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1 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
ai déjà parlé, à propos de la réfutation, et le mot, comme la chose, appartient au langage usuel. Cette contre-vérité, par laquel
écoutent ne serait pas placé à sa droite… Dieu seul sait ceux qui lui appartiennent , mais si personne ne connait ceux qui appartienne
sait ceux qui lui appartiennent, mais si personne ne connait ceux qui appartiennent à Dieu, tout le monde sait du moins que le, péche
rtiennent à Dieu, tout le monde sait du moins que le, pécheurs ne lui appartiennent pas. Or, je vous le demande, et je vous le deman
e l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent . Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui app
qui vous appartiennent. Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons du moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons du moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Massillon, Du petit nombre des élus. C
2 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
e genre démonstratif a pour objet la louange ou le blâme : à ce genre appartiennent les éloges, les oraisons funèbres, les satires, e
tes qu'une démarche, une action, peut entraîner avec elle. A ce genre appartiennent les discours de la tribune politique, etc. Le gen
ne doit, dans la définition, ni omettre les principaux arguments qui appartiennent au sujet, ni insister sur des circonstances peu i
; il est juste, ou il se met au-dessus des lois. L'homme pauvre, s'il appartient aux dernières classes de la société, et s'il est
ner une acception nouvelle, peuvent orner le style. Chatouiller, qui appartient au style simple, familier, est ennobli dans les v
rande rapidité un sentiment noble ou généreux, propre à élever l'âme, appartient également à ces trois sortes de styles. Au style
, appartient également à ces trois sortes de styles. Au style sublime appartiennent  : 1° les expressions hardies qui, en s'éloignant
n ne voit pas comment les choses eussent pu se dire autrement ; elles appartiennent aux trois sorte de styles. Le style sublime et le
e son maître S'est souillé lâchement : il en rougit, le traître ! appartiennent au bas comique ; et il en est de même des assembl
n langage. Et il faut prendre, successivement, selon les pensées qui appartiennent aux sujets différents, un ton, un style plus ou m
est entre deux que il est invariable, parce que le régime qui précède appartient au second verbe. » Oui, si le second verbe est ac
urage, la férocité ou la pitié. C'est aux écrivains romantiques qu'il appartient de laisser voir leur âme tout entière, de nous pa
ée ; des expressions basses, à côté de mots gigantesques, cette pièce appartient à la nouvelle littérature, et telle est celle de
ral ; et on l'appelle dramatique, quand il est mis en action et qu'il appartient aux pièces ordinaires de théâtre. Il faut faire p
e oiseau Dont le nid se balance aux branches de l'ormeau ?… Rien ne m' appartient sur la terre ; Je n'eus pas même de berceau !… Bi
savoir. Voyez les satires de Boileau. L'épigramme. L'épigramme appartient au même genre que la satire, mais elle a moins d'
lade est soumise aux mêmes règles que la chanson ; mais, bien qu'elle appartienne au genre lyrique, elle s'applique à plusieurs aut
ns beau. Celui qui dominait la plaine et la colline. 1. Cette pièce appartient aussi à l'élégie.
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire. »
Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire.
e. Indépendamment des figures que nous venons de parcourir, et qui appartiennent également à la poésie et à l’éloquence, il en est
e l’ignore moi-même : vous seul, ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent  ! Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui ap
qui vous appartiennent ! Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons du moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons du moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Or qui sont les fidèles ici assemblés !  Bea
4 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »
généralement préférés à ceux qui restent en repos. Le mouvement doux appartient seul au beau : violent et rapide, comme serait, p
u beau : violent et rapide, comme serait, par exempte, un torrent, il appartient au sublime. Le mouvement d’un oiseau qui plane da
bjet aimable. (Boileau). Les plaisirs de la mélodie et de l’harmonie appartiennent également au goût. Il n’est point de sensation dé
e d’un bel ouvrage de poésie ou d’éloquence : nous répondrons qu’il n’ appartient point à telle ou telle classe en particulier, mai
5 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE II. Règles générales de la quantité. » pp. 271-273
i la seconde des deux consonnes est une liquide (l ou r), et qu’elles appartiennent toutes deux à la même syllabe34, comme dans locup
a décomposition du mot, et à son étymologie, quand les deux consonnes appartiennent à la même syllabe. Ainsi, dans patris, la premièr
o), la première syllabe est ab ; par conséquent, les deux consonnes n’ appartiennent pas à la même syllabe. 35. La lettre j, chez les
6 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300
stinguez immédiatement et les rapportez aux divers corps auxquels ils appartiennent  ; ainsi, dans un livre ou dans un discours, vous
r des additions, des retranchements ou des déplacements de lettres, n’ appartiennent pas plus aux figures, que les altérations semblab
, n’affecte pas le mot, en modifiant son inflexion ; si l’antithèse n’ appartient pas évidemment aux deux classes, puisqu’elle oppo
eux sentir ou la ressemblance, ou l’opposition : à la première classe appartiennent toutes les formes de la comparaison, métaphore, m
de la nature se dépouille des formes vagues et poétiques qui lui ont appartenu dès son origine ; elle adopte un caractère plus s
7 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l’indépendance, » il exp
rendre ces mots : il fait nuit ; comparez-les ensemble, et, si elles appartiennent à de vrais écrivains, vous remarquerez comment el
vable profusion. C’est un des points par lesquels M. de Chateaubriand appartient à l’époque qui l’a vu naître, surtout dans Atala
t : … Tes raisons sont frivoles. Je pourrais décider, car ce droit m’ appartient , Mais rapportons-nous-en. — Soit fait, dit le rep
est abattu, tout est désespéré. » N’est-ce pas aussi à l’ellipse qu’ appartient l’anacoluthe, littéralement, absence de compagnon
8 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
maines ? Un assemblage de connaissances réfléchies et combinées. Il n’ appartient donc qu’aux génies inventeurs et toujours pensant
ssent s’éloigner à l’infini, et ne pouvoir jamais se rapprocher. Il n’ appartient qu’à ces génies rapides qui s’élancent tout d’un
us vive. Libre des opinions vulgaires, et pensant d’une manière qui n’ appartient qu’à lui seul, il parle un langage, vrai dans le
t de nature à frapper tous les yeux, à parler à toutes les âmes, et n’ appartiennent en rien à la critique littéraire. Quelle perle po
9 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
térature. Voiture mourut en 1648. Il était natif d’Amiens et il avait appartenu l’un des premiers à l’Académie française. Une
moi, je ne sais pour quel intérêt ils tâchent d’ôter à Car ce qui lui appartient , pour le donner à Pour ce que, ni pourquoi ils ve
d’Orange n’avait jamais osé toucher ; pris seize pièces de canon qui appartenaient à un prince qui est oncle du roi et frère de la r
10 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
6° narration légende, il y a encore la narration oratoire ; mais elle appartient au discours et nous en avons parlé à l’article de
facile d’analyser un portrait ; au fond l’élève dira à quel genre il appartient et ce qu’il en pense comme juge. Dans la forme, i
la manière variée à employer l’antithèse. Fond. — Dites à quel genre appartient le parallèle, si vous en êtes content et pourquoi
XVI : « fils de saint Louis, montez au ciel. » Fond. — Ce parallèle appartient à l’ordre moral, quoiqu’on y reconnaisse la réali
t le dialogue pressant, vif, incisif et mordant. Fond. — Ce dialogue appartient au genre dramatique, les deux interlocuteurs ont
es. Ainsi dans la narration mixte on s’empare d’un fait dont le fond appartient à l’Histoire : d’un personnage dont l’ existence
deux phrases ; 3° on dira auquel des six genres indiqués la narration appartient . En particulier : On fera remarquer 1° si dans la
’est écrire en poète plutôt qu’en narrateur. Fond. — Cette narration appartient au genre mixte, l’auteur s’est emparé d’un nom, d
11 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
parlerons pas ici des arguments. La logique formelle, à laquelle ils appartiennent , ne fait point partie de l’invention. Non-seuleme
nnement, pour les faire pénétrer dans les esprits. Ses développements appartiennent plutôt à la disposition. La vertu, les mœurs, ne
nergiques de leurs écrits, de ceux surtout où le peintre et le modèle appartiennent au même sexe. Si vous voulez agir sur un homme pa
le Fils naturel de Diderot, beaucoup d’autres drames de cette époque, appartiennent à cet ordre d’idées qui n’était pas à dédaigner.
12 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
ment énergique un mouvement plus doux, pourvu toutefois que tous deux appartiennent au même ordre d’idées et se développent sur le mê
e l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent . Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui app
qui vous appartiennent. Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons du moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons du moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Or, qui sont les fidèles ici assemblés ? Les
13 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
la critique des arts ? S’il en était ainsi, les kermesses de Teniers appartiendraient sans doute au style simple, et les grandes pages
Voltaire traite un sujet sérieux sur le ton de la plaisanterie, ceci appartient à sa manière d’envisager les choses ; mais il est
peine du ton sublime. Il dira que le qu’il mourût est sublime, mais n’ appartient pas plus au ton sublime qu’au ton simple, car cet
par la pensée et jusqu’à un certain point par la forme, tout écrivain appartient toujours à son siècle, et ne peut se dérober à l’
14 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
e plus en son propre nom que par hasard. Son inspiration cesse de lui appartenir à lui seul ; il la prête à ses héros, il la fait
ème genre dramatique, appelé du nom un peu vague de drame. À ce genre appartient déjà dans l’antiquité le Cyclope d’Euripide. C’es
ns encore, à des degrés différents, dans tous les genres de prose qui appartiennent à la littérature. II. Science et littérature.
oyer est fondé sur l’idée du juste et sur les principes du droit ; il appartient au genre judiciaire. — Dans un conseil politique,
iscours académiques, tout ce qui est montre, exposition de la parole, appartient au genre démonstratif. Nous n’avons pas besoin d
é par ses jugements comme par ses récits. 2. — Au genre de l’histoire appartiennent les Mémoires, où l’auteur raconte sa vie, se pein
e. Par le génie créateur et l’inspiration originale, l’art dramatique appartient surtout à la poésie. Nous citerons seulement pour
Lieux communs extrinsèques. — On rangeait sous ce titre tout ce qui appartient à la loi ou bien au témoignage : textes de lois,
riche ; mais l’étude des passions appelle quelques règles de goût qui appartiennent à l’Invention oratoire. La première, c’est que, p
une grandeur qui peut aller jusqu’au sublime. Ces exordes majestueux appartiennent surtout à l’éloquence de la chaire ; cependant, o
ails de l’exécution. Invention. — Les arguments et les lieux communs appartiennent plus à la dialectique et à la philosophie qu’à l’
-à-dire le développement raisonné, progressif de toutes preuves qui n’ appartiennent pas aux démonstrations mathématiques. En effet, d
e d’original et de vivant qui n’est pas dans l’élocution. L’élocution appartient à tout le monde ; le style est à l’écrivain. Tel
descriptions plates et triviales. C’est à la science seulement qu’il appartient de décrire la nature tout entière, dans sa laideu
grande éloquence de la chaire, inconnue des anciens, dont les modèles appartiennent à notre littérature. La religion, devant une tell
e tour le plus heureux, le plus original, le plus pittoresque. « Il n’ appartient qu’à elle, dit La Bruyère, de faire lire dans un
e Tellier.) Les figures de pensée qui nous restent à passer en revue appartiennent surtout à l’art oratoire. 12° Prolepse. — Elle s’
rtions, mais pour en tirer avantage contre elle. C’est une figure qui appartient surtout à la discussion. « J’avoue, disait Mento
nt et transforment le sens des mots. 1° Figures de Grammaire. — Elles appartiennent beaucoup plus aux langues anciennes qu’au françai
s, les unes rares et brillantes, les autres fréquentes et familières, appartiennent aux diverses familles des Tropes. La métaphore es
15 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
e certaines figures entrent tellement dans les habitudes du discours, appartiennent si intimement au génie de la langue, que le rhéte
maine public, dont on ne doit tenir aucun compte à l’écrivain ; elles appartiennent en propre à celui qui les a créées, et peuvent, e
ouanges qui vous sont dues, et souffrez que l’on rende à César ce qui appartient à César. » Boileau s’intitule lui-même grand chro
iquaient volontiers l’euphémisme et l’antiphrase. Cette dernière leur appartient même à peu près exclusivement ; elle existe chez
16 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
quoi montrerait-il une injuste rigueur ? C’est au mauvais goût qu’il appartient d’être partial et passionné : le bon goût n’est p
triotisme de l’Hôpital et d’un Molé. C’était donc à la religion qu’il appartenait de faire entendre son langage ; et elle devenait
erfectionne et qui choisit est un côté de l’invention, et qu’une idée appartient pour moitié à celui qui la fait valoir tout son p
aire fleurir la raison et les talents. « C’est à eux sans doute qu’il appartient de juger le ouvrages anciens et modernes ; mais i
17 (1875) Poétique
restant en place : voilà ce qui est de toute tragédie ; mais ce qui n’ appartient qu’à quelques-unes, ce sont les lamentations que
se prêter quelquefois. La joie que cette espèce de dénouement produit appartient au comique et non au tragique, car dans le comiqu
éprouve dans l’Œdipe. Quand c’est l’effet du spectacle, l’honneur en appartient à l’ordonnateur du théâtre plutôt qu’à l’art du p
ipide, mais comme chez Sophocle. Dans les autres poètes, les chœurs n’ appartiennent pas plus à l’action qu’à toute autre tragédie : c
de les pensées dans nos livres sur la rhétorique, à qui cette matière appartient . La pensée comprend tout ce qui s’exprime dans le
e, il a marché, signifient, l’un le présent, l’autre le passé. Le cas appartient au nom et au verbe : il marque les rapports, de,
le mot dont tout le monde se sert dans un pays, et étranger celui qui appartient à la langue d’un autre pays. Ainsi le même mot pe
s, quand on le peut. On examinera ensuite si la faute est dans ce qui appartient à la poésie même ou dans ce qui lui est étranger 
18 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
là sont faits pour les sujets médiocres. Tous les sujets qu’on traite appartiennent ou à la mémoire, ou à la raison, ou au sentiment,
e, ou à la raison, ou au sentiment, ou à l’imagination. Dans ceux qui appartiennent à la mémoire, l’écrivain expose, raconte : il fau
ue son style soit uni, facile, naturel et rapide. Dans les sujets qui appartiennent à la raison, l’écrivain se propose d’instruire :
style soit grave, méthodique, ferme et énergique. Dans les sujets qui appartiennent au sentiment, l’écrivain veut toucher : il faut q
yle soit doux, insinuant, vif, animé, pathétique. Dans les sujets qui appartiennent à l’imagination, l’écrivain cherche à plaire : il
qui enlève et qui ravit. Elles sont rendues d’une manière sublime, et appartiennent par conséquent au style sublime sans être du subl
19 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
u discours et au fond des choses ? Mais qui ne voit que tout le reste appartient exclusivement à l’écrivain, et que cette énergiqu
ont eu, dans tous les temps, qu’un sentiment à cet égard ; et qu’il n’ appartenait qu’à la frivolité moderne de traiter ces grands p
eux néanmoins que l’administration des affaires et l’autorité suprême appartiennent à celui qui, ayant plus vécu, est raisonnablement
parties qui la composaient, se rejoindre aux éléments auxquels elles appartiennent  : l’âme seule échappe aux regards, soit lorsqu’el
s de la postérité, s’ils n’eussent pressenti que cette postérité leur appartenait  ! Et moi-même (car il faut bien me vanter un peu,
20 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre X. Genre pastoral. »
ui nous les font aimer. Il ne faut pas croire que la poésie pastorale appartienne à l’âge d’or ou à la vie patriarcale ; elle n’en
d’Amycus est un morceau épique ; dans Bion, le Chant funèbre d’Adonis appartient à l’élégie : mais la vraie pastorale doit toujour
21 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
qu’on affecte de supprimer, et même souvent beaucoup au delà, elle n’ appartient plus alors aux figures dont nous traitons ici, et
des phrases entières. Nous voici à la construction figurée à laquelle appartiennent les formes dont il me reste à parler. L’hyperbate
ibue à certains mots d’una phrase des inflexions ou modifications qui appartiennent réellement à d’autres mots, sans cependant qu’il
our et formidatum nigra caligine, etc. Ces licences de construction n’ appartiennent qu’aux langues transpositives. Car j’ai l’imperti
22 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
: Ni trop brillant et trop étudié ; Ni vulgaire, c’est-à-dire pouvant appartenir à plusieurs sujets ; Ni commun, c’est-à-dire pouv
r argumenter, il s’agit d’abord de déterminer à quel ordre de vérités appartient la thèse à démontrer. Il y a trois ordres de véri
homme au-dessus de lui-même. Chapitre XX. Dans les ouvrages qui appartiennent au genre tempéré et même au genre simple, le prem
tudes communes du discours, et ceux d’invention ou de l’écrivain, qui appartiennent plus spécialement à celui qui les emploie, on peu
23 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
certains chefs généraux appelés lieux ou lieux communs, parce qu’ils appartiennent ou peuvent servir à tous les genres d’oraison, à
yriques, les oraisons funèbres. Il est facile de voir que les sermons appartiennent au genre délibératif, et que les panégyriques et
nt au genre délibératif, et que les panégyriques et oraisons funèbres appartiennent au genre démonstratif. Mais cette dernière relati
rang, leurs vertus et leurs actions. En ce sens, l’oraison funèbre n’ appartient pas à l’éloquence sacrée ; c’est l’epithaphios lo
règne dans les deux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l’indépendance, est auss
bles dans le même genre ; mais nous n’avons pas à en parler ici : ils appartiennent à l’histoire littéraire de nos divers gouvernemen
rappelant leurs actions, de faire apprécier leurs travaux. Ces éloges appartiennent essentiellement à la biographie, et c’est quand n
fait réunir quelquefois ; mais ces deux dernières sortes de discours appartiennent seules ou peuvent du moins être considérés comme
24 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Boétie, 1530 1563 » pp. -
’ennemi de Charles-Quint, devint son beau-frère, Étienne de la Boétie appartenait à cette génération qu’auima la ferveur de l’érudi
t Italien qui procède du latin luridus. 3. Une partie de ce qui leur appartenait . 4. Auparavant. 5. La populace. 6. Orde (horr
25 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Mignet Né en 1796 » pp. 261-264
efois, et plus qu’autrefois le gouvernement de l’État. Mais peut-être appartient -il à l’Académie française, le jour où elle reçoit
ts et notices. Librairie académique de Didier ; t. Ier, p. 41. 2. Il appartient à la jeune génération de le lui rendre : c’est là
26 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
hez tous les hommes ; il repose sur des sentiments et perceptions qui appartiennent à notre nature. Ses opérations sont, en général,
l’imitation produit ce sentiment de plaisir. La mélodie et l’harmonie appartiennent aussi au goût ; il n’existe pas d’agréable sensat
vidualisés par l’article, trois modifications dignes de considération appartiennent aux noms substantifs : le nombre, le genre et le
distinction du mâle et de la femelle. Tous les autres noms devraient appartenir au genre que les grammairiens appellent neutre, q
soleil, il détermine le temps et affirme que la propriété de briller appartient au soleil dans cet instant. Le participe brillant
espèce d’harmonie est la plus commune ; la deuxième est plus rare, et appartient au beau par excellence. La beauté de la construct
sive de certains objets par des sons analogues ; mais cette imitation appartient bien plus particulièrement à la poésie, où cette
Aen. vi. Nous n’insisterons pas davantage sur ce genre d’harmonie qui appartient presque exclusivement à la poésie, et s’éloigne p
obscure qu’on peut douter qu’elle mérite le nom de prosopopée ; elle appartient peut-être à plus juste titre à la métaphore. Le s
contredit la plus hardie de toutes les figures de rhétorique ; elle n’ appartient plus qu’à la passion, et ne doit être tentée que
quelque action mémorable. Mais il faut se souvenir que ces mouvements appartiennent à la haute éloquence, et qu’en conséquence ils ne
ogations et les exclamations dont je vais parler sont des figures qui appartiennent à la passion ; leur usage est très fréquent ; et
e de quelque raisonnement serré et pressant ; mais les exclamations n’ appartiennent qu’aux plus fortes émotions de l’âme, à la surpri
éprouve pas. Il peut user librement de l’interrogation, parce qu’elle appartient au style ordinaire du raisonnement, lors même que
le à un torrent, il se précipite avec abondance et rapidité. Ce genre appartient aux plus hauts degrés de l’art oratoire, et convi
aturellement, sans effort et sans travail : c’est une observation qui appartient à Quintilien. Plerumque optima verba rebus coher
ut, il est vraiment éloquent. Cette définition montre que l’éloquence appartient à tous les sujets, histoire, philosophie ou disco
ou intéressent, soit dans la composition, soit dans la prononciation, appartiennent à l’éloquence. On a accusé l’éloquence d’être un
. La confection des lois, la paix, la guerre, le choix des magistrats appartenaient au peuple. Le chemin aux honneurs les plus élevés
iodes. Isée et Lysias, dont quelques discours nous ont été conservés, appartiennent aussi à cette époque. Lysias, qui vécut quelque t
u’aux assemblées nombreuses. La nature et le maniement des sujets qui appartiennent au barreau exigent un genre d’éloquence très diff
aute importance ; mais, dans les cas embrouillés et difficultueux qui appartiennent au barreau, elle est de toute nécessité. On ne sa
haire. Commençons par examiner les avantages et les inconvénients qui appartiennent à ce genre d’éloquence. La chaire a certainement
à deux : la gravité et la chaleur. La nature sévère des matières qui appartiennent à la chaire demande de la gravité. Leur importanc
mais dans les autres discours où le choix et la direction du sujet n’ appartiennent pas entièrement à l’orateur, il est souvent impos
je l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent . Mes frères, notre part est presque assurée, et n
chacune d’elles. Et d’abord se présente l’exorde ou introduction, qui appartient évidemment aux trois genres d’éloquence. Ce n’est
traîne suffisamment avec elle l’évidence de son importance. La clarté appartient à toutes les parties du discours ; mais elle est
sont quelquefois disposés à le croire. L’intelligence et la sagacité appartiennent à tous les rangs, et l’orateur peut recevoir des
er et s’animer ; mais elle doit être bientôt ramenée au caractère qui appartient au genre, c’est-à-dire à la modération et à la si
ssentiellement le débit. Que votre manière, quelle qu’elle soit, vous appartienne entièrement ; ne vous formez pas un genre qui ne
ra avec les affaires qui sont du ressort de l’assemblée à laquelle il appartient  ; il étudiera les formes, les usages, et portera
27 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
à sont faits pour les genres médiocres. Tous les sujets qu’on traite, appartiennent ou à la mémoire, ou à la raison, ou au sentiment,
e, ou à la raison, ou au sentiment, ou à l’imagination. Dans ceux qui appartiennent à la mémoire, l’écrivain expose, raconte : il fau
ue son style soit uni, facile, naturel et rapide. Dans les sujets qui appartiennent à la raison, l’écrivain se propose d’instruire :
soit grave, méthodique, précis, ferme, énergique. Dans les sujets qui appartiennent au sentiment, l’écrivain veut toucher : il faut q
yle soit doux, insinuant, vif, animé, pathétique. Dans les sujets qui appartiennent à l’imagination, l’écrivain cherche à plaire : il
u me dire avec Racine le fils, que hasarder ces alliances de mots, n’ appartient qu’à celui qui a le crédit de les faire approuver
28 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre I. — Rhétorique »
enre délibératif, et ceux qui ont pour objet d’accuser ou de défendre appartiennent au genre judiciaire. 1° Le Genre Démonstratif, co
ur les finances d’un État, sur la législation. 3° Le Genre Judiciaire appartient au barreau ; il a pour objet le juste et l’injust
29 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
arqué les bornes, mais celle qui s’étendra dans tous les âges, et qui appartiendra à la postérité. Elle a déjà dans vous ce qui peut
ir les maux de la patrie ; ils diront que vos grands exploits peuvent appartenir à la fortune, et que vous n’avez pas fait ce qui
appartenir à la fortune, et que vous n’avez pas fait ce qui n’aurait appartenu qu’à vous. Ayez donc devant les yeux ces juges sé
30 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
le. — élégance, finesse, naiveté, enjouement Dans les ouvrages qui appartiennent au genre tempéré et même au genre simple, la prem
e, est assurément M. de Talleyrand. Les reparties ingénieuses qui lui appartiennent réellement ou qu’on lui attribue sont innombrable
e, Gil Blas qui, publié dans la dernière année du règne de Louis XIV, appartient pour la forme comme pour le fond au xviie  siècle
31 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
par les grands pontifes, dans les livres pontificaux. Les légendes n’ appartiennent qu’indirectement à l’histoire ; ce sont des récit
abandon33. Histoire proprement dite. L’histoire proprement dite appartient aux âges déjà éclairés par la civilisation, car e
32 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
ivacité, des grâces naturelles, tous les charmes de la négligence lui appartiennent . C’est, dit Boileau, une bergère qui se couronne
specteur de la librairie de France. Le sujet en est triste, et semble appartenir à la mélancolie allemande. Afin de soulager son
ressions donne au style une élégance inimitable. Le Paon Si l’empire appartenait à la beauté et non à la force, le paon serait san
lon.) C’est le style de Voltaire et de La Bruyère, à la plume duquel appartient le portrait suivant : L’Hypocrite Onuphre n’a po
re avec enthousiasme, le ton s’élèvera jusqu’au sublime. Le sublime n’ appartient pas à tous les sujets : il règne seulement dans l
e dans cette ville, on croit d’abord que ce n’est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais quelle est la ville
33 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
du ciel je reçoi, Je jouis aujourd’hui de celui qu’il me donne ; Il n’ appartient pas plus aux jeunes gens qu’à moi, Et celui de de
n’appartient pas plus aux jeunes gens qu’à moi, Et celui de demain n’ appartient à personne. 5. Compter l’aurore. Ce vieillard
que nous prenons au sol et au territoire d’un pays : le coin qui nous appartient est celui qui a le plus d’intérêt pour nous. C’es
e la Beauce ou de la Brie, deux ou trois arpents de terre plate qui m’ appartiennent , où j’ai mis ma maison et mon jardin. La propriét
ra éternellement dans ses immortels écrits. Par l’ordre des temps, il appartient aux siècles modernes ; mais par son génie il appa
des temps, il appartient aux siècles modernes ; mais par son génie il appartient à l’antiquité, qu’il nous retrace dans tout ce qu
34 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
sons j’us ; nous écrivons gageure et nous disons gajure. 1. Ce vers appartient un peu trop au genre de l’idylle. 2. Malgré la c
rop rare chez lui. On a dit, avec quelque raison, que toute sa poésie appartenait au monde des idées et qu’il ne semblait pas avoir
représentée en 1732. Belle imitation de l’Othello de Shakspeare, elle appartient au genre de ces pièces dites romanesques, où le p
35 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
à ce qui est avantageux, honorable ou juste, Aristote répète qu’il n’ appartient pas à la rhétorique de traiter ces idées à fond,
hrases et les périodes par des termes, des images, des périodes qui n’ appartiennent qu’à notre idiome et à nos habitudes. Le lecteur
, certes, entraîne les âmes, mais elle est indépendante de l’art et n’ appartient en aucune façon à la poétique ; car la tragédie s
là l’intérêt que l’on puise dans la tragédie ; c’est plutôt celui qui appartient à la comédie. Là, en effet, des personnages donné
ns la tragédie, à provoquer un intérêt quelconque, mais celui qui lui appartient en propre. V. Comme le poète (tragique) doit exci
on est en proie à une colère véritable. C’est pourquoi l’art du poète appartient à l’esprit doué d’une heureuse aptitude, ou à cel
r les autres poètes, les parties chantées dans le cours de la pièce n’ appartiennent pas plus à la fable qui en est le sujet qu’à tout
placé dans les livres de la Rhétorique 91, car c’est une matière qui appartient plutôt à cet art. III. À la pensée se rattachent
héorie actuelle ; ce sont les formes d’élocution dont la connaissance appartient et à l’hypocritique et à celui à qui incombe ce g
A, n’est pas une syllabe, mais avec un A, en est une, savoir GRA. Il appartient d’ailleurs à la métrique de considérer aussi les
cet accessoire175. VIII. Ajoutons qu’elle a toutes les ressources qui appartiennent à l’épopée (puisqu’elle dispose du mètre), et en
te, voilà autant de points que le législateur n’a pas déterminés ; il appartient au juge lui-même de les connaître, et ce n’est pa
ve par excellence ; or l’enthymème est une sorte de syllogisme, et il appartient tout aussi bien à la dialectique, prise dans son
r. Aussi, à l’homme en état de discerner sûrement le plausible183, il appartient également de reconnaître la vérité. Ainsi donc, o
e faire beaucoup de mal. XIV. Il est donc évident que la rhétorique n’ appartient pas à un seul genre déterminé, mais qu’elle opère
t, qui dit science dit vérité ; or chaque science prescrit ce qui lui appartient , et les sciences relatives aux choses plus import
ue le bon sens déclarera préférable. XXII. Le mieux est encore ce qui appartient aux meilleurs, soit d’une façon absolue, soit en
rdeur. VII. La justice est une vertu par laquelle chacun a ce qui lui appartient , et cela conformément à la loi ; tandis que l’inj
t juste d’user de représailles ; or, ce qui est juste est beau, et il appartient aux braves de ne pas se laisser vaincre. XXV. La
s dénotent plus le désintéressement. XXVI. Les choses sont belles qui appartiennent en propre à tous les individus de chaque classe,
l’amour de soi, il s’ensuit nécessairement aussi que tout ce qui nous appartient en propre nous est toujours agréable, comme, par
d’échapper à leur surveillance. Les personnes nonchalantes ; car il n’ appartient qu’à l’homme vigilant d’attaquer celui qui lui fa
de conviction tirés des témoignages. À celui qui n’a pas de témoin il appartient d’alléguer qu’il faut juger d’après les vraisembl
e plus. XXVII. Ceux qui sont sans feinte avec nous336. À cette classe appartiennent ceux qui nous découvrent leurs côtés faibles. En
l’arrivée prochaine d’une chose effrayante. III. À cet ordre de faits appartiennent l’inimitié et la colère des gens qui ont une acti
à nous-mêmes, soit à ceux dont l’opinion nous touche. À cette classe appartiennent toutes les actions dérivant d’un vice : par exemp
nérale, de ceux pour qui nous avons honte. À cette dernière catégorie appartiennent d’abord ceux dont nous avons parlé (précédemment)
e être de bon aloi, et, par suite, les autres posséder ce qui ne leur appartient pas. XI. Et, comme chacun des biens n’est pas mér
clins à l’envie : ils s’imaginent toujours que ce qu’on acquiert leur appartient . III. De même ceux qui obtiennent des distinction
le l’est pareillement. IV. Si la qualité de sérieuse ou de belle peut appartenir à une chose, il est possible aussi qu’elle existe
i, estime ou bien qu’il n’y a pas vraisemblance, ou bien qu’il ne lui appartient pas de prononcer un jugement sur ce en quoi il fa
de la mer. Toutes ces expressions, en leur qualité de mots composés, appartiennent à la langue poétique. II. Voilà donc une première
avec les guerres, mais nous les ajournons ; car voilà deux choses qui appartiennent à l’avenir : l’ajournement et une paix faite dans
rhéteurs) établissent des distinctions ridicules, car la narration n’ appartient , en quelque sorte, qu’au seul discours judiciaire
nt, ce n’est pas en tant que délibération. La péroraison, en outre, n’ appartient pas à toute espèce de discours judiciaire, à celu
de Buhle place cette phrase à la fin du chapitre précédent, mais elle appartient évidemment à celui-ci. 340. § 5. 341. À la crai
36 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
pour ainsi dire en relief, il est certain que cette manière d’écrire appartient à l’éloquence, comme à tous les autres genres de
femme qui t’a donné le jour. Ton éducation, ta vie, ton âme, tout lui appartient . Tu es son fils, son esclave Qu’elle arme contre
37 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
reçoit de règles que de lui-même et de son sujet. Toute la nature lui appartient  ; il peut prendre tous les tons, toutes les forme
que les caractères soient bien tracés et bien soutenus, qualités qui appartiennent aussi au poème épique ; il faut encore que le rom
38 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
s dans le même discours, suivant les occasions. C’est un mérite qui n’ appartient qu’à un bien petit nombre ; la plupart des orateu
être mises en délibération. Secondement. Outre les connaissances qui appartiennent directement à la profession qu’il a embrassée, l’
omposition avec d’autant plus de fruit, qu’on choisira des sujets qui appartiennent à la profession à laquelle on se propose de se li
des autres, s’affaiblit ; nous avons moins de connaissances qui nous appartiennent en propre, parce que nous nous contentons de cell
s toujours à l’abri d’une juste critique, car la perfection absolue n’ appartient pas aux ouvrages de l’homme. Nous pouvons, nous d
cits, bien que les faits en soient de la plus exacte vérité. Ce nom n’ appartient véritablement qu’aux récits qui nous mettent à mê
qu’il raconte. Les annales, les mémoires, les vies d’hommes illustres appartiennent au genre historique ; mais ces sortes de composit
, lorsque nous aurons d’abord examiné les ouvrages réguliers auxquels appartient véritablement le nom d’histoire. Ces ouvrages peu
la gravité. Je n’ai jusqu’à présent parlé que de l’espèce d’unité qui appartient à ce genre de composition, et j’ai tâché d’en don
de croire que la poésie et la musique, considérées comme des arts, n’ appartiennent qu’aux nations civilisées. Elles ont leur princip
que nous vinrent d’abord les plus anciennes compositions poétiques, n’ appartient véritablement pas plus à l’Orient qu’à l’Occident
re le bel esprit, ou parler le jargon d’une galanterie affectée qui n’ appartient ni à sa situation, ni à son caractère. Ce genre d
comme il les a intitulées, n’ont pas toutes un mérite égal ; toutes n’ appartiennent même pas à la poésie pastorale, et quelques-unes
sses. Étrangers à la langue dans laquelle M. Gessner a écrit, il ne m’ appartient pas de juger de sa poésie ; mais il me semble que
, et c’est leur grand mérite ; car on y trouve à peine une pensée qui appartienne véritablement à l’auteur ; les descriptions, les
la plupart des chansons modernes et de ces productions qui paraissent appartenir au genre lyrique. Leur caractère principal est l’
épandre les charmes de cette versification douce et harmonieuse qui n’ appartenait qu’à lui. Le poète didactique doué de quelque gén
e ces compositions ne peuvent pas être relevées par les ornements qui appartiennent à la poésie descriptive, l’on s’attend à en être
es plus éminents sont Job, David et Isaïe. Comme les poésies de David appartiennent au genre lyrique, il règne dans ses compositions
it poétique, et à peine si la moitié de ceux de Jérémie et d’Ézéchiel appartiennent à la poésie. Parmi les petits prophètes, leur gén
un milieu et une fin. Le poète doit nous faire connaitre tout ce qui appartient à son sujet, soit en racontant lui-même ce qui s’
e ne sont que des copies de celles d’Homère. Le mérite de l’invention appartient donc évidemment au chantre d’Achille ; quant au m
eptions hardies, ces expressions heureuses et pleines de vivacité qui appartiennent particulièrement à l’auteur. Les comparaisons, en
ette action, comme dans Lucain, est aussi d’une date trop récente, et appartient à une partie trop bien connue de l’histoire. Pour
devant Dieu les âmes de ceux qui ne sont plus ; toutes ces âmes, qui appartenaient à des contrées différentes, à des sectes diverses
er. Si l’on trouve encore quelques beautés, elles sont d’un genre qui appartient à la tragédie. Le repentir et les remords du coup
tre admiration, de même que dans la poésie épique ce beau privilège n’ appartient qu’aux récits de faits glorieux ou d’entreprises
d’un genre véritablement tragique, il faut convenir que ces incidents appartenaient plus à la tragédie qu’à l’instruction ou à la mor
nements qui décident de la fortune des hommes, et qui, par cela même, appartiennent à la tragédie, lui donnent un air trop puéril ou
auteurs français ; elle est d’ailleurs peu naturelle, car si la prose appartient plus particulièrement à quelque genre de composit
aient fort oiseuses, et appuyées sur des mots et des distinctions qui appartiennent sans doute à l’art de la critique, mais par lesqu
style ou dans les descriptions. « Ce qu’on appelle le style sublime appartient aux grands objets, à l’essor le plus élevé des se
r du plus vil, comme du plus féroce des animaux, d’ôter la vie ; il n’ appartient qu’aux dieux et qu’aux rois de l’accorder.” Cette
ne beauté noble et modeste, une parure ménagée et décente. Au premier appartient la grandeur des pensées, la majesté de l’expressi
e l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent . — Mes frères, notre perte est presque assurée, e
ente de l’idée que nous en donne M. Addison. Cette censure du Tasse n’ appartient pas originairement à M. Addison. Il paraît que c’
39 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
 : et ces règles, telles qu’ils les enseignent, sont immuables, elles appartiennent à tous les temps et à tous les lieux, parce que p
ans l’avenir des occasions au génie français. Cette gloire ne pouvait appartenir qu’au royal auteur de ces institutions qui doiven
Cic., de inv. Rh., n°. 7.) De ces cinq parties, les deux dernières n’ appartiennent qu’à l’éloquence parlée, les trois premières lui
nt celles que les anciens nomment artificielles. A la première classe appartiennent les lois, les jugemens, les actes, les preuves éc
lerons lorsque nous traiterons des passions ; celles de l’entendement appartiennent à la logique. Opérations de l’entendement. Nous
rquer sur le rivage, et d’avoir fait d’autres choses semblables qui n’ appartiennent qu’à lui seul. (Rh., l. II, ch. 22.) Propriété d
de moyens de plaire dans l’orateur. Deux sortes de moyens de plaire appartiennent à la personne de l’orateur : ceux de sa personne
ns d’émouvoir. Nous distinguons entre les moyens d’émouvoir ceux qui appartiennent à l’orateur et ceux qui naissent de la cause. §
nnent à l’orateur et ceux qui naissent de la cause. § I. Moyens qui appartiennent à l’orateur. Moyens qui appartiennent à l’or
a cause. § I. Moyens qui appartiennent à l’orateur. Moyens qui appartiennent à l’orateur. Les moyens qui appartiennent à la p
l’orateur. Moyens qui appartiennent à l’orateur. Les moyens qui appartiennent à la personne de l’orateur, sont naturels ou orat
il faut être touché soi-même. Mais de tous les moyens d’émouvoir qui appartiennent à la personne même de l’orateur, le premier et le
la diction, indispensable en toute matière pour la clarté des idées, appartient essentiellement à la narration. La vraisemblance
n lui-même, et la manière de le raconter. Pour produire l’intérêt qui appartient à la cause elle-même, il faut faire ressortir les
néral, la narration doit se traiter dans le goût du genre auquel elle appartient . Sa beauté dans le plaidoyer dépend de l’adresse
ut trouver les choses et les arranger, mais que savoir les exprimer n’ appartient qu’à l’orateur. (Orat. ad Brut., n. 44.) C’est au
e grandeur qu’il lui est plus facile de conserver ; c’est celui à qui appartiennent la force des pensées, la majesté de l’expression,
ui règne dans les cieux, de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance…. » Qu’il e
note ce que nous avons à dire sur l’harmonie imitative, parce qu’elle appartient plus particulièrement à la poésie qu’à l’éloquenc
mens magnifiques. Chaque sujet a ses pensées et ses sentimens qui lui appartiennent et que le génie de l’orateur ou de l’écrivain tro
voir égard au ton général(1) qui convient au genre d’éloquence auquel appartient le sujet, et au ton particulier qui convient aux
s d’éloquence. Ton propre à l’éloquence de la tribune. Le sujet appartient -il à l’éloquence de la tribune : l’orateur doit p
la nature du sujet qu’on veut traiter, à quelle espèce d’éloquence il appartient , ensuite quels en sont les détails, quelle passio
ion des sentimens profonds, des passions plus ou moins violentes. Ils appartiennent à la haute éloquence, au style le plus élevé. Ils
corps aux objets les plus spirituels ; et c’est ainsi que tout ce qui appartient à notre âme est exprimé dans le langage commun pa
règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance, est aussi
ne description et surtout une description poétique ; car cette figure appartient peut-être plus particulièrement à la poésie, qui
e sentence ; mais il est toujours placé à la fin du morceau auquel il appartient , au lieu que la sentence se place en quelque endr
rituelles. (M. Andrieux, de l’acad. franç. Art d’écrire, ch. 7.) Ils appartiennent aux genres élevés, Il y a des traits d’un genre
èrement aux genres simples. Ce qu’on appelle particulièrement traits appartient davantage au genre simple, aux ouvrages légers et
aire ici sur l’emploi des figures en général, quelques réflexions qui appartiennent à l’art d’écrire. Les figures sont tantôt des orn
qui est moins aisé, c’est de décider quelles expressions, quels tours appartiennent exclusivement à la poésie et ne peuvent jamais en
u qu’on le suppose, il n’est pas dans cet état de fureur divine qui n’ appartient qu’au poëte, et qui le force à quitter la langue
oratoires 106 Art. II. Des moyens d’émouvoir 110 § Ier. Moyens qui appartiennent à l’orateur 114 § II. Moyens qui naissent de la
avoir des connaissances générales sur la matière à laquelle le sujet appartient  ; ensuite étudier le sujet en lui-même pour décou
es inst. orat. de Quint. Deux sortes de moyens d’émouvoir. Moyens qui appartiennent à l’orateur. Moyens naturels. Moyens oratoires. P
disons gronder, murmurer, gazouiller, siffler, bourdonner, etc. Elle appartient à la poesie. La langue imitative est un des cara
lus vives. Art de les employer dans le discours. Exemple. Traits. Ils appartiennent aux genres élevés, Mais plus particulièrement aux
40 (1854) Éléments de rhétorique française
glyphes. Pour exprimer, au moyen d’emblèmes matériels, les objets qui appartenaient à l’ordre moral, ils employaient des figures d’an
immortelles, autant du moins qu’il est permis de l’être à tout ce qui appartient à l’homme. III. De la grammaire générale. L
: le soleil être brillant, pour faire entendre que l’attribut d’éclat appartenait réellement au soleil. Ce n’est pas tout : ayant c
uatre heures, à midi, avant ou dîner. Ces mots dans, à, avant, après, appartiennent à une troisième classe de mots qu’on appelle c’es
use des attributifs. Après avoir énuméré les parties du discours qui appartiennent à toutes les langues, nous devons ajouter qu’il y
artage définitif de l’empire carolingien (888), l’idiome germanique n’ appartint plus qu’à l’Allemagne et à la France orientale. A
nres, masculin ou féminin. Tous les autres noms substantifs devraient appartenir à un genre que certaines grammaires appellent neu
le genre et le nombre, selon le nombre et le genre du nom auquel ils appartiennent . Les pronoms français n’ont aucun caractère qui l
litique, discutent les intérêts généraux de leur pays, leurs discours appartiennent au genre délibératif lorsque des hommes, divisés
. Le Tellier, et, pour y parvenir, il s’occupe moins des qualités qui appartenaient au chancelier, que des défauts qui lui étaient ét
règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l’indépendance. est auss
moyens de décrire les objets, c’est d’indiquer les qualités qui leur appartiennent . La poésie prodigue volontiers les épithètes ; el
ui est ordinairement le langage de la gaieté et de l’enjouement, peut appartenir à la colère, au mépris, à l’indignation ou au dés
arle ; elle bannit toutes les expressions et toutes les tournures qui appartiennent à une autre langue, celles que l’usage a proscrit
d’un objet particulier, on se sert du nom de la classe à laquelle il appartient . Ainsi, en parlant des hommes, on dit : le héros,
oiseaux : légèreté, rapidité, prestesse, grâce et riche parure, tout appartient a ce petit favori. L’émeraude, le rubis, la topaz
e espèce de chant monotone, et perd cette variété et ce naturel qui n’ appartiennent qu’à la parole libre et spontanée. Il y a dans la
étant le résultat de la mémoire, de l’expérience et de la réflexion, appartiennent surtout à un âge où l’esprit, ayant vu plus d’obj
à pied, suivis du bagage. Qu’est-ce donc que tout cet attirail ? vous appartient -il ? — Oui, tout est à moi et à ma femme. Nous ar
avez voulu donner à l’illustre compagnie à laquelle j’ai l’honneur d’ appartenir depuis longtemps une nouvelle marque de considéra
ans notre histoire plus d’un exemple de ce genre d’éloquence qui peut appartenir , dans l’occasion, à tout homme bien élevé. Henri
tat et dans son genre de vie particulier, il y a de vastes sujets qui appartiennent à tous. Telles sont les grandes idées de justice,
nstruire en échangeant quelques idées utiles ! tous ces hommes réunis appartiennent à des professions différentes : les uns se sont f
41 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
des règles sont proprement du domaine des lettres. Pour qu’un ouvrage appartienne aux belles-lettres, il faut de plus qu’il y ait d
. Le cachet du génie, c’est la création et l’invention. Ce beau nom n’ appartient qu’à celui qui crée ou qui féconde avec originali
autés comme des défauts de la nature et de l’art. C’est au goût qu’il appartient de régler et de conserver ce que produisent le ta
tous les autres et qu’il discerne jusqu’aux moindres nuances qui lui appartiennent . On comprend très bien ce que Boileau veut dire d
propres au genre tempéré ; la hardiesse, la force et la sublimité qui appartiennent au genre élevé. Il faut observer cependant que ce
ne sont pas tellement attachées à un genre qu’elles ne puissent aussi appartenir à un autre. 51. La pensée simple est celle qui pr
règles de la langue et d’après l’usage reçu. C’est à la syntaxe qu’il appartient de fixer les exigences de la langue ; c’est aux h
de la langue ; c’est aux hommes de goût et à la bonne compagnie qu’il appartient de constater un usage légitime. On appelle soléci
alie, acte III.) Les cinq premiers vers offrent des idées grandes, et appartiennent au style sublime. Le dernier vers présente une id
s simplement une figure, mais une composition allégorique. À ce genre appartiennent les paraboles, les fables, les emblèmes. Par ce m
ies sont un peu arbitraires, et il est certaines figures qui semblent appartenir à chacune des classes qu’on a formées. Néanmoins,
règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l’indépendance, — est au
Les deux propositions : de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient , etc., ne forment donc pas un membre de la périod
on badine, qui rentre dans le conte, ni de la narration oratoire, qui appartient à la rhétorique. Nous donnerons d’abord quelques
de compilation. (Voir le nº x.) Quelques historiens de nos jours, qui appartiennent à l’école fataliste ou à l’école descriptive, ont
gieux, philosophiques et littéraires, où l’on a adopté cette forme, n’ appartiennent pas aux compositions épistolaires. Les lettres do
rit, ni à l’aire un discours oratoire, ils ont à faire un travail qui appartient à ce genre. En traçant quelques règles sur cette
le nom de poésies fugitives. Les règles de la versification française appartiennent à la prosodie et sont comme le complément des étu
talents des grands hommes dans tous les genres : c’est à ce genre qu’ appartiennent les odes de Pindare. Dans Horace, les plus belles
die de l’épopée. Le Lutrin de Boileau, Don Quichotte, Roland furieux, appartiennent à ce genre. Remarquons, en passant que la morale
Quelques poètes de nos jours nous ont laissé des poésies légères qui appartiennent à ce genre. 552. L’héroïde est une épître dans la
42 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
e figure par laquelle on attribue à certains mots d’une phrase ce qui appartient à d’autres mots de cette phrase, sans que l’on pu
re, plus fréquente chez les Grecs et chez les Latins que chez nous, n’ appartient qu’au style noble et soutenu : elle est surtout u
ceau entier, elle prend le nom de composition allégorique. A ce genre appartiennent les apologues ou fables, les paraboles et la pers
je l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent  : mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui ap
qui vous appartiennent : mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons du moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons du moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Massillon. 243. Qu’est-ce que la réticence
elle de la période, sa beauté consiste dans le nombre. Le nombre, qui appartient à la phrase en général, mais qui est surtout néce
43 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux parties du sujet  » pp. 64-74
et de nos amis, une vile poussière qu’il faut jeter au vent et qui n’ appartient à personne ; les dernières intentions des mourant
ologues, les paraboles, les allégories, etc. Car si ces divers points appartiennent plus spécialement, par leur forme, au titre de l’
44 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article »
que qu’aux Pays-Bas, ainsi nommés, parce qu’ils sont vers la mer. Ils appartiennent à l’Empereur.
45 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
te, par exemple, à n’employer que les termes et les constructions qui appartiennent à l’idiome que l’on parle, de préférence à ceux q
mment de la pureté, qui est une qualité purement grammaticale, et qui appartient indistinctement à tous les genres d’écrire, le st
46 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
les charmes de la culture de l’esprit, et que nous nous félicitons d’ appartenir à un siècle civilisé. L’inspiration et l’imaginat
que dans la nature, parce qu’elle parle plus à l’âme qu’aux sens : il appartient surtout aux esprits cultivés de la sentir ; car s
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
Je ne suis pas de ceux qui estiment que les larmes et la tristesse n’ appartiennent qu’aux femmes, et que pour paraître homme de cœur
e lettre, je suis bien aise de vous l’offrir, comme un fruit qui vous appartient … » 2. Ses camarades l’appelaient le Philosophe
48 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
. § I. Origine du drame. L’invention de la poésie dramatique n’ appartient pas à un seul peuple ; on la rencontre à différen
roprement dit. Le drame est une transformation de la tragédie : il appartient aux temps modernes. On peut en distinguer deux va
bouffe, ou comique : nous ne parlerons ici que du premier ; le second appartient à la comédie. La tragédie lyrique, ne peut être a
49 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
us occuper du gouvernement des choses humaines, et c’est à vous qu’il appartient de régler, d’affermir la situation des affaires.
si riche et augmenté par mes soins. Aujourd’hui que cet héritage va t’ appartenir non par la force de la nécessité, mais par l’effe
édition de Sicile si fatalement conseillée par l’ambitieux Alcibiade, appartient à la seconde de ces périodes. On sait que plus de
e nous dire qu’il convient de délibérer, quand on nous offense ; il n’ appartient qu’à ceux qui songent à outrager les autres, de d
s ? C’est que tout ce qui a été l’objet d’une contestation entre nous appartienne au peuple romain, à savoir la Sicile, la Sardaign
jusqu’aux colonnes d’Hercule. Puis, toute la Libye, toute l’Asie nous appartiendront , et les bornes que Dieu a posées à l’univers sero
les circonstances présentes. Si nous réussissons, les avantages nous appartiendront en commun. Ce ne sont pas des espérances frivoles
que la pointe était ferme et bien acérée : « Maintenant, ditil, je m’ appartiens , je suis libre. » Puis il reprit le livre de Plat
même de la vôtre. Vous avez vendu sans pudeur, comme un bien qui vous appartenait , ou comme l’héritage d’un simple particulier, cet
associés ; mais la gloire acquise par la clémence envers les vaincus appartient tout entière au héros ; ni le centurion, ni le tr
50 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
r une pente insensible, arrivent à discuter de l’éloquence. La parole appartient aux plus dignes, à Crassus, par exemple, à Antoin
r l’expectative. Mais Montluc connaît le prince et sait qu’à lui seul appartient le droit de trancher la question ; aussi est-ce à
’à moitié vaincue. Il en est des âmes comme du royaume de Dieu, elles appartiennent à celui qui les enlève de vive force. Or, ce n’es
s lèvres de l’orateur, tant vous ne vous possédez plus, tant vous lui appartenez tout entier. Vous arriviez tout à l’heure froid,
impressions, comme de ses incidents et de ses personnages, le succès appartient souvent à celui qui frappe fort. Au barreau, où c
51 (1852) Précis de rhétorique
relèvent tous les empires, 2me membre avec deux incises : à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance, 3me membre
ui paraît attribuera certains mots d’une phrase une signification qui appartient à d’autres mots de cette même phrase. Ex. : enfon
et la prosopopée d’action. Cette figure exige une extrême réserve, et appartient presque exclusivement à l’éloquence et à la poési
. Pour analyser un portrait, on doit examiner au fond à quel genre il appartient , et dans la forme quelles sont les expressions qu
essortir les beautés des tournures ; au fond, on précise à quel genre appartient le dialogue, et l’on explique la pensée cachée de
ration à quelques lignes. 10. Il faudra préciser ensuite à quel genre appartient la narration analysée, et dire si elle est confor
d’éloquence.] 1. Suivant les anciens rhéteurs, un discours pouvait appartenir à trois genres : le genre démonstratif, qui avait
e, un prince, ou dans une cérémonie publique. À ce point de vue, elle appartient à tous les genres d’éloquence ; mais dans les ess
52 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
faire à l’écrivain ? Bien déterminer d’abord à quel ordre de vérités appartient la proposition à démontrer, et celle-ci une fois
t Cicéron la prirent sous leur patronage ; mais ce mode de réfutation appartient surtout aux Français, et ressort, dès l’origine,
53 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
chacune ne s’écarte pas de l’idée principale, soit à la place qui lui appartient , et se succède dans un ordre tel que l’intérêt ;
règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance, est aussi
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
qu’ils soient animés, passionnés, qu’ils parlent et agissent comme il appartient a des hommes et non à des ombres. C’est la nature
r physique, il révolte, il ne charme plus ; il manque l’effet qui lui appartient pour un effet étranger et vulgaire. (Du Vrai, du
55 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
ace Je ne cacherai pas d’où m’est venue l’idée de ce recueil. Elle appartient à Sainte-Beuve. Elle est au tome premier, de ses
s la moyenne région des idées abstraites, de s’attacher, à celles qui appartiennent à l’éloquence, et d’éviter ces questions frivoles
art, car l’expression en passe tous les hommes, et le sentiment n’en appartient qu’à peu d’hommes. Et les esprits fins au contrai
le doit non plus à celui d’où il l’a appris, qu’un arbre admirable n’ appartiendra pas à celui qui en aurait jeté la semence, sans y
semblent être faits seulement pour l’usage où elles les mettent. Il n’ appartient qu’à elles de faire lire dans un seul mot tout un
ute la philosophie la plus solide. Ainsi Platon montre par là qu’il n’ appartient qu’au philosophe d’être véritable orateur : c’est
avec la république, ainsi que celle d’Athènes. L’éloquence sublime n’ appartient , dit-on, qu’à la liberté ; c’est qu’elle consiste
out l’univers est barbare. Le goût est donc comme la philosophie : il appartient à un très-petit nombre d’âmes privilégiées. Le gr
er quelques règles pour discerner les mots de la langue française qui appartiennent à la prose de ceux qui sont consacrés à la poésie
rieux de M. Destouches ; Rhadamiste 88 m’a ému, même après Phèdre. Il appartient à un homme comme vous, Monsieur, de donner des pr
les grâces du style. Sublime Ce qu’on appelle le style sublime appartient aux grands objets, à l’essor le plus élevé des se
du plus vil, comme du plus féroce des animaux » d’ôter la vie ; il n’ appartient qu’aux dieux et aux rois de l’accorder. » Cette m
e beauté noble et modeste, une parure ménagée et décente. Au premier, appartient la grandeur des pensées, la majesté de l’expressi
e sublime. Mais distinguons deux pathétiques : l’un, qui sans doute n’ appartient qu’aux mouvements de la haute éloquence, c’est ce
ession et de la peinture du vrai ; mais cette expression si touchante appartient moins à la réflexion, sujette à l’erreur, qu’à un
bon goût n’est qu’un sentiment fin et fidèle de la belle nature, et n’ appartient qu’à ceux qui ont l’esprit naturel. Corneille, né
neille de peindre des vertus austères, dures et inflexibles ; mais il appartient à Racine de caractériser les esprits supérieurs,
ment les traits d’une nature forte et éclairée, et ce génie élevé qui appartient également à  tous les peuples. Je ne vois point d
passionnées. J’excepte quelques-unes des odes sacrées, dont le fonds appartient à de plus grands maîtres. Quant à celles qu’il a
itable. Lorsqu’un auteur se jette de sang-froid dans ces écarts qui n’ appartiennent qu’aux grandes passions, il court risque de march
ents, personne n’osant leur contester d’être dans le bon chemin. Il m’ appartient moins qu’à tout autre de dire que Rousseau n’a pu
a gloire, plus près de nos yeux, soit plus exposée à l’envie. Il ne m’ appartient pas de faire une critique raisonnée de tous ses é
hoses basses à de grandes choses, j’admire ces traits de grandeur qui appartiennent au poëte, mais je sens du mépris pour son héros,
re et le tour élevé des maîtres. Toutes les richesses de l’expression appartiennent de droit à ceux qui savent les mettre à leur plac
onservent, malgré le temps, un caractère toujours original : car il n’ appartient pas aux autres hommes de concevoir et d’exprimer
avez voulu donner à l’illustre compagnie à laquelle j’ai l’honneur d’ appartenir depuis longtemps une nouvelle marque de considéra
symétries marquées à des symétries effacées. LXXXIX. Le style concis appartient à la réflexion. On moule ce qu’on dit, quand on l
56 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
hamp son vœu est exaucé. L’ambitieux Palémon demande que la Loire lui appartienne et coule sur ses terres. L’ange n’ayant pas pu le
s eurent besoin du secours de leurs voisins : La digue d’un étang qui appartenait à Clairval le fier se rompit : personne ne porta
faillite, et leurs créanciers firent mettre en vente tout ce qui leur appartenait . Voici le moyen ingénieux qu’inventa l’homme qui
tre bientôt en convalescence : mais, ni le comte ni la comtesse à qui appartenaient ce château et qui l’habitaient, ne viennent le vo
la conserve : mais souviens-toi qu’elle n’est plus à toi, qu’elle lui appartient tout entière, et qu’il se réserve de te la redema
e voyage, en 1494, Christophe Colomb avait découvert la Jamaïque, qui appartient aujourd’hui aux Anglais. On donnait le nom d’Indi
ait emparé, par la ruse et par la violence, du royaume d’Arménie, qui appartenait à son oncle et l’avait fait périr. Il tyrannisa l
cateur d’abeilles. Deux propriétés contiguës, séparées par un mur, appartenaient à deux citoyens d’Athènes, l’un riche, l’autre pa
et tout à fait improductif ; mais le citoyen pauvre auquel cet enclos appartenait y trouvait sa subsistance et celle de sa famille
es bannis se réfugièrent à Naples, capitale du royaume de ce nom, qui appartenait à l’empereur Frédéric II. Les villes gibelines mi
en de Béthune était en 1550, au château de Rosny (Seine-et-Oise), qui appartenait à son père. Il porta successivement les titres de
ais Jean n’est pas roi d’Angleterre, puisque la couronne d’Angleterre appartenait à son neveu, et que l’on n’hérite pas de ceux que
la gloire, réunit tous ceux des jeunes gens riches de la province qui appartenaient à sa communion, et leur propose d’aller avec lui
57 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
Grecs anciens et modernes. Ce grand contraste offrait un tableau qui appartenait de droit à la poésie ; aussi est-ce dans le rappr
l’on rencontre si fréquemment dans ses discours académiques, et qui n’ appartiennent pas plus au style qu’au genre oratoire. Au surplu
ans les mêmes endroits. Les défauts cependant, ainsi que les beautés, appartiennent dans M. de Chateaubriand à une seule et même caus
58 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
arniens, v. 629  Chevaliers, v. 233, 508, 1318  Paix, v. 735, etc. Il appartient plutôt à la comédie.] Surtout à la nouvelle coméd
59 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
élocution, les harangues, les oraisons funèbres, et tout ce qui enfin appartient au genre démonstratif. Mais, si le fait ne peut,
issance, toute l’efficacité de l’art oratoire, car c’est à elle qu’il appartient d’opérer la conviction, de faire éclater dans tou
ais elle devra suivre au cas où l’orateur parlera le premier. Il lui appartient , en effet, de faire connaître d’abord ses raisons
Assortiment ou convenance du style Tous les sujets qu’on traite appartiennent à la mémoire, ou à la raison, ou, au sentiment, o
la raison, ou, au sentiment, ou à l’imagination. Dans les sujets qui appartiennent à la mémoire, l’écrivain expose ou raconte : il f
faut que son style soit uni, facile, naturel et rapide. Dans ceux qui appartiennent à la raison, l’écrivain se propose d’instruire :
style soit grave, méthodique, précis, ferme, énergique. Dans ceux qui appartiennent au sentiment, l’écrivain veut toucher : son style
le sera doux, insinuant, vif, animé, pathétique. Enfin, dans ceux qui appartiennent à l’imagination, l’écrivain veut plaire : son sty
concision, différente de la précision, est une qualité qui semble lui appartenir plus spécialement. Le discours concis explique et
’établissement de la preuve, à la discussion du sujet ou de la cause, appartiennent au style simple. D’autres, qui ont pour but de fl
aison et s’écrie d’une voix terrible : “Où est l’heureux mortel à qui appartient ce logis ? que ne vient-il ? pourquoi ce silence 
ge de la nature, bien que répandu sur toute la personne de l’orateur, appartient plus particulièrement au visage, aux yeux et aux
60 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
lles sœurs, et se trouvent-elles réunies dans le passage suivant, qui appartient l’un de nos estimables écrivains, Raynal. Il nous
olière soupant avec Louis XIV. Vol. II, nº 86. 2° Dans les sujets qui appartiennent à la raison, où l’on se propose d’instruire, le s
épède. Lecture. — Le Prêtre. Vol. II, nº 87. 3° Dans les sujets qui appartiennent au sentiment, où l’écrivain cherche à toucher, le
. Lecture. — Guillaume Tell. Vol. II, nº 88. 4° Dans les sujets qui appartiennent à l’imagination, où l’écrivain cherche à plaire,
61 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre I. » pp. 73-74
opinion de quelques critiques ses contemporains, que le roman en vers appartient au même genre de poésie que l’épopée, et que par
62 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
une heureuse étoile, qui puissent le conduire à la gloire. La gloire appartient à Dieu dans le ciel. Sur la terre, c’est le lot d
que d’information, investigation, recherches, exploration ; mais elle appartient si bien au genre didactique, qu’elle change et se
ens. 62. Domairon, Rhét, Histoire profane. 63. Ces dernières lignes appartiennent à M. Villemain, secrétaire perpétuel de l’Académi
63 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
ne saurait plus les en détacher, et que le bien des autres semble lui appartenir à aussi bon droit qu’à ceux même qu’il a dépouill
se à l’énumération ou analyse. Le commencement de l’Emile de Rousseau appartient à cette forme : « Tout est bien, sortant des mai
64 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
i de suite45. Cependant l’exorde par la proposition et la division n’ appartient pas exclusivement à la chaire. Vous la rencontrer
i de la progression. Les anciens appellent vulgaire l’exorde qui peut appartenir à plusieurs sujets ; commun ou commuable, celui d
65 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
humanité si égoïste, et à laquelle pourtant, en dépit de son égoïsme, appartiennent ces âmes d’élite. C’est donc moins encore la néga
i fait mal à propos rentrer dans le sublime tant de choses qui ne lui appartiennent pas, et jusqu’à l’ode de Sapho, la plus brûlante
66 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
être précis, que de fois n’est-on pas vague ! Combien de termes qui n’ appartiennent pas à la langue du sujet, et qui s’y introduisent
e de sa propre vie, en sorte que, tout en ayant le même sens, ils lui appartiennent néanmoins par l’emploi qu’il en fait. Il doit don
67 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre V. Genre didactique et descriptif en vers. »
oir précisément une intention morale ou un but scientifique. Ce genre appartient aux temps modernes. Les anciens étaient sobres de
68 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
ptions de l’Iliade et de l’Odyssée ; retranchez à la Jérusalem ce qui appartient à l’Énéide, et aux deux autres poèmes ce qui est
est imité des poèmes plus anciens : c’est-à-dire, ôtez à tous ce qui appartient véritablement à Homère, il restera des beautés, s
leaux n’est fondé que sur le goût ; mais c’est à l’intelligence qu’il appartient de juger si ces représentations sont fidèles, en
de tous les hommes ; c’est sur les sentiments et les perceptions qui appartiennent à notre nature, qu’il est fondé ; et, en général,
pportés ici, que pour montrer que les objets qu’ils nous représentent appartiennent à la classe des objets sublimes. Un certain degré
partie de nos Lectures suivantes. Presque aucune des expressions qui appartiennent à l’art de la critique n’a été appliquée plus mal
yle, à quelques affections de l’âme, et même à certaines choses qui n’ appartiennent qu’aux sciences abstraites. On dit journellement
latteur que ceux qui restent en repos. Les mouvements modérés et doux appartiennent seuls à la beauté ; la rapidité ou la violence, c
uissons pleinement de cette sensation charmante et délicieuse qu’il n’ appartient qu’à la beauté de produire. C’est à saisir les be
ou d’effroi. Les plaisirs qui naissent de la mélodie et de l’harmonie appartiennent encore au goût. De toutes les sensations agréable
à quelle classe des plaisirs du goût, dont il vient d’être question, appartient le plaisir que nous procurent la poésie et l’éloq
ir que nous procurent la poésie et l’éloquence, je répondrais qu’il n’ appartient à aucune, et qu’il appartient à toutes. Un avanta
e et l’éloquence, je répondrais qu’il n’appartient à aucune, et qu’il appartient à toutes. Un avantage particulier à ces arts admi
diquant qu’ils sont tous deux à l’accusatif, montre à quel substantif appartient l’adjectif, quoiqu’ils se trouvent placés l’un et
. Pour exprimer, par des emblèmes ou des hiéroglyphes, des objets qui appartiennent à l’ordre moral, ils se servaient de figures d’an
oms, les adjectifs, les verbes, les prépositions et les conjonctions, appartiennent à toutes les langues. La division la plus simple
enres masculin ou féminin. Tous les autres noms substantifs devraient appartenir à ce que les grammairiens appellent le genre neut
asservies à aucune règle, que dans la désignation des genres auxquels appartiennent les noms des choses inanimées, et principalement
t désigné, et il y a en outre affirmation que la propriété de briller appartient en ce moment au soleil. Le participe brillant n’e
, et s’oppose à l’emploi d’expressions ou de tournures de phrases qui appartiennent à une autre langue, ou que l’usage ne tolère plus
s disposé à s’y arrêter ; en sorte qu’au lieu de se servir du mot qui appartient proprement à l’objet principal, mot cependant bie
avec laquelle l’esprit donne aux choses inanimées des qualités qui n’ appartiennent qu’aux créatures vivantes, et s’accoutume aux abs
te à attribuer à des objets inanimés quelques-unes des qualités qui n’ appartiennent qu’à des créatures vivantes. Lorsqu’on l’emploie
orcé et hors de nature. Une main personnifiée, n’a rien de noble et n’ appartient pas au style d’une véritable passion. La figure e
porter la couleur. Introduire sur la scène des objets inconnus ou qui appartiennent à un autre climat, c’est montrer qu’on ignore l’a
les choses qu’elle rassemble. L’esprit peut s’y déployer, mais elle n’ appartient absolument qu’à ces pièces dont l’esprit et la ga
e celles qui résultent d’une discussion sérieuse ; mais l’exclamation appartient aux plus violentes secousses de l’âme, à la surpr
ieuses. Isæus et Lysias, dont il nous reste encore quelques discours, appartiennent à cette époque. Lysias précéda quelque peu Isocra
nous diriger dans la composition de toutes les parties d’un discours appartiennent également à l’éloquence de la chaire, à celle de
t de couvrir d’opprobre elle-même et la famille à laquelle elle avait appartenu  ; c’était la cause de la haine qu’ils se portaien
doit toucher que légèrement. S’il cherche à ne rien omettre de ce qui appartient à son sujet, il encombre inévitablement son disco
ité. Les mots peu usités, emphatiques, ou pompeux, surtout ceux qui n’ appartiennent qu’à la poésie ou au langage philosophique, doive
t mieux monter en chaire avec des pensées et des expressions qui vous appartiennent , ne fussent-elles même que médiocres, que de défi
d’un discours régulier, quel que soit le genre d’éloquence auquel il appartienne , les parties diverses qui le composent seront don
rticuliers. Je commence donc par l’exorde ou l’introduction. L’exorde appartient évidemment à tous les genres de discours. Ce n’es
69 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
ale me semble vicieuse en ce que la Rhétorique en général et le Style appartiennent à la même étude. Ce défaut sera rendu sensible pa
70 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
usement employée pour adoucir ce que la chose pouvait avoir d’odieux, appartient à l’orateur Lysias, qui, le premier, en avait fai
e Clodius est un homme dangereux, s’ensuit-il que le droit de le tuer appartienne au premier citoyen qui voudra s’en saisir, pour v
71 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
ques, elle s’appellera alors pensée magnifique. Sous ce rapport, elle appartiendra de droit au style magnifique dont nous aurons à n
ui règne dans les cieux, de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance est aussi l
72 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 313-335
e retour serait un miracle si grand à la fois et si nuisible, qu’il n’ appartiendrait qu’à Dieu de le faire, et qu’au diable de le voul
tant de vérité que de fierté : jamais, en aucun temps de ma vie, il n’ appartint ni à l’intérêt ni à l’indigence de m’épanouir ou
présentent jamais qu’après coup. On dirait que mon cœur et ma tête n’ appartient pas au même individu. Le sentiment, plus prompt q
73 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
ivine et l’autorité humaine. 40. Les témoignages de l’autorité divine appartiennent à l’éloquence sacrée : nous parlerons en son lieu
orté tant de jugements erronés sur les institutions et les hommes qui appartiennent au christianisme. 83. On fait aussi un sophisme e
es choses qui seraient ridicules dans la bouche d’un homme obscur. Il appartient à Bossuet de parler de ses cheveux blancs ; à Bou
, mais on ne verra point couler de ses yeux ces larmes sincères qui n’ appartiennent qu’au véritable orateur et qui triomphent de tout
usage qu’il doit faire de ce puissant moyen d’agir sur les hommes. Il appartient au discernement de montrer à l’orateur, 1º dans q
règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance, est aussi
d’ailleurs ses auditeurs sous la même impression. C’est à ce genre qu’ appartient la foudroyante apostrophe de Cicéron dans sa prem
xige de la prudence et suppose un grand ascendant sur l’auditoire. Il appartient à Bossuet de commencer ainsi l’oraison funèbre de
ns vite que chez les Athéniens. La direction des principales affaires appartenait aux Patriciens et au Sénat ; quelques-unes seulem
divers genres de discours du barreau41. 385. Les compositions qui appartiennent au genre judiciaire sont les réquisitoires, les p
es adieux de Napoléon à ses soldats, dans le palais de Fontainebleau, appartiennent encore à l’éloquence militaire (Voir le nº xxxiii
raire, s’il fallait une barrière, à quel autre qu’au peuple d’Athènes appartenait -il de paraître ? C’est à cela que je travaillais
ne vivent, pour ainsi dire, que d’espérances ; en effet, l’espérance appartient à l’avenir, le souvenir au passé ; or, les jeunes
us vive. Libre des opinions vulgaires, et pensant d’une manière qui n’ appartient qu’à lui seul, il parle un langage vrai dans le f
an, leur éloquence assez de figures, pour suffire à cette tâche. Il n’ appartient qu’à l’Aigle de Meaux de planer au haut des airs,
s de Clare, si je n’ai pas eu l’honneur de naître parmi vous, je vous appartiens cependant. Des membres de ma famille ont versé le
rte et vigoureuse éloquence. Voici comment un critique distingué, qui appartient d’ailleurs à un drapeau tout différent, apprécie
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre II. Du Sublime dans les Choses. »
t humain, dans certaines affections ou actions de nos semblables. Ils appartiennent en général à ce que l’on est convenu d’appeler ma
75 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre II. Qualités et devoirs de l’Orateur du Barreau. »
qui n’est pas toujours l’expression d’un applaudissement. Tout ce qui appartient aux fonctions austères de la justice ; tout ce qu
76 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IV. Éloge de Trajan, par Pline le jeune. »
omains, Tacite, Sénèque quelquefois, et les deux Pline, dont le jeune appartient à ce chapitre de notre ouvrage, par son panégyriq
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
rviront en outre à la culture et à l’ornement de la mémoire. Ce choix appartient au bon goût du professeur. C’est là le plan que n
78 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
ls goûtés que par la génération de lettrés et d’érudits à laquelle il appartenait , et il ne fut plus après sa mort qu’un poète inco
nt fort de l’Hôtel de Rambouillet, et, malgré des passages éloquents, appartiennent encore plus au genre précieux qu’au genre épistol
, quand Horace s’exalte dans sa fierté en disant : Une telle vertu n’ appartenait qu’à vous, il s’attire cette réponse : ……… Votr
me. Tout en songeant aux droits de la famille sur lui, il sait qu’il appartient d’abord à son pays. Aussi reste-t-il inébranlable
é d’eux ? Il a conçu l’apologue d’une façon toute nouvelle et qui lui appartient . Il a donné de l’intérêt, du mouvement, à ce genr
aison entre notre fabuliste et un autre quelconque, sans que la palme appartienne au premier. On peut donc affirmer que, non seulem
ulte de la raison et du bon sens par-dessus toute chose, voilà ce qui appartient en propre à notre législateur du Parnasse. [21
, à la fin du xvie  siècle, la farce disparaît peu à peu et la faveur appartient à un genre nouveau emprunté à l’Espagne, la tragi
nrichir, à puiser discrètement, soit dans le vieux français, qui nous appartient toujours, soit dans les langues latine et grecque
hetés par nombre de beaux vers qui sont déjà presque proverbes et qui appartiennent en propre à M. Corneille. Aussi bien, puisque les
qu’on trouve dans l’Amant de Montchrestien ; mais c’est à vous qu’il appartenait de remettre le chœur antique en honneur parmi nou
79 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
rviront en outre à la culture et à l’ornement de la mémoire. Ce choix appartient au bon goût du professeur. C’est là le plan que n
ion qu’on se figure, si l’on assemble tous les biens qui peuvent nous appartenir , la royauté est le plus beau poste du monde ; et
estent au récit des Évangélistes leur caractère de certitude. 3. Il n’ appartient qu’à un Dieu de mourir parce qu’il l’a voulu et e
e, qui n’en doive être touché. Venons au détail. Non, chrétiens, il n’ appartient qu’à un Dieu de pénétrer dans l’avenir jusqu’à l’
dépende d’une infinité de causes libres qui y doivent concourir. Il n’ appartient qu’à un Dieu de connaître distinctement et par so
il l’a voulu, et même encore de la manière qu’il l’a voulu : ce qui n’ appartient , dit saint Augustin180, qu’à un Homme-Dieu, et ce
se, voici que je vous offre les fruits de mon loisir, fruits qui vous appartiennent , puisqu’ils sont nés sur votre fonds : heureux, s
hait encore sans règles et au hasard ; les grâces de ces deux auteurs appartiennent à la nature, qui est de tous les siècles plutôt q
grand Malherbe : il avait vécu avec vos premiers fondateurs ; il vous appartenait d’avance ; c’était l’aurore qui annonçait le jour
l’ignore moi-même ; vous seul, ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent . Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui app
qui vous appartiennent. Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons du moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons du moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Or, qui sont les fidèles ici assemblés ? Les
Glorieux de M. Destouches ; Rhadamiste m’a ému, même après Phèdre. Il appartient à un homme comme vous, monsieur, de donner des pr
les yeux qu’elles se peignent, et qu’on peut les reconnaître : l’œil appartient à l’âme plus qu’aucun autre organe378, il semble
dans l’île qu’une seule maison, mais grande, agréable et commode, qui appartient à l’hôpital de Berne ainsi que l’île, et où loge
pour que ce changement ne fût pas de nature à beaucoup surprendre. Il appartenait à l’Académie française. Le Glorieux781. (Extra
homme qui avait témoigné le désir de partager sa retraite : « S’il m’ appartenait de vous donner un conseil, le premier que je voud
tégea les lettres, les avait lui-même cultivées avec succès. Il avait appartenu dans sa jeunesse à l’académie des Filomati de Sie
vait point de modèle ». 477. Pour, qu’est-ce que ceci : locution qui appartient aujourd’hui à la conversation ordinaire et non à
it verser des larmes au grand Condé ; larmes, a dit Voltaire, « qui n’ appartiennent qu’à de belles âmes », et que ce vers de Boileau
que les vers qu’on a retenus de Corneille ». 523. Émilie : forme qui appartient au langage de la galanterie mis en vogue au dix-s
l que je reçoi ; Je jouis aujourd’hui du soleil qu’il me donne : Il n’ appartient pas plus aux jeunes gens qu’à moi, Et celui de de
n’appartient pas plus aux jeunes gens qu’à moi, Et celui de demain n’ appartient à personne. 575. Dans tous ces vers aucune tra
lic ne s’y méprit, Molière avait, dit-on, revêtu d’habits qui avaient appartenu à celui-ci l’acteur chargé de jouer ce personnage
ervée par nos poètes. 655. Villes du grand-duché du Bas-Rhin, auquel appartient aussi Tholos cité plus bas. 656. C’est la tradu
à toucher Néron lui-même, et qu’on n’en suit pas surpris. 739. Il n’ appartient qu’à un génie du premier ordre, a dit Fontenelle,
étique d’asile appliqué, dans le vers précédent, à une personne, elle appartient à Racine, Iphigénie, acte III, sc.  v :         
80 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre II. Défense de Fouquet, par Pélisson. »
tous les recueils. Les apologies de Pélisson sont moins répandues, ou appartiennent à des recueils qui ne sont ni entre les mains, ni
81 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
uissants. Le peuple élève aux cieux nos noms retentissants. Tout nous appartient , clubs, comités, ministères, Justice, emplois civ
ns-nous, puisqu’elle est à nous trois ? Robespierre. La révolution n’ appartient à personne ; Je ferai, quant à moi, ce que le peu
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
’éloquence, des mœurs et des talents. 1. J’eus en effet l’honneur d’ appartenir quelque temps à la Congrégation de la Doctrine ch
83 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
accoutumer les jeunes gens à distinguer, dans l’art oratoire, ce qui appartient au génie, de ce qui est le résultat de la méditat
84 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
s, et aux grandes actions inspirées par le christianisme ? A ce genre appartiennent la Jérusalem délivrée, le Paradis perdu et la Mes
indique l’espèce particulière de sagesse, de bravoure ou de vertu qui appartient à chacun ; ils font voir les traits distinctifs d
nt au siècle où ont vécu les personnages, et la nation à laquelle ils appartiennent . Il serait donc injuste de blâmer Homère, parce q
85 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
lleuse, et la prétention de gouverner une révolution qu’il savait lui appartenir . Il aimait peu le duc d’Orléans et son ambition i
De Sainte-Aulaire 19. Washington et Bonaparte. Washington n’ appartient pas, comme Bonaparte, à cette race qui dépasse la
sont celles de son pays ; il ne se permet pas de jouer ce qui ne lui appartient pas ; mais de cette profonde humilité quelle lumi
ne liait pas ses destinées à celles de ses contemporains ; son génie appartenait à l’âge moderne et son ambition était des vieux j
stituante. M. de Talleyrand, comme la grande génération à laquelle il appartenait , aimait sincèrement sa patrie, et a toujours cons
sur la neige, il soupe quand il tue ; Il vit dans l’air du ciel qui n’ appartient qu’à Dieu. L’air du ciel ! l’air de tous ! vierge
r qui serpente là-bas, Ces rayons qui baignent tes rives, Ô lac, ne t’ appartiennent pas ! Ce n’est pas de tes flots qu’émane Ta clar
ortune peut se jouer de la sagesse des gens vertueux ; mais il ne lui appartient pas de fléchir leur courage. Vauvenargues.
ur est la plus étrangère, et de leur esprit comme d’une propriété qui appartient à la patrie et doit sans cesse être en action pou
mécomptes46. Le plus souvent ils vivent d’espérances, car l’espérance appartient à l’avenir, comme le souvenir au passé. Pour les
pour la sœur !… Oreste, reçois-moi ! Que le même séjour au moins nous appartienne  ; Réunis nos destins !… Joins une ombre à la tien
rain, Ment lorsqu’il se dit libre, et porte un joug d’airain. Je ne m’ appartiens pas ; un autre me possède : Absent, il me maudit,
issants ; Le peuple élève aux cieux nos noms retentissants. Tout nous appartient , clubs, comités, ministères, Justice, emplois civ
ons-nous, puisqu’elle est à nous trois ? ROBESPIERRE. La révolution n’ appartient à personne, Je ferai, quant à moi, ce que le peup
d’un bel esprit, Que c’est être savant que trouver à redire, Qu’il n’ appartient qu’aux sots d’admirer et de rire ; Et qu’en n’app
l’ignore moi-même ; vous seul, ô mon Dieu ! connaissez ceux qui vous appartiennent  ; mais, si nous ne connaissons pas ceux qui lui a
ui vous appartiennent ; mais, si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons du moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons du moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Or, qui sont les fidèles ici assemblés ? les
tablie devait être seule son point de repos. Nous avons pensé qu’il n’ appartenait qu’à la loi de finir une révolution commencée pou
e faire, non pas une âme artificielle, non pas un cœur original qui n’ appartienne qu’à lui, mais une forme exquise et nouvelle pour
udra, mais animés, mais passionnés, mais parlant et agissant comme il appartient à des hommes et non à des ombres. C’est la nature
r physique, il révolte, il ne charme plus ; il manque l’effet qui lui appartient pour un effet étranger et vulgaire. Cousin 75.
consommé ? Non, non ; cette parole, qui annonce le salut du monde, n’ appartient qu’à celui qui le créa. Lamennais. Cicéro
86 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre V. Panégyrique de Louis XV, par Voltaire. »
répété cent fois, prend sous la plume de Voltaire, une tournure qui n’ appartient qu’à lui ; et l’étonnante magie de son style prêt
87 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
illustrée. Aux Facultés des lettres seules et aux écoles supérieures appartient l’étude systématique et complète de l’histoire li
88 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
au et du vrai. Je vous en félicite, et je vous en loue. Le monde vous appartiendra un jour ; mais gardez-vous de vous associer, avan
89 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
le passé. Dans le genre démonstratif, on blâme, ou loue : à ce genre appartiennent les invectives contre les vices et même contre le
e l’avoue, n’ont jamais été sans charme pour moi, c’est à Licinius qu’ appartient surtout le droit d’en recueillir le fruit. Du plu
je l’ignore moi-même. Vous seul, ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent . Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui app
qui vous appartiennent. Mais si nous ne connaissons pas ceux qui lui appartiennent , nous savons au moins que les pécheurs ne lui app
x qui lui appartiennent, nous savons au moins que les pécheurs ne lui appartiennent pas. Or, qui sont les fidèles ici assemblés ? les
toujours fait, les divers accidents du langage nommés Figures, et qui appartiennent à ces deux classes à la fois. I. Qualités génér
règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’indépendance, etc. » Qu’
ualités générales du style, on pourrait joindre la variété ; car elle appartient à tous les genres. Mais comme elle nait surtout d
La précision est une qualité générale du style ; la concision semble appartenir surtout au style simple. Le discours précis ne s’
ine s’était fait, par une intelligence particulière, une langue qui n’ appartenait qu’à lui seul. Combien d’alliances de mots inusit
corps aux objets les plus spirituels ; et c’est ainsi que tout ce qui appartient à notre âme est exprimé dans le langage commun pa
hore devient allégorie. Souvent l’allégorie est plus étendue, et elle appartient alors aux figures de pensées. Ainsi Horace (Od.,
donner ici quelques détails sur plusieurs figures de construction qui appartiennent plus spécialement aux langues anciennes, et que p
en des sortes de répétitions, d’hyperbates, de pléonasmes ; à ceux-ci appartiennent encore les figures nommées congeries ou athroismu
aison, et s’écrie d’une voix terrible : Où est l’heureux mortel à qui appartient ce logis ? que ne vient-il ? pourquoi ce silence 
publics, on a recours à l’orateur, c’est à nous, oui, c’est à nous qu’ appartiennent toutes ces grandes questions que des spéculateurs
des États, sur la morale, et même sur la connaissance de la nature n’ appartenait pas également à l’orateur. Mais puisque c’est là
90 (1881) Rhétorique et genres littéraires
ion (voix, geste, physionomie), et la Mémoire. Excepté l’action qui n’ appartient qu’à l’éloquence, toutes les parties de la Rhétor
donne à sa pensée. L’élocution est commune à tout le monde, le style appartient au véritable écrivain, et le mot célèbre de Buffo
règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l’indépendance, etc. »
ns terminé par quelques mots sur certaines curiosités poétiques qui n’ appartiennent à aucun genre et ne sont guère que des jeux d’esp
seau, Dont le nid se balance aux branches de l’ormeau ?     Rien ne m’ appartient sur la terre,     Je n’ai pas même de berceau, Et
elle n’en est jamais que l’accessoire. Les sujets du poème didactique appartiennent à tous les ordres d’idées. Une classification com
d’une nation et les grands intérêts de l’État. L’éloquence politique appartient au genre délibératif. Elle comprend les discours
est celle qui a pour théâtre les académies et sociétés savantes. Elle appartient au genre démonstratif ou d’apparat. Les condition
morales et politiques, etc., c’est-à-dire les ouvrages qui ne peuvent appartenir entièrement ni à l’histoire, ni à l’éloquence, et
ution des richesses. Leur science s’appelle économie politique ; elle appartient aussi à l’ordre moral. Ex. Quesnay Turgot, Dupont
91 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
nce sacrée ; les discours faits pour les assemblées délibérantes, qui appartiennent à l’éloquence politique ; 3° les longs plaidoyers
e sanctuaire la place de Dieu lui-même : toutes les vérités morales t’ appartiennent  ; tous les hommes ne sont plus devant toi que des
uvrage par les différences de ton et d’organe ? Or, toutes ces choses appartiennent à 1’action. Classons-la méthodiquement, en distin
lambeaux. 21. Les rhéteurs anciens disaient qu’un discours pouvait appartenir à trois genres : Le genre démonstratif, le genre
92 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »
se soient immortalisés par ces sortes de productions. C’est à eux qu’ appartient la gloire d’avoir créé les divers genres de litté
93 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bourdaloue 1632-1704 » pp. 89-93
e Provincial est le supérieur de la province religieuse à laquelle il appartient . 3. Il a comme un scrupule d’humilité. 4. Ce so
94 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
leurs emplois, et les rhéteurs distinguèrent des figures de mots, qui appartiennent plus spécialement à la grammaire, et des figures
ométhée autrefois pénétra dans les cieux : Il prit le feu sacré qui n’ appartient qu’aux dieux. Il en fit part à l’homme ; et la ra
ursiers ? (M. E. Aignan 42). Le trait le plus frappant de ce passage appartient , comme on voit, exclusivement à Racine ; et c’est
95 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
ille ni mes richesses qu’elle pille, reprit Crésus, puisqu’elles ne m’ appartiennent plus : ce sont tes biens qu’elle prend et qu’elle
qu’ils ont laissée après eux, que tout le monde a brigué l’honneur d’ appartenir à leur race, et que la patrie elle-même, les rega
96 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
et oil veulent dire oui. (Hoc-illud, c’est cela.) 3. Le français qui appartient à l’Ile-de-France se distingue par la diphthongue
à être populaires surtout dans la seconde moitié du xiiie  siècle, n’ appartenaient pas aux sources germaines, devenues françaises et
97 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
[Notice] Né près de Bordeaux, au château de La Brède, Montesquieu appartenait à une famille de robe et d’épée. Dès l’enfance, i
appliqué le grand art d’écrire à la politique et à la législation. Il appartient à l’élite de ceux qui, sans chimère ni ambition,
98 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
es annonces indignes de son ancienne réputation et du corps auquel il appartient , tantôt en professant hautement l’athéisme, princ
dans l’histoire ! J’ai eu de nombreux flatteurs, et le moment présent appartient aux détracteurs acharnés1. Mais la gloire des hom
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
is m’en étonner assez. Je m’en rends compte par ce seul mot : Je n’ai appartenu à personne. Pourquoi dès lors ne jouirais-je pas
re. » 1. Je lis dans un discours à l’Académie française : « Pour appartenir dignement aux lettres, que de qualités sont néces
100 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
comme représentant du tiers. Son histoire, à partir de cette époque, appartient à celle de l’assemblée constituante. On sait avec
nave avait dit : Il faut distinguer l’action et la volonté ; l’action appartient au roi ; la volonté au corps législatif. Mirabeau
lui dispute ce lieu de repos qui, placé entre deux champs, semblait n’ appartenir à personne ; on le force à continuer sa route ver
te notice. Nous ne pouvons toucher ici que le seul côté par lequel il appartient à notre histoire littéraire. Ses proclamations on
de votre famille ! Le Christ parle, et désormais les générations lui appartiennent par des liens plus étroits, plus intimes que ceux
rs de Buffon, forme, avec ses expressions, un tout indestructible qui appartient à l’avenir. Sans le style, ses découvertes partie
s, la loi des Franks saliens ou loi salique, dont la rédaction latine appartient au règne de Dagobert. Le prologue dont elle est p
surtout à mettre aux prises, dans un combat simulé, des guerriers qui appartenaient aux différentes nations que Charlemagne avait le
n retour. Le passage de Sighebert à travers le royaume qui allait lui appartenir par élection fut comme un triomphe anticipé. Les
lui donnait une solution conforme à sa méthode. Ce qui, en effet, lui appartient en propre, c’est d’avoir su démontrer l’existence
es ; elles s’en viennent sans dire d’où elles sortent, ni à qui elles appartiennent  ; elles arrivent là un jour, elles s’emparent de
est d’honorer par un éloge public la mémoire des académiciens qui ont appartenu à cette classe de l’Institut. Cette mission conve
e qui méritent plus qu’une rapide mention, il faut nommer Ducis. Il n’ appartient pas sans doute à la famille de ces esprits créate
mes fils, les droits sont-ils perdus ? Quoi ! le nom de César ne leur appartient plus ! Et qui donc maintenant soutiendra leur enf
. Vous, par qui j’ai tout l’ait, vous qui m’abandonnez, Vous, à qui j’ appartiens , mais qui m’appartenez, César, écoutez moins l’or
ut l’ait, vous qui m’abandonnez, Vous, à qui j’appartiens, mais qui m’ appartenez , César, écoutez moins l’orgueil qui vous enivre :
e ses allures. La chanson, dans les siècles qui ont précédé le nôtre, appartiendrait plutôt à l’histoire politique. On a dit avec espr
à l’injuste Chanceler l’humaine raison. Demande-lui, si la sagesse N’ appartient qu’à l’éternité, Pourquoi son souffle nous abaiss
. de Musset se détachait alors du parti romantique, il se défendait d’ appartenir à aucun drapeau : Je hais comme la mort l’état d
dans l’ordre temporel que dans l’ordre spirituel. Cromwell et Milton appartenaient à cette secte : l’un en fut le soldat, l’autre en
Beethoven on trouverait une expression de grandeur majestueuse qui n’ appartient ni à la joie ni à la tristesse. Gluck excelle dan
nce de Merowig ou Mérovée, successeur de Clodion. Ce nom paraît avoir appartenu à une ancienne famille extrêmement nombreuse, et
belle des étoiles, la dernière du cortège de la nuit, si plutôt tu n’ appartiens pas à l’aurore ; gage assuré du jour, toi dont le
orain plus encore que Marie-Joseph ; mais, par la date de sa mort, il appartient au dix-huitième siècle. Voir pour les extraits d’
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