adolescens multùm temporis tribui. Cic Dans ma jeunesse j’ai consacré
beaucoup de
temps à la philosophie. Cato senex historias scri
iment de la jeunesse et l’amusement de la vieillesse. II Il y a
beaucoup de
substantifs français qui se traduisent élégamment
artie composée d’iambes. XX Nous avons vu dans la grammaire que
beaucoup de
verbes intransitifs deviennent transitifs en comp
decebat), Vespasien fut trop avide d’argent. XV Le comparatif a
beaucoup de
grâce dans les phrases suivantes et autres sembla
i, sœpè fecerunt. Cic. Il ne me plaît pas de déplorer la vie ; ce que
beaucoup de
personnes et même de gens instruits ont fait souv
nt in Torquato plurimœ litteræ, nec eœ vulgares. Cic. Torquatus avait
beaucoup de
littérature, et une littérature peu commune. X
s le sens de ignorer, ne pas savoir. Ex. : Multa me fugiunt. J'ignore
beaucoup de
choses. Non me latent artes vestrœ. Je connais to
en latin dans les phrases suivantes et autres semblables. Vous aurez
beaucoup de
mérite, si vous pouvez mettre des bornes à votre
croyez avoir à faire. V Le participe passé s’emploie aussi avec
beaucoup de
grâce au lieu du parfait de l’infinitif. Ex. : Le
: Multa facetè dicta a sene Catone collecta sunt. Cic. On a recueilli
beaucoup de
mots plaisants de Caton l’ancien. IX Le par
s. Nunquàm in te studio suo, nunquàm amore cessavit. Il a toujours eu
beaucoup de
zèle et d’amour pour vous. ARTICLE VI. Du c
députés de César ont parlé sincèrement. Ex improviso multa eveniunt.
Beaucoup de
choses arrivent à l’improviste. V La prépos
duit d’un esprit même médiocre. IX Nec, neque se répètent avec
beaucoup de
grâce devant les mots unis entre eux d’une manièr
mnia metiuntur emolumentis, neque ea volunt ponderari honestate. Cic.
Beaucoup de
gens pèsent toutes choses au poids de l’intérêt e
flatteurs, Traînent souvent la ruine des mœurs. 1. Inaugurée avec
beaucoup de
solennité le 21 juillet 1851, en présence d’une d
sa pensée n’était pas très-vaste, il pouvait s’y jouer du moins avec
beaucoup de
facilité et de grâce. L’académicien Campenon a do
Gresset a partagé avec nos grands poëtes ce privilégé, d’avoir laissé
beaucoup de
ces traits qui se gravent dans les mémoires et ci
alors peut seule relever notre courage et ranimer nos forces. Il faut
beaucoup de
prudence et de circonspection dans les lettres de
n ne blâmant que les procédés et n’accusant pas les intentions. C’est
beaucoup de
ramener les esprits ; des reproches vifs et amers
ervé. Le voici en abrégé : nous faisons toutefois cette remarque, que
beaucoup de
personnes, aujourd’hui, négligent de s’y conforme
ains de tous les temps. Virgile et Cicéron, dit M. Laurentie, doivent
beaucoup de
leurs perfections à Homère et à Démosthènes. Le b
d’écrire. Ce qu’il y a de plus profitable peut-être, selon l’avis de
beaucoup de
personnes, dit Pline le Jeune, c’est de traduire
oucir des expressions dures ou choquantes. La périphrase se rapproche
beaucoup de
l’euphémisme. Les orateurs et les poètes en font
orts. Dans ce cas l’emploi de l’hyperbole agrandit les idées et exige
beaucoup de
goût ; les poètes y déploient une richesse d’expr
e fusées le feu d’artifice qui l’a terminée. « Le bal continuait avec
beaucoup de
plaisir, etc. » Dans le troisième, Malherbe pein
ité et sa folie. Il existe encore une espèce de répétition qui donne
beaucoup de
précision et de grâce à la phrase ; elle est asse
e un crime d’avoir remporté deux victoires ? Mais j’ai, dit-on, perdu
beaucoup de
monde dans le dernier combat. Peut-on donc livrer
i que j’ai chassé les ennemis de votre territoire, que je leur ai tué
beaucoup de
monde dans deux combats, que j’ai forcé les débri
ne en trois. Jetez-vous votre langue aux chiens ? Cette figure donne
beaucoup de
charme à une lettre de madame de Maintenon à mada
’Adjonction oratoire est une suite d’ellipses symétriques. Elle donne
beaucoup de
vivacité et d’énergie au style. On peut en juger
ssi Dieu lui-même, les anges et les esprits infernaux, Cette figure a
beaucoup de
noblesse, de hardiesse et de véhémence, et convie
es discours et oraisons aient, avec les autres genres de littérature,
beaucoup de
points de contact, il y a une multitude de vérité
oème épique, une tragédie ! cela n’est pas admissible. Aussi y a-t-il
beaucoup de
professeurs qui, à l’occasion, donnent ces notion
reçues et soigneusement conservées parmi les hommes ont ordinairement
beaucoup de
force et de poids dans les discussions, parce qu’
itations. Mais Bossuet et Massillon citent les Pères de l’Église avec
beaucoup de
convenance et d’à-propos : Pour être vraiment ch
es sont pleins de désirs ; Ceux qui sont pleins de désirs manquent de
beaucoup de
choses Ceux qui manquent de beaucoup de choses so
pleins de désirs manquent de beaucoup de choses Ceux qui manquent de
beaucoup de
choses sont misérables ; Donc les
simple et sans prétention, qu’il ne parle de lui que rarement et avec
beaucoup de
réserve. Il est dans la nature humaine, disait D
ce qui convient le mieux dans chaque action de la vie, il l’est aussi
beaucoup de
savoir ce que prescrivent les bienséances dans un
rs coupables. Dans ces cas difficiles, ménagez les esprits et usez de
beaucoup de
prudence ; montrez à tous que vous n’avez d’autre
ais pour vous avertir comme l’enfant bien-aimé de mon cœur. Vous avez
beaucoup de
maîtres en Jésus-Christ ; mais vous n’avez qu’un
cule, et dans cette matière, lorsqu’on ne fait pas pleurer, on risque
beaucoup de
faire rire. 139. En second lieu, l’orateur ne se
s très habile dans l’emploi de ce moyen, mais Cicéron le maniait avec
beaucoup de
dextérité et de souplesse, et il en a même quelqu
en a même quelquefois abusé. 150. L’usage de la plaisanterie demande
beaucoup de
précautions, et il n’est pas donné à tout le mond
curate non callide dicere . 164. L’orateur doit montrer dans l’exorde
beaucoup de
réserve et de modestie. Mais cette modestie n’exc
gnat oculis ad cædem unumquemque nostrum. 175. L’orateur a besoin de
beaucoup de
discernement pour savoir quel genre d’exorde il d
s en abrégé, et le discours est la proposition développée. Il importe
beaucoup de
mettre de la clarté dans la proposition ; car si
ous ont laissé, sous ce rapport, les meilleurs modèles à suivre. Dans
beaucoup de
rhétoriques, on s’appuie sur l’autorité de Fénelo
eurs faits à l’appui d’une proposition. La narration oratoire diffère
beaucoup de
la narration historique. « L’historien, dit Crevi
u de l’amplification. § I. Du choix des preuves. 194. Il importe
beaucoup de
choisir les preuves et de n’employer que les plus
tendent. Que l’orateur joigne donc à la connaissance de son auditoire
beaucoup de
sagesse et de discernement. 197. On ne doit pas t
rément ; mais il faut que cette récapitulation ait, comme au barreau,
beaucoup de
rapidité et d’énergie, une grande variété dans le
glée ; 40 que la prononciation soit pure et correcte. 276. Il importe
beaucoup de
savoir élever la voix au degré convenable, et de
omprend les éloges, les panégyriques et les discours satiriques. 298.
Beaucoup de
rhéteurs modernes condamnent cette division comme
n’y sont point nécessaires. Employez des preuves claires et solides,
beaucoup de
comparaisons et d’exemples, des explications natu
dramatique qui captive mieux un auditoire ; toutefois elles demandent
beaucoup de
réserve, devant certains auditoires, pour ne pas
tes et concluantes, de la méthode et de la clarté dans la discussion,
beaucoup de
souplesse et de vigueur dans le raisonnement. Dan
ndre certaines objections, laissez-les dans cette heureuse ignorance.
Beaucoup de
prédicateurs de nos jours oublient les véritables
rs de la magistrature, et le ton doit en être grave, imposant et sans
beaucoup de
chaleur. Les mercuriales, ainsi nommées parce qu’
tés pour et contre par les deux parties adverses. Ces résumés exigent
beaucoup de
clarté, de justesse et de précision, mais peu ou
tous les Capouans, furent admis à ce repas, et le dernier obtint avec
beaucoup de
peine cette grâce pour son fils Pérolla, dont les
cœur et s’en servir. Or, c’est une question aujourd’hui de savoir si
beaucoup de
prédicateurs ont un cœur. Nul ne peut s’en aperce
on guide et sa lumière ? Connaissez-vous, en dehors du christianisme,
beaucoup de
ces grandes institutions applicables à. tous les
358. Qu’exige le patriotisme dans l’orateur politique ? 359. Faut-il
beaucoup de
science à l’orateur politique ? 360. Quel doit êt
ux, en composant dans leur idiome, soit en prose, soit en vers. Ainsi
beaucoup de
grammaire, de lectures, de traductions en langue
p qui aient un caractère mieux marqué d’originalité ? eu comptez-vous
beaucoup de
plus réellement érudits ? Je sais quelle objecti
e plus tard à la facilité et à la variété dans le style comme d’avoir
beaucoup de
mots à sa disposition. Cette science des mots a f
is, il est vrai, avec un peu d’affectation, mais le plus souvent avec
beaucoup de
politesse et d’esprit. Il suffit de rappeler à l’
s ce sens : sous prétexte. 1. Dans cette lettre, Voiture prend avec
beaucoup de
raison la défense de l’utile particule car, que b
riers de paroles à la langue légère. Ils prétendaient qu’on y parlait
beaucoup de
préambules et d’épilogues, et de semblables niais
de sens. Les autres tirent bien les conséquences des choses où il y a
beaucoup de
principes. Par exemple, les uns comprennent bien
et qu’elle ne puisse pénétrer le moins du monde les choses où il y a
beaucoup de
principes. Il y a donc deux sortes d’esprits : l’
ils l’ont mauvais, peu juste, et qui les détermine plutôt à rapporter
beaucoup de
choses que d’excellentes choses : ils n’ont rien
ns, que ce qui manque le plus à certains orateurs, qui ont d’ailleurs
beaucoup de
talents, c’est le fonds de science. Leur esprit p
r. C. Cependant la plupart des gens qui parlent en public acquièrent
beaucoup de
réputation sans autre fonds que celui-là. A. Il e
plaisent sans doute. Ces mouvements vifs et naturels de l’orateur ont
beaucoup de
grâce ; les peintures fidèles et animées charment
traint pas. B. J’en conviens. A. Voyons donc. Naturellement fait-on
beaucoup de
gestes quand on dit des choses simples, et où nul
rmonie et l’éloquence. B. Mais cette rapidité de discours a pourtant
beaucoup de
grâce. A. Elle en a sans doute ; et je conviens
: il l’a tirée de la servitude des déclamateurs, et il l’a remplie de
beaucoup de
force et de dignité. Il est très-capable de conva
. N’espérez pas exprimer les passions par le seul effort de la voix ;
beaucoup de
gens, en criant et en s’agitant, ne font qu’étour
autre, je suppose un homme savant, qui se remplit de son sujet, qui a
beaucoup de
facilité de parler, car vous ne voulez pas que le
e Cicéron le demande : qu’il ait lu tous les bons modèles : qu’il ait
beaucoup de
facilité naturelle et acquise ; qu’il ait un fond
rtons-nous-en à lui-même sur cette matière. Il veut que l’orateur ait
beaucoup de
mémoire : il parle même de la mémoire artificiell
rt imitée. Les autres discours les plus sérieux d’Isocrate se sentent
beaucoup de
cette mollesse de style, et sont pleins de ces fa
u de tous ces termes généraux qui ne prouvent rien, mais ils disaient
beaucoup de
faits. Par exemple, Xénophon, dans toute la Cyrop
icité si originale, et dont nous avons tant perdu le goût, ce poëte a
beaucoup de
rapport avec l’Ecriture ; mais l’Ecriture le surp
stesse, et qui croient donner un goût exquis aux viandes en y mettant
beaucoup de
sel et de poivre La véritable éloquence n’a rien
e son temps ; mais pour son style, je n’ai gardé de le défendre. Il a
beaucoup de
pensées fausses et obscures, beaucoup de métaphor
i gardé de le défendre. Il a beaucoup de pensées fausses et obscures,
beaucoup de
métaphores dures et entortillées. Ce qui est mauv
auvais en lui est ce que la plupart des lecteurs y cherchent le plus.
Beaucoup de
prédicateurs se gâtent dans cette lecture. L’envi
sentent l’enflure de son temps et la dureté africaine, il a pourtant
beaucoup de
force et d’éloquence. On voit partout une grande
s de la plus sévère religion, mais auquel on ne peut parvenir qu’avec
beaucoup de
peine. Dans le fond, l’épitre de saint Cyprien à
ssez : qui sophistice loquitur, odibilis est 60. Il traite aussi avec
beaucoup de
science l’arrangement des choses, le mélange des
ncore dans un siècle pire : il a pourtant écrit plusieurs choses avec
beaucoup de
force et de dignité. Il faut savoir distinguer ce
adversaire, né à Paris, devait le combattre en français. Enfin, après
beaucoup de
ces retardements agréables, nous arrivâmes jusqu’
prit qui passe à la dernière postérité. Déjà de leurs faibles écrits
Beaucoup de
grâces sont ternies : Ils sont comptés encore au
u, Voiture, qui, dans sa manie de broder des riens, avait quelquefois
beaucoup de
délicatesse et d’agrément, écrit au grand Condé s
royaume, écrive couramment et sans effort ce qui coûterait à un autre
beaucoup de
temps et de ratures. M. l’abbé de Dangeau, en qua
hommes communs et bornés qu’aux gens d’esprit. Je ne vous croyais que
beaucoup de
goût et de connaissances ; mais je vois que vous
me soin tous ses ouvrages. Quelque différence que l’on ait mise, avec
beaucoup de
raison, entre l’esprit et le génie, il semble que
ous satisfasse. (Britannicus, acte IV, scène ii) je ne crois pas que
beaucoup de
personnes fassent attention quelle commande en qu
il a introduites dans ses tragédies : je suis fâché qu’on trouve dans
beaucoup de
scènes, qui sont faites pour inspirer la terreur
conter. XVIII. Les grandes pensées viennent du cœur. XIX. Quand on a
beaucoup de
lumière, on admire peu lorsque l’on en manque, de
s détourne de l’objet principal, et qui leurs ne peuvent suivre, sans
beaucoup de
peine, une trop longue chaîne de faits et de preu
ple, qui sans objet, sans pénétration et sans goût. XXV. Le sot qui a
beaucoup de
mémoire est plein de pensées et de faits ; mais i
ien rapprocher les choses, voilà l’esprit juste. Le don de rapprocher
beaucoup de
choses et grandes choses fait les esprits vastes.
, le plus sage et le plus élégant des poëtes, pour n’avoir pas traité
beaucoup de
choses qu’il eut embellies, content d’avoir montr
e de Viau, né en 1590, mort en 1620 ; auteur de poésies empreintes de
beaucoup de
mauvais goût. 26. Ronsard, né en 1525, mort en
à succédé au repos ; les mauvais jours de la Révolution commençaient.
Beaucoup de
personnes pourtant, cherchant à se faire illusion
lesse de caractère qui croit anéantir le danger qu’elle se dissimule,
beaucoup de
personnes s’obstinaient à dire : « Ce n’est rien.
ire mieux ou aussi bien que son auteur. On peut critiquer Homère avec
beaucoup de
profondeur et de justesse sans posséder son génie
t qui termine cette fable est un modèle de naïveté ; La Fontaine en a
beaucoup de
ce genre, et c’est par là qu’il nous plaît et nou
présente de grands objets en peu de mots, ou qui montre dans un homme
beaucoup de
courage et de puissance. Elle exprime souvent une
foule d’idées réunies sur un petit nombre de mots et qui éclate avec
beaucoup de
force et de vivacité. Les harangues de Galgacus e
s dieux de la terre, C’est la louange, Iris. 81. Il faut
beaucoup de
discernement et de sobriété dans la distribution
endra clair et il n’y aura plus d’équivoque possible. Il importe donc
beaucoup de
placer à propos les phrases incidentes et les adv
travail ne se montre pas. Racine et Boileau faisaient leurs vers avec
beaucoup de
soin et de lenteur ; mais ce travail ne paraît nu
ir où tout commence. 148. L’expression est riche quand elle renferme
beaucoup de
sens en peu de mots, ou quand elle forme une sort
submergés sont en parfait rapport avec cette comparaison. 174. Il y a
beaucoup de
traits de ressemblance entre une métaphore et une
être claires, justes, nobles et sobrement ménagées. La comparaison a
beaucoup de
rapports avec la métaphore, et tout ce que nous a
mais la poésie exige plus de soin. Boileau fait sentir la leçon avec
beaucoup de
bonheur dans les deux vers suivants : Gardez qu’
ormer à l’art d’écrire. Virgile et Cicéron, dit M. Laurentie, doivent
beaucoup de
leurs perfections à Homère et à Démosthène. Racin
choix de ses livres, il faut savoir se borner. Ce n’est pas en lisant
beaucoup de
livres que l’on s’instruit, mais en lisant beauco
oute leur force et leur précision. Or, pour atteindre ce but, il faut
beaucoup de
réflexions et d’efforts, et celui qui l’entrepren
t. Dans le choix des constructions et des tours, il a aussi besoin de
beaucoup de
réflexion, de discernement et de goût, et il déco
it une seule ligne, le travail sera pour le moins à moitié fait. 290.
Beaucoup de
jeunes gens se plaignent qu’il leur est impossibl
le surcharge pas de préambules oiseux et de détails inutiles. On voit
beaucoup de
jeunes gens qui remontent trop haut, se perdent e
t demande beaucoup d’habileté, parce que l’obscurité est à craindre ;
beaucoup de
réserve, parce qu’il vise à l’effet : si la suite
ains profanes ne pourront jamais égaler. Pour apprendre à conter avec
beaucoup de
naturel et de grâce, les élèves ne sauraient mieu
ythme. 382. Comme la poésie ne vit que d’images et d’harmonie, elle a
beaucoup de
traits de ressemblance avec la peinture et avec l
e de l’entreprise. On a remarqué que, pour donner à une action épique
beaucoup de
majesté et de grandeur, il ne fallait point prend
Les descriptions et les récits doivent être bien amenés et demandent
beaucoup de
richesses et d’ornements. La grande règle consist
e la bourgeoisie ; le bas comique, qui peint les mœurs du peuple avec
beaucoup de
franchise et de gaieté, mais ne doit jamais desce
Qu’est-ce qui rend les mots propres difficiles à trouver, et y a-t-il
beaucoup de
synonymes ? 92. Est-il permis d’employer des mots
st-ce que le nœud de l’action ? 305. Le nœud de l’action demande-t-il
beaucoup de
talent et d’habileté ? 306. Qu’est-ce que le déno
a révolution. 4. Voltaire a été plus juste pour Mme de Maintenon que
beaucoup de
ses contemporains, en disant « qu’elle rejetait b
humble. » 1. Cette lettre, que l’on rapporte à l’année 1682, jette
beaucoup de
jour sur les sentiments et la conduite de Mme de
on y retrouve trop de ce système artificiel des anciens rhéteurs ; et
beaucoup de
choses inutiles rendent un peu fastidieuse la lec
ndition de ce genre de style. La vigueur d’une description naît, sous
beaucoup de
rapports, de la concision et de la simplicité ; m
cité comme un objet particulièrement agréable. Hogarth observe, avec
beaucoup de
sagacité, que tous les mouvements nécessaires aux
aître dans nos amis des sentiments plus doux, plus agréables, qui ont
beaucoup de
rapport avec ceux que produit le beau. La peintur
es auxiliaires avoir et être, unis aux participes, remplacèrent, sous
beaucoup de
rapports, la diversité des terminaisons des temps
ion se lie intimement à la pensée, pour écrire avec précision il faut
beaucoup de
netteté dans la conception des idées. L’auteur do
veiller ou de favoriser en nous certains sentiments. Sans doute, dans
beaucoup de
cas où l’on croit remarquer cette analogie entre
le premier, le plus commun et le plus beau de tous les tropes. Elle a
beaucoup de
similitude avec la comparaison exprimée vivement
ouve place que dans les compositions oratoires. Un orateur peut, avec
beaucoup de
convenance, adresser la parole à la religion, à s
L’auteur le plus abstrait, dans les sujets les plus arides, peut avec
beaucoup de
convenance introduire une comparaison dans la seu
ière qu’on oppose la concision à la prolixité. Chacun de ces genres a
beaucoup de
rapport avec ceux dont nous venons de parler. Les
supportable que dans les ouvrages purement didactiques ; il faut même
beaucoup de
poids et de solidité dans la matière, et surtout
t d’une longue pratique. Moram et solicitudinem, dit Quintilien avec
beaucoup de
raison, initiis impero. Nam primum hoc constituen
lièrement des premier et dernier, est très différent, et modifié avec
beaucoup de
sagacité, suivant les circonstances et la situati
e croient pas qu’aucun orateur ait été plus accompli. Il se préparait
beaucoup de
mémoire, et se livrait ensuite à l’impulsion du m
l’orateur romain employait si fréquemment, et très probablement avec
beaucoup de
succès. Telles sont les raisons pourquoi les larm
cier, sont les conditions nécessaires de la narration : elles exigent
beaucoup de
sagacité et d’habileté de la part de l’avocat. Il
etiam in recte factis sæpe fastidiunt. De tout cela il conclut avec
beaucoup de
justesse, hunc diem igitur campi speratum atqu e
raisonnements et leur extension au-delà des bornes naturelles, enlève
beaucoup de
ce vis et acumen qui doivent être le caractère di
Aristote, en particulier, dans son traité de Rhétorique, discute avec
beaucoup de
profondeur et de subtilité la nature des passions
sens qui doit diriger à cet égard ; il est évident en effet qu’il y a
beaucoup de
sujets qui n’admettent nullement le pathétique, e
rait inévitablement au ridicule. Quintilien, qui traite ce sujet avec
beaucoup de
sagacité, s’efforce de nous retracer la méthode d
escription de ce crime flagrant, et le judices est jeté à la fin avec
beaucoup de
propriété.) Cum interea nullus gemitus, nulla vo
discours une physionomie théâtrale et un air affecté qui lui enlèvent
beaucoup de
son agrément et de son effet. Nous nous sommes oc
telle liaison qu’ils doivent être prononcés de la même haleine, exige
beaucoup de
soin. Pour éviter ce défaut, l’orateur doit d’abo
i jeta de la lumière sur tant de sciences diverses, a recherché, avec
beaucoup de
pénétration, les principes de la rhétorique. Le p
e sujet, malgré toute son importance. Quintilien, qui l’a traité avec
beaucoup de
sens, se donne la peine de nous faire connaître l
ale ou emphatique, donne au discours un air d’affectation qui lui ôte
beaucoup de
son agrément et de son expression. Je passe maint
, qui n’ont ensemble de commun qu’une ridicule manie de parler devant
beaucoup de
monde, et ne sont pas animés d’autre ambition que
ependant, je n’ose pas avancer que l’on doive s’attendre à en retirer
beaucoup de
fruit. C’est aux écrits des anciens sur l’éloquen
t bien soutenus, et l’ensemble admirable. L’on y trouve, il est vrai,
beaucoup de
digressions ; les observations et les règles y so
roire que dans les matières de pur raisonnement, les modernes ont, en
beaucoup de
circonstances, une plus grande précision que les
ne puis m’empêcher de convenir que son expression n’ait très souvent
beaucoup de
force et de vivacité, quoiqu’en général il serait
bles. Au dix-septième siècle, Balzac et Voiture acquirent en ce genre
beaucoup de
célébrité. Il est vrai que la réputation de Balza
la faveur du public ; son style est très brillant ; il fait preuve de
beaucoup de
tact, et plaisante d’une manière très fine. Son s
la brièveté des syllabes, soit tout à fait indifférente ; nous avons
beaucoup de
mots, et principalement ceux composés de plusieur
nt Dryden se servait fréquemment. Cependant la poésie de ce dernier a
beaucoup de
mérite ; on y trouve, comme dans toutes ses produ
beaucoup de mérite ; on y trouve, comme dans toutes ses productions,
beaucoup de
génie joint à beaucoup de négligence ; moins doux
trouve, comme dans toutes ses productions, beaucoup de génie joint à
beaucoup de
négligence ; moins doux et moins correct que Pope
r que ce doit toujours être la campagne, et le mérite du poète dépend
beaucoup de
la description qu’il en sait faire. Virgile, à ce
supérieures. Il y règne une admirable simplicité dans les sentiments,
beaucoup de
douceur et d’harmonie dans les vers, et une grand
sté quelques fragments de deux autres poètes grecs qui ont écrit avec
beaucoup de
talent dans le genre pastoral, Moschus et Bion. O
de la poésie lyrique ou de l’ode, genre de composition poétique qui a
beaucoup de
dignité, et que dans tous les siècles un grand no
ontribue surtout à embellir une description poétique, et c’est ce que
beaucoup de
poètes ont trop négligé. Souvent ils ne se serven
n ; aussi toutes les idées qui s’y rapportaient avaient par cela même
beaucoup de
grandeur et d’importance, et se trouvaient singul
vient sur-le-champ, et lui offre le combat. Dans ses discours règnent
beaucoup de
grâce et de courtoisie. Il reçoit avec modestie,
s vraie. La narration d’Homère est toujours concise, ce qui lui donne
beaucoup de
grâce et de vivacité ; et si quelquefois il est u
on mérite est plus contesté. Ses êtres célestes agissent partout avec
beaucoup de
dignité. Dieu abaissant ses regards sur les armée
’eux ne connaissait bien son poème, ou qu’au moins ils le lurent avec
beaucoup de
prévention ; car je me crois fondé à regarder la
le sujet ne manque ni de grandeur ni d’unité. Le poète est entré avec
beaucoup de
bonheur dans l’esprit et les idées des anciens, e
e que les chœurs des anciens pourraient être introduits, et même avec
beaucoup de
succès, sur notre théâtre moderne, si, au lieu de
e rien n’est plus simple et plus naturel. L’on y trouve, il est vrai,
beaucoup de
ces figures qui expriment le trouble de l’âme, co
qui y règne, l’étendue et la subtilité du dialogue y jettent souvent
beaucoup de
langueur ; que les auteurs semblent craindre d’êt
ux et intéressants, le dialogue, par sa rapidité et sa concision, y a
beaucoup de
ressemblance avec celui des anciennes tragédies g
, ou de grands éloges. Dans les tragédies de Dryden et de Lee, il y a
beaucoup de
chaleur, mais trop d’enflure et de mauvais goût.
des traits de génie et des marques d’une imagination forte et vive ;
beaucoup de
caractères bien saisis, des situations heureuses,
t il les a saisis et placés avec le plus rare discernement.. Il avait
beaucoup de
force comique ; il aimait la gaîté et les plaisan
ant, plein de feu, multipliant les caractères, imprimant à son action
beaucoup de
mouvement ; mais son défaut est de trop prodiguer
aire à tous les gens de goût et de bon sens. M. de Fénelon, qui avait
beaucoup de
l’un et de l’autre, n’a jamais donné son Télémaqu
reuve indubitable qu’il avait très peu de réputation, c’est qu’il eut
beaucoup de
peine à trouver un libraire qui voulût imprimer s
le caractère encore plus brillant qu’il donne au Diable. On lut avec
beaucoup de
plaisir la description du jardin d’Adam et d’Ève.
é que l’autre, et que les hommes, en tout genre, veulent réussir sans
beaucoup de
travail ? Fénelon fit son Télémaque en prose parc
er. 51. The Beaux Stratagem. 52. Consciours Loves. 53. « Il y a
beaucoup de
très bonnes pièces où il ne règne que de la gaîté
poète ou de ses personnages ; mais elles doivent être employées avec
beaucoup de
retenue, parce qu’il s’agit moins ici de peindre
omine dans le genre gracieux ; c’est le caractère de Catulle, doué de
beaucoup de
goût, de grâce et de naturel, et d’Ovide, chez qu
e. Arien de Méthymne passe pour l’inventeur du dithyrambe. Après lui,
beaucoup de
poètes attiques s’exercèrent en ce genre, qui per
es louanges doivent être ingénieuses, mais naturelles, exprimées avec
beaucoup de
délicatesse, et accommodées au sexe, à la naissan
nconvénient est de frapper par leur invraisemblance. Ce poème demande
beaucoup de
délicatesse dans les sentiments, et, dans le styl
pour remplir avec distinction les emplois subalternes, qui renferment
beaucoup de
minuties. Il n’imaginait point et n’inventait poi
de mamelle. Il m’a esté comme ma conscience et m’a dicté à l’oreille
beaucoup de
bonnes honestetez, et maximes excellentes pour ma
ce que savait fort bien un magistrat illustre, qui, dans ce siècle où
beaucoup de
gens n’approuvent que l’étude des langues moderne
t avec autant de courage que de raison : « Je veux que mon fils sache
beaucoup de
latin. » 2. Je lis ailleurs dans M. Mérimée :
et le perruquier, chacun dans son habit de poudre. On parvient, avec
beaucoup de
peine, à se placer, c’est-à-dire à s’entasser en
s ou prolixe est l’opposé du Style précis : il dit peu de choses avec
beaucoup de
paroles. On peut lire, pour compléter l’étude du
oujours eu l’esprit un peu léger : étant à Brest à dix-huit ans, avec
beaucoup de
dettes et sans argent ; il écrivit à son père ; e
s insultes de la boue et du mauvais temps. Mascarille. Vous recevez
beaucoup de
visites ? Quel bel esprit est des vôtres ? Made
vec leur propre caractère, dont Scarron a saisi le côté ridicule avec
beaucoup de
justesse et d’esprit. C’est ainsi que de Jupiter
ans lequel on s’est établi dans les premiers actes. Cette règle cause
beaucoup de
tourments aux poètes. C’est à eux de construire l
velle forme à la tragédie. L’élévation de Corneille était un monde où
beaucoup de
gens ne pouvaient arriver. L’expérience avait fai
a été reconnu, comme il devait l’être, pour notre troisième tragique.
Beaucoup de
poètes ont, depuis lui, paru sur la scène françai
Poitiers j’ai vécu comme vit la jeunesse ; J’étais en ces lieux-là de
beaucoup de
métiers, Mais Paris, après tout, est bien loin de
rs, et qui, dans le fond, n’aura rien de solide3. Vous compterez pour
beaucoup de
vous éloigner des compagnies folles de la jeuness
bon propos a été donc, Madame, de vous demander de vos nouvelles ; et
beaucoup de
vilains petits embarras m’en ont toujours ôté la
stesse, et qui croient donner un goût exquis aux viandes en y mettant
beaucoup de
sel et de poivre. La véritable éloquence n’a rien
aury Essai sur l’éloquence, c. 59.) 1. Il y a des personnes qui ont
beaucoup de
raison dans l’esprit, mais qui n’en ont pas dans
’est ainsi qu’il aborde peu à peu la proposition de Rullus, mais avec
beaucoup de
réserve, comme l’on voit, et de circonspection. U
ourte, s’il n’y a rien d’inutile ; car dans le cas même où vous aurez
beaucoup de
choses à dire, si vous ne dites rien de trop, vou
r la proposition. On fut sur le point de le faire sur-le-champ ; mais
beaucoup de
ceux de la compagnie ayant représenté que les peu
énéral, dans la guerre de Trente ans, acquit, malgré quelques revers,
beaucoup de
gloire, et fut l’un des principaux soutiens du pa
gédies, entre lesquelles Timocrate, Ariane et le comte d’Essex ont eu
beaucoup de
réputation. — Quant à Pierre Corneille, « la Fran
le grand Dauphin et le roi d’Espagne (Philippe V) ; il y a, en outre,
beaucoup de
lettres de Louis XIV à sa famille, à ses généraux
ux-mêmes ce qu’ils savent. Il n’est pas fort vif au dehors, mais il a
beaucoup de
vivacité au dedans, et peu de chose échappe à ses
des ressources dont il a été souvent étonné lui-même. Quoiqu’il perde
beaucoup de
temps, il se rencontre qu’il en a toujours assez,
sur la plupart des écrivains de l’époque classique, on recourra avec
beaucoup de
fruit aux deux Histoires de la littérature frança
règle de l’hiatus a ici le mérite de représenter le but atteint avec
beaucoup de
peine. 4. Il s’agit de cette race, ardelionum
e heureux éclate-t-elle dans tous ses ouvrages. Outre cet enjouement,
beaucoup de
verve le distingue : son invention est facile et
ignalé justement dans cette pièce, où Regnard semble s’être surpassé,
beaucoup de
verve, de force comique et de vérité d’observatio
mon asile dans quelque province éloignée où l’on voit peu d’argent et
beaucoup de
denrées, et où règnent l’abondance et la pauvreté
s encore ! Du bon sens plus que de science, et pour toute philosophie
beaucoup de
christianisme ; une maison propre et commode ; un
D’un zèle qui m’attache à tous vos intérêts1. Célimène. Madame, j’ai
beaucoup de
grâces à vous rendre ; Un tel avis m’oblige, et,
ns aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, et pour
beaucoup de
causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
voilà qui respire et qui se repose, et il a raison : elle lui a coûté
beaucoup de
peine. » (De la Cour.) 1. Comparez au portrait
uellement entre les mains des Élèves. Mais un grand nombre de Lycées,
beaucoup de
Professeurs et d’autres personnes ont témoigné le
lis, une marche libre, aisée et naturelle, une diction noble et pure,
beaucoup de
force et d’onction. Les Protestants ont, en quelq
artout ailleurs. Elles doivent en général être courtes ; et renfermer
beaucoup de
sens en peu de paroles. Si le Panégyrique comport
étincellent de beautés, tantôt fines, tantôt frappantes. On y trouve
beaucoup de
pensées neuves et ingénieuses. Le style en est or
lquefois peut-être trop recherché. Mairan, son successeur, loue avec
beaucoup de
délicatesse, et trace des portraits tout à fait r
il ne lui suffira pas simplement d’exposer la vérité. Quoiqu’elle ait
beaucoup de
force quand elle est présentée sans fard, elle a
at. C’étoit un homme d’un caractère doux, sage et circonspect ; ayant
beaucoup de
finesse et de mesure dans l’esprit, avec un coura
upposent dans l’écrivain de l’expérience, une méditation puissante ou
beaucoup de
lecture. Voyez surtout Sénèque et Montaigne. Mais
r rien : vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ. Qui sont-ils ?
beaucoup de
pêcheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
aute, et qui, dans un génie d’ailleurs si fécond et si puissant, gâte
beaucoup de
bonnes pages. On a distingué diverses espèces d’a
près son entretien avec l’ambassadeur de Rome, Vous a-t-il conseillé
beaucoup de
lâchetés, Madame ?… et par dessus tout cette scè
e, qui résume et complète tous les travaux antérieurs, nous a épargné
beaucoup de
recherches et procuré plus d’une bonne interpréta
s et la manière dont on imite. En effet, de même que certains imitent
beaucoup de
choses avec des couleurs et des gestes, les uns a
ragédies n’ont pas de place pour les mœurs29, et, absolument parlant,
beaucoup de
poètes sont dans ce cas30. Ainsi, chez les peintr
e, mais plutôt la ressemblance inhérente au nœud et au dénouement. Or
beaucoup de
poètes tragiques ourdissent bien le nœud, et mal
pectateurs restent insensibles si lui-même ne renchérit pas, se donne
beaucoup de
mouvement. C’est ainsi que de mauvais aulètes (jo
membres. XIII. Si, maintenant, on objecte que l’homme pourrait faire
beaucoup de
mal en recourant injustement à la puissance de la
n juste peut rendre de grands services et l’application injuste faire
beaucoup de
mal. XIV. Il est donc évident que la rhétorique n
ère absolue, soit dans telle circonstance, soit dans tel moment ; car
beaucoup de
gens obtiennent des honneurs pour des motifs qui
t exempts de maladie des gens qui gardent l’usage de leur corps ; car
beaucoup de
gens se portent bien, comme on le dit d’Hérodicus
en dehors de la force et de la santé, une autre cause de longévité ;
beaucoup de
gens, dépourvus des qualités du corps, sont des e
st plus grand qu’il ne faut est un mal. XXII. De même, ce qui a exigé
beaucoup de
peine, ou une grande dépense ; car, dès lors, on
hose arrivée à ce point est regardée comme une fin et comme la fin de
beaucoup de
choses ; or la fin est un bien219. De là ce mot :
verbe : (casser) sa cruche à la porte. XXIII. On préfère aussi ce que
beaucoup de
gens recherchent et ce qui paraît digne d’être di
us avons vu222 que ce à quoi tendent tous les hommes est un bien ; or
beaucoup de
gens font ce que tout le monde fait. XXIV. Ce qui
, ce sont tous ceux que l’on éprouve après avoir été persuadé. Il y a
beaucoup de
choses que l’on désire voir et posséder après que
la souffrance, il est doux de se souvenir pour l’homme qui a éprouvé
beaucoup de
fatigues et d’épreuves260. Cela tient à ce qu’il
met en passe de commander, et la sagesse implique la connaissance de
beaucoup de
choses et de choses qui excitent l’admiration. De
position. XXXIV. De même les choses qu’il est facile de dissimuler en
beaucoup de
circonstances. Telles sont celles que l’on peut t
une telle crainte prend ses mesures en conséquence. VII. Comme il y a
beaucoup de
gens pervers, dominés par l’appât du gain et remp
ion publique, car les fonctionnaires publics peuvent rendre service à
beaucoup de
monde. De même les chefs d’armée, les orateurs, e
eux-mêmes. Cette impression, après tout, n’a rien que de naturel, car
beaucoup de
gens ont besoin de ceux qui possèdent. De là cett
es lieux480 ; car les syllogismes se tirent des choses probables : or
beaucoup de
ces choses peuvent sembler contraires entre elles
ant emmenés avec moi548. » En effet, dans cet exemple, on a introduit
beaucoup de
conjonctions avant celle qui devait venir, et, s’
onlocution donne le change et les auditeurs sont dans la situation de
beaucoup de
gens qui vont trouver les devins. Lorsque ceux-ci
arié et alourdi. III. Il faut rappeler les (actions) célèbres ; aussi
beaucoup de
discours peuvent se passer de narration : par exe
Un acte important où la justice n’est pas en cause perdra, par suite,
beaucoup de
sa gravité, au point de vue délictueux. 290. Dan
ni une violente invective ; c’est une causerie aimable qui se ressent
beaucoup de
la lecture des anciens, d’Horace, de Perse, de Ju
té de lieu. Il s’applique à observer l’unité des temps, pour laquelle
beaucoup de
critiques s’étaient déjà prononcés ; mais cette d
g temps pour s’accomplir. Mais, quoi qu’il en soit de la violation en
beaucoup de
points des règles dites aristotéliques, et bien q
tend faire des leçons d’héroïsme aux hommes, et cependant reçoit avec
beaucoup de
facilité l’argent d’Auguste, cette adorable furie
Parle, Blanche, et dis-nous comme il voit ce malheur. Blanche. Avec
beaucoup de
honte, et plus encor de cœur. Du haut de l’escali
ra plus grande à qui comprendra bien Qu’à l’exemple du ciel j’ai fait
beaucoup de
rien. Au roi. — Sur Cinna, Pompée, Horace, S
sentiment, sont nuancés et distincts, et il y a une grande énergie et
beaucoup de
dignité dans le rôle de Jocaste. Les vers ont une
ns aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, et pour
beaucoup de
causes, Qu’une femme étudie et fasse tant de chos
pas qu’où l’honneur les conduit Les vrais braves soient ceux qui font
beaucoup de
bruit, Les bons et vrais dévots qu’on doit suivre
miste. Cette naïveté dont on a tant parlé est accompagnée chez lui de
beaucoup de
pénétration et de malice. Dans les Fables, il se
olâtre : On nous promet l’histoire, et c’est un haut projet J’attends
beaucoup de
l’art, beaucoup plus du sujet : Il est riche, il
ophe marié, le Dissipateur, ajoutons l’Irrésolu, laissent voir en lui
beaucoup de
verve et d’originalité, ni une connaissance bien
s pièces les plus remarquables par la versification qu’il ait faites.
Beaucoup de
négligences et d’incorrections, mais de grandes b
éâtre de la foire, de l’œuvre tant vantée. Aujourd’hui il ne faut pas
beaucoup de
hardiesse pour dire combien le poème du jeune Aro
t bien avouer que les poètes des siècles précédents y sont jugés avec
beaucoup de
sévérité. Voltaire, ne pouvant pas se donner à lu
ance continues dans la diction, offrent une grande abondance d’idées,
beaucoup de
traits d’un sens profond, extrêmement de variété.
écousu. Ils sont d’ailleurs, surtout les quatre premiers, écrits avec
beaucoup de
soin. À la manière dont le fécond et impatient éc
he en détails heureux, elle étincelle de traits piquants, on y trouve
beaucoup de
scènes ingénieusement amenées ; mais en général l
son style ; l’harmonie lui manque comme le goût. Piron écrivit encore
beaucoup de
poèmes, d’odes, d’épîtres, de satires, de contes,
d’autant de force et de vérité, de simplicité et de finesse151. Pour
beaucoup de
personnes, Sedaine n’est pas l’auteur de Félix de
vante versification. Malheureusement ces mérites sont contrepesés par
beaucoup de
défauts. Son vers est énergique, mais ambitieux ;
n’y avait là point d’idées, point de goût, des lieux communs rimés et
beaucoup de
platitudes » ; ce fut un déchaînement universel.
e passe, pour ainsi dire, sous la cheminée ; ce qui ôte à la tragédie
beaucoup de
sa majesté ; au lieu que si la scène était publiq
s lié avec Rivarol, Chateaubriand et Fontanes. Ce dernier l’aida avec
beaucoup de
bonté, de patience et de scrupule poétique à corr
e d’une douce malice ou par accident d’une teinte de mélancolie. Avec
beaucoup de
verve et de facilité, il avait une élégante puret
fier d’avoir ainsi fait plier l’orgueil de la vieille Melpomène. Avec
beaucoup de
prétention à la simplicité et à la vérité, ici en
ité de l’intrigue l’observation et l’élégance du style. Le dialogue a
beaucoup de
facilité, de précision, est semé de traits heureu
nt la peur d’un mal nous conduit dans un pire. » Ponsard s’est donné
beaucoup de
peine pour tomber dans l’exagération de la simpli
llement d’unité. Ponsard nous offre une personnalité honorable malgré
beaucoup de
préjugés, mais non pas une haute personnalité lit
t coutume. Du latin solere, avoir coutume. 97. Ces deux vers offrent
beaucoup de
variantes. 98. Il paraît que cette dame avait pe
sion. Cette explication de la sphère, d’après Copernic et Newton, fit
beaucoup de
bruit lorsqu’elle parut : c’était une grande diff
Dès qu’on parle de moi. L’énigme sur le secret a naturellement
beaucoup de
rapport, et dans le fond et dans la forme, avec l
de la chanson érotique, il faut une grande finesse dans l’esprit, et
beaucoup de
délicatesse dans les sentiments. Lorsqu’une chans
es. ) Un homme qui nous ressemble.] Corneille et Dacier s’inquiètent
beaucoup de
ce qu’Aristote paraît assimiler la condition des
pensées et de tournures champêtres ; mais il s’élève peu, et n’a pas
beaucoup de
variété dans ses compositions. Les vers que nous
né en 1749, Florian, né en 1755, Léonard, né en 1744, ont fait aussi
beaucoup de
poésies pastorales ; ce dernier surtout s’est fai
, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. Nous avons en France
beaucoup de
poètes satiriques d’une très grande valeur. Il se
par poètes élégiaques ceux qui ont fait une ou deux élégies ? Il y a
beaucoup de
nos bons poètes qui ont mérité ce titre par quelq
ofondes racines. » Voilà une grande fortune, un siècle n’en voit pas
beaucoup de
semblables ; mais voyez sa ruine et sa décadence
ordres, avec toute la fidélité et l’exactitude possibles. C’est avec
beaucoup de
raison qu’elle s’applique si sérieusement à régle
perdu sans ressource. Mais ces remèdes ne se peuvent trouver qu’avec
beaucoup de
soin et de patience ; car il est malaisé d’examin
n’est rien de si grand dans le monde, qui ne reconnaisse en soi-même
beaucoup de
bassesse. Mais c’est encore trop de vanité, de di
st rare qu’une simple virgule puisse suffire. 4° Le vers pentamètre a
beaucoup de
grâce, quand les mots sont choisis avec goût, et
que l’on doit éviter. Il y a donc un choix à faire, et ce choix exige
beaucoup de
discernement. On doit rechercher de préférence le
a terreur. 4° De la répétition. La répétition des mêmes mots a
beaucoup de
grâce en poésie, quand elle sert à peindre les pa
cation de cette œuvre, au jugement de La Harpe, qui l’a analysée avec
beaucoup de
soin et généralement bien appréciée, la place par
me s’il y avait bonhur et malhur. » De là venait que l’e entrait dans
beaucoup de
mots où nous n’avons laissé que l’u : j’ai beu, l
’aurait pu rendre compte de ce qu’il a vu. Voilà comment on peut voir
beaucoup de
choses et ne rien apprendre. Enfin, les fenêtres
Eu égard à l’ordre et à la méthode, la rhétorique de M. Gibert tient
beaucoup de
celle d’Aristote, et M. Rollin semble s’être form
sur sa nomination à l’évêché de Tulles. « Je viens d’apprendre avec
beaucoup de
joie, Monsieur, la grâce que le Roi vous a faite,
e moins qu’un Ange en ambassade pour l’en aller remercier. » Il faut
beaucoup de
prudence et de circonspection dans une lettre de
rien de superflu ; et son style, toujours concis et serré, a toujours
beaucoup de
force, et, quand il le faut, de l’élévation. La p
int assez de connoître les preuves de notre religion. Il nous importe
beaucoup de
savoir distinguer avec précision les objets de no
elon la remarque de son biographe anonyme, « transcrit l’Odyssée dans
beaucoup de
ses drames »; enfin le Cyclope d’Euripide, drame
exprès, épargnassent aux maîtres la peine nécessaire pour feuilleter
beaucoup de
volumes, et aux élèves des frais considérables po
m’a toujours semblé regrettable pour l’utilité pratique qui manque à
beaucoup de
traités… » Enfin, nous avons tenu à faire un ouv
connu la dignité morale de la femme. Aristote, à lui seul, nous offre
beaucoup de
belles observations sur ce sujet par exemple, da
nneurs qui leur sont dus, pourvu toutefois que cela ne leur coûte pas
beaucoup de
soin et d’attention, et que ce soit sans être cha
evise semblait être « faire sans dire ». C’est une joie nouvelle pour
beaucoup de
vaillants soldats de dire ce qu’ils ont fait et v
ns estre reprins, veu, combien que nos mœurs soyent reprehensibles en
beaucoup de
choses, toutesfois qu’il n’y a rien digne de si g
bstruses parties de nostre nature se pénètrent. Il y a dans Plutarque
beaucoup de
discours estendus, tresdignes d’estre sceus ; car
y apporter poinct d’inimitié, ne de faveur, ne de prejudice, Je veois
beaucoup de
juges qui s’ingerent et veulent estre du jugement
des plainctes, et est le roy en voye de vous oster la cognoissance de
beaucoup de
causes, à son regret, craignant par ce moyen conf
vence ou dissimulation, permises, moderement toutefois. A present, en
beaucoup de
lieux, elles sont doublees et triplees, et tellem
alrage, de faim. Car cest embrasement est universel, et a déja gaigné
beaucoup de
pays en la France ; et toutesfois toutes ces cala
es qu’en toutes les especes de poësies que j’ay nommees nous eussions
beaucoup de
telles imitations, qu’est ceste Eglogue sur la na
at là, et que, par longue experience, j’ay vu advenir aux cappitaines
beaucoup de
biens, et à d’aultres beaucoup de maux. Et de mon
ce, j’ay vu advenir aux cappitaines beaucoup de biens, et à d’aultres
beaucoup de
maux. Et de mon temps, il en a esté desgradé des
prou qu’estoient fils de pouvres laboreurs, et se sont mis par devant
beaucoup de
nobles, pour leur hardiesse et vertus. Et pource
n estre dignes ; et ainsy ces belles lettres humaines lui rabattoient
beaucoup de
sa rigueur de justice. Il estoit grand orateur et
de mamelle. Il m’a esté comme ma conscience, et m’a dicté à l’oreille
beaucoup de
bonnes honnestetez et maximes excellentes pour ma
ois de loisir pour cela, et que nous consommerions devant cette place
beaucoup de
millions d’or et beaucoup de milliers d’hommes po
ue nous consommerions devant cette place beaucoup de millions d’or et
beaucoup de
milliers d’hommes pour l’avoir peut-être dans tro
ité soutenue de si bonne grâce, et avec tant de force, vaut mieux que
beaucoup de
prospérités et de victoires. Il ne me sembla pas
nserver dans tous nos poëmes : autrement il faudroit prononcer contre
beaucoup de
ceux que nous voyons réussir avec éclat. Je tiens
ou trois lieux particuliers enfermés dans l’enclos de ses murailles.
Beaucoup de
mes pièces manqueront de l’unité de lieu si l’on
ouhaitable, autant est-il difficile d’y réussir, parce qu’elle dépend
beaucoup de
la mesure d’intelligence que nous apportons en na
r la proposition. On fut sur le point de le faire sur-le-champ ; mais
beaucoup de
ceux de la compagnie ayant représenté que les peu
ordres, avec toute la fidélité et l’exactitude possibles. C’est avec
beaucoup de
raison qu’elle s’applique si sérieusement à régle
perdu sans ressource. Mais ces remèdes ne se peuvent trouver qu’avec
beaucoup de
soin et de patience ; car il est malaisé d’examin
émence extraordinaire ; l’un et l’autre par leurs talens se sont fait
beaucoup de
disciples et d’admirateurs ; l’un et l’autre, enf
ition, et dont l’éclat de la nôtre nous a privés. Peut-être qu’il y a
beaucoup de
bons sujets qui seroient de fort mauvais princes.
d’autres, je n’en cherche pas. Je suis entièrement incapable de voir
beaucoup de
monde ensemble ; cela viendra peut-être, mais il
ntesquieu (Grandeur des Romains). Comme Bussy-Rabutin, il servit avec
beaucoup de
distinction ; comme lui, il se perdit par la sati
pensées, vous périssiez par la malice de ses suppositions. Il y avoit
beaucoup de
mérite à être homme de bien, parce qu’il y avoit
y avoit beaucoup de mérite à être homme de bien, parce qu’il y avoit
beaucoup de
danger à l’être. La vertu qui osoit paroître étoi
de tous ces termes généraux, qui ne prouvent rien ; mais ils disoient
beaucoup de
faits. Par exemple, Xénophon, dans toute la Cyrop
icité si originale, et dont nous avons tant perdu le goût, ce poète a
beaucoup de
rapport avec l’Écriture457 ; mais l’Écriture le s
stesse, et qui croient donner un gout exquis aux viandes en y mettant
beaucoup de
sel et de poivre460. La véritable éloquence n’a r
étion, complaisance, sûreté de commerce, et nulle façon ; peu d’amis,
beaucoup de
connoissances passagères ; soin de plaire474 à ce
rien ; vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ : qui sont-ils ?
beaucoup de
pécheurs qui ne veulent pas se convertir, encore
je n’ai vu ici personne (car on me laisse assez seul, et il n’y a pas
beaucoup de
presse à rechercher ma conversation), trouvez bon
artagés les uns que les autres. SOCRATE. La nature agit toujours avec
beaucoup de
règle, mais nous ne jugeons pas comme elle agit.
andre, et tout à la fois d’un palais vraiment épiscopal ; et toujours
beaucoup de
gens de guerre distingués, et beaucoup d’officier
journée dans l’espérance que ce tumulte pourroit s’apaiser, mais avec
beaucoup de
crainte qu’il ne s’augmentât. On tint conseil au
trictrac, en attendant que nos gens eussent soupé. Ce ne fut pas sans
beaucoup de
façons qu’il y consentit, en me demandant pardon
ruautés, et que, semblable à son maître, il traitoit la noblesse avec
beaucoup de
mépris, dom Antoine de Menezès lui enfonça un poi
ournit du soleil pendant une bonne partie de la journée, et me promet
beaucoup de
fruit pour la saison. Un petit espalier couvert d
rit qui passe à la dernière postérité. Déjà de leurs faibles écrits
Beaucoup de
grâces sont ternies, Ils sont comptés encore au r
danseurs et de cuisiniers presque toute l’Asie. On parlait cependant
beaucoup de
rendre la capitale plus commode, plus propre, plu
» Des plaisirs de l’ordre Il ne suffit pas de montrer à l’âme
beaucoup de
choses ; il faut les lui montrer avec ordre ; car
st une qualité du caractère plutôt encore que de l’esprit. Pour avoir
beaucoup de
bon sens, il faut être fait de manière que la rai
e des qualités qui supposent le plus de grandeur d’âme. J’en remarque
beaucoup de
sortes : un courage contre la fortune, qui est ph
vertus qu’on exige dans un domestique, votre Excellence connoît-elle
beaucoup de
maîtres qui fussent dignes d’être valets. LE COMT
ellée du grand sceau de cire jaune ; qu’elle n’est pas comme celle de
beaucoup de
gens, incertaine et sur parole, et que personne n
e de la fin du siècle d’Auguste, où ils vivoient. Leurs peintures ont
beaucoup de
grâce et même de vérité ; mais elles sont souvent
ranchit : on pourrait désirer de plaire à ceux même à qui l’on ferait
beaucoup de
mal, et c’est précisément ce qu’on appelle de la
ant qu’on lui notifiât officiellement sa destinée, et s’exerçant avec
beaucoup de
peine à prononcer les noms barbares des hommes en
l’ami ou le maître des hommes les plus considérables de notre temps.
Beaucoup de
ses pensées sont devenues des institutions. Il a
e 23 août 1733, d’une mère française et d’un père savoisien, il avait
beaucoup de
ce dernier. Il était lion par son père, disait-il
r plus ou moins consolé. » Ducis, dans ses dernières années, a fait
beaucoup de
poésies diverses où il exprime ses prédilections,
n peu comme celui de sage en grec. Aux époques de loisir, on y mêlait
beaucoup de
superflu ; nous l’avons réduit au strict nécessai
’exprime ; pas de vieillesse, sans la prétention de ne pas vieillir ;
beaucoup de
mobilité, avec un fond et comme un lest de bon se
ète, il n’y a que moi pour improviser. — Sotte coutume ! — Je souffre
beaucoup de
chanter ainsi. Cela me rappelle tous nos malheurs
hide. 56. On dit encore suer, s’échauffer sous le harnois, se donner
beaucoup de
peine et être mal à l’aise. Le harnois était l’ar
ait de l’écureuil, cité plus haut. 764. Appareil membraneux qui chez
beaucoup de
poissons recouvre et protège les branchies par le
s craindre d’en donner d’excessives. La subjection, qui se rapproche
beaucoup de
la prolepse, a lieu lorsque, dans une série de pr
r le dernier degré du désespoir ou de la colère. Cette figure demande
beaucoup de
précaution, surtout dans le genre sérieux. Voici
oésie et à la haute éloquence, et demande-t-elle à être employée avec
beaucoup de
discernement. 260. Faites connaître les règles de
anger à ces objets ; cependant on ne peut douter qu’il n’ait avec eux
beaucoup de
liaison, lorsque l’on considère la puissance qu’a
gence. De Bonald. iv. 298. L’effet des mots ne dépend-il pas
beaucoup de
la place qu’on leur assigne ? L’effet des mots,
t le style paraît si facile, ne composait en prose ou en vers qu’avec
beaucoup de
travail, puisque telle de ses fables n’a que deux
deux vers communs avec la première ébauche ; Bossuet corrigeait avec
beaucoup de
soin ses ouvrages, comme le prouvent ses manuscri
ur un ouvrage, lorsque les traits les plus frappants sont saisis avec
beaucoup de
précision et de goût, et exprimés avec le coloris
ar l’objet à décrire, la narration, qui est l’exposé des faits, exige
beaucoup de
naturel dans l’esprit et de fidélité dans l’imagi
-mêmes, au moins pour la personne à qui elles sont adressées. Il faut
beaucoup de
ménagement, de prudence et de charité, pour annon
s avoir lu les raisonnements dont il appuie cette conjecture, il faut
beaucoup de
complaisance pour reconnaître avec lui dans le te
père. Il se sert d’un syllogisme auquel la forme interrogative donne
beaucoup de
force : « Quand il s’agit d’un crime aussi affre
uction consiste à tirer une conséquence générale d’un dénombrement de
beaucoup de
cas particuliers et semblables ; comme serait cel
jamais perdre de vue. Enchaînement des preuves. Les preuves tirent
beaucoup de
force de la place qu’on leur donne dans le discou
lui sont contraires, il les attaquera avec ménagement, en professant
beaucoup de
respect pour leur sentiment, et montrant de la co
lui arrive d’avoir à combattre leurs opinions, il doit le faire avec
beaucoup de
ménagement et de modestie. Les égards, le respect
les choses que l’orateur aura relevées par avance, elle perdra aussi
beaucoup de
sa force. » (L. VI, c. 1.) Honneur. Honneur. Q
aquant peuvent paraître préparés et recherchés ; dès lors ils perdent
beaucoup de
leur prix. Le talent de plaisanter vient de la n
era tous ses traits contre l’ennemi ; et en cela même, il faut garder
beaucoup de
ménagement, car la raillerie ne doit point attaqu
ne peut plus que s’affaiblir. C’est ce que Quintilien développe avec
beaucoup de
sagacité. Selon lui : « C’est surtout dans les en
issant ou respectable ; dans toutes ces circonstances, on a besoin de
beaucoup de
finesse et de dextérité pour s’insinuer dans les
ncent par les preuves les plus faibles ; « Car, selon lui, il importe
beaucoup de
ne pas tromper l’attente des auditeurs. Si on ne
ont fait un chapitre excellent que les jeunes gens peuvent lire avec
beaucoup de
fruit. (IIIe. Partie, ch. 19.) Appendice. Des
ire. « Nul orateur n’exécutera tout cela dans un discours, s’il n’a
beaucoup de
génie, d’étude et de savoir. Qu’on ne s’attende d
eindre, Cicéron n’emploie que des mots courts, des phrases coupées et
beaucoup de
syllabes brèves ; il a même eu soin d’éviter le c
plaisent sans doute. Ces mouvemens vifs et naturels de l’orateur, ont
beaucoup de
grâce ; les peintures fidèles et animées charment
ui veut se faire lire. Cependant ce ne serait pas encore assez : dans
beaucoup de
choses on fait trop peu quand on ne fait que ce q
’appelle onction quand elle s’applique à des sujets religieux. Il y a
beaucoup de
douceur dans le Petit Carême de Massillon ; il y
e la pureté du langage, n’est pas l’usage du peuple, ni même celui de
beaucoup de
sociétés ; c’est celui des gens instruits, des ge
sont lourds et difficiles à prononcer. Ceux au contraire où il entre
beaucoup de
voyelles sont légers et faciles. La lettre r est
oquence qui ne cause point d’admiration et de surprise, ne mérite pas
beaucoup de
louange. » (Rhet. ad Heren., l. III). Nécessité
oins les raisons que l’adversaire ne manquerait pas de présenter avec
beaucoup de
force. On leur ôte ainsi le mérite et l’effet de
otre conduite : je ne méprise pas vos pensées, c’est-à-dire j’en fais
beaucoup de
cas. Dans le Cid, acte III, sc. IV, Chimène dit à
t à la tribune des discours écrits ; aussi leurs argumens perdent-ils
beaucoup de
leur chaleur. Ceux même qui écrivent avec éloquen
tilien, après avoir avoué que le talent de parler sur-le-champ dépend
beaucoup de
l’exercice, enseigne la manière de s’y exercer. I
sse sous le poids dont on le charge. Il faut beaucoup lire, mais non
beaucoup de
choses : Multùm legendum, non multa. (Plin. Jun.,
, le murmure des ruisseaux, etc. Par quels moyens. Un poëte n’a pas
beaucoup de
peine à ne se servir que de mots composés de voye
mment que les Grecs, imaginé des sujets de pure invention. Nous eûmes
beaucoup de
ces ouvrages du temps du cardinal de Richelieu c
la difficulté de l’œuvre qui m’a arrêté1… Voilà pourquoi, ayant fait
beaucoup de
projets sur ce sujet, je n’en publie aujourd’hui
i serait d’autant plus facile à faire que cet ouvrage est, au dire de
beaucoup de
juges compétents, agréable à lire. Dans le Style
es louanges doivent être ingénieuses, mais naturelles, exprimées avec
beaucoup de
délicatesse, et accommodées au sexe, à la naissan
r en ce genre de poésie, il faut une grande finesse dans l’esprit, et
beaucoup de
délicatesse dans le sentiment. Les Français y ont
trouvaient toutes les preuves possibles. Ramus, qui semble y attacher
beaucoup de
prix, blâme Aristote et quelques autres de n’avoi
ptés pour rien ; vous en serez dépouillés devant J.-C. Qui sont-ils ?
beaucoup de
pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
jugement, dans la disposition. Il ne suffit pas de montrer à l’esprit
beaucoup de
choses, dit Montesquieu, il faut les montrer avec
ective d’une longue discussion. Il faut donc travailler l’exorde avec
beaucoup de
soin et de scrupule : cette partie étant écoutée
ront, ce serait se mettre en risque d’échouer ; l’orateur a besoin de
beaucoup de
dextérité pour ramener les esprits. C’est alors q
plus longs que quand ils se piquent de brièveté ! Ils tâchent de dire
beaucoup de
choses en peu de mots, au lieu de se borner à un
toyens de Capoue, furent admis à ce repas ; et le dernier obtint avec
beaucoup de
peine cette grâce pour son fils Pérolla, dont les
nfusion et quelque embarras dans l’esprit. Cette partie demande alors
beaucoup de
précision, d’adresse et de discernement, pour rap
style précis est opposé le style diffus, qui consiste à dire peu avec
beaucoup de
paroles. Je me suis habillé ce matin, je suis sor
us trouvons dans ces vers beaucoup d’emphase, et dans ceux de Virgile
beaucoup de
vérité. Sitôt qu’il commence à parler de l’Etna,
indre, Cicéron n’emploie que des mots courts, des phrases coupées, et
beaucoup de
syllabes brèves. Il a même eu soin d’éviter le co
age peut être long et concis, lorsqu’il embrasse un sujet qui fournit
beaucoup de
pensées ou de faits ; une réponse, une lettre, ne
r, dans les IIIe et IVe livres de sa Poétique, a épuisé ce sujet avec
beaucoup de
patience et d’érudition. On aurait tort cependant
dialogue entre lui-même et l’accusateur ; supposition oratoire qui a
beaucoup de
rapport avec la subjection : « Roscius a voulu dé
oins les raisons que l’adversaire ne manquerait pas de présenter avec
beaucoup de
force : elles perdent ainsi le mérite et l’effet
perio parere potissimum velles ? (Cic., pro C. Rabirio, c. 8.) Il y a
beaucoup de
rapport entre cette figure et la permission, par
ussi que Démosthène n’y attache tant de prix que parce qu’il avait eu
beaucoup de
peine à perfectionner en lui ce mérite, et que, p
exprès, épargnassent aux maîtres la peine nécessaire pour feuilleter
beaucoup de
volumes, et aux élèves des frais considérables po
esprits infirmes plus violemment que le mal même ; ils croient faire
beaucoup de
se garantir de l’agitation par la chute, et préfè
ois de loisir pour cela, et que nous consommerions devant cette place
beaucoup de
millions d’or et beaucoup de milliers d’hommes po
ue nous consommerions devant cette place beaucoup de millions d’or et
beaucoup de
milliers d’hommes pour l’avoir peut-être dans tro
ité soutenue de si bonne grâce, et avec tant de force, vaut mieux que
beaucoup de
prospérités et de victoires. II ne me sembla pas
: il achève en quelque sorte la culture des esprits, en leur offrant
beaucoup de
qualités accessibles qui les fécondent et qui les
rien ; vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ : qui sont-ils ?
Beaucoup de
pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
e laissa d’elle. Mais, hélas ! ce portrait qu’elle s’était tracé Perd
beaucoup de
son lustre et s’est bien effacé ; En vous considé
u depuis le collège Louis-le-Grand, céda à un entrainement qui a fait
beaucoup de
victimes, et embrassa la vie de théâtre. Si dans
ns aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, et pour
beaucoup de
causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
, Et de nous signaler par quelque découverte. TRISSOTIN. On en attend
beaucoup de
vos vives clartés, Et pour vous la nature a peu d
e de Sévigné. » MM. Nisard et Sainte-Beuve l’ont aussi appréciée avec
beaucoup de
justesse. Déjà de son temps Mme de La Fayette l’a
gnols et les petits oiseaux ont reçu avec un grand plaisir, mais sans
beaucoup de
respect, ce que je leur ai dit de votre part. » O
a grandeur de l’esprit de Bossuet, dit fort bien M. Nisard, a caché à
beaucoup de
gens sa sensibilité, comme la douceur des vers de
contre Alexandre (voy. notamment Épît. xciv), et qui a été imité par
beaucoup de
poètes. Ce prince a été fort bien jugé par Montes
que pour : Plût au ciel qu’il ne pût l’éteindre… 381. Ici, comme en
beaucoup de
passages, il serait curieux de rapprocher Aristot
le profane et un Dieu avec un homme, sa mort, humainement parlant, a
beaucoup de
rapport avec celle de Socrate. » 402. Dans cet
n : « Bien que la diction savante et énergique de Rousseau paraisse à
beaucoup de
juges le plus parfait modèle, il est permis de cr
collection des classiques français, Lefèvre, 1825, on consultera avec
beaucoup de
profit celle que MM. de Latour ont donnée chez Ch
sur la plupart des écrivains de l’époque classique, on recourra avec
beaucoup de
fruit aux deux Histoires de la littérature frança
etit loup. — C’est l’occasion de rappeler le goût de La Fontaine pour
beaucoup de
mots de notre vieille langue, qu’il a voulu sauve
aurait trop recommander la lecture. 683. Espèce de paillasse qui eut
beaucoup de
vogue de 1620 à 1630, et qui s’était établi sur l
0, et qui s’était établi sur la place Dauphine. Sous son nom ont paru
beaucoup de
farces burlesques. 684. On l’appelait le Singe d
gences de détail. On ne saurait non plus, sans injustice, lui refuser
beaucoup de
charme et de vigueur dans la peinture des passion
raient fermer les yeux à la faiblesse du style, se succédèrent encore
beaucoup de
pièces dont le nom seul et quelques vers ont surv
rendre heureuse. Beaucoup d’esprit naturel et facile l’y seconda, et
beaucoup de
qualités aimables lui attachèrent les cœurs, tand
y a de mieux dans cette Europe si corrompue. Sans doute elle renferme
beaucoup de
mal mais le mal y est moins mauvais qu’ailleurs,
é : = Quand on a des connaissances étendues, de grands sentiments, et
beaucoup de
jugement, on peut se consoler d’avoir peu de fort
nce, largement. Ainsi il doit être suivi de l’article : = Cet homme a
beaucoup de
vertu, et bien de la vertu ; beaucoup de courage,
de l’article : = Cet homme a beaucoup de vertu, et bien de la vertu ;
beaucoup de
courage, et bien du courage. Remarque essentie
ice ; et l’adresse qu’il mettait en usage, le faisait venir à bout de
beaucoup de
choses. Il faut éviter avec soin ces sortes de co
lorsqu’il s’agit, comme ici, de s’exprimer vivement, et de renfermer
beaucoup de
sens en peu de paroles, surtout lorsqu’une violen
vec vous que les belles-lettres et les sciences ont causé quelquefois
beaucoup de
mal. Les ennemis du Tasse firent de sa vie un tis
e vers à personne ; que je n’en ai que trop fait, que j’en ai donné à
beaucoup de
jeunes gens, ainsi que de l’argent, sans que ni e
en qualité d’homme établi en Hollande, était son ennemi, et avait dit
beaucoup de
mal de la prose et de la poésie de Sa Majesté à l
t souvent à de méchantes actions pour les tous faire payer après avec
beaucoup de
rigueur. Enfin, personne n’a jamais tant fait et
l avait jugé expédient799 pour sa santé de se retirer800, ayant perdu
beaucoup de
sa belle humeur passée par le chagrin et par la p
e pas auprès de vous pour vous consoler. Je vois que vous prenez avec
beaucoup de
patience le mal que Dieu vous envoie, et que vous
sées votre maladie, combien j’ai de joie de votre guérison. Vous avez
beaucoup de
grâces à rendre à Dieu, de ce qu’il a permis qu’i
ous vous acquitterez de toutes les obligations que vous lui avez, par
beaucoup de
soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Vo
soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Votre lettre m’a fait
beaucoup de
plaisir ; elle est fort sagement écrite, et c’éta
er si on ne se hâte d’aller au-devant du mal dès la première enfance.
Beaucoup de
gens qui n’approfondissent guère concluent de ce
mon asile dans quelque province éloignée où l’on voit peu d’argent et
beaucoup de
denrées, et où règnent l’abondance et la pauvreté
nce, si le temps me le permettait.... J’ai remarqué, par exemple, que
beaucoup de
petits marchands livrent leurs marchandises à un
« Il faut, monsieur, que tout le monde vive ». J’ai observé aussi que
beaucoup de
gens du petit peuple ne marchandent jamais, lorsq
s : « Ces messieurs sauvages et ces dames sauvagesses. » Il se louait
beaucoup de
la légèreté de ses écoliers ; en effet, je n’ai j
ous les haillons dont on l’avait couverte. Elle dégagea son bras avec
beaucoup de
répugnance et de pudeur des lambeaux de la misère
de où j’ai erré ! C’est un privilège du voyageur de laisser après lui
beaucoup de
souvenirs, et de vivre dans le cœur des étrangers
qu’il lança contre le gouvernement, et qui sont en effet écrits avec
beaucoup de
verve et dans un style d’une grande pureté, et l’
tagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec
beaucoup de
peine ; mon camarade allant devant, un sentier qu
en eut coûté cinq mille. Pendant plusieurs mois, cette bête me donna
beaucoup de
peine ; il fallait quatre ou cinq hommes pour la
cessible à la cavalerie ; car, malgré l’aide de nos fantassins, j’eus
beaucoup de
peine à passer par-dessus ce sanglant et affreux
Mais ce dernier élan ayant épuisé les forces de Lisette, qui perdait
beaucoup de
sang, cette pauvre bête s’affaissa tout d’un coup
au peuple. Un long et sourd gémissement s’éleva autour de Whitehall ;
beaucoup de
gens se précipitaient autour de l’échafaud pour t
’eux. Tu verras, en avançant dans la vie, que le principal défaut, de
beaucoup de
gens, c’est de ne pas savoir se suffire à eux-mêm
, de l’être à tous les moments de la journée. On fait ainsi beaucoup,
beaucoup de
bien : on établit autour de soi comme une atmosph
es qu’il avait épousées à la manière des anciens chefs germains, sans
beaucoup de
cérémonie1512, il lui sembla qu’il menait une vie
ôté des Français. Notre armée exténuée de fatigue, traînant avec elle
beaucoup de
soldats blessés qui, pouvant marcher, avaient vou
cile, un vernis d’éducation qui aidait en lui à la ruse. Il affectait
beaucoup de
politesse et ne manquait pas de moyens de persuas
de le saisir hors de sa tanière, quoiqu’il en sortît souvent et sans
beaucoup de
précautions apparentes. C’était un homme qui avai
i, ouvrit la porte, et, lui demandant pardon de son inadvertance avec
beaucoup de
civilité, lui offrit son bras pour le reconduire
r de l’accuser injustement, et, affectant de lui parler toujours avec
beaucoup de
politesse et de douceur, il prit les autres à tém
’action de presque tous leurs récits. Ils en ont peint les mœurs avec
beaucoup de
naturel et de bonhomie, soit dans leurs Contes fa
buis, qui sentaient bon, des cahiers cartonnés, des livres neufs avec
beaucoup de
notes dans le bas ; moi, mes livres étaient de vi
ttirail de postillon, casquette, fouet, guides et grelots. Il y avait
beaucoup de
grelots. J’attelai ; c’est moi que j’attelai à mo
Poitiers j’ai vécu comme vit la jeunesse ; J’étais en ces lieux-là de
beaucoup de
métiers2122 ; Mais Paris, après tout, est bien lo
rt bien Qu’à ne le point flatter son sonnet ne vaut rien. Trissotin.
Beaucoup de
gens pourtant le trouvent admirable. Vadius. Cel
mode ; elle sent son vieux temps. Vadius. La ballade pourtant charme
beaucoup de
gens. Trissotin. Cela n’empêche pas qu’elle ne m
èmes ou plutôt deux suites de poésies dans lesquelles il déplore avec
beaucoup de
grandeur et de pathétique l’abaissement politique
u’on a conté, Et, quoique vivant de paille menue, Elle a dans le cœur
beaucoup de
bonté. « Mangez, lui dit-elle, ouvrez mon armoire
ls des bonnes vignes ? Tes propos sont désobligeants.... Écoute bien.
Beaucoup de
gens Boivent du vin, c’est vrai ; mais tous n’en
voyant aussi. 245. N’était pas très demandée, ne donnait pas lieu à
beaucoup de
commandes, — peut-être pour la raison alléguée ci
meux justaucorps. 898. Du jeu. Le chevalier de Gramont était, comme
beaucoup de
ses contemporains, joueur effréné. 899. Je vous
péra-comique, le Devin de village (1752), qui eut, au xviiie siècle,
beaucoup de
succès, et il a laissé plusieurs écrits sur la mu
souvent l’article emphatique le devant son nom, comme devant celui de
beaucoup de
grands hommes italiens, le Tasse, le Titien, le C
un épisode de ses Métamorphoses. Notre La Fontaine l’a racontée avec
beaucoup de
charme et beaucoup d’esprit, quoique un peu longu
496. 2121. . Aux royaumes du Code, à la Faculté de droit. 2122. De
beaucoup de
métiers : j’ai eu des aventures très variées. 21
. Ce nom vient d’un mot grec qui signifie vieillard ; il est commun à
beaucoup de
pères de la comédie classique. 2138. On a souven
2396. Fées, les Muses. Malherbe les avait déjà appelées ainsi avec
beaucoup de
bonheur. 2397. Les Orphées, les poètes. — Orphé
rare dans l’épigramme. Celle-ci est charmante : car elle exprime avec
beaucoup de
simplicité et de naturel un sentiment vrai, profo
2599. Des rubans, des décorations. Béranger veut dire sans doute que
beaucoup de
gens se sont disputé et se disputent encore des d
t d’accablement. Mais c’est un de ces procédés dont il faut user avec
beaucoup de
réserve, et qui ne valent qu’autant qu’ils sont e
par la dextre, cheval de parade ; mais on voit que Vigny emploie sans
beaucoup de
précision les mots de palefroi et de destrier, da
tu doit être le principe du gouvernement populaire Il ne faut pas
beaucoup de
probité pour qu’un gouvernement monarchique et un
e dans ses ouvrages ; aussi sont-ils plus brillants qu’instructifs. «
Beaucoup de
douceur, assez de gaieté, une égalité parfaite, u
; car il est impossible de parler beaucoup, sans dire nécessairement
beaucoup de
riens ; et un vieux proverbe a dit il y a longtem
nt, mais ce n’est qu’autant qu’ils le permettent, et on doit y garder
beaucoup de
mesure. Il y a de la politesse, et quelquefois mê
collection des classiques français, Lefèvre, 1825, on consultera avec
beaucoup de
profit celle que MM. de Latour ont donnée chez Ch
isseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages
beaucoup de
citations ou de remarques dont la nouveauté peut
ntagnes les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec
beaucoup de
peine ; mon camarade allant devant, un sentier qu
nus : c’est presque une foule. Regardons de près leur idéal. J’y vois
beaucoup de
luxe imité de luxe d’autrui, et qui n’a même pas
isseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages
beaucoup de
citations ou de remarques dont la nouveauté peut
isseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages
beaucoup de
citations ou de remarques dont la nouveauté peut
t. J’ai l’action122 fort aisée, et même un peu trop, et jusqu’à faire
beaucoup de
gestes en parlant. Voilà naïvement comme je pense
e sais la goûter aussi, lorsqu’elle est enjouée ; et si je ne dis pas
beaucoup de
petites choses pour rire, ce n’est pas du moins q
patiemment leurs mauvaises humeurs :135 seulement je ne leur fais pas
beaucoup de
caresses, et je n’ai pas non plus de grandes inqu
’est personne. Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu’avec
beaucoup de
soin on ait épié l’heure ; et l’on a choisi juste
étaient en peine347 de trouver leur roi, qui s’était perdu, et ayant
beaucoup de
ressemblance de corps et de visage avec ce roi, i
t pas assez de pensées qui leur plaisent. La nature est déplaisante à
beaucoup de
monde, parce que les images qu’elle fournit, n’ét
que leur propre grandeur, et qu’elles leur parlent peu d’eux-mêmes et
beaucoup de
Dieu : c’est l’avantage de la solitude 382. L’
Je les ai données à Mme de Montespan601, et elles lui ont fait verser
beaucoup de
larmes. Et certainement, Sire, il n’y a point de
ur Clermont, où tous les messieurs des grands jours se rendirent avec
beaucoup de
bruit et autant de magnificence qu’ils purent624.
de mamelle. Il m’a été comme ma conscience, et m’a dicté à l’oreille
beaucoup de
bonnes honnêtetés et maximes excellentes pour ma
usées votre maladie combien j’ai de joie de votre guérison. Vous avez
beaucoup de
grâces à rendre à Dieu de ce qu’il a permis qu’il
ous vous acquitterez de toutes les obligations que vous lui avez, par
beaucoup de
soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Vo
soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Votre lettre m’a fait
beaucoup de
plaisir ; elle est fort sagement écrite, et c’éta
aissez ; de là, elles vinrent en bon ordre de bataille me saluer avec
beaucoup de
mousquetades. L’air est déjà tout obscurci par la
termine hideusement en un noir poisson 835. » Les savants se donnent
beaucoup de
peines pour découvrir en quelle occasion cette mé
rien ; vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ : qui sont-ils ?
beaucoup de
pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
rendre heureuse. Beaucoup d’esprit naturel et facile l’y seconda, et
beaucoup de
qualités aimables lui attachèrent les cœurs, tand
t sur le gazon, sur les chardons, sur la fougère, et, sans se soucier
beaucoup de
ce qu’on lui fait porter, il se couche pour se ro
ous ne me désapprouverez pas ; car je n’ai pas d’autre moyen d’éviter
beaucoup de
choses désagréables1260. Je serai donc enrhumé po
mon asile dans quelque province éloignée où l’on voit peu d’argent et
beaucoup de
denrées, et où règnent l’abondance et la pauvreté
vertus qu’on exige dans un domestique, Votre Excellence connaît-elle
beaucoup de
maîtres qui fussent dignes d’être valets ? Le co
s fumes à l’entrée du vallon, des noirs nous dirent que la mer jetait
beaucoup de
débris dans la baie. Nous y descendîmes, et le pr
tagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec
beaucoup de
peine ; mon camarade allant devant, un sentier qu
y a de mieux dans cette Europe si corrompue. Sans doute elle renferme
beaucoup de
mal ; mais le mal y est moins mauvais qu’ailleurs
au peuple, Un long et sourd gémissement s’éleva autour de Whitehall ;
beaucoup de
gens se précipitèrent au pied de l’échafaud pour
ent. Au prix de ces soins, l’homme finit par exister, et Dieu aidant,
beaucoup de
révolutions s’opérant sur la terre, les empires c
uple qui lui donne sa forme. Notre sol est comme notre société : il a
beaucoup de
physionomie ; on y reconnaîtrait la diversité des
nus : c’est presque une foule. Regardons de près leur idéal. J’y vois
beaucoup de
luxe imité du luxe d’autrui, et qui n’a même pas
ourgeois entiché de noblesse. 228. Au xviie siècle, il y avait déjà
beaucoup de
larrons de noblesse. Voir La Bruvère. 229. C’est
l’honneur de votre amitié, si on la mérite par une sincère estime et
beaucoup de
vénération pour votre vertu. Je n’ai point changé
convient à la condition des personnes. 886. Fénélon unit toujours à
beaucoup de
vertu beaucoup d’ambition généreuse et de dextéri
re a dit : « L’ennui est entré dans le monde par la paresse ; elle a
beaucoup de
part à la recherche que font les hommes des plais
s encore ! Du bon sens plus que de science, et pour toute philosophie
beaucoup de
christianisme ; une maison propre et commode ; un
i ; si je recule, tuez-moi ; si je meurs vengez-moi. On trouve aussi
beaucoup de
force de sentiment dans ces vers de M. de Lamarti
s feuilles, de Millevoye ; le Cimetière de campagne, de Thomas Gray ;
beaucoup de
passages de Chateaubriand, et plusieurs élégies d
de toutes les images locales, et on ne doit les transplanter qu’avec
beaucoup de
précaution. Les images sont aussi plus ou moins f
: il achève en quelque sorte la culture des esprits, en leur offrant
beaucoup de
qualités accessibles qui les fécondent et qui les
soit tout couvert du sang de Jésus-Christ ? On attribuait autrefois
beaucoup de
valeur au sonnet ; tout le monde sait le jugement
e faux et corrompus que puissent être ces principes. Cependant, comme
beaucoup de
personnes ne cherchent à être ni écrivains ni ora
der comme sublime tout ce qui plaît dans une belle composition. Aussi
beaucoup de
passages qu’il cite comme des exemples de sublime
fréquents exemples du style sublime. L’intervention des dieux ajoute
beaucoup de
noblesse à ces scènes gracieuses ; aussi Longin r
tends pas faire la censure de l’ouvrage de M. Addison, où se trouvent
beaucoup de
passages d’un très grand mérite ; la belle compar
’est que, dans leur langue, les Grecs et les Romains avaient conservé
beaucoup de
cette prononciation musicale et des gestes qui l’
trouvons non seulement un pluriel, mais encore un duel. On peut, avec
beaucoup de
vraisemblance, attribuer l’origine de cette espèc
sont devenus tout à fait indéclinables. Le docteur Adam Smith a jeté
beaucoup de
clarté sur cette matière dans son ingénieuse diss
utonique que parlaient les vainqueurs. Ainsi le français eut toujours
beaucoup de
rapports avec le latin, et un très grand nombre d
nédictions que sa main a répandues sur vous. » On trouve dans Cicéron
beaucoup de
périodes du même genre. Le style coupé est celui
lle. Je dois faire observer que nos traducteurs de la Bible ont, dans
beaucoup de
passages, adapté très heureusement la cadence de
ison entre des idées que nous devons au même organe. Un poète n’a pas
beaucoup de
peine à ne se servir que de mots composés de voye
pendant quarante ans sans savoir ce que c’était que la prose, de même
beaucoup de
personnes se servent fort à propos d’expressions
la ressemblance met entre un objet et un autre objet ; aussi a-t-elle
beaucoup de
rapports avec la similitude ou la comparaison ; e
en voyons la preuve dans cet exemple. On finit de cette manière avec
beaucoup de
grâce, et on laisse dans l’esprit du lecteur une
soupçonnée ; et ils ont tellement outré leurs métaphores, qu’il faut
beaucoup de
sagacité pour les suivre et les comprendre. Ces s
res, et en faisant attendre le vent, » il devient languissant et perd
beaucoup de
sa dignité. Je ne connais aucun auteur anglais pl
re admises dans les descriptions, il faut cependant n’en user qu’avec
beaucoup de
réserve, et ne pas les présenter trop brusquement
use. Pope, fort amateur des antithèses, s’est très souvent servi avec
beaucoup de
succès de celle dont il est ici question. Ainsi d
concises. Cette opinion n’est pas celle de tout le monde ; car il y a
beaucoup de
personnes qui pensent qu’un auteur est plus libre
vains ; il en est qui, avec un style très développé, ont su conserver
beaucoup de
force. Tite-Live en est un exemple, et en anglais
ner de l’admiration qu’il a si souvent excitée. Cependant, il se fait
beaucoup de
tort par sa roideur et son affectation ; et c’est
cun d’eux est si fortement empreint dans tous leurs écrits, que, sous
beaucoup de
rapports, ce parallèle est très facile. Démosthèn
es succès, voyant que personne ne s’oppose à ses conquêtes, n’enfante
beaucoup de
projets chimériques ; je ne crois pas toutefois q
harangue, extrêmement simple et modéré ; et quoiqu’il s’exprime avec
beaucoup de
chaleur et d’intérêt, il est constamment en garde
sion. C’est une grave erreur. Les épithètes ont souvent, il est vrai,
beaucoup de
beauté, beaucoup de force ; mais si on les répand
e erreur. Les épithètes ont souvent, il est vrai, beaucoup de beauté,
beaucoup de
force ; mais si on les répand sans discernement,
et dans les précédents, ont publié des sermons. L’on trouve parmi eux
beaucoup de
noms infiniment respectables. Leurs ouvrages sont
; le récit n’en sera que plus frappant et plus clair. Cicéron montre
beaucoup de
talent pour la narration, et, sous ce rapport, l’
inquiète sur l’avenir est malheureuse. — 10. Nous avons naturellement
beaucoup de
goût et d’ardeur pour le bien. — 11. Nous vantons
i, patriæ servatori, aquâ et igne interdictum est. corrigé. 1.
Beaucoup de
gens font un mauvais usage de la fortune, de la n
t toujours la même faute est sans excuse. — 3. Nous sommes avertis de
beaucoup de
choses par les présages. — 4. Empédocle se trompe
de beaucoup de choses par les présages. — 4. Empédocle se trompe sur
beaucoup de
points, et surtout il se fourvoie honteusement da
dire. — 6. Le sage fera ce qu’il y a de mieux à faire. — 7. Il arrive
beaucoup de
choses pénibles à supporter. — 8. Ésope a donné d
est à peu près moitié plus petite que la Bretagne. — 7. Le soleil est
beaucoup de
fois plus gros et plus volumineux que la terre. —
ùs stercoris quærit, siccus minùs. corrigé. 1. La paix apporte
beaucoup de
joie. — 2. Les mauvais exemples font beaucoup de
1. La paix apporte beaucoup de joie. — 2. Les mauvais exemples font
beaucoup de
mal. — 3. Combien de vin absorbait Antoine ! — 4.
’audace, l’impiété sont-elles en honneur ? — 2. On avait à Lacédémone
beaucoup de
considération pour l’âge ; en aucun pays du monde
souffle de vie, il a de l’espoir. — 2. La république d’Athènes montra
beaucoup de
prudence tant que dura sa suprématie. — 3. Galba
ps en charge. — 10. Plusieurs historiens ont rapporté que César avait
beaucoup de
goût pour la parure et les raffinements du luxe.
position défavorable. — 7. Prenez garde de gâter, par un seul défaut,
beaucoup de
bonnes qualités. — 8. Gardez-vous de parler ou d’
r lui avaient fait un mérite de savoir peindre, il y aurait eu à Rome
beaucoup de
peintres distingués ? — 7. Tibère reprocha à un h
e de n’avoir aucun mal. — 4. Trop de confiance cause presque toujours
beaucoup de
mal. — 5. Cicéron défendit avec beaucoup de zèle
ce cause presque toujours beaucoup de mal. — 5. Cicéron défendit avec
beaucoup de
zèle Aulus Gabinius, accusé de concussion. — 6. J
ient à la plus grande partie de l’Afrique, les Cyrénéens eurent aussi
beaucoup de
puissance et de richesses. — 4. Régulus dit dans
graver extrêmement. — 4. On dit qu’il faut lire beaucoup, et non lire
beaucoup de
choses ; en effet, la multitude des livres ne ser
ingratitude. — 3. Nous voyons dans Homère Ajax marcher au combat avec
beaucoup de
gaieté, lorsqu’il allait se battre contre Hector.
it suivant : Un convive, emporté par l’ivresse, avait tenu contre lui
beaucoup de
propos injurieux, et il ne manquait pas de gens q
exandre mourut vivement regretté des Perses, qu’il avait traités avec
beaucoup de
douceur, mais nullement des Macédoniens, que révo
ses, ou se réjouir des bonnes. La pratique de la bienfaisance demande
beaucoup de
précautions. Il faut d’abord prendre garde que no
ifice expiatoire. Version XXXVIII. Utilité de l’amitié. 38.
Beaucoup de
gens dédaignent les richesses : contents de peu,
ntents de peu, ils aiment une table frugale et de modestes vêtements.
Beaucoup de
gens font si peu de cas des honneurs, pour lesque
e sauver un homme qui l’avait puni avec tant de rigueur. C’était déjà
beaucoup de
sacrifier son ressentiment ; à cette générosité,
ble chars][texte coupé]vaient épargnés d’abord pour les vendre. Aussi
beaucoup de
[illisible chars][texte coupé]es malheureux prévi
le chars][texte coupé]isères de la vie ; et quand vous aurez parcouru
beaucoup de
[illisible chars][texte coupé]hoses, choisissez d
andrie est la cité dominante parmi toutes celles de Egypte. On y voit
beaucoup de
choses remarquables, dues la magnificence de son
e la côte, remplies de perfides écueils, exposaient les navigateurs à
beaucoup de
périls, lorsque Cléopâtre imagina de bâtir à l’en
s. Séduits par de [illisible chars][texte coupé]si grands priviléges,
beaucoup de
Gaulois viennent à cette école de leur propre mou
La mer fournit encore aux cités, par les prises ou les importations,
beaucoup de
pernicieux excitants pour le luxe ; et il y a déj
ntérêts, passionné pour l’intérêt public, à un grand cœur il joignait
beaucoup de
hardiesse et de prudence. Il connaissait à fond l
es. Que le maître fasse entendre tous les jours, de sa propre bouche,
beaucoup de
choses que ses auditeurs emporteront avec eux. En
également. On peut se distinguer dans la paix, comme dans la guerre.
Beaucoup de
gens sont cités avec honneur, les uns, pour leurs
ns cette profusion extraordinaire, il doit nécessairement en échapper
beaucoup de
frivole, de froides, d’insipides. Il a voulu que
quelque jour au profit de l’intrigue, comme je vois qu’il arrive dans
beaucoup de
localités, où les maîtres sont rétribués sur les
es écrits dans notre langue, parce que la lecture en est plus facile.
Beaucoup de
choses passent sans que nous y donnions une atten
mais notre défaut d’application en émousse la finesse ; et il échappe
beaucoup de
choses qu’on ne regarde pas, ou qu’on pèse trop l
encore à tous ceux dont il attend quelque service (car il a besoin de
beaucoup de
monde) ; et du moins, lorsqu’il s’acquitte de que
ns. Du bruit, du vide, amis, voilà, je pense, Le portrait de
beaucoup de
gens. Gaudy. * Le Pinson et la Pie. —
si, il suffira de rappeler que Montesquieu, qui jugeait Voltaire avec
beaucoup de
sévérité, trouvait cependant admirable le récit d
partie d’un plus grand nombre, comme la plupart de, une infinité de,
beaucoup de
, peu de, etc. Les noms partitifs, suivis d’un nom
eux que l’accoutumance ne le rende supportable. Il y a, ce me semble,
beaucoup de
rapport entre la perte d’une main et d’un frère3
vole à tout sujet ; Je vais de fleur en fleur, et d’objet en objet. A
beaucoup de
plaisirs je mêle un peu de gloire. J’irais plus h
éonasme. 2. Il parait qu’en voyageant dans ce pays La Fontaine y vit
beaucoup de
bossus, ce qui lui inspira cette fantaisie. 3. C
ria). 6. S’en courut. En, particule séparable qui se mettait devant
beaucoup de
verbes neutres, tels que aller, courir, etc., et
833 qui étes le sang de Numa-Pompilius, 834censurez des vers 835que
beaucoup de
jours 836et beaucoup de ratures 837n’ont pas co
uma-Pompilius, 834censurez des vers 835que beaucoup de jours 836et
beaucoup de
ratures 837n’ont pas corrigés 838et n’ont pas c
borne désirée 1190au-combat-de-la-course, 1191a supporté et a fait
beaucoup de
choses 1192 quand il était jeune ; 1193il a su
s (les grands, les riches) 1253sont dits presser (éprouver) 1254par
beaucoup de
coupes-pleines, 1255et torturer par le vin 1256
es, de se livrer à toute sorte de distractions, de voyager ou de voir
beaucoup de
monde. — 2. Hic dum, sublimis, versus ructatur. J
seigneurs et freres, ie ne doubte point que vous n’aiez journellement
beaucoup de
nouvelles tant d’icy que d’Allemaigne qui pourroi
re a dit : « L’ennui est entré dans le monde par la paresse ; elle a
beaucoup de
part à la recherche que font les hommes des plais
pillés de l’espagnol ; et cette pièce, quoique mauvaise, avait causé
beaucoup de
chagrin à Corneille. (Édition de 1739.) L’Auteur
Employés pour faire l’exposition, ils ne peuvent manquer d’y répandre
beaucoup de
froideur, parce que leur rôle fort secondaire ne
simple dialogue des personnages, par une espèce de chant qui approche
beaucoup de
l’accent naturel de la parole, et qu’on appelle r
ue la comédie larmoyante ? La comédie larmoyante est celle où il y a
beaucoup de
situations pathétiques ou attendrissantes. Ce gen
d’Inès de Castro, de Lamotte, sous le titre d’Inès de Chaillot, a eu
beaucoup de
succès dans le temps. Boileau a fait la parodie d
né. » MM. Nisard et Sainte-Beuve l’ont aussi appréciée récemment avec
beaucoup de
justesse. Déjà de son temps, Mme de La Fayette l’
u depuis le collége Louis-le-Grand, céda à un entrainement qui a fait
beaucoup de
victimes, et embrassa la vie de théâtre. Si dans
rriver, il se trouve que nous avons imité les enfants, qui se donnent
beaucoup de
peine à faire des maisons de cartes que le moindr
merveille résumer une série d’idées dans une rapide image. 4. C’est
beaucoup de
pouvoir dire avec Musset : Mon verre n’est pas g
Aux vertus qu’on exige d’un domestique, Votre Excellence connaît-elle
beaucoup de
maîtres qui fussent dignes d’être valets ? C’est
ptés pour rien ; vous en serez dépouillés devant J. C. Qui sont-ils ?
Beaucoup de
pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
er la place précise de chaque chose. Il ne s’agit pas tant de montrer
beaucoup de
choses que de les montrer avec ordre, c’est-à-dir
et des temps, c’est d’ordinaire le meilleur moyen de donner au récit
beaucoup de
clarté. Là surtout, il convient de tenir un milie
g. C’est une confusion commune de croire qu’on abrège parce qu’on dit
beaucoup de
choses avec très peu de mots : abréger c’est supp
n des aspects sous lesquels son sujet peut être envisagé ; il gagnera
beaucoup de
temps par la régularité même de sa marche, au lie
l est indispensable dans les résumés. L’emploi de la période réclame
beaucoup de
goût et de mesure. C’est l’abus du style artifici
ronie est une forme de plaisanterie gui doit être employée avec
beaucoup de
retenue et de mesure. VII. La réticence dit plus
et sa précision. Mérite non commun ni facile de clore en peu de mots
beaucoup de
sens. Courier. Le premier soin en vue de la p
eureuse : Un déluge de mots, sur un désert d’idées. Peu de sens avec
beaucoup de
mots, dit Pope, comme peu de fruits avec beaucoup
Peu de sens avec beaucoup de mots, dit Pope, comme peu de fruits avec
beaucoup de
feuilles. À ce sujet, évitez avec soin les paren
on fait de trop grands mouvements et l’on réussit moins en se donnant
beaucoup de
peine. Enfin personne n’a trouvé, pour peindre e
rtie ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaud. Joubert a dit avec
beaucoup de
sens : Toutes les formes du style sont bonnes, p
êmes à la place qu’ils occupent ; des phrases coupées sans symétrie ;
beaucoup de
réserve dans l’emploi des figures ; peu de hardie
t de Mme de Sévigné à Pascal, de Bossuet à. Molière, on acquerra sans
beaucoup de
peine et à coup sûr une flexibilité remarquable d
xpression, une délicatesse de goût qu’on n’obtiendrait pas autrement.
Beaucoup de
persévérance et un peu de réflexion suffisent pou
ter du juste milieu qui consiste à se régler sur le besoin. Avez-vous
beaucoup de
choses à dire ? Vous feriez mal de vous resserrer
lament une méthode rigoureuse dans les idées et dans le raisonnement,
beaucoup de
clarté et de précision dans le style. II. Le car
imer d’une manière agréable. Il faut présenter les circonstances avec
beaucoup de
grâce, les revêtir du coloris le plus propre, et
grande réserve ; car l’abus est tout prêt de l’usage ; et l’on risque
beaucoup de
s’égarer et de perdre sa cause quand, au lieu d’a
nt assez qu’il devait résulter d’un tel usage une grande monotonie et
beaucoup de
fadeur. Cependant quelques-uns de ces discours of
cades, et que chacune d’elles prît un Troyen pour lui verser à boire,
beaucoup de
décades manqueraient d’échanson. Voilà dans quell
qu’Ulysse a quitté son île sablonneuse d’Ithaque : il lui en a coûté
beaucoup de
laisser sa jeune femme et son enfant à la merci d
et villannie, et maintenant que j’ay fait semblant de ne veoir point
beaucoup de
larcins et de pilleries que l’on commet en vos fi
mmerce est en peu de mains, on voit quelques fortunes prodigieuses et
beaucoup de
misère ; lorsqu’enfin il est plus étendu, l’opule
s étaient en peine4 de trouver leur roi, qui s’était perdu ; et ayant
beaucoup de
ressemblance de corps et de visage avec ce roi, i
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