dans leur course ; car elles paraissent toujours prêtes à rouler. Le
bruit
des vents et des flots, qui s’engouffre dans cet
bre toute lambrissée à l’antique, donnant sur la mer, inaccessible au
bruit
du ménage, en un mot, vrai sanctuaire du travail
aises ; les douces choses qui se disent à la chaleur de la flamme qui
bruit
tandis que nous causons ; et, s’il fait soleil, l
e sa voix ; l’Océan qui va toujours roulant son train de vagues et de
bruits
; les branches mortes que nous coupons en nous en
autres au plus profond de mon âme, s’agitent et se lèvent. « Tous les
bruits
de la nature : les vents, ces haleines formidable
s cette énumération qui serait infinie, cette émission continuelle de
bruits
, cette rumeur des éléments toujours flottante, di
uand un ravon furtif du crépuscule parvenait à tromper les nuages. Le
bruit
de la mer était calme et rêveur comme aux plus be
ent il avait quelque chose de plus plaintif. Notre oreille suivait ce
bruit
qui se développait sur toute la longueur de la cô
ois, de la voix grave et profonde que roule la lame qui déferle et du
bruit
grêle et pierreux de la lame qui s’en va en frois
combien de fois, la nuit, Ou quand j’erre le jour dans la foule et le
bruit
, Tu m’apparais ! — je vois les toits de ton vill
doux, Qu’en le chantant ma voix vous ferait pleurer tous. — Oh ! les
bruits
, les odeurs, les murs gris des chaumières, Le pet
Le travail 3 Au travail ! au travail ! qu’on entende partout Le
bruit
saint du travail, et d’un peuple debout. Que part
st l’auteur de ces beaux vers ? Un poëte qui n’a pas fait beaucoup le
bruit
dans le monde ; car il pratiquait volontiers cett
s le monde ; car il pratiquait volontiers cette maxime d’un sage : Le
bruit
ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de bruit
xime d’un sage : Le bruit ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de
bruit
. — Esprit vraiment démocratique, dans le sens le
cade qui pleut dans le gouffre qui tonne Frappe l’air assourdi de son
bruit
monotone ; L’œil fasciné la cherche à travers les
Ainsi, quand tu fonds sur mon âme, Enthousiasme, aigle vainqueur, Au
bruit
de tes ailes de flamme, Je frémis d’une sainte ho
du sillon1. On n’entendait au loin que le cri du grillon, Au lieu du
bruit
vivant, des voix entremêlées Qui montent, tous le
vement, Comme si du passé l’image tendre et sainte Devait, au moindre
bruit
, s’enfuir de cette enceinte. Dans notre toit d’e
cour résonnèrent, Le marteau retentit, et les cloches sonnèrent. A ce
bruit
, tout à coup reprenant nos esprits, Et comme des
geste et du regard me saluaient de loin. L’œil fixé sur mon toit sans
bruit
et sans fumée, J’approchais, le cœur gros, de ma
l être au monde, Excepté dans le cœur du vieux chien du foyer, Que le
bruit
de vos pas errants fait aboyer ! N’avoir que ce s
’horizon ! Mais prends ta voix de fête, et sonne sur ma tombe Avec le
bruit
joyeux d’une chaîne qui tombe Au seuil libre d’
à Philomèle Pourquoi, durant les nuits, sa voix douce se mêle Au doux
bruit
des ruisseaux sous l’ombrage roulant. Je chantais
; ses échos firent couler bien des larmes ! Mais il y eut en effet le
bruit
d’une délivrance dans son glas funèbre ; celle du
erraient à l’aventure, Mes vers inachevés ont mêlé leur murmure Au
bruit
de la rame et des eaux. Mais si le temps m’épargn
LES LIMBES 3 Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un
bruit
lointain, C’est je ne sais quoi d’incertain Qu
réveil, Et d’un brouillard pâle entourée, Quand le jour meurt avec le
bruit
, Blanchir comme une ombre adorée Qui nous apparaî
Où, loin des ennuis de la ville, Dans un loisir doux et facile, Sans
bruit
mes jours auraient coulé. J’ai quitté l’obscure v
espèce de beauté qui caractérise ceux d’Homère20 ? Faut-il peindre le
bruit
des vagues qui se brisent en courroux sur leurs r
ivages ? Ῥοχθεῖ γὰρ μέγα κῦμα ποτὶ ξερὸν ἐπείροιο. (Od. Ε. 402). Le
bruit
de la mer au milieu du calme de la nuit ? Βῆ δ᾿
main du monstre, pour saisir ces infortunés. Frangeret ad saxum ; le
bruit
des os fracassés est dans frangeret, et le vers s
premier sifflement des vents impétueux, Tantôt au haut des monts d’un
bruit
tumultueux On entend les éclats ; tantôt les mers
όφον ; et thunders impetuous down, peint la chute et fait entendre le
bruit
de la pierre. 24. Dryden est plus précis, et a
e que d’instruire, de charmer que d’être utile, il chercha surtout le
bruit
, l’éclat, la gloire, la première place dans un si
ilain quartier de Paris, dans la plus vilaine maison, plus étourdi du
bruit
des cloches qu’un sacristain ; mais je ferai tant
étourdi du bruit des cloches qu’un sacristain ; mais je ferai tant de
bruit
avec ma lyre, que le bruit des cloches ne sera pl
s qu’un sacristain ; mais je ferai tant de bruit avec ma lyre, que le
bruit
des cloches ne sera plus rien pour moi. Je suis m
pillent le miel de quelques abeilles ? Les gens de lettres font grand
bruit
de toutes ces petites querelles ; le reste du mon
ux qu’il le dit de vivre ainsi en plein tourbillon : le mouvement, le
bruit
, était son élément ; il s’y trouvait comme le poi
1. Le 2 août de la même année, Voltaire écrivait à D’Alembert : « Le
bruit
court que vous venez avec un autre philosophe ; i
C’était… la Diligence, Et… personne dedans. Du
bruit
, du vide, amis, voilà, je pense, Le port
e m’écoute pas, il fuit ; Il court dans une fête (et j’en entends le
bruit
) Finir son heureuse journée. Et moi, je vais cher
seaux dans une aire, Entre les noirs feuillets du lourd dictionnaire.
Bruit
plus doux que le bruit d’un essaim qui s’enfuit.
tre les noirs feuillets du lourd dictionnaire. Bruit plus doux que le
bruit
d’un essaim qui s’enfuit. Souilles plus étouffés
es de dragon ; on y voit jaillir çà et là le feu pâle des éclairs. Le
bruit
du tonnerre, qu’ils portent dans leurs flancs, re
es flots. Les noirs écueils blanchissent au loin et font entendre des
bruits
affreux, entrecoupés de lugubres silences. La mer
utre siècle. Cependant ces grands corps insensibles font entendre des
bruits
profonds et mélancoliques. Ce ne sont point des a
tes : ce sont des sons monotones, parmi lesquels se font entendre des
bruits
sourds et profonds, qui nous jettent dans une tri
Que, d’instant en instant, quelques pages froissées ; Ou l’insensible
bruit
des plumes empressées, Qui, toutes à l’envi coura
fois ; Le long frémissement qui court sous les ombrages, Semblable au
bruit
sans fin qui montait des rivages, Et cette odeur
moi si souvent enfermée, Loin de tous les regards et loin de tous les
bruits
, Me livra tant de jours et de fécondes nuits2 ; O
n beau levrier, pour toute distraction quelques ruches d’abeilles, au
bruit
desquelles j’allais lire les Géorgiques… Tout ce
ployer comme un serpent flexible, Tantôt, tel qu’un tonnerre, avec un
bruit
horrible, Précipiter sa masse, et de ses tourbill
ns Dans les rocs caverneux engloutir les bouillons2. Ce mouvement, ce
bruit
, cette mer turbulente, Roulant, montant, tombant
3, Où, fuyant le bâton de l’aveugle au long bras, Je me glissais sans
bruit
, et ne respirais pas. O village charmant ! ô rian
jusqu’aux bornes de l’horizon. J’entends, la nuit, et de mon lit, le
bruit
des vagues ; et ce son monotone et sourd m’invite
ute opération militaire. A minuit, on monte à cheval ; on arrive sans
bruit
aux portes de Luynes ; point de sentinelles à égo
! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L’appeler, faire du
bruit
, je n’osais ; m’échapper tout seul, je ne pouvais
vec mes réflexions1. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand
bruit
, vint nous éveiller, comme nous l’avions recomman
nèbres. Les eaux couvraient au loin les rochers et les monts, Mais au
bruit
de sa voix les ondes se troublèrent,
s de sa rage, Se roule en vain sur le rivage Qu’elle épouvante de son
bruit
; Un grain de sable la divise, L’onde écume, le f
eurs, Boileau et Pope. Voici les vers de Boileau. L’enfer s’émeut au
bruit
de Neptune en furie : Pluton sort de son trône, i
dieux5. Ces vers étincellent de beautés vraiment dignes d’Homère. Au
bruit
de Neptune en furie, est une de ces tournures heu
ait d’ouïr que le sifflement aigu des vergues et des cordages, et les
bruits
rauques des flots, semblables aux hurlements des
utre siècle. Cependant ces grands corps insensibles font entendre des
bruits
profonds et mélancoliques. Ce ne sont point des a
inantes, mais des sons monotones, parmi lesquels se font entendre des
bruits
sourds et profonds, qui nous jettent dans une tri
rent sur des cadavres, ou cherchent leurs parents sous des ruines. Le
bruit
des eaux, des bois, de la foudre et des vents, qu
clairant. Mille sons qui heurtent son oreille, ne sont pour lui qu’un
bruit
confus ; ses pieds ne peuvent le porter, ses main
e que soc maître, le cheval voit le péril et l’affronte il se fait au
bruit
des armes, il l’aime, il le cherche et s’anime de
a croupe se recourbe en replis tortueux. Et plus loin pour imiter le
bruit
du char d’Hippolyte qui se brise, et vole de tous
perfection le retentissement immensément prolongé dans le lointain du
bruit
de la cataracte du Niagara : « Tout était silenc
travers les déserts solitaires. » Delille représente parfaitement le
bruit
que fait le moulin pour réduire le café en poudre
en le broyant crier son fruit amer. Et ailleurs il exprime ainsi le
bruit
régulier occasionné par des marteaux qui frappent
e que d’instruire, de charmer que d’être utile, il chercha surtout le
bruit
, l’éclat, la gloire, la première place dans un si
ntraîne, Impétueux, léger, et surtout inconstant, Qui vole au moindre
bruit
, et qui tourne à tout vent, Y juge les guerriers,
elle expire1. Sur sa mort Vers écrits au prince de Ligne. Le
bruit
avait couru que Voltaire venait de mourir. Princ
n à l’autre opposés. Un profond calme, un stupide silence, Succède au
bruit
de leur impertinence : Chacun redoute un honnête
ser de vivre, ce n’est rien. 2. Vers écrits au prince de Ligne. Le
bruit
avait couru que Voltaire venait de mourir. 1. J
les pleurs de l’aube en gouttes de lumière ; Et la forêt joyeuse, au
bruit
des flots chanteurs, Exhale, à son réveil, les hu
f qu’on blanchit sur le pré4. Dans l’air lourd plus de voix, hors5 le
bruit
des cigales Frappant le ciel cuivré de leurs not
s, au chant de jeunes poulets qui piquent l’herbe sous ma fenêtre, au
bruit
joyeux des moissonneurs qui ont dans les chèneviè
ractères de ces littérateurs de décadence ambitieuse : malgré tout le
bruit
qu’ont fait nos entrepreneurs d’originalité, dans
t le peuple more À ce miracle entendu ; À l’un et l’autre Bosphore Le
bruit
en est répandu ; Toutes les plaines le savent, Qu
nt la voix non pareille Bâtissant une ville étonna l’univers, Quelque
bruit
qu’il ait eu, n’a point fait de merveille
ps. Dona Léonor. Laissons là ce combat, et parlons de don Sanche. Ce
bruit
est grand pour vous, toute la cour y penche : De
in à terre ! Je ne suis point don Sanche, et connais mes parents ; Ce
bruit
me donne en vain un nom que je vous rends. Gardez
ur. Du haut de l’escalier je le voyais descendre ; En vain de ce faux
bruit
il se voulait défendre, Votre cour, obstinée à lu
s sont ouverts dans l’Aulide. Avez-vous dans les airs entendu quelque
bruit
? Les vents nous auraient-ils exaucés cette nuit
enrichit de nos pertes. Des biens des nations ravisseurs altérés, Le
bruit
de nos trésors les a tous attirés : Ils y courent
honneur les conduit Les vrais braves soient ceux qui font beaucoup de
bruit
, Les bons et vrais dévots qu’on doit suivre à la
hivers. De degrés en degrés l’eau tombant sur des marbres Mêlait son
bruit
aux vents engouffrés dans les arbres. Jamais dése
un à l’autre opposés. Un profond calme, un stupide silence Succède au
bruit
de leur impertinence ; Chacun redoute un honnête
ouisse. Quand dans la tombe un pauvre homme est inclus, Qu’importe un
bruit
, un nom qu’il n’entend plus ! L’ombre de Pope ave
fit connoître ; Dans tout Nevers, du matin jusqu’au soir, Il n’était
bruit
que des scènes mignonnes Du perroquet des bienheu
bres ; Les eaux couvraient au loin les rochers et les monts : Mais au
bruit
de sa voix les ondes se troublèrent ;
s de sa rage, Se roule en vain sur le rivage Qu’elle épouvante de son
bruit
; Un grain de sable la divise, L’onde écume, le f
Il n’en coûtait de révérence Qu’à quelqu’un trompé par le
bruit
. Mais à présent, mon cher habit, Tout e
al, Le cri des Parques mutinées De ta chute est l’affreux signal ; Au
bruit
des ondes qui mugissent, Des noirs tourbillons qu
fatal, sur sa tête étendu, Prêt à frapper, tient le fer suspendu… Un
bruit
s’entend… l’air siffle… l’autel tremble… Du fond
rempart des taillis ont franchi l’épaisseur. Éveillé dans son fort au
bruit
de la tempête, La terreur dans les yeux, le cerf
ire, Étendu dans sa chaise et se chauffant les piés, Aime à dormir au
bruit
des vers psalmodiés. — Qui, moi ? Non, je n’ai ri
une vaste cité, Des enfants de Bruno ne troublent point l’asile ; Le
bruit
les environne, et leur âme est tranquille. Tous l
vança leur réveil : Ils chantaient l’Éternel sur le roc solitaire, Au
bruit
sourd du torrent dont l’eau les désaltère, Quand,
ît au murmure Du vent qui fait tomber leur première verdure ! Ce doux
bruit
a pour moi je ne sais quel attrait. Tout à coup,
nos pas, Nos chants majestueux, consacrés au trépas, Se mêlaient à ce
bruit
précurseur des tempêtes ; Les nuages obscurs s’ét
s avis modérés. » L’assemblée applaudit à ce début si sage, Et par un
bruit
flatteur lui donne son suffrage. Le harangueur re
ferez le voyage. » D’un peuplier voisin on abat le branchage. Mais le
bruit
au hameau s’est déjà répandu. « Monseigneur est i
ressent sa main ; Tandis que le plus jeune, étendu sur son sein, Sans
bruit
cherchant la place où son amour aspire, Gravit ju
astère Où, sous l’œil vigilant du cénobite austère, S’envolèrent sans
bruit
, sur les ailes du temps, De mes premiers beaux jo
en ruine, J’ai passé de longs jours à voir tous ces torrents, À grand
bruit
, sous mes pieds, briser leurs flots errants ! J’a
ouvants ? Entendez-vous de loin la voix de l’infidèle, Qui se mêle au
bruit
sourd de la mer et des vents ? Il veille, et le m
ses mains étincelle. ………………………………………………………… Qu’entends-je ? C’est le
bruit
de deux rames pareilles, Ensemble s’élevant, tomb
x lieux où je n’ose m’asseoir, Pour vous chanter, dans ma nacelle, Au
bruit
des vagues, chaque soir, J’accorde ma lyre fidèle
illard livre le repas Qu’il a dressé pour sa famille ; Et la mère, au
bruit
de leurs pas. Maudit la beauté de sa fille. ……………
n arbrisseau ; Dans un sillon, le lièvre agile ; Effrayé par un léger
bruit
, Le ver, qui serpente et s’enfuit Sous l’herbe ou
toi qui gémis, lévite ? est-ce ta lyre Qui roule de tes mains avec ce
bruit
plaintif ? Mais de la nuit déjà tombait le voile
de l’onde, Des trésors étalés dans ce bazar du monde ; Des jeux, des
bruits
du port, des chants du gondolier ! Ah ! des fers
éveil, Et, d’un brouillard pâle entourée, Quand le jour meurt avec le
bruit
, Blanchir comme une ombre adorée Qui vous apparaî
Les Limbes. Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un
bruit
lointain, C’est je ne sais quoi d’incertain
cade qui pleut dans le gouffre qui tonne Frappe l’air assourdi de son
bruit
monotone ; L’œil fasciné la cherche à travers les
s les airs ! Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique Aux derniers
bruits
du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux
uvement, Comme si du passé l’image tendre et sainte Devait au moindre
bruit
s’enfuir de cette enceinte. Dans notre toit d’en
cour résonnèrent. Le marteau retentit et les cloches sonnèrent. À ce
bruit
, tout à coup reprenant nos esprits Et, comme des
tive non essayée au théâtre, ce drame de Cromwell, qui fit surtout du
bruit
par sa longue préface, où l’auteur s’appropriait
us rappelez-vous ? Le soir, auprès de ma bougie, Elle jasait à petit
bruit
, Tandis qu’à la vitre rougie Heurtaient les papil
a fenêtre Jouer le matin doucement. Elle courait dans la rosée, Sans
bruit
, de peur de m’éveiller ; Moi, je n’ouvrais pas ma
urs, il marcha trente nuits. Il allait, muet, pâle, et frémissant aux
bruits
, Furtif, sans regarder derrière lui, sans trêve,
ur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible
bruit
: C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui s
qu’il rattrape au passage ; Quand, sinistre, orageux, étourdi de vos
bruits
, Vous auriez, sous le vent, veillé toutes vos nui
ure éclata sous ses ombres paisibles ; J’entendis des sanglots et des
bruits
menaçants ; Je vis errer des bois les hôtes invis
pagnement sublime Pour les chants inspirés du barde audacieux, Que le
bruit
du canon roulant de cime en cime, Ou le cri du co
combien de fois, la nuit, Ou quand j’erre le soir dans la foule et le
bruit
, Tu m’apparais ! — Je vois les toits de ton villa
si doux, Qu’en le chantant ma voix vous ferait pleurer tous. Oh ! les
bruits
, les odeurs, les murs gris des chaumières, Le pet
bouillonner la mer, et, sur les rocs, Ouvrez encor l’oreille au grand
bruit
de ses chocs ! L’épouvante est partout sur ce hau
comme la craie : Son sable pâle est fait des ossements broyés, Et les
bruits
de ses bords sont les cris des noyés !… Mais déj
mis, et l’artiste et le prêtre. » Ensemble ils sont partis ; mais au
bruit
de leurs pas Les bruits de leurs discours ne se m
prêtre. » Ensemble ils sont partis ; mais au bruit de leurs pas Les
bruits
de leurs discours ne se mêleront pas, Tant l’heur
isse en silence, Parmi les troncs moussus s’enfonce et disparaît. Les
bruits
cessent, l’air brûle, et la lumière immense
t L’horizon de vapeurs de cuivre où l’homme habite. Nulle vie et nul
bruit
. Tous les lions repus Dorment au fond de l’antre
nées. Puis un long roulement, un vaste branle-bas, Pareil au
bruit
d’un char de tôle Attelé d’un dragon toujours fum
, de intus, dedans. 75. C’est-à-dire : vous a fait connaître à grand
bruit
. Vaugelas a dit : « Tympaniser, pour publier et d
explication de la sphère, d’après Copernic et Newton, fit beaucoup de
bruit
lorsqu’elle parut : c’était une grande difficulté
jamais attendries. Il chantait, et ravis jusqu’au fond des enfers, Au
bruit
harmonieux de ses tendres concerts, Les légers ha
ouffle dans les salles, les aubades des guettes sur les tourelles, le
bruit
des chaînes des pont-levis, tout cela fait en que
amp des chrétiens offrait l’image de la plus affreuse douleur ; aucun
bruit
ne s’y faisait entendre ; les soldats moribonds s
ferez le voyage. » D’un peuplier voisin on abat le branchage. Mais le
bruit
au hameau s’est déjà répandu : Monseigneur est ic
e jour, père des jours ! Lamartine. Le Jugement dernier Quel
bruit
s’est élevé ? La trompette sonnante A
n Renaud vivra comme Achille : L’arrêt du temps doit te venger. « Le
bruit
confus de la cabale À tes pieds va bientôt mourir
au pied des murs d’opulentes cités, Sons des arches de pierre à grand
bruit
emportés. Dirai-je ces travaux, source de l’abon
misérable risée, Au sacre du malheur il retrempe ses droits, Tient au
bruit
de ses pas deux mondes en haleine, Et, mourant de
s importuns, Ischia, de ses fleurs embaumant l’onde heureuse, Dont le
bruit
, comme un chant de sultane amoureuse, Semble une
indre l’amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le
bruit
de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure
Lieux que j’aimai toujours, ne pourrai-je jamais, Loin du monde et du
bruit
, goûter l’ombre et le frais21 ! Oh ! qui m’arrête
ne, Un buisson d’aubépine Est tout son horizon. Là jamais ne s’élève
Bruit
qui fasse penser ; Jusqu’à ce qu’il s’achève On p
ies ! J. Chénier. Le Bonheur des champs Heureux qui, loin du
bruit
, sans projets, sans affaires, Cultive de ses main
r un gazon, tantôt sous un vieux chêne, Au doux chant des oiseaux, au
bruit
d’une fontaine, Il cherche le repos, s’assied, rê
l’essaim des marmots aux pieds nus. On descend, et la troupe à grand
bruit
s’éparpille, Va des chars aux paniers, revient, s
on cueille ce fruit ; C’est le jour du fou rire, et des chants et du
bruit
; Venez ceints de pampre et de lierre. Da
ue bien tendue résonne au mouvement d’un petit marteau que le moindre
bruit
agite ; elle a, dans un os fort dur, des cavités
s autres au plus profond de mon âme, s’agitent et se lèvent. Tous les
bruits
de la nature : les vents, ces haleines formidable
s cette énumération qui serait infinie, cette émission continuelle de
bruits
, cette rumeur des éléments toujours flottante, di
ure éclata sous ses ombres paisibles ; J’entendis des sanglots et des
bruits
menaçants ; Je vis errer des bois les hôtes invis
esses du vent, Adieu les frais tapis de mousse et de pervenches Où le
bruit
des baisers t’a réjoui souvent. Ô chêne, je comp
e poursuite inattendue. Lorsqu’on demande aux Indiens la cause de ces
bruits
continuels pendant certaines nuits, ils répondent
et compose un tissu Qu’un autre bassin rend sitôt qu’il l’a reçu. Le
bruit
, l’éclat de l’eau, sa blancheur transparente, D’u
nce est profond dans cette ville dont les rues sont des canaux, et le
bruit
des rames est l’unique interruption à ce silence
feuillage des bois desséché par l’automne Et berce la tristesse à son
bruit
monotone ; Il n’a pas, sous les monts dont il qui
À mesure que notre chaloupe s’éloignait, le chant des bateliers et le
bruit
confus de la ville s’éteignaient insensiblement.
bre voyageur ne craignait plus d’outrages ; Hercule, respirant sur le
bruit
de vos coups, Déjà de son travail se reposait sur
qu’il expie. Devant des festins copieux, Au
bruit
des chants et de la lyre, L’heure semble trop cou
mille naufrages, Je crois l’entendre encore, à travers les orages, Au
bruit
de la tempête entremêlant ses cris, Redemandant a
Oui ; tout autre que moi Au seul
bruit
de ton nom pourrait trembler d’effroi. Les palmes
cela est beau ; mais tout cela ne parle point Vous voudriez un peu de
bruit
et de fracas. Charles-Quint. J’ai cent mille écus
à polir, jour et nuit, De creux discours, enflés de mots qui font du
bruit
, Où, tout ce que j’ai pu comprendre, c’est qu’il
umée couvrait un fleuve de feu et des tourbillons de flammes, dont le
bruit
, semblable à celui des torrents les plus impétueu
il avait l’œil au guet ; et la nuit, Si quelque chat faisait du
bruit
, Le chat prenait l’argent. À la fin le pauvre hom
nuit et jour, et fait qu’aux environs Jamais le chant des coqs ni le
bruit
des clairons Ne viennent au travail inviter la na
Cet ordre fut, dit-on, le fruit des premiers vers. De là sont nés ces
bruits
, reçus dans l’univers, Qu’aux accents dont Orphée
nulle familiarité ; que tout y était farouche et comme alarmé par le
bruit
des chars qu’il fallait éviter, et qui s’abandonn
. Ni Corneille, dans son petit ménage de Rouen, écrivant Polyeucte au
bruit
des fuseaux de sa femme, ni Racine faisant la pro
des eaux, par ses rêves conduit, De leur chute écumante il écoute le
bruit
, Ou, fier d’être ignoré, d’échapper à sa gloire.
au fond de l’Orient, tinter les glas de ces grandes funérailles ; le
bruit
lugubre de ces premières morts nous arriverait de
rait, par un beau soleil, dans une allée bien sombre, au milieu de ce
bruit
des champs, immense, confus, et pourtant si harmo
e du cœur emportée. On crie, on pleure ; M. d’Hamilton fait cesser le
bruit
et ôter le petit d’Elbeuf, qui s’était jeté sur c
On jette un manteau ; on le porte dans une haie ; on le garde à petit
bruit
; un carrosse vient, on l’emporte dans sa lente :
-vous de me dire que je calomnie Maupertuis, quand je vous dis que le
bruit
a couru qu’après sa mort on avait trouvé les Œuvr
n Renaud vivra comme Achille : L’arrêt du temps doit te venger. « Le
bruit
confus de la cabale À tes pieds va bientôt mourir
les notes. On se fâchait autrefois de ce qu’à l’Opéra on entendait le
bruit
du bâton qui battait les mesures. Que serait-ce s
la présence de ma sœur rendait cette retraite vivante. J’entendais le
bruit
de ses pas dans ma solitude. Quand je revenais, à
u de la nuit, m’étant assis un instant pour me reposer, j’entendis un
bruit
léger à l’entrée de ma chambre. J’approche, je pr
prenant bien ; et nous avons ici des gens d’une adresse !… D’abord un
bruit
léger, rasant le sol comme l’hirondelle avant l’o
! Ce que c’est aussi que la puissance ! Nous nous surfaisons tous le
bruit
de notre nom ; nous croyons tous que tout le mond
Les rêves d’or, essaim tumultueux, sans nombre, Qui naît aux derniers
bruits
du jour à son déclin, Voyant de loin leur souffle
que nous sommes. Que sont devenus ces personnages qui firent tant de
bruit
? Le temps a fait un pas, et la face de la terre
nes ! Quelle succession d’arches et de voûtes ! Qu’ils sont beaux ces
bruits
qu’on entend autour des dômes, semblables aux rum
ont parle l’Écriture : un silence et une solitude aussi vastes que le
bruit
et le tumulte des hommes qui se pressaient jadis
es fenêtres et les portes en sont fermées ; il n’en sort ni fumée, ni
bruit
, ni habitants. Une espèce de sauvage, presque nu,
l’harmonie ou par le contraste. Dans la Fête villageoise, la vie, le
bruit
et le mouvement sont sur le premier plan ; la pai
donner les riches benefices, Non ce vent populaire151, et ce frivole
bruit
Qui de beaucoup de peine apporte peu de fruict. C
oyant telle nouvelle, Desja sous le labeur à demy sommeillant, Qui au
bruit
de Ronsard156 ne s’aille reveillant, Benissant vo
mis195 Un cadran naturel à l’essueil196 de son huis197 !… Il dort au
bruit
de l’eau qui court parmy les prées, Aimant mieux
bruit de l’eau qui court parmy les prées, Aimant mieux les ouïr qu’un
bruit
d’un tambourin Ou le mugissement d’un orage marin
aller dans un antre de nuit205, Ouïr au soir bien tard pesle-mesle le
bruit
Des bœufs et des aigneaux qui reviennent de paist
s la mort qu’une ombre de fumee. Mais qui veut en ce monde un bon
bruit
aquerir Qui soit loüé de tous et ne puisse perir,
t en quelque rivage esloigné, solitaire, Hors des grandes cités, sans
bruit
et sans procés, Et qui, content du sien418, ne fa
it un escadron, un essaim bourdonnant D’abeilles qui là vont un grand
bruit
demenant431 ; Il oit sourdre à bouillons les sour
phirs et les perles contraires454, Sont rouges de nos morts ; le doux
bruit
de leurs flots, Leur murmure plaisant heurte cont
vie, Parmy les champs, les forests et les bois, Loin du tumulte et du
bruit
populaire, Et qui ne vend sa liberté pour plaire
Que ma discrétion expiast mon péché… Il vint à reparler dessus le
bruit
qui court, De la Royne, du Roy, des Princes, de l
’une ardante poursuite. Des chiens bien ameutez l’abboy fait un grand
bruit
; Mais entre les veneurs personne ne le suit D’un
a voix non pareille, Bastissant une eglise estonna l’univers, Quelque
bruit
qu’il ait eu, n’a point fait de merveille Que ne
army les cris et les allarmes, Les feux, les glaives et les dards, Le
bruit
, et la fureur des armes, Vous parut avoir quelque
moi, mais je les ai sans brigue ; Et mon ambition, pour faire plus de
bruit
, Ne les va point quêter de réduit en réduit ; Mon
Lieux que j’aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du
bruit
, goûter l’ombre et le frais852 ! Oh ! qui m’arrêt
e qu’il laisse en arrière ; Et tout ce vain amour des grandeurs et du
bruit
Ne le sauroit quitter qu’après l’avoir détruit864
r ; Moi je veux, sans quitter mon aimable séjour, Loin du monde et du
bruit
rechercher la sagesse. Là, sans crainte des gran
ans des airs Ont apaisé leur insolence, J’écoute à demi transporté Le
bruit
des ailes du silence Qui vole dans l’obscurité.
ille fois la mort Ayant que de perdre la vie. Passant, ne fais icy de
bruit
, Et garde bien qu’il ne s’éveille, Car voicy la p
ière se lève et compose une nuit Qui du camp disparu ne laisse que le
bruit
. (Id., La Pucelle d’Orléans 1029.) Lemoyn
ort en cette sombre nuit, Y sont sans mouvement, sans lumière et sans
bruit
. (Le P. Lemoyne, Saint-Louis.) Segrais
ssot (1730-1814), dont la comédie satirique des Philosophes fit grand
bruit
, et surtout Fabre d’Églantine (1755-1794, dont la
euplez cette rive, Préparez, leur dirois-je, une oreille attentive Au
bruit
de nos concerts ; Puissent-ils amollir vos superb
arbare ! quand même Mon cœur eût pu se rendre à son amour extrême, Le
bruit
de ton trépas, confirmé tant de fois, Ne me laiss
ntraîne, Impétueux, léger, et surtout inconstant, Qui vole au moindre
bruit
, et qui tourne à tout vent, Y juge les guerriers,
t ; Le superbe Eridan, le souverain des eaux, Traîne et roule à grand
bruit
forêts, bergers, troupeaux ; Le prêtre, environné
’ancre et du repos, Aux éclats du tonnerre, aux cris des matelots, Au
bruit
des longs adieux mourans sur le rivage, Superbe a
ployer comme un serpent flexible, Tantôt, tel qu’un tonnerre, avec un
bruit
horrible, Précipiter sa masse et de ses tourbillo
ons Dans les rocs caverneux engloutir les bouillons. Ce mouvement, ce
bruit
, cette mer turbulente, Roulant, montant, tombant
au pied des murs d’opulentes cités, Sous les arches de pierre à grand
bruit
emportés. Dirai-je ces travaux, source de l’abond
e qu’ils ont d’esprit pour un peu de bon sens, (La Chaussée.) Le
bruit
est pour le fat, la plainte est pour le sot ; L’h
r d’être assis dans le fond des vallons, Et d’entendre à ses pieds le
bruit
des moucherons Pendant que le midi brûle au loin
Guidé par le ruisseau qui se perd dans son sein, J’entendrai le doux
bruit
du zéphyr et des ondes1268. (Id., Idylles, livr
s victoires légitimes et définitives sont celles qui font le moins de
bruit
. C’est parce que l’école romantique avait fait ac
te échevelée Venait pleurer quand le jour fuit, Eveille par ton léger
bruit
Mon ombre un instant consolée ! » Il dit, s’éloig
s Visiter la pierre isolée ; Et le pâtre de la vallée Troubla seul du
bruit
de ses pas Le silence du mausolée1286. Arnau
l pur et doux. N’entend-on pas le Qui vive des gardes, Qui se mêle au
bruit
des verrous Si la philosophie de ses « Bonnes Ge
fois ; Le long frémissement qui court sous les ombrages, Semblable au
bruit
sans fin qui montait des rivages, Et cette odeur
veille à demi, Gazouille quelques sons, et se tait rendormi… Tous les
bruits
du matin commencent, et la mère, Son enfant dans
soudoyés Chatouillent mon orgueil de leurs bravos payés ! Et c’est ce
bruit
flatteur qu’on nomme une victoire ! Un cœur né gé
nt toujours la justice au faux droit, Et le fait qu’on doit croire au
bruit
menteur qu’on croit, Les noms dont elle est fière
s les airs : Le voyageur s’arrête, et la cloche rustique Aux derniers
bruits
du jour mêle de saints concerts. Mais à ces doux
ilence ; On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux, Que le
bruit
des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots h
s eaux ! Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les
bruits
de tes bords par tes bords répétés, Dans l’astre
our, La neige que le matin dore, Le soir qui s’éteint sur la tour, Le
bruit
qui tombe et recommence, Le cygne qui nage ou s’é
s grandes ombres que déroulent Les sommets que l’astre a quittés, Les
bruits
majestueux qui roulent Du sein orageux des cités,
l’homme est divin, quand la nuit De la vie orageuse étouffe ainsi le
bruit
! Ce sommeil, qui d’en haut tombe avec la rosée E
sent voir un pan bleu du ciel pur sur nos têtes ; On n’entend d’autre
bruit
, dans cet isolement, Que quelques voix d’enfans,
, en l’oubliant, l’oreille s’accoutume, Et qui semble, fondu dans ces
bruits
du désert, La basse sans repos d’un éternel conce
x numides Qui mordaient le vôtre au poitrail1355 ; Ce n’était pas le
bruit
de bombe et de mitraille Que vingt ans, sous ses
ours, il marcha trente nuits. Il allait, muet, pâle et frémissant aux
bruits
, Furtif, sans regarder derrière lui, sans trêve,
ri de l’entendre, et plus souvent pleuré ! Car je croyais ouïr de ces
bruits
prophétiques Qui précédaient la mort des paladins
mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l’air est sans
bruit
, De cette voix d’airain fait retentir la nuit ; À
ots fangeux, de lourds quartiers de roc ! Qu’il gèle ! et qu’à grand
bruit
, sans relâche, la grêle De grains retentissants f
upe en mouvement, Sur ses jarrets dressée, elle effrayait le monde Du
bruit
de son hennissement. Tu parus ; et, sitôt que tu
nouissement, mais sous laquelle le sang du cœur circule et bat, comme
bruit
l’eau vive sous le terrain pierreux des landes. «
combien de fois la nuit, Ou quand j’erre le jour dans la foule et le
bruit
, Tu m’apparais ! — Je vois les toits de ton villa
si doux Qu’en le chantant ma voix vous ferait pleurer tous — Oh ! les
bruits
, les odeurs, les murs gris des chaumières Le peti
un doux parfum, le chant de mille oiseaux S’élevant du vallon avec le
bruit
des eaux ; La brise dans les joncs qui siffle et
grillon qui court de buisson en buisson, Et toujours vous poursuit du
bruit
de sa chanson ; Dans nos cantons aussi, lointaine
r la colline, La fleur lève vers toi sa tige verte et fine, Que mille
bruits
confus se répandent dans l’air, Et que vers l’ori
, Revoir tous les buissons si chers à mon jeune âge, Dormir encore au
bruit
de tes roseaux chanteurs, Et causer d’avenir avec
J’entends parfois de loin monter la voix des villes, Elle m’arrive en
bruits
douloureux et discords ; J’aime mieux écouter ces
bras noueux, vos cheveux longs et rudes, J’ai mes chansons aussi, mes
bruits
graves et doux, Et sur mon front ridé le vent des
nds ramiers posés sur ces vieux ifs, Et tes agneaux bêlants… Tous ces
bruits
sont plaintifs. LE PÂTRE. J’entends, je vois, par
eds les soupirs de son onde ! LE PÂTRE. J’entends sur les cailloux le
bruit
clair du ruisseau, Du ruisseau qui gazouille auss
e soir, le flot dormant, qu’aucun vent ne soulève, Sans écume et sans
bruit
s’étale sur la grève ; C’est à peine si l’onde, e
aix solennelle et profonde ? Muet, j’ai beau prêter l’oreille… pas un
bruit
! Une voix cependant au sein de cette nuit S’élèv
ait encor, belle nuit de printemps, Pleine encor de rayons, pleine de
bruits
chantants. Les brises qui de l’aile effleuraient
ns la plaine, Gourmande encor ses bœufs las et manquant d’haleine, Le
bruit
d’une charrette aux essieux cahotés, Les longs mu
tte ; Ces frissons dans les bois des vents alternatifs1496 Ces mille
bruits
confus, mystérieux, furtifs, Qui, dans l’éther sa
alors, plaise aux Dieux qu’il soit de bon augure, C’est alors que le
bruit
me vint de ton retour. Qu’en dis-tu, Junius ? n’e
euple, amoncelé sur les pentes fatales, Mêlait ses cris d’horreur aux
bruits
sourds des rafales, Et le Romain, fuyant de ce si
………… Vous, fleuves, échappés des assises polaires, Qui roulez à grand
bruit
sous les pins séculaires1555 ! (Poèmes barbares
. (Ibid.) Le soir, Les vents sont assoupis, les bois dorment sans
bruit
. (Égl., IV.) La nuit, Fouler l’herbe des prés
(Égl., IV.) La nuit, Fouler l’herbe des prés au son de l’eau qui
bruit
. (Égl., III.) 174. Chanté (carmen amœbœum) p
es, composés par Ronsard et Baïf, furent chantés. L’affaire fit grand
bruit
, on les accusa d’avoir sacrifié à un dieu païen,
go ! 431. De même Amyot (Vies de Plutarque, Thésée) : démenant grand
bruit
, ils tirèrent vers la ville. 432. De l’arbre fr
Dépit, chagrin mêlé de colère. Étym. : Despectus. 434. Huée, 1° le
bruit
, que dans une battue les paysans font après les l
s d’ete la voés se fait clère ; Et samble bien, qu’en s’eforçant D’un
bruit
vif ele veulhe plere Au soleilh qui se vient haus
bes de laine, jambes molles ; pieds de laine, pieds qui marchent sans
bruit
. 499. Un des deux contestants. — Ma partie s’emp
ares fruits que la muse produit. Ont acquis dans la scène un légitime
bruit
, Et de qui certes l’art comme l’estime est juste,
ue y abondent. Aussitôt on se lève, et l’assemblée en foule, Avec un
bruit
confus, par les portes s’écoule. (Ch. I, fin.)
Les cloches dans les airs de leurs voix argentines Appeloient à grand
bruit
les chantres à matines. (Ch. IV, début.) Ces v
escription des enfers : Et ce mélange affreux qu’accompagne un grand
bruit
Luit éternellement dans l’éternelle nuit. Voilà
vec les vôtres et mettent leur cœur en commun avec vous. On entend le
bruit
de la vague qui nous dit que nous passons et l’on
uages sur nos têtes Rouler leurs flots séditieux ; Pour lui, loin des
bruits
de la terre, Bercé par son vol solitaire. Il va s
nsité S’ouvre et grandit sans fin l’espace illimité ; Là l’infini. Le
bruit
du monde s’y vient taire : Nous n’y retrouvons pl
ule (1416-1507), né à Paule en Calabre, fonda l’ordre des Minimes. Le
bruit
de ses guérisons miraculeuses le fit appeler par
er le jour à d’autres momies ; Dans l’horizon désert Phœbé monte sans
bruit
. Et jette, en pénétrant les ténèbres profondes, U
Nul ne se dérobe au ciel bleu, aux arbres verts, à la nuit sombre, au
bruit
du vent, au chant des oiseaux. Aucune créature ne
qui sur nos fronts flamboie ; J’écoute si d’en haut il tombe quelque
bruit
; Et l’heure vainement me frappe de son aile, Qua
es hautes solitudes, planant sur le monde enfiévré de mouvement et de
bruit
, le poète est à l’aise pour médire, — comme Horac
orger leurs eaux, Et les rocs de Penmark déchirent les vaisseaux… Nul
bruit
dans ce désert, hors le cri du vanneau, Immobile
réunis près du seuil. Ces étoiles au ciel dont la fête commence, Ces
bruits
errants du soir dans la campagne immense, Cette n
t entre le tableau et le cadre. Bivouac nocturne dans le désert. Le
bruit
de la bataille expire, et dans la plaine Le silen
sable infertile, Se traîne, en mugissant, l’immense crocodile. À ces
bruits
solennels, pour la première fois. Des hommes inco
gne du camp le cri d’éveil résonne Et va s’éteindre au loin, comme un
bruit
monotone Que, sous un long portique, au milieu de
us dites : « Heureux qui peut dormir sous une cabane écartée, loin du
bruit
des eaux ! » Le jour vient, les ombres s’effacent
gardes sont relevées1 ; vous rentrez dans le camp ; la fatigue et le
bruit
vous plongent dans un doux sommeil, et vous vous
illes, nids, doux rameaux que l’air n’ose effleurer, Ne faites pas de
bruit
autour de cette tombe ; Laissez l’enfant dormir e
qui tombait la nuit. Il lui sembla, dans l’ombre, entendre un faible
bruit
: C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui s
Les rêves d’or, essaim tumultueux, sans nombre, Qui naît aux derniers
bruits
du jour, à son déclin, Voyant de loin leur souffl
onfond ! A quelques pieds sous terre un silence profond, Et tant de
bruit
à la surface1 ! (Feuilles d’automne.) Soleil
e pas forcer sa voix. Aussi sa vie s’écoulait-elle sans faire plus de
bruit
que le sable d’une horloge antique. Vers le soir,
ne frémissais d’horreur. Maintenant, Hamlet, écoute : on a répandu le
bruit
que, paisiblement endormi dans mon jardin, un ser
nsieur… vous... DON JUAN. Et le petit Colin, fait-il toujours bien du
bruit
avec son tambour ? M. DIMANCHE. Toujours de même.
élance pour le dévorer : c’est au moment même où la mère, accourue au
bruit
, se courbe pour l’emporter. Seule, sans armes et
rchant sur des débris, et de sang tout couverts, Ils se traînaient au
bruit
des armes et des fers. D’autres semblaient plus d
is. Le Strymon porte à tort le nom de fleuve, tant il promène à petit
bruit
ses ondes paresseuses. Le nôtre, je n’en connais
lque chose de plus doux encore, le repos : non-seulement parce que le
bruit
des villes n’y saurait pénétrer ; mais aussi parc
ir de jour et rouge de nuit. On entend, quand elle approche, un petit
bruit
d’étincelles, qui fait d’autant plus de peur qu’i
les voit s’épaissir, s’élever et s’étendre, D’un tonnerre éloigné le
bruit
se fait entendre. Les îlots en ont frémi, l’air e
murmure Dont le son lent et sourd attriste la nature. Il succède à ce
bruit
un calme plein d’horreur, Et la terre en silence
s. La foudre éclate, tombe, et des monts foudroyés Descendent à grand
bruit
les graviers et les ondes, Qui courent en torrent
du rossignol, ou le zéphir léger qui murmure dans le feuillage, ou le
bruit
confus du ruisseau qui roule dans la prairie ses
ui serpentent sur leurs côtés, il eût entendu, pendant deux lieues le
bruit
du torrent qui s’indigne au milieu des débris de
dain, ô surprise ! ô merveille ! D’une cloche il a cru reconnaître le
bruit
; Le bruit augmente à son oreille ; Une clarté su
prise ! ô merveille ! D’une cloche il a cru reconnaître le bruit ; Le
bruit
augmente à son oreille ; Une clarté subite a bril
a nuit. Tandis qu’avec peine il écoute, A travers la tempête un autre
bruit
s’entend : Un chien jappe, et s’ouvrant la route,
lles et aux campagnes, elle ne se fixe qu’à la maison paisible où nul
bruit
ne troublera sa petite colonie, et à abri de laqu
rend. Un auteur classique eût exprimé sa pensée à peu près ainsi : Au
bruit
de la trompette guerrière, aux éclats retentissan
nvolent au son des instruments de musique ; elles font comme un léger
bruit
dans les airs, en s‘en allant entendre la sentenc
chaque pas, à chaque instant avec des circonstances effrayantes. Des
bruits
sourds, des cris affreux annoncent que les troupe
l’effroi dans nos âmes. La mer ténébreuse faisait entendre au loin un
bruit
semblable à celui des flots qui se brisent contre
son vint soupirer minuit : Au loin, d’un char de fête on entendit le
bruit
, Mais on n’entendit plus de plainte. Vers l’églis
r, et Molina sent couler dans ses veines le baume du sommeil. Mais un
bruit
plus terrible que celui des tempêtes le frappe au
lui des tempêtes le frappe au moment même qu’il allait s’endormir. Ce
bruit
, pareil au broiement des cailloux, est celui d’un
et, entrelacés l’un à l’autre, ils forment dans leurs mouvements, ce
bruit
qu’Alonzo reconnaît. Il sait que le venin de ces
p, sème le blé. Bientôt la terre se couvre d’une moisson dorée, et le
bruit
se répand dans les Gaules qu’une déesse a apporté
enant le sifflet, il en tire trois fois un son aigu et prolongé. À ce
bruit
, plusieurs seigneurs de sa suite s’avancent vers
se faisait entendre au milieu du fracas des machines universelles. Le
bruit
des soleils et des corps célestes, ce bruit épouv
machines universelles. Le bruit des soleils et des corps célestes, ce
bruit
épouvantable paraissait un silence profond pendan
enlève et me laisse retomber sur l’autre plateau. Je rebondis avec un
bruit
sonore, comme ces boules de cuivre creuses et éla
s de la tempe un trou et un reste de clou !.. Cette découverte fit du
bruit
: elle vînt aux oreilles de la justice. On fit de
e était tristement penchée sur ma poitrine, quand j’entendis un léger
bruit
, et vis apparaître devant moi une jeune fille d’u
s’écoula sans qu’on annonçât le retour de ces bâtiments ; bientôt le
bruit
de leur perte se répandit, et le crédit d’Auffréd
ait balsamique et pur ; le chant des matelots se mariait doucement au
bruit
des vagues ; et le capitaine Hodoul, tranquilleme
de remplissaient les avenues, et les cris d’allégresse se mêlaient au
bruit
des clairons. Enfin, après de longs et cruels com
nit les campagnes. Chaque jour cependant, jusqu’à nous apportés, Des
bruits
affreux troublaient nos hameaux attristés ; On di
cret tourmenté, Tout mon cœur s’indignait, jour et nuit agité ; Et du
bruit
des combats au milieu des prairies, Seule, j’entr
ongs gémissements, Du tigre furieux les sourds rugissements, Mêlés au
bruit
lointain d’un livide tonnerre, Ensemble présageai
n faisceau d’épis ses remords sont pressés. Soudain l’orage éclate au
bruit
d’un noir tonnerre ; Sa mère appelle : ô Dieu ! c
is on ne voyait point de fumée, les vitres n’étaient pas brisées, nul
bruit
ne se faisait entendre ; tout annonçait plutôt un
Arrêtez, Sire, s’écriait le comte de son coté. N’entendez-vous pas ce
bruit
étrange, qui part de la salle des États ? Qui sai
toi, concierge, ouvre vite cette porte. » Il la poussa du pied, et le
bruit
, répété par l’écho des voûtes, retentit dans la g
tendit la tête : la hache brilla dans l’air, et retomba aussitôt avec
bruit
. Un ruisseau de sang jaillit jusque sur l’estrade
ent agitées par le vent. On entendit encore pendant quelques temps un
bruit
assez mélodieux, que l’un des témoins compara au
’âme des voyageurs est occupée de ces grandes pensées, tout a coup un
bruit
extraordinaire se fait entendre : au même moment,
général ; on respirait plus péniblement, et l’on n’entendait d’autre
bruit
que celui des hennissements et des trépignements
régner avec la nuit, et l’on n’entendait plus dans la campagne que le
bruit
lointain de quelques chariots, lorsque l’attentio
! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L’appeler, faire du
bruit
, je n’osais m’échapper tout seul, je ne pouvais ;
ul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand
bruit
, vint nous éveiller, comme nous l’avions recomman
uif. — Ah ! mon Dieu, reprit la maîtresse de l’auberge, voilà bien du
bruit
pour rien : je vois ce que c’est, c’est un Juif q
l avait su le devenir au fond du cloître, la gloire, les honneurs, le
bruit
pouvaient encore venir le chercher : il se fit er
t les chênes accusateurs, il entend encore la tempête orageuse et des
bruits
semblables aux gémissements de mille hommes qui m
craindrez que la voix de vos accusateurs, Couverte maintenant par le
bruit
des flatteurs, N’aille un jour, soulevant l’inexo
u’un saint accord anime, S’arment en attestant notre mort unanime. Au
bruit
de nos serments, sur ces rochers sacrés, Réveille
i veille Pour recueillir ici les soupirs des mortels. Avançons. Aucun
bruit
n’a frappé mon oreille ; Le parvis frémit seul
lte, à l’erreur. Vous m’avez affligé, vains éclats de la joie ; Votre
bruit
m’importune, et le rire est trompeur. Dieu nous
sonne, on dispute, on remplit les écoles Du souffle de l’erreur et du
bruit
des paroles. Cependant la mort vient ; le temps f
ue d’égayer un peu ma muse familière ? (P. Daru). C’est pour fuir le
bruit
et le tracas des affaires ; et (ce qui caractéris
Semblables aux torrents dont la fange et les ondes Ravageaient avec
bruit
les campagnes fécondes, Et qui, formés soudain, m
rès de ses eaux, Appuyé d’une main sur son urne penchante, Dormait au
bruit
flatteur de son onde naissante , Lorsqu’un cri to
es douceurs ; il est sourd à ma voix : Tous les jours il m’éveille au
bruit
de ses exploits Rien ne peut arrêter sa vigilante
légamment des Romains : Des biens des nations ravisseurs altérés, Le
bruit
de nos trésors les a tous attirés. Ils y courent
eaux. Mais les vents en fureur, la mer pleine de rage, Font-ils d’un
bruit
affreux retentir le rivage ? Le vers comme un tor
vais vous le dire, moi. A une heure du matin, vous êtes descendu sans
bruit
de votre mansarde ; vous avez pénétré à l’aide d’
ent : — Cependant Claudius penchait sur son déclin… Il murut. oMille
bruits
en courent à ma honte. (Racine.) Agrippine ne pe
Sera-ce entre ces murs que mille et mille voix Font retentir encor du
bruit
de ses exploits ? Sera-ce hors des murs, au milie
, le poète était musicien i il préludait sur sa lyre, il s’animait au
bruit
de l’harmonie, il se donnait le ton et la mesure,
ablement de voix de ville, parce que la chanson faisait son butin des
bruits
qui couraient par la ville. D’autres font venir c
enrichit de nos pertes. Des biens des nations ravisseurs altérés, Le
bruit
de nos trésors les a tous attirés : Ils y courent
e Mithridate. Que nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le
bruit
à Rome en vienne jusqu’à moi. (Racine, Mithridat
higénie, acte IV, sc. 4) 4° ACHILLE ET AGAMEMNON. ACHILLE. Un
bruit
assez étrange est venu jusqu’à moi, Seigneur ; je
s, seigneur ? Que faut-il que j’en pense ? Ne ferez-vous pas taire un
bruit
qui vous offense ? AGAMEMNON. Seigneur, je ne ren
chercher, Quel climat, quel désert a donc pu te cacher ? ELISE. Au
bruit
de votre mort justement éplorée, Du reste des hum
et de la guerre est parricide de la liberté publique ; on répand des
bruits
de perfidie, de corruption ; on invoque les venge
elle était ma situation dans cet étroit séjour ; je n’y faisais qu’un
bruit
importun à presque tout le monde, et je ne pouvai
cette rêverie sans calcul et sans but, qui mène si loin la pensée. Le
bruit
des eaux convient à toutes ces impressions vagues
’un et l’autre se taisaient. Là tout commande le silence : le moindre
bruit
retentit si loin, qu’aucune parole ne semble dign
à demi tendu, je prêtais l’oreille au murmure de l’armée ennemie, au
bruit
de la mer et au cri des oiseaux sauvages qui vola
rs contre leur bouche53, et font entendre un mugissement semblable au
bruit
de la mer que le vent brise contre un rocher ; pu
clarté d’un orage. Au milieu des cris, des insultes, des menaces, du
bruit
des épées, des coups de javelots, du sifflement d
le vieillard vient s’asseoir sur le seuil de la porte ; il entend des
bruits
charmants au-dessus de sa tête, et il bénit l’Éte
r Ces deux chrétiens à la fureur d’un tigre. Tout à coup retentit le
bruit
des armes : le pont qui conduisait du palais de l
mait, hors des millions de lézards qui montaient et descendaient sans
bruit
le long des murs brûlants. Une douzaine de chevau
es. Je cherche vainement à entendre dans un tombeau universel quelque
bruit
qui décèle la vie. D’où vient ce soupir ? d’un de
: il tombe. Les forêts mugissent ; mille voix s’élèvent. Bientôt les
bruits
s’affaiblissent ; ils meurent dans des lointains
st comme le flot de la mer qui se brise tristement sur le rivage. Les
bruits
ont réveillé les bruits. La forêt est toute harmo
er qui se brise tristement sur le rivage. Les bruits ont réveillé les
bruits
. La forêt est toute harmonie. Est-ce111 les sons
des alarmes révélèrent et accrurent encore le trouble des esprits. Le
bruit
se répandit dans la cité que la salle des commune
ers marchait avant, enseignes déployées ; les tambours battaient ; le
bruit
couvrait toutes les voix. À la droite du roi étai
suppose ici des moyens très compliqués. Non, moins la musique fait de
bruit
, et plus elle touche. Donnez quelques notes à Per
n danses pour le mariage d’un de leurs chefs. Oh entendait au loin le
bruit
de leurs chants, et l’on voyait la fumée du feu o
l’événement devait démentir, les Saxons se divertissaient avec grand
bruit
et chantaient de vieux chants nationaux, en vidan
nd nombre. Il y eut un moment de terreur dans l’armée d’outre-mer. Le
bruit
courut que le duc avait été tué, et, à cette nouv
urs de ceux qui l’entourent. Des membres de la section, accourus à ce
bruit
, et frappés de sa beauté, de son courage, du calm
fort, à la faveur de la nuit. Malheureusement l’ennemi, averti par le
bruit
, jeta des pots à feu qui éclairèrent la route com
un sceptre révéré De ses prédictions est le garant sacré ; Tantôt au
bruit
des vents, sous des pins solitaires, Elle aime à
ur le devine : en son secret réduit Elle évite la foule et redoute le
bruit
. Sauvage et se cachant à la foule indiscrète, Le
e, Où, fuyant le bâton de l’aveugle au long bras, Je me glissais sans
bruit
, et ne respirais pas. Ô village charmant ! ô
sée, il devint poète dramatique. Il était naturel que Chénier, ami du
bruit
, impatient de renommée, fut vivement attiré de ce
? Et déjà les Romains, par la haine animés, Sèment-ils contre moi des
bruits
envenimés ? Que disent l’empereur et sa mère Livi
z dû plaindre l’amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le
bruit
de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : D
al génie, J’aime de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j’aime le
bruit
de la foudre et des vents Se mêlant dans l’orage
ants413 ? Entendez-vous de loin la voix de l’infidèle, Qui se mêle au
bruit
sourd de la mer et des vents ? Il veille, et le m
euple esclave il n’est plus de beaux jours. Qu’entends-je ? C’est le
bruit
de deux rames pareilles, Ensemble s’élevant, tomb
aux lieux où je n’ose m’asseoir, Pour vous chanter dans ma nacelle Au
bruit
des vagues, chaque soir, J’accorde ma lyre fidèle
un arbrisseau, Dans un sillon le lièvre agile ; Effrayé par un léger
bruit
, Le ver qui serpente et s’enfuit Sous l’herbe ou
toi qui gémis, lévite ? est-ce ta lyre Qui roule de tes mains avec ce
bruit
plaintif ? Mais de la nuit déjà tombait le voile
misérable risée, Au sacre du malheur il retrempe ses droits, Tient au
bruit
de ses pas deux mondes en haleine, Et, mourant de
pas importuns, Ischia de ses fleurs embaumant l’onde heureuse Dont le
bruit
, comme un chant de sultane amoureuse, Semble une
Les rêves d’or, essaim tumultueux, sans nombre, Qui naît aux derniers
bruits
du jour à son déclin, Voyant de loin leur souffle
Qu’un rayon touche encor leur paupière ravie, Et qu’il leur vienne un
bruit
de lumière et de vie, Quelque chose des vents, de
le est belle et qu’elle est admirée. RODOLPHE. Si j’en crois certains
bruits
, elle songerait moins À se faire admirer qu’à ple
essent de s’écouler ; tant qu’enfin, après avoir l’ait un peu plus de
bruit
et traversé un peu plus de pays les uns que les a
, personnage mystérieux qui traverse la forêt pendant la nuit avec un
bruit
affreux de cors et de chiens, ne serait, selon M.
te à la Roche-Guyon (Médit. poét.). Ici viennent mourir les derniers
bruits
du monde ; Nautonier sans étoile, abordez, c’est
la décadence des Romains, par Montesquieu. 356. Tacite parle de ces
bruits
au ch. v du Ier livre des Annales. 357. Annales
ilence ; On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux, Que le
bruit
des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots h
e la mort de Claude (Britannicus, acte IV, sc. 2) : Il mourut. Mille
bruits
en courent à ma honte. 429. Le duc de Guyenne
Qui d’abord… Attendez, le corps d’armée a peur. » J’entends un peu de
bruit
, ce me semble4. Un fat CLITANDRE, ACAST
s les propos qu’il tient on ne voit jamais goutte, Et ce n’est que du
bruit
que tout ce qu’on écoute. éliante, lbas, à Phili
tte foule de gens dont vous souffrez visite, Votre galanterie, et les
bruits
qu’elle excite, Trouvèrent des censeurs plus qu’i
r ; Et, comme je vous vois vous montrer mon amie2 En m’apprenant les
bruits
que de moi l’on publie, Je veux suivre, à mon tou
Lieux que j’aimai toujours, ne pourrai-je jamais, Loin du monde et du
bruit
, goûter l’ombre et le frais ! Oh ! qui m’arrêtera
ue6 « Il se battait, dit-il, les flancs avec ses bras, Faisant tel
bruit
et tel fracas, Que moi qui, grâce aux dieux, de c
jours il avait l’œil au guet ; et la nuit, Si quelque chat faisait du
bruit
, Le chat prenait l’argent5. A la fin, le pauvre h
ulent tous les jours des louanges nouvelles. Pas une ne s’endort à ce
bruit
si flatteur. Je ne les blâme point ; je souffre c
tout le monde, questionnant tout le monde, nuisant aux autres par le
bruit
qu’elle fait, et souvent se nuisant à elle-même,
s et les vallons comblés, La machine de Walt, en sifflant élancée, Du
bruit
de ses pistons frappant l’air agité, Volait, rasa
ne, Hébert et Marphise2, dans le dessein de me retirer du monde et du
bruit
jusqu’à jeudi au soir ; je prétends être en solit
e du cœur emportée. On crie, on pleure ; M. d’Hamilton fait cesser ce
bruit
, et ôter le petit d’Elbeuf, qui s’étoit jeté sur
le corps d’un manteau, on le porte dans une haie, on le garde à petit
bruit
; un carrosse vient, on l’emporte dans sa tente.
r, murmur, susurrus. Crepitus (de crepare, craquer), craquement,
bruit
. Crepitus dentium. Cic. Forium crepitus. PI. Viri
Viridis materiæ crepitus. Liv. — Fremitus (de fremere), frémissement,
bruit
effrayant. Maris murmurantis fremitus. Cic. Horri
tus. Cic. Horribilis fremitus armorum. Id. — Strepitus (de strepere),
bruit
rude et confus. Ingens valvarum strepitus. Cic. S
um strepitus. Cic. Strepitus armorum, le fracas des armes. — Stridor,
bruit
aigu. Stridor serræ. Cic. Stridorque rudentum. Vi
bruit aigu. Stridor serræ. Cic. Stridorque rudentum. Virg. — Murmur,
bruit
, gazouillement, murmure. Maris murmur. Cic. Jucun
murmure. Ov. Ventosi ceciderunt murmuris auræ. Id. — Susurrus, petit
bruit
que l’on fait en parlant tout bas. Lenes sub noct
ium (de flagitare, solliciter) signifie proprement demande pressante,
bruit
, tumulte, désordre ; et par extension, faute, cri
vinciam attulerunt. Cic. LXXIX. — Fama, rumor. Fama (de φηµη,
bruit
) et rumor (de ρεω) diffèrent en ce que fama se di
e. Fama super æthera notus. Virg. Au lieu que rumor est simplement un
bruit
qui court. Nihil aliud, nisi rumor, ad aures veni
rare, mutire, mussare, mussitare, susurrare. Murmurare, faire un
bruit
sourd. Fremitus murmurantis maris. Cic. Par exten
rcontatus est. Cic. Il a plus de rapport aux nouvelles publiques, aux
bruits
qui courent. — Interrogare (rogare inter), interr
. Sonus vocis. Cic. — Sonitus signifie un son plus éclatant, un grand
bruit
. Fracti sonitus tubarum. Virg. — Fragor (de frang
Fracti sonitus tubarum. Virg. — Fragor (de frangere,) proprement, le
bruit
que fait une chose en se rompant. Arbores decidun
pillent le miel de quelques abeilles ? Les gens de lettres font grand
bruit
de toutes ces petites querelles ; le reste du mon
âle des éclairs perce la nue, montre et dérobe la scène. On entend le
bruit
des flancs d’un vaisseau qui s’entr’ouvre ; ses m
ste, le plaideur éternel, avec sa science de la réclame, son amour du
bruit
, sa fureur d’entreprises. Le Beaumarchais du deda
île. Vers les neuf heures du matin, on entendit du côté de la mer des
bruits
épouvantables, comme si des torrents d’eau, mêlés
rande partie du lit du rivage, dont elle roulait les cailloux avec un
bruit
rauque et affreux. La mer, soulevée par le vent,
et de la guerre est parricide de la liberté publique ; on répand des
bruits
de perfidie, de corruption ; on invoque les venge
A mesure que notre chaloupe s’éloignait, le chant des bateliers et le
bruit
confus de la ville s’éteignaient insensiblement.
là desquelles la voix, pour toute oreille anglaise, n’est plus que du
bruit
; « mais, dit-il encore, un orateur français se f
les notes. On se fâchait autrefois de ce qu’à l’Opéra on entendait le
bruit
du bâton qui battait les mesures. Que serait-ce s
un et l’autre se taisaient. Là, tout commande le silence : le moindre
bruit
retentit si loin, qu’aucune parole ne semble dign
s contre leur bouche378, et font entendre un mugissement semblable au
bruit
de la mer que le vent brise contre un rocher ; pu
clarté d’un orage. Au milieu des cris, des insultes, des menaces, du
bruit
des épées, des coups de javelots, du sifflement d
ont parle l’Écriture : un silence et une solitude aussi vastes que le
bruit
et le tumulte des hommes qui se pressaient jadis
es fenêtres et les portes en sont fermées ; il n’en sort ni fumée, ni
bruit
, ni habitants. Une espèce de sauvage, presque nu,
es. Je cherche vainement à entendre dans un tombeau universel quelque
bruit
qui décèle la vie. D’où vient ce soupir ? d’un de
: il tombe. Les forêts mugissent ; mille voix s’élèvent. Bientôt les
bruits
s’affaiblissent ; ils meurent dans les lointains
st comme le flot de la mer qui se brise tristement sur le rivage. Les
bruits
ont réveillé les bruits. La forêt est toute harmo
er qui se brise tristement sur le rivage. Les bruits ont réveillé les
bruits
. La forêt est toute harmonie. Est-ce397 les sons
des alarmes révélèrent et accrurent encore le trouble des esprits. Le
bruit
se répandit dans la cité que la salle des commune
suppose ici des moyens très compliqués. Non, moins la musique fait de
bruit
, et plus elle touche. Donnez quelques notes à Per
l’événement devait démentir, les Saxons se divertissaient avec grand
bruit
et chantaient de vieux chants nationaux, en vidan
nd nombre. Il y eut un moment de terreur dans l’armée d’outre-mer. Le
bruit
courut que le duc avait été tué, et, à cette nouv
rs silencieuses on avait quelquefois encore l’oreille frappée par des
bruits
de voitures, on écoutait, et c’étaient des voitur
ent le froid et le silence, et, par intervalles, on entend à peine le
bruit
léger d’une feuille qui tombe. L’arbre, immobile
ères fleurs dont février s’étonne, Des eaux, de l’air, des près et du
bruit
monotone Que font les chariots qui passent dans l
anches sans leur faire rendre un murmure ; vous entendez seulement le
bruit
des gouttes de sève qui tombent dans la sébile, b
ez seulement le bruit des gouttes de sève qui tombent dans la sébile,
bruit
triste, semblable à celui de Peau qui dégoutte d’
us pas ? » Un éditeur, qui l’a flairé, lui dit par insinuation : « Le
bruit
court que vous faites un roman ; je vous l’achète
euplez cette rive, Préparez, leur dirais-je, une oreille attentive Au
bruit
de mes concerts : Puissent-ils amollir vos superb
l’indépendance de son pays, n’a pas péri dans les tortures, comme le
bruit
s’en était répandu. Zamore est retenu dans les pr
vois. ALZIRE. Tu gémis et me vois.Je t’ai revu trop tard. ZAMORE. Le
bruit
de mon trépas a dû remplir le monde. J’ai traîné
ntraîne, Impétueux, léger, et surtout inconstant, Qui vole au moindre
bruit
, et qui tourne à tout vent, Y juge les guerriers,
fit connaître : Dans tout Nevers, du matin jusqu’au soir, Il n’était
bruit
que des scènes mignonnes Du perroquet des bienheu
ur le devine : en son secret réduit Elle évite la foule et redoute le
bruit
, Sauvage et se cachant à la foule indiscrète, Le
et la poésie. Par instinct et par vocation, il n’eût pas recherché le
bruit
et l’éclat de la vie publique. Il ne recula devan
sée, il devint poète dramatique. Il était naturel que Chénier, ami du
bruit
, impatient de renommée, fût vivement attiré de ce
z dû plaindre l’amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le
bruit
de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : D
al génie, J’aime de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j’aime le
bruit
de la foudre et des vents Se mêlant dans l’orage
ouvants ? Entendez-vous de loin la voix de l’infidèle, Qui se mêle au
bruit
sourd de la mer et des vents ? Il veille, et le m
peuple esclave il n’est plus de beaux jours. Qu’entends-je ? C’est le
bruit
de deux rames pareilles, Ensemble s’élevant, tomb
aux lieux où je n’ose m’asseoir, Pour vous chanter dans ma nacelle Au
bruit
des vagues, chaque soir, J’accorde ma lyre fidèle
un arbrisseau, Dans un sillon le lièvre agile ; Effrayé par un léger
bruit
, Le ver, qui serpente et s’enfuit Sous l’herbe ou
toi qui gémis, lévite ? est-ce ta lyre Qui roule de tes mains avec ce
bruit
plaintif ? Mais de la nuit déjà tombait le voile
ermite François de Paule, que Louis XI a fait venir de Calabre sur le
bruit
des guérisons miraculeuses attribuées à sa sainte
Les Limbes788. Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un
bruit
lointain, C’est je ne sais quoi d’incertain Que c
vers du poète lui-même, a marquée en ces termes : « Ni l’oubli, ni le
bruit
; une sorte de discrétion respectueuse jusque dan
ri de l’entendre, et plus souvent pleuré ! Car je croyais ouïr de ces
bruits
prophétiques Qui précédaient la mort des paladins
r mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l’air est sans
bruit
, De cette voix d’airain fait retentir la nuit ; A
dans l’air plein de bitume. Ce jour entier passa dans le feu, dans le
bruit
; Et lorsque la nuit vint, sous cette ardente bru
Les rêves d’or, essaim tumultueux, sans nombre, Qui naît aux derniers
bruits
du jour à son déclin, Voyant de loin leur souffle
ur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible
bruit
. C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui se
mir ; et sur tes langes J’effeuillais des jasmins et des œillets sans
bruit
; Et je priais, veillant sur tes paupières closes
upe en mouvement, Sur ses jarrets dressée, elle effrayait le monde Du
bruit
de son hennissement. Tu parus ; et, sitôt que tu
es ; J’aime à lire les mots de leurs grands écussons, A réveiller des
bruits
et de lugubres sons, Et, les yeux enivrés de tes
es dangers. Un prêtre, un paysan, se mêlent aux manœuvres. Ah ! Quels
bruits
! On dirait des milliers de couleuvres. Et tous l
pâtre se sont rencontrés au bord du torrent. Le poète, dans tous les
bruits
de la nature, dans la rumeur des forêts, des font
eds les soupirs de son onde ! LE PATRE. J’entends sur les cailloux le
bruit
clair du ruisseau ; Du ruisseau qui gazouille aus
ssons, Mille gais sifflements dont les eaux sont jalouses. Il est des
bruits
joyeux même au fond des grands bois : Je mêle à c
avec les eaux, torrent, fleuve et fontaine ; Voici ce que nous dit le
bruit
clair du ruisseau, Du ruisseau qui gazouille auss
e la ruche printanière L’essaim s’est échappé dans l’air, Il vole, au
bruit
de la rivière, Vers le frêne au feuillage clair.
ous mes voix discrètes Les douces plaintes des amants. La génisse, au
bruit
de sa cloche, Conduit vers moi de gais troupeaux
nde, Il semble que le peuple englouti sous ton onde Mêle encore à tes
bruits
de sourds gémissements. Et nul être vivant ne fou
e est belle, et qu’elle est admirée. RODOLPHE. Si j’en crois certains
bruits
, elle songerait moins A se faire admirer qu’à ple
la rage De l’ouragan me vient rappeler cet orage Dont Charlemagne, au
bruit
du tonnerre roulant, Disait : C’est le grand deui
un coup d’éventail fut fêlé ; Le coup dut l’effleurer à peine : Aucun
bruit
ne l’a révélé. Mais la légère meurtrissure, Morda
cessent de s’écouler ; tant qu’enfin, après avoir fait un peu plus de
bruit
et traversé un peu plus de pays les uns que les a
x ; on ne se laisse pas tromper par les vaines traditions ou les faux
bruits
de l’histoire ; on a de la critique, on saisit bi
e, la vie souterraine des galeries, les charriots qui passent avec un
bruit
de tonnerre, les torches fumeuses, ces visages d’
e § 6 du chapitre vii : « Le duc de la Feuillade vantait un jour avec
bruit
devant Boileau un méchant sonnet très goûté, disa
is la maladie dangereuse de M. Rousseau ; mais je ne sais que par des
bruits
vagues la nouvelle de sa mort. Ce sera une grande
de Scipion l’Africain) la célèbre description du monde céleste et du
bruit
harmonieux des sphères. Lamartine semble commente
ilence ; On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux, Que le
bruit
des rameurs qui frappaient en cadence Les flots h
la mort de Claude (Britannicus, acte IV, scène ii) : Il mourut. Mille
bruits
en courent à ma honte. 782. Le duc de Guyenne m
; Malgré les joncs, les rocs, les bruyères arides, Traversant à grand
bruit
la Trêve-des-Druides, Elle franchit dans l’ombre,
e sel retombait bientôt par son poids, et battait à peine la rive. Un
bruit
lugubre sortit de ce lac de mort, comme les clame
qui se rencontrent en vos forêts, ou les animaux qui y passent67 ; le
bruit
même de leur tracas n’interrompt pas plus mes rêv
? Hé ! de quoi est-ce qu’on parle là ? de celui qui m’a dérobé ? Quel
bruit
fait-on là-haut ? 211 est-ce mon voleur qui y est
ieur. Je vous… don juan. Et le petit Colin… fait-il toujours bien du
bruit
avec son tambour ? m. dimanche. Toujours de même
il est sur les bancs, il n’y a point de candidat qui ait fait plus de
bruit
que lui dans toutes les disputes de notre école.
it horreur : c’étaient des cris, c’était une confusion, c’étaient des
bruits
épouvantables, des poutres et des solives qui tom
hevé leur course, après avoir fait, comme des fleuves, un peu plus de
bruit
les uns que les autres, ils sont tous enfin confo
ils apprennent à mettre leur félicité dans des voix confuses, dans un
bruit
qui se fait dans l’air523, et prennent rang parmi
es enquêtes et plusieurs rudes expériences, nous en avons ouï quelque
bruit
confus, mais nous ne pouvons vous en rapporter de
où tous les messieurs des grands jours se rendirent avec beaucoup de
bruit
et autant de magnificence qu’ils purent624. Ces d
serpentent dedans, et font voir un beau cristal qui s’écoule à petit
bruit
dans un lit de la plus belle verdure du monde627.
il lui dit ; il déploie un ample mouchoir741, et se mouche avec grand
bruit
; il crache fort loin, et il éternue fort haut ;
ts d’automne et les eaux dans leurs plus grandes crues ne font pas un
bruit
si perçant et si aigu ; on ne s’entend non plus p
obscurci par la fumée de tant de coups, et l’on n’entend plus que le
bruit
affreux du salpêtre. Le fougueux coursier que je
se jeter dans l’eau ; mais moi, plus modéré, je mets pied à terre. Au
bruit
de la mousquetade est ajouté celui des tambours.
hée839, il y a un bocage sacré, où trois naïades840 répandent à grand
bruit
leurs eaux claires, et arrosent les fleurs naissa
t les Muses dans un bocage dont le silence n’était troublé que par le
bruit
des fontaines et par le chant des oiseaux. Le sol
n vous. » Un fonds de foi et des principes de religion qui dorment au
bruit
des passions excitées, se réveille tout à coup da
et rasait toujours les murailles, pour faire faire place avec plus de
bruit
, et n’avançait qu’à force de révérences respectue
visibles. Tibère Comme on voit un fleuve miner lentement et sans
bruit
les digues qu’on lui oppose, et enfin les renvers
qui habitent le second étage des maisons : ils sont incommodés par le
bruit
d’un haut, et par la fumée d’un bas. Voltaire
e que d’instruire, de charmer que d’être utile, il chercha surtout le
bruit
, l’éclat, la gloire, la première place dans un si
ilain quartier de Paris, dans la plus vilaine maison, plus étourdi du
bruit
des cloches qu’un sacristain ; mais je ferai tant
étourdi du bruit des cloches qu’un sacristain ; mais je ferai tant de
bruit
avec ma lyre, que le bruit des cloches ne sera pl
s qu’un sacristain ; mais je ferai tant de bruit avec ma lyre, que le
bruit
des cloches ne sera plus rien pour moi. Je suis m
son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait1198 au
bruit
des armes, il l’aime, il le cherche, et s’anime d
talents naturels se réunissent ici aux qualités acquises. Dès que le
bruit
des armes se fait entendre, dès que le son du cor
nature, et à se recueillir dans un silence que ne trouble aucun autre
bruit
que le cri des aigles, le ramage entrecoupé de qu
sseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché : là le
bruit
des vagues et l’agitation de l’eau, fixant mes se
sans que je m’en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son
bruit
continu1350, mais renflé par intervalles, frappan
vous dites : Heureux qui peut dormir sous une cabane écartée, loin du
bruit
des eaux ! Le jour vient, les ombres s’effacent,
rdes sont relevées1419 ; vous rentrez dans le camp ; la fatigue et le
bruit
vous plongent dans un doux sommeil, et vous vous
renant bien, et nous avons ici des gens d’une adresse !... D’abord un
bruit
léger, rasant le sol comme l’hirondelle avant l’o
couvre tant d’objets, les échos de la montagne répètent sans cesse le
bruit
des vents qui agitent les forêts voisines, et le
r les récifs ; mais, au pied même des cabanes, on n’entend plus aucun
bruit
, et on ne voit autour de soi que de grands rocher
Vers les neuf heures du matin, on entendit, du côté de la mer, des
bruits
épouvantables, comme si des torrents d’eau, mêlés
rande partie du lit du rivage, dont elle roulait les cailloux avec un
bruit
rauque et affreux. La mer, soulevée par le vent,
A mesure que notre chaloupe s’éloignait, le chant des bateliers et le
bruit
confus de la ville s’éteignaient insensiblement.
st profond dans cette ville1528, dont les rues sont des canaux, et le
bruit
des rames est l’unique interruption de ce silence
a lui-même apprêtés ; son oreille, d’une étrange subtilité, trouve le
bruit
où tout le monde trouve le silence ; et sous les
! Et mon camarade mort do sommeil et de fatigue ! L’appeler, faire du
bruit
je n’osais ; m’échapper tout seul, je ne pouvais
mes réflexions1618. Dès que le jour parut, toute la famille, à grand
bruit
, vint nous éveiller, comme nous l’avions recomman
oute opération militaire. A minuit on monte à cheval ; on arrive sans
bruit
aux portes de Luynes ; point de sentinelles à égo
n aise, ou pour éviter la honte d’un aveu, mais pour se soustraire au
bruit
, au dérangement qu’amèneraient les reproches qu’i
la nuit, entend, vers deux heures du matin, des pas de chevaux et des
bruits
de voix. Il frappe alors à la porte du hangar, qu
tant à genoux, elle reste en prière jusqu’à ce que, vers le matin, le
bruit
d’une détonation lointaine lui apprend qu’il n’y
Du génie, il en a autant que ceux d’entre eux qui en ont le plus ; du
bruit
il en a fait autant que ceux qui ont le plus ébra
est une haute retraite1750. » Où donc est la tempête1751 ? où donc le
bruit
des flammes et des vogues ? Vox domini super aqua
ur leur tête et une toge sur leurs épaules ; point de foule, point de
bruit
: une gravité dans l’air comme dans les murs noir
multe. Loin de penser à une sortie de l’ennemi, il s’imaginait que le
bruit
provenait d’une querelle entre ses propres soldat
ar le premier tintamarre qui se fait autour de lui. Il ne faut pas le
bruit
d’un canon pour empêcher ses pensées : il ne faut
pas le bruit d’un canon pour empêcher ses pensées : il ne faut que le
bruit
d’une girouette ou d’une poulie. Ne vous étonnez
lui, quand il est dans la bouche de tons les hommes. quand il fait du
bruit
dans le monde. La venu toute seule lui parait tro
aton reprochait aussi aux poëtes de mettre leur félicité dans un vain
bruit
. 524. C'est-à-dire, ils suppléent à l’éloge des
ts et les mourants, Terrible, échevelé, s’enfonce dans les rangs ; Du
bruit
des chars guerriers fait retentir la terre, Prête
s où Corneille, dans son petit ménage de Rouen, écrivait Polyeucte au
bruit
des fuseaux de sa femme ; où Racine, faisant la p
e. 773. Il est bon de commencer de la rue à se faire écouter par le
bruit
du carrosse et du marteau qui frappe rudement la
dres couleurs, Les parfums que le soir enlève au sein des fleurs, Les
bruits
harmonieux que l’amoureux Zéphire Tire au sein de
ux qu’il le dit de vivre ainsi en plein tourbillon ; Le mouvement, le
bruit
, était son élément ; il s’y trouvait comme le poi
rts et les mourants, Terrible, échevelé, s’enfonce dans nos rangs, Du
bruit
des chars guerriers fait retentir la terre, Prête
mait, hors des millions de lézards qui montaient et descendaient sans
bruit
le long des murs brûlants. Une douzaine de chevau
cessent de s’écouler ; tant qu’enfin, après avoir fait un peu plus de
bruit
et traversé un peu plus de pays les uns que les a
nter forcément. — Le rossignol alors s’efforce de chanter et de faire
bruit
; — alors s’évertuent et alors se divertissent —
Ceux qui étaient dedans le château amusés à la pille147, entendant le
bruit
, coururent aux tours et forteresses, et lui tirèr
lle d’autre côté à un sien ami qui l’était venu voir, de sorte que ce
bruit
fut semé et su par tout le palais, avant que celu
s qui se rencontrent en vos forêts ou les animaux qui y paissent ; le
bruit
même de leurs tracas n’interrompt pas plus mes rê
Je vous.... Don Juan. — Et le petit Colin, fait-il toujours bien du
bruit
avec son tambour ? M. Dimanche. — Toujours de mê
e du cœur emportée. On crie, on pleure ; M. d’Hamilton fait cesser ce
bruit
et ôter le petit d’Elbeuf, qui était jeté sur ce
On jette un manteau ; on le porte dans une haie ; on le garde à petit
bruit
; un carrosse vient ; on l’emporte dans sa tente
sse774, quand il les compare à des serpents qui piquent sans faire de
bruit
? Ils demandent le secret à tout le monde, et ils
ts d’automne et les eaux dans leurs plus grandes crues ne font pas un
bruit
si perçant et si aigu, on ne s’entend non plus pa
e qu’il lui dit. Il déploie un ample mouchoir et se mouche avec grand
bruit
; il crache fort loin, et il éternue fort haut. I
es Muses913 dans un bocage dont le silence n’était troublé que par le
bruit
des fontaines et par le chant des oiseaux. Le sol
s d’Allemagne, que je ne puis m’empêcher d’en parler ici. En 1593, le
bruit
courut que, les dents étant tombées à un enfant d
ent. Ils lui présentent la baïonnette et lui disent que, s’il fait du
bruit
, il est mort. M. d’Assas se recueille un moment p
moi un certain cliquetis que je crus reconnaître ; j’écoute : le même
bruit
se répète et se multiplie. Surpris et curieux, je
us dites : « Heureux qui peut dormir sous une cabane écartée, loin du
bruit
des eaux ! » Le jour vient, les ombres s’effacent
s gardes sont relevées ; vous rentrez dans le camp ; la fatigue et le
bruit
vous plongent dans un doux sommeil, et vous vous
ant bien : et nous avons ici1257 des gens d’une adresse !… D’abord un
bruit
léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’ora
e ordre, des nuées de papillons peints de mille couleurs, volent sans
bruit
sur les fleurs ; ici l’abeille et le bourdon murm
qu’il est doux alors de quitter les cités, qui ne retentissent que du
bruit
des marteaux des ouvriers et de celui des lourdes
mesure que notre chaloupe s’éloignait, le chant des bateliers et les
bruits
confus de la ville s’éteignaient insensiblement.
utes les couleurs, à réunir tous les murmures : alors il sort de tels
bruits
du fond des forêts, il se passe de telles choses
Et mon camarade, mort de sommeil et de fatigue ! L’appeler, faire du
bruit
, je n’osais ; m’échapper tout seul, je ne pouvais
eul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille à grand
bruit
vint nous éveiller, comme nous l’avions recommand
sage, il ne me reste qu’un parti, de vendre ma besace et déloger sans
bruit
. Si je le rencontrais seulement, je serais un hom
marchait en avant, enseignes déployées ; les tambours battaient ; le
bruit
couvrait toutes les voix. A la droite du roi étai
corde au roc où nous l’avions fixé la veille. Il se débattait avec un
bruit
sinistre, comme des voix d’homme en perdition qui
fois, et dans les moments d’intervalle, où les rafales effroyables du
bruit
des canons faisaient quelque trêve, on entendait
e fend lé cours de l’eau. Ils n’y entendirent, en s’approchant, aucun
bruit
, si ce n’est le gloussement d’une poule et les cr
ux effrayés qui s’abattaient bruyamment sur un pommier en fleur. A ce
bruit
, Merlin tourne la tête : la brume, dont la terre
des aboiements de chiens de bergers, des sonneries de troupeaux, des
bruits
d’avirons, des cris de bateliers, au loin le hurl
; le cliquetis des armes les annonce en pleine nuit, et par-dessus ce
bruit
souterrain, vous discernez la plainte, le gémisse
ait jamais d’autre quand il entend manger, celui-là, dit Germain : le
bruit
du canon ne le réveillerait pas, mais, quand on r
s la couper. C’est alors qu’on entend la nuit, dans les campagnes, ce
bruit
sec et saccadé de trois coups frappés rapidement.
ments plaintifs vers tous les points de l’horizon. C’est le temps des
bruits
insolites et mystérieux dans la campagne. Les gru
tte nuée sanglotante se soit perdue dans l’immensité. Il y a d’autres
bruits
encore qui sont propres à ce moment de l’année, e
uoi, qui vous épie, caché dans les broussailles, et prend la fuite au
bruit
de la pomme tombée, croyant que vous lui lancez u
ans dix minutes, un quart d’heure. Mais déjà la ferme était pleine de
bruit
: dans la cour, le coq, les poules, le chien, tou
s leurs forces : alors c’étaient des secousses terribles et de grands
bruits
sourds. Quelquefois la Médée 1797 se cabrait, leu
he boueuse de sueur froide et de sel, d’un enduit de mort. … Le grand
bruit
augmentait toujours. Il y avait des moments où ce
la gorge, un râlement qui sortait encore, perdu dans tous les grands
bruits
des choses. On aurait peut-être pu le secourir, p
mme on pouvait. On ne voyait plus rien. On était au milieu de tant de
bruit
, que la voix des hommes semblait n’avoir plus auc
a recommençait, ces chutes en avant, et puis ces sauts avec l’affreux
bruit
de tambour. Et, après chacun de ces chocs, il y a
ité, tout cela prolongeant en queue sinistre beffroi du premier grand
bruit
. Et les gabiers, et mon pauvre Yves, que faisaie
les spectateurs, Aux trois quarts du parterre a caché les acteurs. Un
bruit
s’est élevé, dont un autre eût eu honte ; Mais lu
ière, Et comblé de laquais et devant et derrière, S’est avec un grand
bruit
devant nous arrêté, D’où sautant un jeune homme22
Qui d’abord… Attendez : le corps d’armée a peur. » J’entends quelque
bruit
, ce me semble. II Sosie, Mercure2269. Merc
les propos qu’il tient, on ne voit jamais goutte, Et ce n’est que du
bruit
que tout ce qu’on écoute. Éliante, à Philinte. C
r Horace2348. Trissotin. Sou viens-toi de ton livre et de son peu de
bruit
. Vadius. Et toi, de ton libraire à l’hôpital réd
faire. Vainement offusqué de ses pensers épais, Loin du trouble et du
bruit
il croit trouver la paix. Dans le calme odieux de
e enrichit de nos pertes Des biens des nations ravisseurs altérés, Le
bruit
de nos trésors les a tous attirés : Ils y courent
e Mithridate. Que nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le
bruit
à Rome en vienne jusqu’à moi. (Mithridate, acte I
nuer, courir. Lorsque, par grand hasard, quelquefois je sommeille, Un
bruit
affreux de clés en sursaut me réveille. Je veux m
. Sitôt que pour dormir chacun fut retiré, En personne d’esprit, sans
bruit
et sans chandelle, J’allai dans certain coin me m
: Je n’y fus pas longtemps, qu’aussitôt patatras ! Avec un fort grand
bruit
, voilà l’esprit à bas : Ses deux jambes à faux da
n à l’autre opposés. Un profond calme, un stupide silence, Succède au
bruit
de leur impertinence2510 ; Chacun redoute un honn
au pied des murs d’opulentes cités, Sous les arches de pierre à grand
bruit
emportés2579. (Hymnes, II.) La liberté Le
réveil, Et d’un brouillard pâle entourée, Quand le jour meurt avec le
bruit
, Blanchir comme une ombre adorée, Qui vous appara
dans l’air plein de bitume. Ce jour entier passa dans le feu, dans le
bruit
; Et, lorsque la nuit vint, sous cette ardente br
ête. Mais le sombre vainqueur marche en baissant la tête ; Sourd à ce
bruit
de gloire, et seul, silencieux, Tout à coup, il s
roles pieuses, Et les pas mesurés en des danses joyeuses, Et, par des
bruits
flatteurs, les mains frappant les mains, Et de ra
t vous affliger ? Le Seigneur n’a-t-il pas Renversé les cités au seul
bruit
de vos pas ? « — C’est vous, hélas ! c’est vous,
uri de l’entendre et plus souvent pleuré ! Car je croyais ouïr de ces
bruits
prophétiques Qui précédaient la mort des paladins
r mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l’air est sans
bruit
, De cette voix d’airain fait retentir la nuit ; A
ma fenêtre Jouer le matin doucement. Elle courait dans la rosée, Sans
bruit
, de peur de m’éveiller ; Moi, je n’ouvrais pas ma
uis l’immense ? » La source dit au gouffre amer : « Je te donne, sans
bruit
ni gloire, Ce qui te manque, ô vaste mer ! Une go
’emportement de leurs luttes épiques, Ivres, ils savouraient tous les
bruits
héroïques, Le fer heurtant le fer, La Marseillais
ur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible
bruit
. C’était un Espagnol de l’armée en déroute, Qui s
e, Perdue en son souci comme dans un abîme, N’entendant même plus les
bruits
extérieurs, Les cormorans, qui vont comme de noir
es d’un sanglier, Lourd colosse, fondit sur le bon chevalier, Avec le
bruit
d’un mur énorme qui s’écroule : Près de lui, s’av
cun prend son cahier, son volume ; Grand silence ! on n’entend que le
bruit
de la plume, Le feuillet qui se tourne, ou le châ
Lorsque chacun de nous fait sa tâche, une roche Se détache souvent au
bruit
seul du marteau ; Et plus d’un qui rêvait dans le
i gentille et si douce ! C’est l’oiseau des bois qui se plaît Loin du
bruit
, dans ta mousse ; Vieux vagabond qui tends la mai
normands. Les enfants sont couchés dans le charme des rêves : Ce long
bruit
cadencé du flot qui bat ses grèves Semble un chan
ut ne devienne leur perte, Ils souffrent sans gémir et se hâtent sans
bruit
. Hélas ! plus d’un s’affaisse et roule à la dériv
J’admirais le soldat qui dans la mort s’élance Fier, debout, plein du
bruit
des clairons éclatants : De quelle race es-tu ? t
partit Sur sa barque, parmi la brume et la tempête, Se demandant, au
bruit
du rouet qui s’arrête, Si là-bas, dans les flots,
nirs d’enfance i La fin du monde Sur les bancs de l’école un
bruit
avait couru : « Demain la fin du monde ! » Et moi
gulièrement aux offices. 1024. Major des gardes du corps. 1025. Le
bruit
, la réputation. 1026. Poster, mettre des gardes
ux » (Littré). 2269. Sosie ne se trompait pas : il a bien entendu du
bruit
. Il y a quelqu’un près de lui dans la rue : c’est
533. Sa prison sonore : le cornet dans lequel les dés agités font du
bruit
. 2534. Du jeu rêveur qu’inventa Palamède, les
de Paule (1416-1507) était un moine italien, célèbre par sa piété. Le
bruit
s’étant répandu qu’il faisait des miracles, Louis
plus ennuyeux ni difficile. 2819. Ne retentit plus vite, jamais le
bruit
ne s’en répandit plus vite. 2820. Pernette avait
se, fatigue, épuise (étymologie douteuse). 2885. Renâcler, faire du
bruit
en retirant son haleine parle nez (étymologie dou
era-ce entre ces murs, que mille et mille voix Font résonner encor du
bruit
de ses exploits ? Sera-ce hors des murs, au milie
tes eaux. Mais le ciel en fureur, la mer pleine de rage Font-ils d’un
bruit
affreux retentir le rivage ? Le vers comme un tor
eprésenter trois classes d’objets principalement : 1° les sons et les
bruits
de la nature ; 2° les différents mouvements des c
convenable de mots, on peut imiter les sons de la nature, tels que le
bruit
des vagues, le mugissement des vents, le murmure
p du cheval. Quadrupedante putrem sonitu quatit ungula campum. Le
bruit
des chaînes. Hinc exaudiri gemitus et sæva sona
La grêle. Quàm multa in tectis crepitans salit horrida grando.
Bruit
des portes de l’Enfer et des portes du Ciel, par
du palais se lèvent et laissent le marteau d’airain retomber avec un
bruit
lugubre sur la porte d’airain Le rauque son de la
des ombres éternelles ; les noires cavernes en sont ébranlées, et le
bruit
, d’abîme en abîme, roule et retombe. Chateaubria
cles de son pouvoir, Que j’entends partout dans la plaine Ces os avec
bruit
se mouvoir. Dans leurs liens ils se replacent, Le
èdre de Liban. » 130. « Malheur à cette multitude nombreuse, dont le
bruit
ressemble à celui de la mer ; à ces voix tumultue
celui de la mer ; à ces voix tumultueuses, qui retentissent comme le
bruit
des grandes eaux. Les peuples frémiront comme des
ps des Mémoires et des souvenirs de toute sorte ; et l’intérêt de ces
bruits
de salon a été tel, que des souverains étrangers
u magnétisme, qui fait dans Paris et dans la France presque autant de
bruit
que Figaro ; mais cela n’empêche pas que Mesmer n
utre siècle. Cependant ces grands corps insensibles font entendre des
bruits
profonds et mélancoliques. Ce ne sont point des a
inantes, mais des sons monotones, parmi lesquels se font entendre des
bruits
sourds et profonds, qui nous jettent dans une tri
èle ait le caractère, sans lequel la plus belle éloquence n’est qu’un
bruit
harmonieux. Que ses mains soient pures, ses princ
ent, mais c’est le corps d’armée qui la décide. Tel ruisseau qui sans
bruit
s’échappait de sa source et vaguait comme hésitan
éjà que cette parole guerrière, qui retentit dans le conseil comme un
bruit
de clairon, l’emportera sur les raisonnements des
manifesté, mais le murmure secret de l’improbation, dans ce moment où
bruits
fâcheux, contes mensongers, si vagues, si légers,
Sera-ce entre ces murs que mille et mille voix Font résonner encor du
bruit
de ses exploits ? Sera-ce hors des murs ?… — Qui
ez-vous lu dans Beaumarchais le tableau de la calomnie : « D’abord un
bruit
léger, rasant le sol comme l’hirondelle, etc. » —
que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait au
bruit
des armes, il l’aime, il le cherche, et s’anime d
es airs ; leur vol est continu, bourdonnant et rapide : on compare le
bruit
de leurs ailes à celui d’un rouet. Leur battement
ar le premier tintamarre qui se fait autour de lui. Il ne faut pas le
bruit
d’un canon pour empêcher ses pensées : il ne faut
pas le bruit d’un canon pour empêcher ses pensées : il ne faut que le
bruit
d’une girouette ou d’une poulie. Ne vous étonnez
un bandeau d’erreurs, je dis d’un air surpris : « Maître, quel est ce
bruit
, et quels sont ces esprits Qui se désolent tant ?
ous convie. Et vous, guerriers, et vous qui trouvez des appas Dans ce
bruit
glorieux que laisse un beau trépas, Venez au viei
a poussière du chemin ; Et l’histoire, écho de la tombe, N’est que le
bruit
de ce qui tombe Sur la route du genre humain. Pl
la route du genre humain. Plus vous descendez dans les âges, Plus ce
bruit
s’élève en croissant, Comme en approchant des riv
s muscles tendus se gonflent et palpitent ; un souffle plus qu’humain
bruit
profondément dans sa large poitrine. Le colosse s
maison superbe, qui domine sur Rome entière, sur sa magnificence, son
bruit
et sa fumée, d’où l’œil s’égare au loin, jusqu’au
de Blancménil, pour être transféré à Sedan. Deux heures après que le
bruit
de l’enlèvement de Broussel se fut répandu, les b
a dernière fois Éveille les échos endormis dans les bois, Et que tout
bruit
s’éteint dans l’immense étendue, À cette heure, u
anime, Faire l’homme pontife et le culte unanime ! Écouter les grands
bruits
que feront en croulant L’autel renouvelé, le trôn
front foudroyant le moucheron bourdonne, Et son ombre n’entend que le
bruit
monotone D’une vague contre un écueil. Lamarti
ilence ; On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux, Que le
bruit
des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots h
t, Du char des conquérants brise le frêle essieu, Marche en rêvant au
bruit
des empires qui tombent, Et dans tous les chemins
et joyeux, quelque chose de la nature s’évanouissait devant nous. Le
bruit
et le vol des oiseaux devenaient rares, l’air s’a
aux falaises démantelées qui défendent la terre. Alors on entend des
bruits
terribles, et comme la voix de l’abîme redemandan
qu’il lui dit ; il déploie un ample mouchoir, et se mouche avec grand
bruit
; il crache fort loin, et il éternue fort haut ;
bre toute lambrissée à l’antique, donnant sur la mer, inaccessible au
bruit
du ménage, en un mot, vrai sanctuaire du travail
aises ; les douces choses qui se disent à la chaleur de la flamme qui
bruit
tandis que nous causons ; et, s’il fait soleil, l
e sa voix ; l’Océan qui va toujours roulant son train de vagues et de
bruits
; les branches mortes que nous coupons en nous en
trai dans la chambre où reposait ma mère ! Que je m’agenouillai, sans
bruit
, à ce chevet Où près d’elle souvent mon sommeil s
E. Legouvé. Querelle entre Agamemnon et Achille ACHILLE. Un
bruit
assez étrange est venu jusqu’à moi, Seigneur ; je
s, seigneur ? Que faut-il que j’en pense ? Ne ferez-vous pas taire un
bruit
qui vous offense ? AGAMEMNON. Seigneur, je ne ren
alors, plaise aux Dieux qu’il soit de bon augure, C’est alors que le
bruit
me vint de ton retour. Qu’en dis-tu, Junius ? n’e
enrichit de nos pertes. Des biens des nations ravisseurs altérés, Le
bruit
de nos trésors les a tous attirés : Ils y courent
e Mithridate. Que nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le
bruit
, à Rome, en vienne jusqu’à moi. Racine. D
ntir ni penser par moi-même, N’est-ce pas ? — Grâce à vous, voilà les
bruits
qu’on sème. — Non, monsieur, il n’est pas d’intri
s les propos qu’il tient on ne voit jamais goutte, Et ce n’est que du
bruit
que tout ce qu’on écoute. ÉLIANTE. Ce début n’est
e, par la vaste étendue de la mer, le roulis des vagues écumantes, le
bruit
imposant du tonnerre. Mais songeons-nous un seul
nommée coûte si cher au genre humain, que laissent-ils après eux ? Un
bruit
, un souvenir mêlé avec celui de désastres fameux
le peuple, la tête couverte, montait en pleurant. » Mais voilà qu’un
bruit
lugubre s’élève du côté de l’Égypte. Dieu va puni
du concert des anges ; quelquefois l’oreille est soudain frappée d’un
bruit
sinistre : elle a entendu dans la nuit comme les
moi, mais je les ai sans brigue ; Et mon ambition pour faire plus de
bruit
Ne les va point quêter de réduit en réduit. Mon t
visait à la Sorbonne au milieu de nos applaudissements, et souvent au
bruit
de la foule qui se pressait aux portes ; je les r
e venue, il eut quelque plaisir de voir mes sincères admirations sans
bruit
et sans éclat. M. le prince, madame la princesse
pillent le miel de quelques abeilles ? Les gens de lettres font grand
bruit
de toutes ces petites querelles ; le reste du mon
s avis modérés. » L’assemblée applaudit à ce début si sage, Et par un
bruit
flatteur lui donne son suffrage. Le harangueur re
vois venir me semble immense. Et le ciel si beau, et les cigales, le
bruit
des champs, la cadence des fléaux sur l’aire, tou
complète, et néanmoins j’éprouve je ne sais quel triste bonheur à ce
bruit
funèbre de renommée qui va s’attacher au nom que
nos vœux seront remplis : L’Hymen approche de son temple ; L’Hymen au
bruit
de mille voix, Perce la foule qui contemple Le fi
présage heureux de la paix ! Que la Discorde181 désarmée, Se taise au
bruit
de nos concerts ! Que l’Europe moins alarmée Répè
a fait naître, comme on peut le voir dans celle-ci : Quel effroyable
bruit
! quels feux étincelants ! Jupiter185 aux mortels
nce règne dans cette assemblée, jusque-là si tumultueuse : le moindre
bruit
, pendant le cours de la représentation, est puni
ufle agile, en déguisant sa route, Va, vient, et quelquefois, par son
bruit
agaçant, Sur le parquet battu se trahit en passan
ns les traînes. Vous y pouvez marcher une heure sans entendre d’autre
bruit
que le vol d’un merle effarouché à votre approche
habitants, toute une forêt de végétation ; son eau limpide court sans
bruit
en s’épurant sur la glaise, et caresse mollement
en a tel dont il ne faut que la seule fréquentation pour vous donner
bruit
de connaisseuse, quand il n’y aurait rien autre c
e moment où paraissent les personnages féminins ; leur voix domine le
bruit
des armes ; des héroïnes interviennent parmi les
potique et étourdie ; âme fastueuse sans être grande, il associera le
bruit
des armes à l’éclat des tournois, des mascarades
de talents généraux ressembla trop à une coterie, si elle fit plus de
bruit
que de besogne, et se préoccupa de ses intérêts a
cessent de s’écouler ; tant qu’enfin, après avoir fait un peu plus de
bruit
, et traversé un peu plus de pays les uns que les
d’être cité, et moins fait pour exciter l’admiration ? « Au premier
bruit
d’un mal si étrange, on accourt à Saint-Cloud de
x ; on ne se laisse pas tromper par les vaines traditions ou les faux
bruits
de l’histoire ; on a de la critique, on saisit bi
nt calmés ; les murmures des partis retentissaient comme les derniers
bruits
de la tempête. On regardait ces restes d’agitatio
hose de mon argent. (Haut) Ne serais-tu point homme à faire courir le
bruit
que j’ai de l’argent caché ? LAFLÈCHE. Vous avez
Haut) Je demande si, malicieusement, tu n’irais point faire courir le
bruit
que j’ai de l’argent caché. LAFLÈCHE. Hé ! que no
, à demi détachée des rocs par la tiédeur de l’atmosphère. Si quelque
bruit
vient alors à agiter l’air, l’avalanche se détach
lque bruit vient alors à agiter l’air, l’avalanche se détache avec un
bruit
semblable à un coup de tonnerre, glisse d’abord,
la barrière s’ouvre, le taureau s’élance au milieu du cirque, mais au
bruit
de mille fanfares, aux cris, à la vue des spectat
r entrer dans le fort, rentrée des troupes victorieuses à Orléans, au
bruit
des cloches, triomphe de Jeanne. Dénouement. Le
… Tourmenté par ses fatigues du jour, il s’endort — … Nœud. Mais un
bruit
terrible le réveille — … Ce bruit ressemble à cel
our, il s’endort — … Nœud. Mais un bruit terrible le réveille — … Ce
bruit
ressemble à celui que feraient des cailloux frott
ncement du XIIIe siècle, avait expédié dix navires dans le Levant. Le
bruit
courut qu’ils avalent fait naufrage. Le crédit d’
s jours ; je les aidais, et gardais les troupeaux sur la montagne. Le
bruit
se répandait que les Anglais vainqueurs allaient
voyageurs quittent la terre. — Leurs impressions. — Tout-à-coup., un
bruit
extraordinaire s’échappant du ballon, Harris reco
pagnon s’endort ; moi je veille inquiet — … Vers le jour j’entends du
bruit
; le charbonnier demande à sa femme s’il faut les
hênes pliaient sous l’effort de la tempête ; le torrent produisait un
bruit
tout semblable aux gémissements confus de mille m
rir ; adieu. » Antigone s’éloigne en pleurant. Bientôt elle entend un
bruit
effroyable, le jour paraît s’éteindre ; seulement
a bonté qui veille ici pour recueillir les soupirs des mortels. Aucun
bruit
n’a frappé mon oreille, avançons. Sous mes pas me
voix mystérieuses de la nature qui semblent apporter à l’oreille les
bruits
des plantes qui se développent. 54. Indiquez les
térêts différents, le cri de la vérité ou du mensonge ; c’est un vain
bruit
ou un oracle de Dieu même10. Nous ne nous étendro
années de sa vie dans le repos et dans la retraite du sanctuaire. Le
bruit
de son nom se répand bientôt après ; de toutes pa
mme si quelque tragique accident avait désolé sa famille ? Au premier
bruit
d’un mal si étrange, on accourt à Saint-Cloud de
coup mortel, et demeura comme enseveli dans son triomphe. Au premier
bruit
de ce funeste accident, toutes les villes de Judé
ement n’échappa de sa bouche, et parmi tant de douleurs, à travers le
bruit
des coups répétés, on entendait seulement ces mot
que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait au
bruit
des armes, il l’aime, il le cherche, et s’anime d
. Eh ! de quoi est-ce qu’on parle là ? De celui qui m’a dérobé ? Quel
bruit
fait-on là-haut ? Est-ce mon voleur qui y est ? D
front foudroyant le moucheron bourdonne. Et son ombre n’entend que le
bruit
monotone D’une vague contre un écuei
isérable risée, Au sacre du malheur il retrempe ses droits ; Tient au
bruit
de ses pas deux mondes en haleine, Et mourant de
t plein d’audace, Sur ses jarrets plians se balance avec grâce. Aucun
bruit
ne l’émeut ; le premier du troupeau, Il fend l’on
Le superbe Eridan(c), le souverain des eaux, Traîne et roule à grand
bruit
forêts, bergers, troupeaux ; Le Prêtre environné
ans qu’il roule avec un fracas horrible parmi des rochers déserts. Au
bruit
épouvantable qu’elles font par leur chute, le nav
leur vie, unissent leurs tombeaux. Mais dans ces jours, hélas ! si du
bruit
du tonnerre, Le ciel dans son courroux épouvante
sion qu’elle a pour Hippolyte. Voilà le sujet exposé. Il se répand un
bruit
que Thésée, depuis long-temps absent, est mort. Œ
ssement d’horreur, lorsque Théramène vient apprendre à celui-ci qu’un
bruit
sourd veut que Thésée respire. Voilà le nœud form
er quelque entreprise. Isabelle lui dit aussitôt de ne point faire de
bruit
, et se nomme. Sganarelle entendant le nom d’Isabe
les propos qu’il tient, on ne voit jamais goutte, Et ce n’est que du
bruit
que tout ce qu’on écoute. Eliante à Philinte. Ce
sujet : voilà le germe de tous les incidens de la pièce. Cependant le
bruit
se répand que Clitemnestre et Iphigénie doivent a
ous cherche brûlant d’amour et de colère. Près d’imposer silence à ce
bruit
imposteur, Achille en veut connoître et confondre
enrichit de ses pertes. Des biens des nations ravisseurs altérés, Le
bruit
de nos trésors les a tous attirés : Ils y courent
de Niquée : Amadis s’y précipite. Alors un nuage s’avance, s’ouvre au
bruit
du tonnerre, et laisse voir Mélice sur un dragon.
rsqu’un nuage noir et effrayant se forme au-dessus de leurs têtes. Un
bruit
affreux frappe les oreilles de Gama, chef de l’en
te et est emportée par son cheval dans une forêt. Au même instant, le
bruit
se répand dans le camp qu’on a vu Clorinde ; il p
et là dans le silence des bois. Tout-à-coup il entend derrière lui un
bruit
de chevaux ; et des voix confusent frappent ses o
r leurs casques : mille éclats, mille étincelles volent à-la-fois. Le
bruit
seul du coup fait trembler la terre ; les montagn
ransporté avec lui : il va nous y transporter nous-mêmes. « Un grand
bruit
nous attira vers le palais de Priam (a). Nous vim
Mais bientôt renversant sa barrière impuissante, Il porte au loin le
bruit
, la mort et l’épouvante ; Déracine en passant ces
e la force a vaincu, n’est vaincu qu’à demi. S’il faut qu’à d’anciens
bruits
l’événement réponde, Des vastes flancs du vide, i
vertus du sage. Vauband, sur un rempart, un compas à la main, Rit du
bruit
impuissant de cent foudres d’airain. Malheureux à
t antre, au travers de la nuit, Fait sortir le Démon du tumulte et du
bruit
. Le quartier alarmé n’a plus d’yeux qui sommeille
eaux, Fait dans les champs de Mars(b) déployer ses drapeaux ; Au seul
bruit
répandu de sa marche étonnante, Le Danube(c) s’ém
ont parle l’Écriture : un silence et une solitude aussi vastes que le
bruit
et le tumulte des hommes qui se pressaient jadis
es fenêtres et les portes en sont fermées ; il n’en sort ni fumée, ni
bruit
, ni habitants. Une espèce de sauvage, presque nu,
e, par la vaste étendue de la mer, le roulis des vagues écumantes, le
bruit
imposant du tonnerre. Mais songeons-nous un seul
ra mort une seconde et dernière fois. Mais qu’importe la gloire et ce
bruit
misérable que l’on fait en ce monde, si quelque c
e, léger fuseau ; Quand tu soutiens sa vie encore débile, Tourne sans
bruit
auprès de son berceau. Paisible, il dort du som
plus mon partage. Pour mon enfant, tourne, léger fuseau, Tourne sans
bruit
auprès de son berceau. Tendre arbrisseau menacé
ns et mon courage. Pour mon enfant, tourne, léger fuseau, Tourne sans
bruit
auprès de son berceau. Marie, ô toi que le chré
armes d'une mère ! Pour mon enfant, tourne, léger fuseau, Tourne sans
bruit
auprès de son berceau. Lorsque tout dort, je tr
u matin sommeille. Pour mon enfant, tourne, léger fuseau, Tourne sans
bruit
auprès de son berceau. (Mme Tastu.) Les sons do
fuit, Oui, la douleur est moins amère Que dans le monde, où tout est
bruit
. Mais c'est Dieu qui calme l'orage Qui mugit au f
rien d’extrêmement doux et flatteur pour nous, qui aurons entendu le
bruit
d’une rivière tranquille, ou le murmure d’un ruis
vante frissonne ; Quand pour nouvelle alarme à ses esprits glacés, Un
bruit
s’épand qu’Enguiend et Condé sont passés Condé, d
ient percer. Là, on n’entendait jamais que le chant des oiseaux ou le
bruit
d’un ruisseau qui se précipitant du haut d’un roc
e du cœur emportée. On crie, on pleure ; M. d’Hamilton fait cesser ce
bruit
, et ôter le petit d’Elbeuf, qui s’était jeté sur
le corps d’un manteau, on le porte dans une haie, on le garde à petit
bruit
; un carrosse vient, on l’emporte dans sa tente.
st besoin auparavant de se recueillir, de s’isoler de la vie qui fait
bruit
et de lui fermer la porte, de faire comme on fais
Ne nous y appesantissons jamais que pour combattre en nous l’amour du
bruit
, l’exagération de notre importance, l’enivrement
t à cette figure qu’ont recours les écrivains qui veulent exprimer un
bruit
quelconque qu’il leur est impossible de faire ent
Il semble que l’on entend les murmures divers d’une cascade ; ici un
bruit
aigu (rejaillit, se précipite), là un bruit confu
rs d’une cascade ; ici un bruit aigu (rejaillit, se précipite), là un
bruit
confus (court, écume, gronde), puis enfin un brui
précipite), là un bruit confus (court, écume, gronde), puis enfin un
bruit
sourd comme celui que produit la chute d’une mass
rsqu’un tendre zéphire A travers les forêts s’insinue et soupire. Le
bruit
léger d’un feuillage agité par une douce brise es
gémissantes eaux. On croit voir ces eaux dormantes qui coulent sans
bruit
; harmonie descriptive. Mais le ciel en courroux
ptive. Mais le ciel en courroux, la mer pleine de rage Font-ils d’un
bruit
affreux retentir le rivage, Le vers comme un torr
avec les objets à dépeindre : bra, cla, fra, gra, etc., peindront un
bruit
effrayant. Ci, ci, bi, gi, mi, etc., rendront la
s, et ces tambours qui résonnent autour de la statue, n’est-ce pas le
bruit
de la renommée ? ne sont-ce pas là les applaudiss
rs, venez en foule à sa table, venez faire retentir à ses oreilles le
bruit
de sa réputation si bien établie : voici le derni
ient pas s’exercer s’ils ne s’agitent, ni se mouvoir s’ils ne font du
bruit
; de sorte qu’ils mettent la vie dans cette actio
mme si quelque tragique accident avait désolé sa famille ? Au premier
bruit
d’un mal si étrange, on accourt à Saint-Cloud de
; les lois, les titres, les contrats, les dépositions, les aveux, les
bruits
publics, voilà la seconde. Quant aux lieux intern
centre, amènent les eaux au peuple-roi sur des arcs de triomphe ; le
bruit
sans fin des fontaines, ces innombrables statues
. Ce soir, plus que jamais, en vain il les redouble. La Mollesse à ce
bruit
se réveille, se trouble : Quand la Nuit, qui déjà
mes douceurs, il est sourd à ma voix : Tous les jours il m’éveille au
bruit
de ses exploits. Rien ne peut arrêter sa vigilant
eulx qui estoient dedans le chasteau amuzez à la pille6, entendant le
bruit
, coururent aux tours, et forteresses, et luy tire
deuil. Le son eu s’écrivait aussi ue. On disait de même : mener grand
bruit
. 2. Gargantua, Badebec et Pantagruel sont des p
ù il en a esté adverty, et qui nous represente la diversité mesme des
bruits
qui couroient, et les differents rapports qu’on l
une nouvelle expérience met leur sagesse en désordre, comme un simple
bruit
, sans auteur288 et sans fondement, les jette hors
je vous prie, quelle a été la fin de l’expédition, qui a tant fait de
bruit
. Il y avoit trois ans que nos ennemis méditoient
e, ils tuent nos paysans et brûlent nos villages. Mais sur le premier
bruit
qui leur vient que Monsieur s’avance avec une arm
à ce foudre qui a rempli l’Allemagne de feux et d’éclairs, et dont le
bruit
a été entendu par tout le monde. Mais quand cet o
c un ton de fureur plutôt que de colère : « Je sais bien qu’il y a du
bruit
dans la ville ; mais vous m’en répondrez, messieu
e coup mortel et demeura comme enseveli dans son triomphe. Au premier
bruit
de ce funeste accident, toutes les villes de Judé
ter tel qu’il étoit, lorsqu’après un long et pénible travail, loin du
bruit
de la ville et du tumulte des affaires, il alloit
éloignés, et c’est là le comble de l’honneur d’un homme d’esprit. Ce
bruit
de ma poésie fit grand éclat et m’attira deux ou
on n’a parlé qu’à elle, et dont le peuple n’a été informé que par des
bruits
vagues, confus et incertains. Un sage de l’antiqu
choses que par les idées pures de l’esprit, qu’il évite avec soin le
bruit
confus des créatures, et que, restant en lui-même
taisoit parfois, mais de suffocation, puis éclatoit, mais avec un tel
bruit
, qui sembloit tellement la trompette forcée du dé
idi, peu après son retour du Te Deum, quand on lui étoit venu dire le
bruit
que le peuple commençoit à faire, elle avoit auss
criminelle. Antoine Correa, premier commis du secrétaire, accourut au
bruit
. Comme il étoit le ministre ordinaire de ses crua
, de pastilles et de louis d’or, est arrivée avec tant de mélange, de
bruit
et de sassemens continuels, que la boîte a crevé.
nature, et à se recueillir dans un silence que ne trouble aucun autre
bruit
que le cri des aigles, le ramage entrecoupé de qu
seoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché : là, le
bruit
des vagues et l’agitation de l’eau, fixant mes se
nt sans que je m’en fusse aperçu. Le flux et reflux de cette eau, son
bruit
continu, mais renflé par intervalles, frappant sa
e fait entendre, par échos, la nuit dans les déserts, il ressemble au
bruit
du tonnerre : ce rugissement est sa voix ordinair
utre siècle. Cependant ces grands corps insensibles font entendre des
bruits
profonds et mélancoliques. Ce ne sont point des a
inantes, mais des sons monotones, parmi lesquels se font entendre des
bruits
sourds et profonds, qui nous jettent dans une tri
s tirer du tout : et ce silence me parut encore plus effrayant que le
bruit
lugubre qui l’avoit précédé. Nous nous hâtions d’
a mer, au quartier de la Poudre-d’Or. Les flots s’y brisoient avec un
bruit
épouvantable ; ils en couvroient les rochers et l
tour. Vers les sept heures du matin, nous entendîmes dans les bois un
bruit
de tambours : c’étoit le gouverneur, M. de la Bou
es vergues d’un grand vaisseau. Nous en étions si près que, malgré le
bruit
des flots, nous entendîmes le sifflet du maître q
gouverneur, et lui dit : « Monsieur, on a entendu, toute la nuit, des
bruits
sourds dans la montagne ; dans les bois, les feui
île. Vers les neuf heures du matin, on entendit du côté de la mer des
bruits
épouvantables, comme si des torrens d’eau, mêlés
rande partie du lit du rivage, dont elle rouloit les cailloux avec un
bruit
rauque et affreux. La mer, soulevée par le vent,
ns pas, il est temps de dire la vérité. Les proscriptions passées, le
bruit
des proscriptions futures, les troubles intérieur
[III] Qu’on désespère de m’intimider par les terreurs et les
bruits
de mon arrestation, qu’on sème autour de moi. Nou
; en ces murs où règne un morne silence, retentissoient sans cesse le
bruit
des armes et les cris d’allégresse et de fête ; c
À mesure que notre chaloupe s’éloignait, le chant des bateliers et le
bruit
confus de la ville s’éteignaient insensiblement.
ont parle l’Écriture : un silence et une solitude aussi vastes que le
bruit
et le tumulte des hommes qui se pressaient jadis
es fenêtres et les portes en sont fermées ; il n’en sort ni fumée, ni
bruit
, ni habitants. Une espèce de sauvage, presque nu,
’univers : Romanos ad templa Deûm duxêre triumphos671. À tous les
bruits
ordinaires des grandes cités se mêle ici le bruit
s671. À tous les bruits ordinaires des grandes cités se mêle ici le
bruit
des eaux que l’on entend de toutes parts, comme s
, remparts, canons, tentes, sentinelles. Pénétrez-vous plus avant, le
bruit
s’affaiblit par degrés, et va se perdre à l’églis
ls présentaient les armes, c’était avec un mouvement de fureur, et le
bruit
de ces armes faisait trembler. Jamais, il faut en
ntiellement du sort qu’ils lui feront dans l’avenir. J’écoute donc le
bruit
du monde. Comme un pâtre errant dans une forêt pr
cun de nous, enfant perdu de la foule, peut écouter dans sa pensée le
bruit
de ses pères et de ses contemporains. Quel est-il
éparaient de l’époque où il avait cessé de combattre pour elle, et le
bruit
de sa fin ne devait, ce semble, éveiller dans les
ue et repoussés par elle. Mais ces grands spectacles de terreur et de
bruit
, que nos régions tempérées n’offraient pas à l’év
de l’homme, il paraît le regarder avec complaisance ; mais au moindre
bruit
qui l’effraye, à la chute seule d’une feuille, il
ait le nombre des cadavres que la mer avait rejetés sur le sable. Ces
bruits
abattaient l’ardeur des aventuriers d’abord si pl
bateaux de transport se mirent en mouvement pour gagner le large, au
bruit
des trompettes et d’un immense cri de joie poussé
rdi de ces paroles ; son étourdissement durait encore, quand un grand
bruit
d’armes et de chevaux, mêlé de clameurs étrangère
rs silencieuses on avait quelquefois encore l’oreille frappée par des
bruits
de voitures, on écoutait, et c’étaient des voitur
gnent le froid et le silence, et par intervalles on entend à peine le
bruit
léger d’une feuille qui tombe. L’arbre immobile e
t de fraîcheur, sourire au soleil levant. Il y a dans l’air de vagues
bruits
et je ne sais quoi de presque chantant qui fait c
ière enflammée ; enfin, le sourd mugissement de la mer qui se mêle au
bruit
musical du vent dans les têtes des sapins, et au
les coups. On se combattait du fond de deux nuages, et l’on tirait au
bruit
plus qu’à la vue. Les Prussiens, plus découverts
t d’heure et roulant d’une colline à l’autre, dans les intervalles du
bruit
du canon, rassure l’armée avec sa propre voix et
e victoire. Il avait fait entendre pour la première fois à l’armée le
bruit
de la guerre et éprouvé le patriotisme français a
, était le moins marchand des deux ; les écoliers y faisaient plus de
bruit
et de foule que les artisans, et il n’y avait, à
it des dents, ses cheveux roux se hérissaient, sa poitrine faisait le
bruit
d’un soufflet de forge, son œil jetait des flamme
tait un rêve, un tourbillon, une tempête ; le vertige à cheval sur le
bruit
; un esprit cramponné à une croupe volante ; un é
utait monter cette marée d’hommes. Elle entendait le grossissement du
bruit
des trois mille chevaux, le frappement alternatif
ns les traînes. Vous y pouvez marcher une heure sans entendre d’autre
bruit
que le vol d’un merle effarouché à votre approche
abitants, toute une forêt de végétations ; son eau limpide court sans
bruit
en s’épurant sur la glaise, et caresse mollement
256. Le claquement des dents de l’homme qui grelotte est comparé au
bruit
du grelot. De là le verbe. 257. L’auteur parle d
ue la naïveté… Cf. La Fontaine, VIII, 2 : Si quelque chat faisait du
bruit
, Le chat prenait l’argent… — Verba, vultus, in
es. L’air était chargé d’enivrantes senteurs. On entendait au loin le
bruit
des écluses, les aboiements des chiens, et ces mi
lle au guet, S’égayaient, et de thym parfumaient leur banquet Le
bruit
du coup fait que la bande S’en va chercher sa
ouement la reine a réservée. Le signal est donné sans tumulte et sans
bruit
: C’était à la faveur des ombres de la nuit, Etc.
ort ? — Non, mais il est en danger. Eh ! que vous importent ces vains
bruits
? Supposez-le mort, en effet ; vous en aurez bien
ire l’impression que font nécessairement sur les esprits faibles, les
bruits
que les malveillants et les oisifs ne manquent ja
sais que plusieurs d’entre vous se plaisent à faire circuler de faux
bruits
, qu’ils donnent pour des nouvelles authentiques.
nce des acteurs, ou par leurs discours, ou par la vue, ou par quelque
bruit
: par la présence, quand plusieurs acteurs, entra
nt, ou le sortant l’entrant, ou qu’ils se sont vus tous deux ; par le
bruit
, quand le théâtre demeurant vide, on entend le br
us deux ; par le bruit, quand le théâtre demeurant vide, on entend le
bruit
de quelqu’un qui arrive. Cette dernière espèce de
mes douceurs, il est sourd à ma voix ; Tous les jours il m’éveille au
bruit
de ses exploits. Rien ne peut arrêter sa vigilant
t l’admiration. Tels sont les passages suivants : L’enfer s’émeut au
bruit
de Neptune en furie. Pluton sort de son trône ; i
lit le meurtre de Coligny : Le signal est donne sans tumulte et sans
bruit
, C’était à la faveur des ombres de la nuit : De c
pied, mord le frein, sollicite les rênes. À ces apprêts de guerre, au
bruit
des combattants, Le cerf frémit, s’étonne, et bal
suprêmes Arrachent des diadèmes Les palmes et les lauriers. Au seul
bruit
de son tonnerre Tremblent la terre et les cieux,
cessent de s’écouler, tant qu’enfin, après avoir fait un peu plus de
bruit
et traversé un peu plus de pays les uns que les a
e bien tendue, résonne au mouvement d’un petit marteau que le moindre
bruit
agite ; elle a, dans un os fort dur, des cavités
onde la glace d’une rivière qu’il vaut traverser. Ce qui fait du
bruit
se remue ; Ce qui se remue n’est pas gelé ;
Ce qui est liquide plie sous le faix ; Donc, cette eau qui fait du
bruit
plie sous le faix. Il est essentiel que les prop
ssez d’étables pour être mis à couvert. C’étaient de toutes parts des
bruits
confus de gens qui se poussaient les uns les autr
être pleurait en les prononçant, et pouvait les achever à peine. » Au
bruit
de sa convalescence, avec quel transport nous pas
rait, par un beau soleil, dans une allée bien sombre, au milieu de ce
bruit
des champs, immense, confus, et pourtant si harmo
nous est une haute retraite1. » Où donc est la tempête2 ? où donc le
bruit
des flammes et des vagues ? Vox domini super aqua
este, et rasait toujours les murailles, pour faire place avec plus de
bruit
, et n’avançait qu’à force de révérences respectue
prenant bien, et nous avons ici des gens d’une adresse !… D’abord un
bruit
léger rasant le sol comme l’hirondelle avant l’or
suivant les cas ou les besoins de la cause, une vaine rumeur, un faux
bruit
ou la voix du peuple, le cri de la conscience pub
e coup mortel et demeura comme enseveli dans son triomphe. Au premier
bruit
de ce funeste accident, toutes les villes de Judé
e un long gémissement. Virgile, cet autre poète du goût, peignant le
bruit
sourd, caverneux, que fit résonner dans les flanc
æ gemitumque dedere cavernæ. Faut-il peindre des cris déchirants, le
bruit
cruel des fouets, le grincement du fer, le fracas
ur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible
bruit
: C’était un Espagnol de l’armée en déroute, Qui
, gradué. Mais voyons ce qu’en a fait Despréaux : L’enfer s’émeut au
bruit
de Neptune en furie : Pluton sort de son trône, i
es vers, sans être comparables au modèle, ont des beautés. S’émeut au
bruit
est faible. Sort, pour s’élancer de son trône, es
s de sa rage, Se roule en vain sur le rivage Qu’elle épouvante de son
bruit
; Un grain de sable la divise, L’onde écume, le f
Sera-ce entre ces murs que mille et mille voix Font résonner encor du
bruit
de ses exploits ? Sera-ce hors des murs, au milie
ὀνοματοποιΐα) dénomme les objets, en vertu de l’imitation : c’est le
bruit
de tel objet, le cri de tel autre, qui lui sert d
ra mort une seconde et dernière fois. Mais qu’importe la gloire et ce
bruit
misérable que l’on fait en ce monde, si quelque c
ra au peuple, et le fit aussitôt couronner. Athalie étant accourue au
bruit
de la cérémonie, fut mise à mort par le peuple mê
orphée qui veillait sans cesse, pour empêcher qu’on ne fît le moindre
bruit
. On le représente sur un lit, tenant une corne d’
son cours des rochers, à travers lesquels il se précipite avec grand
bruit
; mais dans le temps de sa crue, ses eaux couvren
e que d’instruire, de charmer que d’être utile, il chercha surtout le
bruit
, l’éclat, la gloire, la première place dans un si
pillent le miel de quelques abeilles ? Les gens de lettres font grand
bruit
de toutes ces petites querelles ; le reste du mon
1. Le 2 août de la même année, Voltaire écrivait à D’Alembert : « Le
bruit
court que vous venez avec un autre philosophe ; i
hevé leur course, après avoir fait, comme des fleuves, un peu plus de
bruit
les uns que les autres, ils sont tous enfin confo
ient pas s’exercer s’ils ne s’agitent, ni se mouvoir s’ils ne font du
bruit
; de sorte qu’ils mettent la vie dans cette actio
u’il lui dit ; il déploie un ample mouchoir3, et se mouche avec grand
bruit
; il crache fort loin, et il éternue fort haut ;
s d’automne, et les eaux dans leurs plus grandes crues ne font pas un
bruit
si perçant et si aigu ; on ne s’entend non plus p
sprit faible, léger, inconsistant, dominé avant tout par le besoin du
bruit
? Ah ! sachons montrer que je n’accepte point la
! Ce que c’est aussi que la puissance ! Nous nous surfaisons tous le
bruit
de notre nom ; nous croyons tous que tout le mond
e pouvait trouver sa place dans une tête vide d’idées, et étourdie du
bruit
qu’elle-même excite autour d’elle. Que serait-ce
multe. Loin de penser à une sortie de l’ennemi, il s’imaginait que le
bruit
provenait d’une querelle entre ses propres soldat
. Ni Corneille, dans son petit ménage de Rouen, écrivant Polyeucte au
bruit
des fuseaux de sa femme, ni Racine faisant la pro
ontre la terre ; le zéphir est le souffle d’un génie bienfaisant : le
bruit
du ruisseau, c’est la plainte d’un être souffrant
procher son oreille de la glace, et il semble dire : « Ce qui fait du
bruit
se remue ; ce qui se remue n’est pas gelé ; ce qu
iquide plie sous le faix : donc si j’entends, près de mon oreille, le
bruit
de l’eau, elle n’est pas gelée, et la glace n’est
r. » Aussi voit-on le renard s’arrêter et reculer lorsqu’il entend le
bruit
de l’eau. Voyez cette forme de preuve dans le pla
le de trahison. Enfin, il trouve un témoignage du même genre dans les
bruits
vulgaires et dans l’opinion publique. On peut don
térêts différents, le cri de la vérité ou du mensonge : c’est un vain
bruit
, ou un oracle de Dieu même. (Id., pro Cælio, c. 1
reproches publics, mais les pensées même les plus secrètes, les vains
bruits
, les fausses imputations, une fable, un rien, tou
us parfait imitateur encore. Homère fait entendre par son harmonie le
bruit
des flots, le choc des vents, le cri des voiles d
lle n’est pas moins sensible dans la peinture suivante : « Au premier
bruit
de ce funeste accident, toutes les villes de Judé
dont le jeune auteur venait d’être témoin, l’impunité du meurtre, le
bruit
des armes, le silence des lois. « La ville était
vers de la Henriade : Tel qu’échappé du sein d’un riant pâturage, Au
bruit
de la trompette animant son courage, Dans les cha
ros, l’éclat de ses théâtres, la magnificence de ses jeux publics, le
bruit
des discussions philosophiques dont retentissaien
s sur des peuples qui ne sont pas nos frères, et fatiguer l’Europe du
bruit
de nos armes ? On sait que nous sommes braves : r
eurs palais, flattaient le tyran et attendaient la mort. Cependant un
bruit
soudain se répand dans l’armée. On dit que l’empe
vait eu pitié de Rome et de l’empire ; Domitien n’était plus. Déjà le
bruit
est parvenu jusqu’aux provinces les plus reculées
de fois vos compagnons d’armes ont-ils fait retentir jusqu’à vous le
bruit
de son courage ! Que lui manque t-il pour l’empir
avions jamais dû nous punir par un exil volontaire, c’était quand le
bruit
des armes retentissait à nos portes et jusque dan
ut ce fracas d’antithèses plus d’apparence que de réalité, et plus de
bruit
dans la tête des jeunes gens, que d’idée de la vé
ruption du texte, mais à la négligence de la rédaction d’Aristote. Le
bruit
seul opère, etc.] Ἔχει μόνον οὐχί, ἥν, etc. M. Bo
, l’origine de la musique. Dans la suite, le sifflement des vents, le
bruit
sourd que rendent les corps creux, quand on les f
fit connaître ; Dans tout Nevers, du matin jusqu’au soir, Il n’était
bruit
que des scènes mignonnes Du perroquet des bienheu
qui se rencontrent en vos forêts, ou les animaux qui y passent7 ; le
bruit
même de leur tracas n’interrompt pas plus mes rêv
nt : Pourquoi, sur cette molle arène, Ne pas murmurer doucement ? Ton
bruit
m’importune et me gêne. — N’entends-tu pas, dit l
te échevelée Venait pleurer quand le jour fuit, Éveille par ton léger
bruit
Mon ombre un instant consolée. » Il dit… s’éloign
as Visiter la pierre isolée, Et le pâtre de la vallée Troubla seul du
bruit
de ses pas Le silence du mausolée. Quant à Parny
vait l’œil au guet ; et la nuit, Si quelque chut faisait du
bruit
. Le chat prenait l’argent. À la fin le pauvre hom
hapelle avec moins de silence que dans l’antichambre, il fait plus de
bruit
qu’eux pour les faire taire. Il reprend sa médita
entend, ce semble le commandement des généraux, et il prend garde au
bruit
confus de l’armée. » Cette admirable description
’on regarde sans être étourdi ni par le son des trompettes, ni par le
bruit
des canons, ni par les cris des blessés ; où l’ho
e Dieu vous… 2. Il nous est utile (expedit). 3. Pour ce qui est des
bruits
. 4. Il s’agit ici des libertins, dont il disait,
sur la tête et une toge sur leurs épaules ; point de foule, point de
bruit
: une gravité dans l’air comme dans les murs noir
▲