ir en Caton des vertus et des vices, Décider du mérité et du prix des
auteurs
Et faire impunément la leçon aux docteurs, Qu’éta
vous force à le lire ? Laissez mourir un fat dans son obscurité : Un
auteur
ne peut-il pourrir en sûreté ? Le Jonas inconnu s
e tombeau contre vous ne peut-il les défendre ? Et qu’ont fait tant d’
auteurs
, pour remuer leur cendre ? Ce qu’ils font vous en
r, Sans que le moindre édit ait, pour punir leur crime, Retranché les
auteurs
ou supprimé la rime. Ecrive qui voudra : chacun à
ixième volume3 De là vient que Paris voit chez lui de tout temps Les
auteurs
à grands flots déborder tous les ans ; Et n’a poi
crime : Il cherche à se couvrir de ces noms glorieux. J’ai peu lu ces
auteurs
; mais tout n’irait que mieux, Quand de ces médis
? Et faudra-t-il sans cesse essuyer des querelles ? N’entendrai-je qu’
auteurs
se plaindre et murmurer ? Jusqu’à quand vos fureu
Dites… Mais, direz-vous, pourquoi cette furie ? Quoi ! pour un maigre
auteur
que je glose en passant, Est-ce un crime, après t
te raison trébuche à chaque page, Ne s’écrie aussitôt : L’impertinent
auteur
! L’ennuyeux écrivain ! le maudit traducteur ! A
ance ; Mais de blâmer des vers ou durs ou languissants, De choquer un
auteur
qui choque le bon sens, De railler2 d’un plaisant
u’ont produit mes vers de si pernicieux, Pour armer contre moi tant d’
auteurs
furieux ? Loin de les décrier, je les ai fait par
s, Qu’il soit le mieux renté de tous les beaux esprits, Comme roi des
auteurs
qu’on l’élève à l’empire, Ma bile alors s’échauff
endre encor ces vers pour une raillerie ? Et Dieu sait aussitôt que d’
auteurs
en courroux, Que de rimeurs blessés s’en vont fon
emps déjà, Saint-Evremond l’avait ainsi apprécié : « Il n’y a point d’
auteur
qui fasse plus d’honneur à notre siècle que Despr
Pétrone à nommés vultures togati. 1. Pour tous ces ouvrages et ces
auteurs
inconnus, comme dit très-bien Boileau, on nous pe
n surcharger notre travail. Nous redirons, à leur égard, le vers d’un
auteur
de notre siècle (Cas. Delavigne), qui, dans un su
s’étonner davantage de la variété, du mouvement et de la grâce que l’
auteur
a su répandre sur sa matière. Très-rarement toute
4. Ribou avait été l’imprimeur de plusieurs satires dirigées contre l’
auteur
de Lutrin ; quant à la critique qui concerne Hain
ista sibi tempus spectacula poscit. Quelques vers plus bas, le même
auteur
est encore imité de nouveau. On remarquera, à cet
lume soit indépendant et forme un tout complet), intitulé le Style, l’
auteur
expose les principes généraux de l’art d’écrire,
s à tous les genres de compositions littéraires. Dans le dessein de l’
auteur
, ce volume est destiné à la Troisième. Le volume
ptes de l’art de bien dire, est approprié pour la classe de ce nom. L’
auteur
, dans ces trois volumes, ne marche qu’appuyé sur
r les autres et mettre parfaitement en lumière. Innombrables sont les
auteurs
que M. l’abbé Piron a mis à contribution pour com
e volume offre un plan harmonieux et complet, dans lequel l’estimable
auteur
suit une marche logique, présente des divisions c
livres classiques édités de nos jours ; » que tous enfin louent notre
auteur
« d’avoir mis de la netteté dans son plan, de la
uelque peu arides, offrent néanmoins, par l’art heureux avec lequel l’
auteur
a disposé ses matières, une lecture des plus agré
lique. Voici quelques-unes des très nombreuses lettres adressées à l’
auteur
: Évêché de Saint-Brieuc et Tréguier. Monsieur l
r les richesses littéraires de nos saintes Écritures et de nos grands
auteurs
chrétiens. Votre Cours complet sera suivi avec fr
mpte, en classe, sur la demande du maître, et trahit, de la part de l’
auteur
, une longue expérience de l’enseignement. On retr
réunir les principales qualités de nos meilleurs livres classiques. L’
auteur
y donne le résumé de ses doctes leçons et le frui
élèves des classes supérieures. Je tâcherai de le faire adopter comme
auteur
classique pour nos élèves, dans un avenir prochai
à l’instruction. Le genre didactique comprend donc les ouvrages- où l’
auteur
se propose d’enseigner quelque chose. Ces ouvrage
séder tous, il arrive souvent ; et cela n’a aucun inconvénient, que l’
auteur
, à propos d’une chose, en indique une autre qui s
Le style, dans un traité, n’est pas moins important que la méthode. L’
auteur
didactique doit s’appliquer à tendre nettement se
quelques lignes du deuxième chapitre de la Logique de Condillac, où l’
auteur
prouve que l’analyse est l’unique méthode pour ac
troite et rigoureuse observation de ces règles. Il peut arriver que l’
auteur
s’en écarte un peu, pour donner à son ouvrage une
évention et de passion. Déprécier un ouvrage d’après le nom seul de l’
auteur
, qui, jusque-là, n’en a publié que de médiocres ;
’en a publié que de médiocres ; louer un ouvrage sur le seul nom de l’
auteur
, parce qu’il est déjà connu par d’excellents écri
Je ne mettrai aucune différence entre le Troyen et le Tyrien. » Que l’
auteur
de l’ouvrage qu’il va juger soit son ami ou son e
r qu’il la fréquente. Plus son jugement est sévère et défavorable à l’
auteur
, plus il doit paraître adouci et tempéré par la d
éloquence, livre qui n’a rien de commun avec un autre ouvrage du même
auteur
, publié en 1703, sous le titre de la Véritable él
substituer de plus intelligibles. Ce que je pardonne encore moins à l’
auteur
, si estimable par son savoir et sa probité, c’est
de hasarder mon jugement sur le Traité des études, de M. Rollin ? Cet
auteur
me paraît exceller dans les parties qui manquent
certain nombre de pages, tout vous échappe ; on sait seulement que l’
auteur
a dit des choses ingénieuses, et a souvent parlé
s discussions on ne peut plus remarquables. Pour ne citer ici que les
auteurs
ou les ouvrages les plus connus, et qui roulent s
cier, qui avait traduit Homère elle-même, prit fait et cause pour son
auteur
, et imprima, sous le titre des Causes de la corru
; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le nom de son
auteur
; il l’adresse à un de nos amis, qui vous en pour
n la conduite de mon chef-d’œuvre : appelez-vous cela des civilités d’
auteur
? Je n’aurois besoin que du texte de votre libell
ous en tirez ; vous vous êtes fait tout blanc d’Aristote, et d’autres
auteurs
que vous ne lûtes ou n’entendîtes peut-être jamai
raductions ; vous avez déclamé contre moi, pour avoir tu1 le nom de l’
auteur
espagnol, bien que vous ne l’ayez appris que de m
ait de tort de vous traiter d’égal : vous nommez folies les travers d’
auteur
où vous vous êtes laissé emporter ; et effectivem
t dire : Vous me reprochez, en déclamant, d’avoir tu… 2. Claveret,
auteur
contemporain de Corneille et de Scudéri : il a co
e, qu’elle ne mérite pas la peine d’être rapportée. Plusieurs mauvais
auteurs
affectionnés à Claveret firent, dans ce même temp
ne servirent qu’à faire éclater davantage le mérite du Cid et de son
auteur
. Corneille en voulait à Claveret, parce qu’il ava
voulait à Claveret, parce qu’il avait distribué une pièce intitulée l’
Auteur
du vrai Cid espagnol à son traducteur français, d
se, avait causé beaucoup de chagrin à Corneille. (Édition de 1739.) L’
Auteur
du vrai Cid est en vers et ne se compose que de s
arvenu au sommet de l’arbre. Style des ouvrages didactiques. Un
auteur
didactique ne saurait trop s’appliquer à rendre n
ont pour le critique d’une indispensable nécessité. Il faut qu’avec l’
auteur
de l’excellent Essai sur le beau (le P. André, jé
reuse observation de ces règles, parce qu’il arrive quelquefois que l’
auteur
s’en est un peu écarté pour donner à son ouvrage
aisseur n’admire pas moins le plus grand nombre des Odes sacrées de l’
auteur
de Didon. Au reste, en disant que la critique doi
ncer définitivement et d’un ton de maître, sur des difficultés, que l’
auteur
n’a tenté d’éclaircir, qu’après de bien longues e
e prévention et de passion. Déprécier un ouvrage sur le seul nom de l’
auteur
, qui, jusqu’à celui-ci, n’en a publié que de médi
’en a publié que de médiocres ; louer un ouvrage sur le seul nom de l’
auteur
, déjà connu par d’excellents écrits, ce serait ju
ne mettrai aucune différence entre le Troyen et le Tyrien 126. Que l’
auteur
de l’ouvrage sur lequel il va porter son jugement
oir qu’il la connaît. Plus son jugement est sévère et défavorable à l’
auteur
, plus il doit paraître adouci et tempéré par la d
et de feu, pour réduire en poudre cette infernale production. Mais l’
auteur
doit toujours être personnellement respecté, à mo
tienne, avait composé en grec des Remarques critiques sur les anciens
auteurs
, et d’autres ouvrages de philosophie et de littér
ceux qui veulent s’adonner à ce genre d’histoire, est l’abbé Fleuri,
auteur
de l’Histoire ecclésiastique, écrivain aussi sage
ux, les particularités de leur vie, ou leurs principales actions. Ces
auteurs
étant obligés de parler souvent d’eux-mêmes, doiv
des Carthaginois. Le style en est simple et grave. Mais on accuse cet
auteur
de n’être pas toujours exact et impartial. L’abbé
éros que Rome et la Grèce aient produits. Les comparaisons que fait l’
auteur
de ces Grecs et de ces Romains, sont d’une justes
ion des lieux, les beautés de la nature, et les monuments des arts, l’
auteur
nous trace l’origine des divers habitants de cett
e la fondation de Rome, c’est-à-dire, à l’an 442 avant Jésus-Christ L’
auteur
y montre une grande exactitude, un génie facile,
roi de Macédoine, jusqu’à la sixième année de l’empire de Tibère. Cet
auteur
est exact dans la chronologie, et admirable dans
ur, noble, élégant, fleuri et plein d’urbanité ; Mais on reproche à l’
auteur
quelques fautes de chronologie, de géographie et
des Perses, des Grecs et des Macédoniens. En prenant pour guides les
auteurs
grecs et les latins, il a recueilli tout ce qu’il
omaine, ou si l’on veut, le recueil des faits divers, dans lesquels l’
auteur
découvre, par son génie, les véritables causes de
re des Romains. Les tomes 21e et 22e n’ont paru qu’après la mort de l’
auteur
. La fin du dernier de ces deux volumes ainsi que
connaissait notre histoire, et qui était bien en état d’apprécier les
auteurs
qui l’ont écrite, dit de celui-ci : Il est plus
n’est pas aussi recherché que l’abrégé qu’il en a fait lui-même. Cet
auteur
nous a donné aussi une Histoire de la milice fran
tte époque de plus curieux, de plus instructif et de plus agréable. L’
auteur
ne pouvait pas y rassembler plus de faits intéres
’anéantissement de la république. Les Révolutions de Portugal du même
auteur
n’offrent pas de bien profondes recherches. Mais
dre, enchaînés avec clarté, racontés avec chaleur. Nous avons du même
auteur
une Histoire particulière, très curieuse, et qui
ième siècle jusqu’en 1648, époque où ce mémorable traité fut signé. L’
auteur
y montre partout des talents supérieurs pour la p
aïve simplicité, une narration pure, et en laquelle la bonne foi de l’
auteur
reluit évidemment ; exempte de vanité, parlant de
a Fronde. Le style en est inégal ; mais il y a bien des endroits où l’
auteur
se montre, par la force des expressions et la pro
eté du style en égale la noblesse : la vérité seule est le guide de l’
auteur
, et la modération en fait le caractère. Ceux de m
n est de distinguer le ton, le talent, le génie particulier de chaque
auteur
, de les peindre tous et de les caractériser d’apr
et à la délicatesse du goût, une étude sérieuse des matières que ces
auteurs
ont traitées ; qu’il lise leurs écrits sans la mo
t en particulier, et caractérise presque toujours d’un seul trait les
auteurs
les plus célèbres. Il y a beaucoup d’érudition da
et alors le choix est-il indifférent ? Assurément, répondent quelques
auteurs
de notre siècle. « Nous ne reconnaissons pas à la
sujet ne doit pas seulement être moral, il doit être intéressant. Un
auteur
n’écrit que pour être lu ; par là même il contrac
un vaudeville. Et, d’autre part, j’ai lu tel article de journal, où l’
auteur
, resserré dans les mesquines proportions des troi
tis, æquam Viribus… Ce précepte est surtout dans l’intérêt du jeune
auteur
. La vieille allégorie d’Icare ne trouve que trop
Sans elles, le plus beau talent échouera souvent contre la matière. L’
auteur
des Remarques sur le style et la composition litt
un drame, un roman qui appartiennent à une époque ou à un pays que l’
auteur
connaît mal ou ne peut connaître, dont le but n’e
la narration, soit qu’il y ait disparate entre le genre d’esprit de l’
auteur
et le genre du sujet, le résultat pour le style e
néral. Un homme, un pays, un fait sont inconnus de tous, excepté de l’
auteur
et de sa coterie ; ou encore l’auteur se prend lu
inconnus de tous, excepté de l’auteur et de sa coterie ; ou encore l’
auteur
se prend lui-même pour sujet, dans des élégies, d
uler sa sentence, elle doit la motiver. Il ne s’agit pas de dire à un
auteur
: votre ouvrage est mauvais ; il faut ajouter le
public a fixé pour toujours le rang que tiendra sur notre Parnasse l’
auteur
de Warvick et de Mélanie, comme poète dramatique
ance qui tient à l’idée générale du rôle ; et malgré les efforts de l’
auteur
pour graduer les nuances qui devaient les différe
deur que de véritable force, et d’âpreté que d’énergie. Ou voit que l’
auteur
s’est cru obligé d’exalter cette passion au-delà
les convenances académiques imposent à ces sortes de compositions. L’
auteur
n’y tourne guère que dans un cercle d’idées commu
t une traduction de Lucain. Il serait difficile de marquer entre deux
auteurs
un contraste plus frappant que celui qui s’offre
d’ailleurs son talent, restera toujours infiniment au-dessous de son
auteur
. Voilà quant aux dispositions générales : le plus
er, le voir tel qu’il est, et que c’est le seul peut-être de tous les
auteurs
anciens, dont les défauts tiennent si essentielle
e chaleur ; elle est froide, parce qu’il entrait dans la manière de l’
auteur
d’aimer à disserter, et de disserter longuement ;
oppement indispensable était commandé par la nature même du plan de l’
auteur
. On est fâché, par exemple, que l’article d’Homèr
t en général aussi bien exécuté. Il eût été seulement à désirer que l’
auteur
vécût assez pour en voir une seconde édition : il
e nouvelles formes de style. Reportons-nous un moment à l’époque où l’
auteur
d’Atala s’annonça avec tant d’éclat dans la carri
on y admira surtout le parti que l’imagination et la sensibilité de l’
auteur
avaient su tirer d’un sujet qui semblait ne devoi
plaudi au talent, comme les personnes religieuses aux intentions de l’
auteur
. Un ouvrage aussi extraordinaire, et qui constitu
a faveur desquels on eût peut-être expliqué les écarts fréquents de l’
auteur
, et les nombreuses disparates d’un style, dont ri
e et veut trouver partout des aliments. Mais plus je relis moi-même l’
auteur
des Martyrs, plus je me croirais fondé à penser q
son coup d’essai ; et la traduction des Géorgiques plaça dès lors son
auteur
au rang qu’il occupe depuis quarante ans sur le P
araphrase n’en sera pas moins une portion durable de la gloire de son
auteur
, et un monument qui honore à la fois et les Muses
fin, n’égale son attention scrupuleuse à faire valoir tout ce que son
auteur
a de bon, à pallier adroitement tout ce qu’il off
t l’on reconnut, dans une foule d’autres morceaux, que le talent de l’
auteur
se fortifiait au lieu de décliner dans sa marche
és avant d’être publiés. Quand ils sont prononcés immédiatement par l’
auteur
, on les nomme oraisons, harangues ou discours. Ce
s que les autres, comme nous le verrons ailleurs. Les poètes sont les
auteurs
de poèmes : eu égard à la forme de langage qu’ils
on nécessaire, ni le génie propre à composer des poèmes durables. Les
auteurs
de discours prononcés s’appellent des orateurs ;
les. Les auteurs de discours prononcés s’appellent des orateurs ; les
auteurs
d’écrits sont des écrivains : les uns et les autr
es emblèmes des anciens sages et les paraboles des livres saints. Les
auteurs
de l’Encyclopédie ont, à l’imitation de Bacon, fa
de lutter d’autorités, il ne serait pas difficile de trouver nombre d’
auteurs
, surtout parmi les poètes et les vrais critiques,
terminé que nous prendrons ces mots. Ainsi nous distinguons parmi les
auteurs
: 1º les prosateurs, comprenant les orateurs et l
6º. L’honnêteté. Nous entendons par là ce respect pour la vertu que l’
auteur
de la nature a gravé dans notre âme en caractères
e sa noblesse, c’est dans les livres saints qu’il faut l’envisager. L’
auteur
, dépouillé de tout sentiment étranger à son objet
r ceux qui veulent s’adonner à ce genre d’histoire est l’abbé Fleury,
auteur
de l’Histoire ecclésiastique, écrivain aussi sage
Bossuet avait ainsi conçu ce sublime dessein54. Chez les anciens, les
auteurs
qui se sont proposé d’écrire une histoire général
mme celle de l’abbé Millot. Nous avons cependant, dans ce genre, deux
auteurs
originaux, et tous les deux d’un grand mérite, qu
heureusement un epitome ou abrégé de l’ouvrage entier, rédigé par un
auteur
inconnu. Tacite, né à Intéramne, près de Rome, l’
ours le sujet se réduit à quelques points particuliers sur lesquels l’
auteur
a concentré toutes ses forces. On distingue parmi
un peu romanesque, mais d’un style fleuri et agréable à lire. Les six
auteurs
de l’Histoire auguste sont encore des biographes
, les particularités de leur vie ou de leurs principales actions. Ces
auteurs
, étant obligés de parler souvent d’eux-mêmes, doi
t intéresser un lecteur honnête et sensé60. Les anciens ont plusieurs
auteurs
célèbres qui ont écrit dans ce genre. Xénophon a
l’originalité piquante de son style, qui a suffi pour en faire un des
auteurs
immortels du xviie siècle, malgré des négligence
n est de distinguer le ton, le talent, le génie particulier de chaque
auteur
; de les peindre tous et de les caractériser d’ap
t, une étude sérieuse et une connaissance réelle des matières que ces
auteurs
ont traitées ; qu’il lise leurs écrits sans la mo
é de l’Éloge de Marivaux par d’Alembert. Il s’agit d’une pièce de cet
auteur
comique qui n’avait eu aucun succès. On admirera
égyriste sur la cause de cette chute, aussi bien que la facilité de l’
auteur
à s’exécuter lui-même sur ce fâcheux incident de
fictivement aussi quand ils faisaient ou disaient quelque sottise. L’
auteur
n’avait, disait-il, excepté de cette métaphore qu
avait lu son ouvrage. Les spectateurs furent bien plus sévères, et l’
auteur
fut étonné lui-même de n’avoir pas prévu que ces
eurs, trompés sur l’effet dramatique par la manière séduisante dont l’
auteur
lisait, avaient oublié de se transporter en idée
les plus réduits, comme de douze à vingt lignes, où pourtant quelques
auteurs
ont encore trouvé le moyen de condenser une incro
st qu’on ne saurait trouver ni un sujet d’ouvrage plus convenable à l’
auteur
, ni un auteur mieux disposé ou mieux préparé pour
urait trouver ni un sujet d’ouvrage plus convenable à l’auteur, ni un
auteur
mieux disposé ou mieux préparé pour l’ouvrage. 6
celui qui a paru dans l’Univers. Cet ouvrage, qui témoigne, dans son
auteur
, d’une véritable science littéraire, nous a sembl
che fond d’études personnelles. On doit savoir un gré particulier à l’
auteur
d’avoir disposé les matières de son enseignement
ucation alors obtient son résultat complet. Nous féliciterons aussi l’
auteur
d’avoir constamment dirigé son enseignement vers
r ce nouveau Cours de littérature offrira l’application des vues de l’
auteur
. En attendant, les encouragements les plus précie
encouragements les plus précieux se sont déjà réunis sur son œuvre. L’
auteur
a pu déjà produire au public les lettres de félic
nt sous quelques rapports les ouvrages du même genre. Vous appuyant d’
auteurs
faisant autorité par leur science, vous avez eu e
mpure du vice, comme l’ont pratiqué tant d’écrivains corrupteurs. Les
auteurs
et les ouvrages cités dans votre intéressant volu
mpte, en classe, sur la demande du maître, et trahit, de la part de l’
auteur
, une longue expérience de l’enseignement. On retr
r les richesses littéraires de nos saintes Écritures et de nos grands
auteurs
chrétiens. Votre Cours complet sera suivi avec fr
ue l’on sort rarement du théâtre, corrigé et amélioré ; c’est que les
auteurs
dramatiques cherchent plus souvent à plaire qu’à
vérité de l’action ne l’oblige pas à être historique : on laisse à l’
auteur
toute liberté d’invention. Mais il ne doit jamais
nité et est bien conduite, le spectateur ne pense pas à reprocher à l’
auteur
de le promener dans le temps et dans l’espace. Le
actes : le nombre des actes varie de un à cinq. Dans les entractes, l’
auteur
peut faire supposer que l’action continue ; il pr
vertueuses. Mais, en recherchant les grands effets sur le théâtre, l’
auteur
doit se garder de peindre le crime brutal et féro
e n’aurait pas produit ces beaux morceaux, ces passages immortels des
auteurs
que chacun a retenus. Cependant, il faut le dire,
par gestes, avec le seul secours de la musique. Aussi laisse-t-on à l’
auteur
une grande latitude pour le choix et la dispositi
à la musique, et qu’elle soit le refuge ordinaire de la médiocrité, l’
auteur
qui tient à sa gloire ne doit pourtant pas en nég
lique aime à se repaître-du mal et à tout critiquer, même le bien ; l’
auteur
qui flatte ce penchant est coupable. 2° Du com
avec art et naturel, soit de la peinture vigoureuse des caractères. L’
auteur
ne se contente pas de quelques traits isolés ; il
st l’étude de la nature. Que la nature donc soit votre étude unique,
Auteurs
qui prétendez aux honneurs du comique. Quiconque
tal ne doit être omis ; il est même ordinairement un peu outré, car l’
auteur
peint en lui moins un individu que toute une clas
iennent des individualités stéréotypées dans la langue. Quelquefois l’
auteur
peint à la fois plusieurs caractères, sans en pré
ui étincelantes de gaieté, demain éteintes dans la nuit de l’oubli. L’
auteur
qui court après le succès du moment ne se fonde p
ourt après le succès du moment ne se fonde pas une gloire durable : l’
auteur
de génie qui peint l’homme en général coule en br
mots, tantôt naïf, tantôt étincelant de verve et de gaieté. Ce que l’
auteur
ne doit jamais oublier, c’est l’élégance de la di
Ayelloni, Goldoni, Federici. 19. Pièce de Le Sage. 20. Principaux
auteurs
comiques : Grecs. Aristophane, Ménandre. Latins.
re avec plus de plaisir, lorsque nous avons une idée avantageuse de l’
auteur
. Mais combien l’influence de notre opinion doit-e
tâchons, au contraire, de prendre tout ce qu’un grand nombre de bons
auteurs
nous offrent de plus parfait. L’on ne doit pas s’
on ne doit pas s’attendre à ce que je propose en exemple aucun de nos
auteurs
vivants. Quant aux écrivains anciens et modernes
rtante à faire lorsqu’on veut imiter, dans un discours, le style d’un
auteur
que l’on aime. C’est qu’il faut établir une grand
contre une imitation trop stricte et peu judicieuse. Il est quelques
auteurs
qui, par leur manière d’écrire, approchent plus q
t imiter avec moins de danger. C’est dans cette classe que, parmi les
auteurs
anglais, il faut ranger Dean Swift et lord Boling
’éloquence. Les Français ont en ce genre un plus grand nombre de bons
auteurs
que les Anglais. J’ai déjà cité avec éloge les éc
ont pas sans utilité pour l’avocat. Il serait difficile de trouver un
auteur
qui ait appliqué à l’étude de l’art oratoire plus
Dans mes précédentes Lectures, j’ai quelquefois cité des passages des
auteurs
classiques pour en faire sentir les beautés, quel
fleurirent dans les deux dernières périodes ; l’on y range encore les
auteurs
plus récents, et même ceux de nos contemporains d
de parallèles ne les établissent ordinairement qu’entre deux ou trois
auteurs
des plus distingués de chaque classe. La préémine
édantisme, et les préjugés transmis d’âge en âge par l’éducation. Ces
auteurs
, il est vrai, sont mis entre nos mains dans les é
ux productions du génie. « Il serait fort possible, dit cet ingénieux
auteur
, dans son Essai sur les anciens et les modernes,
es et ses épîtres, tout contribue à le ranger parmi ce petit nombre d’
auteurs
qu’on ne se lasse jamais de lire ; et si les ouvr
e, n’a pas ce mérite dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse. L’
auteur
n’a pas en vue un objet principal ; sa narration
minie auquel une armée vaincue puisse être réduite. Laissons parler l’
auteur
: Redintegravit luctum in castris consulum adven
eux qui voulurent se former à son école réussirent rarement. C’est un
auteur
qu’il faut admirer, mais qu’il est dangereux d’im
on trouve en grand nombre dans son Histoire et dans celle de quelques
auteurs
grecs et latins, sont les plus précieux monuments
morale y doit régner partout. Dans ses portraits, dans ses récits, l’
auteur
doit toujours se ranger du côté de la vertu. Ce n
t aucun d’eux n’a atteint le degré de perfection où sont parvenus les
auteurs
italiens que je viens de citer. L’Angleterre, jus
ales, c’est qu’il soit fidèle, clair et complet. Dans des mémoires, l’
auteur
cherche moins à donner une connaissance exacte de
s, et que l’on y retrouve cette teinte particulière que l’esprit de l’
auteur
répandait malheureusement sur les questions relig
des auditeurs des impressions bien différentes. Il est évident que l’
auteur
d’un ouvrage philosophique doit, avant tout, s’ap
exiger qu’un ouvrage philosophique soit clair et précis. Toutefois un
auteur
peut posséder ces deux qualités, et n’être cepend
ction qui ne sont pas d’un genre passionné, et au moyen desquelles un
auteur
exprime sa pensée avec plus de force et de clarté
rlent et conversent ensemble, comme c’est la méthode de Platon ; ou l’
auteur
fait lui-même le récit d’une conversation, et rac
une conversation polie où se peignent des caractères bien soutenus. L’
auteur
d’un dialogue bien fait a donc le talent de plair
t a donc le talent de plaire et d’instruire à la fois. La plupart des
auteurs
qui écrivent aujourd’hui des dialogues de ce genr
ns la conversation, l’un parle et l’autre répond, on voit que c’est l’
auteur
qui partout s’exprime en personne. Il met en scèn
personnages, homme instruit et d’un excellent jugement, représente l’
auteur
; et l’autre, homme de paille, n’est mis là que p
u dernier point, et d’autant plus qu’on y voit les vains efforts de l’
auteur
pour atteindre à ce qui est au-dessus de sa porté
aladroitement le sens. L’on eût apporté plus de patience à entendre l’
auteur
raisonner tout seul, en écartant les objections q
; elles nous donnent une haute opinion de la sublimité du génie de l’
auteur
. Les dialogues de Cicéron ou, pour mieux dire, ce
e conversation où président la liberté, la politesse et la dignité. L’
auteur
du dialogue élégant intitulé des Causes de la cor
quoique les sujets qu’il a choisis permettent rarement de placer cet
auteur
au nombre des écrivains philosophes. Ses dialogue
e traits satiriques et des plaisanteries les plus heureuses. Quelques
auteurs
modernes ont voulu imiter ses Dialogues des morts
animée, ou dans l’intérêt qu’inspire une situation dramatique. Un des
auteurs
anglais les plus remarquables en ce genre est le
de lettre. Lord Shaftsbury, par exemple, M. Harris et quelques autres
auteurs
, ont écrit de cette manière des traités de philos
u’un mélange de dissertations sur divers sujets de morale, auxquels l’
auteur
a jugé à propos de donner une forme épistolaire.
lors y prendre le ton d’un théologien ou d’un philosophe, parce que l’
auteur
est moins censé écrire une lettre que composer un
est là, plus que tout autre part, que l’on veut voir l’homme et non l’
auteur
. La première et la plus essentielle de ses qualit
des trop bien cadencées. Les meilleures lettres sont celles que leurs
auteurs
écrivirent avec le plus de facilité : ce que dict
de félicitation ou de condoléance, qui ont coûté le plus de peine à l’
auteur
, et que, pour cette raison, il regarde la plupart
Pline le Jeune. Le style en est élégant et poli ; elles donnent de l’
auteur
l’idée la plus avantageuse ; mais, pour me servir
op finies, et il est difficile de croire qu’en écrivant à ses amis, l’
auteur
n’ait pas eu quelquefois le public devant les yeu
style a toujours un peu moins de ce doux abandon que lui donnerait l’
auteur
qui ne serait véritablement qu’un ami qui communi
; elles ont été publiées dans la collection des ouvrages de ces deux
auteurs
. La lecture en est amusante et agréable ; on y tr
ivain. Dans le nombre on en trouve quelques-unes des amis de ces deux
auteurs
où l’on remarque beaucoup d’aisance, et surtout u
es d’éloge. Le plus moral de tous nos romanciers, c’est Richardson, l’
auteur
de Clarisse, écrivain animé des meilleures intent
les jours sous les titres de vies, d’aventures ou d’histoires par des
auteurs
anonymes, ne sont pas en général des lectures dan
quoique leur position soit déterminée par les mêmes règles. Quelques
auteurs
, pour vanter plus encore l’effet et la variété de
ct qu’à l’époque où la civilisation était déjà très avancée. Quelques
auteurs
ont été portés à croire que, parce que les hommes
les idées grossières de nos paysans ; et si, à l’exemple de quelques
auteurs
français et italiens, il fait parler ses bergers
is de hêtre. C’est à de tels lieux communs, toujours rebattus par les
auteurs
d’églogues, depuis Théocrite et Virgile, qu’il fa
gile et Théocrite la même distinction à faire qu’entre la plupart des
auteurs
grecs et romains. Les Grecs ont ouvert la route,
car on y trouve à peine une pensée qui appartienne véritablement à l’
auteur
; les descriptions, les images n’ont rien d’origi
e fut pas une petite rivalité, que celle qui s’établit entre ces deux
auteurs
, lorsqu’ils publièrent leurs pastorales. Un journ
tendres, qu’il n’est aucun poète qui ne pût se glorifier d’en être l’
auteur
. Les caractères y sont bien tracés, les incidents
ujours faudra-t-il y suivre l’ordre naturel des idées, en sorte que l’
auteur
ressemble à un homme qui pense et non pas à un ho
nt à l’imagination. Aussi a-t-il toujours été et sera-t-il toujours l’
auteur
favori des personnes de goût. Horace eut un grand
Géorgiques de Virgile se trouvent dans ces sortes de digressions où l’
auteur
a déployé toute la force de son génie. Tels sont
scription de la peste, et plusieurs développements particuliers que l’
auteur
a traités avec une élégance remarquable, et sur l
de justes proportions avec le sujet principal ; il faut, enfin, que l’
auteur
ait le talent de descendre jusqu’au style simple,
lles ne renferment le plus ordinairement que des observations sur des
auteurs
, ou sur certains caractères ; le poète ne se prop
champêtre l’intérêt qu’inspirent deux amants. Si, à la manière de nos
auteurs
modernes, le poète eût fait une longue descriptio
r une description véritablement poétique. Défions-nous du talent d’un
auteur
qui toujours affecté, toujours emphatique, surcha
tant ce sujet, je ne puis mieux faire que de suivre les traces de cet
auteur
ingénieux, j’aurai souvent recours à lui dans la
le, et laissent aisément apercevoir les recherches et le travail de l’
auteur
. Chez les Hébreux, au contraire, elles sont un tr
uve dans les livres saints, et du caractère distinctif des principaux
auteurs
de ces écrits. Les poésies didactique, élégiaque,
paux genres de compositions poétiques. Il existe parmi les différents
auteurs
des livres sacrés une diversité bien évidente dan
i, pondere, impetu, granditate, nemo unquam eum superavit. Ce savant
auteur
compare Isaïe à Homère, Jérémie à Simonide, et Éz
t même qu’il est antérieur à tous les livres poétiques. Le nom de son
auteur
n’est point parvenu jusqu’à nous. Ce qui est fort
descriptions pleines d’énergie sont les caractères distinctifs de cet
auteur
. Jamais écrivain n’employa plus de métaphores. On
èle régulier entre le plan des fables d’Ésope et celui de l’Iliade. L’
auteur
d’une fable ou d’un poème héroïque, dit-il, doit
enne ou la tradition est une source bien plus heureusement féconde. L’
auteur
peut y puiser des noms, des caractères et des évé
is pour toutes les personnes qui le lisent, c’est l’art que déploie l’
auteur
dans le maniement de son sujet. Son plan doit êtr
nce, nous conduisent au dénouement. Tel est le plan que doit suivre l’
auteur
qui veut que son poème mérite l’attention de ses
célébrée ; cependant ce n’est pas sans quelques exceptions ; car deux
auteurs
très célèbres, Lucain et Milton, adoptèrent une m
, sans y faire jouer aucun rôle aux dieux ni aux êtres surnaturels. L’
auteur
de Léonidas n’a pas essayé cette méthode sans que
s expressions les plus vives et les plus hardies. Aussi, le plan d’un
auteur
fût-il exempt de tout reproche, son action fût-el
e. Sans cette réflexion il est impossible d’entrer dans l’esprit de l’
auteur
et d’apprécier son ouvrage. Il ne faut espérer ni
ractère vertueux de la chaste et tendre Andromaque. Pâris lui-même, l’
auteur
de tant de calamités, y paraît sous les couleurs
plus la simplicité du vieux barde. Je ne connais pas, il est vrai, d’
auteur
dont il soit plus difficile de se rapprocher dans
regardent ce poème comme une composition allégorique, dans laquelle l’
auteur
fait constamment allusion au caractère ou au gouv
néide avec l’indulgence que l’on ne peut refuser à un ouvrage que son
auteur
n’a pas eu le temps d’achever. L’on assure que le
n n’est pas fait pour nous disposer en faveur du héros du poème, et l’
auteur
en pouvait aisément corriger le vice ; il fallait
rouve chez lui les beautés et les défauts que l’on doit attendre d’un
auteur
original, comparé à ceux qui sont entrés après lu
lébrées des aventures grandes et héroïques, par la seule raison que l’
auteur
ne s’est pas conformé strictement aux plans adopt
poème n’est pas terminé : ou les derniers livres ont été perdus, ou l’
auteur
a laissé son travail imparfait. Quoique le sujet
que ce poème est le seul dans l’antiquité dont le sujet fut, pour son
auteur
, d’un intérêt sérieux et réel. Ce n’était point u
me dans son ensemble, on est obligé d’avouer que le feu poétique de l’
auteur
n’a pas toujours été dirigé par le jugement et pa
s les charmes de la poésie, mais dans lesquelles il faut avouer que l’
auteur
a poussé le merveilleux jusqu’à l’extravagance. E
antes ; le Christ et la Vierge n’y sont que des agents subordonnés. L’
auteur
nous apprend qu’un des principaux motifs de l’exp
veilleux si étrange et si déplacé montre combien peuvent s’égarer les
auteurs
qui adoptent cette opinion absurde, qu’il n’exist
ervention des dieux d’Homère. Il est vrai qu’à la fin de l’ouvrage, l’
auteur
donne une espèce de correctif à sa mythologie ; m
es poètes épiques, il serait injuste de passer sous silence l’aimable
auteur
des Aventures de Télémaque. Quoique son ouvrage n
porté sur ces minutieux détails d’une sage politique dans lesquels l’
auteur
entre quelquefois, et sur les discours et les ins
ureuses et pleines de vivacité qui appartiennent particulièrement à l’
auteur
. Les comparaisons, entre autres, y sont neuves et
es ont, il est vrai, de la sécheresse et de la dureté ; quelquefois l’
auteur
s’est montré plus métaphysicien que poète. Mais l
s vertueux, la compassion pour les infortunés, l’indignation pour les
auteurs
de leurs maux, voilà les sentiments que doit en g
sentiments que doit en général exciter la tragédie ; et, bien que les
auteurs
dramatiques puissent, comme les autres, commettre
disant qu’elle tend à développer notre penchant à la vertu. Lorsqu’un
auteur
nous intéresse en faveur de la vertu, lorsqu’en t
tructive et plus morale. C’était toujours la partie de l’ouvrage où l’
auteur
faisait le plus d’efforts pour arriver jusqu’au s
on principale, et ne contribuent en rien à en amener le dénouement. L’
auteur
, croyant que son sujet ne lui offrait pas assez d
n, et la pièce finit avec la mort d’Œdipe. Dans le Philoctète du même
auteur
, l’intrigue ou la fable consiste presque tout ent
t à une pièce quelque chose de romanesque et d’invraisemblable, et un
auteur
dramatique qui veut acquérir quelque célébrité ne
es placer. Rien, en effet, ne mérite plus d’attention de la part d’un
auteur
tragique que l’exposition du caractère de ses int
etit nombre. Ce talent demande une sensibilité exquise, il faut que l’
auteur
ait le pouvoir de se pénétrer bien vivement du ca
C’était une espèce de récitatif soutenu par des instruments. Le même
auteur
a poussé ses recherches plus loin ; il a cru déco
ubtilité du dialogue y jettent souvent beaucoup de langueur ; que les
auteurs
semblent craindre d’être trop tragiques ; à cet é
français. Son style et sa versification sont admirables. De tous les
auteurs
de la même nation, c’est celui qui me semble parl
itions dramatiques d’une espèce toute particulière, dans lesquelles l’
auteur
n’avait en vue que de rappeler les mœurs des temp
d’un très grand mérite ; mais nous n’avons qu’un bien petit nombre d’
auteurs
dont toutes les pièces soient dignes d’une critiq
n parfait contraste avec la bienséance observée par les Français. Cet
auteur
a trouvé le moyen de mêler aux plus profondes hor
le plan que je me suis proposé, de parler des pièces modernes ni des
auteurs
vivants. En jetant un coup d’œil général sur les
t naturelles ou fausses, que de distinguer l’erreur de la vérité. Des
auteurs
comiques ont trop souvent poussé la licence jusqu
n doit accuser que la dépravation de ces écrivains. Dans la main d’un
auteur
sans mœurs et sans probité, la comédie peut deven
, ce genre d’amusement était nouveau pour les Romains. Aussi ces deux
auteurs
se contentèrent-ils d’imiter, quelquefois même de
ou l’action qui est le principal objet de la pièce ; dans l’autre, l’
auteur
n’a eu en vue que l’exposition et le développemen
Tartufe, le Misanthrope ; ceux de Destouches, et de presque tous les
auteurs
comiques de cette nation. Les Anglais semblent do
en même temps qu’elle est utile au développement des caractères que l’
auteur
a donnés à ses personnages. Car il ne doit jamais
l’intrigue, et la comédie n’était qu’un roman. Une des fautes que les
auteurs
comiques sont le plus exposés à commettre dans la
e sente l’extravagance de ce trait, que Molière a cependant copié. Un
auteur
comique peut, sans doute, se permettre un certain
osition, c’est s’écarter du naturel et tomber dans l’affectation. Les
auteurs
comiques ont eu trop souvent recours à ce moyen p
perfection de l’art consiste surtout à cacher l’art lui-même. Un bon
auteur
comique nous présentera les caractères plutôt div
une entrave inutile à laquelle se soumettent cependant la plupart des
auteurs
français ; elle est d’ailleurs peu naturelle, car
le cours habituel de la vie. Une des plus grandes difficultés pour un
auteur
comique, celle qui a peut-être le plus d’influenc
y parodie trop souvent les poètes tragiques, et surtout Euripide ; l’
auteur
était son ennemi particulier, et il a composé deu
domine partout devient grossière et insupportable. On sait comme cet
auteur
traita Socrate dans sa comédie des Nuées ; cette
l’action, ou bien ils s’adressent à l’assemblée, soit pour défendre l’
auteur
, soit pour attaquer ses ennemis. Quelque temps ap
la copie de tel ou tel personnage. Ménandre était, chez les Grecs, l’
auteur
le plus distingué dans ce genre. Les imitations q
l’on assure qu’il ne s’est pas élevé jusqu’à son modèle46. Pour qu’un
auteur
comique fût parfait, il faudrait qu’il réunît la
ns dramatiques. Lope de Véga, Guilhen et Calderon sont les principaux
auteurs
comiques de cette nation. Lope de Véga, dont la c
eare serait, auprès de Lope, un modèle de méthode et de régularité. L’
auteur
espagnol, non seulement néglige la règle des troi
; et il paraît que, chez les peuples voisins, un assez grand nombre d’
auteurs
comiques ont souvent mis à profit la richesse de
tes donnent avec raison la première place, c’est Molière. De tous les
auteurs
qui ont fait la gloire de ce beau siècle de Louis
vènement de Georges II. Dryden fut, après la restauration, le premier
auteur
dramatique digne de célébrité. On trouve dans ses
la représentation de quelques-unes de ses comédies. Après Dryden, les
auteurs
comiques les plus distingués furent Cibber, Vanbu
st surpris qu’une pièce aussi décente soit sortie de la plume de deux
auteurs
si licencieux, car le vice et l’extravagance y so
; mais il est grossier et indécent au dernier degré. C’est un de nos
auteurs
comiques les plus immoraux. Son Épouse poussée à
nêtes, ne paraissent que pleines d’affectation. Cette critique de nos
auteurs
comiques les plus célèbres est loin d’être exagér
. Il n’exclut ni la gaîté ni le ridicule ; mais le principal but de l’
auteur
qui le traite est de faire naître des situations
érêt. Si quelquefois elle est insipide et ennuyeuse, c’est plutôt à l’
auteur
qu’il faut l’attribuer qu’à la nature même de la
ensuite, ou de rapporter textuellement les passages dans lesquels nos
auteurs
émettent d’autres principes, ou présentent la que
, ni se transporter, ni s’altérer ; s’il est élevé, noble, sublime, l’
auteur
sera également admiré dans tous les temps. »
et, puisque moi-même je cite partout Démosthène comme un des premiers
auteurs
qu’il faut lire, ou plutôt qu’il faut savoir par
Tome l, page 447. Nous n’avons pas cru devoir couper le texte de l’
auteur
anglais en insérant une longue note, dont la plus
des arts a plus d’étendue qu’on ne pense. Un homme qui n’a lu que les
auteurs
classiques méprise tout ce qui est écrit dans les
stée aux adversaires de Blair, à ceux qui se sont rangés du côté de l’
auteur
de la Henriade, qui s’exprime ainsi à ce sujet :
n aurait dû se servir pour traduire Homère en prose ; mais l’illustre
auteur
du Télémaque avait trop de goût, était trop savan
e Voltaire sur Milton : pourrait-on lire sans intérêt les pages que l’
auteur
de la Henriade a consacrées à ce grand poète ? «
ées sublimes, ils jugèrent qu’il y en a plusieurs d’outrées, et que l’
auteur
n’a rendues que puériles en s’efforçant de les fa
n éclairée. Quoi ! toute l’antiquité aura cru ces prodiges, s’écrie l’
auteur
de Sémiramis, et il ne sera pas permis de se conf
re ; mais il n’a pas fait mieux que Corneille et Racine ; et depuis l’
auteur
de Zaïre personne n’a fait mieux que lui. Il s’ap
hakspeare, ont été transportées sur notre scène par M. Ducis. Le sage
auteur
a fait disparaître, dans son imitation, les écart
monde, nous transcririons ici sa dissertation sur une question que l’
auteur
anglais que nous venons de traduire n’a pas jugé
s-uns des plus judicieux critiques de notre nation, et surtout par un
auteur
qui eût donné au théâtre, avec un égal succès, de
ché Molière de près, nous n’avons eu que des espèces de monstres. Des
auteurs
qui étaient incapables de faire seulement une bon
le qui forcerait enfin son mari à l’aimer publiquement. Elle pressa l’
auteur
d’en faire une pièce régulière, noblement écrite
n homme un peu pesant qui danse avec plus de justesse que de grâce. L’
auteur
voulut mêler la plaisanterie aux beaux sentiments
ure de leur dialogue, de quoi soutenir sans cesse l’attention quand l’
auteur
a le talent d’écrire. « Il est à remarquer que, d
n esprit. (Sheridan, de l’Art de lire.) 5. Voici comme s’exprime un
auteur
du dix-septième siècle qui a écrit un traité en v
ce travers. (Trad. de DARU.) 8. M. Crévier, judicieux critique, et
auteur
d’une Rhétorique française, caractérise ainsi ces
fort élégant, et surpasse de beaucoup la portée du siècle où vivait l’
auteur
, qui mourut en 1208. (Note du Trad.) 14. Voyez
as la chute des césures. C’est ce que n’ont pas bien compris quelques
auteurs
qui ont mis de la confusion dans ce qu’ils ont éc
a répétée dans son Discours sur la poésie pastorale. M. Addison, ou l’
auteur
, quel qu’il soit, de l’article inséré dans le Gua
titude si étrange en se copiant les uns les autres, au lieu de lire l’
auteur
qu’ils censuraient, je crois devoir rapporter ici
n’y commencement, ni milieu, ni fin dans son ouvrage ; et cependant l’
auteur
se croirait d’autant plus sublime qu’il serait mo
rchent nos regards. (Delille, l’Homme des champs, chant IV.) 29. L’
auteur
qui, de nos jours, a traité le plus sévèrement Ho
ictus dedit ? aut miseratus amantem est ? (Æneidos lib. IV, v. 369)
Auteur
de tous mes maux a-t-il plaint mes alarmes ? Ai-j
itôt on se noie. La raison, pour marcher, n’a souvent qu’une voie. Un
auteur
, quelquefois trop plein de son objet, Jamais sans
e son objet, Jamais sans l’épuiser n’abandonne un sujet. Fuyez de ces
auteurs
l’abondance stérile, Et ne vous chargez point d’u
En vain brille à nos yeux, il faut qu’il nous endorme. On lit peu ces
auteurs
nés pour nous ennuyer, Qui toujours sur un ton se
s n’osa plus enjamber. Tout reconnut ses lois, et ce guide fidèle Aux
auteurs
de ce temps sert encor de modèle. Marchez donc su
dre, Et de vos vains discours prompt à se détacher, Ne suit point un
auteur
qu’il faut toujours chercher1. Il est certains es
n vers ampoulé l’orgueilleux solécisme : Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
os défauts les zélés adversaires. Dépouillez devant eux l’arrogance d’
auteur
; Mais sachez de l’ami discerner le flatteur. Tel
jamais de vous que de nobles images. Je ne puis estimer ces dangereux
auteurs
, Qui de l’honneur, en vers, infâmes déserteurs, T
irer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces
auteurs
renommés, Qui, dégoûtés de gloire, et d’argent af
Ce n’est point sur ses bords qu’habite la richesse. Aux plus savants
auteurs
, comme aux plus grands guerriers, Apollon ne prom
chez-le, il ne manque rien, il n’y a que la vanité qui en souffre. Un
auteur
qui a trop d’esprit, et qui en veut toujours avoi
nt et au merveilleux. Je veux un nomme qui me fasse oublier qu’il est
auteur
, et qui se mette de plain pied en conversation av
nseillé ni corrigé sur son ouvrage est un pédantisme. « Il faut qu’un
auteur
reçoive avec une égale modestie les éloges et la
dre, Et, de vos vains discours prompt à se détacher, Ne suit point un
auteur
qu’il faut toujours chercher. (Boileau). L’homme
d’une tâche aussi laborieuse ; et quelques éloges que l’on donne à l’
auteur
profond, dont on a enfin percé les ténèbres, on s
, mal adaptés au sujet, et présenter dans un faux jour la pensée de l’
auteur
. Il les a cependant puisés tous dans la masse gén
un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
dant devient inutile à celui qui a besoin qu’on lui explique ce que l’
auteur
a voulu dire. Il n’en est pas de même de ce vers
t qu’à travers cette variété, nous devons reconnaître la manière d’un
auteur
dans toutes ses compositions. Les harangues de Ti
Les Lettres Persanes et l’Esprit des Lois sont deux ouvrages du même
auteur
; ils exigeaient sans doute un genre de compositi
ans toutes ses productions. Lorsqu’au contraire les compositions d’un
auteur
n’offrent point de caractère particulier et disti
stinction des styles, résulte du plus ou moins de développement que l’
auteur
donne à sa pensée : de là, le style concis et le
force ou la faiblesse du style dépend en effet de la manière dont un
auteur
voit son sujet. Le conçoit-il fortement ? il l’ex
oir des ornements, et que le second se les interdit volontairement. L’
auteur
qui adopte le style concis, ne dédaigne pas les b
es jeunes gens dont le cœur est vicié de bonne heure par la lecture d’
auteurs
dangereux ou suspects. Les avantages de l’instruc
latives à la lecture des modèles est de se borner à un petit nombre d’
auteurs
. La multitude des livres, dit Sénèque, au lieu d’
être lu plus d’une fois : Si jamais , dit Sénèque, vous quittez les
auteurs
estimés pour en lire d’autres, ne manquez pas de
guère qu’à la troisième que l’on voit bien clair dans la pensée de l’
auteur
, et qu’on peut, d’un coup d’œil sûr, saisir le pl
fin d’une composition, au lieu de suivre attentivement la marche de l’
auteur
. Article II. De l’imitation 310. Que f
s commençants. 313. De quelles manières peut se faire l’imitation des
auteurs
? D’abord, il est naturel de prendre pour modèle
abord, il est naturel de prendre pour modèles de ses compositions les
auteurs
qu’on a choisis pour ses lectures. Sans revenir s
ier les beautés ? — En premier lieu, on peut prendre les pensées d’un
auteur
en adoptant d’autres expressions, d’autres tournu
s du fumier d’Ennius, c’est-à-dire d’embellir et de perfectionner des
auteurs
imparfaits. C’est ainsi que Virgile a pris dans l
e des figures, la facilité d’élocution ; et, dans cette imitation des
auteurs
les plus recommandables, on prend insensiblement
la chose définie dont le nom est rejeté à la fin. Mais pour excuser l’
auteur
, on peut dire avec raison qu’il n’a eu recours à
ît avec plaisir la justesse des images et la beauté des allégories. L’
auteur
personnifie l’Espérance, il en fait une femme cou
ortraits, ils avaient en cela un double plaisir, celui de médire de l’
auteur
, et d’appliquer ses peintures malignes à telle ou
joint les qualités ; il est littéraire quand il parle du mérite d’un
auteur
; il est historique quand il prend son modèle dan
sition de portraits. MATIÈRE. Lafontaine. L’imagination, dans cet
auteur
qu’elle aime. Du modeste apologue a fait un vrai
popée elle-même a des accents moins fiers, allusion aux passage où l’
auteur
dépeint s’élève au sublime. Delillle a employé fo
t contre la propriété de l’expression. Un échafaud a quatre coins ; l’
auteur
eût pu dire de chaque côté. Les deux justices son
ral, quoiqu’on y reconnaisse la réalité dans l’ordre physique ; car l’
auteur
n’a point voulu décrire une exécution, mais son b
ans la bouche d’un des personnages, soit en une réflexion faite par l’
auteur
. L'apologue fait parler les dieux, les esprits, l
ou indirectement, concourir à rendre mieux la pensée principale d’un
auteur
. Si vous voulez maintenant faire un tableau d’une
ne de la lune qui s’ avance, ceci paraîtrait peut-être forcé ; mais l’
auteur
a eu soin d’ajouter comme. Les nues ressemblent à
taphore et de l’image, et que peu d’écrivains emploient avec grâce. L’
auteur
partage sa description en trois parties. Dans la
nuits. Cette partie avait besoin d’un peu de vie et de mouvement ; l’
auteur
anime la scène par l’haleine de la brise, la cour
nuages. La seconde partie, c’est le bord de la rivière, du côté où l’
auteur
écrit. On voit la lune se jouer capricieusement d
sons uniformes, et l’on éprouve comme un frémissement involontaire. L’
auteur
termine cette description magnifique en nous rame
ersuade bien que ces contes seraient oubliés depuis longtemps, si les
auteurs
avaient dévié de ce but moral que tout écrivain n
r servir de modèle en ce genre ? La raison en est simple. C’est qu’un
auteur
n’écrit guère que pour faire ou du réel ou du rom
La narration mixte me semble plus étendue que ne le pense l’estimable
auteur
cité plus haut. N’est-ce pas ce genre en effet qu
des tragédies, des drames, et des romans qualifiés d’historiques. Les
auteurs
dramatiques sentent la force de la vérité, et sav
le lecteur ait une haute idée de la force et de la valeur du héros, l’
auteur
le compare à un lion qui vient d’égorger un trou
e la cîme est plus tendre, et ce mot a été choisi de préférence par l’
auteur
pour rendre plus sensible l’ effet de la hache su
u’en narrateur. Fond. — Cette narration appartient au genre mixte, l’
auteur
s’est emparé d’un nom, d’un fait historique, et s
nie, quels que soient le temps ou la langue qui les ont produites ? L’
auteur
de l’ouvrage dont j’offre au public une nouvelle
s gens, consistait à lire avec la plus grande attention les meilleurs
auteurs
, et lorsque la lecture était finie, à faire des e
e et plusieurs fois en Amérique et en Irlande, et les Sermons du même
auteur
sont peut-être le seul ouvrage qui ait eu, dès le
er de l’oubli les poésies d’Ossian. Lié d’amitié avec M. John Home, l’
auteur
de Douglas, et avec M. Macpherson, il détermina c
sez de bien. » M. Straham s’empressa de faire part de ce jugement à l’
auteur
, de lui dire qu’il s’associait pour l’édition de
MM. Straham et Cadell, outre un cadeau considérable qu’ils firent à l’
auteur
, lui envoyèrent une première fois cinquante livre
on insiste sur ce fait comme sur une chose extrêmement remarquable. L’
auteur
, encouragé par un succès si peu attendu, quoique
auraient pu composer eux-mêmes. Le roi d’Angleterre voulut donner à l’
auteur
une marque particulière de son estime et de sa sa
nombre de littérateurs anglais, qu’il est moins fait pour assurer à l’
auteur
une gloire durable que ses Lectures sur la Rhétor
e qui en fait surtout le mérite, c’est l’impartialité avec laquelle l’
auteur
a jugé les productions du génie des autres nation
Le style n’y est peut-être pas aussi soigné que dans les Sermons de l’
auteur
: cela prouve qu’il l’est beaucoup dans les Sermo
si cet estimable ouvrage n’est pas le monument le plus brillant que l’
auteur
ait élevé à sa gloire, il en sera certainement le
vécu quatre-vingt-deux ans huit mois et vingt jours. Préface de l’
auteur
. LES Lectures suivantes furent répétées vingt-
de suite à l’université d’Édimbourg ; il n’était pas au pouvoir de l’
auteur
d’en différer plus longtemps la publication. On e
elques auditeurs, et bientôt on les a vendues publiquement. Lorsque l’
auteur
vit que non seulement son travail était l’objet d
s et de la composition littéraire. C’est avec la même intention que l’
auteur
les publie aujourd’hui, et c’est pour cela qu’il
re publié en Angleterre. Pour rendre son travail encore plus utile, l’
auteur
a presque toujours cité les ouvrages qu’il avait
de l’avis de ses lecteurs dans les opinions qu’il a émises sur tant d’
auteurs
différents, sur un aussi grand nombre de question
ne supportent pas facilement ce qui est inconvenant ou négligé ; et l’
auteur
qui craint de s’exposer au danger d’être couvert
s délicat. Son but est d’apprécier avec exactitude le mérite réel des
auteurs
; elle nous aide à sentir vivement leurs beautés,
lui qui dominait sous le règne seulement de Charles II, règne que les
auteurs
du temps comparaient au siècle d’Auguste ! Alors
s un temps, ou chez une nation, donner une réputation temporaire à un
auteur
médiocre, ou à quelque mauvais artiste ; mais qua
qui nous causent un plaisir si vif. La grâce et la magnificence que l’
auteur
de la nature a répandues avec profusion sur ses o
tre plus grande lorsque l’objet est moins distinct ; car, ainsi qu’un
auteur
l’a fort ingénieusement remarqué, une idée très c
orter toutes les autres sans donner à ce mot le sens le plus forcé. L’
auteur
des Recherches philosophiques sur l’origine de no
, et que la grandeur se lie très bien avec l’idée du péril. Quoique l’
auteur
(dont, au reste, je partage toujours la manière d
construction harmonieuse des mots. Voilà le plan que devait suivre un
auteur
qui se proposait de publier un traité de rhétoriq
de rhétorique ou. des beautés du style en général, et non celui de l’
auteur
d’un traité du sublime ; car de ces cinq division
ance des principes que je viens de poser. C’est, en général, chez les
auteurs
les plus anciens que nous devons chercher les exe
ite pas le reproche que j’ai fait à quelques-uns de ceux que cite cet
auteur
d’être étrangers au sujet qu’il traite. Cette exp
sublime qui s’allie naturellement avec le ton grave et solennel de l’
auteur
de Fingal : « Tels de noirs orages s’élancent de
imé. La preuve la plus convaincante nous en est offerte par Milton, l’
auteur
dont le génie est le plus éminemment sublime. C’e
; quelquefois aussi Shakspeare est véritablement sublime, mais aucun
auteur
ne l’est toujours. Quelques-uns, il est vrai, par
ont les plus simples dans leur style, et lorsque vous rencontrerez un
auteur
qui affecte de se parer de mots très pompeux, et
tre que la méthode que j’ai adoptée contribuera à faire lire les bons
auteurs
avec plus de plaisir, en mettant mieux en évidenc
ar une association naturelle d’idées, à réfléchir sur le dessein de l’
auteur
, sur le but qu’il s’est proposé, et conséquemment
oyens entre eux, et leurs rapports avec le but que nous soupçonnons l’
auteur
d’avoir voulu atteindre. Quelque riches que soien
ésigner cette sorte de grâce et d’agrément répandus par quelques bons
auteurs
dans le style ou dans les pensées, Il n’indique a
e que l’on puisse en citer ; un autre modèle encore, c’est Fénelon, l’
auteur
des Aventures de Télémaque. Virgile, quoique dans
cularité, sont exposés à ne pas bien comprendre quelques passages des
auteurs
classiques dans lesquels il est question des hara
devient équivoque, et il est impossible d’y retrouver la pensée de l’
auteur
. C’est à cet artifice, auquel presque toutes les
nous sommes redevables de cette découverte précieuse et sublime. Son
auteur
, caché sous les ténèbres de l’antiquité la plus r
uer la majeure partie des fautes les plus graves du style. Très peu d’
auteurs
ont mis assez de précision philosophique dans ce
à laquelle nous devons applaudir, ou qu’il nous faut détester. Notre
auteur
pense que l’on doit, au contraire, mettre au fémi
former. On ne trouverait peut-être personne aujourd’hui, ainsi qu’un
auteur
l’a fort judicieusement observé, qui donnât une d
attirail de particules (pour me servir de l’heureuse expression d’un
auteur
ingénieux), avec lequel nous sommes toujours obli
r l’homme une matière toujours instructive. Ne quis, dit Quintilien,
auteur
infiniment judicieux, ne quis tanquam parva fasti
pompeuse et magnifique, selon les occasions, ou suivant le génie des
auteurs
, est une qualité de la plus haute importance. Il
veut faire attention à la diversité de style que l’on trouve dans nos
auteurs
classiques, à la grande différence qui existe, pa
parcourant d’une manière superficielle quelques-uns de nos meilleurs
auteurs
. Les fautes nombreuses que commettent contre la g
s le confondre avec le langage même, ni avec les mots. Les mots qu’un
auteur
emploie peuvent être justes et corrects, alors qu
ge, il nous est ordinairement très difficile de séparer le style de l’
auteur
de sa façon de penser. Nous ne devons pas nous ét
erons rarement disposés à reprendre la lecture de son livre. Quelques
auteurs
s’excusent de leur manque de clarté sur la diffic
t, au contraire, un très grand mérite, c’est une véritable beauté. Un
auteur
nous plaît et se concilie notre estime lorsqu’il
ne pas confondre les qualités du style avec la manière de penser d’un
auteur
. Nous en trouvons ici justement une preuye ; car,
à l’instant même mon esprit éprouve un mouvement d’hésitation. Notre
auteur
a cru exprimer une qualité avec plus d’énergie, e
ont pas bien distinctes. Il suit de ce que nous venons de dire, qu’un
auteur
peut être clair, et cependant manquer de précisio
ddison, quoiqu’il soit bien éloigné d’en avoir aussi peu que ces deux
auteurs
. Lord Shaftsbury est bien moins précis que M. Add
grands défauts ; il ne saurait être un excellent modèle à suivre. Cet
auteur
connaissait parfaitement la force de chaque expre
le phrase exprimeraient bien mieux. S’il parle d’une personne ou d’un
auteur
, rarement il l’indique par son propre nom. Dans s
t il l’indique par son propre nom. Dans son traité intitulé Avis à un
auteur
, il consacre deux ou trois pages à Aristote, sans
tion ne doit-on pas apporter aux choix que l’on fait ? La plupart des
auteurs
confondent les expressions et ne sont déterminés
a deux sens apparents, mais nous laisse incertains sur la pensée de l’
auteur
. On se sert de l’équivoque ; l’ambiguïté est plus
crire ou pour parler avec précision : la première, que les idées de l’
auteur
soient claires et distinctes ; et la seconde, qu’
quelques légers exemples de ce défaut dans les ouvrages sérieux de l’
auteur
que nous venons de citer. Uniquement attentif à n
M. Pope : « Je l’avoue, ce fut le besoin de considération qui me fit
auteur
. J’écrivis, parce que j’y trouvai du plaisir ; je
ce qui pouvait contribuer à l’élégance, il a porté plus loin qu’aucun
auteur
anglais le soin de mélanger à propos la longueur
iatement, « je n’entends pas uniquement, » mais on peut demander si l’
auteur
a, de cette manière, exprimé autre chose que ce q
ent dans tel ou tel endroit d’une période ; mais comme en écrivant un
auteur
parle plus à l’œil qu’à l’oreille, il doit y appo
uver. » Si, comme on doit le présumer, ce dernier sens est celui de l’
auteur
, voici comment il aurait dû construire sa phrase
mps et le papier, ils écrivent, etc. » Dans un autre passage, le même
auteur
a laissé sa pensée douteuse, en déplaçant un pron
on doit se fier ? Suivant la grammaire, c’est à l’affaire ; suivant l’
auteur
, c’est sans doute à l’opinion. Je pourrais citer
si la statue tout entière serait d’or, ou seulement la lance. Le même
auteur
observe avec raison que la construction d’une phr
ouver ; j’en vais citer quelques uns. « L’archevêque Tillotson, dit l’
auteur
d’une Histoire d’Angleterre, mourut cette année ;
ction de Plutarque est encore plus mauvaise : « Ils marchaient, dit l’
auteur
, en parlant des Grecs commandés par Alexandre, à
les et embarrassées, sont les plus grandes taches des ouvrages de cet
auteur
, qui d’ailleurs est un de nos historiens les plus
ne servent qu’à indiquer ces sous-divisions d’après la manière dont l’
auteur
s’exprime, et ils sont plus ou moins bien placés,
hrases. Ce sont de pauvres moyens de produire une pensée à laquelle l’
auteur
n’a pas eu l’art de trouver une place convenable.
euse, aisée, ou tout au moins tolérable ; il me semble, dis-je, que l’
auteur
de la nature a jugé à propos de mêler de temps en
soient doués. » C’est une bien mauvaise phrase, celle dans laquelle l’
auteur
a fait entrer, comme de force, et à l’aide d’une
esprit, tout à coup se présente une circonstance bien imprévue, que l’
auteur
eût dû retrancher, ou du moins placer dans tout a
sorte d’un pas chancelant. La phrase eût été bien plus complète, si l’
auteur
l’avait tournée de cette manière : « Les jeunes t
euse, tel que l’impression qui en résulte soit exactement celle que l’
auteur
a voulu produire, tel enfin que chaque mot et cha
nt donner bien plus de force à leur phrase. Milton et quelques autres
auteurs
anglais ont tâché de les imiter à cet égard, mais
nstruction de cette phrase de lord Shaftsbury, dans ses Conseils à un
auteur
. Il parle des poètes modernes comparés aux poètes
rés aujourd’hui, aussi bien qu’ils l’eussent été autrefois, comme des
auteurs
très estimables. » Cette phrase est régulièrement
z maintenant quel effet eût produit une construction différente, si l’
auteur
avait disposé de cette manière les membres de sa
nt des avis utiles sécrètement, ils peuvent être considérés comme les
auteurs
les meilleurs et les plus dignes d’estime, avec r
avec elle jusqu’au dernier mot, mais sans affectation, et sans que l’
auteur
donne à son style une pompe déplacée. Aussi, cett
Pour varier les tons, il faut un organe juste et très exercé, et les
auteurs
qui savent y réussir sont extrêmement rares. Quoi
l’affectation, et le désir de paraître harmonieux entraîne souvent un
auteur
jusqu’à sacrifier à l’effet des sons, la clarté,
ion du latin. Shaftsbury est sans contredit le plus harmonieux de nos
auteurs
modernes ; son oreille délicate lui permettait d’
espèce de mélodie conforme à sa disposition morale, et lui-même est l’
auteur
de la musique qui frappe ses oreilles. Néanmoins
seule, et se passer d’ornements étrangers. Aussi, chez les meilleurs
auteurs
, les passages les plus touchants, ceux qui ont fa
’une des couleurs qui flattent le plus notre vue, rend la pensée de l’
auteur
claire et frappante. Une figure bien choisie ajou
physique et une idée morale, donne de la force à la proposition que l’
auteur
avance, et rend la persuasion plus intime. Enfin,
’hui l’instrument du luxe le plus délicat et le plus recherché. Aucun
auteur
anglais n’a rendu plus sensibles ces effets du la
paraison. Combien, en effet, cette pensée eût perdu de sa force, si l’
auteur
l’avait présentée sous la forme d’une similitude
gbroke ; mais je crois devoir avertir que si j’emprunte souvent à cet
auteur
des exemples des différents genres de perfection
; car le style et les raisonnements y sont également détestables. Cet
auteur
nous offre l’exemple malheureux d’un beau génie c
nnent au sujet que l’on traite. Rien ne semblerait plus bizarre qu’un
auteur
qui, dans un ouvrage didactique, se servirait de
nale d’exemples de ce genre de méprise, dans laquelle sont tombés des
auteurs
qui, au lieu de donner de l’élévation à leur suje
et l’on n’en trouve qu’un trop grand nombre, même chez les meilleurs
auteurs
, rendront plus évidentes et la règle et la raison
ne peut la voir bridée pour l’empêcher de s’élancer à la mer. Le même
auteur
a dit dans l’un des numéros du Spectateur : « Il
tter une figure qui lui plaît. C’est ainsi que dans ses conseils à un
auteur
, après avoir présenté la méditation ou l’entretie
ien avec soi-même sous l’image d’un remède évacuant, fort bon pour un
auteur
, il prolonge cette métaphore de manière à en remp
figuré de cet écrivain est excellent et mérite d’être étudié ; aucun
auteur
ne fut doué d’une imagination plus forte et plus
vient languissant et perd beaucoup de sa dignité. Je ne connais aucun
auteur
anglais plus heureux que M. Addison dans le choix
omposition un air froid et affecté ; elle est alors la ressource d’un
auteur
sans moyens, et de celui qui décrit des objets dé
el ce n’est plus qu’une extravagance. On peut signaler Lucain comme l’
auteur
le plus rempli d’hyperboles excessives. Les poète
le bon sens et la raison sont violés d’une manière si choquante. Les
auteurs
d’épigraphes50 tombent souvent dans ce genre de f
dans lesquelles on s’efforce d’atteindre à la plus haute éloquence. L’
auteur
nous offre un parallèle entre notre Sauveur et Ma
n est de même dans Milton et dans Shakspeare. On ne trouve dans aucun
auteur
une personnification aussi frappante et aussi heu
nom cher et fatal…, et l’on ne peut raisonnablement le reprocher à l’
auteur
, car souvent le nom d’une personne étant mis à la
de sujet qui ne soit susceptible d’une comparaison explicative. Qu’un
auteur
raisonne de la manière la plus serrée, qu’il trai
’un autre côté, ou fixer son attention sur une autre chose ; aussi un
auteur
ne peut guère commettre de faute plus grave que d
l’agitation la plus vive. C’est une faute que commettent souvent nos
auteurs
tragiques. Dans quelques-unes de ses pièces, M. R
ire. Ces comparaisons, sans doute, remplirent parfaitement le but des
auteurs
qui les employèrent les premiers ; elles sont bel
t c’est tout le contraire : ils la refroidissent à l’excès. Lorsqu’un
auteur
nous crie sans cesse d’entrer dans des transports
que j’ai eu cette occasion de parler des moyens qu’emploient quelques
auteurs
pour donner de la force à leurs expressions, je n
donne un sens emphatique, mots qui se multiplient rapidement chez les
auteurs
dont l’imagination est vive ; lorsque chaque page
tes les fois que des figures passionnées sont placées a contresens, l’
auteur
se couvre de ridicule, et le lecteur reste froid
s figures. Les passages les plus sublimes et les plus pathétiques des
auteurs
les plus célèbres, soit en prose, soit en vers, s
écrivains ont eu cette idée fausse, que l’on sait très peu de gré aux
auteurs
des efforts qu’ils font pour embellir leur style.
celui qui écrit. Ce caractère est ce que l’on appelle la manière d’un
auteur
, et on le distingue par ces épithètes appliquées
riété, nous devons nous attendre à trouver dans les compositions d’un
auteur
quelque chose de conforme à lui-même, à trouver l
me toujours son caractère au style ; et lorsque les compositions d’un
auteur
n’ont pas de caractère déterminé, nous sommes por
tendu est faible et languissant ; il finit par ennuyer le lecteur. Un
auteur
cependant doit adopter l’une ou l’autre manière,
onnaître ces caractères généraux du style, je ne puis qu’indiquer les
auteurs
dignes de servir de modèle. Des passages détachés
l’Esprit des lois ; Aristote tient aussi un rang distingué parmi les
auteurs
didactiques remarquables par leur brièveté. Aucun
de tout le monde ; car il y a beaucoup de personnes qui pensent qu’un
auteur
est plus libre de s’arrêter sur une description q
sion et de l’obscurité sur l’objet que nous lui présentons. Aussi les
auteurs
où l’on trouve les plus belles descriptions, Homè
insi que l’imagination sont faciles à émouvoir, et le mouvement que l’
auteur
a su leur imprimer lui est plus favorable que tou
emarqué que le style développé abondait en longues périodes, et qu’un
auteur
concis employait de préférence les phrases les pl
s rapports. Les écrivains prolixes sont la plupart très faibles ; les
auteurs
nerveux s’expriment, en général, d’une manière tr
tes et d’expressions énergiques. C’est dans la manière de sentir d’un
auteur
qu’il faut chercher la cause de la vigueur ou de
itant du style concis et du style développé, j’ai fait observer qu’un
auteur
pouvait répandre de grandes beautés sur ses compo
utre. Il n’en est pas de même du style nerveux et du style faible. Un
auteur
, quelque sujet qu’il traite, doit chercher à mett
la douceur et la grâce. On l’a généralement reproché aux plus anciens
auteurs
classiques de la langue anglaise, comme sir Walte
élèbres des règnes d’Élisabeth, de Jacques Ier et de Charles Ier. Ces
auteurs
ont infiniment de nerf et de force, et c’est aujo
ir William Temple donna plus de douceur encore à notre langue. Mais l’
auteur
qui, par le nombre et la réputation méritée de se
es bien loin d’atteindre au degré de force que nous trouvons dans les
auteurs
de la Grèce et de Rome. Jusqu’ici nous n’avons pa
La vivacité, la force même peuvent se trouver dans un style uni, et l’
auteur
qui en fait usage écrira d’une manière fort agréa
à la tête des écrivains dont les ouvrages sont d’un style uni. Peu d’
auteurs
ont fait preuve de plus de capacité. Tous ses suj
us ridicule que ce clinquant d’expressions que prodiguent une foule d’
auteurs
. On l’excuserait peut-être si on ne pouvait l’att
muserions un instant ; mais ce qu’il y a de détestable, c’est que ces
auteurs
si brillants ne nous offrent qu’un luxe de mots a
vail dans le style. C’est elle qui distingue l’excellent écrivain. Un
auteur
qui s’exprime avec simplicité, écrit de manière à
et multum, frustraque laboret Ausus idem. (Ars poet., v. 240.) Tout
auteur
croit pouvoir les traiter avec gloire, Mais il ne
arle le langage même de la nature. Dans son style, vous ne voyez ni l’
auteur
ni son travail ; c’est l’homme, tel qu’il est, qu
icité de manières, elle nous montre sans déguisement les pensées d’un
auteur
, et nous fait connaître la véritable tournure de
beautés, mais il a toujours ce désavantage qu’il ne nous montre de l’
auteur
que la forme qu’il a voulu prendre, comme un cour
articularités qui distinguent un homme d’un autre homme. En lisant un
auteur
qui écrit avec simplicité, il semble que nous cau
icité dont il est ici question. Il est à remarquer que c’est dans les
auteurs
les plus anciens que l’on trouve la plus grande s
marquables par ce caractère, que nous retrouvons encore dans quelques
auteurs
latins, comme Térence, Lucrèce, Phèdre et Jules C
epuis longtemps. » (Trad. de l’abbé Lemonnier.) Dans ce passage de l’
auteur
latin, chaque expression est heureuse et élégante
quelques-uns des écrivains anglais que l’on peut mettre au nombre des
auteurs
qui ont écrit avec simplicité. Ce caractère est f
nous ne trouvons rien de tout cela dans les discours oratoires de cet
auteur
. Son style est sans doute toujours pur et clair,
En lisant ses ouvrages, on croit converser avec lui ; ce n’est pas l’
auteur
que nous apprenons à connaître, c’est l’homme lui
out répandu dans ses écrits un air de modestie et de politesse. Aucun
auteur
n’a des manières plus faciles et plus insinuantes
n’embarrasse la pensée ; ils nous plaisent sans nous éblouir. Dans un
auteur
doué d’un vrai génie, le charme de la simplicité
ucoup par le manque de simplicité. J’ai déjà parlé quelquefois de cet
auteur
. Je veux ici le faire connaître. C’est, sans cont
ion chrétienne, insinuations qui ne font honneur à la mémoire ni de l’
auteur
ni de l’homme. Son style est fort beau, vigoureux
ns ses plaisanteries ; et, quand il rit, c’est toujours la gaîté de l’
auteur
: nous ne voyons jamais celle de l’homme. D’après
et nombreux. Nous en avons une preuve dans M. Blackwell d’Aberdeen, l’
auteur
de la Vie d’Homère, des Lettres sur la Mythologie
toute erreur à ce sujet, je crois nécessaire de faire observer qu’un
auteur
peut écrire avec simplicité, sans que pour cela s
urs oratoires, et convient mieux à l’homme qui parle en public qu’à l’
auteur
qui écrit dans son cabinet. Les harangues de Démo
s harangues de Démosthène en sont de magnifiques modèles. De tous nos
auteurs
anglais, celui qui, malgré ses défauts, a fait le
me semble très difficile d’examiner toujours séparément le style d’un
auteur
et la tournure particulière de son esprit, dont i
e. On peut choisir parmi tant de genres de styles différents ; chaque
auteur
peut avoir le sien, et chacun cependant peut écri
l est évident que nous devons connaître à fond le style des meilleurs
auteurs
, si nous voulons tirer quelque secours des produc
nous fournit des mots sur toutes sortes de sujets. Lorsqu’on lit les
auteurs
dans l’intention de connaître leur style, il faut
opre à former le style, que de lire attentivement un passage d’un bon
auteur
, et de l’écrire ensuite avec nos propres expressi
ouvre le livre, et on compare ce que l’on a écrit avec le texte de l’
auteur
. Cette comparaison quelquefois répétée nous fera
quatrième lieu, il faut encore se garder d’imiter trop servilement un
auteur
quelconque ; ce serait une habitude fort dangereu
e la roideur au style. Ceux qui s’attachent à imiter si exactement un
auteur
, imitent malheureusement ses fautes aussi bien qu
yens. Gardons-nous principalement de prendre des phrases connues d’un
auteur
, ou d’en transcrire des passages entiers ; car ri
ées à une diction brillante et correcte, qu’il serait impossible à un
auteur
qui la négligerait de faire recevoir ses ouvrages
hoses qu’il vise bien plus qu’aux mots. En le lisant, nous oublions l’
auteur
; nous sommes tout entiers à l’affaire qu’il disc
ses contemporains. Nous en avons la preuve dans Quintilien et dans l’
auteur
du dialogue intitulé de Causis corruptæ eloquenti
t disposés à donner la préférence au dernier. Le Père Rapin, jésuite,
auteur
de quelques parallèles entre les écrivains les pl
ne lui a refusé, il décerne la palme à Démosthène ; c’est Fénelon, l’
auteur
de Télémaque, qui certainement n’était pas l’enne
l’on peut regarder comme le dernier effort de l’éloquence romaine. L’
auteur
fut un homme de génie ; mais on voit qu’il manque
page, à Athènes, était composé de cinquante juges au moins ; quelques
auteurs
pensent même qu’il y en avait un plus grand nombr
ces deux jugements, Oppianicus avait été ouvertement signalé comme l’
auteur
du projet d’empoisonnement ; dans l’un et l’autre
suscitât une troisième accusation contre Oppianicus, l’instigateur, l’
auteur
du crime. C’est dans cette dernière affaire que l
eut traiter un sujet, il ne faut pas qu’il commence par consulter les
auteurs
qui ont écrit sur le même texte ou sur le même su
vantage de pouvoir les perfectionner en les comparant avec celles des
auteurs
qu’il consulte, ou d’introduire de nouvelles pens
en parlant de M. Cantwell, a souvent réussi à présenter le sens de l’
auteur
avec autant de fidélité que d’élégance. J’ai cru
vrais principes de la grammaire française, par l’abbé Girard. 17. L’
auteur
qui a poussé le plus loin ses recherches sur ce s
gush, ruisseler, sourdre ; blush, rougir de pudeur, etc. Notre savant
auteur
cite un bien plus grand nombre d’exemples de ce g
ais du langage ; mais il est probable, ainsi que l’a prouvé le savant
auteur
du Traité sur l’origine et les progrès du langage
rand ours, la petite hutte, la blessure faite avec la hache, etc. » L’
auteur
que nous venons de citer rapporte, à l’appui de c
et dont elle varie et distingue légèrement l’articulation ; et notre
auteur
montre que tels sont en effet les mots de presque
inairement le nom d’épigraphe à ces sentences ou devises que quelques
auteurs
mettent au frontispice de leurs ouvrages, et qui
e Cicéron, de Quintilien, de Lucien, de Longin et des autres célèbres
auteurs
; leur texte, qu’il citerait, serait l’ornement d
s de nouveaux passages de Cicéron, de Quintilien, de Longin et autres
auteurs
anciens. J’ai profité des observations des critiq
tend à nous faire apprécier avec un juste discernement le mérite des
auteurs
, et prévient cette vénération aveugle et implicit
is ce n’est pas une arme contre l’utilité de l’art, et il n’y a pas d’
auteur
qui ne puisse profiter des observations de la cri
e, et son triomphe quelquefois retardé est toujours certain. Quelques
auteurs
triomphent, en dépit des règles de la critique. L
ation. Telles sont, suivant, nous, les diverses sources du sublime. L’
auteur
des Recherches philosophiques sur l’origine du be
dépend surtout du sentiment profond et de la chaleur qu’excite dans l’
auteur
l’idée sublime qu’il veut exprimer ; si les sensa
antes, il ne peut inspirer de vives émotions. C’est parmi les anciens
auteurs
que nous devons chercher les exemples les plus fr
iminuer, et à ramener l’esprit dans sa situation primitive. Lorsque l’
auteur
nous a élevés jusqu’au sublime, s’il tente sans n
que du dégoût et de la fatigue. L’imagination excitée s’élève avec l’
auteur
; mais il doit la soutenir dans son essor. Si, au
ire de grandes choses avec des paroles simples. Toutes les fois qu’un
auteur
fait effort pour s’élever par de belles épithètes
ar l’expression Évitez donc soigneusement ces préfaces d’apparat où l’
auteur
appelle l’attention du lecteur, invoque sa muse,
tage de permettre au lecteur un examen plus approfondi des idées de l’
auteur
, dont il peut suspendre et reprendre la lecture,
elation. Il semblerait bien difficile, comme l’a fort bien observé un
auteur
qui a traité ce sujet, de donner une idée exacte
u’on appelle proprement langue ou mots. Les expressions qu’emploie un
auteur
peuvent être convenables et exemptes de défauts s
u affecté. Il est presque toujours difficile de séparer le style d’un
auteur
de ses pensées. Tous les auteurs ont un style car
rs difficile de séparer le style d’un auteur de ses pensées. Tous les
auteurs
ont un style caractérisé par le tour de leur espr
confus qu’ils ne peuvent le présenter avec clarté. La clarté, chez un
auteur
, n’est pas une qualité purement négative, mais bi
, mais bien une beauté positive. Nous nous plaisons à la lecture d’un
auteur
qui nous affranchit de la fatigue de chercher le
précision il faut beaucoup de netteté dans la conception des idées. L’
auteur
doit avoir une intelligence claire et précise de
et là sans jamais saisir l’objet. Il résulte de ce que j’ai dit qu’un
auteur
peut, sous certains rapports, être clair, quoiqu’
e générale de l’objet. Si le sujet est connu et familier, l’idée de l’
auteur
peut être facilement saisie quoique les mots qu’i
s ombres de la même teinte, mais qui ont des nuances différentes. Les
auteurs
sont très portés à les confondre, souvent dans le
arté, deux choses sont particulièrement requises : la première, que l’
auteur
ait une idée claire et distincte de ce qu’il veut
(César, Comm.). La copulative est heureusement employée, parce que l’
auteur
veut montrer en combien de lieux l’ennemi semblai
eux exemples qui rendent ce langage musical sensible à l’oreille. Les
auteurs
anciens, et particulièrement Cicéron et Quintilie
ule règle que nous puissions indiquer sur ce point est que, lorsque l’
auteur
aspire à la dignité ou à l’élévation, le son aill
stances accessoires. Ce sujet a toujours fixé l’attention de tous les
auteurs
qui ont traité de la rhétorique et de la composit
t d’argument fondé sur la similitude pour corroborer l’assertion de l’
auteur
, et confirmer sa pensée. Lorsque nous voulons fai
e la parure. L’affectation et la parade des ornements avilit autant l’
auteur
que l’homme qui s’en pare. Il faut éviter dans le
isparate avec les sentiments qu’elles expriment. Nous n’exigeons d’un
auteur
, lorsqu’il raisonne, que clarté et méthode ; s’il
es métaphores sont choisies pour avilir et dégrader quelque sujet, un
auteur
ne doit jamais employer des allusions dégoûtantes
onfusion désagréable. Des exemples trop fréquents, même dans les bons
auteurs
, montrent que cette règle est souvent méconnue. H
vent être tentés que par des gens d’un génie extraordinaire. Car si l’
auteur
manque son effet, si l’auditeur reste froid, il n
t à embellir. Tous les sujets admettent la comparaison explicative. L’
auteur
le plus abstrait, dans les sujets les plus arides
trop sévère pour ne pas dédaigner et repousser un pareil ornement. Un
auteur
peut difficilement commettre une plus grande faut
mises d’âge en âge par droits héréditaires, et employées par tous les
auteurs
, sont trop connues pour faire une impression flat
antes pour exprimer une figure de passion, de jeter du ridicule sur l’
auteur
en laissant le lecteur froid et entièrement étran
des passages les plus sublimes et les plus pathétiques des meilleurs
auteurs
en prose et en vers, sont exprimés dans le style
leuse attention aux ornements. Cela donne une idée peu favorable de l’
auteur
qui préfère le brillant au solide. Les conseils e
fère le brillant au solide. Les conseils et les principes des anciens
auteurs
à cet égard sont excellents, et méritent toute no
, et qu’il y a toujours une connexion intime entre la manière dont un
auteur
emploie chaque mot, et le caractère de sa concept
es. Ces distinctions naissent sans doute de la manière de penser de l’
auteur
, mais surtout de son mode d’expression, du choix
’est que, au milieu de la variété, nous exigeons, dans l’ouvrage d’un
auteur
, quelque degré d’uniformité et de conséquence ave
. Les Lettres persanes et l’Esprit des lois sont des ouvrages du même
auteur
; ils exigeaient un style tout à fait différent ;
existe pas, nous jugeons, avec raison, que l’ouvrage émane de quelque
auteur
trivial et vulgaire qui écrit d’imitation et non
nnaît les peintres les plus célèbres à leur touche, de même aussi les
auteurs
les plus parfaits et les plus originaux peuvent ê
dée sur ses différentes qualités, division adoptée par la plupart des
auteurs
modernes qui ont écrit sur la rhétorique, le simp
tyle est celle qui résulte du développement plus ou moins grand qu’un
auteur
donne à ses pensées. Cette différence constitue c
a nature de ces deux grands caractères, il me suffira de recourir aux
auteurs
qui en offrent de véritables images. Les deux exe
ng distingué, pour la précision, parmi les écrivains didactiques. Nul
auteur
peut-être n’était plus qu’Aristote frugal de mots
tre en action, ils suppléent naturellement aux grands avantages que l’
auteur
aurait pu tirer de son sujet ; mais il en est aut
arge. La narration historique peut être belle, soit que le génie de l’
auteur
l’invite à la concision ou à la magnificence. Tit
lui donnant seulement un nouveau tour. De même aussi, la plupart des
auteurs
français font usage de phrases courtes ; cependan
is ; il l’est moins que celui de la plupart des écrivains anglais. Un
auteur
français brise en deux ou trois phrases la portio
ains diffus ont pour la plupart un certain degré de faiblesse, et les
auteurs
nerveux sont généralement enclins à s’exprimer br
u style nerveux ou du style faible est dans la manière de penser d’un
auteur
. S’il conçoit un objet fortement, il l’exprimera
rce proportionnée à la crainte qu’il peut concevoir de passer pour un
auteur
faible et plat. Les compositions graves demandent
’attention à la force et de négligence aux autres parties donnent à l’
auteur
un caractère de rudesse, qui résulte aussi de l’e
rs caractères comme servant à donner de l’expression aux pensées de l’
auteur
, maintenant nous allons considérer ces mêmes cara
e comme ornements destinés à l’embellir. Ici, le style des différents
auteurs
semble s’élever dans la progression suivante, gen
se les ornements de toute espèce. Satisfait de se faire comprendre, l’
auteur
ne cherche à plaire, ni à l’imagination, ni à l’o
r peuvent aussi accompagner la simplicité, de sorte que, si un pareil
auteur
a de bonnes idées, il peut être fort agréable. La
t pas perdre de vue que, lorsque la simplicité est le caractère que l’
auteur
affecte dans toutes les parties de sa composition
mais non des ornements du genre le plus élevé ou le plus brillant. Un
auteur
de ce caractère montre qu’il ne dédaigne pas les
enue aux règles de la rhétorique peuvent douer de ce genre de style l’
auteur
auquel la nature a refusé le génie et une grande
t affecté d’ornements superflus, et l’on ne saurait trop prémunir les
auteurs
contre ce vice séduisant. Caractères généraux
moins naturelle et moins vraie de pensées ; elle semble exiger dans l’
auteur
un certain tour d’esprit ; renfermée dans de cert
ctation des ornements, et c’est une des grandes qualités du style. Un
auteur
simple s’exprime de telle manière que chacun pens
; il parle le langage de la nature ; vous ne voyez ni le style, ni l’
auteur
, ni le travail, mais l’homme dans son vrai caract
larités qui distinguent un homme d’un autre homme. Mais, en lisant un
auteur
simple il nous semble causer à notre aise avec un
. Quant à la simplicité en général, nous rappellerons que les anciens
auteurs
sont toujours les plus remarquables sous ce rappo
t et sans travail. Jamais l’esprit ne se fatigue en lisant de pareils
auteurs
. Rien dans leurs manières ne contraint nos pensée
éclat : telle est la puissance et l’attrait de la simplicité dans un
auteur
donc d’un vrai génie, qu’elle rachète bien des dé
e des principales beautés du style, je dois néanmoins remarquer qu’un
auteur
peut écrire avec simplicité et cependant être dén
ffectation, et n’avoir pas de mérite. Une belle simplicité suppose un
auteur
d’un génie réel, qui écrit avec solidité, pureté,
ssi trouvons-nous fréquemment de prétendus critiques qui exaltent les
auteurs
les plus froids à cause de la chaste simplicité d
très difficile d’offrir des considérations générales sur le style des
auteurs
, en les séparant du tour particulier de leurs pen
n’est pas actuellement mon but d’entrer dans cet examen critique. Les
auteurs
qui visent à l’esprit, par exemple, laissent tell
ndue ; ses qualités peuvent différer considérablement chez les divers
auteurs
, et cependant tous peuvent être recommandables. I
notoire que nous devons nous familiariser avec le style des meilleurs
auteurs
; leur lecture est nécessaire pour nous former le
e depuis par plusieurs critiques, de se pénétrer de la substance d’un
auteur
, et de s’efforcer de reproduire ses pensées en le
ne tardai pas à m’apercevoir du vice de cette méthode, en ce que mon
auteur
s’était saisi d’abord, pour rendre sa pensée, des
choix de tous les termes de ma langue pour exprimer les idées de mon
auteur
. » Je dois aussi prémunir contre une imitation a
n auteur. » Je dois aussi prémunir contre une imitation aveugle d’un
auteur
quelconque. C’est une méthode dangereuse qui faus
s de son génie doit renoncer à obtenir une place distinguée parmi les
auteurs
ou les orateurs. Il vaut mieux n’offrir que des p
de quelques qualités superficielles ; aussi trouvons-nous beaucoup d’
auteurs
qui laissent apercevoir, sous une richesse frivol
uiconque n’aspire pas à quelque chose de mieux n’est qu’un méprisable
auteur
. Majore animo, aggredienda est eloquentia ; quæ,
; mais il porta cette étude jusqu’à l’excès. Que penserons-nous d’un
auteur
qui passa dix années de sa vie à polir un discour
, blâmait la partialité qu’il montrait pour Isocrate. Le genre de cet
auteur
séduit généralement les jeunes écrivains, et cett
lées par ses contemporains. C’est ce que nous apprend Quintilien et l’
auteur
du dialogue de Causis corruptæ eloquentiæ. Brutus
sidéré comme le dernier effort de l’éloquence romaine ; et, quoique l’
auteur
fût un homme de génie, néanmoins il manquait de n
diciaire s’affranchit du joug pesant de ces citations multipliées des
auteurs
anciens et de ce ridicule étalage d’érudition qui
les anciens traités de rhétorique ; elle est suivie et copiée par les
auteurs
modernes ; elle ne manque point d’art, et compren
souvent un travail difficile. Peu de parties du discours donnent à l’
auteur
plus de peine et demandent plus de délicatesse da
e temps à perdre. Chacune de ces circonstances isolée, ajoute ce même
auteur
, n’est pas concluante ; mais, rassemblées en un f
grand nombre de règles relatives à l’action et au geste, et tous les
auteurs
modernes se sont bornés à le copier sur ce sujet.
avec plus de plaisir un livre, si nous avons une bonne opinion de son
auteur
; mais, lorsque nous avons sous les yeux l’orateu
on, et donner à son style du coloris et de l’élévation. À l’étude des
auteurs
anciens et modernes joignons la fréquentation des
s. Pascal, Fénelon, La Bruyère, Buffon sont inscrits au programme des
auteurs
de la classe de Rhétorique. Les autres, Vauvenarg
ue. Mais je m’aperçus que cette méthode était mauvaise, en ce que mon
auteur
s’étant saisi d’abord, pour rendre sa pensée, des
les termes de ma langue, pour exprimer en liberté les pensées de mon
auteur
. » Voilà, je crois, le genre d’exercice le plus
n on lui ferait apercevoir qu’il aurait mal saisi le caractère de son
auteur
, mal répondu, je le suppose, à l’énergie de Tacit
e naturel, on est tout étonné et ravi ; car on s’attendait de voir un
auteur
, et on trouve un homme. Au lieu que ceux qui ont
ant un livre croient trouver un homme sont tout surpris de trouver un
auteur
: Plus poetice quam humane locutus es. Ceux-là ho
ne les console pas, et ne fait que donner une pointe à la gloire de l’
auteur
. Tout ce qui n’est que pour l’auteur ne vaut rien
nner une pointe à la gloire de l’auteur. Tout ce qui n’est que pour l’
auteur
ne vaut rien. Ambitiosa recidet ornamenta. XXIII.
ment d’autres pensées par leur différente disposition. XXVI. Certains
auteurs
, parlant de leurs ouvrages, disent : Mon livre, m
les possèdent pas de la même sorte ; et c’est pourquoi l’incomparable
auteur
de l’Art de conférer 11 s’arrête avec tant de soi
je suis bien éloigné de dire que Descartes n’en soit pas le véritable
auteur
, quand même il ne l’aurait appris que dans la lec
nsées poussent quelquefois tout autrement dans un autre que dans leur
auteur
: infertiles dans leur champ naturel, abondantes
e, comme de faire une pendule. Il faut plus que de l’esprit pour être
auteur
. Un magistrat allait par son mérite à la première
bles pour les acteurs, pour le parterre et l’amphithéâtre ; que leurs
auteurs
s’entendaient eux-mêmes, et qu’avec toute l’atten
s faits qui louent, et la manière de les raconter. Tout l’esprit d’un
auteur
consiste à bien définir et à bien peindre. Moïse.
us que l’on peut, on en renfle ses ouvrages ; et quand enfin l’on est
auteur
, et que l’on croit marcher tout seul, on s’élève
et forts d’un bon lait qu’ils ont sucé, qui battent leur nourrice. Un
auteur
moderne17 prouve ordinairement que les anciens no
conseillé ni corrigé sur son ouvrage est un pédantisme. Il faut qu’un
auteur
reçoive avec une égale modestie les éloges et la
satisfait point un homme d’esprit qui veut se faire entendre. Un bon
auteur
, et qui écrit avec soin, éprouve souvent que l’ex
devant personne ; je l’excuse, et je n’en demande pas davantage à un
auteur
; je le plains, même d’avoir écouté de belles cho
s. Ceux qui, par leur condition, se trouvent exempts de la jalousie d’
auteur
ont ou des passions, ou des besoins qui les distr
Un bel ouvrage tombe entre leurs mains, c’est un premier ouvrage : l’
auteur
ne s’est pas encore fait un grand nom. Il n’y a r
i accompli qui ne fondît tout entier au milieu de la critique, si son
auteur
voulait en croire tous les censeurs, qui ôtent ch
tous sont connaisseurs et passent pour tels. Quel autre parti pour un
auteur
que d’oser pour lors être de l’avis de ceux qui l
eur que d’oser pour lors être de l’avis de ceux qui l’approuvent ? Un
auteur
sérieux n’est pas obligé de remplir son esprit de
iste à la voix du peuple, et dit tout seul que Damis n’est pas un bon
auteur
. Damis cède à la multitude, et dit ingénument, av
s’il donne, quelque tour à ses pensées, c’est moins par une vanité d’
auteur
que pour mettre une vérité qu’il a trouvée dans t
i ne l’est point, et ne pas entendre ce qui est fort intelligible. Un
auteur
cherche vainement à se faire admirer par son ouvr
ce premier et nous que la différence de quelques mots. Ronsard et les
auteurs
ses contemporains ont plus nui au style qu’ils ne
me à l’égard de ceux qui cherchent moins à admirer qu’à l’ire dans un
auteur
. Rabelais surtout est incompréhensible. Son livre
ont estimé en nulle manière. L’un ne pensait pas assez pour goûter un
auteur
qui pense beaucoup ; l’autre pense trop subtileme
deux poètes : Oreste, dans l’Andromaque de Racine, et Phèdre du même
auteur
, comme l’Œdipe et les Horaces de Corneille, en so
veau, qu’il lit pour la première lois, où il n’a nulle part, et que l’
auteur
aurait soumis à sa critique, et se persuader ensu
efois fades et communes, et d’être moins incertains de la pensée d’un
auteur
qu’ennuyés de son ouvrage ? Si l’on jette quelque
aducteurs, compilateurs : ils ne pensent point. Ils disent ce que les
auteurs
ont pensé, et comme le choix des pensées est inve
itres, elle corrompt et les lecteurs et l’écrivain. Je conseille à un
auteur
né copiste, et qui a l’extrême modestie de travai
sens dans toute son étendue et dans ses circonstances ; conciliez un
auteur
original43, ajustez ses principes, tirez vous-mêm
morale et des règles d’un raisonnement exact et sérieux. Après que l’
auteur
a bien fait sentir le ridicule de leur caractère
discours qui servent à la persuasion ; je ne rejette que celles où l’
auteur
, amoureux de lui-même, a voulu se peindre et amus
du discours ? A. Ne trouvez-vous pas que Virgile et Homère sont des
auteurs
assez agréables ? Croyez-vous qu’il y en ait de p
style de Tertullien ? A, Il y a des choses très-estimables dans cet
auteur
. La grandeur de ses sentiments est souvent admira
aut pas laisser de respecter non-seulement les Pères, mais encore les
auteurs
pieux qui ont écrit dans ce long intervalle. On y
Le teint jauni, les jeux rouges et secs, Le dos courbé sous un tas d’
auteurs
grecs, Tous noircis d’encre, et coiffés de poussi
it tant d’épigrammes ! Quoi ! le bon Goût souffrira dans son temple l’
auteur
des Lettres du ch. d’Her...., d’une Passion d’aut
d’Aspar, d’Endymion, etc. ! Hé non, dit la Critique : ce n’est pas l’
auteur
de tout cela que tu vois, c’est celui des Mondes,
a plupart de ses confrères. Cependant la Critique, se tournant vers l’
auteur
des Mondes, lui dit : Je ne vous reprocherai pas
’a jamais lus. Le dieu daigna de sa main même En leur rang placer ces
auteurs
Qu’on lit, qu’on estime et qu’on aime, Et dont la
propre aveu ; car ce judicieux philosophe, ce juge éclairé de tant d’
auteurs
et de tant de sectes, disait souvent qu’il n’aura
ellents qui seraient des beautés dans les écrits médiocres. L’aimable
auteur
du Télémaque retranchait des répétitions et des d
des courtisans français. Toi, favori de la nature, Toi, La Fontaine,
auteur
charmant, Qui, bravant et rime et mesure, Si négl
le plus en détail sont ceux qui en tout lui plaisent davantage. Nul
auteur
avec lui n’a tort Quand il a trouvé l’art de plai
vons remarqué déjà, au mot esprit (Dictionnaire philosophique), qu’un
auteur
qui a écrit sur la physique, et qui prétend qu’il
dans Tite-Live, dans Guichardin, dans Clarendon. Remarquons ici qu’un
auteur
qui s’est fait un genre de style peut rarement le
onies avec celle de Rameau : on lit les livres avec l’esprit des bons
auteurs
. Si toute une nation s’est réunie, dans les premi
ie, dans les premiers temps de la culture des beaux-arts, à aimer des
auteurs
pleins de défaut, et méprisés avec le temps, c’es
es auteurs pleins de défaut, et méprisés avec le temps, c’est que ces
auteurs
avaient des beautés naturelles que tout le monde
; Régnier fut goûté des Français avant que Boileau parût ; et si des
auteurs
anciens, qui bronchent à chaque pas, ont pourtant
temps, l’Étoile, qui passait pour un génie ; l’Étoile, l’un des cinq
auteurs
qui travaillaient aux tragédies du cardinal de Ri
s l’extrême différence des beaux morceaux de Cinna et de ceux du même
auteur
dans les vingt dernières tragédies ? Dis-moi don
de Racan ; que Racine et Molière sont des hommes divins à l’égard des
auteurs
des autres théâtres. Du goût des connaisseurs
édies françaises et anglaises Je ne parlerai point ici de quelques
auteurs
anglais qui, ayant traduit des pièces de Molière,
ensurer la noble et féconde simplicité de ce grand homme. De tous les
auteurs
qui ont écrit en Angleterre, sur le goût, sur l’e
concert avec Pope ; mais son commentaire ne roule que sur les mots. L’
auteur
des trois volumes des Éléments de critique censur
Shakespeare quelquefois ; mais il censure beaucoup plus Racine et nos
auteurs
tragiques. Le grand reproche que tous les critiqu
amants tels qu’on en trouve dans Clélie, dans Astrée et dans Zaïde. L’
auteur
des Eléments de critique reprend surtout très-sév
s. Combien peu de génies ont-ils su exprimer ces nuances que tous les
auteurs
ont voulu peindre ! Le style rend singulières les
paroles ; et c’est en partie pour cette raison qu’il est si confus. L’
auteur
de ce livre dit d’abord (page 1) que l’homme est
décadence, c’est le mélange des styles. Il me semble que nous autres
auteurs
nous n’imitons pas assez les peintres, qui ne joi
le, du reproche de pédantisme qu’on a fait longtemps et justement aux
auteurs
: in vitium ducit culpœ fuga. On a tant répété qu
a tant répété qu’on doit écrire du ton de la bonne compagnie, que les
auteurs
les plus sérieux sont devenus plaisants et, pour
adis ma chère patrie. Dites-moi si jamais vous vîtes, dans aucun bon
auteur
de ce grand siècle de Louis XIV, le mot de vis-à-
en épigrammes. La gravité d’une étude si importante devait avertir l’
auteur
de respecter davantage son sujet : et combien a-t
it plus français quand il faisait des vers. Les tragédies de tous nos
auteurs
, depuis M. Racine, sont écrites dans un style fro
ans l’erreur. D’ailleurs, Monseigneur, l’usage et la lecture des bons
auteurs
en a beaucoup plus appris à Votre Altesse Royale
lez. On a négligé le petit livre de la Décadence des Romains, du même
auteur
; cependant je vois que tous les bons esprits est
tombé entre les mains de M. de La Bruyère, qui n’en connaissant pas l’
auteur
, a voulu, dit-on, en enrichir son Mercure. Ce M.
qui participe plus ou moins et du génie de la langue et du génie de l’
auteur
. Il arrive de là que moins le caractère d’une nat
de la harangue du dictateur), dans ce discours imité de Tite-Live, l’
auteur
français est au-dessus du romain, plus nerveux, p
ce de la personne, croyez entendre au lieu de voir » et cet ingénieux
auteur
aura défini les grâces du style. Sublime Ce
ien des longueurs, et un air de crapule qui ne saurait plaire. Ni cet
auteur
n’est parfait en ce genre, ni ce genre n’est asse
plus souvent qu’ingénieuse. On ne peut s’empêcher de regretter qu’un
auteur
si aimable n’ait pas plus écrit, et n’ait pas tra
ne ses moindres discours. Cependant, à considérer simplement ces deux
auteurs
comme poëtes, je crois qu’il ne serait pas juste
rose que ses vers, etc. Cependant l’opinion commune est qu’aucun des
auteurs
de notre théâtre n’a porté aussi loin son genre q
choix de ses modèles, qu’il a pris chez les Espagnols et les Latins,
auteurs
pleins d’enflure, dont il a préféré la force giga
t citer encore de grandes beautés. Ce n’est point par les essais d’un
auteur
, et par le plus petit nombre de ses ouvrages, qu’
e des ouvrages tels qu’ils sont, sans égard pour le temps et pour les
auteurs
: et je crois qu’il serait à désirer que les gens
donc qu’elle soit justifiée par un enthousiasme véritable. Lorsqu’un
auteur
se jette de sang-froid dans ces écarts qui n’appa
défenseurs de Rousseau répondent qu’il a surpassé Horace et Pindare,
auteurs
illustres dans le même genre et, de plus, rendus
oir lui reprocher. On ne saurait trop honorer les grands talents d’un
auteur
dont la célébrité a fait les disgrâces, comme c’e
irement. Ni la grâce, ni la noblesse, ni le naturel, n’ont manqué à l’
auteur
de ces poèmes singuliers. Il y a presque toujours
anque quelque chose à ce spectacle, si les efforts inutiles de tant d’
auteurs
renommés ne nous avaient fait supposer que le déf
emble de ses qualités : on envisage sous divers aspects le génie d’un
auteur
illustre ; on le méprise ou l’admire avec une éga
e bon goût peuvent y remarquer d’eux-mêmes le caractère original de l’
auteur
, les grandes pensées qui y règnent, les morceaux
ion grande et tragique du genre terrible, qu’on croyait épuisée par l’
auteur
d’Électre 101 · Je ne parlerai pas de la tendress
toutes différentes, qui font admirer le génie et la fécondité de leur
auteur
. Mais parce que la tragédie de Mérope me parait e
prends la liberté de défendre encore contre son autorité le vertueux
auteur
de Télémaque, homme né véritablement pour enseign
roscrirait moins de pensées d’un ouvrage, si on les concevait comme l’
auteur
. IX. Lorsqu’une pensée s’offre à nous comme une p
On ne s’amuse pas longtemps de l’esprit d’autrui. XVI. Les meilleurs
auteurs
parlent trop. XVII. La ressource de ceux qui n’im
pendule n’est pas d’aller vite, mais d’être réglée. XXI Lorsque deux
auteurs
ont également excellé en divers genres, on n’a pa
’esprit de la plupart des savants. ΧΧVIΙΙ Il est aisé de critiquer un
auteur
, mais il est difficile de l’apprécier. XXIX. Je n
a reculé toutes les bornes. XXX On ne doit pas non plus demander aux
auteurs
une perfection qu’ils ne puissent atteindre. C’es
n tableau hardi et touchant. Cette parfaite régularité qui manque aux
auteurs
ne se trouve point dans nos propres conceptions.
personnages ont été les hommes de leur siècle les plus éloquents. Les
auteurs
des plus beaux systèmes, les chefs de partis et d
rassembler ; et les découvertes anciennes sont moins à leurs premiers
auteurs
qu’à ceux qui les rendent utiles XL. On ne peut a
d, l’homme de son siècle le plus poli et le plus capable d’intrigues,
auteur
du livre des Maximes ; le fameux cardinal de Retz
ir, l’ouvrage ne sera point construit ; et, en admirant l’esprit de l’
auteur
, on pourra soupçonner qu’il manque de génie. C’es
ssemblage ; le livre paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
auteur
demeure obscur ; il ne peut faire impression sur
, ni se transporter, ni s’altérer : s’il est élevé, noble, sublime, l’
auteur
sera également admiré dans tous les temps ; car i
leur singularité. Mais on les tolère, on les aime même dans les vieux
auteurs
, parce qu’ils sont là un fait de l’histoire litté
fication. Quand un beau mot présente un sens plus beau que celui de l’
auteur
, il faut l’adopter. XVIII. Il faut que les mots s
ir de ce qu’ils ont dit ; ils sont prudents. Les périodes de certains
auteurs
sont propres et commodes à ce dessein. Elles amus
ixe, et, accoutumés qu’ils étaient à se promener dans la mémoire de l’
auteur
, ils s’élancent vers celle du lecteur, par une so
s. XLVI. Les meilleurs temps littéraires ont toujours été ceux où les
auteurs
ont pesé et compté leurs mots. XLVII. « Le style
nt il faut, pour l’entretenir, souffrir de déperditions. LXII. Chaque
auteur
a son dictionnaire et sa manière. Il s’affectionn
naître que les pensées elles-mêmes. On reconnaît souvent un excellent
auteur
, quoi qu’il dise, au mouvement de sa phrase et à
CIV. Il est un style Livrier, qui sent le papier et non le monde, les
auteurs
et non le fond des choses. Le style oratoire a so
rapproché. De plus, ces mots font le style franc. Ils annoncent que l’
auteur
s’est depuis longtemps nourri de la pensée ou du
ncérité. Ils plaisent parce qu’ils montrent encore plus l’homme que l’
auteur
. Mais ils doivent se placer dans le style, comme
Il est trop gros, ou trop gras, ou même trop grand. CII. Il est tel
auteur
qui commence par faire sonner son style, pour qu’
le, c’est plutôt un malheur qu’un défaut ; car cela vient de ce que l’
auteur
n’a pas eu le temps ou la bonne fortune de trouve
s le nom de ce personnage inconnu l’anagramme de Louis de Montalte, l’
auteur
des Lettres provinciales. Pascal parle donc ici d
ntaigne a dit : « Tâter de toutes parts comment elle est logée en sou
auteur
. » Essai, même chapitre. 13. C’est-à-dire d’un
s, Stances, Epigrammes. Théophile de Viau, né en 1590, mort en 1620 ;
auteur
de poésies empreintes de beaucoup de mauvais goût
poésies diverses. 30. Rabelais, né à Chinon en 1483, mort en 1553,
auteur
de Gargantua et de Pantagruel. 31. Nicole et l
e Longus et d’Héliodore. 33. Coeffeteau, né en 1574, mort en 1623 ;
auteur
d’une histoire romaine et d’une traduction de Flo
re n’ait eu en vue ici l’Homme à bonnes fortunes, comédie de Baron. L’
auteur
peint le ridicule de certaines gens : « Un regard
51. Segrais, traducteur des Géorgiques et de l’Enéide de Virgile, et
auteur
présumé de Zaide et de la Princesse de Clèves, qu
Doctrine, science. 58. Charpentier, alors directeur de l’Académie,
auteur
de plusieurs traductions, entre autres de celle d
I. 67. Etienne Jodelle, sieur du Lymodin, né à Paris, mort en 1573,
auteur
de tragédies imitées des Grecs. avec prologues et
les bornes de l’esprit humain : cela prouve qu’il est possible qu’un
auteur
sublime ait moins de profondeur et de sagacité qu
dispose à nous accorder plus de lumières. Nous jugeons toujours d’un
auteur
par le caractère de ses sentiments. Si on compare
ifier cette préférence. Fénelon a plus de facilité et d’abondance ; l’
auteur
des Caractères, plus de précision et plus de forc
s-accomplis. » 106. Guillaume Temple, célèbre négociateur anglais,
auteur
d’un grand nombre d’ouvrages historiques, mourut
à ne heurter en rien la croyance ou le jugement des spectateurs. Les
auteurs
de poétiques ont fait de longues dissertations su
eu un succès durable ; ce qui prouve qu’elles sont dans l’intérêt des
auteurs
comme dans celui de la beauté de l’œuvre. § 70
mande aucun art et se faisait souvent chez les anciens, mais qu’aucun
auteur
de quelque talent ne se permettrait chez nous ; d
Les divers incidents amenés par l’action elle-même ou imaginés par l’
auteur
, en se croisant et s’entremêlant, forment l’intri
et de ne pas viser à l’expression poétique, qui trahirait aussitôt l’
auteur
et le ferait paraître aux lieu et place de son pe
aître ; mais il ne faut pas le chercher ; il faut le laisser venir. L’
auteur
dramatique évitera donc tout ce qui peut sentir l
d’un personnage à l’autre selon les idées, et non pour le besoin de l’
auteur
, qui ne doit nullement paraître. Il faut que les
égner dans les tragédies, c’est-à-dire en former le nœud ? Il y a des
auteurs
qui soutiennent que cette passion doit être entiè
faire s’il parlait en vers : c’est là une partie des devoirs que tout
auteur
d’une tragédie doit remplir. Resserrer un événeme
ller ? Il est impossible de le déterminer d’avance. Le goût seul de l’
auteur
ou celui des spectateurs doit assigner la limite
lanterne magique. Qui croirait que dans des conditions pareilles nos
auteurs
ont pu produire des chefs-d’œuvre ? C’est pourtan
tite rétribution. Ce n’est pas là une pièce dramatique ; et quand nos
auteurs
comiques écrivent des parades, on comprend qu’ils
, aussi bien que Pacuvius, Cécilius, Attius. Les ouvrages de tous ces
auteurs
sont perdus. Quant à Plaute, contemporain d’Enniu
ce, on donnait au théâtre des Paris les Rivales de Quinault. Mais cet
auteur
inimitable a été bien au-delà de ceux qui l’ont p
s les siennes. Nous ne pouvons indiquer ici que les principaux de nos
auteurs
comiques : rappelons avant tout la remarque de La
sont faibles et d’un comique un peu larmoyant. Mais pour indiquer nos
auteurs
comiques spéciaux, après Molière, il faut placer
qui a fait la Métromanie ; Gresset, qui a fait le Méchant ; Le Sage,
auteur
de Turcaret ; Dancourt, Legrand, Picard, Duval et
s, La Harpe, dans Rousseau trouver de belles rimes ; Boileau, correct
auteur
de libelles amers1, Boileau, dit Marmontel, tourn
de lire, Vont dans un juste oubli retomber désormais, Comme de vains
auteurs
qui ne pensent jamais ! Quelques vengeurs pou
s, Ces fiers inquisiteurs jugent les beaux esprits. Oh ! malheureux l’
auteur
dont la plume élégante Se montre encor du goût sa
on se récrie : Fût-il un Durosoy4, tout Paris l’applaudit ; C’est un
auteur
divin, car nos dames l’ont dit. La marquise, le d
, Paris, Dalibon, in-8° : elle est accompagnée « des corrections de l’
auteur
, des variantes et de remarques littéraires et his
sion à ce début de l’épître de Voltaire à Boileau : Boileau, correct
auteur
de quelques bons écrits… Mais on sait qu’un autr
sations : plus d’un trait de Gilbert a eu cet heureux privilège. 4.
Auteur
célèbre par son mauvais goût. C’est le même qui,
a ce mot à la manière dont on rendit ses idées ; et quand on dit d’un
auteur
que son style est bon, on veut dire qu’il exprime
veau, qu’il lit pour la première fois, où il n’a nulle part, et que l’
auteur
aurait soumis à sa critique ; et se persuader ens
naturellement, les phrases et les périodes sont d’une juste mesure. L’
auteur
y fait connaître toutes les qualités douces et hu
use. Dans cet ingénieux apologue que nous devons à l’abbé Blanchet, l’
auteur
nous fait assister à une séance de l’Académie sil
portât sentence. Le moyen d’annoncer une nouvelle si désagréable à l’
auteur
du Bâillon ? On ne savait comment s’y prendre, lo
is et sur le Dévouement des religieux du mont Saint-Bernard, dont les
auteurs
sont l’historien Gaillard, et le publiciste genev
’ouvrage ait coulé de source, et qu’il n’ait coûté aucune peine à son
auteur
. Cette qualité distingue particulièrement les écr
lièrement les écrits de La Fontaine et de Racine ; en lisant ces deux
auteurs
si parfaits, il semble que l’on va soi-même parle
dire la vérité à qui vous la demande » . C’est l’avare Harpagon que l’
auteur
met en scène avec Maître Jacques. On pourra lire
ommence son cours. Le Coin du feu. Le style, sous la plume d’un bon
auteur
, sait faire passer les expressions les plus famil
extrayons de L’Essai sur l’indifférence en matière de religion ; si l’
auteur
, M. de Lamennais, eût persévéré à marcher d’un pa
anecdote, racontée d’une manière facile, naturelle et amusante par l’
auteur
, nous fait connaître une des originalités par les
ces différentes qualités. C’est un morceau historique remarquable, l’
auteur
esquisse avec la plus grande lucidité les causes
ouve naturellement empreint de la couleur de l’époque : le style et l’
auteur
sont contemporains. Nous y rencontrons des expres
nt elle lui a envoyé la réponse ce matin sur les huit heures ; un tel
auteur
a fait un dessein ; celui-là en est à la troisièm
fréquemment troublé et arrêté par celui du bon goût. Heureusement les
auteurs
qui ont le courage de cultiver ce genre de littér
faire pour dissuader nos jeunes élèves d’un genre de style que leurs
auteurs
eux-mêmes ont réprouvé d’avance. Cependant il est
rouvé d’avance. Cependant il est un mérite qu’il faut reconnaître aux
auteurs
qui ont aimé à parcourir cette route folle et lég
citations sont nécessaires ici pour que nous soyons compris. L’un des
auteurs
les plus remarquables en ce genre est Paul Scarro
prits, quoique nous entendions professer cette maxime : que lorsqu’un
auteur
nous fait rire, nous lui pardonnons volontiers se
également, plus ou moins directement, de quelque livre d’Aristote. L’
auteur
avait aussi sous les yeux le VI e chapitre de la
raison de ne pas approuver la définition d’Aristote et probablement l’
auteur
du Misanthrope ne l’approuva pas davantage. Appar
littérature, au mot Comédie. ) Voilà qui s’éloigne bien d’Aristote l’
auteur
s’en rapproche lorsqu’il veut justifier sa défini
ους en λόγους contre l’autorité des manuscrits ? D’ailleurs, Hermann,
auteur
de cette conjecteure, et Ritter, qui l’adopte, ne
les vingt-quatre heures, etc. » (Marmontel, au mot Unité.) Dans quel
auteur
grec notre critique a-t-il lu cette règle sur la
licence a précédé les règles. Quant à l’unité de lieu, que nos vieux
auteurs
de Poétiques sont souvent déterminée d’une manièr
vue encyclopédique, t. XXI et XXII, réimprimée dans les Œuvres de cet
auteur
), où il démontre que d’Aubignac surtout est respo
partie est perdue. Dans les vingt-cinq chapitres qui nous restent, l’
auteur
recherche les causes originelles de la poésie, qu
Vida. Longtemps après parut une autre Poétique latine, qui eut pour
auteur
un contemporain de Léon X, Vida, évêque d’Albe, n
u poète, sur son travail, sur les modèles qu’il doit suivre. Ce que l’
auteur
dit de l’élocution poétique est rendu avec autant
rit avec une haute raison et le plus harmonieux langage, a valu à son
auteur
le titre de législateur du Parnasse français, et
’a pu être comblée jusqu’à ce jour, malgré les tentatives de quelques
auteurs
. 4. Comment peut-on diviser la poétique ? Les gr
ondis point mal à ses questions : il vit que je connaissais assez les
auteurs
grecs et latins. Il me mit ensuite sur la dialect
is il me laissa voir, au travers de toute sa piété, qu’il n’était pas
auteur
impunément. J’achevai de gagner ses bonnes grâces
t forts et délicats ; mais je voudrais bien éviter le défaut des bons
auteurs
, qui écrivent trop longtemps, et me sauver avec t
t dont il s’agissait me paraissait délicat à donner. Je jugeais qu’un
auteur
entêté de ses ouvrages pourrait le recevoir mal ;
ue modification pour rajuster les choses ; mais le moyen d’apaiser un
auteur
irrité, et de plus un auteur accoutumé à s’entend
les choses ; mais le moyen d’apaiser un auteur irrité, et de plus un
auteur
accoutumé à s’entendre louer ! « N’en parlons plu
que vous êtes aussi mauvais juge de tout genre d’ouvrage que méchant
auteur
, que vous n’avez plus rien de naïf et de délicat
our se les procurer ». Rien n’était plus efficace, selon le judicieux
auteur
du Traité des études, pour donner aux jeunes gens
n de temps, choisi chez ceux qui l’ont le mieux écrite, même chez les
auteurs
contemporains, ce qui nous a paru en rapport avec
, au dix-septième siècle. Pour les classes supérieures, le cercle des
auteurs
où nous avons puisé a dû être un peu élargi ; mai
s, nous avons pensé qu’il convenait d’adopter, pour le classement des
auteurs
, l’ordre chronologique, comme favorable à l’exerc
L. F. 1. « C’est en lisant beaucoup, plutôt qu’en lisant beaucoup d’
auteurs
, qu’il convient de former son esprit et de donner
us hautes facultés. En outre, il est incontestable que la plupart des
auteurs
qui ont écrit depuis 1800, et surtout depuis 1828
contemporains. Il serait injuste de ne pas le reconnaître, plusieurs
auteurs
de nos jours se sont distingués par le beau et na
ien écrire en toutes sortes de styles, assurément ce sont surtout les
auteurs
du siècle de Louis XIV, ce siècle par excellence
ant d’une pensée du Sage, nous ajouterons qu’il faut savoir tirer des
auteurs
les plus pernicieux ce qu’ils peuvent renfermer d
sur chaque siècle qui précèdent les notices particulières sur chaque
auteur
, l’étendue et le sérieux de ces notices, le choix
vit l’épître dédicatoire au prince de Conti. Ainsi que l’a remarqué l’
auteur
des Mémoires sur Mme de Sévigné, « ce recueil ren
e de Sévigné, « ce recueil renfermait un choix de poésies de tous les
auteurs
depuis Henri IV jusqu’aux plus récents, et sembla
norité de Louis XIV, une grande célébrité ». Tel était le mélange des
auteurs
que Corneille, Racine et Boileau y coudoyaient le
n peu joli : Mais surtout il estime un langage poli. Ainsi sur chaque
auteur
il trouve de quoi mordre : L’un n’a point de rais
il emprunta le sujet et la forme aux Italiens, et principalement à l’
auteur
du Pastor fido, est en cinq actes assez mal cousu
s. Il contemple du port les insolentes rages Des vents de la faveur,
auteurs
de nos orages, Allumer des mutins les desseins fa
tes aristotéliques, et bien que le Cid ait été d’abord appelé par son
auteur
tragédie comédie, à cause de l’heureux dénouement
mence l’époque classique de la tragédie en France. On avait accablé l’
auteur
du Cid d’accusations de plagiat. Il répondit à ce
l’amour humain sanctifié par les lumières de la foi. Comme l’a dit l’
auteur
lui-même, les transports de l’amour humain font,
Non qu’ils prennent sur eux de si lâches pratiques ; Mais ils en font
auteur
un de leurs domestiques, Qui, pensant bien leur p
euse haine qu’on ait jamais vue. Cet essai de jeunesse annonce déjà l’
auteur
des futurs chefs-d’œuvre. La haine des deux frère
ains et faisaient retomber le théâtre dans la turpitude d’où quelques
auteurs
plus modestes l’avaient tiré. Enfin le style et l
ns le genre historique, força ennemis comme amis de reconnaître que l’
auteur
de Britannicus avait d’autres couleurs sur sa pal
t celle où il s’est le plus souvent élevé au ton mâle et sublime de l’
auteur
de Cinna et d’Horace, et où il a peint le caractè
rite d’Athalie, comme celui d’Esther, fut méconnu pendant la vie de l’
auteur
. L’âge suivant fut plus juste, et Voltaire, penda
Je ne puis. Iphigénie. Périsse le Troyen
auteur
de nos alarmes ! Agamemnon. Sa perte à ses vainq
manière à exciter l’intérêt, malgré toutes les invraisemblances que l’
auteur
a accumulées pour la marche de l’intrigue et pour
présent sont bien loin de ces mœurs ; Elles veulent écrire et devenir
auteurs
. Nulle science n’est pour elles trop profonde, Et
en 1695, annonça, sinon un rival, du moins un digne continuateur de l’
auteur
de Tartuffe et du Misanthrope. Il fut plus facile
obe et amant infidèle. Cependant il n’entrait pas dans la pensée de l’
auteur
de faire le procès à tous les bons sentiments. Il
. Pour lui, égayer était un moyen d’instruire. Autre infériorité de l’
auteur
du Joueur et du Légataire universel : il n’a ni l
ccent du cœur, la passion, la tendresse. Une distance énorme sépare l’
auteur
du Joueur de l’auteur du Tartuffe. Cependant c’es
ion, la tendresse. Une distance énorme sépare l’auteur du Joueur de l’
auteur
du Tartuffe. Cependant c’est de tous nos poètes c
osition, par le mérite du style et par le charme de l’harmonie. Peu d’
auteurs
ont eu au même degré le talent de la composition.
d’arlequinades. Quinault mérite aussi une place distinguée parmi les
auteurs
comiques. La Mère coquette ou les Amants brouillé
mble, trois recueils. Le premier comprend les six premiers livres ; l’
auteur
les publia sous le titre modeste de Fables choisi
Montaigne, et même quelques souvenirs du quinzième siècle. Nos vieux
auteurs
ne lui suffisent pas encore pour suppléer à l’ind
e en entraîne quelque autre, Il ne fait pas la foule ; et je vois des
auteurs
Qui, plus savants que moi, sont moins admirateurs
. Je ne nomme personne : on peut tous nous connaître. Je pris certain
auteur
autrefois pour mon maître ; Il pensa me gâter. À
la fin, grâce aux dieux, Horace, par bonheur, me dessilla les yeux. L’
auteur
avait du bon, du meilleur ; et la France Estimait
Ne vous étonnez pas qu’il donne pour modèle À des ultramontains95 un
auteur
sans brillants. Tout peuple peut avoir du goût et
ères Me feront renoncer à mes erreurs premières Comme vous je dirai l’
auteur
de l’univers. Cependant agréez mon rhéteur et mes
s autres morceaux, où il était délicatement loué. Il voulut en voir l’
auteur
, le renvoya comblé d’honneurs et de biens, et, en
l y est question de l’ode, de l’idylle, de l’élégie ou de l’épopée, l’
auteur
prend le style approprié à chacun de ces sujets,
la satire, satire à double tranchant contre les formats et contre les
auteurs
; c’est un des endroits les plus curieux de l’ouv
pour amener l’éloge du président de Lamoignon, et pour permettre à l’
auteur
« de mouiller de larmes un ouvrage de pure plaisa
ura le goût ancien, le seul, selon lui, qui pût former parmi nous des
auteurs
et des connaisseurs. Préférant à tout l’intérêt d
l’année 1668, et imitée de la première Satire du livre II d’Horace, l’
auteur
délibère avec sa Muse s’il doit continuer à compo
quittons la satire. C’est un méchant métier que celui de médire ; À l’
auteur
qui l’embrasse il est toujours fatal : Le mal qu’
ot, pour avoir réjoui le lecteur, A coûté bien souvent des larmes à l’
auteur
. Un éloge ennuyeux, un froid panégyrique, Peu
ements divers, Et n’a pour ennemis que la poudre et les vers. Mais un
auteur
malin, qui rit et qui fait rire, Qu’on blâme en l
et, d’un air imposteur, Rit tout haut de l’ouvrage, et tout bas de l’
auteur
. Enfin, c’est mon plaisir : je me veux satisfaire
ques pièces fugitives ont placé Sénecé ou Séneçay parmi nos meilleurs
auteurs
de poésies légères. Il y a dans toutes ces petite
ces derniers moments ce n’est pas la saison. À tous les animaux leur
auteur
, de raison, À qui plus, à qui moins, départit une
iration faiblit, l’exécution devient molle et lâche. Presque tous les
auteurs
ont une versification abandonnée, remplie d’épith
elques vers dignes d’un poète dramatique. L’esprit philosophique de l’
auteur
devient celui de tous les personnages ; pas une d
e le jeune Arouet conçut le plan de la Henriade, dont le sujet, dit l’
auteur
lui-même, est le siège de Paris, commencé par Hen
atiriques contre la mémoire de Louis XIV, dont on l’accusait d’être l’
auteur
, qu’il fit le second chant dont il avait déjà le
autres travaux, fut achevé en 1724, et publié d’abord à Londres, où l’
auteur
, banni de France, avait dû chercher un asile. Ce
irituel et bien appris. En l’arrachant aux flammes, dans lesquelles l’
auteur
l’avait jetée, par irritation des critiques que q
t ouvrage excita un tumulte général dans la république des lettres. L’
auteur
fut accablé de mille écrits injurieux, et donné e
e la sensibilité, même de l’enthousiasme. On regrette seulement que l’
auteur
sème à profusion les sentences philosophiques, qu
nel de mouvements sans moteur, et de l’homme une machine sensitive. L’
auteur
du Poème sur la loi naturelle établit l’existence
nerons en entier l’Épître à Rosalie, adressée à Mme Denis, nièce de l’
auteur
. Elle mérite de demeurer classique : c’est le che
La Vie de Paris et de Versailles. À madame Denis, nièce de l’
auteur
. Vivons pour nous, ma chère Rosalie, Que l’amiti
ie », selon l’expression de Palissot, suffit à placer Piron parmi les
auteurs
dramatiques les plus célèbres du dix-huitième siè
des défauts se mêlent à ces qualités, suivant le même critique : « L’
auteur
de la Métromanie a des tours gauches et forcés ;
e scène réellement belle, mais défigurée par des vers bizarres. Piron
auteur
tragique cheville moins que Crébillon, ses phrase
humeur à t’admirer. Et trouver tout le monde actif à censurer. Va des
auteurs
sans nom grossir la foule obscure, Égayer la sati
êt d’autrui. Malheur à lui seul, s’il en sèche ! Louons quelque autre
auteur
que lui. Pompignan (J.-J. Lefranc, Marquis d
s par la simplicité de l’intrigue, par la vérité des tableaux, dont l’
auteur
avait puisé le secret dans l’étude de Shakespeare
ité et de finesse151. Pour beaucoup de personnes, Sedaine n’est pas l’
auteur
de Félix de Richard, de Rose et Colas, du Déserte
ageure imprévue, de la Reine de Golconde, de Guillaume Tell, il est l’
auteur
de l’Épître à mon habit. Cette petite pièce, prod
ion et pour l’objet de son culte. Aux odes solennelles consacrées à l’
auteur
des Époques de la nature, nous préférons encore l
i sur les Poètes du jour, etc. Mais revenons au Lebrun classique, à l’
auteur
des odes. Il a des qualités éclatantes de style :
platitudes » ; ce fut un déchaînement universel. Palissot lui-même, l’
auteur
des Petites Lettres sur de grands philosophes et
ent vers leur chute prochaine ! Partout, même en Russie, on vante nos
auteurs
. Comme l’humanité règne dans tous les cœurs ! Vou
quelques fragments traduits ou imités, en vers et en prose, de divers
auteurs
latins, particulièrement de Virgile, où se rencon
t demain. Ami, Phébus ainsi me verse ses largesses, Souvent des vieux
auteurs
j’envahis les richesses, Plus souvent leurs écrit
ges, Tout à coup à grands cris dénonce vingt passages Traduits de tel
auteur
qu’il nomme ; et, les trouvant, Il s’admire et se
feux Dont j’anime l’argile et dont je fais des dieux. Tantôt chez un
auteur
j’adopte une pensée, Mais qui revêt chez moi, sou
rchitecte Morel. Il fit aussi des emprunts innombrables à une foule d’
auteurs
qui ont traité avant lui les mêmes sujets. Il doi
ilégiées, vraiment achevées, qui attestent une conquête définitive. L’
auteur
d’Hernani, l’auteur d’Henri III, l’auteur de Chat
chevées, qui attestent une conquête définitive. L’auteur d’Hernani, l’
auteur
d’Henri III, l’auteur de Chatterton, n’ont pas ré
une conquête définitive. L’auteur d’Hernani, l’auteur d’Henri III, l’
auteur
de Chatterton, n’ont pas réalisé l’idéal de la tr
onnée à tous les besoins de la pensée. Cette langue, dit le principal
auteur
de ce travail de renouvellement, « a été remaniée
’on a nommé le dernier parent de Racine pourrait être placé parmi les
auteurs
du dix-huitième siècle aussi bien que parmi ceux
riginal comme peintre que Chênedollé comme poète. L’invention, chez l’
auteur
du Génie de l’homme, n’a pas grande étendue, et l
omme et quelques-unes de ses odes. Selon les propres expressions de l’
auteur
même, il ne laissait point passer un vers faible
ciles et les plus rebelles à traiter… Il y a toujours eu plus de bons
auteurs
dramatiques que de gens excellant dans la chanson
eux premières tragédies sont du classicisme le plus étroit, quoique l’
auteur
entrevoie la nécessité d’une nouvelle forme théât
ts pour réaliser ce système de fusion. Des trois unités classiques, l’
auteur
de Marino Faliero (1829) en répudie une, celle de
Ces œuvres mixtes, semi-classiques, semi-romantiques, ont fait à leur
auteur
une assez grande réputation, mais elles ne sont p
our n’aboutir qu’à des créations sans caractère. Selon la pensée d’un
auteur
déjà cité, « il ôte la majesté royale à la tragéd
du juste milieu littéraire. On ne peut guère le louer davantage comme
auteur
comique, excepté pour une de ses pièces à laquell
représentée pour la première fois au Théâtre-Français, avec lequel l’
auteur
s’était réconcilié, le 6 décembre 1823, obtint un
ères et des mœurs, grâce, vivacité, quelquefois élévation de style, l’
auteur
n’a jamais réuni tant de mérites incontestables.
Vigny (Alfred de) (1799-1863) Quelques petits poèmes choisis par l’
auteur
entre ceux qu’il avait composés dans sa vie erran
temps retardée au gré de ses désirs, en publiant, en 1820, sans nom d’
auteur
, ses Méditations poétiques qui obtinrent bientôt
able aux Secondes Méditations, qui suivirent d’un an les premières. L’
auteur
dut attendre une génération de lecteurs nouvelle
mantiques, comme André Chénier est romantique parmi les classiques. L’
auteur
des Méditations est bien loin cependant de la pur
ble ; elle n’est plus à ses yeux qu’une belle œuvre dont il cherche l’
auteur
perdu pour lui : il semble rougir aujourd’hui de
le livre tout entier. Tout se rencontre dans cet étrange poème que l’
auteur
a donné comme « les mémoires d’une âme250 » ; l’a
ame de Cromwell, qui fit surtout du bruit par sa longue préface, où l’
auteur
s’appropriait et poussait à l’extrême les idées m
s français du dix-septième siècle. Ponsard a nommé Victor Hugo et les
auteurs
de la même école, des « Campistrons de Shakespear
ne puisse, malgré ses fortes et originales qualités, le comparer à l’
auteur
d’Hamlet, d’Othello, de Roméo et Juliette. Tous l
t la ballade jusqu’à l’épigramme. « Il y a dans tout cela, dit notre
auteur
, des choses qui peuvent paraître surannées pour l
idée de Dieu, et incessamment poursuivi de la pensée du suicide262. L’
auteur
a pu dire que Joseph Delorme fut, à son heure, qu
s à louer dans cette œuvre, c’est le talent merveilleux avec lequel l’
auteur
a remanié et renouvelé le sonnet. L’exemple de ce
e de Joseph Delorme. Dans ce nouveau volume, comme dans le premier, l’
auteur
part encore presque toujours de la vie privée, c’
et Ballades et des Orientales. Ce volume, publié également sans nom d’
auteur
, fut accueilli avec une grande faveur. Les bons j
disposition d’où sont nés la plupart des vers qui le composent. Là, l’
auteur
, encore plus désintéressé, plus rassis, moins liv
lui reprochait Lamartine : « Tes vers trop tôt ravis à l’amour de l’
auteur
, Tes vers, où L’hyperbole, effort de la faiblesse
nre d’escrime, Des rapports trop exacts avec un menuisier. Gloire aux
auteurs
nouveaux, qui veulent à la rime Une lettre de plu
us élevés. Quelle gloire durable et bienfaisante aurait pu acquérir l’
auteur
de Rolla, de l’Espoir en Dieu, d’Une soirée perdu
ions, le spiritualisme est toujours à l’état latent. Mais peu à peu l’
auteur
apprend à voir, à connaître, à aimer l’auteur de
atent. Mais peu à peu l’auteur apprend à voir, à connaître, à aimer l’
auteur
de la nature ; il s’élève des régions obscures d’
ut savoir Jouer, causer… même un peu rire. Vous verrez chez les vieux
auteurs
Expliqués au long dans vos classes, Que la Muse,
eux, La vertu même en est plus belle ! Pécontal (1802-1872) L’
auteur
de Volberg (1837), des Ballades et légendes (1846
uit, le 1er juin 1814, à Vienne, d’un père avocat. Il s’annonça comme
auteur
dramatique, en 1843, par la tragédie de Lucrèce.
des pairs ; voilà ce qui décida la fortune de Lucrèce et fit nommer l’
auteur
chef de l’École du bon sens. Mais cette tragédie
l’École du bon sens. Mais cette tragédie est loin d’être parfaite. L’
auteur
dit que l’action porte non seulement sur l’attent
nu le même succès. « Avant de choisir une action, dit quelque part l’
auteur
, j’ai toujours choisi une époque, et me suis déte
e la Comédie-Française, exprimait tout haut son étonnement. C’était l’
auteur
de Rolla. Avec un hochement de tête qui semblait
u sérieux entre l’histoire et la légende est, probablement sans que l’
auteur
l’ait voulu, une mauvaise action. Nulle part d’ai
le poème d’Homère et la tragédie d’Ulysse avec des chœurs (1852) où l’
auteur
, qui eut pour premiers maîtres Homère, Virgile, H
e d’Ulysse fait suite au poème et a été écrite dans le même esprit. L’
auteur
n’a pas choisi l’action de l’Odyssée comme très d
culte de la seule matière, si l’on voyait triompher ses principes. L’
auteur
des Poèmes antiques est aussi l’auteur des Poèmes
ait triompher ses principes. L’auteur des Poèmes antiques est aussi l’
auteur
des Poèmes barbares : le meilleur de sa réputatio
s profond des sonorités harmonieuses. On peut toutefois reprocher à l’
auteur
, dans ses poésies symboliques, de tendre trop sou
Ad Eustochium, De custodia virginitatis, Epist. xxii, c. 3. 2. « Des
auteurs
du seizième siècle qu’il convient de réimprimer »
pagnia della Lezina, Dialogo, Capitoli, etc… par un nommé Vialardi. L’
auteur
de cette plaisanterie feint l’établissement d’une
en verbe remordre, de remordere, d’où le substantif remords. 58. Les
auteurs
emploient souvent la préposition de ou l’article
(1618-1698), membre de l’Académie française, prédicateur médiocre et
auteur
de quantités de poésies, pastorales, tragédies, o
al révolutionnaire qui le fit immédiatement mener à la mort. 168. L’
auteur
en écrivant ce vers en a donné trois variantes.
poétiques. 208. Olivier Basselin, poète normand du quinzième siècle,
auteur
de chansons publiées sous le titre de Vaux-de-Vir
s, xl. 253. Voir la préface de Marion Delorme, août 1831. 254. Des
auteurs
classiques ont dit : « Elle a les yeux troublés
es exploits étonnant les lecteurs, Seront à peine crus sur la foi des
auteurs
; Si quelque esprit malin les veut traiter de fab
e courte vie Est une faveur des cieux. Voyez encore celle-ci du même
auteur
sur un père, affligé de la mort de sa fille. Le p
veau, qu’il lit pour la première fois, où il n’a nulle part, et que l’
auteur
aurait soumis à sa critique ; et se persuader ens
de sévérité à Boileau, lorsqu’il dit : Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin, Est toujours, quoi qu’il fasse, un
nommer celui qui a fait la chose, mais qui ne veut pas en être cru l’
auteur
. Ces mots ne peuvent donc pas, en bien des occasi
ait été pleinement satisfaite par l’entier développement du sens de l’
auteur
. Ce qui rend le plus souvent le style obscur dans
ste, la critique d’un de ses ouvrages, qui a été faite par Eugène. Un
auteur
a dit : Hypéride a imité Démosthène, en ce qu’il
s deux substantifs se rapporte ce pronom il. Si c’est à Démosthène, l’
auteur
aurait dû dire : Hypéride a imitée Démosthène en
que le lecteur réfléchisse un peu pour le voir ? C’est un soin que l’
auteur
aurait pu aisément lui épargner, en disant : cet
nviendrai qu’en effet, lorsqu’un vers ronfle bien dans la bouche d’un
auteur
, quelquefois le parterre ne demande rien de plus.
parterre ne demande rien de plus. Mais il n’est pas moins vrai qu’un
auteur
ne doit jamais courir après un bel arrangement de
rs écrivains. Un tour heureux, dit Montesquieu en parlant de quelques
auteurs
modernes, leur paraît plat, parce qu’il n’a pas l
’un ouvrage est posthume, lorsqu’il a été publié après la mort de son
auteur
. Mais c’est contre la raison même de dire qu’une
re la raison même de dire qu’une réputation est posthume, parce qu’un
auteur
ne peut point acquérir une réputation après sa mo
à entendre un sens qui n’est point exprimé, mais qui est celui que l’
Auteur
a dans l’esprit. Toutes les images y sont relativ
nière de s’exprimer se fait en prenant ; 1°. La cause pour l’effet, l’
auteur
de la chose pour la chose même : = vivre de son t
inités jusques dans leurs jardins. » Boileau, en parlant de quelques
Auteurs
médiocres du siècle de Louis XIV, dit ironiquemen
es. Au commencement de tous les chapitres, nous donnons une liste des
auteurs
à consulter sur la question dont il s’agit. Cette
ouvrage, d’être soi-même capable de faire mieux ou aussi bien que son
auteur
. On peut critiquer Homère avec beaucoup de profon
u’il est et tel qu’il sent, c’est-à-dire que la manière d’écrire d’un
auteur
sera l’expression fidèle de sa manière de voir et
qu’on en est dehors. Mais on saisit moins facilement la pensée d’un
auteur
contemporain quand il nous dit : Une créature di
nner ce nom à certaines pensées de Lucain, de Ronsard, et de quelques
auteurs
contemporains qui nous disent des choses invraise
o Altissimo. (Isaïe, ch. 14.) Pour peindre la fureur d’un combat, un
auteur
est encore allé trop loin, quand il a dit : Dimi
e mot simplicité signifie ici bêtise, et va au-delà de la pensée de l’
auteur
. Il fallait crédulité. 91. Ce qui rend les mots p
leurs compositions, et qu’ils traduisent avec si peu d’exactitude les
auteurs
grecs et latins. 97. La correction défend encore
la toile. Il est difficile d’être plus inintelligible. Évidemment, l’
auteur
ne se comprenait pas lui-même, et les lignes qui
ffort dans un ouvrage semble faire partager au lecteur la peine que l’
auteur
a éprouvée. On montrait à un évêque de Lisieux un
t les Épîtres d’Horace, la première Églogue de Virgile : et parmi les
auteurs
français, La Fontaine, La Bruyère et Mme de Sévig
-ce qui aurait dit qu’une bête comme ça aimait les poires ? Les bons
auteurs
du dix-septième siècle nous apprennent comment on
cception naturelle et présentés sans artifice. Mais qu’on dise avec l’
auteur
de la Henriade : Tel brille au second rang qui s
équentes et plus hardies : C’est en vain qu’au Parnasse un téméraire
auteur
Pense de l’art des vers atteindre la hauteur, S’i
accorder. Je veux bien, dit Bossuet, avouer de Charles Ier ce qu’un
auteur
célèbre a dit de César, qu’il a été clément jusqu
(Voyez le nº viii.) 221. Plusieurs critiques modernes reprochent aux
auteurs
anciens d’avoir attaché trop d’importance à l’étu
lâmé ce défaut dans des vers qui le rendent sensible : Maudit soit l’
auteur
dur dont l’âpre et dure verve, Son cerveau tenail
natur. 254. Le chrétien doit aussi étudier le type du beau dans les
auteurs
païens. Malgré les ténèbres et la corruption qui
u que le jeune élève étudie en même temps nos écrivains sacrés et nos
auteurs
chrétiens, les dieux et les héros d’Homère et de
asme, se flétrissent bientôt dans l’esprit du jeune homme qui lit des
auteurs
dangereux ou suspects. Puisque le style est l’hom
il faut observer dans le choix des livres, c’est de ne point lire les
auteurs
médiocres et ceux dont le goût n’est pas assez pu
et ils cherchent à justifier leurs propres défauts par l’exemple des
auteurs
qu’ils ont choisis pour modèles. Ils se trompent
dre le coup d’œil du jeune homme, lui communiquent de bonne heure les
auteurs
dont le génie, quel qu’il soit, n’a pu se défendr
altos divertere libuerit, ad priores redi (Senec.). Lire beaucoup d’
auteurs
de divers genres est une marque d’inconstance et
ôtes, mais pas un ami. L’ordre veut encore qu’on suive la marche de l’
auteur
et l’enchaînement de ses pensées, sans chercher à
a progression des sentiments et des pensées. Demandez-vous quel but l’
auteur
s’est proposé et quelle est la marche qu’il a sui
puisse utilement s’exercer. Dans les pensées et les conceptions d’un
auteur
, justesse ou convenance ; dans les sentiments, dé
ellent traducteur, il faut respecter tout à la fois le caractère de l’
auteur
original et le génie de la langue nouvelle qu’on
versions des mots et des propositions, et le ton particulier à chaque
auteur
. À ces quatre points de vue, il faut unir ensembl
l calme et sévère ce que vous avez écrit ; oubliez que vous en êtes l’
auteur
, et devenez pour cette œuvre, que vous regardez c
. L’attention est d’abord excitée par une description saisissante. L’
auteur
se garde bien de la satisfaire sur-le-champ ; il
e les grandes actions avec éloge, en quelque lieu qu’il en trouve les
auteurs
. Mais l’impartialité ne doit jamais être cette fr
une imagination puissante, et c’est ordinairement ce qui distingue un
auteur
médiocre d’un excellent écrivain : l’un ne fait q
celles qui sont frappantes. Boileau nous a transmis cette règle : Un
auteur
, quelquefois trop plein de son objet, Jamais sans
e son objet, Jamais sans l’épuiser n’abandonne un sujet. Fuyez de ces
auteurs
l’abondance stérile Et ne vous chargez point d’un
ment. Pour réussir dans ce travail, il ne suffit pas de rapetisser un
auteur
et de réduire un livre à un petit nombre de phras
le19. 367. Les dissertations littéraires roulent ordinairement sur un
auteur
classique ou sur un précepte de rhétorique et d’h
ine, le songe d’Énée et le songe d’Athalie. Avez-vous à comparer deux
auteurs
? Examinez les traits les plus frappants de resse
rées, et la perfection de ces odes démontre leur céleste origine. Les
auteurs
de ces chants, considérés uniquement comme écriva
e sentiment où la réflexion que ce sujet a fait naître. 444. Certains
auteurs
demandent que la cantate soit toujours une allégo
ême l’illusion. 490. Les Anglais, les Allemands, et avec eux certains
auteurs
dramatiques de nos jours, ont prétendu qu’il fall
lui-même, me paraît être d’un goût efféminé. Il faut, ajoute le même
auteur
, que l’amour conduise aux malheurs et aux crimes
’une longueur disproportionnée avec l’ensemble de l’ouvrage, et que l’
auteur
sache rentrer avec art dans son propre sujet. La
rcher ici une action continue ; c’est une suite de descriptions que l’
auteur
sait rattacher ensemble par un sentiment ou une i
tter contre les vices généraux de la société, de frapper les méchants
auteurs
des traits du ridicule, pour venger la raison et
: cependant on lui reproche trop d’acharnement à poursuivre certains
auteurs
et des personnalités blessantes qui s’accordent m
les Latins, Catulle, Properce, Ovide et Tibulle. Malheureusement ces
auteurs
ont prostitué leurs muses aux passions coupables
es, Fais effacer ton nom de tes propres écrits. (Boileau.) Ci-gît l’
auteur
d’un gros livre Plus embrouillé que savant ; Aprè
r Était présent à sa vaste pensée. Sois donc digne de ton
auteur
, Ne ravale point la hauteur De ce
méditer continuellement ? 254. Le chrétien doit-il aussi étudier les
auteurs
païens ? 255. Que doit-on rechercher principaleme
262. Faut-il s’interdire tout ouvrage immoral ? 263. Doit-on lire des
auteurs
médiocres et imparfaits ? 264. Faut-il se borner
viter ? 555. Qu’est-ce que la fable ou apologue ? 556. Quels sont les
auteurs
que l’on peut mettre en scène dans l’apologue ? 5
Qu’est-ce que la charade ? 589. Qu’est-ce que le logogriphe ? 1.
Auteurs
à consulter : Marmontel, Éléments de littérature,
on, 1er part. 2. L’abbé Decœur, Essai sur la composition, p. 22. 3.
Auteurs
à consulter : Marmontel, art. Style ; Buffon, Dis
e littérature profane et sacré, ch. iii ; Ernest Hello, Le Style. 4.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii
dans les ouvrages d’esprit : l’abbé Tuet, Guide des humanistes. 5.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii
ii ; l’abbé Decœur, Essai sur la composition, IIIe part., ch. ii. 6.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. xv ;
art. Image ; Fénelon, Lettre sur les occupations de l’Académie. 7.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De oratore, III, 38-13 ; O
ature, Construction oratoire ; l’abbé Girard, Synonymes français. 8.
Auteurs
à consulter : Cicéron, Orator, 76-95 ; Quintilien
partie ; Collombet, Cours de littérature, section Ire, chap. iii. 9.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, chap. xv
ç. 14, 15 et 16 ; De Calonne, Traité de la narration, IIIe part. 10.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. xxxv
littérature ; Collombet, Cours de littérature, sect. 1re, ch. v. 11.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, chap. xi
’usage des classes supérieures et des aspirants au baccalauréat. 14.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De oratore, 1, 150-155 ; Q
des lettres, chap. v ; L’abbé Capot, Études sur la composition. 15.
Auteurs
à consulter : Blair, Leçons de rhétorique, leç. 3
esse-Montval, Traité de la narration et de l’analyse littéraire. 16.
Auteurs
à consulter : Marmontel, Éléments de littérature,
e, ch. vi, art. ii. 17. Voir notre Traité de l’art épistolaire. 18.
Auteurs
à consulter : Aubertin, Compositions latines et f
ttéraires comme terme de comparaison pour le travail des élèves. 20.
Auteurs
à consulter : Le Batteux, Les beaux-arts réduits
ttres, ch. vi ; Cormenin, Le livre des orateurs, art. Lamartine. 21.
Auteurs
à consulter : Fénelon, Lettre à l’Académie, — Pro
el, art. Vers ; Quicherat, Traité de la versification française. 22.
Auteurs
à consulter : Le Batteux, Principes de littératur
ix ; Mgr Plantier, Études littéraires sur les pactes bibliques. 23.
Auteurs
à consulter : Le Batteux, Principes de littératur
III et IV ; Pérennès, Principes de littérature, 2e part., ch. v. 24.
Auteurs
à consulter : Le Batteux, Principes de littératur
ature dramatique ; Saint-Marc Girardin, Littérature dramatique. 25.
Auteurs
à consulter : Le Batteux, Principes de littératur
scriptif ; Collombet, Cours de littérature, sect. II, chap. iii. 26.
Auteurs
à consulter : Blair, Leçons de rhétorique, leç. x
art. Églogue, Idylle ; Laurentie, De l’étude des lettres, ch. x. 27.
Auteurs
à consulter : Le Batteux, Principes de littératur
ins une instruction recouverte d’un voile qui déguise les leçons de l’
auteur
. Ce genre embrasse tout ce qui forme le domaine d
’on connaît le mieux, et qui contribuent le plus à la réputation de l’
auteur
. Les beautés les plus éclatantes des Géorgiques s
pas briser la liaison naturelle des leçons et des règles. De plus, l’
auteur
doit s’efforcer de rattacher avec art les épisode
composé les Proverbes et l’Ecclésiaste ; Jésus, fils de Sirach, est l’
auteur
de l’Ecclésiastique. Quant au livre de la Sagesse
e la Sagesse, que plusieurs Pères ont attribué à Salomon, il est d’un
auteur
inconnu. Nous mentionnerons, chez les Grecs, Hési
ui nous a laissé les Travaux et les Jours et la Théogonie, et Aratus,
auteur
des Phénomènes célestes ; chez les Latins, Lucrèc
s Vannière, Brumoi et Doissin, Louis Racine, le Père Boscovich, Pope,
auteur
de l’Essai sur l’homme et de l’Essai sur la criti
dactique ? Le but avoué du poème didactique est d’instruire ; ici, l’
auteur
a directement en vue d’amuser et de plaire. Le po
e fidèle et animée des beautés de la nature. Cet ouvrage a valu à son
auteur
le nom de Chantre du printemps. On y remarque la
ur de style. Ici encore il faut que la charité chrétienne inspire à l’
auteur
satirique la prudence et la discrétion dont il a
ages. Mais il s’interdira les personnalités, et ne parlera jamais des
auteurs
: les règles de la bienséance l’exigent. Boileau
er a laissé quelques iambes sur la tyrannie révolutionnaire. Quelques
auteurs
placent ces pièces poétiques parmi les dithyrambe
Dont le pied grave au sol des traces plus durables, Ce sont tous ces
auteurs
qui, le scalpel en main, Cherchent, les yeux arde
avec ce goût, et il l’avait perfectionné par la lecture de nos vieux
auteurs
français, dont la naïveté est admirable. Pour att
nne, l’apologue de l’Homme et du Cheval que Phèdre a imité, Après ces
auteurs
, nous citerons comme ayant excellé dans la fable,
avec les mêmes ressources, son Dictionnaire de littérature. Mais les
auteurs
élevés et originaux ne sont pas le modèle que nou
ir exact et d’une érudition éprouvée, moins élevés assurément que les
auteurs
précédemment nommés, mais plus accessibles aux cl
un petit volume où ne manquerait rien d’essentiel, et dont le nom des
auteurs
primitifs, cité à toutes les pages, garantirait d
langue qu’on doit en même temps étudier, comparer et classer tous les
auteurs
qui l’ont illustrée. Aux Facultés des lettres seu
ingués ; seulement, nous avons pu inscrire quelques noms que nos deux
auteurs
, morts, l’un en 1780, l’autre en 1807, n’avaient
de style qu’il y a d’écrivains au monde. Le style est donc, suivant l’
auteur
, simple, naturel, naïf, délicat, gracieux, fin, é
11. Je ne puis suivre le style dans ses transformations infinies. Tel
auteur
brillera par sa simplicité, tel autre par son élé
ndre ; Et de vos vains discours prompt à se détacher Ne suit point un
auteur
qu’il faut toujours chercher. (Boileau.) Moyen
le lecteur l’a pressentie, et qu’il est charmé de la voir arriver. Un
auteur
contemporain met dans la bouche d’une jeune orphe
is à mon aise, assis, seul avec Racine et Fénélon, je médite mes deux
auteurs
favoris, je les relis avec le plus grand plaisir.
retraite : assis à mon aise et seul avec Racine et Fénélon, mes deux
auteurs
favoris, je les médite et les relis sans cesse av
ère si exacte qu’on ne dise rien de superflu. On n’aime pas à lire un
auteur
qui entre dans trop de détails et ne laisse rien
Ces définitions sont obscures par défaut de pensée lucide dans leurs
auteurs
. Toutes deux sont du galimatias ; mais la premièr
matias double, c’est-à-dire une chose que n’entend ni le lecteur ni l’
auteur
. La seconde est du galimatias simple, c’est-à-dir
ple, c’est-à-dire une chose que le lecteur n’entend point, mais que l’
auteur
entend seul. L’origine du mot galimatias est asse
res. Les mots impropres font réfléchir le lecteur. II se demande si l’
auteur
a pensé ce qu’il écrit. Un accusé, disait de la r
pour produire l’harmonie. C’est une qualité rare, même parmi les bons
auteurs
. De même qu’en architecture on dit un style pur,
aut suivre le bon goût, et s’autoriser toujours de l’exemple d’un bon
auteur
pour se permettre la nouveauté. Il est facile d’é
ampoulé l’orgueilleux solécisme ; Sans la langue, en un moi un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours quoiqu’il fasse un mé
Je n’accuse Boileau que sous toutes réserves : car je crains que cet
auteur
immortel n’ait voulu donner ici, comme il l’a fai
nt pas se prévaloir de l’autorité de l’usage ou de l’exemple d’un bon
auteur
. Mais il faut être clair avant tout ; si de l’ell
raison sont faux, emphatiques, triviaux, ignobles, ridicules, etc. Un
auteur
a dit que le déluge universel fut la lessive de
Il traite Pradon avec mépris, et le fait regarder comme un médiocre
auteur
. La colère appelle aussi souvent l’ironie à son a
souris. Dans ces exemples et dans tous ceux que fournissent les bons
auteurs
, la périphrase fait ordinairement image, c’est-à-
ui faire de ne pas tirer de sa cause tout le parti possible. Les bons
auteurs
sacrés offrent de très beaux exemples de cette fi
Fuit et rentre dans les tombeaux. Non, non, restez, ombres coupables,
Auteurs
de nos jours déplorables Restez ; ce supplice est
rendre la nature du sublime, et qu’ils sauront le distinguer dans les
auteurs
en appliquant ma définition : de là il n’y a qu’u
r l’intervention de la divinité dans la vie de son héros, fournit à l’
auteur
des descriptions charmantes que tout le monde sai
rmes de l’élocution afin de ne point les confondre dans l’analyse des
auteurs
. Je vais placer leurs traits distinctifs dans le
on style, pour empêcher l’ennui de s’emparer du lecteur. D’excellents
auteurs
ne sont pas exempts de cette uniformité disgracie
s de son chant. Les nymphes qui la servaient n’osaient lui parler. L’
auteur
eût très mal fait de ne faire qu’une période de c
uissantes, les mauvaises figures : car tout n’est pas parfait dans un
auteur
, quelque bon qu’il soit. Il est facile de voir qu
notre style, ne craignons pas tantôt de répéter les expressions de l’
auteur
en les soulignant ; tantôt de dire les mêmes chos
ce ou finit ; 3° élaguons tous les ornements et voyons la pensée de l’
auteur
dans sa plus grande simplicité ; à cet effet tâch
lier, le comique ou grotesque, l'élégant, le fleuri, et dans certains
auteurs
modernes, le romantique. Nous ne dirons qu’un mot
tant toujours à la période, c’est écrire comme la plupart de nos bons
auteurs
, en style élégant. Style fleuri. — Le style élég
cution. Buffon, pour écrire, s’habillait avec magnificence ; un autre
auteur
montait sur un échafaudage touchant le plafond de
désordre, et couverte de livres ouverts ; je pourrais même nommer un
auteur
pieux non-seulement dans ses écrits, mais encore
trophe. — 7. Exclamation. — 8. Prosopopée. C’est bien dommage que les
auteurs
de ces distinctions subtiles n’aient pas mis au n
n Chrysostome, Discours iv, t. I, p. 149, éd. Reiske, et par d’autres
auteurs
anciens. Les étoiles.] Ἀστέρας est peut-être une
e une faute de copiste car Julien (Discours ii, p. 81 C) et d’autres
auteurs
attestent que le signe naturel qui distinguait le
lysse Faux-Messager.] On ne sait rien de plus sur cette pièce, dont l’
auteur
même est inconnu. Græfenhan suppose que ce pourra
e. De toutes les obscurités qu’offre ce chapitre, des jugements que l’
auteur
y porte, et de la place qu’il occupe dans les dév
les, on reconnaît que l’ouvrage n’est point construit, et on accuse l’
auteur
de manquer d’invention. Les pensées demeurent iso
tous ses héros semblables à soi-même ; Tout a l’humeur gasconne en un
auteur
gascon. (Boil.) Remarquons encore qu’il faut obs
ses mœurs. (Boil.) Il pourrait paraître hors de propos d’engager un
auteur
à ne point contredire les notions topographiques
out écrivain qui parlera bien de choses immorales, sera plus médiocre
auteur
que celui qui parlera mal de choses morales, non-
e cette sentence de réprobation, je n’ai pas besoin de citer tous les
auteurs
des siècles passés, qui sont tombés dans l’oubli,
déplorable dans l’histoire de notre littérature dramatique. Coupables
auteurs
, qui avez inventé ces productions monstrueuses, q
ondaire de l’ invention n’est pas le moins pénible ; c’est celui où l’
auteur
de talent se montre, et où l’auteur médiocre écho
moins pénible ; c’est celui où l’auteur de talent se montre, et où l’
auteur
médiocre échoue. Ou peut mettre la main sur un su
cessaires à la matière que l’on traite, qu’on lise avec attention les
auteurs
qui ont écrit sur le même sujet, et les preuves e
vieux style d’Amyot qui l’a traduit. On ne sait rien de précis sur l’
auteur
, ni sur l’époque où il vécut. Il est certain que
dèle à Paul et Virginie de Bernardin de Saint Pierre ; mais combien l’
auteur
français l’emporte sur l’auteur grec par la puret
rdin de Saint Pierre ; mais combien l’auteur français l’emporte sur l’
auteur
grec par la pureté morale, par le naturel et la v
s chez tous les peuples d’origine germanique ; il remonte, sans nom d’
auteur
, au onzième siècle, et circule partout, dans tout
u quinzième siècle, un jurisconsulte de Strasbourg, Sébastien Brandt,
auteur
du Vaisseau des fous. Le roman de Renard était un
nuances de transformations qu’il a subies, autant par le caprice des
auteurs
que par les exigences d’un public avide d’émotion
multiplier ses portraits à l’infini. Vous avez lu de ces romans où l’
auteur
, peu content d’esquisser jusqu’au personnage le p
son attitude soit longuement et minutieusement décrite. Fuyez de ces
auteurs
l’abondance stérile. Ne vous semble-t-il pas d’a
Ne vous semble-t-il pas d’ailleurs que ces portraits exprofesso où l’
auteur
arrête le personnage dans sa marche pour le faire
teur joue le rôle de compère, et donne complaisamment la replique à l’
auteur
. Le dialogue didactique est utile aussi pour écla
êt le roman ou la thèse philosophique. Que d’écrits de ce genre, où l’
auteur
parle tout seul sous les noms des divers personna
e, dans Virgile, dans Racine, dans lord Byron, dans Lamartine, dans l’
auteur
de la Divine Epopée et de Jeanne d’Arc ! Je sais
Byron, Childe Harold’s pilgrimage, caut. IV, st. 140. 141. » 53. L’
auteur
des Leçons de littérature, citant un parallèle en
onistes donnent surtout dans ce travers, et cela se conçoit. Quand un
auteur
, avant même de s’être tracé un plan, et n’ayant p
atesse. La finesse est une qualité que l’on aime à rencontrer dans un
auteur
, non-seulement parce que l’esprit plaît généralem
s là, il y a finesse de style ; la pensée est à moitié voilée. Mais l’
auteur
ajoute : Et non l’homme, on pourrait aisément s’
ut, parfois même chez Scarron. Plus la littérature vieillit, plus les
auteurs
naïfs deviennent rares. La naïveté est le moindre
nd il est absolument nécessaire de reproduire la naïveté, c’est que l’
auteur
étudie alors son personnage au point de faire, pl
ouilles sur la même lyre qui chantait ceux des héros et des dieux ; l’
auteur
des Pensées est celui des Provinciales ; l’auteur
os et des dieux ; l’auteur des Pensées est celui des Provinciales ; l’
auteur
de l’Esprit des lois, celui des Lettres persanes
nous plaisent le plus sont, par la loi du contraste, celles que leur
auteur
débite sérieusement ou qui viennent de graves per
s de la presse anglaise, j’indiquerai MM. Mérimée, Alexandre Dumas, l’
auteur
de Jérôme Paturot, etc. Ce n’est guère qu’en Fran
e espère se recommander, elle aussi, par l’expérience que donne à son
auteur
une longue pratique du professorat, et surtout pa
flexions. C’est l’objet des notices qui accompagnent ici chaque nom d’
auteur
. Il ne nous a pas semblé suffisant de les réduire
epter en effet, et en se faisant par lui-même une idée distincte de l’
auteur
en question. On ne peut tout dire sans doute de c
te de l’auteur en question. On ne peut tout dire sans doute de chaque
auteur
; il n’est besoin que d’en dire assez pour bien m
son sens le plus pratique, consiste à savoir lire judicieusement les
auteurs
, et à apprendre aux autres à les lire de même, en
e espère se recommander, elle aussi, par l’expérience que donne à son
auteur
une longue pratique du professorat ; et peut-être
flexions. C’est l’objet des notices qui accompagnent ici chaque nom d’
auteur
. Il ne nous a pas semblé suffisant de les réduire
epter en effet, et en se faisant par lui-même une idée distincte de l’
auteur
en question. On ne peut tout lire sans doute de c
te de l’auteur en question. On ne peut tout lire sans doute de chaque
auteur
; il n’est besoin que d’en lire assez pour bien m
son sens le plus pratique, consiste à savoir lire judicieusement les
auteurs
, et à apprendre aux autres à les lire de même, en
s l’avoir félicité : « Vous n’avez oublié qu’un caractère, celui de l’
auteur
qui lit sans pitié ses ouvrages aux pauvres malad
ns la période qui a précédé l’éclosion des poèmes homériques, et leur
auteur
, trouvant les formes de l’épopée déjà plus ou moi
généalogie des dieux, et un poème épique et didactique à la fois où l’
auteur
a rassemblé et coordonné les croyances religieuse
urées par nombre de transformations. Il faut encore mentionner, comme
auteurs
didactiques de ce temps, les poètes orphiques, qu
avec Scymnus, et Denys le Périégète, poètes géographes, avec Oppien,
auteur
de poèmes sur la chasse, la pêche, et les oiseaux
eprochée. Nous arrivons ensuite au xviiie siècle avec Saint-Lambert,
auteur
des Saisons, Roucher, auteur des Mois, Esménard (
te au xviiie siècle avec Saint-Lambert, auteur des Saisons, Roucher,
auteur
des Mois, Esménard (de la Navigation), Delille su
bjet la parabole évangélique dont il porte le titre, parabole que son
auteur
inconnu a su rendre émouvante et qui offre un peu
oyen âge. Parmi eux, nous citerons le Miracle de Théophile qui a pour
auteur
Rutebeuf l’un des plus célèbres trouvères du xiii
s, il faut mentionner à la même époque, le Jeu de Saint-Nicolas, où l’
auteur
, Jean Bodel, raconte comment saint Nicolas contra
la plus saine partie de la Cour, » et par « la plus saine partie des
auteurs
du temps », et il déploya tant de tact et d’impar
n’a pas ces préoccupations sceptiques et moroses. Sans doute, comme l’
auteur
des Maximes, il voit
égories d’écrivains ; mais dans un sens restreint, il s’applique à un
auteur
qui donne ses préceptes, des maximes, ou qui expo
ais, plus préoccupé de faire une œuvre historique que d’être poète, l’
auteur
des Annales ne réussit qu’à faire une compilation
t l’Énéide n’aurait-elle pas enthousiasmé les Romains, et comment son
auteur
n’aurait-il pas été populaire, si l’on songe au c
de Tacite. Les Histoires, aussi bien que les Annales, méritent à leur
auteur
le titre glorieux que Racine lui a donné. Un crit
ont rapportés que pour la forme majestueuse et presque poétique que l’
auteur
lui a donnée. Il fut donné à Tacite d’être appréc
qui les sépare avait suffi pour modifier sensiblement la diction d’un
auteur
. Les hellénismes qui, d’abord, n’avaient été accu
lit sous leurs yeux. Faut-il citer des exemples anciens et modernes d’
auteurs
ayant porté le genre épistolaire à la perfection
s nous possédons nombre de lettres d’hommes politiques ou de célèbres
auteurs
, dans lesquelles, indépendamment du charme de la
ous rencontrons, dans Voltaire, un des plus féconds, des plus enjoués
auteurs
qu’on puisse remarquer dans le genre. Il traite t
ère grandiose de nous présenter les personnages de l’ancienne Rome, l’
auteur
d’Horace et de Cinna est bien de son siècle ; et
a été tranchée affirmativement par des résultats glorieux pour leurs
auteurs
qui furent Le Tasse, Dante, Milton et Klopstock.
il puisa, dans l’antiquité. Sénèque et Lucain étaient, paraît-il, ses
auteurs
de prédilection ; au premier il emprunta Médée (1
es apologues chez Bonaventure des Périers, Marot ou Régnier. Tous ces
auteurs
, anciens et modernes, ont été connus et plus ou m
fut Corneille ; tel fut aussi La Fontaine, qui aurait pu dire comme l’
auteur
du Cid : Je sais ce que je vaux. Oui, le Bonhomme
i qui ouvre ses fables au hasard et en lit quelques-unes, porte sur l’
auteur
le jugement que nous venons de citer. Sans doute,
on adversaire ; dialogue vif et enjoué, entremêlé du commentaire de l’
auteur
, qui joue ici le rôle du chœur antique, péripétie
ctères de traîtres, il a tout au moins égalé, disons même surpassé, l’
auteur
d’Horace et de Cinna ; témoin Narcisse et Mathan
de Molière, et qu’on ait voulu lui faire un crime d’être à la fois l’
auteur
des Fourberies de Scapin et du Misanthrope. La po
est capable ; le dialogue est très vif, mais la verve débordante de l’
auteur
lui fait tort, et les quolibets, d’ailleurs gross
e gaieté française, compromise par les scrupules des délicats, et « l’
auteur
du Misanthrope » peut bien ne pas désavouer les F
ation : acteur pendant plusieurs années en province, en même temps qu’
auteur
, il a beaucoup vu et beaucoup retenu, et la ville
apitale du style qui « est l’homme même, » et peut seul promettre aux
auteurs
l’immortalité, car « les ouvrages bien écrits son
n, ne l’oublions pas, qu’est né l’esprit français. — C’est là que les
auteurs
puisent pour la première fois le sentiment de leu
choses de l’esprit, et les lettrés les usages mondains. Désormais les
auteurs
vont vivre dans le monde, autant et plus qu’avec
eu, par les progrès du goût, se formât un véritable public, digne des
auteurs
, et capable de les apprécier. Dès le commencement
i finement gravés est un portrait, nous n’en pouvons douter, auquel l’
auteur
a changé seulement quelques détails, pour déroute
quelle vient tant de bonne nature que par la leçon de bons et anciens
auteurs
. » Développement. — Le précepte de Ronsard es
elle vient « tant de bonne nature que par la leçon de bons et anciens
auteurs
», ce qui est très vrai. « Nascuntur poetæ » ; ma
m d’Annales au récit des faits qui se sont passés avant l’époque où l’
auteur
a vécu. On réserve celui d’Histoires aux livres o
Veuve, L’Illusion comique, qui l’avaient déjà mis au premier rang des
auteurs
dramatiques, ne sont que des badinages à côté de
s pour que vous ayez pris tant de soin d’en médire et de couvrir leur
auteur
de sarcasmes et de ridicule ? Malherbe. — Il est
dire que l’interprétation des rôles était digne de l’œuvre et de son
auteur
. Il faut vous dire que l’intrigue d’Andromaque es
ageant encore par leurs applaudissements complaisants l’ignorance des
auteurs
; des sujets malheureux ou invraisemblables ; la
t pas seulement l’image de la société au sein de laquelle vivait leur
auteur
, ils nous représentent l’humanité de tous les pay
on pour lui, mais pour un homme qui vaut mieux que lui ; Corneille, l’
auteur
du Cid, d’Horace, de Nicomède, vient d’être rayé
rir à l’un des plus beaux génies de la France, trop délaissé pour les
auteurs
contemporains, un témoignage public et solennel d
Polyeucte, de Pompée, de Rodogune ! Avant sa trente-septième année, l’
auteur
de tant de hautes conceptions tragiques nous donn
e vie et des doctrines pures : Toutes comme à l’envi te montrent leur
auteur
. Il a dans la plus basse imprimé sa hauteur, Et d
ui lui avait été donnée sur l’eau, et dont ils ne connaissaient pas l’
auteur
, lorsque Dorante, leur ami, les accoste et juge à
l’air qu’il forge en imposteur, Il me fait le trompette et le second
auteur
! Comme si c’était peu pour mon reste de vie De n
derons de plus l’éloge couronné de Victorin Fabre et l’article de cet
auteur
sur Corneille, contenu dans la Biographie univers
çois de Neuf-château joignit à la collection des Chefs-d’œuvre de cet
auteur
(Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la littérature
ait Fontenelle, puisque l’Evangile n’en vient pas », Relativement à l’
auteur
de cette œuvre, il faut consulter la préface de C
ces deux vers, dont le second est vague et entaché d’un pléonasme, l’
auteur
avait d’abord écrit, ce qui valait mieux : Je l’
qui sine periculo vincitur. » — Corneille, plus qu’aucun autre de nos
auteurs
, offre une foule de ces pensées, énergiquement re
Verdad sospechosa, la Vérité suspecte. » Plus tard, il reconnut que l’
auteur
était Ruiz de Alarcon. Ce langage atteste, en tou
ns, le pathétique est aussi mêlé avec beaucoup de bonheur. En cela, l’
auteur
ne dénature pas le genre ; il l’étend, il l’agran
survit ; le tout appuyé d’exemples significatifs tirés des meilleurs
auteurs
. M. Villemain, dans la préface de la dernière édi
le naturel, on est tout étonné et ravi, car on s’attendait de voir un
auteur
, et on trouve un homme. » Et Fénelon disait dans
dans le même sens : « Je veux un homme qui me fasse oublier qu’il est
auteur
, et qui se mette comme de plain-pied en conversat
eur, et qui se mette comme de plain-pied en conversation avec moi. Un
auteur
qui a trop d’esprit, et qui en veut toujours avoi
si, je ne sais rien de plus propre à gâter le goût que ces éditions d’
auteurs
latins, comme les Ad usum Delphini et le Juvénal
tre, en un autre latin, affectant toujours d’éviter les termes dont l’
auteur
s’est servi, c’est-à-dire habituant l’élève à une
actions le caractère auguste qui le distingue de la brute. Parmi les
auteurs
modernes, le baron de Puffendorf me paroît être c
ment des vérités relatives à la marche éclairée de l’esprit humain. L’
auteur
y expose les fausses notions qui peuvent l’égarer
se sur cette matière rien d’important à desirer. Un grand mérite de l’
auteur
est de présenter les vérités les plus profondes d
thasar Gracïan. En nous traçant les moyens de connoître les hommes, l’
auteur
nous apprend parfaitement la manière de nous bien
e livre, qu’il ne l’est qu’un seul en ait fourni le sujet. Jamais des
auteurs
juifs n’eussent trouvé ce ton ni cette morale ; e
mplissement des prophéties qu’ils contiennent, la divinité du messie,
auteur
de la religion chrétienne, dont l’établissement,
la plus magnifique, la plus vraie, en nous élevant jusqu’à son divin
auteur
. Pascal écrivant ainsi est un terrible argument c
et avec cette éloquence de sentiment qui la pénètre et la maîtrise. L’
auteur
présente toujours la vérité avec les traits les p
nécessaires, c’est surtout l’histoire. Pour arriver à ce résultat, l’
auteur
, après avoir approfondi son sujet, doit t se trac
rs. L’histoire sacrée est souvent mêlée à l’histoire profane dans les
auteurs
. L’histoire profane, qui s’occupe spécialement de
et complète, ils relatent les faits, les impressions personnelles à l’
auteur
, ce qu’il a vu, ce qu’il a entendu dire, ce à quo
ttoresques, des anecdotes piquantes, des détails intimes de mœurs ; l’
auteur
peut s’y mettre en scène, et cette communication
stations les plus vives et les plus complètes. Analyser avec goût les
auteurs
, soumettre les ouvrages à une critique judicieuse
Comparez, plus haut, le chapitre viii, et, pour plus de détails, les
auteurs
analysés par Goujet, Bibliothèque française, t. I
, et avec des développements à peu près égaux, dans les poëmes où les
auteurs
tragiques les avaient pris pour les mettre sur la
écube, v. 239) pouvait aussi fournir le plan. On ne sait pas par quel
auteur
elle avait été traitée, ni même si le mot Πτωχεια
it également partie du Cycle. Il n’est pas inutile de remarquer que l’
auteur
n’épuise pas ici l’énumération des pièces qui se
our se les procurer ». Rien n’était plus efficace, selon le judicieux
auteur
du Traité des études, pour donner aux jeunes gens
n de temps, choisi chez ceux qui l’ont le mieux écrite, même chez les
auteurs
contemporains, ce qui nous a paru en rapport avec
, au dix-septième siècle. Pour les classes supérieures, le cercle des
auteurs
où nous avons puisé a dû être un peu élargi ; mai
s, nous avons pensé qu’il convenait d’adopter, pour le classement des
auteurs
, l’ordre chronologique, comme favorable à l’exerc
sait encore son pouvoir aux mains de Mazarin. C’est le premier de nos
auteurs
qui ait écrit supérieurement, dans ses moments he
e de venir d’où quelques-uns se figurent. Ce n’est pas le mérite de l’
auteur
, c’est l’avantage de la médisance ; ce n’est pas
, mêlée parfois d’affectation ; mais dans celle que l’on va lire, cet
auteur
s’est élevé au-dessus de son ton et de son mérite
e consulte sur toutes les affaires d’esprit ; et je suis sûr que si l’
auteur
lui eût montré sa comédie avant que de la faire v
le qu’elle a honoré par ses talents. Elles nous donnent aussi de leur
auteur
, malgré quelques mots sur lesquels on a fondé des
ais fait, et ce qu’ils ne font pas même encore, puisque leurs propres
auteurs
, et Josèphe entre les autres, les démentiraient.
eu mourant ne nous convertira-t-il pas, puisqu’il a bien converti les
auteurs
de sa mort ? et quand nous convertira-t-il, si ce
seillé ni corrigé sur son ouvrage est un pédantisme186 Il faut qu’un
auteur
reçoive avec une égale modestie les éloges et la
tisfait point un homme d’esprit qui veut se faire entendre187. Un bon
auteur
, et qui écrit avec soin, éprouve souvent que l’ex
devant personne : je l’excuse, et je n’en demande pas davantage à un
auteur
; je le plains même d’avoir écouté de belles chos
s. Ceux qui, par leur condition, se trouvent exempts de la jalousie d’
auteur
ont ou des passions ou des besoins qui les distra
Un bel ouvrage tombe entre leurs mains : c’est un premier ouvrage, l’
auteur
ne s’est pas encore fait un grand nom, il n’a rie
i accompli qui ne fondît tout entier au milieu de la critique, si son
auteur
voulait en croire tous les censeurs, qui ôtent ch
deux poètes : Oreste, dans l’Andromaque de Racine, et Phèdre, du même
auteur
, comme l’Œdipe 207 et les Horaces de Corneille, e
veau, qu’il lit pour la première fois, où il n’a nulle part, et que l’
auteur
aurait soumis à sa critique, et se persuader ensu
z-le261, il ne manque rien, il n’y a que la vanité qui en souffre. Un
auteur
qui a trop d’esprit, et qui en veut toujours avoi
ne partie ! Afin qu’un ouvrage soit véritablement beau, il faut que l’
auteur
s’y oublie et me permette de l’oublier. Par exemp
des 288 : préface. Massillon (1663-1742.) [Notice.] Aucun
auteur
n’est plus capable que Massillon d’apprendre à s’
: la naïveté du langage suppléait, je l’avoue, dans un petit nombre d’
auteurs
, à la pureté du style, au choix et à l’arrangemen
er, marchait encore sans règles et au hasard ; les grâces de ces deux
auteurs
appartiennent à la nature, qui est de tous les si
, et on y devient insensible ; mais on sent toujours la joie d’être l’
auteur
de la prospérité d’autrui : chaque bienfait porte
vec tous les mauvais petits livres dont nous sommes inondés. Les bons
auteurs
n’ont de l’esprit qu’autant qu’il en faut, ne le
ur leur ressembler. Il y a des pièces de madame Deshoulières qu’aucun
auteur
de nos jours ne pourrait égaler361. Si vous voule
sent de faire retentir leurs clameurs orgueilleuses ! Dieu de bonté !
auteur
de tous les êtres, vos regards paternels embrasse
de son esprit : de là les fautes de l’homme et les imperfections de l’
auteur
. Passionné, changeant, fier, ombrageux, en outre
homme de goût, fut commencé en 1756 et publié seulement en 1788, et l’
auteur
regrettait encore, « après y avoir employé plus d
Phèdre coupable, ils pleurèrent sur celui du malheureux Télèphe, et l’
auteur
fut justifié. Dans les pièces d’Eschyle et de Sop
des formes oratoires : de là les divers jugements qu’on porte de cet
auteur
, et les divers aspects sous lesquels on peut l’en
Polyeucte, de Pompée, de Rodogune. Avant sa trente-septième année, l’
auteur
de tant de hautes conceptions tragiques nous donn
ient de lui être révélé : quel parti va-t-il prendre à l’égard de ses
auteurs
. Acte IV, scène Il. AUGUSTE, seul 503. Cie
i de paraître n’y penser pas. De là l’originalité et le charme de cet
auteur
inimitable548 : ce qui complète l’un et l’autre,
nt de la probité, il était compatissant et généreux. Pour sa gloire d’
auteur
, elle n’a point cessé de grandir583 : il n’en est
qu’elle ait du savoir sans vouloir qu’on le sache587, Sans citer les
auteurs
, sans dire de grands mots, Et clouer de l’esprit
résent sont bien loin de ces mœurs : Elles veulent écrire, et devenir
auteurs
; Nulle science n’est pour elles trop profonde, E
me venger. Imite mon exemple ; et lorsqu’une cabale, Un flot de vains
auteurs
follement te ravale, Profite de leur haine et de
s douceurs. Et qu’importe à nos vers que Perrin les admire679 ; Que l’
auteur
du Jonas s’empresse pour les lire ; Qu’ils charme
n vain brille à nos yeux ; il faut qu’il nous endorme. On lit peu ces
auteurs
, nés pour nous ennuyer, Qui toujours sur un ton s
dre, Et, de vos vains discours prompt à se détacher. Ne suit point un
auteur
qu’il faut toujours chercher690 Il est certa
un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme : Sans la langue en un mot, l’
auteur
le plus divin693 Est toujours, quoi qu’il fasse,
l s’imagine volontiers que lui-même il n’écrirait pas autrement que l’
auteur
, tandis qu’il conçoit bien, en prenant la plume,
e théâtre, et l’acteur improvisé n’eût pas tardé à céder la place à l’
auteur
. Suivant d’autres, qui paraissent mieux instruits
prit, il réussit à émouvoir doucement et assainir le sœur, rappelle l’
auteur
de l’Andrienne. C’est ce qu’on remarque en partic
: elle lui sera donnée par Lycandre, vieillard d’un extérieur pauvre,
auteur
de l’épître offensante qu’il a reçue, et qui, se
liquer la condamnation capitale qui le frappa. On sait que Roucher, l’
auteur
des Mois, périt avec lui, et que tous deux, allan
I. 1. « C’est en lisant beaucoup plutôt qu’en lisant beaucoup d’
auteurs
, qu’il convient de former son esprit et de donner
l., Paris, 1665. — Parmi ceux qui se sont occupés spécialement de cet
auteur
, on remarque MM. Malitourne et Geruzez, qui lui o
vers. 13. Allusion à Dominique-Jean Goulu, général des Feuillants et
auteur
de plusieurs traités religieux. Il était ennemi d
t, à son goût, et les vieux et les nouveaux. » Fort interrogé sur cet
auteur
, il finit par le nommer : c’était Pascal. Lettre
ont partagé notre admiration pour Mme de Sévigné : on sait qu’un des
auteurs
anglais les plus ingénieux. Horace Walpole lui re
lèges, et rempli de grec et de latin, qui admire aveuglément tous les
auteurs
anciens ; qui ne croit pas que l’on puisse faire
haut en bas Aristote, Épicure, Hippocrate, Pline ; qui blâme tous les
auteurs
anciens ; qui trouve à la vérité quelques endroit
nt cherché à découvrir sous ces dénominations les contemporains que l’
auteur
avait voulu désigner, nous nous bornerons à remar
nent avec l’un et l’autre, on peut voir un morceau intéressant de cet
auteur
, dans les Éléments de littérature (article Mœurs)
is, épargné le style si concis et si scrupuleusement travaillé de cet
auteur
: l’abbé d’Olivet y notait « trop d’art, trop d’e
se, entre La Bruyère, Pascal, La Rochefoucauld et Nicole. 216. Aucun
auteur
, parmi nous, n’a plus ingénieusement associé les
sapientibus cupido gloriæ novissima exuitur. » Hist., IV, 6. 219. L’
auteur
, dit M. Hémardinquer à qui nous avons emprunté qu
petite que le soleil ; mais la différence est assez faible pour que l’
auteur
ait pu leur donner la même grandeur. 228. Si le
volumes sont 13 1/2 et 49, nombres très approchés de ceux que donne l’
auteur
. Le rayon moyen de la terre est de 1433 lieues de
nce moyenne est donc de 60 rayons, ou de 30 diamètres, comme le dit l’
auteur
. Ces 30 diamètres valent 85 960 lieues de 25 au d
t entre 8 1/2 et 10 1/2. La distance moyenne est donc, comme le dit l’
auteur
, de plus de 300 millions de lieues. Uranus, décou
éternel ». 256. Ce détail physiologique ne doit pas étonner chez un
auteur
du dix-septième siècle. On discutait alors viveme
e naturel, on est tout étonné et ravi ; car on s’attendait de voir un
auteur
, et on trouve un homme. » 264. Le terme de bel
orèrent autant que les éloges qui l’accueillirent, les uns accusant l’
auteur
d’innovations téméraires, les autres, d’une admir
if, il faudrait, je crois, qu’elle prit les traits et le langage de l’
auteur
du Petit Carême ou de celui de Télémaque. » De là
illeurs à établir, pourraient offrir un vif intérêt. 312. Parmi les
auteurs
qui ont dignement parlé de Montesquieu, on signal
ittérature au dix-huitième siècle, 14e et 15e leçons ; M. Walckenaer,
auteur
de l’excellente notice que contient sur cet auteu
s ; M. Walckenaer, auteur de l’excellente notice que contient sur cet
auteur
la Biographie universelle ; M. Berryer, dans ses
10. A la précision et à la fermeté qui caractérisent le style de cet
auteur
, nul n’a joint, ce passage suffirait à le prouver
du temps , a dit très judicieusement M. Villemain. L’imagination de l’
auteur
a d’ailleurs, dans ce tableau, singulièrement mod
mort de Mazarin à la paix de Nimègue (ou plutôt de 1659 à 1678). Cet
auteur
n’affirme pas, du reste, que la conquête ait été
nier effort… 391. On peut consulter avec fruit, relativement à cet
auteur
, La Harpe, Mercure de France, numéro du 5 octobre
us rare et plus heureux. » Quoi qu’il en soit, si Rousseau est un des
auteurs
où il y a le plus à gagner pour qui veut connaîtr
descendre. Ce verbe dévaler est le plus souvent employé par nos vieux
auteurs
dans le sens neutre, et est alors synonyme de des
attribue cent vingt-trois à Sophocle, et Euripide, suivant plusieurs
auteurs
, en avait fait soixante-quinze. 429. Le succès
ons est, suivant la remarque d’A. Chénier, « une des plus belles de l’
auteur
, pour le plan, la richesse du style, la nouveauté
images, la hardiesse et la force de l’expression ». Elle valut à son
auteur
une pension de 1 500 livres. Déjà Malherbe avait
derons de plus l’éloge couronné de Victorin Fabre et l’article de cet
auteur
sur Corneille, contenu dans la Biographie univers
nçois de Neufchâteau joignit à la collection des Chefs-d’œuvre de cet
auteur
(Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la littérature
servées autant que possible, sans que l’action soit gênée, sans que l’
auteur
paraisse faire le moindre effort. Aussi Voltaire
t J.-B. Rousseau. Ils ne manquent pas, non plus, entièrement dans nos
auteurs
d’aujourd’hui. On remarquera, d’ailleurs, la négl
Il est de plus resté, mais en partie seulement, un commentaire de cet
auteur
par Chamfort. Celui-ci l’avait composé pour la sœ
de sixième. 550. Nous avons cru inutile, en général, d’indiquer les
auteurs
auxquels La Fontaine a emprunté le sujet de ses f
et le soin avec lequel il s’efface : il ne se donne nullement pour l’
auteur
de cette histoire ; il semble n’avoir fait que la
’est prononcé notamment contre les jugements portés sur le style de l’
auteur
du Misanthrope et de l’Avare par La Bruyère (Cara
livre III de son Histoire de la littérature française ; et M. Bazin,
auteur
d’une étude où sont réfutées bien des erreurs sur
tin, et plus récemment celle de M. Louandre. Pour lire avec fruit cet
auteur
, on fera également un très heureux usage du Lexiq
porter sur Cotin, dont la vie privée est ainsi mise hors de cause. L’
auteur
ridicule est seul bafoué. 590. Dans le lieu, da
600. Martine prononce l’on comme l’écrivaient quelquefois nos vieux
auteurs
et comme on le dit encore à la campagne. Elle va
résent dont il s’est servi, remarque M. Génin dans son Lexique de cet
auteur
, p. 329, « se dérive de la forme puir, qui est la
emps déjà, Saint-Évremond l’avait ainsi apprécié : « Il n’y a point d’
auteur
qui fasse plus d’honneur à notre siècle que Despr
yen de transitions insensibles, les différents genres de poésie que l’
auteur
a su caractériser par de justes définitions, où l
ant de coloris et de profondeur. À l’égard des nombreux endroits où l’
auteur
français a lutté contre les beautés de l’historie
y a entre son style si souple, si élevé et si naturel, et celui de l’
auteur
latin, toujours tendu, hérissé de sentences et vi
re traînés. 736. Ainsi Corneille, dans la Mort de Pompée, I, 1 :
Auteur
des maux de tous, il est à tous en butte. Au res
Lefèvre, 1811, précédée d’une notice sur la vie et les ouvrages de l’
auteur
(par M. de Senone) ; enfin celle de Crapelet, 182
a rendu à l’œuvre de Destouches dans ces vers qu’il lui adressait :
Auteur
solide, ingénieux, Qui du théâtre êtes le maitre,
raison : de là le reproche d’un comique un peu forcé, adressé à notre
auteur
. 785. Il faudrait : on ne se familiarise. Le ver
24. 789. C’est que Lycandre s’est fait uniquement annoncer comme l’
auteur
de la lettre citée plus haut. 790. Élision dure,
ni, et il ne laisse pas de l’être en effet ; mais nous savons gré à l’
auteur
de ne pas le changer en fils sacrilège, maudit pa
on peut voir surtout ses 4e, 7e, 8e, 9e, 10e et 25e leçons. Outre cet
auteur
et quelques autres que nous avons indiqués dans n
le satirique latin. 802. Ce vers semble une allusion à un trait de l’
auteur
italien Algarotti, dont Voltaire a fait souvent l
te, qui imagina de faire des tragédies en prose. Voltaire dit du même
auteur
, dans son Temple du goût : Parmi les flots de la
le poète y joignit une dédicace adressée au marquis Scipion Maffei, «
auteur
de la Mérope italienne ». Celle-ci, représentée t
ont le nom seul et quelques vers ont survécu. Il est triste de voir l’
auteur
de Zaïre, de Mérope et d’Alzire aboutir aux Guèbr
Irène. 836. Moins célèbre de son temps que son frère Marie-Joseph, l’
auteur
de Fénelon et de Tibère, André, bien plus poète q
manque, c’est de lire, avant de composer, quelques passages d’un bon
auteur
, analogues au sujet que l’on doit traiter ; les c
on se pénètre peu à peu des tours, des images, de l’harmonie des bons
auteurs
; on s’enrichit la mémoire ; le goût se forme ; o
en s’efforçant de suivre, soit de près, soit de loin, la marche de l’
auteur
, ses idées et son style. Cette méthode n’est pas
loin ; ils pourront transporter dans un autre genre les pensées de l’
auteur
; enfin ils se sentiront assez forts pour traiter
ntarissable d’idées et d’émotions ; elle nous en apprend plus que les
auteurs
, et surtout elle donne à nos pensées plus de frai
e formera rapidement. Appliquez-vous à saisir le plan, la marche de l’
auteur
, le but qu’il veut atteindre, la vérité, la juste
e sens d’une langue étrangère ; le goût, pour saisir les beautés de l’
auteur
; le style, pour chercher à le bien rendre. La pl
it dans la pratique des affaires. Comme Corneille, Beaumarchais est l’
auteur
dramatique qui a mis le plus d’invention dans ses
rammes devenues proverbes. On peut lui appliquer ce trait : « qui dit
auteur
, dit oseur. » Exorde de son quatrième mémoire
out qu’infidèle à ses amis, ingrat envers ses protecteurs, odieux aux
auteurs
dans ses censures, nauséabond aux lecteurs dans s
, ni ce qu’il a dessein de nier : donne-moi Bertrand. « Et si quelque
auteur
infortuné doit servir un jour de conseiller à cet
une pierre au cou ! Je broche une comédie dans les mœurs du sérail :
auteur
espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans
ltos, y Montes Fieros, y otros montes ; contre Alonzo Calderon, jeune
auteur
dramatique. Il est question d’une comédie mort-né
ces fades camaïeux1 où tout est bleu, où tout est rose, où tout est l’
auteur
, quel qu’il soit. Lorsque mon sujet me saisit, j’
’épuiser tous les traits du sarcasme et de l’insulte contre un pauvre
auteur
, dont les exemples n’ont pas le droit d’être dang
isible. Pour être un excellent critique, il faudrait pouvoir être bon
auteur
. Dans un esprit faible et impuissant, le bon goût
ue le langage est parfois trop paré ou trop éphémère, l’habileté de l’
auteur
à suivre et à retourner en tous sens une donnée d
t pernicieuse : elle est injuste, en ce qu’elle essaye de tourner les
auteurs
mêmes en ridicule, ce qui ne saurait être le droi
erait bon, ce me semble, d’établir là-dessus une différence entre les
auteurs
des siècles passés et les auteurs vivants. On exa
là-dessus une différence entre les auteurs des siècles passés et les
auteurs
vivants. On examine d’ordinaire ceux-là avec un r
rains, mettre à profit cette liberté que nous pouvons prendre sur les
auteurs
qui ne sont plus. Que notre propre conduite nous
our se les procurer. » Rien n’était plus efficace, selon le judicieux
auteur
du Traité des études, pour donner aux jeunes gens
n de temps, choisi chez ceux qui l’ont le mieux écrite, même chez les
auteurs
contemporains, ce qui nous a paru en rapport avec
, au dix-septième siècle. Pour les classes supérieures, le cercle des
auteurs
où nous avons puisé a dû être un peu élargi ; mai
s, nous avons pensé qu’il convenait d’adopter, pour le classement des
auteurs
, l’ordre chronologique, comme favorable à l’exerc
sait encore son pouvoir aux mains de Mazarin. C’est le premier de nos
auteurs
qui ait écrit supérieurement, dans ses moments he
ment où Racine et Molière allaient remplacer sur la scène française l’
auteur
du Cid et du Menteur. Ils renferment les meilleur
er encore aujourd’hui, celles qu’accepteront et suivront toujours les
auteurs
curieux de trouver dans les travaux du théâtre un
s rigueurs, odia restringenda, favores ampliandi ; et je trouve qu’un
auteur
est assez gêné par cette contrainte, qui a forcé
ttestent une rare vigueur de pensée et un savoir immense48. Mais leur
auteur
est demeuré particulièrement célèbre comme l’un d
à propos, de crainte qu’ils ne vinssent à une rupture : ainsi étant l’
auteur
de leurs différends, il lui était aisé d’être l’a
comme ce titre a été donné à un nombre infini de mauvais poètes et d’
auteurs
ennuyeux, on s’en sert plus souvent pour tourner
et portées jusqu’à l’infini. Qui suivra ces étonnantes démarches ! L’
auteur
de ces merveilles les comprend ; tout autre ne le
faut : or, l’ordre de la pensée est de commencer par soi, et par son
auteur
et sa fin. Or, à quoi pense le monde ? Jamais à c
rieur de la raison ne sont qu’un vain bruit et, comme a dit un de nos
auteurs
après un ancien, que des impertinences harmonieus
le qu’elle a honoré par ses talents. Elles nous donnent aussi de leur
auteur
, malgré quelques mots sur lesquels on a fondé des
ne préférence trop exclusive à deviner les intentions satiriques de l’
auteur
, les juges sérieux se prononcèrent sans hésitatio
ce premier et nous que la différence de quelques mots. Ronsard et les
auteurs
ses contemporains ont plus nui au style qu’ils ne
ême à l’égard de ceux qui cherchent moins à admirer qu’à rire dans un
auteur
. Rabelais surtout est incompréhensible. Son livre
ont estimé en nulle manière. L’un ne pensait pas assez pour goûter un
auteur
qui pense beaucoup ; l’autre pense trop subtileme
ebentia dici Pleraque differat, et præsens in tempus omittat265. Tout
auteur
qui ne donne point cet ordre à son discours ne po
a première partie. Massillon (1663-1742.) [Notice.] Aucun
auteur
n’est plus capable que Massillon d’apprendre à s’
e monde. Il faisait imprimer dans son palais les traductions des bons
auteurs
grecs et latins ; il envoyait des géomètres et de
le cour Charles II puisa tant de politesse et tant de goût ? Les bons
auteurs
de Louis XIV n’ont-ils pas été vos modèles ? N’es
ge sérieux, et qui doit intéresser. La raison en est qu’alors c’est l’
auteur
qui paraît, et que le publie ne veut voir que le
tir, l’ouvrage ne sera point construit ; et en admirant l’esprit de l’
auteur
, on pourra soupçonner qu’il manque de génie367. C
mblage369 ; le livre paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
auteur
demeure obscur ; il ne peut faire impression sur
, ni se transporter, ni s’altérer : s’il est élevé, noble, sublime, l’
auteur
sera également admiré dans tous les temps ; car i
e chose de Pascal : on se représente sa physionomie, comme celle de l’
auteur
des Pensées, jeune, grave et marquée du cachet d’
Polyeucte, de Pompée, de Rodogune ! Avant sa trente-septième année, l’
auteur
de tant de hautes conceptions tragiques nous donn
i de paraître n’y penser pas. De là l’originalité et le charme de cet
auteur
inimitable445 : ce qui complète l’un et l’autre,
nt de la probité, il était compatissant et généreux. Pour sa gloire d’
auteur
, elle n’a point cessé de grandir482 : il n’en est
ndre, de la main d’un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable
auteur
. C’est ce que je tâchai de lui faire comprendre52
sotte hauteur ; Il ne veut plus parler que de rime et de prose ; Des
auteurs
décriés il prend en main la cause ; Il rit du mau
urne les yeux ; Pour m’en récompenser, mes vers, avec usure, De votre
auteur
alors faites-lui la peinture : Et surtout prenez
ion préparée Sans peine du sujet m’aplanisse l’entrée. Je me ris d’un
auteur
, qui, lent à s’exprimer, De ce qu’il veut d’abord
tous ses héros semblables à soi-même. Tout à l’humeur gasconne en un
auteur
gascon : Calprenède et Juba574 parlent du même to
l s’imagine volontiers que lui-même il n’écrirait pas autrement que l’
auteur
, tandis qu’il conçoit bien, en prenant la plume,
ramatique, et même de quelques scènes heureuses, pour immortaliser un
auteur
. Ainsi en a-t-il été pour Crébillon. Né à Dijon e
un air de conséquence, Donnent froidement audience À cent faméliques
auteurs
, Il est un édifice immense Où, dans un loisir stu
; Ou tel est le sublimer siège D’où, flanqué des trente-deux vents, L’
auteur
de l’Almanach de Liège Lorgne l’histoire du beau
liquer la condamnation capitale qui le frappa. On sait que Roucher, l’
auteur
des Mois, périt avec lui, et que tous deux, allan
. 1. « C’est en lisant beaucoup, plutôt qu’en lisant beaucoup d’
auteurs
, qu’il convient de former son esprit et de donner
l., Paris, 1665. — Parmi ceux qui se sont occupés spécialement de cet
auteur
, on remarque MM. Malitourne et Geruzez, qui lui o
t raisonner avec un jugement plus solide. » Ces discours assurent à l’
auteur
du Cid et de Polyeucte la gloire d’avoir été, par
et noble exercice qu’il serait souverainement injuste de mépriser. L’
auteur
n’a en vue que de condamner une étude qui, par ce
ingénieux éloge. Bayle, plein d’admiration pour les Mémoires du même
auteur
, voulait qu’on les plaçât au-dessus des Commentai
t, à son goût, et les vieux et les nouveaux. » Fort interrogé sur cet
auteur
, il finit par le nommer : c’était Pascal. Lettre
e expression, remarque-t-il dans son Vocabulaire des locutions de cet
auteur
, par laquelle « il a voulu montrer que cet abîme
1. « … Nugæque canoræ » (Horace. Art poétique, v. 322). Celui de nos
auteurs
, que mentionne Pellisson est Balzac. 132. On rem
ui de Pellisson, dont les Mémoires cités ne semblent pas indignes à l’
auteur
du Siècle de Louis XIV d’être comparés aux discou
t partagé notre admiration pour madame de Sévigné : on sait qu’un des
auteurs
anglais les plus ingénieux, Horace Walpole, lui r
et que la révocation de l’édit de Nantes éloigna de la France. Il est
auteur
d’un livre sur la Vérité de la religion chrétienn
usement, qui ne signifie plus aujourd’hui que divertissement. 214. L’
auteur
de ce recueil se rappelle avoir entendu dire à l’
. Malebranche. 248. L’usage a prévalu d’écrire Montaigne. Le célèbre
auteur
des Essais naquit en 1533 et mourut en 1592 dans
), Cette importante publication a été complétée par l’ouvrage du même
auteur
intitulé ; Saint-Simon considéré comme historien
leur dit qu’il n’était pas encore temps… » 304. Duclos, l’ingénieux
auteur
des Considérations sur les mœurs, a dit de ce per
pinceau. » Dans le morceau spécial qu’il a consacré à Saint-Simon, l’
auteur
que nous venons de citer le montre encore « obser
s XV. On sait qu’ils n’ont paru qu’assez longtemps après la mort de l’
auteur
, conformément à sa volonté. De son vivant, il les
sse que la pairie, et dans la pairie que lui-même. » 312. Parmi les
auteurs
qui ont dignement parlé de Montesquieu, on signal
ittérature au dix-huitième siècle, 14e et 15e leçons ; M. Walckenaer,
auteur
de l’excellente notice que contient sur cet auteu
s ; M. Walckenaer, auteur de l’excellente notice que contient sur cet
auteur
la Biographie universelle ; M. Berryer, dans ses
23. « Tanto enim odio laborabat, ut tæderet eos vila ipsius », dit l’
auteur
incertain de la vie de Louis le Débonnaire, dans
un jugement curieux de M. Sainte-Beuve sur Louis XIV considéré comme
auteur
. 346. Célèbre professeur d’astronomie au collège
ronné par l’académie de Berlin. Ce sujet avait été proposé en 1783. L’
auteur
prit pour son épigraphe un vers célèbre de Virgil
), écrites par Buffon à 70 ans, ont été onze fois recopiées : aussi l’
auteur
avait-il coutume de dire dans sa vieillesse la pl
Helvétius, y sont réfutés d’avance avec une admirable vigueur ; et l’
auteur
n’a emprunté de la philosophie de son temps que l
derons de plus l’éloge couronné de Victorin Fabre et l’article de cet
auteur
sur Corneille, contenu dans la Biographie univers
nçois de Neufchâteau joignit à la collection des Chefs-d’œuvre de cet
auteur
(Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la littérature
nie. On a prétendu qu’avant d’être représenté, Polyeucte fut lu par l’
auteur
à l’hôtel de Rambouillet, et qu’il n’obtint qu’un
, princesse des Parthes, est de 1646 et partit avec une dédicace de l’
auteur
au prince de Condé. Ce fut un des grands succès d
même mot se trouve encore chez Boileau et chez plusieurs autres bons
auteurs
du siècle de Louis XIV, qui semblent l’avoir préf
Il est de plus resté, mais en partie seulement, un commentaire de cet
auteur
par Chamfort. Celui-ci l’avait composé pour la sœ
de sixième. 447. Nous avons cru inutile, en général, d’indiquer les
auteurs
auxquels La Fontaine a emprunté le sujet de ses f
elui qui en a tracé le portrait, reproduit ici par La Fontaine, est l’
auteur
et prélat espagnol Guevara, mort en 1544, dont la
est prononcée notamment contre les jugements portés sur le style de l’
auteur
du Misanthrope et de l’Avare par La Bruyère (Cara
livre III de son Histoire de la littérature française ; et M. Bazin,
auteur
d’une étude où sont réfutées bien des erreurs sur
tin, et plus récemment celle de M. Louandre. Pour lire avec fruit cet
auteur
, on fera également un très heureux usage du Lexiq
les aimer encore et à les servir avec un généreux dévouement. 485. L’
auteur
nous entraîne dès le début au milieu de son sujet
ût suffi, a dit Voltaire, pour rendre impérissable la renommée de son
auteur
. Les deux frères sont Sganarelle et Ariste, dont
2. 501. Tour vif pour accommoder, plier son humeur au temps. 502. L’
auteur
, selon la remarque de Lemercier, établit, dans ce
’est ce que Sénèque recommande au sage, dans son traité de Ira, que l’
auteur
du Misanthrope a mis plusieurs fois à contributio
e ses essais poétiques. Si l’on en croit Brossette, ami de Boileau et
auteur
d’un commentaire perdu sur Molière, « il paraît s
le remarquer : le style est partout, chez Molière comme chez tous les
auteurs
accomplis, l’expression du caractère de chaque pe
r, c’est dans un défaut de son caractère, et non dans sa vertu, que l’
auteur
a placé le ressort de sa pièce. 531. Méchant, d
ailleurs été traité, à l’étranger ou chez nous, par beaucoup d’autres
auteurs
plus ou moins célèbres. On se contentera de signa
emps déjà, Saint-Évremond l’avait ainsi apprécié : « Il n’y a point d’
auteur
qui fasse plus d’honneur à notre siècle que Despr
nna en 1673, d’un passage de la Vie de Lucullus par Plutarque, où cet
auteur
parle avec beaucoup d’intérêt de Monime, qui étai
st la réunion de toutes les bienséances les mieux ménagées. Combien l’
auteur
avait à faire ! et il n’a rien laissé à désirer.
ves, dont quelques-unes me paraissent des démonstrations. » 606. L’
auteur
de Polyeucte, parlant des chrétiens, avait dit, I
accidents sont faits pour immortaliser un berceau. » Dans Athalie, l’
auteur
d’Andromaque et de Phèdre écartant le sentiment d
vers attribués à un poète-historien du xvie siècle, Pierre Matthieu,
auteur
d’une tragédie intitulée la Guisiade. En réalité
ne si honorable idée, est une création du poêle : ni l’Écriture, ni l’
auteur
des Antiquités judaïques, Josèphe, n’en font ment
etrouver quelques traces de l’Ion d’Euripide, l’une des pièces de cet
auteur
qui attestent le mieux la fécondité de son invent
Rien n’est plus adroit ni mieux placé que ce mouvement de pitié que l’
auteur
donne à Athalie. Il est si naturel, si involontai
tiques n’ont eu pour effet que de montrer la sagesse et le génie de l’
auteur
. 686. D’Alembert a fait son éloge. On consultera
en devient le complice. 698. Remarquons ici avec quelle habileté l’
auteur
nous intéresse aux remords de Rhadamiste, en nous
De là ce jugement si favorable de Montesquieu : « Nous n’avons pas d’
auteur
qui donne à l’âme de plus grands mouvements que C
on peut voir surtout ses 4e, 7e 8e, 9e, 10e et 25e leçons. Outre cet
auteur
et quelques autres que nous avons indiqués dans n
, tel est le fond de cette œuvre puissante qui seule assurerait à son
auteur
une place légitime parmi les maîtres de la scène.
bhorre, était une nouveauté inouïe. On ne pouvait concevoir comment l’
auteur
pourrait soutenir son intrigue après en avoir tra
729. Ces vers rappellent un beau passage échappé par mégarde à l’
auteur
de la Pucelle, à Chapelain : Loin des murs flamb
taire sur l’homme, et Delille, poème de l’Imagination, c. V. 731. L’
auteur
désigne la décomposition de la lumière, une des p
que les comètes ne sont le présage d’aucun malheur ». 735. Par là l’
auteur
entend la période, de la précession des équinoxes
plus d’une fois avec celles des principaux lyriques français. Sur cet
auteur
, qui a été loué spécialement par Barère, on peut
ité, en la commentant, cette ode où le sujet lui semble avoir porté l’
auteur
, et il nous apprend quelle admiration elle avait
, qu’il a fait précéder d’un travail biographique et critique sur cet
auteur
. Le P. Daire, son compatriote, a écrit sa vie (Pa
se. » 771. Moins célèbre de son temps que son frère Marie-Joseph, l’
auteur
de Fénelon et de Tibère, André, bien plus poète q
s genres ; 3° Des exercices gradués de composition. 1° La lecture d’
auteurs
choisis. La voie des préceptes est longue ; ce
nts connus, il faut diriger notre attention sur l’ordre dans lequel l’
auteur
les a distribués, et donner les raisons de cette
es. — Quel est l’objet de ce morceau ? — Examinons si les faits que l’
auteur
expose, sont présentés d’une manière convenable ;
s parties constitutives de ce morceau, examinez l’ordre dans lequel l’
auteur
les a distribuées, et tâchez de justifier cette d
buées, et tâchez de justifier cette disposition et de faire voir si l’
auteur
aurait pu en adopter une plus convenable. 4e Exer
rties soient unies entre elles ; autrement l’œuvre serait décousue. L’
auteur
a dû s’attacher à unir ces parties de telle maniè
qu’elles restent distinctes. Cherchons donc par quelles transitions l’
auteur
a lié les diverses parties de son œuvre. 5e Exerc
e. — Quelle opinion avez-vous du style en général de ce morceau ? — L’
auteur
avait-il besoin pour son sujet d’art, d’efforts,
expression fût juste, aisée, naturelle ? — Le sujet exigeait-il que l’
auteur
s’attachât particulièrement à plaire ? l’art pouv
se montrer dans son style ? — Le sujet était-il de nature à ce que l’
auteur
fit emploi d’expressions relevées, d’images subli
it emploi d’expressions relevées, d’images sublimes ? — Le style de l’
auteur
, dans ce morceau, est-il clair ? est-il pur ? I
l y en aura jamais. » Toute cette partie du discours est figurée : l’
auteur
compare les sentiments de reconnaissance et d’amo
vertus guerrières de César et sa clémence. La traduction d’extraits d’
auteurs
grecs et latins sera aussi un excellent exercice
coutume, presque sans s’en apercevoir, à sentir et à penser comme son
auteur
, la difficulté d’atteindre à la noblesse et l’har
ile pour former le style, que celui de traduire quelques passages des
auteurs
les plus estimés de notre propre langue en termes
e propre fond. J’entends qu’on prenne une page, par exemple, d’un bon
auteur
quelconque, qu’on la lise attentivement deux ou t
la on reprendra le livre, et l’on comparera son style avec celui de l’
auteur
. Cette composition nous fera sentir les défauts d
des. Un choix de morceaux dans les différents genres de nos meilleurs
auteurs
suffit comme moyen d’exercice. L’élève les lira a
mparaison qu’il fera de son travail avec la rédaction adoptée par son
auteur
, il reconnaîtra ses défauts et apprendra à se cor
rriger. Cette méthode le dispense d’un maître, car son maître c’est l’
auteur
qu’il a lu, analysé et tenté de reproduire. Comme
connaît la grammaire par les études grammaticales. La traduction des
auteurs
et les observations auxquelles ils ont donné lieu
ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando. Quis, la personne ou l’
auteur
du fait, son caractère. Quid, le fait, la nature
e les motifs et l’intérêt de celui qui agit et l’action dont il est l’
auteur
. Mais la vraisemblance résulte surtout d’un style
Mais sur quoi faut-il informer ? Sur le fait ? il est constant. Sur l’
auteur
? il est connu. Pompée a donc vu que, nonobstant
Joad : ……… Te voilà, séducteur, « De ligues, de complots, pernicieux
auteur
, « Qui dans le trouble seul as mis tes espérances
atrie personnifiée adresse à Catilina les plus sanglants reproches. L’
auteur
du Discours sur les avantages des lettres et des
: « Soleil, qui éclaires tout de tes feux sur la terre ! Toi, Junon,
auteur
et témoin de mes douleurs ! Hécate, pour qui, dan
rage de feu Sabatier : Étude de la langue maternelle, ouvrage que son
auteur
n’eut pas manqué de compléter sans doute, si la m
nt de la probité, il était compatissant et généreux. Pour sa gloire d’
auteur
, elle n’a point cessé de grandir1 : il n’en est p
’est prononcée notamment contre les jugement portés sur le style de l’
auteur
du Misanthrope et de l’Avare par La Bruyère (Cara
livre III de son Histoire de la littérature française ; et M. Bazin,
auteur
d’une étude où sont réfutées bien des erreurs sur
tin, et plus récemment celle de M. Louandre. Pour lire avec fruit cet
auteur
, on fera également un très-heureux usage du Lexiq
pas d’abord : ce fut après la représentation que le roi, félicitant l’
auteur
, lui indiqua un personnage de fâcheux qu’il avait
je n’ai pas eu le temps de la faire plus courte » ? La plupart de nos
auteurs
nébuleux pourraient dire également : Excusez l’ob
je n’ai pas eu la patience d’être plus clair. Si, dès le principe, l’
auteur
a soin, quand ses conceptions sont absolument neu
ble, si elle ne passait le fleuve, accueillie par quelques-uns de nos
auteurs
qui oublient le mot si vrai de Voltaire : « Ce qu
n vers ampoulé l’orgueilleux solécisme : Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
Boileau distingue, comme on le voit, celui qui invente et dispose, l’
auteur
, de celui qui exprime et formule, l’écrivain, il
ce que par droit de naissance. J’ai recommandé l’étude de nos anciens
auteurs
, sous le rapport du style, plus encore que de l’i
i de paraître n’y penser pas. De là l’originalité et le charme de cet
auteur
inimitable1 : ce qui complète l’un et l’autre, c’
Il est de plus resté, mais en partie seulement, un commentaire de cet
auteur
par Chamfort. Celui-ci l’avait composé pour la sœ
se de sixième. 3. Nous avons cru inutile, en général, d’indiquer les
auteurs
auxquels La Fontaine à emprunté le sujet de ses f
ienne ont beaucoup recommandé ce tour, et Amyot l’a souvent imité des
auteurs
qu’il traduisait ; mais, si l’on excepte quelques
citera, outre Chamfort, La Harpe et plus récemment Ch. Nodier. 5. L’
auteur
commence sur un ton fort imposant, conforme à la
iaux, « il n’eût pas été ce qu’il sera éternellement, c’est-à-dire un
auteur
d’un goût exquis, s’il n’avait pas puisé à ces so
s en sont les héros. On y fait voir l’influence de la société sur les
auteurs
, des auteurs sur la société : c’est proprement l’
héros. On y fait voir l’influence de la société sur les auteurs, des
auteurs
sur la société : c’est proprement l’histoire des
oire, et elle fait plus de portraits que de tableaux. Pour elle, tout
auteur
est un type, et aucun type n’est méprisable. Auss
mple, de l’usage des passions5 dans le drame, elle recueille dans les
auteurs
dramatiques les plus divers et les plus inégaux l
ie particulier de la France, un autre de sa langue3 ; elle met chaque
auteur
et chaque livre en regard de ce triple idéal4. El
e, les lecteurs de ce livre diront s’il répond à une réalité, ou si l’
auteur
n’a pas pris pour un genre son défaut de génie po
cation, ils en font presque toujours une contraire à l’intention de l’
auteur
, et qu’au lieu de s’observer sur le défaut dont o
taire, du nombre desquels était Sa Majesté l’Empereur et Roi, à qui l’
auteur
enseignait, dans cette maison, la Langue et la Li
ns celle des Belles-Lettres, et pour s’occuper de la réimpression des
auteurs
classiques, avait conseillé cet Ouvrage dans son
nner une nouvelle Édition, après en avoir obtenu le consentement de l’
auteur
.
nom d’action, de drame, et plus tard celui de tragédie. Thespis fut l’
auteur
de cette réforme (537 avant Jésus-Christ). Son ac
ole des Anglais, des Allemands, des Espagnols, et d’un grand nombre d’
auteurs
dramatiques contemporains. Nous citerons, parmi l
qu’une action théâtrale pût se passer en deux jours, bientôt quelque
auteur
y emploierait deux semaines et un autre deux anné
qui allait se passer. On y faisait encore l’éloge et l’apologie de l’
auteur
, et on cherchait à captiver la bienveillance du p
reux, cependant les dénoûments malheureux sont regardés par plusieurs
auteurs
comme plus favorables à la réussite d’une pièce ;
t-là ; ou de le faire sortir sans autre motif que le bon vouloir de l’
auteur
qui n’avait plus rien à lui faire dire, puisque l
rel, suivi et coupé à propos. Corneille, de tous nos tragiques, est l’
auteur
dont les personnages se répondent le mieux dans l
s vertueux, la compassion pour les infortunés, l’indignation pour les
auteurs
de leurs maux, la défiance dans la prospérité, vo
n’en est pas fait mention ailleurs que chez Euripide ; et encore cet
auteur
a-t-il été blâmé de son innovation par Aristophan
reur et de compassion si éloquents par eux-mêmes, qu’ils dispensent l’
auteur
qui les met sous nos yeux d’employer une autre él
t-on chercher à produire le plus d’effet possible ? D’après certains
auteurs
dramatiques modernes, on doit viser à produire de
ute la majesté que leur donnent les poètes anciens. C’est alors que l’
auteur
doit donner au langage, avec l’élégance et l’harm
. Qu’est-ce que la comédie d’intrigue ? La comédie d’intrigue, dit un
auteur
comique, consiste dans un enchaînement d’aventure
tre ou surprises sont des événements imprévus, quoique préparés par l’
auteur
, qui arrivent subitement dans une pièce. Les coup
ançais était composé de moralités, a été maintenu par les plus grands
auteurs
comiques, par Molière en particulier, afin de con
: Dans ce sac ridicule où Scapin s’enveloppe, Je ne reconnais plus l’
auteur
du Misanthrope. 527. Qu’est-ce que la parodie ?
du plus grand nombre des drames modernes. 537. Citez quelques-uns des
auteurs
qui condamnent le théâtre ? Le théâtre a été con
a été condamné, au moins dans son application, par un grand nombre d’
auteurs
. Ainsi, selon Platon, la tragédie trouble l’espri
ueries et les sarcasmes de la comédie. 538. Quels sont les principaux
auteurs
dramatiques ? Chez les Grecs nous nommerons Esch
, par un emprunt au langage ascétique, poésies jaculatoires. Mais nos
auteurs
l’ont porté jusqu’à l’abus, ils l’ont étendu à de
Italiam ! Italiam !…. je finis le traité des fiefs où la plupart des
auteurs
l’ont commencé : » voilà la seule conclusion de M
s plus importantes, qui préoccupe et doit préoccuper dès l’abord et l’
auteur
et le lecteur ; elle est le but, et les autres ne
les situations dont il ressort, comme l’effet ressort de la cause, l’
auteur
, s’il a disposé avec art les fils de son drame, n
s les personnages, et remplit toutes les promesses de l’exposition. L’
auteur
n’avait rien à ajouter. Virgile, avec le tact par
i originalité, ni rapport avec l’idée fondamentale ; et quand enfin l’
auteur
s’arrête, on ne sait pas pourquoi il le fait ; il
ne partie sans affaiblir, sans obscurcir, sans déranger le tout. Tout
auteur
qui ne donne point cet ordre à son discours ne po
hez-le, il ne manque rien ; il n’y a que la vanité qui en souffre. Un
auteur
qui a trop d’esprit, et qui en veut toujours avoi
nt et au merveilleux. Je veux un homme qui me fasse oublier qu’il est
auteur
, et qui se mette comme de plain-pied en conversat
ne partie ! Afin qu’un ouvrage soit véritablement beau, il faut que l’
auteur
s’y dérobe et que je ne puisse le voir. L’art
Le Tasse a pu espérer de laisser derrière lui Virgile et Homère. Ces
auteurs
se seraient trompés en pensant ainsi ; les plus e
es auteurs se seraient trompés en pensant ainsi ; les plus excellents
auteurs
de nos jours doivent craindre de se tromper de mê
nous ne pouvons plus discerner avec certitude. La Grèce, parmi tant d’
auteurs
qui ont et leurs beautés, en nous montre au-dessu
mérite bien original. Je suis charmé des progrès qu’un petit nombre d’
auteurs
a donnés à notre poésie ; mais je n’ose entrer da
ne fit rien. Gloire à ce mieux, noble but du génie ! Il enflammait l’
auteur
d’Iphigénie, etc. (Lebrun.) Note de M. Delzons.
aux de Bourbon. 3. Dans ce tableau de la vie de cour, on reconnaît l’
auteur
du Telèmaque. Il connaissait bien ce pays. 1. Lo
d’inspirations touchantes et sublimes1. Les cieux proclament leur
auteur
. De sa puissance immortelle2 Tout parle, tou
interrompent cent fois ses pleurs et ses sanglots : « Cruel
auteur
des troubles de mon âme1 Que la pitié re
crime, Pour mériter de si cruels mépris2 ? « Cruel
auteur
des troubles de mon âme, Que la pitié ret
’il y avait quelque chose de petit dans l’idée de ce cercle, et que l’
auteur
, par ce trait ajouté à l’original qu’il a suivi,
out on ne saurait trop estimer cet autre endroit : Le masque tombe… L’
auteur
choisit et met en œuvre les traits d’histoire ave
e moyen unique pour atteindre ce but, est de se familiariser avec les
auteurs
qui ont le mieux écrit en cette langue, de bien s
ttisse lui-même à un travail sérieux, et que, dans la préparation des
auteurs
, il se rende un compte exact de tout ce qu’il y a
sera possible, les termes choisis et les tournures élégantes de leurs
auteurs
. Ce serait aussi une méthode bien profitable, de
à peu près la même chose que ce qu’on appelle manière en peinture. L’
auteur
qui écrit comme tout le monde n’a point de style,
cite, de Pascal, de Molière ou de Chateaubriand, pour que le nom de l’
auteur
vienne aussitôt à l’esprit. Si la différence de s
tifiant mutuellement ; et, de l’autre, ces expressions propres, que l’
auteur
a peut-être cherchées avec effort, mais qui sembl
u style qui fait qu’on saisit sur le champ et sans effort l’idée de l’
auteur
. Il faut, dit Quintilien, que l’expression soit t
qu’elle procède toujours par sujet, verbe, attribut et complément. L’
auteur
le plus clair est toujours celui qui se lit avec
un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
dit Pascal, on est tout étonné et ravi, car on s’attendait de voir un
auteur
, et l’on trouve un homme. » Le contraire du natu
iquante, une clarté lumineuse : on peut s’en convaincre en lisant nos
auteurs
. La Bruyère brille surtout dans ce genre de style
as toujours l’ingénuité : l’art y entre pour quelque chose. Nos vieux
auteurs
français sont empreints d’une naïve simplicité qu
âme sous une forme louangeuse. Boileau, voulant critiquer les mauvais
auteurs
de son temps, affecte de les louer ainsi : Je le
bizarres que le goût ou l’usage réprouve. C’est le défaut capital des
auteurs
modernes. Voici comment Victor Hugo peint un bon
lt avec l’oreille de Lulli ; on lit les livres avec l’esprit des bons
auteurs
. Le goût peut se gâter chez une nation ; ce malhe
sard vous amène dans une compagnie où il se trouvera quelqu’un de ces
auteurs
réprouvés du public, ou de ces demi-savants qui n
emi-savants qui n’ont pas même assez de mérite pour être de médiocres
auteurs
, mais qui aura quelque place ou qui sera instrus
es. Par exemple, monsieur, lorsqu’on imprime que j’ai donné avis à un
auteur
illustre1 que vous vouliez écrire contre ses ouvr
auparavant, à Paris, chez Gandouin ? Lorsqu’on imprime que je suis l’
auteur
de je ne sais quel livre intitulé Des beautés de
prime que l’on doit s’attendre que j’écrirai contre les ouvrages d’un
auteur
respectable à qui je serai attaché jusqu’au derni
igé de réfuter les calomnies dont m’accablent tous les jours quelques
auteurs
, dont les uns me sont inconnus, et dont les autre
chez-le, il ne manque rien, il n’y a que la vanité qui en souffre. Un
auteur
qui a trop d’esprit, et qui en veut toujours avoi
ve, comme dans l’histoire, abondants en choses et sobres à juger. Nos
auteurs
, au contraire, disent peu et prononcent beaucoup.
it plus français quand il faisait des vers. Les tragédies de tous nos
auteurs
, depuis M. Racine, sont écrites dans un style fro
ner soi-même. 1. Pigalle (1714-1785), célèbre sculpteur, né à Paris,
auteur
de la bizarre statue de Voltaire qui est à la Bib
ns une sorte d’insufflation cahotée, mais échauffante, » etc., etc. L’
auteur
du Chemin de traverse sait, aussi bien que tous c
rements de la fantaisie. Il y a mieux : on a vu plus tard le Tasse, l’
auteur
de l’Astrée, Chapelain et Coras, les meilleurs co
gie, du piquant, de la nouveauté à sa pensée ou à son expression. Les
auteurs
qui joignent l’esprit de comparaison à beaucoup d
Rien, répond l’autre, sinon que vous montez et que je descends. » Les
auteurs
d’Ana attribuent à Molière un mot qu’il n’a proba
use ou même inconvenante. Sans vouloir assurément faire de nos jeunes
auteurs
les émules des précieuses, je n’aime pas voir un
Assimiler la lune à un fromage est une assez pauvre Invention. Que d’
auteurs
tombent dans ce défaut de convenance ! — « Nous v
u moins longue, composée de vers ou fragments de vers pris de quelque
auteur
célèbre, mais détournés de leur sens primitif. P
ussi rendre service aux jeunes professeurs en indiquant les meilleurs
auteurs
à consulter sur chaque question traitée dans notr
loquence est un don et un art. » D’après ces deux autorités, quelques
auteurs
récents définissent l’éloquence : le don d’être
les maximes reçues, les paroles mémorables des sages, les textes des
auteurs
, les exemples, les aveux de l’adversaire. 42. Les
e inutiles ou plutôt comme nuisibles. Rollin n’en parle nulle part. L’
auteur
de l’Art de penser ne voit rien de plus ridicule,
préparé de longue main par la lecture et l’analyse raisonnée des bons
auteurs
. Les autres moyens sont insuffisants et ne peuven
ce et son aisance, et fatiguer vainement son auditoire. 182. Quelques
auteurs
ont blâmé l’usage des divisions, mais il y en a u
gement par des lectures réfléchies, par l’étude et l’analyse des bons
auteurs
, et n’admettez jamais une preuve dont vous ne voy
njuste, défendaient quelquefois toutes sortes de causes, et souvent l’
auteur
tirait vanité du talent et de l’adresse qu’il ava
oncilie l’attention. Athènes décernait le dernier supplice contre les
auteurs
d’un culte nouveau, et saint Paul a le talent de
ce ; dès les premiers mots, on voit ce qu’elle va dire ; on devance l’
auteur
en achevant soi-même d’un trait cette phrase inte
émontrer ; que, fût-il immédiatement soumis à notre délibération, son
auteur
a pu se tromper ; que, fût-il exempt de toute err
e monde a tort, tout le monde a raison ; qu’il se pourrait donc que l’
auteur
de ce projet, même en ayant raison, eût tort cont
une qualité naturelle, et peut-on la développer ? 128. Quels sont les
auteurs
anciens les plus remarquables par leur sensibilit
La presse périodique n’a-t-elle pas souvent de l’éloquence ? 1.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Oratore, l. I, nos 31-3
s lettres, 1re édit., p. 296-304 ; Geruzez, Cours de littérature. 2.
Auteurs
à consulter : Aristote, Rhétorique, 1. I, nos 1-6
-298 ; Girard, Préceptes de rhétorique, Notions prélim., p 2-10. 3.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Oratore, 1. II. nos 115
I, ch. iii et v ; Crevier, Rhétorique française, t. II, p. 24-26. 4.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Oratore, 1. II., p. 162
uence, sect. II, ch. i ; Leclerc, Rhétorique, 1re partie, ch. ii. 5.
Auteurs
à consulter : Quintilien, Inst. orat., l. V, ch.
e, ch. i, sect. iii ; Logique de Port-Royal, 3e partie, ch. xvii. 6.
Auteurs
à consulter : Logique de Port-Royal, 3e partie, c
v, v, xii, xiii, xiv et xv ; v. Leclerc, Rhétorique, Invention I. 7.
Auteurs
à consulter : Logique de Port-Royal, 3e partie, c
, Cours de littérature, art. Éloquence. v. Leclerc, 2e partie, v. 8.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. II, nos 1 et 2 ; Cicér
III, c. i ; Girard, ch. iv ; le P. de Boylesve, sect. i, ch. ii. 9.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. II, c. xii, xiii ; Mar
; Crevier, 1re partie, ch. iii; Boileau, Art poétique, 3e chant. 10.
Auteurs
à consulter : Cicéron, Orat. 70-75, 123-125 ; Qui
P. Broeckaert, Le Guide du jeune littérateur, 3e part., 2e sect. 11.
Auteurs
à consulter : Quintilien, l. XI, c. i. Rollin, Tr
ry, Essai, LIV ; le P. Broeckaert, 3e part., 2e section, ch. ii. 12.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. Il, 2-5 ; Cicéron, Ora
rt., ch. iii ; Girard, ch. v ; v. Leclerc, 1re partie., ch. iii. 13.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Orat., l. II, 185-206 ;
ii, ch. i ; Girard, ch. v ; Lefranc, Rhétorique, ch. i, art. iv. 14.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. II, 6-11 ; Cicéron, De
. iii, sect. ii et iii ; les mêmes que pour l’article précédent. 15.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. III, c. xiii ; Cicéron
62 65 ; Quintilien, l. VII ; Fénelon, Dialogues sur l’éloquence. 16.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. III, c. 9 ; Cicéron, D
II, ch. ii ; Crevier, 2e part., ch. i, art. i ; Maury, X, xxiv. 17.
Auteurs
à consulter : Quintilien, l. IV, c. iv et v ; Bla
P. Marin de Boylesve, Principes de rhétorique, art. Proposition. 18.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Orat., l. II. 326-330 ;
on ; Leclerc, 2e partie, art. iii ; Lefranc, Rhétorique, ch. ii. 19.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. III, c. ix ; Cicéron,
t. Confirmation. 20. Voir notre Cours de littérature, p. 83-98. 21.
Auteurs
à consulter : Quintilien, l. v, c. xiii ; Girard,
kaert, 5e part., 2e sect., ch. ii ; Lefranc, Rhétorique, ch. ii. 22.
Auteurs
à consulter : Aristote, l. III, c. ix ; Cicéron,
lxxvi ; Marmontel, art. Péroraison ; Leclerc, 2e part., art. vi. 23.
Auteurs
à consulter : Quintilien, l. IV, c. v ; Fénelon,
t., ch. ii; Maury, v, vi, vii et viii ; Girard, l. II, ch. viii. 24.
Auteurs
à consulter : Aristote, Rhétorique, l. III, c. i-
s élémentaire de littérature, à l’article des Figures de pensée. 26.
Auteurs
à consulter : Longin, Traité du sublime, ch. xv-x
-lxxv ; Marmontel, art. Pathétique ; Crevier, 3e partie, ch. iv. 27.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Orat., l. II, 352-362 ;
moire ; Principes de déclamation, par le P. Champeau. Appendice. 28.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Oratore. l. III,223-28,
hampeau, 2e partie Hamon. Traité de la prédication, 1 I, ch. ii. 29.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Orat., 213-16, 220-224
; Hamon, l. I, 2e partie ; Principes de déclamation, 3e partie. 30.
Auteurs
à consulter : saint Augustin, De Doctrina christi
vre des orateurs, l. II, ch. iii ; Dupanloup. Rhétorique sacrée. 31.
Auteurs
à consulter ; Presque tous ceux que nous avons ci
dication, l. I ; l’abbé Mullois, Cours d’éloquence sacrée, t. I. 32.
Auteurs
à consulter : saint Augustin, De Catechizandis ru
’abbé Mullois, Cours d’éloquence sacrée populaire, t. I, ch. vi. 33.
Auteurs
à consulter : saint François de Sales ; Fénelon,
t iii ; Hamon, l. II, 2e part., ch. iv ; l’abbé Mullois, ch. iv. 34.
Auteurs
à consulter : Gaichiès, 2e partie, ch. ii-xxi ; M
le P. Broeckaert, Guide du jeune littérateur, 3e sect., ch. iv. 35.
Auteurs
à consulter : Gaichiès, 2e partie, ch. i, nºs 3 e
, Rhétorique, art. Conférence ; Hamon ; l. II, 2e part., ch. vi. 36.
Auteurs
à consulter : Fénelon, Dialogues sur l’éloquence
isio, t. ii, leç. xxvi-xxviii ; Hamon, l. II, 1re part., ch. vi. 37.
Auteurs
à consulter: La Harpe, Cours de littérature, art.
; Audisio, t. II, leç. xxix ; le P. Broeckaert, 3e sect, ch. iv. 38.
Auteurs
à consulter : Blair, 4e part., leç. xxv-xxvii ; L
orique, Genre délibératif ; Lefranc, Rhétorique, 2e part, ch. i. 39.
Auteurs
à consulter : Blair, 4e part., leç. xxv-xxvii ; L
e (dix-huitième siècle) ; l’abbé Henry, Histoire de l’éloquence. 40.
Auteurs
à consulter : Quintilien, l. XII ; Rollin, Traité
l. II, ch. iv ; Marcel, Chefs-d’œuvre d’éloquence, art. Barreau. 41.
Auteurs
à consulter : Cicéron, De Oratore, l. II, 24-26 ;
d’ œuvre d’éloquence, — Barreau ; Berryer, Éloquence judiciaire. 42.
Auteurs
à consulter : Cormenin, Livre des orateurs, part
anc, Éloquence écrite, ch. ii ; l’abbé Henry, Eloquence moderne. 43.
Auteurs
à consulter : Fénelon, Dialogues sur l’éloquence
’éloquence ; Grandperret, Traité de rhétorique, sect. ii, ch. i. 44.
Auteurs
à consulter : La Bruyère, Caractères, ch. vi ; Fi
gue dont on se sert. Cette qualité s’acquiert par la lecture des bons
auteurs
, et par l’étude approfondie de la langue. Boileau
’un ouvrage est posthume, lorsqu’il a été publié après la mort de son
auteur
, on ne peut dire qu’une réputation est posthume,
n auteur, on ne peut dire qu’une réputation est posthume, parce qu’un
auteur
ne peut acquérir une réputation après sa mort. Il
l’expression, c’est le mauvais emploi ou l’équivoque des pronoms. Un
auteur
a dit : Hypéride a imité Démosthènes en ce qu’il
doit pas paraître dans un ouvrage, parce que la gêne et l’effort de l’
auteur
ne manquent jamais d’affecter le lecteur d’une ma
De même, il est contraire à la noblesse de parler, comme l’a fait un
auteur
moderne, d’ équarrisseurs de chair humaine, de
extrême de paraître simple et naturel et qu’on nomme marivaudage. Aux
auteurs
que nous avons signalés dans l’affectation des pe
ce. 157. En quoi consiste l’élégance ? L’élégance consiste, dit l’
auteur
des Synonymes français, dans un tour de pensée no
de style se touchent, et les meilleures compositions sont celles où l’
auteur
les mêle le mieux. Bossuet, le plus sublime des o
eussiez fait ! C’était une délicatesse excessive : on voit bien que l’
auteur
des Géorgiques aurait pu finir l’Enéide avec le m
ouvrages les plus importants de Fénelon par le sujet et l’étendue. L’
auteur
y répand des trésors d’élégance ; il peint la nat
hement de ces deux morceaux fera sentir le goût excellent et sûr de l’
auteur
français. 1. Le charme de ce passage de Fénelon
trant qu’il avait su atteindre jusqu’à la plus haute éloquence. 2. L’
auteur
suppose ici une conversation entre deux personnes
e a emprunté cependant plus d’un trait, qu’il a su perfectionner, à l’
auteur
des Argonautiques, Apollonius de Rhodes, liv. III
écouvre et l’ordre et la sagesse. De cet ordre secret reconnaissons l’
auteur
: Fut-il jamais des lois sans un législateur ? St
z Le Normand (1808, 6 vol. in-8°) : elle est précédée de l’éloge de l’
auteur
par Lebeau. On peut encore consulter sur lui le C
, c’est un des ouvrages les plus estimables de la langue française. L’
auteur
a entrepris de développer cette pensée de Pascal
is, ô mortel… 2. Un contemporain de Louis Racine, Saint-Lambert, l’
auteur
du poëme des Saisons, a développé fort heureuseme
sé de six chants ; et il faut avouer que, vers la fin, la marche de l’
auteur
se ralentit et s’affaiblit un peu. Dans les morce
; il veut qu’on en jouisse ; Mais n’oubliez jamais leur cause et leur
auteur
. Et lorsque vous goûtez sa divine faveur, Ô morte
un monument plus curieux encore et plus étonnant que l’Ecclésiaste. L’
auteur
de ce dernier ouvrage ne s’est occupé que de la r
de vains trésors dont il ne veut ou ne sait pas jouir, ont fourni à l’
auteur
des Proverbes le sujet et la matière de ces excel
ichesses, Ô dieux ! épargnez-moi vos fatales largesses. (P. Daru). L’
auteur
des Proverbes s’adresse au riche : Je déplore l’
d de la reconnaissance que le spectacle de la nature inspire pour son
auteur
. Le sage trouve tout cela dans son âme, et il est
? Quand pourrai-je, tantôt goûtant un doux sommeil, Et des bons vieux
auteurs
amusant mon réveil, Tantôt ornant sans art mes ru
sères deviennent les nôtres, ainsi que leurs espérances ; c’est que l’
auteur
a peint à grands traits l’homme présent et l’homm
Poétique et de la Rhétorique d’Aristote une biographie sommaire de l’
auteur
, puis un aperçu bibliographique et critique, d’ap
ication du 5e volume, a laissé une biographie très détaillée de notre
auteur
accompagnée d’une étude bibliographique sur ses o
s et révisé ce travail, a pour principal représentant Édouard Zeller,
auteur
de la Philosophie des Grecs considérée dans son d
e un livre unique de cet ouvrage. Diogène Laërce lui en donne deux, l’
auteur
de la Vie d’Homère longtemps attribuée à Plutarqu
ire devait avoir ses détracteurs. Citons entre autres Ch. Perrault, l’
auteur
du trop fameux Parallèle des anciens et des moder
eux faire, pareillement, que de reproduire le passage suivant du même
auteur
: « Aristote nous apprend que jusqu’à lui la doct
tile pour établir le texte grec le manuscrit qu’avait sous les yeux l’
auteur
d’une traduction latine qui doit remonter au xiii
e ; mais, selon les deux philologues précités, il faut considérer ces
auteurs
comme ayant composé des traités de rhétorique, ou
sification sèche et pauvre. Une seule chose la distingue, c’est que l’
auteur
écrit dans un temps où il n’y a plus de délibérat
ment aux tyrans des temps passés. » (Étude, etc., p. 87.) Du reste, l’
auteur
des lignes précédentes place à côté de ce jugemen
entreprise par la librairie Hachette des traductions juxtalinéaires d’
auteurs
grecs et latins. (Poétique expliquée littéralemen
estimée, malgré la disposition au moins singulière que lui donna son
auteur
. Au moyen d’un système de mots en italiques et d’
, Cassandre a mis en relief presque toutes les idées contenues dans l’
auteur
grec. Parfois même, il a glissé des interpolation
asser dans notre langue toute la pensée et jusqu’aux expressions de l’
auteur
traduit, avec un tel souci de la fidélité littéra
au but proposé. Rien ne le prouve mieux que la traduction latine des
auteurs
grecs. Leur moindre défaut est de laisser subsist
recs. Leur moindre défaut est de laisser subsister l’obscurité de ces
auteurs
. Elle ne fait, pour ainsi dire, que transformer l
ère, qu’on pourrait appeler la manière littéraire, c’est d’habiller l’
auteur
ancien à la française, de substituer à son style
tre si nous avions réussi à mettre le lecteur en communication avec l’
auteur
de ces deux chefs-d’œuvre, heureux de faire parta
oins que, reliant la composition au mètre employé, l’on n’appelle les
auteurs
poètes élégiaques ou poètes épiques et qu’on ne l
tinctement, en raison du mètre (qu’ils adoptent). Il est vrai que les
auteurs
qui exposent en vers quelque point de médecine ou
econd un physicien, plutôt qu’un poète. Supposé, semblablement, qu’un
auteur
fasse une œuvre d’imitation en mélangeant divers
; Hégémon, celui qui le premier composa des parodies et Nicocharès, l’
auteur
de la Déliade, des types inférieurs à la réalité.
t à l’une ou à l’autre, suivant leur caractère propre, les uns, comme
auteurs
comiques remplacèrent les poètes ïambiques, et le
e en souffre. II. Les transformations de la tragédie, ainsi que leurs
auteurs
, ne sont pas restées ignorées ; mais celles de la
rs, etc., on l’ignore. V. La composition des fables eut pour premiers
auteurs
Épicharme et Phormis. VI. À l’origine la comédie
nt, comme l’imitation a pour objet une action et qu’une action a pour
auteurs
des gens qui agissent, lesquels ont nécessairemen
XIII. Il est possible aussi que l’action ait lieu, mais sans que ses
auteurs
sachent qu’elle est terrible, puis que, plus tard
e. Voilà pourquoi on y chante des intermèdes, procédé dont le premier
auteur
est Agathon ; et pourtant, quelle différence y a-
celle-ci : Le rivage crie134. XI. Ariphrade, en outre, raillait les
auteurs
tragiques de ce qu’ils emploient telles façons de
ερὶ μὲν οὖν, qui commence la dernière phrase indique clairement que l’
auteur
allait traiter un nouveau point de l’art poétique
fanfaronnade. VIII. Le style comique est vulgaire et populaire. IX. L’
auteur
comique doit mettre, dans la bouche de chacun de
que de lui montrer comment les choses sont telles que les présente l’
auteur
de la proposition. Dans les affaires de procédure
ieur de l’étude. Le vol est le résultat possible du sacrilège ; car l’
auteur
d’un sacrilège est capable de voler. VI. Sont plu
qui est préférable en soi. XXV. Les choses dont on veut plutôt être l’
auteur
ou pour soi-même ou pour ses amis, ce sont là aus
bien les bienfaits, car ils ne tournent pas au profit de leur propre
auteur
. XX. De même aussi les actions contraires à celle
Les vertus et les actions sont plus belles lorsqu’elles émanent d’un
auteur
qui, par nature, a plus de valeur ; par exemple,
du préjudice et leur nombre ; en second lieu, les dispositions de ses
auteurs
; troisièmement, la qualité et la condition des g
. De celles qui dépendent de nous et dont nous sommes directement les
auteurs
, les unes ont pour cause l’habitude, les autres s
à examiner le rapport de telle nature à telle action. En effet, que l’
auteur
de l’acte accompli soit blanc ou noir, grand ou p
s actions dues à la nature celles dont la cause est inhérente à leurs
auteurs
; car elles se reproduisent en toute occasion ou,
t faites. XVI. Sont dues au calcul toutes celles qui semblent (à leur
auteur
) avoir une utilité dans l’ordre de ce que tous av
, car on ne s’en garde pas, pensant que personne ne saurait en être l’
auteur
dans ces conditions. VI. Il y a aussi les choses
De même celles qui ressemblent, sans distinction possible, à ce que l’
auteur
du préjudice possédait déjà en grande quantité ;
is, comme il arrive souvent que, tout en reconnaissant que l’on est l’
auteur
du fait incriminé, on n’admet pas la qualificatio
et le bien qui nous a été fait, plutôt que celui dont nous sommes les
auteurs
. C’est de savoir supporter une injustice ; de pré
bi un dommage ou une injustice s’est fait à elle-même un mal grave, l’
auteur
mérite alors un châtiment plus grave encore. Par
qui, à la suite d’un outrage reçu, s’était poignardé, prétendit que l’
auteur
de l’outrage ne méritait pas une peine inférieure
tre une action telle, que l’on ait à chercher et à trouver contre son
auteur
de nouvelles mesures préventives et répressives.
tes. VI. L’injustice est plus grave, commise dans le lieu même où les
auteurs
d’actions injustes sont punis. C’est celle que co
émoins de cette sorte. XIV. Pour les faits à venir, ce sont aussi les
auteurs
d’oracles. Ainsi Thémistocle dit que les muraille
elui qui est dans une telle disposition, celui-ci se fâche contre les
auteurs
de tous ces empêchements. X. Voilà pourquoi les m
dés dont le mobile n’est pas une rémunération, ni un profit pour leur
auteur
: car, dès lors, ce mobile ne peut être que l’int
ne serait pas considéré comme puni s’il ne pouvait se douter ni de l’
auteur
, ni du motif de la vengeance exercée contre lui.
autre, et cela à plusieurs reprises ; reprocher celles dont on est l’
auteur
; car ce sont là des marques de petitesse d’espri
utôt causée par un vice de notre nature si nous sommes nous-mêmes les
auteurs
de nos imperfections passées, présentes ou future
à voir les fautes du prochain, ce qui est le cas des moqueurs et des
auteurs
comiques ; car ce sont autant de gens médisants e
est accordée dans des circonstances graves et délicates ; enfin, si l’
auteur
de cette faveur est seul à agir ou le premier ou
non une faveur spontanée soit à la connaissance, soit à l’insu de son
auteur
, car, dans les deux cas, le caractère de réciproc
ts s’appliquent tout autant à beaucoup d’autres, de telle sorte que l’
auteur
d’un tel éloge ne dirait là rien de plus en faveu
. Et ce serait en outre un enthymème par ellipse, car on a supprimé l’
auteur
de l’acte. IV. Un autre lieu, c’est d’établir ou
est pas nommée, mais dans les termes il y a une idée d’application. L’
auteur
a donc appelé « collage » l’application de la ven
la nature ». Il dira : « le sombre souci de l’âme » ; et non pas « l’
auteur
de la faveur », mais « l’auteur de la faveur popu
bre souci de l’âme » ; et non pas « l’auteur de la faveur », mais « l’
auteur
de la faveur populaire et le dispensateur du plai
émonstration, si elles sont incroyables, ou si quelque autre en est l’
auteur
. IV. Dans les harangues, on pourrait discuter pou
se tuant lui-même. 58. Aristote lui-même l’a dit (xiii, § 5). 59. L’
auteur
passe à la seconde des parties de la tragédie énu
ἀναγκαίου. (Revue critique, février 1875, p. 132.) 64. Pièce dont l’
auteur
est resté inconnu. 65. Tragédie perdue d’Euripid
e, à conserver, autant que possible, l’expression et l’image de notre
auteur
. 181. Si, au lieu de πεποιήκασι, que donne le pl
que visé ici est perdu. 273. C’est le premier des trois points que l’
auteur
a indiqués au début du chapitre x. 274. Livre II
it pas dans toutes les éditions de l’Iliade. 302. Un des sept sages,
auteur
d’un poème intitulé : Ὑποθῆκαι (préceptes). On ne
out devient une démonstration dès lors évidente. » 488. En résumé, l’
auteur
semble vouloir dire que l’exagération et l’atténu
uivis ou continus, et romans par lettres. Ces derniers sont ceux où l’
auteur
suppose que deux ou plusieurs correspondants s’éc
même dont nous parlons. Les romans continus ou suivis sont ceux où l’
auteur
se pose tout simplement comme narrateur, et racon
à peu près personne. Le roman intime est une variété du précédent. L’
auteur
s’attache à y peindre et y développer un ou deux
s lequel les événements ont quelque chose d’héroïque, et où surtout l’
auteur
affecte en prose les formes de style et les idées
C’est ainsi que Phébus me verse ses largesses. Souvent des vieux
auteurs
j’envahis les richesses, Plus souvent leurs écrit
s, Tout à coup, à grands cris, dénonce vingt passages Traduits de tel
auteur
qu’il nomme ; et, les trouvant, Il s’admire, et s
feux Dont j’anime l’argile, et dont je fais des dieux. Tantôt chez un
auteur
j’adopte une pensée, Mais qui revêt chez moi, sou
r, Qu’il soit singe ou qu’il fasse un livre : La pire espèce, c’est l’
auteur
. 1. Il ajoutait aussi : Quelques imitateurs,
é une page de M. le comte de Ségur ; elle est intitulée : l’Enfant. L’
auteur
nous fait connaître, dans ce sujet à la fois simp
dinairement par les dérober tous à la vue. C’est le genre de certains
auteurs
précieux et maniérés et auxquels nous ne pouvons
d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme. Sans la langue en un mot l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
oileau insiste beaucoup sur cette qualité dans son Art poétique : Un
auteur
quelquefois trop plein de son objet, Jamais sans
ver la fin, Et je me sauve à peine au travers du jardin. Fuyez de ces
auteurs
l’abondance stérile, Et ne vous chargez point d’u
es exemples de cette espèce d’harmonie, recueillis dans nos meilleurs
auteurs
. Racine voulant peindre le monstre qui s’élance s
mitative, nous recommandons de lire et même d’apprendre les vers d’un
auteur
anglais Pope, traduits par l’abbé Du Resnel et pa
, qui, peignant des mœurs plus vraies et écrivant sous la dictée de l’
auteur
même de la nature, n’ont cédé qu’à l’impression d
consolation. Gray méritait de faire des imitateurs ; il en trouva. L’
auteur
du Poème des Jardins ; celui de la Chartreuse et
dans tout l’ouvrage, qui en rattache toutes les parties au but que l’
auteur
se propose, celui de montrer la main d’un Dieu mê
éligion et de l’erreur. C’est ainsi qu’élevé d’abord par son sujet, l’
auteur
s’élève bientôt au-dessus de son sujet lui-même,
dans le reste de l’ouvrage. Écoutons maintenant le commentaire que l’
auteur
va trouver dans son âme : Qu’il est doux à rempl
e passer sans altération d’une langue dans une autre. Il y a plus : l’
auteur
français cesse d’être tendre, affectueux et intér
ses propriétés, mais sous des idées et des termes équivoques. Ainsi l’
auteur
qui a dit : Maison à louer, laquelle a deux port
ussi bien que celui de l’enchanteur, se lit dans le calendrier : cet
auteur
, dis-je, a proposé une énigme, dont le mot est un
ut-être le meilleur qu’on puisse citer. Le mot en est muscatum, que l’
auteur
personnifie, en le faisant parler. En voici la tr
nuyé de cette fadaise, Ah ! monsieur, répondit Saumaise, J’ai de bons
auteurs
pour garants, Qu’il ne faut jamais dire aux grand
blond comme vous ; Mais il aimait une brune comme elle. Ceux de nos
auteurs
qui ont laissé le plus de beaux modèles en ce gen
s de la porte de l’Arsenal de Paris. Ce sont deux vers latins, dont l’
auteur
, nommé Bourbon, était professeur d’éloquence grec
convenances, chez lui, c’est l’éducation qu’il a puisée dans les bons
auteurs
et dans les principes d’un bon maître ; mais c’es
us que de nobles images. Boileau. Il faut donc, avant tout, que l’
auteur
soit animé de sentiments vertueux : la bonne foi,
e goût même le plus délicat ne trouve rien à reprendre. Combien peu d’
auteurs
méritent un tel éloge ! § II. Des passions.
onore, fait vibrer fortement son émotion dans ses paroles. Il est des
auteurs
qui singent la passion, et écrivent à froid des m
ions de la voix contribuent à l’intelligence parfaite du langage d’un
auteur
? Ne faut-il pas en toute hypothèse prononcer cla
ns, on gâterait le rhytme du discours et 1’harmonie recherchée par un
auteur
. Certaines provinces de France ont beaucoup à fai
e, il mériterait des préceptes développés si nous voulions former des
auteurs
dramatiques ; mais ce n’est point là que tendent
re prononciation ne pourra que donner l’intelligence des paroles d’un
auteur
: cela ne peut suffire. Il faut encore et surtou
éclamation est presque toujours paisible, il ne fait qu’accompagner l’
auteur
et l’auditeur, auxquels il sert comme d’intermédi
gestes convenables ; le lecteur parfaitement initié à la pensée d’un
auteur
saura donner à sa voix les inflexions appropriées
que c’est un vers de douze syllabes. Comme il arrive souvent que des
auteurs
, ayant ou non un style poétique, font des vers sa
ve ; - l’assaillant en ordre se disperse. Dans le premier exemple, l’
auteur
nous initie à la connaissance d’une nouvelle qui
suffisantes et même mauvaises, et qu’on trouve néanmoins dans de bons
auteurs
. Remarquez que la rime n’est pauvre qu’autant que
ison de la voyelle, avec une autre voyelle ou des consonnes. Quelques
auteurs
mettent aussi au nombre des rimes pauvres, sult —
sont là de pauvres rimes, dont on ne trouve des exemples que chez les
auteurs
qui se soucient peu de la pureté de la versificat
e, lu — tin, ma — tin — infi — nie, ago — nie, et à laquelle certains
auteurs
donnent le nom de rime riche. Fausse rime. Il y
ttérature contemporaine ? Prendre vos exemples de préférence dans les
auteurs
du programme. (Lille, avril 1889.) Que savez-vous
uer le Misanthrope. Plein d’admiration pour ce chef-d’œuvre et pour l’
auteur
, vous communiquez vos impressions à un ami : A-t-
cation, ils en font presque toujours une contraire à l’intention de l’
auteur
, et qu’au lieu de s’observer sur le défaut dont o
ue ces fables ont produit sur vous-même donne-t-il raison ou tort à l’
auteur
de l’Émile ? (Nancy, novembre 1889.) De la morale
re caractère national quelques preuves à l’appui de cette pensée d’un
auteur
contemporain : « Tout homme a deux pays : le sie
ivilisation. (Paris, août 1874.) Énumérer et apprécier les principaux
auteurs
en prose et en vers du siècle de Louis XIV. (Pari
e, à la campagne, une petite bibliothèque de choix ; vous direz quels
auteurs
, quels ouvrages vous y faites entrer, avec les mo
, etc…. Il fera preuve d’intelligence et de goût dans le choix de ses
auteurs
favoris. (Paris, août 1876.) Un ami de Franklin l
esprit et son goût à l’école des anciens, il devait donc mépriser les
auteurs
à la mode vers 1660. Il s’attaqua au faux goût ;
ussi que Racine rendait justice à Molière et que personne mieux que l’
auteur
de Britannicus n’était capable d’apprécier l’aute
sonne mieux que l’auteur de Britannicus n’était capable d’apprécier l’
auteur
du Misanthrope. Molière a eu tous les dons qui fo
c’était pour l’exciter à monter toujours plus haut ; il voulait que l’
auteur
du Misanthrope, de Tartufe et des Femmes savantes
pour précurseur Nivelle de la Chaussée. Les meilleures pièces de cet
auteur
, le Préjugé à la Mode et Mélanide furent bien acc
capable. Je ne m’associe pas au sentiment de ceux qui reprochent à l’
auteur
du Cid le choix de ce sujet. Il n’en est pas de p
ours croissant, des hommes qui parlent et qui agissent humainement. L’
auteur
du Cid s’est élevé bien au-dessus de ses contempo
écrivains trop pressés ; critique, il affirme que sans la langue « l’
auteur
le plus divin » Est toujours, quoi qu’il fasse,
. Racine allait bientôt s’élever plus haut encore dans Britannicus. L’
auteur
d’Andromaque était donc bien vraiment un navateur
al lui-même est le parfait modèle. Tout livre qui ne donne pas de son
auteur
cette grande idée ne saurait être un bon livre. I
el, dit-il, on est tout étonné et ravi, car on s’attendait de voir un
auteur
et on trouve un homme. » Ne pas faire grand ce qu
te de goût et une faute morale. Chercher les vains ornements, faire l’
auteur
, dans le sens où l’entendait Pascal, lui paraît d
-Beuve ; tout y est raison et mesure ; on est charmé de rencontrer un
auteur
qui donne tant d’agrément à une matière qui sembl
ire ni plus d’agrément, ni plus d’intérêt ; on regrette parfois qu’un
auteur
si judicieux ne soit point un auteur plus moral.
érêt ; on regrette parfois qu’un auteur si judicieux ne soit point un
auteur
plus moral. Voltaire, malheureusement, ne se refu
idées et le style, elle irrite le lecteur ; elle l’indispose contre l’
auteur
; c’est une sorte d’hypocrisie de l’esprit. Les m
tes qui aient jamais été. Vous ne comprenez pas que tous ces nouveaux
auteurs
que vous applaudissez maintenant ne sont que les
ère, elle devient encyclopédique ; le récit s’allonge outre mesure, l’
auteur
n’oublie pas un détail, il ne sait pas choisir en
isant mes écrits. Je me flatte peut-être ; est-il donc pour son livre
Auteur
qui n’ait rêvé des destins éclatants ; Tout père
ot de louange, un grain d’enthousiasme qui nous auraient prouvé que l’
auteur
de Télémaque avait compris et aimé les auteurs de
s auraient prouvé que l’auteur de Télémaque avait compris et aimé les
auteurs
de Polyeucte et d’Athalie. Fénelon regrette que l
e, en peinture, en sculpture, en musique, en éloquence, il faut que l’
auteur
nous intéresse par quelque chose de personnel, so
e-même, que par l’échantillon humain qu’elle nous fait découvrir en l’
auteur
. Mais lorsqu’un esprit n’est que le pâle reflet d
re l’historique d’une question littéraire, de présenter une analyse d’
auteur
, d’exposer les théories d’écoles relatives à un p
ue littéraire. Après qu’on aura étudié longuement, dans le texte, les
auteurs
, il y aura tout profit à se procurer quelques bon
longue ; société polie qui aimait les plaisirs de l’esprit ; chez les
auteurs
, étude des grands modèles et véritable originalit
elle s’était inspirée pour élever sa fille et son fils des idées de l’
auteur
du Traité sur l’éducation des filles et du Téléma
cité : « Vous n’avez oublié qu’un caractère, dit-il, c’est celui de l’
auteur
qui lit sans pitié ses ouvrages aux pauvres malad
° Tout, en effet, dans cette rivalité, a été défavorable à l’immortel
auteur
du Cid. 3° Tout, au contraire, était favorable à
l’immortel auteur du Cid. 3° Tout, au contraire, était favorable à l’
auteur
d’Andromaque. – Mme de Maintenon écrit à une amie
Sonnet dans le Misanthrope. – Qu’est-ce que le 41me fauteuil ? Quels
auteurs
vous paraissent avoir été les plus dignes de l’oc
savez des opinions le Mme de Sévigné sur quelques-uns des principaux
auteurs
de son temps, prosateurs et poètes. – Discuter ce
ce que ses travaux peuvent avoir dans le monde. » (Lectures tirées d’
auteurs
modernes, 3e partie : sciences.) Copies d’élè
grammes sur l’Agésilas et l’Attila nous semblent dures, adressées à l’
auteur
de Polyeucte et du Ciel. Lancées contre tout autr
respects et à des indulgences que réclameraient en vain les méchants
auteurs
. Il est vrai : mais cela n’empêche pas qu’Attila
air d’indifférence et d’abandon, avec un détachement apparent : « Un
auteur
ne peut-il pourrir en sûreté ? Le Jonas, inconnu
une simple malice de lui, connue et goûtée du roi, pouvait rendre un
auteur
ridicule aux yeux de Louis XIV, retirer de lui la
voir joué avec la fortune et la réputation littéraire d’un malheureux
auteur
, pour rien, pour le plaisir. Mais il avait d’autr
l’excellence d’un ouvrage. Mais au bout de combien de temps ? quand l’
auteur
est mort, méconnu, découragé. La critique a plus
au n’a pas mis dans ses satires, de véritable méchanceté. « C’est un
auteur
malin, qui rit et qui fait rire. » Et son rire,
vous empêche pas d’ailleurs d’avoir pour l’« Uranie » les yeux de son
auteur
et vous m’avouez avec inquiétude que vous ne save
trouver dans ces deux sonnets, dans ces deux poètes et dans tous nos
auteurs
à la mode ? Pensent-ils, ont-ils un cerveau, ont-
ne dernière confidence et vous présenter quelques vers dont je suis l’
auteur
. Ils n’ont, je le sais, aucun des mérites de nos
elles doivent passer. Au vrai, c’est tout un traité du style que les
auteurs
des rapports offrent au public. Nous sommes certa
e et d’histoire littéraire, mais elles n’ont lu que des fragments des
auteurs
. Quant à l’appréciation de la composition des mor
Ordre des lettres Langue française. de l’utilité des citations d’
auteurs
dans un dictionnaire de notre langue. Voltaire re
ocutions anonymes, des exemples copieusement recueillis chez les bons
auteurs
et textuellement cités. Il allait même jusqu’à di
il, la limite étant souvent peu distincte entre les expressions qu’un
auteur
emploie heureusement selon la langue et d’accord
ne sauraient également faire loi ? – Un dictionnaire où la langue des
auteurs
serait largement représentée, alors même qu’il ne
ve, et plus encore pour une classe. 2° On se demandera toutefois si l’
auteur
ne s’est pas exprimé sous une forme trop absolue
tuel et moral qu’on peut retirer d’une lecture lente et réfléchie des
auteurs
classiques. – Expliquer et commenter cet hémistic
toujours le précepte et l’exemple, parce qu’il est varié, parce que l’
auteur
, en ne manquant jamais à la pureté de la langue,
er du grave au doux, du plaisant au sévère. » – Pascal a écrit de l’
auteur
des Essais : « Le sot projet que Montaigne a eu d
ons exiger une esquisse, où un petit nombre de traits essentiels et d’
auteurs
bien choisis serviraient à la démonstration de qu
sciences Littérature. Quels ont été, au xvii e siècle, les grands
auteurs
français qui ont écrit sur des sujets scientifiqu
On blâme plus volontiers que l’on n’approuve. Pour ne parler que des
auteurs
, on s’évertue à découvrir leurs défauts avant de
ble dans l’enseignement. Qui ne sait qu’une observation sévère sur un
auteur
pousse, chez les jeunes gens, de plus profondes r
primer et des tours qui sont, en réalité, communs à lui et à tous les
auteurs
de son temps. Plus de lectures et une étude plus
t été gênée et appauvrie au xvii e siècle ? A quelles œuvres, à quels
auteurs
pouvait bien songer Fénelon ? De quelles entraves
ette influence des femmes sur les idées et les sentiments de nos bons
auteurs
, dans la seconde moitié du xvii e siècle, sur la
s’agissait ni uniquement des femmes qui ont écrit, ni uniquement des
auteurs
qui ont écrit sur les femmes ; mais, comme l’a he
nce était appréciable dans tous les genres qui ont eu les femmes pour
auteurs
, pour inspiratrices ou pour juges ». C’était là u
le des anciens et des modernes à la fin du règne de Louis XIV ? Quels
auteurs
furent plus particulièrement engagés dans la lutt
rt des aspirantes n’ont pas vu qu’il était question non seulement des
auteurs
et du goût dont ils font preuve dans leurs ouvrag
t de perfection dans l’art, cela concerne tout autant le public que l’
auteur
ou l’artiste ; les deux questions sont connexes,
s exemples pris dans chaque siècle. – Est-il vrai de prétendre qu’un
auteur
ne rend bien que ce qu’il a ressenti lui-même ? –
le naturel, on est tout étonné et ravi, car on s’attendait de voir un
auteur
et on trouve un homme. » – La Bruyère a dit : «
a manière dont elle est menée, et selon ceux qui la soutiennent ? Nos
auteurs
classiques n’abondent-ils pas en parfaits exempla
e l’on nourrit d’ordinaire contre la femme lettrée et contre la femme
auteur
? – Développer et apprécier cette pensée de Desca
on avec les plus honnêtes gens des siècles passés, qui en ont été les
auteurs
, et même une conversation étudiée en laquelle ils
tions essentielles de la galté. Considérons enfin le travail même des
auteurs
du xvii e siècle. Combien ont écrit d’abondance ?
de primesautier. Aucun d’eux, ou presque aucun (je parle toujours des
auteurs
d’œuvres graves), n’a cette liberté, cette vivaci
que Malherbe et Balzac avaient les premiers rencontré, et que tant d’
auteurs
depuis eux ont laissé perdre ; l’on a mis enfin d
n’ont pas écrit comme Voltaire, et c’est quand on étudie la prose des
auteurs
secondaires, imitateurs des maîtres, que l’on se
leur renouvelons le conseil qu’on leur a souvent donné : « Lisez les
auteurs
de la liste officielle. Lisez-les dans le texte.
s, mais alors seulement, procurez-vous les ouvrages où l’on parle des
auteurs
inscrits au programme. Vous corrigerez vos erreur
un ton familier, et qui mérite de devenir populaire. Les citations d’
auteurs
français et étrangers, les commentaires ingénieux
qui nécessitent une attention suivie, et telles qu’en devait faire l’
auteur
de l’Esprit des Lois. Division. – A. Marquer la
énitude de poésie qu’on ne trouve nulle part ailleurs dans les autres
auteurs
. – Comparer entre eux les rôles de femmes dans le
la plume en ce siècle si fécond en littérateurs. Il connaît tous les
auteurs
, il connaît toutes les œuvres. Ses épîtres sont t
ter les Lectures scientifiques de M. Jules Gay, les Lectures tirées d’
auteurs
modernes, 3e partie (sciences), de E. Petit (Quan
ttaqué les morales des fables, c’est qu’ils sont confondu celles où l’
auteur
donne le précepte à suivre et celles où il met en
ure grecque. Elle pèche par l’invention. Elle emprunte les genres aux
auteurs
d’Athènes. Elle a surtout un caractère pratique.
riptive (la Terre à vol d’oiseau, d’Onésime Reclus), – les Lectures d’
auteurs
modernes, par E. Petit. La biographie des grands
l’on a tout lieu de croire vrai. Un jour, se trouvant à Marseille, l’
auteur
de L’Esprit des Lois voulut faire une petite excu
sans savoir à qui il doit sa liberté. Son fils seul croit connaître l’
auteur
de ce bienfait : c’est sans doute l’étranger qu’i
re caractère national quelques preuves à l’appui de cette pensée d’un
auteur
contemporain : « Tout homme a deux pays : le sie
ts. Hérodote, Thucydide, Polybe, Tite-Live, Tacite figurent parmi les
auteurs
les plus illustres et les plus utiles de l’antiqu
, à commander et à obéir. Les moines ont conservé quelques copies des
auteurs
anciens, elles vont se multiplier et se répandre.
Le 12 juillet 1807, à la suite des désastres infligés à la Prusse, un
auteur
célèbre, Joseph de Maistre, écrivait : « Rien ne
rop quel démenti l’avenir devait donner à cette prédiction. Plus d’un
auteur
allemand prophétise à son tour aujourd’hui sur no
s extérieures. C’est ce qui explique l’exclamation fière échappée à l’
auteur
du Siège de Calais, à Du Belloi : « Plus je vis
Delagrave), – l’Esprit des Bêtes, de Toussenel, nos Lectures tirées d’
auteurs
modernes, par Edouard Petit (Quantin-Picard), don
ngères pour le futur vétérinaire. – Justifiez cette belle pensée d’un
auteur
étranger : « La France est le plus beau royaume d
En tout cas, dites-nous comment s’appelle la vertu recommandée par l’
auteur
. Montrez-nous sa nécessité, ses avantages dans la
s ». Vous donnerez les raisons qui, à votre avis, ont dû déterminer l’
auteur
de cette loi à en faire la proposition. Prouver p
es, de précieux renseignements (Belin, éd.) ; – les Lectures tirées d’
auteurs
modernes (Histoire, géographie, voyages, sciences
ent ; car, vous le savez : C’est en vain qu’au Parnasse un téméraire
auteur
Pense de l’art des vers atteindre la hauteur : S’
fois ; et souvent effacez. (Boileau, Art p., I, v. 171.) IV. L’
auteur
doit mettre à son œuvre tant de travail, tant d’a
va plus rien de mieux que les chevilles ci-dessous : Un jour, dit un
auteur
, n’importe en quel chapitre, Deux voyageurs à jeu
un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme, Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
) 3°. Te voilà, séducteur, De ligues, de complots, pernicieux
auteur
, Qui dans le trouble seul as mis tes espérances,
Tirer de son travail un tribut légitime Mais je ne puis souffrir ces
auteurs
renommés, Qui, dégoûtés de gloire, et d’argent af
Ce n’est point sur ses bords qu’habite la richesse. Aux plus savants
auteurs
, comme aux plus grands guer- Apollon ne promet qu
) Avec de telles qualités, et dans de pareilles conditions, nos deux
auteurs
devaient réussir également, chacun dans son genre
ir, l’ouvrage ne sera point construit ; et, en admirant l’esprit de l’
auteur
, on pourra soupçonner qu’il manque de génie. C’es
ssemblage ; le livre paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
auteur
demeure obscur ; il ne peut faire impression sur
sent de faire retentir leurs clameurs orgueilleuses1 ! Dieu de bonté,
auteur
de tous les êtres, vos regards paternels embrasse
ité. 5. Si on les enchaîne. La Bruyère dit : « Tout l’esprit d’un
auteur
consiste à bien définir et à bien peindre. Moïse,
esprit scientifique. 2. Génie veut dire ici invention. 3. « Tout
auteur
qui ne donne point cet ordre à son discours ne po
Séville. I. 2.) 3. Ils ont des mots en abondance. Fuyez de ces
auteurs
l’abondance stérile, Et ne vous chargez point d’u
i une belle page contre la guerre écrite par Jean Bodin (1530-1596) l’
auteur
de la République. « Nous devons estimer la répub
! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre. Les
auteurs
aussi ignorants que les spectateurs, la plupart d
V ne dédaigna pas de prendre pour lui ce titre. 3. Thomas Corneille,
auteur
estimable, connu surtout par ses tragédies, entre
nent avec l’un et l’autre, on peut voir un morceau intéressant de cet
auteur
dans les Eléments de littérature (article Mœurs).
quieu, comparant Racine et Corneille : « Le premier est un plus grand
auteur
, mais l’autre un plus grand esprit. » 1. Ou plu
contemporaine que la doctrine s’est produite sous une autre forme.
Auteurs
. Dates. Nés en — Morts en Ouvrages. Rhétoriq
re Molière à propos du Misanthrope : « Convenons que l’intention de l’
auteur
étant de plaire à des esprits corrompus, ou sa mo
n : le style, c’est l’homme , ne veut pas dire que le caractère d’un
auteur
, ses qualités et ses défauts se reflètent dans so
n vers ampoulé l’orgueilleux solécisme ; Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
ons hors d’usage, on doit bien se garder de critiquer à la légère les
auteurs
qui les ont employées ; car souvent elles n’étaie
arme, quand, selon l’expression de Pascal, on s’attendait de voir un
auteur
et on trouve un homme . (Pensées, VII, 28, 2e édi
s pénates. (La Fontaine, Le Chat et les Deux Moineaux, XII, 2.) 4° l’
auteur
pour l’ouvrage. Ex. Térence est dans mes mains,
. Il ne faut pas abuser de la description comme Delille et imiter ces
auteurs
dont se moque Boileau : S’il rencontre un patois
cet exposé des observations pour faire ressortir les intentions de l’
auteur
, les beautés et les défauts de son œuvre. Elle aj
oires qui remplissent chaque paragraphe et examiner la manière dont l’
auteur
les a exprimés, c’est-à-dire juger son style.
. La rime riche est formée par deux ou plusieurs syllabes identiques (
auteur
, hauteur, souvenir, revenir). Ex. Enfant, on me
lyre ou d’un instrument analogue, elle embrasse tous les poèmes où l’
auteur
exprime les mouvements les plus vifs de l’âme hum
se morte. Tableau synoptique des principales épopées PEUPLES.
AUTEURS
. DATES. POÈMES. Nés en — Morts en Grecs Ho
ieux, scientifique et littéraire, etc. Ex. Sujets. Noms de poèmes.
Auteurs
. Philosophique Moraux et religieux Scientifiqu
, et abusent de la description. Le plus illustre d’entre eux, Aratus,
auteur
des Phénomènes, a été traduit en vers par Cicéron
are de sujets trop spéciaux avec Manilius, l’élégant mais superficiel
auteur
d’un poème sur l’Astronomie. Elle aboutit aux poè
Agrippa d’Aubigné, dans celui de La Création, suivent les traces d’un
auteur
anonyme du xiiie siècle, qui avait composé un po
aît et se développe l’école descriptive. Son véritable chef, Delille,
auteur
des Trois règnes, de L’Homme des champs, des Jard
poétiques que nous ont laissés les successeurs de Delille. Fontanes,
auteur
du Verger, Castel, chantre des Plantes, Boisgelin
octes vers, ils pourront vous apprendre Par quel art sans bassesse un
auteur
peut descendre ; Chanter Flore, les champs, Pomon
oires Les mémoires sont des espèces d’histoires individuelles où l’
auteur
raconte sa vie (autobiographie), et les événement
à l’infini ; elles se multiplient tous les jours de plus en plus. Les
auteurs
d’œuvres variées sont appelés polygraphes. Ex. Lu
’antiquité ; — Voltaire dans les temps modernes. Diverses sortes d’
auteurs
didactiques Les auteurs de traités didactiques
s les temps modernes. Diverses sortes d’auteurs didactiques Les
auteurs
de traités didactiques ou d’œuvres variées qui s’
savants, 3° publicistes, 4° économistes, 5° moralistes, 6° critiques,
auteurs
de traités purement didactiques. On appelle philo
ours l’ouvrage de Vacherot sur la métaphysique et la science, etc.
Auteurs
d’œuvres variées et de traités didactiques On
x-neuvième, les Pensées et Maximes de Joubert, etc. 5° Les critiques,
auteurs
de traités purement didactiques, recherchent et e
Walter Scott en Angleterre, etc. 3° Le roman maritime est celui où l’
auteur
retrace des scènes de la mer. Ex. Quelques romans
era des modèles de ces différents genres dans les Correspondances des
auteurs
que nous citons plus loin (p. 146). Les lettres p
quelques réminiscences, quelques lambeaux de périodes empruntées aux
auteurs
, et appliquées avec plus ou moins d’à propos ; d’
, en publiant un recueil de discours Français, empruntés à différents
auteurs
recommandables. J’ai conçu l’idée de cette collec
her le sens, voir et juger comment des écrivains Grecs ou Latins, des
auteurs
modernes de bon aloi, ont tiré parti d’une situat
resque littérales, et décalquer en quelque sorte les expressions de l’
auteur
, pour que la reproduction en latin fut à la fois
os enfants par l’immensité des terres et des mers. » Extrait du même
auteur
. VI. Derniers conseils de Mentor à Télémaque.
ce résultat est obtenu, c’est toi surtout qui passeras pour en être l’
auteur
; dans le cas contraire, tu seras seul responsabl
tre) de respecter les bienfaits dont les enfants sont comblés par les
auteurs
de leurs jours ? C’est à toi surtout, mon fils, à
rouve quelque traitement rigoureux, et si, au contraire, Alcibiade, l’
auteur
de cette guerre désastreuse, échappe à notre veng
ceux dont ils déplorent la perte, plus ils doivent détester ce peuple
auteur
de leurs maux. » Traduit du même auteur. XXXV
s doivent détester ce peuple auteur de leurs maux. » Traduit du même
auteur
. XXXVIII. Discours de Gylippe. Deuxième partie
honorable de déposer les armes, surtout après avoir été les premiers
auteurs
des hostilités. » Traduit de Thucydide, historie
ent le traité rompu, fut beaucoup plus considérable. Traduit du même
auteur
. XLVIII. Discours de Pertinax aux Prétoriens r
eux-mêmes bien souvent envers les autres nations. » Traduit du même
auteur
. LII. Discours d’Annibal à Scipion. Dans l’
Scipion. « Vous le savez, Annibal : les Romains n’ont pas été les
auteurs
de la guerre faite en Sicile et en Espagne. Les d
sortir vainqueur de la bataille qui va s’engager. » Traduit du même
auteur
. LIV. Discours de César dans le Sénat. Césa
orables pas du Sauveur sont marqués ? Tous les jours ils crucifient l’
auteur
de notre salut ; et par leurs blasphèmes épouvant
homme de bien pourquoi voulez-vous me corrompre ? » Traduit du même
auteur
. LXXIX. Lettre de Sénèque à son ami Lucilius.
nce, le sort qui lui est réservé. « Aujourd’hui, si la patrie, si les
auteurs
de vos jours pouvaient prendre la parole, voici e
lus ni mon père, ni ma vénérable mère. Le terrible Achille a immolé l’
auteur
de mes jours et a porté le ravage dans la ville d
aux, afin de ne pas souscrire aux volontés d’un maître ? Thémistocle,
auteur
de ce conseil, fut élu général : Cyrsile, qui éta
nt, mon père, je n’ignorais pas que Philippe, fils d’Amyntas, était l’
auteur
de mes jours ; mais comme l’oracle était utile à
Cicéron, de Quintilien, de Lucien, de Longin, et des autres célèbres
auteurs
; leurs textes, qu’il citerait, seraient les orne
court, exquis et délicieux. » Il fallait renoncer à l’amour-propre d’
auteur
pour exécuter un tel plan, et il nous semble que
meurtrier de son frère, de sa mère, de ses femmes, de ses maîtres, l’
auteur
de tant de crimes, livré à d’éternelles horreurs,
oir traité des Lieux qu’après avoir donné les règles des Arguments. L’
auteur
de l’Art de penser répond avec raison, que, comme
uvres murmurent contre la main qui les frappe ; les riches oublient l’
auteur
de leur abondance ; les grands ne semblent nés qu
nul intérêt à sa mort, il était loin de lui : il répugne qu’il soit l’
auteur
de ce meurtre. (Cicer., pro Cælio, c. 2 ; pro Syl
raits de la vertu, de la prudence et de l’affection sincère : le même
auteur
nous en fournit ensuite la preuve quand Narcisse,
; il n’écrit que pour faire le bien. Rollin, selon l’expression d’un
auteur
moderne33, a répandu sur les crimes des hommes le
llier qui nous sert de refuge ; De vol, de brigandage on nous déclare
auteurs
, On nous traîne, on nous livre à nos accusateurs.
s il ne peut émouvoir leur âme, et c’est là toute l’éloquence48. » L’
auteur
de ces préceptes sur les deux plus grandes ressou
et plus brillant que solide : toutes ces petites circonstances, que l’
auteur
a rassemblées et qu’il a pris plaisir à faire con
’œuvre d’éloquence, ils n’y voient que le fruit de l’imagination de l’
auteur
, plus occupé à montrer son génie qu’à nous transm
ou le style. Combien peu de génies ont-ils su exprimer ce que tant d’
auteurs
ont voulu peindre ! Le style rend singulières les
n vers ampoulé l’orgueilleux solécisme : Sans la langue, en un mot, l’
auteur
le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un
voulaient rejeter. Quelques-uns avaient été employés par nos anciens
auteurs
français ; d’autres étaient nouveaux. On doit à B
; à Balzac, urbanité. Il paraît même que féliciter est aussi du même
auteur
: « Si le mot féliciter, dit-il dans une de ses l
dre la clarté de vue, comme étant prête à lui échapper sans cesse. Un
auteur
ne doit laisser rien à chercher dans sa pensée. I
ance de ses vœux, ne craint plus de rivale. Dans un discours du même
auteur
à l’Académie française, vous lisez : On croira a
veau, qu’il lit pour la première fois, où il n’a nulle part, et que l’
auteur
aurait soumis à sa critique ; et se persuader ens
ire au barreau. Les défauts des grands écrivains sont tout ce que les
auteurs
médiocres en imitent. Le naturel du style consist
que la recherche s’y laisse apercevoir. On sent, à ce travail, que l’
auteur
s’est occupé de lui-même, et a voulu nous en occu
s voyons un style naturel ; c’est que nous nous attendions de voir un
auteur
, et nous trouvons un homme. Dans tous les arts, l
hez-le, il ne manque rien ; il n’y a que la vanité qui en souffre. Un
auteur
qui a trop d’esprit, et qui en veut toujours avoi
nt et au merveilleux. Je veux un homme qui me fasse oublier qu’il est
auteur
; je veux qu’il me mette devant les yeux un labou
s pourri ce peuple trop crédule. Mais lorsque, dans la même pièce, l’
auteur
dit : … Tout beau, Pauline, il entend vos parole
s aures habeant, aut quid in his hominis simile sit, nescio. Le même
auteur
fait ensuite cette remarque : « Au théâtre, un mu
t une qualité plus précieuse et plus rare qu’on ne croit ; bien peu d’
auteurs
y ont excellé. Il faut un heureux génie pour sais
ont ridicules et plats, ceux de Racine sont élégants. Jamais ces deux
auteurs
ne sont plus différents que lorsqu’ils pensent de
r du peuple romain, toutes ces idées sont exprimées ainsi par le même
auteur
: « Annibal fugitif cherchait par tout l’univers
ces mots, l’animal pervers : C’est le serpent que je veux dire. Si l’
auteur
s’en était tenu là, c’était de la finesse ; mais
bons écrivains de l’antiquité, est le défaut dominant de Sénèque. Cet
auteur
plaît quand on le considère par morceaux détachés
erche l’ami dans le cœur, et non dans l’antichambre. » La pensée de l’
auteur
n’est pas claire ; en courant après la finesse, i
y tomber140. La naïveté est le caractère dominant de La Fontaine. Nul
auteur
n’a joint tant d’agrément et de philosophie avec
imple, naturelle et comique, est venue se présenter sans effort à son
auteur
. Mais que Lamotte appelle un cadran un greffier
rbe, que ses autres compositions semblent désavouer145. Il imitait un
auteur
italien. Dans le style élevé, comme partout aille
fet, il y a pour chaque idée une expression, un tour unique. Chez les
auteurs
médiocres, l’expression est presque toujours à cô
cevoir des exceptions à ses règles, et qu’elle les reçoit surtout des
auteurs
qui, l’ayant étudiée avec soin, se sont acquis su
torité dont ils n’usent qu’à son avantage ; et quand nous jugeons ces
auteurs
sur la seule rigueur des règles, nous pouvons con
ire et de si commun que les figures dans le langage des hommes ; et l’
auteur
des Tropes observe à juste titre qu’il se fait da
lléger l’expression, qui sans cela serait lourde et pénible. Les bons
auteurs
sont pleins de ces ellipses régulières. Vauvenarg
te l’horreur des guerres civiles de Marius et de Sylla, dont le jeune
auteur
venait d’être témoin, l’impunité du meurtre, le b
t le sujet des vœux que nous allions faire au Capitole » (I, 11), cet
auteur
nous montre en même temps la grandeur de Rome et
ederis, curre ; si. curris, advola. Dans cette autre période du même
auteur
(in Catil., I, 3), la gradation est descendante d
théories littéraires, et le mieux analysé les beautés oratoires. Les
auteurs
du premier rang nous ont fourni des exemples ; et
dans l’ouvrage où il raconte ses études (Brut., c. 89 et suiv.), et l’
auteur
du Dialogue des Orateurs (c. 34) approuve l’ancie
comme on le voit, nos principaux guides ; car il faut avouer que les
auteurs
français ont moins réussi qu’eux à donner au réci
e ce culte sanguinaire qui ne peut sans impiété s’adresser aux dieux,
auteurs
et conservateurs de toutes choses ! Tremblez de l
ombent dans les défauts opposés à ceux qu’ils veulent éviter. — 38. L’
auteur
doit choisir un sujet proportionné à ses forces.
compte du sujet, du temps, des personnes. — 119. Ce que doit faire l’
auteur
, s’il reproduit sur la scène un personnage connu,
sultez bien vos épaules. Le sujet est-il proportionné aux moyens de l’
auteur
: aussitôt il trouve sous sa plume l’expression j
r les placer au moment favorable. Délicat et châtié dans son style, l’
auteur
d’un poëme que le public attend, doit montrer un
onnages inconnus. Un sujet déjà populaire deviendra la propriété de l’
auteur
, à condition qu’il ne se traîne pas sans gloire d
lus que la littérature, à la puissante illustration du Latium, si nos
auteurs
, trop pressés, ne reculaient tous devant le trava
a fortune des Sosies, et qu’il franchit les mers, et qu’il assure à l’
auteur
une glorieuse immortalité. Cependant, il y a de c
des yeux noirs. 102et par des cheveux noirs. 103 Vous, qui écrivez (
auteurs
), 104choisissez un sujet 105proportionné à vos
et qu’on les réserve 121pour le moment favorable. 122De plus, que l’
auteur
123d’un poëme attendu-du-public, 124délicat et
cependant 220se disputent (ne-sont-pas-d’accord 221 pour dire quel
auteur
222a mis-au-jour les petites élégies, 223et le
6Un vers jeté sur la scène 747avec une pesanteur trop grande, 748 l’
auteur
749de l’accusation honteuse 750soit d’un trava
993et proroge (assure) 994une vie longue (l’immortalité) 995à son
auteur
célèbre. 996Il y a cependant des fautes 997auxq
« Délicat et châtié dans l’emploi de ses mots (in verbis serendis), l’
auteur
d’un poëme attendu du public devra aimer telle ex
nt qu’à l’état d’abstraction, on n’a aucun modèle devant soi, point d’
auteur
qui ait traité le même sujet : on n’a pour guide
oulu dire simplement qu’on ne devait pas se produire en public, comme
auteur
, avant vingt-quatre ou vingt-cinq ans, et qu’on d
en trois parties, le poëte établit d’abord une comparaison entre les
auteurs
anciens et les modernes ; — ensuite, il montre qu
nts, aux nobles infortunes, aux tristes amours ; plus tard, nos vieux
auteurs
s’avisèrent de croiser des vers très petits avec
’avant-dernier vers, faute qui, du reste, était permise du temps de l’
auteur
, mérite d’être remarqué : c’est un pécheur repent
u’a dit Boileau, il y a plus d’un siècle et demi : Mais en vain mille
auteurs
y pensent arriver, Et cet heureux phénix est enco
le poète, n’auraient pas suffi à nos grands orateurs, à nos illustres
auteurs
dramatiques pour émouvoir une assemblée, ou pour
Nous le devons au plus enjoué, comme aussi au plus insouciant de nos
auteurs
français, à celui qui « S’en alla comme il était
e tout entière, que nous regardons comme une des plus admirables de l’
auteur
. Lecture. — Le Paysan du Danube. Vol. II, nº 146
auts sommets et vous dénombre tous les noms. Il faut aussi montrer un
auteur
en place dans son siècle, et mettre son lecteur a
ndre. Heureux celui qui d’un cœur humble reconnaît dans la nature un
auteur
visible, se manifestant par tous les signes ; qui
morte en 1645 ; Montaigne l’appelait sa fille d’alliance. 8. Bayle,
auteur
du Dictionnaire historique et critique, était un
plan de sa conquête. Esprit des lois 1, X, 13 et 14. 1. Parmi les
auteurs
qui ont dignement parlé de Montesquieu, on signal
ittérature au dix-huitième siècle, 14e et 15e leçons ; M. Walckenaer,
auteur
de l’excellente notice que contient sur cet auteu
s ; M. Walckenaer, auteur de l’excellente notice que contient sur cet
auteur
la Biographie universelle ; M. Berryer, dans ses
es ou de hautes leçons de style. » Ajoutons qu’un honneur solide de l’
auteur
fut de montrer, à une époque égarée par de faux s
ois se lire dans mes rimes ! …………………………………………………………………………… Dans maint
auteur
de science profonde J’ai lu qu’on perd à trop cou
, qu’il a fait précéder d’un travail biographique et critique sur cet
auteur
. Le P. Daire, son compatriote, a écrit sa vie (Pa
out faire rêver ». 4. « Qui multum peregrinantur, a dit en effet l’
auteur
de l’Imitation de Jésus-Christ , raro sanctifican
est souvent élégiaque. Il y a aussi des épîtres mêlées de prose, où l’
auteur
cherche à briller par la délicatesse et la grâce2
ù l’auteur cherche à briller par la délicatesse et la grâce25. 25.
Auteurs
d’épîtres : Latins. Horace, Ovide. Français. Maro
t-on commencé à lire ces prétendues lettres, qu’on voit apparaître un
auteur
qui parle, non à un ami, mais au public. La corre
érobés au public ; c’est souvent le portrait le plus ressemblant de l’
auteur
. Ajoutons à cela que les lettres peignent, non se
aysan surpris par la nuit, et s’efforçant de regagner sa chaumière. L’
auteur
nous peint les efforts inutiles du malheureux voy
mort a faite à mon cœur, et ne point haïr et délester les Athéniens,
auteurs
de cette malheureuse guerre, comme les homicides
, arrangement nombreux et périodique. C’est une œuvre dans laquelle l’
auteur
ne peut enlever les suffrages qu’à force d’élégan
r, ni se transporter, ni s’altérer. S’il est élevé, noble, sublime, l’
auteur
sera également admiré dans tous les temps ; car i
pour les lettres, nous devons reconnaître et avouer hautement que les
auteurs
anciens, par leur génie, ont servi de modèles à l
ar tout ce qui est raisonnablement du domaine de l’esprit humain, nos
auteurs
classiques l’ont traité aussi dignement que possi
êt une page de Chateaubriand, intitulée : Les Forêts de l’Amérique. L’
auteur
y retrace avec vérité les impressions profondes d
i complaisamment parade d’esprit et de science dans leurs écrits. Les
auteurs
profanes ne paraissent occupés que du soin d’embe
nes ne paraissent occupés que du soin d’embellir leurs discours ; les
auteurs
sacrés racontent avec la plus grande naïveté sans
Avertissement de l’
auteur
sur la seconde édition. Les circonstances qui
les journalistes français ; par la mention flatteuse qu’en a faite l’
auteur
de la Bibliothèque (allemande) des Sciences et de
comparez, sur la durée des représentations théâtrales à Athènes, les
auteurs
cités dans la note C, à la fin de l’Histoire de l
es expressions sont certainement très-favorables à Shakespeare et aux
auteurs
qui ont composé des pièces de théâtre romantiques
Weland, De præcipuis Parodiarum homericarum scriptoribus, chap. V l’
auteur
montre qu’avant Hégémon, Hipponax, Xénophane et l
, chap. V l’auteur montre qu’avant Hégémon, Hipponax, Xénophane et l’
auteur
de la Batrachomyomachie, sans parler des poëtes c
Préface de la première édition. Un
Auteur
qui produit un Ouvrage sur une matière que tant d
de la critique. Si la voix de cette critique doit être écoutée par un
Auteur
qui écrit pour sa propre gloire, elle doit l’être
ément distinguer le grand écrivain de l’écrivain ordinaire. Lorsqu’un
auteur
médiocre entreprend de décrire la nature, ou bien
ette règle importante dans le premier chant de son Art poétique : Un
auteur
quelquefois trop plein de son objet, ………………………………
rbres des forêts, l’écrivain devra chercher à élever nos cœurs vers l’
auteur
de ces merveilles, en nous inspirant des sentimen
ès la place qu’elle doit occuper ; 2° d’après le but que se propose l’
auteur
; 3° d’après la nature des objets à décrire. L’ex
pte-t-on d’espèces dans la description considérée d’après le but de l’
auteur
? Si on envisage la fin que peut se proposer l’é
que présente cependant quelquefois des tableaux vivants dans les bons
auteurs
, comme on peut le voir dans le récit du cortége f
écrivain doit distinguer le ton, le talent, le génie particulier de l’
auteur
qu’il veut peindre. Le portrait de La Fontaine, p
pelé intérêt artificiel, qui résulte du talent et de l’habileté que l’
auteur
déploie dans l’invention, dans la disposition et
, afin de disposer le lecteur à la bienveillance, et de permettre à l’
auteur
de s’élever à mesure qu’il avance, pour rendre l’
urenne, par Mme de Sévigné, nous offre un admirable modèle de nœud. L’
auteur
, après avoir décrit scrupuleusement le lieu de la
atisfasse l’esprit, en répondant à l’exposition et aux promesses de l’
auteur
. Sans cela, le dénoûment, qui est une partie impo
troduction, on voit disparaître l’ami, et on s’aperçoit bientôt que l’
auteur
n’a adressé ses lettres à aucune personne détermi
op travaillée, est une prévention nécessaire contre la bonne foi de l’
auteur
, qui semble avoir voulu nous surprendre par le va
remarque à chaque pas les efforts pénibles et souvent malheureux de l’
auteur
, ne pouvaient tenir longtemps contre l’examen sév
cul minutieux des brèves et des longues. Buffon est, de tous nos bons
auteurs
, celui peut-être qui a donné à notre prose le plu
▲