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1 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
ysicien ingénu, sybarite littéraire, épris de la perfection, il fut l’ ami et le mentor de Chateaubriand. Critique supérieur
 ; mais je veux qu’on observe l’art. L’art est de cacher l’art. Notre ami n’est point un tuyau, comme tant d’autres ; c’est
citait aux persuadés1. Ces temps-ci ne sont pas les mêmes. Que notre ami nous raccoutume à regarder avec quelque faveur le
me faut du nouveau, n’en fût-il plus au monde, a dit le siècle. Notre ami a été créé et mis au jour tout exprès pour les ci
on celles de mes opinions que je n’ai pas assez développées. Non, les amis que nous avons perdus ne sont point honorés par c
de l’être. Je voudrais que mon souvenir ne se présentât jamais à mes amis sans amener une larme d’attendrissement sous leur
onnes qualités pour qu’il leur plût de citer souvent à leurs nouveaux amis quelque trait de ma bonne humeur, ou de mon bon s
rté par un exécuteur tout-puissant, comme un supplice, enfin ; et nos amis , nos proches, quand nous avons cessé de vivre, qu
terre moins de cœurs pour vous aimer1. (Correspondance, p. 11.) L’ ami d’un ministre 1 Fragment Ce n’est pas des
que suis-je… ? qu’un atome dans un rayon ? » 1. M. Joubert était l’ ami de M. de Fontanes, grand maître de l’Université ;
vant tout persuader en charmant. Nous trouvons dans ces conseils d’un ami une critique fine, juste, tempérée, exquise et dé
cœur, dans sa conscience. Il citait de génie. Joubert craint pour son ami les nuages de poussière que soulève l’érudition.
devant la vue, même alors qu’ils n’ont rien devant les yeux ; esprits amis de la lumière, qui, lorsqu’il leur vient une idée
a recevoir, quand elle se présente, comme sa libératrice et comme une amie qui le décharge d’un fardeau pesant et incommode,
mort aimé ? L’esprit humain a la faculté d’une évocation admirable. L’ ami reparaît, mais non tel qu’il était absolument. L’
d avec notre cœur, car il faut qu’elle en en arrive là, donnons à nos amis envolés un sanctuaire dans notre âme, et continuo
Deux-Mondes) 1. Joubert était inspecteur général de l’Université, ami de M. de Fontanes. De là ce ton de familiarité où
2 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
nez, vainqueurs des rois, vengeurs des citoyens, Vous tous, mes vrais amis , mes égaux, mes soutiens. Encore quelques moments
son fils encore en bas âge, et traînant à sa suite les femmes de ses amis , éplorées comme elle. Attendris malgré eux du spe
tre chose que la sensibilité, c’est le discours du prince mourant aux amis qui l’environnent. Discours de Germanicus mourant
rant aux amis qui l’environnent. Discours de Germanicus mourant à ses amis . 78« Si fato concederem, justus mihi dolor etia
t homines, aut non ignoscent ». On peut juger avec quelle ardeur les amis de Germanicus lui promirent d’embrasser sa défens
nophon, sentant sa fin approcher, fit appeler ses deux fils, avec ses amis , et les principaux magistrats des Perses ; et les
semblés, il leur tint ce discours : « Mes enfants, et vous tous, mes amis , qui êtes ici présents, je reconnais à plusieurs
ises que j’ai formées, m’ont réussi au gré de mes désirs. J’ai vu mes amis heureux par mes bienfaits, et mes ennemis assujet
e le ciel m’a donnés pour fils. Je laisse mon pays florissant, et mes amis dans l’abondance. La postérité la plus reculée po
re d’or que je remets en vos mains, qui conservera votre empire : les amis fidèles sont le véritable sceptre des rois, et le
à l’espèce humaine. Il faut que chacun travaille à se faire de vrais amis  ; et c’est par la bienfaisance et non par la cont
ulez être toujours en état de réprimer vos ennemis, attachez-vous vos amis par votre bienfaisance. Adieu, mes enfants ! Port
tions de tous les genres, voilà leur partage et celui de leurs dignes amis  : pour nous, les dangers, les affronts, la flétri
ts et l’indigence, voilà ce qui nous reste !… Jusques à quand, braves amis , le souffrirez-vous ? Un trépas généreux n’est-il
pourquoi m’avoir arraché le fer dont j’allais me percer ? Imprudents amis  ! celui qui m’offrait son épée me servait mieux q
amitié n’est pas de répandre des larmes stériles sur le cercueil d’un ami , mais de se rappeler, mais d’exécuter ses dernièr
3 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
ent sans réserve. Il a justifié l’éloge comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’accordent à reconnaître qu’il fut l
critique consciencieuse, et le Siècle de Louis XIV, qui nous montre l’ ami des arts, du luxe et de la civilisation, l’écriva
a vie à paris À madame de champbonin De Paris, 1739. Ma chère amie , Paris est un gouffre où se perdent le repos et l
le lendemain à l’autre bout. D’une société de trois ou quatre intimes amis il faut voler1 à l’opéra, à la comédie, voir des
Le tourbillon À M. de Cideville Ce 13 mai 1733. Mon cher ami , je suis enfin vis-à-vis ce beau portail2, dans l
M. de cideville Le 26 novembre 1733. Il y a cinq jours, mon cher ami , que je suis dangereusement malade ; je n’ai la f
veille ; ainsi vous n’avez pas un moment pour penser à vous et à vos amis . Cela fait qu’une lettre à écrire devient un fard
et qui n’avez jamais pu prendre sur vous d’écrire régulièrement à vos amis , même dans les affaires intéressantes pour vous e
je vous gronde beaucoup. Cela posé, songez donc à vous, et puis à vos amis  ; buvez du vin de Champagne avec des gens aimable
en état de boire un jour du vin qui soit à vous. N’oubliez point vos amis , et ne passez point des mois entiers sans leur éc
ennevières Aux Délices, 23 avril 1760. Il est bien vrai, mon cher ami , que je ne suis pas mort, mais je ne puis pas non
gêné, il est mort ; mais tant que je respirerai un peu, vous aurez un ami aussi inutile qu’attaché sur les bords fleuris du
, comparez celles de Ducis que voici : « Il n’est pas impossible, mon ami , que le printemps (s’il est des rossignols encore
ce, ni dans mon La Fontaine. Je me borne à décacheter les lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait l
4 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
jour, il rencontre aux Champs-Élysées le comte de Boncourt, un de ses amis . Il lui propose d’aller déjeuner avec lui à quelq
poste s’arrêter devant une auberge. Bougainville apprend enfin à son ami qu’il se rend à Brest. Colère, puis résignation d
uis résignation de son compagnon de voyage. Arrivés à Brest, les deux amis visitent le vaisseau amiral. Pendant ce temps, le
incipal : Bougainville rencontre un jour aux Champs-Élysées un de ses amis , le comte de Boncourt. Il l’emmène à Brest, et ta
is, le comte de Boncourt. Il l’emmène à Brest, et tandis que les deux amis visitent le vaisseau amiral. Bougainville fait le
 de Boncourt. DEUXIÈME PARTIE. Le Nœud. 1° Bougainville propose à son ami de venir déjeuner avec lui, à quelques lieues de
° Difficultés d’abord ; puis la proposition est acceptée. 3° Les deux amis partent ensemble. 4° Désappointement, colère même
Arrivée à Brest. TROISIÈME PARTIE. Le Dénouement. 1° Visite des deux amis à bord du vaisseau amiral ; 2° Bougainville donne
oile pour faire le tour du monde ; 5° Comment Bougainville apaise son ami , qui rentre en France au bout de trois ans. Ces t
Tour du monde impromptu, le caractère de Bougainville et celui de son ami sont exposés, l’un gai, jovial, l’autre simple, s
xpliquer comment M. de Boncourt s’aperçoit toujours trop tard que son ami le trompe, et comment, par suite de son caractère
x personnes âgées ; avec franchise à ses égaux ; avec expansion à ses amis ou à ses parents ; ainsi l’on ne pourra prendre u
faut en témoigner vivement sa gratitude ; s’il s’agit d’un service d’ ami à ami, d’un petit cadeau, on peut en remercier av
en témoigner vivement sa gratitude ; s’il s’agit d’un service d’ami à ami , d’un petit cadeau, on peut en remercier avec esp
e laissez jamais entrevoir, à moins que vous ne correspondiez avec un ami , qu’à la première occasion vous userez de retour 
briller. Le cœur et la politesse nous font un devoir de féliciter nos amis et nos connaissances sur ce qui leur arrive d’agr
une perte douloureuse, telle que la mort d’un père, d’une mère, d’un ami  ; ou d’une fille ; soit aussi la perte de la fort
naturelles ? Elles sont d’un homme plus propre à s’affliger avec ses amis qu’à les consoler, et qui sent aigrir ses propres
ans réserve : s’agit-il de la fête d’un de nos parents ou d’un de nos amis , arrivons-nous à une époque remarquable, telle qu
inuer à faire le bonheur de tout le monde, et surtout de votre petite amie . Henriette.   Lettre du vicomte d’Orthès, comma
a matière à une nouvelle réponse, et l’on entretiendra ainsi avec ses amis ou ses connaissances un agréable échange de pensé
5 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
s d’enfance, Comme on renaît au souffle du printemps. Salut à vous, amis de mon jeune âge ! Salut, parents que mon amour b
gloire, inconstante fumée, Qui tire aussi des larmes de nos yeux2. Amis , parents, témoins de mon aurore, Objets d’un cult
ait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Je me souviens, car j’ai
. C’était ma fête, et, pour comble de gloire,   Tu fus chanté par mes amis .   Ton indigence, qui m’honore,   Ne m’a point ba
i de leurs bras. Tous ils sont prêts à nous fêter encore : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. T’ai-je imprégné des flo
longs débats. La fleur des champs brille à ta boutonnière : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Ne crains plus tant ces
amais habit bas3. Attends un peu ; nous finirons ensemble : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Le vieux sergent (182
e ambition : il refusa les honneurs académiques. 1. A mes parents et amis de Péronne, ville où j’ai passé une partie de ma
6 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
ource féconde de sentiments et de tableaux. Vous rencontrez un ancien ami de votre enfance et vous acceptez l’hospitalité s
t plan. Vous êtes allé à la promenade avec quelques-uns de vos jeunes amis . Quelques détails. Vous rencontrez un vieillard a
ui laissez vos cinq francs, et vous lui rendez son chien. Vous et vos amis vous continuez ensuite gaîment votre promenade.
nifique ; il embrasse Élaïm, et lui déclare qu’à l’avenir il sera son ami . Le lendemain, les trois courtisans viennent aver
tances propres à faire connaître les moyens à l’aide desquels un faux ami parvient à séduire celui à qui il feint de s’atta
raordinaire se fait entendre. C’est le tyran Polycrate, admirateur et ami d’Anacréon ; il vient le chercher pour l’emmener
a Saint-Barthélemi, tous deux se trouvaient à Paris. Vesins dit à ses amis qu’il se charge du meurtre de Regnier. Il entre d
avoir déposé en sûreté entre leurs bras son ancien ennemi devenu son ami le plus dévoué.    L’historien de Thou, qui nous
dre sa maison et ses domaines ; qu’il vivra d’un modeste emploi qu’un ami lui procure ; que sur ses vieux jours il n’aura p
ieu dans quelque circonstance intéressante et en présence de quelques amis . Il avait encore toute sa fortune, grossie par le
igé. Sujet et plan. Ariste apprend que le jeune Adolphe, fils d’un ami bien cher qu’il avait perdu, s’abandonne à la fur
ce jeune homme. Le sage Ariste tremble pour la fortune du fils de son ami , pour son honneur même et pour sa vie. Réflexions
e des paroles convenables à la situation. Le jeune homme qu’un ancien ami de son père corrigea de la passion du jeu par ce
gloire et fut surnommé le Grand), s’échappa de sa cour avec un de ses amis , nommé Ernest de Katt, dans l’intention d’aller v
ir sous ses yeux. Le prince supplie vainement son père d’épargner son ami , ou du moins de ne pas le rendre témoin de son su
tyre. Décrivez sa sérénité, sa joie. Il rencontre quelques-uns de ses amis qui, chrétiens comme lui naguère, avaient par cra
Dialogue vif et animé ; puis, discours de Lucien, qui reproche à ses amis leur apostasie avec tant de force, d’ éloquence e
n grand combat, les assiégeants sont repoussés ; et Obed, le meilleur ami du roi de Perse et son plus habile lieutenant, es
douleur : la prise de Damas ne le consolerait pas de la perte de son ami . Le soir même Khoreb renvoie au roi de Perse son
la perte de son ami. Le soir même Khoreb renvoie au roi de Perse son ami sans rançon. Ali est transporté de joie ; il lui
onné une lettre de recommandation pour un excellent chirurgien de ses amis . Jules continue sa reconnaissance dans les bois,
t fait d’inutiles efforts pour obliger Keoven, un de ses plus fidèles amis et de ses plus habiles ministres, d’abjurer la re
. Il avait été le maître de l’empereur Marc-Aurèle et était resté son ami . 70. Sylla et Célius. (Épisode des guerres c
i ces infortunés qui vont périr, Sylla aperçoit tout à coup Célius, l’ ami de son enfance, avec qui il ne s’était pas retrou
e faire périr son frère, il le traiterait toujours comme son meilleur ami . Ils avaient alors un frère aîné, qui mourut avan
dit a pris le jeune homme sous sa protection ; elle l’a vu se faire l’ ami de son enfant et lui enseigner le dessin ; elle d
t et plan. Guise, avec l’étourderie de son âge, parie contre quelques amis qu’il fera peur à Crillon, qui, disait-on, n’avai
ine est consommée ; un exil éternel va être son partage ; ses anciens amis politiques l’ont tous abandonné. Il erre tristeme
r. Leurs larmes se confondent, et l’exilé accepte l’or que son nouvel ami lui offre pour pourvoir aux besoins de son voyage
générosité dans un ennemi qu’on n’en trouve souvent ailleurs dans un ami  ? Car cet homme était Démosthène. Ce fait a eu li
, seuls dans une barque, tâchent de se diriger vers la ville où leurs amis les attendent. La tempête les en éloigne. Tableau
nçais, renomme dans toute l’île par sa vertu, fut sauvé par un de ses amis . C’est ce fait, donné par l’histoire, qui sera le
narration. Vous nommerez ce Français Delmance15, vous donnerez à son ami le nom de Flavio. Plan. Pendant que la conjuratio
est absent, et Flavio se félicite de cette circonstance, qui met son ami à l’abri du danger. Tout à coup le matin du jour
p le matin du jour fatal, Delmance arrive à Messine et court chez son ami . Joie de Delmance ; effroi de Flavio, qui voit qu
t chez son ami. Joie de Delmance ; effroi de Flavio, qui voit que son ami est perdu ; Flavio, lié par un serment, ne peut l
ié par un serment, ne peut l’avertir du danger. Conversation des deux amis . Delmance ne sait comment interpréter le trouble
t à le calmer. Minuit sonne. La nuit est orageuse et sombre. Les deux amis traversent les rues de Messine ; sentiments qu’ép
ette ville criminelle. On arrive auprès de la barque. Adieux des deux amis . 95. Flavio. Sujet et plan. Le lendemain de
pée ; on l’amène ; surprise et affliction du jeune prince : c’est son ami … Il interroge l’accusé ; il attend avec impatienc
oscius de sa confiance ; il lui promet de le justifier. Vainement ses amis , que son audace inquiète, veulent le retenir. Leu
i mérovingien dans le cloître où Clodoald s’est confiné avec quelques amis , partageant son temps entre la prière, les œuvres
Clodoald en 560, Clotaire en 562. 102 et 103. Fausta. Maximien, ami de Diodétien, fut associé par lui à l’empire en 2
. Madame Milville lui fait l’accueil qu’elle devait à un parent, à un ami et à un infortuné ; elle l’écoute avec une tendre
u et tué dans un combat. Sujet. Sévérus, jeune Romain, séduit par des amis pervers, après avoir commis plusieurs fautes, s’é
ant J.-C.) Deux jeunes gens de Syracuse, Damon et Pythias, étaient amis . Une douce conformité de sentiments avait donné n
e aller, tu reviendras ? — Moi, dit Pythias, qui avait accompagné son ami devant le tyran. S’il n’est pas revenu au jour et
er Pythias. Quoi qu’il arrivât, il était sûr d’une victime : les deux amis lui étaient aussi odieux l’un que l’autre. Jugean
es le conjurent de ne pas rendre inutile l’héroïque dévouement de son ami , qui évidemment ne compte pas sur son retour, ne
drissement que faisaient éclater les spectateurs. Il épargna les deux amis , et le peuple, poussant mille cris de joie, les r
t et paraît disposé à les envoyer au supplice. Fédor, fils du czar et ami d’Owinsko, supplie son père de l’épargner, ainsi
de douze ans, celui-là même qui devait être un jour le ministre et l’ ami de Henri IV, est poursuivi par les meurtriers : d
ux se mouillèrent de quelques larmes. Sujet. Un des convives, Eudoxe, ami de Léon, profite de la circonstance ; il demande
son ; il va démasquer le traître ; il va démontrer l’innocence de son ami . Plan. Eudoxe commencera par un exorde tiré de l’
in et meurt peu de jours après, en instituant pour héritier un de ses amis nommé Labéon. Six mois après, le jeune homme, qu’
de parricide, est enfermé dans une tour obscure. Gaston rassemble ses amis et ses conseillers pour délibérer sur le sort de
à Clovis avec la sévérité d’un parent tempérée par la tendresse d’un ami , le conjure de s’arracher à cette oisiveté qui l’
la seconde dynastie. 147. Discours du chevalier de Gourgues à ses amis . La Floride, presqu’île de l’Amérique septentr
nesse par une action immortelle. De Gourgues, donnant l’exemple à ses amis , vendit presque tout son bien pour subvenir aux f
faction qu’il réclame du souverain de Rome, du chef de l’Église, d’un ami de la France. L’ambassadeur n’obtint pas Justice.
d’Anjou avait ensuite enlevé à son oncle, il passa en Italie avec un ami de son âge, le prince de Hesse. Une armée nombreu
i qui le vengerait de son cruel meurtrier. Ce gant fut ramassé par un ami fidèle, qui le porta à Pierre III, roi d’Aragon28
ssé par un ami fidèle, qui le porta à Pierre III, roi d’Aragon28. Cet ami était le fameux Procida, qui provoqua plus tard,
geait. Sujet et plan. Le roi vient de communiquer sa résolution à ses amis . Un d’entre eux tâche de l’en détourner et l’enga
re à la sûreté du trône. Fédor, inquiet et troublé, assemble quelques amis et leur demande leurs sentiments sur la propositi
7 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Le Sage, 1668-1747 » pp. 216-222
sans amertume fait pressentir le voisinage d’un âge philosophique et ami de la satire. Son chef-d’œuvre fut Gil Blas (1715
bon copiste pour n’être pas grammairien. Parlez-moi confidemment, mon ami  ; n’avez-vous rien trouvé, en écrivant, qui vous
’écria-t-il, ce qu’on appelle avoir du goût et du sentiment ! Va, mon ami , tu n’as pas, je t’assure, l’oreille béotienne. »
cevoir de nouvelles forces. — Point de flatterie, interrompit-il, mon ami . Je sais que je puis tomber tout d’un coup. À mon
dépositaire de ses pensées, mais encore de peur que quelqu’un de ses amis ne fût assez franc pour vous prévenir. En ce cas-
t pas si bien que les autres affecté l’auditoire. « Comment donc, mon ami , répliqua-t-il avec étonnement, aurait-elle trouv
té des mauvais écrivains. Qu’on lise l’entretien de Gil Blas avec son ami , le perruquier Fabrice Nunez, qui s’est fait poët
le poëte croie s’entendre. — Tu te moques de moi, interrompis-je, mon ami . Il faut du bon sens et de la clarte dans toutes
8 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
ent sans réserve. Il a justifié l’éloge comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’accordent à reconnaître qu’il fut l
ettres, favori de Madame de Pompadour et roi des philosophes, hôte et ami de Frédéric, flatteur des souverains qu’il encens
ritique consciencieuse ; et le Siècle de Louis XIV, qui nous montre l’ ami des arts, du luxe et de la civilisation, l’admira
M. de Cideville Le 26 novembre 1733. Il y a cinq jours, mon cher ami , que je suis dangereusement malade ; je n’ai la f
e 20 juin 1741. Je me gronde bien de ma paresse, mon cher et aimable ami  ; mais j’ai été si indignement occupé de prose de
ouer la poussière pour vous répondre. Vous m’avez écrit, mon charmant ami , une lettre où je reconnais votre génie2. Vous ne
uriez un air gêné avec le diadème en tête. Envoyez-moi donc, mon cher ami , quelque chose d’aussi bien travaillé que vous im
uccès, ou cherché à m’éclairer et à instruire les autres ! » Oui, mon ami , voilà de quoi vous rendre malheureux à jamais. J
ur ; si votre manière de penser n’est pas la sienne, s’il n’est pas l’ ami de vos amis, s’il est celui de votre rival, s’il
re manière de penser n’est pas la sienne, s’il n’est pas l’ami de vos amis , s’il est celui de votre rival, s’il est votre ri
veille ; ainsi vous n’avez pas un moment pour penser à vous et à vos amis . Cela fait qu’une lettre à écrire devient un fard
et qui n’avez jamais pu prendre sur vous d’écrire régulièrement à vos amis , même dans les affaires intéressantes pour vous e
je vous gronde beaucoup. Cela posé, songez donc à vous, et puis à vos amis  ; buvez du vin de Champagne avec des gens aimable
en état de boire un jour du vin qui soit à vous. N’oubliez point vos amis , et ne passez point des mois entiers sans leur éc
simum est 1. Il faut, en mourant, laisser des marques d’amitié à ses amis , le repentir à ses ennemis, et sa réputation entr
l s’est fait à lui-même. Il a fui son bonheur, il a méconnu ses vrais amis  ; et c’est plutôt aujourd’hui le Juif errant que
vie entre la calomnie et les sifflets. Si vous vous plaignez à votre ami d’un libelle sait contre vous, il vous demande vi
e n’osait parler ; je fus le seul qui élevai la voix. Kœnig était mon ami  ; j’avais à la fois le plaisir de défendre la lib
plaisir de défendre la liberté des gens de lettres avec la cause d’un ami , et celui de mortifier un ennemi qui était autant
9 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312
rt, dont il est le créateur. Vernet Vingt-cinq tableaux2, mon ami  ! vingt-cinq tableaux ! et quels tableaux ! c’est
s frappe, de loin il vous étonne plus encore. Chardin1 et Vernet, mon ami , sont deux grands magiciens. On dirait de celui-c
entra. Il n’eut pas de peine à reconnaître le trouble terrible de son ami  ; il s’informa de ce qui pouvait lui être arrivé.
lleuses, et surtout en faveur d’un inconnu. Cet homme n’est pas votre ami  ? — Non. — Il était mal vêtu ? — Oui, fort mal. —
que l’on soupçonne qu’il vous ait averti ! Chanson que tout cela, mon ami . — Mais qu’est-ce donc que ce peut être ? — Je le
fonde, puis s’arrête tout court, et dit : « Président, attendez ; mon ami , il me vient une idée. Mais… si… par hasard… cet
ou, je l’aurais embrassé cent fois, et je lui aurais dit : « Ah ! mon ami , vous m’avez prouvé qu’il y avait en Angleterre d
ilosophes : Diderot et Rousseau se brouillèrent, après avoir été fort amis  : un mot du maréchal de Castries, conservé par Ch
miser. Diderot forge des mots pour les besoins de sa pensée. 3. Mon ami . Il s’adresse à Grimm, qui dirigeait la gazette o
10 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lamartine 1790-1869 » pp. 506-523
chappant1. Le lendemain de la bataille Accourez maintenant, amis , épouses, mères ! Venez compter vos fils, vos ama
ul les veille1. La mort du curé de campagne J’étais le seul ami qu’il eût sur cette terre, Hors son pauvre troupe
« Marthe, me disait-il, si Dieu veut que je meure, « Dis-lui que son ami lui laisse tout son bien, « Pour avoir soin de t
cifix d’ivoire Reposait dans ses mains sur son sein endormi, Comme un ami qui dort sur le cœur d’un ami3 ; Et, couché sur l
e muette un sourd sanglot sortit. Quand ce fut à mon tour : « O saint ami  ! lui dis-je, Dors. Ce n’est pas mon cœur, c’est
ain je vais fermer la couche où te voilà, Je sais qu’en ce moment mon ami n’est plus là… Il est où ses vertus ont allumé le
uspendu1. Me pardonnerez-vous, vous qui n’avez sur terre Pas même cet ami du pauvre solitaire ? Mais ce regard si doux, si
; Des gouttes de mes yeux roulèrent sur sa soie ; « O pauvre et seul ami , viens, lui dis-je, aimons-nous ! Partout où le c
à l’horizon On dise : « Mon retour réjouit ma maison ; Une sœur, des amis , une femme, une mère, Comptent de loin les pas qu
isait l’aveugle et meurt sur son cercueil !!! Viens, viens, dernier ami que mon pas réjouisse, Ne crains pas que de toi d
Au doux bruit des ruisseaux sous l’ombrage roulant. Je chantais, mes amis , comme l’homme respire, Comme l’oiseau gémit, com
s oiseaux chantants, le chien surtout, ce meuble vivant du foyer, cet ami de ceux qui sont oubliés du monde et qui pourtant
11 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
lettre qui m’a appris le nom de son auteur ; il l’adresse à un de nos amis , qui vous en pourra donner plus de lumière. Pour
t surtout votre procédé merveilleusement sincère et cordial envers un ami . Vous protestez de ne me point dire d’injures ; i
rieusement que, malgré nos gaillardises passées, je sois encore votre ami , afin que vous soyez encore le mien ; comme si vo
honte que vous en avez. Ce n’est pas assez de dire : Soyez encore mon ami , pour recevoir une amitié si indignement violée.
z point en nécessité de me défendre ; de mon côté je verrai, avec mes amis , si ce que votre libelle vous a laissé de réputat
as malaisée : je donnerai tous mes intérêts à qui vous voudrez de vos amis  ; et je m’assure que, si un homme se pouvoit fair
qui font rire le public à vos dépens, et continuez à vouloir être mon ami , afin que je me puisse dire le vôtre. À monsi
12 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
’une lettre ne doit point être allongée sans nécessité, excepte entre amis . On doit s’en tenir aux choses que l’on a à dire,
nt facile, parce qu'il est assez rare qu’en écrivant à ses parents et amis , on n’ait à leur transmettre que des vœux dictés
es. Préceptes particuliers. Ne parlons point des demandes que les amis peuvent se faire. Elles sont simples, franches et
une espèce de lettre de demande, par laquelle on sollicite près d’un ami , ou d’une personne tierce, appui et protection po
t digne d’un bon accueil ; s’il est concis, un peu sec, on crie à son ami  : prends garde ! La lettre de recommandation n’ex
rrespondant toute sa liberté d’action, et le lui dire. Tel sera entre amis le plan à suivre, et l’on fera bien d’y conformer
ar un ton violent, le supérieur peut aigrir au lieu de corriger, et l’ ami peut provoquer une rupture au lieu d’amener une r
va se plaindre ; bien plus il dira des injures ; bien plus encore son ami n’aura que ce qu’il mérite. Tel est l’ordre des p
13 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55
ère. « Ma foi, chevalier, tu veux justifier Molière et épargner notre ami que voilà. » La Grange. « Point du tout, c’est
s, mon cher. Faites état de moi, monsieur, comme du plus chaud de vos amis . Monsieur, je suis ravi de vous embrasser. Ah ! m
nt épuisé auprès de lui le mérite de mes services et le crédit de mes amis  ! Ah ! quelle bassesse est la vôtre ! Ne rougisse
illeure chose du monde ? Je vis l’autre jour sur le théâtre un de nos amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la
arterre, ris donc. Ce fut une seconde comédie que le chagrin de notre ami  ; il la donna en galant homme à toute l’assemblée
je m’en réjouis, et je ne manquerai pas de l’avertir que tu es de ses amis . Hai, hai, hai, hai, hai. Dorante. Ris tant que
autres, pour avoir la gloire de décider. Uranie. Il est vrai. Notre ami est de ces gens-là, sans doute. Il veut être le p
que Fulvie et Mélanie l’ont condamné sans l’avoir lu, et qu’il est l’ ami de Fulvie et de Mélanie. » 3. Contre, près du
dies à sa servante. 1. Ce Lysandre est le cousin germain de Damis, l’ ami dont Célimène fait si bien le portrait. (Voir le
14 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
l’an 38 ap. J.-C. (La Pharsale). IX. Marc-Aurèle recommande à ses amis son fils Commode. Marc-Aurèle était monté sur
Sirmium, capitale de la Pannonie (180). « Il n’est pas étonnant, mes amis , que vous soyez pénétrés de douleur, en me voyant
e autorité souveraine. Si vous soutenez mon fils de vos conseils, mes amis , et si vous lui rappelez ce qu’il entend aujourd’
, pour la religion, pour nos enfants, nos épouses, nos parents et nos amis , qui gémissent accablés sous une indigne et pénib
pas celle qui m’a banni, mais celle qui m’a reçu : je ne puis appeler ami celui qui me fait injure, ni ennemi celui qui me
lsion de la colère, tu as précipité dans les plus grands malheurs tes amis et des hommes qui avaient bien mérité de toi. » C
veur des Mèdes (555 av. J.-C.). Première partie. « Guerriers, mes amis , je vous ai choisis non parce que je vous ai mis
énéraux de son armée. Deuxième partie. « Quant à nous, guerriers, amis , ne commettons pas cette faute, et puisque nous a
sessions d’autrui. Nos ennemis nous ont provoqués les premiers et nos amis nous appellent à leur secours. Or, quoi de plus j
orce par la force ? Quoi de plus honorable que de venir en aide à ses amis  ? D’ailleurs, j’ai commencé par remplir les devoi
ouleur. Et combien parmi vous regrettent des frères, des parents, des amis perdus dans les combats ! » À ces paroles, beauc
ord mon ennemi et qui voulais être un assassin, un parricide ! Soyons amis , à dater de ce jour : commençons un combat qui pa
vais de bon et d’utile. » Puis, se tournant vers ses disciples et ses amis qui ne pouvaient s’empêcher de pleurer : « Pourqu
r d’âme et sa hardiesse, se félicitant d’ailleurs, en présence de ses amis , de l’immense bienfait qu’il devait à la fortune,
avec vivacité et jetant des regards menaçants sur son fils et sur les amis qui l’entouraient : « Eh quoi ! s’écria-t-il, su
sant la tête contre la muraille ? » À ces mots, son fils et quelques amis sortirent, en versant des pleurs. Apollonide et D
 : « De tous les Romains, celui que je désirerais le plus avoir pour ami , c’est vous, Fabricius, qui réunissez à la fois l
uant à moi, je ne connais pas de bien préférable à la possession d’un ami fidèle ; et l’éclat de la majesté royale convient
rompre ? » Traduit du même auteur. LXXIX. Lettre de Sénèque à son ami Lucilius. (Sujet donné le 22 août 1868.) Il lu
donné le 22 août 1868.) Il lui donne des conseils sur les choix des amis . Traduction de la matière. Lucilius avait écrit à
la matière. Lucilius avait écrit à Sénèque : « J’ai chargé un de mes amis de te remettre mes lettres : cependant ne lui com
nèque répond à Lucilius et lui reproche doucement d’employer le nom d’ ami comme l’emploie le vulgaire ; il lui déclare que
m d’ami comme l’emploie le vulgaire ; il lui déclare que le véritable ami , réellement digne de ce nom, est celui à qui l’on
-même. » « Croyez-moi, mon cher Lucilius : si vous regardez comme un ami l’homme en qui vous n’avez pas la même confiance
force de la véritable amitié. Délibérez sur toutes choses avec votre ami , mais sur lui d’abord, avant de le choisir. Après
mer plus quand on connaît. Réfléchissez longtemps sur l’adoption d’un ami  ; une fois décidé, ouvrez toute votre âme pour le
répandez tous vos chagrins, toutes vos pensées dans le sein de votre ami . Croyez-le discret, il le sera ; car souvent on e
rahir. Eh ! pourquoi donc retiendrais-je mes paroles en présence d’un ami  ? Pourquoi ne me croirais-je pas seul, quand il e
ersonnes racontent au premier venu ce qui ne doit être confié qu’à un ami  ; elles déchargent dans l’oreille d’un passant le
opinion en particulier ; je la répète aujourd’hui en présence de vos amis , et je déclare formellement que les Romains, invi
soient propices ? commence par les révérer. Veux-tu être chéri de tes amis  ? enchaîne-les par des bienfaits. Qu’un pays t’ho
ive-la. Si tu recherches la gloire des combats, si tu veux rendre tes amis à la liberté, asservir tes ennemis, prends les ma
Oh ! je n’ignore pas tous ces détails ! J’en ai été instruit par ton ami Clitus, que tu as tué d’un coup de lance au milie
mier rang parmi les Grecs. Philoctète, vaincu par les conseils de son ami , finit par s’écrier : « Ô toi, dont la voix si dé
vers les lieux où m’appellent une impérieuse destinée, le vœu de mes amis , et la volonté d’un Dieu puissant à qui rien ne s
ent briguer pour la récompense de leurs belles actions. Eh bien ! mes amis , n’y a-t-il point parmi tant de braves gens qui l
al. Traduit de Tite-Live. XCVIII. Lettre de Columelle à un de ses amis . Sujet donné à la Sorbonne le 5 août 1867. Tra
er, pour que Rome ne souffre pas de la famine. « Quand je songe, mon ami , combien la pratique de l’agriculture est tombée
15 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
our varier agréablement la forme du souhait. N° 2. Ecrivez à un ami comblé des dons de la fortune, de la santé et de
ôté de sa nouvelle dignité, la faveur d’avoir reçu un compliment d’un ami aussi digne et aussi vertueux, dont il s’efforcer
oléance. Oui, vous êtes extrêmement mal heureuse….. Non seulement vos amis , mais les personnes étrangères partagent vos doul
magistrat Vous avez eu le malheur de perdre madame votre mère ; un ami de votre famille, président de cour, vous a fait
ur… Je suis persuadé que vos larmes ont coulé — … Vous avez perdu une amie incomparable — -…Et moi !… comme elle m’aimait !
des. → Préceptes particuliers, tome 1er, page 208. N° 10. — A un ami . Un officier d’artillerie est au fond de l’Ita
ns soldats, sans canons, dans une inaction complète ; pendant que ses amis se battent en Allemagne, et qu’ils conquièrent de
passe sa vie sur les bords de la mer. Désespéré, il écrit à un de ses amis à Paris pour le prier de s’employer à le tirer du
ur le prier de s’employer à le tirer du fond de cette botte2. Que cet ami fasse tout par pitié ou par amitié, peu importe ;
aite ! Avis. Celle lettre devra être familière. Vous tutoierez votre ami . Une espèce d’humeur gaie, convenable nu ton mili
lui recommande Monsieur de la Brosse, homme fort estimable, fils d’un ami de la famille, et que madame de Grignan elle-même
jusqu’à ce que ses actions les démentent. — Si l’on allait prendre un ami pour un ennemi ! — … Avis. Cette lettre est un a
. Cette lettre va vous divertir, tirez-vous en bien. N° 29. — A un Ami . Vous avez la goutte, et ne pouvez bouger de v
utte, et ne pouvez bouger de votre lit depuis quinze jours. Un de vos amis , grand seigneur, ayant valets et laquais, vous ou
ndifférence, de la part d’un homme que vous aimez et qui se dit votre ami  ? Reprochez-lui ses torts. Décompositions.
assez de chaleur et de délicatesse, et n’oubliez pas qu’il écrit à un ami , N° 33. — Mme de Sévigné à Mme de Grignan.
rave et sévère. N° 50. — Le Prêtre Un prêtre est, par devoir, l’ ami des malheureux… Sa vie n’est qu’un long dévouemen
essant, lorsqu’il nous raconte l’histoire de ces animaux, devenus nos amis et nos bienfaiteurs. Juste envers ceux qui l’ont
lois ; Et par un vieil instinct qui jamais ne s’efface. Semble de ses amis reconnaître la trace ; Gardant du bienfait seul l
Peut-être un jour ses yeux guideront ma misère. Est-il hôte plus sûr, ami plus généreux, Un riche marchandait le chien d’un
e voit en cet état ; mais qu’il le traitera moins en prisonnier qu’en ami qui s’occupera de sa guérison ; la réponse de Bay
ersonne n’était pas pour lui. Il lui dit que c’est le meilleur de ses amis , lui fait donner un fauteuil au lieu d’un pliant,
ntroduit dans les cités pour corrompre l’enfance. Les chiens sont les amis prudents qui avertissent, souvent en vain, Je jeu
evait la semence divine, et couchait doucement le reste sur la terre, ami que chaque chose remplit sa destinée. Les message
s. On pourra les faire suivre d’une petite réflexion. N° 86. — Les Amis après la Mort. Le serviteur d’un grand roi av
ne sachant comment y justifier sa gestion ; toutefois, comme il avait amis puissants, il les pria instamment de l’accompagne
allait faire, afin d’intercéder pour lui près du roi. Mais parmi ces amis , ceux-là même à qui il avait rendu, pendant sa vi
mauvais drap de toile pour s’envelopper pendant son voyage. D’autres amis qu’il avait toujours aimés et à qui il avait fait
s, et peu a peu l’oublièrent tout-à-fait.. Il y avait encore quelques amis pour qui il n’avait pas eu toute l’estime qu’ils
fut à eux qu’il eut recours, et véritablement ils se montrèrent alors amis très fidèles ; ils s’embarquèrent avec lui, l’acc
ion de G. Avis. Désignez clairement ce que sont les trois espèces d’ amis , les faux, les indifférents et les véritables, en
fait la même proposition qu’à l’abeille, mais l’oiseau répond que ses amis l’attendent, pour avoir la certitude du printemps
e l’homme vertueux, — je vois ton cortège, — je t’accueille comme une amie , — je suis chrétien… La mort souffla sur l’homme
adressées par Pataud à Raton, soit : un franc ennemi vaut mieux qu’un ami perfide. N° 96. — La Linotte Une jeune lin
mour, partant plus de joie. Le lion tint conseil et dit : — Mes chers amis , Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés ce
eu pour toute la journée, entre dans son palais — … Là, il trouve des amis — … Pauvre le malin, il est riche à présent61 — …
stre de la nuit de blanchir le toit de sa chaumière — … La lune est l’ amie du sage — … Elle aide à la pensée et à la méditat
la mort n’a frappé qu’à demi, Fuît en vain emporté dans les bras d’un ami  ; Sur le sein de l’un de l’autre ils sont frappés
Dénouement. Il commande alors qu’on arrache le javelot. — Un de ses amis s’écrie : — Vous mourez, Epaminondas, si du moins
e calife rendit le champ à la pauvre veuve — … N° 176. — Les trois Amis Exposition. Trois arabes ne pouvant décider q
ou de Kaïr, ou d’Arabah, résolurent de mettre à l’épreuve chacun leur ami , en leur faisant la même demande ; tous trois dev
ichement pour un voyage lointain — … Abdallah remet son chameau à son ami et lui confie son épée — … Le second va trouver K
hand qui, en partant pour un voyage, avait confié à un joaillier, son ami , une bourse de mille sequins, eut la douleur devo
innocent et repousse le crime qui déshonore — … Dénouement, Sois mon ami , dit le calife resté seul avec Honain ; je te don
naufrage. Le crédit d’Auffrédi en reçoit de mortelles atteintes, ses amis l’abandonnent, il est ruiné, et, pour vivre, il e
d’Auffrédi, sur sa grandeur d’âme, sur l’ingratitude de ses premiers amis , sur le respect de ses amis nouveaux, portefaix c
d’âme, sur l’ingratitude de ses premiers amis, sur le respect de ses amis nouveaux, portefaix comme lui. Dans le dénouement
rité effrayante, silence de mort, pensées tristes, regrets de la vie. Amis , parents, gloire, bonheur, tout s’évanouit. La fa
avant, le défunt avait reçu les adieux à haute voix de ses parents et amis , on lui avait reproché de quitter la terre où il
riez, gras comme vous êtes — … On va le jeter dans la marmite — … Mes amis , attendez, dit le docteur, que j’ôte mes habits q
l’a porté, » A ce cri douloureux le peuple est agité. Un gros de nos amis que son danger excite Entre elle et les soldats v
ères, Les frères méconnus égorgés par leurs frères, Soldats, prêtres, amis , l’un sur l’autre expirant ; On marche, on est po
e qui seront autour de lui. La religion le consolera ; d’ailleurs, un ami de Fénelon reste à la cour, c’est M. de Beauville
faudrait venir si vous n’y étiez pas, et vous voulez en sortir ! Des amis vous conseillent ce que des ennemis ne peuvent vo
l a été arrêté, implorer pour eux le secours des incas. C’est donc un ami , un frère, qu’on va dévorer. Le permettront-elles
solidité dans le fond ; en effet la jeunesse et la raison ne sont pas amies , et il n’est pas étonnant que la seconde n’ait pa
e après leur sortie d’esclavage. Que fait Polidore ? Il va revoir ses amis , songe à ses plaisirs, retrouve sa famille dans l
e leur bonté, sentent avec joie, dans ce — séjour, qu’une femme est l’ ami qui les ramène à la vie. Avis. Outre tous les c
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
sie 1. Qui va là ? Hein ! Ma peur à chaque pas s’accroît ! Messieurs, ami de tout le monde. Ah ! quelle audace sans second
au levé3, Madame, a bien paru ridicule achevé. N’a-t-il point quelque ami qui pût, sur ses manières, D’un charitable avis l
son oncle Damis. Qu’en dites-vous, madame ? Célimène. Il est de mes amis . Philinte. Je le trouve honnête homme, et d’un a
gens vous êtes admirable. Alceste. Allons ferme ! poussez, mes bons amis de cour, Vous n’en épargnez point, et chacun a so
 : « Ce que fait un père pour son fils, nous le devons faire pour nos amis , ne pas les prendre en dégoût, s’ils ont quelque
est sot, avantageux ; sans doute qu’il se veut rendre agréable à ses amis . Mais il a l’humeur farouche, et pousse au delà d
ère. De l’Homme, p. 291.) 3. Philinte change de ton parce qu’il est ami de Célimène : « Arsène, du plus haut de son espri
iforme ; et il n’est responsable de ses inconstances qu’à ce cercle d’ amis qui les idolâtrent. Eux seuls savent juger, saven
vers, tout nous sera soumis : Nul n’aura de l’esprit hors nous et nos amis . Nous chercherons partout à trouver à redire, Et
qu’il ne lui coûte pas plus à faire qu’à violer. » (La Bruyère.) 2. Amie . Elle paye argent comptant, de la même monnaie. S
17 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
— Viens, suis-nous à la ville, elle est toute voisine, Et chérit les amis de la muse divine. Un siége aux clous d’argent te
eux fois hospitalière ! Car sur tes bords heureux je suis déjà venu ; Amis , je la connais. Vos pères m’ont connu : Ils crois
p d’œil. L’insensé Tremble ; sous ses tapis il veut cacher sa tête. «  Ami , depuis trois jours tu n’es d’aucune fête, Dit-el
même peu éloigné de sa fin, les plus honnêtes gens de la ville et les amis qui lui restaient étaient assemblés chez lui ; on
qu’aucun n’eût pu ni redouter sa haine, ni désespérer de l’avoir pour ami . Et ce n’est guère que par là qu’on peut excuser
n, qui joue dans l’État un bien grand rôle : c’est l’ancien et intime ami de l’empereur, le compagnon de toutes ses guerres
t être, le client, le complaisant, le parasite de Mécène ; il est son ami . Il faut le proclamer à l’honneur de tous deux. Ê
il est son ami. Il faut le proclamer à l’honneur de tous deux. Être l’ ami d’un grand est une situation délicate, difficile,
quefois gênants, les exigences obligeamment tyranniques d’un puissant ami . Patin 7. Efficacité du Christianisme
troisième siècle une partie de l’empire, les païens, délaissant leurs amis et leurs proches, ne songèrent qu’à se mettre par
laudi au talent naissant de Barnave, quoiqu’il n’aimât pas ses jeunes amis  ; il appréciait l’esprit profond de Sieyès, en ca
là, misérable, infirme, abandonnée… Lui, peut-être il est mort, sans amis , sans secours, Mon pauvre enfant, mon fils !… ma
oyant ou notre cœur s’élance, La ruelle où de loin on entend aboyer L’ ami de la maison, le vieux chien du foyer, La porte e
ants, les manufacturiers, les magistrats, dans toute cette population amie de l’ordre qu’il avait comprise et défendue mieux
doré l’autre l’a cadencée ; Du moment qu’on l’écoute, on lui devient ami . Sur sa toile, en mourant, Raphaël l’a laissée ;
t né pour vivre en solitude : Il me faut qui m’estime, il me faut des amis À qui dans mes secrets tout accès soit permis ; D
Ne peut se dire : « Allons, je sais que mes douleurs Tourmentent mes amis , et, quoiqu’en mon absence, Ils accusent mon sort
qu’à la lie, Parjure et vil troupeau que disperse la peur, Maîtresse, amis , tout fuit ; aucun d’eux ne se plie Au fardeau du
du charnier populaire, Seront servis au peuple-roi. Que pouvaient mes amis  ? Oui, de leur main chérie Un mot, à travers ces
rreaux... Mais tout est précipice ; ils ont eu droit de vivre. Vivez, amis  ; vivez contents ; En dépit de Bavus, soyez lents
rds distraits ; À mon tour aujourd’hui mon malheur importune : Vivez, amis  ; vivez en paix. A. Chénier. La Muse de l
l’imprudence, et craint les repentirs ; Il cherche les honneurs, les amis , la richesse. Des défauts importuns assiégent la
t la vertu, le beau. À cet âge plus qu’à tout autre, ils aiment leurs amis et leurs camarades, parce qu’ils se plaisent à vi
ègle de l’utile, ce n’est pas d’après cette règle qu’ils jugent leurs amis . Toutes les fois qu’ils pèchent c’est par excès e
tache et plein, si de l’enfant au père il y avait le retour égal de l’ ami à l’ami, de l’époux à l’épouse ; mais il n’en est
plein, si de l’enfant au père il y avait le retour égal de l’ami à l’ ami , de l’époux à l’épouse ; mais il n’en est rien. Q
petit roman, dans une lettre, où vous vous égayerez, pour égayer vos amis . Mais une pensée fine, ingénieuse, une comparaiso
tête si chère Déposant mes cheveux en offrande… Ô ma mère ! Patrie !… amis  !… parents !… êtres chers et sacrés, Voyez, voyez
it, le fer brille. Achille fait ranger autour de votre fille Tous ses amis , pour lui prêts à se dévouer. Le triste Agamemnon
étendants se lèvent. CHŒUR DES PORCHERS.                    Miracle ! amis  ! l’arc est tendu. DEMI-CHŒUR. Le tonnerre a gron
s dans la douleur, Loin du pays natal, loin des bras de ta sœur, Sans amis , sans famille !… À ton heure fatale, Mes mains n’
                                     Que me veux-tu, Valère ? VALÈRE. Ami , réjouis-toi : tes vœux sont satisfaits, Et nous
Brute tient sa vengeance, et diffère à punir ! BRUTE. Je ne diffère, ami , que pour mieux la tenir. VALÈRE. Pourtant quand
leur résiste. Ou lassés, ou soumis, Ma funeste amitié pèse à tous mes amis . Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le gra
e. LOUIS.                                                        Faux ami , M’as-tu trouvé pour toi généreux à demi ? Va, tu
avec le bienfaiteur. On paye un courtisan, on paye un serviteur ; Un ami , sire, on l’aime ; et n’eût-il pour salaire Qu’un
chez toi. (En le conduisant jusqu’à son appartement.) Sur la foi d’un ami , dors d’un sommeil tranquille. (Après avoir fermé
, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami  : je hais ou je méprise ; L’effroi me tord le cœu
mée. Dépouillée à la fois de toutes mes grandeurs, Sans secours, sans amis , presque sans serviteurs, Au plus vil dénûment da
les destins de la France rejettent, Je retourne à mes chiens, — seuls amis qui me fêtent. RICHELIEU. Dans son abaissement il
mort rien ne survit à l’homme54. Mais Socrate mourant entretient ses amis Des immortels destins que Dieu nous a promis55. J
à leur taille. — Ce n’est pas pour si peu, Danton, que je travaille. Ami du peuple hier, je le suis aujourd’hui. J’ai souf
                        Non ; des rebelles, morbleu ! Barbaroux, leur ami , met l’Occident en feu. Plus d’une fois déjà j’ai
s la lirai.     Pour toi, Danton, j’aurai l’œil sur tes défaillances. Ami de Dumouriez, veille à tes alliances ! Je ne sais
ailes de feu, Par nous donner beaucoup et nous demander peu. Elle est amie ardente ou mortelle ennemie, Et, comme elle a sa
au levé, Madame, a bien paru ridicule achevé. N’a-t-il point quelque ami qui pût, sur ses manières, D’un charitable avis l
CÉLIMÈNE.                                               Il est de mes amis . PHILINTE. Je le trouve honnête homme, et d’un ai
gens vous, êtes admirable. ALCESTE. Allons ferme ! poussez, mes bons amis de cour, Vous n’en épargnez point, et chacun a so
de la lutte, Vous flattez la victoire et flétrissez la chute ; Soyons amis  ! — Salut, ô pieux débauché, Que le mot effarouch
ison : Heureux, tu compteras des amitiés sans nombre ; Mais adieu les amis , si le temps devient sombre62. Ponsard 63.
st pas fait pour vivre en paysan… Pardon ; Le mot m’est échappé, cher ami . HUBERT.                                         
En me trouvant chez moi de bonne compagnie. Voilà mes gens, voilà les amis que je veux, Sûr qu’ils seront pour moi ce que je
Qu’ai-je fait, malheureux ! j’ai contristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j’ai porté l’épouvante et la douleu
le plus inique, le plus inégal, le plus désastreux des impôts ?… Mes amis , écoutez un mot, un seul mot. Deux siècles de dép
point encore vue. La jeunesse libérale et la jeunesse royaliste, les amis et les ennemis, et cette foule curieuse qu’une gr
devant la vue, même alors qu’ils n’ont rien devant les yeux ; esprits amis de la lumière, qui, lorsqu’il leur vient une idée
théâtre, Chacun en liberté l’y blâme ou l’idolâtre ; Là, sans que mes amis prêchent leurs sentiments, J’arrache quelquefois
guste lui-même. Non loin de lui, et avec le regret d’être séparé d’un ami si cher, Horace présiderait à son tour (autant qu
nce les Cervantes, les Molière, les peintres pratiques de la vie, ces amis indulgents et qui sont encore les premiers des bi
l’hiver ; Puis, avec le zéphyr et la jeune hirondelle, Il joindra son ami , si son ami l’appelle.     Vous me comblez de bie
is, avec le zéphyr et la jeune hirondelle, Il joindra son ami, si son ami l’appelle.     Vous me comblez de biens ; mais vo
u vrai connaît la différence, Et tient sa bourse ouverte à ses dignes amis . Mon cœur de vos bienfaits saura payer le prix ;
lettre qui m’a appris le nom de son auteur ; il l’adresse à un de nos amis , qui vous en pourra donner plus de lumière. Pour
t surtout votre procédé merveilleusement sincère et cordial envers un ami . Vous protestez de ne me point dire d’injures ; i
rieusement que, malgré nos gaillardises passées, je sois encore votre ami , afin que vous soyez encore le mien ; comme si vo
honte que vous en avez. Ce n’est pas assez de dire : Soyez encore mon ami , pour recevoir une amitié si indignement violée.
z point en nécessité de me défendre ; de mon côté je verrai, avec mes amis , si ce que votre libelle vous a laissé de réputat
qui font rire le public à vos dépens, et continuez à vouloir être mon ami , afin que je me puisse dire le vôtre. Corneill
pour mon instruction, un petit dictionnaire à l’usage des rois. Mon ami signifie mon esclave. Mon cher ami veut dire vou
ionnaire à l’usage des rois. Mon ami signifie mon esclave. Mon cher ami veut dire vous m’êtes plus qu’indifférent. Entend
ire. Le Rôle de la France Rien ne marche au hasard, mon cher ami  ; tout est déterminé par une puissance qui nous d
ntures et deux heures après, nous étions dans Bethléem ! Voilà, chère amie , de ces événements qui donnent aux voyages tant d
demain nous partons pour la mer Morte, le Jourdain, etc. Ainsi, chère amie , voilà bien du papier barbouillé, et comment ?… J
dre vos difficultés, et vous n’êtes pas arrivé au but. Mais, mon cher ami , les difficultés de la religion sont comme celles
du catholicisme n’a pas besoin d’autre démonstration. Voilà, mon cher ami , le court raisonnement qui m’ouvre les portes de
mbrasser la croix et défier l’incrédulité de toute la terre. Ah ! mon ami , ne nous perdons point dans des discussions infin
ur qui vous sollicite. Livrez-vous à la foi comme s’y sont livrés vos amis  : vous y trouverez la paix. Vos doutes se dissipe
sanction du ciel sur votre volonté chancelante. Ayez ce courage, cher ami , et cette foi, que vous admirez chez notre pauvre
e courage, cher ami, et cette foi, que vous admirez chez notre pauvre ami L…, qui le console dans un si grand malheur, vien
à votre prospérité. Soyez heureux et chrétien, c’est le vœu de votre ami . Ozanam. Folie de liberté Le docteur
rius, etc., etc., a madame Daniel Lefèvre. Chère madame, Notre pauvre ami a bien souffert ; il va un peu mieux ; il boit, i
ent doux aimable, poli, toujours prêt à faire ce que ses maîtres, ses amis ou sa femme lui ordonnent. Voyez l’histoire de no
e chez des sujets affaiblis. C’est là qu’en était arrivé notre pauvre ami . Heureusement pour lui, je veillais. Deux saignée
vie, habituez-vous à une indépendance et à une solitude que tous vos amis essayeront d’adoucir. Ne nourrissez pas de vaines
légitime ; Pardonner est honteux, et proscrire est sublime. Je suis l’ ami du peuple, ainsi vous m’en croirez ; Et surtout g
s elle les rend heureux à l’envi de la raison, qui ne peut rendre ses amis que misérables, l’une les couvrant de gloire, l’a
même des plaisirs permis ? Qui leur a dicté ces grandes paroles : Un ami est un autre moi-même ; il faut aimer ses amis pl
es grandes paroles : Un ami est un autre moi-même ; il faut aimer ses amis plus que soi-même, sa patrie plus que ses amis, e
me ; il faut aimer ses amis plus que soi-même, sa patrie plus que ses amis , et l’humanité plus que sa patrie ? Qui leur a mo
semblables, et, pour être appelés seulement philosophes, c’est-à-dire amis de la sagesse, ont souffert la persécution, l’exi
use Quand ton cerveau malsain réclame le secours ! Attends-tu quelque ami , tu vas, tu viens, tu cours ; « Nettoyez ce parvi
la science alarment pour nos misérables santés la sollicitude de nos amis … Sachons-le pourtant, il ne faut pas se croire di
avait donnée, quoiqu’il y eût été si bien traité, et il ordonna à ses amis de porter ses os dans l’Attique pour les y inhume
iscussion entre M. Cousin et M. Guizot À M. Guizot. Mon cher ami , Dès que j’eus reçu votre livre113, je me suis hâ
. Cousin. À M. Cousin. Je compte bien comme vous, mon cher ami , que nos dissidences ne nuiront pas à notre vieil
différents me croiront insensé. À qui m’adresserai-je, et quelle voix amie Consolera ce cœur que le doute a blessé ?     Il
Euripide (v. 402) : « Soyez heureux : dans le malheur il n’est plus d’ amis . » 63. Théâtre. (Michel Lévy frères, édit.) 6
les fonctions de lieutenant et commandait ; dans la pièce à côté, mon ami Montfort était au piano ; ses camarades l’entoura
18 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184
Une absence à l’Académie À Madame Necker Ma très-respectable amie , je ne sortirai pas de deux jours, et je vous dir
s’approchant de l’homme, pourvu qu’il trouve en nous ses hôtes et ses amis , et non ses maîtres et ses tyrans1. Le blé
constance pour achever, de l’amitié pour vos rivaux, du zèle pour vos amis , de l’enthousiasme pour l’humanité : voilà ce que
l’enthousiasme pour l’humanité : voilà ce que vous connaît un ancien ami , un confrère de trente ans, qui se félicite aujou
’avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure ; Amis , n’en croyez rien ; l’oiseau mélodieux D’un plus
uper le lendemain à l’autre. D’une société de trois ou quatre intimes amis , il faut voler à l’opéra, à la comédie, voir des
19 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
ir, et une mère aussi heureuse que vous l’avez été… Non seulement vos amis , mais les personnes même les plus étrangères à vo
ndre des larmes ; la bonté de votre cœur m’en répond. Vous perdez une amie d’un mérite et d’une fidélité incomparable : rien
N° 10. — A M. Leduc, officier d’artillerie à Paris. Mon cher ami , Avancer est chose impossible dans la position où
e lui demande, que je suis assuré de l’obtenir. Un gentilhomme de mes amis , qui à l’âge de vingt ans, a fait vingt combats a
j’ai pour lui ; vous savez que son père est l’un de mes plus anciens amis  ; vous savez vous-même le mérite de l’un et de l’
u à Racine Boileau ne sait d’abord, dit-il, comment remercier son ami . Cela veut déjà dire qu’il le remercie vivement.
éfiait de la fortune de M. le doyen , que Racine vient d’obliger. Son ami a donc eu quelques difficultés à vaincre, et a ré
considération qui fait regarder un service comme remboursable. Entre amis , à la rigueur, cela peut se pardonner -, mais il
rcîment. Ainsi, quand Boileau dit qu’il ne sait comment remercier son ami , nous fait-il partager son embarras ? Evidemment
leur âme. Tout mortel a le sien ; cet ange protecteur, Cet invisible ami veille autour de son cœur, L’inspire, le conduit,
ontesquieu. N° 50. — Le Prêtre. Un prêtre est, par devoir, l’ ami , la providence vivante de tous les malheureux, la
d’argent, ressemblait beaucoup à la sienne. Avait-il des parents, des amis  ? Etait-il riche ou pauvre ? Personne n’aurait pu
hrase qui acquiert ainsi plus de concision. Ces animaux devenus nos amis et nos bienfaiteurs renferment une métalepse. Ce
en veut en a. Voulez-vous de la réputation ? priez tel ou tel de vos amis de vous en faire ; associez-vous à tel ou tel par
veux point te traiter en prisonnier ; je te veux garder comme un bon ami , et prendre soin de ta guérison, comme si tu étai
nt ! vous dire que je n’y suis pas… à M. Dimanche, au meilleur de mes amis ... M. DIMANCHE. Monsieur, je suis votre serviteur
tendant la main. Touchez donc là, M. Dimanche… Êtes-vous bien de mes amis  ? M. DIMANCHE. Monsieur, je suis votre serviteur.
 : Ne t’emportes-tu rien ? Dans la conversation familière, lorsqu’un ami s’éloigne, on lui dit : Ne m’emportes-tu rien ? p
urs peines passées des envieux ou des malveillants ; d’autres de faux amis  ; il en est qui s’accusent eux-mêmes ; tous se di
céleste, et faisaient l’admiration de sa mère, de ses sœurs et de ses amies . Elles pensaient qu’une vertu si pure n’était pas
re à partager les joies d’un bonheur éternel. Guyet. N° 86. — Le amis après la mort. Les premiers amis sont les bien
éternel. Guyet. N° 86. — Le amis après la mort. Les premiers amis sont les biens temporels pour lesquels l’homme se
els il expose encore sa vie présente et même son bonheur éternel. Ces amis restent chez eux quand on le porte en terre. De t
e, de toute la grandeur du monde, il ne reste rien qu’un linceul. Les amis , meilleurs que les premiers, sont les parents ; i
et à leurs plaisirs, et souvent la plupart ne pensent plus à lui. Les amis les plus fidèles et sur qui l’homme doit compter
, Car je respire à peine, et je me sens joyeuse. Mais j’ai beaucoup d’ amis qui doutent du printemps ; Ils rêveraient ma mort
    Raton, et ce n’est pas une histoire apocryphe, Dans la peau d’un ami comme fait maint plaisant, Enfonçait, tout en s’a
r bientôt. Eh quoi ! Pataud, tu fais la mine ! Ne suis-je pas ton bon ami  ? — Prends un nom qui convienne à ton humeur mali
, Raton, ne sois rien à demi. J’aime mieux un franc ennemi, Qu’un bon ami qui m’égratigne. Arnaud.  N° 96. — La Linott
sous le chaume, il n’est point sur le trône. Voulons-nous l’obtenir, amis , La médiocrité le donne. Dorat. N° 97. — Le
e usage par tous les exercices qui conviennent à cet âge tendre, mais ami de l’agitation et du changement dans tous les gen
cela par des promenades sur mer ; ces parties sont délicieuses. Douze amis s’embarquent avec un excellent dîner ; dix ou onz
ul. Ils se regardent, ils s’entendent l’un l’autre ; bientôt ils sont amis , ils mettent en commun leur pauvre misère. Et dan
e peut l’être un enfant : il a de l’air, des fleurs, du soleil et des amis de son âge. Jules Janin. N° 121. — Le Cimetiè
je me suis éloigné de cette maison de paix. Je vous assure, mon cher ami , que toutes ces idées de fortune, de succès, de p
que moi ! Ah ! si j’en, crois mon cœur et ta sainte influence, Astre ami du repos, des songes, du silence, Tu ne te lèves
u toit, L’hirondelle rasant l’auge où le cygne boit ; Tous ces hôtes, amis du seuil qui les rassemble, Famille de l’ermite,
la tête inclinée, Cette image de bois du maître que je sers, Céleste ami , qui seul me peuple ces déserts ; Qui, lorsque mo
valier que son cheval flaire avec douleur, là c’est le trépas de deux amis qui se tiennent embrassés, plus loin c’est la mêl
mélancolique, et a son genre de mérite. Le petit tableau de ces deux amis qui meurent frappés du même coup, alors que l’un
st une victime innocente, surprise par l’occasion, entraînée par  des amis . Nouveau motif d’intérêt. Regagnant son manoir
le mot guidé. Le vin ne peut servir de guide, mais on le compare à un ami qui accompagne son ami, lui montre son chemin, et
peut servir de guide, mais on le compare à un ami qui accompagne son ami , lui montre son chemin, et cette comparaison just
il embrassa ce garde, et le créa colonel sur le champ.«  Allons, mes amis , dit-il, prenez avec vous le plus de poudre et de
n trophée sur le champ de bataille. Epaminondas respirait encore. Ses amis et ses officiers inondaient en larmes autour de s
faire la paix. » Alors il ordonna d’arracher le fer ; et l’un de ses amis s’étant écrié, dans l’égarement de sa douleur : «
tous les anges, ses compagnons de lumière, désespérèrent de revoir l’ ami de leur frère au milieu d’eux. Azaël, après avoir
rétienne. D’une voix mourante elle prononce ces paroles dernières : «  Ami , tu as vaincu ; je te pardonne : toi-même pardonn
la cité prochaine, Mon père, un soir, me conta dans les bois : (O mes amis , que Dieu vous garde un père ! Le mien n’est plus
t-il, si les hommes vivent de froment ? » Il appelle Loïs : « Mon bel ami , lui dit-il, où étiez-vous quand vous vîtes l’étr
ssitôt sa main s’avança pour saisir les objets. « C’est au mieux, mes amis , dit alors Charles-Quint… mais avant de vous livr
— Votre montre ?… vraiment, tout au fond la voilà ; Je suis, mon cher ami vaincu par ce trait-là. — Oh ! s’écria Baour, épr
e mahométan affirma que le fakir n’était autre qu’Ali, le parent et l’ ami de Mahomet : — chacun d’eux n’en rendit grâce qu’
bâtiments qu’il y avait fait lever. Le Même. N° 176. — Les trois Amis . (Conte.) Trois Arabes disputaient entre eux
férend par une épreuve. Chacun devait aller demander assistance à son ami , afin de voir ce qu’il ferait pour lui. Le premie
trouve dans le besoin. Abdallah retira aussitôt son pied, remit à son ami le chameau richement chargé et le pria seulement
e qu’elle faisait partie de l’héritage d’Ali ; gendre de Mahomet. Son ami trouva sur le chameau plusieurs vêtements de soie
ais l’objet le plus précieux était l’épée d’Ali. Le second trouva son ami Kaïr endormi. L’esclave lui demanda ce qu‘il voul
emanda ce qu‘il voulait à son maître. « Je suis en voyage, répondit l’ ami , et n’ai pas d’argent. » L’esclave dit qu’il ne p
« Pourquoi ne m’as-tu pas réveillé ? j’aurais donné encore plus à mon ami . » Le troisième arrive chez son ami Arabah, comme
j’aurais donné encore plus à mon ami. » Le troisième arrive chez son ami Arabah, comme il se disposait à se rendre à la pr
n, et déplora son malheur de n’avoir pas d’argent à sa disposition. «  Ami , dit-il, prends au moins deux esclaves, et vends-
résents qu’ils avaient reçus, ils dirent unanimement : « De nos trois amis , celui qui s’est montré le plus généreux, c’est A
ger en pays étranger, remit à un joaillier, qu’il regardait comme son ami , une bourse de mille sequins, en le priant de lui
main matin, le marchand revint annonçant la persistance de son ancien ami à nier le dépôt. « Va le trouver encore dit le ca
son trésor, il se hâta de rendre la bourse. « Comment donc, mon cher ami , ajouta-t-il en souriant, le cadi ! est-ce que to
i où je suis, et aidez-moi à sortir de cet abîme. — Soyez tranquille, ami , dit l’étranger ; vous êtes dans le trésor du sul
rès le voleur, mais il se ravisa, et dit à son compagnon : « Viens, l’ ami , nous allons retourner à la maison. Quand nous re
eux Honain, et lui dit : « Honain, je suis content de toi ; tu es mon ami , et je suis le tien. On m’avait fait soupçonner t
t et fut ruiné. Mais à cette époque déjà les malheureux avaient peu d’ amis  ; ceux d’Auffrédy l’abandonnèrent insensiblement,
éels, et bientôt une foule d’ouvriers et de matelots, alors ses seuls amis , accourt, joyeuse et empressée, lui annoncer que
e lui avait acquise, il aurait pu facilement se venger de ses ingrats amis  ; mais son âme, grande dans le malheur, fut génér
hommes du peuple au milieu desquels il avait vécu : ouvrier, il fut l’ ami des ouvriers, et ses richesses inespérées furent
re ; le glaive ne frappe plus aveuglément ses victimes ; le faible, l’ ami de la paix, ne redoutent plus la violence et la f
nt à la poursuite de l’ours, et oubliant tout pour ne penser qu’à son ami , car il vit bien que si Guillaume n’avait pas eu
quels regrets touchants viennent aigrir ses peines ! Ses parents, ses amis , qu’il ne reverra plus, Et ces nobles travaux qu’
se, mais par un simple motif de vanité, et afin de pouvoir dire à ses amis en Angleterre : « Je suis propriétaire de la mais
on, mille fois non. Je ne la vendrais pas à un Français, à mon intime ami , qui m’en supplierait à genoux ; ce n’est pas pou
sis sur un banc, devant sa maison, et, en causant avec quelques vieux amis , il goûtait les charmes d’une belle soirée d’été.
par degrés insensibles, et la lumière se relirait lentement, comme un ami qui craint de nous affliger par un brusque départ
fermé les yeux et croisé les bras sur la poitrine. Les parents et les amis du défunt lui avaient adressé les derniers adieux
tion ce corps qui allait être dérobé pour toujours aux regards de ses amis , il croit remarquer en lui quelque signe de vie.
pleure, et personne ne vient essuyer mes larmes ; je gémis, et aucun ami ne me console : le vent emporte mes plaintes ; ma
n si parfaite et si achevée. C est un homme de vingt-huit ans, intime ami de M. de Tulle, et qui s’en va avec lui : Nous le
ait beaucoup de prélats ; j’ai dit à Guittaut, cherchons un peu notre ami Marseille, nous ne l’avons point vu : je lui ai d
gné. N° 210. — Une nuit dans l’Auberge de la forêt. Lemierre à un ami . Mon cher ami, Je viens d’être le héros d’une
— Une nuit dans l’Auberge de la forêt. Lemierre à un ami. Mon cher ami , Je viens d’être le héros d’une aventure singuli
nfin tout ce qu’il y a de plus affreux. Ne vous alarmez pas, mon cher ami , je suis encore au nombre des vivants, et je me p
ment mes cheveux ont un peu changé de couleur. Écoutez donc, mon cher ami , ma triste, lamentable et très-déplorable histoir
rifié ; c’était exactement comme elle l’avait deviné. Jugez, mon cher ami , quels furent mon étonnement et surtout ma confus
qui suit est le suprême effort du langage pathétique. Un gros de nos amis que son danger excite. Entre elle et les soldats
te. Entre elle et les soldats vole et se précipite. Un gros de nos amis est peu poétique, et si par malheur le narrateur
teur allait, faire une faute de récitation en disant : un de nos gros amis , toute la beauté de ce morceau disparaîtrait, ici
cris de rage. Le dénouement se prépare à ces mots : un gros de nos amis , et commence à : vous eussiez vu soudai.    La
égorgé par les soldats, quand Mérope leur crie : c’est mon fils ! Les amis de la reine voient au secours d’Egyste, et le tem
entendrons, nous nous verrons tous les jours : la vertu rapproche les amis absents. Vous trouverez quelquefois autour de vou
Ma disgrâce n’est pas entière puisqu’il vous reste le meilleur de mes amis . Au nom des devoirs qui l’attachent à vous ; je p
otection aux seigneurs Hongrois. Nobles hongrois ! Abandonnée de mes amis et de mes parents, poursuivie par des ennemis imp
aintenant que vous y êtes, on voudrait que vous en sortissiez, et vos amis seraient d’avis que vous fissiez de votre bon gré
e sorte que notre salut dépend de notre seul courage. Pour Dieu ! mes amis , tandis que les armes de notre roi triomphent par
de vos pères ; mais vous les mêlerez à celles de vos enfants, de vos amis , de vos parents qui vivent encore : vous les mêle
troupeau qu’il m’a confié ; et moi, votre père, votre    frère, votre ami par la charité, moi ministre de paix et de miséri
pied de nos tombeaux, Si de tels intérêts j’ose un moment descendre, Amis , je vous dirai quel culte à notre cendre Vont con
tre déchiré par vos mains. Femmes indiennes, croyez que je suis votre ami , celui de vos enfants, celui même de vos époux. V
fants, celui même de vos époux. Voulez-vous dévorer la chair de votre ami , boire le sang de votre frère ? » MARMONTEL.
st le crédit et la considération qui ouvrent au besoin la bourse d’un ami , donnent au suppliant certain air de confiance, g
re de ses fers, vient respirer l’air de la patrie ! Il court chez ses amis , songe d’abord à ses plaisirs, et ce n’est qu’apr
ulage Sentent avec bonheur, dans ce triste séjour, Qu’une femme est l’ ami qui les ramène au jour. Legouvé. N° 258. — L
20 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
nfin dans cette pièce de Claude Mermet (poète du xvie  siècle) : Les amis de l’heure présente Ont le naturel du melon : Il
un bon. Il y a une raillerie très amère contre ceux qui s’intitulent amis , mais qui ne méritent pas ce nom. Eh bien, c’est
avait été rongé, Chose qui lui semblait tout à fait effrayante. « Mon ami , dit Caton, reprenez vos esprits ; Cet accident,
u’en Helvétie, Louise, une fleur à la main, Près de Lisbeth, sa douce amie , Un jour s’était mise en chemin. « Bon ermite, as
a belle voyageuse, Qui soupira profondément. « Hélas ! dit-elle à son amie , Avant toi si je perds la vie,                 So
ur le rivage La fleur qu’elle tenait en main : « Adieu, dit-elle, mon amie , Garde bien cette fleur chérie ;                 
  Souviens-toi                     De moi. » Lisbeth veut suivre son amie  ; Au trépas elle veut courir. Mais on la retient
21 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Massillon 1643-1743 » pp. 133-138
ge en un ennui avec le reste des hommes. La cupidité2. On cherche des amis utiles ; ils sont dignes de notre amitié dès qu’i
qualités qui nous font paraître aimables ; et l’on ne manque jamais d’ amis , quand on peut payer l’amitié de ceux qui nous ai
on peut payer l’amitié de ceux qui nous aiment. Enfin la vanité. Des amis qui nous font honorer nous sont toujours chers3,
erre, c’est de notre temps ; nos offices, nous les réservons pour nos amis  ; nos bienfaits, pour nos créatures ; nos biens,
et ne s’applique pas seulement à l’amour de l’argent 3. Il y a des amis dont on se pare, comme on porte une décoration.
22 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
on pure, et méprise l’usage ; Il n’épargne aucun soin pour servir un ami , En lui serrant la main. Et n’est pas homme alors
rême bien. Je ne dois rien au monde, et ne lui donne rien1. Deuxième ami . Moi, j’approuve monsieur, et toutefois je pense
lphe. Je vais chez qui me plaît, et non chez qui m’invite2. Deuxième ami . Tout au moins devez-vous y faire une visite. Ro
ut au moins devez-vous y faire une visite. Rodolphe. Non3. Deuxième ami . Si vous recevez des lettres… Rodolphe. Je les m
e. Je les mets Soigneusement en poche, et ne réponds jamais. Premier ami . Oh ! vous raillez. Rodolphe. Non pas. Je ne pui
mort rien ne survit à l’homme2 ; Mais Socrate mourant entretient ses amis Des immortels destins que Dieu nous a promis. — J
à leur taille. — Ce n’est pas pour si peu, Danton, que je travaille. Ami du peuple, hier, je le suis aujourd’hui ; J’ai so
is-le-Grand. Dezobry.) 3. Le pauvre homme ! 1. Outre son journal l’ Ami du Peuple, Marat avait composé des écrits politiq
23 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
Jean Molinet (mort en 1507), de Guillaume Crétin (mort en 1525), son ami , et de leurs nombreux imitateurs ; — enfin tout u
ues, allégoriques et satiriques du moyen âge ; — puis les noms de ses amis , de ses contemporains et de ses successeurs : d’a
qui railla Du Bellay, et qui batailla vaillamment pour son maître et ami et pour lui-même contre Sagon et contre l’école d
produisit sans fin, et, souvent aussi, sans goût : — Remi Belleau, l’ ami de prédilection de Ronsard, plus jeune que lui de
le maître, ses hymnes, ses gaytez, ses odes, et, comme Du Bellay, son ami , a des regrets, a des soupirs ; — du Mans, Jacque
e de Sainte-Marthe, de Loudun, poète lui aussi (odes, élégies), fut l’ ami de Vauquelin de la Fresnaye et initia son jeune e
e, qui professeur, tous érudits et poètes a leurs heures, quelque peu amis de la gaillardise en prose et en vers, du sel att
an Passerat (mort en 1602), l’éminent latiniste du collège de France, ami de la vigne et de la poésie, fin chansonnier des
liques ou reîtres huguenots. Il convient de ne pas séparer d’eux leur ami Estienne Pasquier (mort en 1645), le savant auteu
e Guy du Faur de Pibrac (1529-1584), de Toulouse, magistrat comme son ami Pasquier, amateur et chantre de la Vie Rustique,
res de Sagon, évêque de Beauvais, contre lequel l’avaient défendu ses amis et qu’il n’eut pas de peine à vaincre dans une jo
le miel, l’aiguillon, et même les ailes. » Épîtres I. À son ami Lyon2 (1526). Une fable     … Je te veulx dir
a condition qui a marqué d’un cachet d’afféterie et de mignardise son ami Melin de Saint-Gelais, fils de gentilhomme, abbé
œuvre nouvelle c’était un nouvel applaudissement ; poètes et savants, amis ou disciples, Muret, Belleau, etc., se faisaient
rs, livre II, 2e partie, sonnet 4). Tome Ier, p. 239. La vieille amie . Sonnet Quand vous serez bien veille, au soir
suivit a Naples, revint avec lui à Paris et y cultiva la poésie. Ses amis Ronsard, Baïf, Desportes et A. Jamyn portèrent so
ns, où il fut enterré. Le « gentil », entendez le charmant Belleau, l’ ami de prédilection de Ronsard, celui qu’il appelait
nte. — Il est hyver : dance, faineante303. «  Apprend des bestes, mon ami , (Les Mimes 304 , enseignements et proverbes.)
lants de la Pléiade, après avoir, à l’âge de vingt ans, joué avec ses amis devant toute la cour la première tragédie du théâ
lle. Ce n’était pas un premier essai : il avait écrit et montré à des amis sa Maubertine, qui lui fut dérobée, nous dit-il d
L’argent. Monologue LOYS, gentilhomme. Aujourdhuy lon n’ha plus d’ amis , Si n’est la bource et les escus ; Aujourdhuy l’o
qu’ensevelit la terre. CÉSAR. On fait bien d’ennemis quelquefois des amis . ANTOINE. On fait plus aisément d’amis des ennemi
bien d’ennemis quelquefois des amis. ANTOINE. On fait plus aisément d’ amis des ennemis. CÉSAR. On gaigne par bienfaits les c
r plus longtemps une vie importune… Il est bon de mourir avecques ses amis , Quand vivre avecques eux il ne nous est permis :
ndie, qui, aux xvie et xviie  siècles, a donné nombre de poètes et d’ amis de la nature. Jeune il étudia le droit à Paris et
andie, voilà toute sa vie, sa joie et son rêve. Faire de ses fils des amis des champs fut son dernier but. L’un d’eux, Des Y
en fâcher.     Je ne sçauroy, double402 et plein de falace, Tromper l’ ami sous une aimable face. Je ne sçauroy apeler bon a
falace, Tromper l’ami sous une aimable face. Je ne sçauroy apeler bon ami Celuy qui parle en flatant à demi……     Je ne sça
e, Qu’horreur, malheur, poison, trahison et carnage, Je lui respons : Ami , ces mots que tu reprens Sont les vocables d’art4
lieu de ses livres, il chante le mois de mai et chansonne l’Espagnol, ami de la science, de la nature et de la France. L
de la nature et de la France. Le rossignol ……………………………… Viens, ami , viens te promener Dans ce bocage, Entens les ois
il y perdit quelques bénéfices, il y gagna quelques épigrammes de ses amis de la Ménippée. Mais Henri IV et Sully ne lui tin
605-1613) vit à Paris, à Chartres, à Royaumont, dont l’abbé était son ami , faisant des vers dans les bois, faisant pis à la
nt. » Puis au partir de là, comme tourne le vent, Avecques un bonjour amis comme devant. Je n’entends point le cours du Ciel
xilé à Rome dans les fonctions de secrétaire d’ambassadeur, comme son ami du Bellay ; Guéroult le fabuliste ; Amadis Jamyn
op jeune, l’autre vieux ; Scévole de Sainte-Marthe, le jeune et vieil ami de Vauquelin ; Pibrac, qui a aimé et chanté la bo
l’asne semblablement, Pour lui monstrer subjection loyale. « O mes amis , maintenant il est heure, Dit le lyon, d’oster le
armeè699 A aultre plus qu’à vous ne fut semblable, Ni de Pâris, son ami , mieulx aimee, Que de chacun vous estes estimee :
aret (1594-1640), le rédacteur des statuts de l’Académie française, l’ ami de Saint-Amant, fort compromis par la rime qu’app
de ses vers les murs d’un cabaret, ainsi que plus tard le spirituel ami de Molière, Chapelle. Entre les disciplinés et le
de Boileau, fit aussi des satires ; Fourcroy (mort en 1692), qui fut ami de Molière, de Boileau et de Racine, fit de jolis
arait de la dictature du goût pour lui donner des lois comme ses deux amis allaient en donner des modèles. Boileau, comme Ma
sur le compte de tous deux. Il a médit de Mme Deshoulières et de son ami Linière, mais la préciosité de l’une et le « libe
a gloire, tiendrait en trois lignes : Il fut le disciple préféré et l’ ami passionné de Malherbe ; il fit les Bergeries et l
ille au foyer de la Comédie Française. Rotrou, comme les héros de son ami , mourut victime du devoir. « Lieutenant au bailla
donner cette ville, que désolait une maladie contagieuse, En vain ses amis et son frère le pressaient : “Ce n’est pas que le
il faut qu’on vous prie. CARLOS. Ne raillons ni prions, et demeurons amis . Je sais ce que la reine en mes mains a remis ; J
héâtre ; Chacun en liberté l’y blâme ou l’idolâtre ; Là, sans que mes amis prêchent leurs sentimens, J’arrache quelquefois l
e, nous voyons d’abord le pensionnaire de Fouquet, fidèle et éloquent ami de la disgrâce et du malheur dans les vers de sa
ns la prose de ses Défenses, Mme de Sévigné dans ses lettres ; puis l’ ami de Molière, de Boileau et de Racine, le familier
entin, dont la première représentation le faisait dormir ; paresseux, ami du « somme » avec délices, ami des Muses, des boi
ntation le faisait dormir ; paresseux, ami du « somme » avec délices, ami des Muses, des bois, des bêtes ; académicien sur
tu de force et de grâce, le génie le plus solide et le plus charmant. Ami de la nature comme beaucoup au xvie  siècle (on l
fit en définitive et tôt poète et défenseur du bon goût. Il eut pour amis Molière, La Fontaine et Racine, fut fort goûté du
a fierté de Porus Porus, Taxile, rois dans les indes, Éphestion, ami et envoyé d’Alexandre970.   PORUS. Je croyois, qu
ng vos bras ensanglantés. Britannicus mourant excitera le zèle De ses amis , tout prêts à prendre sa querelle. Ces vengeurs t
e991. II. Sur l’Iphigénie de Leclerc992 Entre Leclerc et son ami Coras, Deux grands auteurs, rimant de compagnie,
ir pour vingt écus ? GÉRONTE. On a ce que l’on peut, entendez-vous, m’ amie  ? (Au notaire.) Il en est à tous prix. Achevez, j
nne. Goûté de Marie de Médicis, assidu à l’hôtel de Rambouillet, fort ami de Conrart, un des premiers académiciens, un des
mbreuses compagnie, aux champs de bataille de terre et de mer, où son ami devint un des héros des guerres de Richelieu ; de
où il revint passer ses vingt-cinq dernières années, il retrouva son ami Huet, acheva une traduction en vers de l’Énéide e
gnac, un peu esprit fort, élève d’Hesnault, qui traduisit Lucrèce, et amie de Linière, qui s’appelait « l’athée de Senlis »,
ucement dans son canonicat de Reims, François Maucroix (1619-1708), l’ ami de La Fontaine, se fondre en une harmonie aimable
n1025 ! Pourquoi faut-il encor que ma main trop timide Reconnoisse un ami dans les traits d’un perfide ? Quoi ! toi, tu me
vie ? SERVILIUS.                                        Et même à tes amis . À signer leur pardon le sénat s’est soumis ; Leu
ort misérable, Ou dans une querelle, en signalant ma foi Pour quelque ami nouveau, perfide comme toi ? Dieu ! quand de tout
lavage, Sauves de fiers tyrans, soigneux de t’outrager, Et trahis des amis qui vouloient te venger ! Quel sera contre moi l’
ers faciles et naturels de Collin d’Harleville (1755-1806), et de son ami Andrieux (1759-1833), simplement amusante, comme
espoir se fonde, Et dont vous étalez l’orgueilleuse moisson ? Sujets, amis , parens, tout deviendra stérile ; Et, dans ce jou
rit paradoxal. Il a disserté sur tout, il a joué avec Fontenelle, son ami , un des premiers rôles dans la double phase de la
aces futures Contre mes ennemis déposeront pour moi. — L’univers, mon ami , ne pense point à toi, L’avenir encor moins : con
peu de temps, et trop de soins à prendre, Son peuple à soulager, ses amis à défendre, La guerre à soutenir ; en un mot les
e a péri dispersé. César n’a point d’asile où son ombre repose ; Et l’ ami Pompignan pense être quelque chose1092 ! (Satir
sagement d’une honnête opulence, À vivre avec soi-même, à servir ses amis , À se moquer un peu de ses sots ennemis, À sortir
mte, serviteur. LE COMTE, à Pasquin. Cher comte !… Nous voilà grands amis , ce me semble. LISIMON. Ma foi, je suis ravi que
elle on ne familiarise1118 ; Et ma maxime à moi, c’est qu’entre bons amis Certains petits écarts doivent être permis. LE CO
tre bons amis Certains petits écarts doivent être permis. LE COMTE. D’ amis avec amis on fait la différence. LISIMON. Pour mo
mis Certains petits écarts doivent être permis. LE COMTE. D’amis avec amis on fait la différence. LISIMON. Pour moi, je n’en
ma naissance Sont un peu délicats sur les distinctions, Et je ne suis ami qu’à ces conditions. LISIMON. Ouais ! vous le pre
Notice Alexis Piron, fils d’un apothicaire de Dijon, qui était l’ ami et, en matière de Noëls bourguignons, le rival de
is et désiré partout, Voilà ma destinée et mon unique goût. Quant aux amis , crois-moi, ce vain nom qu’on se donne Se prend c
ges neufs, cela m’impatiente : On ne peut, grâce à vous, conserver un ami  : On est tantôt au nord, et tantôt au midi. Je ne
ar son succès bizarre, La méchanceté prouve à quel point il est rare. Ami du bien, de l’ordre et de l’humanité. Le véritabl
fois, il peut être applaudi : Mais quelqu’un voudroit-il en faire son ami  ? VALÈRE. On le craint, c’est beaucoup. ARISTE.  
le et paisible D’un esprit raisonnable et d’un cœur né sensible. Sans amis , sans repos, suspect et dangereux, L’homme frivol
été, diviser les esprits, Aigrir des gens brouillés, ou brouiller des amis , Calomnier, flétrir des femmes estimables, Faire
de perversité Est-il dans la même âme avec la probité ? Et parmi vos amis vous souffrez qu’on le nomme !… (Ibid., IV, 4.)
est pourtant de cette guérite, C’est de ce céleste tombeau, Que votre ami , nouveau stylite1141, À la lueur d’un noir flambe
), Jean sans Terre (1791), Othello (1792) ; le souvenir de Talma, son ami , est resté attaché à quelques-unes de ces tragédi
bonne conscience, et fit applaudir en lui ce qu’avait si bien dit son ami Andrieux, L’accord d’un beau talent et d’un beau
n disait alors avec une affectation dont il ne faut pas trop sourire, ami entre autres de Ducis qui ne donnait son amitié q
e Seigneur dit en père : Leur haine sera ton appui. À tes plus chers amis ils ont prêté leur rage ; Tout trompe ta simplici
e fois1176 ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d’ amis sourds à mes adieux ! Qu’ils meurent pleins de jo
Qu’ils meurent pleins de jours1177, que leur mort soit pleurée, Qu’un ami leur ferme les yeux1178 ! (Odes, IXe et dernièr
te Et de talens et de vertus, Je dirai, soupirant ma perte : Illustre ami , tu ne vis plus ! La nature est veuve et muette !
intervalles, vécut, pensa, travailla, écrivit à Paris, avec quelques amis , dans une société de loisir, de plaisir et d’étud
Viens, suis-nous à la ville ; elle est toute voisine, « Et chérit les amis de la muse divine. « Un siége aux clous d’argent
fois hospitalière ! « Car sur ses bords heureux je suis déjà venu ; «  Amis , je la connais. Vos pères m’ont connu : « Ils cro
hymenée, Quand Thésée, au milieu de la joie et du vin, La nuit où son ami reçut à son festin Le peuple monstrueux des enfan
B. Rousseau a fait vivre son nom. Un autre honnête homme, qui a été l’ ami de Bernardin de Saint-Pierre et de Ducis, qui s’e
le couronnement et la moralité : Et, s’il se peut, sois toujours mon ami , Quoique tu deviennes mon gendre. Desmahis (172
x Célibataire, son chef- d’œuvre, en 1792. Ne séparons pas de lui son ami Andrieux (1759-1834), qui appartient au xviiie  s
s Peuvent, de mes écrits, passer dans quelques âmes ; Si je puis d’un ami soulager la douleur ; S’il est des malheureux don
je me boudai moi-même. Le lendemain, je fus d’une folie extrême ; Un ami s’empara de moi pour tout le jour. Hier à tout Pa
4. D’ailleurs homme de sens, d’esprit et de mérite, Mais son meilleur ami redoutoit sa visite. L’un, bientôt rebuté d’une v
Guadeloupe, neveu de Léonard, chante la Maison des Champs ; il est l’ ami de Ducis et le successeur de Delille à l’Académie
dont la renommée lui est antérieure ; Louis Laya (1761-1833), dont l’ Ami des Lois (1703) atteste plus le courage que le ta
à la vieille comédie, à Scribe, sans souci de son style, à Bayard son ami , à Mélesville, à tant d’autres qui l’amusaient ;
près de ton mausolée, Tes frères gémissans, ta mère désolée, Quelques amis des arts, un peu d’ombre, et des fleurs ; Et ton
82. Mais une voix qui sort du vallon solitaire Me dit : « Viens : tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens : tu veux reste
gazon rustique, Sur les bords du ruisseau pur et mélancolique ! Vous, amis des humains et des champs et des vers, Par un dou
fait oublier ses fables. Fables 1287 Le colimaçon Sans amis , comme sans famille, Ici-bas vivre en étranger ;
e ans dans d’humbles fonctions de bureaucratie ministérielle, y fut l’ ami et quelquefois le conseiller écouté des premiers
ez les yeux. » Le chant du cosaque Viens, mon coursier, noble ami du Cosaque, Vole au signal des trompettes du Nord
mée. Dépouillée à la fois de toutes mes grandeurs, Sans secours, sans amis , presque sans serviteurs, Au plus vil dénûment da
ntre Racine et V. Hugo, comme Paul Delaroche, son contemporain et son ami , auteur d’un célèbre tableau des « Enfants d’Édou
, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami  : je hais ou je méprise ; L’effroi me tord le cœu
teux espoir avait séduit mon âme. BERNARD. On a, mon cher Victor, des amis , des parents… VICTOR. Je pourrais mendier les app
, À ses regards voilés je trouve plus d’attraits : C’est l’adieu d’un ami , c’est le dernier sourire Des lèvres que la mort
repos d’un éternel concert. (Ibid., VIe Époque.) Socrate à ses amis . Dans sa prison « Quoi ! vous pleurez, amis !
.) Socrate à ses amis. Dans sa prison « Quoi ! vous pleurez, amis  ! vous pleurez quand mon âme, Semblable au pur en
asservie, Mon âme avec mes sens a-t-elle combattu ? Sans la mort, mes amis , que serait la vertu ?… C’est le prix du combat,
n saint juge nous donne, La voix de Jupiter qui nous rappelle à lui ! Amis , bénissons-la ! Je l’entends aujourd’hui : Je pou
t, j’y cours ! Et vous, si vous m’aimez, comme aux plus belles fêtes, Amis , faites rouler des parfums sur vos têtes Suspende
r les monts je te vois t’abaisser ; Tu fuis en souriant, mélancolique amie , Et ton tremblant, regard est près de s’effacer.
Pour pleurer avec toi descends du haut des deux. Viens ; tu souffres, ami . Quelque ennui solitaire Te ronge ; quelque chose
. LE POÈTE. S’il ne te faut, ma sœur chérie, Qu’un baiser d’une lèvre amie Et qu’une larme de mes yeux, Je te les donnerai s
is-tu ? Lorsqu’au déclin du jour, assis sur la bruyère, Avec un vieil ami tu bois en liberté1416, Dis-moi, d’aussi bon cœur
maux et à sculpter le profil de ses Camées. Toute pensée y est image. Ami de la nature, comme tout le siècle, il en goûte,
leurs, comme ses frères en poésie, rêver sur le sentier où a passé un ami perdu : mais ses yeux distraient toujours son âme
e Vigny, et en Italie où en 1831 il voyagea avec Auguste Barbier, son ami . La Bretagne lui appartient, comme les Alpes à M.
g, l’église blanche Adieu ton beau pays ! Après vêpres, dimanche, Tes amis te verront pour la dernière fois, Et tu cacheras
imère ! Le fossoyeur m’a pris et Camille et ma mère. J’avais bien des amis ici-bas quand j’y vins, Bluet éclos parmi les ros
je pouvais sentir ma main tremblante Se réchauffer dans la main d’uni ami  ! Mais que d’amis, sourds à ma voix plaintive, À
ma main tremblante Se réchauffer dans la main d’uni ami ! Mais que d’ amis , sourds à ma voix plaintive, À leurs banquets ce
rés fleurir, À vivre sans penser, pour vivre sans souffrir. LE PÂTRE. Ami , qu’un Dieu propice à ma voix te délivre Du démon
ente1482, Que je voudrais jeter tout mon être à ce vent ! Je souffre, ami , tu vois que je suis bien vivant. LE PÂTRE. Tu so
ernelle Qui relève son fils dès que l’ennui l’abat. Armons-nous, mes amis , pour les luttes prochaines, Du souffle des hauts
ce Joseph Autran, de Marseille, né en 1812 comme M. de Laprade son ami , entra à l’Académie française en 1868. À part son
BRUTE1497.                          Que me veux-tu, Valère ? VALÈRE. Ami , réjouis-toi : tes vœux sont satisfaits, Et nous
Brute tient sa vengeance, et diffère à punir ! BRUTE. Je ne diffère, ami , que pour mieux la tenir. VALÈRE. Pourtant quand
’on a appelé physiologie, et qui participe de l’un et de l’autre. Les amis et imitateurs de Marot font à l’envi les blasons
allégorique qui lui était faite. Il contribua à la délivrance de son ami . Recherché et menacé du supplice comme huguenot,
refrain est : Et bonne vieille, au coin d’un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. 161. Mignon, onne, 1° a
, 4, vers 7 sqq. 223. Ordinairement Lescot (1510-1571), architecte, ami et collaborateur de J. Goujon. — Ici encore on pe
mais pompeusement vestu, L’habillement des Rois est la seule vertu… D’ amis plus que d’argent montrez-vous desireux ; Les pri
tu… D’amis plus que d’argent montrez-vous desireux ; Les princes sans amis sont toujours malheureux, 231. Tromper. Étymol
ance de la jeunesse, l’immortalité. Il survécut seize ans à son vieil ami . 393. Exposé à, obnoxius ; l’objet de… 394. Leu
ce) a dit aussi : Que ferai-je à la court ? j’adore la vertu, Et les amis du Louvre adorent la fortune. 409. Pauvrement.
des lauriers.. Apprenons à mentir, nos propes desguiser, A trahir nos amis , nos ennemis baiser, Faire la cour aux grands, et
! 810. Le poison est son serviteur, son confident, son complice, son ami . 811. Que d’images neuves, saisissantes, concis
it dure éternellement. 829. Il s’excuse de ne pas écrire pour son ami quelques couplets qu’il lui demandait : Ariste,
ue dans une de ses Épîtres à Lucilius (107), traduites par Pintrel, l’ ami de La Fontaine, qui s’associait à lui en traduisa
férence une fable philosophique, était la femme d’un riche financier, ami des lettres, qui écrivit de jolis madrigaux. Elle
sent faible encore : suivre « en tout » les conseils austères de son amie , qui faisait de fréquentes retraites aux Incurabl
ce titre qu’il est le plus connu. C’était un lettré, un savant, et un ami de la nature comme La Fontaine. Il était de l’Aca
cle de Louis le Grand. 891. Allusion à Boileau, Molière, Racine, ses amis . 892. Le roman pastoral de d’Urfé, l’Astrée (161
vré, plus tard grand-prieur de France ; — le vicomte du Broussin, son ami , qui sortit en effet au second acte de l’École de
à Racine, de Bourbon, le 19 août 1687 : « … Ainsi nous nous séparâmes amis à outrance il s’agit de Boursault). À propos d’am
us nous séparâmes amis à outrance il s’agit de Boursault). À propos d’ amis , mes baise-mains, je vous prie, à tous nos amis c
oursault). À propos d’amis, mes baise-mains, je vous prie, à tous nos amis communs. Dites bien à M. Quinault que je lui suis
le front ma couronne affermie. Car j’aurois Rome encore et la Fortune amie . Mais quoi ! m’ayant perdu de gloire et de bonheu
de Racan, dont ces vers ont la douceur et l’accent, et de ceux de son ami La Fontaine : Et quand le Jour viendra d’aller t
» 1065. Boileau a dit de lui-même, moins tragiquement (Épît. X) : Ami de la vertu plutôt que vertueux. 1066. Ce cara
s lettres, rentrant ses blés et jouant ses tragédies sur son théâtre, ami des belles perspectives de montagnes et des champ
s barrières D’un lourd panier qui flotte aux deux portières, Chez son amie au grand trot elle va, Monte avec joie, et s’en r
« Ai-je bien joué la farce de la vie ? » disait Auguste mourant à ses amis . Et il ajouta : « Maintenant applaudissez. » C’ét
e faire pis qu’eux ? Cléon cherche à rompre le mariage de Valère, son ami , avec Chloé. Il est démasqué par son valet Fronti
lus poétique développement de ces sortes d’idées : « Hélas ! mon cher ami , vous avez bien raison : sur ce grand fleuve de l
e mal que de le faire ; (La Brebis et le Chien, II, 3.) que trop d’ amis est inutile : Un seul suffit quand il nous aime 
Virgile, etc., jusqu’a l’Anthologie et aux Analecta, publiés par son ami Brunck, de Strasbourg, en 1776, qui ne le quittai
plus beaux ouvrages du règne de Louis XV. Ses petits-fils furent les amis de Chénier. 1248. Cf. l’éloge de l’Italie, par
persécuté, jamais persécuteur, Adversaire constant de toute tyrannie, Ami de la vertu, défenseur du génie. Convaincu seulem
e, Lebrun a une place, modeste, niais bien à lui, dans le concert des amis de la nature au xixe  siècle. Les deux derniers d
nseur et philosophe ; voilà ce qu’est la nature pour lui, compagne et amie de l’homme. Poète, il la perçoit par tous les sen
rs les champs une fleur à la main, dit-il à l’homme : Le crépuscule ami s’endort dans la vallée, Sur l’herbe d’éméraude e
uivant suffiront pour le montrer. 1428. Se souvient, de quoi ? d’un ami perdu ? de ses jours de jeunesse et de foi ? des
e touche davantage, c’est cette tristesse du rude et pauvre bûcheron, ami de sa vieille forêt. Je ne voudrais retrancher qu
orme a l’air d’être endormie ; Le hangar aux bouviers prête son ombre amie  : Là, profitant de l’heure accordée au repos, Ber
24 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
ison qui regarde droit dans l’Arsenal, pour voir revenir notre pauvre ami . J’étois masquée1 ; je l’ai vu venir d’assez loin
nous trouvons heureux de l’avoir. Nous avons bien parlé de notre cher ami  ; elle a vu Sapho2, qui lui a redonné du courage.
oi je dis que je vous l’ai prêté ; car vous savez fort bien, et notre ami Corbinelli7 en est témoin, que mon cœur le voulut
e plaisir d’être loué de votre ouvrage. Vous savez qu’une dame de vos amies vous obligea généreusement de le brûler ; elle cr
votre homme d’affaires avec un placet, et je le ferai donner par une amie à M. Didé ; car, pour moi, je ne le connois point
é ; car, pour moi, je ne le connois point ; et j’irai même avec cette amie . Vous pouvez vous assurer que si je pouvois vous
en revanche. 1. Dédire pour contredire. 2. De faiblesse pour mes amis , c’est-à-dire de lâcheté à leur endroit. 3. Mari
25 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Casimir Delavigne 1794-1843 » pp. 524-529
e est bien vieille comme Alcine ; Pour sorcière, elle ne l’est pas. Ami , sois donc sa providence : Elle compte plus d’un
auraient coulé. J’ai quitté l’obscure vallée, Le toit champêtre d’un ami  ; Loin des bocages de Bissy, Ma muse, à regret ex
omme pour le réchauffer, sa famille, son enfant, ses frères, quelques amis . Il avait le goût charmant de l’obscurité. Il éta
doux à toute chose, à la vie, au succès, à la souffrance ; doux à ses amis , doux à ses ennemis. »
26 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
r e pesance, Ploret des uelz, tiret sa barbe blanche : « Suer, chiere amie , d’ome mort me demandes. Je t’en donrai molt esfo
in pesant, — pleure des yeux, tire sa barbe blanche : — « Sœur, chère amie (au sujet) d’homme mort (tu) m’interroges. — Je t
: « Frere », fait-il, « car lessiez œuvre ! Alons nous en, biaus dous amis , Assez avons de poissons pris. » Et Ysengrins li
ère, fait-il, or çà laissez votre œuvre ; — allons-nous-en, beau doux ami  ; — nous avons assez pris de poisson. » — Et Ysen
; et si menu tiraient contre lui qu’il s’écria : « Ponocrates149, mon ami , ces mouches ici m’aveuglent ; baillez-moi150 que
qu’elle trouva la moins embesognée407, et elle d’autre côté à un sien ami qui l’était venu voir, de sorte que ce bruit fut
, ou l’on m’avait même prié de faire savoir à ceux qui étaient de mes amis dans le Parlement que la bataille de Lens n’y ava
nt ! vous dire que je n’y suis pas, à M. Dimanche, au meilleur de mes amis  ! M. Dimanche. — Monsieur, je suis votre servite
main. — Touchez donc là567, Mon sieur Dimanche. Êtes-vous bien de mes amis  ? M. Dimanche. — Monsieur, je suis votre servite
nt épuisé auprès de lui le mérite de mes services et le crédit de mes amis  ? Ah ! quelle bassesse est la vôtre ! Ne rougisse
qu’une table remplie de trop de viandes597; que, pour se bien montrer ami de ceux que l’on invite, il faut que la frugalité
ourdain. — « Monseigneur », oh ! oh ! « Monseigneur ! » Attendez, mon ami  : « Monseigneur » mérite quelque chose, et ce n’e
une foi ardente, il se livra tout entier à la méditation religieuse. Ami des Messieurs de Port-Royal651, il écrivit, pour
mperie ; et peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas, quoiqu’il en pa
jour destiné748, cette dernière maladie, où, parmi un nombre infini d’ amis , de médecins, et de serviteurs, vous demeurerez s
pour sa sépulture. Car, en cette fatale749 maladie, que serviront ces amis , qu’à750 vous affliger par leur présence ; ces mé
ans votre maison avec un empressement inutile ? Il vous faut d’autres amis , d’autres serviteurs : ces pauvres, que vous avez
ecourir751. Que n’avez-vous pensé de bonne heure à vous faire de tels amis , qui maintenant vous tendraient les bras, afin de
avait donnée, quoiqu’il y eût été si bien traité, et il ordonna q ses amis de porter ses os dans l’Attique, pour les y inhum
avec des couleurs moins vives, pour les ennemis de Dieu que pour ses amis . Adorez donc, quand il se lève, la bonté de Dieu
discrets ! (Dominicales : Sermon sur la médisance, Ire partie.) L’ ami de tout le monde On dit communément, et on a r
tout le monde On dit communément, et on a raison de le dire : « L’ ami de tout le monde n’est ami de personne. » Il y a
mmunément, et on a raison de le dire : « L’ami de tout le monde n’est ami de personne. » Il y a en effet des gens de ce car
s dans la conversation, et il articule mal : libre néanmoins avec ses amis sur les affaires publiques850, chagrin contre le
it, il se leva de table, et lui tendant la main : « Touchez là, notre ami , lui dit-il : vous voyez que j’ai bien conservé l
ausé pendant sa vie de grandes inquiétudes, qu’il avait confiées à un ami  ; mais il fut encore plus funeste à la femme de s
ire. L’un se trouva riche, et l’autre encore plus d’avoir enrichi son ami . L’abbé, persuadé qu’il n’y avait point de meille
alors mon flatteur d’un ton de voix élevé ; vous n’y pensez pas, mon ami  : apprenez que vous n’avez rien de trop bon pour
l donc apprendre à mon fils ? disait-il. — A être aimable, répondit l’ ami que l’on consultait ; et s’il sait les moyens de
appropriant et en épousant le jeune marquis. Elle devint la meilleure amie du père et de la mère. Une vieille voisine propos
rent avec joie la proposition ; ils donnèrent leur fils unique à leur amie intime. Le jeune marquis allait épouser une femme
is allait épouser une femme qu’il adorait et dont il était aimé ; les amis de la maison le félicitaient ; on allait rédiger
n lui parlant ainsi.... Il fut traité à peu près de même par tous ses amis , et apprit mieux à connaître le monde dans une de
ns point changé d’état1131, nous sommes heureux : nous aiderons notre ami Jeannot. Ne sois plus marquis ; toutes les grande
plus marquis ; toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami . Tu reviendras avec moi au pays, je t’apprendrai
oie, la tendresse et la honte ; et il se disait tout bas : « Tous mes amis du bel air m’ont trahi, et Colin, que j’ai mépris
reté. Là, je rassemblerais une société, plus choisie que nombreuse, d’ amis aimant le plaisir et s’y connaissant, de femmes q
la bienveillance qui nous unissait tous. Mon chien lui-même était mon ami , non mon esclave : nous avions toujours la même v
mon ancien, mon humble, mon commode lambeau de calmande1215 ?     Mes amis , gardez vos vieux amis. Mes amis, craignez l’atte
mon commode lambeau de calmande1215 ?     Mes amis, gardez vos vieux amis . Mes amis, craignez l’atteinte de la richesse. Qu
de lambeau de calmande1215 ?     Mes amis, gardez vos vieux amis. Mes amis , craignez l’atteinte de la richesse. Que mon exem
té a ses franchises ; l’opulence a sa gêne.... Ce n’est pas tout, mon ami . Écoutez les ravages du luxe, les suites d’un lux
premier état, et l’orgueil s’arrête à l’entrée de mon cœur. Non, mon ami , non, je ne suis point corrompu. Ma porte s’ouvre
dis-je. — Monsieur… — Vous m’interrompez. Est-ce que vous croyez, mon ami , que je n’ai que votre affaire en tête ? Vous ser
tel vint à Paris en 1745 et, soutenu de l’appui de Voltaire et de ses amis , remporta d’assez grands succès au théâtre et dan
illance si naturel et si sensible, que son premier abord annonçait un ami à l’inconnu qui lui parlait. Après nous avoir acc
âtre trois drames, qui eurent peu de succès, Eugénie (1767), les Deux Amis ou le Négociant de Lyon (1770), la Mère coupable
ême Vous qui m’avez connu, vous qui m’avez suivi sans cesse, ô mes amis , dites si vous avez jamais vu autre chose en moi
e.    (Paul et Virginie.) Lettre à M. Hennin1312 Monsieur et ami , J’ai suivi votre conseil, je me suis mis dans me
lement, je suis loin de mes promenades accoutumées, et de mes anciens amis , loin de vous1316 de plus d’une lieue ! J’irai vo
81. Le logement de J.-J. Rousseau. Au mois de juin 17721319, un ami m’ayant proposé de me mener chez J.-J. Rousseau,
pagne A M. Bosc1336 12 octobre 17851337. Eh ! bonjour donc, notre ami . Il y a bien longtemps que je ne vous ai écrit ;
1794), le comte d’Erfeuil, qui sera son compagnon de route. Les deux amis se sont arrêtés à Ancône1350, quand, une nuit, un
in : «  Cher Nelvil, il faut pourtant partager quelque chose avec ses amis  ; c’est mal fait de prendre ainsi pour soi seul t
eur que s’il les avait vraiment connus.... Schiller était le meilleur ami , le meilleur père, le meilleur époux ; aucune qua
tique des louanges, nouvellement composé à Carthage par Augustin1416, ami d’Eudore. « O Dieu, nous te louons ! ô Dieu, nous
her l’attendrissement de son visage. Eudore l’aperçut, et lui dit : «  Ami , pourquoi pleurez-vous ma gloire ? C’est aujourd’
plus ferme dans le choc, il remportât la victoire ou mourût avec ses amis . Chaque tribu se ralliait sous un symbole ; la pl
rquoi il nous tutoie et rudoie nous autres paysans, gens de peu, bons amis pourtant de feu son père. Il semble toujours avoi
er ». — C’était mon tour !… En voyant approcher le fils de son ancien ami , et, j ose le dire, son aide de camp de prédilect
avec le feu duc de Buckingham1486, à la mort du roi son père : « Mon ami , lui répondit Charles avec mépris et douceur, si
orte. Juxon et Herbert tombèrent à genoux : « Relevez-vous, mon vieil ami  », dit le roi à l’évêque en lui tendant la main.
on âme. Embrasse les autres pour moi. (Lettres à sa famille et à ses amis 1495.) Lamartine (1790-1869) Pour la notic
a vie avant de la quitter, il touchait à sa dernière heure, quand ses amis vinrent lui annoncer que l’acte libérateur était
d’Andujar1608. Les mariés avaient déjà reçu les compliments de leurs amis et l’on allait se mettre à table sous un grand fi
625, il me découvrit dans la tranchée, et il me dit : « Dietrich, mon ami , puisque tu n’es pas « pendu, va te faire arquebu
oir un chapeau « neuf. » Depuis ce temps nous avons toujours été bons amis . » (Chronique du règne de Charles IX 1626, I.)
parfois un peu emphatique : Quinet n’arrive pas, comme Michelet, son ami , à se préserver de la déclamation à force de soup
teur d’Agamemnon et de Pinto 1673. Malheureusement aucun de ces chers amis d’autrefois n’était là pour m’entendre ; la mère
les ans ! Lancé dans un monde plus riche que toi, tu puises, chez tes amis , le dédain de toi-même ; tu portes ta barbe en po
qu’on sorte en chemise ? Vous me dites que je suis pauvre et que mes amis ne le sont pas : tant mieux pour eux, ce n’est pa
Le poteau de Blandine leur parut la croix de Jésus ; le corps de leur amie leur rappela celui du Christ crucifié. La joie de
ient jeunes et supposés faibles, pour que la vue du supplice de leurs amis les effrayât. Blandine et un jeune homme de quinz
n sentiment de pitié. On fit épuiser à la pauvre fille et à son jeune ami tout le cycle hideux des supplices de l’arène ; a
), l’Invasion, Waterloo (1865), soit enfin dans des romans intimes, l’ Ami Fritz, par exemple, d’où se dégage une morale, si
ers piocher, traîner la brouette, il se disait : « Ça va bien ! » (L’ Ami Fritz 1709, VI.) Le serment1710 « Maintena
pelle pas bien, — je les payerai, et j’espère que nous resterons bons amis . Plus tard, il me fera regagner cela, car ses bœu
feras bien, Schmoûle ; dans le doute, il vaut mieux s’abstenir. » (L’ Ami Fritz, XIII.) Edmond About (1828-1885) Né
lorrain qui m’a nourri. Je reconnaissais les bons prés, je saluais en ami les fortes terres rouges, terres à blé qu’un atte
e fait chez nous ! » Il rentra au village, épousa Claudine Minot, une amie d’enfance à qui il avait dit : « attends-moi ! »
nous améliorer au besoin par un contrôle réciproque et de choisir nos amis pour la vie. Vous le savez, les vieux amis sont m
ciproque et de choisir nos amis pour la vie. Vous le savez, les vieux amis sont meilleurs et plus solides que les neufs, et
lleurs et plus solides que les neufs, et la grande fabrique des vieux amis , c’est le collège. J’entends encore notre profess
nt quelque chose de plus profond et de plus complexe, il est devenu l’ ami des grands maîtres d’un genre qui a produit, de n
de Sylvestre Bonnard, membre de l’Institut (1885), et le Livre de mon ami (1885). Souvenirs d’enfance I L’orgueil pu
vec eux l’apprentissage de la vie sociale.... — Vous avez raison, mon ami , répondit ma mère, j’irai dès demain à la recherc
es de l’hôtel de Chimay1785. Nous étions, Fontanet et moi, voisins et amis . En allant ensemble, les jours de congé, jouer au
Il m’en est resté quelque chose, et toute ma philosophie m’a laissé l’ ami des vieux arbres et des curés de campagne. Je me
ent. Il faut bien que je le leur rende ! Quant à Fontanet, mon subtil ami Fontanet, avocat, conseiller général, administrat
, à sa place, je me serais mille fois cassé le nez. (Le Livre de mon ami  : Nouvelles Amours, IV, V, VI.) Pierre Loti
lanchemain. Tome I, p. 227.) La vraie grandeur La liberté, cher ami des Essars1832, Par le dehors1833 ne se doit dema
ues années en Italie, auprès de son oncle le cardinal Jean du Bellay. Ami de Ronsard, il conçut avec lui le dessein de réfo
e en vertus glorieuses, Et non pas vos habits de perles précieuses. D’ amis plus que d’argent montrez-vous désireux Les princ
uses. D’amis plus que d’argent montrez-vous désireux Les princes sans amis sont toujours malheureux. Aimez les gens de bien,
Qui nous met en repos2037. (Poésies, XI.) Stances sur la mort d’un ami . L’Orne comme autrefois nous reverrait2038 enc
laissez faire après, ou Rome, ou la nature. Prusias. Pour de pareils amis il faut se faire effort. Nicomède. Qui partage v
Nicomède. Qui partage vos biens aspire à votre mort ; Et de pareils amis , en bonne politique,... Prusias. Ah ! ne me brou
cte I, scène i.) Une sérénade2127 Dorante. Comme à mes chers amis , je vous veux tout conter2128. J’avais pris cinq
ertain repas à. rendre. « Ah ! parbleu ! j’en veux être, étant de tes amis , Et manque au maréchal, à qui j’avais promis. — D
Qui va là ? Heu ? Ma peur, à chaque pas, s’accroît2254. Messieurs, ami de tout le monde2255. Ah ! quelle audace sans sec
n’est que pour rire, Et répondre à tes quolibets. Sosie. Tudieu ! l’ ami , sans vous rien dire, Comme vous baillez2274 des
levé2301, Madame, a bien paru ridicule achevé. N’a-t-il point quelque ami qui pût, sur ses manières, D’un charitable avis l
essées à Racine, et le plus grand nombre à Brossette (1671-1743), son ami , qui se fit, après sa mort, l’éditeur de ses œuvr
ues2370 ? Ce que j’avance ici, crois-moi, cher Guilleragues2371, Ton ami dès l’enfance ainsi l’a pratiqué. Mon père2372, s
ng vos bras ensanglantés. Britannicus mourant excitera le zèle De ses amis , tout prêts à prendre sa querelle. Ces vengeurs t
leur résiste. Ou lassés, ou soumis, Ma funeste amitié pèse à tous mes amis  : Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le gr
espoir se fonde, Et dont vous étalez l’orgueilleuse moisson ? Sujets, amis , parents, tout deviendra stérile ; Et, dans ce jo
res D’un lourd panier2504 qui flotte aux deux portières2505. Chez son amie au grand trot elle va, Monte avec joie, et s’en r
Seigneur dit en père : « Leur haine sera ton appui. À tes plus chers amis ils ont prêté leur rage ; Tout trompe ta simplici
re fois2543 ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée Tant d’ amis sourds à mes adieux ! Qu’ils meurent pleins de jo
! Qu’ils meurent pleins de jours ! que leur mort soit pleurée ! Qu’un ami leur ferme les yeux ! Florian (1755-1794)
la retire aussitôt ; En arrière elle fait un saut, En disant : « Mes amis , fuyons en toute hâte2550; Ce lieu, tout beau qu’
t, arrive plein de boue ; Et là, tandis qu’il se secoue, Jetant à ses amis un regard de dédain : « Apprenez, leur dit-il, co
sur la lisière D’un parc bordé d’une rivière. Soir et matin, nos bons amis , Profitant de ce voisinage, Tantôt au bord de l’e
ui manquait à l’un, l’autre le regrettait ; Si l’un avait du mal, son ami le sentait ; Si d’un bien, au contraire, il goûta
ncline par-dessus les flots, Et voudrait s’y plonger pour trouver son amie . « Hélas ! s’écriait-il, m’entends-tu ? réponds-m
eaux divers volaient sur un bassin. L’amitié donne du courage : Notre ami , sans rien craindre, approche du grillage, Regard
quatre pieds il s’emploie A creuser un secret chemin Pour joindre son amie , et, par ce souterrain, Le lapin tout à coup entr
eux ! Que ne sais-je le peindra Comme je saurais le sentir ! Nos bons amis croyaient n’avoir plus rien à craindre ! Ils n’ét
on va choisir Un asile où, coulant des jours dignes d envie, Nos bons amis , libres, heureux, Aimèrent d’autant plus la vie,
ait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Je me souviens, car j’ai b
is. C’était ma fête, et, pour comble de gloire, Tu fus chanté par mes amis . Ton indigence, qui m’honore, Ne m’a point banni
ni de leurs bras. Tous ils sont prêts à nous fêter encore : Mon vieil ami , ne nous séparons pas.... T’ai-je imprégné de flo
longs débats. La fleur des champs brille à ta boutonnière : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Ne crains plus tant ces jo
is habit bas2600. Attends un peu ; nous finirons ensemble : Mon vieil ami , ne nous séparons pas. (Chansons.) Lamartine
, A ses regards voilés je trouve plus d’attraits ; C’est l’adieu d’un ami , c’est le dernier sourire Des lèvres que la mort
S’approcha d’eux ; Cédar éleva les deux mains Comme pour arrêter cet ami dans sa course, Et conjurer l’oiseau de lui montr
! (Les Feuilles d’automne, XXXII.) Après la mort du père Notre ami Ne reverra jamais son vieux père endormi ! Hélas 
malheur au téméraire Qui descend sans avoir la lampe salutaire Qu’un ami des humains fit pour le noir mineur2750 ! Car le
ntes et Nouvelles, et diverses études d’art et de littérature. A un ami Dans mes jours de malheur2757, Alfred, seul en
prêté plus d’un lien fragile ; Mais c’est l’adversité qui m’a fait un ami . C’est ainsi que les fleurs sur les coteaux ferti
urse lointaine. Chargés d’un lourd butin, nous marchions avec peine ; Amis , reposons-nous ; — déjà, le verre en main, Nos fr
sur la poussière À léché dans mon sang la trace de mes pas. Le Chœur. Ami , les jours entre eux ne se ressemblent pas. Appro
Irus. Ciel ! de cette façon voir tous mes plans déçus ! Écoutez, mes amis  ; il me vient une idée : Quelle heure est-il ? S
a vertu difficile est le but de la vie2831 ; Des héros de tout temps, amis , vous l’apprendrez : Pour être ambitieux d’un sor
morts écrasés par les destins contraires ; Mais ne parlons pas d’eux, amis , en gémissant : A ces nobles vaincus, vous leurs
ng ! Ils ont fait leur devoir et vous ferez le vôtre ; Vous le ferez, amis , avec plus de bonheur. Votre combat sera plus vai
e le sentais bien que j avais trop vécu ! Meganire. Vous l’entendez, amis  ! est-ce à tort que je pleure ? eschyle, toujour
t une œuvre inouïe, et que ces gens mal nés Surpassent en vigueur nos amis blasonnés2865. Non, m’en garde le ciel ! que j’ab
ieillard reconnut les voix, ouvrit les yeux, Et sourit, Il voyait ses amis du village, Ceux que le sol avait enchaînés, ceux
les mains sous son tricot de laine, Et dit : « Vous êtes tous ici des amis sûrs ? On peut parler d’espoir sans redouter les
e par toi jusqu’au bout défendue. Sont-ce là tes désirs ?… — Non, mes amis , merci ! De ces misères-là n’ayez point de souci.
s la gloire, Ni les dames m’offrant les gâteaux et le miel, Ni tant d’ amis nouveaux n’effacèrent ton ciel, Provence, de mon
ueillant comme une bonne mère Disait aux bois émus : « C’est le petit ami  ! » La nature m’aimait là-bas, m’ayant vu naître,
on qu’elle est d’humeur douce ou méchante ! Et tous les souvenirs des amis d’autrefois, Dont la voix de ses flots a l’air d’
Allons, je te rends mon estime. Puisque t’aimer est légitime, Soyons amis . Le vin. Bravo ! Haïr ne sert de rien ; Mieux vau
re de poèmes fort connu au moyen âge, où le poète, disant adieu à ses amis , est censé prendre à leur égard ses dernières dis
Fiance (le mot n’est pas resté dans la langue), confiance. 397. M’ amie , seule orthographe raisonnable de la locution qu’
le de la locution qu’on écrivit souvent plus tard ma mie. On disait m’ amie comme l’amie. Mon amie est une façon de parler re
tion qu’on écrivit souvent plus tard ma mie. On disait m’amie comme l’ amie . Mon amie est une façon de parler relativement mo
écrivit souvent plus tard ma mie. On disait m’amie comme l’amie. Mon amie est une façon de parler relativement moderne. 39
670. Suffisance, capacité. 671. Vous : M. de Pomponne (1618-1699), ami de Mme de Sévigné, qui devait devenir plus tard m
’un aussi long voyage. 685. La marquise de la Troche, une des bonnes amies de Mme de Sévigné. 686. A L’Arsenal, au jardin
ux ; le château était la résidence d’Arnauld de Pomponne (1618-1699), ami de Mme de Sévigné, qui venait d’être nommé minist
duc et du cardinal de Bouillon. 717. Mme de la Fayette (1634-1693), amie de Mme de Sévigné, s’est illustrée elle-même par
autre chose, la phrase équivaut à : à quoi [autre] vous serviront vos amis qu’à vous affliger. Nous n’employons plus guère c
n négative ne.. que, qui s’explique parla même ellipse. Exemple : vos amis ne serviront qu’à vous affliger ; entendez : vos
. Exemple : vos amis ne serviront qu’à vous affliger ; entendez : vos amis ne serviront [à autre chose] qu’à vous affliger.
nt bien faits pour inspirer quelque crainte à un esprit naturellement ami du repos. 945. Fût conjuré contre elle : il sem
nt l’un des premiers, où il soit employé avec son beau sens moderne d’ ami de la patrie. 1034. Dépenses militaires ou autr
t la correspondance que ces persans échangent entre eux ou avec leurs amis qui forme le recueil des Lettres Persanes, d’où c
Peuples aux parlements. 1114. Vous. Voltaire s’adresse à un de ses amis , banquier à Lyon. 1115. Mme Denis, nièce de Vol
Voltaire. — Consorts, ceux qui partagent le sort d’une personne, ses amis , ses parents. 1116. Qu’on m’envoyât. Voltaire é
jourd’hui, était une des plus larges de Paris. 1178. Rousseau et ses amis du canton de Neuchâtel, où, bannis de France et d
r la société et vivre au contact de la nature. 1196. Ma troupe, les amis se réunissant habituellement chez moi et dont je
ce que le comte de Lastic y eut répondu ; car, sur le conseil de son amie Mme d’Epinay, Rousseau renonça à l’envoyer. 1203
ienne-Maurice Falconet, célèbre statuaire français (1716-1791), grand ami de Diderot. 1220. Vénus accroupie. On désigne p
de caractère. 1230. M. Tronchin banquier, — Diderot s’adresse à une amie , Mlle Volland. 1231. Provenant de la vente de sa
appliqué, par figure, à un homme 1260. Jusqu’à l’étonnement de ses amis , jusqu’à un point tel que ses amis s’en étonnent.
1260. Jusqu’à l’étonnement de ses amis, jusqu’à un point tel que ses amis s’en étonnent. 1261. Ce chef-d’œuvre, un mémoir
emeurait à Versailles. 1317. Le poète latin Horace (65-8 av. J.-C.), ami et protégé de Mécène, le favori d’Auguste, parle
r ici que le nom de Schiller est avec celui de Gœthe (1749-1852), son ami , le plus grand de la littérature allemande. 1353
[…] dernier n’est représenté que par suite d’un nouvel et […] comme l’ ami du héros du livre ; car il est né seu[…]. [TEXTE
Pierre Houry qui lance cette interrogation, comme si en entendant son ami se vanter qu’il allait dire son fait au maire, il
t fut l’un des plus brillants lieutenants de Napoléon. Il avait été l’ ami du général de Marbot, père de notre héros, et ava
on de l’esclavage. 1497. Allusion aux attaques dont Lamartine et ses amis étaient objet. Le discours dont nous extrayons le
Nom de la maison de Mme de Bretteville. 1502. Le poète et un de ses amis ont été assaillis par une tempête pendant une pro
il lui avait donnée de ne point chercher à s’échapper, Je traitait en ami , en pupille, plutôt qu’en captif. 1533. Rois du
étaire dont Christel est le fermier, accompagne ce dernier devant son ami le rabbin David Sichel. 1711. Alors chef-lieu de
5. Les influences, le crédit que nous possédons ou que possèdent nos amis . 1746. Vous : l’auteur s’adresse à des écoliers
récit, est un certain Pierre Nozière, personnage imaginaire comme son ami Fontanet, dont il sera question plus loin. 1778.
vie siècle. 1856. Par une sorte de spirituelle allusion, c’est à un ami puissant, Lyon Jamet, que Marot, prisonnier au Ch
fils de Laurent du Périer, avocat au parlement d’Aix, était un grand ami de Malherbe, qui en parle souvent dans ses lettre
e labyrinthe et, au figuré, embarras inextricable. 2031. Injurieux ami , apposition à je. 2032. Avecque son mépris, c’
3. La feinte, la fiction. 2184. Te. Le poète s’adresse à un de ses amis , François de Maucroix (1619-1708), chanoine de Re
rapprocher les reproches qu’Alceste dans le Misanthrope adresse à son ami Philinte : Je vous vois accabler un homme de car
on s’accrait : c’est pourquoi ce mot rime avec le verbe est. 2255. Ami de tout le monde : exclamation que jette Sosie, c
pour que, pléonasme fréquent au xviie siècle. 2312. Il est de mes amis . Aussi Célimène ne veut-elle pas en dire de mal.
elle : Trissotin lui avait démandé la permission de lui présenter son ami Vadius, un savant, disait-il, qui sait du grec, M
tard président à mortier (voir la note 3 de la page 49) : il était l’ ami de plusieurs des grands écrivains de cette époque
’Hector. 2413. Autour de nos murailles. Hector, ayant tué Patrocle, ami d’Achille, fut à son tour tué par Achille, qui tr
ologie douteuse). 2670. Olivier, chevalier dont la légende a fait l’ ami inséparable de Roland. 2671. L’Afrique. les Sar
9). — Le poète place tout ce développement dans la bouche d’un de ses amis . 2684. Enfant, jeune fille, allusion à la fille
867), l’un des artistes les plus en vue de l’école romantique, et des amis les plus chers de Victor Hugo. 2687. Ici : au P
2757. Cette pièce, adressée par le poète à l’un de ses plus intimes amis , Alfred Tattet, est du mois de mai 1832. Alfred d
27 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Cousin 1792-1867 » pp. 257-260
re n’est-elle pas expressive comme celle de l’homme1 ? Adieu à un ami 2 Je pose la plume, mon cher ami ; je n’ai fa
lle de l’homme1 ? Adieu à un ami 2 Je pose la plume, mon cher ami  ; je n’ai fait, vous le voyez, que rassembler des
uvert de tant nuages mêlés d’un peu de lumière ! Après tout, mon cher ami , il est une vérité plus éclatante à mes yeux que
y recueillait pieusement tous les souvenirs de ses relations avec un ami , le comte de Santa-Rosa, patriote italien, qui ét
28 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
s de la popularité, royaliste et libéral, aussi embarrassant pour ses amis que redoutable pour ses ennemis. Ne voyons que le
i deux fois la succession du monde3. Vous croirez peut-être, mon cher ami , d’après cette description, qu’il n’y a rien de p
de Fontanes.) Les ruines de Rome Il faut maintenant, mon cher ami , vous dire quelque chose de ces ruines dont vous
toute son intégrité et toute sa fraîcheur. C’est ainsi, mon très-cher ami , que nous sommes avertis à chaque pas de notre né
e pouvons pas même espérer de vivre longtemps dans le souvenir de nos amis , puisque leur cœur, où s’est gravée notre image,
à M. de Fontanes Fragment 25 octobre 1799, Londres. Mon cher ami , c’est une nécessité que je m’attache à vous de p
our les éprouver et les récompenser dans une autre vie. Oui, mon cher ami , vous et moi nous sommes convaincus de son existe
ou égoïstes, misérables, bonnes à cacher loin de toute lumière ? Nos amis notre pays, le désir trop souvent confondu de sav
29 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
x du xvii e siècle. (Poitiers, novembre 1888.) lettre de nicole a un ami de province sur la mort de pascal. Il dira que Pa
iste des pensions accordées par la Cour. Vous supposerez qu’un de ses amis écrit à Boileau à cette occasion. Il le prie d’us
moi comme de l’univers. Je le suis, je veux l’être…….. ……………. Soyons amis , Cinna, c’est moi qui t’en convie. Vous supposer
onnages. (Paris, octobre 1887.) Lettre de Mme de Sévigné à une de ses amies . Elle expose l’impression produite sur elle par l
épondit cette comédie de Molière. (Poitiers, août 1891.) Lettre à un ami . – Vous venez d’expliquer le Misanthrope. Plein d
chef-d’œuvre et pour l’auteur, vous communiquez vos impressions à un ami  : A-t-il lu cette pièce ? S’il ne l’a pas fait en
grand comique et déplore cette mort qui, bien que pressentie par les amis de Molière, le frappe à cinquante et un ans, en p
ileau-Despréaux. – Son caractère, son œuvre, son rôle littéraire, ses amis et ses ennemis au xvii e siècle. Qu’est devenue s
Landrecies, un monument à la mémoire de Dupleix. Dans une lettre à un ami , vous direz les réflexions que cette glorificatio
scènes dont il a été l’un des témoins et des acteurs, il écrit à ses amis et à ses électeurs de Provence. (Marseille, novem
ra que le lendemain du combat le maréchal écrit en France à un de ses amis et l’on écrira cette lettre. Le maréchal annonce
occupation du monde depuis 1815. (Montpellier, avril 1891.) Un de vos amis a visité les Alpes pendant les vacances et vous a
s du Nord. (Lille, novembre 1889.) Un jeune homme annonce à un de ses amis qu’il va se joindre à une troupe d’explorateurs f
elle il s’associe est civilisatrice et patriotique. Il explique à son ami en quoi elle est civilisatrice et en quoi elle es
ésignerez à votre gré ; et vous annoncez votre résolution à un de vos amis . Dans votre lettre vous dites que vous êtes heure
 ; juillet 1891.) Développer cette pensée : « Un bon livre est un bon ami . » (Clermont, août 1886.) Montesquieu a dit quel
ieu lui-même dans une lettre de consolation qu’il adressera à quelque ami maltraité par la fortune, par exemple un ministre
ctures. (Clermont, octobre 1889.) Vous exposerez dans une lettre à un ami tous les avantages que présente la connaissance d
ts de la paix et ceux de la guerre. (Lille, novembre 1890.) Un de vos amis vous a écrit qu’il apportait beaucoup d’ardeur à
e l’enseignement spécial. (Nancy, juillet 1889.) Racontez à un de vos amis les souvenirs qu’a éveillés en vous une visite au
Titus Ariston, atteint d’une maladie cruelle, convoqua ses meilleurs amis , et délibéra avec eux sur la question de savoir s
), un bourgeois de Paris, grand amateur de théâtre, écrit à un de ses amis de Rouen, pour lui rendre compte de la nouvelle p
nts de la campagne de Russie ; il est resté en correspondance avec un ami , à qui il écrit à de rares intervalles. Sa derniè
in que sa nouvelle lettre puisse parvenir en France, il raconte à son ami , dans une brève et pathétique narration, les évén
e. Vous pourrez donner à cette composition la forme d’une lettre à un ami . (Paris, août 1881.) Un jeune écolier aimait à li
siques qui formeraient sa première bibliothèque. Il écrit à un de ses amis pour lui faire part de sa joie et lui donner conn
de goût dans le choix de ses auteurs favoris. (Paris, août 1876.) Un ami de Franklin lui écrit pour le féliciter sur l’inv
découverte de terres nouvelles, tantôt séjournant au milieu de tribus amies , ou retrouvant la trace d’anciens établissements
d’après Trissotin et Vadius. – Henriette dans une lettre à une de ses amies montre ce qu’est la maison d’une femme savante. –
lettres à celles de Mme de Sévigné. – Rousseau recommande à un de ses amis de faire un long voyage à pied ; il lui vante les
e de la classe de quatrieme moderne – Lettre de Balzac à un de ses amis de province sur le Cid de Corneille. – A quelle q
re rire les honnêtes gens. Si Boileau s’est permis quelquefois, entre amis , de critiquer Molière, c’était pour l’exciter à m
digne de lui. Sujets traités Lettre de Vaugelas à un de ses amis de province sur le Cid de Corneille. Il vous a
ls ne peuvent égaler. Parmi ces poètes et ce public, j’ai de nombreux amis et il m’est difficile de me soustraire à tant d’i
le chagrin de se sentir odieux. Il est affligé de la trahison de ses amis , il se demande si elle n’est pas le juste châtime
is poètes, il fallait encourager et soutenir les bons. Boileau a pour amis Molière, La Fontaine et Racine. Il venge Molière
rtation en faveur de La Fontaine et il est le conseiller, le guide, l’ ami dévoué de Racine. Il le venge des cabales qui che
r. J’en ai lu de vous quelques-unes, et je plains vos victimes. Notre ami M. Racine y excelle, Créqui le sait bien et aussi
ne ; il se forme une âme insensible à la pitié, « il ne pleure ni ses amis , ni sa femme, ni ses enfants ». S’enrichir est sa
« il écrit pour son couvent », c’est-à-dire pour les philosophes, ses amis . Quand il se contente de chercher le vrai, il tro
l s’adresse. On ne parle point sur le même ton à un supérieur et à un ami  ; on ne badine pas avec un vieillard comme avec u
lectures ; ce serait un beau thème à discussions. Montesquieu. – Ces amis qui vous manquent, vous les trouverez dans vos li
trie. Devoirs d’élèves Lettre de Saint-Évremond à un de ses amis sur la mort de Corneille. Votre dernière lettr
n de ses amis sur la mort de Corneille. Votre dernière lettre, mon ami , m’a apporté une bien triste nouvelle. Le grand C
s ailes du temps ; Heureux si mon travail n’a pas été stérile, Si ton ami n’a point fatigué ses vieux ans Pour surcharger B
s en commun nos malheurs : Ils nous semblent moins lourds, ceux qu’un ami partage. Point de procès : l’écaille est le lot d
r ambition ; Je compte tous les maux que ce fléau fait naître : – Mon ami , mange en paix ta maigre portion ; Guéris d’abord
e en sinueux détours, Un toit qui suffisait pour y cacher ma vie. Des amis , quelque amour, un cœur exempt d’envie, Le vivre,
ité de l’intrigue, la grâce et l’harmonie du style ! Comment lui, cet ami du vrai et du naturel, cet admirateur de la puret
llité, nous le trouvons « insupportable ». L. N. Dialogue entre l’ ami des champs et le citadin. Agricola et Politeus
ciété nombreuse et non dans l’isolement. Agricola. – Il se peut, mon ami , qu’il y ait quelque nécessité de vivre auprès de
ait favorable à l’auteur d’Andromaque. – Mme de Maintenon écrit à une amie pour lui faire part de ses impressions sur la mor
te d’Angleterre, dans la basilique de Saint-Denis, écrit à une de ses amies pour lui faire part des impressions qu’elle a épr
es terres, sans jamais accepter les offres généreuses de ses nombreux amis , qui la regrettent et voudraient la voir revenir
nt beaucoup ; et, lorsqu’on a lu cette longue correspondance avec ses amis et sa famille, qui s’étend à presque toute sa vie
itable, je ne lui en sais aucun gré ; les services qu’elle rend à ses amis , les bienfaits qu’elle répand autour d’elle, me p
re si peu, principe qui consiste « à ne rien laisser voir, même à ses amis , dont ils puissent dans la suite se prévaloir con
t sur nous sa critique ? Moins encore, je crois. Si Fontenelle et ses amis sont touchés de trop près pour rester justes, nou
ue chose. » X., Élève du collège Sévigné. Lettre d’Alceste à un ami de Benserade qui lui avait demandé son avis sur l
cordent leur amitié, vous êtes brave, loyal, vertueux, qu’importe aux amis de M. de Voiture ? Vous avez commis le crime de n
que le reste des hommes ». Mme de Sévigné disait « qu’entre les bons amis il faut laisser trotter les plumes comme elles ve
il 1696. Composer la lettre par laquelle Mme de Grignan annonce à une amie la mort de sa mère. – M. Mézières, de l’Académie
et il est rentré bien après l’heure ordinaire du repas dans la maison amie , où il avait alors le gîte et le couvert. Sans mê
Fondez votre préférence sur des raisons. – Vous écrivez à une de vos amies que vous venez de lire l’Histoire de la Révolutio
e cette époque vous ont beaucoup intéressée. Vous faites part à votre amie des impressions que vous avez éprouvées et vous l
erez que, quelques années après, cette jeune fille écrit à une de ses amies d’enfance pour la mettre au courant de sa vie. El
George Sand. En vous inspirant de cette pensée, écrivez à une de vos amies qui se plaint qu’il lui faille travailler. – Une
de vos amies qui se plaint qu’il lui faille travailler. – Une de vos amies vient de vous écrire : pendant tout le temps qu’e
nférieurs de notre bonté ». – Une institutrice répondait à une de ses amies qui lui demandait les causes du succès de son éco
omment la manifeste-t-il ? Apprécier son opinion. – Une de vos jeunes amies vous écrit que sa maîtresse a lu en classe le por
d’une jeune fille idéale à laquelle il donne le nom d’Antiope. Votre amie trouve d’abord que l’idéal n’est pas de ce monde,
que pour la nécessité… à peine l’avons-nous entendue parler. » Votre amie ne pourrait se taire ainsi, elle ne le voudrait p
ces vers de Boileau pour tracer une règle de conduite à l’une de vos amies chargée de la direction d’une école rurale. Prouv
utrice peu satisfaite des promenades scolaires, qui la dérangent, une amie , maîtresse elle-même, représente l’utilité de cet
ne école primaire supérieure avec le certificat d’études, écrit à une amie qu’hier ses parents, après l’avoir interrogée, ap
rents, après l’avoir interrogée, après avoir pris conseil de quelques amis , ont délibéré sur une grave question : savoir que
onformément à la demande de la jeune fille. Elle fait connaître à son amie la profession qu’elle a décidé d’embrasser et les
rs. Comment les remplir ? Donner des exemples à l’appui. – Une de vos amies vous a écrit qu’elle ne trouvait aucun plaisir au
 : amour et dévouement. – Vous discuterez, sous forme de lettre à une amie , le jugement porté par La Bruyère sur les enfants
» Commentez ces paroles dans une lettre que vous écrivez à une de vos amies . – Expliquez et commentez le proverbe suivant : «
ine ». Expliquer et apprécier ce conseil. – Vous écrivez à une de vos amies de classe qui se plaint de la difficulté et de l’
struit une femme, c’est une petite école qu’on fonde. » – Une de vos amies , qui vient d’obtenir le brevet élémentaire, vous
, dans ses fables, du mal des enfants. – Vous découvrez qu’une de vos amies se livre à des lectures dangereuses, vous faites
exposez les raisons de votre choix. – Lettre d’une institutrice à une amie , de même profession, justement accusée de punir t
ceur, de douceur sans faiblesse et de patience. – Vous énumérez à une amie les différentes matières sur lesquelles portent l
l’œuvre, non sans émotion, mais de grand cœur. Dans une lettre à une amie , elle rend compte des impressions de son début. –
essayer de le corriger de ce défaut ? – Dans une lettre à une de vos amies , vous racontez que vous avez visité une expositio
s, de ses élèves, des parentes et des autorités locales ? – Un de vos amis , qui est pourvu depuis plus d’un an du brevet élé
utile. Dans votre réponse vous essayez de relever le courage de votre ami . Il y a d’autres carrières que celles de l’enseig
e fois on a pris son vol. » (Michelet.) Essayer, dans une lettre à un ami , de lui dépeindre l’impression produite sur vous
-il le nom de ces souverains ? – Lettre de Henri Regnault a un de ses amis . – Il voyageait en Algérie, au moment de la décla
que.) les avantages du quart. Un jeune aspirant s’étant plaint à son ami des ennuis que le quart lui faisait éprouver, cel
mercier le ciel de sa délivrance et recevant les félicitations de ses amis et de la population attendrie. Ce récit pourra êt
eur étant descendu à Ténériffe, et parcourant une forêt avec quelques amis , lit tout à coup sur un dragonier le nom de Ferna
diable. » Il aime les plaisirs, la poésie. Il récite les vers de son ami Bertrand de Born, le chantre des batailles. Il es
on de cette ville et de la fertilité des campagnes, écrit à un de ses amis pour lui exposer les avantages qui résulteraient
la salle du tribunal et ordonne au président Gascwagne de mettre son ami en liberté. – Le magistrat refuse. – Le prince le
de malades. Il est atteint par le fléau. Il adresse ses adieux à ses amis . Il meurt. – Qui sert bien son pays n’a pas besoi
elle est une des bases les plus solides de la société. Confiance d’un ami pour son ami. Services réciproques ; échange de s
des bases les plus solides de la société. Confiance d’un ami pour son ami . Services réciproques ; échange de sentiments et
ptés par un roi qui veut être le père de ses sujets….. Il supplie ses amis et ses compagnons d’armes d’attendre le moment, q
d’abord les personnages venus de Rome à la suite de César, comme ses amis politiques, et qui n’avaient pas l’expérience de
il trouve tout à coup, par un événement inattendu, un compagnon et un ami . C’est cet événement qu’on racontera. – On dira d
au château de la Muette, vend compte de cette expérience à un de ses amis . Il rappelle ce qu’on doit aux frères Montgolsier
tir leurs fautes. (Paris. — 5e et 6e séries.) lettre de tacite a son ami pline le jeune. Vous me demandez, mon cher Pline,
uguration. – Vous êtes secrétaire de la Société de secours mutuels l’ Amie des Mineurs. Vous rendez compte de la première as
l’œuvre, ses ressources, etc. – Vous rédigerez une lettre à un de vos amis qui, étudiant près d’une Faculté, fréquente des j
é des nations. Énumérez-les et développez-les. – Dans une lettre à un ami , vous lui racontez une visite que vous avez faite
a entraîner au suicide par désespoir. Avant de mourir, il écrit à son ami et, ancien associé qu’il ne regrette pas d’avoir
pes scientifiques. Concours de 1890. Lettre de Réaumur à l’un de ses amis pour lui faire part de la réussite de ses expérie
0°. Concours de 1891. Gay-Lussac raconte dans une lettre à un de ses amis l’ascension qu’il vient d’effectuer en ballon, da
l ira seul. Sujets proposés – Lettre de Denis Papin à un de ses amis pour lui conter comment après être parvenu à inve
is lui donnent, au xix e siècle, les découvertes. – Balard écrit à un ami en 1850 pour lui décrire les souffrances qu’il a
urs de 1889. 1re Session. Vous direz dans une lettre adressée à un ami les raisons qui vous ont décidé à vous présenter
s travaux d’un laboratoire. 2e Session. Dans une lettre adressée à un ami qui a les goûts casaniers, vous direz les raisons
écoles commerciales). Concours de 1890. 2e Session. Lettre à un ami pour le dissuader de quitter la campagne et de s’
e, industriel et agricole. Examens de 1886 à 1888. Lettre à un ami . – Etablissements dans lesquels le candidat a pas
à embrasser la carrière agricole ? Examen de 1883. Lettre à un ami pour lui indiquer les raisons qui vous ont déterm
ruments attelés. Rentrée. Battage. Examen de 1889. Lettre à un ami . – Huit jours à la campagne, à l’époque de la moi
crire la ruine d’un village envahi par les sauterelles. – Lettre à un ami pour lui décrire les plaisirs des champs : moisso
un voyage en Normandie. De retour dans son village, il raconte à ses amis ce qu’il a remarqué dans les campagnes normandes
régions que l’on habite et que l’on connaît.) – Dans une lettre à un ami , vous lui dites comment s’est opéré le tirage au
par l’étude, a dû partir pour la campagne. Il passe chez un fermier, ami de son père, le temps de la fenaison et de la moi
entrer dans un bureau en ville. Vous répondez à cette lettre de votre ami . – Franklin a dit : « Dépensez chaque jour un sou
° garantit contre les vices. – Trois jeunes gens d’environ seize ans, amis d’enfance sortis du même village, se retrouvent a
vos vacances dans les montagnes. Dites, sous la forme de lettre à un ami , comment vous pensez employer votre temps. – Du P
pratiquer leurs devoirs envers leurs parents. – Un agriculteur de vos amis , qui vient de faire un modeste héritage, vous ann
Vous donnerez à votre composition la forme d’une lettre adressée à un ami avant de partir Concours de 1888. Vous supp
onté envers les vivants : plantes et animaux. – Dans une lettre à un ami vous opposerez la campagne à la ville. Vous direz
vaux d’Apollon, Bucéphale, Gladiateur ? – Vous avez surpris un de vos amis à rougir de l’humble condition de ses parents. Ce
ments, mais aussi bien des ruines et des misères. Ecrivez à un de vos amis pour lui raconter ce que vous avez vu et lui fair
ur, dans une ménagerie, a été dévoré par ses lions. Vous écrivez à un ami , et après avoir plaint le malheureux, si vous le
ndra sa position. Étroitement renfermé, privé des consolations de ses amis , il se voit encore environné de satellites qui ép
sur l’exactitude, l’ordre, la régularité. – Lettre d’un employé à un ami sur ses occupations dans une maison d’exportation
30 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
sont pas là, toutefois, ses seuls titres de gloire. Dans ce généreux ami d’une liberté réglée par les lois, qui, aux jours
— Viens, suis-nous à la ville, elle est toute voisine, Et chérit les amis de la muse divine. Un siége aux clous d’argent te
eux fois hospitalière ! Car sur tes bords heureux je suis déjà venu ; Amis , je la connais. Vos pères m’ont connu : Ils crois
ais, usurpateur avide. Le ciel les fit humains, hospitaliers et bons, Amis des doux plaisirs, des festins, des chansons ; Ma
airée. C’était le père des deux frères Trudaine, dont Chénier était l’ ami , et auxquels il a adressée une de ses élégies : d
31 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
à comme quoi30 il y a des changements dangereux, et quand notre jeune ami aura autant vécu que nous, il n’aura pas meilleur
itieux trompé par ses espérances, malheureux à la guerre, dupe de ses amis , et victime de ses ennemis, trahi, méconnu dans s
lles, et une si forte envie d’être tout à fait honnête homme, que mes amis ne me sauraient faire un plus grand plaisir que d
toute la soumission d’esprit que l’on saurait désirer.133 J’aime mes amis , et je les aime d’une façons134 que je ne balance
u’une table remplie de trop de viandes188 ; que, pour bien se montrer ami de ceux que l’on invite, il faut que la frugalité
e que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami , on m’a privé de toi ! et puisque tu m’es enlevé,
ous dire que je n’y suis pas, à monsieur Dimanche, au meilleur de mes amis  ! m. dimanche. Monsieur, je suis votre serviteur
don juan. Touchez donc là, monsieur Dimanche. Êtes-vous bien de mes amis  ? m. dimanche. Monsieur, je suis votre serviteur
s adversaires les Lettres de Louis de Montalte à un provincial de ses amis (1656-57). Bien que cette querelle ait perdu son
ommes, dès l’enfance, du soin de leur honneur, de leur bien, de leurs amis , et encore du bien et de l’honneur de leurs amis.
leur bien, de leurs amis, et encore du bien et de l’honneur de leurs amis . On les accable298 d’affaires, de l’apprentissage
eux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu’une seule chose qui man
el objet311 a-t-il en tout cela ? Celui de se vanter demain entre ses amis de ce qu’il a mieux joué qu’un autre. Ainsi312, l
œur a été tout entier342 à son Dieu, à son roi, à sa famille et à ses amis . Il a eu du respect pour les grands, et de l’amou
hercher. Il se vit emporté malgré lui dans l’orageuse destinée de ses amis , et la fortune prit comme un malin plaisir à le j
s, les courriers qui n’apportent plus que la mort de quelqu’un de nos amis ou de nos connaissances, et qui peuvent apporter
eux-mêmes524 ; de peur de les affliger, il faut bien qu’une troupe d’ amis flatteurs prononce pour eux et les assure du publ
nous vantez et par ce dédaigneux souris. Pour Dieu, comme disait cet ami de Job, ne pensez pas être les seuls hommes, et q
ans votre maison avec un empressement inutile ? Il vous faut d’autres amis , d’autres serviteurs ; ces pauvres que vous avez
s secourir. Que n’avez-vous pensé de bonne heure à vous faire de tels amis , qui maintenant vous tendraient les bras, afin de
t d’en faire. Son plus sensible plaisir, c’est de pouvoir obliger ses amis , ou de pouvoir reconnaître les obligations qu’il
avec peine une injustice, mais.il la pardonne. Mais l’infidélité d’un ami est le péché irrémissible pour lui. Lorsqu’on en
autres ; il ne compte avoir vécu que le temps qu’il a passé avec ses amis ou avec lui même, et ses meilleures heures sont c
ses entretiens familiers, ou de ses libres rêveries. Le nombre de ses amis est comme celui des élus621, fort petit, il ne le
aiblesse, et sage sans austérité. C’est ainsi qu’il est fait pour ses amis , et c’est ainsi qu’il souhaite que ses amis soien
i qu’il est fait pour ses amis, et c’est ainsi qu’il souhaite que ses amis soient faits pour lui622. Le parlement arrive
à les modérer, et non pas à les suivre. Regardez comme vos véritables amis ceux qui vous porteront toujours à la douceur, à
près ma mort ; ils s’adresseront aux ministres, ils feront agir leurs amis  ; en un mot, ils seront dans le cas des autres ge
e bien, attaché à tous ses devoirs jusqu’au scrupule ; père tendre et ami dévoué, il reçut de la nature une imagination ard
ez-vous893 comme on pince un léthargique ; faites-vous piquer par vos amis pour vous réveiller. Recourez assidûment aux sacr
ion, je les délie de me tromper. Il n’y a qu’un petit nombre de vrais amis sur qui je compte, non par intérêt, mais par pure
en un ennui avec le reste des hommes. La cupidité 928. On cherche des amis utiles ; ils sont dignes de notre amitié dès qu’i
qualités qui nous font paraître aimables ; et l’on ne manque jamais d’ amis , quand on peut payer l’amitié de ceux qui nous ai
on peut payer l’amitié de ceux qui nous aiment. Enfin la vanité. Des amis qui nous font honneur nous sont toujours chers929
icencié Garcias Avant que d’entendre l’histoire de ma vie, écoute, ami lecteur, un conte que je vais te faire. Deux écol
prit le chemin de Salamanque avec l’âme du licencié. Qui que tu sois, ami lecteur, tu vas ressembler à l’un ou à l’autre de
alors mon flatteur d’un ton de voix élevé : vous n’y pensez pas, mon ami  ; apprenez que vous n’avez rien de trop bon pour
r le bien public, implacable contre la bassesse, aussi franc avec ses amis que terrible pour ses ennemis, vraiment épris de
dans ces épanchements de cœur que la conversation produit entre deux amis , ne peut être regardé que comme des pensées. Il n
traducteur Je passais l’autre jour sur le Pont-Neuf avec un de mes amis  ; il rencontra un homme de sa connaissance qu’il
e. Je le vis plongé dans une rêverie profonde1046 ; il fallut que mon ami le tirât longtemps par la manche, et le secouât p
de l’autre1063. Les poètes et les romanciers. Le lendemain, mon ami me montrant un rayon de sa bibliothèque : « Ce so
ent sans réserve. Il a justifié l’éloge comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’accordent à reconnaître qu’il fut l
critique consciencieuse, et le Siècle de Louis XIV, qui nous montre l’ ami des arts, du luxe et de la civilisation, l’écriva
les noces, et le jeune marquis recevait déjà les compliments de leurs amis communs, lorsqu’un valet de chambre de sa mère ar
ons point changé d’état1102, nous sommes heureux, nous aiderons notre ami Jeannot. Ne sois plus marquis : toutes les grande
joie, la tendresse et la honte, et il se disait tout bas : « Tous mes amis du bel air1104 m’ont trahi, et Colin, que j’ai mé
e beau naturel : c’est un don que vous avez ; tirez-en donc, mon cher ami , tout le parti que vous pouvez ; il ne tient qu’à
a vie à Paris A Madame de Champbonin De Paris, 1739. Ma chère amie , Paris est un gouffre où se perdent le repos et l
le lendemain à l’autre bout. D’une société de trois ou quatre intimes amis il faut voler1144 à l’opéra, à la comédie, voir d
Le tourbillon A M. de Cideville Ce 15 mai 1733. Mon cher ami , je suis enfin vis-à-vis ce beau portail1146, dan
isse recevoir de vos bontés, Je vous conjure, mon cher et respectable ami , d’employer tout votre crédit auprès de M. le duc
employer tout votre crédit auprès de M. le duc de Choiseul, et de ses amis . Et pourquoi osé-je vous demander tant d’appui, t
hennevières Aux Délices, 23 avril 1760. Il est bien vrai, mon cher ami , que je ne suis pas mort, mais je ne puis pas non
gêné, il est mort ; mais tant que je respirerai un peu, vous aurez un ami aussi inutile qu’attaché sur les bords fleuris du
Une absence à l’académie A Madame Necker Ma très-respectable amie , je ne sortirai pas de deux jours, et je vous dir
ont vous vous êtes rapprochée en revenant à Montbard1261, chère bonne amie , me font déjà un si grand effet de plaisir, que j
er, dans un fauteuil, entre son fils, sa fille et quelques-uns de ses amis . Il s’échappa d’au milieu d’eux sans qu’ils s’en
s-je. — Monsieur... — Vous m’interrompez. Est-ce que vous croyez, mon ami , que je n’ai que votre affaire en tête ? Vous ser
i n’est que pour moi me touche faiblement et dure peu. C’est pour mes amis que je lis, que je réfléchis, que j’écris, que je
les peuples. La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis est la plus douce1379 qu’on puisse désirer ; cell
s1408. Un homme aimable Êtes-vous bien aise de savoir, mon cher ami , ce que le monde appelle quelquefois un homme aim
’y réfléchir1414. La familiarité Aimez la familiarité, mon cher ami  ; elle rend l’esprit souple, délié, modeste, mani
s crochus, au teint pâle et livide1436… l e comte. Oh grâce ! grâce, ami  ! Est-ce que tu fais aussi des vers ? Je t’ai vu
ême Vous qui m’avez connu, vous qui m’avez suivi sans cesse, ô mes amis  ! dites si vous avez jamais vu autre chose en moi
le vaisseau entra dans le port, et qu’ils virent sur les quais, leurs amis , leurs pères, leurs mères, leurs enfants, qui leu
urs esprits. Spiritualiste chrétien, écrivain épris de la perfection, ami et mentor de Chateaubriand, critique supérieur, b
our malhonnête, quiconque ne se conduit pas comme lui. Si l’un de ses amis tombe dans la disgrâce, il cesse à l’instant tous
uit où tout le monde trouve le silence ; et sous les vêtements de son ami , lorsqu’il l’embrasse, il croit sentir un poignar
s’enfoncer dans l’abîme : elles emportaient dans leurs bras tous nos amis  ! A ce spectacle, nous nous sommes ému ; la rapid
nements qui suivirent, rappelons seulement qu’il attrista bientôt ses amis par l’éclat d’un naufrage où sombrèrent leurs plu
1638 ; il n’a rien à lui, pas même sa conscience1639 : tout est à ses amis , et il a constamment eu le bonheur de compter par
rte ; Juxon et Herbert tombèrent à genoux : « Relevez-vous, mon vieil ami , » dit le roi à l’évêque, en lui tendant la main.
même des plaisirs permis ? Qui leur a dicté ces grandes paroles : un ami est un autre moi-même ; il faut aimer ses amis pl
es grandes paroles : un ami est un autre moi-même ; il faut aimer ses amis plus que soi-même, sa patrie plus que ses amis, e
me ; il faut aimer ses amis plus que soi-même, sa patrie plus que ses amis , et l’humanité plus que sa patrie ? Qui leur a mo
enversé lui-même à coups de crosse de carabine, en voulant défendre l’ ami de la famille, l’hôte de la maison. La porte est
n âme. J’oubliais mon temps ; je me croyais presque le commensal et l’ ami de la société des Rochers1727. Et vingt ans plus
venues aux yeux en pensant qu’ailleurs j’aurais rencontré des regards amis  ! Londres a de magnifiques parties ; mais, pour l
ite, Un éclair d’inspiration Sorrèze, 18 octobre 1858. Mon cher ami , Que je vous ai su gré de votre bon petit souveni
s les ballate 1777, faisant parler le mort lui-même pour consoler ses amis ou leur donner des conseils. A mesure qu’elle imp
 il lavera son bec dans le sang ! — Et toi, Charles-Baptiste, que tes amis — t’adressent leur dernier adieu. — Leurs larmes
a salle. « Accompagnez-les, dit le jeune Piétri à quelques-uns de ses amis  ; ayez soin que rien ne leur arrive ! » Deux ou t
l’intimité des consciences. On dirait qu’il a été le contemporain, l’ ami des personnages dont il analyse les sentiments. I
eures, et on espère en lui1830. Tous les jours, sauf le dimanche, des amis viennent faire visite, et le feu, toujours allumé
êtes à jamais privés des douceurs de leur commerce. Vous perdrez des amis , les seuls amis qu’on soit sûr de garder toute sa
rivés des douceurs de leur commerce. Vous perdrez des amis, les seuls amis qu’on soit sûr de garder toute sa vie1842. Pour q
ttres de Balzac : « Bien que j’aie déjà fait connaître à l’un de vos amis le jugement que je faisais des lettres qu’il m’a
iments de mon cœur pour vous et pour ceux qui m’ont élevé ; les mêmes amis que j’avais dans votre collège, je les ai conserv
t uniforme, et n’est responsable de ses inconstances qu’à ce cercle d’ amis qui les idolâtrent. Eux seuls savent juger, saven
loin. 439. C’est pris sur nature. 440. M. de Guitaut est un de ses amis . 441. Madame de Sévigné habitait alors rue de Th
pour en trouver, une peine inutile. « Ah ! dit-il, s’adressant à son ami Gourville, De larmes, de sanglots, de douleur suf
urt le consoler, le rassurer lui-même. « Je suis coûtent, Vatel ; mon ami , calme-toi ; Rien n’étoit plus brillant que le so
ndre des larmes ; la bonté de votre cœur m’en répond. Vous perdez une amie d’un mérite et d’une fidélité incomparable ; rien
La dernière, celle qui amène la mort. 556. A quoi vous serviront vos amis , sinon à… ? 557. Admirez l’énergie de ce beau et
en pâle dans le voisinage de Bossuet : Votez ce fier coursier, noble ami de son maître, Son compagnon guerrier, son servit
en en ôter sans y retrancher quelque chose de nécessaire. Enfin votre ami vaudrait encore mieux, s’il pouvait s’accoutumer
ne sont pas seulement nos ennemis que nous traitons de la sorte. Nos amis eux-mêmes sont exposés à ces jugements téméraires
sur elle-même : « Ne faites point de vœux pour moi, écrit-elle à une amie , peut-être ajouteraient-ils quelques jours à ma v
ent de quiétude et de paix qu’il fait goûter à son lecteur ; c’est un ami qui s’approche de vous, et dont l’âme se répand d
an jour destiné, cette dernière maladie, où, parmi un nombre infini d’ amis , de médecins et de serviteurs, vous demeurerez sa
ap pour sa sépulture. Car, en cette fatale maladie, que serviront ces amis , qu’à vous affliger par leur présence ; ces médec
ison avec un empressement inutile ? Il    vous    faut    d’autres     amis , d’autres serviteurs : ces pauvres que vous avez
s secourir. Que n’avez-vous pensé de bonne heure à vous faire de tels amis , qui maintenant vous tendraient les bras, afin de
n dernier soupir ; il meurt, et longtemps après qu’il n’est plus, ses amis font silence autour de sa couche ; car ils croien
t ne s’applique pas seulement à l’amour de l’argent. 929. Il y a des amis dont on se pare, comme on porte une décoration.
le bon sens du cœur. 1104. Du bel air, c’est-à-dire à la mode, mes amis à grand fracas. 1105. Quelle leçon ! 1106. Aujo
s, à un homme de finance. 1130. Il lui disait ailleurs : « Mon cher ami , craignez, en atteignant le grand, de sauter au g
à M. de Gide-ville : A Potsdam, le 10 mars 1752 « Mon cher et ancien ami , ce n’est pas l’ivresse passagère du public, ce n
on, et je jouis dans le fond de mon cœur de la consolation d’avoir un ami tel que vous. » 1139. On appelait petits-maîtr
eurs œuvres sous le nom de cette dame. 1160. Il aimait à décorer ses amis de surnoms plaisants. 1161. Il donne à sa demand
comparez celles de Ducis que voici : « Il n’est pas impossible, mon ami , que le printemps (s’il est des rossignols encore
ce, ni dans mon La Fontaine. Je me borne à décacheter les lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait l
, vous les trouverez bien artificiels. Voyez ce fier coursier, noble ami de son maître ; Son compagnon guerrier, son servi
Ajax le plaça dans ses vers. La Fable le nomma le coursier de Silène. Ami des voluptés, il naquit pour la peine. 1238. E
suspendu, Me pardonnerez-vous, vous qui n’avez sur terre Pas même cet ami du pauvre solitaire ? Mais ce regard si doux, si
 ; Des gouttes de mes yeux roulèrent sur sa soie : « O pauvre et seul ami , viens, lui dis-je, aimons-nous ! Car partout où
ois ; Et, par un vieil instinct qui jamais ne s’efface, Semble de ses amis reconnaître la race. Gardant du bienfait seul le
ut-être un jour ses yeux gais feront ma misère. Est-il bête plus sûr, ami plus généreux ! Un riche marchandait le chien d’u
lion serait heureux si lion pouvait avoir des livres choisis, et des amis plus encore ! Du bon sens plus que de science, et
mme Bossuet, parler comme Fénelon. » 1426. Il s’adresse à un de ses amis , M. de Saint. Vincent. 1427. Vauvenargues avait
it pas de l’avis de Beaumarchais. Voici ce qu’il écrivait à un de ses amis , l’abbé Nicaise: « La calomnie ne m’a fait aucun
laquelle il doit sa naissance. Nous l’avons lu, mon cher compagnon et ami Bonpland et moi, pendant bien des années. C’est l
vec une certaine mesure d’esprit et de talent, on n’a pour véritables amis que ses admirateurs ; la seconde, c’est qu’on n’e
Joséphine : Iéna, le 15 octobre 1806, à deux heures du matin. Mon amie , j’ai fait de belles manœuvres contre les Prussie
ne. Je bivaque depuis deux jours. Je me porte à merveille. Adieu, mon amie  ; porte-toi bien et aime-moi. Si Hortense est à
de patrons ? Il a ses quatre saints et vous cite leurs noms ; De vos amis  ? les siens sont tous gens de mérite ; De la soci
s surprises de nuit ; voir dans cette lutte continuelle succomber ses amis , ses connaissances, par les blessures et les mala
peu de bonnes qualités que j’ai. Un livre a toujours été pour moi un ami , un conseil, un consolateur éloquent et calme, do
elle devenait à charge dès qu’elle durait un peu. Quand ses familiers amis , qui auraient souhaité de le voir parfait en tout
e tous ceux qui sont avec vous dans le vaisseau.  » C'est pourquoi, amis , ayez courage ; car je tiens pour certain, sur la
, ni préjudice. Je vois chaque jour des hommes passionnés, ennemis ou amis des personnes, des sectes, des factions, et jugea
32 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
l’intimité des consciences. On dirait qu’il a été le contemporain, l’ ami de tous les personnages dont il analyse les senti
postérité. Fontanes3, en son temps, paraissait un classique pur à ses amis  : voyez quelle pâle couleur cela fait à vingt-cin
guste lui-même. Non loin de lui, et avec le regret d’être séparé d’un ami si cher, Horace présiderait à son tour (autant qu
nce les Cervantes, les Molière, les peintres pratiques de la vie, ces amis indulgents et qui sont encore les premiers des bi
d’essayer, ni l’envie de sortir à la découverte. On s’en tient à ses amis , à ceux qu’un long commerce a éprouvés. Vieux vin
ceux qu’un long commerce a éprouvés. Vieux vins, vieux livres, vieux amis . On se dit, comme Voltaire dans ces vers délicieu
33 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Musset 1810-1857 » pp. 564-575
d’une main, De l’autre un bouquet d’églantine1. Il me fit un salut d’ ami , Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la
doré l’autre l’a cadencée ; Du moment qu’on l’écoute, on lui devient ami . Sur sa toile, en mourant, Raphaël l’a laissée ;
rpentier.) Tristesse J’ai perdu ma force et ma vie2, Et mes amis , et ma gaîté ; J’ai perdu jusqu’à la fierté Qui f
re à mon génie3. Quand j’ai connu la Vérité, J’ai cru que c’était une amie  ; Quand je l’ai comprise et sentie J’en étais déj
ettes. 1. Il dira plus tard : J’ai perdu ma force et ma vie Et mes amis et ma gaîté : J’ai perdu jusqu’à la fierté Qui fa
34 (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.
déjouai tes efforts sacrilèges, grâce au courage et au nombre de mes amis , sans provoquer le moindre mouvement dans la vill
le sénat : eh bien, dans une assemblée si nombreuse, où tu as tant d’ amis et de proches, qui donc t’a salué ? Si, de mémoir
te repoussa également. C’est alors que tu cherchas un asile chez ton ami , l’honnête M. Marcellus, te croyant sans doute as
é parmi des étrangers ; je n’aurai fait que t’inviter à rejoindre tes amis . Mais qu’est-il besoin, après tout, de t’y invite
e gladiateurs, un audacieux capable d’un coup hardi, qui ne se dise l’ ami de Catilina ; mais en même temps il n’y a pas sur
suivi, dans sa vie politique, la route qui passe pour être celle des amis du peuple, peut-être aurai-je, pour un décret pro
er le peuple romain et d’anéantir cette ville, revendiquer le titre d’ ami du peuple. Aussi lui, le plus doux et le plus clé
our parler plus justement, cette classe tout entière est, avant tout, amie de la tranquillité. Tous ses moyens d’existence,
. Je viens maintenant à ce que Verrès appelle son goût, ce que ses amis nomment sa maladie et sa manie, et les Siciliens
quand on verra que vous avez pillé de la manière la plus indigne vos amis les Mamertins. II. Caïus Héjus est le citoy
ces et du vol des prévaricateurs, mais des meubles précieux que leurs amis et leurs hôtes leur prêtaient ; ils rendaient à c
arce qu’il a profité de l’occasion pour venir, avec la confiance d’un ami et d’un fidèle allié des Romains, porter à vos pi
, qui, quoique ennemis de tous les peuples, se font pourtant quelques amis qu’ils épargnent, qu’ils enrichissent même d’une
uite inouïe dans toute autre ville. Mais vous citiez en justice notre ami . Vous avez donc cru pouvoir vous venger de ma con
st dans Messine, ville qui porte le titre de notre alliée et de notre amie , qu’on a dressé cet infâme monument de la cruauté
rument du supplice d’un de nos citoyens, avant qu’ils pussent voir un ami de la république ! Vous montrez cette croix et au
point rendus. Philarque a déposé qu’instruit de cette passion que vos amis appellent votre maladie, il souhaitait ardemment
r les choses les plus cachées. Menaces, promesses, esclaves, enfants, amis , ennemis, tout était pour eux un moyen de faire d
xacte vérité. Je me souviens que Pamphile de Lilybée, mon hôte et mon ami , homme de mérite, me disait un jour que, Verrès l
avez orné vos maisons de campagne, vous en avez mis en dépôt chez vos amis , vous en avez donné, et cependant vos livres ne f
vec l’extérieur d’un suppliant, court ici chez ses protecteurs et ses amis et leur détaille à tous son malheur. Verrès reçoi
ous son malheur. Verrès reçoit de son père une lettre pressante ; ses amis lui écrivent sur le même ton. Tous l’avertissent
z-vous refuser de les rendre, surtout puisque Calidius était le grand ami de L. Sisenna, votre protecteur, et que vous avie
enna, votre protecteur, et que vous aviez fait restitution aux autres amis de Sisenna ? Enfin, je crois que vous conviendrez
tres amis de Sisenna ? Enfin, je crois que vous conviendrez que votre ami Potamon a restitué de votre part l’argenterie de
fit-il pas autant à Eupolème, illustre citoyen de Catane, l’hôte et l’ ami de la famille des Lucullus, et qui est maintenant
s lois et la justice. Aussi n’a-t-il rien fait sourdement, ou par des amis ou par des agents ; il a commis le crime le front
que les noms. Il y a apparence qu’il fournissait la laine, et que ses amis payaient les frais de la façon. Il ne faut pas le
omme il en convient lui-même, qu’il se soit servi du ministère de ses amis pour tous ces ouvrages. Ces lits de bronze, ces c
près de deux ans avec le cortège et l’appareil d’un roi ; ce prince, ami et allié du peuple romain, fils d’un père très at
rovinces, a insulté à un roi, dépouillé son hôte, chassé l’allié et l’ ami du peuple romain ? Votre nom et celui du peuple r
t profané leurs autels ? Quoi ! dans un temps de paix, chez un peuple ami , vous n’avez point respecté la statue de Diane, q
e destructeur ! Écoutez le rapport des Ségestains, vos clients et les amis du peuple romain : ils vous disent qu’après la ru
trompa. Verrès traiterait ainsi, sans aucun sujet, un honnête homme, ami et allié du peuple romain ? Il n’est pas si mécha
nté un supplice jusqu’alors inouï contre un homme innocent, contre un ami , un allié du peuple romain. Mais quel nom donner
ion que des Syracusains : arrivé chez eux, je crus d’abord, comme les amis de Verrès me l’avaient assuré à Rome, que la vill
jours auparavant. Voici donc ce que tirent les Syracusains, ces bons amis , ces clients de Verrès ; ils tirèrent d’abord leu
t ; que d’abord ils n’avaient pris aucune résolution ; qu’ensuite ses amis les pressant de donner un décret en sa faveur, le
er de leur droit suivant leurs coutumes et leurs lois, ce n’est ni un ami de Verrès, ni son hôte, ni enfin un Sicilien quel
-ci avait refusé son attestation à L. Lucullus, son beau-frère et son ami  ; et que lui, au contraire, usait de violence et
station. Afin que vous ne crussiez pas que Verrès est absolument sans amis à Syracuse, sans hôtes, totalement dépourvu et dé
. Je ne prendrai point le parti d’Apollonius, quoique mon hôte et mon ami  ; je ne veux point paraître m’élever contre vos d
 ; il envoie à Rome six musiciens pour en faire présent à l’un de ses amis . Toute la nuit se passe à décharger ce vaisseau.
n Cléomène reçut le commandement de la flotte de nos alliés et de nos amis . XXXII. Quel sera d’abord, magistrats, l’ob
t les confier dans les villes qui ont toujours été nos alliées et nos amies  ? N’aviez-vous pas les Ségestains, les Centorbien
cette déclaration. Verrès ne perd point de temps ; il fait entrer ses amis , demande à chaque capitaine en particulier combie
sur son registre, et, en homme prudent, il le scelle du cachet de ses amis  ; afin que, dans le cas d’une accusation, il pût
rce qu’il participait aux crimes et à l’infamie du préteur, était son ami intime. Cependant on leur assigne pour accusateur
acusain était à la tête de ceux qui furent toujours nos alliés et nos amis . Je dis que, dans ce même temps, et tous les jour
. LII. Oserez-vous dire encore : « L’un de ces juges est de mes amis , l’autre est l’ami de mon père ? » Mais plus un j
vous dire encore : « L’un de ces juges est de mes amis, l’autre est l’ ami de mon père ? » Mais plus un juge a de liaison av
us, plus il a honte de vous voir subir l’accusation présente. C’est l’ ami de votre père ! dieux immortels ! si votre père l
ettiez à ces festins les mères de famille de vos compagnons et de vos amis . Vous faisiez asseoir au milieu d’elles votre fil
use. Je produirai aussi des personnes de Cosa, ses concitoyens et ses amis , qui vous apprendront, un peu tard, mais non trop
s de cet affreux spectacle, non pas à des citoyens romains, non à des amis de notre république, non à des hommes qui connuss
ue j’aurai rempli le devoir dont je suis chargé par les Siciliens mes amis  ; je ne suis pas moins résolu, si l’événement ne
35 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Boileau 1636-1711 » pp. 401-414
ritique : L’ignorance toujours est prête à s’admirer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer2; Qu’ils soient de vos éc
saires. Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ; Mais sachez de l’ ami discerner le flatteur. Tel vous semble applaudir,
out d’éloges fastueux. La vérité n’a point cet air impétueux. Un sage ami , toujours rigoureux, inflexible, Sur vos fautes j
me est équivoque, il le faut éclaircir. C’est ainsi que vous parle un ami véritable. (Art poétique, chant Ier.) Devoir
igues. Que les vers ne soient pas votre éternel emploi : Cultivez vos amis , soyez homme de foi1 ; C’est peu d’être agréable
: L’âge au soin se tournant, homme fait il acquiert Des biens et des amis , si le temps le requiert ; Il masque ses discours
36 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
xandre, entraîna la rupture du royal élève et de son maître, neveu et ami de ce philosophe, dont le seul crime, aux yeux du
Athènes, les fit porter à Rome où ils furent copiés et révisés par un ami de Cicéron, le Grec Tyrannion. En 39 ils prirent
es plus grands ennemis, tels qu’Oreste et Égisthe, en arrivent à être amis sur la fin de la pièce, et personne ne donne ni n
elles actions seront nécessairement accomplies ou par des personnages amis entre eux, ou par des ennemis, ou par des indiffé
s (entre eux). IX. Mais que les événements se passent entre personnes amies  ; que, par exemple, un frère donne ou soit sur le
ar exemple, on louera Achille d’avoir été au secours de Patrocle, son ami , sachant qu’il doit mourir lorsqu’il pourrait viv
essairement pour parties constitutives la noblesse, un grand nombre d’ amis , l’amitié des gens honnêtes, la richesse, une des
résident dans le corps. Les biens extrinsèques sont la noblesse, les amis , les richesses et la considération. Nous jugeons
onnêtes sont des avantages qui n’ont rien d’obscur, si l’on définit l’ ami « celui qui est capable de faire pour un tel ce q
qui un grand nombre d’hommes sont dans cette disposition sera donc l’ ami d’un grand nombre d’hommes, et celui qui l’inspir
and nombre d’hommes, et celui qui l’inspire aux hommes de bien sera l’ ami des gens honnêtes. XVII. Le bonheur consiste dans
ui est la vertu de la propriété et un puissant moyen d’action. XII. L’ ami et l’amitié. L’ami est un bien à rechercher pour
la propriété et un puissant moyen d’action. XII. L’ami et l’amitié. L’ ami est un bien à rechercher pour lui-même et un puis
soient rendus à l’évidence. Tels, par exemple, les méchants que leurs amis accusent, et les hommes de bien que leurs ennemis
i sont mauvaises pour les ennemis, et celles qui sont bonnes pour les amis . XXVII. On préfère, en outre, les choses qui sont
u nos inférieurs, peuvent réussir. Les choses dont se réjouissent nos amis ou s’affligent nos ennemis. Les actions qui provo
la vue a plus de prix que l’odorat. Il vaut mieux désirer d’avoir des amis que d’acquérir des richesses ; de sorte que la re
des amis que d’acquérir des richesses ; de sorte que la recherche des amis est préférable à la soif des richesses. Par contr
choses dont on veut plutôt être l’auteur ou pour soi-même ou pour ses amis , ce sont là aussi des biens plus grands, et celle
des largesses au premier venu, à plus forte raison en fera-t-il à ses amis , car c’est le plus haut degré de la vertu que de
ent de la séparation : or il y a un certain charme à se souvenir de l’ ami perdu, à le voir en quelque façon, à se rappeler
l’on en prend souci, c’est pour quelque autre raison. XVII. Avoir un ami , voilà encore une des choses agréables : d’une pa
tteur de même. Car le flatteur est, en apparence, un admirateur et un ami . XIX. Faire souvent les mêmes choses est encore u
et l’expérience de luttes nombreuses, quand ils possèdent beaucoup d’ amis ou une grande fortune. III. C’est principalement
e de nuire ; mais, si l’on n’y est pas, c’est lorsque l’on y voit ses amis , ou ses serviteurs, ou ses complices. En effet, g
écouvert et se dérober au châtiment. IV. C’est encore lorsqu’on est l’ ami des personnes préjudiciées ou des juges. Les amis
core lorsqu’on est l’ami des personnes préjudiciées ou des juges. Les amis ne se tiennent pas en garde contre le préjudice e
justice276. D’autre part, les juges favorisent ceux dont ils sont les amis et tantôt prononcent, pur et simple, le renvoi de
els nous avons à prétexter que leurs ancêtres, ou eux-mêmes, ou leurs amis , ont fait du mal ou se disposent à en faire soit
prétexte. » XXIV. On cause un préjudice à ses ennemis et aussi à ses amis  : à ceux-ci, parce que c’est chose facile ; à ceu
à ceux-là, parce que c’est un plaisir. De même à ceux qui n’ont pas d’ amis , à ceux qui manquent d’habileté pour parler ou po
e. XXVIII. On fait du mal pour ceux à qui l’on veut plaire : pour des amis , pour des gens qu’on admire, pour un bien-aimé, p
e par une obligeance à celle que l’on a eue ; d’être secourable à ses amis et toutes les choses analogues. Les autres choses
ignage305. Par exemple, si l’on veut conseiller de ne pas se faire un ami de tel vieillard, on prend à témoin le proverbe :
icteur. XIX. Les autres arguments qui reposent sur le témoignage d’un ami , d’un ennemi, d’une personne qui serait entre les
i devoir aucun service important ; autrement, on aviserait à être son ami . V. Celui qui outrage méprise. En effet, l’outrag
leuse, ils n’en prennent pas souci. XV. On se fâche plutôt contre des amis que contre des indifférents ; car on pense qu’il
nvenance lorsque les inférieurs témoignent du mépris. XIX. Contre les amis , si leurs discours ou leurs procédés ne nous sont
cela, à des gens qui nous méprisent ou à des ennemis, tandis que les amis prennent leur part de nos douleurs et souffrent e
et le fait de se rendre capable en puissance de réaliser ce bien. Un ami , c’est celui qui a de l’affection et qui reçoit d
l’affection et qui reçoit de l’affection en retour. On pense être des amis quand on suppose avoir ces dispositions les uns p
s pour les autres. III. Cela posé, il en résulte nécessairement qu’un ami est celui qui prend sa part de joie dans ce qui n
eux pour qui les biens et les maux sont communs, et qui ont les mêmes amis et les mêmes ennemis : car il s’ensuit, nécessair
i qui souhaite à un autre ce qu’il se souhaite à lui-même se montre l’ ami de cet autre. V. On aime encore : Ceux qui nous o
e ceux à qui nous prêtons l’intention de nous rendre service. VI. Les amis de nos amis et ceux qui affectionnent ceux que no
nous prêtons l’intention de nous rendre service. VI. Les amis de nos amis et ceux qui affectionnent ceux que nous affection
, l’on veut notre bien, ce qui était tout à l’heure334 le propre de l’ ami . VIII. Ajoutons-y ceux qui sont disposés à rendre
jet d’envie, nous les aimons, ou bien nous tenons à nous en faire des amis . XXV. De même ceux avec lesquels nous coopérons à
tout le monde aime ceux qui ont cette constance envers ceux de leurs amis qu’ils ont perdus. On aime, en général, ceux qui
u’ils ont perdus. On aime, en général, ceux qui aiment vivement leurs amis et qui ne les abandonnent pas ; car, entre tous l
ouvrent leurs côtés faibles. En effet, nous avons dit que, devant nos amis , nous ne rougissons pas de ce qui est contre nous
n’ont aucune puissance, ou que ceux qui ont de la puissance sont nos amis . De même, lorsqu’on a rendu des services ou qu’on
mple, la supériorité de nos finances, de nos corps de troupes, de nos amis , de notre pays et de notre organisation militaire
est dans ce cas que se trouvent ceux qui depuis peu, veulent être nos amis , car ils ont arrêté leur vue, sur nos plus beaux
ont la vue nous les rappellera ; par exemple, leurs serviteurs, leurs amis . XXIII. Maintenant, d’une manière générale, nous
nourriture. X. Les malheurs accidentels sont le fait de n’avoir pas d’ amis , ou de n’en avoir qu’un petit nombre. Voilà pourq
u de n’en avoir qu’un petit nombre. Voilà pourquoi être arraché à ses amis et à ses familiers est un sort qui excite la piti
ura pas sur son fils que l’on conduisait à la mort, et pleura sur son ami qui demandait l’aumône. Le sort de celui-ci était
ême de ceux qui possèdent l’autorité, la puissance, un grand nombre d’ amis , une belle famille et tous les avantages analogue
apprécié par eux au point de vue de l’intérêt ; par conséquent, leurs amis non plus. XIV. Leurs fautes proviennent toujours
la noblesse consiste en ce que celui qui la possède est d’autant plus ami de la gloire. En effet, tout le monde a pour habi
dépendent de ceux dont nous sommes les supérieurs, les maîtres et les amis . X. Celles dont les parties peuvent exister le pe
te manière-ci : « Je ne goûte pas le précepte connu, car le véritable ami doit aimer comme s’il devait aimer toujours » ; n
Lacédémoniens ont admis Chilon dans le sénat, eux qui n’étaient guère amis des lettres ; Pythagore en Italie, Anaxagore à La
i produisait une assertion trop affirmative à son avis : « Mais notre ami , dit-il, ne s’est jamais autant avancé », voulant
si l’action est possible, facile, avantageuse ou à soi-même, ou à ses amis , ou nuisible à nos ennemis et de nature à les pun
tuation de son contradicteur ; par exemple : « Il dit qu’il est votre ami , mais il a prêté serment aux Trente » ; — ou la s
l y a un enthymème comme quoi l’homme de bien rend service à tous ses amis , ce n’est pas à dire que le méchant fait du mal a
ontient une idée juste : Accorde-moi d’arriver chez les Phéaciens en ami et en homme digne de leur pitié682… il faut vise
nt, il se nuisent entre eux, car toute quantité a une mesure : Ô mon ami , tu as dit ni plus ni moins que ce qu’aurait dit
nt demanderait φιλόφιλοι, à la place de φιλότιμοι, « nous aimons… nos amis . » 271. Leçon du plus ancien manuscrit connu (Co
rateur, tué par Nicanor qui, à son tour, aurait été assassiné par les amis de ce Démosthène, lequel serait le général athéni
t allusion cette énigme étaient des cloches en airain. 522. Rhéteur, ami de Gorgias. 523. Mentionné aussi dans les Second
37 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
omme on a souvent occasion d’écrire des lettres, c’est par là que nos amis et nos connaissances jugent de notre esprit et de
ance même. Une correspondance intime, entretenue avec un parent ou un ami , à qui l’on parle à cœur ouvert, sans aucune cont
ouche du sentiment. Ne soyons donc jamais paresseux pour écrire à nos amis  ; nous ferions soupçonner la réalité de notre aff
me rendre plus digne de vous, et de vous faire trouver un jour votre amie dans la plus respectueuse et la plus tendre des f
naturelles ? Elles sont d’un homme plus propre à s’affliger avec des amis qu’à les consoler, et qui sait aigrir ses propres
ndre des larmes ; la bonté de votre cœur m’en répond. Vous perdez une amie d’un mérite et d’une fidélité incomparables ; rie
aulnes et à celle de madame de Lavardin ; nous ne voulons point d’une amie qui veut vieillir et mourir par sa faute : il y a
fort paresseuse quand il n’est question que de faire compliment à des amis , ou de les assurer que je les aime toujours. Je c
a mort n’a frappé qu’à demi, Fuit en vain, emporté dans les bras d’un ami  : Sur le sein l’un de l’autre ils sont frappés en
Et les drapeaux jetés sur des monceaux de morts. Accourez maintenant, amis , épouses, mères ! Venez compter vos fils, vos ama
placer Sur sa main blanche. « Ah ! lui dit-elle… Ah ! lui dit-elle, ami naïf, Ta confiance m’intéresse ; Je ne te rendrai
ion. Ce fut au moins une triste et dernière consolation pour les deux amis , que ce rapprochement du dernier voyage ; ils s’e
ntre eux la première scène d’Andromaque. Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvell
38 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
compléments directs. Dans le 9e livre de l’Enéide, Nisus, voyant son ami Euryale au pouvoir des Rutules qui vont l’immoler
e faire connaître des ennemis, et à arrêter le fer qui va frapper son ami Euryale. Il faut aussi remarquer les autres compl
rité sur les autres, doivent, dans les rapports qu’ils ont avec leurs amis , se mettre au niveau de leurs inférieurs, de même
ieurs, de même ceux-ci ne doivent point s’affliger de voir dans leurs amis la prééminence du génie, de la fortune ou de la d
uite de l’autre. exemple : Amicus amici consuetudine gaudet. Cic. Un ami se plaît à vivre avec son ami. On rapproche de mê
icus amici consuetudine gaudet. Cic. Un ami se plaît à vivre avec son ami . On rapproche de même les noms qui ont une signif
audent monere reges, hœc in libris scripta sunt. Les conseils que des amis n’osent donner aux rois sont consignés dans des l
ste, à la seconde ; ille, à la troisième. exemples : Hic amicus, cet ami que j’ai ; amicus iste, cet ami que vous avez ; a
roisième. exemples : Hic amicus, cet ami que j’ai ; amicus iste, cet ami que vous avez ; amicus ille, cet ami qu’il a.
ami que j’ai ; amicus iste, cet ami que vous avez ; amicus ille, cet ami qu’il a. VII Le relatif qui, quæ, quod, éta
quorum de virtutibus et sapientiâ universi consentiant. Cherchons des amis dont les vertus et la sagesse soient approuvées d
contribue plus efficacement à rendre la vie heureuse, qu’un véritable ami . Pythagoras Babyloniam ad perdiscendos siderum m
vous prie de le protéger, de le chérir, de le mettre au nombre de vos amis . ARTICLE VII. de la disposition des conjonc
Sic est factum, ut amici tui dictitant. Il a été fait ainsi que vos amis se plaisent à le répéter. Ego sic existimo : ora
39 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
aient de germes précieux, que fallait-il toutefois ? quelques regards amis , quelques témoignages d’une sympathie véritable.
r dit en père :         Leur haine sera ton appui. A tes plus chers amis ils ont prêté leur rage ;         Tout trompe la
is ! Ah! puissent voir longtemps votre beauté sacrée         Tant d’ amis sourds à mes adieux ! Qu’ils meurent pleins de jo
ls meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée,         Qu’un ami leur ferme les yeux3 ! Le dix-huitième siècl
40 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
core, en fit l’apprentissage ! Combien mes souvenirs vous sont restés amis , Royaumes de l’étude ! ô regrettés pays, Dont le
Reconnaissez la voix d’un compagnon fidèle ; C’est moi ! c’est votre ami , qui frappe et vous appelle. Lorsque de la vallée
a béranger Rimini, juillet 1818. Chansonnier du bon petit roi2, Ami bien cher, esprit bien sage, Du milieu de mon bea
la librairie académique de Didier. 2. Il veut dire que deux esprits amis mettent en commun leurs idées. La voix a plus de
41 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563
! 2. Comparez cette page de Xavier de Maistre pleurant la mort d’un ami  : « La nature, indifférente de même au sort des i
nfatigable, caché dans l’herbe qui couvre la tombe silencieuse de mon ami . La destruction insensible des êtres et tous les
grand tout. La mort d’un homme sensible, qui expire au milieu de ses amis désolés, et celle d’un papillon que l’air froid d
démocratique, dans le sens le plus pur et le plus sincère de ce mot, ami des choses simples, des vertus cachées, des exist
42 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mirabeau, 1749-1791 » pp. 368-376
le plus inique, le plus inégal, le plus désastreux des impôts ?… Mes amis , écoutez un mot, un seul mot. Deux siècles de dép
la vérité1, les respectant partout, ne respectant qu’elles, n’ayant d’ amis qu’elles, d’ennemis que leurs adversaires, ne rec
laudi au talent naissant de Barnave, quoiqu’il n’aimât pas ses jeunes amis  ; il appréciait l’esprit profond de Sieyès, et ca
les inspirations de ce père si dur, qui se parait du titre fastueux d’ Ami des hommes, qu’il s’était décerné à lui-même. La
une logique ausi simple que naturelle et persuasive. Mais son père, l’ ami des hommes, demeura impitoyable. 2. Il disait e
43 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
 ; un supérieur, qu’il ne doit pas trop faire sentir ce qu’il est. Un ami se livrera au sentiment, et laissera courir la pl
isanterie : il ne faut se la permettre que rarement, en écrivant à un ami . Un bon mot peut être lu dans un moment d’humeur,
les bornes de la retenue et du respect, par déférence aux ordres d’un ami , je vous supplie d’accorder à Septimius une place
ue je le mérite. » Une lettre de félicitation ou de condoléance à un ami , est facile à faire, parce qu’on se réjouit ou l’
la grâce que le Roi vous a faite, non seulement pour l’intérêt de mon ami , mais encore pour celui de mon Maître. Je trouve
us de nous. On n’en agit pas de même à l’égard de ses égaux et de ses amis  : mais on place le mot de Monsieur ou de Madame l
44 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
lui ! L’on y tournait à peine.             Plût au ciel que de vrais amis , Telle qu’elle est, dit-il, elle pût être pleine
raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami  ; mais fou qui s’y repose:             Rien n’es
d’Henri IV, adressées à ses troupes, avant la bataille d’Ivry : Mes amis , vous êtes Français, je suis votre roi, voilà l’e
Lens, harangua ainsi les troupes qu’il allait lancer sur l’ennemi : Amis , souvenez-vous de Rocroi, de Fribourg et de Nördl
espoir se fonde, Et dont vous étalez l’orgueilleuse moisson ? Sujets, amis , parents, tout deviendra stérile ; Et dans ce jou
tenir dans le devoir. Étant devenu roi de France, quelques-uns de ses amis rengageaient à se venger des mauvais traitements
45 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
Thiard, Remy Belleau, ses condisciples du collège de Coqueret ou ses amis  ; puis, parmi ses principaux disciples, Amadis Ja
culture des mûriers, dont Henri IV aimait à lire et dont Sully, grand ami de labourage et pâturage, ces deux « mamelles de
constitutionnelle qui sera celle de Montesquieu. La Boétie, le jeune ami de Montaigne, est dans son Contr’un (1548) le pré
. Mais expedions. — Et quand, dist le marchant, vous auray ie, nostre ami , mon voysin, dignement loué les membres internes,
arrive une fois en trois siecles. Ce que nous appelons ordinairement amis et amitiez, ce ne sont qu’accointances et familia
me sçais aucun gré du service que ie me foys ; aussi l’union de tels amis estant veritablement parfaicte, elle leur faict p
elle se prenoit tousiours à plorer191. Ce que voiant Acilius l’un des amis de Brutus recita le vers qu’Andromache dit à ce p
t sauver à nage, ny eschapper, ains est à la fin tiré à fond avec ses amis , qui l’ont plegé et respondu pour luy, tant qu’il
et leur semble qu’il n’y a rien de vaillant qu’eulx au monde. Or, mes amis , montres-leur ce que vous savez faire, et s’ilz f
sse en France qui esgalle celle de nostre Gascongne. A eulx donc, mes amis , à eulx : et vous verrés comme je vous suyvray. »
ortance leur estoit d’offenser une personne de ma qualité, qui estoit amie de tous les principaux seigneurs des Estats, et q
ou à lui la couronne refusée à Henri IV, Pierre Le Roy suggéra à ses amis l’idée d’une parodie satirique et patriotique de
ouvernement du Duc auquel luy mesme apporteroit la seureté contre les amis de son ennemi ; là finit le propos, lequel rappor
e Pseaume lxxxviii au couplet qui desplore l’esloignement des fidèles amis  : Armagnac pressa l’autre de prendre ce temps pou
t habite encore en vous ? Vous souspirez à Dieu pour l’absence de vos amis et fidèles serviteurs, et en mesme temps ils sont
ieu, vous une femme, devant laquelle vous joignez les mains quand vos amis ont le poing fermé : ils sont à cheval, et vous à
e et critique dit : le goût, c’est moi. Mais les hommes de génie, ses amis ou ses contemporains, n’avaient pas attendu les l
révenez ce temps-là, je vous conjure, et n’attendez pas à être de ses amis jusques à ce que vous y soyez contraint. Que si v
lettre qui m’a appris le nom de son auteur ; il l’adresse à un de nos amis , qui vous en pourra donner plus de lumière. Pour
rieusement que, malgré nos gaillardises passées, je sois encore votre ami , afin que vous soyez encore le mien ; comme si vo
honte que vous en avez. Ce n’est pas assez de dire : Soyez encore mon ami , pour recevoir une amitié si indignement violée.
oint en nécessité de me défendre ; et de ma part, je verrai, avec mes amis , si ce que votre libelle vous a laissé de réputat
as malaisée : je donnerai tous mes intérêts à qui vous voudrez de vos amis  ; et je m’assure que, si un homme se pouvoit fair
ardises qui font rire le public à vos dépens, et continuez à être mon ami , afin que je me puisse dire le vôtre. Corneille.
i (1656-1657) les Lettres de Louis de Montalte à un provincial de ses amis , qu’on appela souvent les Petites Lettres, qu’on
eurs pourroient faire des livres des éloges qu’ils reçoivent de leurs amis  ; de sorte que, dans cette profusion de louanges,
’il lui propose. Celui qui conseille paye d’abord la confiance de son ami des marques d’un zèle ardent et désintéressé ; il
e, homme de probité et de piété, bon père de famille, bon parent, bon ami . Vous le savez, vous qui avez toujours été uni av
res frayeurs, contre la malignité de ses ennemis, et enfin contre ses amis , ou partagés, ou irrésolus, ou infidèles ? Que ne
le premier trône de la justice. Vous le verriez recevant une foule d’ amis , comme si chacun eût été le seul, distinguant les
r raison, non par cabale. Sa réputation n’a jamais été à charge à ses amis , et n’a rien coûté qu’à lui-même. Quand il a été
des gens qui lui plaisent, il demeure au dedans de lui-même. Avec ses amis , il aime à discourir et à se répandre au dehors ;
u’ils savent… Son plus sensible plaisir, c’est de pouvoir obliger ses amis , ou de pouvoir reconnoître les obligations qu’il
avec peine une injustice, mais il la pardonne. Mais l’infidélité d’un ami est un péché irrémissible pour lui. (En tête de
aine ne le pouvoient jamais préoccuper : il refusoit des grâces à ses amis , qu’il accordoit à ses ennemis quand il les en cr
de Turenne. Le bonheur pouvoit lui montrer ceux qui dévoient être ses amis , mais il n’alloit que jusques-là ; le seul mérite
server. Je vous appelle à témoins de cette vérité, chers et illustres amis de cet homme incomparable. Fut-il jamais une amit
me « le plus laid » et l’un des plus beaux esprits du xviie  siècle ; ami de la plupart des Académiciens avant d’être leur
’un coup de foudre, biens, honneurs, réputation, serviteurs, famille, amis et santé, sans consolation et sans commerce qu’av
ui ne pensoit pas se pouvoir défendre contre nous trouveroit chez ses amis , chez ses voisins, chez nos envieux, et quelquefo
t son mari au cardinal de Retz, dont elle resta, comme [de Fouquet, l’ amie fidèle et dévouée. Elle parut avec éclat à la cou
d’être amoureux, ce ne sera plus la même chose. Vive donc notre vieil ami Corneille ! Pardonnons-lui de méchans vers, en fa
i vous ne feriez pas un voyage de deux mois, comme un homme. Tous vos amis avoient la complaisance de me dire que j’avois ra
tion et qu’amour-propre. J’avoue que je me suis pleuré en pleurant un ami qui faisoit la douceur de ma vie, et dont la priv
excepté la mort à nous-mêmes que la grâce y opère. Au reste, ce cher ami est mort avec une vue de sa fin, qui étoit si sim
ette occasion. Dieu a fait sa volonté, il a préféré le bonheur de mon ami à ma consolation. Je manquerois à Dieu et à mon a
le bonheur de mon ami à ma consolation. Je manquerois à Dieu et à mon ami même, si je ne voulois pas ce que Dieu a voulu. D
ur tout ce qui peut montrer votre assiduité à votre prince. Soyez bon ami , obligeant, officieux, ouvert : cela vous fera ai
discrétion, complaisance, sûreté de commerce, et nulle façon ; peu d’ amis , beaucoup de connoissances passagères ; soin de p
alent si rare, et qu’il avoit au dernier degré, qui lui tint tous ses amis si entièrement attachés toute sa vie, malgré sa c
je lui demande que je suis assuré de l’obtenir. Un gentilhomme de mes amis qui, à l’âge de vingt ans, a fait vingt combats a
ette harangue, et le coadjuteur s’en retourna sans réponse. Un de ses amis , et un peu des miens, qui, peut-être aussi bien q
u’à Paris ; mais mon soldat, selon la coutume, me mena chez un de ses amis , dont il me vanta la maison, comme le lieu de la
e ruineront pas, pourvu que vous les ayez bien gagnées. — Brinon, mon ami , lui dis-je avec un grand soupir, fermez le ridea
it avec tant de confiance et de résolution que, rencontrant un de ses amis qui lui demanda en tremblant où il alloit avec ce
mpitoyable, inflexible, et dur jusqu’à la cruauté ; sans parens, sans amis , sans égards, personne n’avoit de pouvoir sur son
en 1715, avait encore quarante ans à vivre ; par Lamotte-Houdar, son ami (1672-1731), qui eut une part active dans la seco
bon copiste pour n’être pas grammairien. Parlez-moi confidemment, mon ami  ; n’avez-vous rien trouvé, en écrivant, qui vous
’éeria-t-il, ce qu’on appelle avoir du goût et du sentiment ! Va, mon ami , tu n’as pas, je t’assure, l’oreille béotienne. »
cevoir de nouvelles forces. — Point de flatterie, interrompit-il, mon ami . Je sais que je puis tomber tout d’un coup. À mon
dépositaire de ses pensées, mais encore de peur que quelqu’un de ses amis ne fût assez franc pour vous prévenir. En ce cas-
t pas si bien que les autres affecté l’auditoire. « Comment donc, mon ami , répliqua-t-il avec étonnement, auroit-elle trouv
de ne les avoir pas prévenus, je ne t’en sais point mauvais gré, mon ami . Je me veux plutôt du mal à moi-même de ne t’avoi
ces messieurs. Quand vous m’enverrez les cinquante suivans, mon cher ami , mettez-les à part bien cachetés, à l’abri des cu
contracter de mauvaises habitudes. — Je vous demande pardon, mon cher ami  : mais ma délégation est un droit, et ce serait l
jamais : j’ai du bien, de la naissance ; je fais de la dépense ; mes amis disent que j’ai quelque esprit ; mais je ne parle
les peuples. La mort de Socrate, philosophant tranquillement avec ses amis , est la plus douce qu’on puisse désirer ; celle d
la bienveillance qui nous unissoit tous. Mon chien lui-même étoit mon ami , non mon esclave ; nous avions toujours la même v
e ne s’éveille, et que cette femme fasse un pas de plus. Pigalle, mon ami , prends ton marteau, brise-moi cette association
ens qu’il aura grossis, tout le spectacle de son ravage ; et que, mon ami et moi, l’un contre l’autre appuyés, les yeux att
oigts crochus, au teint pâle et livide… LE COMTE. Oh ! grâce ! grâce, ami  ! Est-ce que tu fais aussi des vers ? je t’ai vu
Notice Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, né au Havre, ami et disciple de J.-J. Rousseau, a plus d’un rappor
gieux murmures que les chants des oiseaux, ou les doux entretiens des amis qui veulent se reposer sous vos ombrages. (Harm
 : certainement tous ces signes annoncent un ouragan. — Eh bien ! mes amis , répondit le gouverneur, nous y sommes préparés,
ginie.) Mirabeau (1749-1791) Notice Né de cet étrange «  ami des hommes », qui ne le fut pas de son fils, le c
le plus inique, le plus inégal, le plus désastreux des impôts ?… Mes amis , écoutez un mot, un seul mot. Deux siècles de dép
ui la plus belle des causes, afin de soulever contre elle les nations amies de l’humanité ! Ô citoyens de Paris, je vous le d
la victoire que par des moyens dignes de. votre courage, celui-là est ami de votre gloire, ami de votre bonheur : il veut v
es moyens dignes de. votre courage, celui-là est ami de votre gloire, ami de votre bonheur : il veut vous sauver ! Citoyens
songe sur Claude ; crime de contre-révolution à Pomponius de ce qu’un ami de Séjan était venu chercher un asile daus une de
funeste de son fils. Il fallait montrer de la joie de la mort de son ami , de son parent, si l’on ne voulait s’exposer à pé
ude sans qu’on en pût deviner la cause. Toranius, le tuteur, le vieil ami d’Auguste, était proscrit par son pupille sans qu
si l’on n’avait point d’ennemi, on trouvait pour assassin un hôte, un ami , un fils611. En un mot, sous ces règnes, la mort
torité que de finesse par un Allemand, le baron de Grimm (1723-1807), ami de Rousseau et de Diderot, dont la Correspondance
esprit et par saillies, par Chamfort (1741-1794) et par Rivarol, son ami (1754-1801), qui ont d’ailleurs d’autres titres,
esque Encyclopédie dont il fut le principal ouvrier avec Diderot, son ami . — Secrétaires perpétuels, le premier de l’Académ
es Lettres et Pensées, etc. ; un Italien, l’abbé Galiani (1728-1783), ami de Diderot, correspondant de Montesquieu, spiritu
u’ai-je fait ? malheureux ! j’ai contristé les pauvres, les meilleurs amis de mon Dieu ; j’ai porté l’épouvante et la douleu
Image de l’éloquence de la chaire Un homme sensible voit son ami engagé dans quelques desseins contraires à son in
l s’interdit tout reproche ; il découvre le précipice aux yeux de son ami , et lui en montre toute la profondeur, pour assai
plaintes. C’en est fait, le cœur cède, la vérité triomphe ; les deux amis s’embrassent, et c’est à l’éloquence d’une persua
atissant, qui doit s’attendrir pour convaincre, c’est vous-même ; cet ami qu’il faut émouvoir pour le gagner, c’est votre a
ncore une fois avant de mourir ; enfin, il nous fit appeler. Tous les amis de ce grand homme et les principaux de l’armée vi
me dire ce qu’il disoit à La Fontaine, et de me mener chez ses vieux amis . Il m’y mena en effet. Sa grenouille, qui n’étoit
l se resserre dans le petit livre (Adolphe) de Benjamin Constant, son ami . Tout à cοup, en 1814, Walter Scott crée en Angle
atiques de P. Mérimée, dont le nom rappelle celui de Henri Beyle, son ami . Pour terminer notre revue par une des plus haute
son mot. Tu ne peux pas me donner une plus douce assurance, mon cher ami , que celle de ta constante tendresse ; quoique ce
ir. Ce qui ne m’en fait pas moins, c’est d’apprendre que tu es le bon ami de ta mère, et son premier ministre au départemen
norance, en répétant si tu veux, pour t’encourager, un adage de notre amie commune feu madame la marquise de Sévigné : Bella
ce qui me fâchera beaucoup… … Je ne cesse de vous regretter, mes bons amis . Je n’ai qu’une demi-vie, toujours il me manque q
la plume pour t’en demander raison, lorsque voilà la gente épître à l’ ami Xavier qui nous a fait un plaisir infini, en nous
vous êtes ensemble, messieurs mes frères ? » Nous l’étions, mon cher ami , lorsque ta lettre est arrivée. Un beau matin que
on ! Je n’avais qu’à sortir de ma chambre pour vous trouver, mes bons amis . Ici tout est grand, mais je suis seul ; et, à me
se retracer à notre esprit. Mais, hélas ! si l’on en excepte quelques amis inaltérables, la plupart de ceux qu’on se rappell
poids de l’existence, ne donnons pas à nos injustes ennemis et à nos amis ingrats le triomphe d’avoir abattu nos facultés i
es sont précieuses ces lignes toujours vivantes, qui servent encore d’ ami , d’opinion publique et de patrie ! Dans ce siècle
ys, ce regret indéfinissable de la patrie655, qui est indépendant des amis mêmes qu’on y a laissés, s’applique particulièrem
oujours légèrement de leurs malheurs, dans la crainte d’ennuyer leurs amis  : ils devinent la fatigue qu’ils pourraient cause
deux fois la succession du monde664. Vous croirez peut-être, mon cher ami , d’après cette description, qu’il n’y a rien de p
éron se croyait exilé sous le ciel de l’Asie, et qu’il écrivait à ses amis  : Urbem, mi Rufi, cole ; in ista luce vive. Cet a
mque cano romana per oppida carmen673.   Il faut maintenant, mon cher ami , vous dire quelque chose de ces ruines dont vous
toute son intégrité et toute sa fraîcheur. C’est ainsi, mon très cher ami , que nous sommes avertis à chaque pas de notre né
o, de Mondovi brûlent de porter au loin la gloire du peuple français. Amis , je vous la promets, cette conquête ; mais il est
d’armes depuis seize ans, celui que je considérais comme mon meilleur ami . Sa famille et ses enfants auront toujours des dr
rer que peut-être il y ait ; bon homme au demeurant, qui me traite en ami  : tout cela me retient. D’ailleurs je laisse fair
officier d’artillerie à Naples Morano, le 9 mars 1806. Bataille, mes amis  ! bataille ! Je n’ai guère envie de vous la conte
aujourd’hui ; je fais comme eux en enrageant. Figurez-vous, mes chers amis , qui avez là-bas « toutes vos aises, bonne chère,
bite en vos cœurs. Buvez et faites brindisi 705, à sa santé, mes bons amis , le ventre à table et le dos au feu. Voici, en pe
mes chevaux, mon argent, mon domestique, mes nippes et celles de mes amis . Entre hellénistes À M. de Sainte-Croix
t je ne veux pas non plus faire comme Molière, à qui toute sa vie ses amis en dirent autant. Il était, lui, chef de sa troup
. — Moi le vôtre. Il me quitte, et s’en alla courant. Ceci, mes chers amis , mérite considération ; trois si honnêtes gens :
verrez d’autres assez, et de la meilleure compagnie, qui trompent un ami , mentent à tout venant, trahissent, manquent de f
sauvé de ce scepticisme désenchanté où a fini son compatriote et son ami . De l’athéisme L’athée même participe aux
ais pas un ne m’a serré la main. L’exilé partout est seul. Il n’y a d’ amis , de pères et de frères que dans la patrie. L’exil
ont bannis comme toi, tous voient passer et s’évanouir pères, frères, amis . La patrie n’est point ici-bas ; l’homme vainemen
n lit, et la veille et la soigne comme le frère soigne son frère et l’ ami son ami. De ces deux hommes, lequel a vraiment ac
t la veille et la soigne comme le frère soigne son frère et l’ami son ami . De ces deux hommes, lequel a vraiment accompli l
le solennel732. Même, nous eussions appelé le héros dont vous fûtes l’ ami  ; il n’eût pas dédaigné de venir à vos funéraille
e nous le connûmes, soldat sans tache, capitaine habile et intrépide, ami fidèle de son prince, serviteur ardent et désinté
.) Lettre a *** Vivre dans l’avenir Sorèze, 9 juin 1857. Mon ami , Vous êtes bon et aimable dans tout ce que vous m
ette verve amère de quelques philosophes ; mais il n’en est pas moins ami de l’humanité, sans déclamation ; et quoiqu’il fû
els, médité longtemps, dicté avec ardeur, déclamé à quelques oreilles amies , et souvent à sa noble et spirituelle femme, chac
aux yeux, et le prie de lui fixer les termes du remboursement. « Mon ami , je ne prête jamais, » fut la seule réponse qu’il
cette nature. « Euler773, le grand Euler, était très pieux. Un de ses amis , ministre dans une église de Berlin, vint lui dir
le, le ministre découvrit le monde de la science. Euler attendait son ami avec impatience. Il arrive enfin, l’œil terne, et
s’aperçut qu’il frissonnait et lui cria : Tu trembles, Bailly. — Mon ami , j’ai froid, répondit avec douceur la victime. Ce
arrêt : c’était un acte formel, rédigé dans sa propre langue par cet ami et compatriote qui s’était fait l’introducteur de
ents ou retranchés dans des forteresses. Alors, chefs ou subalternes, amis ou ennemis, tout se réunit pour l’écraser799. Il
acta ; il y eut guerre, et Jacques fut vainqueur, parce que plusieurs amis de ses ci-devant maîtres désertèrent pour embrass
a forte empreinte de son intelligence dans les événements. Il a été l’ ami ou le maître des hommes les plus considérables de
se et non en vers, et qu’il a le langage plus naturel, écrivant à ses amis des lettres charmantes, toutes semées de mots sim
onné ainsi mon argile ! » Ducis était de cette race de philosophes, d’ amis de la retraite et de la Muse, qui n’entendent rie
donnerais un grand coup à quiconque voudrait m’en arracher. Mon cher ami , le monde ira comme il plaira à Dieu : je me suis
nde ira comme il plaira à Dieu : je me suis fait ermite. » « Oui, mon ami , j’ai épousé le désert, comme le Doge de Venise é
comme mon pouls et mes affections innocentes et pastorales. Mon cher ami , je lis la vie des Pères du Désert : j’habite ave
s’apprennent pas, c’est la famille qui les inspire. Je suis, mon cher ami , comme un pauvre hibou, tout seul, sicut nycticor
mme un ours qui philosophe dans le creux de sa montagne. Et vous, mon ami , vous regardez le berceau de votre petit enfant,
e qu’il avait perdu, cela le menait à dire :   « Que voulez-vous, mon ami  ? il n’y a point de fruit qui n’ait son ver, poin
on bouquet, le seul sans doute que la saison eût pu lui offrir : “Mon ami , ajouta-t-il avec une figure dont l’expression m’
ole. Vous n’avez pas eu de camarades866, mais vous avez eu beaucoup d’ amis . Vos ouvrages ont fait tout seuls leurs affaires.
de Poussin, ses moindres paroles étaient recueillies par Claude, son ami , avec déférence et respect ; et cependant, à ne c
in du centaure ne bronchait pas. Chaque cavalier passait, riant à des amis qui étaient sur leurs portes, les yeux en flammes
le second de personne. Il fut Vergniaud. Plus glorieux qu’utile à ses amis , il ne voulut pas les conduire ; il les immortali
, pour adoucir la fin de Raphaël par les soins et les entretiens d’un ami . Je rencontrai, en descendant, le long de l’escal
s, les Prisonniers du Caucase et la Jeune Sibérienne. La mort d’un ami Heureux celui qui possède un ami ! J’en avais
eune Sibérienne. La mort d’un ami Heureux celui qui possède un ami  ! J’en avais un : la mort me l’a ôté ; elle l’a s
fatigable,, caché sous l’herbe qui couvre la tombe silencieuse de mon ami . La destruction insensible des êtres et tous les
grand tout. — La mort d’un homme sensible qui expire au milieu de ses amis désolés, et celle d’un papillon que l’air froid f
ui a ordonné à mon cœur de battre et à mon esprit de penser. Non, mon ami n’est point entré dans le néant ; quelle que soit
’ils font, pour ainsi dire, partie de moi-même, et chaque site est un ami que je vois avec plaisir tous les jours. Le Mili
ux arbres, et il me semble que tous les êtres de la création sont des amis que Dieu m’a donnés. Le Lépreux. — Vous m’encour
cœur se refuse à les croire. Je me représente toujours des sociétés d’ amis sincères et vertueux ; je crois les voir errant e
e la forêt, en priant Dieu de les animer pour moi, et de me donner un ami  ! Mais les arbres sont muets, leur froide écorce
teur sans prendre votre avis. — Oh ! sire, dit-elle, si vous aviez un ami qui se fût dévoué pour vous, l’abandonneriez-vous
rands hommes inconnus. Enfin, peut-être verrai-je mourir mon meilleur ami . Accuserai-je Dieu ? Non. Je me tairai. Sachez, m
e dans les ballate, faisant parler le mort lui-même pour consoler ses amis en leur donnant des conseils. À mesure qu’elle im
r Ravaillac le 14 mai 1610. 271. Maître d’hostel de Henri IV, un des amis particuliers de François de Sales. Il fut l’inter
enserade, etc. 298. Satires, IX, 27. 299. 1603-1660 ; littérateur, ami et correspondant de Voiture. Pauquet est son secr
nq auteurs » travaillant pour le Cardinal, l’avait toujours traité en ami et avait écrit des vers à sa louange. 320. À qu
r Corneille sous le titre de Excuse à Ariste. Il y refuse à un de ses amis quelques couplets, répondant que cent vers lui co
à Saint-Cyr, dont une lettre de cachet la retira en 1697. Elle fut l’ amie de Fénelon et correspondit avec Bossuet. 434. Su
sé pour être gouverneur du duc de Bourgogne. — Chevreuse (le duc de), ami de Fénelon. — Novion (le Premier Président de), d
. 41. 472. « On a de Fénelon une lettre sur la mort de son meilleur ami , l’abbé de Langeron : elle est triste, elle est c
tre des finances après Colbert (1683-1689). Il fut le protecteur et l’ ami de Rollin. Il écrivit le Comes rusticus (1692), l
552. Ce petit garçon que vous voyez là-bas, disait Thémistocle à ses amis , est l’arbitre de la Grèce, car il gouverne sa mè
qui a compté, par ses écrits, parmi les économistes, qui s’appelait l’ ami des hommes, et qui a été si dur pour son fils, le
Salon où elles se faisaient. 581. J.-B. Greuze (1725-1805). Diderot, ami de Greuze et de Vernet (Joseph), goûtait particul
dédicace, v. 7). 624. Prononcé par Apollonius, philosophe stoïcien, ami de Marc-Aurèle. L’originalité de cette compositio
le chose que de ne rien faire. 646. Allusion à un mot célèbre de son amie Mme de Sévigné, écrivant à sa fille : j’ai mal à
Gelée, dit le Lorrain (1600-1682), vécut à Rome comme le Poussin, son ami . Le Louvre possède plusieurs de ses tableaux. 66
blée nationale. Envoyé à l’échafaud en 1793, à l’âge de 33 ans. — Ses amis étaient les députés Duport et Charles et Alexandr
46 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
t aussi neuf ici, que les vertus mêmes qui l’inspiraient. Disciple et ami (deux titres alors inséparables) du plus grand ph
 ? C’est Dieu seul qui le sait ». Dans le second discours, Criton, l’ ami de Socrate, vient le trouver dans sa prison, lui
st prêt, et qu’il ne tient qu’à lui d’échapper à ses persécuteurs. «  Ami , lui répond Socrate, mon sort est changé ; mes pr
ennel avec nous, tu outrages ceux qui l’ont le moins mérité, toi, tes amis , ta patrie, et nous surtout, nous qui deviendrons
47 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
donner une louange Qui demeure éternellement4. À la mémoire d’un ami …………… L’Orne, comme autrefois, nous reverrai
amitiés. 1. Comparez cette page de Xavier de Maistre : « J’avais un ami  ; la mort me l’a ôté… Je ne m’en consolerai jamai
n poursuivre son chant infatigable, caché sous l’herbe qui couvre mon ami . La destruction d’un homme sensible qui expire au
n ami. La destruction d’un homme sensible qui expire au milieu de ses amis désolés, et celle d’un papillon que l’air froid d
48 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
e d’un monstre marin : devant un pareil tableau, pourriez-vous, ô mes amis , vous empêcher de rire ? Voilà pourtant, jeunes P
llement au sujet. Le Chœur est le défenseur naturel, le conseiller, l’ ami de la vertu ; c’est lui qui apaise les ressentime
ront sans effort. Quand on sait ce que l’on doit à sa patrie et à ses amis , à la piété filiale, à l’amour fraternel, à l’hos
: et Dieu me pardonne, s’il a le bonheur de distinguer jamais le faux ami de l’ami véritable. Mais vous, sortant de faire u
me pardonne, s’il a le bonheur de distinguer jamais le faux ami de l’ ami véritable. Mais vous, sortant de faire un présent
dont ils veulent sonder le cœur ; et la torture du vin leur révèle l’ ami vraiment digne de confiance. Vous, si jamais vous
. Vous, si jamais vous faites des vers, ne soyez pas dupe de ces faux amis , cachés sous la peau du renard. Quand on lisait q
ous adorer vous-même, à genoux devant votre génie. Ainsi fait un sage ami  : critique judicieux, il n’a ni pitié ni excuse p
Aristarque enfin. Ce n’est pas lui qui dira : à quoi bon chicaner un ami pour des bagatelles ? — Mais ces bagatelles, malh
lles auront des suites funestes, en livrant à la risée publique votre ami perdu sans retour. Voyez cet infortuné que tourm
9se terminât en un poisson 10hideusement noir (repoussant) : 11 mes amis , admis à voir cela, 12retiendriez-vous votrè ri
(qui sait) 890ce qu’il doit à sa patrie, 891et ce qu’il doit à ses amis  ; 892 celui qui sait de quel amour 893un père d
st assez heureux pour savoir 1227trouver-la-différence-entre 1228un ami menteur, 1229et un ami véritable. 1230Toi, soit
voir 1227trouver-la-différence-entre 1228un ami menteur, 1229et un ami véritable. 1230Toi, soit que tu aies donné, 123
Et il ne dira point : 1299« Pourquoi, moi, offenserais-je 1300« un ami dans des bagatelles ? » 1301 C’est que ces bagat
us securitatis urbanœ custos, au dire de Velléius Paterculus, était l’ ami intime d’Horace. Il avait deux fils qui partageai
incu que personne, à Rome, n’aurait fait une pareille observation à l’ ami de Mécène, au poëte qui était en si grande faveur
is…. Page 50. — 1. In Metii descendat judicis aures…. Métius Tarpa, ami d’Horace, excellent juge en poésie, est le même d
Vir bonus et prudens, etc. On fera bien de comparer ce portrait d’un ami prudent et éclairé à celui du critique impartial
49 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
urs têtes humiliées, j’élève une voix vers toi, mais non pas une voix amie  ; je ne prononce ton nom, ô soleil ! que pour te
plus ferme dans le choc, il remportât la victoire ou mourût avec ses amis . Chaque tribu se ralliait sous un symbole : la pl
tage par sa sagacité qu’il n’en surmonta par sa fermeté. Il était bon ami  ; il eût même souhaité d’être aimé du peuple ; ma
vial, facile, empressé à faire son devoir envers le roi, à servir ses amis et n’inspirant à ses ennemis ni ressentiment ni c
faim. Peut-il être un malheur au nôtre comparable ? — Ce malheur, mes amis , est-il irréparable ? Dit le prélat, et moi ne pu
Père, mère, enfants, tous sont tombés à ses pieds. « Levez-vous, mes amis , mais quelle erreur étrange ! Je suis votre arche
eine dans Cambrai serai-je avant l’aurore ; Je crains d’inquiéter mes amis , ma maison…. — Oui, dit le villageois, oui, vous
ses jugements fermes sur toutes choses, développaient chez son jeune ami une indépendance et une fierté natives qu’une lon
a sœur et le frère, Le père avec le fils, la fille avec la mère ; Les amis , les amants, et la femme et l’époux, Le roi près
de l’orage ! Où Bacchus, pour cacher ses mystères divins,             Ami des retraites propices,            À travers les
ger, usurpateur avide. Le ciel les fit humains, hospitaliers et bons, Ami des doux plaisirs, des festins, des chansons. A
suivi dans les combats,     Ont-ils revu tous le village ? De tant d’ amis ne me parlez-vous pas ?     Sur leurs corps l’ét
ux. Mais une voix qui sort du vallon solitaire Me dit : « Viens : tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens : tu veux reste
gazon rustique, Sur les bords du ruisseau pur et mélancolique ! Vous, amis des humains et des champs et des vers, Par un dou
enfermant mes cendres endormies Des mots partis du cœur et des larmes amies  ! J. Chénier. Le Bonheur des champs Heur
cès, Cet autre ses amours ; d’autres, plus indiscrets, Comme moi d’un ami tentant la patience, De leurs vers nouveau-nés lu
Ajax le plaça dans ses vers. La Fable le nomma le coursier de Silène. Ami des voluptés, il naquit pour la peine. Et moi qui
céros, et quelquefois même ose braver le lion. Buffon. Les vrais Amis Il ne faut point compter sur les amis d’une a
ion. Buffon. Les vrais Amis Il ne faut point compter sur les amis d’une amitié superficielle, ni s’en servir sans u
oucement : tantôt on a une affaire ; tantôt une autre. Pour les vrais amis , il faut les choisir avec de grandes précautions,
cautions, et par conséquent se borner à un fort petit nombre. Point d’ ami intime qui ne craigne Dieu, et que les pures maxi
que bonté de cœur qu’il ait. Choisissez, autant que vous pourrez, vos amis dans un âge un peu au-dessus du vôtre ; vous en m
re ; vous en mûrirez plus promptement. À l’égard des vrais et intimes amis , un cœur ouvert, rien pour eux de secret que le s
ais aveugle sur les défauts et sur les divers degrés de mérite de vos amis  ; qu’ils vous trouvent au besoin, et que leurs ma
ent au besoin, et que leurs malheurs ne vous refroidissent jamais. Un ami malheureux est plus propre qu’un autre soulager l
s vertus. La Bruyère. Le Prêtre Un prêtre est, par devoir, l’ ami , la providence vivante de tous les malheureux, le
ltère ! Vengez Agamemnon !… Envoyez-moi mon frère ! Dans le sein d’un ami que je verse mes pleurs !… Électre, abandonnée et
uvé, Et par où l’un périt un autre est conservé.     Voilà, mes chers amis , ce qui me met en peine. Vous, qui me tenez lieu
prême, Odieuse aux Romains, et pesante à moi-même ; Traitez-moi comme ami , non comme souverain ; Rome, Auguste, l’État, tou
e qu’une table remplie de trop de viandes ; que, pour se bien montrer ami de ceux que l’on invite, il faut que la frugalité
illeure chose du monde ? Je vis l’autre jour sur le théâtre un de mes amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la
terre, ris donc. » Ce fut une seconde comédie que le chagrin de notre ami  : il la donna en galant homme à toute l’assemblée
je m’en réjouis, et je ne manquerai pas de l’avertir que tu es de ses amis . Hai, hai… Dorante. Ris tant que tu voudras. Je s
s d’être de l’avis des autres, pour avoir la gloire de décider. Notre ami est de ces gens-là. Il veut être le premier de so
Rodolphe. Non ; mais, ayant agi comme il fallait agir, Tu peux à tes amis te montrer sans rouvrir ; Je te serre la main, mo
, sans daigner même essayer de me ramener d’autres maximes ! Et vous, amis de la paix, qui dénoncez au peuple, avec la véhém
triomphe de vos prétentions, l’éternité de vos privilèges ; généreux amis de la paix, j’interpelle ici votre honneur, et je
dans tous les âges, les aristocrates ont implacablement poursuivi les amis du peuple ; et si, par je ne sais quelle combinai
n monstre quand on manque de reconnaissance pour son père, ou pour un ami de qui on a reçu quelque secours : et on fait glo
oyeux.           Je mangerai qui dira le contraire. Mais toi, mon bon ami , j’en aurais du chagrin, Je ne toucherai pas un s
, son équipage est beau ;           Il attroupe la populace. L’autre, ami des humains, jaloux de leur bonheur,           Po
raient dans les temples, allaient voir des femmes ou visitaient leurs amis , avec ¿es armes offensives, et qu’il n’y avait pr
s, mon cher. Faites état de moi, monsieur, comme du plus chaud de vos amis . Monsieur, je suis ravi de vous embrasser. Ah ! m
ant les sucs d’un terrain ennemi, Ces racines courir vers un sol plus ami . Ce mouvement des eaux, et cet instinct des plant
 : plein de sa défiance, Rarement des mortels il souffre la présence. Ami des champs, ami des asiles secrets, Sa triste ind
éfiance, Rarement des mortels il souffre la présence. Ami des champs, ami des asiles secrets, Sa triste indépendance habite
sait pas encor ce que c’est qu’un perfide ; Son hôte, son parent, son ami , lui font peur : Tout son cœur s’épouvante au nom
nière, Souffre à peine une main qui ferme sa paupière ; Pas un ancien ami qu’il cherche encor des yeux ; Et le soleil lui s
e terre. Florimond a cédé aux instances de ses nombreux et indiscrets amis , et il consent à ébaucher à ses heures perdues un
era un poème épique. Vous a-t-il vu trois fois au bal ? vous êtes son ami intime. A-t-il lu un livre qui lui a plu ? c’est
craque et se rompt à tout moment. A. de Musset 78. Le Rêve d’un ami des lettres Quelle est l’âme sensible aux let
a Fontaine. Derniers Adieux Tu te trompes assurément, mon cher ami , s’il est bien vrai, comme M. de Soissons me l’a
ais ce n’est pas de quoi je manque Je t’assure que le meilleur de tes amis n’a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà
uccès, ou cherché à m’éclairer et à instruire les autres ! » Oui, mon ami , voilà de quoi vous rendre malheureux à jamais. J
ur ; si votre manière de penser n’est pas la sienne, s’il n’est pas l’ ami de vos amis, s’il est celui de votre rival, s’il
re manière de penser n’est pas la sienne, s’il n’est pas l’ami de vos amis , s’il est celui de votre rival, s’il est votre ri
; mais je veux qu’on observe l’art : l’art est de cacher l’art. Notre ami n’est point un tuyau, comme tant d’autres ; c’est
l citait aux persuadés. Ces temps-ci ne sont pas les mêmes. Que notre ami nous raccoutume à regarder avec quelque faveur le
me faut du nouveau, n’en fût-il plus au monde, a dit le siècle. Notre ami a été créé et mis au jour tout exprès pour les ci
besoin d’appeler là tant de ressources étrangères. Joubert 85. L’ Ami d’un Ministre. À M. de Fontanes, grand maître de
iaison se fortifia toujours de plus en plus, surtout lorsque ces deux amis , qui n’avaient rien de secret l’un pour l’autre,
une noble émulation. Chacun de nous, plus sensible à la gloire de son ami qu’il la sienne propre, cherchait, non l’emporter
bon copiste pour n’être pas grammairien. Parlez-moi confidemment, mon ami  ; n’avez-vous rien trouvé, en écrivant, qui vous
’écria-t-il, ce qu’on appelle avoir du goût et du sentiment ! Va, mon ami , tu n’as pas, je t’assure, l’oreille béotienne. »
i s’avance…        Du Klephte, qui meurt dans vos bras, Préparez, mes amis , la demeure dernière. Que mon tombeau soit vaste,
du jour ici je ne vis pas. Le mari. La bâtisse s’achève ; avec notre ami Jacques Bientôt je reviendrai, nous serons joyeux
confrérie ! Les rimeurs se sont tus ! l’orgue n’a point chanté ! Des amis , un surtout, pleurant sur ton cadavre, Quelques m
ou égoïstes, misérables, bonnes à cacher loin de toute lumière ? Nos amis , notre pays, le désir trop souvent confondu de sa
là. « Eh ! vous voilà, mon cher Cicéron, disait à celui-ci un de ses amis qu’il rencontrait à Baïa, au retour de son gouver
50 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
r le bien public, implacable contre la bassesse, aussi franc avec ses amis que terrible pour ses ennemis, vraiment épris de
ames qui avaient veillé et dormi dans cette chambre contèrent à leurs amis ce qui s’y était passé. Personne n’en fut surpris
alent si rare, et qu’il avait au dernier degré, qui lui tint tous ses amis si entièrement attachés toute sa vie, malgré sa c
uverneur du duc de Bourgogne Il s’adjoignit Fénelon, dont il devint l’ ami , et auquel il resta fidèle dans la disgrâce. 1.
suet parlait plus haut, ou le croyait plus emporté. L’un avait plus d’ amis , et, pour ainsi parler, plus d’adorateurs que l’a
51 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
ni par le nombre des adversaires qui croissent, ni par le défaut des amis qui manquent ? Le Prince, ch. xxii. De la ma
s’en faut que nous ne sachions autant de gré à qui médit, voire d’un ami , qu’à qui nous adjuge la préséance sur un concurr
révenez ce temps-là, je vous conjure, et n’attendez pas à être de ses amis jusques à ce que vous y soyez contraint. Que si v
illeure chose du monde ? Je vis l’autre jour sur le théâtre un de mes amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la
arterre, ris donc. Ce fut une seconde comédie que le chagrin de notre ami  : il la donna en galant homme à toute l’assemblée
je m’en réjouis, et je ne manquerai pas de l’avertir que tu es de ses amis . Hai, hai… DORANTE. Ris tant que tu voudras. Je s
s d’être de l’avis des autres, pour avoir la gloire de décider. Notre ami est de ces gens-là. Il veut être le premier de so
ommes, dès l’enfance, du soin de leur honneur, de leur bien, de leurs amis , et encore du bien et de l’honneur de leurs amis.
leur bien, de leurs amis, et encore du bien et de l’honneur de leurs amis . On les accable d’affaires, de l’apprentissage de
eux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu’une seule chose qui man
quel objet a-t-il en tout cela ? Celui de se vanter demain entre ses amis de ce qu’il a mieux joué qu’un autre. Ainsi les a
rt pénible. C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille, c’est en les en
is avec vous et avec votre cher solitaire73… Notre cher et malheureux ami a parlé deux heures ce matin, mais si admirableme
cher monsieur ; priez notre solitaire de prier Dieu pour notre pauvre ami . Lettres des 1er et 2 décembre 1664. Au même.
uange… (Samedi.) Louez Dieu, monsieur, et le remerciez : notre pauvre ami est sauvé75 Je suis si aise que je suis hors de m
et de l’Orient, qu’Antoine menait avec lui, sont dissipées ; tous ses amis l’abandonnent, et même sa Cléopâtre, pour laquell
jour destiné, cette dernière maladie, où, parmi147 un nombre infini d’ amis , de médecins et de serviteurs, vous demeurerez sa
p pour sa sépulture : car, en cette fatale maladie, que serviront ces amis , qu’à vous affliger par leur présence ; ces médec
ans votre maison avec un empressement inutile ? Il vous faut d’autres amis , d’autres serviteurs : ces pauvres, que vous avez
s secourir. Que n’avez-vous pensé de bonne heure à vous faire de tels amis , qui maintenant vous tendraient les bras, afin de
béni ; leurs saints anges veilleraient autour de votre lit comme des amis officieux ; et ces médecins spirituels consultera
il que Fulvie et Mélanie l’ont condamné sans l’avoir lu, et qu’il est ami de Fulvie et de Mélanie. Arsène, du plus haut de
niforme, et il n’est responsable de ses inconstances qu’à ce cercle d’ amis qui les idolâtrent ; eux seuls savent juger, save
, n’est ni sobre ni tempérant ; et d’un troisième qui, importuné d’un ami pauvre, lui donne enfin quelque secours, l’on dit
rgner à notre pays ces douloureuses épreuves. Esprit hardi mais sage, ami du progrès sans rompre avec le passé, magistrat é
ira pas du plaisir de voir que ses châtiments me feront abandonner un ami . » Un jour, Callisthène me dit : « Les dieux immo
ant pour son principal lieutenant général Montmorency-Bouteville, son ami , devenu duc de Luxembourg, toujours attaché à lui
rre le respectent, et il est en paix avec toute la nature : il vit en ami plutôt qu’en roi au milieu des nombreuses peuplad
s’approchant de l’homme, pourvu qu’il trouve en nous ses hôtes et ses amis , et non ses maîtres et ses tyrans. Chez nos ancêt
l’empire littéraire de son temps. Depuis quatre ans, un jeune prince, ami du peuple, s’était assis sur un trône que les exc
les peuples. La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis est la plus douce qu’on puisse désirer : celle de
le spectacle de nos luttes civiles, la mort d’un grand nombre de ses amis , et le renversement de sa fortune, qu’il devait a
éril n’est-elle point troublée ? Et reconnaissez-vous au front de vos amis Qu’ils soient prêts à tenir ce qu’ils vous ont pr
un effet contraire, Leur front pâlir d’horreur et rougir de colère. «  Amis , leur ai-je dit, voici le jour heureux Qui doit c
mé de brigues ? Combien de fois changé de partis et de ligues, Tantôt ami d’Antoine, et tantôt ennemi, Et jamais insolent n
z le pouvoir que vous m’avez commis, Si donnant des sujets il ôte les amis , Si tel est le destin des grandeurs souveraines Q
s juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu’à vous. Soyons amis , Cinna, c’est moi qui t’en convie521 : Comme à mo
ers ; mais j’ai lieu d’espérer Que je pourrai bientôt vous montrer en amie Huit chapitres du plan de notre académie. Platon
assent ; Et son trop de lumière, importunant les yeux, De ses propres amis lui fait des envieux. La mort seule ici-bas, en t
vos bras ensanglantés735. Britannicus mourant excitera le zèle De ses amis , tout prêts à prendre sa querelle. Ces vengeurs t
ous file             Un regard amoureux768 ! Et puissent les mortels, amis de l’innocence, Mériter tous les soins que votre
’état de domesticité, mais qui a de l’éducation, et qu’elle traite en amie  : elles ont été, en effet, camarades de pension.
omte, serviteur. LE COMTE, à Pasquin. Cher comte !… Nous voilà grands amis , ce me semble783. LISIMON. Ma foi, je suis ravi q
c elle on ne familiarise785 ; Et ma maxime à moi, c’est qu’entre bons amis Certains petits écarts doivent être permis. LE CO
tre bons amis Certains petits écarts doivent être permis. LE COMTE. D’ amis avec amis on fait la différence. LISIMON. Pour mo
mis Certains petits écarts doivent être permis. LE COMTE. D’amis avec amis on fait la différence. LISIMON. Pour moi, je n’en
ma naissance Sont un peu délicats sur les distinctions, Et je ne suis ami qu’à ces conditions. LISIMON. Ouais ! vous le pre
ous attend. Venez, d’un air soumis, Prévenant, la prier d’être de vos amis . LYCANDRE. Soumis, vous entendez ? LE COMTE, d’un
sagement d’une honnête opulence, À vivre avec soi-même, à servir ses amis , À se moquer un peu de ses sots ennemis, À sortir
nt porté ! » À ces cris douloureux, le peuple est agité : Une foule d’ amis , que son danger excite, Entre elle et ses soldats
es, Les frères méconnus, immolés par leurs frères : Soldats, prêtres, amis , l’un sur l’autre expirants : On marche, on est p
Polyphonte couvert d’une robe sanglante.) MÉROPE. Guerriers, prêtres, amis , citoyens de Messène, Au nom des dieux vengeurs,
te ces dieux Que c’est là votre roi qui combattait pour eux. ÉGISTHE. Amis , pouvez-vous bien méconnaître une mère ? Un fils
sont pas là, toutefois, ses seuls titres de gloire. Dans ce généreux ami d’une liberté réglée par les lois, qui, aux jours
des humains, Dont le nom aux autels remplit nos fastes saints ; Avoir amis , enfants, épouse belle et sage ; Errer, un livre
tutélaire, Qui viens d’une insensible et charmante langueur Saisir l’ ami des champs et pénétrer son cœur, Quand, sorti ver
e. La dernière prière du poète à ses amis847. L’espoir que des amis pleureront notre sort Charme l’instant suprême et
anquille, Qu’à mes mânes éteints je demande un asile : Afin que votre ami soit présent à vos yeux, Afin qu’au voyageur amen
leurs auront en vain promis. Oui, je vais vivre encore au sein de mes amis . Souvent à vos festins qu’égaya ma jeunesse, Au m
etit nombre d’écrivains, les plus remarquables de tous. Les personnes amies de l’étude reconnaîtront ensuite aisément quels s
ission. Il fut l’un de ceux qui sauvèrent la vie de Fouquet. 75. Les amis de Fouquet avaient longtemps craint pour sa tête 
oit que cette furie peut faire plus de bien que de mal à notre pauvre ami . » 76. Par des signaux convenus. 77. Le roi, c
son génie. » Et encore la lettre du 16 mars 1672 : « Vive notre vieil ami Corneille ! Pardonnons-lui de méchants vers en fa
dans les Femmes savantes : Nul n’aura de l’esprit, hors nous et nos amis . 195. Cette expression, fort employée au xviie
us avantageuse que je pouvais moi-même désirer. » 250. « Les vrais amis , écrivait-il en 1714, font toute la douceur et to
ible contient le récit des malheurs de Job et ses entretiens avec ses amis et avec Dieu. Voy. chap. III, v. 14. 301. Chap. 
lier à ce récit familier « écrit pour lui-même et quelques-uns de ses amis  ». 413. Les Grenouilles. Cette comédie, qui sou
r. Jadis, il avait salué sa bienvenue en France, en 1600, lorsque son ami du Perrier l’avait présenté à la jeune reine. Quo
était naturel et nécessaire au cœur du poète qui s’est écrié : Qu’un ami véritable est une douce chose ! Voy. la 11e fabl
au-dessus de tout éloge . Dans l’apologue qui précède celui des deux Amis , en parlant d’un prêtre de Flore et de Pomone, La
s sont beaux ; mais je voudrais parmi         Quelque doux et discret ami . Ce sont là de ces vers qui ont fait justement é
nt, caché pour ainsi dire à la fin du vers, et qui cependant, pour un ami , renferme tant de choses ! 558. Pour lacs c’est-
s pompeuses de Vaux, racontées par La Fontaine, dans une lettre à son ami Maucroix. Celui-ci composait aussi des vers, parf
Mais la postérité a confirmé par son suffrage ce mot de Molière, son ami  : « Nos beaux esprits ont beau se trémousser, ils
ra bientôt de sa faiblesse. 599. On a prétendu que Molière, toujours ami de la vérité, lit jouer, lors des premières repré
abbé Colin, qui signala le sonnet et le madrigal à l’attention de son ami , en lui donnant l’idée de les insérer dans l’exce
’en avait pas moins compris l’excellence ; et, soutenant dès lors son ami contre les rigueurs de ses juges, il lui avait di
mémoire de Jean-Baptiste, on doit rappeler qu’il eut et conserva pour amis des hommes dignes de la plus haute estima, tels q
ans façon jusqu’à la vulgarité, de ce Lisimon, traitant les valets en amis , avec l’outrecuidance du comte, qui fût voulu, à
miroir et fit peigner ses cheveux pour avoir l’air moins défait. Ses amis entrèrent : Eh bien ! leur dit-il, trouvez-vous q
52 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Eugénie de Guérin , 1805-1848. » pp. 578-584
ours ordinaire des choses, quand tout est changé au cœur ! Mon pauvre ami , quel vide tu me fais ! Partout ta place sans t’y
Oh ! le cœur voudrait tant immortaliser ce qu’il aime ! Maurice, mon ami , vit toujours ; il s’est éteint, il a disparu d’i
r les rapports de cette plante avec tous les règnes de la nature. Mon ami , je suis ce fraisier en rapport avec la terre, av
insectes qui logent dans l’épaisseur d’une feuille. De tout cela, mon ami , quel volume ! » 1. Nous lisons ailleurs : «
53 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
on d’abdiquer. (26 juillet 1882). • Lettre du président Pasquier à un ami , en lui annonçant la mort de Ronsard (1583). Il a
été écrite en 1604. (31 juillet 1882). • Lettre de Rotrou à un de ses amis de Rouen pour lui raconter la première représenta
représentation de l’Antigone de Sophocle. « .Je suis encore, mon cher ami , sous l’impression du spectacle grandiose auquel
age. Puis, après une mention donnée à Scipion Émilien et à Lélius son ami , tous deux orateurs distingués et qui furent très
eur, que Cicéron, en relatant sa mort, appelle un homme divin, puis l’ ami est le confident de Crassus, Antoine, qui parvint
remières charges de la République, et enfin Hortensius, le rival et l’ ami de Cicéron. Mais c’est ce dernier qui fut sans co
éveloppement. — Au xvie siècle, Antoine de Baïf, de concert avec ses amis Ronsard, du Bellay, comme lui élèves de Jean Dora
d’Antoine de Baïf était féconde, et survécut à l’institution que ses amis avaient laissé périr. Dès 1612, un littérateur, D
nt, en le priant de lui donner son avis ; un jour, Conrart invita ses amis à venir lire les poésies de Godeau, et cette prem
principaux moralistes de notre littérature sont : Montaigne7, et son ami La Boétie, Charron, Pascal, La Rochefoucauld, La 
qu’on lui députe après une première défaite, ni Patrocle, son fidèle ami , qui le conjure de reprendre les armes quand Hect
uvage ; il abjure sa résolution et se dispose à venger la mort de son ami . Le jour suivant, il extermine l’armée troyenne e
sur ses malheurs et ses souffrances qu’il envoie à sa femme ou à ses amis . Les Pontiques, ainsi nommées à cause du lieu d’e
à cause du lieu d’exil d’Ovide, sont des épîtres qu’il adresse à ses amis , pour qu’ils interviennent auprès d’Auguste. Si n
tant plus d’enthousiasme que le sacrifice est plus grand. Il n’est ni ami , ni frère, ni époux ; il le dit lui-même : J’acc
avait rendu un témoignage analogue à ce chef-d’œuvre en disant à son ami  : « Vous n’avez rien fait de plus fort, » et en l
celui d’Alceste qui ne devient comique qu’une fuis impatienté par son ami et poussé aux dernières exagérations des sentimen
it. Il ne se lasse pas de rendre service, sans se faire valoir, à son ami , toujours maussade ; il lui fait la leçon sans hu
t 1884) Tacite, au moment de composer ses Annales, écrit à un de ses amis . Il lui dit quelle est la période de l’histoire r
jugera les événements et les hommes. Développement. — Tacite à son ami … Salut. Je médite encore un ouvrage, toujours his
nter, où d’autres ne m’aient pas précédé déjà. Je vais donc, mon cher ami , vous exposer mes projets, mes réflexions à ce su
scus et d’autres victimes du despotisme impérial. S’il faut, mon cher ami , prendre parti, dans mes écrits, pour une secte p
18. — Adieu. [5] (29 juillet 1884) Lettre de Rotrou à un de ses amis de Rouen pour lui raconter la première représenta
alors que l’on a joué pour la première fois la tragi-comédie de notre ami M. Pierre Corneille. Vous auriez assisté à la plu
spère que vous ne tarderez pas à rendre cet hommage au génie de notre ami et vous verrez que je n’exagère rien dans cette l
poétiques qu’on est convenu d’appeler secondaires ; cependant que son ami lui permette de lui confier que cette lecture lui
l’on peut ainsi parler ; notre poète, au contraire, en parle comme un ami  ; on dirait qu’il a vécu au milieu d’eux, qu’il a
onde du devoir qu’il est appelé à remplir envers le héros qui fut son ami , et une crainte sincère de n’atteindre pas, par s
est mort, et ce malheur aussi cruel qu’inattendu nous prive tous d’un ami vénéré et beaucoup d’entre nous d’un bienfaiteur
telle va couronner la vie si laborieuse et si pénible de notre pauvre ami . En effet, quelle gloire peut-on comparer à la si
cet état primitif et humble de la comédie parmi nous, notre illustre ami , après avoir quelque temps végété, méconnu et jal
54 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
oiqu’il eût lui-même donné l’exemple de la facilité avec laquelle les amis d’une puissance étrangère pourraient influer sur
à propos en sortant de la tribune, par ses largesses ou celles de ses amis , a entraîné à la guerre du Péloponnèse… qui ? l’a
sans intérêt et sans crainte, s’honoreront jusqu’au tombeau de leurs amis et de leurs ennemis. Mme de Staël (1766-1817
ontinua Corinne, fut consacré par Agrippa, le favori d’Auguste, à son ami , ou plutôt à son maître. Cependant ce maître eut
ur de l’édifice. Crescentius, Arnault de Brescia, Nicolas Rienzi, ces amis de la liberté romaine, qui ont pris si souvent Le
a changé leur âme en un instinct perverti. Schiller était le meilleur ami , le meilleur père, le meilleur époux ; aucune qua
ait pour elle, ont adouci ses derniers moments. Mme de Wollzogen, une amie digne de le comprendre, lui demanda, quelques heu
ns ce moment auprès de ses pareils, et n’a-t-il pas déjà retrouvé les amis qui nous attendent ? Ibid., chap. viii. L
Francs que je rencontrai au milieu du champ du carnage ! Ces fidèles amis , plus tendres que prudents, afin d’avoir dans le
evant ces mots, le jeune Franc s’incline et meurt sur le corps de son ami . Leurs belles chevelures se mêlent et se confonde
ajoute ses chaînes indestructibles aux liens qui unissaient les deux amis . Cependant les bras fatigués portent des coups ra
êmes conseils pour la faire arriver au même résultat ! Sire, j’ai été ami de Votre Majesté depuis six ans. Je ne veux point
ficile au monde d’obtenir, ce qu’un sage demande vainement à quelques amis , un père à ses enfants, une épouse à son époux, u
échoué. Ils ont conquis le monde, et ils n’ont pu parvenir à avoir un ami . Je suis peut-être le seul de nos jours qui aime
ui a jeté tant d’éclat sur la France et dans le monde, n’avait pas un ami dans tout son royaume, même dans sa famille. Il e
se remue pour moi en Europe ? Qui m’est demeuré fidèle ? Où sont mes amis  ? Oui, deux ou trois, que votre fidélité immortal
ononcer. Le trouble passe, la colère demeure ; celle de Pym et de ses amis fut au comble ; ils pressèrent la seconde lecture
ur-le-champ ; en même temps, il promit de tout faire pour décider ses amis à se contenter du bannissement du comte : tout ai
suivi de son frère, des ministres de l’Église et de plusieurs de ses amis , s’agenouilla un moment, puis se relevant pour pa
uilla de nouveau et pria un quart d’heure ; puis se tournant vers ses amis , il prit congé de tous, serrant à chacun la main
r de l’île de Wight, la dernière retraite où l’avaient suivi quelques amis fidèles. Les presbytériens qui voulaient traiter
uru, avec le feu duc de Buckingham, à la mort du roi son père : « Mon ami , lui répondit Charles avec mépris et douceur, si
orte. Juxon et Herbert tombèrent à genoux : « Relevez-vous, mon vieil ami  », dit le roi à l’évêque en lui tendant la main.
pesant engourdissement de la portion divine de notre nature. Que les amis de la vie religieuse et de la foi chrétienne ne s
uc, élevant la voix, leur parla en ces termes : « Mes vrais et loyaux amis , vous avez passé la mer pour l’amour de moi et vo
ison paternelle pour aller vivre avec plus de liberté chez une de ses amies à Caen. Son père avait autrefois, par quelques éc
’abord frapper Marat au faîte même de la Montagne et au milieu de ses amis  ; mais elle ne le pouvait plus, car Marat se trou
illeux avec courage ; il se compromit pour servir les intérêts de ses amis persécutés, il refusa la place de gardien de la b
sujet, et bravé par ton frère ! Adieu, tu peux partir. Raconte à tes amis Et l’accueil et les vœux que je garde à mes fils2
eureux, Le besoin enchanteur, le besoin d’être deux297, De dire à son ami ses plaisirs et ses peines ? D’un zéphyr indulgen
vain éclat, et vivant pour moi-même, Sans épancher mon cœur, sans un ami qui m’aime, Porterai-je moi seul, de mon ennui ch
ui chargé, Tout le poids d’un bonheur qui n’est point partagé ? Qu’un ami sur mes bords soit jeté par l’orage, Ciel ! avec
ert, de la feinte ennemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d’un ami . D’un ami ! ce nom seul me charme et me rassure.
feinte ennemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d’un ami. D’un ami  ! ce nom seul me charme et me rassure. C’est avec
n ami. D’un ami ! ce nom seul me charme et me rassure. C’est avec mon ami que ma raison s’épure, Que je cherche la paix, de
uyons au village. Nous fuyons. Plus de soins, plus d’importune image. Amis , la liberté nous attend dans les bois. Sans nous
as d’un regard ennemi ; Je vous plains seulement, vous n’avez point d’ ami . Poésies diverses. À mes pénates300
C’est le tendre regret, dont les charmes flatteurs Font des lieux nos amis , en font nos bienfaiteurs321 ; Pareils à ces espr
quels regrets touchants viennent aigrir ses peines ! Ses parents, ses amis , qu’il ne reverra plus, Et ces nobles travaux qu’
embrassée, il devint poète dramatique. Il était naturel que Chénier, ami du bruit, impatient de renommée, fut vivement att
he. On ouvre, et les licteurs annoncent son approche : Va trouver mes amis , autrefois si nombreux ; Va, recommande un père à
héros on devient criminel ! TIBÈRE. Oui : voilà les discours que vos amis répandent, Que vous favorisez, que ces voûtes ent
 ? Ah ! Tibère est prudent ; mais Tibère est-il juste ? On va juger l’ ami , le collègue d’Auguste ! On parle de punir ; le g
s de ton mausolée Tes frères gémissants, ta mère désolée387, Quelques amis des arts, un peu d’ombre et de fleurs ; Et ton je
x. Mais une voix qui vient du vallon solitaire Me dit : « Viens ; tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens ; tu veux reste
ique, Sur les bords du ruisseau pur et mélancolique ! Là quelquefois, amis , daignez vous rassembler, Là prononcez l’adieu ;
’ont suivi dans les combats, Ont-ils revu tous le village ? De tant d’ amis ne me parlez-vous pas ? Sur leurs corps l’étrang
endormi, Aux lèvres du mourant collé dans l’agonie, Comme un dernier ami  ; Pour éclaircir l’horreur de cet étroit passag
s ta mère en pleurs et la nature en deuil ; Tu laissas comme nous tes amis sur la terre, Et ton corps au cercueil ! Au nom
doute. LOUIS, avec émotion. D’accord. Tu le verras. Sans doute.Faux ami , M’as-tu trouvé pour toi généreux à demi ? Va, tu
avec le bienfaiteur. On paye un courtisan, on paye un serviteur ; Un ami , sire, on l’aime ; et n’eût-il pour salaire Qu’un
chez toi. (En le conduisant jusqu’à son appartement.) Sur la foi d’un ami , dors d’un sommeil tranquille. (Après avoir fermé
, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami  : je hais ou je méprise ; L’effroi me tord le cœu
it cette confidence dernière : J’ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaîté ; J’ai perdu jusqu’à la fierté Qui fa
re à mon génie. Quand j’ai connu la Vérité, J’ai cru que c’était une amie  ; Quand je l’ai comprise et sentie, J’en étais dé
uré. A. de Musset eut-il le courage de ressaisir cette vérité, cette amie qu’il avait entrevue ? Du moins dans les dernière
différents me croiront insensé. À qui m’adresserai-je, et quelle voix amie Consolera ce cœur que le doute a blessé ? Il exi
our pleurer avec toi descends du haut des cieux. Viens ; tu souffres, ami . Quelque ennui solitaire Te ronge ; quelque chose
. LE POËTE. S’il ne te faut, ma sœur chérie, Qu’un baiser d’une lèvre amie Et qu’une larme de mes yeux, Je te les donnerai s
il s’aperçoit que le sacrifice est plus dur qu’il ne l’avait cru. Ses amis le délaissent, le père de sa fiancée le repousse.
le fille dont la fortune doit lui rendre l’aisance. Rodolphe, le seul ami qui lui soit resté, le détourne de ce projet et l
RODOLPHE. Non ; mais, ayant agi comme il fallait agir, Tu peux à tes amis te montrer sans rougir ; Je te serre la main, moi
de la lutte, Vous flattez la victoire et flétrissez la chute ; Soyons amis  ! — Salut, ô pieux débauché, Que le mot effarouch
ison : Heureux, tu compteras des amitiés sans nombre ; Mais adieu les amis , si le temps devient sombre. RODOLPHE. Eh quoi !
gueilleux, c’est moi seul ; à moi seul est la faute ; Je suis mauvais ami  ; George a raison. — Ah ! ciel ! Quoi ! comment r
de pas à reprendre courage. Il se décide à suivre les conseils de son ami et à embrasser une vie humble et laborieuse. Il t
ison funèbre. 152. Mémoires, liv. VIII. « Je me souviens qu’une des amies de Buffon m’ayant demandé comment je parlerais de
’Abbaye-aux-Dames, puis dans la maison de son père et chez sa vieille amie , est empreint d’une fraîcheur toute poétique. Mai
e cette pensée de Fénelon : « Il serait à souhaiter que tous les bons amis s’entendissent pour mourir ensemble le même jour.
sses supérieures de M. Léon Feugère. 344. À la nouvelle qu’un de ses amis , M. de Pastoret, venait d’être arrêté à Passy, il
avait vu dans les mains de Pison des papiers qu’il ne publia pas. Ses amis répétèrent que c’étaient des lettres de Tibère et
rappellent la 7e élégie d’André Chénier, où le poète adressait à ses amis une semblable prière : Vous-mêmes choisirez à me
oins, priant la vierge, sa bonne dame, sa petite maitresse, sa grande amie , de lui obtenir son pardon. » Plusieurs historien
gnante… On a fort loué et fait ressortir ce personnage de Rodolphe, l’ ami âgé de trente ans, plus mûr, plus sage, point tro
55 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
rre le respectent, et il est en paix avec toute la nature : il vit en ami plutôt qu’en roi parmi ces nombreuses peuplades d
s’approchant de l’homme, pourvu qu’il trouve en nous ses hôtes et ses amis , et non ses maîtres et ses tyrans1. Le blé
constance pour achever, de l’amitié pour vos rivaux, du zèle pour vos amis , de l’enthousiasme pour l’humanité : voilà ce que
l’enthousiasme pour l’humanité : voilà ce que vous connaît un ancien ami , un confrère de trente ans, qui se félicite aujou
e je serais bien aise de vous lire. Soyez donc plus heureux, mon cher ami  ; personne ne mérite plus que vous de l’être en t
’avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure ; Amis , n’en croyez rien ; l’oiseau mélodieux D’un plus
uper le lendemain à l’autre. D’une société de trois ou quatre intimes amis , il faut voler à l’opéra, à la comédie, voir des
56 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
s ailes aux oiseaux, la raison aux hommes. — 6. Tout est commun entre amis . — 7. Le plaisir est commun aux hommes et aux bêt
aisir est commun aux hommes et aux bêtes. — 8. Cornélius Balbus était ami intime de César. — 9. La ville de Rome a produit
siciens. — 15. Les palais des rois sont remplis d’hommes mais vides d’ amis . § 132. Complément des comparatifs. ve
lleure des choses. — 9. La plus grande des pertes, c’est de perdre un ami . — 10. Les Parthes furent longtemps les plus obsc
este ; il était très-libéral pour tout le monde, très-fidèle pour ses amis . Les poëtes Virgile et Varius furent chéris d’Aug
fond de la superstition. — 8. Il est doux d’assister au triomphe d’un ami . — 9. Il est malheureux d’être éloigné de sa patr
i lui appartenait devient la propriété du mari. — 5. Ce qui est à mon ami est à moi. — 6. Ni l’avenir ni le passé n’est à n
s ce qu’ils désirent. — 10. Le tyran ne croit ni à la fidélité de ses amis , ni à la piété de ses enfants. — 11. Le roi Mauso
econnaissant et passer pour tel. — 3. Les hommes de cœur doivent être amis de la vérité. — 4. Rome peut être appelée la comm
us grandes prospérités, nous devons avoir recours aux conseils de nos amis . — 11. Les hommes doivent se tenir en garde contr
t du soin à acheter leurs chevaux, et sont négligents à choisir leurs amis . — 11. Crassus ne connaissait de mesure ni dans l
éputée inviolable. Mais souvent ils ne furent ni de vrais ni de sages amis du peuple. Cicéron a jugé pernicieuse la puissanc
. Combien de vin absorbait Antoine ! — 4. Personne n’a jamais assez d’ amis . — 5. Métellus, devant partir pour la guerre cont
e. La ville paraissait devoir être difficile à prendre. Alors Zopyre, ami du roi, se déchire tout le corps de blessures dan
aravant un royaume, fut réduite en province sous son règne. Des rois, amis du peuple romain, fondèrent, en l’honneur d’Augus
s le sommes. — 2. Êtes-vous en colère ? Non. — 3. Le fils d’un de mes amis est venu me faire une visite. « Étudiez-vous ? »
evoirs de la justice. — 16. Apprenons à mourir. — 17. Demandons à nos amis des choses honnêtes. — 18. Ne désirez pas le bien
ux ans avant Rome. — 7. Je perdrai la vie plutôt que d’abandonner mes amis . — 8. Zénon d’Élée, qui avait tenté d’affranchir
port situé entre Cyrène et l’Égypte, il tomba malade et mourut : ses amis , pour pouvoir le transporter plus facilement à Sp
d’y aller. — 7. La plupart des hommes choisissent de préférence pour amis ceux dont ils espèrent retirer le plus grand prof
vis qu’il ne fallait pas rendre les prisonniers. Ensuite, quoique ses amis et ses proches s’efforçassent de le retenir, et q
unt ! corrigé. 1. Alexandre ordonna d’adorer comme un dieu son ami Éphestion. — 2. Alexandre ordonna que son corps f
evait les yeux, et reprenant peu à peu ses sens, il avait reconnu ses amis qui l’entouraient. Son inquiétude d’esprit aggrav
mains, et de périr dans sa tente d’une mort obscure et vulgaire. Ses amis le priaient en vain de ne pas aggraver le péril p
ixit. corrigé. Meurtre de Clitus. Alexandre avait invité ses amis à un festin. Échauffé par le vin, il se mit à s’é
olait d’avoir, dans un festin et parmi les coupes, donné la mort à un ami , à un vieillard innocent. Il était ému surtout de
n ami, à un vieillard innocent. Il était ému surtout de voir tous ses amis plongés dans la stupeur. S’abandonnant d’abord au
vaincues, quelle haine, quelle crainte il avait inspirée à ses autres amis , combien il avait rendu ce festin triste et amer.
rapporte que ses restes furent inhumés secrètement en Attique par ses amis . § 210. Tel, tel qui, tel que. version
a lui-même. — 8. Quoique le sage se suffise à lui-même, il a besoin d’ amis . — 9. Cicéron a satisfait tous les autres, mais i
ux fils consuls, et même année. — 5. Nous jouissons de la joie de nos amis autant que de la nôtre, et de même nous souffrons
a nôtre, et de même nous souffrons de leurs douleurs ; si nous sommes amis , ce qui est à vous est à moi, et de même tout ce
gé. 1. Nous donnons très-aisément des conseils aux autres. — 2. Un ami véritable est comme un autre moi-même. — 3. Caton
es vieillards. — 7. On vit avec un tyran d’une autre façon qu’avec un ami . — 8. La sagesse, qu’est-ce autre chose qu’un don
ls soient, disait Cicéron, n’ont jamais fait défaut aux périls de mes amis . — 9. La grandeur d’âme convient à tous les homme
désirons être riches, mais encore pour nos enfants, nos parents, nos amis , et surtout pour notre patrie. — 4. Fréquentez le
d’étoffes précieuses, en manière de tentes. En tête s’avançaient les amis et l’escorte du roi, le front ceint de fleurs et
il fut très-facile d’obtenir de lui la grâce de Marcellus. — 2. Étant amis comme nous le sommes, tu peux juger mieux que per
qu’il voulait acheter une maison de plaisance, où il pût inviter ses amis , et se divertir à l’abri des importuns. Ce bruit
riche ; il en donna tout ce qu’on voulut. Le lendemain, il invite ses amis  ; il vient lui-même de bonne heure ; il ne voit p
Alors seulement Popilius lui tendit la main, comme à un allié et à un ami . version 259. Marathonia pugna. Athenien
licitudine summâ nescire non possum. Vale. corrigé. Pline à son ami Fabius Justus, salut. Voilà bien du temps que
is montibus, quàm Minervam inerrare. Vale. corrigé. Pline à son ami Tacite, salut. Tu vas rire, et tu en auras le
es jumeaux, s’entretenaient clairement et intelligiblement avec leurs amis  ; ils ne parlaient pas la langue des Auronces, de
iam. corrigé. 1. Il tarde à l’exilé de revoir le visage de ses amis . — 2. Verrès, ayant appris que Diodore de Malte p
enterré. Cette perte peut être douloureuse pour nous, qui perdons nos amis pour l’éternité ; mais elle n’est rien pour toi,
ous eussiez vu l’homme et le lion se réjouir, se féliciter, comme des amis qui renouvellent connaissance. Ce spectacle si ex
venait d’un des complices. Il résolut de s’en venger, et convoqua ses amis pour leur demander conseil. Il passa la nuit sans
 ; il ordonna de contreman[illisible chars][texte coupé] aussitôt les amis qu’il avait convoqués ; il appela [illisible char
je te la donne de nouveau comme à un traître et à un assassin. Soyons amis à partir de ce jour. Luttons entre nous deux à qu
Cinna n’osât pas le demander. Il le compta désormais au nombre de ses amis les plus dévoués et les plus fidèles, et il ne fu
ibus credere, et nulli. corrigé. Comment on doit vivre avec ses amis . Regarder comme son ami un homme à qui l’on ne
corrigé. Comment on doit vivre avec ses amis. Regarder comme son ami un homme à qui l’on ne se fie pas autant qu’à soi
trangement, et méconnaître la force de la véritable amitié. Que votre ami soit le confident de toutes vos délibérations ; m
te par ses soupçons. Quelle raison de retenir aucune parole devant un ami  ? Quelle raison, en sa présence, de ne pas me cro
gens qui racontent au premier venu ce qui ne se doit confier qu’à des amis  ; d’autres, au contraire, craignent de mettre dan
’autres, au contraire, craignent de mettre dans leur confidence leurs amis les plus chers, et gardent tous leurs secrets ren
57 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
beaux ans, l’espoir de son vieil âge, Ses compagnons des champs, ses amis de voyage5 ; Et de paix, de vertus, d’études ento
u toit ; L’hirondelle rasant l’auge où le cygne boit. Tous ces hôtes, amis du seuil qui les rassemble, Famille de l’ermite,
emis, en facilitant ma retraite, vous avez plus fait pour moi que mes amis les plus chers ! » André Chénier essayait encore
cher sur la charrette qui les portait à l’échafaud, il récitait à son ami une scène d’Andromaque. 1. Comparez à l’élégie
58 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
lui-même 2 Vous voulez que je vous trace le portrait d’un de vos amis et des miens, d’un original que vous connaissez a
ison, non pas par cabale. Sa réputation n’a jamais été à charge à ses amis , et n’a rien coûté qu’à lui-même. Quand il a été
des gens qui lui plaisent, il demeure au dedans de lui-même. Avec ses amis , il aime à discourir et à se répandre au dehors ;
en en ôter sans y retrancher quelque chose de nécessaire. Enfin votre ami vaudrait encore mieux, s’il pouvait s’accoutumer
59 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
nde qui ne permet pas même à l’absence de nous effacer du cœur de nos amis . Il nous sert aussi d’asile à nous-mêmes contre l
rive. Je me sens un obstacle à tout bien pour mes enfants et pour mes amis . Pardon de vous peindre un éclat1 si maladif de l
par sa beauté, reine des salons sous l’Empire. Les deux plus intimes amis de madame de Staël, Mathieu de Montmorency et mad
deviennent des services qu’une âme fière ne peut supporter. Parmi mes amis , il en est qui se sont associés à mon sort avec u
60 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
du moins qu’elle paraisse libre, et qu’en suivant le sentiment de nos amis , ils soient persuadés que c’est aussi le nôtre qu
t aussi le nôtre que nous suivons. Il faut être facile à1 excuser nos amis , quand leurs défauts sont nés avec eux, et qu’ils
e par imprudence. On doit aller au-devant de ce qui peut plaire à ses amis , chercher les moyens de leur être utile, leur épa
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
demeures, et on espère en lui2. Tous les jours, sauf le dimanche, des amis viennent faire visite, et le feu, toujours allumé
êtes à jamais privés des douceurs de leur commerce. Vous perdrez des amis , les seuls amis qu’on soir sûr de garder toute sa
rivés des douceurs de leur commerce. Vous perdrez des amis, les seuls amis qu’on soir sûr de garder toute sa vie2. Pour quel
62 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
habilement de toutes les circonstances favorables à l’orateur ou à l’ ami . Celle d’un tribunal si extraordinaire, et de for
rque rapporte que Milon, qui connaissait la timidité naturelle de son ami , lui avait conseillé de se faire apporter en liti
ignit dès lors que son discours ne blessât le consul, sans sauver son ami . C’est ce qui lui inspira, sans doute, le passage
que Cicéron va rendre si intéressant dans le reste du plaidoyer, d’un ami courageusement dévoué à la cause de son ami, ne s
reste du plaidoyer, d’un ami courageusement dévoué à la cause de son ami , ne séparant plus ses intérêts des siens et brava
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
ns qu’un mot. Si M. Victor Hugo a les défauts de ses qualités, si ses amis mêmes ont pu lui reprocher de la bizarrerie ou de
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j’aime, Frères, parents, amis et mes ennemis même   Dans le mal triomphants, De
2. Le même sentiment a été exprimé par Xavier de Maistre, pleurant un ami . Il est comme instinctif, ce contraste entre nos
quente. Rapprochez les pages où Xavier de Maistre pleure la mort d’un ami  ; elles se terminent ainsi : « Celui qui éleva ce
i a ordonné à mon cœur de battre, et à mon esprit de penser. Non, mon ami n’est point entré dans le néant ; quelle que soit
64 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
t fondé l’Avenir avec MM. de Montalembert et Lacordaire, attrista ses amis par l’éclat d’un naufrage où sombrèrent leurs plu
ù pour jamais il n’y aura plus ni vicissitudes, ni larmes. Adieu, mon ami  ; je vous serre sur mon cœur1. (Correspondance, p
le sens du mot nation, et d’en faire d’abord ses partisans, puis ses amis , puis sa famille, qui n’est qu’un terme décent po
dans une autre lettre à M. de Coriolis : « Je vous assure, mon cher ami , qu’on est heureux de regarder l’avenir du fond d
rie de dire combien je suis sensible à leur souvenir. Vous savez, mon ami , quelle place vous tiendrez toujours dans le mien
65 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
t, et il est certain que l’on sera embarrassé pour écrire à un de ses amis une lettre sur un sujet imaginaire, tandis qu’il
nt peints dans les lignes suivantes de M. Xavier de Maistre. C’est un ami qui exhale ses regrets sur la perte qu’il vient d
exhale ses regrets sur la perte qu’il vient de faire. La Perte d’un Ami Sa mort eût été utile à son pays et funeste aux e
vaient s’entendre, qui prenaient dans ce trouble un inconnu pour leur ami , et qui couraient sans savoir où tendaient leurs
, et dont nous ne rapportons ici que quelques lignes, La Maison, les Amis , les Plaisirs de Jean-Jacques à la campagne s’il
t riche Là, je rassemblerais une société plus choisie que nombreuse d’ amis , aimant le plaisir et s’y connaissant, de femmes
t tout bas : « Pour un seul que de biens ! « À son large festin que d’ amis se récrient ! « Ce riche est bien heureux, ses en
er, fortune, honneurs, notre vie même, au bien de nos parents, de nos amis , de nos concitoyens et de l’humanité en général.
66 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
de la Méthode 29, extraits des 1re, 2e et 3e parties. À un de ses amis , qui venait de faire une perte douloureuse dans s
terminer. C’est ainsi qu’Apollon agit dans Oreste : ce prince et son ami Pylade, accusés par Tyndare et Ménélas de la mort
e plus grand effort de l’amitié n’est pas de montrer nos défauts à un ami , c’est de lui faire voir les siens. Nous pouvons
e de l’éternité de ma condition future. » Qui souhaiterait avoir pour ami un homme qui discourt de cette manière ? Qui le c
araître honnête, fidèle, judicieux et capable de servir utilement son ami , parce que les hommes n’aiment naturellement que
elle les rend heureux à l’envi de la raison95, qui ne peut rendre ses amis que misérables, l’une96 les couvrant de gloire, l
’un coup de foudre, biens, honneurs, réputation, serviteurs, famille, amis et santé, sans consolation et sans commerce qu’av
rt pénible. C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille, c’est en les en
t-elle, m’avez-vous oubliée ? Songez que je suis votre plus ancienne, amie , celle qui ne vous a jamais abandonnée, la fidèle
6 si parfaite et si achevée. C’est un homme de vingt-huit ans, intime ami de M. de Tulle, qui l’emmène avec lui dans son di
frayeurs211, contre la malignité de ses ennemis, et enfin contre ses amis , ou partagés, ou irrésolus, ou infidèles ? Que ne
fesseur, pour en demander pardon au monde, à ses domestiques et à ses amis . On lui répondit par des sanglots : ah ! répondez
iste monument, vous, dis-je, qu’il a bien voulu mettre au rang de ses amis  ? Tous ensemble, en quelque degré de sa confiance
nous vantez et par ce dédaigneux sourire. Pour Dieu, comme disait cet ami de Job229, ne pensez pas être les seuls hommes, e
ruines de celui qui nous a vus naître. Nos plus proches parents, nos amis les plus chers, tout se précipite dans le tombeau
naquit le 16 janvier 1675, et mourut le 2 mars 1755. Fils d’un ancien ami de Louis XIII et filleul de Louis XIV, il ne sut
occupèrent sa vie. Sous la régence du duc d’Orléans, dont il était l’ ami , il fut assez activement mêlé aux affaires ; ensu
rgner à notre pays ces douloureuses épreuves. Esprit hardi mais sage, ami du progrès sans rompre avec le passé, magistrat é
rtir. À mesure qu’il s’éloignait, il voyait diminuer le nombre de ses amis  ; la division se mettait parmi eux, et ils se rep
t de l’armée du due de Cumberland356 est dans l’île. Le prince et ses amis furent obligés de passer la nuit dans un marais p
la mort vint finir tant de désastres. Il ne restait au prince, à ses amis et aux matelots qu’un peu d’eau-de-vie pour soute
t, et s’en fit reconnaître. Elle se jeta à ses pieds : le prince, ses amis et elle fondaient en larmes, et les pleurs que ma
sile avait été enlevé la nuit avec toute sa famille. Le prince et ses amis se cachent encore dans des marais. Onel enfin va
petit roman, dans une lettre, on vous vous égayerez, pour égayer vos amis . Mais une pensée fine, ingénieuse ; une comparais
aute noblesse. Mais celui-ci, éclairé par les conseils de l’un de ses amis , Néarque, est sur le point d’abjurer le paganisme
. Dans vos brusques chagrins je ne puis vous comprendre ; Et, quoique amis , enfin, je suis tout des premiers… ALCESTE, se le
je suis tout des premiers… ALCESTE, se levant brusquement. Moi, votre ami  ? rayez cela de vos papiers. J’ai fait jusques ic
différence ; Je veux qu’on me distingue, et, pour le trancher net, L’ ami du genre humain n’est point du tout mon fait. PHI
pourra-t-il ne s’échauffer de rien ? Et s’il faut, par hasard, qu’un ami vous trahisse, Que, pour avoir vos biens, on dres
is longtemps, cette estime m’a mis Dans un ardent désir d’être de vos amis . Oui, mon cœur au mérite aime à rendre justice, E
justice, Et je brûle qu’un nœud d’amitié nous unisse. Je crois qu’un ami chaud, et de ma qualité, N’est pas assurément pou
qu’ils ont peint si noir et si terrible, Fut un esprit doux, simple, ami de l’équité, Qui, cherchant dans ses vers la seul
, assez doux de visage, Ni petit, ni trop grand, très peu voluptueux, Ami de la vertu plutôt que vertueux. Que si quelqu’un
rdochée, devenue, à cause de sa beauté, l’épouse d’Assuérus) ; Élise ( amie d’Esther) ; Thamar (personnage de la suite d’Esth
regarde en pitié son peuple malheureux, Disions-nous : un roi règne, ami de l’innocence. Partout du nouveau prince on vant
nts. Je ne veux qu’une grâce, elle me sera chère : Je l’attends comme ami , je la demande en père. Mon fils, remettez-moi ce
pourrait venger la terre ; Et j’aurais les mortels et les dieux pour amis , En révérant le père et punissant le fils. ALVARE
est pourtant de cette guérite, C’est de ce céleste tombeau, Que votre ami , nouveau stylite765, À la lueur d’un noir flambea
sont pas là, toutefois, ses seuls titres de gloire. Dans ce généreux ami d’une liberté réglée par les lois, qui, aux jours
ux anses774. — « Mange et bois, dit Lycus ; oublions les souffrances. Ami , leur lendemain est, dit-on, un beau jour775. » —
pour souffrir. — Il est né pour changer. — Il change d’infortune ! —  Ami , reprends courage : Toujours un vent glacé ne sou
jardins immenses, Offrit à mon travail de justes récompenses. « Jeune ami , j’ai trouvé quelques vertus en toi ; Va, sois he
ent une couronne à chacun de ses jours ; Et quand une mort douce et d’ amis entourée Recevra sans douleur sa vieillesse sacré
scrit sa vie. De ses concitoyens dès longtemps envié, De ses nombreux amis en un jour oublié, Au lieu de ces tapis qu’avait
lements Répondant seuls la nuit à ses gémissements ; N’ayant d’autres amis que les bois solitaires, D’autres consolateurs qu
il expire, affamé, nu, proscrit, Maudissant, comme ingrat, son vieil ami qui l’aime. Parle : était-ce bien lui ? le connai
Il en gardait encore un douloureux effroi. Je le connais ; je fus son ami comme toi. D’un même sort jaloux, une même injust
etit nombre d’écrivains, les plus remarquables de tous. Les personnes amies de l’étude reconnaîtront ensuite aisément quels s
profondes et les hautes abstractions de la science, badiner avec ses amis de la façon la plus agréable. À cette époque, ce
e il croit Il irait embrasser la virile qu’il voit ; Mais de ses faux amis il craint la raillerie, Et ne brave ainsi Dieu qu
le roi commua très injustement en celle de la prison perpétuelle. Les amis de Fouquet avaient longtemps tremblé pour sa tête
nant l’arrêt : « Louez Dieu, monsieur, et le remerciez : notre pauvre ami est sauvé. » Il paraît certain qu’une prodigalité
ul crime. Au moins plaça-t-il bien ses largesses ; il sut choisir ses amis  : de là les dévouements qu’il trouva dans son mal
un art qui se montre peu et une éloquence touchante. » Au nombre des amis qui restèrent toujours fidèles à Fouquet pendant
s serez fidèle, honnête, humble, reconnaissant, bienfaisant, sincère, ami véritable. À la vérité, vous ne serez point dans
un adversaire dans La Fontaine : voy. Fab., X, 1. 256. « Les vrais amis , écrirait-il en 1714, font toute la douceur et to
que lui firent, dans un moment de mieux, les harengères de Paris, ses amies fidèles. « Elles arrivèrent en plusieurs carrosse
l n’obtint qu’un très médiocre succès auprès de cette compagnie, trop amie du bel esprit ; le public vengea Corneille. La Ha
II, fab. 15). À la mort de cette dame, La Fontaine se retira chez son ami M. d’Hervart. 477. C’est-à-dire en faire un sage
surtout c’est de la part de ceux qu’on regardait comme ses meilleurs amis , on finit par prendre en haine tout le genre huma
seul but de Molière, en opposant l’un à l’autre un esprit indulgent, ami de la société, et un fougueux ennemi des travers,
rappelé ici la confidence que plus d’un grand seigneur, dans une cour amie des lettres, lui avait faite de ses essais poétiq
lui avait faite de ses essais poétiques. Si l’on en croit Brossette, ami de Boileau et auteur d’un commentaire perdu sur M
7. On sait gré à Philinte de vouloir ainsi diriger le jugement de son ami , prévenir ou adoucir, du moins, les brusques effe
, à l’époque du Misanthrope, ce sens avait beaucoup vieilli. 527. M’ amie , écrivait-on autrefois, et non sans raison : c’ét
M’amie, écrivait-on autrefois, et non sans raison : c’était pour ma amie , que l’on avait alors le bon sens de dire au lieu
pour ma amie, que l’on avait alors le bon sens de dire au lieu de mon amie . Tous les changements n’ont pas été des progrès.
tout aussitôt et proclama dans cette tragédie le chef-d’œuvre de son ami  ; cette opinion de l’arbitre du goût et de quelqu
sophie alors régnante. 738. En particulier au marquis de Mirabeau, l’ ami des hommes, le père de l’orateur. 739. . Une par
67 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
eté les deux ouvrages nouveaux, et je lis en ce moment celui de votre ami . Voilà le pronom celui, régime du verbe lis, et e
celui, régime du verbe lis, et en même temps régissant du substantif ami  : = Votre frère veut un peu trop tard apprendre à
riches citoyens sont égaux dans le sanctuaire de la justice : = votre ami a une profonde connaissance de la géographie anci
. On dira bien : votre faute n’est pas pardonnable : le sort de votre ami est déplorable. Mais on ne pourra pas dire : vous
ble. Mais on ne pourra pas dire : vous n’êtes pas pardonnable : votre ami est déplorable. Il faudrait plutôt dire : vous n’
plorable. Il faudrait plutôt dire : vous n’êtes pas excusable : votre ami est à plaindre. Ainsi ce vers de Racine n’est pas
général. On a souvent besoin d’un plus petit que soi….. Obliger ses amis , c’est s’obliger soi-même. Mais si l’on parle de
hoses : = pensez-vous à moi ? Oui, j’y pense : = souvenez-vous de mon ami . Je m’en souviendrai. Règles concernant les pr
ertée, une dépense excessive, et la perte d’un procès ont ruiné votre ami . Exceptions à cette règle. Cette règle souf
e dites donc pas : les rois sont soumis et dépendants de Dieu : votre ami paraît digne et bien propre à remplir la place qu
t dire : les rois sont soumis à Dieu, et en sont dépendants : = votre ami paraît digne de la place qu’il occupe, et bien pr
e suivante : Chargé du crime affreux dont vous me soupçonnez, Quels amis me plaindront quand vous m’abandonnez ? Ou lassés
m’abandonnez ? Ou lassés ou soumis, Ma funeste amitié pèse à tous mes amis . Toujours redoutée, il ne lui manquait (à la
autre temps du verbe, précédé du relatif qui. = J’ai rencontré votre ami , partant (ou, qui partait) pour la campagne. = Vo
68 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
r soumettra son travail à la correction d’un maître, au jugement d’un ami judicieux et sincère, et écoutera avec docilité l
tera avec docilité les avis du vir bonus et prudens d’Horace, de l’ ami sage, mais inflexible de Boileau. En cela, il ne
épistolaires proprement dites. Après avoir lu au titre : Lettres à un ami , après quelques mots d’introduction, on voit disp
s à un ami, après quelques mots d’introduction, on voit disparaître l’ ami , et on s’aperçoit bientôt que l’auteur n’a adress
ec une personne absente, de communiquer ses pensées à un parent, à un ami dont on est éloigné ; on a des relations d’amitié
onsiste la convenance dans les lettres adressées à des égaux ou à des amis  ? S’il n’est jamais permis de prendre un ton de
e, et de ne pas se livrer sans précaution et sans prévoyance. — Entre amis , on peut s’abandonner au sentiment, et laisser co
lettres d’amitié. Cependant, comme on doit avoir bonne opinion de ses amis , et leur donner bonne opinion de soi, il faut se
lles soient toujours convenables, honnêtes et pures. En écrivant à un ami , on sera réservé sur la plaisanterie. Elle porte
. Si la chose est facile à obtenir, il ne faut pas insister. Avec des amis sûrs et éprouvés, un laconisme plein de franchise
enance, si c’est à l’occasion d’un petit service ou d’un cadeau entre amis . II. — Lettres dans l’intérêt de la personne à
lettres de compliment. Elle est facile à faire lorsqu’il s’agit d’un ami  : on laisse parler le cœur et courir la plume, pa
clame, en faveur de quelqu’un, la bienveillance et la protection d’un ami ou d’une autre personne en position d’obliger. On
69 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
usage apprendra. Ex. : Meum casum luctumque doluerunt amici. Cic. Mes amis ont pris part à mon malheur et à mon affliction.
as se dirait de celui qui les souffre actuellement) ; amans virtutis, ami de la vertu (amans virtutem désignerait celui qui
cos tuos te beneficum ostende, montrez-vous généreux à l’égard de vos amis . XI Cette expression, âgé de, se rend éléga
actis, non ex dictis amici sunt pensandi. T. L. Il faut apprécier les amis d’après leurs actions et non d’après leurs parole
micorum successu œquè delectamur ac nostro. Les heureux succès de nos amis nous réjouissent autant que les nôtres. VII
: Sic est factum, ut amici tui dictitant. Il a été fait ainsi que vos amis se plaisent à le répéter. Ego sic existimo, orato
orêt. Imago veteris amici mihi venit in mentem. L'image de mon ancien ami s’est présentée à mon esprit. IX In avec l
s negligentes ne simus. Ne soyons pas négligents dans le choix de nos amis . 4° Il faut aussi remarquer cette locution si usi
ir. Amicum tibi neminem video præter teipsum. Je ne vous vois d’autre ami que vous-même. XVIII La préposition sub s’e
ve quibuslibet. Hor. Je ne lis mes vers à d’autres personnes qu’à mes amis  ; je ne les récite pas en tout lieu, ni en présen
uidem digna est. Cic. Non seulement la flatterie n’est pas digne d’un ami , mais elle n’est pas même digne d’un homme libre.
amicos esse credas quos vicisti, gardez-vous de considérer comme vos amis ceux que vous avez vaincus ; si c’était l’écrivai
intention était de contredire l’opinion d’un autre qui regarde comme ami celui qu’on a vaincu, il devrait dire : quos vice
70 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bernardin de Saint-Pierre, 737-1814 » pp. 357-367
cume. Il était alors impossible de recevoir quelque consolation d’un ami , ou de lui en donner. Le vent était si violent qu
gieux murmures que les chants des oiseaux, ou les doux entretiens des amis qui veulent se reposer sous vos ombrages1. Co
e ces reflets lunaires. Quelques dames et quelques jeunes gens de mes amis firent un jour avec moi la partie d’aller voir le
que subit Bernardin aux environs de Madagascar, et qu’il raconte à un ami dans une lettre, sans préoccupation littéraire. (
71 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
s fréquentes. Comptez, si vous le pouvez, ceux de vos proches, de vos amis , de vos maîtres, que la mort terrible a surpris t
trait et le capitaine me dit : « Ma foi, Gil Blas, je te conseille en ami de ne plus te jouer aux moines : ce sont gens tro
bon copiste pour n’être pas grammairien. Parlez-moi confidemment, mon ami  : n’avez-vous rien trouvé, en écrivant, qui vous
’écria-t-il, ce qu’on appelle avoir du goût et du sentiment ! Va, mon ami , tu n’as pas, je t’assure, l’oreille béotienne. »
cevoir de nouvelles forces. — Point de flatterie, interrompit-il, mon ami  ! Je sais que je puis tomber tout d’un coup. A mo
dépositaire de ses pensées, mais encore de peur que quelqu’un de ses amis ne soit assez franc pour vous prévenir. En ce cas
t pas si bien que les autres affecté l’auditoire. « Comment donc, mon ami , répliqua-t-il avec (étonnement, aurait-elle trou
ue jamais : j’ai du bien, de la naissance, je fais de la dépense, mes amis disent que j’ai quelque esprit ; mais je ne parle
géomètre. Je passais l’autre jour sur le Pont-Neuf avec un de mes amis  : il rencontra un homme de sa connaissance, qu’il
n’y parût, car il était dans une rêverie profonde : il fallut que mon ami le tirât longtemps par la manche, et le secouât p
uccès, ou cherché à m’éclairer et à instruire les autres ! » Oui, mon ami , voilà de quoi vous rendre malheureux à jamais. J
ur ; si votre manière de penser n’est pas la sienne, s’il n’est pas l’ ami de vos amis, s’il est celui de votre rival, s’il
re manière de penser n’est pas la sienne, s’il n’est pas l’ami de vos amis , s’il est celui de votre rival, s’il est votre ri
veille : ainsi, vous n’avez pas un moment pour penser à vous et à vos amis . Cela fait qu’une lettre à écrire devient un fard
et qui n’avez jamais pu prendre sur vous d’écrire régulièrement à vos amis , même dans les affaires intéressantes pour vous e
gronde beaucoup. Cela posé, songez donc à vous, et puis songez à vos amis  ; buvez du vin de Champagne avec des gens aimable
en état de boire un jour du vin qui soit à vous. N’oubliez point vos amis , et ne passez pas des mois entiers sans leur écri
sauvages, et deviendront, suivant d’autres circonstances, ennemis ou amis de leurs voisins ; mais lorsque, sous un ciel dur
mpagne. Toujours empressé pour son maître et prévenant pour ses seuls amis , il ne fait aucune attention aux gens indifférent
monsieur, me sont parvenus dans ma solitude239 ; et quoique tous mes amis connaissent l’amour que j’ai pour vos écrits, je
tions la franchise d’une âme droite, et dans mes discours le ton d’un ami de la vérité qui parle à un philosophe. Tous mes
le corps ou le cœur souffre, vous avez Tronchin pour médecin et pour ami  ; vous ne trouvez pourtant que mal sur la terre.
la bienveillance qui nous unissait tous. Mon chien lui-même était mon ami , non mon esclave : nous avions toujours la même v
d., p. 354 et suivantes. Vernet257. Vingt-cinq tableaux258 mon ami  ! vingt-cinq tableaux ! et quels tableaux ! c’est
frappe, de loin il vous frappe plus encore. Chardin261 et Vernet, mon ami , sont deux grands magiciens. On dirait de celui-c
dedans, et qui n’est plus en scène, le fils et le frère, le père et l’ ami , ont été pour beaucoup une révélation, et bien de
s crochus, au teint pâle et livide... Le comte. — Oh ! grâce, grâce, ami  ! Est-ce que tu fais aussi des vers ? Je t’ai vu
s ! Et vous qui m’avez connu, vous qui m’avez suivi sans cesse, ô mes amis  ! dites si vous avez jamais vu autre chose en moi
ler, pour tâcher de la distraire. « Est-ce que tu vois là-bas ton bon ami  ? » lui disaient-elles. Mais comme elles la voyai
us haut, tousse, crache, s’égosille et toujours : A boire au Roi. Mon ami (suppose que ce soit moi) ne pouvant comprendre c
son mot. Tu ne peux pas me donner une plus douce assurance, mon cher ami , que celle de ta constante tendresse ; quoique ce
ir. Ce qui ne m’en fait pas moins, c’est d’apprendre que tu es le bon ami de ta mère, et son premier ministre au départemen
la plume pour t’en demander raison, lorsque voilà la gente épître à l’ ami Xavier338 qui nous a fait un plaisir infini, en n
vous êtes ensemble, messieurs mes frères ? » Nous l’étions, mon cher ami , lorsque ta lettre est arrivée. Un beau matin que
on ! Je n’avais qu’à sortir de ma chambre pour vous trouver, mes bons amis . Ici tout est grand, mais je suis seul ; et, à me
; mais je veux qu’on observe l’art. L’art est de cacher l’art. Notre ami n’est point un tuyau, comme tant d’autres ; c’est
l citait aux persuadés. Ces temps-ci ne sont pas les mêmes. Que notre ami nous raccoutume à regarder avec quelque faveur le
me faut du nouveau, n’en fût-il plus au monde, a dit le siècle. Notre ami a été créé et mis au jour tout exprès pour les ci
pays, ce regret indéfinissable de la patrie, qui est indépendant des amis mêmes qu’on y a laissés, s’applique particulièrem
oujours légèrement de leurs malheurs, dans la crainte d’ennuyer leurs amis  : ils devinent la fatigue qu’ils pourraient cause
deux fois la succession du monde393. Vous croirez peut-être, mon cher ami , d’après cette description, qu’il n’y a rien de p
quelque jour : car j’irai à Toulouse, si je retourne en France. Deux amis , dans le même pays, m’attireront par une force qu
livré dès le lendemain aux plus amers regrets, au point d’accuser ses amis de lui avoir par surprise arraché un consentement
ucune de vos lettres, nous ne doutons pas, cher et toujours plus cher ami , que vous ne nous écriviez fréquemment ; mais le
s y résister longtemps. » C’est Fénelon qui écrit ainsi à l’un de ses amis . Il ne faut pas se plaindre de souffrir ce que ta
ononcer. Le trouble passe, la colère demeure : celle de Pym et de ses amis fut au comble ; ils pressèrent la seconde lecture
ur-le-champ ; en même temps, il promit de tout faire pour décider ses amis à se contenter du bannissement du comte : tout ai
suivi de son frère, des ministres de l’Église et de plusieurs de ses amis , s’agenouilla un moment, puis, se relevant pour p
illa de nouveau et pria un quart d’heure ; puis, se tournant vers ses amis , il prit congé de tous, serrant à chacun la main
uc, élevant la voix, leur parla en ces termes : « Mes vrais et loyaux amis , vous avez passé la mer pour « l’amour de moi et
gne. C’est le texte de ce traité qui est apporté au roi Louis XI. Ses amis , Rim et Coppenole, vinrent lui apporter ce splend
ivants, que nous en reste-t-il après la mort ? je le veux, une prière amie nous suit au-delà de ce monde, un souvenir pieux
i dit mon claqueur de tout à l’heure, j’adore votre poésie ; j’ai des amis qui vous applaudiront ; j’ai des dames qui ne cra
e goût que nous admirons. Les élogesque Boileau donne à ses illustres amis sont l’effet d’une affection solide et raisonnée 
re et de l’art ; c’est le plaisir d’en causer naïvement avec de vrais amis , dans ces entretiens qui ne coûtent rien à la rép
votre main nous file Un regard amoureux582 ! Et puissent les mortels, amis de l’innocence, Mériter tous les soins que votre
contrée en contrée ; Je déguisai partout ma naissance et mon nom : Un ami de mes pas fut le seul compagnon. Dans plus d’une
sage de la pièce, montre au jeune homme qu’il est la dupe de ce faux ami , et qu’il a grand tort de prendre le ton et les m
ar son succès bizarre, La méchanceté prouve à quel point il est rare. Ami du bien, de l’ordre et de l’humanité, Le véritabl
ois ; il peut-être applaudi ; Mais quelqu’un voudrait-il en faire son ami  ? VALÈRE. On le craint, c’est beaucoup650. Arist
le et paisible D’un esprit raisonnable et d’un cœur né sensible. Sans amis , sans repos, suspect et dangereux, L’homme frivol
illeux avec courage ; il se compromit pour servir les intérêts de ses amis persécutés ; il refusa la place de gardien de la
sujet, et bravé par ton frère ! Adieu, tu peux partir. Raconte à tes amis Et l’accueil et les vœux que je garde à mes fils6
eureux, Le besoin enchanteur, le besoin d’être deux669, De dire à son ami ses plaisirs et ses peines ? D’un zéphyr indulgen
vain éclat, et vivant pour moi-même, Sans épancher mon cœur, sans un ami qui m’aime, Porterai-je moi seul, de mon ennui ch
ui chargé, Tout le poids d’un bonheur qui n’est point partagé ? Qu’un ami sur mes bords soit jeté par l’orage, Ciel ! avec
ert, de la feinte ennemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d’un ami . D’un ami ! ce nom seul me charme et me rassure.
feinte ennemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d’un ami. D’un ami  ! ce nom seul me charme et me rassure. C’est avec
n ami. D’un ami ! ce nom seul me charme et me rassure. C’est avec mon ami que ma raison s’épure, Que je cherche la paix, de
quels regrets touchants viennent aigrir ses peines ! Ses parents, ses amis , qu’il ne reverra plus, Et ces nobles travaux qu’
e enhardit ses yeux ; .…  et    d’une    voix encore Tremblante : — «  Ami , le Ciel écoute qui l’implore. Ce soir, lorsque l
ux deux anses. « Mange et bois, dit Lycus ; oublions les souffrances. Ami , leur lendemain est, dit-on, un beau jour. » Bien
frir. » — « Il est né pour changer. — « Il change d’infortune ! » — «  Ami , reprends courage : Toujours un vent glacé ne sou
jardins immenses, Offrit à mon travail de justes récompenses. « Jeune ami , j’ai trouvé quelques vertus en toi ; Va, sois he
ent une couronne à chacun de ses jours ; Et.quand une mort douce et d’ amis entourée Recevra sans douleur sa vieillesse sacré
scrit sa vie. De ses concitoyens dès longtemps envié, De ses nombreux amis en un jour oublié, Au lieu de ces tapis qu’avait
lements Répondant seuls la nuit à ses gémissements ; N’ayant d’autres amis que les bois solitaires, D’autres consolateurs qu
il expire, affamé, nu, proscrit, Maudissant, comme ingrat, son vieil ami qui l’aime. Parle : était-ce-bien lui ? le connai
s. Il en gardait encore un douloureux effroi. Je le connaisse fus son ami comme toi. D’un même sort jaloux, une même injust
Sans vous, comme un poison livide, L’invincible dent du chagrin, Nos amis opprimés, du menteur homicide Les succès, le spec
embrassée, il devint poète dramatique. Il était naturel que Chénier, ami du bruit, impatient de renommée, fût vivement att
 ? Ah ! Tibère est prudent ; mais Tibère est-il juste ? On va juger l’ ami , le collègue d’Auguste ! On parle de punir ; le g
s de ton mausolée Tes frères gémissants, ta mère désolée747, Quelques amis des arts, un peu d’ombre et de fleurs ; Et ton je
x. Mais une voix qui Tient du Talion solitaire Me dit : « Viens ; tes amis ne sont plus sur la terre ; Viens ; tu veux reste
’ont suivi dans les combats, Ont-ils revu tous le village ? De tant d’ amis ne me parlez vous pas ? Sur leurs corps l’étrange
endormi, Aux lèvres du mourant collé dans l’agonie, Comme un dernier ami  ; Pour éclaircir l’horreur de cet étroit passage,
ta Mère en pleurs et la nature en deuil ; Tu laissas, comme nous, tes amis sur la terre, Et ton corps au cercueil ! Au nom d
, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami  : je hais ou je méprise. L’effroi me tord le cœur
le Temps dompté, Que son astre immortel n’était qu’a son aurore… Mes amis  ! dites-moi combien d’heures encore Peut durer so
flétrirait les fleurs. Quand le sang rejaillit sur vos robes de fête, Amis , lavez la tache avec du vin de Crète ; L’aspect d
e, De ralentir leurs pas ; puis, d’une main pieuse, En passant chaque ami soulevait son chapeau, Et les filles jetaient sur
ns cette dernière confidence : J’ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaité ; J’ai perdu jusqu’à la fierté Qui fa
ire à mon génie. Quand j’ai connu la Vérité, J’ai cru que c’était une amie  ; Quand je l’ai comprise et sentie, J’en étais dé
différents me croiront insensé. A qui m’adresserai-je, et quelle voix amie Consolera ce cœur que le doute a blessé ? Il exis
our pleurer avec toi descends du haut des cieux. Viens ; tu souffres, ami . Quelque ennui solitaire Te ronge ; quelque chose
LE POÈTE. S’il ne te faut, ma sœur chérie, Qu’un baiser d’une lèvre amie Et qu’une larme de mes yeux, Je te les donnerai s
rs les monts je te vois t’abaisser, Tu fuis en souriant, mélancolique amie , Et ton tremblant regard est près de s’effacer. É
a mort rien ne survit à l’homme ; Mais Socrate mourant entretient ses amis Des immortels destins que Dieu nous a promis. — J
à leur taille. — Ce n’est pas pour si peu, Danton, que je travaille. Ami du peuple hier, je le suis aujourd’hui ; J’ai sou
cte IV, scène vii. Conseils et reproches de Rodolphe à George, son ami . Au commencement de la pièce, alors qu’il étai
il s’aperçoit que le sacrifice est plus dur qu’il ne l’avait cru. Ses amis le délaissent, le père de sa fiancée le repousse.
le fille dont la fortune doit lui rendre l’aisance. Rodolphe, le seul ami qui lui soit resté, le détourne de ce projet et l
RODOLPHE. Non ; mais, ayant agi comme il fallait agir, Tu peux à tes amis te montrer sans rougir ; Je te serre la main, moi
de la lutte, Vous flattez la victoire et flétrissez la chute ; Soyons amis  ! — Salut, ô pieux débauché, Que le mot effarouch
ison : Heureux, tu compteras des amitiés sans nombre ; Mais adieu les amis , si le temps devient sombre. RODOLPHE. Eh quoi !
gueilleux, c’est moi seul ; à moi seul est la faute ; Je suis mauvais ami  ; George a raison. — Ah ! Ciel ! Quoi ! Comment r
t de mon épée, En remuant le sol, sans doute je pourrais Retrouver un ami dans ce que j’y verrais ! C’est qu’on découvre en
de moelleux et de grâce. Je lance aux plats fumants de longs regards amis  ; On comprend, et voilà que mon couvert est mis.
l’homme ; mais qu’il est terrible lorsqu’il tombe sur la patrie, les amis et le printemps ! » 329. J. de Maistre s’adresse
hateaubriand, et celui-ci semble bien se souvenir des conseils de son ami quand il dit avoir coulu « appeler les enchanteme
ison funèbre. 445. Mémoires, liv. VIII. « Je me souviens qu’une des amies de Buffon m’ayant demandé comment je parlerais de
avait vu dans les mains de Pison des papiers qu’il ne publia pas. Ses amis répétèrent que c’étaient des lettres de Tibère et
oins, priant la Vierge, sa bonne dame, sa petite maîtresse, sa grande amie , de lui obtenir son pardon. » Plusieurs historien
790. Voir les derniers vers de la pièce de l’Esprit pur : Flots d’ amis renaissants ! puissent mes destinées Vous amener
. Moine de Saint-Denis et archevêque de Reims, fut, selon Trithème, l’ ami et le secrétaire de Charlemagne. Le roman histori
ante... On a fort loué et fait ressortir ce personnage de Rodolphe, l’ ami âgé de trente ans, plus mûr, plus sage, point tro
de pas à reprendre courage. Il se décide à suivre les conseils de son ami et à embrasser une vie humble et laborieuse. Il t
72 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
ilité était fort en honneur dans notre littérature. Comparez les Deux Amis de La Fontaine. Aidons-nous mutuellement, La cha
. Il excellait à contrefaire les ridicules. « Ses yeux, dit un de ses amis , étaient ceux du renard : la malice y dominait. »
ilité était fort en honneur dans notre littérature. Comparez les Deux Amis de La Fontaine. 1. C’est une réminiscence du ve
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
bien1. (Du Vrai, du Beau et du Bien. Édition Didier.) Adieu à un ami 2 Je pose la plume, mon cher ami ; je n’ai fa
Édition Didier.) Adieu à un ami 2 Je pose la plume, mon cher ami  ; je n’ai fait, vous le voyez, que rassembler des
rt de tant de nuages mêlés d’un peu de lumière ! Après tout, mon cher ami , il est une vérité plus éclatante à mes yeux que
y recueillait pieusement tous les souvenirs de ses relations avec un ami , le comte de Santa-Rosa, patriote italien, qui ét
74 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-
roit : Is fecit cui prodest. Il prouve ensuite que son client était l’ ami de la victime, qu’il n’avait jamais eu avec lui n
absent au moment du meurtre, qu’il était malade, qu’il était chez un ami , ou en voyage, il a cause gagnée. C’est ce qu’on
les rapports de l’accusé avec la victime avant le meurtre ? Ceux d’un ami ou ceux d’un ennemi ? Quelle a été sa contenance
75 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VII. Septième espèce de mots.  » pp. 41-42
. De. Sortir de la ville ; venir de la province. Chez. Être chez un ami  ; ce livre est chez le libraire. Devant. Le berg
jusqu’au déluge.   95. — Pour marquer l’union. Avec. Manger avec ses amis  ; il est parti avec la fièvre. Pendant. Pendant
76 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
d’un parler remis5 : « Quoi, monsieur, est-ce ainsi qu’on traite ses amis  ? » Je m’arrête, contraint, d’une façon confuse,
peuse où Auguste délibère s’il doit se démettre de l’empire avec deux amis conjurés pour lui arracher l’empire et la vie ! Q
il faut qu’on vous prie. Carlos. Ne raillons ni prions, et demeurons amis . Je sais ce que la reine en mes mains a remis ; J
essai et coup de maître dans le genre historique, força ennemis comme amis de reconnaître que l’auteur de Britannicus avait
vois mon trouble ; apprends ce qui le cause, Et juge s’il est temps, ami , que je repose.     Tu te souviens du jour qu’en
leur résiste. Ou lassés, ou soumis, Ma funeste amitié pèse à tous mes amis  ; Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le gr
ofane, pour faire parler les bêtes et pour pleurer les disgrâces d’un ami  ; l’autre criminelle et voluptueuse, pour chanter
il. À peine quelquefois je me force à les lire, Pour plaire à quelque ami , que charme la satire, Qui me flatte peut-être, e
donner au public sa bizarre leçon. Un jour qu’on en sortait, certain ami fidèle, Demeuré le dernier, lui dit confidemment 
le goût d’Horace et de Catulle, son unique but était de divertir ses amis  : il eut toujours une grande répugnance à donner
ner ou à dire de ses vers, et encore plus à les rendre publics. Digne ami du licencieux prieur de Vendôme, il ne chante que
e Dont depuis quarante ans jouit mon amitié. Je te perds pour jamais, ami tendre et Adèle, Toi dont le cœur, toujours confo
r l’avait jetée, par irritation des critiques que quelques-uns de ses amis avaient osé en faire devant lui, le président Hén
e. Cette loi peu exigeante se réduit à la qualité de bon père, de bon ami et de bon voisin. La composition de ces quatre ép
s barrières D’un lourd panier qui flotte aux deux portières. Chez son amie au grand trot elle va, Monte avec joie, et s’en r
e en styles différents. Admis partout, si l’on en croit l’histoire, L’ ami chéri mangeait au réfectoire : Là tout s’offrait
. Déifiés par l’erreur léthargique Qui leur fait voir dans des songes amis Tout l’univers à leur gloire soumis, Dans ce somm
, mais on voit que son talent et son caractère lui feront partout des amis  ; il refuse un mariage avantageux, mais il n’étai
 !           C’est vous qui me valez cela ! Ce marquis, autrefois mon ami de collège, Me reconnut enfin, et du premier coup
es : l’épître sur la Bonne et la Mauvaise Plaisanterie, l’épître À un ami sur les Poètes du jour, etc. Mais revenons au Leb
ses héros, Et sa muse favorisée Des regards du dieu de Claros ! Mes amis , qu’Apollon nous garde Et des Fingals et des Osca
beau caractère et d’un beau talent : suivant une pensée de son intime ami , Thomas, il eut cet avantage unique que ses talen
ient autre chose en lui que ses vertus156. Comme le disait encore son ami , « c’est dans son âme que Ducis a cherché la trag
et mûrir un plan, et il fut toujours indocile aux remontrances de ses amis qui, voulant assurer sa gloire contre la fureur d
il tourne avec souplesse, Ou cherche un jeune cerf, de sa vieillesse ami , Et l’expose en sa place à l’œil de l’ennemi. Mai
ait peu dans le monde. » Cet éloge lui a été décerné par Andrieux « l’ ami de son enfance, de sa jeunesse, de toute sa vie »
et découragé par la fortune ou par moi-même, toujours soutenu par mes amis , je sentis que mes vers et ma prose, goûtés ou no
couler l’airain, Rien n’est fait aujourd’hui, tout sera fait demain. Ami , Phébus ainsi me verse ses largesses, Souvent des
des humains Dont le nom aux autels remplit nos fastes saints ; Avoir amis , enfants, épouse belle et sage, Errer un livre en
e tutélaire Qui vient d’une insensible et charmante langueur Saisir l’ ami des champs et pénétrer son cœur, Quand, sorti ver
e un poison livide,                 L’invincible dent du chagrin, Mes amis opprimés, du menteur homicide                 Les
ier populaire,         Seront servis au peuple-roi. Que pouvaient mes amis  ? Oui, de leur main chérie         Un mot, à trav
x… Mais tout est précipice. Ils ont eu droit de vivre.         Vivez, amis , vivez contents. En dépit de Bavus171, soyez lent
aits ; À mon tour, aujourd’hui, mon malheur importune.         Vivez, amis  ; vivez en paix. Delille (Jacques) (1738-181
imagination et de feu. Cet homme, qui avait un cœur si chaud pour ses amis , n’avait pour le public, suivant la pensée de Cha
t l’exemple Maintiennent dans la paix ces heureuses tribus, Un prêtre ami des lois et zélé sans abus, Qui, peu jaloux d’un
it revoir tous ceux qu’il a chéris. Mais, hélas ! dans nos murs, de l’ ami le plus tendre, Où peut l’œil incertain redemande
ar j’esprit sceptique et irréligieux, rappellent son maître Voltaire. Ami de Collin d’Harleville et de Picard, il s’essaya
légitime : Pardonner est honteux, et proscrire est sublime. Je suis l’ ami du peuple, ainsi vous m’en croirez ; Et surtout g
faim. Peut-il être un malheur au nôtre comparable ! — Ce malheur, mes amis , est-il irréparable ? Dit le prélat, et moi ne pu
Père, mère, enfants, tous sont tombés à ses pieds. « Levez-vous, mes amis … Mais quelle erreur étrange ! Je suis votre arche
eine dans Cambrai serai-je avant l’aurore ; Je crains d’inquiéter mes amis , ma maison. — Oui, dit le villageois, oui, vous a
bres de ses rois. « Compagnons dispersés de mon triste voyage. Ô mes amis  ! ô vous qui me fûtes si chers ! De mes chants im
n (Fr.-Nic.-Vincent) (1772-1843) Campenon, neveu du poète Léonard, ami de Florian, de Delille, de Ducis, mérite de figur
’Apelle     Le plus connu par ses portraits.     « C’est, me répond l’ ami Dorlange,     Un artiste nommé Mathieu ;         
agédie en trois actes, représentée en 1835, et dont le tableau de son ami Paul Delaroche lui avait fait naître l’idée, obti
e grandeur populaire qui fait sa force227 ». Trop docile aux avis des amis qui s’étaient donné pour tâche de veiller à ce qu
, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami  ; je hais ou je méprise ; L’effroi me tord le cœu
, à vous, à la patrie. J’immolai les objets de mon idolâtrie : Amant, ami cruel, honteux de mes fureurs, J’arrive par l’opp
, Étend l’aile et sourit, s’envole, et dans les airs Cherche sa terre amie ou des astres déserts. Ainsi dans les forêts de
l ; Et je disais les noms de chaque jeune fille, Du curé, du notaire, amis de la famille : Pieux hommes de bien, dont j’ai r
tesse. (Poésies nouvelles.) J’ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis , et ma gaîté ; J’ai perdu jusqu’à la fierté Qui f
re à mon génie. Quand j’ai connu la vérité, J’ai cru que c’était une amie  ; Quand je l’ai comprise et sentie, J’en étais dé
cause, où l’on rit d’une gaîté bien franche : On se trouve entouré d’ amis et de parents ; Le plaisir y préside, et confond
rt. Je vais créer d’abord un grand nombre de places. Faisons-nous des amis en répandant des grâces. Mme Dalainville. Il nou
ieu, Sans avoir de pensers pour d’autres que pour Dieu… À genoux, mes amis  ! et tenez vos mains jointes ! De la croix d’un c
pointes ! La maison du Sauveur, d’ici, je l’aperçois ; À genoux, mes amis  ! et saluons la croix ! » Oui, chrétiens, louez
les genoux… Puis venez à l’autel, devant le divin Maître Arrivons en amis , et l’artiste et le prêtre. » Ensemble ils sont
uleurs. Vêtu d’un ornement aussi blanc que la neige, Le prêtre et son ami qui lui faisait cortège Rentrèrent dans le chœur 
et la joie illuminait leurs têtes. La messe terminée, entre les deux amis Les longs épanchements furent enfin permis : Une
ses défectuosités, cette tentative sincère mérite tous les éloges des amis de la belle antiquité. La tragédie d’Ulysse fait
ortir personne sans son ordre. » 202. À M. D***, mon guide et mon ami . 203. Le mancenillier. Une élégie de Millevoye p
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
rt pénible. C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille, c’est en les en
 ; les courriers qui n’apportent plus que la mort de quelqu’un de nos amis ou de nos connaissances, et qui peuvent apporter
èle de prédilection, sous le nom de Notre-Dame des Rochers. 2. Cette amie est la lune, nommée tout à l’heure. 1. Si l’on e
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bernardon de Saint-Pierre 1737-1814 » pp. 203-209
gieux murmures que les chants des oiseaux, ou les doux entretiens des amis qui veulent se reposer sous vos ombrages1. Un
eau de Jean-Jacques Quelques dames et quelques jeunes gens de mes amis firent un jour avec moi la partie d’aller voir le
le vaisseau entra dans le port, et qu’ils virent sur les quais, leurs amis , leurs pères, leurs mères, leurs enfants, qui leu
79 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
uciant. » Mais quel insensé voudrait attenter à vos jours ? Un de vos amis  ? Pouvez-vous donc avoir de meilleurs amis que ce
er à vos jours ? Un de vos amis ? Pouvez-vous donc avoir de meilleurs amis que ceux d’entre nous à qui vous avez accordé la
à qui il doit tous ses avantages. Mais, rassuré sur le compte de vos amis , peut-être vous objectera-t-on ce qu’il faut crai
vos ennemis sont restés sur le champ de bataille, ou sont devenus vos amis les plus fidèles. Comme il est cependant dans le
80 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
a haine et le mépris public. Je demanderais surtout qu’infidèle à ses amis , ingrat envers ses protecteurs, odieux aux auteur
er plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu’on n’en amis depuis cent ans pour gouverner toutes les Espagne
rchais résumait ainsi sa vie : « Vous qui m’avez connu, dites, ô mes amis , si vous avez jamais vu autre chose en moi qu’un
sérénité dans l’infortune jusqu’à l’étonnement de ses plus familiers amis . »
81 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
Le chevalier. Vous nous accordez une grande puissance1, mon cher ami  ; je vous dois des remercîments au nom de ma nati
es1 Lausanne, 28 octobre 1794. Rien ne marche au hasard, mon cher ami  ; tout est déterminé par une puissance qui nous d
un poste qu’elles occupaient, et nous faire, par notre humeur, plus d’ amis qu’elles en ces contrées. L’Amérique et l’Inde n’
le disait il y a onze ans, en prenant séance parmi vous, mon illustre ami M. de Lamartine, “vous n’en laisserez aucune sur
82 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
la plura, Quæ legis hic : aliter non fit, Avite, liber. Je t’offre, ami lecteur, au livre que voici, Du bon, du médiocre
de qualité, Lisait à Saumaise un ouvrage, Et répétait à chaque page : Ami , dis-moi la vérité. Ennuyé de cette fadaise, Ah !
Citez quelques madrigaux. Un des meilleurs est celui de Pradon à un ami qui lui avait écrit d’une manière très spirituell
age, comme les vertus publiques ; et les titres de bon parent, de bon ami , de bon citoyen, méritent bien d’être gravés sur
83 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
es aussi bien que personne, et de savoir en parler ; à moi qui suis l’ ami de l’état, et au-dessus des petites considération
pe, voilà ce qui nous a été donné, ce dont nous nous servons pour nos amis , et contre nos ennemis. À nos amis, nous donnons
ce dont nous nous servons pour nos amis, et contre nos ennemis. À nos amis , nous donnons les fruits de la terre, produits pa
ctent pas les hommes, trompent les Dieux, et l’on n’a pas besoin de l’ ami dont la volonté est suspecte. Il ne tient qu’à to
acédoine. Placés aux deux extrémités de ton empire, nous veux-tu pour amis ou pour ennemis ? Choisis ».
84 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
x avec lesquels je vivais. Avec mes enfants, j’ai vécu comme avec mes amis . J’ai eu pour principe de ne jamais faire par aut
e des autres. J’ai été peu difficile sur l’esprit des autres. J’étais ami de presque tous les esprits, et ennemi de presque
je prétendrais bien qu’il vînt près de moi à Bordeaux. Il verrait son ami , mais il verrait mieux la France, où il n’y a que
sprit des Lois. 1. Le duc d’Argenson jugeait ainsi Montesquieu, son ami  : « Montesquieu a bien autant d’esprit que Fonte
aux petites phrases de grandes choses. » 3. Un des plus illustres amis de Montesquieu. 4. Cette dame, renommée par son
85 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
r de l’homme. Si petit et obscur que l’on soit, on a des parents, des amis , une cité, et, tôt ou tard, les actes faisant jug
s là. “Eh ! vous voilà, mon cher Cicéron, disait à celui-ci un de ses amis qu’il rencontrait à Baïa, au retour de son gouver
tation. Pour la réputation, qui en veut en a. Priez tel ou tel de vos amis de vous en faire ; associez-vous à tel ou tel par
ux qu’on loue. L’intérêt le plus vil arme le frère contre le frère, l’ ami contre l’ami, rompt tous les liens du sang et de
. L’intérêt le plus vil arme le frère contre le frère, l’ami contre l’ ami , rompt tous les liens du sang et de l’amitié ; et
86 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86
ies par l’amitié ou par le mariage, est masculin : = un beau couple d’ amis  ; un heureux couple. Enseigne, signifiant un off
adjectifs, quand ils sont mis à la place des noms : = je défends son ami  ; qu’il défende le mien. Mais on ne doit pas mett
ne chose qui est, ou se fait au temps où l’on parle ; = je vois notre ami qui arrive de la campagne ; ou qu’on est dans l’h
se fit dans un temps dont il ne reste plus rien : = je vis hier votre ami , après que je vous eus quitté. Plus-que-parfait.
ir ; mais subvenir prend toujours avoir ; = vous avez subvenu à votre ami dans ses besoins. Contrevenir prend avoir ou être
r, signifiant enfanter, est neutre, et prend être : = la femme de mon ami est accouchée heureusement. Il est actif, et pren
à la cave : = l’horloger a monté la pendule : = vous avez sorti votre ami d’une affaire bien désagréable. Il en est de même
s, quoique, cependant, pourtant, néanmoins, toutefois, etc. : = Votre ami est vif ; mais il est sensible et bon : = Cette a
vous venez, et que nous soyons seuls, nous lirons l’ouvrage de votre ami . Je dois observer ici qu’une conjonction se rappo
87 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487
ourreaux… Mais tout est précipice. Ils ont eu droit de vivre.  Vivez, amis  ; vivez contents. En dépit de Bavus2, soyez lents
s distraits ; A mon tour, aujourd’hui, mon malheur importune.  Vivez, amis  ; vivez en paix3. 1. Ses œuvres ont été publi
rès de ton mausolée, Tes frères gémissants, ta mère désolée, Quelques amis des arts, un peu d’ombre et de fleurs, Et ton jeu
88 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
qui révéla tout ensemble le génie et le cœur du favori reconnaissant, ami de Molière, de Racine et de Boileau qui furent pl
tenir table facile, Sans art de cuisinier ; et encore je voudroi Des amis , ni plus grands ni plus petits que moi ; ……………… L
rian a fait du lapin un homme sensible, élégiaque, le plus tendre des amis . Dans La Fontaine, il n’est qu’un gai compère, br
e vient à l’œil en pansant à ces joies ! Si je me rappelle bien, cher ami , nous nous sommes embrassés la dernière fois sans
en lui du patriarche. Ces vers rappellent le quatrain que Maucroix, l’ ami de La Fontaine, fit à l’âge de quatre-vingts ans 
ses ateliers sur le bras d’un valet qui le soulage ; il montre à ses amis ce qu’il a fait, et leur dit ce qu’il a dessein d
les lisons d’un œil inattentif. Tout à coup le nom d’un parent, d’un ami , vient frapper nos regards : alors nous nous écri
parer à la Peste des animaux (Virgile), et au début d’Œdipe roi. 5. Amis . Il a besoin d’eux ; il les flatte. Les rois eux-
89 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
rpétuelle, dans les souterrains du monastère. Délivré par le crédit d’ amis puissants qu’il devait à la renommée de son savoi
t soudain. On disait premier que pour avant que. 17. Mamye, pour ma amie , qu’on a dit avant d’avoir adopté la forme incorr
our ma amie, qu’on a dit avant d’avoir adopté la forme incorrecte mon amie . 18. Tendrette, diminutif de tendre. Les diminu
re. 11. Muette. Cette pièce, jouée à Montpellier par Rabelais et ses amis , est imitée de la farce de Maître Patelin, dont M
90 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
orer fort affectueusement, et depuis alla preschant9 à ses parents et amis que Lycurgus n’estoit pas ainsi rude ne rebours c
bereras et que tu proposeras de faire. Car il advient souvent que noz amis tombent malades, voire1 qu’ils meurent, que nous
une des proprietez du vice, avoir plus tost honte des ennemis que des amis , quand on peche. (Comment on pourra recevoir util
91 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
ntiers dans les petites pièces de poésie et dans les chansons : Cher ami , ta fureur Contre ton procureur Injustement s’all
tes de mots peuvent entrer dans le corps d’un vers : Faites-vous des amis prompts à vous censurer ; Qu’ils soient de vos éc
onneur, foi assurée, etc. Il y a donc hiatus dans ces vers : Un sage ami est un rare trésor. J’ai horreur d’un succès qu
insi, on ne doit pas dire : C’est dans l’infortune qu’on connaît ses amis . Mais on dira bien : Est-on dans l’infortune ? 
mis. Mais on dira bien : Est-on dans l’infortune ? — on connaît ses amis . C’est dans l’adversité — qu’on connaît ses ami
? — on connaît ses amis. C’est dans l’adversité — qu’on connaît ses amis . En effet, dans ces vers le repos a lieu sur une
rimer avec le composé, comme heureux, malheureux, prudent, imprudent, ami , ennemi, mortel, immortel, excepté lorsque le com
92 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
es, des effets et des circonstances. Ainsi, un dialecticien dira d’un ami  : C’est un autre nous-même. La Fontaine donnera à
e. La Fontaine donnera à sa définition cette forme gracieuse : Qu’un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos be
ton, le plan, la manière que nous devons adopter. On n’écrit pas à un ami comme on écrit à un père ou à un supérieur. Un li
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Marc Girardin. Né en 1801. » pp. 534-541
cette vieille ennemie de tous les condamnés ; mourez, entouré de vos amis , et donnez-leur la dernière leçon de la sagesse s
e des dernières tribus, ou même un pauvre esclave, non entouré de ses amis et de beaux discours, mais déchiré par les bêtes
Édition Charpentier.) Fragment de préface 2 J’avais un de mes amis en Limousin qui habitait une fort méchante maison
94 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
Voici une belle parole d’Anaxagore. Il était mourant à Lampsaque. Ses amis lui demandant s’il voulait, dans le cas où la nat
cin. Il s’avance à pas comptés, et, se composant un grave maintien, «  Ami , dit-il, comment vous portez-vous ? Il me semble
t le jette à bas hurlant d’une triste manière. Version IV. A un ami qui relève d’une grave maladie. 4. Vous vivez
A un ami qui relève d’une grave maladie. 4. Vous vivez, ô mon ami  ! vous vivez ; et il était faux ce bruit qui anno
qu’au moment où j’appris que vous étiez enlevé pour toujours à votre ami . C’est qu’alors se retracèrent à mon cœ ur votre
santé ; et pénétrez-vous de cette idée, que la conservation de votre ami est attachée à la vôtre. Version V. Avantag
eurs, il tomba sous la massue du héros. Version IX. Pline à son ami Tacite, salut. 9. Vous allez rire, et je vous
sa flotte par un vent favorable, « Voyez-vous, dit-il en riant à ses amis , l’heureuse navigation que les immortels accorden
endurer jusqu’à la faim et la soif ? Que dis-je ? ne voit-on pas les amis de l’étude et des lettres négliger leurs intérêts
est votre dessein ? Fils de Léda, [illisible chars][texte coupé]oiles amies des matelots, nous implorons votre secours : [ill
rdinairement une bonne partie. Voici quelque chose de plus étonnant : ami des Muses, rencontrait-il des hommes de lettres,
homme, qui ne s’était jamais occupé du soin de sa fortune, trouva des amis qui protégèrent ses études, et dont les secours a
qu’il voulait acheter une maison de plaisance, où il pût inviter ses amis , et se divertir loin des importuns. Sur ce bruit,
t des obligations ; il termine l’affaire. Le lendemain, il invite ses amis  ; lui-même vient de bonne heure ; il ne voit poin
t eut Suétone pour secrétaire. Telles étaient ses attentions pour ses amis , qu’il les visitait dans leurs maladies, et les f
ience à cette femme, à une pauvre vieille, et l’écouta attentivement. Ami de la paix, il abandonna trois provinces de l’Asi
e, il donna, dit-on, son épée à un jeune homme, son favori. Un de ses amis s’avisa de dire en plaisantant : « Voilà cependan
nt à l’abri des coups de l’adversité. Le même Solon, voyant un de ses amis s’abandonner à la tristesse, le mena sur la citad
llisible chars][texte coupé]e font ainsi beaucoup d’hôtes, et point d’ amis . Le même sort [illisible chars][texte coupé]rrive
a et Charybde, créées dans l’antiquité, non point par une imagination amie du merveilleux, mais par l’épouvante et l’étonnem
ut ce que je possédais. Hélas ! où en suis-je réduit ! Connaissances, amis , tout m’abandonne. » Alors je le trouvai bien pet
le et voilée, il voulut paraître sur la scène, répétant souvent à ses amis ce proverbe grec, que la musique c’est rien, quan
ient son luth, puis des tribuns militaires, enfin de ses plus intimes amis . Dès qu’il eut pris place, après avoir préludé, i
’indigence, vécut avec ses enfants des secours que lui fournirent les amis de son mari ; pourquoi la fille de Scipion reçut
ires publiques, et s’appliqua avec un soin particulier à se faire des amis et à se créer une réputation. Il fréquentait surt
raîna dans sa tombe. Version XXX. Lettre de Pline le Jeune à un ami , touchant les funérailles de Virginius Rufus.
resque à aucune lecture. Du reste, la plupart des auteurs étaient mes amis . Voilà ce qui a prolongé mon séjour à Rome au del
seul a du prix ; la fortune donne les honneurs, la fortune donne les amis  ; partout le pauvre reste dans la poussière. V
gler notre façon de vivre. » Version XLIII. Il faut choisir des amis , autant que possible, exempts de passions. 43
dissipe votre tristesse, dont la vue seule vous réjouisse ! Mais ces amis , nous les choisirons, autant que possible, exempt
seul nous communiquerait la contagion : de même, dans le choix de nos amis , nous ferons en sorte de nous attacher, autant qu
vait pas endurer son malheur. Cependant, au bruit de son arrivée, les amis les plus dévoués de sa famille, et la plupart des
endre. J’ai pensé qu’il valait mieux me taire que de feindre, être un ami rare qu’un flatteur assidu. J’ai demandé peu, je
frir, pour les guider, la prudence, non d’un maître sévère, mais d’un ami intelligent, dont la bonté savait descendre à la
nous trompe ; et comme, la plupart du temps, s’il se trouve dans nos amis et dans les personnes avec qui nous vivons quelqu
ronton. 76. Je sais que le jour anniversaire de la naissance d’un ami , chacun fait pour lui des vœux. Mais moi cependan
t ? Quel client défendu par là retourne chez lui votre obligé ? Notre ami Bassus est un grand poëte, ou, si ce titre est pl
aucun fruit solide ni durable ; le poëte ne gagne à ce triomphe ni un ami , ni un client, ni un cœur où reste gravé longtemp
produire une œuvre estimable, doivent renoncer à la société de leurs amis et aux agréments de Rome, se soustraire à tous le
és, vous arrêter à une gloire subalterne. Version LXXXIII. A un ami , pour l’engager à publier ses œuvres. 83. Hom
s affranchir. Vous direz, selon votre usage, « C’est l’affaire de mes amis . » Certes, je souhaite que vous trouviez des amis
st l’affaire de mes amis. » Certes, je souhaite que vous trouviez des amis assez dévoués, assez instruits, assez peu avares
les murs ou les pierres, comme ceux du fameux Lyncées : à travers vos amis et vos serviteurs, il épie tous les secrets que v
ui le drame réel. Il avait dit au monde : Adieu, applaudissez ; à ses amis  : Gémissez et frappez-vous le sein ; la pluie de
es dépêches, examinait les rapports de ses officiers, et recevait ses amis . Pendant que ceux-ci lui rendaient leurs devoirs,
8 2. Le Chien dénonciateur. 20 3. Le Cheval et le Loup. 20 4. A un ami qui relève d’une grave maladie. 22 5. Avantages
les plus hautes récompenses. 26 8. Mort de Cacus. 28 9. Pline à son ami Tacite. 30 10. Les îles Fortunées. 30 11. Détou
Caractère de L. Junius Brutus. 230 30. Lettre de Pline le Jeune à un ami , touchant les funérailles de Virginius Rufus. 232
rendre à Alexandre les honneurs divins. 254 43. Il faut choisir des amis , autant que possible, exempts de passions. 256 4
1. Critique de la Poésie. 326 82. Suite du même sujet. 328 83. A un ami , pour l’engager à publier ses œuvres. 330 84. Et
95 (1854) Éléments de rhétorique française
lez nous faire mourir ? » Ainsi commençait sa défense et celle de ses amis , le plus homme d’honneur de son temps, et le plus
le fierté ; c’est Patrocle un instant vainqueur sous les armes de son ami , puis terrassé par Hector ; enfin, c’est Achille
intenant que vous y Otes, on voudrait que vous en sortissiez ! et vos amis seraient d’avis que vous fissiez de votre bon gré
iste monument, vous, dis-je, qu’il a bien voulu mettre au rang de ses amis  ? Tous ensemble, en quelque degré de sa confiance
sion, il faut avoir médité la place de chaque pensée. Une lettre à un ami , où l’on exprime ce qu’on a vu et ce qu’on a sent
ont oublié ma voix. Quelle différence ! Racine lui-même disait à ses amis  : Je ne pense pas mieux que Pradon et Coras, mais
t. — Tais-toi, reprit le roi ; et se tournant du côté du sage : ô mon ami , tu dis toujours la vérité. » M. Joubert, en rapp
tourne sa pensée vers les remparts d’Ilion, et leur parle comme à des amis qui peuvent comprendre ses plaintes et compatir à
ligieux murmures que le chant des oiseaux, ou les doux entretiens des amis qui veulent se reposer sous vos ombrages ! »
n plus qu’il ne parla. Chez le doux Xénophon, l’élève de Socrate, Son ami , son vengeur au sein d’Athène ingrate, J’ai lu ce
l ne vaudrait pas mieux me ramener (communication) ? Nos enfants, nos amis , nos voisins, tout le monde nous voit faire mauva
le et l’orthographe du temps : Premier membre. « Si j’eusse cru, mes amis , que les affaires qui se présentent n’en eussent
des complices de Catilina, Cicéron, rencontrant quelques-uns de leurs amis sur la place publique, leur dit : Ils ont vécu. C
re qu’avec une extrême circonspection. Il en est des livres comme des amis  : un petit nombre suffit ; st l’on doit s’attache
ain : « Cher Nelvil, il faut pourtant partager quelque chose avec ses amis  ; c’est mal fait de prendre ainsi pour soi seul t
rs repoussé par celle qu’il allait épouser, et par tous les prétendus amis qui l’avaient aidé à dissiper la fortune de son p
u milieu de son désespoir, le hasard lui fit revoir Colin, son ancien ami d’enfance, qu’il avait oublié pendant sa prospéri
l donc apprendre à mon fils ? disait-il. — À être aimable, répondit l’ ami que l’on consultait ; et s’il sait les moyens de
voir l’espérance d’une union prochaine. Le mariage fut proposé par un ami commun : les parents, éblouis de la splendeur de
 » « Le pauvre jeune homme fut traité à peu près de même par tous les amis de sa fortune, et il apprit mieux à connaître le
’avons point changé d’état, nous sommes heureux ; nous aiderons notre ami Jeannot. Ne sois plus marquis, toutes les grandeu
s plus marquis, toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami . Tu reviendras avec moi au pays ; je t’apprendrai
joie, la tendresse et la honte ; et il se disait tout bas : Tous mes amis du bel air m’ont trahi, et Colin, que j’ai mépris
le plus inique, le plus inégal, le plus désastreux des impôts ?… Mes amis , écoutez un mot, un seul mot. « Deux siècles de d
’un coup de foudre, biens, honneurs, réputation, serviteurs, famille, amis et santé, sans consolation et sans commerce qu’av
ent et presque sans autre ressource que son épée et un petit nombre d’ amis , il eut à vaincre plusieurs ennemis ligués contre
, sa fraise et sa barbe pendante ? On l’aperçoit entouré de ses vieux amis qui combattaient à Ivry ; On voit à ses côtés M.
nt ces immortelles paroles, reconnaître avec fierté son maître et son ami  ; les notables sont transportés d’attendrissement
iles et les ornements déplacés. Une dame, voulant féliciter un de ses amis , à qui le roi venait d’accorder une grâce, au lie
ulta sur sa lettre, lui demanda ce qu’elle voulait faire savoir à son ami par ce long discours : « Je veux, répondit-elle,
lle charge, en l’éloignant d’ici, ne doit point lui faire oublier ses amis  ; et que je mérite qu’il se souvienne de moi, par
ser parler son âme tout entière : ce sont celles que l'on écrit à des amis ou à des parents tendrement aimés. Là, tous les s
trouvent éclaircies, quand vous les avez développées en écrivant à un ami  ! En voyage, tout ce que vous ne voudrez point ou
un peu du revers qu’éprouvait l’innocente coquetterie de notre belle amie . » Chapitre IV. De la conversation. Il y au
96 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
raducteur Je passais l’autre jour sur le Pont-Neuf avec un de mes amis  : il rencontra un homme de sa connaissance qu’il
tre ; je le vis plongé dans une rêverie profonde2 ; il fallut que mon ami le tirât longtemps par la manche et le secouât po
dans ces épanchements de cœur que la conversation produit entre deux amis , ne peut être regardé que comme des pensées. Il n
97 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre II. Défense de Fouquet, par Pélisson. »
on adressée à Louis XIV, où le talent de l’orateur et le courage de l’ ami nous paraissent également admirables. Nous nous b
d’un coup de foudre, biens, honneur, réputation, serviteurs, famille, amis , santé, sans consolation et sans commerce, qu’ave
98 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
ice Joséphine : Iéna, le 15 octobre 1806, à deux heures du matin. Mon amie , j’ai fait de belles manœuvres contre les Prussie
ne. Je bivaque depuis deux jours. Je me porte à merveille. Adieu, mon amie  ; porte-toi bien et aime-moi. Si Hortense est à M
99 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
moi je n’ai qu’un fils ; Leur hymen nous peut rendre à jamais plus qu’ amis  : Faites-nous cette grâce, et l’acceptez pour gen
eau, et dont ils ne connaissaient pas l’auteur, lorsque Dorante, leur ami , les accoste et juge à propos de s’en attribuer l
me à vous-même se montre. Dorante, revenant à eux. Comme à mes chers amis je vous veux tout conter. J’avais pris cinq batea
vrai : je la connais, et ceux qui l’on fait naître ; Son père est mon ami . Dorante. Son père est mon ami.Mon cœur en un m
l’on fait naître ; Son père est mon ami. Dorante. Son père est mon ami .Mon cœur en un moment Étant de ses regards charmé
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
nadiers français, et les grenadiers restent exposés au feu du canon. Amis , souvenez-vous de Rocroi, de Fribourg et de Nortl
nous rend ennemis des peuples qu’il est de notre intérêt d’avoir pour amis , etc. » C’est à ce même héros qu’on attribue un
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