e lui. Au delà de Gurau, en tirant vers le fleuve de l’Oder, était un
bois
épais, au travers duquel le général saxon sauva s
terie fatiguée. Les Suédois, sans se rebuter, le poursuivirent par le
bois
même, avançant avec difficulté dans des routes à
ne praticables pour des gens de pied. Les Saxons n’eurent traversé le
bois
que cinq heures avant la cavalerie suédoise. Au s
le bois que cinq heures avant la cavalerie suédoise. Au sortir de ce
bois
coule la rivière de Parts, au pied d’un village n
rs au comble de la fortune. 2. On désigne ainsi de grosses pièces de
bois
, armées de pieux pointus et ferrés, dont on se se
us les jours, je revois Le haut des toits de chaume, et le bouquet de
bois
, Au vieux puits la servante allant emplir ses cru
rd, mais un rien les ramène. Le fusil d’un chasseur, un coup parti du
bois
, Viennent de réveiller mes remords d’autrefois :
rt de louise Quand Louise mourut à sa quinzième année, Fleur des
bois
par la pluie et le vent moissonnée, Un cortége no
tant un cri sourd signe de la tempête… Le chevreuil Dans un
bois
du canton, pris dès son plus jeune âge, Il était
a fraîcheur des sources. Sa trace était partout dans les sentiers des
bois
; Mais nul brame amoureux ne répétait sa voix ; P
me rendra des eaux le cours limpide et frais ? Qui peindra des grands
bois
le studieux silence, La liberté des champs et leu
rs, Pierre-Gante et sa roche Sont là. J’ai reconnu cet air si vif des
bois
, Qu’avec tant de plaisir j’aspirais autrefois ; L
a mer. Ne me conduisez pas : j’en sais toutes les routes ; Parmi ces
bois
grandis, je les retrouve toutes ; J’irais, ferman
qui frappe et vous appelle. Lorsque de la vallée, ou du bourg ou des
bois
, Le soir, dans le château, je rentrais autrefois,
Dieu ! misericorde ! Mon filz, mon filz, voyez vous ceste chorde, Ce
bois
, ce feu, et ce cousteau icy ? Isac, Isac, c’est p
5 Escoute, bucheron, arreste un peu le bras ; Ce ne sont pas des
bois
que tu jettes à bas ; Ne vois-tu pas le sang, leq
et, Echo sera sans vois ; Tout deviendra campagne, et, en lieu de les
bois
, Dont l’ombrage incertain lentement se remue177,
le aux choses d’importance, Mais mal-aisé pour moy qui suis parmi les
bois
Les nymphes qui n’ont rien que le luth et là vois
Romains et les doctes Gregeois Nomment songe, fumee et fueillage des
bois
, Qui n’ont jamais icy la verité cognue Que, je ne
ergeries, 1re journée245). Avril246 Avril, l’honneur et des
bois
Et des mois ; Avril, la douce esperance Des fruic
ouloit dedans le met272, et d’une force estrange Faisoyent geindre le
bois
et pleuvoir la vendange : Autres à dos panché ent
s’abaissent. La mer r’entre en prison. Les montaignes renaissent. Les
bois
montrent déjà leurs limoneus rameaus ; Ja la mont
l fut magistrat à Caen et gentilhomme campagnard, et resta poète. Les
bois
, les vergers, le Clain du Poitou, l’Orne de la No
n excés ; Qui voit de son château, de sa maison plaisante419, Un haut
bois
, une prée, un parc qui le contente… Les pensers e
nature428…… Ores429 seulet il va de campagne en campagne, Ores de
bois
en bois, de vallon en montagne, Prenant mille pla
8…… Ores429 seulet il va de campagne en campagne, Ores de bois en
bois
, de vallon en montagne, Prenant mille plaisirs ju
iens, franc de haine et d’envie, Parmy les champs, les forests et les
bois
, Loin du tumulte et du bruit populaire, Et qui ne
cœur d’affections serviles, Compagnon de ces dieux qui sont parmy les
bois
. J’ay chassé loin de luy l’ardante convoitise, L’
es, à Royaumont, dont l’abbé était son ami, faisant des vers dans les
bois
, faisant pis à la ville, héritant un jour d’une p
st trouvé ; Et ses peschés à confesser commence : Disant qu’il a par
bois
, montagne et plaine, Tant nuict que jour, perpétr
de trompes et d’abbois680 Car chacun porte au col sa trompe par les
bois
Où cent couples681 de crin pendillent cordelees.
O le plaisir que c’est, ayant au poing un livre, De se perdre en un
bois
, et de tout soing delivre, D’ainsi philosopner au
nol la fredonnante voix, Le chant d’autres oyseaux qui caquettent aux
bois
, Le chant de la bergere et son amour rustique, Vo
des mouches à miel la gente republique, Voir le vert et l’azur et des
bois
et des eaux, Voir d’automne et d’estémeurir les f
r une croix enfin… ADRIEN. Sur un
bois
glorieux, Qui fut moins une croix qu’une échelle
dormir ; paresseux, ami du « somme » avec délices, ami des Muses, des
bois
, des bêtes ; académicien sur le tard (en 1684), e
ce qu’il faut faire. — C’est, dit-il, afin de m’aider À recharger ce
bois
; tu ne tarderas guère841. Le trépas vient tout
paix, et méprise le reste : Content de ses douceurs, errant parmi les
bois
, Il regarde à ses pieds les favoris des rois ; Il
xercice est mon plaisir suprême, Je voulus, pour bien faire, aller au
bois
moi-même, Et nous conclûmes donc d’attacher nos e
illy des vers dans ce « cabinet de verdure » qui a conservé le nom de
Bois
de Sylvie. (Voir Ph. Chasles, les Victimes de Boi
ynard Conseils à un courtisan. Ode Alcippe, reviens dans nos
bois
, Tu n’as que trop suivy les rois Et l’infidèle es
’encenser la faveur et de suivre le roy. Faret1011, je suis ravy des
bois
où je demeure ; J’y trouve la santé de l’esprit e
VI.) Plus loin, une forêt noire et muette : Quiconque au sein d’un
bois
affreux et solitaire Après s’être engagé, d’un pa
loient, mais leur charmante voix Laissoit encor dormir le silence des
bois
; Et les bètes sortant à regret des gagnages1032
uois sur le dos et le bras retroussé, Plus matin que le jour dans ces
bois
arrivée, La Nymphe pour chasser pense s’être levé
veaux que m’offre la nature Mes yeux sont égayés ; Et tantôt dans les
bois
, tantôt dans les prairies, Je promène toujours me
à toi, L’avenir encor moins : conduis bien ton ménage, Divertis-toi,
bois
, dors, sois tranquille, sois sage. De quel nuage
potager », heureux comme Horace, sans avoir Tibur, de son bouquet de
bois
, de « son petit ruisseau », de « ses petits pénat
eth). MACBETH. Je croyois traverser, dans sa profonde horreur, D’un
bois
silencieux l’obscurité perfide. Le vent grondoit
ux jours de l’automne, En suivant le cours de ton eau, Entendre et le
bois
qui frissonne Et le cri plaintif du vanneau1151 !
uet les faisoit taire. Lassés de tant d’affronts, tous les oiseaux du
bois
Viennent lui dire un jour : « Mais parlez donc, b
champs que j’aimois, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des
bois
! Ciel, pavillon de l’homme, admirable nature, Sa
es s’agitoient ; On vit errer, la nuit, des spectres lamentables, Des
bois
muets sortoient des voix épouvantables ; L’airain
t. I.) IV Nymphe tendre et vermeille, ô jeune poésie ! Quel
bois
est aujourd’hui ta retraite choisie ? Quelles fle
sés de toutes parts ! Salut, de la nature admirables caprices, Où les
bois
, les cités pendent en précipices ! Je veux, je ve
errant. » C’est ainsi qu’achevait l’aveugle en soupirant, Et près des
bois
marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait. T
et les sons de sa voix « Émeuvent l’air et l’onde, et le ciel et les
bois
. » Mais il entend leurs pas, prête l’oreille, es
est terminée, Vierges dont le trépas suspendit l’hyménée1231, Mais, ô
bois
, ô ruisseaux, ô monts, ô durs cailloux, Quels dou
d’un fils inconnu marâtre involontaire, Vola, doux rossignol, sous le
bois
solitaire1235 ; Ensuite, avec le vin, il versait
douce patrie et les parents aimés1238. Enfin, l’Ossa, l’Olympe et les
bois
du Pénée Voyaient ensanglanter les banquets d’hym
et la mort. L’autel est dépouillé. Tous vont s’armer de flamme, Et le
bois
porte au loin des hurlements de femme L’ongle1240
épars dans tes herbes nouvelles Ne trompent une main crédule, ni les
bois
Des tigres frémissants ne redoutent la voix ; Ni
sent partout, sur tes nobles rivages, Fleurs, moissons et vergers, et
bois
, et pâturages, Rampent au pied des murs d’opulent
mbres dispersés1253, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les
bois
et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs :
Que le soleil enflamme au travers de la nue ; Ces vallons ombragés de
bois
majestueux ; Ce fleuve qui se roule en replis sin
ent légèrement la pointe des guérets ; Un torrent de parfums sort des
bois
et des plaines ; Le soleil, en fuyant, se projett
lus à nos yeux qu’une image confuse. Près de chaque buisson, dans les
bois
tortueux, Le ver étincelant luit au fond des ombr
r de Laprade, le plus renommé de l’école de Lamartine, qui chante les
bois
et les montagnes, et Leconte de Lisle, le plus br
rs présente à ma tendresse. Ah ! quand la pâle automne aura jauni nos
bois
, Ô mon père ! je veux promener ma tristesse Aux l
eur. La chute des feuilles1284. Élégie De la dépouille de nos
bois
L’automne avait jonché la terre : Le bocage était
n aurore, Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le
bois
cher à ses premiers ans : « Bois que j’aime ! adi
lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans : «
Bois
que j’aime ! adieu…, je succombe ; Votre deuil me
de mort. Fatal oracle d’Epidaure1285 ! Tu m’as dit : Les feuilles des
bois
À tes yeux jauniront encore, Mais c’est pour la d
rs, Pierre-Gante et sa roche Sont là. J’ai reconnu cet air si vif des
bois
, Qu’avec tant de plaisir j’aspirais autrefois ; L
er1306. Ne me conduisez pas : j’en sais toutes les routes ; Parmi ces
bois
grandis, je les retrouve toutes ; J irais, ferman
ce. — Librairie académique Didier et Cie.) Promenade matinale au
bois
de Ville-d’Avray Maître de mes loisirs et lib
t les prés reverdir, et renaître les fleurs, Et se rougir au loin les
bois
aux mille têtes ! L’étoile du matin est l’astre d
ile du soir se lève dans l’azur. Au sommet de ces monts couronnés de
bois
sombres, Le crépuscule encor jette un dernier ray
Il n’est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des
bois
tombe dans la prairie, Le vent du soir s’élève et
oétiques, I. — Hachette et Cie, éditeurs.) L’automne Salut !
Bois
couronnés d’un reste de verdure ! Feuillages jaun
ant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l’obscurité des
bois
. Oui, dans ces jours d’automne où la nature expi
s, les chaumières sans voix ; Nulle feuille ne tremble à la voûte des
bois
; Et la mer elle-même, expirant sur sa rive, Roul
poudreux Portent sous le soleil un peu d’ombre avec eux ; Au joug de
bois
poli le timon s’équilibre, Sous l’essieu gémissan
e plaine bleue avec ses routes blanches, Les moissons jaune d’or, les
bois
comme un point noir, Et les lacs renvoyant le cie
tions, 1856), « Juvenilia » sous le titre de Chansons des Rues et des
Bois
(1865) ; « Senilia », pourrait-on dire si le poèt
es, jusqu’aux quatrains courts et serrés des Chansons des Rues et des
Bois
, en passant par les agencements multiples de stro
XLIII.) Aux arbres ………………………………………………… Arbres de ces grands
bois
qui frissonnez toujours, Je vous aime, et vous, l
ent, joyeux convives ! Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands
bois
, Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois
aux aquilons, Sur les déserts pieux où l’esprit se recueille, Sur les
bois
que l’automne emporte feuille à feuille, Sur les
, Jéricho s’aperçoit, c’est la ville des palmes ; Et, prolongeant ses
bois
, des plaines de Phogor, Le lentisque touffu s’éte
r.) Le cor I J’aime le son du cor, le soir, au fond des
bois
, Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abo
Lorsqu’au déclin du jour, assis sur la bruyère, Avec un vieil ami tu
bois
en liberté1416, Dis-moi, d’aussi bon cœur viderai
sa chasse circulaire1433, L’onde claire, Elle s’enfuit d’un vol sûr.
Bois
qui chantent, fraîches plaines D’odeurs pleines,
son origine, semble rajeunir un recueil sous un air de fraîcheur des
bois
, il a, comme tant d’autres en ce siècle, écrit au
tous les jours je revois Le haut des toits de chaume et le bouquet de
bois
, Au vieux puits la servante allant emplir ses cru
sé large et creux contre les loups enferme, Ton hameau recouvert d’un
bois
de châtaignier, Et tes beaux champs de seigle ; a
voi de Louise Quand Louise mourut à sa quinzième année, Fleur des
bois
par la pluie et le vent moissonnée, Un cortège no
iré par leurs voix, Les yeux en feu, le loup, comme un trait, sort du
bois
, Tue un jeune poulain, étrangle une génisse ; Mai
-là dans Coat-Lorh. Ô landes ! ô forêts ! pierres sombres et hautes,
Bois
qui couvrez nos champs, mers qui battez nos côtes
nière, Nous aurions fait tous deux l’école buissonnière1461 Dans les
bois
pleins de chants, die parfum et d’amour ; J’aurai
t par-dessus sans mouiller ses grelots. Mais j’aime la Voulzie et ses
bois
noirs de mûres, Et dans son lit de fleurs ses bon
um de forêts. Marcher à deux sur les fleurs et la mousse, Au fond des
bois
rêver, s’asseoir, courir, Oh ! quel bonheur ! oh
mpté de beaux jours, hélas ! et des jours sombres Que savent tous ces
bois
, complices ou témoins ; J’ai connu d’autres maux
6, Mon plus cher souvenir… à frapper quelque jour, Mon vieil hôte, du
bois
l’ornement et l’ancêtre ; À lui de s’écrouler… Pu
ucis, nos travaux, te sont tous inconnus ! LE POÈTE. Écoute, dans ces
bois
déjà pleins de ténèbres, Du zéphyr qui s’endort l
Dans les vignes épars, mais à leur nid fidèles, Les oiseaux vers les
bois
rentraient à tire d’ailes : Et l’âme, vers le cie
ux tapissés par la neige Lentement serpentait le funèbre cortège. Les
bois
ainsi que nous restaient silencieux, Un crêpe de
espirer l’air que respirent les chênes… Les livres sont fermés et les
bois
sont ouverts1490. (Le Livre d’un père. — Les Va
dé plus d’un carquois Des traits que m’ont fournis les rochers et les
bois
; Là, pour d’autres combats j’en trouverais encor
es, Qui de vous n’a passé de ces heures divines Avoir les champs, les
bois
, l’horizon spacieux, La beauté de la terre et la
Qu’en traversant les deux y jette la linotte ; Ces frissons dans les
bois
des vents alternatifs1496 Ces mille bruits confu
d’herbe verte et mouillée, Un frais soleil pénètre en l’épaisseur des
bois
; Toute chose étincelle, et la jeune feuillée Et
e nuit ………………………………………………………… Et la nuit formidable enveloppa les
bois
. Les oiseaux s’étaient tus, et sur les rameaux fr
; Les panthères, par bonds musculeux et rapides, Dans l’épaisseur des
bois
chassaient les daims timides, Et, sur le bord pro
blanchissez le sable, Vents qui tourbillonnez sur les caps, dans les
bois
, Et qui multipliez en lamentables voix, Par-delà
leurs nids sut le rivage, Qui ne se posent point sur les rameaux des
bois
; Nonchalamment bercés sur le courant de l’onde.
han, grand effort, comme de l’homme qui soulève un fardeau ou fend du
bois
. De là suer d’ahan, origine incertaine, probablem
oient les charrues. (Ibid.) Le soir, Les vents sont assoupis, les
bois
dorment sans bruit. (Égl., IV.) La nuit, Foul
à la Forest de Gastine. 176. Les Dryades (δρῠς, chêne), nymphes des
bois
, vivaient sous l’ombrage et se retiraient dans le
t, cherchant la fin d’un vers que je construi, Je trouve au coin d’un
bois
qui m’avait fui ; Quelquefois, aux appas d’un ham
rus (cura, soin et souci). 220. Satyres. Étymol. : Pan, divinité des
bois
, et αἴξ (génitif αἴγος), chèvre. 221. Cotte, j
us la nuit brune, Quand le soleil a fait place à la lune, Au fond des
bois
les Nymphes s’assembler, Danser, sauter, se donne
rs. Et resveur m’esgaray tout seul par les destours Des Antres et des
Bois
affreux et solitaires, Où la Muse, en dormant, m’
ruisselets, rivieres, fontaines prez, combes, chasteaux, villages et
bois
; bref, de tout cela que l’œil sçauroit souhaiter
serie ». 260. C’est le Sordidus Autumnus d’Ovide. 261. Morceau de
bois
qui ferme la bonde, trou rond par lequel on empli
eutrer un vaisseau. 262. On appelle fausset ou broche la cheville de
bois
destinée à boucher le trou fait au tonneau par le
. 348.) 372. Garrot a signifié 1° trait d’arbalète, 2° morceau de
bois
court que l’on passe dans une corde pour la serre
de loing sa musette et sa voix Qui troubloit doucement le silence des
bois
. (I.3) Que le soleil est haut ! Desja de ces
puiser dans les vers ravissants de Virgile l’amour des champs et des
bois
; mais il s’en était pénétré, et la poésie du maî
e) ou andouillers, les chevillures sortant de la corne, ou ramure, ou
bois
, du cerf. Le cerf de sept ans en a cinq de chaque
par les pieds de l’animal. 902. Tête, en terme de vénerie, signifie
bois
. À trois ans, le cerf a son premier bois complet
n terme de vénerie, signifie bois. À trois ans, le cerf a son premier
bois
complet ; le second, à quatre ans. 903. Chiens q
. — Appuyer, exciter les chiens du cor et de la voix. 911. Sortir du
bois
. Sonner le débûcher. Étymol. busch (allemand), d’
ner le débûcher. Étymol. busch (allemand), d’où bûche, bosc, bosquet,
bois
, buisson. 912. Fameux marchand de chevaux. 913.
la danse, et le son des hautbois L’attire des hameaux à l’ombrage des
bois
. (Égl., II.) (Cf. Boileau, Art Poétique, II, 1
qu’il raille en 1741, le portait sans doute voir ses moissons et ses
bois
. 1100. Géomètre et astronome (1698-1759), de Sa
endris de grands cœurs… C’est ainsi qu’on peut vivre à l’ombre de ses
bois
, En guerre avec les sots, en paix avec soi-même,
moule du temps ; il les écrit « comme un bûcheron qui chante dans ses
bois
en faisant des fagots ». 1152. C’est encore dans
tre passé dans ces deux arts. Il n’aimait pas la solitude : Ce qu’un
bois
m’inspire, Je veux à mes côtés trouver à qui le d
brille une mer glacée. À peine sur le dos de ces sentiers luisants Un
bois
armé de for soutient ses pas glissants. On le vo
quelin, à graver sur un camée : Diane se repose et dort au sein d’un
bois
: Haletant sous ses pas, son jeune chien fidèle,
ts que lui inspiraient, aux mêmes lieux, mais à 32 ans, la mer et les
bois
. On suit ainsi les étapes de son imagination et d
it ainsi les étapes de son imagination et de son âme : La Mer et les
Bois
. Tancarville, 1817. Jeune, j’aimais les bois. So
on âme : La Mer et les Bois. Tancarville, 1817. Jeune, j’aimais les
bois
. Sous leurs vertes ramures Qui des flots de la me
Mais l’âme y devient triste et s’y sent solitaire ; Le mouvement des
bois
la berce sur la terre. C’est toujours le passé qu
s suit, Aux rameaux desséchés, à l’hiver, à la nuit. Ainsi, parmi les
bois
, quand seul je me promène. À de tristes pensers l
ne ; Vers un autre horizon je porte en vain les yeux, Et la voûte des
bois
cache celle des cieux. L’Océan ! l’Océan ! là l’
e suis allé revoir les chaumières qui fument Aux bords silencieux des
bois
qui les parfument. Ô vieux rochers déserts où j’a
Paris en 1519). 1347. « Qu’est-ce que le trône ? Quatre morceaux de
bois
revêtus d’un morceau de velours. Tout dépend de c
e et murmure, Tout parle à la fois, Fumée et verdure, Les nids et les
bois
. Le vent parle aux chênes, L’eau parle aux fontai
). Alors le fier lion poussa, dans ce silence, À travers les grands
bois
et les marais dormants Un de ces monstrueux et no
VIII.) Je prendrai par la main les deux petits enfants : J’aime les
bois
où sont les chevreuils et les faons, Où les cerfs
ssons à sa Muse grisée de printemps dans les Chansons des rues et des
bois
, livre puéril et charmant, débauche d’esprit et d
r l’or du gazon, Sur les timides joncs de la source isolée Et sous le
bois
rêveur qui tremble à l’horizon. Et, de la vallée
portaient sous la grotte où Virgile eut naissance, Où t’entendais le
bois
murmurer et frémir, Où leurs yeux dans les fleure
beaux qu’on les suppose ! Fi de l’osier flexible, ou bien du simple
bois
! L’artiste a dessiné la forme qu’elle impose : E
a dessiné la forme qu’elle impose : Elle y veut inscruter la nacre au
bois
de rose ; Il serait d’or massif, s’il était à son
du Printemps.) Ainsi fait V. Hugo dans les Chansons des rues et des
bois
, C’est un nouveau genre de « préciosité » ; mais
uvelé du xviie siècle, et ordinaire à Corneille. 1449. De « grands
bois
». Je retrouve cette largeur de touche dans Virgi
une vapeur rose ; Nul vent lourd et poudreux ne ternissait encor Les
bois
tout d’émeraude et les froments tout d’or. (Ibi
e Baptême au Désert.) 1473. Cf. dans nos Prosateurs, p. 692, les «
Bois
coupés en automne », par H, Taine. 1474. Au, re
ïen des temps du polythéisme. 1476. Le propriétaire qui exploite ses
bois
marque, à la couleur, d’un signe convenu les arbr
remède à nos haines, Règne autour des palais comme autour des grands
bois
. Ici ce n’est plus au bûcheron, c’est au poète l
étable, Deux grands bœufs blancs marques de roux ; Le charrue est en
bois
d’érable, L’aiguillon en branche de houx. C’est p
rs et des fruits. Ce bruissement des prairies, ces gazouillements des
bois
, ont des charmes que je préfère aux plus brillant
és. Bientôt des tonnerres affreux firent retentir de leurs éclats les
bois
, les plaines et les vallons ; des pluies épouvant
ne demi-heure de marche, nous conduisit à travers des marais dans les
bois
d’Ermenonville. La lune, vers son plein, était dé
s, ou cherchent leurs parents sous des ruines. Le bruit des eaux, des
bois
, de la foudre et des vents, qui tombent et se bri
uscule d’automne dans toute sa mélancolie. Les touffes lointaines des
bois
limitent merveilleusement, par leur panache majes
n haut à travers un voile de feuillage, répand dans la profondeur des
bois
une demi-lumière changeante et mobile, qui donne
s sont couverts de leurs fleurs ou parés d’un naissant feuillage. Les
bois
, les vallons, les rivières, les rochers, entenden
rmures du jour luttent sur les coteaux, au bord des fleuves, dans les
bois
et dans les vallées, lorsque les forêts se taisen
s. La rivière qui coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans le
bois
, tour à tour paraissait brillante des constellati
nt leurs nids sur le rivage, qui ne se posent pas sur les rameaux des
bois
; nonchalamment bercés sur le courant de l’onde,
nts sans les nouveaux hôtes qui viennent les animer. De ces hôtes des
bois
, les fauvettes sont les plus nombreuses comme les
enues et les bosquets ; plusieurs espèces s’enfoncent dans les grands
bois
, et quelques-unes se cachent au milieu des roseau
semaines après que ce chantre du printemps s’est tu, l’on entend les
bois
résonner partout du chant de ces fauvettes ; leur
ix qu’un petit cri fréquent et répété ; ils le font entendre dans les
bois
dès l’aurore, jusqu’à ce qu’aux premiers rayons d
r en voyant la dégradation de cette terre : il y avait les plus vieux
bois
du monde ; mon fils, dans son dernier voyage, y a
anciens corbeaux établis depuis deux cents ans dans l’horreur de ces
bois
, ces chouettes qui, dans cette obscurité, annonça
d’incanto 1 s’il en fut jamais. Je suis ravie de m’en aller dans mes
bois
; j’espère au moins en trouver aux Rochers qui ne
faisait défaut. On lit ailleurs : « Je serais fort heureuse dans ces
bois
, si j’avais une feuille qui chantât. Ah ! la joli
la jolie chose qu’une feuille qui chante ! et la triste demeure qu’un
bois
où les feuilles ne disent mot, et où les hibous p
errant. » C’est ainsi qu’achevait l’aveugle en soupirant, Et près des
bois
marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait3.
me, et les sons de sa voix Emeuvent l’air et l’onde et le ciel et les
bois
. » Mais il entend leurs pas, prête l’oreille,
pars dans tes herbes nouvelles Ne trompent une main crédule2 ; ni tes
bois
Des tigres frémissants ne redoutent la voix ; Ni
sent partout, sur tes nobles rivages, Fleurs, moissons et vergers, et
bois
, et pâturages, Rampent au pied des murs d’opulent
n haut à travers un voile de feuillage, répand dans la profondeur des
bois
une demi-lumière changeante et mobile, qui donne
s. La rivière qui coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans le
bois
, tour à tour reparaissait brillante des constella
Florides, et des serpents oiseleurs sifflent suspendus aux dômes des
bois
, en s’y balançant comme des lianes. Si tout est s
ée, En rayons tremblotants sous ces eaux répétée, Ou qui jette en ces
bois
, à travers les rameaux, Une clarté douteuse et de
arez ces vers de Saint-Victor sur le Meschacebé : On entend dans les
bois
de confuses clameurs. Mariant leurs parfums, leur
étincelle ; La colombe gémit ; tout s’unit, tout s’appelle, Dans les
bois
, dans les prés, dans les airs, sur les eaux. La l
r en voyant la dégradation de cette terre : il y avait les plus vieux
bois
du monde ; mon fils, dans son dernier voyage, y a
anciens corbeaux établis depuis deux cents ans dans l’horreur de ces
bois
, ces chouettes qui, dans cette obscurité, annonça
d’incanto 2 s’il en fut jamais… Je suis ravie de m’en aller dans mes
bois
; j’espère au moins en trouver aux Rochers qui ne
faisait défaut. On lit ailleurs : « Je serais fort heureuse dans ces
bois
, si j’avais une feuille qui chantât. Ah ! la joli
la jolie chose qu’une feuille qui chante ! et la triste demeure qu’un
bois
où les feuilles ne disent mot, et où les hibous p
nes. Mais l’âme du poète ne peut rester insensible à ce tableau ; ces
bois
qui se dépouillent en gémissant de leur parure, c
ns poétiques. 16. Citez les vers de Lamartine sur l’automne. Salut,
bois
couronnés d’un reste de verdure, Feuillages jauni
ant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l’obscurité des
bois
. Oui, dans ces jours d’automne où la nature expir
de la loi, et qu’on appeloit l’Arche d’alliance. Elle étoit faite de
bois
de setim ; revêtue en dedans et en dehors de l’or
s, quatre gros anneaux d’or, dans lesquels on passoit deux leviers de
bois
de setim, revêtus d’or.
scrits, bondissant à travers les halliers, Fiers louveteaux à qui ces
bois
sont familiers, Avaient refait, dans l’ombre, une
os chasseurs dominaient cette vaine poursuite, Du seuil de ces grands
bois
dont les troncs vénérés, Comme des combattants ét
oici, travailleurs aux abois, Que vous voyez venir, par le sentier du
bois
, Les rouges tabliers, les corbeilles couvertes D’
ne haie Qui en mai parer ne se voille Et covrir de novele foille ; Li
bois
recovrent lor verdure, Qui sunt sec tant com y ve
en mai ne se veuille parer — et couvrir de feuilles nouvelles. — Les
bois
recouvrent leur verdure, — eux qui sont desséchés
it la justice Maintes foiz avint que en estei il se aloit seoir ou
bois
de Vinciennes après sa messe, et se acostoioit à
s il les faisoit délivrer en la manière que je vous ai dit devant dou
bois
de Vincennes. (Histoire de Saint Louis, XII, édit
de Wailly.) Mainte fois (il) advint qu’en été il allait s’asseoir au
bois
de Vincennes après la messe et s’accotait à un ch
t expédier, en la manière que je vous ai dite ci-dessus (à propos) du
bois
de Vincennes. Jean Froissart43 (1337 — vers 1
aux, et le para134 pour son plaisir… Gargantua venu à l’endroit135 du
bois
fut avisé136 par Eudémon137 que dedans le château
re nouveaux fourneaux avec grande dépense d’argent et consommation de
bois
et de temps. Quand j’eus batelé263 plusieurs aimé
e six jours et six nuits devant le dit fourneau sans cesser de brûler
bois
par les deux gueules, il ne fut possible de pouvo
nt un autre malheur, lequel me donna grande fâcherie, qui est que, le
bois
m’ayant failli300, je fus contraint brûler les ét
ma fournée me coûtait plus de six vingts écus338. J’avais emprunté le
bois
et les étoffes, et avais emprunté partie de ma no
re et le porphyre465. Je vous dirai seulement qu’à la porte il y a un
bois
, où, en plein midi, il n’entre de jour que ce qu’
uêtes522, fut pris en même temps aussi chez lui, et il fut conduit au
bois
de Vincennes. Vous vous étonnerez du choix de ce
à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un
bois
touffu, je vais sous son ombre ; une grotte, je l
s seul, je m’enfonçai dans les anfractuosités de la montagne ; et, de
bois
en bois, de roche en roche, je parvins à un rédui
je m’enfonçai dans les anfractuosités de la montagne ; et, de bois en
bois
, de roche en roche, je parvins à un réduit si cac
t moi, dîner à la porte Maillot : après le dîner, nous traversâmes le
bois
de Boulogne jusqu’à la Muette ; là, nous nous ass
res guenilles qui m’environnaient. Une chaise de paille, une table de
bois
, une tapisserie de Bergame, une planche de sapin
upie1220 : l’argile moderne brisée par le bronze antique. La table de
bois
disputait encore le terrain, à l’abri d’une foule
toi qui substitues chez moi le fatal et précieux bureau à la table de
bois
, c’est toi qui perds les nations, c’est toi qui p
laissaient peu de dépense à faire pour suffire à tous nos besoins. Le
bois
mort dans les forêts voisines était en abondance,
assigné. C’était un vallon solitaire, où l’on ne voyait guère que des
bois
. Il y aperçoit une pauvre cabane, il y frappe ; i
ntend de tous côtés les accents maternels, dans les vallons, dans les
bois
, dans les prés. Oh ! qu’il est doux alors de quit
u des carrosses qui menacent l’homme de pied1301, pour errer dans les
bois
, sur les collines, au fond des vallons, sur des p
ner. L’esclave marronne les conduisit, par des sentiers au milieu des
bois
, à travers de hautes montagnes qu’ils grimpèrent
s souvent à Meudon : c’était ma promenade favorite ; je préférais ses
bois
sauvages, ses étangs solitaires, ses allées de sa
ses hautes futaies, aux routes fréquentées, aux taillis uniformes du
Bois
de Boulogne, aux décorations de Bellevue1329, aux
ts. Un jour, après avoir longtemps marché dans une partie inconnue du
bois
, nous parvînmes dans un espace solitaire, fort dé
déjeune avec du vin blanc ; on suit les vendangeurs, on se repose au
bois
ou dans les prés ; on abat les noix ; on a cueill
t seul contre tous qu’un chevalier écossais, attaqué par eux dans les
bois
, avait été traîtreusement mis à mort. Dans ces hô
rides, et des serpents oiseleurs1399 sifflent suspendus aux dômes des
bois
, en s’y balançant comme des lianes. Si tout est s
trois sorcières en lambeaux faisaient sortir de jeunes poulains d’un
bois
sacré, afin de découvrir par leur course, à quel
ns ? Nous cherchâmes, tant qu’il fit jour, notre chemin à travers ces
bois
; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdi
be : Malheureux comme le chien à Brisquet, qui n’allit qu’une fois au
bois
, et que le loup mangit 1466. (Contes de la veill
es, et leur poids se trouvait augmenté d’une grande et forte hampe en
bois
de chêne, au sommet de laquelle on la1476 fixait.
paniers dans la cale, je reconnaissais les coups de sa hache dans le
bois
, et je les baisais en mémoire de lui ! Ce sont le
délicat des deux hommes qui survivaient, perdant ses forces, lâcha le
bois
qui le soutenait, et descendit au fond de la mer
foule de dômes dorés resplendissants de lumière, mélange singulier de
bois
, de lacs, de chaumières, de palais, d’églises, de
e cette ville, et on s’engagea ensuite à travers les marécages et les
bois
pour remonter, par un mouvement à droite, le bord
va voir comment ils tinrent parole. N’ayant ni le temps d’abattre des
bois
ni celui de les débiter, on alla au malheureux vi
eux village de Studianka, on en démolit les maisons, on en retira les
bois
qui semblaient propres à l’établissement d’un pon
ressé comme on l’était, on n’avait pas eu le temps d’équarrir1553 les
bois
formant le tablier du pont. On s’était servi de s
donné douze mille âmes au village de Jemmapes ; on a bâti, coupé les
bois
, séché des marais. Et avec tout cela, aujourd’hui
oids. Tout d’un coup parut un homme à cheval, sortant d’un bouquet de
bois
à portée de pistolet de la maison. L’inconnu saut
’abriter contre la terreur nocturne des forêts inconnues, une tour de
bois
pour le veilleur dont la trompe a annoncé le leve
u cadavre de quelque cerf mort de vieillesse, enfoui au plus épais du
bois
sous les broussailles, et que les loups commençai
fit expliquer où il était, et quand il sut que c’était au milieu d’un
bois
, il eut un peu peur. « Y a-t-il de méchantes bête
d’un bois, il eut un peu peur. « Y a-t-il de méchantes bêtes dans ce
bois
? demanda-t-il à son père. — Non, fit le père, il
onc menti quand tu m’as dit que, si j’allais avec toi dans les grands
bois
, les loups m’emporteraient ? — Voyez-vous ce rais
etit Pierre, que ton père ne ment jamais. Nous avons passé les grands
bois
pendant que tu dormais, et nous sommes à présent
bois pendant que tu dormais, et nous sommes à présent dans les petits
bois
, où il n’y a pas de méchantes bêtes. — Les petits
ans les petits bois, où il n’y a pas de méchantes bêtes. — Les petits
bois
sont-ils bien loin des grands ? — Assez loin ; d’
rands ? — Assez loin ; d’ailleurs les loups ne sortent pas des grands
bois
. Et puis, s’il en venait ici, ton père les tuerai
chère mère ? — Non, puisque je l’ai vu mettre dans une belle boîte de
bois
blanc, et que ma grand’mère m’a conduit auprès po
On se sert pour cela d’une sorte de chevalet surmonté d’un levier en
bois
, qui, retombant sur des rainures, hache la plante
; quand la haute grive1706 faisait entendre sa première note dans les
bois
sonores ; puis, quand tout se taisait de nouveau
out le monde s’asseyait sur les chaises de paille ou sur les bancs de
bois
poli, et la conversation s’engageait. Après les i
de me mêler à ce grand mouvement de barques, de radeaux, de trains de
bois
, de mouches1771 à vapeur qui se côtoyaient, s’évi
Plein d’un remords et d’un souci, Aux rochers je me plains ainsi, Aux
bois
, aux antres et aux ondes : Rochers, bien que soye
it, Et la vieillesse qui me suit De jeune en vieillard me transforme.
Bois
, bien que perdiez tous les ans En hiver vos cheve
temps en temps leurs courses enchaînées Vieillir2085 avecque lui les
bois
qu’il a plantés. Il ne va point fouiller aux terr
’on bâille vingt fois, Qu’elle grouille2308 aussi peu qu’une pièce de
bois
. Acaste. Que vous semble d’Adraste ? Célimène.
herchant la fin d’un vers que je construi2387, Je trouve au coin d’un
bois
le mot qui m’avait fui ; Quelquefois, aux appas23
Promettent du repos sous leurs ombrages frais ; Dans ces tranquilles
bois
pour eux plantés exprès, La cadence aussitôt, la
abusé, comme lui, de cette manière d’écrire. L’automne Voyez les
bois
surtout lorsque la pâle automne2530, Près de la v
ence. Tel est le sort commun. Bientôt les aquilons Des dépouilles des
bois
vont joncher les vallons : De moment en moment, l
blessure, J’aime à mêler mon deuil au deuil de la nature2531. De ces
bois
desséchés, de ces rameaux flétris, Seul, errant,
champs que j’aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des
bois
! Ciel, pavillon de l’homme, admirable nature, Sa
urs yeux ravis Tous les trésors de la nature, Des prés, des eaux, des
bois
, des vergers pleins de fruits. Nos pèlerins, voya
t de loin, à grands cris appelant leurs compagnes, Et les nymphes des
bois
, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leu
s dans tes herbes nouvelles Ne trompent une main crédule2572 ; ni tes
bois
Des tigres frémissants ne redoutent la voix ; Ni
sent partout, sur tes nobles rivages, Fleurs, moissons et vergers, et
bois
, et pâturages, Rampent au pied des murs d’opulent
s peine et sans effroi ? Le Berger. Tu te plais mieux sans doute aux
bois
, à la prairie ; Tu le peux. Assieds-toi parmi l’h
Si le loup quelquefois En saisit un, l’emporte, et s’enfuit dans les
bois
, C’est ma faute ; il fallait braver ses dents avi
Tailleur de pierres de Saint-Point (1851)2601. L’automne Salut,
bois
couronnés d’un reste de verdure. Feuillages jauni
ant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l’obscurité des
bois
. Oui, dans ces jours d’automne où la nature expir
marais ; Voilà l’enfant des chaumières Qui glane sur les bruyères Le
bois
tombé des forets. C’est la saison où tout tombe A
cloche des ténèbres Balance ses glas funèbres, La nuit, à travers les
bois
, A chaque vent qui s’élève, A chaque flot sur la
altier l’herbe me glorifie ; J’y2625 chauffe la fourmi, des nuits j’y
bois
les pleurs, Mon rayon s’y parfume en traînant sur
saient voler le sang, la poudre et le goudron, S’enfonçaient dans les
bois
, comme au cœur des grands ormes Le coin du bûcher
ique.) Le Cor I J’aime le son du cor, le soir, au fond des
bois
, Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abo
s appela deux fois. » Dieu ! que le son du cor est triste au fond des
bois
! (Poésies : Livre moderne) Victor Hugo (18
joint Montlignon à Saint-Leu2695, Une terrasse qui s’incline Entre un
bois
sombre et le ciel bleu ? C’est là que nous vivion
de Louise2741 Quand Louise mourut à sa quinzième année, Fleur des
bois
par la pluie et le vent moissonnée, Un cortège no
lées ! Heureux les chers oiseaux qui chantent leurs chansons Dans les
bois
frissonnants où passent leurs volées ! Oh ! les v
à la fermière ! elle est Si gentille et si douce ! C’est l’oiseau des
bois
qui se plaît Loin du bruit, dans ta mousse ; Vieu
eux, je revois L’enclos plein de lumière, La haie en fleurs, le petit
bois
, La ferme et la fermière ! Si Dieu, comme notre c
risonnière, Nous aurions fait tous deux l’école buissonnière Dans les
bois
pleins de chants, de parfum et d’amour ; J’aurais
mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges2794 Et les violettes aux
bois
. Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l
ds étroits, Ainsi jasent les hirondelles, Voyant venir la rouille aux
bois
. Je comprends tout ce qu’elles disent, Car le poè
x tapissés par la neige, Lentement serpentait le funèbre cortège. Les
bois
ainsi que nous restaient silencieux. Un crêpe de
, VIII.) La chanteuse La pauvre enfant, le long des pelouses du
bois
, Mendiait : elle avait des larmes véritables ; Et
ate à la fois : La fougère dresse sa tête, Comme une crosse, dans les
bois
; Relevant sa coiffe dorée, Le genêt dit : « C’es
œuvre, et plusieurs des pièces de ses recueils de vers, le Chemin des
Bois
(1867), le Bleu et le Noir (1874), sont rapidemen
r, Courbez-vous, assouplis sous les doigts du vannier. (Le Chemin des
bois
: En forêt.) Les confitures A la Saint-Jea
ffe au théâtre, on crève ; La Patti2935 va donner le sol.... Dans le
bois
où la lune rêve, J’écoute un divin rossignol. Pay
n peu rudes Là-haut, dans ton Rouergue aux âpres solitudes, Parmi les
bois
touffus et les genêts amers. Tu ne les liras poin
manches de hache usés entre tes mains ! Que de soupirs éteints par le
bois
dans ses ombres ! Que de nuits sans sommeil lorsq
’horribles blessures, Dans cette lutte avec la matière, où souvent Le
bois
se révoltait comme un être vivant, Et rendait à t
n première ! Comme je vous aimais déjà, fleurs et lumière ! Collines,
bois
sacrés, bon soleil réchauffant, Oh ! je t’aimais
amour ; Les lettres du pays ne quittaient plus ma lèvre. Pourtant les
bois
sont beaux où l’on allait courir : Mais est-ce la
ui s’animent parfois ; Et c’est ce qui fait peur aux enfants dans les
bois
: Ils devinent dans tout des paupières écloses. C
laise amère ; La terre, m’accueillant comme une bonne mère Disait aux
bois
émus : « C’est le petit ami ! » La nature m’aimai
au progrès social par l’art et par la poésie. Entrée en forêt Le
bois
antique et jeune encore Dans sa beauté calme appa
euilles rondes. Le Vin Fort bien : mais tu jaillis en source dans les
bois
; Tu soulèves, torrent, tes vagues furibondes Tou
st vrai que, depuis six mois, Tu vis tranquillement dans ta maison de
bois
, Comme ferait un bon bourgeois ; Mais ce n’est pa
el clair Je porte les vaisseaux jusqu’à la vaste mer. Je reverdis les
bois
; j’arrose les prairies ; Mes rives sont gaîment
e ! Soyons l’un pour l’autre indulgents.... Le Vin. Source claire des
bois
et sang des grappes mures, Marions-nous, commère,
la Muette est à Passu. Passy et Neuilly sont situé ssur la lisière du
bois
de Boulogne, à l’ouest de Paris. Passy est, depui
est enfui de chez son maître et qui est ainsi réduit à errer dans les
bois
. 1305. Pamplemousses, quartier du nord-est de l
om donné à une espèce de palmier et aux cannes qu’on fabrique avec le
bois
de cet arbre. 1311. Habitant, mot consacré pour
, l’avant, poupe, l’arrière ; cale, le fond ; mât, la longue pièce de
bois
qui porte les voiles ; membrure ou membrures, l’e
1508. A l’extrémité est la presque’île du Cotentin. 1509. Pièce de
bois
qui porte la voile. 1510. Vêtement à manches, qu
e universelle, livre LIII), avait coutume d’avoir un petit morceau de
bois
flexible à la main pour se nettoyer les dents ; e
ites en peau de bête. 1769. Dentu, éditeur. 1770. Vergue, pièce de
bois
qu’on place en travers du mât pour soutenir la vo
iées entre elles à travers le temps, ajouter à son âge et à celui des
bois
qu’il a plantés. Ce développement est imité d’un
rine, sur la côte de Sicile. 2566. Sous le cèdre, dans un coffre en
bois
de cèdre. 2567. Néréides, divinités, filles de
étable, Deux grands bœufs blancs, marqués de roux ; La charrue est en
bois
d’érable, L’aiguillon en branche de houx. C’est p
Orient. 2799. Chibouchs (mot turc), pipes turques à long tuyau de
bois
. On dit d’ailleurs généralement une chibouque, et
age étonnant le ramier, Le hardi voyageur visite le palmier. Mais les
bois
sont trop grands pour ses ailes naissantes, Et le
isaient voler le sang, la poudre et le goudron, S’enfonçaient dans le
bois
, comme au cœur des grands ormes Le coin du bûch
chemin large et droit Conduit à la maison de forme britannique, Où le
bois
est cloué dans les angles de brique4, Où le toit
isions dans le délire. L’Église militante Armé d’une croix de
bois
, on vit le Christianisme tout à coup s’avancer au
: « Nous sommes entourés, cernés, pressés et comme étouffés par les
bois
; les mouvements du terrain sont si légers que c’
ident de la maison est un étang encaissé comme une rivière entre deux
bois
qui le dominent ; il a la largeur du Tarn et s’al
Elle est blanche comme Rayssac ; on l’aperçoit de même à travers les
bois
, et les grands arbres qui l’entourent doublent en
os crayons : Reprenez tout, j’abandonne sans peine Votre Hélicon, vos
bois
, votre Hippocrène3, Vos vains lauriers d’épine en
. Les Dryades (d’un mot grec qui signifie chêne) sont les nymphes des
bois
. 4. Cette mythologie perpétuelle est aujourd’hui
les roulaient dans un profond silence ; L’aquilon se taisait dans les
bois
, sur les mers ; Les habitants des eaux, les monst
s, Des oiseaux émaillés les troupes vagabondes, Ceux qui peuplent les
bois
, ceux qui fendent les ondes ; Livrés nonchalammen
e lui-même, quand il fait retentir les profondes cavités du cheval de
bois
sous l’effort de la javeline lancée par Laocoon ?
eures, Où, comme ton ruisseau, coulaient mes douces heures ! Dont les
bois
et les prés, et les aspects touchants, Peut-être
voix, Ils veulent le frais des bocages. L’azur des cieux, l’ombre des
bois
. Les serins chantent dans des cages. 1. Virgil
par-dessus sans mouiller ses grelots. Mais j’aime la Voulzie, et ses
bois
noirs de mûres, Et dans son lit de fleurs ses bon
leur tige : la tige elle-même se revêt d’une dure écorce, qui met le
bois
tendre à l’abri des injures de l’air ; les branch
nourrissent la flamme qui conserve en nous la chaleur naturelle. Leur
bois
n’est pas seulement utile pour le feu : c’est une
gazons toujours fleuris, au bord de cette onde si pure, auprès de ce
bois
odoriférant3 ! Virgile. Si vous n’y prenez gar
ne où l’on puise cette eau Qui fait rimer et Racine et Boileau, Je ne
bois
point, ou bien je ne bois guère ; Dans un besoin
Qui fait rimer et Racine et Boileau, Je ne bois point, ou bien je ne
bois
guère ; Dans un besoin si j’en avais affaire, J’e
t de temps en temps leurs courses enchaînées Vieillir avecque lui les
bois
qu’il a plantés. Il ne va point fouiller aux ter
mmes : Vous êtes exposée aux malices des hommes ; Je n’ai plus de mes
bois
les saintes voluptés. Ne reviendront-ils point, c
, s’éloignait des rivages : Lui-même il se fuyait, et jamais dans ces
bois
Les échos n’ont formé de concerts de leurs voix.
té, Et de ma seule oisiveté Tu me fais un bonheur extrême. Parmi ces
bois
et ces hameaux, C’est là que je commence à vivre,
ile S’ouvrent sur les rochers une route facile. Pour eux seuls de ces
bois
Dieu forma l’épaisseur ; Et les trous tortueux de
spendu… Un bruit s’entend… l’air siffle… l’autel tremble… Du fond des
bois
, du pied des arbrisseaux, Deux fiers serpents sou
t, et vingt meutes barbares, Près de porter la guerre au monarque des
bois
, En rapides abois162 font éclater leurs voix : En
les fossés, les palis et les ponts, Et les murs et les champs, et les
bois
et les monts. Tout fumant de sueur, vers un fleuv
e de fureur. L’animal aux abois Se montre digne encor de l’empire des
bois
; Il combat de la tête, il couvre de blessures L’
i, je veux un jour en des bords retirés, Sur un riche coteau ceint de
bois
et de priés, Avoir un humble toit, une source d’e
d des eaux ces nombreux coquillages : La terre a moins de fruits, les
bois
moins de feuillages ; Tout ce que le soleil prodi
rave caractère, Semblent se conformer au deuil du monastère. Sous ces
bois
jaunissants j’aime à m’ensevelir ; Couché sur un
eur, Le soir, foule à pas lents ces vallons sans couleur, Cherche les
bois
jaunis, et se plaît au murmure Du vent qui fait t
onseigneur est ici ! » Chacun est accouru, Chacun veut le servir ; de
bois
et de ramée Une civière agreste aussitôt est form
ses devanciers. Il nous attendrit sur une demeure abandonnée, sur un
bois
détruit, sur une feuille qui tombe, comme le fera
je gravissais les cimes, Vieux rochers au front chauve ou couronné de
bois
, Après dix ans d’absence, enfin je vous revois !
s lieux ! Là, tout plaît à mon âme et tout rit à mes yeux : Voilà les
bois
, le roc, le pieux monastère Où, sous l’œil vigila
rants ! J’aimais à contempler ces longs amphithéâtres De collines, de
bois
et de rochers noirâtres, Où les nombreux foulons,
Et, d’un œil que la foi rassure, Regarde sans pâlir le crucifix de
bois
Que la vierge chrétienne a saisi de ses doigts, E
, jusqu’aux roseaux, J’entendais rire au clair de lune Les lutins des
bois
et des eaux, Qui, sous ses clartés taciturnes, Du
les apprêts Sur le front du palmiste ou les bras du cyprès ; Mais les
bois
sont trop grands pour ses ailes naissantes Et les
e du soir se lève dans l’azur. Aux sommets de ces monts couronnés de
bois
sombres, Le crépuscule encor jette un dernier ray
Il n’est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des
bois
tombe dans la prairie, Le vent du soir s’élève et
he, Comme nous en pleurant elle y colla sa bouche ; Ses larmes sur le
bois
ruisselaient à grands flots, Et la chambre un mom
té moins féconde que sa pleine maturité. Les Chansons des rues et des
bois
(1865), très souvent blâmables pour fautes grossi
et recouvre d’ombre, Loin du monde sourd et moqueur, Une lyre dans le
bois
sombre, Une oreille dans notre cœur. Elle donne
t le poids, Rêve et se hâte de descendre Le long des coteaux dans les
bois
. Là, du plaisir tout a la forme : L’arbre a des
, Où l’eau court, où le buisson tremble, Dans la maison qui touche au
bois
, Elle avait dix ans, et moi trente ; J’étais pou
ois, Comme nous allions dans la plaine ! Comme nous courions dans les
bois
! Puis vers la lumière isolée Étoilant255 le log
Qui joint Montlignon à Saint-Leu, Une terrasse qui s’incline Entre un
bois
sombre et le ciel bleu ? C’est là que nous vivio
oir d’automne, à travers champs, je gagne Les grands
bois
jaunissants, etc. …………………………………………………………… Mais j’
ans son quartier natal compter bien des saisons, Sans voir jaunir les
bois
ou verdir les gazons ; Avec les mêmes goûts avoir
omme la mort l’état de plagiaire ; Mon verre n’est pas grand, mais je
bois
dans mon verre274 » Il a résumé sa poétique dans
; J’entendis des sanglots et des bruits menaçants ; Je vis errer des
bois
les hôtes invisibles, Pour te défendre, hélas ! c
ait de ta large harmonie : Pour parler dans la brise, elle a créé les
bois
; Quand elle veut gémir d’une plainte infinie, De
; On chasse des vallons ses hôtes merveilleux, Les dieux aimaient des
bois
les temples séculaires, La hache a fait tomber le
silence.) Dites, ô blancs sommets, rochers qu’on croit stériles,
Bois
sombres dont l’amour est mon heureux travers, Que
flots assoupissants murmurer sous les fleurs. J’aime mieux, dans ces
bois
où l’oiseau seul m’écoute, Cherchant dès le matin
Dans son esprit il avait hasardées, Tout doucement mènent au fond du
bois
Le saint rêveur perdu dans ses idées. « Que de m
remède à la satiété, Ne triomphaient de la monotonie ? » Et dans le
bois
, priant et méditant, Le moine allait, allait ;… m
méditant, Le moine allait, allait ;… mais à mesure Qu’il avançait, le
bois
, à chaque instant, Changeait d’aspect, de forme e
mier sa palme orientale. Ce ne sont plus partout que fleurs de miel,
Bois
odorants, gazons, roses vermeilles ; On croirait
ier fuit, le cèdre disparaît, Et le sapin revient avec son ombre. Le
bois
ainsi de nouveau transformé, Le moine arrive au b
ous les jours je revois Le haut des toits de chaume, et le bouquet de
bois
, Au vieux puits la servante allant emplir ses cru
a vieillesse. Mais pourquoi ce matin, aux heures du sommeil, Dans les
bois
d’alentour devancer le soleil ? L’oiseau n’a pas
, et faisant signe au prêtre de la main, Demande s’il connaît sous le
bois
un passage Vers certaine vallée amour du paysage.
ait le plus grand charme, ce sont les images. De la dépouille de nos
bois
L’automne avait jonché la terre : Le bocage était
n aurore, Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le
bois
cher à ses premiers ans. Bois que j’aime, adieu !
as lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans.
Bois
que j’aime, adieu ! je succombe, Votre deuil me
ue son aigre et déchirante voix De sa rauque allégresse importune les
bois
, Qu’il offense à la fois et les yeux et l’oreille
rs présente à ma tendresse, Ah ! quand le pâle automne aura jauni les
bois
, Ô mon père, je veux promener ma tristesse Aux li
t assigné. C’était un vallon solitaire, où on ne voyait guère que des
bois
. Il y aperçoit une pauvre cabane, il y frappe ; i
rs et des fruits. Ce bruissement des prairies, ces gazouillements des
bois
, ont des charmes que je préfère aux plus brillant
Et de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les nymphes des
bois
, des sources, des montagnes. Toutes, frappant leu
trois sorcières en lambeaux faisaient sortir de jeunes poulains d’un
bois
sacré, afin de découvrir par leur course à quel p
pant des replis d’un nuage d’or, verse tout à coup sa lumière sur les
bois
, l’Océan et les deux armées. La terre paraît embr
it armée de plusieurs barbes ou crochets tranchants et recourbés ; le
bois
était couvert de lames de fer dans presque toute
me le représenter, ce bon roi, comme l’histoire le représente dans le
bois
de Vincennes, sous ces arbres que le temps a resp
: Monseigneur est ici ! chacun est accouru, Chacun veut le servir. De
bois
et de ramée Une civière agreste aussitôt est form
tants. Les anciens prêtres se cachaient et disaient la messe dans les
bois
. On essaya dans quelques endroits des mesures de
es chants Le lierre à l’ombre pacifique, Et les
bois
abrités des vents, Dont l’impénétrable
s présente à ma tendresse. Ah ! quand le pille automne aura jauni les
bois
, Ô mon père ! je veux promener ma tristesse Aux l
épars dans tes herbes nouvelles Ne trompent une main crédule ; ni tes
bois
Des tigres frémissants ne redoutent la voix ; Ni
sent partout, sur tes nobles rivages, Fleurs, moissons et vergers, et
bois
, et pâturages, Rampant au pied des murs d’opulent
orte et pure, Ce rayon tout puissant qui m’aurait rajeuni ! Dans ces
bois
, altérés de ton souffle, ô Nature ! Nous n’irons
e des eaux, et le front des montagnes, Ridés et non vieillis ; et les
bois
toujours verts S’iront rajeunissant ; le fleuve d
rop pesant pour moi. À mes yeux éblouis vainement tu présentes De tes
bois
toujours verts les masses imposantes, Tes jardins
ue son aigre et déchirante voix De sa rauque allégresse importune les
bois
, Qu’il offense à la fois et les yeux et l’oreille
scrit en mettant sa tête à prix, le force à fuir, à demeurer dans les
bois
, où il ne trouve que quelques animaux sauvages qu
. Lorsque ces courses le lui produisent rien, il retourne au fond des
bois
, se met en quête, cherche, suit la piste, chasse,
assez longtemps en les suivant aux portées. Lorsqu’il veut sortir du
bois
, jamais il ne manque de prendre le vent ; il s’ar
s réfléchis : la nature a fait les pinsons pour être les chantres des
bois
, allons donc dans les bois pour juger leur chant,
ait les pinsons pour être les chantres des bois, allons donc dans les
bois
pour juger leur chant, et surtout pour en jouir.
ntrées où l’homme n’a jamais résidé, couvertes ou plutôt hérissées de
bois
épais et noirs, dans toutes les parties élevées ;
; J’entendis des sanglots et des bruits menaçants ; Je vis errer des
bois
les hôtes invisibles, Pour te défendre, hélas ! c
ait de ta large harmonie ; Pour parler dans la brise, elle a créé les
bois
: Quand elle veut gémir d’une plainte infinie, De
foudre, au milieu du roulement du tonnerre, éclairait l’intérieur du
bois
. Le bon franciscain, qui nous avait accompagnés,
demeure de l’homme. Mme de Staël. La Source Je sais parmi nos
bois
une claire fontaine, Fraîche même à midi, tant so
n amant, Qui sur son flot plaintif emporte lentement Le feuillage des
bois
desséché par l’automne Et berce la tristesse à so
us mystérieuses. Venise prit l’aspect d’une flotte immense, puis d’un
bois
de hauts cyprès, où les canaux s’enfonçaient comm
, Vous serez les témoins de mon deuil éternel !… Ainsi qu’au fond des
bois
Philomèle plaintive, Je veux, dans ce palais, à c
qu’il en fait, que ses contrôles perpétuels sur le pain et le vin, le
bois
, le sel et la chandelle, ne sont rien que pour vo
ur les armes plus ou moins perfectionnées qu’il a imaginées, prend un
bois
à l’extrémité duquel il place une pierre tranchan
lois, Tous les hommes suivant la grossière nature, Dispersés dans les
bois
couraient à la pâture : La force tenait lieu de d
eux les fleuves ont été des dieux, et les fontaines des naïades ; les
bois
et les montagnes ont eu leurs divinités particuli
on Les fleurs de mes pêchers nouvellement écloses. Ces montagnes, ces
bois
qui bordent l’horizon Sont couvert
gazons toujours fleuris, au bord de cette onde si pure, auprès de ce
bois
odoriférant ! Horace. Si vous n’y prenez garde, v
Et, d’un œil que la foi rassure, Regarde sans pâlir le crucifix de
bois
Que la vierge chrétienne a saisi de ses doigts :
s emporte le moindre ; qu’une pierre enfonce dans l’eau plutôt que du
bois
; qu’un arbre croit en un lieu plutôt qu’en un au
paix, et méprise le reste ; Content de ses douceurs, errant parmi les
bois
, Il regarde à ses pieds les favoris des rois ! Il
enthousiasme, ils intéressèrent à leurs sentiments les prairies, les
bois
, toute la nature. Ils célébrèrent ensuite leur tr
é de l’exactitude, n’a-t-elle point perdu du côté de la naïveté ? Ses
bois
sont souvent des bosquets, et ses fontaines des j
ique, fait un contresens. Voici cette pièce : De la dépouille de nos
bois
L’automne avait jonché la terre. Le bocage était
n aurore, Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le
bois
cher à ses premiers ans. « Bois que j’aime ! adie
lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans. «
Bois
que j’aime ! adieu, je succombe ; Votre deuil me
sage de mort. Fatal oracle d’Épidaure, Tu m’as dit : Les feuilles des
bois
À tes yeux jauniront encore, Mais c’est pour la d
ets, le chant d’une fauvette, Le matin d’un beau jour, la verdure des
bois
, La fraîcheur d’une violette, Mil
nimant leur voix languissante, Réveillent les échos endormis dans ces
bois
. Où brillaient les glaçons, on voit naître les ro
t les tapis verts dont la grotte était environnée. Là, on trouvait un
bois
de ces arbres touffus qui portent des pommes d’or
dans toutes les saisons, répand le plus doux de tous les parfums. Ce
bois
semblait couronner ces belles prairies, et formai
xercice est mon plaisir suprême, Je voulus, pour bien faire, aller au
bois
moi-même, Et nous conclûmes tous d’attacher nos e
rop hâtée Ne soit en son chemin par une autre heurtée, 8. Sort du
bois
… 1. C’est le nom de chevaux de cette partie de
rs et des fruits. Ce bruissement des prairies, ces gazouillements des
bois
, ont des charmes que je préfère aux plus brillant
ne demi-heure de marche, nous conduisit à travers des marais dans les
bois
d’Ermenonville. La lune, vers son plein, était dé
iron. — Tuba (de tubus), trompette, instrument droit, d’airain, ou de
bois
, ou de corne. Clangorque tubarum. V. — Cornu, esp
CCII. — Pyra, rogus, bustum. Pyra (de πῦρ, feu) est un amas de
bois
pour brûler ; par extension, bûcher, pile de bois
feu) est un amas de bois pour brûler ; par extension, bûcher, pile de
bois
sur laquelle on brûlait les morts. Innumeras stru
pari jubet. Cæs. Il se prend ordinairement pour un lieu où il y a des
bois
et des pâturages. Saltibus in vacuis pascunt. Vir
rages. Saltibus in vacuis pascunt. Virg. Sylva est le mot général, un
bois
, une forêt. Genus humanum in montibus ac sylvis d
êt. Genus humanum in montibus ac sylvis dissipatum. Cic. — Nemus, un
bois
de haute futaie, un bois pour l’agrément. Nemus q
ibus ac sylvis dissipatum. Cic. — Nemus, un bois de haute futaie, un
bois
pour l’agrément. Nemus quod nulla ceciderat ætas.
is pour l’agrément. Nemus quod nulla ceciderat ætas. Ov, — Lucus, un
bois
sombre consacré à quelque divinité. Pios errare p
pression de Virgile : Tum sylvis scena coruscis. Lieu ombragé par des
bois
agités au souffle du vent. Anciennement on représ
,) lance, pique. Eminùs hastâ, cominùs gladio uti. Cic. — Hastile, le
bois
de la pique. — Gesum, trait des anciens Gaulois.
do. Vineæ, mantelets. C'étaient des machines de guerre faites de
bois
et de claies, et garnies de terre ; elles étaient
paix, et méprise le reste. Content de ses douceurs, errant parmi les
bois
, Il regarde à ses pieds les favoris des rois ; Il
es. Vous paraissez toujours son le même plumage ; Et jamais dans les
bois
on n’a vu les corbeaux Des rossignols emp
ncor l’églogue quelquefois Rend dignes d’un Consul la campagne et les
bois
. Lorsque le poète lui-même raconte, il peut pren
pampres, des sillons dorés, Des prés fleuris, de vertes plaines, Des
bois
, des lointains azurés : Sur ce mélange de spectac
, se déchaîne contre l’audace de celui qui affronta le premier sur un
bois
fragile les flots et les tempêtes, et contre l’im
ophes mises en vers par le duc de N***. Un clair ruisseau, de petits
bois
, Une fraîche et tendre prairie Me font un trésor,
é ; Et de ma seule oisiveté Tu me fais un bonheur extrême. Parmi ces
bois
et ces hameaux, C’est là que je commence à vivre,
j’allais avoir quinze ans, Je marchais un jour, à pas lents, Dans un
bois
, sur une bruyère. Au pied d’un arbre vint s’asseo
portaient sous la grotte où Virgile eut naissance, Où j’entendais le
bois
murmurer et frémir. Où leurs yeux dans les fleurs
ix qu’un petit cri fréquent et répété ; ils le font entendre dans les
bois
dès l’aurore, jusqu’à ce qu’aux premiers rayons d
on âge. — Tout chez lui était propre mais usé —.… II économisait son
bois
, en hiver. — Sa vie était régulière. — Semblable
s pasteurs le premier domestique ; Redevenu sauvage, il erre dans les
bois
! Qu’il aperçoive l’homme, il rentre sous ses loi
ai sous les yeux. Je suis près d’une haute montagne toute couverte de
bois
épais. Au nord est la source d’un fleuve, — Au pi
ssous du voyageur. À droite, à gauche, on rencontre des cascades, des
bois
touffus, des montagnes élancées, couronnées d’ifs
e pauvre — … N° 168. — La Leçon maternelle Exposition. Dans le
bois
de St-Cloud, un enfant frappait sa bonne en prése
s, pour la punir, commanda qu’on l’attachât à un arbre au milieu d’un
bois
— … Deux jours après, on vint voir ce qu’elle éta
a rencontre de l’ours, depuis le moment où François le voit sortir du
bois
, jusqu’à celui où il lui brise la poitrine. N°
mence — … Au premier coup de lance, Ivanhoé tombe avec son cheval — …
Bois
Guilbert à peine touché en fait autant — …..Ivanh
é en fait autant — …..Ivanhoé se relève et l’épée à la main, fond sur
Bois
Guilbert, en lui criant de se rendre — … Le grand
Guilbert, en lui criant de se rendre — … Le grand-maître s’écrie, que
Bois
Guilbert est vaincu — … On s’avance près du cheva
rop interrompu dans ses méditations et ses prières, s’en alla dans un
bois
qu’on appelait La forêt sombre — … On sut l’y déc
e portique modeste ; mais où le ciel parle encore à des cœurs pieux !
Bois
consacrés, salut ! Salut ! Champ funéraire, humbl
de vivants phosphores chaque fois que l’aviron fend les flots, — Les
bois
mêmes, — offrent aux regards — de volantes étoile
fleurs artificielles pour les fêtes, etc. Terminez par le crucifix de
bois
, dont vous ferez un portrait attendrissant, en di
haleur, c’est ce qui arrête les animaux. 85. Ce qu’ils font dans les
bois
, dans les vallons. 86. Les végétaux languissent.
difice : l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante ; un
bois
sacré l’ombrage du côté du couchant ; les dieux d
ui coupent, qui vont et qui viennent, qui roulent ou qui charrient le
bois
du Liban, l’airain et le porphyre ; les grues2 et
x qu’un petit cri, fréquent et répété ; ils le font entendre dans les
bois
dès l’aurore, jusqu’à ce qu’aux premiers rayons d
, en redoublant sa voix, Fait tressaillir l’écho qui dort au fond des
bois
. « Oh ! bonjour ! dit l’enfant, qui se souvenait
t, on ne peut troubler le breuvage de celui qui est plus haut. Or, je
bois
vingt pas au-dessous de vous. Donc je ne trouble
i sous les veux. Il y a en effet une haute montagne toute couverte de
bois
épais : vers le nord, on en voit sortir des eaux
s, excepté à quelques personnes que la chasse attire au milieu de nos
bois
. Nous avons, j’oubliais d’en parler, beaucoup de
ents du jour luttent sur les coteaux, aux bords des fleuves, dans les
bois
et dans les vallées. C’est à cette heure que Phil
sont couverts de leurs fleurs, ou parés d’un naissant feuillage, Les
bois
, les vallons, les rivières, les rochers entendent
e et se développer ; des voix inconnues s’élèvent dans le silence des
bois
, comme le chœur de anges champêtres dont on a imp
s se balancer au loin sous des nuances incertaines, ces châteaux, ces
bois
, ces chaumières, bizarrement groupés, s’élever du
brick. Le brick lui-même, malgré ses fortes membrure et les pièces de
bois
énormes qui le traversent d‘un bord à l’ autre, c
her du ciel en vivant près du prêtre ; Quelques vases de terre, ou de
bois
, ou d’étain, Où de Marthe attentive on voit brill
inée, Ce christ, les bras ouverts et la tête inclinée, Cette image de
bois
du maître que je sers, Céleste ami, qui seul me p
ures, leur dit que ce n’est pas encore celle de leur repos ; dans les
bois
, ils s’appellent d’une voix frémissante, étonnés
n revenant de la cité prochaine, Mon père, un soir, me conta dans les
bois
: (O mes amis, que Dieu vous garde un père ! Le m
ns les ténèbres, saisissant tour-à-tour les branches, les racines des
bois
qu’il rencontrait sans songer à ses guides, sans
eaux. La mère de Loïs ne revoit plus son fils. Elle s’en va dans les
bois
, et s’écrie : « Où êtes-vous, Loïs, Loïs, mon che
onyme. N° 168. — La Leçon Maternelle. A Saint-Cloud, sous le
bois
, tout rouge de colère, Un enfant poursuivait sa b
tu sens un jour que ton âme faiblisse, Souviens-toi de la dame et des
bois
de Saint-Cloud. Cette voix entendue aux rives de
e de l’atteindre et de la dévorer, cette famille se dispersa dans les
bois
; et la lionne, que la tendresse maternelle ne ra
: le barbare ordonna qu’elle fut attachée à un arbre, au milieu d’un
bois
, pour y mourir de faim, ou devenir la pâture des
it de toute l’aventure par ses soldats, et rame-né par un monstre des
bois
aux sentiments de l’humanité que son cœur farouch
ajestueuse et brillante étendue ! La cité, le hameau, la verdure, les
bois
, Semblent s’offrir à lui pour la première fois ;
nt le front des collines prochaines..... Là, muette et pensive, à nos
bois
, à nos plaines, Par un dernier regard, j’adressai
une affreuse liqueur, et le présentant à la jeune fille : « Prends et
bois
à la santé de la Nation, dit-il rudement. » Mlle
g humain : elle maîtrise cependant un mouvement d’horreur. « Et si je
bois
, s’écrie-t-elle, mon père aura la vie et la liber
emble a cette voix ; Et, poussant un grand cri, se plonge au fond des
bois
. Mollevault. N° 195 à 198. — Vision de Charl
de quelque village, il voyait les paysans sortir de leurs maisons de
bois
et se porter en foule à sa rencontre ; il se plai
ns ? Nous cherchâmes, tant qu’il fit jour, notre chemin à travers ces
bois
; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdi
re éloignée, la route inconnue. Et tout-à-coup, dans la profondeur du
bois
, des voix sinistres se font entendre, des voix de
vous forceront d’adorer leurs dieux, vains simulacres de pierre et de
bois
. Ce même Dieu, qui s‘était plu à réunir sur vous
elle anime ; mais enfin il faut céder. C’est en vain qu’à travers les
bois
, avec sa cavalerie toute fraîche, Beck précipite
este portique, Mais où le Ciel encor parle à des cœurs pieux ! Salut,
bois
consacrés ! Salut, champ funéraire, Des tombe
s flots mouvants, Offrent aux nautonniers des phosphores vivants. Les
bois
mêmes, les bois, quand la nuit tend ses voiles Of
, Offrent aux nautonniers des phosphores vivants. Les bois mêmes, les
bois
, quand la nuit tend ses voiles Offrent aux yeux s
1 Millimètre cube (billionième du mètre cube 0,000000001 Pour le
bois
de chauffage. Décastere, ou dix stères 10 stèr
tout son cœur. La solitude lui a préparé le vivre et le couvert ; les
bois
ne sont point armés contre lui ; il retourne enfi
s grisâtre d’automne, lorsque la bise souffle sur les champs, que les
bois
perdent leurs dernières feuilles, une troupe de c
scendre : ils attendent la nuit, et font des évolutions au-dessus des
bois
. Aussitôt que la vapeur du soir enveloppe la vall
re entendre, mais pour écouter : il y a dans le sourd mugissement des
bois
quelque chose qui charme les oreilles. Les arbres
s sont couverts de leurs fleurs ou parés d’un naissant feuillage. Les
bois
, les vallons, les rivières, les rochers, entenden
e et se développer : des voix inconnues s’élèvent dans le silence des
bois
, comme le chœur des anges champêtres dont on a im
sonner l’air de Diane, j’étais étonné d’ouvrir les yeux au milieu des
bois
. Il y avait pourtant un charme à ce réveil du gue
pant des replis d’un nuage d’or, verse tout à coup sa lumière sur les
bois
, l’Océan et les armées. La terre paraît embrasée
Gaulois suspendent des reliques aux rameaux du plus beau rejeton d’un
bois
sacré. Quand de sa main droite Mérovée agitant un
agoula, qui donne son triste nom à Lacédémone, on remarquait un petit
bois
de cyprès. Mais ce Magoula même, qui fut autrefoi
où l’on venait de faire la moisson ; la troisième présentait un long
bois
d’oliviers qui s’étendait un peu circulairement d
en haut à travers un voile de feuillages répand dans la profondeur du
bois
une demi-lumière changeante et mobile qui donne a
se mieux dormir pour toujours ? Sept heures. Ne pouvant sortir de ces
bois
, nous y avons campé. La réverbération de notre bû
s, atteints à peine de la lumière, ressemblent, dans l’enfoncement du
bois
, à de pâles fantômes rangés en cercle au bord d’u
de Numa n’a jamais été qu’une inspiration puisée dans la solitude des
bois
. Les dieux Brahma de l’Inde sont une invention ps
s serrées et au pas de course, par une chaussée étroite et un pont de
bois
qui traversait la rivière. Les barbares eurent à
ait armée de plusieurs barbes ou crochets tranchants et recourbés. Le
bois
était couvert de lames de fer dans presque toute
la légère, vêtus de casaques matelassées et portant de longs arcs de
bois
ou des arbalètes d’acier. Le duc montait un cheva
ACBETH. Quel est donc, réponds-moi, l’objet qui m’a frappé ? Dans les
bois
d’Inverness, au milieu de ces roches Qui de ce pa
iter ma terreur. Je croyais traverser, dans sa profonde horreur, D’un
bois
silencieux l’obscurité perfide. Le vent grondait
soins, plus d’importune image. Amis, la liberté nous attend dans les
bois
. Sans nous plaindre, et de l’homme, et des grands
ux des essaims. Géorgiques, I. IV. Un monastère au milieu des
bois
Les bois peuvent s’offrir sous des aspect
Géorgiques, I. IV. Un monastère au milieu des bois Les
bois
peuvent s’offrir sous des aspects sans nombre314
nt se toucher, Paraîtront à la fois se fuir et se chercher. Ainsi, le
bois
par vous perd sa rudesse austère : Mais n’en détr
est des humains l’instinct involontaire, Le désert les effraye. En ce
bois
solitaire Placez donc, s’il se peut, pour console
ris À vos palais pompeux opposez leurs cabanes ; Peuplés par eux, vos
bois
ne seront, plus profanes, Et leur touchant aspect
heur, et que sous d’humbles toits, Paisible colonie, ils habitent vos
bois
. À peine on aura su le sort qui les exile, Vos so
nde318 : Loin de ce monde où règne un air contagieux, Vous aimerez ce
bois
sombre et religieux, Ses pâles habitants, leur ri
eures, Où, comme ton ruisseau, coulaient mes douces heures ! Dont les
bois
et les prés, et les aspects touchants, Peut-être
ajestueuse et brillante étendue ! La cité, le hameau, la verdure, les
bois
, Semblent s’offrir à lui pour la première fois ;
aile341. Vous tous qui voltigez, nagez, courez, rampez342, Hôtes des
bois
, des champs, des sommets escarpés, Ah ! quand tou
omme la mort l’état de plagiaire ; Mon Terre n’est pas grand, mais je
bois
dans mon verre. Ce progrès ne se marquait pas se
, et tout ce que j’aimai. C’est là, près d’une eau pure, au coin d’un
bois
tranquille, Qu’à mes mânes éteints je demande un
ecte ? 1° Il choisit un vaste emplacement sur nue colline entourée de
bois
, de prairies, d’eaux vives, etc., d’où la vue pui
Il se procure des matériaux de toutes sortes, pierres, marbres, fers,
bois
, bronzes, etc, — Ce sont les accessoires de l’inv
Le lieu de la scène est ordinairement un paysage champêtre, comme les
bois
, les prairies, le bord des rivières, des fontaine
ntéressante, il s’élève et Rend digne d’un consul la campagne et les
bois
Si canimus silvas, silvæ sint consule dignæ.
re, dans une petite vallée fort basse, entre des marais fangeux et un
bois
de grands chênes, loin de toutes les routes, on r
murs ou élancés dans l’air, à ces longues terrasses qui dominent les
bois
, à ces flèches légères que le vent balance, à ces
’une Diane mystérieuse, deux fois déesse et deux fois adorée dans ces
bois
voluptueux. Mais la base de cet étrange monument
rédication chrétienne. Toute une civilisation est dans cette croix de
bois
qui marque sur la terre le triomphe de l’égalité
paix, et méprise le reste. Content de ses douceurs, errant parmi les
bois
, Il regarde à ses pieds les favoris des rois ; Il
sire3, D’être aussi gras que moi, lui repartit le chien. Quittez les
bois
, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables,
quinze ans entiers il ne sera obligé de la fumer ; il plante un jeune
bois
, et il espère qu’en moins de vingt années il lui
rionale, la mer Méditerranée vue des hauteurs de Sorrente, les grands
bois
, les eaux limpides, la neige sur la montagne, le
est pourquoi. 13. Blessât (de vasiare). 14. Arcs-boutants, pièce de
bois
, pour soutenir le berceau. 15. Affûtés, assemblé
s. Affûté vient d’affût, composé d’à et de fût, qui signifie pièce de
bois
(fustem). 16. On les lève, entre les tours du Ha
a vue d’un animal malade, le gémissement d’un cerf poursuivi dans les
bois
par les chasseurs, l’aspect d’un arbre penché sur
e Pontferrada, et nous allâmes nous mettre en embuscade dans un petit
bois
qui bordait le grand chemin de Léon, dans un endr
ère qu’ils m’honoreront de leurs suffrages. » Là-dessus, je sortis du
bois
, et poussai vers le religieux, en priant le ciel
is, mon père, ajoutai-je, finissons : mes camarades, qui sont dans ce
bois
, s’impatientent ; jetez tout à l’heure votre bour
parut pesante. Je remontai sur ma bête, et je regagnai promptement le
bois
, où les voleurs m’attendaient avec impatience pou
les peuples, et non pas à les conquérir. Ce prince, dans sa maison de
bois
, où nous le représente Priscus, maître de toutes
; avec la hache de pierre, il a tranché, coupé les arbres, menuisé le
bois
, façonné ses armes et les instruments de première
à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un
bois
touffu, je vais sous son ombre ; une grotte, je l
point dans son lieu naturel, en pleine campagne, sur la lisière d’un
bois
ou sur le bord d’un ruisseau, où il eût été fréqu
pant des replis d’un nuage d’or, verse tout à coup sa lumière sur les
bois
, l’Océan et les armées. La terre paraît embrasée
en haut à travers un voile de feuillages répand dans la profondeur du
bois
une demi-lumière changeante et mobile qui donne a
sse mieux dormir pour toujours. Sept heures. Ne pouvant sortir de ces
bois
, nous y avons campé. La réverbération de notre bû
ts, atteints à peine de la lumière, ressemblent, dans renfoncement du
bois
, à de pâles fantômes rangés en cercle au bord d’u
ocher où je n’aie grimpé pour chercher quelques points de vue, pas un
bois
qui ne m’ait donné de l’ombre, pas un écho que je
la légère, vêtus de casaques matelassées et portant de longs arcs de
bois
ou des arbalètes d’acier. Le duc montait un cheva
près et du bruit monotone Que font les chariots qui passent dans les
bois
… Voilà la description brillante, pleine d’images
rverti, je ne sais pourquoi dans les éditions modernes) : la Belle au
bois
dormant ; le Petit Chaperon rouge ; la Barbe-Bleu
fonds commun de contes merveilleux, d’ogres, de géants, de Belles au
bois
dormant, de Petits-Poucets aux bottes de sept lie
i pâle qui ne traverse leur maigre et immobile feuillage. Ce sont des
bois
sans mystère et sans voix , même au printemps ;
ques, plantés pour servir de points de vue ; pour celui-là, ces longs
bois
de saplus, jetés à profusion et sans symétrie sur
le soleil couchant lance ses derniers rayons à travers un bouquet de
bois
de saplus qui borde an loin le désert. Alors rien
vise de jeter les yeux sur sa bibliothèque, dont il n’estimait que le
bois
, et y prend ce qui lui a le moins coûté de tout s
mystérieux666. Je croyais traverser, dans sa profonde horreur, D’un
bois
silencieux l’obscurité perfide. Le vent grondait
ajestueuse et brillante étendue ! La cité, le hameau, la verdure, les
bois
, Semblent s’offrir à lui pour la première fois ;
Lycus le fertile domaine …………..Soudain, à l’autre bord, Du fond d’un
bois
épais un noir fantôme sort699, Tout pâle, demi-nu
L’enfant, interdite et peureuse, A ce spectre hideux sorti du fond du
bois
, Veut fuir ; mais elle entend sa lamentable voix.
d’airain, Et l’amphore vineuse et la coupe aux deux anses. « Mange et
bois
, dit Lycus ; oublions les souffrances. Ami, leur
emplit une coupe profonde, L’envoie à l’étranger : « Salut, mon hôte,
bois
: De ta ville bientôt tu reverras les toits, Fuss
dant seuls la nuit à ses gémissements ; N’ayant d’autres amis que les
bois
solitaires, D’autres consolateurs que ses larmes
t de loin, à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des
bois
, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leu
unon, Telle Io, tourmentée, en l’ardente saison, Traverse en vain les
bois
et la longue campagne, Et le fleuve bruyant qui p
poir790. » Le cor. I J’aime le son du cor, le soir, au fond des
bois
, Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abo
s appela deux fois. » Dieu ! que le son du cor est triste au fond des
bois
! Poèmes antiques et modernes. L’aigle blessé
isaient voler le sang, la poudre et le goudron, S’enfonçaient dans le
bois
, comme au cœur des grands ormes Le coin du bûcher
ents les plaintes et les voix De ces corps vermoulus comme un antique
bois
: La vieille aime à lutter : c’est un joueur en v
omme la mort l’état de plagiaire ; Mon verre n’est pas grand, mais je
bois
dans mon verre. Ce progrès ne se marquait pas se
eaux sont jalouses. Il est des bruits joyeux même au fond des grands
bois
: Je mêle à ces accords ma rumeur incessante ; L’
TORRENT. L’eau jaillit, la roche déserte Va répondre aux chansons des
bois
; Je donne aux prés leur robe verte ; Ils sont mu
e autour de la forêt ; Et des sentiers encor verts où je rêve Sous le
bois
mort le gazon disparaît. Arbres chéris, plus d’om
, Sur ces buissons adieu les gais oiseaux ! Ainsi, mon cœur, dans les
bois
où tu songes L’automne arrive et la bise a souffl
nos vagues harmonies, Je ne sens plus flotter nos visions ; Comme ces
bois
, en perdant ton mystère, Tu vois la fin de tes ra
nant la voûte, Un jour plus pur descend pour t’éclairer. Oui ! si les
bois
, l’ombrage aimé du chêne, Ont trop caché la lumiè
x tapissés par la neige, Lentement serpentait le funèbre cortège. Les
bois
, ainsi que nous, restaient silencieux. Un crêpe d
ait ma nature fragile ; C’est l’hiver, quand je lis, devant un feu de
bois
, Le tableau du printemps dans un vers de Virgile
chanteuse (E. Manuel). La pauvre enfant, le long des pelouses du
bois
, Mendiait : elle avait des larmes véritables ; Et
er. Souvent, loin des maisons banales où vous êtes, Assis au fond des
bois
, j’ai dîné de noisettes ; Mais cela m’a donné l’â
enait de l’usage des collecteurs, de marquer sur une petite taille de
bois
ce que les contribuables avaient donné. 183. Ou
au de papier coupé avec des ciseaux, et que l’on colle ensuite sur du
bois
(étymologie : coller et ficher). 237. Naturalis
magna labentia flumina terra... 843. Comparez la Source dans les
Bois
, au livre II des Harmonies de Lamartine : Dans c
« ces stances simples et courtes, la rêverie d’un promeneur dans les
bois
, au déclin de l’automne, sa. tristesse devant les
t que, n’étant plus nuit, il n’est pas encor jour, Au bord de quelque
bois
sur un arbre je grimpe ; Et, nouveau Jupiter, du
former l’ensemble de l’habitation, puis pincer ensuite les pièces de
bois
secondaires destinées à la distribution intérieur
la même fable, Épéus étant l’artiste qui fabriqua le fameux cheval de
bois
par conséquent cet épisode, comme aussi sans dou
n’aurés manqué, ainsy que vous l’avez annoncé à Mornay, de vendre vos
bois
de Mezilac et Cuze, et ils auront produit quelque
temps : Les eaux ; Les prés ; Les arbres dans les jardins et dans les
bois
; Les abeilles ; Les troupeaux. Vous terminez par
plus. Combien le spectacle de la nature est changé ! Les vignes, les
bois
, les champs, les prés, les parterres n’offrent pl
ent dans le sujet. Les champs, les prés, les vignes, les jardins, les
bois
, seront séparément caractérisés par l’aspect qu’i
les diverses circonstances de cette course aventureuse à travers les
bois
; le loup blessé a encore assez de forces pour tr
sorti seul pour se promener, rêvant à des vers, s’est égaré dans les
bois
. Tableau du lieu sauvage où il se trouve. Tout à
après une journée consacrée à l’étude, étant allé se promener dans un
bois
, s’étend sur l’herbe et tombe dans un profond som
jà chef de bataillon ; pendant la guerre de 1812, on l’envoie dans un
bois
faire une reconnaissance. Il rencontre un régimen
ent chirurgien de ses amis. Jules continue sa reconnaissance dans les
bois
, et tombe au milieu d’une division russe. Après u
fermées. Enfin le sylphe descend au milieu d’affreuses ruines dans un
bois
épais et sauvage. Là errait un grand coupable, ab
reuse. Un cerf est lancé. Poursuivi par le chasseur, l’animal sort du
bois
et s’enfuit à travers les champs. La plaine était
la fleur vulgairement appelée muguet, qui croît abondamment dans les
bois
, qu’elle parfume de son odeur suave. 3. L’auteu
une telle enseigne. Forêt, signifiant une étendue de pays couvert de
bois
, est féminin : = la forêt que nous allons travers
x, émaux, soupiraux, travaux. Lorsque travail signifie une machine de
bois
à quatre piliers, entre lesquels les maréchaux at
es honneurs ; = le limon fertilise les terres ; = les vers rongent le
bois
. Dans ces phrases, les mots aimons, ambitionnez,
s de ces actions, puisqu’ils les produisent. Vertu, honneurs, terres,
bois
, sont objets, parce qu’ils sont les termes de ces
n chantant, comme le dit l’Art poétique, « Philis, les bergers et les
bois
». Devancier de la Fontaine, il a trouvé d’heureu
lle anime ; mais enfin il faut céder. C’est en vain qu’au travers des
bois
, avec sa cavalerie toute fraîche, Beck4 précipite
s emporte le moindre ; qu’une pierre enfonce dans l’eau plutôt que du
bois
; qu’un arbre croît en un lieu plutôt qu’en un au
a mère. Des ornements de l’art l’œil bientôt se fatigue ; Mais les
bois
, mais les eaux, mais les ombrages frais, Tout ce
. Corneille. Arbres dépouillés de verdure, Malheureux cadavres des
bois
. J.-B. Rousseau. On peut quelquefois adoucir une
ment, comme le sifflement des vents ou des serpents, le craquement du
bois
qui se rompt, le bourdonnement d’une abeille, le
en frémit. L. Racine. Le retentissement du clairon et du cheval de
bois
frappé par une javeline. Sed tum fortè cava dum
. Bientôt des tonnerres affreux firent retentir de leurs éclats les
bois
, les plaines et les vallons ; des pluies épouvant
e la relève. « On prétend aussi qu’il se trouve des biches qui ont un
bois
comme le cerf, et cela n’est pas absolument contr
eux vers firent cent mille fois Pleurer les monts, les plaines et les
bois
. (Du Belloy.) Bref, ce fut le règne des précieux
is muratus, puis ratus, enfin rat. — On faisait venir le latin lucus (
bois
sacré) de non lusere (ne pas luire), sous prétext
(bois sacré) de non lusere (ne pas luire), sous prétexte que dans un
bois
on ne voit pas clair. » 1. Guillaume de Sallust
veaux que m’offre la nature Mes yeux sont égayés ; Et tantôt dans les
bois
, tantôt dans les prairies, Je promène toujours me
que vous ne faites que promener vos rêveries dans les prairies et les
bois
. Quant à la dernière strophe, si pompeuse de form
Rouler au sein des mers sa gloire et son limon. Heureuse au fond des
bois
la source pauvre et pure Heureux le sort caché da
e altier l’herbe me glorifie ; « J’y chauffe la fourmi, des nuits j’y
bois
les pleurs. « Mon rayon s’y parfume en traînant s
difice ; l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante ; un
bois
sacré l’ombrage du côté du couchant ; les dieux d
ui coupent, qui vont et qui viennent, qui roulent ou qui charrient du
bois
du Liban, l’airain et le porphyre ; les grues5 et
ne bête fauve dans sa tanière, mais sans pouvoir faire, du morceau de
bois
qui lui servira de défense, ni une épée, ni un dr
vous quitte pour aller voir des lilas que j’ai plantés dans un petit
bois
au pied de notre couvent, et qui ont bien de la p
ns ? Nous cherchâmes, tant qu’il fit jour, notre chemin à travers ces
bois
; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdi
pieds environ. Du sommet on voyait percer l’extrémité d’une croix de
bois
peinte en noir. Dans plusieurs cantons de la Cors
vise de jeter les yeux sur sa bibliothèque, dont il n’estimait que le
bois
, et y prend ce qui lui a le moins coûté de tout s
arbre et le porphyre. Je vous dirai seulement qu’à la porte il y a un
bois
où en plein midi il n’entre de jour que ce qu’il
éveille. Après que le sommeil a longtemps promené mon esprit dans des
bois
, des jardins et des palais enchantés77, où j’épro
qu’il en fait, que ses contrôles perpétuels sur le pain et le vin, le
bois
, le sel et la chandelle ne sont rien que pour vou
cupent, et qui leur suffisent. Ils se plaisent même davantage dans un
bois
sauvage et épais, que371 dans les lieux les plus
nguent du commun du monde. Il est permis à chacun de demeurer dans un
bois
; mais il n’y a que les riches qui puissent avoir
énéraux et les deux armées semblent avoir voulu se renfermer dans des
bois
et dans des marais566, pour décider leur querelle
elle anime ; mais enfin il faut céder. C’est en vain qu’à travers des
bois
, avec sa cavalerie toute fraîche, Beck précipite
lles aperçurent un berger qu’elles n’avaient point encore vu dans ces
bois
; il leur parut gracieux, noble, aimant les Muses
e faisait son disciple. Aussitôt les naïades et les autres nymphes du
bois
souriaient aussi. Ce critique était jeune, gracie
47. Le serin et le rossignol Si le rossignol est le chantre des
bois
, le serin est le musicien1248 de la chambre ; le
our notre conduit1303. Nous plantâmes, à l’entrée, de petits bouts de
bois
minces et à claire-voie1304 qui, faisant une espè
ntiques1341 que celles du lac de Genève, parce que les rochers et les
bois
y bordent l’eau de plus près ; mais elles ne sont
re toutes sortes de cultures. On y trouve des champs, des vignes, des
bois
, des vergers, de gras pâturages ombragés de bosqu
s sont couverts de leurs fleurs ou parés d’un naissant feuillage. Les
bois
, les vallons, les rivières, les rochers, entenden
rmures du jour luttent sur les coteaux, au bord des fleuves, dans les
bois
et dans les vallées, lorsque les forêts se taisen
er l’air de Diane1570, j’étais étonné d’ouvrir les yeux au milieu des
bois
. Il y avait pourtant un charme à ce réveil du gue
e du sauvage, et tu me fis trouver dans les solitudes américaines les
bois
du Pinde. A quel bord n’as-tu pas conduit mes rêv
ns ? Nous cherchâmes, tant qu’il fit jour, notre chemin à travers ces
bois
; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdi
eaux seuls marquent le chemin. Beaux effets de lumière sous les hauts
bois
de sapins. Les corps élancés des arbres laissent
oins bien allumé, et, quand il invoque le Ciel, regarde un plafond de
bois
peint, ou bien, au-dessous du plafond, la dernièr
l’orgueil local lui en donne le nom. Tout près de la maison, un petit
bois
, et plus loin quelques bouquets de sapin sont la
vise de jeter les yeux sur sa bibliothèque, dont il n’estimait que le
bois
, et y prend ce qui lui a le moins coûté de tout s
sés. 48. On lit dans Boileau (satire IV) : Comme on voit qu’en un
bois
que cent routes séparent Les voyageurs sans guide
sa correspondance. Même lettre. « Je serais fort heureuse dans ces
bois
, si j’avais une feuille qui chantât. Ah ! la joli
la jolie chose qu’une feuille qui chante ! et la triste demeure qu’un
bois
où les feuilles ne disent mot, et où les hiboux p
Rouler au sein des mers sa gloire et son limon. Heureuse au fond des
bois
la source pauvre et pure ! Heureux le sort caché
e altier l’herbe me glorifie ; « J’y chauffe la fourmi, des nuits j’y
bois
les pleurs, « Mon rayon s’y parfume en traînant s
paroles de ceux qui l’interrogeaient. 853. Les dryades, nymphes des
bois
, naissaient et mouraient avec les arbres d’où dép
ue son aigre et déchirante voix De sa rauque allégresse importune les
bois
, Qu’il offense à la fois et les yeux et l’oreille
is pasteurs le premier domestique. Redevenu sauvage, il erre dans les
bois
: Qu’il aperçoive l’homme, il rentre sous ses loi
e à tons les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie; un
bois
touffu, je vais sous son ombre; une grotte, je la
a vue d’un animal malade, le gémissement d’un cerf poursuivi dans les
bois
par les chasseurs, l’aspect d’un arbre penché sur
agoula, qui donne son triste nom à Lacédémone, on remarquait un petit
bois
de cyprès. Mais ce Magoula même, qui fut autrefoi
nt leurs nids sur le rivage, qui ne se posent pas sur les rameaux des
bois
; nonchalamment bercés sur le courant de l’onde,
illé l’homme de tout sentiment, elle le rende semblable à un tronc de
bois
. Mais aussi de l’autre costé il ne faut pas moins
et huguenot. Essais, travaux et misères de Bernard Palissy Le
bois
m’ayant failli je fus contraint de brûler les est
r ma fournee me coutoit plus de six vingts escus. J’avois emprunté le
bois
et les estoffes, et si avois emprunté partie de m
robiont pour se retirer en leurs maisons, et se caschoient dedans des
bois
: mais comme ilz estoient descouvertz, hommes et
ient où se cacher. Il feust nombré sur le champ ou dans les vignes et
bois
de dit huit cens à deux mil hommes mortz, outre c
entretient le tige en sa sève et vigueur. On peut faire une jambe de
bois
, un bras de fer et un nez d’argent, mais non pas
n’aurés manqué ainsy que vous l’avez annoncé à Mornay, de vendre vos
bois
de Mezilac et Guze, et ils auront produit quelque
barque ; c’est lui qui m’en répondra421. À Madame de Grignan. Les
bois
du Buron422 De Nantes, lundi au soir, 7e mai
er envoyant la dégradation de cette terre : il y avoit les plus vieux
bois
du monde ; mon fils, dans son dernier voyage, lui
anciens corbeaux établis depuis deux cents ans dans l’horreur de ces
bois
, ces chouettes qui, dans cette obscurité, annonço
oi, ma bonne, je ne pleure point et suis ravie de m’en aller dans mes
bois
; j’en trouverai au moins aux Rochers qui ne sero
difice : l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante ; un
bois
sacré l’ombrage du côté du couchant ; les dieux d
ui coupent, qui vont et qui viennent, qui roulent ou qui charrient le
bois
du Liban, l’airain et le porphyre ; les grues et
avoit point de terrain d’où, par un ruisseau, par une ravine, par un
bois
, ou par une éminence, il ne sût tirer quelque ava
ses plus secrètes pensées. Un jour qu’ils chassoient ensemble dans un
bois
, le vizir, voyant deux cor-beaux qui croassoient
ervation. Pour se délasser de ses pénibles travaux, il chasse dans ce
bois
avec son fidèle Zéangir. Que ce secrétaire est he
romantiques que celles du lac de Genève, parce que les rochers et les
bois
y bordent l’eau de plus près ; mais elles ne sont
re toutes sortes de cultures. On y trouve des champs, des vignes, des
bois
, des vergers, de gras pâturages ombragés de bosqu
j’en aurois fait un sur chaque gramen des prés, sur chaque mousse des
bois
, sur chaque lichen qui tapisse les rochers ; enfi
s des habitations ; il ne reste point dans les taillis, mais dans les
bois
de hauteur, sur les vieux arbres des plus belles
ans sans les nouveaux hôtes qui viennent les animer. De ces hôtes des
bois
, les fauvettes sont les plus nombreuses comme les
enues et les bosquets ; plusieurs espèces s’enfoncent dans les grands
bois
, et quelques-unes se cachent au milieu des roseau
semaines après que ce chantre du printemps s’est tu, l’on entend les
bois
résonner partout du chant de ces fauvettes ; leur
urs et des fruits. Ce bruissement des prairies, ces gazouillemens des
bois
, ont des charmes que je préfère aux plus brillans
’aperçus, à travers les palissades de ma cabane, une lumière dans les
bois
. Bientôt après, j’entendis la voix de Paul qui m’
» Sur-le-champ nous nous mettons en route. Comme nous traversions le
bois
de la Montagne-Longue, et que nous étions déjà su
ant sur le sable. À quelque distance de là, nous vîmes, à l’entrée du
bois
, un feu autour duquel plusieurs habitans s’étoien
oient autour. Vers les sept heures du matin, nous entendîmes dans les
bois
un bruit de tambours : c’étoit le gouverneur, M.
entendu, toute la nuit, des bruits sourds dans la montagne ; dans les
bois
, les feuilles des arbres remuent sans qu’il fasse
mieux que nos moutons. Adieu, petit lapin, je vais retourner dans mes
bois
, à mes champs et à mon verger. J’élèverai une sta
e les missionnaires viennent de lui confier, et le fait cuire avec le
bois
de la charrue. Depuis plus de trois siècles il no
forêt de cyprès dont on aperçoit les portiques sombres ; là, c’est un
bois
léger d’érables, où le soleil se joue comme à tra
n haut à travers un voile de feuillages, répand dans la profondeur du
bois
une demi lumière changeante et mobile, qui donne
s. La rivière qui coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans le
bois
, tour à tour reparaissait brillante des constella
in de la fraîche exhalaison de la rosée, les avenues, les bouquets de
bois
, les maisons de briques rouges, les chaumières cr
a ne ressemble à rien de ce que vous avez pu voir. Ne parlons pas des
bois
d’orangers, ni des haies de citronniers ; mais ta
s s’éleva, et les gardes lui défendirent d’avancer, en le menaçant du
bois
de leurs lances. Un des étrangers, plus poli que
d à côté de moi sous le soleil ; ma boîte à couleurs craque, comme du
bois
qui brûle. On n’entend plus rien. Il y a là quatr
igles qui nagent sans remuer leurs ailes, dans l’océan de l’éther. Ce
bois
de pins est certainement le plus magnifique de to
e retirer dans la tour, je viens saluer les glaciers de Ruitorts, les
bois
sombres du mont Saint-Bernard, et les pointes biz
haut, sur le sommet de la montagne de Charvensod. Isolé au milieu des
bois
, auprès d’un champ désert, il reçoit les derniers
res, aux gazons, aux fleurs qui sentent bon, aux rochers sombres, aux
bois
mélancoliques pleins d’animaux silencieux et sauv
hargebœuf arrêta sa voiture derrière une misérable chaumière bâtie en
bois
et en terre, entourée de quelques arbres fruitier
e nos aires de grange. Devant une table desservie et devant un feu de
bois
vert qui fumait, Napoléon était assis sur une cha
; le sou parisis, 15 deniers ; — tournois, 12 deniers. 54. Statue de
bois
couverte de lames d’argent, relique de la ville d
t encore au dix-huitième siècle s’éclater de rire. On dit encore : le
bois
s’éclate. 274. Du Mahomètisme. 275. Comparez la
sant ma petite croisée, les coudes sur le toit, j’admirais les grands
bois
noyés dans l’azur du vallon, j’écoutais les merle
toire d’un sous-maître. — Revue des Deux Mondes, 15 déc. 1870.) Les
Bois
coupés en automne Je ne sais rien de plus touchan
ois coupés en automne Je ne sais rien de plus touchant que la vue des
bois
coupés en automne. Les grands arbres abattus, à d
troncs inertes et lourds qui montrent la large plaie de la hache. Les
bois
deviennent alors silencieux et mornes ; une pluie
présent avec une vivacité admirable. Je voyais Antoine, au chemin des
bois
, ayant quitté la prairie, et laissant fuir devant
plus des leçons de Neptunea. Mes seuls gémissements font retentir les
bois
, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix. À l
B. Rousseau : Arbres dépouillés de verdure, Malheureux cadavres des
Bois
… Si les idées qu’excitent les termes métaphoriqu
même des Dieux, que tu puisses invoquer dans le besoin. Construit du
bois
d’une des plus fameuses forêts de Ponta, en vain
Qu’un chêne, un vieil érable, Patriarche des
bois
, lève un front vénérable, (Delille). cet aspect
n’était plus ce roi pacifique, accessible à ses sujets, assis sous le
bois
de Vincennes avec une affabilité que la simplicit
ensés. 3. On lit dans Boileau (satire IV) : Comme on voit qu’en un
bois
que cent routes séparent Les voyageurs sans guide
sont des ravines et des précipices, d’un côté ; c’est, de l’autre, un
bois
impénétrable, dont le fond est un marais, et derr
vous forceront d’adorer leurs dieux, vains simulacres de pierre et de
bois
! » Ce même Dieu, qui s’était plu à réunir sur vo
que j’aimais, et vous, douce verdure, Et vous riant exil des
bois
! Ciel, pavillon de l’homme, admirable nature,
ntrées où l’homme n’a jamais résidé, couvertes ou plutôt hérissées de
bois
épais et noirs dans toutes les parties élevées ;
cri, screp, screp, fréquent et répété ; ils le font entendre dans les
bois
dès l’aurore, jusqu’à ce qu’aux premiers rayons d
on, il n’y aurait qu’à mourir. J’ai quelquefois des rêveries dans ces
bois
, d’une telle noirceur, que j’en reviens plus chan
oup de pouvoir dire avec Musset : Mon verre n’est pas grand, mais je
bois
dans mon verre. 5. Socrate était pauvre, et n
e l’action : cantillo, je chante tout bas, je fredonne ; sorbillo, je
bois
à petits coups, je buvotte. — La désinence sso dé
de loin, à grands cris, appelant leurs compagnes, Et les nymphes des
bois
, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leu
e vos dieux frivoles, Insensibles et sourds, impuissants, mutilés, De
bois
, de marbre, ou d’or5, comme vous les voulez : C’
ls ne sont tous que simulacres vains : C’est de l’or, de l’argent, du
bois
et de la pierre, Qui tient sa forme de vos main
difice ; l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante ; un
bois
sacré l’ombrage du côté du couchant ; les dieux d
ui coupent, qui vont et qui viennent, qui roulent ou qui charrient du
bois
du Liban, l’airain et le porphyre ; les grues3 et
a ne ressemble à rien de ce que vous avez pu voir. Ne parlons pas des
bois
d’orangers, ni des haies de citronniers ; mais ta
ui ronge l’âme. Je le compare à ces petits vers qui se logent dans le
bois
des chaises et des meubles, dont j’entends le cra
plaisent au milieu du bruit de la ville. En effet, les champs et les
bois
offrent des jouissances si pures, des plaisirs si
es champs soient moins favorables pour l’étude : les montagnes et les
bois
ont je ne sais quoi de poétique, et nulle part l’
te-faix. Un jour, il rapportait des champs une charge considérable de
bois
, qu’il avait lié en fagot avec une petite corde ;
gé. Il s’approche, examine la manière savante et industrieuse dont ce
bois
a été assemblé, dont il est posé, et l’invite à s
yant répondu que c’était lui-même, le philosophe le prie de délier ce
bois
, et de le remettre ensuite dans le même état. Cel
s variées ; leur nombre égale les épis des moissons, les feuilles des
bois
, les sables que la mer rejette sur ses rivages. D
les habitations des humains ; les cerfs abandonnent les retraites des
bois
, et fuient çà et là dans les carrefours. Les best
t toute l’année, elle conserve sa bénigne influence. Les habitants du
bois
, qu’on appelle Ammoniens, logent dans des cabanes
u’on appelle Ammoniens, logent dans des cabanes éparses. Le milieu du
bois
, entouré d’une triple muraille, leur sert de fort
es gardes et de la maison militaire du prince. Il y a encore un autre
bois
d’Ammon, au milieu duquel se voit une source appe
itoyens [illisible chars][texte coupé]rent bientôt élevé des tours de
bois
pour se défendre ; puis, [illisible chars][texte
urent des licteurs, et les faisceaux furent suspendus à des portes de
bois
; un consul récolta des moissons, et les champs f
ui habitent aux campagnes, les Silvains et les Nymphes, divinités des
bois
, n’y font point leur séjour : elle est le théâtre
un chêne majestueux ; puis, montrant le fer sacrilége enfoncé dans le
bois
: « Maintenant, dit-il, qu’aucun de vous ne craig
lles. Ils ont des images et des espèces d’enseignes qu’ils tirent des
bois
sacrés et portent dans les combats. Et le princip
je supplie tous les dieux protecteurs de tous les peuples, et même ce
bois
sacré qui murmure sur la cime du Capitole, je les
mme ils le disent eux-mêmes, s’enforcer dans le silence religieux des
bois
, c’est-à-dire, dans la solitude. La réputation mê
s membres dispersés, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les
bois
et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ;
pieds environ. Du sommet on voyait percer l’extrémité d’une croix de
bois
peinte en noir. Dans plusieurs cantons de la Cors
; ce sont des ravins et des précipices d’un côté, c’est de l’autre un
bois
impénétrable ; dans le fond est un marais ; et de
! mon Dieu ! Ce sont des montagnes, des ravins, des précipices, des
bois
, des marais, des torrents, des forts, des forêts
que au singulier, ne forment pas une rime. — Exploit ne rime pas avec
bois
, courroux avec goût, trépas avec état, etc. 6. U
te de douanier, et nous nous tenions adossés à la hutte. À droite, un
bois
répandu sur le penchant de la côte étalait dans u
de, que le lion rugit, que le serpent que la mouche bourdonne, que le
bois
craque, que la rivière coule, et que le ruisseau
ette proposition : je me promène, et celle-ci : je me promène dans un
bois
, dans une prairie, à quatre heures, à midi, avant
is, Tous les hommes suivaient la grossière nature, Dispersés dans les
bois
couraient à la pâture ; La force tenait lieu de d
plus des leçons de Neptune ; Mes seuls gémissements font retentir les
bois
, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix. Que
int-Pierre : « Ce bruissement ! des prairies, ces gazouillements des
bois
, ont des charmes que je préfère aux plus brillant
difice ; l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante : un
bois
sacré l’ombrage du côté du couchant ; les dieux d
iennent, qui taillent et qui coupent, qui roulent et qui charrient le
bois
du Liban, l’airain etle porphyre ; les grues et l
’elle anime. Mais enfin il faut céder. C’est en vain qu’à travers les
bois
, avec sa cavalerie toute fraîche, Beck précipite
e cabane qu’on aura disposée comme le toit paternel ; tantôt c’est un
bois
, un vallon, un coteau, à qui l’on fera porter que
t pensé de sa vie qu’à la chasse, vint pour emmener mes fils dans ses
bois
; il resta quelque temps assis à notre table acti
autres, qui avaient passé presque toute leur vie à cheval ou dans les
bois
, se hasardaient dans les spéculations les plus ab
ous éblouir à distance, un ou deux lambeaux de pourpre ; on décrit un
bois
sacré et l’autel de Diane, ou bien le ruisseau qu
rveilleux, et son pinceau bizarre nous représente un dauphin dans les
bois
, un sanglier dans les flots. Ainsi, faute de tale
parti, le mot ne revient plus. Les hommes vivaient dispersés dans les
bois
, quand un poëte sa cré, interprète des Dieux, Orp
ens-mariés ; 1153construire des villes ; 1154graver des lois sur le
bois
. 1155 C’est ainsi que l’honneur et la gloire 11
à tous les points de vue. Aperçois-je une rivière, je la côtoie ; un
bois
touffu, je vais sous son ombre ; une grotte, je l
cher au-dehors ; et, au défaut d’autres objets, elles s’adressent aux
bois
, aux rochers, etc., lors surtout que ces objets o
ète, trompé par Pyrrhus, et désespérant de l’attendrir, s’adresse aux
bois
, aux rochers de Lemnos, les confidents habituels
trône d’ébène, avec un visage noir et menaçant, une couronne de même
bois
sur la tête, tenant d’une main un sceptre, et de
it enlevé Hélène, femme de Ménélas, roi de Sparte. L’énorme cheval de
bois
, où ils enfermèrent des troupes, et qui fut intro
. La rivière qui coulait à mes pieds, tour à tour se perdait dans les
bois
, tour à tour reparaissait toute brillante des con
les massifs d’arbres, la rivière qui brille, court, se perd dans les
bois
et va refléter plus loin les constellations de la
avec méchant, repos avec berceaux, douleur avec candeur ; croix avec
bois
, flanc, avec sang. Ex. : Sur l’argent, c’est tou
ne rimeraient pas ensemble. Ne faites donc point rimer loi avec voix,
bois
ou exploit non plus que genou avec courroux, etc.
rs composé de douze syllabes qui sont toutes accentuées : Lac, près,
bois
, monts, ifs, pins, eaux, mers, flamme, air, tout
elle anime ; mais enfin il faut céder. C’est en vain qu’à travers des
bois
, avec sa cavalerie toute fraîche, Beck précipite
nnu et si beau du Passant et de la Tourterelle : Que fais-tu dans ce
bois
, plaintive Tourterelle ? — Je gémis, j’ai perdu m
lle qui se trouve dans ce vers de La Fontaine : Craignez le fond des
bois
et leur vaste silence. En effet, s’il est diffic
meurt de faim, moins que rien, Vous êtes le phénix des hôtes de ces
bois
, etc. « Nous sommes naturellement portés, dit Q
c’est des ravins et des précipices, d’un côté ; c’est, de l’autre, un
bois
impénétrable, dont le fond est un marais, et derr
vole, « Je me laisse aveugler pour une vaine idole, « Pour un fragile
bois
, que malgré mon secours « Les vers sur son autel
énéraux et les deux armées semblent avoir Voulu se renfermer dans des
bois
et dans des marais, pour décider leur querelle co
’elle anime. Mais enfin il faut céder. C’est en vain qu’à travers les
bois
, avec Sa cavalerie toute fraîche, Bek précipite s
votre aile. Vous tous qui voltigez, nagez, courez, rampez, Hôtes des
bois
, des champs, des sommets escarpés, Ah ! quand
errant. » C’est ainsi qu’achevait l’aveugle en soupirant, Et près des
bois
marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait. T
me, et les sons de sa voix Émeuvent l’air et l’onde et le ciel et les
bois
. » Mais il entend leurs pas, prête l’oreille,
s appela deux fois. » Dieu ! que le son du cor est triste au fond des
bois
! A. de Vigny 11. Les Grecs et les Italie
du clairon pour la dernière fois Éveille les échos endormis dans les
bois
, Et que tout bruit s’éteint dans l’immense étendu
s de cette profonde humilité quelle lumière va jaillir ! Cherchez les
bois
où brilla l’épée de Washington : qu’y trouvez-vou
ons qui partaient des feux allumés en plein air à leur sommet avec du
bois
ou du charbon de terre, ne devaient jamais traver
A. de Musset 38. L’Âme du Poëte Beau lac, j’ai vu, de ce
bois
sombre, Tes flots s’embraser au soleil ; Ils bril
difice : l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante ; un
bois
sacré l’ombrage du côté du couchant ; les dieux d
ui coupent, qui vont et qui viennent, qui roulent ou qui charrient le
bois
du Liban, l’airain et le porphyre ; les grues et
on à la Bretagne Ô landes ! ô forêts ! pierres sombres et hautes,
Bois
qui couvrez nos champs, mers qui battez nos côtes
et l’on bâille vingt fois, Qu’elle grouille aussi peu qu’une pièce de
bois
. ACASTE. Que vous semble d’Adraste ? CÉLIMÈNE.
Qu’elle nous donne encore, outre tous ses produits Notre provision de
bois
, de vin, de fruits... Enfin notre maison est asse
l assoupissait le monde ; Ni les flots de la mer, ni les feuilles des
bois
N’exhalaient un murmure, une plainte, une voix ;
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