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1 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
adolescens multùm temporis tribui. Cic Dans ma jeunesse j’ai consacré beaucoup de temps à la philosophie. Cato senex historias scri
iment de la jeunesse et l’amusement de la vieillesse. II Il y a beaucoup de substantifs français qui se traduisent élégamment
artie composée d’iambes. XX Nous avons vu dans la grammaire que beaucoup de verbes intransitifs deviennent transitifs en comp
decebat), Vespasien fut trop avide d’argent. XV Le comparatif a beaucoup de grâce dans les phrases suivantes et autres sembla
i, sœpè fecerunt. Cic. Il ne me plaît pas de déplorer la vie ; ce que beaucoup de personnes et même de gens instruits ont fait souv
nt in Torquato plurimœ litteræ, nec eœ vulgares. Cic. Torquatus avait beaucoup de littérature, et une littérature peu commune. X
s le sens de ignorer, ne pas savoir. Ex. : Multa me fugiunt. J'ignore beaucoup de choses. Non me latent artes vestrœ. Je connais to
en latin dans les phrases suivantes et autres semblables. Vous aurez beaucoup de mérite, si vous pouvez mettre des bornes à votre
croyez avoir à faire. V Le participe passé s’emploie aussi avec beaucoup de grâce au lieu du parfait de l’infinitif. Ex. : Le
: Multa facetè dicta a sene Catone collecta sunt. Cic. On a recueilli beaucoup de mots plaisants de Caton l’ancien. IX Le par
s. Nunquàm in te studio suo, nunquàm amore cessavit. Il a toujours eu beaucoup de zèle et d’amour pour vous. ARTICLE VI. Du c
députés de César ont parlé sincèrement. Ex improviso multa eveniunt. Beaucoup de choses arrivent à l’improviste. V La prépos
duit d’un esprit même médiocre. IX Nec, neque se répètent avec beaucoup de grâce devant les mots unis entre eux d’une manièr
mnia metiuntur emolumentis, neque ea volunt ponderari honestate. Cic. Beaucoup de gens pèsent toutes choses au poids de l’intérêt e
2 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
flatteurs, Traînent souvent la ruine des mœurs. 1. Inaugurée avec beaucoup de solennité le 21 juillet 1851, en présence d’une d
sa pensée n’était pas très-vaste, il pouvait s’y jouer du moins avec beaucoup de facilité et de grâce. L’académicien Campenon a do
Gresset a partagé avec nos grands poëtes ce privilégé, d’avoir laissé beaucoup de ces traits qui se gravent dans les mémoires et ci
3 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
alors peut seule relever notre courage et ranimer nos forces. Il faut beaucoup de prudence et de circonspection dans les lettres de
n ne blâmant que les procédés et n’accusant pas les intentions. C’est beaucoup de ramener les esprits ; des reproches vifs et amers
ervé. Le voici en abrégé : nous faisons toutefois cette remarque, que beaucoup de personnes, aujourd’hui, négligent de s’y conforme
4 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
ains de tous les temps. Virgile et Cicéron, dit M. Laurentie, doivent beaucoup de leurs perfections à Homère et à Démosthènes. Le b
d’écrire. Ce qu’il y a de plus profitable peut-être, selon l’avis de beaucoup de personnes, dit Pline le Jeune, c’est de traduire
oucir des expressions dures ou choquantes. La périphrase se rapproche beaucoup de l’euphémisme. Les orateurs et les poètes en font
5 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
orts. Dans ce cas l’emploi de l’hyperbole agrandit les idées et exige beaucoup de goût ; les poètes y déploient une richesse d’expr
e fusées le feu d’artifice qui l’a terminée. « Le bal continuait avec beaucoup de plaisir, etc. » Dans le troisième, Malherbe pein
ité et sa folie. Il existe encore une espèce de répétition qui donne beaucoup de précision et de grâce à la phrase ; elle est asse
e un crime d’avoir remporté deux victoires ? Mais j’ai, dit-on, perdu beaucoup de monde dans le dernier combat. Peut-on donc livrer
i que j’ai chassé les ennemis de votre territoire, que je leur ai tué beaucoup de monde dans deux combats, que j’ai forcé les débri
ne en trois. Jetez-vous votre langue aux chiens ? Cette figure donne beaucoup de charme à une lettre de madame de Maintenon à mada
’Adjonction oratoire est une suite d’ellipses symétriques. Elle donne beaucoup de vivacité et d’énergie au style. On peut en juger
ssi Dieu lui-même, les anges et les esprits infernaux, Cette figure a beaucoup de noblesse, de hardiesse et de véhémence, et convie
6 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
es discours et oraisons aient, avec les autres genres de littérature, beaucoup de points de contact, il y a une multitude de vérité
oème épique, une tragédie ! cela n’est pas admissible. Aussi y a-t-il beaucoup de professeurs qui, à l’occasion, donnent ces notion
7 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
reçues et soigneusement conservées parmi les hommes ont ordinairement beaucoup de force et de poids dans les discussions, parce qu’
itations. Mais Bossuet et Massillon citent les Pères de l’Église avec beaucoup de convenance et d’à-propos : Pour être vraiment ch
es sont pleins de désirs ; Ceux qui sont pleins de désirs manquent de beaucoup de choses Ceux qui manquent de beaucoup de choses so
pleins de désirs manquent de beaucoup de choses Ceux qui manquent de beaucoup de choses sont misérables ;                 Donc les
simple et sans prétention, qu’il ne parle de lui que rarement et avec beaucoup de réserve. Il est dans la nature humaine, disait D
ce qui convient le mieux dans chaque action de la vie, il l’est aussi beaucoup de savoir ce que prescrivent les bienséances dans un
rs coupables. Dans ces cas difficiles, ménagez les esprits et usez de beaucoup de prudence ; montrez à tous que vous n’avez d’autre
ais pour vous avertir comme l’enfant bien-aimé de mon cœur. Vous avez beaucoup de maîtres en Jésus-Christ ; mais vous n’avez qu’un
cule, et dans cette matière, lorsqu’on ne fait pas pleurer, on risque beaucoup de faire rire. 139. En second lieu, l’orateur ne se
s très habile dans l’emploi de ce moyen, mais Cicéron le maniait avec beaucoup de dextérité et de souplesse, et il en a même quelqu
en a même quelquefois abusé. 150. L’usage de la plaisanterie demande beaucoup de précautions, et il n’est pas donné à tout le mond
curate non callide dicere . 164. L’orateur doit montrer dans l’exorde beaucoup de réserve et de modestie. Mais cette modestie n’exc
gnat oculis ad cædem unumquemque nostrum. 175. L’orateur a besoin de beaucoup de discernement pour savoir quel genre d’exorde il d
s en abrégé, et le discours est la proposition développée. Il importe beaucoup de mettre de la clarté dans la proposition ; car si
ous ont laissé, sous ce rapport, les meilleurs modèles à suivre. Dans beaucoup de rhétoriques, on s’appuie sur l’autorité de Fénelo
eurs faits à l’appui d’une proposition. La narration oratoire diffère beaucoup de la narration historique. « L’historien, dit Crevi
u de l’amplification. § I. Du choix des preuves. 194. Il importe beaucoup de choisir les preuves et de n’employer que les plus
tendent. Que l’orateur joigne donc à la connaissance de son auditoire beaucoup de sagesse et de discernement. 197. On ne doit pas t
rément ; mais il faut que cette récapitulation ait, comme au barreau, beaucoup de rapidité et d’énergie, une grande variété dans le
glée ; 40 que la prononciation soit pure et correcte. 276. Il importe beaucoup de savoir élever la voix au degré convenable, et de
omprend les éloges, les panégyriques et les discours satiriques. 298. Beaucoup de rhéteurs modernes condamnent cette division comme
n’y sont point nécessaires. Employez des preuves claires et solides, beaucoup de comparaisons et d’exemples, des explications natu
dramatique qui captive mieux un auditoire ; toutefois elles demandent beaucoup de réserve, devant certains auditoires, pour ne pas
tes et concluantes, de la méthode et de la clarté dans la discussion, beaucoup de souplesse et de vigueur dans le raisonnement. Dan
ndre certaines objections, laissez-les dans cette heureuse ignorance. Beaucoup de prédicateurs de nos jours oublient les véritables
rs de la magistrature, et le ton doit en être grave, imposant et sans beaucoup de chaleur. Les mercuriales, ainsi nommées parce qu’
tés pour et contre par les deux parties adverses. Ces résumés exigent beaucoup de clarté, de justesse et de précision, mais peu ou
tous les Capouans, furent admis à ce repas, et le dernier obtint avec beaucoup de peine cette grâce pour son fils Pérolla, dont les
cœur et s’en servir. Or, c’est une question aujourd’hui de savoir si beaucoup de prédicateurs ont un cœur. Nul ne peut s’en aperce
on guide et sa lumière ? Connaissez-vous, en dehors du christianisme, beaucoup de ces grandes institutions applicables à. tous les
358. Qu’exige le patriotisme dans l’orateur politique ? 359. Faut-il beaucoup de science à l’orateur politique ? 360. Quel doit êt
8 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
ux, en composant dans leur idiome, soit en prose, soit en vers. Ainsi beaucoup de grammaire, de lectures, de traductions en langue
p qui aient un caractère mieux marqué d’originalité ? eu comptez-vous beaucoup de plus réellement érudits ? Je sais quelle objecti
e plus tard à la facilité et à la variété dans le style comme d’avoir beaucoup de mots à sa disposition. Cette science des mots a f
9 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
is, il est vrai, avec un peu d’affectation, mais le plus souvent avec beaucoup de politesse et d’esprit. Il suffit de rappeler à l’
s ce sens : sous prétexte. 1. Dans cette lettre, Voiture prend avec beaucoup de raison la défense de l’utile particule car, que b
10 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
riers de paroles à la langue légère. Ils prétendaient qu’on y parlait beaucoup de préambules et d’épilogues, et de semblables niais
de sens. Les autres tirent bien les conséquences des choses où il y a beaucoup de principes. Par exemple, les uns comprennent bien
et qu’elle ne puisse pénétrer le moins du monde les choses où il y a beaucoup de principes. Il y a donc deux sortes d’esprits : l’
ils l’ont mauvais, peu juste, et qui les détermine plutôt à rapporter beaucoup de choses que d’excellentes choses : ils n’ont rien
ns, que ce qui manque le plus à certains orateurs, qui ont d’ailleurs beaucoup de talents, c’est le fonds de science. Leur esprit p
r. C. Cependant la plupart des gens qui parlent en public acquièrent beaucoup de réputation sans autre fonds que celui-là. A. Il e
plaisent sans doute. Ces mouvements vifs et naturels de l’orateur ont beaucoup de grâce ; les peintures fidèles et animées charment
traint pas. B. J’en conviens. A. Voyons donc. Naturellement fait-on beaucoup de gestes quand on dit des choses simples, et où nul
rmonie et l’éloquence. B. Mais cette rapidité de discours a pourtant beaucoup de grâce. A. Elle en a sans doute ; et je conviens
: il l’a tirée de la servitude des déclamateurs, et il l’a remplie de beaucoup de force et de dignité. Il est très-capable de conva
. N’espérez pas exprimer les passions par le seul effort de la voix ; beaucoup de gens, en criant et en s’agitant, ne font qu’étour
autre, je suppose un homme savant, qui se remplit de son sujet, qui a beaucoup de facilité de parler, car vous ne voulez pas que le
e Cicéron le demande : qu’il ait lu tous les bons modèles : qu’il ait beaucoup de facilité naturelle et acquise ; qu’il ait un fond
rtons-nous-en à lui-même sur cette matière. Il veut que l’orateur ait beaucoup de mémoire : il parle même de la mémoire artificiell
rt imitée. Les autres discours les plus sérieux d’Isocrate se sentent beaucoup de cette mollesse de style, et sont pleins de ces fa
u de tous ces termes généraux qui ne prouvent rien, mais ils disaient beaucoup de faits. Par exemple, Xénophon, dans toute la Cyrop
icité si originale, et dont nous avons tant perdu le goût, ce poëte a beaucoup de rapport avec l’Ecriture ; mais l’Ecriture le surp
stesse, et qui croient donner un goût exquis aux viandes en y mettant beaucoup de sel et de poivre La véritable éloquence n’a rien
e son temps ; mais pour son style, je n’ai gardé de le défendre. Il a beaucoup de pensées fausses et obscures, beaucoup de métaphor
i gardé de le défendre. Il a beaucoup de pensées fausses et obscures, beaucoup de métaphores dures et entortillées. Ce qui est mauv
auvais en lui est ce que la plupart des lecteurs y cherchent le plus. Beaucoup de prédicateurs se gâtent dans cette lecture. L’envi
sentent l’enflure de son temps et la dureté africaine, il a pourtant beaucoup de force et d’éloquence. On voit partout une grande
s de la plus sévère religion, mais auquel on ne peut parvenir qu’avec beaucoup de peine. Dans le fond, l’épitre de saint Cyprien à
ssez : qui sophistice loquitur, odibilis est 60. Il traite aussi avec beaucoup de science l’arrangement des choses, le mélange des
ncore dans un siècle pire : il a pourtant écrit plusieurs choses avec beaucoup de force et de dignité. Il faut savoir distinguer ce
adversaire, né à Paris, devait le combattre en français. Enfin, après beaucoup de ces retardements agréables, nous arrivâmes jusqu’
prit qui passe à la dernière postérité. Déjà de leurs faibles écrits Beaucoup de grâces sont ternies : Ils sont comptés encore au
u, Voiture, qui, dans sa manie de broder des riens, avait quelquefois beaucoup de délicatesse et d’agrément, écrit au grand Condé s
royaume, écrive couramment et sans effort ce qui coûterait à un autre beaucoup de temps et de ratures. M. l’abbé de Dangeau, en qua
hommes communs et bornés qu’aux gens d’esprit. Je ne vous croyais que beaucoup de goût et de connaissances ; mais je vois que vous
me soin tous ses ouvrages. Quelque différence que l’on ait mise, avec beaucoup de raison, entre l’esprit et le génie, il semble que
ous satisfasse. (Britannicus, acte IV, scène ii) je ne crois pas que beaucoup de personnes fassent attention quelle commande en qu
il a introduites dans ses tragédies : je suis fâché qu’on trouve dans beaucoup de scènes, qui sont faites pour inspirer la terreur
conter. XVIII. Les grandes pensées viennent du cœur. XIX. Quand on a beaucoup de lumière, on admire peu lorsque l’on en manque, de
s détourne de l’objet principal, et qui leurs ne peuvent suivre, sans beaucoup de peine, une trop longue chaîne de faits et de preu
ple, qui sans objet, sans pénétration et sans goût. XXV. Le sot qui a beaucoup de mémoire est plein de pensées et de faits ; mais i
ien rapprocher les choses, voilà l’esprit juste. Le don de rapprocher beaucoup de choses et grandes choses fait les esprits vastes.
, le plus sage et le plus élégant des poëtes, pour n’avoir pas traité beaucoup de choses qu’il eut embellies, content d’avoir montr
e de Viau, né en 1590, mort en 1620 ; auteur de poésies empreintes de beaucoup de mauvais goût. 26. Ronsard, né en 1525, mort en
11 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
à succédé au repos ; les mauvais jours de la Révolution commençaient. Beaucoup de personnes pourtant, cherchant à se faire illusion
lesse de caractère qui croit anéantir le danger qu’elle se dissimule, beaucoup de personnes s’obstinaient à dire : « Ce n’est rien.
12 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
ire mieux ou aussi bien que son auteur. On peut critiquer Homère avec beaucoup de profondeur et de justesse sans posséder son génie
t qui termine cette fable est un modèle de naïveté ; La Fontaine en a beaucoup de ce genre, et c’est par là qu’il nous plaît et nou
présente de grands objets en peu de mots, ou qui montre dans un homme beaucoup de courage et de puissance. Elle exprime souvent une
foule d’idées réunies sur un petit nombre de mots et qui éclate avec beaucoup de force et de vivacité. Les harangues de Galgacus e
s dieux de la terre,             C’est la louange, Iris. 81. Il faut beaucoup de discernement et de sobriété dans la distribution
endra clair et il n’y aura plus d’équivoque possible. Il importe donc beaucoup de placer à propos les phrases incidentes et les adv
travail ne se montre pas. Racine et Boileau faisaient leurs vers avec beaucoup de soin et de lenteur ; mais ce travail ne paraît nu
ir où tout commence. 148. L’expression est riche quand elle renferme beaucoup de sens en peu de mots, ou quand elle forme une sort
submergés sont en parfait rapport avec cette comparaison. 174. Il y a beaucoup de traits de ressemblance entre une métaphore et une
être claires, justes, nobles et sobrement ménagées. La comparaison a beaucoup de rapports avec la métaphore, et tout ce que nous a
mais la poésie exige plus de soin. Boileau fait sentir la leçon avec beaucoup de bonheur dans les deux vers suivants : Gardez qu’
ormer à l’art d’écrire. Virgile et Cicéron, dit M. Laurentie, doivent beaucoup de leurs perfections à Homère et à Démosthène. Racin
choix de ses livres, il faut savoir se borner. Ce n’est pas en lisant beaucoup de livres que l’on s’instruit, mais en lisant beauco
oute leur force et leur précision. Or, pour atteindre ce but, il faut beaucoup de réflexions et d’efforts, et celui qui l’entrepren
t. Dans le choix des constructions et des tours, il a aussi besoin de beaucoup de réflexion, de discernement et de goût, et il déco
it une seule ligne, le travail sera pour le moins à moitié fait. 290. Beaucoup de jeunes gens se plaignent qu’il leur est impossibl
le surcharge pas de préambules oiseux et de détails inutiles. On voit beaucoup de jeunes gens qui remontent trop haut, se perdent e
t demande beaucoup d’habileté, parce que l’obscurité est à craindre ; beaucoup de réserve, parce qu’il vise à l’effet : si la suite
ains profanes ne pourront jamais égaler. Pour apprendre à conter avec beaucoup de naturel et de grâce, les élèves ne sauraient mieu
ythme. 382. Comme la poésie ne vit que d’images et d’harmonie, elle a beaucoup de traits de ressemblance avec la peinture et avec l
e de l’entreprise. On a remarqué que, pour donner à une action épique beaucoup de majesté et de grandeur, il ne fallait point prend
Les descriptions et les récits doivent être bien amenés et demandent beaucoup de richesses et d’ornements. La grande règle consist
e la bourgeoisie ; le bas comique, qui peint les mœurs du peuple avec beaucoup de franchise et de gaieté, mais ne doit jamais desce
Qu’est-ce qui rend les mots propres difficiles à trouver, et y a-t-il beaucoup de synonymes ? 92. Est-il permis d’employer des mots
st-ce que le nœud de l’action ? 305. Le nœud de l’action demande-t-il beaucoup de talent et d’habileté ? 306. Qu’est-ce que le déno
13 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Maintenon. (1635-1719.) » pp. 76-82
a révolution. 4. Voltaire a été plus juste pour Mme de Maintenon que beaucoup de ses contemporains, en disant « qu’elle rejetait b
humble. » 1. Cette lettre, que l’on rapporte à l’année 1682, jette beaucoup de jour sur les sentiments et la conduite de Mme de
14 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
on y retrouve trop de ce système artificiel des anciens rhéteurs ; et beaucoup de choses inutiles rendent un peu fastidieuse la lec
ndition de ce genre de style. La vigueur d’une description naît, sous beaucoup de rapports, de la concision et de la simplicité ; m
cité comme un objet particulièrement agréable. Hogarth observe, avec beaucoup de sagacité, que tous les mouvements nécessaires aux
aître dans nos amis des sentiments plus doux, plus agréables, qui ont beaucoup de rapport avec ceux que produit le beau. La peintur
es auxiliaires avoir et être, unis aux participes, remplacèrent, sous beaucoup de rapports, la diversité des terminaisons des temps
ion se lie intimement à la pensée, pour écrire avec précision il faut beaucoup de netteté dans la conception des idées. L’auteur do
veiller ou de favoriser en nous certains sentiments. Sans doute, dans beaucoup de cas où l’on croit remarquer cette analogie entre
le premier, le plus commun et le plus beau de tous les tropes. Elle a beaucoup de similitude avec la comparaison exprimée vivement
ouve place que dans les compositions oratoires. Un orateur peut, avec beaucoup de convenance, adresser la parole à la religion, à s
L’auteur le plus abstrait, dans les sujets les plus arides, peut avec beaucoup de convenance introduire une comparaison dans la seu
ière qu’on oppose la concision à la prolixité. Chacun de ces genres a beaucoup de rapport avec ceux dont nous venons de parler. Les
supportable que dans les ouvrages purement didactiques ; il faut même beaucoup de poids et de solidité dans la matière, et surtout
t d’une longue pratique. Moram et solicitudinem, dit Quintilien avec beaucoup de raison, initiis impero. Nam primum hoc constituen
lièrement des premier et dernier, est très différent, et modifié avec beaucoup de sagacité, suivant les circonstances et la situati
e croient pas qu’aucun orateur ait été plus accompli. Il se préparait beaucoup de mémoire, et se livrait ensuite à l’impulsion du m
l’orateur romain employait si fréquemment, et très probablement avec beaucoup de succès. Telles sont les raisons pourquoi les larm
cier, sont les conditions nécessaires de la narration : elles exigent beaucoup de sagacité et d’habileté de la part de l’avocat. Il
etiam in recte factis sæpe fastidiunt. De tout cela il conclut avec beaucoup de justesse, hunc diem igitur campi speratum atqu e
raisonnements et leur extension au-delà des bornes naturelles, enlève beaucoup de ce vis et acumen qui doivent être le caractère di
Aristote, en particulier, dans son traité de Rhétorique, discute avec beaucoup de profondeur et de subtilité la nature des passions
sens qui doit diriger à cet égard ; il est évident en effet qu’il y a beaucoup de sujets qui n’admettent nullement le pathétique, e
rait inévitablement au ridicule. Quintilien, qui traite ce sujet avec beaucoup de sagacité, s’efforce de nous retracer la méthode d
escription de ce crime flagrant, et le judices est jeté à la fin avec beaucoup de propriété.) Cum interea nullus gemitus, nulla vo
discours une physionomie théâtrale et un air affecté qui lui enlèvent beaucoup de son agrément et de son effet. Nous nous sommes oc
telle liaison qu’ils doivent être prononcés de la même haleine, exige beaucoup de soin. Pour éviter ce défaut, l’orateur doit d’abo
i jeta de la lumière sur tant de sciences diverses, a recherché, avec beaucoup de pénétration, les principes de la rhétorique. Le p
15 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
e sujet, malgré toute son importance. Quintilien, qui l’a traité avec beaucoup de sens, se donne la peine de nous faire connaître l
ale ou emphatique, donne au discours un air d’affectation qui lui ôte beaucoup de son agrément et de son expression. Je passe maint
, qui n’ont ensemble de commun qu’une ridicule manie de parler devant beaucoup de monde, et ne sont pas animés d’autre ambition que
ependant, je n’ose pas avancer que l’on doive s’attendre à en retirer beaucoup de fruit. C’est aux écrits des anciens sur l’éloquen
t bien soutenus, et l’ensemble admirable. L’on y trouve, il est vrai, beaucoup de digressions ; les observations et les règles y so
roire que dans les matières de pur raisonnement, les modernes ont, en beaucoup de circonstances, une plus grande précision que les
ne puis m’empêcher de convenir que son expression n’ait très souvent beaucoup de force et de vivacité, quoiqu’en général il serait
bles. Au dix-septième siècle, Balzac et Voiture acquirent en ce genre beaucoup de célébrité. Il est vrai que la réputation de Balza
la faveur du public ; son style est très brillant ; il fait preuve de beaucoup de tact, et plaisante d’une manière très fine. Son s
la brièveté des syllabes, soit tout à fait indifférente ; nous avons beaucoup de mots, et principalement ceux composés de plusieur
nt Dryden se servait fréquemment. Cependant la poésie de ce dernier a beaucoup de mérite ; on y trouve, comme dans toutes ses produ
beaucoup de mérite ; on y trouve, comme dans toutes ses productions, beaucoup de génie joint à beaucoup de négligence ; moins doux
trouve, comme dans toutes ses productions, beaucoup de génie joint à beaucoup de négligence ; moins doux et moins correct que Pope
r que ce doit toujours être la campagne, et le mérite du poète dépend beaucoup de la description qu’il en sait faire. Virgile, à ce
supérieures. Il y règne une admirable simplicité dans les sentiments, beaucoup de douceur et d’harmonie dans les vers, et une grand
sté quelques fragments de deux autres poètes grecs qui ont écrit avec beaucoup de talent dans le genre pastoral, Moschus et Bion. O
de la poésie lyrique ou de l’ode, genre de composition poétique qui a beaucoup de dignité, et que dans tous les siècles un grand no
ontribue surtout à embellir une description poétique, et c’est ce que beaucoup de poètes ont trop négligé. Souvent ils ne se serven
n ; aussi toutes les idées qui s’y rapportaient avaient par cela même beaucoup de grandeur et d’importance, et se trouvaient singul
vient sur-le-champ, et lui offre le combat. Dans ses discours règnent beaucoup de grâce et de courtoisie. Il reçoit avec modestie,
s vraie. La narration d’Homère est toujours concise, ce qui lui donne beaucoup de grâce et de vivacité ; et si quelquefois il est u
on mérite est plus contesté. Ses êtres célestes agissent partout avec beaucoup de dignité. Dieu abaissant ses regards sur les armée
’eux ne connaissait bien son poème, ou qu’au moins ils le lurent avec beaucoup de prévention ; car je me crois fondé à regarder la
le sujet ne manque ni de grandeur ni d’unité. Le poète est entré avec beaucoup de bonheur dans l’esprit et les idées des anciens, e
e que les chœurs des anciens pourraient être introduits, et même avec beaucoup de succès, sur notre théâtre moderne, si, au lieu de
e rien n’est plus simple et plus naturel. L’on y trouve, il est vrai, beaucoup de ces figures qui expriment le trouble de l’âme, co
qui y règne, l’étendue et la subtilité du dialogue y jettent souvent beaucoup de langueur ; que les auteurs semblent craindre d’êt
ux et intéressants, le dialogue, par sa rapidité et sa concision, y a beaucoup de ressemblance avec celui des anciennes tragédies g
, ou de grands éloges. Dans les tragédies de Dryden et de Lee, il y a beaucoup de chaleur, mais trop d’enflure et de mauvais goût.
des traits de génie et des marques d’une imagination forte et vive ; beaucoup de caractères bien saisis, des situations heureuses,
t il les a saisis et placés avec le plus rare discernement.. Il avait beaucoup de force comique ; il aimait la gaîté et les plaisan
ant, plein de feu, multipliant les caractères, imprimant à son action beaucoup de mouvement ; mais son défaut est de trop prodiguer
aire à tous les gens de goût et de bon sens. M. de Fénelon, qui avait beaucoup de l’un et de l’autre, n’a jamais donné son Télémaqu
reuve indubitable qu’il avait très peu de réputation, c’est qu’il eut beaucoup de peine à trouver un libraire qui voulût imprimer s
le caractère encore plus brillant qu’il donne au Diable. On lut avec beaucoup de plaisir la description du jardin d’Adam et d’Ève.
é que l’autre, et que les hommes, en tout genre, veulent réussir sans beaucoup de travail ? Fénelon fit son Télémaque en prose parc
er. 51. The Beaux Stratagem. 52. Consciours Loves. 53. « Il y a beaucoup de très bonnes pièces où il ne règne que de la gaîté
16 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
poète ou de ses personnages ; mais elles doivent être employées avec beaucoup de retenue, parce qu’il s’agit moins ici de peindre
omine dans le genre gracieux ; c’est le caractère de Catulle, doué de beaucoup de goût, de grâce et de naturel, et d’Ovide, chez qu
e. Arien de Méthymne passe pour l’inventeur du dithyrambe. Après lui, beaucoup de poètes attiques s’exercèrent en ce genre, qui per
es louanges doivent être ingénieuses, mais naturelles, exprimées avec beaucoup de délicatesse, et accommodées au sexe, à la naissan
nconvénient est de frapper par leur invraisemblance. Ce poème demande beaucoup de délicatesse dans les sentiments, et, dans le styl
17 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
pour remplir avec distinction les emplois subalternes, qui renferment beaucoup de minuties. Il n’imaginait point et n’inventait poi
de mamelle. Il m’a esté comme ma conscience et m’a dicté à l’oreille beaucoup de bonnes honestetez, et maximes excellentes pour ma
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
ce que savait fort bien un magistrat illustre, qui, dans ce siècle où beaucoup de gens n’approuvent que l’étude des langues moderne
t avec autant de courage que de raison : « Je veux que mon fils sache beaucoup de latin. » 2. Je lis ailleurs dans M. Mérimée :
19 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
et le perruquier, chacun dans son habit de poudre. On parvient, avec beaucoup de peine, à se placer, c’est-à-dire à s’entasser en
s ou prolixe est l’opposé du Style précis : il dit peu de choses avec beaucoup de paroles. On peut lire, pour compléter l’étude du
oujours eu l’esprit un peu léger : étant à Brest à dix-huit ans, avec beaucoup de dettes et sans argent ; il écrivit à son père ; e
s insultes de la boue et du mauvais temps.   Mascarille. Vous recevez beaucoup de visites ? Quel bel esprit est des vôtres ?   Made
vec leur propre caractère, dont Scarron a saisi le côté ridicule avec beaucoup de justesse et d’esprit. C’est ainsi que de Jupiter
20 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
ans lequel on s’est établi dans les premiers actes. Cette règle cause beaucoup de tourments aux poètes. C’est à eux de construire l
velle forme à la tragédie. L’élévation de Corneille était un monde où beaucoup de gens ne pouvaient arriver. L’expérience avait fai
a été reconnu, comme il devait l’être, pour notre troisième tragique. Beaucoup de poètes ont, depuis lui, paru sur la scène françai
Poitiers j’ai vécu comme vit la jeunesse ; J’étais en ces lieux-là de beaucoup de métiers, Mais Paris, après tout, est bien loin de
21 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
rs, et qui, dans le fond, n’aura rien de solide3. Vous compterez pour beaucoup de vous éloigner des compagnies folles de la jeuness
bon propos a été donc, Madame, de vous demander de vos nouvelles ; et beaucoup de vilains petits embarras m’en ont toujours ôté la
stesse, et qui croient donner un goût exquis aux viandes en y mettant beaucoup de sel et de poivre. La véritable éloquence n’a rien
aury Essai sur l’éloquence, c. 59.) 1. Il y a des personnes qui ont beaucoup de raison dans l’esprit, mais qui n’en ont pas dans
22 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
’est ainsi qu’il aborde peu à peu la proposition de Rullus, mais avec beaucoup de réserve, comme l’on voit, et de circonspection. U
ourte, s’il n’y a rien d’inutile ; car dans le cas même où vous aurez beaucoup de choses à dire, si vous ne dites rien de trop, vou
23 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
r la proposition. On fut sur le point de le faire sur-le-champ ; mais beaucoup de ceux de la compagnie ayant représenté que les peu
énéral, dans la guerre de Trente ans, acquit, malgré quelques revers, beaucoup de gloire, et fut l’un des principaux soutiens du pa
24 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
gédies, entre lesquelles Timocrate, Ariane et le comte d’Essex ont eu beaucoup de réputation. — Quant à Pierre Corneille, « la Fran
le grand Dauphin et le roi d’Espagne (Philippe V) ; il y a, en outre, beaucoup de lettres de Louis XIV à sa famille, à ses généraux
25 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
ux-mêmes ce qu’ils savent. Il n’est pas fort vif au dehors, mais il a beaucoup de vivacité au dedans, et peu de chose échappe à ses
des ressources dont il a été souvent étonné lui-même. Quoiqu’il perde beaucoup de temps, il se rencontre qu’il en a toujours assez,
26 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
sur la plupart des écrivains de l’époque classique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux Histoires de la littérature frança
règle de l’hiatus a ici le mérite de représenter le but atteint avec beaucoup de peine. 4. Il s’agit de cette race, ardelionum
27 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
e heureux éclate-t-elle dans tous ses ouvrages. Outre cet enjouement, beaucoup de verve le distingue : son invention est facile et
ignalé justement dans cette pièce, où Regnard semble s’être surpassé, beaucoup de verve, de force comique et de vérité d’observatio
28 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195
mon asile dans quelque province éloignée où l’on voit peu d’argent et beaucoup de denrées, et où règnent l’abondance et la pauvreté
s encore ! Du bon sens plus que de science, et pour toute philosophie beaucoup de christianisme ; une maison propre et commode ; un
29 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
D’un zèle qui m’attache à tous vos intérêts1. Célimène. Madame, j’ai beaucoup de grâces à vous rendre ; Un tel avis m’oblige, et,
ns aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
voilà qui respire et qui se repose, et il a raison : elle lui a coûté beaucoup de peine. » (De la Cour.) 1. Comparez au portrait
30 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avis du libraire sur cette nouvelle édition » pp. -
uellement entre les mains des Élèves. Mais un grand nombre de Lycées, beaucoup de Professeurs et d’autres personnes ont témoigné le
31 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
lis, une marche libre, aisée et naturelle, une diction noble et pure, beaucoup de force et d’onction. Les Protestants ont, en quelq
artout ailleurs. Elles doivent en général être courtes ; et renfermer beaucoup de sens en peu de paroles. Si le Panégyrique comport
étincellent de beautés, tantôt fines, tantôt frappantes. On y trouve beaucoup de pensées neuves et ingénieuses. Le style en est or
lquefois peut-être trop recherché. Mairan, son successeur, loue avec beaucoup de délicatesse, et trace des portraits tout à fait r
il ne lui suffira pas simplement d’exposer la vérité. Quoiqu’elle ait beaucoup de force quand elle est présentée sans fard, elle a
32 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417
at. C’étoit un homme d’un caractère doux, sage et circonspect ; ayant beaucoup de finesse et de mesure dans l’esprit, avec un coura
33 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
upposent dans l’écrivain de l’expérience, une méditation puissante ou beaucoup de lecture. Voyez surtout Sénèque et Montaigne. Mais
r rien : vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ. Qui sont-ils ? beaucoup de pêcheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
34 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
aute, et qui, dans un génie d’ailleurs si fécond et si puissant, gâte beaucoup de bonnes pages. On a distingué diverses espèces d’a
près son entretien avec l’ambassadeur de Rome, Vous a-t-il conseillé beaucoup de lâchetés, Madame ?… et par dessus tout cette scè
35 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
e, qui résume et complète tous les travaux antérieurs, nous a épargné beaucoup de recherches et procuré plus d’une bonne interpréta
s et la manière dont on imite. En effet, de même que certains imitent beaucoup de choses avec des couleurs et des gestes, les uns a
ragédies n’ont pas de place pour les mœurs29, et, absolument parlant, beaucoup de poètes sont dans ce cas30. Ainsi, chez les peintr
e, mais plutôt la ressemblance inhérente au nœud et au dénouement. Or beaucoup de poètes tragiques ourdissent bien le nœud, et mal
pectateurs restent insensibles si lui-même ne renchérit pas, se donne beaucoup de mouvement. C’est ainsi que de mauvais aulètes (jo
membres. XIII. Si, maintenant, on objecte que l’homme pourrait faire beaucoup de mal en recourant injustement à la puissance de la
n juste peut rendre de grands services et l’application injuste faire beaucoup de mal. XIV. Il est donc évident que la rhétorique n
ère absolue, soit dans telle circonstance, soit dans tel moment ; car beaucoup de gens obtiennent des honneurs pour des motifs qui
t exempts de maladie des gens qui gardent l’usage de leur corps ; car beaucoup de gens se portent bien, comme on le dit d’Hérodicus
en dehors de la force et de la santé, une autre cause de longévité ; beaucoup de gens, dépourvus des qualités du corps, sont des e
st plus grand qu’il ne faut est un mal. XXII. De même, ce qui a exigé beaucoup de peine, ou une grande dépense ; car, dès lors, on
hose arrivée à ce point est regardée comme une fin et comme la fin de beaucoup de choses ; or la fin est un bien219. De là ce mot :
verbe : (casser) sa cruche à la porte. XXIII. On préfère aussi ce que beaucoup de gens recherchent et ce qui paraît digne d’être di
us avons vu222 que ce à quoi tendent tous les hommes est un bien ; or beaucoup de gens font ce que tout le monde fait. XXIV. Ce qui
, ce sont tous ceux que l’on éprouve après avoir été persuadé. Il y a beaucoup de choses que l’on désire voir et posséder après que
la souffrance, il est doux de se souvenir pour l’homme qui a éprouvé beaucoup de fatigues et d’épreuves260. Cela tient à ce qu’il
met en passe de commander, et la sagesse implique la connaissance de beaucoup de choses et de choses qui excitent l’admiration. De
position. XXXIV. De même les choses qu’il est facile de dissimuler en beaucoup de circonstances. Telles sont celles que l’on peut t
une telle crainte prend ses mesures en conséquence. VII. Comme il y a beaucoup de gens pervers, dominés par l’appât du gain et remp
ion publique, car les fonctionnaires publics peuvent rendre service à beaucoup de monde. De même les chefs d’armée, les orateurs, e
eux-mêmes. Cette impression, après tout, n’a rien que de naturel, car beaucoup de gens ont besoin de ceux qui possèdent. De là cett
es lieux480 ; car les syllogismes se tirent des choses probables : or beaucoup de ces choses peuvent sembler contraires entre elles
ant emmenés avec moi548. » En effet, dans cet exemple, on a introduit beaucoup de conjonctions avant celle qui devait venir, et, s’
onlocution donne le change et les auditeurs sont dans la situation de beaucoup de gens qui vont trouver les devins. Lorsque ceux-ci
arié et alourdi. III. Il faut rappeler les (actions) célèbres ; aussi beaucoup de discours peuvent se passer de narration : par exe
Un acte important où la justice n’est pas en cause perdra, par suite, beaucoup de sa gravité, au point de vue délictueux. 290. Dan
36 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
ni une violente invective ; c’est une causerie aimable qui se ressent beaucoup de la lecture des anciens, d’Horace, de Perse, de Ju
té de lieu. Il s’applique à observer l’unité des temps, pour laquelle beaucoup de critiques s’étaient déjà prononcés ; mais cette d
g temps pour s’accomplir. Mais, quoi qu’il en soit de la violation en beaucoup de points des règles dites aristotéliques, et bien q
tend faire des leçons d’héroïsme aux hommes, et cependant reçoit avec beaucoup de facilité l’argent d’Auguste, cette adorable furie
Parle, Blanche, et dis-nous comme il voit ce malheur. Blanche. Avec beaucoup de honte, et plus encor de cœur. Du haut de l’escali
ra plus grande à qui comprendra bien Qu’à l’exemple du ciel j’ai fait beaucoup de rien. Au roi. — Sur Cinna, Pompée, Horace, S
sentiment, sont nuancés et distincts, et il y a une grande énergie et beaucoup de dignité dans le rôle de Jocaste. Les vers ont une
ns aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et fasse tant de chos
pas qu’où l’honneur les conduit Les vrais braves soient ceux qui font beaucoup de bruit, Les bons et vrais dévots qu’on doit suivre
miste. Cette naïveté dont on a tant parlé est accompagnée chez lui de beaucoup de pénétration et de malice. Dans les Fables, il se
olâtre : On nous promet l’histoire, et c’est un haut projet J’attends beaucoup de l’art, beaucoup plus du sujet : Il est riche, il
ophe marié, le Dissipateur, ajoutons l’Irrésolu, laissent voir en lui beaucoup de verve et d’originalité, ni une connaissance bien
s pièces les plus remarquables par la versification qu’il ait faites. Beaucoup de négligences et d’incorrections, mais de grandes b
éâtre de la foire, de l’œuvre tant vantée. Aujourd’hui il ne faut pas beaucoup de hardiesse pour dire combien le poème du jeune Aro
t bien avouer que les poètes des siècles précédents y sont jugés avec beaucoup de sévérité. Voltaire, ne pouvant pas se donner à lu
ance continues dans la diction, offrent une grande abondance d’idées, beaucoup de traits d’un sens profond, extrêmement de variété.
écousu. Ils sont d’ailleurs, surtout les quatre premiers, écrits avec beaucoup de soin. À la manière dont le fécond et impatient éc
he en détails heureux, elle étincelle de traits piquants, on y trouve beaucoup de scènes ingénieusement amenées ; mais en général l
son style ; l’harmonie lui manque comme le goût. Piron écrivit encore beaucoup de poèmes, d’odes, d’épîtres, de satires, de contes,
d’autant de force et de vérité, de simplicité et de finesse151. Pour beaucoup de personnes, Sedaine n’est pas l’auteur de Félix de
vante versification. Malheureusement ces mérites sont contrepesés par beaucoup de défauts. Son vers est énergique, mais ambitieux ;
n’y avait là point d’idées, point de goût, des lieux communs rimés et beaucoup de platitudes » ; ce fut un déchaînement universel.
e passe, pour ainsi dire, sous la cheminée ; ce qui ôte à la tragédie beaucoup de sa majesté ; au lieu que si la scène était publiq
s lié avec Rivarol, Chateaubriand et Fontanes. Ce dernier l’aida avec beaucoup de bonté, de patience et de scrupule poétique à corr
e d’une douce malice ou par accident d’une teinte de mélancolie. Avec beaucoup de verve et de facilité, il avait une élégante puret
fier d’avoir ainsi fait plier l’orgueil de la vieille Melpomène. Avec beaucoup de prétention à la simplicité et à la vérité, ici en
ité de l’intrigue l’observation et l’élégance du style. Le dialogue a beaucoup de facilité, de précision, est semé de traits heureu
nt la peur d’un mal nous conduit dans un pire. » Ponsard s’est donné beaucoup de peine pour tomber dans l’exagération de la simpli
llement d’unité. Ponsard nous offre une personnalité honorable malgré beaucoup de préjugés, mais non pas une haute personnalité lit
t coutume. Du latin solere, avoir coutume. 97. Ces deux vers offrent beaucoup de variantes. 98. Il paraît que cette dame avait pe
sion. Cette explication de la sphère, d’après Copernic et Newton, fit beaucoup de bruit lorsqu’elle parut : c’était une grande diff
37 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
      Dès qu’on parle de moi. L’énigme sur le secret a naturellement beaucoup de rapport, et dans le fond et dans la forme, avec l
de la chanson érotique, il faut une grande finesse dans l’esprit, et beaucoup de délicatesse dans les sentiments. Lorsqu’une chans
38 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
es. ) Un homme qui nous ressemble.] Corneille et Dacier s’inquiètent beaucoup de ce qu’Aristote paraît assimiler la condition des
39 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
pensées et de tournures champêtres ; mais il s’élève peu, et n’a pas beaucoup de variété dans ses compositions. Les vers que nous
né en 1749, Florian, né en 1755, Léonard, né en 1744, ont fait aussi beaucoup de poésies pastorales ; ce dernier surtout s’est fai
, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. Nous avons en France beaucoup de poètes satiriques d’une très grande valeur. Il se
par poètes élégiaques ceux qui ont fait une ou deux élégies ? Il y a beaucoup de nos bons poètes qui ont mérité ce titre par quelq
40 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
ofondes racines. » Voilà une grande fortune, un siècle n’en voit pas beaucoup de semblables ; mais voyez sa ruine et sa décadence 
ordres, avec toute la fidélité et l’exactitude possibles. C’est avec beaucoup de raison qu’elle s’applique si sérieusement à régle
perdu sans ressource. Mais ces remèdes ne se peuvent trouver qu’avec beaucoup de soin et de patience ; car il est malaisé d’examin
n’est rien de si grand dans le monde, qui ne reconnaisse en soi-même beaucoup de bassesse. Mais c’est encore trop de vanité, de di
41 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
st rare qu’une simple virgule puisse suffire. 4° Le vers pentamètre a beaucoup de grâce, quand les mots sont choisis avec goût, et
que l’on doit éviter. Il y a donc un choix à faire, et ce choix exige beaucoup de discernement. On doit rechercher de préférence le
a terreur. 4° De la répétition. La répétition des mêmes mots a beaucoup de grâce en poésie, quand elle sert à peindre les pa
42 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
cation de cette œuvre, au jugement de La Harpe, qui l’a analysée avec beaucoup de soin et généralement bien appréciée, la place par
me s’il y avait bonhur et malhur. » De là venait que l’e entrait dans beaucoup de mots où nous n’avons laissé que l’u : j’ai beu, l
43 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
’aurait pu rendre compte de ce qu’il a vu. Voilà comment on peut voir beaucoup de choses et ne rien apprendre. Enfin, les fenêtres
Eu égard à l’ordre et à la méthode, la rhétorique de M. Gibert tient beaucoup de celle d’Aristote, et M. Rollin semble s’être form
44 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
sur sa nomination à l’évêché de Tulles. « Je viens d’apprendre avec beaucoup de joie, Monsieur, la grâce que le Roi vous a faite,
e moins qu’un Ange en ambassade pour l’en aller remercier. » Il faut beaucoup de prudence et de circonspection dans une lettre de
45 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
rien de superflu ; et son style, toujours concis et serré, a toujours beaucoup de force, et, quand il le faut, de l’élévation. La p
int assez de connoître les preuves de notre religion. Il nous importe beaucoup de savoir distinguer avec précision les objets de no
46 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
elon la remarque de son biographe anonyme, « transcrit l’Odyssée dans beaucoup de ses drames  »; enfin le Cyclope d’Euripide, drame
47 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
exprès, épargnassent aux maîtres la peine nécessaire pour feuilleter beaucoup de volumes, et aux élèves des frais considérables po
48 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
m’a toujours semblé regrettable pour l’utilité pratique qui manque à beaucoup de traités… » Enfin, nous avons tenu à faire un ouv
49 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
connu la dignité morale de la femme. Aristote, à lui seul, nous offre beaucoup de belles observations sur ce sujet  par exemple, da
50 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Saint François de Sales, 1567-1622 » pp. -
nneurs qui leur sont dus, pourvu toutefois que cela ne leur coûte pas beaucoup de soin et d’attention, et que ce soit sans être cha
51 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
evise semblait être « faire sans dire ». C’est une joie nouvelle pour beaucoup de vaillants soldats de dire ce qu’ils ont fait et v
ns estre reprins, veu, combien que nos mœurs soyent reprehensibles en beaucoup de choses, toutesfois qu’il n’y a rien digne de si g
bstruses parties de nostre nature se pénètrent. Il y a dans Plutarque beaucoup de discours estendus, tresdignes d’estre sceus ; car
y apporter poinct d’inimitié, ne de faveur, ne de prejudice, Je veois beaucoup de juges qui s’ingerent et veulent estre du jugement
des plainctes, et est le roy en voye de vous oster la cognoissance de beaucoup de causes, à son regret, craignant par ce moyen conf
vence ou dissimulation, permises, moderement toutefois. A present, en beaucoup de lieux, elles sont doublees et triplees, et tellem
alrage, de faim. Car cest embrasement est universel, et a déja gaigné beaucoup de pays en la France ; et toutesfois toutes ces cala
es qu’en toutes les especes de poësies que j’ay nommees nous eussions beaucoup de telles imitations, qu’est ceste Eglogue sur la na
at là, et que, par longue experience, j’ay vu advenir aux cappitaines beaucoup de biens, et à d’aultres beaucoup de maux. Et de mon
ce, j’ay vu advenir aux cappitaines beaucoup de biens, et à d’aultres beaucoup de maux. Et de mon temps, il en a esté desgradé des
prou qu’estoient fils de pouvres laboreurs, et se sont mis par devant beaucoup de nobles, pour leur hardiesse et vertus. Et pource
n estre dignes ; et ainsy ces belles lettres humaines lui rabattoient beaucoup de sa rigueur de justice. Il estoit grand orateur et
de mamelle. Il m’a esté comme ma conscience, et m’a dicté à l’oreille beaucoup de bonnes honnestetez et maximes excellentes pour ma
ois de loisir pour cela, et que nous consommerions devant cette place beaucoup de millions d’or et beaucoup de milliers d’hommes po
ue nous consommerions devant cette place beaucoup de millions d’or et beaucoup de milliers d’hommes pour l’avoir peut-être dans tro
ité soutenue de si bonne grâce, et avec tant de force, vaut mieux que beaucoup de prospérités et de victoires. Il ne me sembla pas
nserver dans tous nos poëmes : autrement il faudroit prononcer contre beaucoup de ceux que nous voyons réussir avec éclat. Je tiens
ou trois lieux particuliers enfermés dans l’enclos de ses murailles. Beaucoup de mes pièces manqueront de l’unité de lieu si l’on
ouhaitable, autant est-il difficile d’y réussir, parce qu’elle dépend beaucoup de la mesure d’intelligence que nous apportons en na
r la proposition. On fut sur le point de le faire sur-le-champ ; mais beaucoup de ceux de la compagnie ayant représenté que les peu
ordres, avec toute la fidélité et l’exactitude possibles. C’est avec beaucoup de raison qu’elle s’applique si sérieusement à régle
perdu sans ressource. Mais ces remèdes ne se peuvent trouver qu’avec beaucoup de soin et de patience ; car il est malaisé d’examin
émence extraordinaire ; l’un et l’autre par leurs talens se sont fait beaucoup de disciples et d’admirateurs ; l’un et l’autre, enf
ition, et dont l’éclat de la nôtre nous a privés. Peut-être qu’il y a beaucoup de bons sujets qui seroient de fort mauvais princes.
d’autres, je n’en cherche pas. Je suis entièrement incapable de voir beaucoup de monde ensemble ; cela viendra peut-être, mais il
ntesquieu (Grandeur des Romains). Comme Bussy-Rabutin, il servit avec beaucoup de distinction ; comme lui, il se perdit par la sati
pensées, vous périssiez par la malice de ses suppositions. Il y avoit beaucoup de mérite à être homme de bien, parce qu’il y avoit
y avoit beaucoup de mérite à être homme de bien, parce qu’il y avoit beaucoup de danger à l’être. La vertu qui osoit paroître étoi
de tous ces termes généraux, qui ne prouvent rien ; mais ils disoient beaucoup de faits. Par exemple, Xénophon, dans toute la Cyrop
icité si originale, et dont nous avons tant perdu le goût, ce poète a beaucoup de rapport avec l’Écriture457 ; mais l’Écriture le s
stesse, et qui croient donner un gout exquis aux viandes en y mettant beaucoup de sel et de poivre460. La véritable éloquence n’a r
étion, complaisance, sûreté de commerce, et nulle façon ; peu d’amis, beaucoup de connoissances passagères ; soin de plaire474 à ce
rien ; vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ : qui sont-ils ? beaucoup de pécheurs qui ne veulent pas se convertir, encore
je n’ai vu ici personne (car on me laisse assez seul, et il n’y a pas beaucoup de presse à rechercher ma conversation), trouvez bon
artagés les uns que les autres. SOCRATE. La nature agit toujours avec beaucoup de règle, mais nous ne jugeons pas comme elle agit.
andre, et tout à la fois d’un palais vraiment épiscopal ; et toujours beaucoup de gens de guerre distingués, et beaucoup d’officier
journée dans l’espérance que ce tumulte pourroit s’apaiser, mais avec beaucoup de crainte qu’il ne s’augmentât. On tint conseil au
trictrac, en attendant que nos gens eussent soupé. Ce ne fut pas sans beaucoup de façons qu’il y consentit, en me demandant pardon
ruautés, et que, semblable à son maître, il traitoit la noblesse avec beaucoup de mépris, dom Antoine de Menezès lui enfonça un poi
ournit du soleil pendant une bonne partie de la journée, et me promet beaucoup de fruit pour la saison. Un petit espalier couvert d
rit qui passe à la dernière postérité.   Déjà de leurs faibles écrits Beaucoup de grâces sont ternies, Ils sont comptés encore au r
danseurs et de cuisiniers presque toute l’Asie. On parlait cependant beaucoup de rendre la capitale plus commode, plus propre, plu
» Des plaisirs de l’ordre Il ne suffit pas de montrer à l’âme beaucoup de choses ; il faut les lui montrer avec ordre ; car
st une qualité du caractère plutôt encore que de l’esprit. Pour avoir beaucoup de bon sens, il faut être fait de manière que la rai
e des qualités qui supposent le plus de grandeur d’âme. J’en remarque beaucoup de sortes : un courage contre la fortune, qui est ph
vertus qu’on exige dans un domestique, votre Excellence connoît-elle beaucoup de maîtres qui fussent dignes d’être valets. LE COMT
ellée du grand sceau de cire jaune ; qu’elle n’est pas comme celle de beaucoup de gens, incertaine et sur parole, et que personne n
e de la fin du siècle d’Auguste, où ils vivoient. Leurs peintures ont beaucoup de grâce et même de vérité ; mais elles sont souvent
ranchit : on pourrait désirer de plaire à ceux même à qui l’on ferait beaucoup de mal, et c’est précisément ce qu’on appelle de la
ant qu’on lui notifiât officiellement sa destinée, et s’exerçant avec beaucoup de peine à prononcer les noms barbares des hommes en
l’ami ou le maître des hommes les plus considérables de notre temps. Beaucoup de ses pensées sont devenues des institutions. Il a
e 23 août 1733, d’une mère française et d’un père savoisien, il avait beaucoup de ce dernier. Il était lion par son père, disait-il
r plus ou moins consolé. »   Ducis, dans ses dernières années, a fait beaucoup de poésies diverses où il exprime ses prédilections,
n peu comme celui de sage en grec. Aux époques de loisir, on y mêlait beaucoup de superflu ; nous l’avons réduit au strict nécessai
’exprime ; pas de vieillesse, sans la prétention de ne pas vieillir ; beaucoup de mobilité, avec un fond et comme un lest de bon se
ète, il n’y a que moi pour improviser. — Sotte coutume ! — Je souffre beaucoup de chanter ainsi. Cela me rappelle tous nos malheurs
hide. 56. On dit encore suer, s’échauffer sous le harnois, se donner beaucoup de peine et être mal à l’aise. Le harnois était l’ar
ait de l’écureuil, cité plus haut. 764. Appareil membraneux qui chez beaucoup de poissons recouvre et protège les branchies par le
52 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
s craindre d’en donner d’excessives. La subjection, qui se rapproche beaucoup de la prolepse, a lieu lorsque, dans une série de pr
r le dernier degré du désespoir ou de la colère. Cette figure demande beaucoup de précaution, surtout dans le genre sérieux. Voici
oésie et à la haute éloquence, et demande-t-elle à être employée avec beaucoup de discernement. 260. Faites connaître les règles de
anger à ces objets ; cependant on ne peut douter qu’il n’ait avec eux beaucoup de liaison, lorsque l’on considère la puissance qu’a
gence. De Bonald. iv. 298. L’effet des mots ne dépend-il pas beaucoup de la place qu’on leur assigne ? L’effet des mots,
53 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
t le style paraît si facile, ne composait en prose ou en vers qu’avec beaucoup de travail, puisque telle de ses fables n’a que deux
deux vers communs avec la première ébauche ; Bossuet corrigeait avec beaucoup de soin ses ouvrages, comme le prouvent ses manuscri
ur un ouvrage, lorsque les traits les plus frappants sont saisis avec beaucoup de précision et de goût, et exprimés avec le coloris
ar l’objet à décrire, la narration, qui est l’exposé des faits, exige beaucoup de naturel dans l’esprit et de fidélité dans l’imagi
-mêmes, au moins pour la personne à qui elles sont adressées. Il faut beaucoup de ménagement, de prudence et de charité, pour annon
54 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
s avoir lu les raisonnements dont il appuie cette conjecture, il faut beaucoup de complaisance pour reconnaître avec lui dans le te
55 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
père. Il se sert d’un syllogisme auquel la forme interrogative donne beaucoup de force : « Quand il s’agit d’un crime aussi affre
uction consiste à tirer une conséquence générale d’un dénombrement de beaucoup de cas particuliers et semblables ; comme serait cel
jamais perdre de vue. Enchaînement des preuves. Les preuves tirent beaucoup de force de la place qu’on leur donne dans le discou
lui sont contraires, il les attaquera avec ménagement, en professant beaucoup de respect pour leur sentiment, et montrant de la co
lui arrive d’avoir à combattre leurs opinions, il doit le faire avec beaucoup de ménagement et de modestie. Les égards, le respect
les choses que l’orateur aura relevées par avance, elle perdra aussi beaucoup de sa force. » (L. VI, c. 1.) Honneur. Honneur. Q
aquant peuvent paraître préparés et recherchés ; dès lors ils perdent beaucoup de leur prix. Le talent de plaisanter vient de la n
era tous ses traits contre l’ennemi ; et en cela même, il faut garder beaucoup de ménagement, car la raillerie ne doit point attaqu
ne peut plus que s’affaiblir. C’est ce que Quintilien développe avec beaucoup de sagacité. Selon lui : « C’est surtout dans les en
issant ou respectable ; dans toutes ces circonstances, on a besoin de beaucoup de finesse et de dextérité pour s’insinuer dans les
ncent par les preuves les plus faibles ; « Car, selon lui, il importe beaucoup de ne pas tromper l’attente des auditeurs. Si on ne
ont fait un chapitre excellent que les jeunes gens peuvent lire avec beaucoup de fruit. (IIIe. Partie, ch. 19.) Appendice. Des
ire. « Nul orateur n’exécutera tout cela dans un discours, s’il n’a beaucoup de génie, d’étude et de savoir. Qu’on ne s’attende d
eindre, Cicéron n’emploie que des mots courts, des phrases coupées et beaucoup de syllabes brèves ; il a même eu soin d’éviter le c
plaisent sans doute. Ces mouvemens vifs et naturels de l’orateur, ont beaucoup de grâce ; les peintures fidèles et animées charment
ui veut se faire lire. Cependant ce ne serait pas encore assez : dans beaucoup de choses on fait trop peu quand on ne fait que ce q
’appelle onction quand elle s’applique à des sujets religieux. Il y a beaucoup de douceur dans le Petit Carême de Massillon ; il y
e la pureté du langage, n’est pas l’usage du peuple, ni même celui de beaucoup de sociétés ; c’est celui des gens instruits, des ge
sont lourds et difficiles à prononcer. Ceux au contraire où il entre beaucoup de voyelles sont légers et faciles. La lettre r est
oquence qui ne cause point d’admiration et de surprise, ne mérite pas beaucoup de louange. » (Rhet. ad Heren., l. III). Nécessité
oins les raisons que l’adversaire ne manquerait pas de présenter avec beaucoup de force. On leur ôte ainsi le mérite et l’effet de
otre conduite : je ne méprise pas vos pensées, c’est-à-dire j’en fais beaucoup de cas. Dans le Cid, acte III, sc. IV, Chimène dit à
t à la tribune des discours écrits ; aussi leurs argumens perdent-ils beaucoup de leur chaleur. Ceux même qui écrivent avec éloquen
tilien, après avoir avoué que le talent de parler sur-le-champ dépend beaucoup de l’exercice, enseigne la manière de s’y exercer. I
sse sous le poids dont on le charge. Il faut beaucoup lire, mais non beaucoup de choses : Multùm legendum, non multa. (Plin. Jun.,
, le murmure des ruisseaux, etc. Par quels moyens. Un poëte n’a pas beaucoup de peine à ne se servir que de mots composés de voye
56 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101
mment que les Grecs, imaginé des sujets de pure invention. Nous eûmes beaucoup de ces ouvrages du temps du cardinal de Richelieu  c
57 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Marc Girardin Né en 1801 » pp. 275-278
la difficulté de l’œuvre qui m’a arrêté1… Voilà pourquoi, ayant fait beaucoup de projets sur ce sujet, je n’en publie aujourd’hui
58 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
i serait d’autant plus facile à faire que cet ouvrage est, au dire de beaucoup de juges compétents, agréable à lire. Dans le Style
59 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
es louanges doivent être ingénieuses, mais naturelles, exprimées avec beaucoup de délicatesse, et accommodées au sexe, à la naissan
r en ce genre de poésie, il faut une grande finesse dans l’esprit, et beaucoup de délicatesse dans le sentiment. Les Français y ont
60 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
trouvaient toutes les preuves possibles. Ramus, qui semble y attacher beaucoup de prix, blâme Aristote et quelques autres de n’avoi
ptés pour rien ; vous en serez dépouillés devant J.-C. Qui sont-ils ? beaucoup de pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
jugement, dans la disposition. Il ne suffit pas de montrer à l’esprit beaucoup de choses, dit Montesquieu, il faut les montrer avec
ective d’une longue discussion. Il faut donc travailler l’exorde avec beaucoup de soin et de scrupule : cette partie étant écoutée
ront, ce serait se mettre en risque d’échouer ; l’orateur a besoin de beaucoup de dextérité pour ramener les esprits. C’est alors q
plus longs que quand ils se piquent de brièveté ! Ils tâchent de dire beaucoup de choses en peu de mots, au lieu de se borner à un
toyens de Capoue, furent admis à ce repas ; et le dernier obtint avec beaucoup de peine cette grâce pour son fils Pérolla, dont les
nfusion et quelque embarras dans l’esprit. Cette partie demande alors beaucoup de précision, d’adresse et de discernement, pour rap
style précis est opposé le style diffus, qui consiste à dire peu avec beaucoup de paroles. Je me suis habillé ce matin, je suis sor
us trouvons dans ces vers beaucoup d’emphase, et dans ceux de Virgile beaucoup de vérité. Sitôt qu’il commence à parler de l’Etna,
indre, Cicéron n’emploie que des mots courts, des phrases coupées, et beaucoup de syllabes brèves. Il a même eu soin d’éviter le co
age peut être long et concis, lorsqu’il embrasse un sujet qui fournit beaucoup de pensées ou de faits ; une réponse, une lettre, ne
r, dans les IIIe et IVe livres de sa Poétique, a épuisé ce sujet avec beaucoup de patience et d’érudition. On aurait tort cependant
dialogue entre lui-même et l’accusateur ; supposition oratoire qui a beaucoup de rapport avec la subjection : « Roscius a voulu dé
oins les raisons que l’adversaire ne manquerait pas de présenter avec beaucoup de force : elles perdent ainsi le mérite et l’effet
perio parere potissimum velles ? (Cic., pro C. Rabirio, c. 8.) Il y a beaucoup de rapport entre cette figure et la permission, par
ussi que Démosthène n’y attache tant de prix que parce qu’il avait eu beaucoup de peine à perfectionner en lui ce mérite, et que, p
61 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
exprès, épargnassent aux maîtres la peine nécessaire pour feuilleter beaucoup de volumes, et aux élèves des frais considérables po
esprits infirmes plus violemment que le mal même ; ils croient faire beaucoup de se garantir de l’agitation par la chute, et préfè
ois de loisir pour cela, et que nous consommerions devant cette place beaucoup de millions d’or et beaucoup de milliers d’hommes po
ue nous consommerions devant cette place beaucoup de millions d’or et beaucoup de milliers d’hommes pour l’avoir peut-être dans tro
ité soutenue de si bonne grâce, et avec tant de force, vaut mieux que beaucoup de prospérités et de victoires. II ne me sembla pas
 : il achève en quelque sorte la culture des esprits, en leur offrant beaucoup de qualités accessibles qui les fécondent et qui les
rien ; vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ : qui sont-ils ? Beaucoup de pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
e laissa d’elle. Mais, hélas ! ce portrait qu’elle s’était tracé Perd beaucoup de son lustre et s’est bien effacé ; En vous considé
u depuis le collège Louis-le-Grand, céda à un entrainement qui a fait beaucoup de victimes, et embrassa la vie de théâtre. Si dans
ns aller tout sens dessus dessous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de chos
, Et de nous signaler par quelque découverte. TRISSOTIN. On en attend beaucoup de vos vives clartés, Et pour vous la nature a peu d
e de Sévigné. » MM. Nisard et Sainte-Beuve l’ont aussi appréciée avec beaucoup de justesse. Déjà de son temps Mme de La Fayette l’a
gnols et les petits oiseaux ont reçu avec un grand plaisir, mais sans beaucoup de respect, ce que je leur ai dit de votre part. » O
a grandeur de l’esprit de Bossuet, dit fort bien M. Nisard, a caché à beaucoup de gens sa sensibilité, comme la douceur des vers de
contre Alexandre (voy. notamment Épît. xciv), et qui a été imité par beaucoup de poètes. Ce prince a été fort bien jugé par Montes
que pour : Plût au ciel qu’il ne pût l’éteindre… 381. Ici, comme en beaucoup de passages, il serait curieux de rapprocher Aristot
le profane et un Dieu avec un homme, sa mort, humainement parlant, a beaucoup de rapport avec celle de Socrate. » 402. Dans cet
n : « Bien que la diction savante et énergique de Rousseau paraisse à beaucoup de juges le plus parfait modèle, il est permis de cr
collection des classiques français, Lefèvre, 1825, on consultera avec beaucoup de profit celle que MM. de Latour ont donnée chez Ch
sur la plupart des écrivains de l’époque classique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux Histoires de la littérature frança
etit loup. — C’est l’occasion de rappeler le goût de La Fontaine pour beaucoup de mots de notre vieille langue, qu’il a voulu sauve
aurait trop recommander la lecture. 683. Espèce de paillasse qui eut beaucoup de vogue de 1620 à 1630, et qui s’était établi sur l
0, et qui s’était établi sur la place Dauphine. Sous son nom ont paru beaucoup de farces burlesques. 684. On l’appelait le Singe d
gences de détail. On ne saurait non plus, sans injustice, lui refuser beaucoup de charme et de vigueur dans la peinture des passion
raient fermer les yeux à la faiblesse du style, se succédèrent encore beaucoup de pièces dont le nom seul et quelques vers ont surv
62 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Simon 1625-1695 » pp. 144-147
rendre heureuse. Beaucoup d’esprit naturel et facile l’y seconda, et beaucoup de qualités aimables lui attachèrent les cœurs, tand
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lamennais 1782-1854 » pp. 243-246
y a de mieux dans cette Europe si corrompue. Sans doute elle renferme beaucoup de mal mais le mal y est moins mauvais qu’ailleurs,
64 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
é : = Quand on a des connaissances étendues, de grands sentiments, et beaucoup de jugement, on peut se consoler d’avoir peu de fort
nce, largement. Ainsi il doit être suivi de l’article : = Cet homme a beaucoup de vertu, et bien de la vertu ; beaucoup de courage,
de l’article : = Cet homme a beaucoup de vertu, et bien de la vertu ; beaucoup de courage, et bien du courage. Remarque essentie
ice ; et l’adresse qu’il mettait en usage, le faisait venir à bout de beaucoup de choses. Il faut éviter avec soin ces sortes de co
lorsqu’il s’agit, comme ici, de s’exprimer vivement, et de renfermer beaucoup de sens en peu de paroles, surtout lorsqu’une violen
65 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
vec vous que les belles-lettres et les sciences ont causé quelquefois beaucoup de mal. Les ennemis du Tasse firent de sa vie un tis
e vers à personne ; que je n’en ai que trop fait, que j’en ai donné à beaucoup de jeunes gens, ainsi que de l’argent, sans que ni e
en qualité d’homme établi en Hollande, était son ennemi, et avait dit beaucoup de mal de la prose et de la poésie de Sa Majesté à l
66 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
t souvent à de méchantes actions pour les tous faire payer après avec beaucoup de rigueur. Enfin, personne n’a jamais tant fait et
l avait jugé expédient799 pour sa santé de se retirer800, ayant perdu beaucoup de sa belle humeur passée par le chagrin et par la p
e pas auprès de vous pour vous consoler. Je vois que vous prenez avec beaucoup de patience le mal que Dieu vous envoie, et que vous
sées votre maladie, combien j’ai de joie de votre guérison. Vous avez beaucoup de grâces à rendre à Dieu, de ce qu’il a permis qu’i
ous vous acquitterez de toutes les obligations que vous lui avez, par beaucoup de soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Vo
soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Votre lettre m’a fait beaucoup de plaisir ; elle est fort sagement écrite, et c’éta
er si on ne se hâte d’aller au-devant du mal dès la première enfance. Beaucoup de gens qui n’approfondissent guère concluent de ce
mon asile dans quelque province éloignée où l’on voit peu d’argent et beaucoup de denrées, et où règnent l’abondance et la pauvreté
nce, si le temps me le permettait.... J’ai remarqué, par exemple, que beaucoup de petits marchands livrent leurs marchandises à un
« Il faut, monsieur, que tout le monde vive ». J’ai observé aussi que beaucoup de gens du petit peuple ne marchandent jamais, lorsq
s : « Ces messieurs sauvages et ces dames sauvagesses. » Il se louait beaucoup de la légèreté de ses écoliers ; en effet, je n’ai j
ous les haillons dont on l’avait couverte. Elle dégagea son bras avec beaucoup de répugnance et de pudeur des lambeaux de la misère
de où j’ai erré ! C’est un privilège du voyageur de laisser après lui beaucoup de souvenirs, et de vivre dans le cœur des étrangers
qu’il lança contre le gouvernement, et qui sont en effet écrits avec beaucoup de verve et dans un style d’une grande pureté, et l’
tagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant, un sentier qu
en eut coûté cinq mille. Pendant plusieurs mois, cette bête me donna beaucoup de peine ; il fallait quatre ou cinq hommes pour la
cessible à la cavalerie ; car, malgré l’aide de nos fantassins, j’eus beaucoup de peine à passer par-dessus ce sanglant et affreux
Mais ce dernier élan ayant épuisé les forces de Lisette, qui perdait beaucoup de sang, cette pauvre bête s’affaissa tout d’un coup
au peuple. Un long et sourd gémissement s’éleva autour de Whitehall ; beaucoup de gens se précipitaient autour de l’échafaud pour t
’eux. Tu verras, en avançant dans la vie, que le principal défaut, de beaucoup de gens, c’est de ne pas savoir se suffire à eux-mêm
, de l’être à tous les moments de la journée. On fait ainsi beaucoup, beaucoup de bien : on établit autour de soi comme une atmosph
es qu’il avait épousées à la manière des anciens chefs germains, sans beaucoup de cérémonie1512, il lui sembla qu’il menait une vie
ôté des Français. Notre armée exténuée de fatigue, traînant avec elle beaucoup de soldats blessés qui, pouvant marcher, avaient vou
cile, un vernis d’éducation qui aidait en lui à la ruse. Il affectait beaucoup de politesse et ne manquait pas de moyens de persuas
de le saisir hors de sa tanière, quoiqu’il en sortît souvent et sans beaucoup de précautions apparentes. C’était un homme qui avai
i, ouvrit la porte, et, lui demandant pardon de son inadvertance avec beaucoup de civilité, lui offrit son bras pour le reconduire
r de l’accuser injustement, et, affectant de lui parler toujours avec beaucoup de politesse et de douceur, il prit les autres à tém
’action de presque tous leurs récits. Ils en ont peint les mœurs avec beaucoup de naturel et de bonhomie, soit dans leurs Contes fa
buis, qui sentaient bon, des cahiers cartonnés, des livres neufs avec beaucoup de notes dans le bas ; moi, mes livres étaient de vi
ttirail de postillon, casquette, fouet, guides et grelots. Il y avait beaucoup de grelots. J’attelai ; c’est moi que j’attelai à mo
Poitiers j’ai vécu comme vit la jeunesse ; J’étais en ces lieux-là de beaucoup de métiers2122 ; Mais Paris, après tout, est bien lo
rt bien Qu’à ne le point flatter son sonnet ne vaut rien. Trissotin. Beaucoup de gens pourtant le trouvent admirable. Vadius. Cel
mode ; elle sent son vieux temps. Vadius. La ballade pourtant charme beaucoup de gens. Trissotin. Cela n’empêche pas qu’elle ne m
èmes ou plutôt deux suites de poésies dans lesquelles il déplore avec beaucoup de grandeur et de pathétique l’abaissement politique
u’on a conté, Et, quoique vivant de paille menue, Elle a dans le cœur beaucoup de bonté. « Mangez, lui dit-elle, ouvrez mon armoire
ls des bonnes vignes ? Tes propos sont désobligeants.... Écoute bien. Beaucoup de gens Boivent du vin, c’est vrai ; mais tous n’en
voyant aussi. 245. N’était pas très demandée, ne donnait pas lieu à beaucoup de commandes, — peut-être pour la raison alléguée ci
meux justaucorps. 898. Du jeu. Le chevalier de Gramont était, comme beaucoup de ses contemporains, joueur effréné. 899. Je vous
péra-comique, le Devin de village (1752), qui eut, au xviiie siècle, beaucoup de succès, et il a laissé plusieurs écrits sur la mu
souvent l’article emphatique le devant son nom, comme devant celui de beaucoup de grands hommes italiens, le Tasse, le Titien, le C
un épisode de ses Métamorphoses. Notre La Fontaine l’a racontée avec beaucoup de charme et beaucoup d’esprit, quoique un peu longu
496. 2121. . Aux royaumes du Code, à la Faculté de droit. 2122. De beaucoup de métiers : j’ai eu des aventures très variées. 21
. Ce nom vient d’un mot grec qui signifie vieillard ; il est commun à beaucoup de pères de la comédie classique. 2138. On a souven
2396. Fées, les Muses. Malherbe les avait déjà appelées ainsi avec beaucoup de bonheur. 2397. Les Orphées, les poètes. — Orphé
rare dans l’épigramme. Celle-ci est charmante : car elle exprime avec beaucoup de simplicité et de naturel un sentiment vrai, profo
2599. Des rubans, des décorations. Béranger veut dire sans doute que beaucoup de gens se sont disputé et se disputent encore des d
t d’accablement. Mais c’est un de ces procédés dont il faut user avec beaucoup de réserve, et qui ne valent qu’autant qu’ils sont e
par la dextre, cheval de parade ; mais on voit que Vigny emploie sans beaucoup de précision les mots de palefroi et de destrier, da
67 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
tu doit être le principe du gouvernement populaire Il ne faut pas beaucoup de probité pour qu’un gouvernement monarchique et un
e dans ses ouvrages ; aussi sont-ils plus brillants qu’instructifs. «  Beaucoup de douceur, assez de gaieté, une égalité parfaite, u
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
 ; car il est impossible de parler beaucoup, sans dire nécessairement beaucoup de riens ; et un vieux proverbe a dit il y a longtem
69 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
nt, mais ce n’est qu’autant qu’ils le permettent, et on doit y garder beaucoup de mesure. Il y a de la politesse, et quelquefois mê
70 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164
collection des classiques français, Lefèvre, 1825, on consultera avec beaucoup de profit celle que MM. de Latour ont donnée chez Ch
71 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
isseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages beaucoup de citations ou de remarques dont la nouveauté peut
72 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Courier 1773-1825 » pp. 238-242
ntagnes les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant, un sentier qu
73 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
nus : c’est presque une foule. Regardons de près leur idéal. J’y vois beaucoup de luxe imité de luxe d’autrui, et qui n’a même pas
74 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
isseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages beaucoup de citations ou de remarques dont la nouveauté peut
75 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
isseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos pages beaucoup de citations ou de remarques dont la nouveauté peut
t. J’ai l’action122 fort aisée, et même un peu trop, et jusqu’à faire beaucoup de gestes en parlant. Voilà naïvement comme je pense
e sais la goûter aussi, lorsqu’elle est enjouée ; et si je ne dis pas beaucoup de petites choses pour rire, ce n’est pas du moins q
patiemment leurs mauvaises humeurs :135 seulement je ne leur fais pas beaucoup de caresses, et je n’ai pas non plus de grandes inqu
’est personne. Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu’avec beaucoup de soin on ait épié l’heure ; et l’on a choisi juste
étaient en peine347 de trouver leur roi, qui s’était perdu, et ayant beaucoup de ressemblance de corps et de visage avec ce roi, i
t pas assez de pensées qui leur plaisent. La nature est déplaisante à beaucoup de monde, parce que les images qu’elle fournit, n’ét
que leur propre grandeur, et qu’elles leur parlent peu d’eux-mêmes et beaucoup de Dieu : c’est l’avantage de la solitude 382. L’
Je les ai données à Mme de Montespan601, et elles lui ont fait verser beaucoup de larmes. Et certainement, Sire, il n’y a point de
ur Clermont, où tous les messieurs des grands jours se rendirent avec beaucoup de bruit et autant de magnificence qu’ils purent624.
de mamelle. Il m’a été comme ma conscience, et m’a dicté à l’oreille beaucoup de bonnes honnêtetés et maximes excellentes pour ma
usées votre maladie combien j’ai de joie de votre guérison. Vous avez beaucoup de grâces à rendre à Dieu de ce qu’il a permis qu’il
ous vous acquitterez de toutes les obligations que vous lui avez, par beaucoup de soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Vo
soumission à tout ce qu’elle désirera de vous. Votre lettre m’a fait beaucoup de plaisir ; elle est fort sagement écrite, et c’éta
aissez ; de là, elles vinrent en bon ordre de bataille me saluer avec beaucoup de mousquetades. L’air est déjà tout obscurci par la
termine hideusement en un noir poisson 835. » Les savants se donnent beaucoup de peines pour découvrir en quelle occasion cette mé
rien ; vous en serez dépouillés devant Jésus-Christ : qui sont-ils ? beaucoup de pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
rendre heureuse. Beaucoup d’esprit naturel et facile l’y seconda, et beaucoup de qualités aimables lui attachèrent les cœurs, tand
t sur le gazon, sur les chardons, sur la fougère, et, sans se soucier beaucoup de ce qu’on lui fait porter, il se couche pour se ro
ous ne me désapprouverez pas ; car je n’ai pas d’autre moyen d’éviter beaucoup de choses désagréables1260. Je serai donc enrhumé po
mon asile dans quelque province éloignée où l’on voit peu d’argent et beaucoup de denrées, et où règnent l’abondance et la pauvreté
vertus qu’on exige dans un domestique, Votre Excellence connaît-elle beaucoup de maîtres qui fussent dignes d’être valets ? Le co
s fumes à l’entrée du vallon, des noirs nous dirent que la mer jetait beaucoup de débris dans la baie. Nous y descendîmes, et le pr
tagnes, les chemins sont des précipices ; nos chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant, un sentier qu
y a de mieux dans cette Europe si corrompue. Sans doute elle renferme beaucoup de mal ; mais le mal y est moins mauvais qu’ailleurs
au peuple, Un long et sourd gémissement s’éleva autour de Whitehall ; beaucoup de gens se précipitèrent au pied de l’échafaud pour
ent. Au prix de ces soins, l’homme finit par exister, et Dieu aidant, beaucoup de révolutions s’opérant sur la terre, les empires c
uple qui lui donne sa forme. Notre sol est comme notre société : il a beaucoup de physionomie ; on y reconnaîtrait la diversité des
nus : c’est presque une foule. Regardons de près leur idéal. J’y vois beaucoup de luxe imité du luxe d’autrui, et qui n’a même pas
ourgeois entiché de noblesse. 228. Au xviie siècle, il y avait déjà beaucoup de larrons de noblesse. Voir La Bruvère. 229. C’est
l’honneur de votre amitié, si on la mérite par une sincère estime et beaucoup de vénération pour votre vertu. Je n’ai point changé
convient à la condition des personnes. 886. Fénélon unit toujours à beaucoup de vertu beaucoup d’ambition généreuse et de dextéri
re a dit : « L’ennui est entré dans le monde par la paresse ; elle a beaucoup de part à la recherche que font les hommes des plais
s encore ! Du bon sens plus que de science, et pour toute philosophie beaucoup de christianisme ; une maison propre et commode ; un
76 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
i ; si je recule, tuez-moi ; si je meurs vengez-moi. On trouve aussi beaucoup de force de sentiment dans ces vers de M. de Lamarti
s feuilles, de Millevoye ; le Cimetière de campagne, de Thomas Gray ; beaucoup de passages de Chateaubriand, et plusieurs élégies d
de toutes les images locales, et on ne doit les transplanter qu’avec beaucoup de précaution. Les images sont aussi plus ou moins f
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123
 : il achève en quelque sorte la culture des esprits, en leur offrant beaucoup de qualités accessibles qui les fécondent et qui les
78 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »
soit tout couvert du sang de Jésus-Christ ? On attribuait autrefois beaucoup de valeur au sonnet ; tout le monde sait le jugement
79 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
e faux et corrompus que puissent être ces principes. Cependant, comme beaucoup de personnes ne cherchent à être ni écrivains ni ora
der comme sublime tout ce qui plaît dans une belle composition. Aussi beaucoup de passages qu’il cite comme des exemples de sublime
fréquents exemples du style sublime. L’intervention des dieux ajoute beaucoup de noblesse à ces scènes gracieuses ; aussi Longin r
tends pas faire la censure de l’ouvrage de M. Addison, où se trouvent beaucoup de passages d’un très grand mérite ; la belle compar
’est que, dans leur langue, les Grecs et les Romains avaient conservé beaucoup de cette prononciation musicale et des gestes qui l’
trouvons non seulement un pluriel, mais encore un duel. On peut, avec beaucoup de vraisemblance, attribuer l’origine de cette espèc
sont devenus tout à fait indéclinables. Le docteur Adam Smith a jeté beaucoup de clarté sur cette matière dans son ingénieuse diss
utonique que parlaient les vainqueurs. Ainsi le français eut toujours beaucoup de rapports avec le latin, et un très grand nombre d
nédictions que sa main a répandues sur vous. » On trouve dans Cicéron beaucoup de périodes du même genre. Le style coupé est celui
lle. Je dois faire observer que nos traducteurs de la Bible ont, dans beaucoup de passages, adapté très heureusement la cadence de
ison entre des idées que nous devons au même organe. Un poète n’a pas beaucoup de peine à ne se servir que de mots composés de voye
pendant quarante ans sans savoir ce que c’était que la prose, de même beaucoup de personnes se servent fort à propos d’expressions
la ressemblance met entre un objet et un autre objet ; aussi a-t-elle beaucoup de rapports avec la similitude ou la comparaison ; e
en voyons la preuve dans cet exemple. On finit de cette manière avec beaucoup de grâce, et on laisse dans l’esprit du lecteur une
soupçonnée ; et ils ont tellement outré leurs métaphores, qu’il faut beaucoup de sagacité pour les suivre et les comprendre. Ces s
res, et en faisant attendre le vent, » il devient languissant et perd beaucoup de sa dignité. Je ne connais aucun auteur anglais pl
re admises dans les descriptions, il faut cependant n’en user qu’avec beaucoup de réserve, et ne pas les présenter trop brusquement
use. Pope, fort amateur des antithèses, s’est très souvent servi avec beaucoup de succès de celle dont il est ici question. Ainsi d
concises. Cette opinion n’est pas celle de tout le monde ; car il y a beaucoup de personnes qui pensent qu’un auteur est plus libre
vains ; il en est qui, avec un style très développé, ont su conserver beaucoup de force. Tite-Live en est un exemple, et en anglais
ner de l’admiration qu’il a si souvent excitée. Cependant, il se fait beaucoup de tort par sa roideur et son affectation ; et c’est
cun d’eux est si fortement empreint dans tous leurs écrits, que, sous beaucoup de rapports, ce parallèle est très facile. Démosthèn
es succès, voyant que personne ne s’oppose à ses conquêtes, n’enfante beaucoup de projets chimériques ; je ne crois pas toutefois q
harangue, extrêmement simple et modéré ; et quoiqu’il s’exprime avec beaucoup de chaleur et d’intérêt, il est constamment en garde
sion. C’est une grave erreur. Les épithètes ont souvent, il est vrai, beaucoup de beauté, beaucoup de force ; mais si on les répand
e erreur. Les épithètes ont souvent, il est vrai, beaucoup de beauté, beaucoup de force ; mais si on les répand sans discernement,
et dans les précédents, ont publié des sermons. L’on trouve parmi eux beaucoup de noms infiniment respectables. Leurs ouvrages sont
 ; le récit n’en sera que plus frappant et plus clair. Cicéron montre beaucoup de talent pour la narration, et, sous ce rapport, l’
80 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
inquiète sur l’avenir est malheureuse. — 10. Nous avons naturellement beaucoup de goût et d’ardeur pour le bien. — 11. Nous vantons
i, patriæ servatori, aquâ et igne interdictum est. corrigé. 1. Beaucoup de gens font un mauvais usage de la fortune, de la n
t toujours la même faute est sans excuse. — 3. Nous sommes avertis de beaucoup de choses par les présages. — 4. Empédocle se trompe
de beaucoup de choses par les présages. — 4. Empédocle se trompe sur beaucoup de points, et surtout il se fourvoie honteusement da
dire. — 6. Le sage fera ce qu’il y a de mieux à faire. — 7. Il arrive beaucoup de choses pénibles à supporter. — 8. Ésope a donné d
est à peu près moitié plus petite que la Bretagne. — 7. Le soleil est beaucoup de fois plus gros et plus volumineux que la terre. —
ùs stercoris quærit, siccus minùs. corrigé. 1. La paix apporte beaucoup de joie. — 2. Les mauvais exemples font beaucoup de
1. La paix apporte beaucoup de joie. — 2. Les mauvais exemples font beaucoup de mal. — 3. Combien de vin absorbait Antoine ! — 4.
’audace, l’impiété sont-elles en honneur ? — 2. On avait à Lacédémone beaucoup de considération pour l’âge ; en aucun pays du monde
souffle de vie, il a de l’espoir. — 2. La république d’Athènes montra beaucoup de prudence tant que dura sa suprématie. — 3. Galba
ps en charge. — 10. Plusieurs historiens ont rapporté que César avait beaucoup de goût pour la parure et les raffinements du luxe. 
position défavorable. — 7. Prenez garde de gâter, par un seul défaut, beaucoup de bonnes qualités. — 8. Gardez-vous de parler ou d’
r lui avaient fait un mérite de savoir peindre, il y aurait eu à Rome beaucoup de peintres distingués ? — 7. Tibère reprocha à un h
e de n’avoir aucun mal. — 4. Trop de confiance cause presque toujours beaucoup de mal. — 5. Cicéron défendit avec beaucoup de zèle
ce cause presque toujours beaucoup de mal. — 5. Cicéron défendit avec beaucoup de zèle Aulus Gabinius, accusé de concussion. — 6. J
ient à la plus grande partie de l’Afrique, les Cyrénéens eurent aussi beaucoup de puissance et de richesses. — 4. Régulus dit dans
graver extrêmement. — 4. On dit qu’il faut lire beaucoup, et non lire beaucoup de choses ; en effet, la multitude des livres ne ser
ingratitude. — 3. Nous voyons dans Homère Ajax marcher au combat avec beaucoup de gaieté, lorsqu’il allait se battre contre Hector.
81 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
it suivant : Un convive, emporté par l’ivresse, avait tenu contre lui beaucoup de propos injurieux, et il ne manquait pas de gens q
exandre mourut vivement regretté des Perses, qu’il avait traités avec beaucoup de douceur, mais nullement des Macédoniens, que révo
ses, ou se réjouir des bonnes. La pratique de la bienfaisance demande beaucoup de précautions. Il faut d’abord prendre garde que no
ifice expiatoire. Version XXXVIII. Utilité de l’amitié. 38. Beaucoup de gens dédaignent les richesses : contents de peu,
ntents de peu, ils aiment une table frugale et de modestes vêtements. Beaucoup de gens font si peu de cas des honneurs, pour lesque
e sauver un homme qui l’avait puni avec tant de rigueur. C’était déjà beaucoup de sacrifier son ressentiment ; à cette générosité,
ble chars][texte coupé]vaient épargnés d’abord pour les vendre. Aussi beaucoup de [illisible chars][texte coupé]es malheureux prévi
le chars][texte coupé]isères de la vie ; et quand vous aurez parcouru beaucoup de [illisible chars][texte coupé]hoses, choisissez d
andrie est la cité dominante parmi toutes celles de Egypte. On y voit beaucoup de choses remarquables, dues la magnificence de son
e la côte, remplies de perfides écueils, exposaient les navigateurs à beaucoup de périls, lorsque Cléopâtre imagina de bâtir à l’en
s. Séduits par de [illisible chars][texte coupé]si grands priviléges, beaucoup de Gaulois viennent à cette école de leur propre mou
La mer fournit encore aux cités, par les prises ou les importations, beaucoup de pernicieux excitants pour le luxe ; et il y a déj
ntérêts, passionné pour l’intérêt public, à un grand cœur il joignait beaucoup de hardiesse et de prudence. Il connaissait à fond l
es. Que le maître fasse entendre tous les jours, de sa propre bouche, beaucoup de choses que ses auditeurs emporteront avec eux. En
également. On peut se distinguer dans la paix, comme dans la guerre. Beaucoup de gens sont cités avec honneur, les uns, pour leurs
ns cette profusion extraordinaire, il doit nécessairement en échapper beaucoup de frivole, de froides, d’insipides. Il a voulu que
quelque jour au profit de l’intrigue, comme je vois qu’il arrive dans beaucoup de localités, où les maîtres sont rétribués sur les
es écrits dans notre langue, parce que la lecture en est plus facile. Beaucoup de choses passent sans que nous y donnions une atten
mais notre défaut d’application en émousse la finesse ; et il échappe beaucoup de choses qu’on ne regarde pas, ou qu’on pèse trop l
encore à tous ceux dont il attend quelque service (car il a besoin de beaucoup de monde) ; et du moins, lorsqu’il s’acquitte de que
82 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Supplément aux exemples. »
ns. Du bruit, du vide, amis, voilà, je pense,          Le portrait de beaucoup de gens. Gaudy. * Le Pinson et la Pie.          —
83 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
si, il suffira de rappeler que Montesquieu, qui jugeait Voltaire avec beaucoup de sévérité, trouvait cependant admirable le récit d
84 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
partie d’un plus grand nombre, comme la plupart de, une infinité de, beaucoup de , peu de, etc. Les noms partitifs, suivis d’un nom
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14
eux que l’accoutumance ne le rende supportable. Il y a, ce me semble, beaucoup de rapport entre la perte d’une main et d’un frère3 
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
vole à tout sujet ; Je vais de fleur en fleur, et d’objet en objet. A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire. J’irais plus h
éonasme. 2. Il parait qu’en voyageant dans ce pays La Fontaine y vit beaucoup de bossus, ce qui lui inspira cette fantaisie. 3. C
ria). 6. S’en courut. En, particule séparable qui se mettait devant beaucoup de verbes neutres, tels que aller, courir, etc., et
87 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
833 qui étes le sang de Numa-Pompilius, 834censurez des vers 835que beaucoup de jours 836et beaucoup de ratures 837n’ont pas co
uma-Pompilius, 834censurez des vers 835que beaucoup de jours 836et beaucoup de ratures 837n’ont pas corrigés 838et n’ont pas c
borne désirée 1190au-combat-de-la-course, 1191a supporté et a fait beaucoup de choses 1192 quand il était jeune ; 1193il a su
s (les grands, les riches) 1253sont dits presser (éprouver) 1254par beaucoup de coupes-pleines, 1255et torturer par le vin 1256
es, de se livrer à toute sorte de distractions, de voyager ou de voir beaucoup de monde. — 2. Hic dum, sublimis, versus ructatur. J
88 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
seigneurs et freres, ie ne doubte point que vous n’aiez journellement beaucoup de nouvelles tant d’icy que d’Allemaigne qui pourroi
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Massillon 1643-1743 » pp. 133-138
re a dit : « L’ennui est entré dans le monde par la paresse ; elle a beaucoup de part à la recherche que font les hommes des plais
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
pillés de l’espagnol ; et cette pièce, quoique mauvaise, avait causé beaucoup de chagrin à Corneille. (Édition de 1739.) L’Auteur
91 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
Employés pour faire l’exposition, ils ne peuvent manquer d’y répandre beaucoup de froideur, parce que leur rôle fort secondaire ne
simple dialogue des personnages, par une espèce de chant qui approche beaucoup de l’accent naturel de la parole, et qu’on appelle r
ue la comédie larmoyante ? La comédie larmoyante est celle où il y a beaucoup de situations pathétiques ou attendrissantes. Ce gen
d’Inès de Castro, de Lamotte, sous le titre d’Inès de Chaillot, a eu beaucoup de succès dans le temps. Boileau a fait la parodie d
92 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
né. » MM. Nisard et Sainte-Beuve l’ont aussi appréciée récemment avec beaucoup de justesse. Déjà de son temps, Mme de La Fayette l’
93 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
u depuis le collége Louis-le-Grand, céda à un entrainement qui a fait beaucoup de victimes, et embrassa la vie de théâtre. Si dans
94 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-8
rriver, il se trouve que nous avons imité les enfants, qui se donnent beaucoup de peine à faire des maisons de cartes que le moindr
95 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
merveille résumer une série d’idées dans une rapide image. 4. C’est beaucoup de pouvoir dire avec Musset : Mon verre n’est pas g
96 (1873) Principes de rhétorique française
Aux vertus qu’on exige d’un domestique, Votre Excellence connaît-elle beaucoup de maîtres qui fussent dignes d’être valets ? C’est
ptés pour rien ; vous en serez dépouillés devant J. C. Qui sont-ils ? Beaucoup de pécheurs qui ne veulent pas se convertir ; encore
er la place précise de chaque chose. Il ne s’agit pas tant de montrer beaucoup de choses que de les montrer avec ordre, c’est-à-dir
et des temps, c’est d’ordinaire le meilleur moyen de donner au récit beaucoup de clarté. Là surtout, il convient de tenir un milie
g. C’est une confusion commune de croire qu’on abrège parce qu’on dit beaucoup de choses avec très peu de mots : abréger c’est supp
n des aspects sous lesquels son sujet peut être envisagé ; il gagnera beaucoup de temps par la régularité même de sa marche, au lie
l est indispensable dans les résumés. L’emploi de la période réclame beaucoup de goût et de mesure. C’est l’abus du style artifici
ronie est une forme de    plaisanterie gui    doit être employée avec beaucoup de retenue et de mesure. VII. La réticence dit plus
et sa précision. Mérite non commun ni facile de clore en peu de mots beaucoup de sens. Courier. Le premier soin en vue de la p
eureuse : Un déluge de mots, sur un désert d’idées. Peu de sens avec beaucoup de mots, dit Pope, comme peu de fruits avec beaucoup
Peu de sens avec beaucoup de mots, dit Pope, comme peu de fruits avec beaucoup de feuilles. À ce sujet, évitez avec soin les paren
on fait de trop grands mouvements et l’on réussit moins en se donnant beaucoup de peine. Enfin personne n’a trouvé, pour peindre e
rtie ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaud.    Joubert a dit avec beaucoup de sens : Toutes les formes du style sont bonnes, p
êmes à la place qu’ils occupent ; des phrases coupées sans symétrie ; beaucoup de réserve dans l’emploi des figures ; peu de hardie
t de Mme de Sévigné à Pascal, de Bossuet à. Molière, on acquerra sans beaucoup de peine et à coup sûr une flexibilité remarquable d
xpression, une délicatesse de goût qu’on n’obtiendrait pas autrement. Beaucoup de persévérance et un peu de réflexion suffisent pou
ter du juste milieu qui consiste à se régler sur le besoin. Avez-vous beaucoup de choses à dire ? Vous feriez mal de vous resserrer
lament une méthode rigoureuse dans les idées et dans le raisonnement, beaucoup de clarté et de précision dans le style. II. Le car
97 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
imer d’une manière agréable. Il faut présenter les circonstances avec beaucoup de grâce, les revêtir du coloris le plus propre, et
grande réserve ; car l’abus est tout prêt de l’usage ; et l’on risque beaucoup de s’égarer et de perdre sa cause quand, au lieu d’a
nt assez qu’il devait résulter d’un tel usage une grande monotonie et beaucoup de fadeur. Cependant quelques-uns de ces discours of
98 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
cades, et que chacune d’elles prît un Troyen pour lui verser à boire, beaucoup de décades manqueraient d’échanson. Voilà dans quell
qu’Ulysse a quitté son île sablonneuse d’Ithaque : il lui en a coûté beaucoup de laisser sa jeune femme et son enfant à la merci d
et villannie, et maintenant que j’ay fait semblant de ne veoir point beaucoup de larcins et de pilleries que l’on commet en vos fi
99 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
mmerce est en peu de mains, on voit quelques fortunes prodigieuses et beaucoup de misère ; lorsqu’enfin il est plus étendu, l’opule
100 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
s étaient en peine4 de trouver leur roi, qui s’était perdu ; et ayant beaucoup de ressemblance de corps et de visage avec ce roi, i
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