êt se prononce, l’injustice triomphe, et le sage est condamné. Il s’y
attendait
: aussi reprend-t-il son discours avec le calme d
e le mérite pas, pour avoir le droit de vous reprocher ma mort. Que n’
attendiez
-vous un moment de plus ? Je mourais, sans qu’Athè
x qui l’ont condamné, comme à ceux qui, l’ont absous, le sort qui les
attend
dans la postérité. Il décrit ensuite le plaisir q
t de justice que Socrate et ses enfants ont peut-être quelque droit d’
attendre
de vous. Mais il est temps de nous en aller, moi
rôti manqua, à cause de plusieurs dîners à quoi2 l’on ne s’était pas
attendu
; cela saisit Vatel, il dit plusieurs fois : « Je
l ne savait pas que Vatel avait envoyé à tous les ports de mer. Vatel
attend
quelque temps ; les autres pourvoyeurs ne vinrent
abillés, un ruban neuf à la cravate ; ils vont en très-bon ordre nous
attendre
à une lieue des Rochers. Voici un bel incident :
rions le mardi, et puis tout d’un coup il l’oublie : ces pauvres gens
attendent
le mardi jusqu’à dix heures du soir ; et quand il
mes. Il s’exposerait même à perdre entièrement son temps et sa peine,
attendu
que notre langue n’a pas de rime pour certains mo
s8. M. de Lamartine a trouvé des juges plus sévères, et il devait s’y
attendre
. Il est si agréable de faire preuve du facile tal
istoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J’
attende
en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerr
mp grossir à chaque pas. Daces, Pannoniens, la fière Germanie, Tous n’
attendent
qu’un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l’Esp
-la dans son sang justement répandu ; Brûlons ce Capitole, où j’étais
attendu
; Détruisons ses honneurs, et faisons disparaître
eant la conquête, D’un triomphe si beau je préparais la fête. Je ne m’
attendais
pas que, pour le commencer, Mon sang fût le premi
emi, que ce coup va surprendre, Désormais sur ses pieds ne l’oserait
attendre
, Et déjà voit pour lui tout le peuple en courroux
aborde, et, me serrant la main : Ah ! monsieur, m’a-t-il dit, je vous
attends
demain. N’y manquez pas, au moins. J’ai quatorze
ée, Du reste des humains je vivais séparée, Et de mes tristes jours n’
attendais
que la fin, Quand tout-à-coup, madame, un prophèt
me la duchesse de Bourgogne qu’il s’en allait à Marly, et de le venir
attendre
dans l’avenue entre les deux écuries, pour le voi
’on sut qu’arrêtée dans l’avenue entre les deux écuries, elle n’avait
attendu
le roi que fort peu de temps. Dès qu’il approcha,
es coins, méditaient profondément aux suites d’un événement aussi peu
attendu
, et bien davantage sur eux-mêmes. Parmi ces diver
r après son retour, et l’espérer toujours, comme ce malheureux peuple
attend
encore et soupire après le Messie1 1. Le gran
qu’on attribue à Racine ce qui n’appartient qu’à Virgile, et qu’on s’
attend
toujours à trouver, dans Raphael, des beautés qui
oncer son retour, Et le détail de sa victoire, Ne pouvait-il pas bien
attendre
qu’il fût jour ? Sosie, à quelle servitude Tes jo
; Et voici le corps d’armée, (On fait un peu de brnit.) Qui d’abord…
Attendez
, le corps d’armée a peur. » J’entends un peu de b
ntérêts. Arsinoé. A quoi qu’en reprenant on soit assujettie, Je ne m’
attendais
pas3 à cette repartie, Madame, et je vois bien, p
de ; La paresse de l’huile, allant avec lenteur, Du plus tardif génie
attend
la pesanteur ; Elle sait secourir, par le temps q
ue tu leur peux choisir ; Et, pour ta propre gloire, il ne faut point
attendre
Qu’elles viennent t’offrir ce que son choix doit
, autrement dit, la coquetterie. Oh ! celui-là, pour être instruit, n’
attend
pas le nombre des années ; il est fin dès qu’il e
, prêcher d’exemple, voilà le plus efficace des sermons. 3. Je ne m’
attendais
pas. Elle est bien naïve, vraiment, à son âge !
Nos femmes et nos petits enfants languissent dans nos maisons à nous
attendre
, et nous, nous ne pouvons conduire à bonne fin l’
bien honteux de partir sans avoir rien fait. Patience donc, mes amis,
attendons
encore jusqu’à ce que nous voyions si les prophét
de l’honneur et du devoir, il ne lui parle que des récompenses qui l’
attendent
; ce n’est pas à sa conscience qu’il s’adresse ;
ilà les questions qu’ils posent à celui qui les harangue, et dont ils
attendent
de lui la prompte et claire solution. Vous voyez
multitude, il avait fortifié son caractère contre les épreuves qui l’
attendaient
, il l’avait endurci aux injustices, il l’avait pr
nce. — Personne ne sait mieux que vous ce qu’il faut faire, mais vous
attendez
, vous tergiversez, vous comptez sur vos voisins,
stent, de mercenaires dïsposés à le trahir, de peuples asservis qui n’
attendent
que l’occasion favorable pour se venger de ses pe
ilippe, mais ne dites pas que Philippe est en paix avec Athènes. Vous
attendez
qu’il vous lance un manifeste, mais attendez donc
paix avec Athènes. Vous attendez qu’il vous lance un manifeste, mais
attendez
donc alors, pour croire aux hostilités, qu’il ent
homme né dans un pays où jamais on n’a pu acheter un bon esclave. Qu’
attendez
-vous pour le punir ? Vous a-t-il épargné un seul
bre ! « Quand donc, ô Athéniens, ferez-vous ce qu’il faut faire ? Qu’
attendez
-vous, bons dieux ? L’occasion ? la nécessité ? Ma
c’est-à-dire de l’homme public, envisage avec passion l’avenir qui l’
attend
en face de ses concitoyens. Il ne dédaigne pas le
en fortifie d’autres. Mais, là où la patrie est un temple vide, qui n’
attend
rien de nous que le silence et le passage, il se
ie, la délation, la bassesse de cœur et d’esprit, à un moment qu’on n’
attendait
plus, il s’est fait un réveil et un retour. Domit
’est pas possible. Plus la situation est grande, plus les catholiques
attendent
de ma parole une éclatante consolation, moins je
si toutes les chaires de France me sont successivement interdites, j’
attendrai
d’autres temps et je ferai le bien qui me restera
ous sommes connus hors de notre village. C’est là que les échecs nous
attendent
; c’est là que notre vanité se heurte contre l’ig
trouve plus… Quelle force me serait nécessaire ! — J’étais loin de m’
attendre
à ce malheur - — Je le souffre… Je suis digne de
ire. Celle-ci s’excuse. Hé bien ! Pourquoi crier ? — Je vous ai dit d’
attendre
, pour me juger, que vous soyez ici — … Mes journé
vine. N° 28. — A un Comte. La domestique d’un homme peu fortuné
attendait
de Blois un panier de beurre. Ce beurre arriva bi
aiter passionnément d’être à Grignan. Enfin, ma fille, me voilà, ne m’
attendez
plus ; je vous surprendrai et ne me hasarderai po
qu’il a ; il en feint, quand il n’en a pas. Il ne va point où l’on l’
attend
; il arrive tard où il n’est pas attendu. Il n’os
pas. Il ne va point où l’on l’attend ; il arrive tard où il n’est pas
attendu
. Il n’ose avouer un parent pauvre ou peu connu ;
il parait dans les armées, donne une haute idée de sa valeur, et fait
attendre
quelque chose d’extraordinaire, mais toutefois s’
Don Juan s’extasie à sa vue ; il s’excuse près de lui de l’avoir fait
attendre
; l’ordre qu’il avait donné à ses gens de ne rece
e tu sortes. LAFLÈCHE. Mon maître, votre fils m’a donné ordre de de l’
attendre
. HARPAGON. Va-t-en l’attendre dans la rue et ne s
tre, votre fils m’a donné ordre de de l’attendre. HARPAGON. Va-t-en l’
attendre
dans la rue et ne sois point dans ma maison plant
. Sors d’ici, encore une fois. LAFLÈCHE. Eh bien ! je sors. HARPAGON.
Attends
. Ne m’emportes-tu rien ? LAFLÈCHE. Que vous empor
d’autres avant moi, ont été inutiles ; ils n’avaient en conséquence à
attendre
, dans leur île sauvage, qu’une misère affreuse. P
même proposition qu’à l’abeille, mais l’oiseau répond que ses amis l’
attendent
, pour avoir la certitude du printemps et qu’il fa
ions, parlera à l’enfant des douceurs de la scicnce, du bonheur qui l’
attend
quand il sera grand. Le ton de ce discours sera g
tre bord il est une contrée plus heureuse ; un lieu de délices vous y
attend
. Avis. Au commencement, courte description des p
ieu des symphonies harmonieuses des autres chantres du printemps : il
attend
la nuit… Il y a un moment où il n’est plus jour,
disparaît. Découragé, vous vous abritez sous un jeune acacia, et vous
attendez
là, en priant Dieu, le vent du nord que la nuit v
ient — … Le voyageur ne peut plus avancer — … Vaincu par le froid, il
attend
la mort — … il pense à sa famille — … il prie — …
Viennent braver la mort sur les corps des mourants. Cependant, las d’
attendre
un trépas sans vengeance, Les deux camps animés d
découvrirent point l’ennemi. — Le prince Robert, pendant que farinée
attendait
, s’avança avec quelques escadrons, et rencontra l
longtemps son ennemi, le gladiateur se prépara enfin au combat —. Il
attendit
l’animal de pied ferme. Description du combat, do
peut entrer lui-même. Il va leur apprendre tous les malheurs qui les
attendent
sur les mers et les terres lointaines où ils vont
, s’arrêta au milieu d’une plaine, à trois lieues de la ville, pour y
attendre
le reste de ses troupes. — Il se préparait à avan
dans les murs de Fierbois, elle sera remise en tes mains ; Orléans t’
attend
, tu vaincras l’anglais et feras couronner ton roi
n petit village situé sur les bords du Dniepr. Les habitants qui ne l’
attendaient
point, étaient tous rassemblés à la porte d’une s
gras comme vous êtes — … On va le jeter dans la marmite — … Mes amis,
attendez
, dit le docteur, que j’ôte mes habits qui gâterai
le, reprit encore la mère, tout passe ici-bas, un monde meilleur nous
attend
— … Quand je vous portais dans mon sein, la vierg
eur aux yeux des générations futures ; 6° La couronne de gloire qui l’
attend
dans un monde meilleur. Avis. Vous ne devez poin
ennemie, derrière et aux côtés sont les Valtelins et les Grisons, qui
attendent
, pour l’achever, le sort du combat. La retraite e
nnant de fleurs les tombeaux des Spartiates. Et l’immortalité qui les
attend
! Quand Sparte ne sera plus, les échos des montag
ire au milieu de ce temple, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, comme des criminels tremblants, à qui l’on va pr
éfugier dans les montagnes. On le poursuit à coups de canon la France
attend
avec espoir la fin de cette campagne. C’est en ce
s des siens et bravant, sans balancer, toute la rigueur du sort qui l’
attend
. 116« Quid enim nobis duobus, Judices, laborios
egards viennent de tous les points du Forum se fixer sur vous, et qui
attendent
avec tant d’impatience l’issue de cette affaire,
nt de Rome la veille, afin de disposer devant sa terre le piège où il
attendait
Milon ; l’événement le prouva. Il part donc, et a
e la séance. Il revint chez lui, changea de vêtement et de chaussure,
attendit
, suivant l’usage, que sa femme eût fait tous ses
onsacré tout ce que le tribunat me donnait de puissance, me serais-je
attendu
à être un jour abandonné par ceux que j’avais déf
oquer les gens et les faire aviser de2 boire lorsqu’on n’y songe pas.
Attendez
qu’on vous en demande plus d’une fois, et vous re
i des deux le premier ? Harpagon. Au cuisinier. Maître Jacques.
Attendez
donc, s’il vous plaît. (Maître Jacques ôte sa cas
mon carrosse. (Maître Jacques remet sa casaque.) Maître Jacques.
Attendez
. Ceci s’adresse au cocher. Vous dites ?… Harpag
mps, j’ai de puissants motifs pour ne pas m’y décider encore. Je veux
attendre
, pour te livrer à la mort, qu’on ne puisse plus t
de mémoire d’homme, jamais personne n’a subi pareil affront, pourquoi
attendre
que le sénat formule l’arrêt insultant sous leque
ère commune à tous, te déteste et te craint ; depuis longtemps elle n’
attend
de toi que des complots parricides. Ne montreras-
république de ses craintes ; pars pour l’exil, si c’est ce mot que tu
attends
; pars. Eh bien, Catilina ? remarques-tu, compren
des sénateurs ? Ils ne réclament pas ; ils se taisent. Pourquoi donc
attendre
de leur bouche la sanction d’un arrêt, que leur s
s t’en inspirer la résolution ! Et cependant je n’ignore pas ce qui m’
attend
si, effrayé par mes discours, tu te décides enfin
déjà envoyé en avant des affidés qui doivent, au forum d’Aurélius, t’
attendre
les armes à la main ; que tu as réglé et fixé ave
que tu vois prêt à porter la guerre dans mon sein ; que des rebelles
attendent
, tu le sais, dans leur camp, pour saluer en lui l
u sénat. Catilina lui-même a eu peur il a pris la fuite ; ceux-ci, qu’
attendent
-ils ? Certes, ils se trompent étrangement, s’ils
lent ni quitter la ville, ni renoncer à leurs desseins, ils doivent s’
attendre
aux châtiments qu’ils méritent. VI. Mais il
guerre au peuple romain ; cette armée, ce n’est pas Catilina qu’elle
attend
pour général ; et lui, contraint de s’exiler, c’e
inviolables ? Sur l’abolition des dettes ? Ils se trompent ceux qui l’
attendent
de Catilina. C’est à moi qu’ils la devront, car j
ménager les conseils. Mon indulgence a pu sembler extrême ; mais elle
attendait
que les menées encore secrètes éclatassent ouvert
et à mes regards. En présence d’un forfait si monstrueux, je devais m’
attendre
à ce que vos oreilles pussent à peine en croire m
ce serait à vous, Romains, de montrer à quel sort doivent désormais s’
attendre
ceux qui, pour vous sauver, se seront dévoués à t
ui répond des actes de mon consulat : ici même, je vois un gendre qui
attend
avec anxiété l’issue de ce grand jour. Sans doute
L. Saturninus, meurtrier de C. Memmius, que vous avez à juger et qui
attendent
l’arrêt de votre sévère justice. Vous tenez dans
dans la chapelle. VIII. Quoi, Verrès, vous êtes tranquille ? qu’
attendez
-vous encore ? Pourquoi dire que Centorbe, Catane,
is quand ils eurent appris que Q. Arrius, homme ferme et impatiemment
attendu
par toute la province, ne succédait pas à Verrès,
leur famille, et qu’elles ont hérités de leurs pères ! XXII. N’
attendez
pas qu’entrant dans le détail de l’accusation et
ssion de faire transporter au plus tôt sur le bord de la mer, où il l’
attend
, tout ce qu’il pourrait trouver dans la ville, ou
nérales, car le tyran ne s’éloignait pas : couché dans sa litière, il
attendait
sur le rivage, au-dessous de la ville, Archagathe
quiéter ni des cris des Siciliens ni des poursuites judiciaires qui l’
attendaient
à Rome ; le second voulut que toute l’Espagne sût
nts, n’êtes-vous pas effrayé au souvenir de ce mépris ? Quels secours
attendez
-vous ou de la part des hommes, qui ne sauraient v
? Quel respect pensiez-vous qu’on aurait pour vos statues ? vous vous
attendiez
sans doute à ce qui leur est arrivé ? car les Tyn
c la même unanimité. Que demandez-vous, Verrès ? qu’espérez-vous ? qu’
attendez
-vous ? quel est le dieu, quel est le mortel de qu
ius, dont je vous ai déjà parlé, et je leur expliquais l’énigme. Je n’
attendais
des Syracusains aucun éclaircissement, ni de la p
n demander. Tandis que j’examinais ces registres, Héraclius, que je n’
attendais
pas, vint me trouver : il était alors magistrat d
ment. V. Qu’arrive-t-il ensuite ? qu’en pensez-vous ? Vous vous
attendez
peut-être à quelque larcin ou à quelque rapine ?
mène en public, et on les attache au poteau. Vous me paraissez encore
attendre
, juges, que j’expose la suite de cet événement ;
qu’un homme si riche est tout à coup mandé par Verrès. Tout le monde
attendait
avec impatience ce qu’alléguerait le préteur. Apo
la parole pour eux, vous priant de vous charger de l’entreprise, et,
attendu
votre autorité et votre titre de préteur, de vous
gium de les fournir, comme ils le disent, et vous ne sauriez le nier,
attendu
que les Mamertins n’ont pas chez eux de bois de c
n avaient entendu parler, et l’avaient craint dans ses courses, qui n’
attendaient
que le moment de se rassasier du spectacle de son
ant au péril qui vous menaçait ; surtout puisque vous vous étiez bien
attendu
, comme vous le dites, que vous seriez accusé ? Ca
ne fut-il pas condamné à la mort sans que sa cause eût été plaidée ?
Attendrons
-nous d’un pareil homme du respect pour les droits
e l’on porte des accusations triviales et communes contre Verrès ; il
attend
des crimes d’un genre nouveau et inconnu jusqu’à
aits lui faisaient tenir un rang distingué. Dexion, que vous voyez, n’
attend
pas que vous rendiez tout ce que vous avez pris a
re de la sûreté et de la conservation de tous tant que nous sommes. N’
attendez
point de moi, juges, de longs raisonnements, comm
ne parût avoir infligé par elle-même à Verrès un châtiment qu’elle n’
attendait
peut-être pas des lois et de votre jugement. Mais
commettre dans la poursuite de cette affaire et du jugement que j’en
attends
vous feraient courir un grand risque, et plus gra
er pour accusateur, quand j’aurai satisfait à ce que le peuple romain
attend
de moi, et que j’aurai rempli le devoir dont je s
ice en faveur de Verrès, qu’ils prennent bien leurs mesures, qu’ils s’
attendent
à me répondre de leur conduite au tribunal du peu
èges avait un rapport direct avec les soins et les relations qui nous
attendent
au sortir de la jeunesse, et si l’on retranchait
nt leur force, les plus criminels sont punis. Mais ceux qui restaient
attendaient
avec effroi ce que déciderait le prince. L’évêque
bientôt à un sentiment plus calme, ils sont rentrés dans le devoir et
attendent
avec effroi le juste châtiment de leur coupable c
dresse souvent à moi), lorsque je te rendais à ta patrie, devais-je m’
attendre
à ne pas trouver un asile dans cette même patrie
r. Voilà les vrais hommages, voilà le sincère amour que tu as droit d’
attendre
de tes parents. Aussi recommanderai-je à ta fille
plaît, ces têtes illustres que vous avez tant de fois couronnées. « N’
attendez
pas, Messieurs, que j’ouvre ici une scène tragiqu
g pour le bien public : là, on lui dresse une pompe funèbre où l’on s’
attendait
à lui dresser un triomphe. Chacun choisit l’endro
urenne, en feignant de ne pas vouloir le louer de sa naissance : « N’
attendez
pas, Messieurs, que je suive la coutume des orate
de l’auditeur, ne lui développe sa pensée que par degrés, et lui fait
attendre
l’idée dont il veut le frapper fortement. Cette f
s grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre, Messieurs, qu’
attendez
-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du
étincelaient ; la cruauté était empreinte sur tout son visage. Chacun
attendait
à quel excès il se porterait et ce qu’il oserait
e pardonne en vain, ta vie est condamnée ; « Au tribunal de Dieu je t’
attends
dans l’année… (Au roi) Les nombreux spectateurs,
ats avec moi ; « Le courage n’est rien sans ta main protectrice ; « J’
attends
peu de moi-même, et tout de ta justice. » D’Aumal
nds peu de moi-même, et tout de ta justice. » D’Aumale répondit : « J’
attends
tout de mon bras ; « C’est de nous que dépend le
sant qui portait la victoire dans ses yeux Don Franciscos de Mellos l’
attend
de pied ferme ; et, sans pouvoir reculer, les deu
favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens
attendait
le succès d’une entreprise qui, selon toutes les
il paraît dans les armées, donne une haute idée de sa valeur, et fait
attendre
quelque chose d’extraordinaire ; mais toutefois s
éternelle sa race et tous ses descendants ! Tels sont les honneurs qu’
attendra
de vous mon ombre irritée. Jamais d’amitié ! Jama
successeur, De la France historiographe1, Votre indigne prédécesseur
Attend
de vous son épitaphe. Au bout de quatre-vingts hi
, à qui il manque quelque chose, et dont il n’est plus permis de rien
attendre
? » Le véritable esprit sait se plier à tout ;
ts nationaux, et commandée d’après la désignation populaire. D’autres
attendent
mieux la mort : ils ne vont pas la chercher plus
, à qui il manque quelque chose, et dont il n’est plus permis de rien
attendre
? » 1. La Fontaine parle ainsi de lui-même :
rrir, Et qui s’éteint s’il ne s’augmente. Nous ne vivons jamais, nous
attendons
la vie. 2. Ce vers est d’une facture antique.
belle ! qu’avez-vous à crier comme un aigle ? Je vous mande que vous
attendiez
à juger de moi quand vous serez ici ; qu’y a-t-il
t juste ; et qu’est-ce qui n’a point de défauts ? En conscience, vous
attendiez
-vous qu’elle n’en eût point ? Où preniez-vous cet
votre cœur, et vous serez peut-être surpris par un procédé que vous n’
attendez
pas. Je ne puis croire qu’il y ait du venin caché
e adressé, elle offre de vous le rembourser, comme il est juste. Je n’
attends
là-dessus, que vos ordres pour exécuter ses inten
avoir été écrite avec précipitation ; on s’aperçoit que le messager l’
attendait
, et que Mme de Sévigné avait hâte de rassurer sa
tout de votre autorité : c’est toujours un esprit vil et rampant, qui
attend
tout de sa propre dépendance, et qui, pour colore
leur vrai lustre, Et du public, dépouillé d’intérêt, Humbles acteurs,
attendre
leur arrêt, Là, retraçant leurs faiblesses passée
du monde. GÉRONTE. Qu’y a-t-il de si affligeant à tout cela ? SCAPIN.
Attendez
, monsieur, nous y voici. Pendant que nous mangion
racheté, il n’en faut accuser que le peu d’amitié d’un père. GÉRONTE.
Attends
, Scapin, je m’en vais quérir cette somme. SCAPIN.
pour les fautes, mais sévère pour toute habitude coupable, il va les
attendre
dans un palais voisin de celui que nous quittons,
la terre, de ce que nous avons à faire en ce monde et de ce qui nous
attend
dans l’autre. L’île déserte est l’éternité. Il dé
uite lointaine. Malheureuse que je suis ! la mer est le tombeau qui m’
attend
. Pourquoi le cruel ne m’a-t-il pas ôté la vie ? C
re bord, il est une contrée plus heureuse ; un lieu de délices vous y
attend
. Kleist. N° 95. — Le Chien et le Chat. Pa
mée de fleurs ; il ne prévoit aucun des dangers et des malheurs qui l’
attendent
; le chagrin n’a pas ridé son front et effacé la
nt s’abattre auprès d‘un courant d’eau ; là, résigné et solitaire, il
attend
tranquillement la mort au bord du même fleuve où
ieu des symphonies harmonieuses des autres chantres du printemps : il
attend
que la nuit ramène le silence, et se charge de ce
euse, le ciel te refuse sa rosée ! les herbes et les fleurs mourantes
attendent
en vain les pleurs de l’aurore. Le doux sommeil n
l succède à ce bruit un calme plein d’horreur, Et la terre en silence
attend
dans la terreur. Des monts et des rochers le vast
roissait dans le lieu me servit d’abri ; derrière ce frêle rempart, j’
attendis
la fin de la tempête. Vers le soir, le vent du no
ts ; Qui, lorsque mon regard le visite à toute heure, Me dit ce que j’
attends
dans cette âpre demeure, Et, recevant souvent mes
ire un pas ; Mourant et vaincu de froidure, Au bord d’un précipice il
attend
le trépas. Là, dans sa dernière pensée, Il songe
jour, à son midi, dérober sa lumière au monde ; sans inquiétude, ils
attendes
l’instant marqué où notre globe sortira de l’obsc
n remarque l’effet pittoresque de l’expression s’en empare. Le fleuve
attend
une proie, ou un ornement, ou un jouet, ce qu’on
ici, disent-ils,pour porter des ordres, mais pour combattre, et, sans
attendre
sa réponse, ils vont se placer dans les rangs qu’
gre s’élançait de tous côtés dans l’arène vide, impatient de la proie
attendue
; lui, appuyé sur un coude, semblait fermer ses y
ants, comme un moissonneur qui, fatigué d’un jour d’été, se couche et
attend
le sommeil. Cependant plusieurs voix parties des
lenteurs d’un combat qui avait semblé d’abord inégal, le gladiateur l’
attendit
de pied ferme ; et le tigre, tout haletant, couru
lui ravir. Hé bien ! mortels téméraires, apprenez les fléaux qui vous
attendent
sur cette plage orageuse et sur ses terres lointa
e l’impériale, et se trouvant au milieu d’une plaine, il y campa pour
attendre
le reste de son armée : elle ne tarda pas à l’y j
ent. Soudain une terreur panique s’empare de cette multitude, et sans
attendre
les ordres de leurs chefs, tous ces barbares se s
rre et la mort ! tu l’auras, puisque tu la cherches. » Elle dit, et l’
attend
de pied ferme. Tancrède aussi veut combattre à pi
oir qu’il pût entendre ma voix. Cependant le nain, qui ne s’était pas
attendu
à tant de résistance, redoublait ses furieuses se
nt sa contenance : « Voilà tes frères, lui dit-il, les voilà qui nous
attendent
pour nous combattre. Écoute : je t’ai sauvé la vi
e. Quelques-uns, debout, immobiles, les bras croisés sur la poitrine,
attendaient
ses ordres. Au pied du tronc, on voyait assis, su
s te parler comme jamais on ne t’a parlé, je vais te dire la vérité.
Attends
seulement que je me taise, et ne m’interromps poi
le Génie, prenant un air terrible, marcha vers le fleuve. Les bergers
attendaient
avec inquiétude ce qu’il allait faire, quand il s
un prix qui lui paraissait exorbitant, et auquel il ne s’était jamais
attendu
pour son melon. Il délivra l’officier, et revint
e, qui lui dit, après un salut amical : « Mon brave homme, je vous ai
attendu
longtemps : il faut que vous me cédiez votre blé
il faut que vous me cédiez votre blé : voici votre argent, » et sans
attendre
la réponse, il lui mit dans la main un sequin. Le
s soigneux de me défendre ; J’ai perdu tout le fruit que j’en pouvais
attendre
. Essayons maintenant des secours plus certains. E
combats avec moi : Le courage n’est rien sans la main protectrice : J’
attends
peu de moi-même et tout de la justice. » D’Aumale
ends peu de moi-même et tout de la justice. » D’Aumale répondit : « J’
attends
tout de mon bras ; C’est de nous que dépend le de
armée étrangère, En secret éclairé par un avis des cieux, Déjà Valois
attend
le bras victorieux, Que suscite pour lui leur fav
ut pour mon frère, Ses fils, l’amour de Dieu, la fierté d’une mère, L’
attendent
, orgueilleux de leurs riches habits, Et ne peuven
fin, il l’estimait, et parut plus touché de sa mort qu’on ne l’aurait
attendu
d’un cœur aussi sec que le sien. Depuis cet évène
, combien voulez-vous de votre maison ? » Girardin était si loin de s’
attendre
à cette question, qu’il crut d’abord avoir mal en
issait pressé d’atteindre le but de son voyage), il arriva, sans être
attendu
, dans un petit village situé sur les bords du Dni
ieds, où l’on montait par une échelle, c’était là le coucher qui nous
attendait
; espèce de nid dans lequel on s’introduisait en
lance du templier, et roulèrent tous deux sur la poussière. Chacun s’
attendait
à cet événement, mais ce qui surprit tout le mond
er de la césure du deuxième pied, il y a suspension dans le récit, on
attend
avec inquiétude ce que va faire Mérope, et l’excl
aulois- Romains, ont les yeux fixés sur vous. Ces peuples puissants n’
attendent
que votre conversion pour se soumettre à votre au
s pas veuve une seconde fois ; ne réveille pas une douleur assoupie ;
attends
ma dernière heure. Peut-être te quitterai-je bien
ntôt. La jeunesse peut se flatter de vieillir ; mais, à mon âge, on n’
attend
plus que la mort. Lorsque tu auras déposé mon cor
urailles ? Crois-tu que, couverte de la honte d’un refus injurieux, j’
attende
paisiblement que tes armes aient décidé de notre
qui se met en bataille devant nous ; les Grisons sont derrière, qui n’
attendent
que l’événement de cette journée pour nous charge
r une comparaison énergique, le pécheur est assimilé au criminel, qui
attend
, en tremblant, une sentence de vie ou de mort éte
ons qu’il est impossible à l’auditeur de résoudre en sa faveur : il s’
attend
dès-lors à sa condamnation, s’il sent dans son cœ
is il est possible que chacun en son particulier se croie une brebis.
Attendons
; l’orateur saura dissiper ces sentiments d’orgue
favoriser et pour précipiter cette retraite, et la France en suspens
attendait
le succès d’une entreprise qui, selon toutes les
s plaît, ces têtes illustres que vous avez tant de fois couronnées. N’
attendez
pas, Messieurs, que j’ouvre ici une scène tragiqu
, c’en est fait, tout est perdu : prête à s éteindre avec lui, elle n’
attend
plus que le triste moment qui doit consommer sa d
euse à l’État ? ce sont les services qu’il en reçoit et ceux qu’il en
attend
: or, des deux illustres captifs dont nous venons
ie, et rachète par mille incendies, tout le temps de son inaction. Qu’
attendez
-vous, Messieurs, à faire tomber les liens qui enc
liens qui enchaînent encore ce bras que vous redemande la patrie ? Qu’
attendez
-vous à le dégager de ces fers honteux qui l’empêc
nt, sa raison s’égare, et, par ce mouvement naturel à tout enfant qui
attend
de son père protection et secours, Gaddo s’écrie
précisément comme il doit être dit pour produire l’effet que l’on en
attend
. Chef de la religion et des armées, dépositaire e
ée, confondue par l’éloquence de l’orateur, avec quel empressement on
attendrait
, avec quel enthousiasme ne lirait-on pas le disco
le chose dont je sois sûr, c’est que les fers et les tribulations m’y
attendent
. Mais je les crains peu, et je saurai sacrifier m
sa réponse qu’il vient subir l’examen, il lui permet de s’asseoir. On
attendait
avec impatience4 le tour du petit paysan. Il vien
c’est-à-dire de l’homme public, envisage avec passion l’avenir qui l’
attend
en face de ses concitoyens. Il ne dédaigne pas le
en fortifie d’autres. Mais, là où la patrie est un temple vide, qui n’
attend
rien de nous que le silence et le passage, il se
la parole de Dieu. Moyennant. J’espère, moyennant la grâce de Dieu.
Attendu
. Le courrier n’a pu partir, attendu le mauvais te
ère, moyennant la grâce de Dieu. Attendu. Le courrier n’a pu partir,
attendu
le mauvais temps.
e et pour le salut de l’Etat. Il a rendu tous les services qu’on peut
attendre
d’un esprit ferme et agissant quand il se trouve
favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens
attendait
le succès d’une entreprise qui, selon toutes les
n sang au bien public ; là on lui dresse une pompe funèbre, où l’on s’
attendait
à lui dresser un triomphe. Chacun choisit l’endro
Je dois bientôt, il me le semble, Mettre pour jamais habit bas3.
Attends
un peu ; nous finirons ensemble : Mon vieil ami,
oléon II : Mil huit cent onze ! — ô temps où des peuples sans nombre
Attendaient
prosternés sous un nuage sombre Que le ciel eût d
s : Il fatiguait la victoire à le suivre ; Elle était lasse, il ne l’
attendit
pas. 2. On dirait Baucis donnant l’hospitalité
ien que d’en douter, il n’est pas moins certain qu’un sort quelconque
attend
dans l’avenir cette âme, quand elle aura brisé le
c le reste des hommes un être suprême ; il redouta ses châtiments, il
attendit
ses promesses. D’où vient donc qu’il n’a plus con
e sentiment. « Si tout doit finir avec nous, si l’homme ne doit rien
attendre
après cette vie, et que ce soit ici notre patrie,
ieu juste qu’il regarde comme un ennemi déclaré, dont il ne doit plus
attendre
d’indulgence, il se roule dans ses propres horreu
hamp le reste de nos troupes des mains de ceux qui les commandent, qu’
attendons
-nous ? Pourquoi, sous les auspices des immortels,
s la fermentation des esprits, dans le tumulte des armes, on devait s’
attendre
que la république, agitée par de violentes secous
eaucoup de sa splendeur, de sa stabilité et de sa force : on devait s’
attendre
que les deux chefs, les armes à la main, se perme
postérité. Elle a déjà dans vous ce qui peut être admiré ; mais elle
attend
ce qui peut être approuvé et estimé. On entendra,
ue ouvrage que ce soit, il faut d’abord que le lecteur le désire et l’
attende
, ce qui suppose que le personnage mérite les honn
d’aussi difficile que de couper le dialogue à propos, de ne pas faire
attendre
la replique, de la lancer précisément où elle doi
t il n’a pas le courage d’achever ; il reste muet dans sa douleur, il
attend
ce récit fatal ; le public l’attend de même. Thér
il reste muet dans sa douleur, il attend ce récit fatal ; le public l’
attend
de même. Théramène doit répondre. On lui demande
mères, des héros, aujourd’hui vaines ombres, Des vierges que l’hymen
attendait
aux autels, Des fils mis au bûcher sous les yeux
x dans ce ciel se répandent, Pour disposer le cierge à ces feux qui l’
attendent
, D’un semblable salut accueille les élus. » Cett
lle de Nice, on aperçut les avant-postes des barbares. Les Goths ne s’
attendaient
pas à être attaqués ce jour-là, et leur cavalerie
ince resta seul sur le lit où on l’avait déposé, sorte de bûcher où l’
attendait
le supplice qu’il avait infligé lui-même à tant d
cueilli la première violette dans le verger. Avec les hirondelles, on
attendait
le retour du troubadour ou du trouvère. Par un be
ime. Et chez ces bonnes gens, de le voir tout joyeux, Vient sans être
attendu
, s’assied au milieu d’eux, Écoute le récit de pei
urs entiers nous ne l’avons point vue ; Notre pauvre Brunon !… nous l’
attendons
en vain !… Les loups l’auront mangée, et nous mou
eta son crêpe noir, Mon père à ses côtés ne me fit plus asseoir. Et j’
attendis
en vain à sa place déserte Une tendre caresse et
scarpés ? La biche le regarde ; elle pleure et supplie ; Sa bruyère l’
attend
; ses faons sont nouveau-nés ; Il se baisse, il l
nvie, Et faisaient taire Mévius. « Mais Énée aux champs de Laurente.
Attendait
mes derniers tableaux, Quand près de moi la mort
eil de feu, sans trêve ni relâche, Ils ont coupé les foins au village
attendus
; Ils ne partiront pas sans achever leur tâche, I
, pour guetter au passage une grenouille, un poisson ; mais, réduit à
attendre
que sa proie vienne s’offrir à lui, et n’ayant qu
nul bonheur humain : Comme un chêne immobile, en mon repos sonore, J’
attends
le jour de Dieu qui nous luira demain. En moi de
Et je m’interroge en tremblant Sur l’avenir qui doit m’
attendre
! Mais je le sais… Je lis dans ce sombre avenir ;
gitime. Les dieux ont à Calchas amené leur victime : Il le sait, il l’
attend
; et, s’il la voit tarder, Lui-même à haute voix
deviendrait son asile. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille : J’
attendais
de son fils encor plus de bonté. Pardonne, cher H
misères, Il ne séparât point des dépouilles si chères ! Pyrrhus. Va m’
attendre
, Phœnix. Ma
t gémir trop longtemps. Je meurs si je vous perds, mais je meurs si j’
attends
. Songez-y ; je vous laisse, et je viendrai vous p
je viendrai vous prendre Pour vous mener au temple où ce fils doit m’
attendre
; Et là vous me verrez, soumis ou furieux, Vous c
servis ! Céphise. Eh bien, allons donc voir expirer votre fils : On n’
attend
plus que vous… Vous frémissez, madame ! Andromaqu
ux ; ils sont dignes de vous : Malgré tous nos efforts, vous en devez
attendre
Ce que vous souhaitez et d’un fils et d’un gendre
ue lâcheté. Le Vieil Horace. J’en aurai soin. Allez : vos frères vous
attendent
; Ne pensez qu’aux devoirs que vos pays demandent
Il est des assassins, mais il n’est plus de Brute ; Enfin, s’il faut
attendre
un semblable revers, Il est beau de mourir maître
Défense de Germanicus D’un Romain, d’un soldat, tout ce que peut
attendre
Le prince dont il tient sa gloire et son bonheur,
volontaire, et plus elle mérite. Néarque. Il suffit, sans chercher, d’
attendre
et de souffrir. Polyeucte. On souffre avec regret
foi. Néarque. Qui n’appréhende rien présume trop de soi. Polyeucte. J’
attends
tout de sa grâce, et rien de ma faiblesse. Mais l
oir. Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées La valeur n’
attend
point le nombre des années. Le Comte. Te mesurer
Mais à qui des deux le premier ? Harpagon. Au cuisinier. Me Jacques.
Attendez
donc, s’il vous plaît. (Maître Jacques ôte sa cas
aintenant, maître Jacques, il faut nettoyer mon carrosse. Me Jacques.
Attendez
; ceci s’adresse au cocher. (Maître Jacques remet
est de ces gens-là. Il veut être le premier de son opinion, et qu’on
attende
par respect son jugement. Toute approbation qui m
sensible, qu’il n’y a point de paroles capables de l’exprimer. » Vous
attendez
, chrétiens, quel sera le réveil d’un sommeil si d
ellement changée, qu’elle avait peine à le croire. Le miracle qu’elle
attendait
est arrivé ; elle croit, elle qui jugeait la foi
juste qu’il regarde comme un ennemi déclaré, et dont il ne doit plus
attendre
d’indulgence. Il se roule dans ses propres horreu
peuple qui se plaint a toujours raison, que son infatigable patience
attend
constamment les derniers excès de l’oppression po
c’est-à-dire de l’homme public, envisage avec passion l’avenir qui l’
attend
en face de ses concitoyens. Il ne dédaigne pas le
on fortifie d’autres. Mais là où la patrie est un temple vide, qui n’
attend
rien de nous que le silence et le passage, il se
nt un peu votre courage48. Encor, si la saison s’avançait davantage !
Attendez
les zéphyrs : qui vous presse ? un corbeau Toute
aim ; Va-t’en. » Et le renard est parti de la main. Sans
attendre
qu’il le répète. Il n’est pas de tyran, fût-il d
che plaintive a frappé mon oreille ; À son lit de douleur le malade m’
attend
. Là, naguère, une pauvre fille Me disai
t, et ils vous prodiguent tout le mépris dont ils sont couverts. Vous
attendez
d’eux votre première sentence ; ils vous jugent ;
efois que vous n’êtes pas sans mérite ; voilà tout ce que vous pouvez
attendre
de votre vivant ; mais qu’elle s’en venge bien en
e âme de ma fille, oh ! suspends ton départ, Et pour quitter ce monde
attends
au moins ta mère. » Ainsi la foi l’anime et l’es
e faquin, lui dis-je, voilà de vos façons de faire : vous vous faites
attendre
jusqu’il l’extrémité ; encore est-ce un miracle q
omme. Je l’aurais infailliblement tué, si je n’avais eu peur de faire
attendre
Mlle d’Hamilton et si je n’avais été pressé de vo
lui, rire dans la douleur ; J’ose la croire un mal, et le crois sans
attendre
Que la goutte en fureur me contraigne à l’apprend
issiper en moi tout l’ennui de Zénon ; Mais de Platon lui-même, et qu’
attendre
, et que croire, Quand de ne rien savoir son maîtr
rendra parti pour le tribunal correctionnel ; et dans le second, elle
attendra
du ciel la récompense que les hommes laissent à D
ous sommes connus hors de notre village. C’est là que les échecs nous
attendent
: c’est là que notre vanité se heurte contre l’ig
ces noms divers, je crois en toi, Seigneur ; Et, sans avoir besoin d’
attendre
ta parole, Je lis au front des cieux mon glorieux
r dédaigne de détruire. Témoin de ta puissance, et sûr de ta bonté, J’
attends
le jour sans fin de l’immortalité. La mort m’ento
énie ; Mes compagnes en vain m’appellent, et ma main De la main qui l’
attend
s’éloigne avec dédain L’Ange. Crains, jeune enfan
que l’Ibérie sans courage nourrit dans son sein. La victoire qui nous
attend
réalisera enfin la paix, et après cette lutte, le
ternative d’être privés ou de toi, ou de leur patrie ? Pour moi, je n’
attendrai
pas que la guerre m’impose cette cruelle conditio
os murs, avant d’avoir foulé aux pieds le corps de ta mère. Non, je n’
attendrai
pas le jour où je verrais les Romains triompher d
z d’audace, étant d’ailleurs très inférieurs en infanterie, pour nous
attendre
; ils se retireront pendant la nuit, et demain, à
de l’État ? Si nous devons semer éternellement la division dans Rome,
attends
du moins que j’aie payé mon tribut à la nature, p
l’abaissement à la grandeur. Dans une longue durée de vie, il faut s’
attendre
à voir et à supporter beaucoup de choses contre s
es qui n’ont rien fait pour la provoquer ? D’ailleurs, que pouvait-on
attendre
d’une nation qui avait si rudement traité les cit
us demanderez avec modération et convenance vous sera accordé, mais n’
attendez
rien de la rapine et de la violence. » Traduit d
e nous séparer, moi pour mourir, vous, pour vivre. Qui de nous doit s’
attendre
au sort le meilleur ? Les dieux immortels le save
couragent à triompher des Romains. Soyons vainqueurs, la liberté nous
attend
, et l’esclavage, si nous sommes vaincus. La liber
putation à Lacédémone. Lui-même s’y rendit seul : là, sous prétexte d’
attendre
ses collègues, il traîna le temps en longueur, et
êt, je n’ignorais pas que je devais mourir : n’est-ce pas le sort qui
attend
tous les humains ? Mais si je meurs avant le temp
c la différence ? Celui qui pense être né uniquement pour sa famille,
attend
la mort naturelle qui est réglée d’avance par le
tes actions paraissaient toujours inférieures à celles qu’on pouvait
attendre
d’un Dieu. » Traduit de Lucien, écrivain grec, n
la morsure des serpents venimeux, et à m’exposer aux périls qui nous
attendent
. Je suis décidé à partager toutes vos épreuves, e
a pas moins été la victime d’une lâche perfidie, sur quelle apparence
attendrai
-je une vie tranquille, où ce grand homme n’a trou
était retiré à la cour de Prusias, Annibal avait prédit le sort qui l’
attendait
, connaissant la haine implacable des Romains et n
rnelles inquiétudes le peuple romain, puisqu’il n’a pas la patience d’
attendre
la mort d’un vieillard. Certes" Flamininus ne pou
ton père ? C’est toi qui me devais ces soins religieux1, Et ma tombe
attendait
tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon fils,
t tendre. Dans cet abîme enseveli, J’ai le même destin. Je m’y devais
attendre
. Accoutumons-nous à l’oubli. Oubliés comme moi da
greffe, mais il faut savoir le pratiquer. Car La Fontaine a dit : N’
attendez
rien de bon du peuple imitateur, Qu’il soit singe
x Oui, la croix3 en tous lieux est toujours préparée, La croix t’
attend
partout, et partout suit tes pas ; Fuis-la de tou
upables Sont d’autant plus inévitables Que leurs coups sont moins
attendus
. Tigre altéré de sang, Décie impitoyable, Ce Dieu
: Vos biens ne sont point inconstants, Et l’heureux trépas que j’
attends
Ne vous sert que d’un doux passage, Pour nous
te de jalousie qui le fait parler ainsi ? 4. Que t’ai-je fait ? Mot
attendu
. Chaque trait procède d’une sorte de nécessité lo
sse, Que restera-t-il d’elle ? à peine un souvenir : Le tombeau qui l’
attend
l’engloutit tout entière, Un silence éternel succ
encor du Cîd bouillonner la colère ; Pour les lui présenter, Rodrigue
attend
vos dons : Vous qui, les yeux en pleurs à ses nob
Shakspeare (Car des deux bords anglais ses deux pieds ont l’empire),
Attendent
dans un angle, à leur taille ajusté, Les lectures
une fleur déjà dévastée à qui il ne pardonne pas de ne point l’avoir
attendu
. Il s’y acharne, l’extermine, en fait voler les p
sa vertu patriotique et désintéressée. 1. Le thé, c’est l’accessoire
attendu
, indispensable. 2. M. de Vigny semble ici dresse
r les prytanes : quelquefois le peuple s’assemblait de lui-même, sans
attendre
les formalités prescrites par la loi. Lorsque tou
le sujet qui nous rassemble avait pour objet quelque nouveau débat, j’
attendrais
, Athéniens, que vos orateurs ordinaires eussent m
ô mes concitoyens, quand ferez-vous ce qu’il est à propos de faire ?
Attendez
-vous que quelque nouveau désastre, que la nécessi
es, en vous demandant mutuellement : Qu’y a-t-il de nouveau ? Eh ! qu’
attendez
-vous de plus nouveau, de plus étrange, que de voi
arti enfin, il s’est dérobé par une fuite précipitée à la honte qui l’
attendait
dans nos murs. Ils n’ont plus rien à redouter du
rits, s’il ne s’agissait que d’une erreur sans conséquence, peut-être
attendrais
-je que l’événement vous désabusât, puisque mes di
r la rivière sombre, Et ne sont pas encor passés, qu’un pareil nombre
Attend
déjà la barque au bord qu’ils ont quitté. « Mon
enfantine et tendre, Vos discours sont prudents, plus qu’on eût dû l’
attendre
; Mais, toujours soupçonneux, L’indigent étranger
vieux Corneille offrez un digne hommage. Les murs qui l’ont vu naître
attendaient
son image ; Paris, tous les Français ; tout un pe
encor du Cid bouillonner la colère, Pour les lui présenter, Rodrigue
attend
vos dons. Vous qui, les yeux en pleurs, à ses nob
e ton père ? C’est toi qui me devais ces soins religieux, Et ma tombe
attendait
tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon fils,
scrupules, rien ne lui coûtait pour y réussir, ni le temps, il savait
attendre
; ni l’argent, il puisait au trésor public ; ni l
es coins, méditaient profondément aux suites d’un événement aussi peu
attendu
, et bien davantage sur eux-mêmes. Parmi ces diver
envoyer un duc pour me défendre ? La servitude alors ne peut se faire
attendre
; Celui qui me défend est déjà mon seigneur, Il p
s ; il ne fait point dire aux rois à sa porte : Qu’ils se font trop
attendre
, et qu’Attila s’ennuie. Quelque chose de silenc
vait vouloir un peu plus tard, et d’agir avec résolution, après avoir
attendu
avec patience. Comme il se possédait entièrement,
siècle La France, marchant la première vers l’avenir immense qui
attend
le monde, a donné au siècle son mouvement. Ce siè
I Mil huit cent onze ! — Ô temps où des peuples sans nombre
Attendaient
, prosternés sous un nuage sombre, Que le ciel eût
ient entre eux : « Quelqu’un de grand va naître !26 L’immense empire
attend
un héritier demain. Qu’est-ce que le Seigneur va
e les feux du matin : Je veux achever ma journée. « Ô mort ! tu peux
attendre
, éloigne, éloigne-toi ; Va consoler les cœurs que
t tendre. Dans cet abîme enseveli, J’ai le même destin. Je m’y devais
attendre
. Accoutumons-nous à l’oubli. Oubliés comme moi d
usse, il se mouche sous son chapeau, il crache presque sur soi, et il
attend
qu’il soit seul pour éternuer, ou si cela lui arr
Ah ! chiens ! Vous ne m’
attendiez
pas quand vous pilliez mes biens ? Vous me croyie
llait qu’il fût grand ; peut-être sans exemple. Les déesses du Styx l’
attendaient
hors du temple, Et n’osaient le poursuivre en ces
-il pas agir ? BRUTE. Il faut encore
attendre
. VALÈRE. Est-ce Brute qui parle ? Et que viens-je
stoire de ma vie, Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J’
attende
en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerr
p grossir à chaque pas : Daces, Pannoniens, la fière Germanie, Tous n’
attendent
qu’un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l’Esp
ns-la dans son sang justement répandu, Brûlons ce Capitole où j’étais
attendu
; Détruisons ces honneurs, et faisons disparaître
ayez-en. LOUIS. Oui, traître, oui, le saint que j’
attends
Peut réparer d’un mot les ravages du temps. Il va
OLIVIER, puis FRANÇOIS DE PAULE. OLIVIER. Sire, François de Paule
attend
qu’on l’introduise. LOUIS. (Montrant Coitier.) En
fils ! LOUIS. J’y reste pour
attendre
La faveur qui sur moi de vos mains va descendre,
OIS DE PAULE. Dieu voudra-t-il
attendre
? LOUIS. Demain ! FRANÇOIS DE PAULE.
ire au milieu de ce temple, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblants, à qui l’on va
c’est là son seul vœu, sa seule pensée. Louis sait bien que l’Europe
attend
avec inquiétude le jugement que vous allez rendre
e, ne mesurant pas l’intervalle qui séparait le 29 juillet du 3 août,
attendaient
de l’ordre légal rétabli, des mesures que se sera
respect qu’à l’enfant doit un instituteur, Le peuple, enfant aussi, l’
attend
de chaque auteur. Le beau, le vrai, le bien, le g
l leur vient une idée à mettre en œuvre, la considèrent longuement et
attendent
qu’elle reluise, comme le prescrivait Buffon, qua
Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi ; car on s’
attendait
de voir un auteur, et on trouve un homme. Au lieu
r satisfait, la tranquille sérénité du ciel même : Celui que la terre
attendait
est venu, « Le Verbe s’est fait chair, et il a ha
uelquefois, n’est plus moderne. M. Patin 82. Saint Paul N’
attendez
pas de l’Apôtre ni qu’il vienne flatter les oreil
rase latine, comme le voyageur devant des routes qui se croisent ; il
attend
que toutes les finales l’aient averti de la corre
en sortir, et ils iraient en se promenant reconnaître, là où l’on s’y
attendrait
le moins, des frères ou des maîtres. Lucrèce par
é. Vous savez que madame la duchesse de Chaulnes est à Vitré ; elle y
attend
le duc, son mari, dans dix ou douze jours, avec l
urs, avec les états de Bretagne : vous croyez que j’extravague ; elle
attend
donc son mari avec tous les états, et, en attenda
rien qui puisse vous dédommager. De grands biens peuvent encore vous
attendre
. La nature, qui est pleine de douleurs, est plein
est-il pas trop heureux d’en voir venir le terme ? Non, le sort qui m’
attend
, mon âme est assez ferme Pour en porter le poids…
de la chaude ventouse Quand ton cerveau malsain réclame le secours !
Attends
-tu quelque ami, tu vas, tu viens, tu cours ; « Ne
ère, ni le serrement de main d’un honnête homme qu’on met en mesure d’
attendre
le retour du travail. Nous sommes tous malheureus
is je me défie du génie qui ne peut vivre qu’en serre chaude, et je n’
attends
de cette plante souffreteuse ni fleurs qui aient
certain du retour de l’éternelle aurore, Sur les mondes détruits je t’
attendrais
encore ! Lamartine. Immortalité de l’âme
las d’entendre répéter à l’homme : « Tu n’as rien à craindre, rien à
attendre
, et tu ne dois rien qu’à toi. » Il le croirait pe
eilleux effet de l’organisation ! Cette boue que je foule aux pieds n’
attend
qu’un peu de chaleur, un nouvel arrangement de se
it Platon ; Ce Dieu que l’univers révèle à la raison ; Que la justice
attend
, que l’infortune espère, Et que le Christ enfin v
re, devint ïambique ; car, primitivement, on employait le tétramètre,
attendu
que cette forme poétique est celle de la satire e
ise est plus vive que s’ils surviennent à l’improviste et par hasard,
attendu
que, parmi les choses fortuites, celle-là semblen
de plus mauvais, car cette situation est horrible sans être tragique,
attendu
qu’elle manque de pathétique. Aussi personne ne m
développer son étendue, des ressources variées qui lui sont propres,
attendu
que, dans la tragédie, l’on ne peut représenter p
u’il n’a aucune suite. IV. La comédie est différente de la médisance,
attendu
que la médisance expose, sans en rien cacher, les
t laisser décider si tel fait a existé, existera, existe, oui ou non,
attendu
que le législateur n’a pu prévoir cette question.
tient de la doctrine, ce qui est (ici) d’une application impossible,
attendu
que, pour produire des preuves et des raisons, il
urnent, que portent tous nos efforts pour exhorter ou pour dissuader,
attendu
qu’il faut que l’on fasse les actions qui prépare
core ceux qui ont plus à perdre qu’à gagner en consumant leur temps à
attendre
un jugement ou l’acquittement d’une indemnité, co
pour ceux à qui l’on consacre sa vie, et aussi pour ceux de qui l’on
attend
des égards. XXIX. Les personnes à qui l’on cause
e disposent à nous faire du mal, si nous ne les prévenons nous-mêmes,
attendu
que, dans ce cas, il n’est plus possible de délib
t une espèce de témoignage. Elle semble porter en elle la conviction,
attendu
qu’il s’y ajoute une contrainte. Il n’est donc pa
ar le sentiment de la supériorité. VIII. De ceux dont on croit devoir
attendre
un bon office. Sont dans ce cas ceux que l’on a o
on. XI. De même encore, si la fortune envoie le contraire de ce qu’on
attend
; car ce qui s’éloigne grandement de l’attente ca
nous sont contraires ; — s’ils n’ont pas le sentiment de ce que nous
attendons
d’eux, ce qui cause l’irritation du Plexippe320 d
euves dont on se croit exempt, ni de la part de gens de qui l’on n’en
attend
pas, ni dans les situations où l’on se croit à l’
se croient exposés à une épreuve, qu’ils craignent ceux de qui ils l’
attendent
, ainsi que l’épreuve elle-même et la situation qu
traversée, par le fait de gens desquels ils ne croyaient pas devoir l’
attendre
et quand cette épreuve, ainsi que la circonstance
portés à divulguer nos actes, ce sont les gens que nous avons lésés,
attendu
qu’ils sont toujours à l’affût ; les médisants, c
ou veulent persuader. Un juge, pour être seul, ne l’en est pas moins,
attendu
que celui qu’il s’agit de persuader est, absolume
t à chaque affaire en question, et cela avec le secours de la raison,
attendu
qu’il est évidemment impossible de démontrer par
d’avoir accompli une noble action, et qu’il était de leur famille, «
attendu
, ajoutait-il, que mes actes sont, plus que les ti
fait effacer sous les Trente, répondit que ce n’était pas admissible,
attendu
que les Trente auraient eu plus de confiance en l
on goûte plus ceux qui sont propres à réfuter que les démonstratifs,
attendu
que l’enthymème, pour réfuter, donne en raccourci
va venir ; et pareillement les enthymèmes dont la conclusion se fait
attendre
juste autant qu’il faut pour qu’on les connaisse
u de dire qu’Hermès est par excellence le dieu communicatif, libéral,
attendu
que, seul, Hermès est appelé le dieu commun463 ;
u commun463 ; ou que le logos 464 est ce qu’il y a de plus important,
attendu
que les gens de bien sont qualifiés non pas digne
l’on disait que c’est un très grand honneur d’être invité à un repas,
attendu
qu’Achille, faute de l’avoir été, à Ténédos, fut
ccusation, par exemple, en raison de sa vigueur, il s’en tire encore,
attendu
qu’il n’y a pas non plus vraisemblance, car il al
n enthymème dit qu’il faut avoir de l’indulgence pour les gens ivres,
attendu
qu’ils pèchent par ignorance, l’objection dira :
d’enthymèmes. (J’emploie dans le même sens les mots élément et lieu,
attendu
que, élément et lieu, c’est ce à quoi reviennent
r non point de ce qui est bien en soi, mais de ce qui est nécessaire,
attendu
qu’il convient, à vrai dire, en fait de discours,
sieurs éléments amènent ce résultat et sont de mise dans ce genre-là,
attendu
que l’on voit de plus loin les choses et les pers
es élégies nomme la poésie « le cri de Calliope » (au lieu de chant),
attendu
que les deux mots signifient un son : mais la mét
a des métaphores déplacées : les unes parce qu’elles sont ridicules,
attendu
que les poètes comiques ont aussi recours aux mét
n. II. On emploie aussi l’image dans la prose ; seulement c’est rare,
attendu
qu’elle est propre à la poésie. On place les imag
VI. La manifestation des mœurs est celle qui se fait par les indices,
attendu
que chaque genre et chaque condition (ἓξις) donne
frappé d’apprendre une chose d’une façon contraire (à celle que l’on
attendait
) et l’âme semble se dire : « Comme c’est vrai ! c
os de Théodore s’adressant à Nicon le Citharède : Θράττει σε647. On s’
attend
à ce qu’il va dire : Θράττει σε, « il te trouble
, car il dit autre chose. Le mot est joli pour celui qui le comprend,
attendu
que, si l’on ne soupçonne pas que Nicon est Thrac
dans ce cas, il n’y a pas moyen de recourir aux artifices oratoires,
attendu
que l’on voit aisément ce qui se rattache à l’aff
cours, dans sa composition, renferme un élément indépendant de l’art,
attendu
que l’orateur n’est en rien la cause des actes, —
y a rien en eux qui les motive. Mais les discours socratiques en ont,
attendu
qu’ils traitent de questions qui portent ce carac
mains. » En effet, ce sont là des choses qui apportent la conviction,
attendu
que ce sont des indices, que l’on connaît, des ch
nde Nous rendre les rayons de ta clarté féconde ? Tous les jours je t’
attends
, tu reviens tous les jours : Est-ce moi qui t’app
en a fait son asile… Là ces esprits subtils, toujours prêts à partir,
Attendent
le signal qui les doit avertir. Mon âme les envoi
Dit l’impie ; est-ce à toi, vaine et faible étincelle, Vapeur vile, d’
attendre
une gloire immortelle ? Le hasard nous forma, le
intiens, comptant nos morceaux5d’un œil avide, s’amusant à nous faire
attendre
à boire, et murmurant d’un trop long dîner. Nous
incendie augmente, l’orient paraît tout en flammes : à leur éclat, on
attend
l’astre longtemps avant qu’il se montre ; à chaqu
est juste d’aimer ; laisser couler ce qui ne doit pas toujours durer,
attendre
avec confiance ce qui durera toujours. » 4. Rou
cinello 1. M. Grimm l’a fait graver, mais il ne le communique pas. Il
attend
toujours une inscription, qu’il n’aura que quand
lque pensée profonde, puis s’arrête tout court, et dit : « Président,
attendez
; mon ami, il me vient une idée. Mais… si… par ha
mprendre, mon ami3, cette différence ? Vous êtes seul chez vous. Vous
attendez
mes papiers, qui ne viennent point ; vous pensez
’énigme : elle y donne le change au lecteur, qui d’ailleurs, doit s’y
attendre
. La métaphore et l’antithèse sont les principales
du supplice ; Ton intérêt s’oppose à ma félicité, Et ta clémence même
attend
que je périsse. Contente ton désir, puisqu’il t’
e forment les nouveaux époux, et aux fruits heureux qu’ils peuvent en
attendre
. Mais il faut qu’ils ne soient jamais hors de la
res amants ! Prononcez vos derniers serments ; L’Hymen et l’Amour les
attendent
. Le nœud que vous allez former, Ne saurait être t
trompe, ou déjà la victoire, Qui son plus grand honneur de tes palmes
attend
, Est aux bords de Charente en son habit de gloire
’ordre et du temps et du lieu ; Je m’y rendrai sur l’heure, et vais l’
attendre
. Adieu. Acte IV, scène III. Dona Léonor,
, mon fils ! Ah, mon père ! « Ô jour trois fois heureux ! moment trop
attendu
! « Tu m’as rendu la vie ! » et, « Vous m’avez pe
ous étalent ? Tous ces mille vaisseaux, qui, chargés de vingt rois, N’
attendent
que les vents pour partir sous vos lois. Ce long
lysse surviennent. Le premier, qui vient d’apprendre qu’Iphigénie est
attendue
au camp, demande que son hymen avec elle soit cél
, je m’arrêterais à de vaines menaces ! Et je fuirais l’honneur qui m’
attend
sur vos traces ! Les Parques à ma mère, il est vr
de la terre inutile fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une déesse,
Attendre
chez mon père une obscure vieillesse ; Et, toujou
itime ; Les dieux ont à Calchas amené leur victime : Il le sait, il l’
attend
; et, s’il la voit tarder, Lui-même à haute voix
istoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J’
attende
en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerr
p grossir à chaque pas : Daces, Pannoniens, la fière Germanie, Tous n’
attendent
qu’un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l’Esp
-la dans son sang justement répandu ; Brûlons ce Capitole, où j’étais
attendu
; Détruisons ses honneurs et faisons disparaître
pas beaucoup fleurie76. Orgon. (À Cléante.) Dorine… Mon beau-frère,
attendez
, je vous prie. Vous voulez bien souffrir, pour m’
Ah ! me voilà perdu ! Géronte. Ici depuis longtemps vous êtes
attendu
. M. Scrupule. Certes, je suis ravi, monsieur, qu
n est idolâtre : On nous promet l’histoire, et c’est un haut projet J’
attends
beaucoup de l’art, beaucoup plus du sujet : Il es
le à tous casseurs de verres ! Alors, sans s’émouvoir du trépas qui l’
attend
, À quelque homme de confiance L’intrépide
Je n’en sais encor rien. M. Josse. Comment ! se faire
attendre
! Oh ! cela n’est pas bien ; Et vous méritez fort
n père arrivera. Le Comte. Mon père, dites-vous ? Il ne faut point l’
attendre
. Jamais en ce pays il ne pourra se rendre. La gou
nt pas le temps d’avoir un sentiment ? À leur lever pressez-vous pour
attendre
, Pour leur parler sans vous en faire entendre, Po
mpeurs comme eux. Bon citoyen, travaille pour la France, Et du public
attends
ta récompense. » Qui ? le public ! ce fantôme inc
s cafés tes projets se répandent. Le parodiste oisif et les forains t’
attendent
. Cours, après t’être vu, sur leur scène, avili, D
sements les lionceaux demandent L’aliment qu’ils
attendent
Des mains du Créateur. Mais
ène VI. M. d’Orglande, seul. J’admire, en vérité, l’avenir qui m’
attend
: Il est flatteur… Oui, mais… Quand j’y songe pou
On va prendre le thé, Et chacun n’
attend
plus que Votre Majesté… M. d’Orglande. Eh ! mais
u’au même instant, cloches, petite et grande, Sont prêtes, et chacune
attend
et ne demande Qu’à sonner quelque mort, et du hau
ns Sichem cherche et retrouve, hélas Ses dix frères pasteurs qui ne l’
attendaient
pas ; Rachel, objet sans prix qu’un amoureux cour
eux du matin ; Je veux achever ma journée. « Ô Mort ! tu peux
attendre
; éloigne, éloigne-toi ; Va consoler les cœurs qu
, Dans cet abîme enseveli, J’ai le même destin. Je m’y devais
attendre
. Accoutumons-nous à l’oubli. Oubliés comm
me, Et, chez ces bonnes gens, de le voir tout joyeux, Vient sans être
attendu
, s’assied au milieu d’eux, Écoute le récit des pe
jours entiers nous ne l’avons point vue. Notre pauvre Brunon ! nous l’
attendons
en vain !… Les loups l’auront mangée, et nous mou
me de ma fille, oh ! suspends ton départ ; Et, pour quitter ce monde,
attends
du moins ta mère. » Ainsi la foi l’anime et l’esp
r pour le venger Le frère voit frapper son frère ; Aux tyrans qu’il n’
attendait
pas Le vieillard livre le repas Qu’il a dressé po
feux du jour, Du golfe avec terreur mesurant l’étendue, Un vieillard
attendait
, seul, au pied de la tour. Sous des flocons d’écu
s pleurs, Le long des flots bruyants il murmure à voix basse : « Je t’
attendais
hier, je t’attendis longtemps, Tu ne reviendras p
flots bruyants il murmure à voix basse : « Je t’attendais hier, je t’
attendis
longtemps, Tu ne reviendras plus, et c’est toi qu
r, je t’attendis longtemps, Tu ne reviendras plus, et c’est toi qui m’
attends
! » La Patrie. (Marino Faliero, acte I, scène
fils ! Louis. J’y reste pour
attendre
La faveur qui sur moi de vos mains va descendre,
nçois de Paule. Dieu voudra-t-il
attendre
? Louis. Demain. François de Paule.
aire, Laissez-moi m’endormir du sommeil de la terre ! » Or le peuple
attendait
, et craignant son courroux, Priait sans regarder
condes Méditations, qui suivirent d’un an les premières. L’auteur dut
attendre
une génération de lecteurs nouvelle pour retrouve
monotone ; L’œil fasciné la cherche à travers les rameaux ; L’oreille
attend
en vain que son urne tarisse ; De précipic
s points de l’immense étendue, Et je dis : Nulle part le bonheur ne m’
attend
. Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumi
sombre ou pur qu’il se couche ou se lève, Qu’importe le soleil ? Je n’
attends
rien des jours. Quand je pourrais le suivre en s
er dédaigne de détruire. Témoin de ta puissance et sûr de ta bonté, J’
attends
le jour sans fin de l’immortalité. La mort m’ento
des hommes empoisonnés dans la joie d’un festin, et que des cercueils
attendent
à la porte, des substitutions de personnes, des s
oulie a crié ; la voile suspendue Ne demande qu’un souffle à la brise
attendue
, Et sur le pont tremblant tous mes jeunes rochers
nul bonheur humain ; Comme un chêne immobile, en mon repos sonore, J’
attends
le jour de Dieu qui nous luira demain. En moi de
ue office il passe et repasse sans cesse. Là, dans ce doux enclos, il
attend
la vieillesse. Mais pourquoi ce matin, aux heures
equel le pasteur avec force appuya, Témoigna que la paix si longtemps
attendue
, La paix à son esprit était enfin rendue, Que de
re. Oui ; j’ai vérifié moi-même ce chapitre ; Et, comme vous savez, j’
attends
les créanciers, Qui viendront tout à l’heure, arm
ce qui n’est ni plus correct ni plus clair. 14. Archaïsme, pour et
attendu
que… 15. Le rebec, ancien instrument de musique
tes où elles pourraient aisément soutenir les attaques de l’ennemi et
attendre
les renforts qui lui devaient arriver, il mît sa
erminait facilement dans les plus pressantes rencontres, se résolut d’
attendre
l’ennemi dans un poste avantageux3. Histoire de
tranquillité de son âme si on l’attachait à ce moyen. Il faut donc s’
attendre
qu’en vivant avec les hommes on trouvera des hume
uns qu’ils sont, c’est une sottise d’en être surpris et de ne pas s’y
attendre
. Les hommes sont mêlés de bonnes et de mauvaises
à sa renommée, donnait à ses écrits l’autorité d’oracles impatiemment
attendus
. Il entretenait de loin la ferveur de ses fidèles
ce du monde. Cet homme promis à la nature, demandé par les prophètes,
attendu
des nations, cet homme enfin, descendu du ciel, a
us exempteront ici d’avoir froid. Au reste, je vous dirai que je vous
attends
ici avec un petit recueil de rêveries qui ne vous
pendant fort souhaité de pouvoir être témoin de votre conduite ; je m’
attends
que vous m’en rendrez compte. Car, sans cela, au
er les gens et les faire aviser de176 boire, lorsqu’on n’y songe pas.
Attendez
qu’on vous en demande plus d’une fois, et vous re
à qui des deux le premier ? harpagon. Au cuisinier. maître jacques.
Attendez
donc, s’il vous plaît. Maître Jacques ôte sa casa
nant, maître Jacques, il faut nettoyer mon carrosse. maître jacques.
Attendez
. Ceci s’adresse au cocher. Maitre Jacques remet s
ris ; j’allai dîner à Pomponne ; j’y trouvai notre bonhomme408 qui m’
attendait
: je n’aurais pas voulu manquer à lui dire adieu.
es lettres ; je ne doute point que vous ne m’ayez écrit ; mais je les
attends
, et je ne les ai pas : il faut se consoler, et s’
rôti manqua, à cause de plusieurs dîners où460 l’on ne s’était point
attendu
. Cela saisit Vatel ; il dit plusieurs fois : « Je
» Il ne savait pas que Vatel avait envoyé à tous les ports de mer. Il
attend
quelque temps ; les autres pourvoyeurs ne viennen
rois. Mais quand je considère cette infinie multitude de peuples qui
attend
de leur protection son salut et sa liberté ; quan
Si leur siècle ne leur paraît pas assez favorable à leurs folies, ils
attendront
la justice de la postérité, c’est-à-dire qu’ils t
ation de sagesse ; quand est-ce que ce pauvre homme se résoudra, s’il
attend
que de leurs conférences il résulte enfin quelque
qui portait la victoire565 dans ses yeux ! Don Francisco de Mellos l’
attend
de pied ferme ; et, sans pouvoir reculer, les deu
; il faut qu’il avance. Quel abîme lui est réservé ! quel précipice l’
attend
! de quelle bête sera-t-il la proie ? Sans secour
celle qui s’empresse et qui s’agite pour parvenir, mais de celle qui
attend
paisiblement 614 la justice qu’on doit lui rendre
e ; tous les corps assemblés étaient venus au-devant, et les derniers
attendaient
, d’espace en espace, le temps de débiter leurs ha
e superbe ? Avec quel front osera-t-il dire après659 saint Paul : « J’
attends
de mon Dieu la couronne de justice qui m’est rése
eu de travailler. II néglige les affaires pour ses plaisirs ; il fait
attendre
trop longtemps les officiers dans son antichambre
; lui seul est l’objet de toutes les espérances. On ne poursuit, on n’
attend
, on ne fait rien que par lui seul ; on regarde se
sœurs. Je ne sais pourtant si on leur permet de vous rendre visite ;
attendez
donc à leur faire des compliments, quand vous ser
usse, il se mouche sous son chapeau, il crache presque sur soi, et il
attend
qu’il soit seul pour éternuer, ou, si cela lui ar
d non plus parler les uns les autres que dans ces chambres où il faut
attendre
, pour faire le compliment d’entrée, que les petit
resque toute couverte des bateaux qui accompagnent le mien. Au bord m’
attendent
gravement tous les vénérables moines en corps ; l
ue faire ? être aussi ferme et aussi patient qu’il est insupportable,
attendre
en paix qu’il revienne demain aussi sage qu’il ét
e persécute, on le trahit828. Il ne doit rien à qui que ce soit. Mais
attendez
un moment : voici une autre scène. Il a besoin de
resque tous les hommes ; je tâche de leur rendre beaucoup, et de n’en
attendre
rien. Je me trouve fort bien de ce marché : à cet
ire au milieu de ce temple, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblants, à qui l’on va
Dieu juste qu’il regarde comme un ennemi déclaré dont il ne doit plus
attendre
d’indulgence, il915 se roule916 dans ses propies
is pas encore fermé l’œil, lorsque le muletier vint m’avertir qu’il n’
attendait
plus que moi pour partir. Je me levai aussitôt, e
regards fixes1031 sur le peuple romain ; et, perdant le courage, ils
attendaient
, de leur patience et de leurs bassesses, quelque
es de M. le duc de Bourgogne fait grand plaisir à un cœur français. J’
attends
avec impatience la paix ou quelque victoire, et j
sante servante1178, L’Ombre de Voltaire. Contre l’athéisme N’
attendre
de Dieu ni châtiment ni récompense, c’est être vé
ettre aux pieds de son maître son courage, sa force, ses talents ; il
attend
ses ordres pour en faire usage ; il le consulte,
e le plus doux et le plus honnête. « Monsieur, il y a longtemps que j’
attends
; pourriez-vous me dire quand je serai payé ? Je
notre ouvrage de terre bien foulée, et le jour où tout fut fait, nous
attendîmes
dans des transes1305 d’espérance et de crainte l’
ens, comptant nos morceaux1330 d’un œil avide, s’amusant à nous faire
attendre
à boire, et murmurant d’un trop long dîner. Nous
incendie augmente, l’orient paraît tout en flammes : à leur éclat, on
attend
l’astre longtemps avant qu’il se montre ; à chaqu
e adressé, elle offre de vous le rembourser, comme il est juste. Je n’
attends
là-dessus que vos ordres pour exécuter ses intent
eux être inconnu ? figaro. Je me retire. l e comte. Au contraire. J’
attends
ici quelque chose, et deux hommes qui jasent sont
vices, le charme de ses peines, et le prix de ses dangers. Il ne doit
attendre
sa moisson, sa destinée, la seule qui l’intéresse
pas à tout supporter. Enfin les messieurs revenaient, et ce moment si
attendu
n’apportait pas un grand changement dans la maniè
côtés la ville qui subsiste encore presque en entier, il semble qu’on
attende
quelqu’un, que le maître soit prêt à venir ; et l
nel. Ses petits-enfants, qui depuis longtemps ne rêvaient que la fête
attendue
, entouraient ses genoux, et le rajeunissaient de
istement vos yeux. Le voyageur s’assied sur le tronc d’un chêne, pour
attendre
le jour ; il regarde tour à tour l’astre des nuit
ennemis ne prévalent pas contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment
attendu
donne tout à coup signe d’existence, l’instinct n
ieds, où l’on montait par une échelle, c’était là le coucher qui nous
attendait
, espèce de nid dans lequel on s’introduisait en r
s rues, ou fuyant dans la campagne, tombent aux mains de ceux qui les
attendaient
dehors. Après une longue scène de tumulte et de c
s ranger encore sous le bonnet ; le roi crut qu’il allait frapper : «
Attendez
le signe, lui dit-il. — Je l’attendrai, Sire, ave
i crut qu’il allait frapper : « Attendez le signe, lui dit-il. — Je l’
attendrai
, Sire, avec le bon plaisir de Votre Majesté. » Au
tourné la tête, et ne lui dit que ces mots : « Madame, les lords vous
attendent
, et m’ont envoyé vers vous. — Oui, répondit Marie
s. Quand on fut sur l’escalier où les comtes de Shrewsbury et de Kent
attendaient
Marie Stuart, et par où elle devait descendre dan
perdu son à-propos, et, au lieu de la gloire, c’est la honte qui vous
attend
. Tout cela peut sans doute se faire médiocrement,
couraient çà et là, cherchant un père, un mari, des enfants. Les uns
attendaient
leur sort avec une résignation silencieuse ou une
es rivages de la Grande-Bretagne l’ont accueilli comme un hôte qu’ils
attendaient
. Quand les vaisseaux de l’Occident, las des barri
rivains qui ont su le mieux économiser l’emploi de leur talent, faire
attendre
et désirer leurs œuvres, les polir à loisir, et c
vait-elle pas bien soin de toi ? Que te manquait-il ? Pourquoi ne pas
attendre
un mois encore ? ta bru t’aurait donné un fils. »
r le maire de vider la place au plus vite ; mais celui-ci n’avait pas
attendu
cette invitation. Il gagnait la porte, et déjà se
, et s’épandait sur la superficie de la terre ; mais, outre qu’elle n’
attendait
pas toujours le soleil pour se défaire, et qu’ell
sprit s’effraie D’un festin sans turbot, sans barbue et sans raie. Il
attend
, s’inquiète, et, maudissant son sort, Appelle en
au vice, ou qui représentent la vertu, croit avoir accompli ce qu’on
attend
de son pinceau, lorsqu’il a parfaitement imité la
ditions extravagantes. Il n’y a nul ménagement et nulle composition à
attendre
d’un homme si plein de ses intérêts et si ennemi
cœur plein d’amertume. Bossuet s’adresse à une âme religieuse, qui n’
attend
plus rien du côté de la terre. 593. Ce style est
génieuse qui appelle le sourire. 614. Cette justice se fait parfois
attendre
si longtemps, qu’elle arrive trop tard, quand l’h
, étant invité chez M. le Duc, et averti qu’une nombreuse compagnie l’
attendait
pour dîner, il refusa, disant qu’il n’avait point
édecins consultent l’état de sa maladie, et que sa famille tremblante
attend
le résultat de la conférence, ces médecins invisi
est juste d’aimer ; laisser couler ce qui ne doit pas toujours durer,
attendre
avec confiance ce qui durera toujours. » 1324.
e briller encore de toute l’antique splendeur de ses prophéties, ou n’
attendre
qu’une parole pour sortir tout éblouissante de se
rendra parti pour le tribunal correctionnel, et, dans le second, elle
attendra
du ciel la récompense que les hommes laissent à D
rgné pour vous revoir encore. Pourtant, nous ne pouvons pas tous nous
attendre
à revenir raconter l’histoire de notre bataille,
là Louis XIII pris métaphoriquement pour Jupiter ; et l’imagination s’
attend
à voir cette figure soutenue. Mais Malherbe ajout
pante au crédit actuel de ces deux seigneurs. Une dame de distinction
attendait
dans l’antichambre d’un parvenu. Quelqu’un lui en
ssante par leur art, forte par sa faiblesse, Sur le bord qu’il menace
attend
le flot grondant, Trompe sa violence et résiste e
u lecteur ! La vie entière de Socrate, et les remords inévitables qui
attendent
ses bourreaux. Mais, quand nous trouverons dans F
pensée. Mais il ajoute : Poser ses bonnes actions dans la barque, et
attendre
le vent qui nous pousse rapidement vers des monde
t combien cette circonstance de mettre son paquet dans le bateau et d’
attendre
le vent, affaiblit la première idée, et lui fait
te il revint chez lui ; il y changea de vêtement et de chaussure ; il
attendit
quelque temps, comme il arrive d’ordinaire, que s
nteau de voyage ; et la petite épigramme contre les dames qui se font
attendre
nous semble assez mal séante devant un tribunal o
e lui-même aussi vivement que vous. La description à laquelle il ne s’
attend
pas l’effraye ; celle qu’il ne désire pas l’impat
éternels, et arrêtons ce que nous devons être pour toujours. Si l’on
attend
un âge, plus avancé pour se choisir un état, les
on qui en décident d’ordinaire. Une dignité sacrée à laquelle on ne s’
attendait
point nous dépouille à l’instant de l’ignominie d
nous mille dispositions cachées que nous ne connaissons pas, et qui n’
attendent
que l’occasion pour paraître ; seul, lorsqu’il ti
tion. Arrivé à la confirmation… Le Juge. — Ah ! c’est là que je vous
attends
. Comment vous êtes-vous tiré de ce pas difficile
travaux forcés à perpétuité. Le Juge. — Cela ne m’étonne pas, je m’y
attendais
. L’Avocat. — Comment ! et vous aussi vous nous co
eur apparaît pas aussi claire que la lumière du jour, plus de pitié à
attendre
d’eux ; ils se renferment dans la résolution infl
s rues, ou fuyant dans la campagne, tombent aux mains de ceux qui les
attendaient
dehors. Après une longue scène de tumulte et de c
ieds, où l’on montait par une échelle, c’était là le coucher qui nous
attendait
, espèce de nid dans lequel on s’introduisait en r
eveulx, et vos pechez fuyans, Par repentance, avecques Magdalaine. Qu’
attendez
-vous ? Quand on est hors d’alaine, La force fault
je suis seur (s’ils durent longuement) Que je puis bien certaine mort
attendre
. Assez congnois que trop veux entreprendre ; Mai
Non entendu par signes ni par ditz. Je prie à Dieu que vous puissiez
attendre
Qu’on ouvre l’huis, une nuit toute entière, Tout
. Il a voulu faire improviser à la langue française ce qu’elle devait
attendre
de « longueur de temps », et il a mis la bride su
Regrettant mon amour et vostre fier desdain. Vivez, si m’en croyez, n’
attendez
à demain ; Cueillez dès aujourd’huy les roses de
sois encor en ces bas lieux. Mais tu n’y seras guere, ô deesse ! à m’
attendre
, Car je n’estois resté que pour cueillir ta cendr
alets, Il l’appelle, et lui dit : « Hola hau ! Ladreville, Qu’on ne m’
attende
point, je vay disner en ville, » Dieu sçait si ce
preste, Joyeuse à vaincre au courre une sauvage beste. Sa carrosse l’
attend
à quatre blancs chevaux Plus vistes677 que les ve
, parce que rien de lui n’est indifférent ; Benserade (1612-1691), qu’
attendaient
les ballets de la cour de Louis XIV pour faire ap
rompe, ou desjà la Victoire, Qui son plus grand honneur de tes palmes
attend
, Est aux bords de Charente en son habit de gloire
ictime du tombeau, Verra bien tost ses jours esteindre leur flambeau.
Attendez
le succes des tristes destinées Qui destordent de
elle du ciel à ce combat t’appelle, La torture, le fer et la flamme t’
attend
: Offre à leurs cruautés un cœur ferme et constan
tout préparé Pour réunir bientôt ce que j’ai séparé. Ô toi qui n’
attends
plus que la cérémonie Pour jeter à mes pieds ma r
’ordre et du temps et du lieu ; Je m’y rendrai sur l’heure, et vais l’
attendre
. Adieu821. (Don Sanche, I, 3 et 4). Un co
s votre ordre en fantôme éclatant, En colosse d’état qui de vous seul
attend
L’ame qu’il n’a pas de lui-même… Général en idée,
ocentes : Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes : Chacun
attend
de vous ce devoir généreux : Les Destins sont con
sumer les restes à me plaindre, Et, prodigue d’un temps par la Parque
attendu
, Le perdre à regretter celui que j’ai perdu ? Si
vois plus d’instans qui ne m’en sollicitent. Je recule, et peut-être
attendrais
-je trop tard : Car qui sait les momens prescrits
t idolâtre ; On nous promet l’histoire, et c’est un beau projet893. J’
attends
beaucoup de l’art, beaucoup plus du sujet Il est
t suffire, Et que, pour te traiter comme je le désire, Mon courroux n’
attend
qu’un bâton ? SOSIE. Si vous le prenez sur ce ton
Des tendresses de notre cœur. Pour m’ôter leur présent, me falloit-il
attendre
Que j’en eusse fait tout mon bien ? Ou plutôt, s’
ais presser un entretien si doux. NÉRON. Dans mon appartement qu’il m’
attende
avec vous981. (Britannicus, IV, 3.) La jal
Ah ! me voilà perdu. GÉRONTE. Ici depuis longtemps vous êtes
attendu
. M. SCRUPULE. Certes, je suis ravi, monsieur, qu’
La Pucelle a été fort maltraitée, non sans raison. Que pouvait faire
attendre
une préface (elle est adressée au duc de Longuevi
du supplice : Ton intérêt s’oppose à ma félicité, Et ta clémence même
attend
que je périsse. Contente ton désir puisqu’il t’e
Je verrai les saisons se suivre tour à tour ; Et dans un doux repos j’
attendrai
la vieillesse. Ainsi, lorsque la mort viendra ro
i de témoin… Cependant vers leur fin s’envolent ses années ; Mais il
attend
sans peur des fières destinées Le funeste décret
newelt, un qui le termine : Caton se la donna (la mort). — Socrate l’
attendit
; — deux poètes comiques égarés dans la tragédie
par la mort. Pour qu’elle soit reprise et menée à bonne fin, il faut
attendre
encore un quart de siècle. Heureusement le xviiie
lattez-vous de les aimer ? Des heureux qu’il vous plaît de faire Vous
attendez
votre salaire ; Vous voulez régner sur les cœurs
ue Rome pliât ; Mais, incapable de se rendre, Il n’eut pas la force d’
attendre
Un pardon qui l’humiliât1062. La montre et le
r solaire. — Eh ! que fais-tu donc là. si tu n’en sais pas plus ? — J’
attends
, répondit-il, que le soleil m’éclaire : Je ne sai
ondit-il, que le soleil m’éclaire : Je ne sais rien que par Phébus. —
Attends
-le donc ; moi je n’en ai que faire, Dit la montre
le ciel irrité Veut se justifier de trop d’impunité ; C’est ici que m’
attend
le trait inévitable, Suspendu trop longtemps sur
ia plus cher ses Juvenilia que La Fontaine ses Contes : Louis XIV fit
attendre
l’un, Louis XV fit échouer l’autre. Plaidoyer
ts et les goûts, Le jugement d’un seul n’est point la loi de tous, Qu’
attendre
est, pour juger, la règle la meilleure, Et que l’
et son intempérie ; Trompe aussi par raison tes sens et leur furie. N’
attends
pas dans ton cœur de mollesse abattu Que l’air br
ssante par leur art, forte par sa foiblesse, Sur le bord qu’il menace
attend
le flot grondant, Trompe sa violence, et résiste
ntine et tendre, « Vos discours sont prudents1207 plus qu’on eût dû l’
attendre
; « Mais, toujours soupçonneux, l’indigent étrang
u sauvage Eurytus. Soudain, le glaive en main, l’ardent Pirithoüs : «
Attends
; il faut ici que mon affront s’expie, Traître !
ètes qui, soit comptaient parmi ses fondateurs, soit ne l’avaient pas
attendue
pour faire preuve d’indépendance, soit répondiren
eta son crêpe noir, Mon père à ses côtés ne me fit plus asseoir, Et j
attendis
en vain à sa place déserte Une tendre caresse, et
des ailes à la Mort. L’or n’enrichit ni ton frein, ni la selle ; Mais
attends
tout du prix de mes exploits. Hennis d’orgueil, ô
le ; Cyclades, c’est vous qu’elle appelle ; Venez, mes sœurs, je vous
attends
! Tyne, Andros, Mycone, il est temps ! Chio nous
ÇOIS DE PAULE. Dieu voudra-t-il
attendre
? LOUIS. Demain ! FRANÇOIS DE PAULE.
Je confie au public mes plus chers intérêts, Mais en les respectant j’
attendrai
ses arrêts. Malheur à l’esprit vain qui dans l’ar
s points de l’immense étendue, Et je dis : Nulle part le bonheur ne m’
attend
… Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère,
I Mil huit cent onze ! — Ô temps, où des peuples sans nombre
Attendaient
, prosternés sous un nuage sombre, Que le ciel eût
isaient entre eux : — Quelqu’un de grand va naître ! L’immense empire
attend
un héritier demain. Qu’est-ce que le Seigneur va
aire, Laissez-moi m’endormir du sommeil de la terre ». Or, le peuple
attendait
, et, craignant son courroux, Priait sans regarder
s reviennent ; La flairer avec crainte, et passent en soufflant. Elle
attend
que l’été, changeant ses destinées, Vienne ouvrir
s excite au combat ; cependant Elles tournent en rond lentement, et s’
attendent
: Leurs mufles amaigris l’un vers l’autre se tend
orsque dans le désert la cavale sauvage, Après trois jours de marche,
attend
un jour d’orage, Pour boire l’eau du ciel sur ses
scarpés ? La biche le regarde ; elle pleure et supplie : Sa bruyère l’
attend
; ses faons sont nouveau-nés ; Il se baisse, il l
. Aussi bien qu’un penseur le sage est un athlète ; Un fier combat l’
attend
, à toute heure, en tout lieu. Il faut, pour lui f
du soleil, sans trêve ni relâche, Ils ont coupé les foins au village
attendus
; Ils ne partiront pas sans achever leur tâche :
-il pas agir ? BRUTE. Il faut encore
attendre
. VALÈRE. Est-ce Brute qui parle ? Et que viens-je
ont du pic allier, Baigné d’une lueur qui saigne sur la neige1558, Il
attend
cette mer sinistre qui l’assiège : Elle arrive, d
Virgile, Géorg.. III, 364. 240. Espérer employé ici dans le sens de
attendre
. Racine a dit de même (Androm. V, sc. dern.) : G
ux ! Le chœur. Quel heur en son départ ? Enée. L’heur que les miens
attendent
. Le chœur. Les Dieux nous ont faits tiens. Enée
Je crois juste… les lois anciennes… » L’art est déjà parfait. 676.
Attend
le roi. 677. Bossuet (Or. fun. de la princesse
dans Racine (Iphig, IV, 4), Agamemnon à sa fille : Du coup qui vous
attend
vous mourrez moins que moi… Allez, et que les Gre
oue dis je plus que je ne dois. Moi de qui la pudeur devroit du moins
attendre
Que vous m’expliquassiez le trouble où je vous vo
aux hommes. Cf. l’épitre suivante, v. 2. Corneille, Cinna, I, 2 : J’
attendrai
du hasard qu’il ose le (Auguste) détruire. Cf. L
ononcer par l’oracle qu’elle devait être exposée sur un rocher pour y
attendre
le monstre. À peine exposée, elle est transportée
ice de Rome. Comparez encore, Alexandre, V, 3 : PORUS. Aussi bien n’
attends
pas qu’un cœur comme le mien Reconnaisse un vainq
ais user de la victoire ; Et Pompée, III, 4 : CORNÉLIE. Car enfin n’
attends
pas que j’abaisse ma haine. Je te l’ai déjà dit,
Le poison, est tout prêt. Il retourne Néron, qui, laissant Burrhus l’
attendre
, finit la scène et l’acte par ce vers, contre-par
ns phrases », en un mot « Sortez ! » : les muets, le lacet en main, l’
attendent
derrière la porte. Il est tué, et elle se tue. Vo
r et de me plaindre Des muses, des grands et du sort, C’est icy que J’
attends
la mort Sans la desirer ni la craindre. 1011.
Séjan raisonne sur lui-même comme Claudien sur Rufin. Séjan n’a qu’à
attendre
: Auferet hunc tandem Sejant pœna tumultum Abs
mparses dans la Mort de César (1735) : le vieux Grévin ne l’avait pas
attendu
pour cela. Il y· a plus de nouveauté dans le coup
is, le jeune poète enthousiaste, qui se fait appeler M. de l’Empyrée,
attend
du succès d’une tragédie son succès auprès de Luc
s, que nous ont conservés ses fragments ou ébauches, mêlées de prose,
attendaient
leur emploi, pittoresques et charmants !
le attaché, vient s’asseoir auprès d’elle ; Muet, l’oreille droite il
attend
son réveil ; Et si la chaste reine, au milieu du
pourrai faire un quadro », un cadre, un petit tableau, et l’esquisse
attendait
dans son portefeuille ou la plume du poète ou le
temps, emprunte quelque chose d’héroïque au voisinage de la mort qui
attendait
le poète. — On voit, au centre du célèbre tableau
erre, Attentif au coup de sifflet, Pour lancer ses feux sur la terre,
Attendre
l’ordre d’un valet. J’ai vu, du ténébreux empire
printemps Loin des bras qui m’ont repoussée ; Reviens, ma mère, je t’
attends
Sur la pierre où tu m’as laissée. 1287. « Je
iton (voir Platon, Criton) lui faisait de le tirer de la prison où il
attendit
la mort. 1342. Ainsi finit le beau fragment anti
ù l’orage est vainqueur, Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous
attendre
, Parlent encor de vous en remuant la cendre De le
èce, dans la colère vengeresse de Brutus. Voilà l’occasion que Brutus
attendait
, non pas celle qu’il aurait choisie, car il a pou
devais à un prince, était celle de la dépendance et de l’égalité : j’
attendis
qu’il vînt chez moi ». Tout ce morceau est bien
devais à un prince, était celle de la dépendance et de l’égalité : j’
attendis
qu’il vînt chez moi ». Je laisse aux lecteurs ju
hais ses mains défaillantes qu’avec respect ; et le lit funèbre où il
attendait
la mort, me semblait une espèce de sanctuaire. Ce
extrême effort, après lequel trouvant plus de résistance qu’ils n’en
attendaient
, et le propre de la violence étant de durer fort
rtaine. Il leur est impossible de laisser arriver les événements et d’
attendre
la maturité des choses ; ils voudraient hâter le
ment, et David se rend ce témoignage à soi-même, « qu’il a patiemment
attendu
l’Éternel, lequel ne l’a point trompé ». Et néanm
; et quand nous avons eu l’un et l’autre, il s’est bien gardé de nous
attendre
. De sorte, monsieur, que hors la Capelle et le Ca
r un empire (car c’était le prix de cette victoire), ne voulurent pas
attendre
trois jours ? Vous voyez donc que pour sauver la
plus de bonheur devant Dôle, où la longueur du siège nous en faisait
attendre
une mauvaise issue, quand on sut que les ennemis
ue dans celle des poètes. Prévenez ce temps-là, je vous conjure, et n’
attendez
pas à être de ses amis jusques à ce que vous y so
est de ces gens-là. Il veut être le premier de son opinion, et qu’on
attende
par respect son jugement. Toute approbation qui m
é. Vous savez que madame la duchesse de Chaulnes est à Vitré ; elle y
attend
le duc, son mari, dans dix ou douze jours, avec l
urs, avec les états de Bretagne : vous croyez que j’extravague ; elle
attend
donc son mari avec tous les états, et, en attenda
Paris ; j’allai dîner à Pomponne ; j’y trouvai notre bonhomme82 qui m’
attendait
; je n’aurais pas voulu manquera lui dire adieu.
ve » ni à l’orphelin138. Quel est ce changement, et qui aurait jamais
attendu
d’une douceur si plaisante une cruauté si impitoy
x miracles. N’est-il pas évident que tout le fruit qu’ils en devaient
attendre
, et qui leur en revint, fut la haine publique, le
autres, qu’il lui soit égalé. Ils en appellent à l’autre siècle ; ils
attendent
la fin de quelques vieillards, qui, touchés indif
faire ? être aussi ferme et aussi patient qu’il est insupportable, et
attendre
en paix qu’il revienne demain aussi sage qu’il ét
le persécute, on le trahit ; il ne doit rien à qui que ce soit. Mais
attendez
un moment, voici une autre scène : il a besoin de
sur vos ailes. Que le Midi, que l’Orient, que les îles inconnues les
attendent
, et les regardent en silence venir de loin. Qu’il
aussi nombreuses que les conciles universels278, et où la loi de Dieu
attendait
son explication de la bouche d’Augustin ? Je ne v
nces trompeuses, ils ne tombent dans des espèces d’embuscades qui les
attendent
, souvent cachées à l’abri des plus grands noms. C
re au milieu de ce temple, et que vous n’y êtes rassemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblants à qui on va pr
à une grande guerre, le sénat dissimulait toutes sortes d’injures, et
attendait
dans le silence que le temps de la punition fût v
des regards fixes sur le peuple romain ; et, perdant le courage, ils
attendaient
de leur patience et de leurs bassesses quelque dé
. » Je reçus les grâces du roi : j’adorai les décrets des dieux, et j’
attendais
leurs promesses, sans les rechercher ni les fuir.
, pour guetter au passage une grenouille, un poisson ; mais, réduit à
attendre
que sa proie vienne s’offrir à lui, et n’ayant qu
r ; roi paisible des oiseaux d’eau, il brave les tyrans de l’air ; il
attend
l’aigle sans le provoquer, sans le craindre ; il
ait trop, et que le beau temps m’invitait, je ne pouvais si longtemps
attendre
, et pendant qu’on était encore à table, je m’esqu
r encor à leur courage tendre, Voyant Dieu devant eux en ses bras les
attendre
, Et pour leur faire honneur les anges se lever463
ux ; ils sont dignes de vous : Malgré tous nos efforts, vous en devez
attendre
Ce que vous souhaitez et d’un fils et d’un gendre
ue lâcheté. LE VIEIL HORACE. J’en aurai soin. Allez : vos frères vous
attendent
; Ne pensez qu’aux devoirs que vos pays demandent
nner. Voilà, belle Émilie, à quel point nous en sommes. Demain, j’
attends
la haine ou la faveur des hommes, Le nom de parri
conjurés Rend mes jours plus maudits, et non plus assurés. Octave, n’
attends
plus le coup d’un nouveau Brute : Meurs ; et déro
ultipliées ne font qu’élever sa grande âme. Entouré des coupables qui
attendent
leur arrêt de sa bouche, il va prononcer leur par
conseille. VENCESLAS. Prêtez-moi, Ladislas, le cœur avec l’oreille. J’
attends
toujours du temps qu’il mûrisse le fruit Que pour
t un peu votre courage555. Encor, si la saison s’avançait davantage !
Attendez
les zéphyrs : qui vous presse ? un corbeau Tout à
ocentes : Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes ; Chacun
attend
de vous ce devoir généreux : Les Destins sont con
s plutôt qu’il est de ma rente. ARMANDE. Oh ! oh ! oh ! celui-là ne s’
attend
point du tout. PHILAMINTE. On n’a que lui qui pui
ouverte, Et de nous signaler par quelque découverte. TRISSOTIN. On en
attend
beaucoup de vos vives clartés, Et pour vous la na
la frayeur épars ; Il voit cent bataillons, qui, loin de se défendre,
Attendent
sur des murs l’ennemi pour se rendre. Confus, il
eprocher sa conduite et à le menacer de sa vengeance. Pendant qu’elle
attend
son réveil, elle voit sortir Burrhus de chez lui.
presser un entretien si doux738. NÉRON. Dans mon appartement qu’il m’
attende
avec vous. Acte IV, scène IV. Néron, Narci
érités à entendre d’Isabelle ; mais une plus rude et dernière leçon l’
attend
: elle lui sera donnée par Lycandre, vieillard d’
homme n’a pas fait fortune à l’intendance. (Au comte.) Ma femme vous
attend
. Venez, d’un air soumis, Prévenant, la prier d’êt
MON. C’est bien dit. Je vous fais compliment à tous deux. Je n’ai pas
attendu
ce que je viens d’apprendre Pour choisir votre fi
ux du matin : Je veux achever ma journée. « Ô mort ! tu peux
attendre
, éloigne, éloigne-toi ; Va consoler les cœurs que
Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi ; car on s’
attendait
de voir un auteur, et on trouve un homme. » 264
n’était pas de décider une prééminence qui sera toujours un problème,
attendu
la valeur à peu près égale des motifs pour et con
effroi, et toujours le fléau de l’humanité. On devait naturellement s’
attendre
à voir, sous leur verge funeste, le goût se corro
eta son crêpe noir, Mon père à ses côtés ne me fit plus asseoir, Et j’
attendis
en vain à sa place déserte, Une tendre caresse et
se me dit de reprendre courage. Eh ! que sert d’espérer ! Que puis-je
attendre
enfin ! J’avais une marmotte, elle est morte de f
Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi ; car on s’
attendait
de voir un auteur, et on trouve un homme. La vrai
; Et Voltaire a traduit ainsi ce vers : Nous ne vivons jamais, nous
attendons
la vie. 1. Ce verbe fort goûté de Montaigne et
us exempteront ici d’avoir froid. Au reste, je vous dirai que je vous
attends
ici avec un petit recueil de rêveries qui ne vous
n remède plus fâcheux que la maladie : mais je vous conseille aussi d’
attendre
que le temps seul vous guérisse, et beaucoup moin
favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens
attendait
le succès d’une entreprise qui, selon toutes les
g pour le bien public ; là on lui dresse une pompe funèbre, où l’on s’
attendait
de lui dresser un triomphe. Chacun choisit l’endr
s ! Notre mère qui nous aimait tant, morte depuis deux ans seulement,
attendrait
-elle en vain notre visite ! Que nous dirait-elle
luie allons prier sur sa tombe. M. Dès les premiers mots, le lecteur
attend
cette phrase ; il est si naturel d’aller le jour
es mots, une grande infortune a sans doute frappé celui qui parle. On
attend
une description tragique ; le cœur s’émeut d’avan
es grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne, l’autre… Messieurs, qu’
attendez
-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du
lerait à un amas confus de fleurs qui n’aurait rien d’agréable et qui
attendrait
, pour plaire, que la main d’un artiste habile les
avançant, on finit par découvrir dans le lointain un bosquet qui vous
attend
pour protéger votre repos, où vous arrivez sans f
st rare, instantané, imprévu. C’est un éclair qui brille sans qu’on l’
attende
, c’est un trait qui frappe avant qu’on l’ait vu d
c’est un trait qui frappe avant qu’on l’ait vu dans l’air. Si l’on s’
attend
au sublime, son effet est manqué ;car l’âme se pr
it Platon ; Ce Dieu qu’à l’Univers explique la raison, Que la justice
attend
, que l’infortune espère, Et que le Christ enfin v
est déjà une préparation à la transition qui va suivre. Ces mots font
attendre
autre chose. J’éprouve cependant un sentiment bi
ante que l’orateur s’adresse et à laquelle l’auditeur était loin de s’
attendre
, C’est encore une transition magnifique : car il
veux prouver à un philosophe qu’il faut s’inquiéter du sort qui nous
attend
après la mort. Je lui pose ce dilemme : Ou notre
férentes mœurs que vous remarquerez. Ulysse4 en fit autant. » On ne s’
attendait
guère De voir Ulysse en cette affaire. La tortue
ent un peu votre courage2. Encor, si la saison s’avançait davantage !
Attendez
les zéphyrs3 : qui vous presse ? un corbeau Tout
’avertir au moins. « Est-il juste qu’on meure Au pied levé ? dit-il :
attendez
quelque peu ; Ma femme ne veut pas que je parte s
ur, votre disposition ; sens encore très-usité au XVIIIe siècle. 3.
Attendez
les zéphirs. Didon disait à Énée : « Expectet fac
isait à Énée : « Expectet facil-mque fugam ventosque ferentes : qu’il
attende
une fuite facile et des vents propices. » Elle au
2. D’un arbre. C’est la peine du talion. 3. Pleurés. Ce trait est
attendu
: il idéalise le personnage. Qui de nous ne revoi
e rappelle point la sagesse économe et sobre de Boileau, si patient à
attendre
, au coin d’un bois, la rime, ou le mot qui l’avai
e sages, pour tout ce qu’il fait et tout ce qu’il dit. » Molière. «
Attendez
. Il faut marquer davantage tout cet endroit. Écou
gens-là, sans doute. Il veut être le premier de son opinion, et qu’on
attende
par respect son jugement. Toute approbation qui m
graves paroles qui excitent une attente mêlée d’anxiété- Lui-même il
attend
sa colère ; mais qu’un mot échappe du sein de la
vices, le charme de ses peines et le prix de ses dangers ; il ne doit
attendre
sa moisson, sa destinée, la seule qui l’intéresse
pas à tout supporter. Enfin les messieurs revenaient, et ce moment si
attendu
n’apportait pas un grand changement dans la maniè
’un tel monument est comme une musique continuelle et fixée, qui vous
attend
pour vous faire du bien quand vous vous en approc
uprès de ses pareils, et n’a-t-il pas déjà retrouvé les amis qui nous
attendent
? Ibid., chap. viii. Les ennemis de l’ent
d’étangs et de forêts, c’est là qu’ils se préparent à descendre : ils
attendent
la nuit, et font des évolutions au-dessus des boi
r venir partager avec lui les douleurs et les gloires du martyre : on
attend
l’arrivée de l’empereur pour livrer Ces deux chré
mbarras de se montrer miséricordieux ou cruel : depuis longtemps elle
attendait
le combat la soif du sang avait redoublé à la vue
ui je m’en console. J’ai tant été trompé en Grèce, que le même sort m’
attendait
à Troie. Du moins j’ai conservé toutes mes illusi
’Autriche avait accédé à la ligue ; elle commença les hostilités sans
attendre
que ses alliés fussent prêts à la soutenir. Cette
de vous ; vous avez à la journée d’Austerlitz justifié tout ce que j’
attendais
de votre intrépidité ; vous avez décoré vos aigle
ser pour se rendre à Whitehall. Plusieurs compagnies d’infanterie l’y
attendaient
, formant une double haie sur son passage ; un dét
ranger encore sous son bonnet ; le roi crut qu’il allait frapper : «
Attendez
le signe, lui dit-il. — Je l’attendrai, sire, ave
i crut qu’il allait frapper : « Attendez le signe, lui dit-il. — Je l’
attendrai
, sire, avec le bon plaisir de Votre Majesté. » Au
on s’était enflammée au récit des exploits d’Odin et des plaisirs qui
attendaient
les braves dans les salles du palais des morts196
es portes de la ville où sa femme et ses trois enfants restaient pour
attendre
son retour. Le passage de Sighebert à travers le
présage de délivrance. Jugeant sa position presque désespérée, le roi
attendait
l’événement dans une sorte d’impassibilité ; mais
on pouvait, sans être un prophète, deviner et prédire la fin qui les
attendait
presque tous. Un jour que la famille de Hilperik,
tourné la tête, et ne lui dit que ces mots : « Madame, les lords vous
attendent
, et m’ont envoyé vers vous. — Oui, répondit Marie
s. Quand on fut sur l’escalier où les comtes de Shrewsbury et de Kent
attendaient
Marie Stuart, et par où elle devait descendre dan
de quatre, elles se porteraient à Ivrée, à l’entrée de la plaine, et
attendraient
là que la grosse artillerie pût les suivre. Si ce
une perte de temps. Nous avons des vivres en suffisante quantité pour
attendre
, et nous viendrons toujours à bout ou de tourner
vous déplaire. ŒDIPE. De ton indigne voix je saurai m’affranchir. Qu’
attends
-tu donc ? POLYNICE. Qu’attends-tu donc ?La mort.
digne voix je saurai m’affranchir. Qu’attends-tu donc ? POLYNICE. Qu’
attends
-tu donc ?La mort. ŒDIPE. Qu’attends-tu donc ? La
’attends-tu donc ? POLYNICE. Qu’attends-tu donc ?La mort. ŒDIPE. Qu’
attends
-tu donc ? La mort.Quoi ! tu veux… POLYNICE. Qu’a
t. ŒDIPE. Qu’attends-tu donc ? La mort.Quoi ! tu veux… POLYNICE. Qu’
attends
-tu donc ? La mort. Quoi ! tu veux…Vous fléchir294
fuyons. Plus de soins, plus d’importune image. Amis, la liberté nous
attend
dans les bois. Sans nous plaindre, et de l’homme,
Parle, ô mon cher Cnéius. CNÉIUS. Parle, ô mon cher Cnéius.Agrippine
attendue
Aux désirs des Romains n’est pas encor rendue. PI
Elle étendait sur moi ses bontés tutélaires ; Et, par elle, un empire
attendu
quarante ans De ses lauriers tardifs couvrit mes
vous pouvez m’entendre. Ce moment, il est vrai, s’est fait longtemps
attendre
. Rome ne m’offre plus que des yeux ennemis. Mes j
les plus variés, avaient été une heureuse conquête. Mais c’était trop
attendre
de la chanson que de lui permettre d’empiéter sur
s feux du jour Du golfe avec terreur mesurant l’étendue, Un vieillard
attendait
seul au pied de la tour. Sous des flocons d’écume
leurs, Le long des flots bruyants il murmure à voix basse419 : « Je t’
attendais
hier, je t’attendis longtemps ; Tu ne reviendras
ots bruyants il murmure à voix basse419 : « Je t’attendais hier, je t’
attendis
longtemps ; Tu ne reviendras plus, et c’est toi q
, je t’attendis longtemps ; Tu ne reviendras plus, et c’est toi qui m’
attends
! » Secondes Messéniennes. Louis XI. (Ext
ive, Essayez-en. LOUIS. Essayez-en.Oui, traître, oui, le saint que j’
attends
Peut réparer d’un mot les ravages du temps421. Il
Daim 423, puis François de Paule. OLIVIER. Sire, François de Paule
attend
qu’on l’introduise. LOUIS, montrant Coitier. Entr
levez-vous, mon fils ! LOUIS. Relevez-vous, mon fils !J’y reste pour
attendre
La faveur qui sur moi de vos mains va descendre,
tard ! FRANÇOIS DE PAULE. N’hésite pas. Plus tard !Dieu voudra-t-il
attendre
? LOUIS. Demain ! FRANÇOIS DE PAULE. Demain !Mai
scarpés ? La biche le regarde ; elle pleure et supplie : Sa bruyère l’
attend
; ses faons sont nouveau-nés ; Il se baisse, il l
s lâché dans l’arène, tout finit ; et l’on ne voit rien de ce qu’on s’
attendait
à voir. Celle tromperie est tout à fait commandée
rler la Providence à l’homme assailli par le doute (8e Méditation) :
Attends
; ce demi-jour, mêlé d’une ombre obscure, Suffit
ypocrite douceur du malade s’abaissant devant un pauvre moine dont il
attend
la santé, le ton hautain du roi habitué à tout vo
us, et d’autant plus précieux, qu’il faut les payer plus cher, et les
attendre
plus longtemps. Heureux une fois, dans la concept
de M. Delille, et par les efforts heureux de M. Gaston ; mais Lucain
attend
, et attendra longtemps encore un vengeur parmi no
lle, et par les efforts heureux de M. Gaston ; mais Lucain attend, et
attendra
longtemps encore un vengeur parmi nous : ce n’est
infiniment trop bas dans celle des autres, c’est du temps qu’il doit
attendre
et qu’il obtiendra son véritable rang. Mais en at
rvis ! Céphise. Hé bien ! allons donc voir expirer votre fils : On n’
attend
plus que vous… Vous frémissez, madame. Andromaqu
er. Pyrrhus vous l’a promis : vous venez de l’entendre, Madame ; il n’
attendait
qu’un mot pour vous le rendre. Croyez-en ses tran
tre sur nous Veut venger Troie encore et son premier époux. Allons, n’
attendons
pas que l’on nous environne : Nos Grecs nous rejo
ue faire ? être aussi ferme et aussi patient qu’il est insupportable,
attendre
en paix qu’il revienne demain aussi sage qu’il ét
le persécute, on le trahit3. Il ne doit rien à qui que ce soit. Mais
attendez
un moment : voici une autre scène. Il a besoin de
resque tous les hommes ; je tâche de leur rendre beaucoup, et de n’en
attendre
rien. Je me trouve fort bien de ce marché : à cet
à sa renommée, donnait à ses écrits l’autorité d’oracles impatiemment
attendus
. Il entretenait de loin la ferveur de ses fidèles
ce du monde. Cet homme promis à la nature, demandé par les prophètes,
attendu
des nations, cet homme enfin, descendu du ciel, a
ant et monotone. Le dialogue serait vicieux si la réplique se faisait
attendre
; c’est-à-dire si, avant de répondre catégoriquem
aideuse ruinée explique ses malheurs à un chicaneur bien connu, et en
attend
des consolations et des conseils. Elle s’exprime
fet naturel de la surprise de se voir injurier au moment où il ne s’y
attendait
guères. Cette heureuse infraction aux lois du dia
re leurs coups épouvantables, Résisté sans courber le dos. Mais
attendons
la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l’ho
à mais quittez ce souci ; il se complique à la menace du roseau, mais
attendons
la fin ; le dénouement est préparé par l’arrivée
rait dans les neiges détrempées de pluie qui couvrent le Brandebourg.
Attendez
-moi, aimez-moi, recevez-moi, consolez-moi, et ne
t, et ils vous prodiguent tout le mépris dont ils sont couverts. Vous
attendez
d’eux votre première sentence ; ils vous jugent ;
efois que vous n’êtes pas sans mérite ; voilà tout ce que vous pouvez
attendre
de votre vivant ; mais qu’elle s’en venge bien en
ver un seul des faits qu’il avance. Lorsqu’on imprime que l’on doit s’
attendre
que j’écrirai contre les ouvrages d’un auteur res
es en Français. Notre nation n’a de goût que par accident ; il faut s’
attendre
qu’un peuple qui ne connut pas d’abord le mérite
le, Et bénissent du moins le coup qui les rassemble. Cependant, las d’
attendre
un trépas sans vengeance, Les deux camps, animés
s lieux où règne un usage contraire ? À Messine ou à Naples, il irait
attendre
son homme au coin d’une rue et le poignarder par
ertain du retour de l’éternelle aurore, Sur les mondes détruits, je t’
attendrais
encore ! Lamartine, § VI. De l’analyse criti
matin : Je veux achever ma journée. 7° Ô mort ! tu peux
attendre
, éloigne, éloigne-toi ! Va consoler les cœurs que
é pendant la révolution française, dans la prison de Saint-Lazare, il
attendait
chaque jour l’arrêt fatal qui devait l’envoyer à
t le fantôme se dressé aux murs de la prison ? 7° Ô Mort ! tu peux
attendre
; éloigne, éloigne-toi… etc. Apostrophe pleine
l’amour de moi, vous veuillez avoir pitié de ces six hommes. » Le roi
attendit
un peu pour parler et regarda la bonne dame sa fe
ire et défaire, et me blâmaient de ce qui les devait inciter à pitié,
attendu
que j’étais contraint d’employer les choses néces
t410 : « Vraiment,, dit-il à part soi, ma femme, tu n’as pas beaucoup
attendu
, quand411 la parole que je t’ai naguère dite a ét
voquer les gens et les faire aviser de boire lorsqu’on n’y songe pas.
Attendez
qu’on vous en demande plus d’une fois, et vous re
i des deux le premier ? Harpagon. — Au cuisinier. Maître Jacques. —
Attendez
donc, s’il vous plaît. (Il ôte sa casaque de coch
nt, maître Jacques, il faut nettoyer mon carrosse. Maître Jacques. —
Attendez
. Ceci s’adresse au cocher (Il remet sa casaque).
s. Monsieur Jourdain. — « Monseigneur », oh ! oh ! « Monseigneur ! »
Attendez
, mon ami : « Monseigneur » mérite quelque chose,
tre Grandeur. Monsieur Jourdain. — « Votre Grandeur ! » Oh, oh, oh !
Attendez
, ne vous en allez pas. A moi « Votre Grandeur ! »
is : j’allais dîner à Pompone691; j’y trouvai notre bonhomme692 qui m’
attendait
; je n’aurais pas voulu manquer à lui dire adieu.
dé. Vous savez que Mme la duchesse de Chaulnes est à Vitré710; elle y
attend
le duc, son mari, dans dix ou douze jours, avec l
avec les états de Bretagne711; vous croyez que j’extravague712; elle
attend
donc son mari avec tous les états, et, en attenda
d non plus parler les uns les autres que dans ces chambres où il faut
attendre
, pour faire le compliment d’entrée, que les petit
e, il se mouche sous son chapeau ; il crache presque sur soi853 et il
attend
qu’il soit seul pour éternuer, ou si cela lui arr
aquin872, lui dis-je, voilà de vos façons de faire ! vous vous faites
attendre
jusqu’à l’extrémité ; encore est-ce un miracle qu
Abbeville, et qu’ils couraient dans un profond silence. Termes, qui s’
attendait
bien à le voir rompre dans peu de temps, n’était
sage. Tout ce qu’on trouve d’esprit en eux surprend, parce qu’on n’en
attend
point de cet âge ; toutes les fautes de jugement
s d’aimer la contradiction sur quoi que ce fût, mais il ne fallait qu’
attendre
les seconds ; et en effet, ces seconds mouvements
is pas encore fermé l’œil lorsque le muletier me vint avertir qu’il n’
attendait
plus que moi pour partir. Je me levai aussitôt ;
t avant le salut ; mais, qu’il dût venir ou non, jamais le salut ne l’
attendait
. Les officiers des gardes du corps postaient les
lles et l’épouse du mort, en pleurs, lui reprochèrent sa faiblesse. «
Attendons
le temps de la vengeance », leur dit le vieillard
de l’abbaye appelée Closter-Camp1137. Le prince ne crut pas devoir l’
attendre
devant Vésel ; il se décida à l’attaquer, et se p
re à sa subsistance et à la leur ; il part avec eux, arrive sans être
attendu
aux confins du désert, arrête les premiers passan
le premier, j’aperçois une manufacture de bas.... Qui jamais eût dû s’
attendre
à trouver une manufacture dans un précipice ! Il
intiens, comptant nos morceaux d’un œil avide, s’amusant à nous faire
attendre
à boire, et murmurant d’un trop long dîner. Nous
e adresse, elle offre de vous le rembourser, comme il est juste. Je n’
attends
là-dessus que vos ordres pour exécuter ses intent
e je l’ai vu chez lui et chez moi. « Monsieur, il y a longtemps que j’
attends
, pourriez-vous me dire quand je serai payé ? — Je
n beau champ d’orge : « Voilà ce qu’il nous faut, dit le capitaine. —
Attendez
un moment, lui dit son conducteur, vous serez con
l’humanité ordonnent dans ce cas au voyageur de se prêter à ce qu’on
attend
de lui : un air d’assurance, des paroles de conso
urion de la garde le […] sa rudement, et lui dit : « Tu te fais bien
attendre
. — Compagnon, répondit Eudore en souriant, je mar
vertu, et ne paraissait occupé que du péril de ses frères. L’enfer l’
attendait
à la porte de l’arène, pour lui livrer un dernier
ieds, où l’on montait par une échelle, c’était là le coucher qui nous
attendait
, espèce de nid dans lequel on s’introduisait en r
elle j’étais assis, je me maintins à cheval, mais un nouveau danger m’
attendait
. La neige venait de recommencer à tomber, et de g
le lendemain, à vous répondre quand vous leur demanderez du pain : «
Attendez
, il n’y en a pas ». Si vous ne pouvez maintenant
ser pour se rendre à Whitehall. Plusieurs compagnies d’infanterie l’y
attendaient
, formant une double haie sur son passage : un dét
ranger encore sous son bonnet ; le roi crut qu’il allait frapper : «
Attendez
le signe, lui dit-il. — Je l’attendrai, Sire, ave
i crut qu’il allait frapper : « Attendez le signe, lui dit-il. — Je l’
attendrai
, Sire, avec le bon plaisir de Votre Majesté ». Au
parlement de son pays vota l’acte d’émancipation1498 ! Comme s’il eût
attendu
le salaire de sa vie avant de la quitter, il touc
on âme si bonne, quoique si rude, souffrait cruellement. Enfin, ayant
attendu
jusqu’à près de neuf heures, l’ennemi arrivant à
enviaient encore davantage, c’était d’avoir déjeuné. Les Autrichiens
attendaient
, restaurés parfaitement ; Mons1578 était derrière
lua les convives de la main, et conduisit son cheval à l’écurie. On n’
attendait
personne ; mais, en Espagne, tout passant est bie
quelques pics-verts1629 qui, debout contre le tronc des vieux chênes,
attendaient
qu’une voix d’oracle sortît de la moelle des arbr
onner une autre mère, je veux que ce soit la petite Marie. » Et, sans
attendre
de réponse, il ferma les yeux et s’endormit1652.
à la prison. Ainsi finit la journée, Blandine, attachée à son poteau,
attendait
toujours vainement la dent de quelque bête. On la
eu de l’an 177, était, ce semble, à Rome. Il fallut des semaines pour
attendre
la réponse… Elle arriva enfin. Elle était dure et
pour les bêtes ; on fit aussi grâce à plusieurs. Comme il fallait s’y
attendre
, pas un confesseur ne faiblit.... Le 1er août, au
age, épousa Claudine Minot, une amie d’enfance à qui il avait dit : «
attends
-moi ! » et gagna lestement ses chevrons1738 de pè
n chaque fois pour faire tête à ce terrible « d’où viens-tu ? » qui m’
attendait
en travers de la porte. C’est cet interrogatoire
fort, le voici : Ce soir-là, j’arrivai très en retard. Ma mère, qui m’
attendait
depuis une grande heure, guettait, debout, en hau
i mieux. Plus d’hommes en l’air, plus rien à faire là-haut, plus qu’à
attendre
. Oh ! alors, je trouvai qu’il faisait presque bea
t ; Je suis des grands repas fatigué, je te jure. — Mais si l’on vous
attend
, ai-je dit, c’est injure.... — Tu te moques, marq
noncer son retour Et le détail de sa victoire, Ne pouvait-il pas bien
attendre
qu’il fût jour ? Sosie, à quelle servitude Tes jo
archers de Créon, notre roi ; Et voici le corps d’armée, Qui d’abord…
Attendez
: le corps d’armée a peur. » J’entends quelque br
nant amas En bouche toutes les approches, Prenez le parti doucement D’
attendre
le prince au passage : Il connaîtra votre visage
us sûr est de finir ce sermon. Aussi bien j’aperçois ces melons qui t’
attendent
, Et ces fleurs qui là-bas entre elles se demanden
iendrait son asile. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille2410 : J’
attendais
de son fils encor plus de bonté. Pardonne, cher H
istoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J’
attende
en ces déserts qu’on me vienne chercher. La guerr
rossir à chaque pas. Daces, Pannoniens2429, la fière Germanie, Tous n’
attendent
qu’un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l’Esp
de, Nous rendre les rayons de la clarté féconde ? Tous les jours je t’
attends
, tu reviens tous les jours : Est-ce moi qui t’app
t ce temps, notre lapin, Tapi sous des roseaux auprès de la sarcelle,
Attendait
, en tremblant, la mort, Mais conjurait sa sœur de
rt la plus cruelle. Ali ! si tu pouvais passer l’eau ! Pourquoi pas ?
Attends
-moi… » La sarcelle le quitte, Et revient traînant
, De qui les blés touffus, jaunissantes forêts, Du joyeux moissonneur
attendent
la faucille. D’agrestes déités quelle noble famil
ux fois, avec ennui, promenés chaque jour, Un maître soupçonneux nous
attend
au retour. Rien ne le satisfait : ils ont trop pe
que les feux du matin : Je veux achever ma journée. O mort ! tu peux
attendre
; éloigne, éloigne-toi ! Va consoler les cœurs qu
. Je dois bientôt, il me le semble, Mettre pour jamais habit bas2600.
Attends
un peu ; nous finirons ensemble : Mon vieil ami,
pas, Elle lui dit : « Ma tombe est verte ! Sur cette terre déserte Qu’
attends
-tu ? je n’y suis pas ! » L’enfant dont la mort cr
i. François De Paule. Relevez-vous, mon fils ! Louis. J’y reste pour
attendre
La faveur qui sur moi de vos mains ya descendre,
peut-être nécessaire. Envoyez-en chercher. A quoi bon se presser ? J’
attendrai
jusqu’au soir avant de commencer. » (La Légende
sur la porte et tâchant de sourire, Une mère inquiète est là qui vous
attend
, Vous baise sur le front, et pour vous à l’instan
enflammée. Il cherche autour de lui la place accoutumée Où sa femme l’
attend
sur le seuil entr’ouvert ; Il voit un peu de cend
pas les vôtres. Je ne sais pas encor vivre aux dépens des autres ; J’
attendrai
pour cela qu’on m’ait coupé les mains. Je ne fera
vre. S’il plaît à l’ennemi des hommes2777 de me suivre2778, Il peut s’
attendre
encore à faire du chemin2779.... Le Chœur. Frank,
le aimait entre tous, de son amour de mère, Ceux dont l’âme innocente
attend
une lumière. Les petits révoltés, les rôdeurs de
entends sa voix douce et qui gronde. « Oh ! lui dis-je en pleurant, j’
attends
la fin du monde ! » Et comme il souriait, d’un gr
viie siècle, et la large fenêtre du logis donne sur la pleine mer) a
attendu
pendant quinze ans le retour de son petit-fils Pi
Don Juan. 561. D’abord, dès l’abord, tout de suite, sans vous faire
attendre
. 562. Qu’on ne me fit parler personne, qu’on fi
otre mot façon). 1683. Entendez : tu n’as point de domestique pour t’
attendre
quand tu rentres. 1684. Les gens attachés aux an
page 496. 2143. Surpris, trompé par surprise ; car je ne pouvais m’
attendre
à être trompé par toi. 2144. Ne l’a point gagné
lusieurs auteurs anciens rapportent ce mot d’Annibal. 2438. J’étais
attendu
, je devais, captif, orner le char du triomphateur
la part et dans les œuvres de ceux mêmes de qui il croyait n’avoir à
attendre
que de la reconnaissance. 2542. Qu’ils pensent
grecs et latins. Il me mit ensuite sur la dialectique ; c’est où je l’
attendais
: il me trouva là-dessus ferré à glace. « Votre é
es assez sensible pour conclure que l’orateur commençait à baisser. J’
attendis
encore une homélie, pour mieux savoir à quoi m’en
quer les gens et les faire aviser de6 boire, lorsqu’on n’y songe pas.
Attendez
qu’on vous en demande plus d’une fois, et vous re
qui des deux le premier ? Harpagon. Au cuisinier. Maître Jacques.
Attendez
donc, s’il vous plaît. Maître Jacques ôte sa casa
ant, maître Jacques, il faut nettoyer mon carrosse. Maître Jacques.
Attendez
. Ceci s’adresse au cocher. Maître Jacques remet s
autres qu’il lui soit égalé : ils en appellent à l’autre siècle, ils
attendent
la fin de quelques vieillards qui, touchés indiff
plaisir qu’ils sentent à se faire prier, presser, solliciter, à faire
attendre
ou à refuser, à promettre et à ne pas donner ; qu
tirent des règles de la nature, et en sont comme l’exception : ils n’
attendent
presque rien du temps et des années. Le mérite ch
âge. Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées La valeur n’
attend
pas le nombre des années. (Corneille.) 4. Il
ngent un peu votre courage. Encor si la saison s’avançait davantage !
Attendez
les zéphyrs, Qui vous presse ? Un corbeau Tout à
hui n’en tiennent pas assez de compte. Sans doute, il est trop tard d’
attendre
à la composition d’un grand ouvrage pour consulte
urais vers lui, tout transporté, jusqu’à perdre la respiration ; il m’
attendait
tranquillement sans faire un pas vers moi. O dieu
nd donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il convient de faire ? Qu’
attendez
-vous ? un événement, ou la nécessité sans doute ?
re au milieu de ce temple ; et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblants à qui l’on va
tra chez lui, changea de chaussure et d’habit et comme d’ordinaire il
attendit
que sa femme fût prête. Quintilien ajoute avec r
st d’être bien en rapport avec l’effet que l’écrivain ou l’orateur en
attend
; le point de vue est donc ce qu’il y a de plus i
rconstances, comment agiraient les contraires, quel effet il pourrait
attendre
de la comparaison. En suivant cette voie modeste,
poétiques : c’est l’épi qui demande à mûrir, c’est le pampre qui veut
attendre
l’automne, c’est le voyageur qui désire poursuivr
-haut, Et vous m’excuserez de vous quitter sitôt. Tout ce qu’on peut
attendre
d’un sophiste ou d’un hypocrite, c’est qu’il se t
vait parler, ne se plaindrait-elle pas ? ne vous dirait-elle pas : Qu’
attendez
-vous encore, juges, quand on vous a démontré... ?
ie des compléments circonstanciés, et surtout de retarder et de faire
attendre
jusqu’à la fin, pour frapper un grand coup et pro
ménagement, pour ne pas produire l’effet tout opposé à celui qu’on en
attend
; on s’expose à substituer le ridicule et le grot
maladroite ou inverse produit un effet tout opposé à celui qu’on, en
attend
et l’expression qui frappe en dernier l’oreille e
ce : Personne ne sait mieux que vous ce qu’il faut faire ; mais vous
attendez
, vous hésitez, vous comptez sur vos voisins… Ah !
à Célimène : Ah ! le détour est bon et l’excuse admirable ! Je ne m’
attendais
pas, je l’avoue, à ce trait, Et me voilà par là c
frappante par la contradiction avec ce qu’on croyait d’abord pouvoir
attendre
. Ainsi Bossuet, à la fin de l’oraison funèbre de
s grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs, qu’
attendez
-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du
re de Turenne ; il a renouvelé ainsi l’intérêt de sa description : N’
attendez
pas, messieurs, que j’ouvre ici une scène tragiqu
es murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et prêts à m’accuser,
Attendent
mon époux pour le désabuser. De cette illusion d
blables, et se regardant les uns les autres avec douleur et espérance
attendent
leur tour. C’est l’image de la condition des homm
it le style naturel, dit Pascal, on est tout étonné et ravi, car on s’
attendait
de voir un auteur et on trouve un homme. Tout ce
trouvé les sons qui rendent la marche pesante du bœuf : ’ . N’
attendait
pas qu’un bœuf, presse de l’aiguillon Traçât à pa
r une gloire orgueilleuse qu’il ne croit tenir que de lui-même. Mais,
attendez
: son élévation va lui creuser elle-même son préc
incendie augmente, l’orient parait tout en flammes : à leur éclat, on
attend
l’astre longtemps avant qu’il se montre ; à chaqu
mpe accoutumée ; tout se passe comme aux plus grands jours. Le peuple
attend
; les dames se penchent pâles d’anxiété. Gardes d
n serait donné ; mais la retraite fut plus prompte qu’on ne s’y était
attendu
, et quand Tordre arriva, Almeyda était bloqué par
faire sauter les fortifications : les mines étaient chargées, mais il
attendait
Tordre d’y mettre le feu. Le maréchal Masséna fit
heureux qui, pour ne pas quitter leurs palais, flattaient le tyran et
attendaient
la mort. Cependant un bruit soudain se répand dan
l’esclavage, ne s’apercevait pas qu’elle était libre ; immobile, elle
attendait
que l’armée lui donnât un maître. L’armée seule f
que je vous rapporte ne me semble point de ce caractère. Fénelon. —
Attendez
, vous conviendrez de ce que je dis. Quand le préd
êne prononce, sans doute en appuyant avec une pitié désobligeante. On
attend
avec impatience la réponse du Roseau. La Fontaine
Contre leurs coups épouvantables, Résisté sans courber le dos ; Mais
attendons
la fin. » Le propos n’est pas long, mais il est
er au plus tôt des misères de la vie humaine son vieil oncle, dont il
attendait
l’héritage ; un avare demandait encore un sac d’a
errible. Faisons tant que nous voudrons les braves : voilà la fin qui
attend
la plus belle vie du monde. Qu’on fasse réflexion
ù peut-on prendre ces sentiments ? Quel sujet de joie trouve-t-on à n’
attendre
plus que des misères sans ressource ? Quel sujet
portés par là à avoir désormais bien de la confiance en lui, et à en
attendre
des consolations, des conseils et des secours dan
cabinet, elle meurt de peur de ne plus retrouver sa place ; elle vous
attend
dans quelque moment perdu pour vous faire au moin
ttres : quand je viens d’en recevoir, j’en voudrais bien encore. J’en
attends
présentement, et je reprendrai ma lettre quand j’
vivre en paix et en repos, en vous rendant obéissance. Vos peuples s’
attendent
, sire, à vous voir pratiquer plus que jamais ces
aint Paul200. Achevez donc, grand apôtre, et dites-nous ce qu’il faut
attendre
d’une chute si déplorable. « Il est impossible, d
ttentifs, et venez apprendre à mourir ; ou plutôt venez apprendre à n’
attendre
pas la dernière heure pour commencer à bien vivre
n’attendre pas la dernière heure pour commencer à bien vivre. Quoi !
attendre
à commencer une vie nouvelle lorsque, entre les m
un prince si exposé à tout l’univers ne donne rien aux spectateurs. N’
attendez
donc pas, messieurs, de ces magnifiques paroles q
meilleure préparation pour celle des derniers temps, c’est de ne les
attendre
pas. Le prince se ressouvint de toutes les fautes
ranquille entre les bras de son Dieu, où il s’était une fois jeté, il
attendait
sa miséricorde et implorait son secours jusqu’à c
neur d’avoir à sa tête et le mérite de celui qui la commande ; et qui
attend
plutôt de moi des leçons de pitié que de valeur,
seigneur. Fagon et les autres entassèrent remèdes sur remèdes sans en
attendre
l’effet. Le curé, qui tous les soirs, avant de se
es coins, méditaient profondément aux suites d’un événement aussi peu
attendu
, et bien davantage sur eux-mêmes. Parmi ces diver
t un danger auquel vous avez échappé : un plus grand danger peut vous
attendre
. Il peut vous arriver de voir quelque jour un gra
r unique ressource ; ils cachèrent leur barque derrière un rocher, et
attendirent
dans ce désert que les vaisseaux anglais fussent
étournés, et au travers de mille périls nouveaux, au lieu où il était
attendu
. Ce qui est étrange, et ce qui prouve bien que le
és, ne les touchent que faiblement ; ils n’en exigent rien ; ils n’en
attendent
rien ; ils n’ont pas mis en eux leur dernière res
volontaire, et plus elle mérite. NÉARQUE. Il suffit, sans chercher, d’
attendre
et de souffrir. POLYEUCTE. On souffre avec regret
foi. NÉARQUE. Qui n’appréhende rien présume trop de soi. POLYEUCTE. J’
attends
tout de sa grâce, et rien de ma faiblesse. Mais l
ertir au moins. « Est-il juste qu’on meure Au pied levé451 ? dit-il ;
attendez
quelque peu : Ma femme ne veut pas que je parte s
nsumer les restes à me plaindre Et, prodigue d’un temps par la Parque
attendu
, Le perdre à regretter celui que j’ai perdu ? Si
ALCESTE. Non pas. Mais la surprise est fort grande pour moi, Et je n’
attendais
pas l’honneur que je reçoi510. ORONTE. L’estime o
ché malgré moi, je rentre dans Paris, Qu’en tous lieux les chagrins m’
attendent
au passage. Un cousin, abusant d’un fâcheux paren
n un odieux époux ? Avant que de partir, pourquoi vous taisiez-vous ?
Attendiez
-vous, pour faire un aveu si funeste, Que le sort
, Vous refusez l’honneur que je voulais vous faire ? Pensez-y bien. J’
attends
pour me déterminer. MONIME. Non, seigneur, vainem
dez une rebelle ; Armez-vous du pouvoir qu’on vous donna sur elle : J’
attendrai
mon arrêt ; vous pouvez commander. Tout ce qu’en
nt chercher le trépas ? Gardes… C’est vous, Esther ? Quoi ! sans être
attendue
? ESTHER. Mes filles, soutenez votre reine éperdu
t qu’elle m’honore ! Un intérêt pressant veut que je vous implore : J’
attends
ou mon malheur ou ma félicité, Et tout dépend, se
Dans un âge si tendre Quel éclaircissement en pouvez-vous
attendre
? ATHALIE. Cet âge est innocent : son ingénuité N
geance. Alliée ou plutôt sujette des Romains, De leur choix l’Arménie
attend
des souverains. Vous le savez, seigneur ; et, du
stes languissants. Je ne veux qu’une grâce, elle me sera chère : Je l’
attends
comme ami, je la demande en père. Mon fils, remet
, à mes yeux, terminèrent leur sort. J’étais seul, sans secours, et j’
attendais
la mort : Mais à mon nom, mon fils, je vis tomber
, cimenter ces liens Par le sang répandu de ses concitoyens ? Ou bien
attendez
-vous que ses cris et ses larmes De vos sévères ma
regretter. Sans croire, comme l’affirme Saint-Simon, que la Bastille
attendait
Louvois pour le lendemain, on peut dire que, par
nait de rendre à sa patrie, parut dans l’assemblée, où il n’était pas
attendu
. L’orateur, sans se troubler, paya à ce brillant
n est embarrassée et péniblement écrite. Mais, si les beautés se font
attendre
, elles n’en sont pas moins réelles et nombreuses.
enée. Fléchier, par exemple, dans l’oraison funèbre de Turenne : « N’
attendez
pas de moi, Messieurs, que j’ouvre à vos yeux une
r la terre n’est pas digne d’être comparé avec la récompense qui vous
attend
: si vous étiez de bonne foi, et que vous vouluss
s, pour quelque emploi que ce soit, si vous le jugez convenable, et n’
attendez
point ma réponse pour agir ; je me tiendrai heure
ciens. 2. Henri IV écrivait sur Plutarque à la reine : « M’amye, j’
attendois
d’heure à heure vostre lettre ; je l’ai baisée en
ai 1837 La France, marchant la première vers l’avenir immense qui
attend
le monde, a donné au siècle son mouvement. Ce siè
leur vrai lustra, Et du public, dépouillé d’intérêt, Humbles acteurs,
attendre
leur arrêt. Là, retraçant leurs faiblesses passée
travaux, et d’un succès bien doux, présage heureux de la gloire qui l’
attendait
. Dès lors il se livra à l’étude avec une constanc
lle aime, qu’elle s’impose, et qui jamais ne cesse pour elle ; elle n’
attend
pas des circonstances particulières pour agir ; e
x se troubler, elle ne se repose plus qu’elle ne l’ait rétablie. Elle
attend
qu’on rappelle pour se mêler des intérêts qui lui
ose extrêmement remarquable. L’auteur, encouragé par un succès si peu
attendu
, quoique bien mérité, prépara un autre volume de
ir de le voir jouir quelque temps encore de la gloire qu’il devait en
attendre
. Mais, le 24 décembre, les premiers symptômes de
ppeler aujourd’hui l’ouvrage auquel il en est redevable. Il ne peut s’
attendre
à se trouver toujours de l’avis de ses lecteurs d
thodes connues ; mais, en même temps, quoique l’on ne puisse pas tout
attendre
des règles et des méthodes, elles indiquent cepen
ner dans la bonne voie. Si ce n’est pas d’elles seules que l’on doive
attendre
la perfection d’un ouvrage, au moins servent-elle
e sait sur quelle base asseoir son jugement, et tout ce que l’on peut
attendre
de lui, c’est qu’il dise qu’en général telle chos
exemple, peuvent, sans doute, être employées comme ornements ; mais,
attendu
qu’elles paraissent faibles, elles produisent un
in de l’indiquer en mettant le pronom au masculin ou au féminin. Mais
attendu
que la troisième personne, qui est celle dont on
la forme des substantifs dans chacune de ces deux langues anciennes,
attendu
qu’à proprement parler, les genres, les nombres,
, eurent des temps et des modes comme les autres verbes, on trouva qu’
attendu
qu’ils portaient avec eux cette force d’affirmati
ciences, plus le langage y est perfectionné, et plus nous devons nous
attendre
à ce que la langue y abonde en particules connect
admit un assez grand nombre d’irrégularités. Nous ne devons pas nous
attendre
à y retrouver cet ensemble parfait, cette analogi
caractère national du peuple qui la parle. Cependant on ne doit pas s’
attendre
à y trouver l’empreinte exacte du génie et des mœ
f, et le verbe s’accorder en personne et en nombre avec le nominatif,
attendu
que, par la nature des choses, un mot qui exprime
’art de parler et d’écrire tous les avantages qu’il est possible d’en
attendre
. L’on n’hésite pas à considérer la clarté comme l
i succéder. » Après la première partie de cette phrase, qui se serait
attendu
à la dernière ? « Il était extrêmement aimé » est
te amitié du roi et de la reine pour Tillotson, ou du moins nous nous
attendons
à quelque chose qui y soit relatif ; point du tou
ui de beaucoup. » Ils terminent la proposition ; nous n’avions rien à
attendre
de plus, et cette circonstance accessoire, « au m
adroite, que ce qui précède formait une sorte de gradation que l’on s’
attendait
à suivre jusqu’à la fin. L’on éprouve quelquefois
ux choses se correspondent mutuellement, il est naturel que nous nous
attendions
à ce que les mots qui les représentent se corresp
parce qu’on ne peut donner que quelques règles très générales, Mais,
attendu
qu’il en est quelques-unes qui peuvent être fort
’assez faiblement dans les compositions en prose, et c’est là qu’on s’
attend
le moins à rencontrer ce genre de succès ; mais c
ire qu’il y ait à cet égard une ressemblance entre le son et le sens,
attendu
qu’il n’existe naturellement aucune ressemblance
finie, et en employant le mot littéral praise [louange], lorsqu’on s’
attend
à rencontrer une expression analogue à celle de m
le doit bientôt s’embarquer ; charger son navire de bonnes œuvres, et
attendre
le vent qui ne tardera pas à nous pousser vers de
la métaphore « en chargeant un navire de bonnes œuvres, et en faisant
attendre
le vent, » il devient languissant et perd beaucou
nt l’imagination était mieux réglée ; voilà pourquoi nous devons nous
attendre
à trouver plus de figures chez les écrivains des
’elle voie sa sobriété, qu’elle écoute ses paroles divines. Qu’elle l’
attende
au tribunal et soit témoin de sa patience à endur
t précisément dans les dernières phrases du discours que l’auditeur s’
attend
à plus de chaleur et à plus de dignité. Les autre
et nous montre un écrivain parfaitement tranquille, lorsque nous nous
attendions
à le voir en proie à l’agitation la plus vive. C’
ire remarquer ici, c’est qu’à travers cette variété, nous devons nous
attendre
à trouver dans les compositions d’un auteur quelq
pas celui sous lequel vous la saisissez le mieux, il ne faut pas vous
attendre
à la retrouver sous un autre. Ses phrases sont pl
is, on n’a pas la même indulgence pour un écrivain d’un âge mûr. On s’
attend
à ce que son jugement plus formé tempère l’ardeur
nt la raison et l’éloquence ; c’est là seulement que nous devons nous
attendre
à trouver l’art oratoire mieux entendu, et porté
i spirituelle, si passionnée jour l’élégance dans les arts, on doit s’
attendre
à voir régner un goût sûr et délicat. Aussi était
rance et la Grande-Bretagne sont les deux empires où nous devons nous
attendre
à retrouver davantage le sentiment de la véritabl
and donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il convient de faire ? qu’
attendez
-vous ? un événement, la nécessité ? mais la plus
que depuis longtemps il nous outrage ; que tous les peuples dont nous
attendions
du secours se sont tournés contre nous ; que tout
banes de Thrace, et vous laissera jouir en paix de vos revenus ? Vous
attendez
peut-être qu’il vous déclare la guerre ; mais il
ette préparation. L’éloquence de l’orateur produisit l’effet qu’il en
attendait
, et le peuple, d’une voix unanime, rejeta la loi
le mot latin sto, je reste ; comme stand, demeurer, s’arrêter ; stay,
attendre
, retenir ; staff, un bâton, une canne, le pouvoir
te presser sur mon sein ! Quand l’obscur avenir est encore incertain,
Attendrai
-je en tremblant qu’un avis funéraire Vienne du co
ai que j’ai fait de ces douces jouissances ne sert plus qu’à me faire
attendre
avec moins d’effroi le moment de les goûter sans
onneur dans une voirie, tandis que tous les honneurs qu’un homme peut
attendre
vous accompagneront dans mon pays. Je vous hais,
t le tact assez sûr, de la pénétration, de la finesse, pourvu qu’on m’
attende
. Je fais d’excellents impromptus à loisir ; mais
vois rien nettement ; je ne saurais écrire un seul mot, il faut que j’
attende
. Insensiblement ce grand mouvement s’apaise, ce c
par une consonne équivalente. Mais ils font rimer ensemble instant et
attend
, accord et fort, etc. Sur l’argent, c’est tout d
t d’autres biens, Que ceux que ses vrais citoyens De sa bonté peuvent
attendre
; Et qui, prompt à les discerner, N’ouvre les mai
. ——————————— Le bled pour se donner sans peine ouvrant la terre, N’
attendait
pas qu’un bœuf pressé de l’aiguillon, Traçât à pa
favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens
attendait
le succès d’une entreprise qui, selon toutes les
g pour le bien public ; là on lui dresse une pompe funèbre, où l’on s’
attendait
de lui dresser un triomphe. Chacun choisit l’endr
es, devine les caractères, leurs penchants, la conduite qu’il faut en
attendre
, et n’est surpris, embarrassé de rien, quoique so
forcée. Bonaparte, toujours négociant, menaçant des bords de l’Adige,
attend
la troisième armée. Elle est formidable ! elle ar
du soin de préparer la jeunesse française aux grandes destinées qui l’
attendent
. De jour en jour elle se montre plus digne d’une
ent englouties dans l’océan de l’éternité ; Dieu qui reste et qui les
attend
; voilà les grands leviers de l’éloquence évangél
ultipliez vos plaisirs ; hâtez-vous de jouir ; le temps est court ; n’
attendez
plus rien au-delà que la mort et le jugement : vo
mèmes du même prédicateur les développemens oratoires qu’on a droit d’
attendre
de lui. Exemple : « Qu’un particulier dans un éta
gémir trop long-temps. Je meurs si je vous perds, mais je meurs si j’
attends
. (Act. III, sc. VII.) Dans la comédie du Méchant
rons après tous les passans. Ainsi, tout bien pesé, le plus sûr est d’
attendre
Le retour de Frontin dont je veux tout apprendre.
r, régulier, qui contribue au mérite de l’œuvre et à l’effet qu’on en
attend
. Le talent de bien disposer, tient au talent de b
découvrir tout ce qu’ont dans l’âme, tout ce que pensent, désirent ou
attendent
ceux à qui il veut persuader quelque chose, dont
mes de la trempe de celles qui nous sont opposées, et que sans trop s’
attendre
à une perfection surnaturelle, on traite avec ses
assion pour les malheureux ; car il semble qu’on peut raisonnablement
attendre
pour soi, les mêmes sentimens qu’on a témoignés p
t proposé ; il n’en est point ainsi des passions ; on ne doit point s’
attendre
à les soulever dès la première impulsion. C’est u
aison soit, à proprement parler, le lieu des passions, il ne faut pas
attendre
la fin du discours pour les exécuter. « Dans les
lui en font répandre. Il se place entre lui et le dieu vengeur qui l’
attend
, et en criant pour lui miséricorde, il le pénètre
séance, revint à sa maison ; il changea d’habit et de chaussure ; il
attendit
quelque temps que sa femme fût prête, comme c’est
de soi-même, il en résulterait un effet tout contraire à celui qu’on
attend
. Réflexions importantes de Quintilien, sur l’éco
iscours, s’il n’a beaucoup de génie, d’étude et de savoir. Qu’on ne s’
attende
donc pas à devenir éloquent seulement par le trav
it Pascal, lorsque nous voyons un style naturel ; c’est que nous nous
attendions
de trouver un auteur, et nous trouvons un homme.
er avec peine jusqu’à l’exclamation qui la termine, et que l’auditeur
attend
après une si longue suspension. Après cette excla
onheur et de facilité ; comme aussi chaque pensée et chaque sentiment
attend
du goût de celui qui l’emploie l’expression qui l
nce à être déterminé, il ne l’est pas encore assez, et il fait encore
attendre
quelque autre modification. Son, sa, ses, leur,
L’esprit veut connaître ; rien n’est plus impatient que lui quand il
attend
; et plus les moyens qu’on lui offre pour arriver
cs honteux de mes bontés. Je leur ai commandé de cacher mon injure, J’
attendais
en secret le retour d’un parjure. J’ai cru que, t
r enfin qui m’arrête ? après ses durs refus, Après tant de mépris, qu’
attendrais
-je de plus ? Auteur de tous mes maux, a-t-il plai
e quand l’écrivain ajoute : « Charger son navire de bonnes œuvres, et
attendre
le vent qui ne tardera pas à nous pousser vers de
réparer mes pertes, ou obtenir une mort glorieuse ? Vaudrait-il mieux
attendre
ce qu’il plaira au vainqueur d’ordonner, et, à l’
diteur ou du lecteur, par un discours commencé de manière à lui faire
attendre
une chute qui le frappe, qui l’étonne, cela s’app
grâces : l’une de l’avoir fait chrétienne ; l’autre….. Messieurs, qu’
attendez
-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du
adversaire par des questions entassées dont nous n’avons pas besoin d’
attendre
la réponse parce qu’elle est inévitable. Par ce m
s pour mon ennemi, celui qui va porter la guerre dans mon sein, qu’on
attend
dans un camp de rebelles, l’auteur du crime, le c
ans ces lieux abhorrés te laissent pour présage ; C’est le sort qui t’
attend
et qui va s’accomplir ; C’est l’espoir qui me res
peut-être depuis long-temps dans la profondeur de son cœur, et qui n’
attendait
qu’une occasion pour éclore aux yeux du public. »
ch. 2.) Exemples. Voici un exemple de ces jeux de mots qu’on ne s’
attendrait
pas à trouver dans Racine. Il fait dire à Pyrrhus
esclaves chrétiens : « Mais il me semble, dit-il, qu’on me répond :
Attendez
que l’invincible Louis prenne lui-même entre ses
ent au barreau, ouvrage excellent que l’éloquence du barreau français
attendait
depuis long-temps comme un supplément nécessaire
ula campum. (Ibid., l. VIII.) En lisant ces deux vers de Boileau. N’
attendait
pas qu’un bœuf, pressé de l’aiguillon, Traçât à p
ples, un avant-goût de la correspondance de Voltaire sans les laisser
attendre
le choix étendu que leur réserve spécialement la
s le manifeste de Du Bellay est de 1549 ; et le siècle ne l’avait pas
attendu
pour se mettre à l’etude des langues anciennes et
sorti un ensemble d’idées politiques, sociales et religieuses qui ont
attendu
plus d’un siècle pour germer et se développer, et
du plus d’un siècle pour germer et se développer, et une langue qui a
attendu
deux siècles pour qu’on lui rendit pleine justice
ne me reputeray totalement mourir, ains passer d’un lieu à un aultre,
attendu
que en toy et par toy ie demoure en mon imaige, v
l vivroyt ; ainsi ay ie de feu mon pere iniunction icy hors demourer,
attendent
que la dedans tumbe la fouldre du ciel, et en cen
re de Dieu, n’exerce pas regne, mais brigandage. Or on s’abuse, si on
attend
longue prosperité en un regne qui n’est point gou
lement neantmoins qu’en nostre pacience nous possederons nos ames, et
attendrons
la main forte du Seigneur, laquelle sans doute se
t Providence de Dieu plus notoire, le scandale mieux lavé et reparé :
attends
, dis-ie, la catastrophe et fin de la tragedie ; t
te et de mesme aage. Qui a peché a merité punition ; qui l’a merité l’
attend
; qui l’attend l’endure : comme la vipere tue sa
aage. Qui a peché a merité punition ; qui l’a merité l’attend ; qui l’
attend
l’endure : comme la vipere tue sa mere en naissan
au lieu de la retirer, luy donne du pied ; nous la devons ayder sans
attendre
qu’on nous demande secours. Qui fait aultrement e
e et desfaire, et me blasmoyent de ce qui les devoit inciter à pitié,
attendu
que j’estois contraint d’employer les choses nece
m-mensasmes à aller au grand trot droict à eulx. Aucuns me crioient d’
attendre
les gens de pied ; mais je respondois qu’il ne le
aille en si bonne partie, et ne s’aille amuser à la paille quand je l’
attends
sur le pré. Escript à Hagetmau, ce matin à dix he
uin. Henry. À Marie de Médicis [3 septembre 1601.] M’amye, j’
attendois
d’heure à heure vostre lettre ; je l’ay baisee en
ns plus endurer, leur disent qu’il ne s’en fera rien, et qu’on ne s’y
attende
point ; que vous feroient-ils ? Quel moyen ont-il
ais les hommes de génie, ses amis ou ses contemporains, n’avaient pas
attendu
les lois qu’il édicta, pour donner, de leur côté,
; et quand nous avons eu l’un et l’autre, il s’est bien gardé de nous
attendre
. De sorte, monsieur, que, hors la Capelle et le C
r un empire (car c’étoit le prix de cette victoire), ne voulurent pas
attendre
trois jours ? Vous voyez donc que pour sauver la
plus de bonheur devant Dôle, où la longueur du siége nous en faisoit
attendre
une mauvaise issue, quand on sut que les ennemis
ue dans celle des poëtes. Prévenez ce temps-là, je vous conjure, et n’
attendez
pas à être de ses amis jusques à ce que vous y so
a fois ; mais peut-être n’en est-ce pas trop pour Votre Majesté, et j’
attends
avec un peu d’espérance respectueuse la réponse d
ion à l’Académie françoise, 1671.) Éloquence de saint Paul N’
attendez
pas de l’Apôtre ni qu’il vienne flatter les oreil
vivre en paix et en repos, en vous rendant obéissance. Vos peuples s’
attendent
, Sire, à vous voir pratiquer plus que jamais ces
lus que je ne devois, aux hommes sur qui je domine et qui ont droit d’
attendre
de moi ce qu’auparavant ils n’auroient pu exiger
urai le mieux que je pus, et ne sachant encore comment leur parler, j’
attendis
leur compliment de pied ferme. La petite, comme p
l vous est permis d’en recevoir ; et, puisque, dans la place qui vous
attend
après moi, vous ne pouvez plus, sans honte, être
que, Dieu merci, je m’en vais demain dès le grand matin, et même je n’
attendrai
pas vos lettres : je laisse un homme qui me les a
ner, et croyez qu’elles ne seront pas moins sincères que celles que j’
attends
de vous. Je vous conjure de vous défaire du style
sur vos ailes. Que le Midi, que l’Orient, que les îles inconnues les
attendent
, et les regardent en silence venir de loin. Qu’il
ire au milieu de ce temple, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblans à qui l’on va p
juste qu’il regarde comme un ennemi déclaré, et dont il ne doit plus
attendre
d’indulgence. Il se roule dans ses propres horreu
l n’a jamais été. C’est le changement dont je voulois parler, et je m’
attendois
bien483 à savoir de vous l’histoire du temps que
, et où régnoit tant de probité et de droiture. SOCRATE. Et moi, je m’
attendois
au contraire à apprendre des merveilles du siècle
me la duchesse de Bourgogne qu’il s’en alloit à Marly, et de le venir
attendre
dans l’avenue entre les deux écuries, pour le voi
es coins, méditoient profondément aux suites d’un événement aussi peu
attendu
, et bien davantage sur eux-mêmes. Parmi ces diver
r après son retour, et l’espérer toujours, comme ce malheureux peuple
attend
encore et soupire après le Messie. C’est aussi pa
d’une table où l’on jouoit et je jaillis à mourir de rire. Je m’étois
attendu
à avoir bonne compagnie et gros jeu ; et c’étoien
pistoles, et en être de moitié ! nous ne serions pas longtemps à les
attendre
. » Il ne m’en fallut pas davantage pour méditer l
dans ma chambre, de peur de Brinon. Par bonheur, s’étant ennuyé de m’
attendre
, il s’étoit couché. Ce fut quelque consolation ;
és sans retour ; les grands évènemens ont eu leur cours sans en faire
attendre
de semblables ; les révolutions des États et des
sent de placer, entre le plaisir qu’ils quittent et le plaisir qu’ils
attendent
, une préparation toujours trop longue pour eux, e
grecs et latins. Il me mit ensuite sur la dialectique ; c’est où je l’
attendois
: il me trouva là-dessus ferré à glace. « Votre é
es assez sensible pour conclure que l’orateur commençoit à baisser. J’
attendis
encore une homélie pour mieux savoir à quoi m’en
ré lui qu’il prend et détruit Thèbes ; campé auprès de leur ville, il
attend
que les Thébains veuillent faire la paix : ils pr
ai que j’ai fait de ces douces jouissances ne sert plus qu’à me faire
attendre
avec moins d’effroi le moment de les goûter sans
oit trop, et que le beau temps m’invitoit, je ne pouvois si longtemps
attendre
, et pendant qu’on étoit encore à table, je m’esqu
e adressé, elle offre de vous le rembourser, comme il est juste. Je n’
attends
là-dessus que vos ordres pour exécuter ses intent
désolée, et ses genoux se dérobant sous elle. Voilà le spectacle qui
attend
le fils ingrat. Il s’avance ; le voilà sur le pas
! Il n’en a pas l’horrible sentiment ; il se tait, il s’éloigne ; il
attend
pour paraître des temps plus heureux. Il est des
re du père Duchêne614, pour remporter aussi la victoire que le peuple
attend
de nous, là victoire sur les ultra-révolutionnair
que je le tenois au bout de mon fusil : « Tire donc ! me dit-il ; qu’
attends
-tu ? » Oh ! je vous avoue que je fus saisi d’éton
est ce qui réussit le plus en société ; on n’a pas le temps d’y rien
attendre
. Nulle réflexion, nulle complaisance ne peut fair
de vous ; vous avez à la journée d’Austerlitz justifié tout ce que j’
attendais
de votre intrépidité ; vous avez décoré vos aigle
nemis ne prévalent point contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment
attendu
donne tout à coup un signe d’existence, l’instinc
is il fit de son nom un titre supérieur à celui de roi… Adieu, nous t’
attendons
ici. Paperasserie militaire À M. D’Ansse
même manteau, le même sceptre, la même couronne, et si la croix ne t’
attend
plus, c’est que tu n’as pas cessé d’y être attach
ltation, mais pendant vingt-cinq ans. Soit qu’elle prévint ou qu’elle
attendit
les desseins de l’Europe, jamais, durant un quart
ponse qu’il vient pour subir l’examen, il lui permet de s’asseoir. On
attendait
avec impatience le tour du petit paysan. Il vient
onde de la fable, le ministre découvrit le monde de la science. Euler
attendait
son ami avec impatience. Il arrive enfin, l’œil t
e de Saint-Valery. Là, les mauvais temps recommencèrent, et il fallut
attendre
plusieurs jours. La flotte mit à l’ancre et les t
souffle que ce qu’il lui en fallait pour ne pas expirer sur la place,
attendu
qu’on avait besoin de lui. Jacques, qui, depuis c
s la dernière campagne. Berthier avait promis de revenir ; Napoléon l’
attendait
, et en voyant les heures, les jours s’écouler san
e tout ce temps avec Dieu dans la solitude de son grand dessein. Elle
attend
qu’elle ait dix-huit ans, et alors immuable, elle
ai. J’entendis une voix douce qui me demandait pardon de m’avoir fait
attendre
. Je ne le voyais pas encore. Cette voix me pénétr
gloutir sous leur masse le moulin de Valmy, où le duc de Chartres les
attend
sans s’ébranler. Kellermann, qui vient de rétabli
sie de la cloche le gagnait ; son regard devenait extraordinaire ; il
attendait
le bourdon au passage, comme l’araignée attend la
extraordinaire ; il attendait le bourdon au passage, comme l’araignée
attend
la mouche, et se jetait brusquement sur lui à cor
paule, couchant en joue ce qui allait venir, calme, muette, immobile,
attendait
. Elle ne voyait pas les cuirassiers et les cuiras
’endroit vers lequel son penchant l’entraîne. Demain, le fleuve qui l’
attend
à quelques pas l’aura emporté avec lui, et ce ser
rrésistible qui nous retient au service malgré nous, et fait que nous
attendons
toujours un événement ou une guerre. Je ne sais (
nie. » (Maury, Essai sur l’éloquence de la chaire, LVIII). 483. Je m’
attendais
tout à fait. Aujourd’hui on entendrait : je m’att
). 483. Je m’attendais tout à fait. Aujourd’hui on entendrait : je m’
attendais
à savoir de vous, comme en effet vous me l’appren
icier de police en Espagne. Mot d’origine arabe. 521. Anacoluthe. On
attendait
: tu me reproches. 522. Lulli (1633-1687), de Fl
ves paroles, qui excitent une attention mêlée d’anxiété ; lui-même il
attend
sa colère ; mais qu’un mot échappe du sein de la
és de la vie. Ainsi, vous vous préparez à la mission sociale qui vous
attend
. Mission difficile, qui veut des esprits fiers et
rieux et plus triomphant au temple sacré, où la couronne immortelle l’
attend
dans une des places les plus éminentes. Quoiqu’on
ubitement, dans le cours de l’action, sans que le spectateur s’y soit
attendu
. Le poëte doit ici lui faire goûter tout le plais
exe oblige. Il ne tiendra qu’à vous que je sois à vous bientôt ; et j’
attends
seulement que vous m’ayez marqué les intentions d
ilà ce coup de théâtre, cette surprise si bien ménagée. Qui se seroit
attendu
à voir ici une scène entre les deux amans ?) Sgan
le ? Alceste. Ah ! le détour est bon et l’excuse admirable ! Je ne m’
attendois
pas, je l’avoue, à ce trait, Et me voilà, par-là,
comme les Fâcheux, comédie-ballet en trois actes, de Molière. Eraste
attend
Orphise dans une allée où elle doit se rendre. Il
euses : le théâtre n’a pas moins d’attraits pour nous, lorsqu’il nous
attendit
, que lorsqu’il nous égaie. Ce genre de poésie dra
droyant : Pour la dernière fois, ôte-toi de ma vue. Sors, traître. N’
attends
pas qu’un père furieux Te fasse avec opprobre arr
ndroit son asile. Jadis Priam(a) soumis fut respecté d’Achille(b) : J’
attendois
de son fils encor plus de bonté. Pardonne, cher H
il nous réconcilie ; Que Neptune et les vents prêts à nous exaucer, N’
attendent
que le sang que sa main va verser. Il invite Iph
qu’on a préparé, vient dire a Clitemnestre et à Achille, qu’Agamemnon
attend
Iphigénie à l’autel, pour la sacrifier. A cette n
te préparer ? Quel est cet ennemi que tu leur vas livrer ? Une mère m’
attend
, une mère intrépide Qui défendra son sang contre
, je m’arrêterois à de vaines menaces ! Et je fuirois l’honneur qui m’
attend
sur vos traces ! Les Parques(a) à ma mère(b), il
de la terre inutile fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une Déesse,
Attendre
chez mon père une obscure vieillesse, Et toujours
stoire de ma vie, Pour croire que long-temps soigneux de me cacher, J’
attende
en ces déserts qu’on vienne me chercher. La guerr
r à chaque pas. Daces(e), Pannoniens(f), la fière Germanie(g), Tous n’
attendent
qu’un chef contre la tyrannie. Vous avez vu l’Esp
s-la dans son sang justement répandu : Brûlons ce Capitole où j’étois
attendu
: Détruisons ses honneurs, et faisons disparoître
volontaire, et plus elle mérite. Néarque. Il suffit, sans chercher d’
attendre
et de souffrir. Polyeucte. On souffre avec regre
l’impétuosité d’Argant ni de ses efforts. Ramassé sous ses armes, il
attend
en vain que l’orage cesse ; il recule : mais le f
atroce et si nouveau : partagé entre la crainte et l’espérance, il en
attend
la fin : leurs regards suivent les mouvemens des
use ! le ciel te refuse sa rosée ! Les herbes et les fleurs mourantes
attendent
en vain les pleurs de l’aurore. Le doux sommeil n
accuser la paresse ? Marche, et suis-nous du moins où l’honneur nous
attend
. Le Perruquier honteux rougit en l’écoutant. Auss
e étonnante, Le Danube(c) s’émeut, le Taged s’épouvante, Bruxelles(e)
attend
le coup qui la doit foudroyer, Et le Batave(f) en
es murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et prêts à m’accuser,
Attendent
mon époux, pour le désabuser. Mourons. De tant d’
s ; et si elles ne produisent pas tout le fruit qu’on avait lieu d’en
attendre
, c’est à notre malice ou à notre faiblesse que no
une cour nombreuse de vils flatteurs qui les applaudissent, ou qui en
attendent
leur fortune. » On trouve cette différence entre
s armes ; enfin pour tout dire en peu de mots, si vous voulez ne vous
attendre
qu’à vous-mêmes, et vaincre cette paresse qui vou
donc, en quel temps agirez-vous comme vous le devez ? Quel événement
attendez
-vous ? Quelle nécessité faut-il qui survienne pou
te justice le prescrit, et que l’utilité publique le demande ». On s’
attend
, sans doute, à lire, après cette péroraison, cell
testablement la plus essentielle ; mais je crois qu’elle ne doit rien
attendre
des secours de l’art. L’art peut servir l’orateur
des raisons qu’il se propose de leur alléguer ; car il ne doit pas s’
attendre
à en imposer d’autres par ses seules paroles, que
itier ; on manquait de preuves directes : « Mais, dit l’orateur, vous
attendiez
une succession, et une succession considérable ;
ste quelque grave défaut, il réussira mal, si, pour s’en corriger, il
attend
le moment de monter en chaire ou à la tribune ; i
mbre de bons auteurs nous offrent de plus parfait. L’on ne doit pas s’
attendre
à ce que je propose en exemple aucun de nos auteu
aités de politique (car ce sont les seuls dont je veuille parler ici,
attendu
que cette observation n’est point applicable à se
gliger entièrement ; cependant, je n’ose pas avancer que l’on doive s’
attendre
à en retirer beaucoup de fruit. C’est aux écrits
pandre sur son Histoire de Florence autant d’intérêt qu’on pouvait en
attendre
d’un aussi grand écrivain ; il s’est laissé condu
donc pas obligé, comme l’historien, à des recherches profondes ; on n’
attend
pas de lui des connaissances aussi étendues ; il
détails les plus minutieux et aux incidents les plus ordinaires. L’on
attend
de lui qu’il montre aussi bien l’homme public que
oujours une force de conviction bien supérieure à celle que l’on peut
attendre
du raisonnement le plus exact ; car elles ôtent à
mi ont infiniment de rapports avec une conversation, nous devons nous
attendre
à trouver le caractère d’une personne mieux dével
er jusqu’à l’origine des peuples, il est évident que nous devons nous
attendre
à rencontrer une ressemblance remarquable entre l
itions d’un genre tempéré que la rime convient, à celles où l’on ne s’
attend
à trouver ni véhémence dans les pensées, ni subli
anément dans un asile champêtre que l’on se plaît à y trouver. L’on s’
attend
à voir paraître des bergers ou des personnages li
cultive mal la terre, il lui fait prévoir en ces termes le sort qui l’
attend
(liv. i, v. 158) : Heu, magnum alterius frustra
s par les ornements qui appartiennent à la poésie descriptive, l’on s’
attend
à en être dédommagé par des peintures agréables e
chaleur et de noblesse que celui du poème épique. C’est là que l’on s’
attend
à trouver les descriptions les plus sublimes, les
mille ans en arrière. C’est la peinture du monde ancien qu’il faut s’
attendre
à retrouver ; ce sont des caractères et des mœurs
rquer, les productions de ces siècles reculés. Aussi devons-nous nous
attendre
à trouver dans les productions de cet âge, bien p
ous les couleurs les plus convenables. On trouve en lui, comme on s’y
attend
bien, un mélange de mollesse, de courage et de ga
art, et l’on trouve chez lui les beautés et les défauts que l’on doit
attendre
d’un auteur original, comparé à ceux qui sont ent
upant toujours la narration d’un incident par un autre incident, sans
attendre
, pour entamer un récit, que le récit qui précède
e leur superstition, et, tout à coup éclairées par la vraie lumière,
Attendent
, en tremblant, l’éternelle sentence. Le palais d
, était une entreprise difficile et hardie ; et, comme on pouvait s’y
attendre
, c’est effectivement celle où le poète a obtenu l
sentiment pénible qu’elles nous font éprouver. Observons toutefois qu’
attendu
que ce plaisir est toujours mêlé de quelque peine
dignes de la plus grande admiration. Ce qu’on n’aurait peut-être pas
attendu
de lui, c’est que, dans ses sentiments, il est de
violente et emportée arrive-t-elle sur la scène, le spectateur peut s’
attendre
à voir paraître aussitôt un homme doux et d’un ex
nsidérés comme ses deux chefs-d’œuvre. Nous devons naturellement nous
attendre
à trouver sur le théâtre comique de l’Angleterre
re, au milieu de ce temple, et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblants, à qui l’on va
e régler le cœur, elle ne répondrait pas à tout ce qu’on a droit d’en
attendre
, et ne nous conduirait pas à une des principales
rend, non à les négliger, mais à en tirer tout le fruit qu’on en doit
attendre
; à les considérer, non comme notre fin, mais com
lé de l’âme. Si tout doit finir avec nous, si l’homme ne doit rien
attendre
après cette vie, et que ce soit ici notre patrie,
encore sans culte, sans religion, sans Dieu dans ce monde ; mais ils
attendent
tous un avenir ; mais le sentiment de l’immortali
it d’où, sans être vus, nous pouvions voir tous les passants. Là nous
attendions
que la fortune nous offrît quelque bon coup à fai
nonçai d’un air menaçant, le religieux sembla craindre pour sa vie. «
Attendez
, me dit-il, je vais donc vous satisfaire, puisqu’
tai sur ma bête, et je regagnai promptement le bois, où les voleurs m’
attendaient
avec impatience pour me féliciter, comme si la vi
es assez sensible pour conclure que l’orateur commençait à baisser. J’
attendis
encore une homélie pour mieux savoir à quoi m’en
le Roi allait tenir. Un silence profond succéda à un discours si peu
attendu
et qui commença à développer l’énigme de la sorti
prélat l’exposa à tout, son bien dire le sauva, mais il fallut encore
attendre
. Il vint à bout enfin, par degrés, de les séparer
ris, abandonné sur le trône ; presque seul au milieu d’une cour qui n’
attendait
que sa mort, qui la prédisait sans cesse : le sor
t, et ils vous prodiguent tout le mépris dont ils sont couverts. Vous
attendez
d’eux votre première sentence ; ils vous jugent ;
efois que vous n’êtes pas sans mérite : voilà tout ce que vous pouvez
attendre
de votre vivant ; mais qu’elle s’en venge bien en
ettre aux pieds de son maître son courage, sa force, ses talents ; il
attend
ses ordres pour en faire usage, il le consulte, i
nt couvrir leur marche, dissimuler leur dessein, épier les occasions,
attendre
, choisir l’instant de faire leur coup, se dérober
rer à toute autre. Je n’ai point élevé mon Émile pour désirer ni pour
attendre
; et quand il porte ses désirs au-delà du présent
ont contre votre poème sur le désastre de Lisbonne240, parce que j’en
attendais
des effets plus dignes de l’humanité qui paraît v
ieux à mon cœur ; mais il s’agit de la cause de la Providence, dont j’
attends
tout. Après avoir si longtemps puisé dans vos leç
mmagement à venir. Non, j’ai trop souffert en cette vie pour n’en pas
attendre
une autre. Toutes les subtilités de la métaphysiq
désolée, et ses genoux se dérobant sous elle. Voilà le spectacle qui
attend
le fils ingrat. Il s’avance ; le voilà sur le pas
être inconnu ? Figaro. — Je me retire. Le comte. — Au contraire. J’
attends
ici quelque chose, et deux hommes qui jasent sont
m’a procuré l’audience de M. Goëzmann ? » — « Certainement, monsieur…
attendez
… écrivez… Quant à l’égard de la soi-disante audie
graves paroles qui excitent une attente mêlée d’anxiété. Lui-même il
attend
sa colère ; mais qu’un mot échappe du sein de la
vices, le charme de ses peines et le prix de ses dangers ; il ne doit
attendre
sa moisson, sa destinée, la seule qui l’intéresse
hrase latine comme un voyageur devant des routes qui se croisent ; il
attend
que toutes les finales l’aient averti de la corre
’un tel monument est comme une musique continuelle et fixée, qui vous
attend
pour vous faire du bien quand vous vous en approc
tourné la tête, et ne lui dit que ces mots : « Madame, les lords vous
attendent
, et m’ont envoyé vers vous. — Oui, répondit Marie
Quand on fut sur l’escalier où les ; comtes de Shrewsburv et de Kent
attendaient
Marie Stuart, et par où elle devait descendre dan
s la dernière campagne. Berthier avait promis de revenir ; Napoléon l’
attendait
, et, en voyant les heures, les jours s’écouler sa
voyez là-haut, ce passage tempétueux, où, comme ils disent, le fils n’
attend
pas le père, c’est la porte de l’Espagne. Une imm
i ? mais conte-le moi toujours. » C’est celle de cet autre enfant qui
attend
avec impatience et avec un peu de crainte ce qui
geance. Alliée ou plutôt sujette des Romains, De leur choix l’Arménie
attend
des souverains. Vous le savez, seigneur ; et du p
ts et les goûts, Le jugement d’un seul n’est point la loi de tous, Qu’
attendre
est, pour juger, la règle la meilleure, Et que l’
vous déplaire. ŒDIPE. De ton indigne voix je saurai m’affranchir. Qu’
attends
-tu donc ? Polynice. La mort. œdipe. Quoi ! tu v
Et dans la forêt sombre errait depuis deux jours. Il se traîne, il n’
attend
qu’une mort douloureuse ; Il succombe. L’enfant,
ur de molles toisons, en un calme sommeil, Tu peux, ici dans l’ombre,
attendre
le soleil. Je te ferai revoir tes foyers, ta patr
vous pouvez m’entendre. Ce moment, il est vrai, s’est fait longtemps
attendre
. Rome ne m’offre plus que des yeux ennemis. Mes j
les plus variés, avaient été une heureuse conquête. Mais c’était trop
attendre
de la chanson que de lui permettre d’empiéter sur
s feux du jour Du golfe avec terreur mesurant l’étendue, Un vieillard
attendait
seul au pied de la tour. Sous des flocons d’écume
leurs, Le long des flots bruyants il murmure à voix basse776 : « Je t’
attendais
hier, je t’attendis longtemps ; Tu ne reviendras
ots bruyants il murmure à voix basse776 : « Je t’attendais hier, je t’
attendis
longtemps ; Tu ne reviendras plus, et c’est toi q
, je t’attendis longtemps ; Tu ne reviendras plus, et c’est toi qui m’
attends
! » Messéniennes, livre II777. Entrevue de L
Relevez-vous mon fils ! LOUIS. Relevez-vous mon fils !J’y reste pour
attendre
La faveur qui sur moi de vos mains va descendre,
tard ! FRANÇOIS DE PAULE. N’hésite pas. Plus tard !Dieu voudra-t-il
attendre
? LOUIS. Demain ! FRANÇOIS DE PAULE. Demain !Mai
ù l’orage est vainqueur, Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous
attendre
, Parlent encor de vous en remuant la cendre De le
; Et mes yeux se mouillaient de pleurs, songeant aux choses Qui nous
attendent
dans la nuit. Un jour mon tour viendra de dormir
mer aux enfants de Kerné ! » Comme le cormoran, perché sur le rivage,
Attend
l’heure où sa proie apparaît, le sauvage, Longtem
scarpés ? La biche le regarde ; elle pleure et supplie : Sa bruyère l’
attend
; ses faons sont nouveau-nés ; Il se baisse, il l
soir, Marchant d’un ferme pas sous une cape grise, Lorsque j’allais l’
attendre
au sortir de l’église, Ou dans son grand fauteuil
le aimait entre tous, de son amour de mère, Ceux dont l’âme innocente
attend
une lumière. Les petits révoltés, les rôdeurs de
i manque à la probité ou à l’honneur. 290. La sentence du Parlement,
attendue
avec une extrême curiosité, donna tort aux deux p
mme œuvre de poésie, est en soi d’une valeur indépendante, il ne doit
attendre
de la musique qu’une médiocre assistance. Si la m
un monarque universel. Certes je ne veux rien de pareil, quoique je m’
attende
bien à ce donc, argument si commode au défaut d’a
ait-il autorité pour le faire ? Joubert marque très finement ce qu’on
attendait
de Chateaubriand, et celui-ci semble bien se souv
ombre ou pur, qu’il se couche ou se lève, Qu’importe le soleil ? je n’
attends
rien des jours… 420. Sainte-Beuve, à propos de
rler la Providence k l’homme assailli par le doute (8e Méditation) :
Attends
; ce demi-jour, mêlé d’une ombre obscure, Suffit
noir recruteur des ombres, » ce n’est pas l’appel à l’échafaud qu’il
attend
, c’est l’appel devant le tribunal révolutionaire.
pocrite douceur du malade s’abaissant devant un pauvre moine, dont il
attend
la santé, le ton hautain du roi habitué à tout vo
it le style naturel, dit Pascal, on est tout étonné et ravi, car on s’
attendait
de voir un auteur, et l’on trouve un homme. » Le
Prêtez-moi seulement, vallon de mon enfance, Un asile d’un jour pour
attendre
la mort ; on comprend que ce langage poétique n’
de, pour exciter sa curiosité et lui montrer autre chose que ce qu’il
attendait
. Bossuet nous en donne un exemple dans son oraiso
grâces : l’une, de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs, qu’
attendez
-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du
r fait la guerre aux peuples de Phocide. Cet argument a peu de force,
attendu
que l’exemple n’est jamais une preuve nécessaire
ur tout dire en un mot, si chacun veut agir pour soi-même, et ne plus
attendre
dans l’inaction qu’un autre agisse pour lui, alor
and donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il convient de faire ? Qu’
attendez
-vous ? un événement, ou la nécessité sans doute ?
re au milieu de ce temple ; et que vous n’y êtes assemblés que pour l’
attendre
, et comme des criminels tremblants à qui l’on va
par ces réflexions, qu’Aristote n’a point faites, et qu’on ne pouvait
attendre
que d’un orateur encore plein du souvenir de ses
it plus insinuant que ce début ; il produisit tout ce qu’on en devait
attendre
, et le peuple, détrompé par l’éloquent discours d
séance, revint à sa maison ; il changea de chaussure et d’habits, il
attendit
quelque temps que sa femme fut prête, comme c’est
vait parler, ne se plaindrait-elle pas ? ne vous dirait-elle pas : Qu’
attendez
-vous encore, juges, quand on vous a démontré… ?”
L’esprit veut connaître : rien n’est plus impatient que lui quand il
attend
; et plus les moyens qu’on lui offre pour arriver
enchantés, lorsque nous voyons un style naturel ; c’est que nous nous
attendions
de voir un auteur, et nous trouvons un homme. Dan
tient de tendre les chaînes le jour des Barricades : Monseigneur, qu’
attend
-on donc tant ? et que ne les tend-on ? L’oreille
ur vos têtes ? (Andromaque.) En lisant ces deux vers de Boileau : N’
attendait
pas qu’un bœuf, pressé de l’aiguillon, Traçât à p
er avec peine jusqu’à l’exclamation qui la termine, et que l’auditeur
attend
après une si longue suspension. L’orateur peut s’
ode. Ces ornements supposent dans la voix une véhémence qu’on ne doit
attendre
ni exiger de lui ; il sera simple dans son débit
nspiration de Cinna est découverte, qu’il a tout avoué, et qu’on ne s’
attend
plus qu’à une vengeance éclatante, Auguste, dans
rtitude, pour lui montrer ensuite un tout autre objet que celui qu’il
attendait
. Voyez un bel exemple de suspension, Verrin., V,
es grâces ; l’une de l’avoir fait chrétienne ; l’autre… Messieurs, qu’
attendez
-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du
d rang, qui s’éclipse au premier. (Id.) Nous ne vivons jamais, nous
attendons
la vie. (Id.) Ô que la nuit est longue à la dou
heureux qui, pour ne pas quitter leurs palais, flattaient le tyran et
attendaient
la mort. Cependant un bruit soudain se répand dan
l’esclavage, ne s’apercevait pas qu’elle était libre ; immobile, elle
attendait
que l’armée lui donnât un maître. L’armée seule f
ssitôt il se rendit chez les Gètes, et, protégé par son obscurité, il
attendit
en silence le jour d’une meilleure destinée. Cepe
donner un maître au monde ; il faut à l’empire un sauveur, et Rome l’
attend
de vous seuls ! Jupiter lui-même vous désigne Ner
ne sont pas venus nos deux rois ! qu’on leur die Qu’ils se font trop
attendre
, et qu’Attila s’ennuie… ? La rangerez-vous sous
n. « Ces ornements supposent dans la voix une véhémence qu’on ne doit
attendre
ni exiger de lui ; il sera simple dans son débit
armes ; enfin, pour tout dire en peu de mots, si vous voulez ne vous
attendre
qu’à vous-mêmes, et vaincre cette paresse qui vou
donc, en quel temps agirez-vous comme vous le devez ? quel événement
attendez
-vous ? quelle nécessité faut-il qui survienne pou
ée publiquement. (Beaumarchais, Mémoires) La suspension. — On laisse
attendre
un instant à l’auditeur les conséquences des prém
s grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… messieurs, qu’
attendez
-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du
hée, sous le titre de Φινεῖδαι (Suidas). C’est là que leur destin les
attend
.] C’est à peu près de même que l’Œdipe de Sophocl
tait dans les beaux siècles de la Grèce et de Rome ; et il faudrait s’
attendre
à un effet tout contraire, si une nation nombreus
d’autre, et si aucun des deux ne s’épuise en efforts perdus ; s’ils s’
attendent
, s’ils ne déploient et ne font agir qu’à propos l
de vous ; vous avez à la journée d’Austerlitz justifié tout ce que j’
attendais
de votre intrépidité ; vous avez décoré vos aigle
ement sur leurs rideaux. Rangés devant le vieil autel de pierre Nous
attendions
venir l’humble bannière. (J. T.) Au lieu de : no
e Nous attendions venir l’humble bannière. (J. T.) Au lieu de : nous
attendions
que l’humble bannière vint. En faveur de l’éléga
temps s’écoule ; le tombeau s’ouvre devant le monarque ; le tombeau l’
attend
et le demande : il pense donc à se remplacer aupr
, pour nous juger selon nos œuvres, et que nous sommes tous ici, pour
attendre
de lui l’arrêt de la vie ou de la mort éternelle.
rs le détour qu’elle prend, Pour nous faire éviter un malheur qu’elle
attend
, Est le chemin qui nous y mène. Ce n’est
r et de me plaindre Des muses, des grands et du sort, C’est ici que j’
attends
la mort Sans la désirer ni la craindre. L’inscri
le rôti manqua, à cause de plusieurs dîners où5 l’on ne s’était point
attendu
. Cela saisit Vatel ; il dit plusieurs fois : « Je
» Il ne savait pas que Vatel avait envoyé à tous les ports de mer. Il
attend
quelque temps ; les autres pourvoyeurs ne viennen
our lui ménager une surprise en lui montrant autre chose que ce qu’il
attendait
. Dans l’oraison funèbre de la reine d’Angleterre,
s grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… messieurs, qu’
attendez
-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du
. Je suis jeune, il est vrai ; mais, aux âmes bien nées, La valeur n’
attend
pas le nombre des années. (Corneille.) 198. La s
sprit et à flatter l’oreille de celui qui écoute. 233. La respiration
attend
des mots variés, des pauses assez fréquentes et d
té. Celui qui, dès le début, embouche la trompette, donne le droit d’
attendre
beaucoup pour la suite du récit, et, si cette att
t une anecdote plaisante à ceux qui les entourent, laissant longtemps
attendre
le trait piquant, et finissant par un quolibet qu
sante. L’auteur se garde bien de la satisfaire sur-le-champ ; il fait
attendre
quelque temps le mot de l’énigme, et puis, par un
ons inaccoutumées, comme pour nous donner le change sur le sort qui l’
attend
. Par-là, l’attention est vivement émue, et le cou
dans la Laitière et le Pot au lait, le récit est fini et le lecteur n’
attend
plus rien après le beau vers qui précipite le dén
t ou pathétique, selon la place qu’il lui destine et l’effet qu’il en
attend
. On doit ensuite choisir un objet intéressant et
e soit vif, animé, coupé à propos, et que la réplique ne se fasse pas
attendre
. (Voir le nº xvii.) 505. Le monologue est le disc
xposition doit être simple, claire, facile, et préparer l’effet qu’on
attend
de l’épigramme. Elle a pour objet d’aiguiser le t
nuées et comme des colombes qui retournent à leur asile ? Les îles m’
attendent
, et les vaisseaux de la mer, pour transporter tes
brebis. J’ai fait pour vous rendre Le destin plus doux Ce qu’on peut
attendre
D’une amitié tendre ; Mais son long courroux Détr
avaient été entassés dans le couvent et dans l’église des Carmes. Ils
attendaient
leur sort avec une pieuse résignation, aucun dout
Anglais insultait, Tendre à la charité le bras qui leur restait. Nous
attendions
la mort, nous la croyions prochaine. Un jour je m
volontaire, et plus elle mérite. NÉARQUE. Il suffit, sans chercher, d’
attendre
et de souffrir. POLYEUCTE. On souffre avec regret
es pour achever son voyage vers un lieu où sa famille et le bonheur l’
attendent
; il n’a pu se résoudre à mendier. Vos camarades,
mais il ne va pas loin : c’était une épreuve. Son bienfaiteur, qui l’
attendait
sur la route, le ramène, et l’adopte solennelleme
chercher pour l’emmener à sa cour, où les plaisirs et les grandeurs l’
attendent
. Anacréon refuse ; il ne veut pas échanger son in
où le criminel, en proie à l’épouvante, fait venir l’homme de qui il
attend
sa justification et son salut. Caracalla apprend
partie. A la nouvelle de l’arrivée de Richard et de ses soldats, on s’
attend
à l’assaut pour le lendemain, et on se prépare à
te et si triste pour se transporter dans l’église, où les prisonniers
attendent
le moment de leur supplice ; tous, quoique agités
r se rendre par mer dans une petite ville d’Écosse où ses partisans l’
attendent
, prêts à relever, sous sa conduite, l’étendard de
ans une barque, tâchent de se diriger vers la ville où leurs amis les
attendent
. La tempête les en éloigne. Tableau d’une nuit so
Delmance dans un pavillon isolé de sa maison, obtient de lui qu’il y
attendra
son retour ; il promet de lui expliquer plus tard
ntenant il va sauver Delmance : une barque, préparée par ses soins, l’
attend
sur le rivage de la mer. Douleur et indignatio
ffliction du jeune prince : c’est son ami… Il interroge l’accusé ; il
attend
avec impatience qu’il se justifie. Arlabane, siég
rre civile que causerait infailliblement son départ ; la gloire qui l’
attend
si elle double la puissance de la Pologne et si e
pèse même à la richesse. Une armée, alors la seule défense de l’État,
attend
en vain sa subsistance des magasins qu’un hiver d
ngent un peu voire courage. Encor si la raison s’avançait davantage !
Attendez
les zéphyrs : qui vous presse ?un corbeau- Tout à
assant. La Raquette. Ailleurs, par deux rivaux la raquette empaumée
Attend
, reçoit, renvoie une balle emplumée, Qui, toujour
it avec une joie parfaite. Équipé de la sorte, au mois de juillet, il
attendit
dans sa chambre, et non sans impatience, l’arrivé
Depuis longtemps les souris, trop bien avisées, savent s’en garantir.
Attendez
-vous donc à voir au premier jour la gent trotte-m
s chats imposent encore, les rats, Messieurs, sont aux aguets ; ils n’
attendent
que le moment où vous aurez prononcé l’arrêt fata
lly, pour qui ce jour fut un jour trop fatal. Tous ces héros en foule
attendaient
le signal, Et, rangés près du roi, lisaient sur s
és à leurs coups. Les captifs, en tremblant, conduits en sa présence,
Attendaient
leur arrêt dans un profond silence : Le mortel dé
e souillerai pas ma plume, le tribunal redoutable de la postérité les
attend
! Qu’on me pardonne cette digression ; je reviens
ai de toucher le cœur des juges par le spectacle de la pauvreté qui m’
attend
, de mes enfants réduits à la misère, je mettrai e
pour le bien public ; là, on lui dresse une pompe funèbre, où l’on s’
attendait
de lui dresser un triomphe ; chacun choisit l’end
eurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais
attendons
la fin. Les acteurs cessent ici leur dialogue.
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