retrouve son chemin grâce aux
chants
des chrétiens qu’il entend tout à coup : « Une ha
es. Voir Cicéron, In Verrem, I, chapitre xxvi. — Cf. Homère, Odyssée,
chant
. IV, où Hélène assiste au repas. 707. C’est-à-di
Jupiter hospitalier. 708. C’est la place des esclaves. Cf. Odyssée,
chant
VII, v. 153, et chant XI, v. 190. 709. C’est la
708. C’est la place des esclaves. Cf. Odyssée, chant VII, v. 153, et
chant
XI, v. 190. 709. C’est la table appelée ξενίν τρ
XI, v. 190. 709. C’est la table appelée ξενίν τράπεζα par Homère au
chant
XIV de l’Odyssée, vers 158. 710. Et non dans l’a
ous les douleurs d’un humiliant esclavage. Lamartine, dans le Dernier
Chant
du Pèlerinage d’Harold, a retracé avec éclat plus
e l’échafaud soudain s’est élancé. Mais il n’était plus temps….les
chants
avaient cessé. 776. C. Delavigne s’est peut-ê
épart de Chrysès, le prêtre d’Apollon, outragé par Agamemnon (Iliade,
chant
. I, v. 34) : Βη δ’ ακέων παρα θινα πολυφλοίσϐοιο
unes hommes et de jeunes femmes, au retour de la chasse, écoutent les
chants
d’un troubadour. Des rois, des évêques, des guerr
te était prochaine. 821. Marie, à qui le poète a dédié ses premiers
chants
, et de laquelle il dit, dans la première pièce qu
autre ton, la sombre légende de la Charrette de la Mort (Les Bretons,
chant
XVe). Je l’entends ! je l’entends ! priez Dieu !
e principe de la loi morale. 833. Ville de Thessalie. Voir l’Iliade,
chant
II, v. 697. 834. En Laconie. C’est l’épithète d
v. 697. 834. En Laconie. C’est l’épithète donnée par Homère, Iliade
chant
II, v. 582. … Πολυτρήρωνά τε Μέσσην ; « Messa, fe
essalie, est couvert de plus. 836. Fleuve de Thessalie. Voir Iliade,
chant
II, v. 751. 837. Oloossone, ville de la Thessal
composé d’argile très blanche ; ce qui a fait dire à Homère, Iliade,
chant
II, v. 739 : … Πόλιν τ’ Ολοοσσόνα λευκήν ; « La b
sesse : Le style le moins noble a pourtant sa noblesse Art poétique,
chant
I. Il dit sans s’avilir les plus petites chose
x, de ces psaumes de pénitence, de cet orgue qui accompagne les beaux
chants
grégoriens, de ce de profundis de la mort, de ces
mes et d’ombres vagues et vacillantes. Le roi Jacques, s’unissant aux
chants
solennels, récitait à pleine voix ce verset : « R
de ses membres ; les gémissements de sa famille vinrent se mêler aux
chants
de deuil, et l’on entendait les pleurs d’une femm
n, et les ouvrages burlesques qu’il a composés sont les huit premiers
chants
de l’Énéide et le Télémaque de Fénelon. « L’Énéi
tent cachés donnent à peine quelques signes de vie en commençant leur
chant
qu’ils n’achèvent pas. Les fleurs sont ternies et
ent le sable et les coquillages, que naît ce timbre extraordinaire du
chant
de la mer. Mais pourquoi décomposer cette musique
entures de Tancrède avec Herminie et Clorinde ; et, dans les derniers
chants
du Paradis perdu, le tableau présenté à Adam de l
eprise, doit être divisé en plusieurs parties qu’on appelle livres ou
chants
. Les épopées d’Homère sont divisées en vingt-quat
livres ou chants. Les épopées d’Homère sont divisées en vingt-quatre
chants
, celles de Virgile et de Milton en douze, celle d
tenir. La mesure la plus ordinaire est de ne pas excéder, dans chaque
chant
, l’espace d’une heure de lecture. De plus, chaque
enne, notre Ossian ne place à côté de la tombe que les regrets et les
chants
funèbres. Ici, vous voulez oublier et jouir ; je
lants, pour respirer les sons belliqueux51. Les Romains commencent le
chant
de Probus : « Quand nous aurons vaincu mille guer
avant d’expirer une vue de l’Olympe88, et c’est pourquoi leur dernier
chant
est si mélodieux : mes recherches furent inutiles
C’est une rare destinée pour un pays, d’avoir inspiré les plus beaux
chants
des deux plus grands poètes du monde. Tandis que
de la forêt, les chauves-souris accrochées aux feuilles élèvent leurs
chants
monotones : on croit ouïr des glas continus ou le
e nos savants, il semblait se souvenir des jeux de son enfance et des
chants
de sa mère. Il fit des progrès rapides dans toute
créon et Sapho, et rendait avec grâce la douceur et la passion de ces
chants
nationaux pour lui. Au sortir du collège, il entr
er agenouillée devant Dieu, les chœurs d’Esther et d’Athalie, Dans le
chant
célèbre de Pergolèse, Stabat mater dolorosa, on p
e mariage d’un de leurs chefs. Oh entendait au loin le bruit de leurs
chants
, et l’on voyait la fumée du feu où cuisaient les
les Saxons se divertissaient avec grand bruit et chantaient de vieux
chants
nationaux, en vidant, autour de leurs feux, des c
llefer, poussa son cheval en avant du front de bataille et entonna le
chant
, fameux dans toute la Gaule, de Charlemagne et de
et sa muse formée par la nature pour des sentiments plus doux et des
chants
plus légers a parfois, grâce à cette lutte avec u
and crime ; Et, ce grand crime enfin se montrant à leurs yeux, Par un
chant
sacrilège ils rendaient grâce aux dieux. Étonné,
aux horizons que l’œil puisse découvrir, Delille composa les premiers
chants
de l’Imagination, le chef-d’œuvre peut-être de la
s la confuse succession de ses pensées, le poète l’exprimait dans des
chants
tout pénétrés de religion, de mélancolie et d’har
ier comparant ces vers, apparus pour la première fois vers 1820, à un
chant
qu’entendrait tout à coup un promeneur solitaire
maintenant, régnant dans les ténèbres, Ton génie invincible éclate en
chants
funèbres ; Il triomphe, et ta voix, sur un mode i
t dans tes yeux Un rayon éclipsé de la splendeur des cieux ! Roi des
chants
immortels, reconnais-toi toi-même ! Laisse aux fi
flambeaux jetaient une dernière flamme : Le prêtre murmurait ces doux
chants
de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murm
flamme : Le prêtre murmurait ces doux chants de la mort, Pareils aux
chants
plaintifs que murmure une femme À l’enfant qui s’
endue et tremble à chaque haleine Sur la nuit du tombeau ; Quand des
chants
, des sanglots, la confuse harmonie N’éveille déjà
aite en répétant tour à tour les refrains moqueurs de Béranger et les
chants
émus de C. Delavigne. Les Messéniennes qui parure
t ballades, les Orientales (1828), les Feuilles d’automne (1831), les
Chants
du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837)
son nom ; Oui, quand tu m’apparais pour le culte ou le blâme440, Les
chants
volent pressés sur mes lèvres de flamme, Napoléon
schia de ses fleurs embaumant l’onde heureuse Dont le bruit, comme un
chant
de sultane amoureuse, Semble une voix qui vole au
lanche Oloossone à la blanche Camire462. Dis-moi, quel songe d’or nos
chants
vont-ils bercer ? D’où vont venir les pleurs que
morceau. Dans son enthousiasme il marchait à grands pas, répétant le
chant
de guerre des barbares : « Pharamond ! Pharamond
ite, de moribus Germanorum, III. 54. Le bardit, selon Tacite, est un
chant
propre à enflammer les courages en faisant brille
les rivières les plus inconnues. » 91. Il faut lire dans l’Odyssée (
chant
IV) la visite de Télémaque à Ménélas dans son pal
le fils d’Ulysse, le renvoie chargé de riches présents. Cf. Odyssée,
chant
XV. 92. C’est à Ulysse même que Cicéron prête ce
routes qui se croisent de toutes parts, retrouve son chemin grâce aux
chants
des chrétiens qu’il entend tout à coup : « Une ha
s, aux fontaines et aux frais bocages qui sans cesse résonnent de mes
chants
. » 343. Nous n’avons pas dû placer dans notre
s douleurs d’un humiliant esclavage. M. de Lamartine, dans le Dernier
chant
du pèlerinage d’Harold, a retracé avec éclat plus
s de l’échafaud soudain s’est élancé. Mais il n’était plus temps… les
chants
avaient cessé. 419. C. Delavigne s’est peut-ê
NOTE SUR L’EXTRAIT DE LA POLITIQUE. De
chants
qui jettent l’âme dans un religieux délire.] Les
tragédie, mais quelquefois interposées l’une dans l’autre. — Sur les
chants
du chœur, voy. aussi Problèmes, XIX, 15 et 48, p.
né au débit en général, et surtout à celui des sermons, une espèce de
chant
si fatigant et si monotone. On s’est écarté de la
de se réunir ; et l’on sait que, dans ces occasions, la musique, les
chants
et la danse formaient leurs principaux amusements
t une origine commune ; les mêmes circonstances les firent naître, le
chant
les réunit toutes les deux ; et tant qu’elles ne
acile de donner aux mots l’ordre qu’exigeait le rythme poétique ou le
chant
. L’on pense bien que ce rythme fut d’abord dur et
ou à la chasse. La force des passions, le pouvoir de la musique ou du
chant
, étaient seuls capables de déterminer un homme à
l’invention de l’écriture, on ne pouvait confier à la mémoire que des
chants
. La mesure, en se faisant sentir à l’oreille, aid
peuples, que l’attention se fixe d’abord sur les poètes et sur leurs
chants
. Presque tous les rois des Scythes et des Goths é
hymnes, et c’est en effet celle que durent prendre naturellement des
chants
qu’inspiraient la religion, la joie, la vengeance
truire ou amuser, quelque sujet qu’il traitât, unissait la mélodie du
chant
à l’expression de ses pensées. Tel était l’usage
it que pour accompagner la voix, et soutenir ou relever la mélodie du
chant
. L’on entendait toujours le poète ; et quelques i
ont elle est animée, et le ton poétique qui y règne. La musique ou le
chant
ajoutent naturellement à la chaleur de la poésie
os qui avaient remporté des prix dans les jeux publics était pour ses
chants
un sujet trop stérile, il s’en écarte sans cesse
oisie peut embellir et donner de la vérité à une description. Dans le
chant
consacré à l’été, en racontant les effets de la c
ébreux chantaient leurs hymnes sacrées. La musique accompagnait leurs
chants
, et cette musique était exécutée par deux chœurs
ue, de cette poésie destinée à être récitée avec un accompagnement de
chant
et de musique. Outre un grand nombre d’hymnes et
que dans l’Iliade, et l’aventure d’Herminie et du berger, au septième
chant
de la Jérusalem, nous tirent d’une manière agréab
ue le mot tragédie nous vient du nom de la victime et de celui de ces
chants
: τράγος, hircus, bouc, et ᾠδή, cantus, carmen, h
de l’assemblée ses strophes et ses antistrophes. Pour mettre dans ces
chants
quelque variété, et en même temps pour que les ch
it placée. Tout ce que débitaient les acteurs se nommait épisode. Les
chants
du chœur finirent par n’avoir plus aucun rapport
arriver jusqu’au sublime de la poésie ; et comme on l’accompagnait de
chants
et de musique, c’était celle qui plaisait le plus
blance, à le rendre plus froid et moins intéressant. La musique ou le
chant
qui accompagnent les paroles du chœur, et se mêle
son origine, la tragédie n’était, chez les Grecs, qu’une hymne ou un
chant
adressé aux dieux par des chœurs ; aussi n’est-il
ait immédiatement leur place, et venait chanter des hymnes ; mais ces
chants
ne partageaient pas la pièce en cinq parties comm
s, dans les Perses ; l’inspiration de Cassandre, dans Agamemnon ; les
chants
des Furies, dans les Euménides, sont très beaux d
es pièces ; ses expositions sont faites avec bien moins d’art, et les
chants
des chœurs, quoique très beaux de poésie, ont gén
rien d’analogue dans nos représentations modernes. Non seulement les
chants
du chœur étaient accompagnés par des instruments
on commençait par ce monologue de Satan, qu’on voit dans le quatrième
chant
de son poème épique ; c’est lorsque cet esprit de
os tableaux que cherchent nos regards. (Delille, l’Homme des champs,
chant
IV.) 29. L’auteur qui, de nos jours, a traité l
Au moment de la réunion des Grecs.] Cet épisode était traité dans les
Chants
Cypriaques, dont l’analyse par le grammairien Pro
vieillard doit s’occuper du gouvernement de l’État). En récitant des
chants
épiques.] Ῥαψωδοῦντα. Comparez la Rhétorique, III
doit tenir le milieu entre l’uniformité de la prose et cette sorte de
chant
rhythmé qui marquerait tous les temps et toutes l
qui, se pressant à la messe pontificale, passait là la nuit dans les
chants
et les prières. Mais cette fois le pape n’avait é
flambeaux brille à travers la nuit ; Le cortège bruyant, qu’égaye un
chant
rustique, Marche… honneurs innocents, et gloire p
Où, dans les vallons verdoyants, Le rossignol anime de ses
chants
Le lierre à l’ombre pacifique,
pectée ; Et sur la pierre, encor de larmes humectée, Redire ce
chant
de douleur. Millevoye. Rêves de poésie P
blanche Oloossone à la blanche Camyre. Dis-moi, quel songe d’or nos
chants
vont-ils bercer ? D’où vont venir les pleurs que
e fait entendre la cadence, Ne crois pas de ta mère entendre les doux
chants
; Car ta mère avec toi veut garder le silence. T
r à son nom ; Oui, quand tu m’apparais pour le culte ou le blâme, Les
chants
volent pressés sur mes lèvres de flamme, Napoléon
hia, de ses fleurs embaumant l’onde heureuse, Dont le bruit, comme un
chant
de sultane amoureuse, Semble une voix qui vole au
il m’en souvient, du fond de leurs roseaux, Tes nymphes répétaient le
chant
plaintif et tendre Qu’aux échos de Passy ma voix
les saisons. Tantôt sur un gazon, tantôt sous un vieux chêne, Au doux
chant
des oiseaux, au bruit d’une fontaine, Il cherche
au cri perçant fuit et rase les treilles. Malgré les rires fous, les
chants
à pleine voix, Tout panier s’est déjà vidé plus d
à vous, quand on cueille ce fruit ; C’est le jour du fou rire, et des
chants
et du bruit ; Venez ceints de pampre et d
; on le voit toujours en mouvement ; et cela, joint à lu gaîté de son
chant
, a donné lieu sans doute à la façon de parler pro
eurs jours avant le rossignol ; il finit vers le solstice d’été : son
chant
a paru assez intéressant pour qu’on l’analysât ;
être les chantres des bois, allons donc dans les bois pour juger leur
chant
, et surtout pour en jouir. Si l’on met un jeune p
ous la leçon d’un serin, d’un rossignol, etc., il se rendra propre le
chant
de ses maîtres ; mais on n’a point vu d’oiseaux d
rmonie sont dans le tout. À mesure que notre chaloupe s’éloignait, le
chant
des bateliers et le bruit confus de la ville s’ét
ie. Devant des festins copieux, Au bruit des
chants
et de la lyre, L’heure semble trop courte aux pré
a cave il enserre L’argent, et sa joie à la fois. Plus de
chant
; il perdit la voix Du moment qu’il gagna ce qui
accroupie, N’en bouge nuit et jour, et fait qu’aux environs Jamais le
chant
des coqs ni le bruit des clairons Ne viennent au
aël va chercher ses pinceaux dans les cieux ; Pergolèse y noter leurs
chants
mystérieux ; Colomb de l’univers court changer la
15). 11. Imperiasius æquor . (Horace, Odes, I, 14.) 12. Derniers
chants
. (Didier édit.) 13. Selon Plutarque, ce chœur d’
ion. 31. Études antiques. (Michel Lévy édit.) 32. Homère, Iliade,
chant
vi. 33. Admirable réminiscence de Virgile : Una
le Combat de Pollux et d’Amycus est un morceau épique ; dans Bion, le
Chant
funèbre d’Adonis appartient à l’élégie : mais la
incident du bain d’Ulysse, mais tout ce qui s’y rattache dans le XIXe
chant
de l’ Odyssée. Or, dans sa première entrevue avec
rival qui venait de remporter le prix de la lutte, de la course ou du
chant
. Quoique libres dans leurs hameaux solitaires, il
s de Sicile se disputent encore aujourd’hui le prix de la flûte et du
chant
; prix qui est une houlette, une panetière. Quoi
De l’Ode. Nature et division de l’Ode Le mot Ode signifie
Chant
, Chanson, Hymne, Cantique. Ce poème, dont la form
rre, prête l’oreille ; Que l’univers se taise et m’écoute parler. Mes
chants
vont seconder les accords de ma lyre ; L’Esprit s
e sa tête, ne trouve aucun goût aux mets les plus exquis, et à qui le
chant
des oiseaux, la plus douce harmonie ne peuvent ra
t que le second traitait de la comédie, du dithyrambe, des nomes, des
chants
, et peut-être de la musique instrumentale. (Vossi
emploient tous les éléments nommés plus haut, savoir : le rythme, le
chant
et le mètre ; ce sont la poésie dithyrambique, ce
langage rendu agréable » celui qui réunit le rythme, l’harmonie et le
chant
, et par les mots « que chaque partie subsiste sép
n un appareil scénique, un caractère moral, une fable, un langage, un
chant
et une pensée. XI. Le point le plus important, c’
est une partie complète en elle-même de la tragédie, placée entre les
chants
complets du chœur. V. Le dénouement est une parti
est une partie complète en elle-même après laquelle il n’y a plus de
chant
du chœur. VI. Dans la partie chorique, l’entrée e
est ce qui est dit en premier par le chœur entier ; et la station, le
chant
du chœur, exécuté sans anapeste et sans trochée.
tragédie les proportions d’une épopée. — Des sujets traités dans les
chants
du chœur. I. Il y a, dans toute tragédie, le nœ
t, ce que faisait Sosistrate, et en chantant, ce qui caractérisait le
chant
de Mnasithée d’Opunte. VI. Ensuite, il ne faut pa
s celle d’un étranger, la langue parlée dans le pays où il est. X. Le
chant
est du domaine de l’art musical et, par suite, c’
, dans ses élégies nomme la poésie « le cri de Calliope » (au lieu de
chant
), attendu que les deux mots signifient un son : m
là vient que les poètes introduisent des expressions telles que « le
chant
sans cordes, le chant sans lyre558 ». Et ils les
es introduisent des expressions telles que « le chant sans cordes, le
chant
sans lyre558 ». Et ils les obtiennent au moyen de
gie ; comme, par exemple, de dire que (le son de) la trompette est un
chant
sans lyre. Chapitre VII Sur la convenance d
matique : δρᾶμα πολύμετρον. Deipnosophistes, l. XIII, p. 608, E. 11.
Chants
religieux et autres. 12. Ni chantée, ni rythmée.
illante ; plus grande place donnée au mètre ïambique, au détriment du
chant
chorique. — 7e : Sophocle institue un troisième p
musicographes définissent la mélopée : « La faculté de constituer un
chant
. » (Aristide Quintilien, Sur la Musique, p. 28, é
nchait les parties non vraisemblables ou non fondées en raison. 146.
Chant
xiii, où Ulysse, transporté à Ithaque, est exposé
ν. Cp. παντοφμής (Hymnes orph., xi, 10). 461. Vers appartenant à un
chant
perdu. (Cp. Pyth., iii, 78 et les scolies). Sur l
s. 668. Το ἐνδόσιμον, c’est l’exécution instrumentale qui précède le
chant
vocal. (Hésychius.) 669. Cp. Quintilien, Inst. o
quel les faits sont reproduits comme actuels (πραττόμενα), occupe les
chants
ix à xii de l’Odyssée. Racontés devant Pénélope,
επραγμένα), ils n’occupent plus que 60 vers. On a proposé de lire 30 (
chant
xxiii, vers 310-340), ou 26 (262-288). L’apologue
que d’Archiloque, n° 39, éd. Liebel (Athénée, XIV, p. 628). — Sur les
chants
phalliques, voyez, entre autres, Athénée, XIV, p.
halumeau, puis tuyan. On s’en servait pour siffler, et contrefaire le
chant
des oiseaux, afin de les attirer, d’où le sens de
oëte. Génie optimiste et épris de l’idéal, il est un de ceux dont les
chants
impérissables traversent les siècles. Sa muse est
chaque village s’élève ta sainte maison, et le son de l’orgue et les
chants
des chœurs résonnent pour toute oreille. Le solei
ux, — quand il entend chanter sur les branches — aux oiseaux les doux
chants
émouvants. — C’est dans ce temps délicieux, — alo
t le silence n’était troublé que par le bruit des fontaines et par le
chant
des oiseaux. Le soleil n’en pouvait, avec ses ray
s’exiler en Angleterre, il y publia la Henriade, poème épique en dix
chants
. Rentré en France en 1729, il donna, entre autres
ut ce qui l’environnait la rêverie et la tristesse. L’attrait que son
chant
avait pour moi fut tel, que non seulement plusieu
bronze protège ou menace. A mesure que notre chaloupe s’éloignait, le
chant
des bateliers et les bruits confus de la ville s’
572 cet humble oiseau si pauvrement vêtu, mais si riche de cœur et de
chant
. Quelle vie précaire, aventurée, au moment où ell
eau national, à peine hors de danger, retrouve toute sa sérénité, son
chant
, son indomptable joie. Autre merveille : les péri
e des torrents d’harmonie.... C’est un bienfait donné au monde que ce
chant
de lumière, et vous le retrouverez presque en tou
ue en tout pays qu’éclaire le soleil. (L’Oiseau, deuxième partie : le
Chant
.) La première leçon de vol Voulez-vous voi
feste de Brunswick1635 fut la Marseillaise de Rouget de Lisle1636. Un
chant
sortit de toutes les bouches ; on eût pu croire q
ts d’argent1820, forcés à pleine poitrine, perçaient mieux, comme des
chants
flûtés de tout petits oiseaux. On entendait des c
lèbre école de la Pléiade1955. Il a laissé, outre les quatre premiers
chants
d’une épopée, la Franciade, consacrée à célébrer
-comique, le Lutrin (1672-1683), et surtout un Art poétique en quatre
chants
(1674) dans lequel il expose avec méthode les pri
uvrez l’oreille2464 ! Que l’univers se taise, et m’écoute parler. Mes
chants
vont seconder les accords de ma lyre : L’Esprit s
laissé deux poèmes d’inspiration janséniste2470, la Grâce, en quatre
chants
, et la Religion, en six, « ouvrage, dit Voltaire,
; Il ne fait que l’ouvrir, et m’en remplit le sein. » (La Religion,
chant
Ier.) Voltaire (1694-1778) Pour la notice,
oux, S’il aime à se venger, barbares, c’est de vous. » (La Henriade,
chant
vi.) Zaïre2484 Zaïre, Lusignan. Lusi
les yeux Tout prêts à s’humecter de pleurs délicieux. (Les Jardins,
chant
II.) Soirée d’hiver Le ciel devient-il somb
ux, Et la gaieté revient exacte au rendez-vous. (L’Homme des champs,
chant
I.) Gilbert (1751-1780) Né en 1751 en Lorr
ures, Qui peuvent de notre âme assoupir les blessures, Et de magiques
chants
qui tarissent les pleurs. Le Berger. Il n’en est
ois des vers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. Ces
chants
, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelqu
re intérêt. Les petits poèmes : la Mort de Socrate (1823), le Dernier
Chant
de Childe-Harold (1823), les compositions plus va
s riche qui te possède Soit heureux où nous l’étions tant ! (Derniers
Chants
.) Alfred De Vigny (1797-1863) Alfred-Vict
Et les sons argentins du nébel étranger2659, Puis, de plus près, les
chants
, leurs paroles pieuses, Et les pas mesurés en des
que, parmi les voix, le père a reconnu La voix la plus aimée2661 à ce
chant
ingénu : « O vierges d’Israël ! ma couronne s’app
est sans bruit, De cette voix d’airain fait retentir la nuit ; A ses
chants
cadencés autour de lui se mêle L’harmonieux grelo
Et la cascade unit, dans une chute immense, Son éternelle plainte aux
chants
de la romance. Ames des chevaliers, revenez-vous
Orientales (1828), et surtout dans les Feuilles d’automne (1831), les
Chants
du crépuscule (1835), les Voix intérieures (1837)
nt place dans le temple, Et qui mourront comme ils sont morts ! (Les
Chants
du crépuscule, III.) La fleur et la papillon
, Prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes Comme à toi ! (Les
Chants
du crépuscule, xvii.) Souvenir2692 O souve
ra travailler ; — Étant maîtresse, on est servante ; — s’éveiller Au
chant
du coq, couper le seigle ou la fougère, Être bonn
ent tout le jour au sein de la nature, Et s’endorment le soir au doux
chant
des oiseaux : Ils ont reçu du ciel un regard favo
qu’en avril le rossignol Chante et la dédommage ; Qu’effrayé par ses
chants
d’amour, L’oiseau du cimetière, Longtemps, longte
s aurions fait tous deux l’école buissonnière Dans les bois pleins de
chants
, de parfum et d’amour ; J’aurais vidé leurs nids
Du fond de son exil elle cherche ses sœurs2782, Et les pleurs et les
chants
sont les voix éternelles De ces filles de Dieu qu
invisible réseau ! Des ailes ! Des ailes ! Des ailes ! Comme dans le
chant
de Ruckert2808, Pour voler là-bas, avec elles, Au
scurs où je vis sans feu. « Mangez et chantez, aimable personne ! Vos
chants
me feront revoir le ciel bleu, Et me rendront plu
es rêves : Ce long bruit cadencé du flot qui bat ses grèves Semble un
chant
de berceuse aux chers petits dormants. Un vent to
plaît, c’est chose décidée. Le Vin. Pour qu’ils nous fêtent par leurs
chants
, Prévenons les oiseaux de tout le voisinage. l’ea
II. Ce psaume, le plus célèbre de tous, et le plus beau peut-être des
chants
que les douleurs de l’exil aient jamais inspirés,
Cariboux, rennes. 1398. Moqueurs, oiseaux qui imitent aisément le
chant
des autres oiseaux. 1399. Oiseleurs, prenant le
monde, d’abord la mer retentit, du côté des Hellènes, d’une sorte de
chant
modulé, comme un hymne, et dont les rochers de l’
er du génie. Il composa à Strasbourg les paroles et la musique de son
Chant
de l’armée du Rhin, qui, importé à Paris par les
ion de piper les oiseaux, c’est-à-dire de les tromper en imitant leur
chant
avec des pipeaux. 1907. Grippée, agrippée, sai
ée : Un sonnet sans défaut vaut seul un long poème. (Art poétique,
chant
ii, 94.) 2338. Voir la note 1 de la page suivan
e de cette singulière manière d’écrire. Ainsi, dans les Trois Règnes (
chant
VI), le poète vient de dire, non sans bien des ci
ont vouée. Ici Musset se souvient de la seconde strophe du troisième
chant
de Childe-Harold : « Les vagues bondissent au-des
ctation de simplicité ; le poète essaie de rappeler la naïveté de ces
chants
, si nombreux dans nos anciennes provinces, par le
, composent la blanche cire aux nombreux rayons ; partout retentit le
chant
mélodieux des oiseaux ; on entend les alcyons sur
réparent leur miel, comment le printemps n’inspirerait-il pas de doux
chants
? » 2899. Composée en janvier 1871, pendant la
re que nous faisaient entrevoir le Serment des fils du Débonnaire, le
Chant
d’Eulalie et le fragment de Valenciennes. Mais vi
itieuses de son temps. Ce fut l’épopée des haines et des révoltes, le
chant
funèbre du moyen âge agonisant. Désormais, c’en e
ute sa nudité, les sauvages ont leurs parures, leurs ornements, leurs
chants
guerriers, leurs hymnes funèbres, leurs harangues
e des deux mots françois et lois. — Voyez la citation dans le premier
chant
de l’Art poétique. 1. On peut voir sur Malherbe
conter. 5° On écrit avec mp, champ, pour signifier terre, et avec nt,
chant
pour signifier l’action de chanter. 6° On écrit a
teint vermeil s’arrondit à nos yeux. (Poème des Jardins, nouv. édit.
Chant
ii). Mais le charme principal de la physionomie c
s souvenirs historiques se conservent par la tradition orale, par les
chants
des poètes ou par des monuments simples et grossi
Delille a peint un vieillard plein de jours, poëme de l’Imagination,
chant
VI. v. 81. 1. Le même mouvement se retrouve en
pour qu’on ait été porté à les diviser en plusieurs parties appelées
chants
ou livres. 5º. Les poèmes dramatiques, dont la fo
près de ce triste lieu, j’entends le grillon poursuivre gaiement son
chant
infatigable, caché dans l’herbe qui couvre la tom
xcepté. 1. « Je m’en vais à la salle rejoindre papa. J’écrivais, au
chant
de jeunes poulets qui piquent l’herbe sous ma fen
oésie trouvent leurs modèles dans les Livres saints : l’Ode, dans les
chants
de Moïse et de Débora ; l’Épithalame, dans le Can
Tout brille des feux du printemps. Les plus simples objets, le
chant
d’une fauvette, Le matin d’un beau jour, la verdu
ayons du soleil ne pouvaient percer. Là, on n’entendait jamais que le
chant
des oiseaux ou le bruit d’un ruisseau qui se préc
toujours accompagnée d’instruments, et la poésie dramatique mêlée au
chant
. Il devait encore apprendre à ses disciples à réc
je médite près de ce triste lieu, j’entends le grillon poursuivre son
chant
infatigable, caché sous l’herbe qui couvre mon am
lemands passionnés pour l’antique. 2. Allusion au célèbre passage du
chant
V de l’Iliade, où Diomède blesse à la main Vénus
le grand chêne, près du Téoulé dont on nettoyait le bassin. Ces jolis
chants
et le lavage de fontaine1 me donnaient à penser d
e temps que l’église offre ici la victime de propitiation, et que ses
chants
lugubres demandent au Seigneur qu’il le purifie d
t la poésie didactique. 4°Poésie lyrique. — La poésie lyrique, née du
chant
et de la lyre, apparaît à l’origine des peuples,
, Se sourient par la fable et vit de fiction. Boileau, Art poétique,
chant
iii, v. 260. La grandeur du sujet, la majesté de
genres ont consacré pour toujours le souvenir de cette origine (ôdè,
chant
, tragos, bouc que l’on immolait à Bacchus ; cômè,
ocutions grossières et triviales. Boileau dit, dans son Art poétique (
chant
l, v. 79) : Quoi que vous écriviez, évitez la ba
e-Chapelle Conservait du vieux temps l’oisiveté fidèle.. Le Lutrin,
chant
II, V. 125. La cage et le panier avaient mêmes
e.) Là, depuis trente hivers, un hibou retiré. Boileau, le Lutrin,
chant
III, v. 11. Fouler aux pieds l’orgueil et du Ta
cœur, et ne se lassent point de répéter, ces beaux vers du quatrième
chant
: Chiama gli abitator dell’ombre eterne Il rauco
grand sens : « Le murmure de l’eau est produit par un travail, et le
chant
du rossignol est un art. N’avez-vous jamais enten
qu’à sa douceur et à sa bonté. 2. Cf. Boileau, Art poétique, fin du
chant
IV : Muses, dictez sa gloire à tous vos nourriss
adre ailée. 1. Rappelons ces beaux vers de M. de Lamartine sur le
chant
du cygne : Les poëtes ont dit qu’avant sa derniè
d, au milieu de la nuit, le silence a tout à coup été troublé par des
chants
ou par ces instruments qui ressemblent à la voix
doit tenir le milieu entre l’uniformité de la prose et cette sorte de
chant
rhythmé qui marquerait tous les temps et toutes l
bords du Simoïs, les Troyennes captives Ensemble rappelaient par des
chants
douloureux De leur félicité les heures fugitives
ns Ne retentiront pas sur la rive étrangère. Si tu veux entendre nos
chants
, Rends-nous, peuple cruel, nos époux et nos pères
ie ! Doux sommets de l’Ida, beau ciel de la patrie, Vous entendez nos
chants
pour la dernière fois. » Casimir Delavigne (Im
. Et si, dans le chemin, rapsode ingénieux, Tu veux nous accorder des
chants
dignes des cieux, Nous dirons qu’Apollon, pour ch
lence arrive, Quand des gardes du camp retentit le qui-vive, Quand le
chant
du clairon pour la dernière fois Éveille les écho
ce, Illustrant son humble naissance, Au rhythme éolien sut marier nos
chants
. Tu le peux, désormais sois fière De mon renom c
t l’esclave des rois. Sauvez ma lyre, elle est persécutée ; Et si mes
chants
pouvaient vous attendrir, Mêlez ma cendre aux cen
a première verdure, ni la rose en ses premiers parfums, ni le premier
chant
du rossignol dans les nuits d’avril ou de mai, no
aux Romains, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, À réciter les
chants
qu’il veut qu’on idolâtre ; Tandis que des soldat
er agenouillée devant Dieu, les chœurs d’Esther et d’Athalie. Dans le
chant
de Pergolèse, Stabat Mater dolorosa, on peut dema
ue tu ignores. — Et le Seigneur me dit : Fils de l’homme, commence le
chant
lugubre sur la multitude d’Égypte ; traîne-la, el
irent l’épouvante dans la terre des vivants. » (Ézéchiel, xxxii.) Des
chants
pleins de douceur, des hymnes d’une beauté sublim
ne sera jamais imitée ; c’est un rapport de la musique, des vers, des
chants
, des personnes, si parfait et si complet, qu’on n
ant : cette fidélité de l’histoire sainte donne du respect ; tous les
chants
convenables aux paroles, qui sont tirées des Psau
l’oreille ; écartez La courtisane immonde et la nocturne orgie Et les
chants
du buveur à la face rougie. Nous devons un respec
un beau désordre est un effet de l’art, a dit en effet Boileau, IIe
chant
de l’Art poétique. 2. C’est la traduction de
un rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m’endormis à son
chant
. Mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantag
oureux murmure, d’une voix basse, plaintive et lugubre, formaient son
chant
funèbre. On entendait ce chant lorsque, au lever
e, plaintive et lugubre, formaient son chant funèbre. On entendait ce
chant
lorsque, au lever de l’aurore, les vents et les f
e, on rappellera avec sentiment cette expression touchante : C’est le
chant
du cygne ! Même ouvrage : oiseaux aquatiques.
Il s’en aille admirer le savoir de Pradon680 ! L’Art poétique681.
Chant
I (fragment). Préceptes aux auteurs682. V
mains746, « À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, « À réciter des
chants
qu’il veut qu’on idolâtre ; « Tandis que des sold
; Si je pouvais du ciel franchir les vastes routes Ou percer par mes
chants
les infernales voûtes De l’empire des
endre pour eux ! » C’est ainsi qu’au-delà de la769 fatale barque Mes
chants
adouciraient de l’orgueilleuse Parque
ers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. Ces
chants
, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelqu
uable. 350. Boileau a dit dans son Art poétique, au commencement du
chant
III : Il n’est point de serpent ni de monstre od
Hélas ! ainsi du cygne, aux rives du Méandre, À l’heure de sa mort le
chant
se fait entendre ; Et le flambeau mourant, comme
ble des deux mots françois et lois. Voyez la citation dans le premier
chant
de l’Art poétique. 431. On peut voir sur Malherb
ottaient sur ses traits pâlissants ; Et les vierges du ciel, avec des
chants
de fête, Aux palmes du martyre unissaient sur sa
uples, surpris et charmés de ta gloire, Mêlent un peu d’envie à leurs
chants
de victoire. Ils voudraient avoir va comme eux, a
s’allume. Delille a dit avec moins de bonheur, dans les Trois Règnes,
chant
I, le nitre irascible, dépassant ainsi le point j
ncement. » Pensées, t. II ; p. 115. 698. On doit regarder le premier
chant
de l’Art poétique, à l’exception du début, dont l
l renferma et la manière dont ils sont rendus. Dans le IIe et le IIIe
chant
, on parcourt sans effort, et au moyen de transiti
à réparer cet oubli dans son poème de l’Imagination, chap. V.) Le IVe
chant
de l’Art poétique n’est pas tout à fait à la haut
que cette belle allégorie des Prières personnifiées, dans le neuvième
chant
de l’Iliade ? et combien cette magnifique idée s’
ient leurs rayons et choisissaient leurs feux ; Les oiseaux par leurs
chants
, l’onde par son murmure, À fêter ce beau jour inv
incliné du gazon, le bruit du ruisseau qui fuit sous le feuillage, le
chant
du rossignol, etc., tout délasse et récrée. Plus
ence est un don fort commun que la nature accorde aux hommes comme le
chant
aux oiseaux, l’adresse aux singes et la vivacité
sang. Sa façon de dire les terminaisons en i faisait croire à quelque
chant
d’oiseau ; le ch prononcé par elle était comme un
Nantais. 2. Nous dirions : Qui était du plus bel effet. 3. Voir le
chant
XIII de la Jérusalem délivrée. 1. Lieu d’enchant
oresque. Il ne faudra nommer aucune espèce d’oiseaux. N° 106. — Le
chant
du rossignol Le rossignol dédaigne de perdre s
Cette armée n’a qu’un corps et qu’une âme — … Les échos répètent les
chants
de victoire — … Dénouement. La victoire ! Car la
quille, il recueille une larme et l’offre à Dieu — … Dénouement. Les
chants
célestes éclatent dans les nues ? L’ange reprend
ez à raconter. Au dessert Rodolphe témoignera le désir d’entendre les
chants
d’un troubadour. Il s’en présenté un qui raconte
dénouement, Rodolphe qui n’aura point été appelé par son nom dans le
chant
du troubadour, se détournera pour cacher une larm
’on boit à la gloire de Lacédémone. On veut terminer le repas par des
chants
, on fait venir un poète. Il prélude sur sa lyre,
tristesse produite par l’isolement. 61. Plaisirs de l’enfance, jeux,
chants
, historiettes. 62. Récapitulation de la composit
paganisme, les dieux de l’Olympe ; c’est dire qu’elle débute par des
chants
religieux, par des hymnes. L’hymne, au temps d’Ho
ie poétique. L’harmonie poétique répond exactement à la mélodie du
chant
. Elle consiste dans une succession naturelle et s
Roule, plein de graviers, sur un terrain fangeux. Ailleurs (Lutrin,
chant
ii), peignant la paresse et l’indolence : Seulem
ranquille et lent Promenaient dans Paris le monarque indolent. Et au
chant
iii du même Lutrin, parlant de coups de maillet q
Tout brille des feux du printemps. Les plus simples objets, le
chant
d’une fauvette, Le matin d’un beau jour, la verdu
es qui en sont l’ordinaire accompagnement.Tel est cet endroit du ive
chant
de l’Énéide : Nox erat et placidum carpebant fes
il enserre L’argent et sa joie à la fois. Plus de
chant
: il perdit la voix Du moment qu’il gagna ce qui
âme ; une même ardeur, une même joie court dans les rangs ; les mêmes
chants
apprennent aux échos de ces monts la présence, la
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