infinitif. La première conjugaison a l’infinitif terminé en er, comme
aimer
. La seconde a l’infinitif terminé en ir, comme fi
être. 57. — Première conjugaison. En er. INDICATIF. présent. J’
aime
. Tu aimes. Il ou elle aime. Nous aimons. Vous aim
57. — Première conjugaison. En er. INDICATIF. présent. J’aime. Tu
aimes
. Il ou elle aime. Nous aimons. Vous aimez. Ils ou
jugaison. En er. INDICATIF. présent. J’aime. Tu aimes. Il ou elle
aime
. Nous aimons. Vous aimez. Ils ou elles aiment. i
n er. INDICATIF. présent. J’aime. Tu aimes. Il ou elle aime. Nous
aimons
. Vous aimez. Ils ou elles aiment. imparfait. J’a
CATIF. présent. J’aime. Tu aimes. Il ou elle aime. Nous aimons. Vous
aimez
. Ils ou elles aiment. imparfait. J’aimais. Tu ai
ime. Tu aimes. Il ou elle aime. Nous aimons. Vous aimez. Ils ou elles
aiment
. imparfait. J’aimais. Tu aimais. Il aimait. Nous
lle aime. Nous aimons. Vous aimez. Ils ou elles aiment. imparfait. J’
aimais
. Tu aimais. Il aimait. Nous aimions. Vous aimiez.
ous aimons. Vous aimez. Ils ou elles aiment. imparfait. J’aimais. Tu
aimais
. Il aimait. Nous aimions. Vous aimiez. Ils aimaie
Vous aimez. Ils ou elles aiment. imparfait. J’aimais. Tu aimais. Il
aimait
. Nous aimions. Vous aimiez. Ils aimaient. passé
Ils ou elles aiment. imparfait. J’aimais. Tu aimais. Il aimait. Nous
aimions
. Vous aimiez. Ils aimaient. passé défini. J’aima
iment. imparfait. J’aimais. Tu aimais. Il aimait. Nous aimions. Vous
aimiez
. Ils aimaient. passé défini. J’aimai. Tu aimas.
rfait. J’aimais. Tu aimais. Il aimait. Nous aimions. Vous aimiez. Ils
aimaient
. passé défini. J’aimai. Tu aimas. Il aima. Nous
Il aimait. Nous aimions. Vous aimiez. Ils aimaient. passé défini. J’
aimai
. Tu aimas. Il aima. Nous aimâmes. Vous aimâtes. I
. Nous aimions. Vous aimiez. Ils aimaient. passé défini. J’aimai. Tu
aimas
. Il aima. Nous aimâmes. Vous aimâtes. Ils aimèren
ions. Vous aimiez. Ils aimaient. passé défini. J’aimai. Tu aimas. Il
aima
. Nous aimâmes. Vous aimâtes. Ils aimèrent. passé
aimiez. Ils aimaient. passé défini. J’aimai. Tu aimas. Il aima. Nous
aimâmes
. Vous aimâtes. Ils aimèrent. passé indéfini. J’a
maient. passé défini. J’aimai. Tu aimas. Il aima. Nous aimâmes. Vous
aimâtes
. Ils aimèrent. passé indéfini. J’ai aimé. Tu as
é défini. J’aimai. Tu aimas. Il aima. Nous aimâmes. Vous aimâtes. Ils
aimèrent
. passé indéfini. J’ai aimé. Tu as aimé. Il a aim
aima. Nous aimâmes. Vous aimâtes. Ils aimèrent. passé indéfini. J’ai
aimé
. Tu as aimé. Il a aimé. Nous avons aimé. Vous ave
imâmes. Vous aimâtes. Ils aimèrent. passé indéfini. J’ai aimé. Tu as
aimé
. Il a aimé. Nous avons aimé. Vous avez aimé. Ils
s aimâtes. Ils aimèrent. passé indéfini. J’ai aimé. Tu as aimé. Il a
aimé
. Nous avons aimé. Vous avez aimé. Ils ont aimé.
mèrent. passé indéfini. J’ai aimé. Tu as aimé. Il a aimé. Nous avons
aimé
. Vous avez aimé. Ils ont aimé. passé antérieur.
ndéfini. J’ai aimé. Tu as aimé. Il a aimé. Nous avons aimé. Vous avez
aimé
. Ils ont aimé. passé antérieur. J’eus aimé. Tu e
aimé. Tu as aimé. Il a aimé. Nous avons aimé. Vous avez aimé. Ils ont
aimé
. passé antérieur. J’eus aimé. Tu eus aimé. Il eu
ous avons aimé. Vous avez aimé. Ils ont aimé. passé antérieur. J’eus
aimé
. Tu eus aimé. Il eut aimé. Nous eûmes aimé. Vous
é. Vous avez aimé. Ils ont aimé. passé antérieur. J’eus aimé. Tu eus
aimé
. Il eut aimé. Nous eûmes aimé. Vous eûtes aimé. I
aimé. Ils ont aimé. passé antérieur. J’eus aimé. Tu eus aimé. Il eut
aimé
. Nous eûmes aimé. Vous eûtes aimé. Ils eurent aim
é. passé antérieur. J’eus aimé. Tu eus aimé. Il eut aimé. Nous eûmes
aimé
. Vous eûtes aimé. Ils eurent aimé1. plus-que-par
ur. J’eus aimé. Tu eus aimé. Il eut aimé. Nous eûmes aimé. Vous eûtes
aimé
. Ils eurent aimé1. plus-que-parfait. J’avais aim
s aimé. Vous eûtes aimé. Ils eurent aimé1. plus-que-parfait. J’avais
aimé
. Tu avais aimé. Il avait aimé. Nous avions aimé.
tes aimé. Ils eurent aimé1. plus-que-parfait. J’avais aimé. Tu avais
aimé
. Il avait aimé. Nous avions aimé. Vous aviez aimé
urent aimé1. plus-que-parfait. J’avais aimé. Tu avais aimé. Il avait
aimé
. Nous avions aimé. Vous aviez aimé. Ils avaient a
-que-parfait. J’avais aimé. Tu avais aimé. Il avait aimé. Nous avions
aimé
. Vous aviez aimé. Ils avaient aimé. futur. J’aim
vais aimé. Tu avais aimé. Il avait aimé. Nous avions aimé. Vous aviez
aimé
. Ils avaient aimé. futur. J’aimerai. Tu aimeras.
s aimé. Il avait aimé. Nous avions aimé. Vous aviez aimé. Ils avaient
aimé
. futur. J’aimerai. Tu aimeras. Il aimera. Nous a
aimé. Nous avions aimé. Vous aviez aimé. Ils avaient aimé. futur. J’
aimerai
. Tu aimeras. Il aimera. Nous aimerons. Vous aimer
avions aimé. Vous aviez aimé. Ils avaient aimé. futur. J’aimerai. Tu
aimeras
. Il aimera. Nous aimerons. Vous aimerez. Ils aime
Vous aviez aimé. Ils avaient aimé. futur. J’aimerai. Tu aimeras. Il
aimera
. Nous aimerons. Vous aimerez. Ils aimeront. futu
imé. Ils avaient aimé. futur. J’aimerai. Tu aimeras. Il aimera. Nous
aimerons
. Vous aimerez. Ils aimeront. futur passé. J’aura
t aimé. futur. J’aimerai. Tu aimeras. Il aimera. Nous aimerons. Vous
aimerez
. Ils aimeront. futur passé. J’aurai aimé. Tu aur
r. J’aimerai. Tu aimeras. Il aimera. Nous aimerons. Vous aimerez. Ils
aimeront
. futur passé. J’aurai aimé. Tu auras aimé. Il au
era. Nous aimerons. Vous aimerez. Ils aimeront. futur passé. J’aurai
aimé
. Tu auras aimé. Il aura aimé. Nous aurons aimé. V
ons. Vous aimerez. Ils aimeront. futur passé. J’aurai aimé. Tu auras
aimé
. Il aura aimé. Nous aurons aimé. Vous aurez aimé.
rez. Ils aimeront. futur passé. J’aurai aimé. Tu auras aimé. Il aura
aimé
. Nous aurons aimé. Vous aurez aimé. Ils auront ai
futur passé. J’aurai aimé. Tu auras aimé. Il aura aimé. Nous aurons
aimé
. Vous aurez aimé. Ils auront aimé. CONDITIONNEL.
aurai aimé. Tu auras aimé. Il aura aimé. Nous aurons aimé. Vous aurez
aimé
. Ils auront aimé. CONDITIONNEL. présent. J’aimer
ras aimé. Il aura aimé. Nous aurons aimé. Vous aurez aimé. Ils auront
aimé
. CONDITIONNEL. présent. J’aimerais. Tu aimerais.
ons aimé. Vous aurez aimé. Ils auront aimé. CONDITIONNEL. présent. J’
aimerais
. Tu aimerais. Il aimerait. Nous aimerions. Vous a
s aurez aimé. Ils auront aimé. CONDITIONNEL. présent. J’aimerais. Tu
aimerais
. Il aimerait. Nous aimerions. Vous aimeriez. Ils
Ils auront aimé. CONDITIONNEL. présent. J’aimerais. Tu aimerais. Il
aimerait
. Nous aimerions. Vous aimeriez. Ils aimeraient.
é. CONDITIONNEL. présent. J’aimerais. Tu aimerais. Il aimerait. Nous
aimerions
. Vous aimeriez. Ils aimeraient. passé. J’aurais
présent. J’aimerais. Tu aimerais. Il aimerait. Nous aimerions. Vous
aimeriez
. Ils aimeraient. passé. J’aurais aimé. Tu aurais
imerais. Tu aimerais. Il aimerait. Nous aimerions. Vous aimeriez. Ils
aimeraient
. passé. J’aurais aimé. Tu aurais aimé. Il aura a
rait. Nous aimerions. Vous aimeriez. Ils aimeraient. passé. J’aurais
aimé
. Tu aurais aimé. Il aura aimé. Nous aurions aimé.
ions. Vous aimeriez. Ils aimeraient. passé. J’aurais aimé. Tu aurais
aimé
. Il aura aimé. Nous aurions aimé. Vous auriez aim
eriez. Ils aimeraient. passé. J’aurais aimé. Tu aurais aimé. Il aura
aimé
. Nous aurions aimé. Vous auriez aimé. Ils auraien
nt. passé. J’aurais aimé. Tu aurais aimé. Il aura aimé. Nous aurions
aimé
. Vous auriez aimé. Ils auraient aimé. On dit auss
is aimé. Tu aurais aimé. Il aura aimé. Nous aurions aimé. Vous auriez
aimé
. Ils auraient aimé. On dit aussi : j’eusse aimé,
aimé. Il aura aimé. Nous aurions aimé. Vous auriez aimé. Ils auraient
aimé
. On dit aussi : j’eusse aimé, tu eusses aimé, i
ons aimé. Vous auriez aimé. Ils auraient aimé. On dit aussi : j’eusse
aimé
, tu eusses aimé, il eût aimé, nous eussions aim
iez aimé. Ils auraient aimé. On dit aussi : j’eusse aimé, tu eusses
aimé
, il eût aimé, nous eussions aimé, vons eussiez ai
auraient aimé. On dit aussi : j’eusse aimé, tu eusses aimé, il eût
aimé
, nous eussions aimé, vons eussiez aimé, ils eusse
it aussi : j’eusse aimé, tu eusses aimé, il eût aimé, nous eussions
aimé
, vons eussiez aimé, ils eussent aimé. IMPÉRATIF.
aimé, tu eusses aimé, il eût aimé, nous eussions aimé, vons eussiez
aimé
, ils eussent aimé. IMPÉRATIF. Point de première
aimé, il eût aimé, nous eussions aimé, vons eussiez aimé, ils eussent
aimé
. IMPÉRATIF. Point de première personne. Aime. Qu
ssiez aimé, ils eussent aimé. IMPÉRATIF. Point de première personne.
Aime
. Qu’il aime. Aimons. Aimez. Qu’ils aiment. SUBJON
ils eussent aimé. IMPÉRATIF. Point de première personne. Aime. Qu’il
aime
. Aimons. Aimez. Qu’ils aiment. SUBJONCTIF. prése
ssent aimé. IMPÉRATIF. Point de première personne. Aime. Qu’il aime.
Aimons
. Aimez. Qu’ils aiment. SUBJONCTIF. présent ou fu
mé. IMPÉRATIF. Point de première personne. Aime. Qu’il aime. Aimons.
Aimez
. Qu’ils aiment. SUBJONCTIF. présent ou futur. Qu
Point de première personne. Aime. Qu’il aime. Aimons. Aimez. Qu’ils
aiment
. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que j’aime. Que t
e. Aimons. Aimez. Qu’ils aiment. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que j’
aime
. Que tu aimes. Qu’il aime. Que nous aimions. Que
mez. Qu’ils aiment. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que j’aime. Que tu
aimes
. Qu’il aime. Que nous aimions. Que vous aimiez. Q
iment. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que j’aime. Que tu aimes. Qu’il
aime
. Que nous aimions. Que vous aimiez. Qu’ils aiment
IF. présent ou futur. Que j’aime. Que tu aimes. Qu’il aime. Que nous
aimions
. Que vous aimiez. Qu’ils aiment. imparfait. Que
tur. Que j’aime. Que tu aimes. Qu’il aime. Que nous aimions. Que vous
aimiez
. Qu’ils aiment. imparfait. Que j’aimasse. Que tu
. Que tu aimes. Qu’il aime. Que nous aimions. Que vous aimiez. Qu’ils
aiment
. imparfait. Que j’aimasse. Que tu aimasses. Qu’i
. Que nous aimions. Que vous aimiez. Qu’ils aiment. imparfait. Que j’
aimasse
. Que tu aimasses. Qu’il aimât. Que nous aimassion
iez. Qu’ils aiment. imparfait. Que j’aimasse. Que tu aimasses. Qu’il
aimât
. Que nous aimassions. Que vous aimassiez. Qu’ils
nt. imparfait. Que j’aimasse. Que tu aimasses. Qu’il aimât. Que nous
aimassions
. Que vous aimassiez. Qu’ils aimassent. passé. Qu
imasses. Qu’il aimât. Que nous aimassions. Que vous aimassiez. Qu’ils
aimassent
. passé. Que j’aie aimé. Que tu aies aimé. Qu’il
s aimassions. Que vous aimassiez. Qu’ils aimassent. passé. Que j’aie
aimé
. Que tu aies aimé. Qu’il ait aimé. Que nous ayons
vous aimassiez. Qu’ils aimassent. passé. Que j’aie aimé. Que tu aies
aimé
. Qu’il ait aimé. Que nous ayons aimé. Que vous ay
Qu’ils aimassent. passé. Que j’aie aimé. Que tu aies aimé. Qu’il ait
aimé
. Que nous ayons aimé. Que vous ayez aimé. Qu’ils
ssé. Que j’aie aimé. Que tu aies aimé. Qu’il ait aimé. Que nous ayons
aimé
. Que vous ayez aimé. Qu’ils aient aimé. plus-que
Que tu aies aimé. Qu’il ait aimé. Que nous ayons aimé. Que vous ayez
aimé
. Qu’ils aient aimé. plus-que-parfait. Que j’euss
Qu’il ait aimé. Que nous ayons aimé. Que vous ayez aimé. Qu’ils aient
aimé
. plus-que-parfait. Que j’eusse aimé. Que tu euss
Que vous ayez aimé. Qu’ils aient aimé. plus-que-parfait. Que j’eusse
aimé
. Que tu eusses aimé. Qu’il eût aimé. Que nous eus
Qu’ils aient aimé. plus-que-parfait. Que j’eusse aimé. Que tu eusses
aimé
. Qu’il eût aimé. Que nous eussions aimé. Que vous
é. plus-que-parfait. Que j’eusse aimé. Que tu eusses aimé. Qu’il eût
aimé
. Que nous eussions aimé. Que vous eussiez aimé. Q
e j’eusse aimé. Que tu eusses aimé. Qu’il eût aimé. Que nous eussions
aimé
. Que vous eussiez aimé. Qu’ils eussent aimé. INFI
eusses aimé. Qu’il eût aimé. Que nous eussions aimé. Que vous eussiez
aimé
. Qu’ils eussent aimé. INFINITIF. présent. Aimer.
t aimé. Que nous eussions aimé. Que vous eussiez aimé. Qu’ils eussent
aimé
. INFINITIF. présent. Aimer. passé. Avoir aimé.
imé. Que vous eussiez aimé. Qu’ils eussent aimé. INFINITIF. présent.
Aimer
. passé. Avoir aimé. PARTICIPES. présent. Aimant
aimé. Qu’ils eussent aimé. INFINITIF. présent. Aimer. passé. Avoir
aimé
. PARTICIPES. présent. Aimant. passé. Aimé, aimé
ent. Aimer. passé. Avoir aimé. PARTICIPES. présent. Aimant. passé.
Aimé
, aimée, ayant aimé. futur. Devant aimer. Ainsi
imer. passé. Avoir aimé. PARTICIPES. présent. Aimant. passé. Aimé,
aimée
, ayant aimé. futur. Devant aimer. Ainsi se con
Avoir aimé. PARTICIPES. présent. Aimant. passé. Aimé, aimée, ayant
aimé
. futur. Devant aimer. Ainsi se conjuguent les
ES. présent. Aimant. passé. Aimé, aimée, ayant aimé. futur. Devant
aimer
. Ainsi se conjuguent les verbes chanter, danser
ssé. présent de l’indicatif. passé défini. première conjugaison.
Aimer
. Aimant. Aimé. J’aime. J’aimai. seconde conju
l’indicatif. passé défini. première conjugaison. Aimer. Aimant.
Aimé
. J’aime. J’aimai. seconde conjugaison. Finir.
atif. passé défini. première conjugaison. Aimer. Aimant. Aimé. J’
aime
. J’aimai. seconde conjugaison. Finir. Sentir.
assé défini. première conjugaison. Aimer. Aimant. Aimé. J’aime. J’
aimai
. seconde conjugaison. Finir. Sentir. Ouvrir. T
f se forme l’impératif, en ôtant seulement le pronom je. Exemples : j’
aime
, impératif aime ; je finis, imp. finis ; je reçoi
ératif, en ôtant seulement le pronom je. Exemples : j’aime, impératif
aime
; je finis, imp. finis ; je reçois, imp. reçois ;
subjonctif, en changeant ai en asse pour la première conjugaison : j’
aimai
, imparfait du subjonctif que j’aimasse ; et en aj
pour la première conjugaison : j’aimai, imparfait du subjonctif que j’
aimasse
; et en ajoutant seulement se pour les trois autr
: 1° Le futur de l’indicatif, en changeant r ou re en rai ; exemple :
aimer
, j’aimerai ; finir, je finirai ; rendre, je rendr
utur de l’indicatif, en changeant r ou re en rai ; exemple : aimer, j’
aimerai
; finir, je finirai ; rendre, je rendrai. Except
le conditionnel présent, en changeant rai en rais, sans exception : j’
aimerai
, conditionnel, j’aimerais ; je finirai, je finira
en changeant rai en rais, sans exception : j’aimerai, conditionnel, j’
aimerais
; je finirai, je finirais ; je recevrai, je recev
arfait de l’indicatif, en changeant ant en ais : aimant, imparfait, j’
aimais
; finissant, je finissais ; recevant, je recevais
lle du présent de l’indicatif, en changeant ant en ons : aimant, nous
aimons
; finissant, nous finissons ; recevant, nous rece
ous savons. On forme aussi la seconde personne plurielle en ez : vous
aimez
, vous finissez, vous recevez, vous rendez. Except
ous faites ; disant, vous dites. Et la troisième personne en ent :ils
aiment
, ils finissent, etc. 3° Du même participe présent
e le présent du subjonctif, en changeant ant en e muet :aimant, que j’
aime
; finissant, que je finisse ; rendant, que je ren
y joignant les temps des verbes auxiliaires avoir, être ; comme j’ai
aimé
, j’ai fini, j’ai reçu, j’ai rendu ; j’avais aimé,
r, être ; comme j’ai aimé, j’ai fini, j’ai reçu, j’ai rendu ; j’avais
aimé
, j’avais fini, j’avais reçu, j’aurais rendu ; j’a
; j’avais aimé, j’avais fini, j’avais reçu, j’aurais rendu ; j’aurai
aimé
, j’aurai fini, j’aurai reçu, j’aurai rendu ; que
j’aurai aimé, j’aurai fini, j’aurai reçu, j’aurai rendu ; que j’eusse
aimé
, que j’eusse fini, que j’eusse reçu, que j’eusse
e actif 1 celui après lequel on peut mettre quelqu’un, quelque chose.
Aimer
est un verbe actif, parce qu’on peut dire aimer q
qu’un, quelque chose. Aimer est un verbe actif, parce qu’on peut dire
aimer
quelqu’un : par exemple, j’aime Dieu. Ce mot qui
n verbe actif, parce qu’on peut dire aimer quelqu’un : par exemple, j’
aime
Dieu. Ce mot qui suit le verbe actif s’appelle le
ime, en faisant la question qu’est-ce que ? Exemple : qu’est-ce que j’
aime
? Réponse, Dieu. Dieu est le régime du verbe j’ai
: qu’est-ce que j’aime ? Réponse, Dieu. Dieu est le régime du verbe j’
aime
. 69. — Règle. Le régime d’un verbe actif se pla
inairement après le verbe (quand ce n’est pas un pronom). Exemple. J’
aime
Dieu. Le chat mange la souris : la souris est le
e régime est un pronom, il se met devant le verbe. Exemples. Je vous
aime
, pour j’aime vous ; il m’aime pour il aime moi.
un pronom, il se met devant le verbe. Exemples. Je vous aime, pour j’
aime
vous ; il m’aime pour il aime moi. 70. — Remarq
met devant le verbe. Exemples. Je vous aime, pour j’aime vous ; il m’
aime
pour il aime moi. 70. — Remarque. Outre ce prem
verbe. Exemples. Je vous aime, pour j’aime vous ; il m’aime pour il
aime
moi. 70. — Remarque. Outre ce premier régime, q
le chat mange la souris, dites : la souris est mangée par le chat ; j’
aime
mon père tendrement, dites : mon père est tendrem
le chat ; j’aime mon père tendrement, dites : mon père est tendrement
aimé
de moi. Conjugaison des verbes passifs. 72.
ipe passé du verbe qu’on veut conjuguer. INDICATIF. présent. Je suis
aimé
, ou aimée. Tu es aimé, ou aimée. Il est aimé, ou
du verbe qu’on veut conjuguer. INDICATIF. présent. Je suis aimé, ou
aimée
. Tu es aimé, ou aimée. Il est aimé, ou elle est a
on veut conjuguer. INDICATIF. présent. Je suis aimé, ou aimée. Tu es
aimé
, ou aimée. Il est aimé, ou elle est aimée. Nous s
onjuguer. INDICATIF. présent. Je suis aimé, ou aimée. Tu es aimé, ou
aimée
. Il est aimé, ou elle est aimée. Nous sommes aimé
CATIF. présent. Je suis aimé, ou aimée. Tu es aimé, ou aimée. Il est
aimé
, ou elle est aimée. Nous sommes aimés, ou aimées.
e suis aimé, ou aimée. Tu es aimé, ou aimée. Il est aimé, ou elle est
aimée
. Nous sommes aimés, ou aimées. Vous êtes aimés, o
ée. Tu es aimé, ou aimée. Il est aimé, ou elle est aimée. Nous sommes
aimés
, ou aimées. Vous êtes aimés, ou aimées. Ils sont
aimé, ou aimée. Il est aimé, ou elle est aimée. Nous sommes aimés, ou
aimées
. Vous êtes aimés, ou aimées. Ils sont aimés, ou e
est aimé, ou elle est aimée. Nous sommes aimés, ou aimées. Vous êtes
aimés
, ou aimées. Ils sont aimés, ou elles sont aimées.
ou elle est aimée. Nous sommes aimés, ou aimées. Vous êtes aimés, ou
aimées
. Ils sont aimés, ou elles sont aimées. imparfait
e. Nous sommes aimés, ou aimées. Vous êtes aimés, ou aimées. Ils sont
aimés
, ou elles sont aimées. imparfait. J’étais aimé,
ou aimées. Vous êtes aimés, ou aimées. Ils sont aimés, ou elles sont
aimées
. imparfait. J’étais aimé, ou aimée. Tu étais aim
ou aimées. Ils sont aimés, ou elles sont aimées. imparfait. J’étais
aimé
, ou aimée. Tu étais aimé, ou aimée. Il était aimé
s. Ils sont aimés, ou elles sont aimées. imparfait. J’étais aimé, ou
aimée
. Tu étais aimé, ou aimée. Il était aimé, ou elle
s, ou elles sont aimées. imparfait. J’étais aimé, ou aimée. Tu étais
aimé
, ou aimée. Il était aimé, ou elle était aimée. No
es sont aimées. imparfait. J’étais aimé, ou aimée. Tu étais aimé, ou
aimée
. Il était aimé, ou elle était aimée. Nous étions
imparfait. J’étais aimé, ou aimée. Tu étais aimé, ou aimée. Il était
aimé
, ou elle était aimée. Nous étions aimés, ou aimée
aimé, ou aimée. Tu étais aimé, ou aimée. Il était aimé, ou elle était
aimée
. Nous étions aimés, ou aimées. Vous étiez aimés,
étais aimé, ou aimée. Il était aimé, ou elle était aimée. Nous étions
aimés
, ou aimées. Vous étiez aimés, ou aimées. Ils étai
, ou aimée. Il était aimé, ou elle était aimée. Nous étions aimés, ou
aimées
. Vous étiez aimés, ou aimées. Ils étaient aimés,
t aimé, ou elle était aimée. Nous étions aimés, ou aimées. Vous étiez
aimés
, ou aimées. Ils étaient aimés, ou elles étaient a
elle était aimée. Nous étions aimés, ou aimées. Vous étiez aimés, ou
aimées
. Ils étaient aimés, ou elles étaient aimées. pas
ous étions aimés, ou aimées. Vous étiez aimés, ou aimées. Ils étaient
aimés
, ou elles étaient aimées. passé défini. Je fus a
ées. Vous étiez aimés, ou aimées. Ils étaient aimés, ou elles étaient
aimées
. passé défini. Je fus aimé, ou aimée. Tu fus aim
es. Ils étaient aimés, ou elles étaient aimées. passé défini. Je fus
aimé
, ou aimée. Tu fus aimé, ou aimée. Il fut aimé, ou
taient aimés, ou elles étaient aimées. passé défini. Je fus aimé, ou
aimée
. Tu fus aimé, ou aimée. Il fut aimé, ou elle fut
ou elles étaient aimées. passé défini. Je fus aimé, ou aimée. Tu fus
aimé
, ou aimée. Il fut aimé, ou elle fut aimée. Nous f
étaient aimées. passé défini. Je fus aimé, ou aimée. Tu fus aimé, ou
aimée
. Il fut aimé, ou elle fut aimée. Nous fûmes aimés
. passé défini. Je fus aimé, ou aimée. Tu fus aimé, ou aimée. Il fut
aimé
, ou elle fut aimée. Nous fûmes aimés, ou aimées.
e fus aimé, ou aimée. Tu fus aimé, ou aimée. Il fut aimé, ou elle fut
aimée
. Nous fûmes aimés, ou aimées. Vous fûtes aimés, o
ée. Tu fus aimé, ou aimée. Il fut aimé, ou elle fut aimée. Nous fûmes
aimés
, ou aimées. Vous fûtes aimés, ou aimées. Ils fure
aimé, ou aimée. Il fut aimé, ou elle fut aimée. Nous fûmes aimés, ou
aimées
. Vous fûtes aimés, ou aimées. Ils furent aimés, o
fut aimé, ou elle fut aimée. Nous fûmes aimés, ou aimées. Vous fûtes
aimés
, ou aimées. Ils furent aimés, ou elles furent aim
ou elle fut aimée. Nous fûmes aimés, ou aimées. Vous fûtes aimés, ou
aimées
. Ils furent aimés, ou elles furent aimées. passé
Nous fûmes aimés, ou aimées. Vous fûtes aimés, ou aimées. Ils furent
aimés
, ou elles furent aimées. passé indéfini. J’ai ét
imées. Vous fûtes aimés, ou aimées. Ils furent aimés, ou elles furent
aimées
. passé indéfini. J’ai été aimé, ou aimée. Tu as
. Ils furent aimés, ou elles furent aimées. passé indéfini. J’ai été
aimé
, ou aimée. Tu as été aimé, ou aimée. Il a été aim
ent aimés, ou elles furent aimées. passé indéfini. J’ai été aimé, ou
aimée
. Tu as été aimé, ou aimée. Il a été aimé, ou elle
es furent aimées. passé indéfini. J’ai été aimé, ou aimée. Tu as été
aimé
, ou aimée. Il a été aimé, ou elle a été aimée. No
aimées. passé indéfini. J’ai été aimé, ou aimée. Tu as été aimé, ou
aimée
. Il a été aimé, ou elle a été aimée. Nous avons é
indéfini. J’ai été aimé, ou aimée. Tu as été aimé, ou aimée. Il a été
aimé
, ou elle a été aimée. Nous avons été aimés, ou ai
imé, ou aimée. Tu as été aimé, ou aimée. Il a été aimé, ou elle a été
aimée
. Nous avons été aimés, ou aimées. Vous avez été a
té aimé, ou aimée. Il a été aimé, ou elle a été aimée. Nous avons été
aimés
, ou aimées. Vous avez été aimés, ou aimées. Ils o
u aimée. Il a été aimé, ou elle a été aimée. Nous avons été aimés, ou
aimées
. Vous avez été aimés, ou aimées. Ils ont été aimé
, ou elle a été aimée. Nous avons été aimés, ou aimées. Vous avez été
aimés
, ou aimées. Ils ont été aimés, ou elles ont été a
a été aimée. Nous avons été aimés, ou aimées. Vous avez été aimés, ou
aimées
. Ils ont été aimés, ou elles ont été aimées. pas
ons été aimés, ou aimées. Vous avez été aimés, ou aimées. Ils ont été
aimés
, ou elles ont été aimées. passé antérieur. J’eus
. Vous avez été aimés, ou aimées. Ils ont été aimés, ou elles ont été
aimées
. passé antérieur. J’eus été aimé, ou aimée. Tu e
s ont été aimés, ou elles ont été aimées. passé antérieur. J’eus été
aimé
, ou aimée. Tu eus été aimé, ou aimée. Il eut été
aimés, ou elles ont été aimées. passé antérieur. J’eus été aimé, ou
aimée
. Tu eus été aimé, ou aimée. Il eut été aimé, ou e
nt été aimées. passé antérieur. J’eus été aimé, ou aimée. Tu eus été
aimé
, ou aimée. Il eut été aimé, ou elle eut été aimée
mées. passé antérieur. J’eus été aimé, ou aimée. Tu eus été aimé, ou
aimée
. Il eut été aimé, ou elle eut été aimée. Nous eûm
ieur. J’eus été aimé, ou aimée. Tu eus été aimé, ou aimée. Il eut été
aimé
, ou elle eut été aimée. Nous eûmes été aimés, ou
ou aimée. Tu eus été aimé, ou aimée. Il eut été aimé, ou elle eut été
aimée
. Nous eûmes été aimés, ou aimées. Vous eûtes été
imé, ou aimée. Il eut été aimé, ou elle eut été aimée. Nous eûmes été
aimés
, ou aimées. Vous eûtes été aimés, ou aimées. Ils
mée. Il eut été aimé, ou elle eut été aimée. Nous eûmes été aimés, ou
aimées
. Vous eûtes été aimés, ou aimées. Ils eurent été
u elle eut été aimée. Nous eûmes été aimés, ou aimées. Vous eûtes été
aimés
, ou aimées. Ils eurent été aimés, ou elles eurent
été aimée. Nous eûmes été aimés, ou aimées. Vous eûtes été aimés, ou
aimées
. Ils eurent été aimés, ou elles eurent été aimées
été aimés, ou aimées. Vous eûtes été aimés, ou aimées. Ils eurent été
aimés
, ou elles eurent été aimées. plus-que-parfait. J
eûtes été aimés, ou aimées. Ils eurent été aimés, ou elles eurent été
aimées
. plus-que-parfait. J’avais été aimé, ou aimée. T
été aimés, ou elles eurent été aimées. plus-que-parfait. J’avais été
aimé
, ou aimée. Tu avais été aimé, ou aimée. Il avait
, ou elles eurent été aimées. plus-que-parfait. J’avais été aimé, ou
aimée
. Tu avais été aimé, ou aimée. Il avait été aimé,
é aimées. plus-que-parfait. J’avais été aimé, ou aimée. Tu avais été
aimé
, ou aimée. Il avait été aimé, ou elle avait été a
plus-que-parfait. J’avais été aimé, ou aimée. Tu avais été aimé, ou
aimée
. Il avait été aimé, ou elle avait été aimée. Nous
J’avais été aimé, ou aimée. Tu avais été aimé, ou aimée. Il avait été
aimé
, ou elle avait été aimée. Nous avions été aimés,
ée. Tu avais été aimé, ou aimée. Il avait été aimé, ou elle avait été
aimée
. Nous avions été aimés, ou aimées. Vous aviez été
ou aimée. Il avait été aimé, ou elle avait été aimée. Nous avions été
aimés
, ou aimées. Vous aviez été aimés, ou aimées. Ils
Il avait été aimé, ou elle avait été aimée. Nous avions été aimés, ou
aimées
. Vous aviez été aimés, ou aimées. Ils avaient été
lle avait été aimée. Nous avions été aimés, ou aimées. Vous aviez été
aimés
, ou aimées. Ils avaient été aimés, ou elles avaie
été aimée. Nous avions été aimés, ou aimées. Vous aviez été aimés, ou
aimées
. Ils avaient été aimés, ou elles avaient été aimé
té aimés, ou aimées. Vous aviez été aimés, ou aimées. Ils avaient été
aimés
, ou elles avaient été aimées. futur. Je serai ai
iez été aimés, ou aimées. Ils avaient été aimés, ou elles avaient été
aimées
. futur. Je serai aimé, ou aimée. Tu seras aimé,
Ils avaient été aimés, ou elles avaient été aimées. futur. Je serai
aimé
, ou aimée. Tu seras aimé, ou aimée. Il sera aimé,
ent été aimés, ou elles avaient été aimées. futur. Je serai aimé, ou
aimée
. Tu seras aimé, ou aimée. Il sera aimé, ou elle s
u elles avaient été aimées. futur. Je serai aimé, ou aimée. Tu seras
aimé
, ou aimée. Il sera aimé, ou elle sera aimée. Nous
vaient été aimées. futur. Je serai aimé, ou aimée. Tu seras aimé, ou
aimée
. Il sera aimé, ou elle sera aimée. Nous serons ai
es. futur. Je serai aimé, ou aimée. Tu seras aimé, ou aimée. Il sera
aimé
, ou elle sera aimée. Nous serons aimés, ou aimées
i aimé, ou aimée. Tu seras aimé, ou aimée. Il sera aimé, ou elle sera
aimée
. Nous serons aimés, ou aimées. Vous serez aimés,
u seras aimé, ou aimée. Il sera aimé, ou elle sera aimée. Nous serons
aimés
, ou aimées. Vous serez aimés, ou aimées. Ils sero
mé, ou aimée. Il sera aimé, ou elle sera aimée. Nous serons aimés, ou
aimées
. Vous serez aimés, ou aimées. Ils seront aimés, o
ra aimé, ou elle sera aimée. Nous serons aimés, ou aimées. Vous serez
aimés
, ou aimées. Ils seront aimés, ou elles seront aim
u elle sera aimée. Nous serons aimés, ou aimées. Vous serez aimés, ou
aimées
. Ils seront aimés, ou elles seront aimées. futur
Nous serons aimés, ou aimées. Vous serez aimés, ou aimées. Ils seront
aimés
, ou elles seront aimées. futur passé. J’aurai ét
imées. Vous serez aimés, ou aimées. Ils seront aimés, ou elles seront
aimées
. futur passé. J’aurai été aimé, ou aimée. Tu aur
. Ils seront aimés, ou elles seront aimées. futur passé. J’aurai été
aimé
, ou aimée. Tu auras été aimé, ou aimée. Il aura é
ont aimés, ou elles seront aimées. futur passé. J’aurai été aimé, ou
aimée
. Tu auras été aimé, ou aimée. Il aura été aimé, o
seront aimées. futur passé. J’aurai été aimé, ou aimée. Tu auras été
aimé
, ou aimée. Il aura été aimé, ou elle aura été aim
mées. futur passé. J’aurai été aimé, ou aimée. Tu auras été aimé, ou
aimée
. Il aura été aimé, ou elle aura été aimée. Nous a
J’aurai été aimé, ou aimée. Tu auras été aimé, ou aimée. Il aura été
aimé
, ou elle aura été aimée. Nous aurons été aimés, o
imée. Tu auras été aimé, ou aimée. Il aura été aimé, ou elle aura été
aimée
. Nous aurons été aimés, ou aimées. Vous aurez été
, ou aimée. Il aura été aimé, ou elle aura été aimée. Nous aurons été
aimés
, ou aimées. Vous aurez été aimés, ou aimées. Ils
. Il aura été aimé, ou elle aura été aimée. Nous aurons été aimés, ou
aimées
. Vous aurez été aimés, ou aimées. Ils auront été
elle aura été aimée. Nous aurons été aimés, ou aimées. Vous aurez été
aimés
, ou aimées. Ils auront été aimés, ou elles auront
été aimée. Nous aurons été aimés, ou aimées. Vous aurez été aimés, ou
aimées
. Ils auront été aimés, ou elles auront été aimées
été aimés, ou aimées. Vous aurez été aimés, ou aimées. Ils auront été
aimés
, ou elles auront été aimées. CONDITIONNEL. prése
aurez été aimés, ou aimées. Ils auront été aimés, ou elles auront été
aimées
. CONDITIONNEL. présent. Je serais aimé, ou aimée
aimés, ou elles auront été aimées. CONDITIONNEL. présent. Je serais
aimé
, ou aimée. Tu serais aimé, ou aimée. Il serait ai
u elles auront été aimées. CONDITIONNEL. présent. Je serais aimé, ou
aimée
. Tu serais aimé, ou aimée. Il serait aimé, ou ell
é aimées. CONDITIONNEL. présent. Je serais aimé, ou aimée. Tu serais
aimé
, ou aimée. Il serait aimé, ou elle serait aimée.
CONDITIONNEL. présent. Je serais aimé, ou aimée. Tu serais aimé, ou
aimée
. Il serait aimé, ou elle serait aimée. Nous serio
résent. Je serais aimé, ou aimée. Tu serais aimé, ou aimée. Il serait
aimé
, ou elle serait aimée. Nous serions aimés, ou aim
é, ou aimée. Tu serais aimé, ou aimée. Il serait aimé, ou elle serait
aimée
. Nous serions aimés, ou aimées. Vous seriez aimés
is aimé, ou aimée. Il serait aimé, ou elle serait aimée. Nous serions
aimés
, ou aimées. Vous seriez aimés, ou aimées. Ils ser
u aimée. Il serait aimé, ou elle serait aimée. Nous serions aimés, ou
aimées
. Vous seriez aimés, ou aimées. Ils seraient aimés
imé, ou elle serait aimée. Nous serions aimés, ou aimées. Vous seriez
aimés
, ou aimées. Ils seraient aimés, ou elles seraient
le serait aimée. Nous serions aimés, ou aimées. Vous seriez aimés, ou
aimées
. Ils seraient aimés, ou elles seraient aimées. p
serions aimés, ou aimées. Vous seriez aimés, ou aimées. Ils seraient
aimés
, ou elles seraient aimées. passé. J’aurais été a
. Vous seriez aimés, ou aimées. Ils seraient aimés, ou elles seraient
aimées
. passé. J’aurais été aimé, ou aimée. Tu aurais é
s. Ils seraient aimés, ou elles seraient aimées. passé. J’aurais été
aimé
, ou aimée. Tu aurais été aimé, ou aimée. Il aurai
raient aimés, ou elles seraient aimées. passé. J’aurais été aimé, ou
aimée
. Tu aurais été aimé, ou aimée. Il aurait été aimé
s seraient aimées. passé. J’aurais été aimé, ou aimée. Tu aurais été
aimé
, ou aimée. Il aurait été aimé, ou elle aurait été
t aimées. passé. J’aurais été aimé, ou aimée. Tu aurais été aimé, ou
aimée
. Il aurait été aimé, ou elle aurait été aimée. No
urais été aimé, ou aimée. Tu aurais été aimé, ou aimée. Il aurait été
aimé
, ou elle aurait été aimée. Nous aurions été aimés
Tu aurais été aimé, ou aimée. Il aurait été aimé, ou elle aurait été
aimée
. Nous aurions été aimés, ou aimées. Vous auriez é
aimée. Il aurait été aimé, ou elle aurait été aimée. Nous aurions été
aimés
, ou aimées. Vous auriez été aimés, ou aimées. Ils
aurait été aimé, ou elle aurait été aimée. Nous aurions été aimés, ou
aimées
. Vous auriez été aimés, ou aimées. Ils auraient é
aurait été aimée. Nous aurions été aimés, ou aimées. Vous auriez été
aimés
, ou aimées. Ils auraient été aimés, ou elles aura
é aimée. Nous aurions été aimés, ou aimées. Vous auriez été aimés, ou
aimées
. Ils auraient été aimés, ou elles auraient été ai
aimés, ou aimées. Vous auriez été aimés, ou aimées. Ils auraient été
aimés
, ou elles auraient été aimées. On dit aussi : j’e
z été aimés, ou aimées. Ils auraient été aimés, ou elles auraient été
aimées
. On dit aussi : j’eusse été aimé, ou aimée, tu eu
t été aimés, ou elles auraient été aimées. On dit aussi : j’eusse été
aimé
, ou aimée, tu eusses été aimé, ou aimée, il eût é
és, ou elles auraient été aimées. On dit aussi : j’eusse été aimé, ou
aimée
, tu eusses été aimé, ou aimée, il eût été aimé, o
été aimées. On dit aussi : j’eusse été aimé, ou aimée, tu eusses été
aimé
, ou aimée, il eût été aimé, ou elle eût été aimée
es. On dit aussi : j’eusse été aimé, ou aimée, tu eusses été aimé, ou
aimée
, il eût été aimé, ou elle eût été aimée ; nous eu
j’eusse été aimé, ou aimée, tu eusses été aimé, ou aimée, il eût été
aimé
, ou elle eût été aimée ; nous eussions été aimé,
aimée, tu eusses été aimé, ou aimée, il eût été aimé, ou elle eût été
aimée
; nous eussions été aimé, ou aimées, vous eussiez
ou aimée, il eût été aimé, ou elle eût été aimée ; nous eussions été
aimé
, ou aimées, vous eussiez été aimés, ou aimées, il
, il eût été aimé, ou elle eût été aimée ; nous eussions été aimé, ou
aimées
, vous eussiez été aimés, ou aimées, ils eussent é
e eût été aimée ; nous eussions été aimé, ou aimées, vous eussiez été
aimés
, ou aimées, ils eussent été aimés, ou elles eusse
aimée ; nous eussions été aimé, ou aimées, vous eussiez été aimés, ou
aimées
, ils eussent été aimés, ou elles eussent été aimé
é aimé, ou aimées, vous eussiez été aimés, ou aimées, ils eussent été
aimés
, ou elles eussent été aimées. IMPÉRATIF. Point d
iez été aimés, ou aimées, ils eussent été aimés, ou elles eussent été
aimées
. IMPÉRATIF. Point de première personne. Sois aim
lles eussent été aimées. IMPÉRATIF. Point de première personne. Sois
aimé
, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée
ent été aimées. IMPÉRATIF. Point de première personne. Sois aimé, ou
aimée
. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Soyons a
PÉRATIF. Point de première personne. Sois aimé, ou aimée. Qu’il soit
aimé
, ou qu’elle soit aimée. Soyons aimés, ou aimées.
mière personne. Sois aimé, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit
aimée
. Soyons aimés, ou aimées. Soyez aimés, ou aimées.
. Sois aimé, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Soyons
aimés
, ou aimées. Soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient
é, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Soyons aimés, ou
aimées
. Soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient aimés, ou
u’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Soyons aimés, ou aimées. Soyez
aimés
, ou aimées. Qu’ils soient aimés, ou qu’elles soie
aimé, ou qu’elle soit aimée. Soyons aimés, ou aimées. Soyez aimés, ou
aimées
. Qu’ils soient aimés, ou qu’elles soient aimées.
aimée. Soyons aimés, ou aimées. Soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient
aimés
, ou qu’elles soient aimées. SUBJONCTIF. présent
mées. Soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient aimés, ou qu’elles soient
aimées
. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que je sois aimé,
ou qu’elles soient aimées. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que je sois
aimé
, ou aimée. Que tu sois aimé, ou aimée. Qu’il soit
es soient aimées. SUBJONCTIF. présent ou futur. Que je sois aimé, ou
aimée
. Que tu sois aimé, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou
UBJONCTIF. présent ou futur. Que je sois aimé, ou aimée. Que tu sois
aimé
, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée
. présent ou futur. Que je sois aimé, ou aimée. Que tu sois aimé, ou
aimée
. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Que nous
r. Que je sois aimé, ou aimée. Que tu sois aimé, ou aimée. Qu’il soit
aimé
, ou qu’elle soit aimée. Que nous soyons aimés, ou
u aimée. Que tu sois aimé, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit
aimée
. Que nous soyons aimés, ou aimées. Que vous soyez
mé, ou aimée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Que nous soyons
aimés
, ou aimées. Que vous soyez aimés, ou aimées. Qu’i
ée. Qu’il soit aimé, ou qu’elle soit aimée. Que nous soyons aimés, ou
aimées
. Que vous soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient a
qu’elle soit aimée. Que nous soyons aimés, ou aimées. Que vous soyez
aimés
, ou aimées. Qu’ils soient aimés, ou qu’elles soie
oit aimée. Que nous soyons aimés, ou aimées. Que vous soyez aimés, ou
aimées
. Qu’ils soient aimés, ou qu’elles soient aimées.
yons aimés, ou aimées. Que vous soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient
aimés
, ou qu’elles soient aimées. imparfait. Que je fu
vous soyez aimés, ou aimées. Qu’ils soient aimés, ou qu’elles soient
aimées
. imparfait. Que je fusse aimé, ou aimée. Que tu
ils soient aimés, ou qu’elles soient aimées. imparfait. Que je fusse
aimé
, ou aimée. Que tu fusses aimé, ou aimée. Qu’il fû
t aimés, ou qu’elles soient aimées. imparfait. Que je fusse aimé, ou
aimée
. Que tu fusses aimé, ou aimée. Qu’il fût aimé, ou
soient aimées. imparfait. Que je fusse aimé, ou aimée. Que tu fusses
aimé
, ou aimée. Qu’il fût aimé, ou qu’elle fût aimée.
mées. imparfait. Que je fusse aimé, ou aimée. Que tu fusses aimé, ou
aimée
. Qu’il fût aimé, ou qu’elle fût aimée. Que nous f
Que je fusse aimé, ou aimée. Que tu fusses aimé, ou aimée. Qu’il fût
aimé
, ou qu’elle fût aimée. Que nous fussions aimés, o
u aimée. Que tu fusses aimé, ou aimée. Qu’il fût aimé, ou qu’elle fût
aimée
. Que nous fussions aimés, ou aimées. Que vous fus
mé, ou aimée. Qu’il fût aimé, ou qu’elle fût aimée. Que nous fussions
aimés
, ou aimées. Que vous fussiez aimés, ou aimées. Qu
ée. Qu’il fût aimé, ou qu’elle fût aimée. Que nous fussions aimés, ou
aimées
. Que vous fussiez aimés, ou aimées. Qu’ils fussen
’elle fût aimée. Que nous fussions aimés, ou aimées. Que vous fussiez
aimés
, ou aimées. Qu’ils fussent aimés, ou qu’elles fus
aimée. Que nous fussions aimés, ou aimées. Que vous fussiez aimés, ou
aimées
. Qu’ils fussent aimés, ou qu’elles fussent aimées
s aimés, ou aimées. Que vous fussiez aimés, ou aimées. Qu’ils fussent
aimés
, ou qu’elles fussent aimées. passé. Que j’aie ét
s fussiez aimés, ou aimées. Qu’ils fussent aimés, ou qu’elles fussent
aimées
. passé. Que j’aie été aimé, ou aimée. Que tu aie
’ils fussent aimés, ou qu’elles fussent aimées. passé. Que j’aie été
aimé
, ou aimée. Que tu aies été aimé, ou aimée. Qu’il
ent aimés, ou qu’elles fussent aimées. passé. Que j’aie été aimé, ou
aimée
. Que tu aies été aimé, ou aimée. Qu’il ait été ai
fussent aimées. passé. Que j’aie été aimé, ou aimée. Que tu aies été
aimé
, ou aimée. Qu’il ait été aimé, ou qu’elle ait été
imées. passé. Que j’aie été aimé, ou aimée. Que tu aies été aimé, ou
aimée
. Qu’il ait été aimé, ou qu’elle ait été aimée. Qu
aie été aimé, ou aimée. Que tu aies été aimé, ou aimée. Qu’il ait été
aimé
, ou qu’elle ait été aimée. Que nous ayons été aim
ue tu aies été aimé, ou aimée. Qu’il ait été aimé, ou qu’elle ait été
aimée
. Que nous ayons été aimés, ou aimées. Que vous ay
mée. Qu’il ait été aimé, ou qu’elle ait été aimée. Que nous ayons été
aimés
, ou aimées. Que vous ayez été aimés, ou aimées. Q
ait été aimé, ou qu’elle ait été aimée. Que nous ayons été aimés, ou
aimées
. Que vous ayez été aimés, ou aimées. Qu’ils aient
ait été aimée. Que nous ayons été aimés, ou aimées. Que vous ayez été
aimés
, ou aimées. Qu’ils aient été aimés, ou qu’elles a
mée. Que nous ayons été aimés, ou aimées. Que vous ayez été aimés, ou
aimées
. Qu’ils aient été aimés, ou qu’elles aient été ai
imés, ou aimées. Que vous ayez été aimés, ou aimées. Qu’ils aient été
aimés
, ou qu’elles aient été aimées. plus-que-parfait.
z été aimés, ou aimées. Qu’ils aient été aimés, ou qu’elles aient été
aimées
. plus-que-parfait. Que j’eusse été aimé, ou aimé
més, ou qu’elles aient été aimées. plus-que-parfait. Que j’eusse été
aimé
, ou aimée. Que tu eusses été aimé, ou aimée. Qu’i
u’elles aient été aimées. plus-que-parfait. Que j’eusse été aimé, ou
aimée
. Que tu eusses été aimé, ou aimée. Qu’il eût été
plus-que-parfait. Que j’eusse été aimé, ou aimée. Que tu eusses été
aimé
, ou aimée. Qu’il eût été aimé, ou qu’elle eût été
e-parfait. Que j’eusse été aimé, ou aimée. Que tu eusses été aimé, ou
aimée
. Qu’il eût été aimé, ou qu’elle eût été aimée. Qu
e été aimé, ou aimée. Que tu eusses été aimé, ou aimée. Qu’il eût été
aimé
, ou qu’elle eût été aimée. Que nous eussions été
tu eusses été aimé, ou aimée. Qu’il eût été aimé, ou qu’elle eût été
aimée
. Que nous eussions été aimés, ou aimées. Que vous
. Qu’il eût été aimé, ou qu’elle eût été aimée. Que nous eussions été
aimés
, ou aimées. Que vous eussiez été aimés, ou aimées
t été aimé, ou qu’elle eût été aimée. Que nous eussions été aimés, ou
aimées
. Que vous eussiez été aimés, ou aimées. Qu’ils eu
é aimée. Que nous eussions été aimés, ou aimées. Que vous eussiez été
aimés
, ou aimées. Qu’ils eussent été aimés, ou qu’elles
ue nous eussions été aimés, ou aimées. Que vous eussiez été aimés, ou
aimées
. Qu’ils eussent été aimés, ou qu’elles eussent ét
ou aimées. Que vous eussiez été aimés, ou aimées. Qu’ils eussent été
aimés
, ou qu’elles eussent été aimées. INFINITIF. prés
é aimés, ou aimées. Qu’ils eussent été aimés, ou qu’elles eussent été
aimées
. INFINITIF. présent. Être aimé, ou aimée. passé
été aimés, ou qu’elles eussent été aimées. INFINITIF. présent. Être
aimé
, ou aimée. passé Avoir été aimé, ou aimée. PART
s, ou qu’elles eussent été aimées. INFINITIF. présent. Être aimé, ou
aimée
. passé Avoir été aimé, ou aimée. PARTICIPES. p
é aimées. INFINITIF. présent. Être aimé, ou aimée. passé Avoir été
aimé
, ou aimée. PARTICIPES. présent. Étant aimé, ou a
INFINITIF. présent. Être aimé, ou aimée. passé Avoir été aimé, ou
aimée
. PARTICIPES. présent. Étant aimé, ou aimée. pas
aimée. passé Avoir été aimé, ou aimée. PARTICIPES. présent. Étant
aimé
, ou aimée. passé. Ayant été aimé, ou aimée. fut
passé Avoir été aimé, ou aimée. PARTICIPES. présent. Étant aimé, ou
aimée
. passé. Ayant été aimé, ou aimée. futur. Devant
aimée. PARTICIPES. présent. Étant aimé, ou aimée. passé. Ayant été
aimé
, ou aimée. futur. Devant être aimé, ou aimée. Ai
ARTICIPES. présent. Étant aimé, ou aimée. passé. Ayant été aimé, ou
aimée
. futur. Devant être aimé, ou aimée. Ainsi se con
aimé, ou aimée. passé. Ayant été aimé, ou aimée. futur. Devant être
aimé
, ou aimée. Ainsi se conjuguent être fini, être re
aimée. passé. Ayant été aimé, ou aimée. futur. Devant être aimé, ou
aimée
. Ainsi se conjuguent être fini, être reçu, être r
sif. Exemples. La souris est mangée par le chat. Un enfant sage est
aimé
de ses parents. Remarque. N’employez jamais par
l y a un quatrième passé dont on se sert rarement, le voici : j’ai eu
aimé
, tu as eu aimé, il a eu aimé, nous avons eu aimé,
ème passé dont on se sert rarement, le voici : j’ai eu aimé, tu as eu
aimé
, il a eu aimé, nous avons eu aimé, vous avez eu a
on se sert rarement, le voici : j’ai eu aimé, tu as eu aimé, il a eu
aimé
, nous avons eu aimé, vous avez eu aimé, ils ont e
, le voici : j’ai eu aimé, tu as eu aimé, il a eu aimé, nous avons eu
aimé
, vous avez eu aimé, ils ont eu aimé. 1. Il y a u
u aimé, tu as eu aimé, il a eu aimé, nous avons eu aimé, vous avez eu
aimé
, ils ont eu aimé. 1. Il y a un quatrième passé,
aimé, il a eu aimé, nous avons eu aimé, vous avez eu aimé, ils ont eu
aimé
. 1. Il y a un quatrième passé, mais on s’en sert
sse, tous les imparfaits du subjonctif de la première conjugaison : j’
aimasse
, j’appelasse, etc. Mots en ance et en ence.
atif. 157. — Singulier. 1° Si la première personne finit par e ; j’
aime
; j’ouvre, etc., on ajoute s à la seconde : la tr
à la seconde : la troisième est semblable à la première. Exemple : J’
aime
, tu aimes, il aime. 2° Si la première personne fi
onde : la troisième est semblable à la première. Exemple : J’aime, tu
aimes
, il aime. 2° Si la première personne finit par s
troisième est semblable à la première. Exemple : J’aime, tu aimes, il
aime
. 2° Si la première personne finit par s ou x, la
toutes les conjugaisons, se termine toujours par ons, ez, ent : nous
aimons
, vous aimez, ils aiment ; nous finissons, vous fi
onjugaisons, se termine toujours par ons, ez, ent : nous aimons, vous
aimez
, ils aiment ; nous finissons, vous finissez, ils
, se termine toujours par ons, ez, ent : nous aimons, vous aimez, ils
aiment
; nous finissons, vous finissez, ils finissent.
rmine toujours de cette manière : ais, ais, ait, ions, iez, aient. J’
aimais
, tu aimais, il aimait, nous aimions, vous aimiez,
urs de cette manière : ais, ais, ait, ions, iez, aient. J’aimais, tu
aimais
, il aimait, nous aimions, vous aimiez, ils aimaie
e manière : ais, ais, ait, ions, iez, aient. J’aimais, tu aimais, il
aimait
, nous aimions, vous aimiez, ils aimaient. Pas
is, ais, ait, ions, iez, aient. J’aimais, tu aimais, il aimait, nous
aimions
, vous aimiez, ils aimaient. Passé défini.
ions, iez, aient. J’aimais, tu aimais, il aimait, nous aimions, vous
aimiez
, ils aimaient. Passé défini. 159. — Le pas
ient. J’aimais, tu aimais, il aimait, nous aimions, vous aimiez, ils
aimaient
. Passé défini. 159. — Le passé défini a qu
défini a quatre terminaisons : ai, is, us, ins, de cette manière : J’
aimai
, tu aimas, il aima, nous aimâmes, vous aimâtes, i
uatre terminaisons : ai, is, us, ins, de cette manière : J’aimai, tu
aimas
, il aima, nous aimâmes, vous aimâtes, ils aimèren
inaisons : ai, is, us, ins, de cette manière : J’aimai, tu aimas, il
aima
, nous aimâmes, vous aimâtes, ils aimèrent. Je fi
ai, is, us, ins, de cette manière : J’aimai, tu aimas, il aima, nous
aimâmes
, vous aimâtes, ils aimèrent. Je finis, tu finis,
s, de cette manière : J’aimai, tu aimas, il aima, nous aimâmes, vous
aimâtes
, ils aimèrent. Je finis, tu finis, il finit, nou
anière : J’aimai, tu aimas, il aima, nous aimâmes, vous aimâtes, ils
aimèrent
. Je finis, tu finis, il finit, nous finîmes, vou
0. — Il se termine toujours ainsi : rai, ras, ra, rons, rez, ront. J’
aimerai
, tu aimeras, il aimera, nous aimerons, vous aimer
ermine toujours ainsi : rai, ras, ra, rons, rez, ront. J’aimerai, tu
aimeras
, il aimera, nous aimerons, vous aimerez, ils aime
urs ainsi : rai, ras, ra, rons, rez, ront. J’aimerai, tu aimeras, il
aimera
, nous aimerons, vous aimerez, ils aimeront. Je r
ai, ras, ra, rons, rez, ront. J’aimerai, tu aimeras, il aimera, nous
aimerons
, vous aimerez, ils aimeront. Je recevrai, tu rec
ns, rez, ront. J’aimerai, tu aimeras, il aimera, nous aimerons, vous
aimerez
, ils aimeront. Je recevrai, tu recevras, il rece
. J’aimerai, tu aimeras, il aimera, nous aimerons, vous aimerez, ils
aimeront
. Je recevrai, tu recevras, il recevra, nous rece
se termine toujours ainsi : rais, rais, rait, rions, riez, raient. J’
aimerais
, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous a
ujours ainsi : rais, rais, rait, rions, riez, raient. J’aimerais, tu
aimerais
, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils
: rais, rais, rait, rions, riez, raient. J’aimerais, tu aimerais, il
aimerait
, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
ait, rions, riez, raient. J’aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous
aimerions
, vous aimeriez, ils aimeraient. Je recevrais, tu
, raient. J’aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous
aimeriez
, ils aimeraient. Je recevrais, tu recevrais, il
imerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils
aimeraient
. Je recevrais, tu recevrais, il recevrait, nous
62. — Il se termine toujours ainsi : e, es, e, ions, iez, ent. Que j’
aime
, que tu aimes, qu’il aime, que nous aimions, que
ermine toujours ainsi : e, es, e, ions, iez, ent. Que j’aime, que tu
aimes
, qu’il aime, que nous aimions, que vous aimiez, q
rs ainsi : e, es, e, ions, iez, ent. Que j’aime, que tu aimes, qu’il
aime
, que nous aimions, que vous aimiez, qu’ils aiment
s, e, ions, iez, ent. Que j’aime, que tu aimes, qu’il aime, que nous
aimions
, que vous aimiez, qu’ils aiment. Imparfait du
nt. Que j’aime, que tu aimes, qu’il aime, que nous aimions, que vous
aimiez
, qu’ils aiment. Imparfait du subjonctif. 1
, que tu aimes, qu’il aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu’ils
aiment
. Imparfait du subjonctif. 163. — Il a quat
quatre terminaisons : asse, isse, usse, insse, de cette manière : J’
aimasse
, tu aimasses, il aimât, nous aimassions, vous aim
se, isse, usse, insse, de cette manière : J’aimasse, tu aimasses, il
aimât
, nous aimassions, vous aimassiez, ils aimassent.
se, insse, de cette manière : J’aimasse, tu aimasses, il aimât, nous
aimassions
, vous aimassiez, ils aimassent. Je finisse, tu f
’aimasse, tu aimasses, il aimât, nous aimassions, vous aimassiez, ils
aimassent
. Je finisse, tu finisses, il finît, nous finissi
nom pluriel, prend une s ; alors il signifie d’eux, d’elles : un père
aime
ses enfants, mais il n’aime pas leurs défauts.
lors il signifie d’eux, d’elles : un père aime ses enfants, mais il n’
aime
pas leurs défauts. 165. — On ne met point d’acc
j’honore, j’oublie, etc., pour je apprends, etc. Me, on dit : vous m’
aimez
, vous m’estimez, vous m’instruisez, etc., pour me
dit : vous m’aimez, vous m’estimez, vous m’instruisez, etc., pour me
aimez
, etc. Te, on dit : je t’avertis, je t’ennuie, je
e, d’ignorance, d’orgueil, pour de apparence, etc. Ne, on dit : je n’
aime
pas, je n’estime pas, il n’obéit pas, pour ne aim
Ne, on dit : je n’aime pas, je n’estime pas, il n’obéit pas, pour ne
aime
, etc. Que, on dit : qu’avez-vous fait ? qu’impor
utumes sont innocentes et charmantes. Les amitiés littéraires
Aimer
Molière, c’est avoir une garantie en soi contre b
rme seule change, et dont le plumage se renouvelle sans cesse ; c’est
aimer
la santé et le droit sens de l’esprit, chez les a
a santé et le droit sens de l’esprit, chez les autres comme pour soi.
Aimer
et préférer ouvertement Corneille, c’est sans dou
: et pourtant n’est-ce pas risquer, avec la grandeur et le sublime, d’
aimer
un peu la fausse gloire, jusqu’à ne pas détester
r l’enflure et l’emphase, un air d’héroïsme à tout propos ? Celui qui
aime
passionnément Corneille peut n’être pas ennemi d’
passionnément Corneille peut n’être pas ennemi d’un peu de jactance2.
Aimer
, au contraire, et préférer Racine, ah ! c’est san
ance2. Aimer, au contraire, et préférer Racine, ah ! c’est sans doute
aimer
avant tout l’élégance, la grâce, le naturel, la v
hères, de certaines délicatesses excessives, exclusives ? Enfin, tant
aimer
Racine, c’est risquer d’avoir trop, ce qu’on appe
ir trop, ce qu’on appelle en France le goût, et qui rend si dégoûté3.
Aimer
Boileau… mais non, on n’aime pas Boileau4 ; on l’
rance le goût, et qui rend si dégoûté3. Aimer Boileau… mais non, on n’
aime
pas Boileau4 ; on l’estime, on le respecte ; on a
robité, sa raison, par instants sa verve ; et, si l’on est tenté de l’
aimer
, c’est uniquement pour cette équité souveraine qu
en particulier à celui qu’il proclame le premier de tous, à Molière.
Aimer
La Fontaine, c’est presque la même chose qu’aimer
de tous, à Molière. Aimer La Fontaine, c’est presque la même chose qu’
aimer
Molière ; c’est aimer la nature, toute la nature,
mer La Fontaine, c’est presque la même chose qu’aimer Molière ; c’est
aimer
la nature, toute la nature, la peinture naïve de
es distinguer ? La Fontaine et Molière, on ne les sépare pas ; on les
aime
ensemble. Les funérailles d’un sceptique et d
du bel esprit. Ils ont laissé une nombreuse postérité. 2. M. Cousin
aimait
Corneille avec passion. 3. Oui, il en est pour q
nte modestie, qui fait négliger le commerce des personnes élevées. On
aime
, par amour-propre, à passer sa vie avec les gens
la condescendance : c’est faire mal le bien3 Je veux que tu te fasses
aimer
; mais Dieu seul peut te rendre aimable, car tu n
Pourvu qu’il dorme, qu’il rie, qu’il adoucisse son tempérament, qu’il
aime
les jeux de la société, qu’il prenne plaisir à ai
empérament, qu’il aime les jeux de la société, qu’il prenne plaisir à
aimer
les hommes et à se faire aimer d’eux, toutes les
de la société, qu’il prenne plaisir à aimer les hommes et à se faire
aimer
d’eux, toutes les grâces de l’esprit et du corps
cun effort pour moi ; je vous renverrais ce que vous me prêteriez ; j’
aime
mieux souffrir. Mais faites en sorte qu’on m’envo
’on pourra, après avoir néanmoins pourvu aux aumônes pressées ; car j’
aimerais
mieux à la lettre vivre de pain sec que d’en lais
œur1, d’entrer là-dessus dans mes sentiments. Conservez-vous tous, et
aimez
-moi toujours. Rien au monde n’est plus à vous pou
itoire barbouille ses doigts. N’allez pas lui parler des choses qu’il
aimait
le mieux il n’y a qu’un moment ; par la raison qu
’il aimait le mieux il n’y a qu’un moment ; par la raison qu’il les a
aimées
, il ne les saurait plus souffrir. Les parties2 de
ines personnes auxquelles il doit plus qu’aux autres, ou qu’il paraît
aimer
davantage. Non, sa bizarrerie ne connaît personne
e connaît personne ; elle s’en prend sans choix à tout le monde. Il n’
aime
plus les gens, il n’en est point aimé. On le pers
ans choix à tout le monde. Il n’aime plus les gens, il n’en est point
aimé
. On le persécute, on le trahit3. Il ne doit rien
un moment : voici une autre scène. Il a besoin de tout le monde ; il
aime
, on l’aime aussi ; il flatte, il insinue, il enso
: voici une autre scène. Il a besoin de tout le monde ; il aime, on l’
aime
aussi ; il flatte, il insinue, il ensorcelle tous
a deux manières de se donner aux hommes : la première est de se faire
aimer
, non pour être leur idole, mais pour employer leu
usurper de l’autorité sur eux en les flattant. Ce n’est pas eux qu’on
aime
, c’est soi-même. On n’agit que par vanité et par
e avec le soleil, en juillet et août, temps de grande chaleur. 2. J’
aime
ce trait ; il rend bien une sensation. 3. Vespe
e nous. 3. Tour vil ; pour dire : Il se croit trahi. 4. Il se fait
aimer
, malgré ses défauts, peut-être à cause d’eux. 1.
2. Voilà bien le cœur de Fénelon. Il avait d’autant plus de mérite à
aimer
les hommes, qu’il les connaissait, et n’était jam
ière-pensée d’ambition, s’il est plus facile de la respecter que de l’
aimer
; on doit pourtant reconnaître qu’elle n’a jamais
e, il inspirera cet attachement inviolable aux règles extérieures. On
aimera
mieux se taire que de parler, travailler que d’êt
té dans une grille qui est pourtant de bienséance et de nécessité. On
aimera
mieux épargner par la charité que de dissiper par
une vaine étude pour se contenter et pour orner son esprit. Enfin on
aimera
mieux suivre la volonté des supérieurs, que de s’
il À mademoiselle d’Aubigné 2 Chantilly, 11 mai 1693. Je vous
aime
trop, ma chère nièce, pour ne pas vous dire tout
que par votre douceur, et vous n’en avez point. Votre mignonne1 vous
aime
trop, et ne vous voit point comme les autres gens
gens vous voient. Je ne suis point prévenue contre vous, car je vous
aime
fort ; mais je ne vous vois pas sans peine, par l
de, et mettant en pratique tout ce que vous savez de bon ; je vous en
aimerai
beaucoup davantage. Je vous conjure, par toute l’
on, vous ne serez jamais contente, ma chère fille, qu’au jour où vous
aimerez
Dieu de tout votre cœur ; je ne vous parle pas ai
il confessait que tout n’est que vanité et affliction d’esprit, hors
aimer
Dieu et le servir. Que ne puis-je vous faire voir
comber ? J’ai été jeune et jolie ; j’ai goûté des plaisirs ; j’ai été
aimée
partout. Dans un âge un peu plus avancé, j’ai pas
s à sa gloire ; je ferais le bonheur d’une personne que j’ai toujours
aimée
particulièrement, et je rendrais un grand service
le monde ! Rien ne m’est plus cher que mes enfants de Saint-Cyr. J’en
aime
tout, jusqu’à la poussière. »
mort à ce muet emblème : La servante pleurait le vieux maître qu’elle
aime
. « Marthe ! dis-je, est-il vrai ?…4 » Se levant à
dont la force, un moment ranimée, Empruntait de la vie à cette terre
aimée
, Parcourant du regard et le ciel et les lieux, Vo
premier toit, semblent faire partie, Que l’on a toujours vus, connus,
aimés
, touchés2 ; Cette première couche où Dieu nous a
semblant aux murs même, Par ses bonds et ses cris, annoncer ce qu’il
aime
; Puis, sur mon sac poudreux à mes pieds étendu,
x roulèrent sur sa soie ; « O pauvre et seul ami, viens, lui dis-je,
aimons
-nous ! Partout où le ciel mit deux cœurs, s’aimer
viens, lui dis-je, aimons-nous ! Partout où le ciel mit deux cœurs, s’
aimer
est doux1 ! » Hélas ! rentrer tout seul dans sa
meurs de sa mort, Et par quelle pitié pour nos cœurs il te donne Pour
aimer
encor ceux que n’aime plus personne. Aussi, pauvr
r quelle pitié pour nos cœurs il te donne Pour aimer encor ceux que n’
aime
plus personne. Aussi, pauvre animal, quoique à te
ans tes yeux, Il se ranimera dans je ne sais quels cieux. De ce qui s’
aima
tant la tendre sympathie, Homme ou plante, jamais
3 ; Son sein est assez grand pour nous tous contenir ! Oui, nous nous
aimerons
comme nous nous aimâmes. Qu’importe à ses regard
and pour nous tous contenir ! Oui, nous nous aimerons comme nous nous
aimâmes
. Qu’importe à ses regards des instincts ou des â
Lèche mes yeux mouillés, mets ton cœur près du mien, Et, seuls à nous
aimer
, aimons-nous, pauvre chien ! La cloche des f
es yeux mouillés, mets ton cœur près du mien, Et, seuls à nous aimer,
aimons
-nous, pauvre chien ! La cloche des funéraill
mais ma route à moi est tracée par les soucis dévorants. Cependant j’
aime
à demeurer au milieu d’hommes joyeux ; je souhait
ents intimes, simples et domestiques. 3. Ce vers est éloquent. 4. J’
aime
moins cette réflexion ; elle est inutile. 5. C’e
i de ceux qui sont oubliés du monde et qui pourtant ont besoin d’être
aimés
par quelqu’un ! De cet asile de travail, de silen
t et refroidi de toutes ces délicieuses tendresses qui l’animaient, j’
aime
à le revoir, j’aime à y coucher encore quelquefoi
tes ces délicieuses tendresses qui l’animaient, j’aime à le revoir, j’
aime
à y coucher encore quelquefois, comme si je devai
que je le nourris, moitié sucre, moitié caresses. Hélas ! que sert d’
aimer
? Je ne le sauverai pas. Cela me ferait pleurer,
originalité frappante. Elle fut l’idéal de la sœur chrétienne ; elle
aima
dans Maurice une âme à sanctifier, un talent à gl
enfant me vint couper mon histoire hier. Je la quittai sans regret. J’
aime
autant les enfants que les pauvres vieux. Un de c
clarté l’embellit et m’y retient, quoique j’aie envie de descendre. J’
aime
tant ce qui vient du ciel ! J’admire d’ailleurs m
nuages, du froid, du sombre, l’hiver encore, le triste hiver. Je ne l’
aime
guère ; mais toutes les saisons sont bonnes, puis
mienne ce qu’elle a vu aujourd’hui, ce qu’elle a appris, ce qu’elle a
aimé
; car chaque jour elle aime quelque chose. Ce mat
rd’hui, ce qu’elle a appris, ce qu’elle a aimé ; car chaque jour elle
aime
quelque chose. Ce matin j’ai vu un beau ciel, le
! Pauvre rayon de gloire qui va venir sur sa tombe ! Que je l’aurais
aimé
sur son front, de son vivant, quand nous l’aurion
e bruit funèbre de renommée qui va s’attacher au nom que j’ai le plus
aimé
. Oh ! le cœur voudrait tant immortaliser ce qu’il
e j’ai le plus aimé. Oh ! le cœur voudrait tant immortaliser ce qu’il
aime
! Maurice, mon ami, vit toujours ; il s’est étein
t plein d’eau, qui embellit cet enfoncement et attire les oiseaux qui
aiment
le frais pour chanter. » Terminons par cette esq
n rien, tout lui fait peur, Quand il s’agit de ce qu’il
aime
. 2° L’énumération des parties. La définiti
e bien se fait sentir dans ses écrits ; on le suit avec plaisir, on l’
aime
, on se laisse doucement persuader par sa parole.
tournent. Si quelque chose plaît, on le recherche, on le désire, on l’
aime
; si quelque chose déplaît, on le fuit, on le rep
sage qu’on en fait. Dans leurs limites naturelles, elles consistent à
aimer
le bien et à détester le mal. La règle des passio
t de passions nobles et généreuses ; leurs sentiments sont purs ; ils
aiment
le bien et la justice par instinct, par goût ; le
nce des deux précédentes. Supposons que je veuille prouver qu’il faut
aimer
la vertu ; j’établis d’abord cette vérité général
lis d’abord cette vérité générale, que personne ne conteste : Il faut
aimer
ce qui nous rend heureux ; j’en rapproche ensuite
en tire la conclusion naturelle, qu’il fallait prouver : donc il faut
aimer
la vertu. La première proposition se nomme majeur
onne pour preuve le fait même qui est à prouver. Exemple : Pourquoi n’
aimez
-vous pas le travail ? Parce que je suis paresseux
que je suis paresseux. Pourquoi êtes-vous paresseux ? Parce que je n’
aime
pas le travail. Conclure du particulier au génér
r de l’enfance O bienheureux mille fois L’enfant que le Seigneur
aime
, Qui de bonne heure entend sa voix1, Et que ce Di
’écrire. Athalie. Que vous dit cette loi ? Joas. Que Dieu veut être
aimé
; Qu’il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé
? Josabeth. Hé, madame ! excusez Un enfant… athalie, à Josabeth. J’
aime
à voir comme vous l’instruisez. Enfin, Éliacin, v
ulter La sévère Junie ait voulu le flatter, Ni qu’elle ait consenti d’
aimer
et d’être aimée5, Sans que j’en sois instruit que
temps plus heureux Son père7 me nomma pour l’objet de ses vœux. Il m’
aime
; il obéit à l’empereur son père, Et j’ose dire e
, et pesez en vous-même Ce choix digne des soins d’un prince qui vous
aime
, Digne de vos beaux yeux trop longtemps captivés,
as dû penser, Seigneur, qu’en l’art de feindre il fallût m’exercer. J’
aime
Britannicus. Je lui fus destinée. Quand l’empire
dre : il vaut mieux que lui-même Entende son arrêt de la bouche qu’il
aime
. Si ses jours vous sont chers, éloignez-le de vo
ais ; Je veux ; mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j’
aime
, Et je fais le mal que je hais. O grâce3, ô ray
ec lui-même, ou avec Athalie. Ici le premier vers, Que Dieu veut être
aimé
, est pour tout le monde ; le second et le quatriè
uelle grâce et quelle délicatesse dans ces traits ! 7. Son père. Il
aime
apparemment par obéissance filiale ! c’est du plu
Petit-Jean est le concierge de Perrin Dandin. 4. Les gens du peuple
aiment
les proverbes. 5. Les Suisses sont de belle tail
a félicité ; Il veut sonder le monde, et son œil est débile ; Il veut
aimer
toujours : ce qu’il aime est fragile. Tout mortel
r le monde, et son œil est débile ; Il veut aimer toujours : ce qu’il
aime
est fragile. Tout mortel est semblable à l’exilé
t qui sont pour la plume une excellente école. Elles lui apprennent à
aimer
par-dessus tout la franchise, et à chercher ses r
ais on voit trop en lui le bel esprit qui ne vise qu’à se produire, n’
aime
que lui-même, sourit avec effort, plaisante sans
beaucoup d’éloquence à me persuader que vous me faites l’honneur de m’
aimer
. Si cela est, Monsieur, je vous supplie de témoig
ent le ciel aussi clairement que nous faisons43. Mais cette belle eau
aime
tellement cette belle terre, qu’elle se divise en
s de l’innocence de nos aïeux ! Je ne sais comment vous pourriez tant
aimer
l’air d’Italie, avec lequel on respire si souvent
qu’en récompense,114 de bonnes intentions y seront goûtées : ceux qui
aimeront
les choses qui y sont dites, supporteront la faço
n des honnêtes129 gens est un des plaisirs qui me touchent le plus. J’
aime
qu’elle soit sérieuse, et que la morale130 en fas
qu’avec peu de travail je pourrais m’acquérir assez de réputation. J’
aime
la lecture, en général ; celle où il se trouve qu
hose qui peut façonner132 l’esprit et fortifier l’âme est celle que j’
aime
le plus. Surtout j’ai une extrême satisfaction à
able, et toute la soumission d’esprit que l’on saurait désirer.133 J’
aime
mes amis, et je les aime d’une façons134 que je n
ion d’esprit que l’on saurait désirer.133 J’aime mes amis, et je les
aime
d’une façons134 que je ne balancerais pas un mome
éditieux, tour à tour allié du parlement, de la cour et du peuple, il
aima
l’intrigue pour l’intrigue, sans avoir ni vues su
. En admirant le philosophe que Boileau surnomma le Contemplateur, on
aime
le comédien qui mourut victime de son art et de s
ra-t-il ici besoin, pour apprêter le souper. maître jacques. Soit. J’
aime
mieux encore qu’ils meurent sous la main d’un aut
épit que j’en aie, et, après mes chevaux, vous êtes la personne que j’
aime
le plus. L’opinion publique harpagon. Pour
Le mieux du monde. don juan. La jolie petite fille que c’est ! je l’
aime
de tout mon cœur220. m. dimanche. C’est trop d’h
vient que de leur vanité ; car la raison pour quoi les gens du monde
aiment
tous les ornements de l’art, et sont si peu touch
ux qui l’auront confessé en ce monde378. La solitude Les hommes
aiment
à penser à eux d’une certaine manière, en jugeant
ingrate ; le moyen de rendre tout cela424 ? Je vous embrasse et vous
aime
, et vous le dirai toujours, parce que c’est toujo
os plumes435 ; je vous rends ceux que vous m’avez mandés436, et que j’
aime
tant ; cette liberté est assez commode ; on ne va
n avez jamais vu un si impertinent. Parce qu’on sait que depuis peu j’
aime
les vers, on m’en apporte de toutes les façons. »
ite chose que l’on puisse faire à un vieux courtisan456. Pour moi qui
aime
toujours à faire des réflexions, je voudrais que
ntré à mon service pour cela, que ce n’était pas son métier, et qu’il
aimait
mieux s’en aller à Paris486. Ma foi ! la colère m
point, ne le blâmez point, et songez que c’est le garçon du monde qui
aime
le moins à faner487, et qui est le plus indigne q
e et la mort 16 mars 1672. Vous me demandez, ma chère enfant, si j’
aime
toujours bien la vie : je vous avoue que j’y trou
: point du tout ; mais, si on m’avait demandé mon avis, j’aurais bien
aimé
à mourir entre les bras de ma nourrice ; cela m’a
ransportés par ses accents sublimes, étonnés par ses hardiesses, nous
aimons
en même temps sa candeur, sa modération, sa droit
voit les saints tellement ravis de ce divin exercice de connaître, d’
aimer
et de louer Dieu, qu’ils ne le quittent jamais, e
s auditeurs, les uns reçoivent d’en haut ce que méritent les autres :
Aimez
donc la vérité, chrétiens, et elle vous sera anno
mme par un esprit raisonnable et intelligent, afin que la voyant il l’
aime
, et que l’aimant il la suive par un mouvement vol
votre cœur à Dieu ; pensez souvent à l’obligation que vous avez de l’
aimer
de toutes vos forces, et au malheureux état d’un
ses amis, ou de pouvoir reconnaître les obligations qu’il leur a. Il
aimerait
pourtant mieux avoir des grâces à faire, que d’en
aient trop612 achetés, s’ils lui avaient coûté quelque bassesse. Il n’
aime
pas à contredire, mais il aime encore moins flatt
i avaient coûté quelque bassesse. Il n’aime pas à contredire, mais il
aime
encore moins flatter. Quoiqu’il n’y ait guère d’h
’état615 où on l’aura mis. Il n’envie la gloire de personne, mais il
aime
à jouir de la sienne. Quoiqu’il n’ignore pas les
re en danger d’être haï, et bien souvent abandonné ? Comment se faire
aimer
sans perdre un peu de l’autorité, et relâcher de
Que je vous plains, Monseigneur, d’avoir perdu un frère que vous
aimiez
, et qui était estimé de tout le monde ! Il est di
ien, et laissez demander mon évêché à ceux qui le croiront vacant645.
Aimez
-moi toujours. 16 décembre 1695. Bourdaloue 1
ière-pensée d’ambition, s’il est plus facile de la respecter que de l’
aimer
, on doit pourtant reconnaître qu’elle n’a jamais
vaincu, il faut que le cœur soit séduit par le goût de la piété. Vous
aimez
la joie, le repos, le plaisir : croyez-moi, j’ai
n’est point de pays où il y ait plus d’indiscrétion que celui-ci677.
Aimez
vos enfants, voyez-les souvent : c’est l’occupati
que de leur éducation dépend le bonheur d’un peuple qui mérite d’être
aimé
de ses princes. Exposez-vous au monde selon la bi
enséance de votre état ; si vous êtes inaccessible, vous ne serez pas
aimée
. Détruisez, autant que vous le pourrez, la vanité
utes vos vertus, en leur donnant pour motif l’envie de plaire à Dieu.
Aimez
l’Etat, aimez la noblesse, qui en est le soutien
s, en leur donnant pour motif l’envie de plaire à Dieu. Aimez l’Etat,
aimez
la noblesse, qui en est le soutien ; aimez les pe
aire à Dieu. Aimez l’Etat, aimez la noblesse, qui en est le soutien ;
aimez
les peuples ; protégez les campagnes à proportion
rtion du crédit que vous aurez ; soulagez-les autant que vous pourrez
Aimez
vos domestiques679, portez-les à Dieu, faites leu
uragé. Voilà, mon cher neveu, puisque votre amitié pour moi vous fait
aimer
ce nom, ce que je pense dans ce que saint Françoi
vous a pris. Plutarque me sourit toujours d’une fraîche nouveauté ; l’
aimer
, c’est m’aimer ; car il a été l’instituteur de mo
utarque me sourit toujours d’une fraîche nouveauté ; l’aimer, c’est m’
aimer
; car il a été l’instituteur de mon bas-âge. Ma b
s dis comme une réprimande721, mais comme les avis d’un père qui vous
aime
tendrement, et qui ne songe qu’à vous donner des
vez prendre Voiture730 parmi mes livres, si cela vous fait plaisir. J’
aimerais
autant, si vous voulez lire quelque livre françai
r les oreilles à vos petites sœurs et à votre mère elle-même, qui les
aime
fort, comme vous savez731. Je ne saurais m’empêch
repos765 que ses oiseaux ne reposent, et que ce petit peuple, qu’il n’
aime
que parce qu’il chante, ne cesse de chanter. Il r
point empoisonné. Le peuple même (il faut tout dire), qui vous a tant
aimé
, qui a eu tant de confiance en vous, commence à p
s. Ils croient que vous n’avez aucune pitié de leurs maux, que vous n’
aimez
que votre autorité et votre gloire. Si le roi, di
itoire barbouille ses doigts. N’allez pas lui parler des choses qu’il
aimait
le mieux il n’y a qu’on moment : par la raison qu
’il aimait le mieux il n’y a qu’on moment : par la raison qu’il les a
aimées
, il ne les saurait plus souffrir. Les parties 813
ines personnes auxquelles il doit plus qu’aux autres, ou qu’il paraît
aimer
davantage. Non, sa bizarrerie ne connaît personne
e connaît personne ; elle s’en prend sans choix à tout le monde. Il n’
aime
plus les gens, il n’en est point aimé. On le pers
ans choix à tout le monde. Il n’aime plus les gens, il n’en est point
aimé
. On le persécute, on le trahit828. Il ne doit rie
un moment : voici une autre scène. Il a besoin de tout le monde ; il
aime
, on l’aime aussi ; il flatte, il s’insinue, il en
: voici une autre scène. Il a besoin de tout le monde ; il aime, on l’
aime
aussi ; il flatte, il s’insinue, il ensorcelle to
nu qui vient orner notre bocage ? Il est sensible à nos chansons ; il
aime
la poésie ; elle adoucira son cœur, et le rendra
roisse en vertu, comme une fleur que le printemps fait éclore ! Qu’il
aime
les doux jeux de l’esprit ! Que les Grâces soient
it bon, qu’il soit sage, bienfaisant, tendre pour tous les hommes, et
aimé
d’eux ! Que les Muses fassent naître en lui toute
s vertus ! » Puis les deux oiseaux inspirés reprirent ensemble : « Il
aime
nos douces chansons ; elles entrent dans son cœur
Pourvu qu’il dorme, qu’il rie, qu’il adoucisse son tempérament, qu’il
aime
les jeux de la société, qu’il prenne plaisir à ai
empérament, qu’il aime les jeux de la société, qu’il prenne plaisir à
aimer
les hommes et à se faire aimer d’eux, toutes les
de la société, qu’il prenne plaisir à aimer les hommes et à se faire
aimer
d’eux, toutes les grâces de l’esprit et du corps
e pauvre enfant que vous avez perdu. Je suis en celui qui nous a tant
aimés
, et que nous voulons tous aimer, plein de zèle et
rdu. Je suis en celui qui nous a tant aimés, et que nous voulons tous
aimer
, plein de zèle et d’attachement, mon bon Duc, pou
nte modestie, qui fait négliger le commerce des personnes élevées. On
aime
, par amour-propre, à passer sa vie avec les gens
condescendance : c’est faire mal le bien898. Je veux que tu te fasses
aimer
; mais Dieu seul peut te rendre aimable, car tu n
dociles ? Comment êtes-vous avec moi, vous qui savez combien je vous
aime
? Oh ! combien le Père céleste est-il plus père,
t de la tempête919 ! Quand on est sorti vainqueur de la course, qu’on
aime
à retourner en esprit sur ses pas, et à revoir le
e manque jamais d’amis, quand on peut payer l’amitié de ceux qui nous
aiment
. Enfin la vanité. Des amis qui nous font honneur
ait par les grâces, la justesse978 et la perfection de sa danse. Elle
aimait
le jeu, s’amusait au petit jeu, car tout l’amusai
Colin devait le jour à un brave laboureur. Ces deux jeunes enfants s’
aimaient
beaucoup, et ils avaient ensemble les petites fam
ra. Jeannot partit dans toute la pompe de sa gloire. Les lecteurs qui
aiment
à s’instruire doivent savoir1088 que M. Jeannot p
e, il lui dit enfin : « Ne nous désespérons pas : cette jeune veuve m’
aime
éperdument ; elle est plus généreuse que riche ;
abandonné, lui dit Colin ; mais tu as beau être grand seigneur, je t’
aimerai
toujours1100. » Jeannot, confus et attendri, lui
re parfaits1120. Qui peut ne pas s’intéresser à l’un et à l’autre ? J’
aime
la vérité et la candeur de votre caractère ; je f
t de chambre d’Apollon. Adieu ; je vous embrasse tendrement ; je vous
aime
comme on aime son fils 1130. Conseils à une d
’Apollon. Adieu ; je vous embrasse tendrement ; je vous aime comme on
aime
son fils 1130. Conseils à une demoiselle
venue à force d’esprit1165. Que Dieu ait pitié des Welches1166 ; mais
aimez
toujours le vieux malade qui vous aime, et plaign
pitié des Welches1166 ; mais aimez toujours le vieux malade qui vous
aime
, et plaignez un siècle où l’opéra comique l’empor
s avec impatience la paix ou quelque victoire, et je vous avoue que j’
aimerais
encore mieux pour notre nation des lauriers que d
ne fait rien ; venez toujours, mes mânes en seront très-flattés ; ils
aiment
passionnément la bonne compagnie. J’ai l’honneur
voit le péril et l’affronte ; il se fait1198 au bruit des armes, il l’
aime
, il le cherche, et s’anime de la même ardeur. Il
e et fraîche n’a pas besoin de parfums ; mais le petit nez mignon les
aime
, et j’espère qu’il les agréera. J’y joins pour vo
eux. Nous avions tous les trois le cœur bien serré. J’espère qu’ils s’
aimeront
. Notre séparation, qui s’approche, ne se fera pas
aigrirent son cœur passionné. Mécontent de lui-même et des autres, il
aima
mieux déclarer la guerre à l’ordre social que de
pour écurie une étable avec des vaches, afin d’avoir du laitage que j’
aime
beaucoup. J’aurais un potager pour jardin, et pou
l que ceux des villes, se faisaient à mon voisinage, on saurait que j’
aime
la joie, et j’y serais invité. Je porterais à ces
rès-agréable, et singulièrement située pour le bonheur d’un homme qui
aime
à se circonscrire1340. Les rives du lac de Bienne
s ; mais il est intéressant pour des contemplatifs1343 solitaires qui
aiment
à s’enivrer1344 à loisir des charmes de la nature
s1376 était mort pour son pays avant que Socrate eût fait un devoir d’
aimer
la patrie ; Sparte était sobre avant que Socrate
toujours chère. Non, je n’ai point cessé de penser à vous, et de vous
aimer
. Souvent je me suis dit dans mes souffrances que,
les idées. Moraliste optimiste, il apprit, en s’étudiant lui-même, à
aimer
et à respecter ses semblables. Son talent candide
, je l’estime autant que les sages ou que les héros qu’il a peints. J’
aime
à croire que celui qui a conçu de si grandes chos
appelle quelquefois un homme aimable ? C’est un homme que personne n’
aime
, qui lui même n’aime que soi et son plaisir, et q
un homme aimable ? C’est un homme que personne n’aime, qui lui même n’
aime
que soi et son plaisir, et qui en fait profession
ils craignent d’être obligés d’y réfléchir1414. La familiarité
Aimez
la familiarité, mon cher ami ; elle rend l’esprit
dire comme une chose qu’ils ne peuvent ni connaître, ni pratiquer, ni
aimer
. Personne néanmoins n’ignore que les bons livres
de la montagne, paraissent d’or et de pourpre sur l’azur des cieux. J’
aimais
à me rendre dans ce lieu, où l’on jouit à la fois
’accent d’une voix vibrante qui porte au loin. Sa correspondance fait
aimer
et respecter ses vertus antiques, austères et pat
uissent se présenter mon imagination. Je ne te connais pas, mais je t’
aime
comme si je te connaissais. Il y a même, je t’ass
ien sûr, (et tu en es persuadée), qu’il n’y a personne au monde qui t’
aime
plus que cette bonne maman, et qui rende plus de
religieuses, sublimes, mais ennuyeuses par les détails. J’avais mieux
aimé
pour vous, c’est-à-dire pour vos goûts, l’uniform
des fonctions du professorat. Si, après vous être bien consulté, vous
aimez
mieux les autres, acceptez-les. Je vous préviens
t la puissance de cette formalité chez les Orientaux, dont l’Empereur
aime
les mœurs et les manières ; c’est là jurer par le
rte en son âme, et qu’elle applique à toutes choses, en sorte qu’elle
aime
sans cesse, et qu’elle a la faculté d’aimer toujo
s choses, en sorte qu’elle aime sans cesse, et qu’elle a la faculté d’
aimer
toujours1518. Madame de Staël 1766-1817 Fi
l’essor à la pensée, elle suscite des émotions bienfaisantes et fait
aimer
le progrès, la justice, le courage, l’indépendanc
orte d’apprêt ; et l’on n’y trouve point le vague mystérieux qui fait
aimer
le midi de l’Italie, L’aspect de Venise est plus
ais presque si attendri1530, que je ne doute pas qu’il n’ait vraiment
aimé
tous ceux qui ont eu du crédit à la cour d’Espagn
et les premiers hennissements des chevaux, qui saluaient l’aurore. J’
aimais
à voir le camp plongé dans le sommeil, les tentes
ux, puriste dont la finesse littéraire fait le régal des gourmets, il
aime
à puiser aux sources antiques et abuse de l’archa
ez ; Mme Radcliff n’y suffirait pas1611. Cependant je sais que vous n’
aimez
pas à être refusée, et comme je suis complaisant,
ais en Calabre1613. C’est un pays de méchantes gens, qui, je crois, n’
aiment
personne, et en veulent surtout aux Français1614.
dans un corps malade. L’impiété Il se rencontre des hommes qui n’
aiment
point Dieu et qui ne le craignent point : fuyez-l
a jamais d’être à vous. Je ne demande ni pour moi, ni pour ceux que j’
aime
, ce qu’on ne rencontre point sur la terre, le bon
ir l’air d’y attacher plus d’importance qu’à toute autre parole. Il n’
aime
pas à se montrer ému ; on dirait qu’il craint de
a dicté ces grandes paroles : un ami est un autre moi-même ; il faut
aimer
ses amis plus que soi-même, sa patrie plus que se
de contour. Esprit alerte étendu, vigoureux et pratique, il nous fait
aimer
la netteté, la justesse, le naturel et l’aisance
urément, je ne suis ni un grand critique, ni un grand érudit ; mais j’
aime
les lettres, je les aime avec passion ; c’est un
grand critique, ni un grand érudit ; mais j’aime les lettres, je les
aime
avec passion ; c’est un sentiment qui est né, pou
eau pays, que mes yeux ont vu, qu’ils n’oublieront jamais et dont ils
aiment
à évoquer le souvenir pour éclairer les brouillar
et ses enfants. Machiavel1743 raconte que le matin, à la campagne, il
aimait
à aller à l’auberge voisine entendre causer les b
chercher ; mais il le cherchait, et s’en faisait une fête. Oh ! que j’
aime
bien mieux la simplicité de Corneille ! Il ne met
e monde les rôles qu’il inventait pour la scène, et c’est là ce que j’
aime
dans nos grands auteurs du dix-septième siècle, d
té la jeunesse du corps et la virginité de l’âme. Je l’ai vu, je l’ai
aimé
. Il m’a parlé de vertu, et j’ai cru à la sienne ;
de moi-même ; et enfin je connus, en aimant cet homme, qu’on pouvait
aimer
Dieu, et qu’il était aimé en effet. Je tendis la
connus, en aimant cet homme, qu’on pouvait aimer Dieu, et qu’il était
aimé
en effet. Je tendis la main à mon bienfaiteur, et
ez-le donc en passant, et qui que vous soyez, chrétien et même saint,
aimez
entendre à votre oreille, et surtout au fond de v
uis venu tout seul à Oxford, pour m’y reposer, et écrire à ceux que j’
aime
bien, tranquillement. Quelle belle et douce chose
ëte, sachez que vous avez menti ! Adieu, mon très cher, soignez-vous,
aimez
-moi, et surtout admirez mes vers. Je vous embrass
is le style qui repose et ennoblit est encore celui auquel on devrait
aimer
à revenir après les courses en tous sens, les exc
la plus haute, et de la plus belle langue. Amitiés littéraires
Aimer
Molière, c’est avoir une garantie en soi contre b
orme seule change et dont le plumage se renouvelle sans cesse ; c’est
aimer
la santé et le droit sens de l’esprit chez les au
la santé et le droit sens de l’esprit chez les autres comme pour soi.
Aimer
et préférer ouvertement Corneille, c’est sans dou
: et pourtant n’est-ce pas risquer, avec la grandeur et le sublime, d’
aimer
un peu la fausse gloire, jusqu’à ne pas détester
r l’enflure et l’emphase, un air d’héroïsme à tout propos ? Celui qui
aime
passionnément Corneille peut n’être pas ennemi d’
sionnément Corneille peut n’être pas ennemi d’un peu de jactance1791.
Aimer
, au contraire, et préférer Racine ; ah ! c’est sa
1791. Aimer, au contraire, et préférer Racine ; ah ! c’est sans doute
aimer
avant tout l’élégance, la grâce, le naturel, la v
hères, de certaines délicatesses excessives, exclusives ? Enfin, tant
aimer
Racine, c’est risquer d’avoir trop, ce qu’on appe
trop, ce qu’on appelle en France le goût, et qui rend si dégoûté1792.
Aimer
Boileau… mais non, on n’aime pas Boileau1793; on
ce le goût, et qui rend si dégoûté1792. Aimer Boileau… mais non, on n’
aime
pas Boileau1793; on l’estime, on le respecte ; on
robité, sa raison, par instants sa verve : et, si l’on est tenté de l’
aimer
, c’est uniquement pour cette équité souveraine qu
en particulier à celui qu’il proclame le premier de tous, à Molière.
Aimer
La Fontaine, c’est presque la même chose qu’aimer
de tous, à Molière. Aimer La Fontaine, c’est presque la même chose qu’
aimer
Molière ; c’est aimer la nature, toute la nature,
mer La Fontaine, c’est presque la même chose qu’aimer Molière ; c’est
aimer
la nature, toute la nature, la peinture naïve de
es distinguer ? La Fontaine et Molière, on ne les sépare pas ; on les
aime
ensemble. Le dénigrement des grands noms No
orté cette passion assez innocemment sur l’histoire littéraire : il n’
aime
rien tant en ce genre que de défaire et de refair
les erreurs, s’il y a lieu, de réparer ou de combler les lacunes, on
aime
mieux jeter à bas et reprendre à neuf dès la base
ur : « Ici, je jouis de moi1836; » comme il eût dit de l’hôte le plus
aimé
. Il est vrai qu’il ajoute : « Et de Dieu1837. Ce
i-même et Dieu. Ces conseils sont le cri commun de tous ceux qui vous
aiment
. Oui, la France des illustres morts, la France re
orte des chicaneurs aussi naturellement que des pommiers. 14. Balzac
aime
les hyperboles. Il mériterait d’être Gascon. 15.
souhaite la bonne année et une vie aussi longue que vous la méritez.
Aimez
-moi toujours un peu. Je tâche de rendre mes œuvre
e met en frais pour lui plaire. 70. Dans le reste.... 71. Descartes
aimait
les climats froids qui laissent la tête plus libr
reine Christine. Cette souveraine, que rendit célèbre son abdication,
aimait
beaucoup les lettres, les sciences et la philosop
la délicatesse, ou plutôt telle était la solidité de ce prince. » Il
aimait
l’encens, mais administré délicatement. Comparez
153. Il faut distinguer entre les chefs de partis : « Les uns peuvent
aimer
le bien public, et désirer d’utiles réformes. « L
homme qui passa sa vie à cabaler n’eut jamais de véritable objet. Il
aimait
l’intrigue pour intriguer : esprit hardi, délié,
me prête à toute occasion et qu’on met sous son chevet. 184. Valère
aime
la fille d’Harpagon, il s’est insinué dans la dem
n personnage comique, et cependant, il me touche, par un endroit : il
aime
le savoir. 254. Molière fait ici d’une pierre de
seur qui connaît à fond la misère humaine, et en souffre, parce qu’il
aime
les hommes. 326. Maisons des champs. Ces relég
insupportables dans le commerce du monde. 361. Au xviie siècle, on
aimait
ces phrases, dont les liaisons rappellent les ori
394. Marché, nous en étions convenus. 395. Quand on est triste, on
aime
à voir autour de soi la tristesse. 396. Touchée
uis mise à vous écrire, au bout de cette petite allée sombre que vous
aimez
, assise sur ce siège de mousse où je vous ai vue
mais j’ai beau tourner, j’ai beau chercher, cette chère enfant que j’
aime
avec tant de passion est à deux cents lieues, je
; il y a sur la porte : Sainte liberté, ou fais ce que tu voudras. J’
aime
cent fois mieux cette vie que celle de Rennes : c
us beaux titres : il faut que je vous en parle un peu, puisque vous l’
aimez
. Ce vilain degré par ou l’on montait dans la sec
r un grand perron ; les armes de Grignan sont sur la porte ; vous les
aimez
, c’est pourquoi je vous en parle. Les appartement
ux. » 427. Chère, ce mot indique la délicatesse des mets. 428. J’
aime
voir chez Mme de Sévigné cette petite pointe de g
, mais énergique : voilà pourquoi nous ne la supprimons pas. 490. On
aime
le sans-façon familier de ces réflexions toutes n
501. Admirez cette hardiesse, et cette simplicité familière. 502. On
aime
à voir ce moraliste sévère, qui s’est voué à la s
ut naturellement la langue de la Bible et des prophètes. 509. Que j’
aime
cette simplicité, cette franchise de style ! 510
rendre appui, C’est que tout n’est ici que vanité qui passe, Hormis d’
aimer
sa gloire, et ne servir que lui. 521. Comme,
un portrait bien vivant du libre penseur mondain et frivole. 538. J’
aime
ces tours libres, vifs et familiers. 539. Elle v
ar la poésie, est ici véritable. 572. Sa chaise à porteurs. 573. On
aime
, on admire la générosité de cet hommage rendu au
uns et des antres; il choisit ceux qu’il veut connaître et qu’il veut
aimer
, et pour peu qu’il trouve de bonne volonté, il s’
es assauts du monde où il nous garantira d’être assaillis. Ah ! que j’
aime
ces oiseaux qui sont environnés d’eaux, et ne viv
ccomber ? J’ai été jeune et jolie, j’ai goûté des plaisirs ; j’ai été
aimée
partout ; dans un âge un peu plus avancé, j’ai pa
é. 685. Être quitte ; il y a là de l’aigreur et du reproche. Elle n’
aime
pas à être importunée et à importuner, le roi. 6
eau… (Boileau.) 760. . O fortuné séjour ! ô champs
aimés
des cieux ! Que, pour jamais, foulant vo
z une page de madame de Staël (même recueil). 763. Le poëte Santueil
aimait
beaucoup les serins, et en avait sa maison rempli
ous. 828. Tour vif ; pour dire : Il se croit trahi. 829. Il se fait
aimer
, malgré ses défauts, peut-être à cause d’eux. 83
e avec le soleil en juillet et août, temps de grande chaleur. 858. J’
aime
ce trait ; il rend bien une sensation. 859. Ves
stal des ruisseaux roulant dans un ciel pur, La pourpre dont l’aurore
aime
à teindre ses voiles, Et es rayon dormants des tr
élon était le plus tendre, le plus indulgent des directeurs. 877. Il
aime
le style simple. 878. Ouvre les yeux, par un sub
nité tant d’hommes qui la font haïr, en faveur de Fénélon qui la fait
aimer
. 882. C’est-à-dire s’accommode à tous les cara
04. Voilà bien le cœur de Fénelon. Il avait d’autant plus de mérite à
aimer
les hommes, qu’il les connaisait, et n’était jama
e ainsi par Sénèque : « La gloire suit la vertu, comme son ombre. » J’
aime
mieux l’emploi que Massillon fait ici de cette im
he que font les hommes des plaisirs, du jeu, de la société. Celui qui
aime
le travail a assez de soi-même. « La plupart de
courir ; elle est charmante, et ses défauts mêmes sont aimables. On l’
aime
puis qu’il ne faudrait, on le sent, et l’on ne pe
priétaires. 992. Il veut dire : Bien des gens qui dépendent d’autrui
aiment
à se targuer d’un droit, pour contrarier tel ou t
restera, et les folliculaires seront oubliés. » 1017. Montesquieu
aime
à débuter par des traits saisissants, à frapper l
e naturel sombre et cruel d’un prince soupçonneux. 1022. Montesquieu
aime
ces expressions fortes qui parlent à l’imaginatio
s connaissances. Ne soyons jamais la proie d’une spécialité. Lettrés,
aimez
les sciences ; savants, ne dédaignez pas les lett
r, poëtes bucoliques, au milieu d’une société raffinée. L’imagination
aime
à se dépayser. Voyez dans l’Art poétique de Boile
commande à tous, Pour respecter son père à l’égal de vous-même, Pour
aimer
tendrement la mère qui nous aime, Faut-il donc un
on père à l’égal de vous-même, Pour aimer tendrement la mère qui nous
aime
, Faut-il donc un ordre de vous, Quand pour l’enfa
mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Aimer
à lire, c’est faire un échange des heures d’ennui
aux embarras ; à tout moment il s’en trouve qui ne finissent point. J’
aimerais
mieux passer mon temps à cultiver mes vignes que
ncin, et publia plusieurs œuvres sous le nom de cette dame. 1160. Il
aimait
à décorer ses amis de surnoms plaisants. 1161. I
Ce trait, sous son apparence paradoxale, est fin et juste. 1166. Il
aime
ce mot qui, dans sa langue, signifie les Barbares
laignant d’un rhumatisme (même recueil). 1171. A la bonne heure ! On
aime
à entendre cette parole Française; car Voltaire
sous le rapport de l’utile. Or, disons bien haut que croire à Dieu, l’
aimer
et l’adorer est le premier, le plus naturel de no
e. Buffon veut exprimer l’ardeur, le feu de ce noble animal. 1200. J’
aimerais
mieux un langage moins abstrait et moins sentimen
t. 1214. Désoler, veut dire proprement : rendre solitaire. 1215. J’
aime
ce trait qui donne de la force à la gradation. 1
force ou par ruse. 1223. Où la noblesse va-t-elle se nicher ? Buffon
aime
ce mot. 1224. Un petit trait de satire morale, e
lui communique une certaine gentillesse, et presque de la grâce. Je n’
aime
pas le mot vautrer appliqué au cheval. C’est une
semblant aux murs même, Par ses bonds et ses cris, annoncer ce qu’il
aime
; Puis sur mon sac poudreux à mes pieds étendu Me
ux roulèrent sur sa soie : « O pauvre et seul ami, viens, lui dis-je,
aimons
-nous ! Car partout où Dieu mit deux cœurs, s’aime
iens, lui dis-je, aimons-nous ! Car partout où Dieu mit deux cœurs, s’
aimer
est doux ! » 1244. Cette toile est plus ressem
heureux ; Cette offre l’affligea : « Dans mon destin funeste, « Qui m’
aimera
, dit-il, si mon chien ne me reste ? » Point de tr
s et fiers. Leur muse est ombrageuse. Les serins s’apprivoisent ; ils
aiment
les biscuits et les sucreries. Ils répètent les a
cuits et les sucreries. Ils répètent les airs qu’on leur siffle ; ils
aiment
leur cage. 1252. Ni n’offense. Il veut dire : N
a. 1312. L’enfant a l’humeur si mobile ! 1313. Dans son enfance, il
aimait
beaucoup la lecture de Plutarque. 1314. Le ton c
par les remèdes ; garder sa foi, ne haïr que ce qui est haïssable ; n’
aimer
que ce qu’il est juste d’aimer ; laisser couler c
, ne haïr que ce qui est haïssable ; n’aimer que ce qu’il est juste d’
aimer
; laisser couler ce qui ne doit pas toujours dure
u 17e siècle, on n’y eût pas pensé. Fi donc ! un manant ! 1335. Je n’
aime
pas ici ce mot de troupe. 1336. Vous figurez-vo
n idiotisme signifiant, autant que je puis le savoir. 1340. Rousseau
aime
les lies, parce qu’elles l’isolent. Dans ce misan
fait ainsi : mon cœur crie sans cesse qu’il vous respecte, qu’il vous
aime
, qu’il espère en vous: éclairez-le, guidez-le; ce
de Maistre vivait à Saint-Pétersbourg, loin de sa famille. 1502. On
aime
à voir cette physionomie si grave s’attendrir et
end quelques beaux sons, mais qui n’exécute aucun air. « Mon esprit
aime
à voyager dans des espaces ouverts, et à se jouer
on tableau les grâces d’une pastorale. 1552. C’est bien recherché. J’
aimerais
mieux un style franc et moins apprêté. 1553. Ro
irable. Cet homme n’est point parvenu, il est arrivé à sa place. Je l’
aime
, « Sans lui, on ne pourrait plus sentir aucun
x jours. Je me porte à merveille. Adieu, mon amie ; porte-toi bien et
aime
-moi. Si Hortense est à Mayence, donne-lui un ba
1652. Henri a plus de cœur ; j’aurais plus de confiance en lui 1653.
Aimeriez
-vous mieux être Alphonse ou Henri ? 1654. Madam
re Alphonse ou Henri ? 1654. Madame de Lambert a dit : Les enfants
aiment
à être traités en personnes raisonnables ; il fau
d’idées que comporte leur état. Ce n’est pas que je les envie : J’
aime
fort nos lambris dorés ; Je bénis l’heureuse in
rappelle une antre du prince de Ligne, sur la vocation militaire : «
Aimez
ce métier au-dessus des autres à la passion ; oui
souper sera commencé. C’est en vain que le vieux domestique qui vous
aime
aura retardé le coup de cloche autant que possibl
s ne vous sentez assez forts et justes pour commander vos passions et
aimer
vos ennemis, selon que Dieu commande, abstenez-vo
bel esprit. Ils ont laissé une nombreuse postérité » 1791. M. Cousin
aimait
Corneille avec passion. 1792. Oui, il en est pou
comme les yeux voient les corps. Il ajoute ailleurs : « La mémoire n’
aime
que ce qui est excellent. » — « On dit que les li
er. Ainsi les verbes amare et diligere expriment tous deux l’action d’
aimer
; mais ils diffèrent en ce sens que amare signifi
x l’action d’aimer ; mais ils diffèrent en ce sens que amare signifie
aimer
d’un amour naturel, de cet amour que Dieu a mis d
de la parenté. Ainsi l’on dit bien : Pater amat suos liberos, un père
aime
ses enfants. Au lieu que diligere (de legere, cho
e divers côtés), signifie choisir, faire un choix, et, par extension,
aimer
par choix, par estime, par préférence. Amicos dil
am, racine primitive, on a désigné par la terminaison antes ceux qui
aiment
actuellement, am-antes ; par la terminaison ati c
ment actuellement, am-antes ; par la terminaison ati ceux qui ont été
aimés
, am-ati ; par la terminaison andi ceux qui doiven
ont été aimés, am-ati ; par la terminaison andi ceux qui doivent être
aimés
, am-andi ; par les terminaisons icus, iculus, ato
les terminaisons icus, iculus, ator, les nuances diverses de ceux qui
aiment
. Cette même racine am sert aussi à former des adv
gues réflexions ; ne les attribuez qu’à mon obéissance à vos ordres3.
Aimez
toute votre vie un homme vrai qui n’a jamais chan
dans lequel vous laissez votre âme, rien ne vous guérira. Si je vous
aimais
moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ;
vous aimais moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ; je vous
aime
, et je vous gronde beaucoup. Cela posé, songez do
dans tous les lieux elles ont servi à me persécuter. Mais il faut les
aimer
malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer
er. Mais il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut
aimer
la société, dont tant d’hommes méchants corrompen
, dont tant d’hommes méchants corrompent les douceurs ; comme il faut
aimer
sa patrie, quelques injustices que l’on y essuie.
ie est venue à force d’esprit3. Que Dieu ait pitié des Welches4, mais
aimez
toujours le vieux malade qui vous aime, et plaign
ait pitié des Welches4, mais aimez toujours le vieux malade qui vous
aime
, et plaignez un siècle où l’opéra-comique l’empor
s avec impatience la paix ou quelque victoire, et je vous avoue que j’
aimerais
encore mieux pour notre nation des lauriers que d
ne fait rien ; venez toujours, mes mânes en seront très-flattés ; ils
aiment
passionnément la bonne compagnie. J’ai l’honneur
it, sous son apparence paradoxale, est très-fin et très-juste. 4. Il
aime
ce mot qui, dans sa langue, signifie les Barbares
e plaignant d’un rhumatisme (même recueil). 2. A la bonne heure ! On
aime
à entendre cette parole française. Car Voltaire a
sous le rapport de l’utile. Or, disons bien haut que croire à Dieu, l’
aimer
, l’adorer et le servir est le premier, le plus na
ière pensée d’ambition, s’il est plus facile de la respecter que de l’
aimer
, on doit pourtant reconnaître qu’elle n’a jamais
eil À mademoiselle d’Aubigné 1 Chantilly, 11 mai 1693 Je vous
aime
trop, ma chère nièce, pour ne pas vous dire tout
que par votre douceur, et vous n’en avez point. Votre mignonne1 vous
aime
trop, et ne vous voit point comme les autres gens
gens vous voient. Je ne suis point prévenue contre vous, car je vous
aime
fort ; mais je ne vous vois pas sans peine, par l
de, et mettant en pratique tout ce que vous savez de bon ; je vous en
aimerai
beaucoup davantage. Je vous conjure, par toute l’
uragé. Voilà, mon cher neveu, puisque votre amitié pour moi vous fait
aimer
nom, ce que je pense dans ce que saint François d
ccomber ? J’ai été jeune et jolie, j’ai goûté des plaisirs : j’ai été
aimée
partout ; dans un âge un peu plus avance, j’ai pa
ns un autre soi-même, Et des lieux qu’on préfère, et des livres qu’on
aime
. Chaque abeille2 à la ruche apporte son trésor, L
Parmi tous ces débris, où j’ai souvent erré, Où j’ai joué, souffert,
aimé
, rêvé, pleuré, Mon heureuse jeunesse, en vingt li
cœur l’écorce a conservé. Mais cette tour de l’aigle, autrefois tant
aimée
, Où la muse avec moi si souvent enfermée, Loin de
e siècles, d’âge en âge, Conservé ses mœurs et ses lois. D’Yvetot j’
aime
le royaume ; J’en fus un jour le contrôleur ; J’a
assage. Le roi Louis est un vrai sage, Et du trône qu’il a quitté J’
aime
qu’il vienne faire hommage A l’humble et pauvre l
ue n’as-tu suivi ton envie ! Que ne t’ai-je pour compagnon ! J’aurais
aimé
que l’Italie Près du sien vît aussi ton nom ! D
, dont la force un instant ranimée Empruntait de la vie à cette terre
aimée
, Voyait tout son passé remonter sous ses yeux. (L
it les idées. Moraliste optimiste, il apprit en s’étudiant lui-même à
aimer
, à respecter ses semblables. Trop indulgent pour
es qui me gâtent ; il est juste que vous en souffriez ; d’ailleurs, j’
aime
beaucoup mieux vous écrire rarement, que retenir
ans la pauvreté. Il s’est vu dans ses disgrâces méconnu de ceux qu’il
aimait
. L’injure a flétri son courage, et il a été offen
ous a prins. Plutarque me sourit toujours d’une fresche nouveauté ; l’
aimer
, c’est m’aimer, car il a esté l’instituteur de mo
utarque me sourit toujours d’une fresche nouveauté ; l’aimer, c’est m’
aimer
, car il a esté l’instituteur de mon bas aage. Ma
, je l’estime autant que les sages ou que les héros qu’il a peints. J’
aime
à croire que celui qui a conçu de si grandes chos
un jeune homme. » « La servitude abaisse l’homme jusqu’à s’en faire
aimer
. » « La liberté est incompatible avec la faible
ire et patriotique. 2. Vauvenargues n’a pas ce courage intéressé qui
aime
la guerre pour l’avancement, pour ce qu’elle rapp
a m’a fait hasarder bien des négligences qui m’auraient embarrassé. J’
aime
les maisons où je puis me tirer d’affaire avec mo
’histoire, mais à la manière de la faire. Pour la plupart des gens, j’
aime
mieux les approuver que de les écouter. Quand je
u que je brillerais dans une conversation, je ne l’ai jamais fait : j’
aimais
mieux avoir un homme d’esprit pour m’appuyer que
d’elle ni envié celle des autres. Je suis un bon citoyen, parce que j’
aime
le gouvernement où je suis né, sans le craindre,
ue je puis, et en rendre le plus qu’il m’est possible. Je n’ai jamais
aimé
à jouir du ridicule des autres. J’ai été peu diff
i de presque tous les esprits, et ennemi de presque tous les cœurs. J’
aime
mieux être tourmenté par mon cœur que par mon esp
ort souciés du droit de bourgeoisie chez les Romains, et quelques-uns
aimèrent
mieux garder leurs usages3. Mais, lorsque ce droi
r et l’avarice envahit tout2. Les désirs changent d’objets : ce qu’on
aimait
, on ne l’aime plus ; on était libre avec les lois
nvahit tout2. Les désirs changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’
aime
plus ; on était libre avec les lois, on veut être
utes les persécutions que vous me feriez. Je ne m’étonne pas que vous
aimiez
cette ville ; mais comme Rome est tout extérieure
a Bruyère Arias ou le parleur impertinent, qui a tout vu, tout lu, et
aime
mieux mentir que de se taire ou paraître ignorer
este du monde. (Note de Montesquieu.) 4. Montesquieu, comme Bossuet,
aime
à donner aux mots toute la force de la simplicité
érité. Il se peint tel qu’il est, sans se flatter. En le lisant, on l’
aime
et on le plaint, comme un malade qui souffre, mêm
! que ferai-je moi-même, Quand celui qui peut tout défendra que je t’
aime
, Et quand mes ailes d’or, frémissant malgré moi,
ui t’iront voir à ta maison dernière, N’y trouvant pas ce nom qui fut
aimé
de nous1, Ne sauront pour prier où poser les geno
as ! ce que disaient nos pères, Que, lorsqu’on meurt si jeune, on est
aimé
des dieux ? Ce qu’il nous faut pleurer sur ta to
our en jour se posait plus tremblante, Et que c’est tenter Dieu que d’
aimer
la douleur ? Oui, oui, tu le savais, qu’au sortir
-même, Il t’y trouve ; tu vis en lui. S’il souffre, s’il pleure, s’il
aime
, C’est son Dieu qui le veut ainsi. De la plus nob
! O mes Muses, c’est vous ; vous, mon premier amour, Vous qui m’avez
aimé
dès que j’ai vu le jour. Leurs bras, à mon bercea
sagesse, Qui du sobre Epicure a fait un demi-dieu. Je voudrais vivre,
aimer
, m’accoutumer aux hommes, Chercher un peu de joie
d’ennemi que vous-même4 : Seul vous vous haïssez, lorsque chacun vous
aime
; Seul vous exécutez tout ce que j’ai rêvé. Ne ve
te il vous plut la former, Pour ne vous pas connaître et ne vous pas
aimer
, Pour vivre des enfers esclave infortunée, Et sou
le temps ne m’en est pas connu. Pauline. Quittez cette chimère, et m’
aimez
. Polyeucte. Je vous aime, Beaucoup moins que mon
nnu. Pauline. Quittez cette chimère, et m’aimez. Polyeucte. Je vous
aime
, Beaucoup moins que mon Dieu, mais bien plus que
le monde à la bonté divine ! Pauline. Va, cruel, va mourir ; tu ne m’
aimas
jamais. Polyeucte. Vivez heureuse au monde, et m
vous enflammer, Sa présence toujours a droit de vous charmer : Vous l’
aimiez
, il vous aime, et sa gloire augmentée… Pauline.
Sa présence toujours a droit de vous charmer : Vous l’aimiez, il vous
aime
, et sa gloire augmentée… Pauline. Que t’ai-je fa
rs. Félix. Qu’on l’ôte de mes yeux, et que l’on m’obéisse. Puisqu’il
aime
à périr, je consens qu’il périsse. (Acte V, scène
on âge Vous ne vaudrez guère mieux. Le temps aux plus belles choses
Aimé
à faire cet affront : Il saura faner vos roses, C
Joubert a dit : « Nous ne voyons bien nos devoirs qu’en Dieu. Il faut
aimer
la religion comme une espèce de patrie et de nour
et. 5. Félix, beau-père de Polyeucte. 6. Rival. Sévère, qui avait
aimé
Pauline. 7. Pauline. C’est bien cruel. Le sens
’espérance et la charité. Il a le calme de la certitude. 3. Je vous
aime
. C’est le résumé du caractère de Polyeucte. 4. C
duel. 1. Me laissez en paix est bien dur. 2. Votre époux Félix n’
aime
pas les grande émotions, j’allais dire les scènes
acte IV, sc. viii.) 1. Chère Pauline. Voici un mot qui nous fait
aimer
Polyeucte. Ici, le chrétien et l’époux se confond
devient rebelle ; Et, pour la rattraper, le sens court après elle3 :
Aimez
donc la raison4 ; que toujours vos écrits Emprun
x légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! Son livre,
aimé
du ciel, et chéri des lecteurs, Est souvent chez
auteurs de ce temps sert encor de modèle. Marchez donc sur ses pas ;
aimez
sa pureté, Et de son tour heureux imitez la clart
ui court en rimant, Marque moins trop d’esprit que peu de jugement. J’
aime
mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans u
e flatteur. Tel vous semble applaudir, qui vous raille et vous joue ;
Aimez
qu’on vous conseille, et non pas qu’on vous loue.
ux, conseiller de soi-même, Et d’un cœur obstiné se heurte à ce qu’il
aime
. Rappelons aussi ces vers de Dufresny : J’admir
ans arrêt, sans raison : que de défauts elle a, Cette jeunesse ! On l’
aime
avec ces défauts-là. 2. Je lis encore dans Ré
t : « Le souvenir de la jeunesse est tendre pour les vieillards ; ils
aiment
les lieux où ils l’ont passée. Les personnes qu’i
e les beaux ouvrages, le travail seul les achève. 2. « L’on devrait
aimer
à lire ses ouvrages à ceux qui en savent assez po
pis que d’être comme tout le monde : c’est d’être toujours le même. J’
aime
encore mieux les gens communs que les gens monoto
ortique, et méprisez le peuple. Soyez vertueux, dit-on à l’Église, et
aimez
votre prochain plus que vous-même. Otez la charit
dre encore un exemple parmi les choses les plus familières1. Pourquoi
aimons
-nous les romans ? pourquoi ces fictions invraisem
, et des vices aussi extraordinaires que les vertus. Et pourtant nous
aimons
les romans. Les romans ont le mérite de nous repr
cerveau ; nous ne croyons pas à ces récits magnifiques, mais nous les
aimons
, car il n’y a de beau que ce qui n’est pas. Tout
re ; car, quand elle ne peut plus s’élever au-dessus de l’homme, elle
aime
encore mieux s’abaisser au-dessous que de rester
lui viendra, et quand il l’aura dit, tu ne l’entendras pas. » 1. «
Aimez
la familiarité, dit Vauvenargues, elle rend l’esp
Prenons cet exemple banal qui traîne dans tous les traités : Il faut
aimer
ce qui nous rend heureux, Or la Vertu nous rend h
ce qui nous rend heureux, Or la Vertu nous rend heureux, Donc il faut
aimer
la Vertu. Aimer… vertu… sont les deux termes do
eureux, Or la Vertu nous rend heureux, Donc il faut aimer la Vertu.
Aimer
… vertu… sont les deux termes dont vous cherchez l
eur le soin de le suppléer. Au lieu de dire dogmatiquement : Il faut
aimer
ce qui nous rend heureux, Or la Vertu, etc. Il d
eux, Or la Vertu, etc. Il dit : La Vertu nous rend heureux, Il faut
aimer
la Vertu. Réduit à ces deux propositions, le sy
genre l’est aussi de l’espèce, et réciproquement. Exemple : — Il faut
aimer
l’humanité, à plus forte raison sa patrie, à plus
ns et des autres ; il choisit ceux qu’il veut connaître et qu’il veut
aimer
; et pour peu qu’il trouve de bonne volonté, il s
qui lui plaisent, il demeure au dedans de lui-même. Avec ses amis, il
aime
à discourir et à se répandre au dehors ; il est p
ère à personne. Il ne se pique pas de faire valoir ce qu’il sait ; il
aime
mieux leur donner le plaisir de dire eux-mêmes ce
us en avez, vous sont communes avec nous qui l’avons particulièrement
aimé
et respecté pendant sa vie, et avec tous ceux qui
rticulièrement aimé et respecté pendant sa vie, et avec tous ceux qui
aiment
l’Église, dont il a été le très-fidèle et très-zé
te le bonheur d’avoir une femme et des enfants qui connaissent et qui
aiment
la vertu et la solide religion. Je leur écris cet
que particularité de sa vie et de ses vertus. L’un disait qu’il était
aimé
de tout le monde sans intérêt ; l’autre, qu’il ét
l’essor à la pensée, elle suscite des émotions bienfaisantes et fait
aimer
le progrès, la justice, le courage, l’indépendanc
s sans enthousiasme croient goûter des jouissances par les arts ; ils
aiment
l’élégance du luxe, ils veulent se connaître en m
rent d’une souffrance inquiète ; excitée par le besoin d’admirer et d’
aimer
? Le goût des spectacles est universel ; car la p
dans leur plénitude, quand on n’y a pas mêlé d’enthousiasme ? Comment
aimer
son fils sans se flatter qu’il sera noble et fier
ils pas célestes, puisqu’ils rendent plus facile de plaire à ce qu’on
aime
? Si quelque malheur cependant ravissait de tels
int, quand nous perdons celui qui nous a donné la vie, celui que nous
aimions
comme un ange tutélaire, et qui nous inspirait à
ui succédait à Thomas. 2. Madame de Stael plaide ici sa cause ; elle
aimait
l’enthousiasme, applaudissait même à ses apparenc
, dignité, élégance, grâce, éclat et harmonie. Chez lui on estime, on
aime
la douce chaleur d’une âme sympathique, honnête,
rs de ma moisson mûre, De vos épis un autre est roi ; Tilleuls dont j’
aimais
le murmure, Vous n’aurez plus d’ombre pour moi To
ait semée Du haut de ses rameaux tremblants, Je suivais quelque trace
aimée
, Empreinte sur ses flocons blancs. Adieu, flots,
jours. Adieu, chers témoins de ma peine, Forêt, jardin, flots que j’
aimais
! Adieu, ma fraîche Madeleine ! Madeleine, adieu
ns la résignation. 2. Ces accents intimes et vraiment éloquents font
aimer
la personne, et admirer le poëte. 3. Il veut dir
’autant moins qu’on cherche plus à l’être. On s’offense de n’être pas
aimé
, et l’on attire encore plus l’aversion des gens.
annoncent, et qu’on fait bien de ne pas s’en corriger. — Souvent on n’
aime
et on ne loue nos belles qualités que parce que n
e nos défauts en tempèrent l’éclat. Souvent même il arrive qu’on nous
aime
plus pour nos défauts que pour nos qualités. — Le
de sorte qu’on échappe à l’odieux par le ridicule. — Il faut se faire
aimer
, car les hommes ne sont justes qu’envers ceux qu’
t se faire aimer, car les hommes ne sont justes qu’envers ceux qu’ils
aiment
. » La Bruyère disait avec autant de sens : « Il
dernier mot, bonhomme, et prends-y garde. Voisin, garde ton bien, j’
aime
fort ta réplique. § IV. Couleur locale Nou
elles empêcheraient le style de cheminer, avec facilité. 2° Ce qu’on
aime
dans le style épistolaire, c’est la facilité, c’e
des années, ma fille qu’il vint au monde une créature destinée à vous
aimer
à toutes choses. Je prie votre imagination de n’a
ttre de Félicitation a pour but de complimenter une personne que l’on
aime
, ou à laquelle on s’intéresse, sur une chose heur
a deux époux dont la piété est le lien. Je ne cesserai jamais de vous
aimer
, et de me souvenir que je suis aimée de vous. »
n. Je ne cesserai jamais de vous aimer, et de me souvenir que je suis
aimée
de vous. » Lecture. — Boileau et Racine, au mar
ne extrême docilité pour les avis de M. et de madame Vignan, qui vous
aiment
comme leur enfant. N’oubliez point vos études, et
arde au moins, cela pourrait bien arriver, car je crois que je saurai
aimer
au-delà du tombeau. » Lecture. — Racine à son F
on à faire à l’écrivain, c’est qu’il s’efforce d’embellir et de faire
aimer
la morale. Prenons pour modèle une lettre de Raci
vé, nous a donné de bons témoignages de vous. Il nous assure que vous
aimez
le travail, que la promenade et la lecture sont v
et noble comme elle est : ainsi, il n’est pas possible que vous ne l’
aimiez
. « Pardonnez-moi si je vous mets souvent sur ce c
vez jamais vu un si impertinent : parce qu’on sait que, depuis peu, j’
aime
les vers, on m’en apporte de toutes les façons. L
ous redire sans cérémonie, sans compliments, sans fadeur, que je vous
aime
, que je vous aimerai ; que, si j’avais la baguett
rémonie, sans compliments, sans fadeur, que je vous aime, que je vous
aimerai
; que, si j’avais la baguette de ces fées dont m’
e oubli est la récompense que j’en reçois. « Voilà qui est fait, je n’
aimerai
plus d’impératrice de ma vie. « Je sens cependant
quatre mots. Mais, monsieur, s’il vous plaît, pour changer le propos,
Aimeriez
-vous toujours la charmante Angélique ? Valère. S
pos, Aimeriez-vous toujours la charmante Angélique ? Valère. Si je l’
aime
? Ah ! ce doute m’outrage et me pique. >Je l’a
tre âme ! Quelle glace ! Tantôt vous étiez tout de flamme. Valère. J’
aime
autant que jamais ; mais sur ma passion J’ai fait
parents, des enfants, une femme, un ménage, Tout cela me fait peur. J’
aime
la liberté. Hector. >Et le libertinage. Valè
rdeur qui m’embrase, A vos seules bontés je veux avoir recours : Je n’
aimerai
que vous ; m’aimeriez-vous toujours ? Mon cœur, d
A vos seules bontés je veux avoir recours : Je n’aimerai que vous ; m’
aimeriez
-vous toujours ? Mon cœur, dans les transports de
de sa fureur extrême, N’est point si malheureux, puisqu’enfin il vous
aime
. Hector, à part. Notre bourse est à fond, et par
aigrirent son cœur passionné. Mécontent de lui-même et des autres, il
aima
mieux déclarer la guerre à l’ordre social que de
our écurie, une étable avec des vaches, afin d’avoir du laitage que j’
aime
beaucoup. J’aurais un potages pour jardin, et pou
l que ceux des villes, se faisaient à mon voisinage, on saurait que j’
aime
la joie, et j’y serais invité. Je porterais à ces
nidas2était mort pour son pays avant que Socrate eût fait un devoir d’
aimer
la patrie. Sparte était sobre avant que Socrate e
par les remèdes ; garder sa foi, ne haïr que ce qui est haïssable ; n’
aimer
que ce qu’il est juste d’aimer ; laisser couler c
, ne haïr que ce qui est haïssable ; n’aimer que ce qu’il est juste d’
aimer
; laisser couler ce qui ne doit pas toujours dure
u XVIIe siècle, on n’y eut pas pensé. Fi donc ! un manant ! 10. Je n’
aime
pas ici ce mot de troupe. 1. Vous figurez-vous R
flatta mes sens, ma main porta leurs chaînes ; On me dit : « Je vous
aime
», et je crus comme un sot Qu’il était quelque id
raison, dont je devais m’armer, J’allai m’imaginer qu’un roi pouvait
aimer
. Que je suis revenu de cette erreur grossière ! A
oger, ne rien croire que soi, Que son instinct ; bien savoir ce qu’on
aime
, Et, sans chercher des conseils superflus, Prendr
onseils superflus, Prendre l’état qui vous plaira le plus. — J’aurais
aimé
le métier de la guerre. — Qui vous retient ? alle
e se dire à soi-même : Je n’ai point d’ennemis, j’ai des rivaux que j’
aime
, Je prends part à leur gloire, à leurs maux, à le
je n’y vois point de remède. Il faut bien que l’on me succède ; Et j’
aime
en vous mon héritier1. L’existence de dieu
imable, Instruit, mais indulgent, doux, vif, sociable. Il est né pour
aimer
: l’élite des Français Est l’exemple du monde, et
ire disait ailleurs : On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d’
aimer
et d’être aimable, C’est une mort insupportable ;
u s’il n’avait cultivé les lettres. 1. Il est bien rare qu’un poëte
aime
son héritier. 2. Législateur des Perses, comme M
qui, sans vous avoir jamais vus, sans savoir même où vous êtes, vous
aiment
tendrement, quittent tout pour vous, et vous cher
r, enfin qui inspire le désir d’être éclairé par elle, et qui se fait
aimer
par ceux mêmes qui craignaient de la voir ? Tout
a deux manières de se donner aux hommes : la première est de se faire
aimer
, non pour être leur idole, mais pour employer leu
usurper de l’autorité sur eux en les flattant. Ce n’est pas eux qu’on
aime
, c’est soi-même. On n’agit que par vanité et par
er par des esprits flatteurs et insinuants ; faites sentir que vous n’
aimez
ni les louanges, ni les bassesses. Ne montrez de
ont le courage de vous contredire dans le besoin avec respect, et qui
aiment
mieux votre réputation que votre faveur. La force
ez tout ce que vous devez penser et sentir. Il faut que les bons vous
aiment
, que les méchants vous craignent, et que tous vou
icer les peuples et pour les rendre tout ensemble bons et heureux. Il
aimait
avec tendresse et confiance tous ceux qu’il devai
heureux. Il aimait avec tendresse et confiance tous ceux qu’il devait
aimer
; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il ai
eux qu’il devait aimer ; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il
aimait
le plus, quand ils avaient tort. Il était noble e
l n’y aura plus de quoi pleurer. C’est nous qui mourons : ce que nous
aimons
vit, et ne mourra plus. Voilà ce que nous croyons
ses disciples fussent pour lui quand il montait au ciel : « Si vous m’
aimiez
, disait-il, vous vous réjouiriez de ma gloire2. »
quel est mon goût, comme un homme, dans un repas, dit naïvement qu’il
aime
mieux un mets que l’autre2. Je ne blâme le goût d
le mélodrame philosophique de Voltaire ! Enfin avec quel intérêt nous
aimons
à suivre cette veine de l’esprit français mis au
suffisante, le nombre est singulièrement restreint des personnes qui
aiment
à lire tout haut et qui font plaisir en lisant. O
inrent ensemble À la rive maudite où leur destin rassemble Ceux qui n’
aiment
point Dieu : là, le vieillard Caron, Diable aux y
as, T’asseyait sur son sein, te portait dans ses bras ; Que tu disais
aimer
, qui t’apprit à le dire ; Qui chantait, et souven
Comme les immortels, elle est belle et terrible ! Mille amants l’ont
aimée
; ils l’ont aimée en vain. Comme eux, j’aurais tr
ls, elle est belle et terrible ! Mille amants l’ont aimée ; ils l’ont
aimée
en vain. Comme eux, j’aurais trouvé quelque refus
avait pour le peuple des entrailles de père, le peuple, de son côté,
aimait
et respectait le roi ; la France, malgré des espé
l’être, il avait applaudi au talent naissant de Barnave, quoiqu’il n’
aimât
pas ses jeunes amis ; il appréciait l’esprit prof
rétention de gouverner une révolution qu’il savait lui appartenir. Il
aimait
peu le duc d’Orléans et son ambition incertaine ;
des désirs dominants, facile envers les circonstances impérieuses. Il
aima
la force, non par le besoin qu’en a la faiblesse,
possédait entièrement, et qu’il était sûr de se décider à propos, il
aimait
à perdre du temps pour mieux saisir les occasions
râce, attachés par sa bonté. Il jugeait tout avec un sens exquis ; il
aimait
à raconter, et ses récits avaient autant d’agréme
de Talleyrand, comme la grande génération à laquelle il appartenait,
aimait
sincèrement sa patrie, et a toujours conservé de
e les suivre : C’est Dieu qui nous fait vivre ; C’est Dieu qu’il faut
aimer
. En vain pour satisfaire à nos lâches envies. No
i jamais tout cœur était fermé ; Si nul ne songe à moi, si je ne suis
aimé
; Vivre importun, proscrit, flatte peu mon envie.
uiète, immobile pourtant ; Éterniser peut-être un rêve d’un instant ;
Aimer
le vrai, le beau, chercher leur harmonie ; Écoute
ans la pauvreté. Il s’est vu dans ses disgrâces méconnu de ceux qu’il
aimait
. L’injure a flétri sa vertu, et il a été offensé
t changer sa pensée. Le jeune homme, affranchi d’un censeur ennuyeux,
Aime
le champ de Mars, les coursiers, et les jeux, Est
leins de pressentiments, de germes, de ravissants élans. Ceux qui les
aiment
et qui ne vivent plus que de cet amour, sont parf
a dit : Si jeunesse savait ! si vieillesse pouvait ! Or, le père qui
aime
, le vieux père, possède à la fois la science et l
re, possède à la fois la science et la puissance : il sait et il peut
aimer
sans limite comme sans reproche… Je m’arrête de p
uit l’utile et la vertu, le beau. À cet âge plus qu’à tout autre, ils
aiment
leurs amis et leurs camarades, parce qu’ils se pl
ure de leur innocence, ils pensent qu’il souffre sans le mériter. Ils
aiment
à rire, ce qui fait aussi qu’ils sont railleurs,
’âge, l’esprit peut-être aussi, mais non pas l’âme, par laquelle nous
aimons
. La paternité est autant supérieure à l’amour que
l’épouse ; mais il n’en est rien. Quand nous étions enfants, on nous
aimait
plus que nous n’aimions, et, devenus vieux, nous
n est rien. Quand nous étions enfants, on nous aimait plus que nous n’
aimions
, et, devenus vieux, nous aimons à notre tour plus
ants, on nous aimait plus que nous n’aimions, et, devenus vieux, nous
aimons
à notre tour plus que nous ne sommes aimés. Il ne
, et, devenus vieux, nous aimons à notre tour plus que nous ne sommes
aimés
. Il ne faut pas s’en plaindre. Vos enfants repren
nt attachés à ses traits, J’écoutais ! j’aspirais ! je regardais !… j’
aimais
!… ……… Dès lors, je n’eus qu’une pensée, Son sal
Il me dit tout en pleurs : Viens, je te dois ma gloire, Viens ! je t’
aime
! fuyons !……… Va-t’en ! disais-je, va ! Notre am
les parcourais tous, en les baignant de larmes, Ces lieux, ces lieux
aimés
, où pendant dix-sept ans Mes jours avaient coulé
e, Oubliez-vous ici qui vous interrogez ? ACHILLE. Oubliez-vous qui j’
aime
et qui vous outragez ? AGAMEMNON. Et qui vous a c
pense-t-on qu’inutile à moi-même, Je me laisse ravir une épouse que j’
aime
? Seul, d’un honteux affront votre frère blessé,
’espoir de ta présence était mon seul trésor, Et, vivante avec toi, j’
aimais
la vie encor !… Mon seul vœu maintenant, c’est qu
mon pouvoir suprême ; Et, si l’on m’obéit, ce n’est qu’autant qu’on m’
aime
. POMPÉE. Et votre empire en est d’autant plus dan
e, Lénas, Pompone, Albin, Icile, Maxime, qu’après toi j’avais le plus
aimé
: Le reste ne vaut pas l’honneur d’être nommé ; U
et descends en toi-même ; On t’honore dans Rome, on te courtise, on t’
aime
, Chacun tremble sous toi, chacun t’offre des vœux
n’aurais aujourd’hui Qu’à retirer la main qui seule est ton appui. J’
aime
mieux toutefois céder à ton envie ; Règne, si tu
es. Je donne sans compter, comme un autre promet : Nemours, pour être
aimé
, fit-il plus ? COITIER.
IER. Il m’
aimait
. Vous, quels sont-ils vos droits à ma reconnaissa
teur. On paye un courtisan, on paye un serviteur ; Un ami, sire, on l’
aime
; et n’eût-il pour salaire Qu’un regard attendri
vous plaire, Qu’un mot sorti du cœur quand il vous tend les bras, Il
aime
, il est à vous, mais il ne se vend pas : Comme on
dire : Ingrat, tu m’as trahi ! LOUIS. Eh bien ! mon bon Coitier, je t’
aimerai
, je t’aime. COITIER. Pour vous. LOUIS.
tu m’as trahi ! LOUIS. Eh bien ! mon bon Coitier, je t’aimerai, je t’
aime
. COITIER. Pour vous. LOUIS. Sans
FRANÇOIS DE PAULE. L’est-on quand on n’est pas
aimé
? Ah ! viens. LOUIS. Non, lais
EU. Comment en douterais-je ? En suis-je pas la preuve ? Si vous ne l’
aimiez
pas, la France, avec ferveur, Auriez-vous support
avons vaincu nous devons consommer L’œuvre républicaine en la faisant
aimer
: Elle aura tous les cœurs si l’ordre recommence.
avons vaincu nous devons consommer L’œuvre républicaine en la faisant
aimer
: Elle aura tous les cœurs si l’ordre recommence.
d’en haut, qu’elle vienne d’en bas, Elle est la tyrannie, et je ne l’
aime
pas. MARAT. C’est fort bien, va du pauvre au rich
oit la même ! Ériger froidement l’échafaud en système ! Fi donc ! — j’
aimerais
mieux, mourant avec honneur. Être guillotiné qu’ê
Eh bien ! je ne suis pas Du parti des Verrès, ni des Catilinas... — J’
aime
le peuple ; à lui le souverain pouvoir ! Mais je
rs, citoyens, sans fourbe et sans détour, Loin d’être sycophante et d’
aimer
les discours, À de plus nobles soins, ailleurs on
de plus nobles soins, ailleurs on avait l’âme. On était matelot, on n’
aimait
que sa rame ; Et l’on prenait ainsi provinces et
mie, Et, comme elle a sa gloire, elle a son infamie. Jeune, tu dois l’
aimer
: son charme décevant Fait battre mon vieux cœur,
tent de soi et de son esprit l’est de vous parfaitement. Les hommes n’
aiment
point à vous admirer, ils veulent plaire : ils ch
ces héros qu’on renomme. Mais produire au grand jour, ainsi que lu l’
aimais
, Des Phèdres, type affreux d’impureté ? Jamais. N
ien compris, lorsqu’il disait dans sa vive et brusque éloquence : « J’
aime
les sciences ; chacune d’elle est une belle appli
s des vertus réelles et vraies, parce que c’est la vérité seule qu’il
aime
? Cousin (Traduction de Platon). Le Génie
, à cette scène pathétique où la pauvre femme, qui déjà se sent moins
aimée
, demande qui donc lui ravit le cœur jadis si tend
même balle dont on joue l’un et l’autre ; mais l’un la place mieux. J’
aimerais
autant qu’on me dit que je me suis servi des mots
dans l’esprit des autres. L’esprit croit naturellement, et la volonté
aime
naturellement ; de sorte que, faute de vrais obje
, laquelle on ne savait pas qu’elle y fût, en sorte qu’on est porté à
aimer
celui qui nous le fait sentir ; car il ne nous a
telligence que nous avons avec lui incline nécessairement le cœur à l’
aimer
. Il faut de l’agréable et du réel ; mais il faut
ivant « Beaucoup de péchés lui seront remis, parce qu’elle a beaucoup
aimé
. — Venez à moi, vous tous qui souffrez et qui ête
ar il est homme, en même temps qu’il est apôtre. Il les admire et les
aime
; il leur donne sans scrupule ses louanges et ses
regards, quand on a quelques sentiments de l’art véritable, et qu’on
aime
cette admirable langue française, fidèle image de
ors perdus pour ses atours. Parlerai-je d’iris ? Chacun la prône et l’
aime
; C’est un cœur, mais un cœur… c’est l’humanité m
me En leur rang placer ses auteurs, Qu’on lit, qu’on estime, et qu’on
aime
, Et dont la sagesse suprême N’a ni trop, ni trop
inspirions par le plaisir qu’il avait de nous faire goûter le beau et
aimer
le bien. S. de Sacy 90. Le nouveau Temple
e négligence mêlée d’ornement. Au centre du lieu, trois grands hommes
aimeraient
souvent à se rencontrer devant le portique du pri
y attendrait le moins, des frères ou des maîtres. Lucrèce par exemple
aimerait
à discuter l’origine du monde et le débrouillemen
e suis assez glorieux pour vous dire que je ne vous crains ni ne vous
aime
. Après tout, pour vous parler sérieusement, et vo
ve mon parterre net et mes allées nettes, ces grandes allées que vous
aimez
. Vous ne comprenez pas encore où cela peut aller
ntré à mon service pour cela, que ce n’était pas son métier, et qu’il
aimait
mieux s’en aller à Paris. Ma foi ! la colère me m
point, ne me blâmez point, et songez que c’est le garçon du monde qui
aime
le moins à faner, et qui est le plus indigne qu’o
e qu’on le traite bien. Voilà l’histoire en peu de mots : pour moi, j’
aime
les narrations où l’on ne dit que ce qui est néce
le peut-il arriver à une personne qui sait que Dieu fait tout, et qui
aime
tout ce que Dieu fait ? » Voilà sur quoi je vous
point empoisonné. Le peuple même (il faut tout dire), qui vous a tant
aimé
, qui a eu tant de confiance en vous, commence à p
s. Ils croient que vous n’avez aucune pitié de leurs maux, que vous n’
aimez
que votre autorité et votre gloire. Si le roi, di
dans tous les lieux elles ont servi à me persécuter. Mais il faut les
aimer
malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer
er. Mais il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut
aimer
la société, dont tant d’hommes méchants corrompen
, dont tant d’hommes méchants corrompent les douceurs ; comme il faut
aimer
sa patrie, quelques injustices que l’on y essuie.
y a quelque trois mille ans. Ce qui est bien vrai, c’est que je vous
aime
de tout mon cœur, et que vous faites ma consolati
ée. Mêlez, je vous en supplie, quelques sensations à vos sentiments ;
aimez
quelques odeurs, quelques couleurs, quelques sons
soit lire ce bavardage ! Au reste, pourvu que tu saches combien je t’
aime
, que Delaroche et sa femme soient persuadés qu’il
a dicté ces grandes paroles : Un ami est un autre moi-même ; il faut
aimer
ses amis plus que soi-même, sa patrie plus que se
; Vous le croyez du moins et je n’y contredis. Cependant nos docteurs
aiment
à reconnaître. Dans le vieil Hippocrate et leur p
nam 105. Amour de la patrie La société humaine demande qu’on
aime
la terre où l’on habite ensemble ; on la regarde
t temps, ô Seigneur ! que vous ayez pitié de Sion ; vos serviteurs en
aiment
les ruines mêmes et les pierres démolies ; et leu
la vôtre à son tour, parce que cette famille indigente que vous avez
aimée
vous aimera, et qu’elle se sera plus qu’acquittée
son tour, parce que cette famille indigente que vous avez aimée vous
aimera
, et qu’elle se sera plus qu’acquittée quand ce vi
que ce nom même si populaire de fraternité : car tous les frères ne s’
aiment
pas, et charité signifie amour. C’est une thèse p
Ozanam 106. La Propriété Il est dans le cœur de l’homme d’
aimer
à avoir son chez lui, comme aux oiseaux d’avoir l
a tribu, et qu’il a besoin d’avoir à lui sa femme, ses enfants, qu’il
aime
, soigne, protége, sur lesquels se concentrent ses
! quelle boucherie ! Et si les uns ou les autres vous disaient qu’ils
aiment
la gloire, concluriez-vous de ce discours qu’ils
, l’enfant et la nourrice, et c’est là encore où gît la gloire ; elle
aime
le remue-ménage, et elle est personne d’un grand
chées à leur grandeur ; il faut se soumettre à la nécessité, et, sans
aimer
la guerre, sans cesser de l’éviter de toutes nos
ir et l’avarice envahit tout. Les désirs changent d’objets : ce qu’on
aimait
, on ne l’aime plus ; on était libre avec les lois
envahit tout. Les désirs changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’
aime
plus ; on était libre avec les lois, on veut être
e nos aïeux. De Montalembert 109. Aux Jeunes Gens Si vous
aimez
la liberté et la patrie, fuyez ce qui les a perdu
autre vous réponde, ô sages de la terre ! Laissez-moi mon erreur : j’
aime
, il faut que j’espère ; Notre faible raison se tr
n résulte une substance active, capable de connaître, de vouloir et d’
aimer
? Merveilleux effet de l’organisation ! Cette bou
sagesse Qui du sobre Épicure a fait un demi-dieu. Je voudrais vivre,
aimer
, m’accoutumer aux hommes, Chercher un peu de joie
-même, Il t’y trouve ; tu vis en lui. S’il souffre, s’il pleure, s’il
aime
, C’est son Dieu qui le veut ainsi. De la plus no
dans le portrait que La Bruyère y trace de lui-même et qui nous fait
aimer
le philosophe. 41. L’existence très-malheureuse
n peuple a-t-il ou croit-il avoir plus d’esprit que ses ministres, il
aime
et applaudit Figaro. Quand Figaro se compare, lui
ensuel ; car dans le goût physique, quoiqu’on finisse quelquefois par
aimer
les choses pour lesquelles on avait d’abord de la
r voyage. J’ai bien la mine de ne plus faire de vers. Je ne veux plus
aimer
que les vôtres3. Adieu, je vous aimerai toute ma
faire de vers. Je ne veux plus aimer que les vôtres3. Adieu, je vous
aimerai
toute ma vie. (Voltaire, Correspondance générale.
neiges détrempées de pluie qui couvrent le Brandebourg. Attendez-moi,
aimez
-moi, recevez-moi, consolez-moi, et ne me grondez
dans tous les lieux elles ont servi à me persécuter. Mais il faut les
aimer
malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer
er. Mais il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut
aimer
la société, dont tant d’hommes méchants corrompen
, dont tant d’hommes méchants corrompent les douceurs ; comme il faut
aimer
sa patrie, quelques injustices que l’on y essuie.
dans lequel vous laissez votre âme, rien ne vous guérira. Si je vous
aimais
moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ;
aimais moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ; mais je vous
aime
, et je vous gronde beaucoup. Cela posé, songez do
us vaudrait vingt volumes de Lettres philosophiques… Écrivez-moi, et
aimez
toute votre vie un homme vrai qui n’a jamais chan
ion. Je lui ai dit souvent : « Mon cher, vous n’êtes qu’un enfant qui
aimez
les babioles et rejetez l’essentiel. Vous faites
nt parfois dans ce qu’il prise, dans ce qu’il admire et rejette. Il a
aimé
la gloire, mais n’a point dédaigné la fortune. So
; envoyez-le-nous de panier en panier ; vous ferez une bonne œuvre J’
aime
mieux élever un Pichon que servir un roi, fût-ce
core : « Vos fenêtres donnent donc à présent sur le Palais-Royal ; j’
aimerais
mieux qu’elles donnassent sur la prairie et sur l
s mots suivants : fiacre, viande, premier, lumière, ciel, mien, lieu,
aimions
, loin, fouet, celui, etc. Les voyelles sont sépar
yllabes. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Se faire
aimer
, c’est être utile aux autres. Béranger. Huit Sy
’il ne peut compter dans la prononciation, comme dans vie, vue, joie,
aimée
, etc., ainsi le vers suivant est défectueux : La
nines : place, glace ; belles, nouvelles ; louent, jouent ; estimées,
aimées
; voient, croient. La rime est riche quand la con
ans avoir les mêmes lettres. Ex. : prix, esprits ; terre, solitaire ;
aimé
, consumé. Les rimes qui offrent les mêmes lettres
insi l’on ne peut faire rimer ville avec famille ; altier avec fier ;
aimer
avec mer ; couronne avec trône. Deux mots semblab
habitait. La Fontaine. La poésie admet de fortes ellipses : Je t’
aimais
inconstant, qu’aurais-je fait fidèle ? Racine.
lus, un noble patriotisme échauffait son âme. Favori de Louis XIV, il
aimait
le peuple comme Fénelon. On a même rapporté, mais
que1. (Extraits.) Pyrrhus vient de déclarer à Andromaque qu’il l’
aime
avec passion ; que, si elle consent à lui donner
omaque, n’a pas craint de confier au fils d’Agamemnon, à Oreste qui l’
aime
, le soin de la venger. Acte V, Scène i. H
t sans dessein, je cours dans ce palais : Ah ! ne puis-je savoir si j’
aime
ou si je hais ? Le cruel ! de quel œil il m’a con
e, Porte jusqu’aux autels le souvenir de Troie : Incapable toujours d’
aimer
et de haïr, Sans joie et sans murmure elle semble
vers ma rivale. Nous le verrions encor nous partager ses soins : Il m’
aimerait
peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu. Tu p
uand je l’ai servie, Elle me redemande et son sang et sa vie ! Elle l’
aime
! et je suis un monstre furieux ! Je la vois pour
ux de La Harpe, qui lui a consacré un excellent éloge, de Geoffroy, d’
Aimé
Martin et de M. Louandre, qui ont donné des éditi
de vivacité ; il a de la naïveté, de la grâce, de l’imagination ; il
aime
, sent et peint à merveille les beautés de la natu
on ne crève, Et pour ses factions qu’il n’ira point en Grève ; Car il
aime
la France, et ne souffrira point, Le bon seigneur
e ; Quant à son jugement, il est plus que parfait, Et l’immortalité n’
aime
que ce qu’il fait. Par hasard disputant, si quelq
C’est Dieu qui nous fait vivre, C’est Dieu qu’il faut
aimer
. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, No
rte entièrement sur Auguste l’intérêt d’abord attiré sur Cinna. 3º On
aimerait
que, la conjuration fût découverte par un autre m
t de fortune, aventurier inconnu, regardé comme le fils d’un pêcheur,
aimé
de deux reines, et, à la fin, devenant mari de l’
e justifier, Et sais bien les moyens de vous humilier. Soit que j’
aime
Carlos, soit que par simple estime Je rende à ses
e source plus belle. Aidez, ainsi que nous, ce peuple à s’abuser ; Il
aime
son erreur, daignez l’autoriser. À tant de beaux
et ne pas tailler Porus, son vaincu, en véritable héros cornélien qui
aime
mieux la gloire que la vie et qui devant son vain
; il sacrifie les concetti et les faux brillants qu’il avait d’abord
aimés
; il revient à la nature et apprend à rimer diffi
acher. Quel funeste artifice il me fallut chercher ! D’Achille, qui l’
aimait
, j’empruntai le langage : J’écrivis en Argos70 po
Hé bien ! ma fille, embrassez votre père ; Il vous
aime
toujours. Iphigénie.
à me blesse, Car c’est, comme j’ai dit, à vous que je m’adresse. Je n’
aime
point céans tous vos gens à latin, Et principalem
s a vus de très près, dans tous les détails de leur vie, et qu’il les
aime
. Et ce ne sont pas les animaux seuls qu’il aime.
eur vie, et qu’il les aime. Et ce ne sont pas les animaux seuls qu’il
aime
. Sa sensibilité s’étend jusqu’aux plantes, dont i
la saison « où les tièdes zéphyrs ont l’herbe rajeunie », quand tout
aime
et quand tout pullule dans le monde, « monstres m
l’horizon, Ils menaient leurs brebis92 loin de toutes approches. Malc
aimait
un ruisseau coulant entre les roches. Des cèdres
alarmes ; Et sans art nous louerions le succès de ses armes ! Dieu n’
aimerait
-il plus à former des talents ? Les Romains et les
Homère est moins lu que Chapelle ; Et, si nous admirons Apelle, Nous
aimons
Téniers et Watteau. » C’est ainsi que s’exprimai
uel a droit de m’offenser ! Croyez que votre fils vous respecte, vous
aime
. Lycandre. Vous ! Prouvez-le-moi donc, et dans c
eu, où l’on cultivait les belles-lettres sans esprit départi, où l’on
aimait
la vérité plus que la satire et où l’on savait lo
té qui faisait le fond de sa nature, et qui était le remède auquel il
aimait
le plus à recourir dans ses continuelles maladies
ien : chacun rit, et j’en ris même encore. La critique a du bon, je l’
aime
et je l’honore ; Le parterre éclairé juge des com
oger, ne rien croire que soi, Que son instinct ; bien savoir ce qu’on
aime
; Et, sans chercher des conseils superflus Prendr
conseils superflus Prendre l’état qui vous plaira le plus. — J’aurais
aimé
le métier de la guerre. — Qui vous retient ? Alle
nde Est si frivole, en tant d’erreurs abonde, Qu’il n’est permis d’en
aimer
le fracas Qu’à l’étourdi qui ne le connaît pas. A
? où fuir loin de moi-même ? Il faut du monde : on le condamne, on l’
aime
, On ne peut vivre avec lui ni sans lui. Notre enn
e la seconde espèce, Qui des mortels font le mal ou le bien ? Comment
aimer
des gens qui n’aiment rien, Et qui, portés sur ce
Qui des mortels font le mal ou le bien ? Comment aimer des gens qui n’
aiment
rien, Et qui, portés sur ces rapides sphères Que
ant qui ne te connaît pas ! Gresset (J.-B. Louis) (1709-1777)
Aimez
-vous la grâce, la délicatesse, toutes les coquett
ntieuses. Sedaine mourut le doyen des hommes de lettres, et non moins
aimé
qu’estimé. Il possédait toutes les qualités essen
s ou philosophiques. Il en a de légères, de tendres, de bachiques. Il
aimait
à varier autant que possible les sujets comme les
rs : c’est là surtout qu’on peut apprendre à connaître l’homme et à l’
aimer
. Extrait d’Hamlet. Acte IV, scène III.
la campagne, parce qu’il y avait passé ses premières années, et qu’il
aima
toujours à vivre au milieu des paysans qu’il comb
, plutôt une bonne et grasse métairie. Oui ! oui ! dans ce canton : j’
aime
ce pays-ci ; Et Justine, d’ailleurs, me plaît bea
r, insolent ni fier, Et me rappellerai ce que j’étais hier. Ma foi, j’
aime
déjà ma ferme à la folie. Moi, gros fermier !… J’
toujours après boire, Étendu dans sa chaise et se chauffant les piés,
Aime
à dormir au bruit des vers psalmodiés. — Qui, moi
ge d’or si cher à vos doctes mémoires, Ces fleuves, ces vergers, Eden
aimé
des cieux Et du premier humain berceau délicieux
st émoussé par l’âge, Avec plaisir encor je goûte ton breuvage. Que j’
aime
à préparer ton nectar précieux ! Nul n’usurpe che
blent se conformer au deuil du monastère. Sous ces bois jaunissants j’
aime
à m’ensevelir ; Couché sur un gazon qui commence
élé sans abus, Qui, peu jaloux d’un nom, d’une orgueilleuse mitre198,
Aimé
de son troupeau, ne veut point d’autre titre, Et,
ec quel saint transport tout ce peuple champêtre, Honorant ses aïeux,
aimait
à reconnaître La pierre ou le gazon qui cachait l
, Il cherchait, vers le soir, le repos, la retraite, Alors aux champs
aimés
du sage et du poète, Solitaire et rêveur, il alla
ire est d’être utile : heureux quand il a pu Montrer la vérité, faire
aimer
la vertu ! Ses regards, animés d’une flamme céles
nature et jouit de Dieu même. Il visite souvent les villageois qu’il
aime
, Et, chez ces bonnes gens, de le voir tout joyeux
uoi les adoucir ? En place de Brunon, si j’en trouvais une autre… — L’
aimerions
-nous autant que nous aimions la nôtre ? Pour oubl
runon, si j’en trouvais une autre… — L’aimerions-nous autant que nous
aimions
la nôtre ? Pour oublier Brunon, il faudrait bien
On pleurerait ailleurs quand vous séchez nos larmes ! Vous êtes tant
aimé
! prévenez leurs alarmes… Mais comment retourner
tableau charmant copié d’après la Mère de famille de Greuze : Que j’
aime
à contempler cette mère adorée, De rejetons charm
geur imprudent, j’ai mérité mon sort. « Brise-toi, lyre tant
aimée
! Tu ne survivras point à mon dernier sommeil ;
toi ! sommeil ! de ma paupière Écarte tes pesants pavots ! Phébé ! j’
aime
mieux ta lumière Que tous les charmes du repos.
rrents, À grand bruit, sous mes pieds, briser leurs flots errants ! J’
aimais
à contempler ces longs amphithéâtres De collines,
e ce moment suprême, La mère est seule enfin près de l’enfant qu’elle
aime
. Elle s’enferme alors sous les obscurs rideaux, É
a fille ! Non, tu vivras pour moi ; Dieu voudra te guérir ; Ta mère t’
aime
trop, tu ne peux pas mourir. Je ne sais quelle vo
er d’universelles sympathies, et lui gagner même ses rivaux. Béranger
aimait
beaucoup son caractère et appréciait son talent :
ui avait beaucoup hanté le bas peuple et qui s’abaissait à ses goûts,
aimait
d’instinct la chanson libertine et polissonne. «
. Mais ne l’a-t-il pas en même temps un peu dénaturé ? Quelquefois on
aimerait
mieux une vraie chanson qu’une ode, et Désaugiers
puis répandre, Qui n’a pas le temps de serrer La main qu’en passant j’
aime
à tendre. Toujours, etc. Seul, au pied d
de Nantes. Ce personnage, alors directeur général des droits réunis,
aimait
à se délasser des fatigues de l’administration pa
rançois de Paule. L’est-on quand on n’est pas
aimé
? (En l’entraînant.) Ah ! viens. Louis, qui le
répandre, Quelques-unes du moins arroseront… ma cendre… Ah ! je vous
aime
encor… J’expire. Procida.
rs de ma moisson mûre, De vos épis un autre est roi ; Tilleuls dont j’
aimais
le murmure, Vous n’aurez plus d’ombre pour moi. T
t semée Du haut de leurs rameaux tremblants, Je suivais quelque trace
aimée
, Empreinte sur ses flocons blancs. Adieu, flots,
jours. Adieu, chers témoins de ma peine, Forêt, jardins, flots que j’
aimais
! Adieu, ma fraîche Madeleine ! Madeleine, adieu
t il est sans diadème, Qu’il gémit, qu’il est seul, que personne ne l’
aime
. » Elle ne pourra plus goûter les joies du parad
age est dans ma voix, l’éclair est sur ma bouche ; « Aussi, loin de m’
aimer
, voilà qu’ils tremblent tous, « Et quand j’ouvre
notre sang et notre chair à nous-mêmes, qui sentent, qui pensent, qui
aiment
, qui chantent comme nous pensons, comme nous chan
ent, qui chantent comme nous pensons, comme nous chantons, comme nous
aimons
, nous, hommes des nouveaux jours 235 . » Il s’ép
une des ombres héroïques, amoureuses, plaintives, qui combattent, qui
aiment
, qui pleurent ou qui chantent sur la harpe, dans
on et sa patrie, devrait être supérieur à tout regret, et celle qu’il
aimait
, loin de l’accuser et de se jeter par désespoir d
souffle une lampe à l’approche du jour, À l’ombre des autels qu’elle
aimait
à toute heure, Je lui creusai moi-même une étroit
i, bonté, beauté suprême, Je te cherche partout, j’aspire à toi, je t’
aime
! Mon âme est un rayon de lumière et d’amour, Qui
e de remonter à sa source enflammée. Je respire, je sens, je pense, j’
aime
en toi ! Ce monde qui te cache est transparent po
eule patrie est, pour l’œil d’une mère, Aux lieux où lui sourit, où l’
aima
son époux, Où son doux premier-né grandit sur ses
e, dont la force un moment ranimée Empruntait de la vie à cette terre
aimée
, Parcourant du regard et le ciel et les lieux, Vo
premier toit, semblent faire partie, Que l’on a toujours vus, connus,
aimés
, touchés, Cette première couche où Dieu nous a co
s’enfermer désormais dans la négation. Il voit encore la nature, il l’
aime
; mais elle devient pour lui un mystère profond,
se, des fous et des laquais pleins de nobles et royaux sentiments. Il
aime
à combiner laborieusement tout ce qui est antithè
ême, Elle est bonne. Dieu le permet, Dieu le veut ; mais surtout elle
aime
Le pauvre que Jésus aimait ! Toujours sereine et
le permet, Dieu le veut ; mais surtout elle aime Le pauvre que Jésus
aimait
! Toujours sereine et pacifique, Elle offre à l’
ère258, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul housard259 qu’il
aimait
entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa hau
Vivre, sachez-le bien, n’est ni voir ni savoir ; C’est sentir, c’est
aimer
; aimer, c’est là tout vivre ; Le reste semble pe
sachez-le bien, n’est ni voir ni savoir ; C’est sentir, c’est aimer ;
aimer
, c’est là tout vivre ; Le reste semble peu pour q
i lit à ce livre. Ô vous dont le cœur pur, dans l’ombre s’échauffant,
Aime
ardemment un père, un époux, un enfant, Une tante
deuil, Près d’un berceau vermeil ou sur un noir cercueil, Et comme on
aime
Dieu, même alors qu’il châtie, Et comme la prière
st si mûre, où le ciel est si bleu ; C’est plutôt, jusqu’ici, d’avoir
aimé
trop peu ! À M. Auguste le Prévost. (Les Cons
e est pour nous le jour du souvenir ; Car, dans la tendre enfance, on
aime
à voir venir, Après les soins comptés de l’exacte
un cercueil. Elle me parlait donc et de mon père et d’elle ; Et ce qu’
aimait
surtout sa mémoire fidèle, C’était de me conter l
quiète, immobile pourtant, Éterniser peut-être un rêve d’un instant ;
Aimer
le vrai, le beau, chercher leur harmonie ; Écoute
nt à ces choses-là, je suis un réformé. Je n’ai plus de système, et j’
aime
mieux mes aises ; Mais j’ai toujours trouvé honte
faut s’y conformer. Dupré. Je m’y conforme, soit ; mais je ne puis l’
aimer
. L’Ambitieux. (Les deux Gendres, acte III, sc
l’état latent. Mais peu à peu l’auteur apprend à voir, à connaître, à
aimer
l’auteur de la nature ; il s’élève des régions ob
sanctuaires ; On chasse des vallons ses hôtes merveilleux, Les dieux
aimaient
des bois les temples séculaires, La hache a fait
iriles, De fierté dans mon cœur, de sève dans mes vers ? Par vous, j’
aime
à braver ce que mon siècle loue, Et ses lâches gr
Car le jardinier invisible Nous cultive au désert pour lui. Il nous
aime
, il nous connaît toutes, Et, malgré son amour jal
vertu guerrière, Ou de chanter la gloire en face du trépas ! La Muse
aime
à planer sur les champs du carnage, À fouler sous
st loin de tant d’audace ; Fuyant la guerre et les combats, J’
aime
mieux, sur les pas de Virgile ou d’Horace, Dans q
bur, comme eux cachant ma trace, Égarer mollement mes pas. J’
aime
mieux du penchant des collines prochaines Entendr
mpides fontaines Les flots assoupissants murmurer sous les fleurs. J’
aime
mieux, dans ces bois où l’oiseau seul m’écoute, C
forêts. Un grave écolier. Monsieur l’écolier sérieux, Vous m’
aimez
encor, je l’espère ? Levez un moment vos grands y
e une âme. Avant de savoir l’allemand, La physique et le latin même,
Aimez
! c’est le commencement. Aimez sans honte et vail
lemand, La physique et le latin même, Aimez ! c’est le commencement.
Aimez
sans honte et vaillamment, Aimez tous ceux qu’il
ême, Aimez ! c’est le commencement. Aimez sans honte et vaillamment,
Aimez
tous ceux qu’il faut qu’on aime. Mais il est trop
nt. Aimez sans honte et vaillamment, Aimez tous ceux qu’il faut qu’on
aime
. Mais il est trop peu généreux D’aimer tout bas
mez tous ceux qu’il faut qu’on aime. Mais il est trop peu généreux D’
aimer
tout bas et bouche close. À ceux que l’on veut re
édaignait, si ce n’est pour traduire la Divine Comédie du Dante. Il n’
aimait
que la poésie, et lui portait une sorte de culte.
eu pour poétique que d’épurer les cœurs et de consoler les âmes. Il a
aimé
ardemment sa patrie, ses aspirations étaient idéa
ites-nous si vous êtes des morts. Hélas ! dans tous les temps ils ont
aimé
ces bords. Autrefois, un esprit venait, d’une voi
es rivages ! Partout l’âme y respire un parfum des vieux âges. « Vous
aimez
la Bretagne, et moi, je l’aime aussi. Le lointain
pire un parfum des vieux âges. « Vous aimez la Bretagne, et moi, je l’
aime
aussi. Le lointain souvenir ne s’est point obscur
avait si bien exprimé dans quelques-uns de ses meilleurs vers : Je n’
aime
point les Vers qui rampent sur la terre, Ny ces v
erre ronde : Car seulement au cœur on se prenoit. Et si par cas80 à s’
aimer
on venoit, Sçavez-vous bien comme on s’entretenoi
eculez et déserts, Tantost par les taillis, verte maison des cerfs. J’
aimois
le cours suivy d’une longue riviere, Et voir onde
ne D’un prince ou d’un grand Roy la faveur incertaine ; Quant à moy j’
aime
mieux ne manger que du pain Et boire d’un ruissea
on père Je fus souventes-fois207 retansé de mon pere Voyant que j’
aimois
trop les deux filles d’Homere208 Et les enfans20
es (1556), détonnent dans les sujets élevés. C’est un fin artiste qui
aime
tout ce qui brille et chatoie dans les œuvres de
e saphir, la turquoise ; ht pierre aqueuse est une nymphe, Iris a été
aimée
d’Opale. Nul, ce semble, ne représente mieux, dan
tique et littéraire, et la nature. Théophile Gautier, de nos jours, a
aimé
à dessiner dans ses romans les châteaux du temps
Dieu vous donc Le beau don de la paix, chacun de vous s’adone291 A l’
aimer
et garder. Qui premier l’enfreindra, Qu’il tombe
t taire, Parler à propos il ne sçait. N’a point d’amy, qui par trop s’
aime
; Qui sert autruy, se sert soy-mesme ; Plaisir re
ux de voir, Alors qu’un tel dessein je pourray concevoir. Non, non, j’
aime
bien mieux courir mesme fortune, Que trainer plus
r leurs medits mes mœurs je façonné395. Di, que je fus d’ailleurs
aimé
de tout le monde, D’un cœur ouvert et franc, de c
ut le monde, D’un cœur ouvert et franc, de conscience ronde, Et que j’
aime
chacun, mais, sur tous, ces esprits Que la douceu
. (Satyres françoises.) À son fils445 ………………………………………………
Aime
Dieu, cependant, et marchant en sa crainte, Garde
e : Et en fuyant, batus et désarmés, Boiriés de l’eau que si peu vous
aimes
. Gardés vous donc d’entrer en ceste terre : Ainsi
L’ambroisie et nectar font des dieux les delices, Et le procés friand
aime
fort les espices510 ; — Apollon est à craindre, a
ard, malgré les nobles aspirations qu’il exprimait en beaux vers : J’
aime
mieux en soucis et pensers élevés Estre un aigle
ennemy ne peut assez te craindre, Ny ton sujet loyal ne peut assez t’
aimer
… Croissez en ceste gloire : ô l’honneur des bons
de Sainte-Marthe, le jeune et vieil ami de Vauquelin ; Pibrac, qui a
aimé
et chanté la bonne campagne comme la bonne morale
et et Pibrac, a chanté la vie rustique du gentilhomme campagnard et a
aimé
les champs ailleurs que dans les vers d’Horace qu
difference d’un poinct ; Car à bon droict elle a esté blasmée De trop
aimer
, et vous de n’aimer poinct. (François Ier).
ct ; Car à bon droict elle a esté blasmée De trop aimer, et vous de n’
aimer
poinct. (François Ier). Vers à un crucifix
re N’esperoit imprimer ses outrages sur moy. Dieu, qui de ceux qu’il
aime
est la garde751 éternelle, Me tesmoignant contre
mes vers ont eu du nom assez Dans le siecle où nous sommes ; Il faut
aimer
nostre aise, et, pour vivre contens, Acquerir par
ez mieux à vous mesnager. Quel charme a pour vous le danger, Que vous
aimiez
tarit à le suivre ? Si vous aviez dans les combat
lement, Et pour les figures de pierre Qui feront vostre monument790…
Aimez
, Seigneur, aimez à vivre ; Et faites que de vos b
es figures de pierre Qui feront vostre monument790… Aimez, Seigneur,
aimez
à vivre ; Et faites que de vos beaux jours Le lon
rat d’un époux infidèle. Héritier d’une flamme envers moi criminelle,
Aime
mon ennemie et péris comme lui. Pour la faire tom
agir par de plus justes causes A produit des effets plus doux et plus
aimés
. J’ai fait, à votre exemple, ici des créatures, M
d’en dire Qu’il avoit su bien lire Et bien étudier. Mais, au lieu d’
aimer
Dieu, d’agir pour son service, L’éclat d’un vain
français, I, 34.) Corneille sur lui-même, en 1636 Nous nous
aimons
un peu, c’est notre foible à tous ; Le prix que n
op oublié) l’avaient, en dépit des pastorales de mode et de commande,
aimée
sincèrement et naïvement, il est resté le seul qu
ncèrement et naïvement, il est resté le seul qui ait su nous la faire
aimer
avant J.-J. Rousseau. Quand il tenait encore à l’
sous les pas. Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j’
aimai
toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et d
uis porte ses pas, Tâchez de l’adoucir, fléchissez son courage866. Il
aime
ses sujets, il est juste, il est sage : Du titre
il faut vivre Instruit mieux à mon gré que ne fait aucun livre. Elle
aime
à dépenser en habits, linge et nœuds : Que voulez
ailleurs. Je consens que sans moi ses destins soient meilleurs, Et j’
aime
mieux la voir sous un autre hyménée, Que si contr
secours sont offerts, Pour vouloir d’un œil sec voir mourir ce qu’on
aime
: L’effort en est barbare aux yeux de l’univers,
cent préceptes divers, Pour vouloir d’un œil sec voir mourir ce qu’on
aime
; L’effort en est barbare aux yeux de l’univers,
re (Épît. VII) ; la mélancolie même, quand il ne peut oublier qu’il a
aimé
Sylvie (chanson). Il a une fois le malheur d’être
e au sonnet ; d’y mettre un mot mal sonnant à l’adresse du Tasse, qui
aime
trop le clinquant, et une épigramme contre Cornei
e, qui aime trop le clinquant, et une épigramme contre Corneille, qui
aime
trop Lucain. Mais il n’a pas admiré médiocrement
mon gré le Corneille est joli944 quelquefois. En vérité, pour moi, j’
aime
le beau françois945. Je ne sais pas pourquoi l’on
auteurs de ce temps sert encore de modèle. Marchez donc sur ses pas ;
aimez
sa pureté, Et de son tour heureux imitez la clart
ontempler Sylvie Ces tranquilles momens si doucement perdus. Que je l’
aimois
alors ! que je la trouvois belle ! Mon cœur, vous
vous soupirez au nom de l’infidèle : Avez-vous oublié que vous ne l’
aimez
plus ? C’est ici que souveut, errant dans les pra
es plus chéries Lui faisoit des présens si tendrement reçus. Que je l’
aimois
alors ! etc.969. Racine (1639-1699) Not
a sa fin en 1699. Louis XIV l’admirait et le goûtait ; il admirait et
aimait
Louis XIV. Un mémoire qui touchait à ses intérêts
s entretiens tant analysé le cœur et ses passions, où l’on avait tant
aimé
et tant parle de l’amour en prose et en vers ? N’
r et de dire en vous-même : « Partout en ce moment, on me bénit, on m’
aime
: On ne voit point le peuple à mon nom s’alarmer
le faut. ATALIDE. Quoi ! ce prince aimable… qui vous
aime
, Verra finir ses jours qu’il vous a destinés ! RO
de soins, d’ardeurs extrêmes, Tu ne saurois jamais prononcer que tu m’
aimes
! Mais dans quel souvenir me laisse-je égarer ? T
urs, Ce fut sur ce charmant rivage Que sa fille volage Me promit de m’
aimer
toujours. Le Zéphyr fut témoin, l’onde fut attent
rdeur qui m’embrase, À vos seules bontés je veux avoir recours : Je n’
aimerai
que vous ; m’aimeriez-vous toujours ? Mon cœur, d
À vos seules bontés je veux avoir recours : Je n’aimerai que vous ; m’
aimeriez
-vous toujours ? Mon cœur, dans les transports de
e sa fureur extrême, N’est point si malheureux, puisque enfin il vous
aime
. HECTOR, à part. Notre bourse est à fond, et par
1632 la troisième édition de ses œuvres. « … Pour moy, je me picque d’
aimer
jusques en la prison et dans le sépulcre. J’en ay
igneur, elle vient vous présenter ses respects… On (le poète) a mieux
aimé
ne pas être si précisément véritable en traçant s
rites, Espère tout et n’appréhende rien. Mon âme, repens-toy d’avoir
aimé
le monde ; Et de mes yeux fais la source d’une on
roix1013 ! (Maynard) Godeau Soleil de Provence Que j’
aime
à voir le ciel qui rit d’un feu si pur, Qui sans
Les plus beaux vers pour vous n’eurent jamais d’appas ; Vous ne les
aimez
point, ni ceux qui les débitent. On le dit, monse
t. On le dit, monseigneur, mais je ne le crois pas, Car les vers sont
aimés
de ceux qui les méritent. II Voyant la sp
a soin des pasteurs, Et Pan me peut venger de toutes vos rigueurs. Il
aime
, je le sais, il aime ma musette ; De mes rustique
Et Pan me peut venger de toutes vos rigueurs. Il aime, je le sais, il
aime
ma musette ; De mes rustiques airs aucun il ne re
es stratagèmes De l’instinct qui nous guide tous ; Mortels, nous nous
aimons
nous-mêmes, Et nous n’aimons rien que pour nous.
qui nous guide tous ; Mortels, nous nous aimons nous-mêmes, Et nous n’
aimons
rien que pour nous. De quelque vertu qu’on se piq
font nommer L’amour, les délices des hommes, Vous flattez-vous de les
aimer
? Des heureux qu’il vous plaît de faire Vous atte
e âme héroïque, Toute vouée à la vertu. Ce n’est point la vertu qu’il
aime
; Mais son cœur ivre de lui-même Voudroit usurper
Mon cœur, de soins divers sans cesse combattu, Ennemi du forfait sans
aimer
la vertu1065, D’un amour malheureux déplorable vi
n de l’être tout-puissant. « Il en fait un partage à ses enfans qu’il
aime
. « Nous sommes ses enfans, des ombres de lui-même
es immortelles ; « Ferme en tes sentimens, et simple dans ton cœur, «
Aime
la vérité, mais pardonne à l’erreur. « Fuis les e
oger, ne rien croire que soi, Que son instinct ; bien savoir ce qu’on
aime
; Et, sans chercher des conseils superflus, Prend
onseils superflus, Prendre l’état qui vous plaira le plus. — J’aurais
aimé
le métier de la guerre. — Qui vous retient ? alle
nne ; Mais ces éloges qu’on leur donne Sont trop souvent désavoués. J’
aime
peu la louange, et je vous la pardonne ; Je la ch
vais suivi la trace où m’ont conduit vos pas, Si je vous imitai, si j’
aimai
ma patrie, (Il se jette à genoux.) D’un remords a
es morts, Eut un regard de vous pour prix de ses remords ; Que vous l’
aimiez
encore, et que, malgré son crime, Votre fils dans
e vertu m’accable, et son charme m’attire. Honteux d’être vengé, je t’
aime
et je t’admire. (Il se jette à ses pieds.) ALZIRE
dehors ; Je suis franc. LE COMTE. Quant à moi, j’
aime
la politesse. LISIMON. Moi, je ne l’aime point, c
Quant à moi, j’aime la politesse. LISIMON. Moi, je ne l’
aime
point, car c’est une traîtresse Qui fait dire sou
faut choisir, Point chassés, mais priés de ne plus revenir. Comment n’
aimez
-vous pas un commerce plus stable ? Avec tout votr
, dont on fait tant de cas, Ne vaut pas les plaisirs des gens qu’on n’
aime
pas : Être cité, mêlé dans toutes les querelles,
e détesté ? VALÈRE. Je vois tout le contraire : on le recherche, on l’
aime
: Je voudrois que chacun me détestât de même : On
aisirs, des goûts, des sentimens, Une société peu nombreuse, et qui s’
aime
, Où vous pensez tout haut, où vous êtes vous-même
sauvage et couvert, Oui, comme toi, je crains la foule ; Comme toi, j’
aime
le désert. Ruisseau, sur ma peine passée Fais ro
e et le bois qui frissonne Et le cri plaintif du vanneau1151 ! Que j’
aime
cette église antique, Ces murs que la flamme a co
…………………………………………………………… Parlerai-je d’Iris ? Chacun la prône et l’
aime
; (C’est un cœur, mais un cœur… c’est l’humanité
ement j’arrive Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j’
aimois
, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des
nons blessons le grand homme ; Mort, nous tombons à ses genoux : On n’
aime
que la gloire absente ; La mémoire est reconnoiss
Pourquoi, sans l’écouter, applaudis-tu Clitandre ? — C’est que j’
aime
bien mieux l’applaudir que l’entendre. (I, 97.)
ceindre ses bords ; Soit que son vaste sein se gonflât de colère ! J’
aimois
à voir le flot, d’abord ride légère, De loin blan
la mousse du rocher, Dans une touffe épaisse elle va se cacher. Elle
aime
aussi chanter à la moisson nouvelle, Suivre les m
s pas ses anneaux lumineux. Féconde immensité, les esprits magnanimes
Aiment
à se plonger dans tes vivants abîmes, Abîmes de c
prophète éloquent, aveugle harmonieux, « Convive du nectar, disciple
aimé
des dieux ; « Des jeux, tous les cinq ans, rendro
délicieux mûris sur leurs coteaux. La Provence odorante et de Zéphyre
aimée
Respire sur les mers une haleine embaumée, Au bor
je te dirois : Préviens ma dernière heure, Hâte-toi, que je meure : J’
aime
mieux n’être pas, que de vivre avili. Mais, si d
tant, au contraire, Qu’on me voit sur mes pas revenir tout exprès : J’
aime
bien mieux changer auparavant qu’après. C’est que
esseur de Delille à l’Académie. Faut-il rappeler Ricard et sa Sphère,
Aimé
Martin et ses Lettres à Sophie sur la Physique, l
omenade. Élégie Roule avec majesté tes ondes fugitives, Seine ; j’
aime
à rêver sur tes paisibles rives, En laissant comm
meilleures. La Chute des Feuilles est classique ; l’Anniversaire tait
aimer
le fils dans le poète. L’anniversaire. Élégie
ourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans : « Bois que j’
aime
! adieu…, je succombe ; Votre deuil me prédit mon
tranger ; Se retirer dans sa coquille Au signal du moindre danger ; S’
aimer
d’une amitié sans bornes ; De soi seul emplir sa
Parmi tous ces débris, où j’ai souvent erré, Où j’ai joué, souffert,
aimé
, rêvé, pleuré, Mon heureuse jeunesse, en vingt li
teur.) Un corsaire Lord Derby, Godwin. GODWIN. Moi ! je n’
aime
personne… excepté vous, milord. LORD DERBY, en ri
te. Mais qui m’a fait mon sort ? Personne. Craint de tous, Qui peut m’
aimer
? Personne, Or, j’en appelle à vous, N’ai-je pas
vous, N’ai-je pas cent raisons, dont la moindre est fort bonne, De n’
aimer
, n’estimer et n’épargner personne ? Toujours vous
laît à mes regards. Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire ; J’
aime
à revoir encor pour la dernière fois Ce soleil pâ
tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire, Tout dise : ils ont
aimé
! (Ibid., XIII.) Hymne de la nature à Dieu
vivons-nous, si ce n’est pour mourir ? Pourquoi pour la justice ai-je
aimé
de souffrir ? Pourquoi dans cette mort qu’on appe
En esclave attentif, ils m’appellent, j’y cours ! Et vous, si vous m’
aimez
, comme aux plus belles fêtes, Amis, faites rouler
upie, Ployée, et les genoux aux dents ! Encor si ce banni n’eût rien
aimé
sur terre !.. — Mais les cœurs de lion sont les
terre !.. — Mais les cœurs de lion sont les vrais cœurs de père. Il
aimait
son fils, ce vainqueur ! Deux choses lui restaien
………………………… Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours, Je vous
aime
, et vous, lierre au seuil des antres sourds, Ravi
rentre en moi-même, Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’
aime
! Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît, A
Car ils venaient, hélas ! d’y voir plus que mon àme. Aussi, loin de m’
aimer
, voilà qu’ils tremblent tous, Et, quand j’ouvre l
3 chants, chant IL — Calmann Lévy, éditeur.) Le cor I J’
aime
le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu
talie à la main, avec une pétulance audacieuse et fantasque, Aimant,
aimé
de tous, ouvert comme une fleur. Ce fut une pre
divinités et d’allégories dont la poésie antique animait celle qu’il
aime
à appeler « l’immortelle nature ». Tout en imitan
jeune, heureux, partout le bienvenu ? Et ces plaisirs légers qui font
aimer
la vie, Si tu n’avais pleuré, quel cas en ferais-
cœur viderais-tu ton verre, Si tu n’avais senti le prix de la gaîté ?
Aimerais
-tu les fleurs, les prés et la verdure, Les sonnet
t bien cuit. Grâce à Dieu, nos auteurs ont changé de méthode, Et nous
aimons
bien mieux quelque drame à la mode Où l’intrigue,
de l’art humain à ceux des œuvres de la nature. Comme Victor Hugo, il
aime
les « vitraux diaprés », les dentelures des toits
ourses poétiques, Je m’arrête surtout aux vieux châteaux gothiques. J’
aime
leurs toits d’ardoise aux reflets bleus et gris,
resques, la chapelle, Dont la cloche qui tinte à la prière appelle. J’
aime
leurs murs verdis, par l’eau du ciel lavés, Leurs
tu pris sa chevelure, Tu montas botté sur son dos. Alors, comme elle
aimait
les rumeurs de la guerre, La poudre et les tambou
rs Dieu retourner avec toi. LA NATURE. Ô mon enfant chéri ! toi qui m’
aimes
encore, Et devines en moi ce que la foule ignore
rds des flots, Sauterait par-dessus sans mouiller ses grelots. Mais j’
aime
la Voulzie et ses bois noirs de mûres, Et dans so
ô ma Voulzie ! et même, Triste, j’ai tant besoin d’un confident qui m’
aime
, Me parle avec douceur et me trompe, qu’avant De
ansfigurations poétiques et mystiques risque un peu de gâter ce qu’il
aime
tant, et de donner un air d’apprêt à la nature, e
ches désolées ! Horizons infinis des grèves isolées ! Solitudes qu’il
aime
, où ses pas sont gravés, Oh ! dites s’il pleura,
ndamné ? Sur tes plus beaux enfants j’ai frappé sans relâche, Et je t’
aime
pourtant, forêt où je suis né ! « Ton ombre est m
a voix des villes, Elle m’arrive en bruits douloureux et discords ; J’
aime
mieux écouter ces feuillages mobiles D’où pleut u
eté qui par moi vous profane, Saints temples des forêts, arbres que j’
aime
en vain ! Pour mes fils allâmes dans ma pauvre ca
eux ou tristes ou méchants, Jeune homme aux blanches mains, qui crois
aimer
les [champs ! Quel noir démon t’invite à ces pens
ale, Ouvraient sous les sapins la fosse nuptiale1487. Le clocher tant
aimé
sonnait son dernier glas. Nous montions ; sous no
des glaciers Pour fuir votre esclavage et vos penchants grossiers. J’
aime
ce large azur, ces cimes toujours blanches, Où se
, J’ai pris dans ces déserts que l’on m’invite à fuir Et la vigueur d’
aimer
et celle de haïr. Par eux, par le contact de leur
ntre, reçoit vite les échos d’Alger. Autran, enfant de la Révolution,
aime
à voir le soldat dans le paysan : Frère de Jeann
me gonflent le sein ! — Et toi, mon compagnon, toi, l’écrivain que j’
aime
, Jean-Jacques ! bien souvent tu l’as connu, toi-m
uteur. Celui qui n’a pas su haïr la servitude, Celui-là ne peut pas t’
aimer
, ô solitude ! (Ibid.,II, 1 et 2. — Calmann Lévy
e la Bergerette, reçoit aide et protection d’Apollon, et cite l’Art d’
aimer
d’Ovide. – À toute cette fantasmagorie je préfère
onsard adresse la seconde ode du livre II : C’est toy qui fais que j’
aime
les fontaines, Tout esloigné du vulgaire ignorant
t, dit-il d’Apollon, C’est grand cas que ce Dieu qui dès l’enfance l’
aime
Affranchit du trépas Ses divines chansons, et que
Thèbe a vos deux fils offre un trône en partage ; Vous suivre et vous
aimer
, voilà mon héritage. 347. Le prince de Grèce l
ée, tous soupirent après la campagne. C’est la muse universelle. On l’
aime
et on la chante par imitation de l’antiquité et p
nir de ce vers quand il dit (Ép., VII) : Ô fortuné séjour ! ô champs
aimés
des doux ! Que, pour jamais foulant vos prés déli
ajouté comme Lamartine : Mais la nature est là qui t’invite et qui t’
aime
; Plonge-toi dans le sein qu’elle t’ouvre toujour
Encore quelques grands, afin de faire voir, De Mœcene rivaux, qu’ils
aiment
le sçavoir, Nous voyent de bon œil, et tenant une
le, Que c’est pour en mourir : ha ! ma foy, je voy bien Que vous ne m’
aimez
plus, vous ne me donnez rien. Mais on lit à leurs
te dans la Seine ; des bergers et des bergères dont chacun et chacune
aime
qui ne l’aime pas : des parents qui traversent, à
ne ; des bergers et des bergères dont chacun et chacune aime qui ne l’
aime
pas : des parents qui traversent, à plaisir, ces
n pour une jeune princesse élevée à la cour de son père : il la croit
aimée
du duc de Courlande, premier ministre de son père
mari, prisonnier des Parthes, elle le tue au retour, pour le punir d’
aimer
la sœur du roi des Parthes, Rodogune, qu’il a ram
conserver l’autorité. Elle a deux fils jumeaux qui, après leur père,
aiment
Rodogune. Elle promet le trône à celui des deux q
un conseil auquel assiste également Carlos, cavalier inconnu, qu’elle
aime
en secret — Carlos sera reconnu, à la fin de la p
en faisant épouser Psyché par un monstre. Mais l’Amour vit Psyché, l’
aima
et fit prononcer par l’oracle qu’elle devait être
rmer son ennui, N’est-ce pas se haïr, pour acquérir la gloire De bien
aimer
autrui ? La gloire ! Encore Sénèque. De même La
ascendant impérieux d’Agrippine, sa mère, il fait enlever Junie qu’il
aime
, et arrêter Britannicus qui l’aime et qu’elle aim
mère, il fait enlever Junie qu’il aime, et arrêter Britannicus qui l’
aime
et qu’elle aime : Agrippine, sentant son fils lui
nlever Junie qu’il aime, et arrêter Britannicus qui l’aime et qu’elle
aime
: Agrippine, sentant son fils lui échapper, avait
oileau en signalait aussi dans une autre de ses victimes, Scudéry. Il
aimait
à citer le début du VIIe chant d’Alaric : Il n’e
om d’Isménie, à la cour de son beau-père, qui veut l’épouser, qu’elle
aime
son beau-frère Arsame qui l’aime, et que Rhadamis
au-père, qui veut l’épouser, qu’elle aime son beau-frère Arsame qui l’
aime
, et que Rhadamiste est réputé mort. — Au second a
trois hommes, dont l’un se croit le droit de l’épouser, l’autre de l’
aimer
, et dont le dernier venu a, sans que les autres l
n des droits sur les grains, etc. « Il n’y a que M. Turgot et moi qui
aimions
le peuple », disait Louis XVI. Il vécut dès lors
e ? où fuir loin de moi-même ? Il faut du monde, on le condamne, on l’
aime
, On ne peut vivre avec lui ni sans lui : Notre en
à suivre : Tu gardas les troupeaux, mais c’était ceux d’un roi. Je n’
aime
les moutons que quand ils sont à moi. L’arbre qu’
parle, ou que l’auteur se taise ; Ne célébrons jamais que ce que nous
aimons
; En fait de sentiment l’art n’a rien qui nous pl
ntèze, roi d’une partie du Potoze, la main de sa fille Alzire. Alzire
aimait
et aime encore Zamore, roi d’une autre partie du
d’une partie du Potoze, la main de sa fille Alzire. Alzire aimait et
aime
encore Zamore, roi d’une autre partie du Potoze.
ais Damis s’était déjà sacrifié généreusement à Dorante, qu’il savait
aimé
, pendant que celui-ci le faisait siffler. Il se r
1135. Le méchant n’est ni estimé, ni respecté, ni homme d’esprit, ni
aimé
, ni craint, ni heureux, ni homme de probité. — C’
connois qu’un seul, c’est de ne pas régner. Ce n’est pas à demi qu’on
aime
un diadème. Songe à Duncan, Macbeth : je suis enc
II, 3.) que trop d’amis est inutile : Un seul suffit quand il nous
aime
: (Le Lièvre, ses Amis et les deux Chevreuils,
ffon. 1185. Le Brun a mis en épigramme le mot de M. de Thiard : « J’
aime
beaucoup les Bergeries de M. de Florian, mais j’y
tre, « le poète des champs », comme il l’a dit. C’est un leurre. S’il
aimait
la campagne, c’était à la condition d’y savourer
e café, d’y trouver des cartes et un billard (c’est du moins ce qu’il
aime
à y décrire), et surtout grande compagnie pour ca
ser ou lire ses vers ; il était maître passé dans ces deux arts. Il n’
aimait
pas la solitude : Ce qu’un bois m’inspire, Je ve
rtu, défenseur du génie. Convaincu seulement du crime détesté D’avoir
aimé
, servi, chanté la liberté 1282. Bernardin de S
ion et de son âme : La Mer et les Bois. Tancarville, 1817. Jeune, j’
aimais
les bois. Sous leurs vertes ramures Qui des flots
s silencieux des bois qui les parfument. Ô vieux rochers déserts où j’
aimais
à rêver ! Étang silencieux que l’hirondelle effle
écoles. Dans Britannicus (II, 2), Néron dit de Junie à Narcisse : J’
aimois
jusqu’à ses pleurs que je faisois couler. Dans l
pusc., XXVIII.) Je prendrai par la main les deux petits enfants : J’
aime
les bois où sont les chevreuils et les faons, Où
ce que l’âge « sans pitié » le torture (Lég. des siècles, I, 13), qui
aime
la mauvaise herbe et la vilaine bête parce qu’on
e ! Ô mes Muses, c’est vous, vous, mon premier amour, Vous qui m’avez
aime
dès que j’ai vu le jour. Leurs bras, à mon bercea
aix. Par vous, Muses, par vous, franchissant les collines, Soit que j’
aime
l’aspect des campagnes sabines, Soit Catile ou Fa
s l’urne des fontaines ces fantasmagories me laissent froid : encore
aimé
-je mieux l’indignation de Ronsard contre les bûch
pesât encore l’anathème d’Horace : Illi robur… , quand Autran, qui l’
aimait
comme une patrie, l’embrassa tout entière dans se
ne Plus d’argent qu’ils n’en ont coûté. S’il me fallait les vendre, J’
aimerais
mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma femme ; eh bie
ont coûté. S’il me fallait les vendre, J’aimerais mieux me pendre ; J’
aime
Jeanne ma femme ; eh bien, j’aimerais, mieux La v
dre, J’aimerais mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma femme ; eh bien, j’
aimerais
, mieux La voir mourir que voir mourir mes bœufs.
ndu un bien triste service au monde en le désabusant de tout ce qu’il
aimait
, s’il ne lui avait pas proposé quelque chose de p
lui avait pas proposé quelque chose de plus grand et de plus solide à
aimer
! Rendez-moi le soleil de la Grèce, les jeux, les
i tous choisis un à un, rassemblés à la sueur de mon front, et je les
aime
tant ! Il me semble que, par un si long et si dou
mmes pas encore assez reconnaissants envers leur mémoire. Il faut les
aimer
, avoir leur image dans le cœur comme on a leurs n
n’est pas commun. N’arrive pas qui le veut à un savoir profond ; mais
aimer
les lettres, c’est encore être de la grande famil
s pour eux un meuble de luxe, une vaine décoration d’appartement. Ils
aimaient
les beaux livres, mais ils les aimaient pour les
décoration d’appartement. Ils aimaient les beaux livres, mais ils les
aimaient
pour les lire ; ils en paraient leurs esprits, il
e manque jamais d’amis, quand on peut payer l’amitié de ceux qui nous
aiment
. Enfin la vanité. Des amis qui nous font honorer
mpense intérieure de la vertu ; elle seule immortalise ceux qui l’ont
aimée
, illustre les chaînes de ceux qui souffrent pour
semble qu’il devrait suffire qu’elle se montrât à nous pour se faire
aimer
, et qu’elle nous montrât à nous-mêmes, pour nous
ée ainsi par Sénèque : « La gloire suit la vertu comme son ombre. » J’
aime
mieux l’emploi que Massillon fait ici de cette im
he que font les hommes des plaisirs, du jeu, de la société. Celui qui
aime
le travail a assez de soi-même. « La plupart des
le mélodrame philosophique de Voltaire ! Enfin avec quel intérêt nous
aimons
à suivre cette veine de l’esprit français mis au
suffisante, le nombre est singulièrement restreint des personnes qui
aiment
à lire tout haut et qui font plaisir en lisant. O
ublé, hors de lui-même, Il s’arrête, il se tourne… il revoit ce qu’il
aime
! C’en est fait ; un coup d’œil a détruit son bon
a débile vue. Écoute seulement et, docile à ma voix, D’une mère qui t’
aime
exécute les lois. Vois-tu ces longs débris, ces p
n Gaule, c’était celui de tous les croyants à la divinité d’Odin. Ils
aimaient
la guerre avec passion, comme le moyen de devenir
s destriers, La lice des tournois s’ouvrait à nos guerriers. Oh qu’on
aimait
à voir ces fils de la patrie Suspendre la bannièr
e flambeau ; Et, défenseurs du Christ, lui rendre son tombeau ! Qu’on
aimait
à les voir, bienfaiteurs de la terre, Au frein de
introduit auprès du prince que d’avoir besoin de sa protection. Que j’
aime
à me le représenter, ce bon roi, comme l’histoire
icer les peuples et pour les rendre tout ensemble bons et heureux. Il
aimait
avec tendresse et confiance tous ceux qu’il devai
heureux. Il aimait avec tendresse et confiance tous ceux qu’il devait
aimer
; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il ai
eux qu’il devait aimer ; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il
aimait
le plus, quand ils avaient tort. Il était noble e
u’il ne promettait et il assaisonnait admirablement les bienfaits. Il
aimait
la gloire beaucoup plus que la morale ne le perme
rmonta par sa fermeté. Il était bon ami ; il eût même souhaité d’être
aimé
du peuple ; mais quoiqu’il eût la civilité, l’ext
s, Il cherchait vers le soir le repos, la retraite, Alors aux champs,
aimés
du sage et du poète, Solitaire et rêveur il allai
eur vue, il se sent pénétrer ! Il visite souvent les villageois qu’il
aime
. Et chez ces bonnes gens, de le voir tout joyeux,
uoi les adoucir ? En place de Brunon si j’en trouvais une antre ? — L’
aimerions
-nous autant que nous aimions la nôtre ? Pour oubl
runon si j’en trouvais une antre ? — L’aimerions-nous autant que nous
aimions
la nôtre ? Pour oublier Brunon, il faudra bien du
On pleurerait ailleurs, quand vous séchez nos larmes ! Vous êtes tant
aimé
! Prévenez leurs alarmes. Mais comment retourner
voit, il sent, il connaît, il respire Le Dieu qu’il a servi, dont il
aima
l’empire ; Il en est plein, il chante ses bi
licieux mûris sur leurs coteaux. La Provence odorante, et de Zéphyre
aimée
, Respire sur les mers une haleine embaumée, Aux b
e là son cœur de fds, et s’il sent mieux Ce qu’il doit à sa mère et l’
aime
davantage, J’aurai vécu ! ma vie aura porté son
Par toi la jeune épouse espère D’être longtemps unie à son époux
aimé
. De ton retour le laboureur charmé Ne crai
z, enfants, douces chimères, Rêves menteurs qui nous charmez ; Vous n’
aimerez
jamais vos mères Autant qu’elles vous ont aimés,
us charmez ; Vous n’aimerez jamais vos mères Autant qu’elles vous ont
aimés
, G. Nadaud 20. Adieux sur la montagne Là
ent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous
aimons
. Et la face des eaux, et le front des montagnes
sous les pas. Solitude où je trouve une douceur secrète, Lieux que j’
aimai
toujours, ne pourrai-je jamais, Loin du monde et
La Promenade Roule avec majesté tes ondes fugitives, Seine ; j’
aime
à rêver sur tes paisibles rives, En laissant comm
ins si vantés ! L’orgueil en fit les frais, l’ennui les empoisonne. J’
aime
un dîner frugal que la joie assaisonne ; Tout rep
pincettes fidèles, Partent en pétillant des milliers d’étincelles ; J’
aime
à voir s’envoler leurs légers bataillons. Que m’i
s ans fait sa postérité, Et les profonds respects de son peuple qui 1
aime
, Sont toujours un prodige et non pas un problème,
chair morte, et cependant il dévore les voiries les plus infectes. Il
aime
la chair humaine, et peut-être, s’il était le plu
e à le rendre aimable ; plus il croit plaire, plus il a de penchant à
aimer
. La frivolité qui nuit au développement de ses ta
mort et le cercueil ; un homme que les petits enfants s’accoutument à
aimer
, à vénérer et à craindre ; que les inconnus même
niquités, une apparence de piété qui le trompe lui-même, et dont il n’
aimerait
pas qu’on entreprit de le détromper. Mais, en sec
errain qui sais fournir De doux fruits mon petit ménage, Où ma laitue
aime
à venir, Où ton chou croit pour mon potage, Je ve
ns le siècle où nous sommes. — De leur plaire je prendrai soin ; J’en
aimerai
quelqu’un peut-être, Mon esprit se plaît à connaî
rps, la terre Eut un rugissement terrible et solennel : Car Cybèle t’
aimait
, toi l’aîné de ses chênes, Comme un premier enfan
’odeur fraîche et douce, Pour qu’on choisît ton ombre et qu’on y vint
aimer
. Toi, sur elle épanchant cette ombre et tes murm
Hé bien ! ma fille, embrassez votre père ; Il vous
aime
toujours. Iphigénie.
que j’envie et j’admire, Car elles offensent les Dieux. J’
aime
mieux vivre pauvre, errer dans la broussaille, Ma
tune, N’est que de ces beautés dont l’éclat éblouit, Et qu’on cesse d’
aimer
sitôt qu’on en jouit. L’ambition déplaît quand el
est démis, et l’autre l’a gardé ; Mais l’un, cruel, barbare, est mort
aimé
, tranquille. Comme un bon citoyen dans le sein de
tyran quiconque s’y fait maître ; Qui le sert, pour esclave, et qui l’
aime
, pour traître ; Qui le souffre a le cœur lâche, m
t la sage équité Sème dans l’univers cette diversité. Les Macédoniens
aiment
le monarchique, Et le reste des Grecs la liberté
e même adoré des rois qu’il a vaincus, J’admire, ah ! disons mieux, j’
aime
en Germanicus, Jeune encor par son âge et vieux p
mourir ? Polyeucte. Vous
aimez
donc à vivre ? Néarque. Je ne puis déguiser que j
eil n’est point incompatible avec la ferveur. Charles-Quint. Quand on
aime
l’office, on est bientôt éveillé. Le moine. Oui,
ous fera-t-il besoin ici pour apprêter le souper. Me Jacques. Soit. J’
aime
mieux encore qu’ils meurent sous la main d’un aut
pit que j’en aie ; et, après mes chevaux, vous êtes la personne que j’
aime
le plus. Harpagon. Pourrais-je savoir de vous, ma
espoir que j’avais pu former, Vous me défendez d’être à ce que j’ose
aimer
, Au moins, par vos bontés qu’à vos genoux j’implo
tremblant et tout blême Ce n’est rien, disait-il, ne pleure pas, je t’
aime
… Et tandis qu’une main allait me caressant, De so
vends, disais-tu, ni mon corps ni mon Âme, Et ne me marirai que pour
aimer
ma femme. » Ali ! tu trouvais alors des accents c
tés. Il remarqua beaucoup d’impies hypocrites qui, faisant semblant d’
aimer
la religion, s’en étaient servis comme d’un beau
rre. » La Fontaine. Les deux Pigeons Deux pigeons s’
aimaient
d’amour tendre : L’un d’eux, s’ennuyant
s soutien, Sans avoir même un pauvre chien Pour l’
aimer
et pour le conduire. Un certain jour, i
chagrin, Je ne toucherai pas un seul poil de ta tête. J’
aimerais
mieux mourir de faim ; Va-t’en. » Et le renard es
te. Oui, pareille à la foudre, au faîte des palais L’envie audacieuse
aime
à porter des traits. Chaque pas du tyran le condu
amour a des secrets que nous ne connaissons point. Croyons, espérons,
aimons
, et poursuivons notre route en paix. « Si je meur
êtes Vont peut-être se préparer, Que des fleurs dont ma mère
aimait
à me parer Elles ont couronné leurs tête
ec celles de Voltaire : Si vous voulez que j’
aime
encore, Rendez-moi l’âge d
avec imprévoyance dans le cercle étroit de leurs intérêts, et où ils
aiment
mieux soigner leur prospérité matérielle que leur
mal une pénible intrigue, D’un divertissement me fait une fatigue. J’
aimerais
mieux encor qu’il déclinât son nom, Et dît : Je s
amoureux : Mais ne m’en formez pas des bergers doucereux. Qu’Achille
aime
autrement que Thyrsis et Philène : N’allez pas d’
es faiblesses. Achille déplairait, moins bouillant et moins prompt. J’
aime
à lui voir verser des pleurs pour un affront. À c
qu’on l’a vu d’abord59. Souvent, sans y penser, un écrivain qui s’
aime
Forme tous ses héros semblables à soi-même. Tout
par complaisance. Pour plaire aux autres, il faut parler de ce qu’ils
aiment
et de ce qui les touche, éviter les disputes sur
à tête longue, aux rameaux toujours verts, C’est Atys,
aimé
de Cybèle. De l’éclat de leur verm
e. Mes ouvrages ont résisté au temps, il est vrai ; mais il faut vous
aimer
autant que je le fais pour n’être point jaloux de
mortel, à son heure suprême, Qui n’expire appuyé sur le mortel qu’il
aime
, Qui ne trouve des pleurs dans les yeux attendris
beaucoup d’éloquence à me persuader que vous me faites l’honneur de m’
aimer
. Si cela est, monsieur, je vous prie de témoigner
n mot, ma fille, je ne vis que pour vous. Dieu me fusse la grâce de l’
aimer
quelque jour comme je vous aime. Jamais un voyage
ur vous. Dieu me fusse la grâce de l’aimer quelque jour comme je vous
aime
. Jamais un voyage n’a été si triste que le nôtre
te que le nôtre ; nous ne disions pas un mot. Adieu, ma chère enfant,
aimez
-moi toujours : hélas ! nous revoilà dans les lett
yons. Vous ne serez jamais contente, ma chère fille, que lorsque vous
aimerez
Dieu de tout votre cœur : ce que je ne dis pas pa
il confessait que tout n’est que vanité et affliction d’esprit, hors
aimer
Dieu et le servir. Que ne puis-je vous donner tou
t qu’un vieux et ancien domestique d’un père et d’une mère tendrement
aimés
. Voilà un pauvre vieillard affligé que je vous pr
ecté avec ses défauts. Ce sont des tableaux de Léonard de Vinci qu’on
aime
encore à voir à côté des Paul Véronèse et des Tit
e ce moment suprême, La mère est seule enfin près de l’enfant qu’elle
aime
. Elle s’enferme alors sous les obscurs rideaux ;
a fille ! Non, tu vivras pour moi : Dieu voudra te guérir ; Ta mère t’
aime
trop, tu ne peux pas mourir ; Je ne sais quelle v
enfin de don Fernand, qui le venait voir très souvent, que j’en étais
aimé
de manière que je pouvais compter ma fortune fait
sur ton sort ; je me charge de t’en faire un des plus agréables. Je t’
aime
; et pour te le prouver, je te fais mon confident
shakespearienne, lui prend fortement le bras, et lui dit : « Général,
aimez
-vous la chasse ? » Cette question inattendue lais
question inattendue laisse le général embarrassé. « Eh bien ! si vous
aimez
la chasse, avez-vous chassé quelquefois aux canar
obligés à résidence ; mais, de plus, à vous parler franchement, je n’
aime
pas beaucoup votre monde de Paris. — Pourquoi cel
e monde de Paris. — Pourquoi cela ? — Tenez, reprit-il en riant, vous
aimez
les observations morales. En voici une que j’ai f
absorbe ma pensée. Lamartine. Profession de foi chrétienne J’
aime
la pauvreté, parce que Jésus-Christ l’a aimée. J’
de foi chrétienne J’aime la pauvreté, parce que Jésus-Christ l’a
aimée
. J’aime les biens, parce qu’ils donnent les moyen
hrétienne J’aime la pauvreté, parce que Jésus-Christ l’a aimée. J’
aime
les biens, parce qu’ils donnent les moyens d’en a
suis mise à vous écrire au bout de cette petite allée sombre que vous
aimez
, assise sur ce siège de mousse où je vous ai vue
mais j’ai beau tourner, j’ai beau chercher, cette chère enfant que j’
aime
avec tant de passion est à deux cents lieues de m
vous prie de ne point parler de mes faiblesses ; mais vous devez les
aimer
et respecter mes larmes, puisqu’elles viennent d’
Nous sommes proches et de même sang5 ; nous nous plaisons, nous nous
aimons
, nous prenons intérêt dans nos fortunes. Vous me
le peut-il arriver à une personne qui sait que Dieu fait tout, et qui
aime
tout ce que Dieu fait ? » Voilà sur quoi je vous
Ma chère enfant, je ne vis que pour vous. Dieu me fasse la grâce de l’
aimer
un jour comme je vous aime ! » 2. Terre de son
ue pour vous. Dieu me fasse la grâce de l’aimer un jour comme je vous
aime
! » 2. Terre de son fils, dans le pays nantais.
En admirant le philosophe, que Boileau surnomma le contemplateur, on
aime
le comédien qui mourut victime de son art et de s
disputer. Je me vois dans l’estime, autant qu’on y puisse être ; Fort
aimé
du beau sexe, et bien auprès du maître. Je crois
n, s’il faut qu’à vous4 s’en rapportent les cœurs, On doit, pour bien
aimer
, renoncer aux douceurs, Et du parfait amour mettr
t amour mettre l’honneur suprême A bien injurier5 les personnes qu’on
aime
. éliante. L’amour, pour l’ordinaire, est peu fai
oix7. Jamais leur passion n’y voit rien de blâmable, Et dans l’objet
aimé
tout leur devient aimable ; Ils comptent les défa
une honnête pudeur. C’est ainsi qu’un amant dont l’amour est extrême
Aime
jusqu’aux défauts des personnes qu’il aime2.
à me blesse, Car c’est, comme j’ai dit, à vous que je m’adresse, Je n’
aime
point céans tous vos gens à latin, Et principalem
n insu, sa propre satire. Il sait tout par droit de naissance. 1. Il
aime
les primeurs, par vanité. 2. Ces importants, par
femmes qui ne veulent pas être surpassées. La science, de sa nature,
aime
à paraître ; car nous sommes tous orgueilleux. Or
uel chacune des prémisses est appuyée de sa preuve. Exemple : Il faut
aimer
ce qui nous rend plus parfaits, c'est un sentimen
e nous rend plus parfaits, car elle corrige nos mœurs et nous porte à
aimer
les hommes ; donc il faut aimer la morale chrétie
lle corrige nos mœurs et nous porte à aimer les hommes ; donc il faut
aimer
la morale chrétienne. 4° Le sorite est formé de p
ent se faire craindre sans infliger de punition ? et comment se faire
aimer
sans relâcher de la discipline nécessaire ? (V. J
enre est vrai aussi de l'espèce, et réciproquement. Exemple : Il faut
aimer
la modestie, parce qu'il faut aimer la vertu et q
réciproquement. Exemple : Il faut aimer la modestie, parce qu'il faut
aimer
la vertu et que la modestie est une vertu. 4° La
uver ce qu'elle est. Exemple : Le vrai sage n'est pas celui qui dit :
aimez
la sagesse ; c'est celui qui la pratique. 6° Les
sion à la disgrâce de J.-B. Rousseau, est un des modèles que Voltaire
aimait
à citer : Le Nil a vu, sur ses rivages, Les noir
s sont puisées dans la nature : elles ont une simplicité qui les fait
aimer
. Les pensées naïves ont une ingénuité qui éloigne
z si vous en avez jamais vu un aussi mauvais : parce qu'on sait que j'
aime
les vers, on m'en apporte de toutes les façons. »
gravier ? Que faire de mon île ? Il n'y croît que des saules, Et tu n'
aimes
que le laurier. 16° La gradation s'élève ou desc
parle, car c'est lui que j'ai offensé. Qui est assez vil pour ne pas
aimer
sa patrie ? S'il en est un, qu'il parle, car c'es
perdrait quelque chose de la grâce et de l'harmonie qui nous le font
aimer
. Avant de dire quelles sont les règles ou précept
celles que Boileau et Laharpe ont formulées. La nouvelle littérature
aime
à peindre le caractère, les mœurs, des personnage
tre ? Rassure-toi ; même à la cour La bergère sait plaire encore : On
aime
l'éclat d'un beau jour Et les doux rayons de l'au
se plaindre de l'absence ou de l'infidélité des personnes tendrement
aimées
. L'élégie s'écrit ordinairement en vers. la pau
e, La seule demeure ici-bas Où je ne sois point étrangère, Pourtant j'
aime
à porter mes pas ; Pourtant j'aime à voir cette p
e sois point étrangère, Pourtant j'aime à porter mes pas ; Pourtant j'
aime
à voir cette pierre Où commencèrent mes douleurs
iel abreuvé, Pour celui que la mort menace Ou qui pleure un fils bien
aimé
. Sous un ombrage solitaire, Près d'un ruisseau qu
i ressource pour ce qu’il avait perdu ; et c’est par là qu’il vient à
aimer
l’obéissance, autant qu’il aime sa propre vie et
erdu ; et c’est par là qu’il vient à aimer l’obéissance, autant qu’il
aime
sa propre vie et sa propre tranquillité1. Tes
ontre leur inclination, et qui blessent leur bon naturel. Ils doivent
aimer
à faire plaisir ; or il faut qu’ils châtient souv
lité ce que je regarderais comme présomption dans un autre. « Je vous
aime
trop tendrement pour me résoudre à vous abandonne
amoreus Por le temps bel et doucereus. Moult a dur cuer qui en mai n’
aime
, Quant il ot chanter sus la raime As oisiaus les
s. — C’est dans ce temps délicieux, — alors que toute chose s’émeut d’
aimer
, — que je songeais, une nuit, que j’étais. II
dans l’état où elle était. Ainsi il dit : « Ha, madame, j’eusse mieux
aimé
que vous eussiez été d’un autre côté qu’ici. Vous
r205, là où il refaisait les souliers, gagnant sa vie joyeusement, et
aimait
le bon vin sur tout, et l’enseignait206 volontier
et consommation de bois et de temps. Quand j’eus batelé263 plusieurs
aimées
ainsi imprudemment, avec tristesse et soupirs, à
age qu’ailleurs les hommes leur veulent ôter471. Mais cette belle eau
aime
tellement cette belle terre, qu’elle se divise en
e mieux du monde. Don Juan. — La jolie petite fille que c’est ! je l’
aime
de tout mon cœur. M. Dimanche. — C’est trop d’ho
narelle. — Il faut avouer que vous avez en Monsieur un homme qui vous
aime
bien. M. Dimanche. — Il est vrai ; il me fait ta
a-t-il ici besoin pour apprêter le souper. Maître Jacques. — Soit. J’
aime
mieux encore qu’ils meurent sous la main d’un aut
ut en or, faire vivre éternellement, guérir par des paroles, se faire
aimer
de qui l’on veut, savoir tous les secrets de l’av
lui présentent. Il arrive de là que, si l’on a quelque intérêt d’être
aimé
de nous, on s’éloigne655 de nous rendre un office
, on nous la cache ; nous voulons être flattés, on nous flatte ; nous
aimons
à être trompés, on nous trompe. C’est ce qui fait
isent, parce qu’ils se font haïr. Or ceux qui vivent avec les princes
aiment
mieux leurs intérêts que celui du prince qu’ils s
ont pas exemptes, parce qu’il y a toujours quelque intérêt à se faire
aimer
des hommes. Ainsi la vie humaine n’est qu’une ill
s, dont la plupart sont adressées à sa fille, Mme de Grignan, qu’elle
aima
toujours d’une affection passionnée. Ces lettres,
z jamais vu un si impertinent676 2. Parce qu’on sait que depuis peu j’
aime
les vers, on m’en apporte de toutes les façons. »
etite chose que l’on puisse faire à un vieux courtisan. Pour moi, qui
aime
toujours à faire des réflexions, je voudrais que
705 ingrate : le moyen de rendre tout cela ? Je vous embrasse et vous
aime
, et vous le dirai toujours, parce que c’est toujo
e mon parterre net, et mes allées nettes, ces grandes allées que vous
aimez
. Vous ne comprenez pas encore où cela peut aller.
ntré à mon service pour cela, que ce n’était pas son métier, et qu’il
aimait
mieux s’en aller à Paris. Ma foi ! la colère me m
point, ne me blâmez point, et songez que c’est le garçon du monde qui
aime
le moins à faner, et qui est le plus indigne qu’o
ne qu’on le traite bien. Voilà l’histoire en peu de mots. Pour moi, j’
aime
les narrations où l’on ne dit que ce qui est néce
point.) Le sol de la patrie La société humaine demande753 qu’on
aime
la terre où l’on habite ensemble : on la regarde
t temps, ô Seigneur ! que vous ayez pitié de Sion ; vos serviteurs en
aiment
les ruines mêmes et les pierres démolies, et leur
a paix, et « il faut », dit Jésus-Christ771, « qu’à son exemple, vous
aimiez
vos ennemis et que vous fassiez du bien à ceux qu
entièrement à sa sainte volonté. Assurez-vous qu’on ne peut pas vous
aimer
plus que je vous aime, et que j’ai une fort grand
e volonté. Assurez-vous qu’on ne peut pas vous aimer plus que je vous
aime
, et que j’ai une fort grande impatience de vous e
suader ainsi ; c’est un homme universel, et il se donne pour tel : il
aime
mieux mentir que de se taire ou de paraître ignor
re repos que ses oiseaux ne reposent, et que ce petit peuple, qu’il n’
aime
que parce qu’il chante, ne cesse de chanter. Il r
e, il perche ; il rêve la nuit qu’il mue ou qu’il couve.... Cet autre
aime
les insectes, il en fait tous les jours de nouvel
ort doux et avec un grand amour pour la tranquillité. Il aurait mieux
aimé
être inconnu que de voir le calme de sa vie troub
traces les plus légères. Cette facilité de se communiquer le faisait
aimer
de tout le monde ; un savant illustre qui est pop
ses lettres ne lui aient emporté un temps très considérable : mais il
aimait
autant l’employer au profit ou à la gloire d’autr
mais il en revenait aussitôt. Ses premiers mouvements n’étaient pas d’
aimer
la contradiction sur quoi que ce fût, mais il ne
des marques, lui feront éternellement honneur.... On l’accuse d’avoir
aimé
l’argent. Il avait un revenu très considérable en
ue, voyant passer un jeune seigneur de la maison de Soltikoff, qu’ils
aimaient
, et qui n’était point sur la liste des proscrits,
en mendiant : ils le traînent devant le palais ; les princesses, qui
aimaient
ce bonhomme, et qui avaient confiance en lui, dem
; envoyez-le-nous de panier en panier ; vous ferez une bonne œuvre. J’
aime
mieux élever un Pichon que servir un roi, fût-ce
nnée. Jeannot et Colin étaient fort jolis pour des Auvergnats ; ils s’
aimaient
beaucoup, et ils avaient ensemble de petites priv
ra. Jeannot partit dans toute la pompe de sa gloire. Les lecteurs qui
aiment
à s’instruire doivent savoir que M. Jeannot le pè
jeune marquis allait épouser une femme qu’il adorait et dont il était
aimé
; les amis de la maison le félicitaient ; on alla
e, il lui dit enfin : « Ne nous désespérons pas ; cette jeune veuve m’
aime
éperdument ; elle est plus généreuse encore que r
m’as abandonné, dit Colin ; mais tu as beau être grand seigneur, je t’
aimerai
toujours. » Jeannot, confus et attendri, lui cont
pour écurie une étable avec des vaches, pour avoir du laitage, que j’
aime
beaucoup. J’aurais un potager pour jardin, et pou
e ceux des villes, se faisaient à mon voisinage1197, on saurait que j’
aime
la joie, et j’y serais invité. Je porterais à ces
je me livrais avec ravissement à la contusion de ces grandes idées, j’
aimais
à me perdre en imagination dans l’espace ; mon cœ
meilleurs écoliers de la classe, et peut être le plus heureux ; car j’
aimais
mon devoir, et presque sûr1255 de le faire assez
tre invoquée, car on l’entend toujours quand on l’écoute une fois. Il
aimait
la poésie, l’art dramatique, l’histoire, la litté
Schiller ne pouvait pas être exempt d’amour-propre. S’il en faut pour
aimer
la gloire, il en faut même pour être capable d’un
z : Mme Radcliffe1439 n’y suffirait pas. Cependant je sais que vous n’
aimez
pas à être refusée, et comme je suis complaisant,
ageais en Calabre ; c’est un pays de méchantes gens, qui, je crois, n’
aiment
personne, et en veulent surtout aux Français. De
: il ne te sera rien donné non plus. Tu n’as songé qu’à toi, tu n’as
aimé
que toi : va, et vis de toi-même. » Et se tournan
ave et douce, qui attire tout le monde et dans laquelle tout le monde
aime
à se trouver. Il y a pourtant un autre conseil qu
aire à celui-là. Il faut savoir refuser aux gens, même aux gens qu’on
aime
, les choses qu’il serait déraisonnable de leur ac
sées par la puissance de l’habitude et par l’attrait de l’art qu’elle
aimait
, ouvrit sa fenêtre comme à l’ordinaire et parut é
si loin et d’appartenir à un pareil homme. Sa mère Goïswinthe, qui l’
aimait
tendrement, partageait sa répugnance, ses crainte
s Hilperik eut quelque temps pour elle une véritable affection : il l’
aima
d’abord par vanité, joyeux d’avoir en elle une ép
, lorsqu’il fut un peu blasé sur ce contentement d’amour-propre, il l’
aima
par avarice, à cause des grandes sommes d’argent
ents du général Drouot a l’égard des pauvres Le général Drouot1590
aimait
sincèrement les hommes. Né et nourri dans la pauv
C’est là le véritable signe de l’amour : quiconque ne partage pas, n’
aime
pas. Le général Drouot fit son calcul. Il jugea q
’exerçait à l’aise à l’égard des siens et des infortunes d’autrui. Il
aimait
tendrement ses frères et ses neveux, et leur en d
l’écriture faisaient quelque plaisir à ma mère ; mais elle eût mieux
aimé
le calcul. « L’écriture, l’écriture ! disait-elle
enfant, mais il faut toujours prier, ça fait voir à ta mère que tu l’
aimes
. — Je vas1649 dire ma prière, reprit l’enfant, je
, la vivacité des peintures, la souplesse du style. Ce que c’est qu’
aimer
Molière Aimer Molière, j’entends l’aimer sincè
peintures, la souplesse du style. Ce que c’est qu’aimer Molière
Aimer
Molière, j’entends l’aimer sincèrement et de tout
style. Ce que c’est qu’aimer Molière Aimer Molière, j’entends l’
aimer
sincèrement et de tout son cœur, c’est, savez-vou
ien des défauts, bien des travers et des vices d’esprit. C’est ne pas
aimer
d’abord tout ce qui est incompatible avec Molière
it contraire en son temps, ce qui lui eût été insupportable du nôtre.
Aimer
Molière, c’est être guéri à jamais, je ne parle p
de la dureté en ce genre, de ce qui fait anathématiser et maudire....
Aimer
Molière, c’est être également à l’abri et à mille
molles qui, en présence du mal, ne savent ni s’indigner, ni haïr1660.
Aimer
Molière, c’est être assuré de ne pas aller donner
le on se replonge chaque fois avec lui par une hilarité bienfaisante.
Aimer
et chérir Molière, c’est être antipathique à tout
au marivaudage1661 en aucun genre, au style miroitant et artificiel.
Aimer
Molière, c’est n’être disposé à aimer ni le faux
style miroitant et artificiel. Aimer Molière, c’est n’être disposé à
aimer
ni le faux bel esprit, ni la science pédante ; c’
seulement change et dont le plumage se renouvelle sans cesse ; c’est,
aimer
la santé et le droit sens de l’esprit chez les au
passe : j’ai eu pour lui un culte ! Certes j’avais beaucoup admiré et
aimé
Casimir Delavigne1668; mais son âge se rapprochai
et des grands cœurs. Il m’a fait connaître la sensation délicieuse d’
aimer
les yeux levés, d’aimer au-dessus de soi. Aussi q
m’a fait connaître la sensation délicieuse d’aimer les yeux levés, d’
aimer
au-dessus de soi. Aussi qu’on juge de ma joie, qu
ier. Valentin. — Mon bon oncle Van Buck, je vous respecte et je vous
aime
. Faites-moi la grâce de m’écouter. Vous avez payé
tribune de la Chambre1787. Ses irrévérences me faisaient frémir. Je n’
aimais
point qu’il appelât têtes de pipe les portraits b
, l’obscurité et la médiocrité. Elles me sont douces toutes deux et m’
aiment
. Il faut bien que je le leur rende ! Quant à Font
à la mer, on jeta bien des bouées pour eux, — mais à quoi bon ? — On
aimait
encore mieux ne plus les voir reparaître, car alo
la garde, Il faut que d’un bon œil le peuple vous regarde, Qu’il vous
aime
sans crainte ; ainsi les puissants rois Ont gardé
montrez-vous désireux Les princes sans amis sont toujours malheureux.
Aimez
les gens de bien, ayant toujours envie De ressemb
ersonnes royales ; Lequel je supplierai vous tenir en sa loi, Et vous
aimer
autant qu’il fit David, son roi2013, Et rendre, c
ffe au dedans. Cet avis écouté seulement par caprice, Connu sans être
aimé
, cru sans être observé, C’est ce qui vraiment tue
que Bergerat2390 l’appétit l’assaisonne. O fortuné séjour ! ô champs
aimés
des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés dél
vingt ans de hâle, Tu dirais, reprenant ta pelle et ton râteau : « J’
aime
mieux mettre encor cent arpents2393 au niveau Que
r et de dire en vous-même : « Partout en ce moment, on me bénit, on m’
aime
: On ne voit point le peuple à mon nom s’alarmer
rdeur qui m’embrase, À vos seules bontés je veux avoir recours : Je n’
aimerai
que vous ; m’aimeriez-vous toujours ? Mon cœur, d
À vos seules bontés je veux avoir recours : Je n’aimerai que vous ; m’
aimeriez
-vous toujours ? Mon cœur, dans les transports de
s fondements ! Aux pieds de nos autels, il demande à s’instruire ; Il
aime
, il suit les lois dont vous bravez l’empire2482…
rez les vôtres : Et Dieu, que vous peignez implacable et jaloux, S’il
aime
à se venger, barbares, c’est de vous. » (La Henr
e vertu m’accable, et son charme m’attire. Honteux d’être vengé, je t’
aime
et je t’admire. (Il se jette à ses pieds.) Alzir
es profonds regrets, Si quelque souvenir vient rouvrir ma blessure, J’
aime
à mêler mon deuil au deuil de la nature2531. De c
tement j’arrive Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j’
aimais
, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des
tait sans guide, sans soutien, Sans avoir même un pauvre chien Pour l’
aimer
et pour le conduire. Un certain jour il arriva Qu
es, Ils n’en trouvaient point de si belles Que de se répéter qu’ils s’
aimeraient
toujours. Ce sujet revenait sans cesse en leurs d
pas mon effroi ; Encor quelques moments, c’en est fait de ma vie : J’
aime
mieux expirer que de trembler pour toi. » Disant
où, coulant des jours dignes d envie, Nos bons amis, libres, heureux,
Aimèrent
d’autant plus la vie, Qu’ils se la devaient tous
ieux mûris sur leurs coteaux. La Provence odorante, et de Zéphyre2575
aimée
, Respire sur les mers une haleine embaumée, Au bo
e et paisible N’ont-ils donc rien qui plaise à ton âme insensible ? N’
aimes
-tu point à voir les jeux de tes agneaux ? Moi, je
me plais auprès de mes jeunes chevreaux ; Je m’occupe à leurs jeux, j’
aime
leur voix bêlante ; Et quand sur la rosée et sur
: Je les crains, car j’ai vu leur foudre et leurs éclairs ; Je ne les
aime
pas, ils m’ont donné des fers.... O juste Némésis
es désirs facile et complaisant, Afin qu’ils soient heureux et qu’ils
aiment
leur maître, Et bénissent en paix l’instant qui l
a. (Chansons.) Mon habit Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j’
aime
! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans, j
t à mes regards2602. Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire ; J’
aime
à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil
ma saison ; Et quand je dis en moi-même : « Où sont ceux que ton cœur
aime
? » Je regarde le gazon. Leur tombe est sur la co
i ; Des pleurs voilent son sourire Et son regard semble dire : « Vous
aime-t
-on comme moi ? » C’est une jeune fiancée Qui, le
ombeau ! Triste, hélas ! dans le ciel même, Pour revoir celui qu’elle
aime
Elle revient sur ses pas, Elle lui dit : « Ma tom
l est un don ! Ils ont souffert ; c’est une autre innocence ! Ils ont
aimé
; c’est le sceau du pardon ! (Harmonies poétique
rs de ma moisson mûre, De vos épis un autre est roi ; Tilleuls dont j’
aimais
le murmure, Vous n’aurez plus d’ombre pour moi. T
ait semée Du haut de ses rameaux tremblants, Je suivais quelque trace
aimée
, Empreinte sur ses flocons blancs. Adieu, flots,
oujours. Adieu, chers témoins de ma peine, Forêt, jardin, flots que j’
aimais
! Adieu ! ma fraîche Madeleine ! Madeleine, adieu
es filles d’Israël. (Poésies : Livre antique.) Le Cor I J’
aime
le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu
, Au seuil de vos palais fixe un œil moins jaloux. Donnez ! pour être
aimés
du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant mêm
stins sont différents. Je reste, Tu t’en vas2691 ! Pourtant nous nous
aimons
, nous vivons sans les hommes Et loin d’eux, Et no
e, ce héros au sourire si doux2709, Suivi d’un seul housard2710 qu’il
aimait
entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa hau
e et c’est pour ça.... Lison. Pour ça Que quoi ? Harou. Que je vous
aime
et que je vous épouse Vous avez du bonheur, hein
nnocent Avait dans ses grands yeux quelque mélancolie. Ayant toujours
aimé
cet âge à la folie, Et ne pouvant souffrir de le
orgueil de roi, Et tu hais ton voisin d’être semblable à toi. Parle,
aimes
-tu ton père ? aimes-tu ta patrie ? Au souffle du
tu hais ton voisin d’être semblable à toi. Parle, aimes-tu ton père ?
aimes
-tu ta patrie ? Au souffle du matin sens-tu ton cœ
’est pas mal… Silvio ! ce nom est bien. Irus,… Irus,… Silvio,… mais j’
aime
mieux le mien. (Premières poésies : A quoi rêven
16. Pernette2817 I pernette et les enfants du village Elle
aimait
entre tous, de son amour de mère, Ceux dont l’âme
nd art : la lettre inanimée Vivait, riait, chantait sous son aiguille
aimée
; Et, tout à coup, l’image, en saisissant les yeu
laciale, Ouvraient sous les sapins la fosse nuptiale. Le clocher tant
aimé
sonnait le dernier glas. Nous montions ; sous nos
père.) A un grave écolier. Monsieur l’écolier sérieux, Vous m’
aimez
encor, je l’espère ? Levez un moment vos grands y
re une âme. Avant de savoir l’allemand, La physique et le latin même,
Aimez
! c’est le commencement : Aimez sans honte et vai
lemand, La physique et le latin même, Aimez ! c’est le commencement :
Aimez
sans honte et vaillamment, Aimez tous ceux qu’il
ême, Aimez ! c’est le commencement : Aimez sans honte et vaillamment,
Aimez
tous ceux qu’il faut qu’on aime. Mais il est trop
t : Aimez sans honte et vaillamment, Aimez tous ceux qu’il faut qu’on
aime
. Mais il est trop peu généreux D’aimer tout bas e
imez tous ceux qu’il faut qu’on aime. Mais il est trop peu généreux D’
aimer
tout bas et bouche close. A ceux que l’on veut re
qui me gonflent le sein ? Et toi, mon compagnon, toi l’écrivain que j’
aime
, Jean-Jacques2857 ! bien souvent tu l’as connu, t
uteur. Celui qui n’a pas su haïr la servitude, Celui-là ne peut pas t’
aimer
- ô solitude ! (Charlotte Corday, acte II, sc. i
fluves salées Qui montent, jour et nuit, des embruns2889 de la mer. J’
aime
à vous retrouver, grèves de Normandie, Où travail
oile au vent. A leur coque2892, toujours lisse et bien goudronnée, On
aime
à reconnaître un ménage flamand, Dans son nid à f
ul ! — se mettant à genoux, Sur mon petit tombeau se penchera, s’il m’
aime
: Et, des lèvres pressant la terre à l’endroit mê
e droit de te défendre ! Tout à l’heure, j’étais un brave homme, on m’
aimait
; Je ne sais de quels noms votre fils me nommait
x-tu que je le dise à haute voix encore ? (A tous les assistants.) J’
aime
sire Gérald, autant que je l’honore ; Je l’aime m
us les assistants.) J’aime sire Gérald, autant que je l’honore ; Je l’
aime
maintenant d’un cœur plus attendri, Car ce qui l’
ses nouveaux exploits, Et je ne saurais pas de trahison plus noire D’
aimer
moins son affront que je n’aimais sa gloire. — Vi
saurais pas de trahison plus noire D’aimer moins son affront que je n’
aimais
sa gloire. — Viens maintenant, Gérald ! Charlema
en citant mon exemple, Que l’expiation ne fut pas assez ample ; Et j’
aime
mieux briser mon cœur en ce moment Que d’être un
Tu veux partir, Gérald ? Gérald. Oui, Berthe. Berthe. Ah ! si tu m’
aimes
, Ne sois pas seul, Gérald, si cruel pour nous-mêm
erai ! Berthe, après un long silence. Eh bien… je me soumets : qui t’
aime
te ressemble. Dieu lit nos cœurs pareils : que Di
vanter de se passer des hommes ; Et depuis ce jour-là je les ai tous
aimés
. (Les Épreuves : Action.) Le dernier adieu
uand j’y réfléchis bien, Que pour moi tu n’étais pas faite : Ce que j’
aime
ne coûte rien.... (Les Paroles sincères.) L’
a maison ! » O temps ! ô souvenirs ! émotion première ! Comme je vous
aimais
déjà, fleurs et lumière ! Collines, bois sacrés,
et lumière ! Collines, bois sacrés, bon soleil réchauffant, Oh ! je t’
aimais
déjà, Nature, tout enfant ; Mais j’ignorais alors
aux où l’on allait courir : Mais est-ce la beauté que, si petit, l’on
aime
? Et je me repliais, frissonnant, sur moi-même, C
onne mère Disait aux bois émus : « C’est le petit ami ! » La nature m’
aimait
là-bas, m’ayant vu naître, Car les faibles sont s
Et vous, toits du pays, faits comme des terrasses ? « Ah ! rien ne m’
aime
ici ! je suis comme perdu ! » Si ce cri m’échappa
urs de fournaise, Bien que le soleil soit derrière l’horizon, Alors j’
aime
écouter, du seuil de la maison, La cigale, au som
n bout d’aviron2963, quand passa Ce navire anglais. Legoëz Hon ! Je n’
aime
pas bien ça, Anglais2964 ! Pierre Il m’a sauvé la
use donc, toi, de monter des chevaux ? Pierre Mais oui. Legoëz Moi, j’
aimais
mieux chevaucher sur les vagues. Pierre Chacun so
nom est Fraternité ! L’eau. Allons, je te rends mon estime. Puisque t’
aimer
est légitime, Soyons amis. Le vin. Bravo ! Haïr n
pour remplacer, dans les formules d’imprécation, le mot diable, qu’on
aimait
mieux éviter de prononcer. 629. Ma robe, ma rob
vous êtes, bon gré mal gré, forcée d’être ingrate : trop de gens vous
aiment
pour qu’il vous soit possible de vous montrer rec
. 753. Entendez : pour que la société existe, il faut que les hommes
aiment
la terre où ils habitent ensemble ; l’amour du so
colonies et qui n’a jamais vu la France peut cependant et doit même l’
aimer
comme un enfant de la Beauce ou de la Normandie ;
f d’un vieillard qui a dépassé soixante-huit ans. 1012. Friand, qui
aime
la bonne chère : second sens de ce mot, dont nous
vez-vous le latin madame ? Non ; voilà pourquoi vous me demandez si j’
aime
mieux Pope que Virgile. Ah ! madame, toutes nos l
in, c’est-à-dire à la manière de Mme Geoffrin, comme Mme Geoffrin les
aime
ou sait en offrir. C’est en effet Mme Geoffrin qu
récédemment. 1424. Conseil, plan, dessein. 1425. Cymodocée, qu’il
aime
, et qui est la fille d’un descendant d’Homère, le
le récit des événements militaires auxquels il avait pris part ; il n’
aimait
guère à raconter que ceux-là. Précision du langag
u pour ces deux jeunes filles, celles de toutes ses suivantes qu’elle
aimait
le mieux, la permission de l’assister jusqu’à ses
depuis, le nom a été presque toujours pris en mauvaise part. 1664. «
Aimer
La Fontaine, dit encore Sainte-Beuve un peu plus
t encore Sainte-Beuve un peu plus bas, c’est presque la même chose qu’
aimer
Molière ; c’est aimer la nature, toute la nature,
un peu plus bas, c’est presque la même chose qu’aimer Molière ; c’est
aimer
la nature, toute la nature, la peinture naïve de
les diviser ? La Fontaine et Molière, on ne les’ sépare pas ; on les
aime
ensemble. » 1665. Calmann Lévy, éditeur. 1666.
ifférentes for- mules où il pouvait être employé, le mot diable qu’on
aimait
mieux éviter de prononcer. 1759. Beaucaire, chef
u). 2048. Assez mal écrit. Malherbe parait vouloir dire que Henri IV
aime
tellement Dieu, est tellement pénétré de la foi d
Objet s’emploie souvent au xviie siècle dans le sens de : personne
aimée
. – Qui fait seul mon destin, de qui dépend toute
t d’avoir entendu ta parole sans l’exécuter, de l’avoir connue sans l’
aimer
, d’y avoir cru sans l’observer. — Parle donc, Sei
nombre des choses chimériques et qu’on ne peut voir qu’en rêve un roi
aimé
de ses sujets. 2181. Devant, auparavant. 2182.
suivant d’une chanson du temps : Adieu, cruelle Jeanne, Si vous ne m’
aimez
pas, Je monte sur mon âne Pour galoper au trépas.
une mode encore assez nouvelle, semble-t-il, en 1661, et les élégants
aimaient
à montrer la leur dans les promenades fréquentées
, comme le monarque désigné par Dieu. 2482. Entendez : c’est lui qui
aime
et suit vraiment la loi du christianisme ; tandis
e meuvent. 2606. Il s’élève par son amour. Par le fait même qu’il t’
aime
, il devient quelque chose de grand, d’estimable
prière passionnée. 2618. De = par ; se rattache à chérir. 2619.
Aimé
constitue une véritable incorrection ; il faudrai
une véritable incorrection ; il faudrait, de toute nécessité, écrire
aimés
. 2620. On pourra rapprocher ce beau fragment du
sur la terre. 2640. Les restes. Ce sont les reliques dont Louis XI
aimait
à s’entourer ou qu’il portait sur lui. 2641. Lou
. « Étant son capitaine, a-t-il dit plus haut, Comme un enfant je l’
aimais
. » Et encore : « Ma frégate était ma fille. «
s, les premières qu’il ait versées de sa vie. 2661. La voix la plus
aimée
, celle de sa fille. On sait que Jephté, neuvième
e racontait comment Turpin, ayant enlevé au cadavre d’une femme jadis
aimée
par Charlemagne un anneau magique, par lequel la
ne Plus d’argent qu’ils n’en ont coûté. S’il me fallait les vendre, J’
aimerais
mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma femme : eh bie
ont coûté. S’il me fallait les vendre, J’aimerais mieux me pendre ; J’
aime
Jeanne ma femme : eh bien ! j’aimerais mieux La v
re, J’aimerais mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma femme : eh bien ! j’
aimerais
mieux La voir mourir, que voir mourir mes bœufs.
nos voisins jaloux. Réparez son erreur, enfants, à coups d’épée. Vous
aimerez
après : mais d’abord, vengez-nous. On retrouvera
er demeurer sur le sol français. 2905. Gérald, fils du comte Amaury,
aime
Berthe, fille de Roland (voir page 673, note 3),
y, aime Berthe, fille de Roland (voir page 673, note 3), et il en est
aimé
. Justement il vient de conquérir Durandal (voir p
t du Pérou. 2963. A la suite d’un naufrage. 2964. Le vieux Legoëz n’
aime
pas les Anglais, contre lesquels il a combattu da
asion de témoigner de ses sentiments à leurs égard. 2965. Car elle n’
aime
pas Pierre, et continue de penser à Jacquemin. 2
la parole s’échappe et répond. L’homme vit cette fois ; il pense, il
aime
, il nomme ceux qu’il aime, il leur rend en une pa
pond. L’homme vit cette fois ; il pense, il aime, il nomme ceux qu’il
aime
, il leur rend en une parole tout l’amour qu’il en
Archevêque, vous savez les sentiments que je professe pour lui ; je l’
aime
par reconnaissance, par une appréciation bien sen
ne de ces rares fortunes que la Providence accorde aux hommes qu’elle
aime
. M. l’Archevêque sait bien que nul ne m’insultera
obligés à résidence ; mais, de plus, à vous parler franchement, je n’
aime
pas beaucoup votre monde de Paris. — Pourquoi cel
e monde de Paris. — Pourquoi cela ? — Tenez, reprit-il en riant, vous
aimez
les observations morales. En voici une que j’ai f
lle paye avec ce qu’elle a de plus précieux, son estime. Il faut donc
aimer
la gloire, parce que c’est aimer les grandes chos
s précieux, son estime. Il faut donc aimer la gloire, parce que c’est
aimer
les grandes choses, les longs travaux, les servic
l moyen de fortifier l’intérêt. L’unité d’action plaît à l’esprit, on
aime
à voir le fait raconté s’accomplir sans incidents
té et violent. Achille déplairait moins bouillant et moins prompt, J’
aime
à lui voir verser des pleurs pour un affront : A
vent les diverses humeurs ; Souvent, sans y penser, un écrivain qui s’
aime
, Forme tous ses héros semblables à soi-même ; Tou
mœurs dépravées ; et, lors même que je le serais, soyez sûr que je n’
aimerais
point à voir le vice rehaussé en beau style : car
rehaussé en beau style : car c’est le propre de la vertu de se faire
aimer
et respecter, même par les hommes vicieux. Je sui
affectionné pour ceux qui vous écoutent ; qu’ils croient que vous les
aimez
et que vous prenez à cœur leurs intérêts. 4. Prud
s, pour les échauffer, quand ils sont indifférents, pour les amener à
aimer
ou à haïr, il faut tout l’effort du pathétique. J
stant ; ses plus fidèles serviteurs étaient réduits à s’enfuir ; il n’
aimait
plus que ceux qui flattaient ses passions. Ainsi
cl. Donc, Dieu ne passera point. Deuxième exemple : Majeure. Il faut
aimer
ce qui nous rend parfaits ; Mineure. Or, les bel
les belles-lettres nous rendent plus parfaits : Concl. Donc, il faut
aimer
les belles-lettres Syllogisme vicieux : Majeure.
eunes gens ; les jeunes gens doivent obéissance aux vieux ; les vieux
aiment
les richesses ; les richesses font les riches ; l
lus, qui invente une foule de circonstances plus ou moins vraies, qui
aime
à errer librement dans un champ, qui se plaît à s
le sanctuaire où elle réside. C’est elle qui nous fait comprendre et
aimer
les charmes de la vérité et de la vertu ; c’est e
i paraissent agréables ou utiles, elle s’y porte, les poursuit et les
aime
: de là le désir, l’espérance, l’amour. Les objet
, tendresse, respect, reconnaissance, admiration, suivant que l’objet
aimé
nous présente des malheurs qui nous touchent, des
même sens pour signifier un chagrin causé par la perte d’une personne
aimée
, etc. Théramène, gouverneur du jeune Hippolyte,
vers ma rivale. Nous le verrions encor nous partager ses soins : Il m’
aimerait
peut-être ; il le feindrait du moins. Adieu, Tu p
pense-t-on qu’inutile à moi-même, Je me laisse ravir une épouse que j’
aime
? Seul, d’un honteux affront votre frère blessé A
jours rencontré le Paunie sur le chemin de la guerre. Comme le cougar
aime
le daim, le Sioux aime son ennemi. Lorsque le lou
ie sur le chemin de la guerre. Comme le cougar aime le daim, le Sioux
aime
son ennemi. Lorsque le loup trouve le faon, le vo
ux, sculpter le bois et la pierre, fondre et ciseler les métaux : ils
aiment
d’instinct tout ce qui fait le charme et l’orneme
qui n’est pas la beauté, mais qui en est la condition nécessaire. Ils
aiment
le courage parce qu’il est beau, ils détestent la
és ici. Donc, voulez-vous m’en croire ? partons, fuyons vers la terre
aimée
de la patrie ; car jamais nous ne saurions prendr
ns, parce qu’il préfère l’intérêt public à son amour-propre, et qu’il
aime
mieux les convaincre que les humilier. Il les mép
ions adoucies, d’atténuations délicates, voiles transparents dont ils
aimaient
à envelopper leurs pensées. On sait que Théophras
entendez dire du chef d’un peuple libre qu’il est désintéressé, qu’il
aime
son pays et qu’il a fait de grandes choses, dites
es âmes capables de les comprendre. D’autres sont venus après eux qui
aimaient
aussi leur patrie, mais qui se sont perdus sans a
érieux ? — J’entends un jeune homme calme, modeste, qui sait se faire
aimer
de ses chefs sans flatterie et de ses égaux sans
n résumé qu’un orateur politique ? C’est tout simplement un homme qui
aime
sa patrie et qui essaye de persuader ses concitoy
le de Chypre et piller les côtes de l’Asie Mineure. Leurs descendants
aimaient
mieux le bien-être que la patrie et le repos que
intérêts particuliers, salutaire entre celles d’un homme de bien qui
aime
son pays. Voilà l’orateur maître des esprits. Com
en vain. Lisez les lettres de madame de Sévigné : « Ma fille, je vous
aime
, » en voilà toute la substance. Mais quelle varié
tout le plaisir de ce commerce divin. Dieu veut être connu pour être
aimé
. Le monde perd à être approfondi ; il n’a rien de
entir tout ce qu’il a d’aimable. Plus vous le connaissez, plus vous l’
aimez
; plus vous vous unissez à lui, plus vous sentez
de véritable bonheur sur la terre, que celui de le connaître et de l’
aimer
». (Sermon sur la prière). C’est avec un pareil
aise foi à l’impuissance de répondre ? Comment, ne pas suivre, ne pas
aimer
une religion qui descend à la faiblesse de l’homm
ue vous le trouvez partout sur votre chemin, et qu’il est difficile d’
aimer
un ennemi acharné à vous nuire. » Mais je suppose
ces sentiments de la nature : on lui apprit à connaître un Dieu, à l’
aimer
, à le craindre ; on lui montra la vertu dans les
ceindre ses bords ; Soit que son vaste sein se gonflât de colère ! J’
aimais
à voir le flot, d’abord ride légère, De loin blan
rête à s’ouvrir, semble hésiter encore ; L’esprit, qui sous son voile
aime
à la deviner, Joint au plaisir de voir celui d’im
s précis1. Piquante sans recherche et sans étourderie, Elle nous fait
aimer
jusqu’à sa bouderie. Prête donc à mes vers, ô fil
ans les salons Que vous observez la nature. Les rossignols en liberté
Aiment
à confier leur tête Aux rameaux du chêne indompté
ord des flots, Sauterait par-dessus sans mouiller ses grelots. Mais j’
aime
la Voulzie, et ses bois noirs de mûres, Et dans s
t encore, et plus vivement peut-être, au spectacle de la douleur ; il
aime
les émotions de la terreur et de l’effroi, qui lu
’effroi, qui lui font verser des larmes : c’est ainsi que les enfants
aiment
le merveilleux, le terrible, les contes à faire p
le tableau. « Ce n’est pas, dit un spirituel critique16, que l’homme
aime
le malheur d’autrui, mais il aime la pitié qu’il
n spirituel critique16, que l’homme aime le malheur d’autrui, mais il
aime
la pitié qu’il en éprouve ; et comme au théâtre l
esse renaissant : il passe alternativement du calme à la tempête ; il
aime
et il hait ; il se laisse enthousiasmer, tromper,
s poétiques, les hyperboles, les fleurs du langage. Les figures qu’on
aime
à y voir sont celles qui conviennent à la passion
fère la matérialiser : l’atroce et l’horrible sont les éléments qu’il
aime
. Même liberté, dans le style : la noblesse, la co
pour les représenter sous une couleur fausse ; la malignité publique
aime
à se repaître-du mal et à tout critiquer, même le
it en Espagne la ville de Sagonte, leur alliée, et dont les habitants
aimèrent
mieux périr sous ses ruines que de se rendre. De
rcure et d’Hersé, fille de Cécrops, premier roi d’Athènes. L’Aurore l’
aima
et l’enleva ; mais Céphale, constamment attaché à
femme Procris, ne voulut jamais se rendre aux désirs de la déesse. Il
aimait
passionnément la chasse ; et un jour qu’il prenai
auprès d’elle par ses enchantements, et qui parvint même à s’en faire
aimer
. Mais bientôt le héros, honteux de sa passion, tr
confondre avec Thétis, sa petite-fille, et mère d’Achille. Clytie fut
aimée
de Phœbus ou le Soleil. Mais en ayant été abandon
on la fable, du fleuve Pénée, Poursuivie à la trace par Apollon qui l’
aimait
, elle implora le secours de son père, qui la méta
toujours couvert de gloire. Mais vainqueur de Patrocle, si tendrement
aimé
du redoutable Achille, il succomba sous le fer de
si fameux par ses exploits, ne l’est pas moins par ses faiblesses. Il
aima
si passionnément Omphale, reine de Lydie, que, po
t Jésus-Christ. Mémoire (déesse de) ou Mnémosyne, nymphe que Jupiter
aima
, et qu’il rendit mère des neuf muses. Les anciens
n esprit, son caractère lui gagnèrent tous les cœurs. Cette princesse
aimait
tendrement son époux, et l’aimait pour lui-même.
ent tous les cœurs. Cette princesse aimait tendrement son époux, et l’
aimait
pour lui-même. Elle mourut en 1712. Voyez le mot
, laquelle on ne savait pas qu’elle y fût, en sorte qu’on est porté à
aimer
celui qui nous le fait sentir. Car il ne nous a p
telligence que nous avons avec lui incline nécessairement le cœur à l’
aimer
. XVIII. Ce n’est pas dans Montagne, mais dans moi
qui est la pensée ci-dessus. XXII. Épigrammes de Martial. — L’homme
aime
la malignité ; mais ce n’est pas contre les malhe
même balle dont on joue l’un et l’autre : mais l’un la place mieux. J’
aimerais
autant qu’on me dit que je me suis servi des mots
e monde la désavoue. Chacun fait profession de ne croire et même de n’
aimer
que ce qu’il sait le mériter. Je ne parle pas ici
des choses humaines on dit qu’il faut les connaître avant que de les
aimer
, ce qui a passé en proverbe9, les saints au contr
ints au contraire disent en parlant des choses divines qu’il faut les
aimer
pour les connaître et qu’on n’entre dans la vérit
on fait apercevoir à l’âme qu’une chose peut la conduire à ce qu’elle
aime
souverainement, il est inévitable qu’elle ne s’y
re l’esprit et le cœur, quels principes il accorde, quelles choses il
aime
: et ensuite remarquer dans la chose dont il s’ag
faitement connaître et pratiquer ne réussit aussi sûrement à se faire
aimer
des rois et de toutes sortes de personnes qu’à dé
e de bonté ou de maturité dans la nature : celui qui le sent et qui l’
aime
a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et
nt et qui l’aime a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et qui
aime
en deçà ou au-delà, a le goût défectueux. Il y a
s sont faits sur le goût de l’antiquité : on les récuse. L’on devrait
aimer
à lire ses ouvrages à ceux qui en savent assez po
dissent bientôt pour les expressions et les termes qu’ils ont le plus
aimés
. La même justesse d’esprit qui nous fait écrire d
ujours assujetti au goût des Grecs et à leur grande Simplicité : il a
aimé
, au contraire, à charger la scène d’événements do
rhus * ? Ces passions encore favorites des anciens, que les tragiques
aimaient
à exciter sur les théâtres, et qu’on nomme la ter
e l’éclat de l’antithèse, et s’en servent. Les esprits justes, et qui
aiment
à faire des images qui soient précises, donnent n
chés indifféremment de tout ce qui rappelle leurs premières années, n’
aiment
peut-être dans Œdipe que le souvenir de leur jeun
de la langue, qui plaisent par un beau choix de paroles, qui fassent
aimer
les solennités, les temples, qui y fassent courir
rouvent au milieu de vous, et je souffre à ne pas les nommer. Si vous
aimez
le savoir joint à l’éloquence, vous n’attendrez p
de les régler ; comment on peut les exciter utilement pour lui faire
aimer
le bien ; les règles qui sont propres à le faire
outera tout ce qui peut exciter en vous des sentiments, et vous faire
aimer
la vérité prouvée : c’est ce qu’on appelle persua
er combien l’ordre manque à la plupart des orateurs. B. Puisque vous
aimez
tant l’ordre, les divisions ne vous déplaisent pa
nt solides et naturels. A. Aimez-vous les fredons dans la musique ? N’
aimez
-vous pas mieux ces tons animés qui peignent les c
marqué dans toutes les Lettres-suivantes de saint Cyprien, qu’on peut
aimer
avec sûreté, et chercher suivant les règles de la
gue toujours tous trois d’accord : Votre muse sage et riante Devrait
aimer
un peu moins l’art : Ne la gâtez point par le far
le cardinal son ennemi ; mais à peine l’eut-il entendu parler qu’il l’
aima
: il courut à lui, et lui dit en très-beaux vers
ès. Je cherchais le fameux comte de Bussy. Madame de Sévigné, qui est
aimée
de tous ceux qui habitent le temple, me dit que s
ussy avait de messire Roger de Rabutin. Bussy, qui s’estime et qui s’
aime
Jusqu’au point d’en être ennuyeux, Est censuré da
ère Et celles du sacré vallon Orner sa tête octogénaire. Le dieu
aimait
fort tous ces messieurs, et surtout ceux qui ne s
me très-éloigné de dire des riens, homme aimable et solide, qui avait
aimé
tous les arts. O transports ! ô plaisirs ! ô mom
uhours : Quittez d’un censeur pointilleux La pédantesque diligence ;
Aimons
jusqu’aux défauts heureux De leur mâle et libre é
Aimons jusqu’aux défauts heureux De leur mâle et libre éloquence : J’
aime
mieux errer avec eux Que d’aller, censeur scrupul
même En leur rang placer ces auteurs Qu’on lit, qu’on estime et qu’on
aime
, Et dont la sagesse suprême N’a ni trop ni trop p
ors que le dieu du Goût est très-difficile à satisfaire, mais qu’il n’
aime
point à demi. Je vis que les ouvrages qu’il criti
es, à étaler des raisons et des peintures fortes. Souvent un maître n’
aime
pas la vérité, craint les raisons, et aime mieux
ortes. Souvent un maître n’aime pas la vérité, craint les raisons, et
aime
mieux un compliment délicat que de grands traits.
sûreté pour votre sacrée personne que la fuite, je sais bien que vous
aimeriez
mieux mille fois mourir de pied ferme que de vous
ensuel ; car dans le goût physique, quoiqu’on finisse quelquefois par
aimer
les choses pour lesquelles on avait d’abord de la
s’est réunie, dans les premiers temps de la culture des beaux-arts, à
aimer
des auteurs pleins de défaut, et méprisés avec le
sez à vous mieux ménager. Quel charme a pour vous le danger, Que vous
aimez
tant à le suivre ? Si vous aviez dans les combats
es vers qui sont imprimés à la suite de Malherbe et de Racan : Que j’
aime
en tout temps la taverne ! Que librement je m’y g
e en aucun pays ne se connaît· en beaux vers ; et le vulgaire anglais
aime
mieux des princes qui se disent des injures, des
ons comme une règle inviolable ces préceptes de Boileau : Qu’Achille
aime
autrement que Thyrsis et Philène ; N’allez pas d’
us nous faire un Artamène. Nous savons bien que César ayant en effet
aimé
Cléopâtre, Corneille le devait faire parler autre
rodigieuse d’hommes qui n’ont pas la moindre étincelle de goût, qui n’
aiment
aucun des beaux-arts, qui ne lisent jamais, et do
t sa gloire à triompher de l’austérité d’un homme qui n’a jamais rien
aimé
? C’est pourtant ce qu’Aricie ose dire dans le su
ontent de cette fausse image, il vous en propose une autre, si vous l’
aimez
mieux ; et cette autre est une règle prescrite pa
archevêque de Paris68 portait au parlement un poignard dans sa poche.
Aimera-t
-il mieux le siècle précédent, où l’on tuait le pr
ans. Je vous citerais cent exemples de ces extravagants abus, si je n’
aimais
pas mieux me livrer au plaisir de vous remercier
j’aim-eu 81. Médor est obligé de s’écrier : ... Ah ! quel tourment D’
aimer
sans eupêrance-eu 82 ! La gloire et la victoire,
anvier 1736. Je vous gronde de ne m’avoir point écrit ; mais je vous
aime
de tout mon cœur de m’avoir envoyé ce petit antid
termes qu’on emploie en prose et en vers. Mais j’oserai dire que je n’
aime
point cette liberté qu’on se donne souvent, de mê
r voyage. J’ai bien la mine de ne plus faire de vers. Je ne veux plus
aimer
que les vôtres. Mme du Châtelet, qui vous a écrit
telet, qui vous a écrit, vous fait mille compliments. Adieu ; je vous
aimerai
toute ma vie. A M. de Vauvenargues87, à Nancy.
ecté avec ses défauts. Ce sont des tableaux de Léonard de Vinci qu’on
aime
encore à voir à côté des Paul Véronèse et des Tit
d’un maître esclaves odieux. Je sais vous estimer autant que je vous
aime
, Et sur votre vertu me fier à vous-même, etc. Je
l’un et l’autre sens, plus nous avons le goût pur et sain, plus nous
aimons
les choses simples. Cicéron, de son côté, en par
t qu’avec une multitude de métaphores qui approchent du galimatias. J’
aime
bien mieux sa prose que ses vers, etc. Cependant
ue son étonnement à Atalide, et que celle-ci proteste que ce prince l’
aime
, Roxane répond brièvement : Il y va de sa vie au
ne s’amuse point à dire : « Je suis d’un caractère fier et violent. J’
aime
avec jalousie et avec fureur. Je ferai mourir Baj
t pour nous, Si, comme par soi-même un grand cœur juge un autre, Je n’
aimais
mieux juger sa vertu par la nôtre, Et croire que
ié ; qui, dans cette haute fortune, respectait encore le mérite ; qui
aima
mieux s’exposer à mourir que de soupçonner son mé
juger d’aucun ouvrage allégorique, parce que c’est un genre que je n’
aime
pas ; mais je louerai volontiers ses épigrammes,
mis et fléchi l’injustice de l’envie. Quinault. On ne peut trop
aimer
la douceur, la mollesse, la facilité et l’harmoni
té les défauts qui font languir quelquefois ses beaux, ouvrages. Je n’
aime
pas les familiarités qu’il a introduites dans ses
et plus de force dans nos opéras, que leur inventeur n’y en a mis. J’
aimerais
qu’on en retranchât le nombre excessif des refrai
ents, et Despréaux va de pair avec Racine : cela est injuste. XXII. J’
aime
un écrivain qui embrasse tous les temps et tous l
agination propre à concevoir les réalités. Au contraire, presque tous
aiment
à transporter leur pensée dans des régions et des
ne peut écrire, en ce cas, qu’avec une grande attention. II. L’homme
aime
à remuer ce qui est mobile, et à varier ce qui es
ur maléfice : on n’a plus rien à redouter de leur contagion. VI. On n’
aime
pas à trouver dans un livre les mots qu’on ne pou
ar leur beauté, mais par leur singularité. Mais on les tolère, on les
aime
même dans les vieux auteurs, parce qu’ils sont là
sent de l’âme, les mots des pensées, et les phrases des mots. LIV. On
aime
à pressentir, dans le son même des mots, la liais
’humeur et au tempérament, comme la franchise du caractère. On peut l’
aimer
, mais on ne doit pas l’exiger. Voltaire l’avait ;
igeant. CXIV. Le style recherché est bon, quand on le trouve ; mais j’
aime
mieux le style attendu. CXV. La netteté, la propr
rticipe est un mot qui tient du verbe et de l’adjectif, comme aimant,
aimé
: il tient du verbe, en ce qu’il en a la signific
verbe, en ce qu’il en a la signification et le régime : aimant Dieu,
aimé
de Dieu ; il tient aussi de l’adjectif, en ce qu’
forment l’esprit en lisant de bons livres 1. Participe passé.
Aimé
, fini, reçu, rendu. 85. — Le participe passé s’
éditieux, tour à tour allié du parlement, de la cour et du peuple, il
aima
l’intrigue pour l’intrigue, sans avoir ni vues su
u’il ne promettait et il assaisonnait admirablement les bienfaits. Il
aimait
la gloire beaucoup plus que la morale ne le perme
rmonta par sa fermeté. Il était bon ami ; il eût même souhaité d’être
aimé
du peuple ; mais quoiqu’il eût la civilité, l’ext
homme qui passa sa vie à cabaler n’eut jamais de véritable objet. Il
aimait
l’intrigue pour intriguer : esprit hardi, délié,
sous les pas. Solitude où je trouve une douceur secrète, Lieux que j’
aimai
toujours, ne pourrai-je jamais, Loin du monde et
s’enfuit, et court encor. Les deux pigeons 2 Deux pigeons s’
aimaient
d’amour tendre : L’un d’eux, s’ennuyant au logis3
ontaine. Que ne rêve-t-il pas ? qu’on l’élit roi, et que son peuple l’
aime
. Je me persuade qu’à force de rêver, le poëte en
n, plutôt une bonne et grasse métairie ; Ah ! oui, dans ce canton : j’
aime
ce pays-ci ; Et Justine, d’ailleurs, me plaît bea
, insolent, ni fier, Et me rappellerai ce que j’étais hier. Ma foi, j’
aime
déjà ma ferme à la folié. Moi, gros fermier !… j’
s Deux Pigeons. 3. S’ennuyant. On s’ennuie donc parfois quand on s’
aime
? 4. L’absence. La plainte est résignée, affec
s. On voit bien que sa prière s’adresse à un cœur un peu égoïste, qui
aime
surtout ses caprices, ses aises. 1. Soins, inqu
r dans ses serres. 5. La Fontaine, qui charme les enfants, ne les
aime
guère. Pourquoi ? La Bruyère a dit des enfants :
sur de très-petits sujets ; ils ne veulent point souffrir le mal, et
aiment
à en faire ; ils sont déjà des hommes. » 6. Pi
riorité morale vient de sa bonté. Il vit dans l’avenir par ceux qu’il
aime
. Il y a en lui du patriarche. Ces vers rappellent
ue sublime, d’un sublime dur, et qui explique la vengeance de Dieu. J’
aime
mieux le dénoùment de La Fontaine : Et, pleurés
aix fais les maux de la guerre. Remarquez ce brusque exorde. Le lion
aime
l’épithète de chétif. 2. L’autre. Il a sa fier
ransportés par ses accents sublimes, étonnés par ses hardiesses, nous
aimons
en même temps sa candeur, sa modération, sa droit
humblement dans l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul.
Aimons
donc, aimons, chrétiens, la simplicité de Jésus,
ans l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimons donc,
aimons
, chrétiens, la simplicité de Jésus, aimons l’Évan
line de Paul. Aimons donc, aimons, chrétiens, la simplicité de Jésus,
aimons
l’Évangile avec sa bassesse, aimons Paul dans son
hrétiens, la simplicité de Jésus, aimons l’Évangile avec sa bassesse,
aimons
Paul dans son style rude, et profitons d’un si gr
que les enseignements qui édifient ; et accoutumons-nous tellement à
aimer
Jésus-Christ tout seul dans la pureté naturelle d
plus dans sa conscience, où il voit trop clairement sa laideur : il n’
aime
que ce miroir qui le flatte ; et, pour parler ave
lent trop courtes, et alors son grand loisir lui serait à charge : il
aime
sa servitude, et ce qui lui pèse lui plaît ; et c
ais la vôtre. Les bons rois sont les vrais pères des peuples, ils les
aiment
naturellement : leur gloire et leur intérêt le pl
ux, et de leur faire sentir et avouer leur bonheur. Aussi en était-il
aimé
jusqu’à la passion ; et dans le temps de sa mort,
des ennemis de l’État et de ceux qui font mal. Que tout le reste vous
aime
, mette en vous sa consolation et son espérance, e
es qu’ils sont peu de chose. Chacun est jaloux de ce qu’il est, et on
aime
mieux être aveugle que de connaître son faible ;
ui devins plus cher de jour en jour, et j’appris enfin que j’en étais
aimé
de manière que je pouvais compter ma fortune fait
sur ton sort : je me charge de t’en faire un des plus agréables. Je t’
aime
, et, pour te le prouver, je te fais mon confident
nt d’un ton vif et haut, Monsieur du Maine est mon beau-frère, mais j’
aime
mieux un ennemi découvert que caché. » A ce grand
mblait qu’elles n’avaient pas percé jusqu’à eux. Voilà les gens que j’
aime
; non pas ces hommes vertueux qui semblent être é
r, et l’avarice envahit tout. Les désirs changent d’objets : ce qu’on
aimait
, on ne l’aime plus ; on était libre avec les lois
envahit tout. Les désirs changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’
aime
plus ; on était libre avec les lois, on veut être
crète lorsqu’on a fait quelque règlement qui allait au bien commun. J’
aime
les maisons où je puis me tirer d’affaire avec mo
mériter beaucoup d’éloges pour supporter patiemment l’éloge d’autrui.
Aimer
à lire, c’est faire un échange des heures d’ennui
fication par le caractère de son génie, qui fut d’être universel. « J’
aime
les neuf muses, » a-t-il dit de lui-même ; et en
ue Voltaire ait fait une sorte de panégyrique funèbre de Louis XV, on
aimera
la justice rendue par lui aux vertus de Louis XVI
croirait pas. Il n’est que trop vrai que Henri IV ne fut ni connu ni
aimé
pendant sa vie. Il ne commença à devenir cher à l
rdonner ses faiblesses : plus l’histoire fut approfondie, plus il fut
aimé
. Le siècle de Louis XIV a été beaucoup plus grand
mbre, insupportable à lui-même ; n’ayant pas un serviteur dont il fût
aimé
; se défiant de sa femme ; haï de son frère ; tra
nsuel : car, dans le goût physique, quoiqu’on finisse quelquefois par
aimer
les choses pour lesquelles on avait d’abord de la
dans lequel vous laissez votre âme, rien ne vous guérira. Si je vous
aimais
moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ;
aimais moins, je vous plaisanterais sur votre paresse ; mais je vous
aime
, et je vous gronde beaucoup. Cela posé, songez do
ns tous les lieux, elles ont servi à me persécuter ; mais il faut les
aimer
malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut aimer
r ; mais il faut les aimer malgré l’abus qu’on en fait, comme il faut
aimer
la société dont tant d’hommes méchants corrompent
é dont tant d’hommes méchants corrompent les douceurs ; comme il faut
aimer
sa patrie, quelques injustices qu’on y essuie ; c
t aimer sa patrie, quelques injustices qu’on y essuie ; comme il faut
aimer
et servir l’Être suprême, malgré les superstition
à leurs yeux équivoques : ils ne regardent jamais en face la personne
aimée
; soit défiance ou fausseté, ils prennent des dét
à la personne de son maître, le chat paraît ne sentir que pour soi, n’
aimer
que sous condition, ne se prêter au commerce que
ance aux dépens de sa bonté ? S’il faut choisir entre deux erreurs, j’
aime
encore mieux la première. Vous ne voulez pas, mon
je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j’
aimais
à me perdre en imagination dans l’espace ; mon cœ
geste et son visage sont également insolents. Le bon vieillard, qui a
aimé
ses enfants, mais qui n’a jamais souffert qu’aucu
ujours modérément. La servitude abaisse les hommes jusqu’à s’en faire
aimer
. On doit se consoler de n’avoir pas les grands ta
eux valu que sa réputation. Ceux qui ont vécu dans son intimité l’ont
aimé
avec passion. Avant M. de Loménie on connaissait
nd compte des choses communes et familières, et les esprits communs n’
aiment
et ne recherchent que les choses extraordinaires.
a bien rendu, il nous semble, l’impression de cette lecture : « On n’
aime
pas le ton d’amertume, peut-être aussi de suffisa
t-ce pas lui qui a dit, par la bouche d’un de ses envoyés : « Je vous
aime
d’un amour éternel. » (Jérémie). Cette parole doi
u avais su dévorer en silence tes petites seccatures 336, et te faire
aimer
de tes saintes geôlières. Ce monde-ci, ma chère A
aisses faire. Je te recommande l’application par-dessus tout. Si tu m’
aimes
, si tu aimes ta mère et tes sœurs, il faut que tu
Je te recommande l’application par-dessus tout. Si tu m’aimes, si tu
aimes
ta mère et tes sœurs, il faut que tu aimes ta tab
tout. Si tu m’aimes, si tu aimes ta mère et tes sœurs, il faut que tu
aimes
ta table, l’un ne peut pas aller sans l’autre. Je
as aller sans l’autre. Je puis attacher ta fortune à la mienne, si tu
aimes
le travail ; autrement tout est perdu. Lettres.
ra faire la fortune ; qu’enfin il compte sur Chateaubriand pour faire
aimer
le christianisme, et non pas sur le christianisme
re aimer le christianisme, et non pas sur le christianisme pour faire
aimer
Chateaubriand. J’avouerai, à la suite de ce blasp
t beau351. Toutes les passions cherchent ce qui les nourrit : la peur
aime
l’idée du danger. Chaque année il se fait en nous
s maîtres. Je n’examine jamais Saint-Pierre en détail, parce que je n’
aime
pas à y trouver ces beautés multipliées qui déran
dans quelque genre que ce soit, que les hommes craignent assez pour l’
aimer
de cette manière369. De l’Allemagne, IIe partie,
ées, ses sentiments et ses affaires, mais c’est un instrument dont on
aime
à jouer, et qui ranime les esprits comme la musiq
me, puisque cela ne devait pas toujours durer ? Pourquoi donc ont-ils
aimé
, si tant est que cela leur soit jamais arrivé, pu
tte double solitude de la mort et de la nature : est-il un asile où j’
aimasse
mieux dormir pour toujours. Sept heures. Ne pouva
la raison humaine. Il y a là cependant quelque chose qui blesse. On n’
aime
pas chez un soldat ce mépris de son état, cette a
pas. — S’il n’y avait du poison ? — Non, le monde est ainsi fait : on
aime
le poison dans tout ce qui s’imprime. Votre pamph
amour a des secrets que nous ne connaissons point. Croyons, espérons,
aimons
, et poursuivons notre route en paix. « Si je meur
tte anomalie a beau se répéter, nous ne sommes point désabusés : nous
aimons
mieux nous accuser que de mettre en doute la just
passion tout le besoin de bonheur qui est en elle, voit ce bonheur, l’
aime
, le désire dans une seule chose qui est là, et à
qui s’élèvent et tombent. Ce qui est vrai cependant, c’est que Thiers
aime
mieux expliquer que juger et condamner ; qu’il vo
re avancée ne permettant pas de descendre dans la même journée, elles
aimèrent
mieux bivouaquer dans la neige que de se séparer
gens, et personne n’a mieux dit à quelles conditions on s’en faisait
aimer
et écouter526. J. J. Rousseau et Tacite527.
n peuple a-t-il ou croit-il avoir plus d’esprit que ses ministres, il
aime
et applaudit Figaro. Quand Figaro se compare, lui
ant ; mais, avec tout cela, il est bon. Malin sans être méchant, s’il
aime
les intrigues, c’est surtout parce qu’il peut y f
’éternité, L’une disait Nature ! et l’autre, Humanité ! Assurément j’
aimerais
mieux, pour mon goût particulier, que la nature e
eussent des traits plus distincts que ceux que leur donne le poète. J’
aimerais
mieux que la nature fût la campagne, celle d’Hora
’Horace ou de Rousseau, celle que mon œil peut embrasser, ou celle qu’
aiment
mes souvenirs d’enfance. J’aimerais mieux aussi q
mon œil peut embrasser, ou celle qu’aiment mes souvenirs d’enfance. J’
aimerais
mieux aussi que l’humanité fût un homme, vous ou
lointain de nous-même en unisson avec un siècle dont nous avions tout
aimé
. » De ce siècle, il ne cessa d’aimer ce qui était
c un siècle dont nous avions tout aimé. » De ce siècle, il ne cessa d’
aimer
ce qui était bon, et personne n’a mieux parlé de
lement glorieux, comme l’a dit un prophète, mais dont le sépulcre est
aimé
. Il y a un homme dont la cendre, après dix-huit s
ui me trouble moi-même, et que je ne me connaissais pas. Qui donc est
aimé
des grands hommes ? Qui dans la guerre ? Est-ce A
rlemagne ? Qui- dans la sagesse ? Est-ce Aristote ou Platon ? Qui est
aimé
des grands hommes ? Qui ? Nommez-m’en un seul ; n
ur sur son tombeau. Mahomet est vénéré des musulmans ; il n’est point
aimé
. Jamais un sentiment d’amour n’a effleuré le cœur
De l’Autorité. De l’éducation. Je crois qu’il faut, avant tout,
aimer
son élève ; l’aimer en Dieu, non pas d’une affect
l’éducation. Je crois qu’il faut, avant tout, aimer son élève ; l’
aimer
en Dieu, non pas d’une affection molle et charnel
satisfaction qu’il lui fait éprouver. Mais, pour cela, il faut qu’il
aime
aussi lui-même, qu’il aime sincèrement, et il est
t éprouver. Mais, pour cela, il faut qu’il aime aussi lui-même, qu’il
aime
sincèrement, et il est difficile de faire naître
e aux autres. Comment faire pour éviter cet écueil ? Comment se faire
aimer
sans développer dans l’enfant l’égoïsme, au lieu
e. Le classique, je le répète, a cela, au nombre de ses caractères, d’
aimer
sa patrie, son temps, de ne voir rien de plus dés
miers hommes, ont passé. On ne connaît bien, a-t-on dit, que ce qu’on
aime
: on ne comprend bien que ce qu’on a été. Qu’il a
ion aux plus vifs plaisirs que puissent avoir les yeux d’un homme qui
aime
les beaux paysages. Au reste, le premier aspect d
Arsame demande un entretien à Rhadamiste : il veut placer celle qu’il
aime
sous la protection de Rome ; il annonce qu’elle-m
du Pérou, a été remplacé dans sa charge par son fils Gusman. Celui-ci
aime
Alzire, la fille de Montèze, souverain d’une part
spire dans ces lieux ; Je venais t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’
aimes
: vengeons-nous ; livre-moi la victime. ALZIRE. O
infortunée, La douleur de ta perte à leur Dieu m’a donnée ; Que je t’
aimais
toujours ; que mon cœur éperdu A détesté tes dieu
! tu ne me vois point d’un œil impitoyable ? ZAMORE. Non, si je suis
aimé
, non, tu n’es point coupable618. Puis-je encor me
au pied de nos autels. Nos peuples, nos tyrans, tons ont su que je t’
aime
: Je l’ai dit à la terre, au ciel, à Gusman même6
e vertu m’accable, et son charme m’attire. Honteux d’être vengé, je t’
aime
et je t’admire. (Il se jette à ses pieds.) ALZIRE
de l’Être tout-puissant, « Il en fait un partage à ses enfants qu’il
aime
. « Nous sommes ses enfants, des ombres de lui-mêm
e détesté ? VALÈRE. Je vois tout le contraire : on le recherche, on l’
aime
: Je voudrais que chacun me détestât de même : On
isirs, des goûts, des sentiments, Une société peu nombreuse, et qui s’
aime
, Où vous pensez tout haut, où vous êtes vous-même
t, et vivant pour moi-même, Sans épancher mon cœur, sans un ami qui m’
aime
, Porterai-je moi seul, de mon ennui chargé, Tout
Aussi Delille n’a pas échappé aux reproches que mérite son école. Il
aimait
, d’ailleurs, la campagne, comme on le faisait au
pour toi d’assez douces couleurs ? Que ton souris me plaît, et que j’
aime
tes pleurs ! Que sous tes traits touchants la dou
, la chute des torrents. La forêt, le désert, voilà les lieux qu’elle
aime
. Son cœur, plus recueilli, jouit mieux de lui-mêm
nombreuses Qui croisent en tous sens leurs routes ténébreuses689. Il
aime
à voir ce lieu, sa triste majesté, Ce palais de l
lébrant ma naissance, Mon père doit donner une fête aujourd’hui. Il m’
aime
; il n’a que moi ; viens t’adresser à lui. C’est
otégé la fête soit ouverte. Ta mère, mon élève (inestimable perte !),
Aimait
à soulager les faibles abattus : Tu lui ressemble
, affamé, nu, proscrit, Maudissant, comme ingrat, son vieil ami qui l’
aime
. Parle : était-ce-bien lui ? le connais-tu toi-mê
mortel, ange ou démon, Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J’
aime
de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j’aime
n ou fatal génie, J’aime de tes concerts la sauvage harmonie, Comme j’
aime
le bruit de la foudre et des vents Se mêlant dans
a félicité ; Il veut sonder le monde, et son œil est débile ; Il veut
aimer
toujours : ce qu’il aime est fragile755 ! Tout mo
r le monde, et son œil est débile ; Il veut aimer toujours : ce qu’il
aime
est fragile755 ! Tout mortel est semblable à l’ex
es spectacles, Laissait tomber pour nous quelqu’un de ses oracles : J’
aimais
à m’enfoncer dans ces sombres horreurs. Mais en v
et l’ordre de mon Dieu ; J’adore en mes destins ta sagesse suprême, J’
aime
ta volonté dans mes supplices même : Gloire à toi
du786. FRANÇOIS DE PAULE. Bien défendu.L’est-on quand on n’est point
aimé
? (En l’entraînant.) Ah ! viens. LOUIS(qui le rep
n’expire. Loin de Dieu, là, sont renfermés Les milliers d’êtres tant
aimés
, Qu’en ces bosquets inanimés, La tombe envoie. Le
onument : c’était son vœu et son ferme espoir790. » Le cor. I J’
aime
le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu
père, ce héros au sourire si doux807, Suivi d’un seul housard, qu’il
aimait
entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa han
tu pris sa chevelure, Tu montas botté sur son dos. Alors, comme elle
aimait
les rumeurs de la guerre, La poudre et les tambou
VI, l’Idole. Le Campo Santo.(Fragment.) Mais n’importe ! je t’
aime
, ô vieux Campo Santo811, Je t’aime de l’amour qu’
agment.) Mais n’importe ! je t’aime, ô vieux Campo Santo811, Je t’
aime
de l’amour qu’avait pour toi Giotto. Tout désolé
, de ses regards cuisants, Brûle le front doré des superbes Pisans, J’
aime
à sentir le froid de tes voûtes flétries, J’aime
s superbes Pisans, J’aime à sentir le froid de tes voûtes flétries, J’
aime
à voir s’allonger tes longues galeries, Et là, si
bas, le pied lent, Comme un moine qui passe, et qui prie en allant, J’
aime
à faire sonner le cuir de mes sandales Sur la tèt
de mes sandales Sur la tète des morts qui dorment sous tes dalles ; J’
aime
à lire les mots de leurs grands écussons, A révei
et les voix De ces corps vermoulus comme un antique bois : La vieille
aime
à lutter : c’est un joueur en veine Qui néglige l
blanc visage, Je l’avais bien connu : son âge était mon âge ; Comme j’
aimais
Marie, il aimait Sulia ; Le plaisir d’en parler t
l’avais bien connu : son âge était mon âge ; Comme j’aimais Marie, il
aimait
Sulia ; Le plaisir d’en parler tous les deux nous
ure qui gémissait d’avoir été trahie et profanée par le poète qu’elle
aimait
. Dans le recueil qui suivit (1331), il y avait co
r, et non de l’imagination, A. de Musset a dit le besoin de croire, d’
aimer
et de prier ! Et n’était-ce pas l’histoire de sa
sagesse Qui du sobre Épicure a fait un demi-dieu. Je voudrais vivre,
aimer
, m’accoutumer aux hommes, Chercher un peu de joie
mets, et son vers, d’une majesté grave, s’y soutient sans fatigue. Il
aime
la montagne, qui le rapproche de Dieu. C’est Dieu
iers. Toute chose que Dieu féconde, Prête à chanter, prête à fleurir,
Aime
le vif accent de l’onde, Aime à voir le ruisseau
onde, Prête à chanter, prête à fleurir, Aime le vif accent de l’onde,
Aime
à voir le ruisseau courir. Quand de la ruche prin
n jour plus pur descend pour t’éclairer. Oui ! si les bois, l’ombrage
aimé
du chêne, Ont trop caché la lumière à mes yeux, S
re, le fiancé de Pernette, appelé sous les drapeaux, en 1814, a mieux
aimé
rejoindre les réfractaires dans les montagnes du
om était béni Sous les chaumes obscurs où le pauvre a son nid... Elle
aimait
entre tous, de son amour de mère, Ceux dont l’âme
laciale, Ouvraient sous les sapins la fosse nuptiale. Le clocher tant
aimé
sonnait le dernier glas. Nous montions ; sous nos
yle défendu par Sophocle devant l’Aréopage. La fille d’Eschyle est
aimée
par Sophocle. Celui-ci apprend qu’Eschyle est tra
e léger à son retour d’Afrique. Le poème des saisons. Laquelle
aimerons
-nous ? Pour moi je n’aime guère Avril, qui promet
. Le poème des saisons. Laquelle aimerons-nous ? Pour moi je n’
aime
guère Avril, qui promet tant, et qui donne si peu
oi je n’aime guère Avril, qui promet tant, et qui donne si peu ; Je n’
aime
pas l’été, qui donne sa poussière, Et dévoile son
ortune. S’il fallait cependant se résigner au choix, C’est l’hiver qu’
aimerait
ma nature fragile ; C’est l’hiver, quand je lis,
vons vaincu, nous devons consommer L’œuvre républicaine en la faisant
aimer
. Elle aura tous les cœurs, si l’ordre recommence.
d’en haut, qu’elle vienne d’en bas, Elle est la tyrannie, et je ne l’
aime
pas. MARAT. C’est fort bien. Va du pauvre au rich
ends, disais-tu, ni mon corps ni mon âme, « Et ne me marîrai que pour
aimer
ma femme. » Ah ! tu trouvais alors des accents co
s aquarelles ; Allons donc ! RODOLPHE. Allons donc !Ah ! Voilà. Nous
aimons
les travaux Qui doivent faire un jour éclater les
’en doute, N’y touchez pas, il est brisé. Souvent aussi la main qu’on
aime
, Effleurant le cœur, le meurtrit ; Puis le cœur s
our sa vie était pleine : Il ne connaissait le mal ni la haine ; Bien
aimé
de tous, et partout heureux. C’était un enfant :
jusqu’au bout chasser ces bandits ; « Je veux pouvoir dire à ma mère
aimée
: « Si je te reviens, c’est qu’ils sont partis. «
t-Royal. "Saint-Simon, dit Villemain, est pétri de contradictions. Il
aime
le jansénisme à Port-Royal, le hait au Parlement,
e de bonté ou de maturité dans la nature : celui qui le sent et qui l’
aime
a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et
nt et qui l’aime a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et qui
aime
en deçà ou au-delà, a le goût défectueux. Il y a
éternellement pures, clémentes à qui vous revient, fidèles à qui vous
aime
, vous nous donnez le repos ; et si nous savons vo
e 1601) : « Plutarque me sourit tousjours d’une fresche nouveauté ; l’
aimer
, c’est m’aimer, car il a esté l’instituteur de mo
tarque me sourit tousjours d’une fresche nouveauté ; l’aimer, c’est m’
aimer
, car il a esté l’instituteur de mon bas aage. Ma
la prose contre l’éloge absolu qu’avait fait des vers A. de Musset (J’
aime
surtout les vers, cette langue immortelle……), et,
à l’essence divine, à Dieu même. 352. On peut remarquer que Joubert
aime
à rendre une idée dans une image. Quelle plus agr
e ses Mémoires : « Voulant parler de mon temps et de ma propre vie, j’
aime
mieux le faire du bord que du fond de ma tombe. P
s’est bien gardé de tomber dans une pareille faute. 464. Je vois, j’
aime
le bien ; c’est le mal que je fais. 465. Racine
on sait ce qui la domine et l’entraîne, sans haïr moins le mal, sans
aimer
moins le bien, on a plus d’indulgence pour l’homm
ement à la bataille de Bautzen. Il fut peut-être l’homme que Napoléon
aima
le plus, et l’on sait que l’empereur, après sa se
s parties afin de reconstruire l’ensemble, et qu’il les honore et les
aime
toutes, puisque dans toutes il voit se refléter c
on le voit, emprunté aux anciens. — Cet appareil mythologique, qu’ils
aimaient
, et qui pour eux ne manquait pas de naturel, semb
phocle, c’est que Jocaste a avoué à sa confidente qu’elle n’avait pas
aimé
Laïus (acte II, scène II) : J’ai deux fois de l’
à celle de Pauline, qui est aussi mariée à un autre que celui qu’elle
aime
: le rapprochement qu’on pourrait établir entre c
oins de jalousie ; Un rival au tombeau doit causer peu d’envie : Je l’
aimai
, je l’avoue, et tel fut mon devoir : De ce monde
t l’espoir : Sa foi me fut promise, il eut pour moi des charmes, Il m’
aima
: son trépas me coûte encor des larmes. Vous, loi
, dont on fait tant de cas, Ne vaut pas les plaisirs des gens qu’on n’
aime
pas. Être cité, mêlé dans toutes les querelles, L
e shakspearienne, lui prend fortement le bras et lui dit : « Général,
aimez
-vous la chasse ? » Cette question inattendue lais
question inattendue laisse le général embarrassé. « Eh bien ! si vous
aimez
la chasse, avez-vous quelquefois chassé aux canar
ique, comme le style n’en est pas frappé et gravé selon la mode qu’on
aime
aujourd’hui, elles ont pu perdre de leur effet à
Gérald, mais c’est celui-ci qui renonce volontairement à celle qu’il
aime
. 866. Les œuvres de M. E. Manuel ont été publiée
e, et qui aient des fougues continues ; il n’y en a quasi point qui n’
aiment
mieux entreprendre plusieurs affaires, et changer
u’il n’eut pas la patience de vaincre9. Il se tua par délicatesse, et
aima
mieux promptement périr que de se donner de la pe
tre compagnie. À un ennemi de Richelieu16. Je vous avoue que j’
aime
à me venger, et qu’après avoir souffert durant de
t-ils lire ces choses sans s’affectionner à lui ; et, à votre avis, l’
aimeront
-ils ou l’estimeront-ils moins, à cause que de son
tombe dans l’esprit de personne : de se faire le meilleur et le plus
aimé
d’un royaume, et non pas le plus grand et le plus
us détourne d’y penser57 et nous divertit. De là vient que les hommes
aiment
tant le bruit et le remuement ; de là vient que-
ve mon parterre net et mes allées nettes, ces grandes allées que vous
aimez
. Vous ne comprenez pas encore où cela peut aller
ntré à mon service pour cela, que ce n’était pas son métier, et qu’il
aimait
mieux s’en aller à Paris. Ma foi ! la colère m’a
point, ne me blâmez point, et songez que c’est le garçon du monde qui
aime
le moins à faner, et qui est le plus indigne qu’o
e qu’on le traite bien. Voilà l’histoire en peu de mots : pour moi, j’
aime
les relations où l’on ne dit que ce qui est néces
— De l’art d’écrire et de ce qui en fait la perfection. L’on devrait
aimer
à lire ses ouvrages à ceux qui en savent assez po
dissent bientôt pour les expressions et les termes qu’ils ont le plus
aimés
. La même justesse d’esprit qui nous fait écrire d
ujours assujetti au goût des Grecs et à leur grande simplicité : il a
aimé
, au contraire, à charger la scène d’événements do
urrhus ? Ces passions encore favorites des anciens, que les tragiques
aimaient
à exciter sur les théâtres, et qu’on nomme la ter
e l’éclat de l’antithèse, et s’en servent. Les esprits justes, et qui
aiment
à faire des images qui soient précises, donnent n
chés indifféremment de tout ce qui rappelle leurs premières années, n’
aiment
peut-être dans Œdipe 246 que le souvenir de leur
er par des esprits flatteurs et insinuants : faites sentir que vous n’
aimez
ni les louanges pi les bassesses. Ne montrez de c
iance qu’à ceux qui ont le courage de contredire avec respect, et qui
aiment
mieux votre réputation que votre faveur. Il est t
ntez ce qu’un prince doit penser et sentir. Il faut que les bons vous
aiment
, que les méchants vous craignent, et que tous vou
cer ses peuples, et pour les rendre tout ensemble bons et heureux. Il
aimait
avec confiance et tendresse tous ceux qu’il devai
heureux. Il aimait avec confiance et tendresse tous ceux qu’il devait
aimer
; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il ai
eux qu’il devait aimer ; mais il était ferme pour corriger ceux qu’il
aimait
le plus. Il était noble et magnifique selon les m
itoire barbouille ses doigts. N’allez pas lui parler des choses qu’il
aimait
le mieux il n’y a qu’un moment : par la raison qu
’il aimait le mieux il n’y a qu’un moment : par la raison qu’il les a
aimées
, il ne les saurait plus souffrir. Les parties de
ines personnes auxquelles il doit plus qu’aux autres, ou qu’il paraît
aimer
davantage. Non ; sa bizarrerie ne connaît personn
, pourvu qu’il se fâche ; il dirait des injures à tout le monde. Il n’
aime
plus les gens, il n’en est point aimé ; on le per
s injures à tout le monde. Il n’aime plus les gens, il n’en est point
aimé
; on le persécute, on le trahit ; il ne doit rien
un moment, voici une autre scène : il a besoin de tout le monde ; il
aime
, on l’aime aussi ; il flatte, il s’insinue, il en
voici une autre scène : il a besoin de tout le monde ; il aime, on l’
aime
aussi ; il flatte, il s’insinue, il ensorcelle to
et obliquo laborat Lympha fugax trepidare rivo266. J’
aime
bien mieux être occupé de cet ombrage et de ce ru
ie sont aussi belles que celles des plus somptueux jardins, je les en
aime
mieux267. Je n’envie rien à personne. Le beau ne
tiens d’Europe, de peur que cet exemple contagieux ne leur apprenne à
aimer
la vie et à ouvrir leur cœur aux joies empoisonné
qu’un pareil ouvrage était au-dessus de mes forces ; mais j’ai mieux
aimé
paraître manquer de prudence que de docilité. J’a
la plus réelle et la moins équivoque des souverains, et les peuples n’
aiment
guère dans les souverains que les vertus qui rend
dans une cage de fer, et le fit porter ainsi à la suite de l’armée. J’
aimais
Callisthène, et de tout temps, lorsque mes occupa
saisis la langue, la lui arrachai, et le jetai à mes pieds. Alexandre
aimait
naturellement les actions courageuses : il admira
e le trouve entre mon peuple et moi. Je suis le roi d’un peuple qui m’
aime
. Les pères de famille espèrent la longueur de ma
art de la guerre ; et il obligea, à force de mérite, le roi, qui ne l’
aimait
pas, à l’employer. Des intrigues eurent part à ce
ecté avec ses défauts. Ce sont des tableaux de Léonard de Vinci qu’on
aime
encore avoir à côté des Paul Véronèse et des Titi
les yeux ; il décore, embellit tous les lieux qu’il fréquente ; on l’
aime
, on l’applaudit, on l’admire. Nulle espèce ne le
nidas était mort pour son pays avant que Socrate eût fait un devoir d’
aimer
la patrie ; Sparte était sobre avant que Socrate
rès agréable, et singulièrement située pour le bonheur d’un homme qui
aime
à se circonscrire. Les rives du lac de Bienne son
geurs ; mais il est intéressant pour des comtemplatifs solitaires qui
aiment
à s’enivrer à loisir des charmes de la nature, et
’univers ; « Et l’exécrable honneur de lui donner un maître « Faisant
aimer
à tous l’infâme nom de traître, « Romains contre
et descends en toi-même : On t’honore dans Rome, on te courtise, on t’
aime
; Chacun tremble sous toi, chacun t’offre des vœu
aurais aujourd’hui Qu’à retirer la main qui seule est ton appui519 J’
aime
mieux toutefois céder à ton envie ; Règne, si tu
tre frère ; Votre jalouse humeur ne lui saurait souffrir La liberté d’
aimer
ce qu’il me voit chérir : Son amour pour le duc a
i ? Liv. III, fab. 13. Les deux pigeons. Deux pigeons s’
aimaient
d’amour tendre554. L’un d’eux, s’ennuyant
is porte ses pas. Tâchez de l’adoucir, fléchissez son courage580 : Il
aime
ses sujets, il est juste, il est sage : Du titre
la passion choquante De se rendre savante afin d’être savante ; Et j’
aime
que souvent, aux questions qu’on fait, Elle sache
on cœur est épris. ARISTE. Vous raillez, ce n’est pas Henriette qu’il
aime
? BÉLISE. Non, j’en suis assurée. ARISTE.
e choses, ma sœur, Dites-nous, s’il vous plaît, cet autre objet qu’il
aime
. BÉLISE. Vous le voulez savoir ? ARISTE.
Peuvent bien faire voir qu’on a quelques appas. ARISTE. Ces gens vous
aiment
? BÉLISE.
e aux lois de Vaugelas, Pourvu qu’à la cuisine elle ne manque pas ? J’
aime
bien mieux, pour moi, qu’en épluchant ses herbes
me blesse ; Car c’est, comme j’ai dit, à vous que je m’adresse. Je n’
aime
point céans tous vos gens à latin, Et principalem
frère, bien à l’aise, Et vous ne savez pas comme le bruit me pèse. J’
aime
fort le repos, la paix et la douceur, Et ma femme
se dispose à lire. Je sens d’aise mon cœur tressaillir par avance. J’
aime
la poésie avec entêtement, Et surtout quand les v
LISE. Loger son ennemie est pour moi plein de charmes. PHILAMINTE. J’
aime
superbement et magnifiquement : Ces deux adverbes
pour l’ordre646 au péripatétisme. PHILAMINTE. Pour les abstractions j’
aime
le platonisme. TRISSOTIN. Descartes, pour l’aiman
SSOTIN. Descartes, pour l’aimant, donne fort dans mon sens ARMANDE. J’
aime
ses tourbillons. PHILAMINTE.
x légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! Son livre,
aimé
du ciel et chéri des lecteurs, Est souvent chez B
ui court en rimant, Marque moins trop d’esprit que peu de jugement. J’
aime
mieux un ruisseau, qui, sur la molle arène, Dans
lus, un noble patriotisme échauffait son âme. Favori de Louis XIV, il
aimait
le peuple comme Fénelon. On a même rapporté, mais
rsqu’un roi généreux, Craint dans tout l’univers, veut encore qu’on l’
aime
: Heureux le peuple, heureux le roi lui-même
r et de dire en vous-même : « Partout en ce moment, on me bénit, on m’
aime
; On ne voit point le peuple à mon nom s’alarmer
ehors. Je suis franc. LE COMTE. Quant à moi, j’
aime
la politesse. LIMISON. Moi, je ne l’aime point, c
Quant à moi, j’aime la politesse. LIMISON. Moi, je ne l’
aime
point, car c’est une traîtresse Qui fait dire sou
uel a droit de m’offenser ! Croyez que votre fils vous respecte, vous
aime
. LYCANDHE. Vous ? Prouvez-le-moi donc, et dans ce
’ont ouvert les yeux ; qu’ils m’aident à me vaincre. Il faut se faire
aimer
: on vient de m’en convaincre ; Et je sens que la
ransportées au Panthéon, avec celles de J.-J. Rousseau. Sans doute il
aima
l’humanité : mais il aima encore davantage la glo
vec celles de J.-J. Rousseau. Sans doute il aima l’humanité : mais il
aima
encore davantage la gloire, ou plutôt la vogue, c
nsectes ennemis une nuée obscure, N’importe ; il les instruit, il les
aime
pour eux. Même ingrats, il est doux d’avoir fait
au ciel doucement animé, Des fleurs et de l’ombrage, et tout ce que j’
aimai
. C’est là, près d’une eau pure, au coin d’un bois
e ; Quels maux ont abrégé ses rapides instants ; Qu’il fut bon, qu’il
aima
, qu’il dut vivre longtemps. Ah ! le meurtre jamai
Mme de Sévigné dit de Turenne, dans sa lettre du 12 août 1675 : « Il
aimait
tendrement le fils de M. d’Elbeuf ; c’est un prod
ed de la pensée exprimée par Bossuet, quand il dit : « Les vieillards
aiment
la vie, et surtout dans les derniers jours, parce
, Au seuil de vos palais fixe un œil moins jaloux ! Donnez pour être
aimés
du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant mêm
t apparaître aux hommes sous les traits les plus capables de la faire
aimer
et leur parler le langage le plus persuasif, il f
par les annotations qui les accompagnent, celles de Bret, d’Auger, d’
Aimé
Martin, et plus récemment celle de M. Louandre. P
ille, au commencement de ses Mémoires sur Louis IX : « Ce saint homme
aimait
et craignait Dieu sur toute rien » ; et La Bruyèr
cule ou odieux. Henriette, pleine de franchise et de grâce, nous fait
aimer
ce qui est simple et naïf, autant qu’Armande nous
autant de monde que nos grands tragiques, « parce que, disait-il, on
aime
encore mieux être ému que d’être amusé ». Par un
ux de La Harpe, qui lui a consacré un excellent éloge, de Geoffroy, d’
Aimé
Martin et de M. Louandre, qui ont donné des éditi
on le voit, emprunté aux anciens. — Cet appareil mythologique qu’ils
aimaient
, et qui pour eux ne manquait pas de naturel, semb
père : autrement la comédie finirait par une scène de tragédie. Nous
aimons
avoir la nature l’emporter sur la vanité dans l’â
ici elle veut dire un garçon aimable, digne d’affection. 798. Valère
aime
Lisette, et il tremble à la pensée d’un mariage é
de grâce : affreuse a trop l’air d’être donné à la rime. » 822. On
aimait
beaucoup alors ces pensées générales formulées en
franche vérité que je rends hommage quand je vous assure que je vous
aime
, que je vous adore, qu’il n’est pour moi point de
r une extrême docilité pour les Avis de M. et madame Vignan, qui vous
aiment
comme leur enfant. N’oubliez point vos études, et
u moins, cela pourrait bien vous arriver, car je crois que je saurais
aimer
au-delà du tombeau. * Le cardinal de Bernis à V
quitté. Si ce n’est qu’une infidélité passagère, je sens que je vous
aime
assez pour vous la pardonner. Dites-moi donc ce q
ce que c’est, et ne me laissez pas croire que je suis un sot de vous
aimer
, et vous un ingrat de ne pas répondre à tous les
tion que de faire compliment à des amis, ou de les assurer que je les
aime
toujours. Je crois qu’ils ne doivent pas douter d
n est pas de même quand il est question du service de quelqu’un que j’
aime
autant que vous, et à qui je suis aussi proche. M
j’allais vous quereller, quand vous m’avez prévenu fort joliment : j’
aime
vos reproches, et vous avez mieux répondu à mon s
ssentiels du goût antique ; les modernes affectionnent l’analyse, ils
aiment
à se perdre dans des descriptions sans fin. Il n
ion. Que de sujets féconds et intéressants pour de jeunes esprits qui
aiment
naturellement ce qui est juste, beau et bon ! L’e
autre vous réponde, ô sages de la terre ! Laissez-moi mon erreur : j’
aime
, il faut que j’espère ; Notre faible raison se tr
gie à ces tendres et mélancoliques accents. C’est l’élégie comme je l’
aime
, non point sombre et désespérée, mais souriant à
lle métonymie : le pâle désespoir ; c’est l’effet pour la cause. Je n’
aime
pas trop Paies, le dieu des jardins ; cette appli
que vous devriez conserver, quand ce ne serait que parce que je vous
aime
. Travaillez sur votre humeur : si vous pouvez la
ons. Vous ne serez jamais contente, ma chère fille1, que lorsque vous
aimerez
Dieu de tout votre cœur : ce que je ne dis pas pa
il confessait que tout n’est que vanité et affliction d’esprit, hors
aimer
Dieu et le servir3. Que ne puis-je vous donner to
dans le monde. Je vous parle en amie. Appliquez-vous à votre devoir.
Aimez
Dieu, soyez honnête homme ; prenez patience, et r
tice] M. Victor de Laprade est entre tous le poëte de l’idéal. Il
aime
les cimes supérieures, et sa devise pourrait être
de pavot vermeil. Une maitresse d’école Prnette 2 Elle
aimait
entre tous, de son amour de mère, Ceux dont l’âme
vous pleurent d’avance ; Frères de Roméo, vous n’êtes qu’endormis1 !
Aimez
votre jeunesse, aimez, gardez-la toute ! Elle est
e ; Frères de Roméo, vous n’êtes qu’endormis1 ! Aimez votre jeunesse,
aimez
, gardez-la toute ! Elle est de vos aînés l’espoir
ns se rompent sur la terre. Je viens encore de perdre une sœur1 que j’
aimais
tendrement, et qui est morte de chagrin dans le l
ontiers les paysages voluptueux, Naples, Ischia, Baia ; Chateaubriand
aime
la tristesse de l’horizon sabin. 1. « Deux chos
, entre autres ces vers : Rome, te voilà donc, ô mère des Césars ! J’
aime
à fouler aux pieds tes monuments épars, J’aime à
ô mère des Césars ! J’aime à fouler aux pieds tes monuments épars, J’
aime
à sentir le temps, plus fort que ta mémoire, Effa
ps, non, ta ruine immense Nous console du moins de notre décadence. J’
aime
, j’aime à venir rêver sur ce tombeau, À l’heure o
ta ruine immense Nous console du moins de notre décadence. J’aime, j’
aime
à venir rêver sur ce tombeau, À l’heure où de la
riand peint les objets comme il les voit, et il les voit comme il les
aime
. Comparez ces vers de Saint-Victor sur le Meschac
ière. Et nous, serions-nous des enfants ingrats ! Notre mère qui nous
aimait
tant, morte depuis deux ans seulement, attendrait
mplicité] 6° La simplicité dans le langage est ce qui fait le plus
aimer
le style d’un écrivain. Celui qui la possède ne s
une idée d’une manière si exacte qu’on ne dise rien de superflu. On n’
aime
pas à lire un auteur qui entre dans trop de détai
oncision est voisine de l’obscurité, témoin ce vers de Racine : Je t’
aimais
inconstant, qu’aurais-je fait fidèle ? On cite
voir. Quand partez-vous ? Demain, pour je pars demain. Heureux qui
aime
Dieu ! Pour heureux est celui qui aime Dieu, Si
r je pars demain. Heureux qui aime Dieu ! Pour heureux est celui qui
aime
Dieu, Si tu n’avais servi qu’un meunier comme mo
ont ainsi confondus par les mots. Ce vers est indigne de Racine qui n’
aimait
d’ailleurs ni les quolibets, ni les quolibetiers.
vraies et naturelles. 3° Métonymie du contenant pour le contenu : Il
aime
la bouteille, pour il aime le vin. Terre et deux
étonymie du contenant pour le contenu : Il aime la bouteille, pour il
aime
le vin. Terre et deux, admirez ; pour habitants
sées sont liées de manière à former un tout. Ainsi, quand je dis : il
aime
la bouteille, j’ai dans l’esprit deux idées très-
unes gens, qui en font souvent usage, parce que leur imagination vive
aime
à augmenter les objets ou à les rendre plus migno
gravier ! Que faire de mon île ? Il n’y croit que des saules Et tu n’
aimes
que le laurier. L’allusion est ingénieuse, et ra
Erasme Dit : j’ai vu de mes yeux, et fait un Pléonasme. La Syllepse
aime
mieux le rapport idéal Que le rapport du terme, e
ns la métaphore gracieuse qui prête à la nuit une sorte d’orgueil. On
aime
à la voir étaler ses richesses, présents du créat
urez aux petites phrases après la période, et vous vous ferez lire et
aimer
. Prenons un exemple dans les premières lignes de
onvenances par des éloges trop peu voilés. Ce n’est pas que l’homme n’
aime
la louange, mais il ne goûte vivement que celle q
sées gracieuses ; éloigne l’odieux, la dureté et l’affectation ; fait
aimer
le vrai, le naturel, en un mot produit la grâce d
logisme est forcée, incontestable. Pour prouver à un impie qu’il faut
aimer
la vertu, on se servirait du syllogisme suivant :
la vertu, on se servirait du syllogisme suivant : Majeure. — Il faut
aimer
tout ce qui nous rend heureux. Mineure. — Or, la
neure. — Or, la vertu nous rend heureux. Conséquence. — Donc il faut
aimer
la vertu. La majeure est évidente ; pour un impie
n peut dire indifféremment, ou en sous-entendant la mineure : Il faut
aimer
tout ce qui nous rend heureux, Donc il faut aimer
a mineure : Il faut aimer tout ce qui nous rend heureux, Donc il faut
aimer
la vertu. Ou bien, en sous-entendant la majeure :
sous-entendant la majeure : La vertu nous rend heureux Donc il faut l’
aimer
. Cette forme de raisonnement est plus rapide que
us montre les mœurs de la campagne avec des charmes qui nous les font
aimer
. Il ne faut pas croire que la poésie pastorale ap
fictif et 1’allégorique ; elle chante la campagne à la ville ; elle l’
aime
l en imagination plus qu’en réalité ; ses bergers
e élégante idylle. Son tour simple et naïf n’a rien de fastueux, Et n’
aime
point l’éclat d’un vers présomptueux. Art poéti
les idées. Moraliste optimiste, il apprit, en s’étudiant lui-même, à
aimer
et à respecter ses semblables. Son talent candide
appelle quelquefois un homme aimable ? C’est un homme que personne n’
aime
, qui lui-même n’aime que soi et son plaisir, et q
un homme aimable ? C’est un homme que personne n’aime, qui lui-même n’
aime
que soi et son plaisir, et qui en fait profession
ent, dit Condillac, un mot propre à en réveiller l’idée ; tels sont :
aimer
, haïr. Quand je dis donc : j’aime, je hais, j’exp
en réveiller l’idée ; tels sont : aimer, haïr. Quand je dis donc : j’
aime
, je hais, j’exprime un sentiment, mais c’est l’ex
on modifie le sentiment, et on le rend avec plus de vivacité. Si je l’
aime
! si je le hais ! exprime combien on aime, combie
c plus de vivacité. Si je l’aime ! si je le hais ! exprime combien on
aime
, combien on hait ; moi, je ne l’aimerais pas ! mo
je le hais ! exprime combien on aime, combien on hait ; moi, je ne l’
aimerais
pas ! moi, je ne le haïrais pas ! fait sentir com
e ne le haïrais pas ! fait sentir combien on croit avoir de raisons d’
aimer
ou de haïr. » Voilà la raison réelle de cette de
Au seuil de vos palais fixe un œil moins jaloux. Donnez ! pour être
aimés
du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant mêm
bouche aux baisers ! Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j’
aime
, Frères, parents, amis et mes ennemis même Dans
Mon père, ce héros au sourire si doux1, Suivi d’un seul housard qu’il
aimait
entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa hau
ent, sur les forêts où roule Comme un hymne confus des morts que nous
aimons
. Et la face des eaux, et le front des montagnes,
ô doux enfants, qui lui refuserait Un regard, un sourire, et qui ne l’
aimerait
? Bonne bête aux yeux bleus, celle-ci, c’est la B
puis-je accourir, enfant, quand tu m’appelles, Quand tu me dis : je t’
aime
et te veux caresser ; Et que tes petits bras, com
nt entrer dans leur âme toutes sortes de discours et de maximes ; ils
aiment
mieux les supposer pour véritables que de les exa
éfaut. On croit qu’il y a de la honte à douter et à ignorer ; et l’on
aime
mieux parler et décider au hasard, que de reconna
d’avoir un esprit de raillerie sans affecter d’être plaisant, ou sans
aimer
à se moquer : il faut une grande justesse pour ra
icieux et capable de servir utilement son ami, parce que les hommes n’
aiment
naturellement que ce qui leur peut être utile. Or
er l’un et l’autre. Que l’homme maintenant s’estime son prix. Qu’il s’
aime
, car il a en lui une nature capable de bien ; mai
’il s’aime, car il a en lui une nature capable de bien ; mais qu’il n’
aime
pas pour cela les bassesses qui y sont. Qu’il se
ci tout le contraire : c’est que je me soucie beaucoup de vous, que j’
aime
à vous entretenir à toute heure, et que c’est la
arder de s’abandonner à ses pensées et aux mouvements de son cœur : j’
aime
mieux m’occuper de la vie que vous faites mainten
sujet et de mon objet, qui est ce qui s’appelle poétiquement l’objet
aimé
. Je songe donc à vous, et je souhaite toujours de
al peut-il arriver à une personne qui sait que Dieu fait tout, et qui
aime
tout ce que Dieu fait ? Voilà sur quoi je vous la
ais la vôtre. Les bons rois sont les vrais pères des peuples, ils les
aiment
naturellement. Leur gloire et leur intérêt le plu
eux et de leur faire sentir et avouer leur bonheur. Aussi en était-il
aimé
jusqu’à la passion ; et, dans le temps de sa mort
des ennemis de l’État et de ceux qui font mal. Que tout le reste vous
aime
, mette en vous sa consolation et son espérance, e
périr sans ressource ce qu’il a fait capable de le connaître et de l’
aimer
? Ici un nouvel ordre de choses se présente à moi
eux commencement d’un si grand ouvrage. Mais, hélas ! tout ce qu’elle
aimait
devait être de peu de durée. Le prince son époux
rêmement modéré ; son caractère était doux, ses manières simples ; il
aimait
à vivre avec les gens de sa cour. Il mit une règl
avait plusieurs bonnes qualités, qui ne manquait pas de lumières, qui
aimait
naturellement le bien, et, pour tout dire enfin,
n’étais point fait pour gouverner tranquillement un peuple esclave. J’
aime
à remporter des victoires, à fonder ou détruire d
uvons tant d’exemples dans les premiers temps de la république ; et j’
aime
autant Coriolan, qui porte la flamme et le fer ju
ait un Colbert sous un autre prince : sous votre roi Guillaume, qui n’
aimait
rien ; sous le roi d’Espagne Charles II ; sous ta
ans la pauvreté. Il s’est vu dans ses disgrâces méconnu de ceux qu’il
aimait
. L’injure a flétri sa vertu, et il a été offensé
rendre appui, C’est que tout n’est ici que vanité qui passe, Hormis d’
aimer
sa gloire et ne servir que lui. C’est là des vrai
rer nos jours Sans nous mettre en souci d’en mieux régler le cours, D’
aimer
la longue vie, et négliger la bonne, D’embrasser
mourir ? POLYEUCTE. Vous
aimez
donc à vivre ? NÉARQUE. Je ne puis déguiser que j
d’ennemis que vous-même : Seul vous vous haïssez lorsque chacun vous
aime
; Daignez considérer le sang d’où vous sortez, Vo
ite il vous plut la former, Pour ne vous pas connaître et ne vous pas
aimer
, Pour vivre des enfers esclave infortunée, Et sou
le temps ne m’en est pas connu. PAULINE. Quittez cette chimère, et m’
aimez
. POLYEUCTE.
UCTE. Je vous
aime
, Beaucoup moins que mon Dieu, mais bien plus que
le monde à la bonté divine ! PAULINE. Va, cruel, va mourir : tu ne m’
aimas
jamais. POLYEUCTE. Vivez heureuse au monde, et me
reurs. FÉLIX. Qu’on l’ôte de mes yeux et que l’on obéisse : Puisqu’il
aime
à périr, je consens qu’il périsse. Acte V, sc
agique, Qui va changer en pleurs l’allégresse publique. Ô frère, plus
aimé
que la clarté du jour ! Ô rival, aussi cher que m
i ! je vous suis suspecte ? ANTIOCHUS. Je suis amant et fils, je vous
aime
et respecte ; Mais, quoi que sur mon cœur puissen
vous voir sans m’alarmer, Vous craindre toutes deux, toutes deux vous
aimer
? Vivre avec ce tourment, c’est mourir à toute he
; J’ai recherché leur gloire, et vous leur infamie ; Et si je n’eusse
aimé
ces fils que vous m’ôtez, Votre abord en ces lieu
mis Dans un ardent désir d’être de vos amis. Oui, mon cœur au mérite
aime
à rendre justice, Et je brûle qu’un nœud d’amitié
sieur, cette matière est toujours délicate, Et sur le bel esprit nous
aimons
qu’on nous flatte. Mais un jour, à quelqu’un, don
Reprenez votre Paris ; J’
aime
mieux ma mie Au
a mie Au Gué, J’
aime
mieux ma mie528. La rime n’est pas riche et le s
Reprenez votre Paris ; J’
aime
mieux ma mie Au
a mie Au Gué, J’
aime
mieux ma mie. Voilà ce que peut dire un cœur vra
monsieur, votre humble serviteur. Acte II, scène IV. Célimène,
aimée
d’Alceste, reçoit d’ordinaire, au grand déplaisir
x que Bergerat543 l’appétit l’assaisonne. Ô fortuné séjour ! ô champs
aimés
des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés dél
t d’abord on la sent ; C’est elle seule en tout qu’on admire et qu’on
aime
. Un esprit né chagrin plaît par son chagrin même.
n coquin ténébreux ; Son visage essuyé n’a plus rien que d’affreux. J’
aime
un esprit aisé qui se montre, qui s’ouvre, Et qui
is la seule vertu peut souffrir la clarté : Le vice, toujours sombre,
aime
l’obscurité ; Pour paraître au grand jour il faut
mal une pénible intrigue, D’un divertissement me fait une fatigue. J’
aimerais
mieux encor qu’il déclinât son nom, Et dît : Je s
amoureux : Mais ne m’en formez pas des bergers doucereux. Qu’Achille
aime
autrement que Thyrsis et Philène : N’allez pas d’
s faiblesses. Achille déplairait, moins bouillant et moins prompt : J’
aime
à lui voir verser des pleurs pour un affront. À c
l qu’on l’a vu d’abord. Souvent, sans y penser, un écrivain qui s’
aime
Forme tous ses héros semblables à soi-même. Tout
lus, un noble patriotisme échauffait son âme. Favori de Louis XIV, il
aimait
le peuple comme Fénelon. On a même rapporté, mais
rcez-vous le cœur ! Vous la fille d’un Juif ! Hé quoi ! tout ce que j’
aime
, Cette Esther, l’innocence et la sagesse même, Qu
loi ? JOAS. Que Dieu veut être
aimé
; Qu’il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé
dame, excusez. Un enfant… ATHALIE, à Josabeth. J’
aime
à voir comme vous l’instruisez. Enfin, Éliacin, v
Joas, je puis donc vous nommer ? JOAS. Joas ne cessera jamais de vous
aimer
… Mais au milieu de cette pompe et de ces épanche
Arsame demande un entretien à Rhadamiste : il veut placer celle qu’il
aime
sous la protection de Rome ; il annonce qu’elle-m
ransportées au Panthéon, avec celles de J.-J. Rousseau. Sans doute il
aima
l’humanité ; mais il aima encore davantage la glo
vec celles de J.-J. Rousseau. Sans doute il aima l’humanité ; mais il
aima
encore davantage la gloire, ou plutôt la vogue, c
adrid l’autorité suprême Pour successeur enfin me donne un fils que j’
aime
. Faites régner le prince et le Dieu que je sers S
Ah ! mon fils, que je hais ces rigueurs tyranniques ! Les pouvez-vous
aimer
, ces forfaits politiques, Vous, chrétien, vous ch
voyait, quand de nous il fit choix, Pour annoncer son nom, pour faire
aimer
ses lois : t nous, de ces climats destructeurs im
spire dans ces lieux ; Je venais t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’
aimes
: vengeons-nous ; livre-moi la victime. ALZIRE. O
infortunée, La douleur de ta perte à leur Dieu m’a donnée ; Que je t’
aimais
toujours ; que mon cœur éperdu A détesté tes dieu
! tu ne me vois point d’un œil impitoyable ? ZAMORE. Non, si je suis
aimé
, non, tu n’es point coupable720 : Puis-je encor m
au pied de nos autels. Nos peuples, nos tyrans, tous ont su que je t’
aime
: Je l’ai dit à la terre, au ciel, à Gusman même7
ire ; Vous, dont les pleurs encore outragent votre époux ; Vous que j’
aimais
assez pour en être jaloux. ALZIRE. (À Gusman.) À
is ma vertu, qui parle aussi haut qu’elle. Zamore, tu m’es cher, je t’
aime
, je le doi : Mais après mes serments je ne puis ê
e vertu m’accable, et son charme m’attire. Honteux d’être vengé, je t’
aime
et je t’admire. (Il se jette à ses pieds.) ALZIRE
, affamé, nu, proscrit, Maudissant, comme ingrat, son vieil ami qui l’
aime
. Parle : était-ce bien lui ? le connais-tu toi-mê
on seulement pour me faire supporter la mort de ceux que j’ai le plus
aimés
, mais aussi pour m’empêcher de craindre la mienne
classique de M. Helleu mérite aussi d’être rappelée (1864). 239. On
aimerait
à penser que ce passage, d’un tour si délicat et
ouvrage est de savoir celle qu’il faut mettre la première. » 371.
Aimez
donc la raison , a dit Boileau ; il faut toujours
pouvait s’élever au dernier degré d’enthousiasme, puisque le chrétien
aime
Dieu comme la souveraine beauté et le ciel comme
par les annotations qui les accompagnent, celles de Bret, d’Auger, d’
Aimé
Martin, et plus récemment celle de M. Louandre. P
s, et lors même que nous serions persécutés par nos semblables, à les
aimer
encore et à les servir avec un généreux dévouemen
s quelques explications, en vue d’épargner une erreur à ses juges, il
aimera
mieux, pour donner à sa passion le plaisir de tri
que blessée au plus haut point des méchants styles, ne laissait pas d’
aimer
les redoutables coups d’épée » : voy. sa lettre d
ux de La Harpe, qui lui a consacré un excellent éloge, de Geoffroy, d’
Aimé
Martin et de M. Louandre, qui ont donné des éditi
xpression, si belle et si poétique par elle-même, a de plus, remarque
Aimé
Martin, le mérite de la convenance dans la bouche
à celle de Pauline, qui est aussi mariée à un autre que celui qu’elle
aime
: le rapprochement qu’on pourrait établir entre c
oins de jalousie ; Un rival au tombeau doit causer peu d’envie : Je l’
aimai
, je l’avoue, et tel fut mon devoir ; De ce monde
ait l’espoir Sa foi me fut promise, il eut pour moi des charmes, Il m’
aima
: son trépas me coûte encor des larmes. Vous, loi
ce sentiment de justice si profondément gravé dans tous les cœurs. On
aimera
toujours à voir la puissance injuste humiliée, co
nous blessons le grand homme : Mort, nous tombons à ses genoux. On n’
aime
que la gloire absente : La mémoire est reconnaiss
es suivre : C’est Dieu qui nous fait vivre, C’est Dieu qu’il faut
aimer
. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies,
auteurs de ce temps sert encor de modèle. Marchez donc sur ses pas ;
aimez
sa pureté, Et de son tour heureux imitez la clart
al d’Ancre, trop souvent loué, pendant sa vie, par Malherbe. Malherbe
aime
ces formes d’imprécation ; je les retrouve encore
nt-ils lire ces choses sans s’affectionner à lui, et, à votre avis, l’
aimeront
-ils ou l’estimeront-ils moins, à cause que, de so
les rancunes d’un déclassé qui, mécontent de lui-même et des autres,
aima
mieux déclarer la guerre à l’ordre social que de
au printemps, habiter ma patrie, j’y profiterai de vos bontés. Mais j’
aimerais
mieux boire de l’eau de votre fontaine que du lai
je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j’
aimais
à me perdre en imagination dans l’espace, mon cœu
à d’autres attachements pour l’être si fort à l’opinion publique ; j’
aime
trop mon plaisir et mon indépendance pour être es
s. » 1. Plus tard Rousseau lui écrira ce qui suit : « Je ne vous
aime
point, vous m’avez fait les maux qui pouvaient m’
eut arriver, Voltaire le sait bien. 3. On voit trop ici que Rousseau
aime
la botanique. Le moly est un poison. 4. Madame
e six blancs qui me restaient encore. » 1. Je lis ailleurs : « J’
aimerais
la société comme un autre, si je n’étais sûr de m
à beaucoup d’autres. » 1. Il disait encore : « L’oisiveté que j’
aime
est à la fois celle d’un enfant qui est sans cess
teur dont la tête bat la campagne sitôt que ses bras sont en repos. J’
aime
à m’occuper sans cesse à faire des riens, à comme
l’histoire même, qui est le genre qui les emploie de préférence, on n’
aime
pas à les rencontrer à chaque instant. Ils ne son
aits. MATIÈRE. Lafontaine. L’imagination, dans cet auteur qu’elle
aime
. Du modeste apologue a fait un vrai poème : Il a
le cerf sont vraiment ses amis, trait naïf, on peint bien ceux qu’on
aime
bien. Le sage t’accueille en son humble séjour,
onsoler Lafontaine de l’abandon où l’avait laissé Louis XIV. Ce roi n’
aimait
point le fabuliste, mais le sage l’accueille, mai
s — Chicaneau, bourgeois ; Madame la comtesse de Pimbesche. Tous deux
aiment
les procès et veulent plaider. LA COMTESSE. Monsi
t les hommes nés vicieux mais ayant tous en eux l’amour de la vérité,
aiment
cette manière indirecte de les instruire. Ce goût
lles n’arrêtent jamais ceux qui vivent dans la crainte de Dieu, qui s’
aiment
entre eux et se soulagent mutuellement. § 6.
faste des périodes le luxe des phrases symétriquement cadencées. On
aime
à y trouver des ellipses qui contribuent à la rap
fière, et l’âme s’y plaît seule devant Dieu. Réflexion sublime qu’on
aime
à rencontrer en finissant. C’est ainsi que l’écri
rs dramatiques sentent la force de la vérité, et savent que le public
aime
à voir agir, à entendre parler les grands acteurs
et court, qui chemine et qui plaît au souverain degré, même sans vous
aimer
, comme je fais. Je vous le dirais plus souvent, s
nfant, je ne finis point. Je vous défie de comprendre combien je vous
aime
. Mme de Sévigné. Paris, 9 mars 1672. N° 5. —
ais comme un très sensible bonheur pour moi de voir cette sœur, que j’
aime
fort, abbesse de Chelles2. Le roi récompense le g
en voudriez plus. Adieu, ma très aimable, continuez à m’écrire et à m’
aimer
. Mme de Sévigné. 3 juillet 1680. SVI. Modèle
ttres seraient assez heureuses pour vous plaire, que me sert cela ? J’
aimerais
mieux recevoir un soufflet, ou un coup de poing d
le monde. Ne mesurez donc point notre amitié sur l’écriture : je vous
aimerai
autant en ne vous écrivant qu’une page en un mois
cœur est en presse, je ne puis m’empêcher de me plaindre à ceux que j’
aime
bien. Il faut pardonner ces sortes de faiblesses,
je ne lui ai pas voulu dire le contraire. C’est une personne qui est
aimée
et estimée de toute la cour et qui dispose de tou
us m’en ferez une que vous me devez, si vous me faites l’honneur de m’
aimer
toujours autant que vous avez fait autrefois, et
lui être utile, l’est à moi qu’elle est très bonne : car en vérité, j’
aime
à vous écrire. C’est une chose plaisante à observ
laisir qu’on prend à parler, quoique de loin, à une personne que l’on
aime
, et l’étrange pesanteur qu’on trouve à écrire aux
a journée par vous. Je vous embrasse, ma chère fille. Si vous pouvez,
aimez
-moi toujours, puisque c’est la seule chose que je
u-dessous du mérite de mon amitié. Je souhaite, ma petite, que nous m’
aimiez
toujours ; c’est ma vie. C’est l’air que je respi
de Grignan. Ma chère enfant, votre vie de Marseille me ravit ; j’
aime
cette ville qui ne ressemble a nulle autre. Ah !
ves ! que je lui crois un esprit qui me plaît ! Il me semble que je l’
aime
, et que vous ne l’aimiez pas assez. Vous voudriez
un esprit qui me plaît ! Il me semble que je l’aime, et que vous ne l’
aimiez
pas assez. Vous voudriez qu’elle fût parfaite ? A
e petite personne qui ne songe qu’à plaire et à se corriger, qui vous
aime
, qui vous craint, et qui a bien de l’esprit, n’es
ur. Voilà ce que mon cœur a voulu vous dire de ma chère Pauline que j’
aime
et que je vous prie d’embrasser tout à l’heure po
voyons les choses de plus près que vous : tant de personnes qui vous
aiment
, et qui ont un peu de bon sens, ne peuvent guère
à attiser, par une action d’éclat, un premier emportement. J’ai mieux
aimé
paraître manquer aux bienséances, qu’au devoir de
tre oubli et de votre indifférence ? car, en aimant, qui ne veut être
aimé
? L’abbé de Chaulieu. (Date.) Décompositions
ez accoutumé à vos victoires autant par inclination que par devoir, j’
aime
à vous féliciter dans vos succès nouveaux ; mais
e de Sévigné tendant les bras à la flatterie, qui lui dit qu’elle est
aimée
de sa fille. Il serait difficile de classer cette
de l’écrivain est de savoir comment il s’acquittera. A dire vrai, j’
aime
peu cette répétition d’idées et cette espèce de c
tre en danger d’être haï et bien souvent abandonné ? Comment se faire
aimer
, sans perdre un peu de l’autorité, et relâcher de
son doux parfum flatte notre odorat. Semblable à un bienfaiteur, qui
aime
à faire le bien sans être connu, elle nous offre
e se montrer au grand jour comme la reine des fleurs, et pourquoi ? N’
aime-t
-on pas l’aurore plus encore que l’éclat du jour
leur, sors de ta retraite, viens prendre place en nos jardins. Nous t’
aimerons
, et chaque matin une eau bienfaisante augmentera
s la cruauté de le détruire. Reste dans tes bosquets, ô violette bien
aimée
; heureux qui sait, comme toi, répandre des bienf
nsonner, ou dire son épigramme contre les ministres. Il est brave, il
aime
les talents en tout genre ; il perfectionne tout
rêmement modéré ; son caractère était doux, ses manières simples ; il
aimait
à vivre avec les gens de sa cour. Ou ne dira plus
persuader ainsi ; c’est un homme universel, il se donne pour tel : il
aime
mieux mentir que de se taire ou de paraître ignor
aits auxquels on ne songe pas assez. Un grand écrivain ne se fait pas
aimer
seulement par son style et son génie ; il nous de
de tendresse, Son œil affectueux implore une caresse. Amitié ! Il en
aime
les marques et les implore. Je m’éloigne, quels
gré de ce mouvement qui rentre dans les mœurs oratoires, et nous fait
aimer
davantage un grand poète, privé de la vue et malh
lui paie avec ce qu’elle a de plus précieux, son estime. Il faut donc
aimer
la gloire, parce que c’est aimer les grandes chos
s précieux, son estime. Il faut donc aimer la gloire, parce que c’est
aimer
les grandes choses, les longs travaux, les servic
ortel ; écoute seulement, écoute ce que je puis te dire, si jamais tu
aimas
ton père... HAMLET. Grand Dieu !.... LE SPECTRE.
r, d’aviser promptement au moyen de sauver des fers un fils que vous
aimez
avec tant de tendresse. GÉRONTE. Que diable allai
. Le mieux du monde. DON JUAN. La jolie petite fille que c’est ! je l’
aime
de tout mon cœur. M. DIMANCHE. C’est trop d’honne
u, veux-tu que je te recueille ? Non pas, répondit la goutte d’eau, j’
aime
mieux me laisser tomber au milieu de cette jolie
voulez-vous que je m’approche un peu ? Dit l’écolier plaintif : je n’
aime
pas mon livre ; Voyez, ma main est rouge, il en e
les soirs et j’y vais tous les jours ; J’en suis très mécontent. Je n’
aime
aucune affaire. Le sort des chiens me plaît,
piter ? Irai-je, moi seule, me présenter devant lui sans offrande ? J’
aime
mieux aller prier le berger de m’immoler moi-même
nom qui convienne à ton humeur maligne, Raton, ne sois rien à demi. J’
aime
mieux un franc ennemi, Qu’un bon ami qui m’égrati
on, tel tu es encore aujourd’hui. Glorieux miroir où le Tout-Puissant
aime
à se contempler au milieu des tempêtes ; calme ou
t, tu t’avances terrible, impénétrable et solitaire. Je t’ai toujours
aimé
, ô Océan ! et les plus doux plaisirs de ma jeunes
ne retraite favorable à mes vues : ce riant tableau d’une solitude qu’
aimait
à se créer notre imagination, je l’ai sous les ve
fant tout seul, c’est le perdre. Tout seul, l’enfant apprend à ne pas
aimer
ses semblables ; il devient triste et morose, il
s du pauvre, qui chez eux n’ont ni feu, ni pain, ni personne pour les
aimer
, les instruire et les secourir tant que dure le j
e ces maisons est gouvernée, soit par un vieil invalide, bonhomme qui
aime
les enfants par instinct, comme il aime son chien
vieil invalide, bonhomme qui aime les enfants par instinct, comme il
aime
son chien caniche, soit par quelque bonne femme a
me une étrangère de lointain pays, aux procédés du bon accueil ; elle
aime
qu’on ne la dérange pas, et s’abandonne à qui l’a
n accueil ; elle aime qu’on ne la dérange pas, et s’abandonne à qui l’
aime
. Je ne suis pas sûr que sa présence promette le b
le fait même asseoir sur un trône, du haut duquel tombent sur ceux qu’
aime
ce roi d’un instant, les sceptres et les dignités
ut. Pendant plus de douze ans son enfant lui avait été confiée ; il l’
aimait
bien alors, car elle était innocente et bonne ; c
, se baignait alors un bel enfant aux cheveux blonds, appelé Loïs. Il
aimait
à nager dans ses eaux transparentes et à courir s
Oui, reprenait-il, je sais que j’aurais pu me sauver avec toi, mais j’
aime
mieux que tu périsses avec moi ; j’ aime mieux ta
u me sauver avec toi, mais j’aime mieux que tu périsses avec moi ; j’
aime
mieux ta mort que ma vie ! viens ! » En même temp
s une jeune personne bien gaie, bien vive et bien jolie, que son père
aimait
beaucoup. Ce père n’était jamais si heureux que l
rères et pour lever la hache contre nous ? » L’Anglais protesta qu’il
aimerait
mieux perdre mille fois la vie que de verser le s
N° 175. — Le Fardeau éternel. (Conte.) Le calife Hakkam, qui
aimait
la magnificence, voulant embellir et étendre les
tude… Bien des gens riront de lui, mais il était un peu comme moi, il
aimait
a regarder les nuages et il y voyait bien des cho
bles, et lui si grand et si puissant ! Aussi, avec ce simple pâtre, j’
aimais
mieux causer qu’avec bien de beaux messieurs, il
saut la faisait remuer et marcher. Je vous ai dit que le pâtre breton
aimait
les choses surnaturelles, il éprouva donc un vif
à toi tout seul, et nous ne partagerons que la prime et la chair. — J’
aime
mieux tout, dit Guillaume. — Mais tu ne peux pas
sseur. Eh bien ! il ma avoué que, dans ce moment-là, il aurait autant
aimé
être dans son lit qu’à l’affût. Ce fut bien pis
es nombreuses, Qui croisent en tous sens leurs routes ténébreuses, Il
aime
à voir ce lieu, sa triste majesté, Le palais de l
’Arc, ce qu’elle a fait pour son pays ; et dans ce village où nous l’
aimons
tous comme si nous l’avions connue, où les enfant
eux, en se rouvrant, ne vissent que le ciel et ce qu’il avait le plus
aimé
sur la terre. Alexandre sortit bientôt de cette c
yageais en Calabre ; c’est un pays de méchantes gens qui, je crois, n’
aiment
personne, et en veulent surtout aux Français : de
ayait pas encore le doux nom de mère, quand il n’avait, pour se faire
aimer
, que sa beauté d’ange, sa mère, chaque jour le po
-elle, le bonheur n’est pas de posséder beaucoup, mais d’espérer et d’
aimer
beaucoup. Notre espérance n’est pas ici-bas, ni n
usalem où il s’achemine aussi, suivant partout les traces de son bien
aimé
, et le voit en imagination, traîné ça et là chez
s’imagina de déclarer que c’était le vieux Tellis, lequel en effet n’
aimait
pas le banneret. Comme en ces âges reculés de tel
e croix sur la porte, avec les noms. — Quels noms ? — Ceux que vous n’
aimez
point entendre ; les noms de Jésus et de Marie. —
fet, contenu tout entier dans : Il ne restait plus rien d’Œdipe . On
aimerait
à voir Antigone à la recherche de son père pendan
sûreté pour votre personne sacrée que la fuite, je sais bien que vous
aimeriez
mieux mille fois mourir de pied ferme, que de vou
lée par l’interrogation. Après les motifs qui doivent décider Zaïre à
aimer
la loi chrétienne, viennent ceux qui vont la port
Jésus-Christ, il a consacré sa vie à son Dieu ; la bienveillance : il
aime
toujours sa fille coupable ; la prudence : il est
- tait peu de solidité pour la suite, et il a tenu parole. Il a mieux
aimé
briller que raisonner, et en cela même il a fait
affecterait autrement, et les règles seraient autres. Ainsi notre âme
aime
à connaître et à voir, à se ressouvenir de ce qu’
, à mon gré, contre l’art aussi bien que contre la nature. Ecrivains,
aimez
la variété, mais non les disparates qui choquent
sans doute nos mœurs aux vieux âges, mais, s’il fallait choisir, je l’
aimerais
mieux encore que de prendre les leurs. Tout ce cr
grotesque et du beau n’est rien qu’un retour à la barbarie. Si vous l’
aimez
, si vous le réclamez dans l’art, soyez du moins c
t périr d’ennui, renfermé entre les deux rangs de cette allee…. L’âme
aime
la variété…. C’est ainsi que les historiens nons
uver et ne pourrais le perdre ! la fameuse ellipse de Racine : Je t’
aimais
inconstant, qu’aurais-je fait fidèle ? sont des
Correction, rétroaction, épanorthose : J’avais un fils que j’
aimais
plus que ma vie ; on me l’a dérobé, plaignez mon
imais plus que ma vie ; on me l’a dérobé, plaignez mon infortune. J’
aimais
un fils plus que ma vie, Je n’ai que lui ; que di
frout si sanglant, sourient au barbare, lui vendent leur soleil qu’il
aime
. Loin de rougir, ils briguent une frivole gloire,
uris au barbare insolent ! Tu lui vends les rayons de ton astre qu’il
aime
! Rougis !… mais non : briguant une gloire frivol
humblement dans l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul.
Aimons
donc, aimons, chrétiens, la simplicité de Jésus,
ans l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimons donc,
aimons
, chrétiens, la simplicité de Jésus, aimons l’Evan
line de Paul. Aimons donc, aimons, chrétiens, la simplicité de Jésus,
aimons
l’Evangile avec sa bassesse, aimons Paul dans son
hrétiens, la simplicité de Jésus, aimons l’Evangile avec sa bassesse,
aimons
Paul dans son style rude et profitons d’un si gra
que les enseignements qui édifient ; et accoutumons-nous tellement à
aimer
Jésus-Christ tout seul dans la pureté naturelle d
ossiers et si rudes. Ce n’est point un docte pinceau qu’il manie ; il
aime
mieux l’exercice d’un métier plus humble et plus
anguissait encore : Qu’ai-je donc fait, s’écria-t-il, pour être ainsi
aimé
? Ce fut l’expression naïve de ce caractère simpl
ut prendre de la fortune pour du mérite : mais quand un peuple entier
aime
éperdument, peut-il errer ? Le cœur du prince sen
perdu un honnête homme et un brave officier, que j’estimais et que j’
aimais
. Je sais qu’il a un frère dans l’état ecclésiasti
e. Voilà l’élégance. Et maintenant, voici la grâce : Deux pigeons s’
aimaient
d’amour tendre. L’un deux, s’ennuyant au logis, F
ine, une tragédie de Phèdre ; comme Racine, il y introduit une Aricie
aimée
par Hippolyte, et cet amour au fond ne m’intéress
rs, Ce fut sur son charmant rivage Que sa fille volage Me promit de m’
aimer
toujours. Le zéphyr fut témoin, l’onde fut attent
dra la finesse et la délicatesse. La finesse est une qualité que l’on
aime
à rencontrer dans un auteur, non-seulement parce
côté avec le comique, de l’autre avec la simplicité et le naturel. J’
aimerais
mieux dire que le naïf est tout près de ce que la
n avez jamais vu un si impertinent. Parce qu’on sait que depuis peu j’
aime
les vers, on m’en apporte de toutes les façons. »
etite chose que l’on puisse faire à un vieux courtisan1. Pour moi qui
aime
toujours à faire des réflexions, je voudrais que
arché, nous étions d’accord sur ce point. 2. Quand on est triste, on
aime
à voir autour de soi la tristesse. 3. Touchée,
uis mise à vous écrire, au bout de cette petite allée sombre que vous
aimez
, assise sur ce siége de mousse où je vous ai vue
mais j’ai beau tourner, j’ai beau chercher, cette chère enfant que j’
aime
avec tant de passion est à deux cents lieues, je
es vertus antiques, austères, patriarcales. Sa correspondance le fait
aimer
et respecter. La guerre 1 Les fonctions d
oi, lui qui est un être moral et miséricordieux ; lui qui est né pour
aimer
; lui qui pleure sur les autres comme sur lui-mêm
e à le rendre aimable ; plus il croit plaire, plus il a de penchant à
aimer
. La frivolité qui nuit au développement de ses ta
nt de penser on de parler comme lui. » « En France, il semble qu’on
aime
les arts pour en juger bien plus que pour en joui
ésespèrent. Qu’on me pardonne cette faiblesse, j’admire mon pays et j’
aime
mon temps. Quoiqu’on en puisse dire, je ne crois
trie. Qu’est-ce qu’un classique 1 ? Un vrai classique, comme j’
aimerais
à l’entendre définir, c’est un auteur qui a enric
e négligence mêlée d’ornement. Au centre du lieu, trois grands hommes
aimeraient
souvent à se rencontrer devant le portique du pri
y attendrait le moins, des frères ou des maîtres. Lucrèce par exemple
aimerait
à discuter l’origine du monde et le débrouillemen
de savourer ce qu’on sent, comme de voir et de revoir les gens qu’on
aime
: pures délices du cœur et du goût dans la maturi
ez-vous le latin, madame ? Non ; voilà pourquoi vous me demandez si j’
aime
mieux Pope que Virgile. Ah ! madame, toutes nos l
écrivez que pour écrire : C’est pour vous un amusement. Moi, qui vous
aime
tendrement, Je n’écris que pour vous le dire. On
choix serait bien doux : L’Amour159 était blond comme vous ; Mais il
aimait
une brune comme elle. Ceux de nos auteurs qui on
e je formai Le premier jour du mois de mai ! Je vous vis, et je vous
aimai
. Si ce dessein vous plut, Sylvie, Le premier jour
allez former, Ne saurait être trop durable : L’Hymen fait un devoir d’
aimer
; L’Amour rend ce devoir aimable. Tous deux épuis
r nos frimas. Mais votre destinée Ne vous permet d’
aimer
qu’à la saison des fleurs ; Et quand elle a passé
t quand elle a passé, vous la cherchez ailleurs Afin d’
aimer
toute l’année. Lorsqu’une chanson érotique conti
inte, dans le Misanthrope. Quel est de ces deux personnages celui qui
aime
le plus l’humanité ? (Clermont, août 1885.) On a
s comédies de Molière. (Grenoble, avril 1887.) Sainte-Beuve a dit : «
Aimer
Molière, j’entends l’aimer sincèrement et de tout
noble, avril 1887.) Sainte-Beuve a dit : « Aimer Molière, j’entends l’
aimer
sincèrement et de tout son cœur, c’est, savez-vou
elles…. d’une multitude de métaphores qui approchent du galimatias. J’
aime
bien mieux sa prose que ses vers. Un autre défaut
er sur le défaut dont on veut les guérir ou préserver, ils penchent à
aimer
le vice avec lequel on tire parti des défauts des
nsion royale qui fut supprimée vers la fin de sa vie, car Louis XIV n’
aimait
pas Corneille : vous direz pourquoi. Boileau fait
rale, un pâturage ; pour l’alpinisme, un gymnase ; pour tous ceux qui
aiment
la nature, un parc sans rival. » (E. Levasseur,
– Discours animés des différents groupes. – Un industriel respecté et
aimé
de tous cherche à calmer les esprits et à ramener
, juillet 1891.) Expliquer cette pensée de La Rochefoucauld : « Nous
aimons
mieux voir ceux à qui nous faisons du bien que ce
la forme d’une lettre à un ami. (Paris, août 1881.) Un jeune écolier
aimait
à lire, mais se plaisait surtout aux lectures fri
sireux de lui plaire, aient cherché à s’approprier les qualités qu’il
aimait
. On le comprendra mieux encore si l’on songe qu’à
mère que préoccupe le sort de son enfant. Andromaque et Clytemnestre
aiment
, celle-ci sa fille et celle-là son fils, d’un amo
sa fille et celle-là son fils, d’un amour désintéressé ; Agrippine n’
aime
son fils que pour elle-même. De ces trois mères A
dresse est le trait principal du caractère d’Andromaque. Clytemnestre
aime
sa fille et elle la défend contre Agamemnon. Celu
maque parce qu’elle est moins douce et moins malheureuse. Agrippine n’
aime
Néron qu’en apparence. Elle a commis tous les cri
oïste et ambitieuse n’a pas les sentiments d’une mère réelle ; elle n’
aime
point son fils ; on n’est pas touché de ses plain
deur des Grecs auprès de Pyrrhus, le tue pour obéir à Hermione, qu’il
aime
, il nous apparaît à la fin de la pièce en proie a
éissent à des motifs fort différents. Burrhus est un bon citoyen ; il
aime
Néron dont il est le gouverneur et il aime aussi
us est un bon citoyen ; il aime Néron dont il est le gouverneur et il
aime
aussi sa patrie. Il sait qu’il ne peut y avoir de
érèt aux luttes quotidiennes de la politique. Le xviii e siècle ayant
aimé
surtout la lutte, il en résulte qu’il devait user
it bien, comme on l’a dit, le Renard succédant au Lion. Tous deux ont
aimé
la France et tous deux ont voulu la faire grande
pouvoir pour les grandes choses qu’il permet de faire ; Mazarin en a
aimé
le luxe et les jouissances. L’un et l’autre ont
chef-d’œuvre et que M. Corneille évitera sans doute à l’avenir ? Je n’
aime
pas également tous les personnages de sa tragédie
vie. Jeune et sans expérience, il attaque un guerrier renommé dont il
aime
la fille. Chimène, elle aussi, met le devoir au-d
s cessé d’être excellents et ils sont encore suivis par tous ceux qui
aiment
, avant tout, la raison. Expliquer ce qu’on en
nnet. Les petits maîtres encouragent Célimène à médire, Alceste qui l’
aime
et qui la voudrait parfaite, s’emporte et les tan
té. Philinte est un homme d’esprit et un homme bien élevé ; Alceste n’
aime
pas plus l’affectation dans le langage que dans l
é. Il faut en dire tout autant d’Oronte, le bel esprit, qui affecte d’
aimer
la critique et qui fait une affaire à qui s’avise
t attendre d’une femme, de son cœur et de sa condition ; Pyrrhus, qui
aime
Andromaque et qui descend jusqu’à la menacer de l
est que l’expression exacte d’une pensée toujours jeune. Ceux qui ont
aimé
le style pour lui-même et qui ont revêtu des idée
à votre éloge. J’ai pourtant une critique à vous faire, ou, si vous l’
aimez
mieux, un reproche à vous adresser. La critique s
je veuille plaider pour ma maison, ni que je réclame pour moi-même. J’
aime
les lettres pour la joie qu’on goûte à les cultiv
y apporte un peu trop de chaleur et de conviction. On défend ce qu’on
aime
comme on peut, et je n’aime pas médiocrement la f
leur et de conviction. On défend ce qu’on aime comme on peut, et je n’
aime
pas médiocrement la fable. J’ai dit ce que je vou
, il ne parle que d’aunage, de tarif et de sou pour livre. Sa femme n’
aime
que le luxe, elle ne fait cas que des gens de cou
la gloire du grand règne n’y sont pas oubliés. La belle ordonnance qu’
aimaient
les anciens et à laquelle ils sacrifiaient tout n
vrai goût est inconciliable avec cet esprit critique et chagrin qui n’
aime
rien, et qui sous prétexte de délicatesse n’a des
ous donniez aux affaires, gardez-les pour vous-même. D’Argenson. – J’
aime
le bruit, le mouvement ; le tracas des affaires m
sont impuissantes à rendre toute ma pensée. D’Argenson. – Vous avez
aimé
les livres comme j’ai aimé les affaires. Vous y a
toute ma pensée. D’Argenson. – Vous avez aimé les livres comme j’ai
aimé
les affaires. Vous y avez cherché l’instruction,
uieu. – Je ne leur ai demandé que des consolations et des joies. J’ai
aimé
l’étude pour elle-même. Tout jeune, à Juilly, j’e
ce jeune roi qui a fait de nous ses conseillers et ses ministres. Il
aime
son peuple, il veut le voir heureux et prospère,
le fourreau, tandis que nous écoutious les vers vibrants du Cid. Nous
aimions
alors comme Rodrigue, et l’amour au cœur et l’épé
aine, le bonhomme ne se perd pas dans une métaphysique ténébreuse, il
aime
les humbles et les faibles et c’est pour eux qu’i
La Fontaine, c’est là le caractère des œuvres parfaites. La Fontaine
aimait
la nature dans un siècle où tous les regards étai
rons d’ailleurs), dans les reproches qu’il leur adresse, nous aurions
aimé
, dans sa critique, un mot de louange, un grain d’
e qui nous auraient prouvé que l’auteur de Télémaque avait compris et
aimé
les auteurs de Polyeucte et d’Athalie. Fénelon re
ai et du naturel, cet admirateur de la pureté classique, n’a-t-il pas
aimé
, Phèdre, Andromaque, Ilermione et Monime ! Une se
e mariage s’accomplisse. Mithridate a deux fils, dont l’un, Xipharès,
aimait
Monime avant ses fiançailles, et était aimé d’ell
s, dont l’un, Xipharès, aimait Monime avant ses fiançailles, et était
aimé
d’elle. Au début de la pièce, le bruit court, de
e de Sévère, est unie à un homme qu’elle estime, admire, et finit par
aimer
. – Monime, isolée dans une cour étrangère, en pré
ur, éclate brusquement dans un entretien avec Xipharès. On l’accuse d’
aimer
Pharnace : Pharnace ? O ciel ! Pharnace ! Ah ! q
oi-même ? Ce n’est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j’
aimais
, m’arrache sans retour Et que, de mon devoir, esc
voir pour époux. Avant que votre amour m’eût envoyé ce gage Nous nous
aimions
……… Elle apprend enfin son erreur ; aussitôt sa r
sociale et par une culture littéraire déjà longue ; société polie qui
aimait
les plaisirs de l’esprit ; chez les auteurs, étud
s arbres, ses montagnes, les objets inanimés parlent, vivent ; il les
aime
) ; par Boileau (Épitre à M. de Lamoignon. Les Pla
, à la tête d’une belle fortune, épouse un homme de son rang, qu’elle
aime
et qui lui donne du moins une première année de b
ide, si dédaigneuse et toujours autant adorée. – Et son fils ? Elle l’
aima
, plus et mieux, je crois, que beaucoup de mères n
fils ? Elle l’aima, plus et mieux, je crois, que beaucoup de mères n’
aiment
leurs enfants, moins qu’il n’en était digne, si o
goureuse justice, elle l’est aussi d’égoïsme et d’amour-propre. – « J’
aime
à être comptée pour rien » dit Mme de Sévigné dan
la bonté. Cette disposition à la raillerie est incontestable. Boileau
aime
à se moquer ; c’est parce qu’il y prend plaisir q
mais ne sont-elles pas amusantes, et les coups bien portés ? Boileau
aime
à railler, Boileau sait railler. En voilà, dira-t
ême que de la politesse exagérée. Ils disent à une marquise « je vous
aime
», comme ils disent à un grand seigneur « je suis
la seule qualité qui leur manque, ils sont sincères : a céliméne. J’
aimais
son pas léger et vif comme un coup d’aile, J’aima
: a céliméne. J’aimais son pas léger et vif comme un coup d’aile, J’
aimais
son clair regard et ses jeunes appas, Et sa grâce
vulgaire. Jaloux de ma douleur et toujours solitaire, Ne pouvant plus
aimer
, je veux me souvenir ! Vous m’avez demandé mon s
sir l’impossible, l’idéal. Voici ce que nous dit Corneille. – Il faut
aimer
sa patrie, exclusivement, plutôt d’un amour un pe
amollissantes sur la fraternité. – Il faut pardonner à ses ennemis –
aimer
un Dieu par-dessus toutes les créatures – avoir a
isonnement critique qui précisément a été trop fermé pour elles, nous
aimons
qu’elles aient le sentiment très vif et très ingé
e de bonté et de maturité dans la nature ; celui qui le sent et qui l’
aime
a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et
nt et qui l’aime a le goût parfait ; celui qui ne le sent pas, et qui
aime
en deçà ou au-delà, a le goût défectueux. Il y a
d’art, et déterminer selon quels principes elle a été faite. Sentir,
aimer
le point de perfection dans l’art, cela concerne
. Mais il était nécessaire surtout d’expliquer ce qu’il entendait par
aimer
en deçà ou au-delà, et ce qu’était, en somme, ce
– Expliquer et commenter cette maxime : « Il est aussi impossible d’
aimer
le bien pour le bien que le mal pour le mal. » –
e ses amies qui lui demandait les causes du succès de son école : « J’
aime
mes élèves ! » – Développez cette réponse. – A qu
t ainsi du reste ; ces caractères sont mauvais et se portent en tout.
Aimez
les bonnes filles qui se donnent tout entières à
aintenon a dit : « C’est le propre d’un bon cœur et d’un bon esprit d’
aimer
à faire plaisir et à se rendre utile. » Commente
dée par vos maîtres, vous commencez à former votre bibliothèque. Vous
aimez
l’étude, vous avez le goût des lettres, et une éd
els ; répondez-lui. – Développez cette pensée de Mme de Maintenon : «
Aimez
la présence de ceux qui vous reprennent ; que vot
les très petits sujets ; ils ne veulent point souffrir de mal et ils
aiment
à en faire ; ils sont déjà des hommes. » – Une d
, dans une de ses lettres : « La jolie, l’heureuse disposition, que d’
aimer
à lire ! avec elle, on évite l’ennui et l’oisivet
iant jamais que le plus sûr moyen d’agir sur l’enfant est de se faire
aimer
de lui ; n’oubliant pas non plus, que le plus sûr
aimer de lui ; n’oubliant pas non plus, que le plus sûr moyen d’être
aimé
est d’aimer soi-même, il aura une vive sympathie
ui ; n’oubliant pas non plus, que le plus sûr moyen d’être aimé est d’
aimer
soi-même, il aura une vive sympathie pour ses élè
able, elle peut imposer l’étude à l’enfant, elle ne la lui fait point
aimer
ni accepter librement ; le domaine des actes lui
aintenon a dit : « C’est le propre d’un bon cœur et d’un bon esprit d’
aimer
à faire plaisir et à se rendre utile. » Comment
et pittoresque, où s’agite une petite société qu’il connaît et qu’il
aime
, celle des animaux, image de celle des hommes. Vo
e Vauvenargues : « La servitude abaisse les hommes jusqu’à s’en faire
aimer
. » – De l’utilité des vacances scolaires et du b
ut fier.« Du diable nous venons, et nous retournerons au diable. » Il
aime
les plaisirs, la poésie. Il récite les vers de so
e continuelle inquiétude. C’est le type du féodal. Philippe-Auguste n’
aime
ni la vaine gloire, ni les coups d’épée inutiles,
fut plus habile qu’eux à découvrir le cadavre de celui qu’elle avait
aimé
. CONSEILS ET PLAN CONSEILS A supposer même que la
e revue ; il craignait, non sans raison, qu’on ne le renvoyât : or il
aimait
passionnément l’état militaire. Pendant la revue,
re les malheurs et les chagrins de la vie. Tous les grands hommes ont
aimé
les lettres. Exemples : Alexandre, César, Charle
s d’un même Dieu, égaux devant lui et dont le premier devoir est de s’
aimer
les uns les autres…. Ces changements que je vous
allié du roi d’Assyrie. Touché de la douleur de la belle captive qui
aime
tendrement son époux, Cyrus la respecte lui-même
cle, dont Bossuet admire et célèbre les exploits, mais chez lequel il
aime
surtout à montrer la paix de la conscience reconq
e. – Elle augmente l’attrait du sol natal, elle fait que le Norvégien
aime
ses glaces, autant que l’Italien son soleil ; ell
: « le bon historien n’est d’aucun temps ni d’aucun pays ; quoiqu’il
aime
sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. L’hist
yage en France et on vous a demandé quelle était la province que vous
aimeriez
le mieux à visiter. Donnez les raisons de votre p
t de l’Institut agronomique et vous donnerez les motifs qui vous font
aimer
, soit les occupations d’un agronome ou d’un fores
n ami qui a les goûts casaniers, vous direz les raisons qui vous font
aimer
les voyages, les pays que vous voudriez visiter ;
le sur le développement de la prospérité agricole d’un pays. Quand on
aime
la campagne, on s’intéresse naturellement aux que
e vers suivant du poète Du Belloi : « Plus je vis d’étrangers, plus j’
aimai
ma patrie. » PLAN ET CORRIGÉ Plan. – Préambul
du Siège de Calais, à Du Belloi : « Plus je vis d’étrangers, plus j’
aimai
ma patrie. » 1er Paragraphe. – Les voyages à l’é
evons pas mépriser nos voisins, dédaigner l’humanité, sous prétexte d’
aimer
trop nos concitoyens. Écoles nationales vét
s. Elles obéissent, elles s’attachent au maître dont elles se sentent
aimées
. Citer des exemples. 2e Paragraphe. – La violence
e aujourd’hui, ses explorateurs, ses marins, ses colons n’ont-ils pas
aimé
« les belles emprises » ? ne se sont-ils pas élan
exemples : =il a hérité de sa grand-mère et de sa grand-tante ; = il
aime
à faire grand-chère ; = je suis arrivé à grand-pe
latifs, parce qu’ils ont rapport à un nom qui les précède : = il faut
aimer
la vertu et la pratiquer. En et y sont, par la m
On appelle objet, la personne ou la chose qui en est le terme. = Nous
aimons
naturellement la vertu ; = vous ambitionnez trop
e les terres ; = les vers rongent le bois. Dans ces phrases, les mots
aimons
, ambitionnez, fertilise, rongent, expriment des a
cevoir, ou souffrir l’impression : = l’homme sensible et compatissant
aime
et secourt les pauvres : = le tonnerre a renversé
action, dont l’impression est reçue par le sujet : = les pauvres sont
aimés
et secourus par l’homme sensible et compatissant
nt marque une chose qui se ferait moyennant une condition : = je vous
aimerais
, si vous remplissiez bien votre devoir. Imparfai
a première comprend les verbes, dont l’infinitif est terminé en er, =
aimer
. La seconde, ceux dont l’infinitif est terminé en
s composés, en y joignant les temps des verbes avoir ou être ; = j’ai
aimé
; = je suis tombé. Le gérondif sert à former les
on ajoute un t avec un trait d’union entre le verbe et le pronom ; =
aime-t
-il l’étude ? viendra-t-on ? puisse-t-elle être he
, enfin, etc. : = Ce vin est clair, et bon jusqu’à la lie : = Il faut
aimer
tout le monde, même ses ennemis. 7°. Les périodiq
lle devient rebelle ; Et pour la rattraper, le sens court après elle.
Aimez
donc la raison : que toujours vos écrits Emprunte
q rimes coups, courroux, doux, nous, vous 278 id. ; Les deux rimes
aime
et même 112 id. ; Les trois rimes aime, extrêm
278 id. ; Les deux rimes aime et même 112 id. ; Les trois rimes
aime
, extrême et même 180 id. On remarque immédiat
s, sans pitié pour eux-même, Se déchirer en deux dans le cœur qui les
aime
! *** Heureuse je vivrai toujours, toujours, to
e, Oubliez-vous ici qui vous interrogez ? ACHILLE. Oubliez-vous qui j’
aime
, et qui vous outragez ? AGAMEMNON. Et qui vous a
pense-t-on qu’inutile à moi-même, Je me laisse ravir une épouse que j’
aime
? Seul, d’un honteux affront votre frère blessé A
e qui m’en plaît. (Sat. X.) Qu’on n’a reçu du ciel un cœur que pour
aimer
. (Sat. X.) Et qui, parce qu’il plaît, a trop su
du vrai, » comme on ne saurait trop le répéter après Platon. Racine
aime
, cherche et trouve toujours ces deux éléments ind
rmé ne suffit point pour cette rime. Frivolité ne peut pas rimer avec
aimé
; consterné, avec embrasé. Il faut que la lettre
Ô bien heureux mille fois L’enfant que le Seigneur
aime
; Qui de bonne heure entend sa voix,
ale mesure : c’est ce qu’on peut voir dans les deux suivantes. Que j’
aime
à contempler, dans mes heureux caprices, Des prof
ernier soupir n’occupe ma pensée ! Ô rives du Jourdain149 ! ô champs
aimés
des cieux ! Sacrés monts ! fertiles v
s montres hideux : l’Envie est dévorée de serpents : la Vengeance est
aimée
de poignards : la Colère agitée de mouvements con
volant S’en va frapper le mur, et revient en roulant. ——————————— J’
aime
mieux un ruisseau qui sur la molle arène, Dans un
e syllogisme est un argument composé de trois propositions : Il faut
aimer
ce qui nous rend heureux ; Or la vertu nous rend
qui nous rend heureux ; Or la vertu nous rend heureux ; Donc il faut
aimer
la vertu. La première de ces trois propositions
arfait dans l’expression : La vertu nous rend heureux ; Donc il faut
aimer
la vertu. La première proposition se nomme antéc
ateur ? En logique on dit : La vertu nous rend heureux ; donc il faut
aimer
la vertu. Dans un ouvrage de goût, on présente d’
ion à prouver, et la raison qui la prouve n’arrive qu’après : Il faut
aimer
la vertu, car elle nous rend heureux. On donne s
1, etc. L’exemple suivant suffira pour en donner une idée : Il faut
aimer
ce qui nous rend plus parfaits ; Or les belles-le
its ; Or les belles-lettres nous rendent plus parfaits ; Donc il faut
aimer
les belles-lettres. Voilà un argument philosophi
un argument philosophique ; nous allons le rendre oratoire : Il faut
aimer
ce qui nous rend plus parfaits. C’est une vérité
l’homme tout entier un air de probité et de politesse : Donc il faut
aimer
les belles-lettres. Mais le goût ne souffrant pa
, il est facile de le renverser et de le déguiser : « Qui peut ne pas
aimer
les lettres ? ce sont elles qui enrichissent l’es
ins. 3º. On emploie le genre et l’espèce lorsqu’on prouve qu’il faut
aimer
la justice parce qu’il faut aimer la vertu, qui e
’espèce lorsqu’on prouve qu’il faut aimer la justice parce qu’il faut
aimer
la vertu, qui est genre par rapport à la justice
ui est genre par rapport à la justice ; et réciproquement, qu’on doit
aimer
, par exemple, la justice, qui est une des espèces
t le crédit : l’instruction est un grand moyen de persuasion, et l’on
aime
à croire ceux que l’expérience paraît avoir éclai
r la religion, pour les mœurs, pour les lois. On ne peut s’empêcher d’
aimer
et d’estimer un tel caractère. Plurimum ad omnia
er et de dire en vous-même : Partout, en ce moment, on me bénit, on m’
aime
; On ne voit point le peuple à mon nom s’alarmer
à ce qui a fait chérir de toute l’Europe et ce qui fera éternellement
aimer
les ouvrages de Rollin. Son nom, qui sera toujour
e l’entendement est de voir, de connaître ; celle de la volonté est d’
aimer
ou de haïr. Si la volonté tend à s’unir à l’objet
e courage et de vertu ; il vous intéresse pour lui ; il veut le faire
aimer
; il vous engage à craindre pour sa vie ; il vous
r vous mener au moment fatal où vous voyez tout à coup celui que vous
aimez
qui nage dans son sang et dont les yeux sont ferm
ond du cœur le moindre sentiment de vertu, viens, que je t’apprenne à
aimer
la vie. Chaque fois que tu seras tenté d’en sorti
hardiesse de Démosthène : Athéniens, je voudrais vous plaire, mais j’
aime
mieux vous sauver. L’orateur mettra encore l’au
ents passe presque toujours pour une subtilité de l’amour-propre, qui
aime
mieux dire du mal de soi que de s’en taire. L’ora
ssion ; peut-être même le mot honte serait-il impropre aussi, et l’on
aime
mieux ce latinisme qui seul peut rendre la délica
le héros dit, en parlant d’Aménaïde (act. IV, sc. 2) : Et l’eussé-je
aimé
moins, comment l’abandonner ? Il fallait vengée,
Et l’eussé-je aimé moins, comment l’abandonner ? Il fallait vengée,
aimée
; c’est une règle partout admise aujourd’hui. On
a parler que français. On cite pour exemple ce vers de Racine : Je t’
aimais
inconstant, qu’aurais-je fait fidèle ! Androm.,
les règles et par l’usage. L’exactitude grammaticale eût exigé : Je t’
aimais
quoique tu fusses inconstant ; qu’aurais-je fait
constant ; qu’aurais-je fait si tu avais été fidèle ! Mais il a mieux
aimé
être inexact que languissant, et manquer à la gra
le mérite de la propriété. Ainsi notre premier poète lyrique a mieux
aimé
dire compagnon que collègue, dans un vers où ce d
s fautes d’Annibal : « Lorsqu’il pouvait se servir de la victoire, il
aima
mieux en jouir. » Quum victoria posset uti, frui
otre victime ; Épargnez l’innocence, et punissez le crime. Hélas ! il
aima
trop un ami malheureux ; Voilà tout son forfait,
x de père. Il voulait dire des entrailles. Thésée à son fils : Je t’
aimais
, et je sens que, malgré ton offense, Mes entraill
la prose ; ils feraient languir la poésie, qui est plus libre et qui
aime
une noble audace. Cependant, on trouve souvent au
emples, c’est la différence du passif à l’actif : « Qui ne sait point
aimer
n’est pas digne de l’être. » Cette figure a surt
nd elles rendent le discours plus rapide sans le rendre obscur. Je t’
aimais
inconstant, qu’aurais-je fait fidèle ? La gramma
nconstant, qu’aurais-je fait fidèle ? La grammaire eût dit : Si je t’
aimais
quoique tu fusses inconstant, qu’aurais-je fait s
og., IX, 23.) En français, la langue oratoire et surtout la poésie, n’
aiment
point les parenthèses. La synchyse confond tout l
un peu le mérite de Fléchier et de plusieurs de nos poètes. L’esprit
aime
les contrastes, dit Montesquieu ; mais le tour de
au discours ou plus de force et de clarté au raisonnement. La poésie
aime
à se parer de comparaisons riches, grandes, expre
au talent naissant l’occasion de développer ses forces ; la jeunesse
aimera
toujours à promener son imagination sur cette lon
r l’avarice. Voilà les mêmes observations, la même nature ; mais vous
aimerez
mieux Plaute et Molière. Un coup d’œil rapide jet
els et tes prêtresses ? Les voilà, ces collines, ces champs, ce Tibre
aimé
des dieux, ce ciel de mon enfance que je regretta
e des grands monarques dont il suit l’exemple ; juste, pour être plus
aimé
; économe, pour faire plus de bien ; l’ami du lab
era l’empire, et guérira de si profondes blessures ? quel est l’homme
aimé
des dieux, dont les vertus et le courage rendront
avaient égarés, la guerre serait finie ; nous sommes faits pour nous
aimer
, les Français et moi. Mais parce que les émissair
e ? Mes amis, l’action que vous me conseillez serait injuste. Je dois
aimer
les Parisiens malgré leurs égarements ; leur cons
défense qui porte le nom de Français. Mes amis, je vous dois tout, j’
aime
à le reconnaître hautement, et peut-être un jour
dans le camp du Béarnais ; ils me verront, ils me connaîtront, ils m’
aimeront
peut-être, ou du moins ils ne mourront pas ! Je s
a Bruyère Arias ou le parleur impertinent, qui a tout vu, tout lu, et
aime
mieux mentir que de se taire ou paraître ignorer
s connaissances. Ne soyons jamais la proie d’une spécialité. Lettrés,
aimez
les sciences. Savants, ne dédaignez pas les lettr
dit traduttore, traditore (traduction est trahison). 5. Montesquieu
aime
à débuter par des traits saisissants, à frapper l
e le naturel sombre et cruel d’un prince soupçonneux. 5. Montesquieu
aime
ces expressions fortes qui parlent à l’imaginatio
ux, puriste dont la finesse littéraire fait le régal des gourmets, il
aime
à puiser aux sources antiques, et abuse de l’arch
antez : Mme Radcliff n’y suffirait pas2. Cependant je sais que vous n’
aimez
pas à être refusée, et comme je suis complaisant,
ageais en Calabre4. C’est un pays de méchantes gens, qui, je crois, n’
aiment
personne, et en veulent surtout aux Français5. De
rdez ces cendres, tristes mais précieux restes de celui que vous avez
aimé
, gardez-les pour son père. Mais attendez pour les
entrevoir, afin de nous ménager le plaisir de deviner le reste. Elle
aime
le mystère ; et une pensée qui n’a rien de mystér
écrivez que pour écrire ; C’est pour vous un amusement : Moi qui vous
aime
tendrement, Je n’écris que pour vous le dire. Le
douleur… ; le madrigal de Chamfort au roi de Danemark : Un roi qu’on
aime
… ; les verselets de Clotilde de Surville à son en
r ? Que faire de mon île ? Il n’y croît que des saules, Et tu n’
aimes
que le laurier. 65. Faites connaître le sentimen
e entre Polyeucte et Pauline : Pauline. Quittez cette chimère et m’
aimez
… Polyeucte. Quittez cette chimère et m’aimez…J
ez cette chimère et m’aimez… Polyeucte. Quittez cette chimère et m’
aimez
…Je vous aime Beaucoup moins que mon Dieu, beaucou
re et m’aimez… Polyeucte. Quittez cette chimère et m’aimez…Je vous
aime
Beaucoup moins que mon Dieu, beaucoup plus que mo
l’hysope. L’habitant d’un climat pluvieux compare la vue de ce qu’il
aime
à la vue d’un ciel sans nuages ; l’habitant d’un
hin, lui avait dit : Monseigneur, si vous êtes honnête homme, vous m’
aimerez
; si vous ne l’êtes pas, vous me haïrez, et je m’
culture. « Je n’ai eu jusqu’à ce moment que la douce habitude de vous
aimer
: mais je vous avouerai que je mêle à cet amour u
plus touché d’obtenir les suffrages, que de les contraindre. « 3°. J’
aimerais
mieux être un homme estimé qu’un homme aimable ;
t, pour ainsi dire, associé à l’œuvre immortelle de ce règne. Je vous
aimerai
alors de tendresse et de fierté ; et tandis que c
: c’est lui qui m’a dicté tout ce que cette lettre contient ; il vous
aime
trop pour avoir pu se tromper. Je suis, etc. »
olâtre, dont l’esprit français s’est comme approprié le domaine. Elle
aime
à se jouer au soleil et parmi les fleurs ; elle s
ns, elle joue en passant avec tous les sentiments du cœur ; mais elle
aime
surtout le plaisir, l’enjouement et l’esprit. La
s de la chanson : c’est comme un fruit naturel de cette terre où l’on
aime
avant tout l’esprit et la gaieté. Le moindre inci
539-1619), un des promoteurs de la culture des mûriers, dont Henri IV
aimait
à lire et dont Sully, grand ami de labourage et p
n n’est pas nouee en maniere qu’on n’ait aulcunement à s’en defier. «
Aimez
-le, disoit Chilon, comme ayant quelque jour à le
ne vous sentez assez forts et justes pour commander vos passions, et
aimer
vos ennemys selon que Dieu commande, abstenez-vou
dans le second rang, ont le plus fait pour la langue française, à « l’
aimer
passionnément ». Pellisson lut deux fois en une n
1591.] Brave Crillon, Vous sçavés comme estant roy de Navarre je vous
aimois
et faisois cas de vous. Depuis que je suis Roy de
us a prins. Plutarque me sourit tousjours d’une fresche nouveauté ; l’
aimer
c’est m’aimer, car il a esté l’instituteur de mon
utarque me sourit tousjours d’une fresche nouveauté ; l’aimer c’est m’
aimer
, car il a esté l’instituteur de mon jeune âge. Ma
icy fort formaliste et long, aussi puis-je dire avec vérité qu’ils y
aiment
le profit et y craignent de perdre autant qu’en l
je ne lui ai pas voulu. dire le contraire. C’est une personne qui est
aimée
et estimée de toute la cour, et qui dispose de to
us m’en ferez une que vous me devez, si vous me faites l’honneur de m’
aimer
toujours autant que vous avez fait autrefois, et
e à M. *** 302 . De Paris, le 24 novembre 1636. Je vous avoue que j’
aime
à me venger, et qu’après avoir souffert durant de
t-ils lire ces choses sans s’affectionner à lui ; et, à votre avis, l’
aimeront
-ils ou l’estimeront-ils moins, à cause que de son
tombe dans l’esprit de personne : de se faire le meilleur et le plus
aimé
d’un royaume, et non pas le plus grand et le plus
ieux pour vous dire de porte à porte que je ne vous crains ni ne vous
aime
. Après tout, pour vous parler sérieusement, et vo
les paroles, et non dans l’esprit, cela suffit pour éloigner ceux qui
aiment
sincèrement la vérité. Il n’est pas nécessaire de
nt faire et à dire durement les choses dures. On ménage ceux que l’on
aime
et que l’on estime, et ainsi on témoigne propreme
nt entrer dans leur âme toutes sortes de discours et de maximes ; ils
aiment
mieux les supposer pour véritables que de les exa
éfaut. On croit qu’il y a de la honte à douter et à ignorer ; et l’on
aime
mieux parler et décider au hasard, que de reconno
), ce « canal » transparent, comme dit La Fontaine (I, 11), où nous n’
aimons
pas à nous voir. L’auteur, en effet, ne nous flat
par complaisance. Pour plaire aux autres, il faut parler de ce qu’ils
aiment
et de ce qui les touche, éviter les disputes sur
cœur. L’amour-propre est le plus grand de tous les flatteurs. On
aime
mieux dire du mal de soi-même que de n’en point p
umblement dans l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul.
Aimons
donc, aimons, chrétiens, la simplicité de Jésus,
s l’école de Jésus-Christ, sous la discipline de Paul. Aimons donc,
aimons
, chrétiens, la simplicité de Jésus, aimons l’Évan
ne de Paul. Aimons donc, aimons, chrétiens, la simplicité de Jésus,
aimons
l’Évangile avec sa bassesse, aimons Paul dans son
hrétiens, la simplicité de Jésus, aimons l’Évangile avec sa bassesse,
aimons
Paul dans son style rude et profitons d’un si gra
s que les enseignement qui édifient ; et accoutumons-nous tellement à
aimer
Jésus-Christ tout seul dans la pureté naturelle d
ais la vôtre. Les bons rois sont les vrais pères des peuples, ils les
aiment
naturellement : leur gloire et leur intérêt le pl
ux, et de leur faire sentir et avouer leur bonheur. Aussi en étoit-il
aimé
jusqu’à la passion ; et dans le temps de sa mort,
des ennemis de l’État et de ceux qui font mal. Que tout le reste vous
aime
, mette en vous sa consolation et son espérance, e
loyé pour s’en défendre tant d’artifices innocens, et s’ils ont mieux
aimé
s’exposer à manquer de tout, que d’accepter ces t
orateurs fleuris. Évêque de Lavaur (1685), puis de Nismes, il se fit
aimer
et vénérer des protestants comme des catholiques
quelque indifférente et quelque froide que je paroisse, j’ai toujours
aimé
l’esprit avec passion, et, ayant toujours trouvé
uns et des autres, il choisit ceux qu’il veut connoître et qu’il veut
aimer
; et, pour peu qu’il trouve de bonne volonté, il
qui lui plaisent, il demeure au dedans de lui-même. Avec ses amis, il
aime
à discourir et à se répandre au dehors ; il est p
ère à personne. Il ne se pique pas de faire valoir ce qu’il sait ; il
aime
mieux leur donner le plaisir de dire eux-mêmes ce
capable, de quoi ne le serois-je point, si Votre Majesté avoit mieux
aimé
, si elle aimoit mieux encore me corriger que me p
ication et par sa conduite, la gloire de tous ses prédécesseurs. Il n’
aima
qu’à répandre le sang de ses ennemis, il épargna
ingénieux, ou maladroit et stupide. Si, bon, il ne dérobera point, il
aimera
mieux du moins se payer. Si, méchant, il craindra
pas aisé de vaincre notre naissance et notre mauvaise éducation. Nous
aimons
tous Votre Majesté. Que rien ne nous rende auprès
e la valeur407 Ne doutez point qu’en tout temps je n’eusse mieux
aimé
conquérir des états que de les acquérir. Mais qui
ous soit arrivé quelque accident, et c’est tout le contraire ; vous m’
aimez
, ma chère enfant, et vous me le dites d’une maniè
suis. Vous vous avisez donc de penser à moi, vous en parlez, et vous
aimez
mieux m’écrire vos sentimens que vous n’aimez à m
vous en parlez, et vous aimez mieux m’écrire vos sentimens que vous n’
aimez
à me les dire. De quelque façon qu’ils me viennen
endresse et une sensibilité qui n’est comprise que de ceux qui savent
aimer
comme je fais. Vous me faites sentir pour vous to
nt, l’unique passion de mon cœur, le plaisir et la douleur de ma vie.
Aimez
-moi toujours, c’est la seule chose qui peut me do
t chère, qui touche mon goût, mon inclination, mes entrailles ; qui m’
aime
plus qu’elle n’a jamais fait : il faut donner tou
le peut-il arriver à une personne qui sait que Dieu fait tout, et qui
aime
tout ce que Dieu fait ? » Voilà sur quoi je vous
que vous devriez conserver, quand ce ne seroit que parce que je vous
aime
. Travaillez sur votre humeur : si vous pouvez la
ontre vous. Quant à moi, ma chère fille, je vous proteste que je vous
aime
tendrement, que je suis persuadée que vous m’aime
roteste que je vous aime tendrement, que je suis persuadée que vous m’
aimez
; et vous êtes une de celles de la communauté don
mption est foible, et qu’elle attire de profondes humiliations ! Vous
aimez
la communauté et vous n’y serez jamais propre que
on, vous ne serez jamais contente, ma chère fille, qu’au jour où vous
aimerez
Dieu de tout votre cœur ; je ne vous parle pas ai
il confessoit que tout n’est que vanité et affliction d’esprit, hors
aimer
Dieu et le servir. Que ne puis-je vous faire voir
ber435 ? J’ai été jeune et jolie ; j’ai goûté des plaisirs ; j’ai été
aimée
partout. Dans un âge un peu plus avancé, j’ai pas
s à sa gloire ; je ferois le bonheur d’une personne que j’ai toujours
aimée
particulièrement, et je rendrois un grand service
mouvemens de ses passions, qui n’aperçoit que ce qu’il sent, et qui n’
aime
que ce qui le flatte, est dans la plus misérable
qui, sans vous avoir jamais vus, sans savoir même où vous êtes, vous
aiment
tendrement, quittent tout pour vous, et vous cher
est l’esprit de Dieu, là est la vraie liberté 473. Si une fois vous l’
aimez
de tout votre cœur, vous serez presque toujours e
prince. Soyez bon ami, obligeant, officieux, ouvert : cela vous fera
aimer
et apaisera la persécution. Qu’on voie que ce n’e
ar ambition, ni par envie de se mêler des grandes affaires. Elle vous
aime
sans être connue de vous ; elle regarde Dieu en v
…………………………………………………………………………… Cependant vos peuples, que vous devriez
aimer
comme vos enfans, et qui ont été jusqu’ici si pas
point empoisonné. Le peuple même (il faut tout dire), qui vous a tant
aimé
, qui a eu tant de confiance en vous, commence à p
s. Ils croient que vous n’avez aucune pitié de leurs maux, que vous n’
aimez
que votre autorité et votre gloire. Si le Roi, di
préfère sa propre gloire à l’amour et au salut de ses peuples ; s’il
aime
mieux conquérir des provinces que régner sur les
implicité de leur vie privée. Il les a fait comprendre, il les a fait
aimer
». C’est de l’éloquence substantielle, qui, comme
ardente et zélée, et nullement courtisan ; il auroit infiniment mieux
aimé
servir que plaire. Personne n’a été si souvent qu
ort doux et avec un grand amour pour la tranquillité. Il auroit mieux
aimé
être inconnu que de voir le calme de sa vie troub
dernières années de sa vie il fut honnête et bienfaisant ; il se fit
aimer
et estimer également des officiers et des soldats
gouverneur : « Savez-vous bien, monsieur Brinon, lui dis-je, que je n’
aime
pas qu’un sot fasse le raisonneur ? Allez-vous-en
it lui et sa famille en état de pouvoir vivre un peu plus à son aise,
aime
mieux demeurer sans rien faire ; et que celui qui
à la tête de nouveaux disciples qu’à la suite des anciens maîtres. On
aime
mieux parler à l’imagination qu’au jugement, éblo
………………………………………………………………………………………………………………… Je commence à sentir et à
aimer
plus que jamais la douceur de la vie rustique, de
enfin de don Fernand, qui le venoit voir très souvent, que j’en étois
aimé
de manière que je pouvois compter ma fortune fait
sur ton sort ; je me charge de t’en faire un des plus agréables. Je t’
aime
; et pour te le prouver, je te fais mon confident
tourderie ! Je devois bien faire réflexion qu’il y a des grands qui n’
aiment
pas qu’on les prévienne, et qui veulent qu’on reç
nsuel ; car, dans le goût physique, quoiqu’on finisse quelquefois par
aimer
les choses pour lesquelles on avait d’abord de la
ès. Je cherchais le fameux comte de Bussi. Madame de Sévigné, qui est
aimée
de tous ceux qui habitent le temple, me dit que s
ant sa vie d’avoir doublé les œuvres de la création ; mais les hommes
aiment
à rendre justice aux morts, soit qu’ils se flatte
lattent de l’espérance qu’on la rendra mieux aux vivants, soit qu’ils
aiment
naturellement la vérité. Americo Vespucci, négoci
sait un présent de trente mille pièces d’or à celui qui serait jugé l’
aimer
d’avantage. L’aîné lui bâtit un tombeau, le secon
de son héritage la dot de sa sœur ; chacun disait : C’est l’aîné qui
aime
mieux son père, le cadet aime mieux sa sœur ; c’e
sœur ; chacun disait : C’est l’aîné qui aime mieux son père, le cadet
aime
mieux sa sœur ; c’est à l’aîné qu’appartiennent l
en, dit Zadig, et vous aurez les trente mille pièces : c’est vous qui
aimez
le mieux votre père. Il venait tous les jours des
je ferai quelque chose pour lui. Je suis un peu malade, mais je vous
aime
comme si je me portais bien. À M. le marquis
ez-vous le latin, madame ? Non : voilà pourquoi vous me demandez si j’
aime
mieux Pope que Virgile. Ah ! madame, toutes nos l
elles, faire des hommes des bêtes et des bêtes faire des hommes. S’il
aime
les âmes libres, il aura des sujets ; s’il aime l
aire des hommes. S’il aime les âmes libres, il aura des sujets ; s’il
aime
les âmes basses, il aura des esclaves. Veut-il sa
, qu’on appelle les hommes de mérite ; il leur est égal dès qu’il les
aime
. Qu’il gagne le cœur, mais qu’il ne captive point
e tous nos plaisirs. Il faut avoir beaucoup étudié pour savoir peu. J’
aime
les paysans ; ils ne sont pas assez savans pour r
élé à ses contemporains le sentiment de la nature extérieure, qu’il a
aimée
avec passion et peinte avec génie. La vraie li
nidas étoit mort pour son pays avant que Socrate eût fait un devoir d’
aimer
la patrie ; Sparte étoit sobre avant que Socrate
je me livrois avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j’
aimois
à me perdre en imagination dans l’espace ; mon cœ
rès-agréable, et singulièrement située pour le bonheur d’un homme qui
aime
à se circonscrire ; car, quoique je sois peut-êtr
geurs ; mais il est intéressant pour des contemplatifs solitaires qui
aiment
à s’enivrer à loisir des charmes de la nature, et
es qui me gâtent ; il est juste que vous en souffriez ; d’ailleurs, j’
aime
beaucoup mieux vous écrire rarement, que retenir
geste et son visage sont également insolens. Le bon vieillard, qui a
aimé
ses enfans, mais qui n’a jamais souffert qu’on lu
sans qu’on sût pourquoi, sinon qu’il était homme de probité et qu’il
aimait
sa patrie. Ni la préture, ni son innocence ne pur
-on que, même sur l’échafaud, soutenu de ce sentiment intime que j’ai
aimé
avec passion ma patrie et la république, couronné
é, selon le vœu de Quintilien, tum copia, tum brevitate mirabilis. Il
aime
mieux, dans le choix des mots, rester en deçà que
oroient. Mes paysans me bénissoient. Mes arbres croissoient. Ce que j’
aimois
étoit encore au monde, ou existoit pour moi. — Ô
il est Russe pour la subordination et pour le bon maintien. Aimable,
aimé
de tout le monde, ce qui s’appelle un joli Franço
éologie peut être aussi, ce me semble, adressée à ce même Sénèque : «
Aimeriez
-vous mieux, disait-il, être Sylla que Régulus ? »
tu avais su dévorer en silence tes petites seccature 643, et te faire
aimer
de tes saintes geôlières. Ce monde-ci, ma chère A
aisses faire. Je te recommande l’application par dessus tout. Si tu m’
aimes
, si tu aimes ta mère et tes sœurs, il faut que tu
Je te recommande l’application par dessus tout. Si tu m’aimes, si tu
aimes
ta mère et tes sœurs, il faut que tu aimes ta tab
tout. Si tu m’aimes, si tu aimes ta mère et tes sœurs, il faut que tu
aimes
ta table ; l’un ne peut pas aller sans l’autre. J
as aller sans l’autre. Je puis attacher ta fortune à la mienne, si tu
aimes
le travail ; autrement tout est perdu. Dans le na
ées, ses sentiments et ses affaires, mais c’est un instrument dont on
aime
à jouer, et qui ranime les esprits, comme la musi
ésir de plaire : mais elle diffère pourtant beaucoup du besoin d’être
aimé
; le désir de plaire rend dépendant de l’opinion,
mé ; le désir de plaire rend dépendant de l’opinion, le besoin d’être
aimé
en affranchit : on pourrait désirer de plaire à c
ules. La plaisanterie allège pour un moment le poids de la vie : vous
aimez
à voir un homme, votre semblable, se jouer ainsi
à descendre 699 ; mais non, il croit monter en s’égalant aux rois. Il
aime
mieux un titre qu’un nom. Pauvre homme ! ses idée
aille, mes amis ! bataille ! Je n’ai guère envie de vous la conter. J’
aimerais
mieux manger que t’écrire ; mais le générat Reyni
pas. — S’il n’y avait du poison ? — Non, le monde est ainsi fait ; on
aime
le poison dans tout ce qui s’imprime. Votre pamph
r le débit. Mais je m’étonne comment le monde, à ce que vous dites, l’
aime
tant. C’est sans doute qu’avec ce poison il y a d
s choses d’aujourd’hui ; je ne puis souffrir les pamphlets. — Et vous
aimez
les Provinciales, petites lettres, comme alors on
amour a des secrets que nous ne connaissons point. Croyons, espérons,
aimons
, et poursuivons notre route en paix. « Si je meur
e prêtre et le moine respirait le citoyen : il fut l’apôtre ardent et
aimé
de l’union du catholicisme et de la liberté. Dans
les plus forts, au besoin dramatique de sa nature. Ce même homme, qui
aime
le repos, et qui le demande à l’ivresse, veut aus
érir, le triomphe de Châlons-sur-Marne est un péristyle où vous aurez
aimé
à le reconnaître et à le saluer. …………………………………………
cela dans son récit, avec tout le dialogue. Quand on lit Hérodote, on
aime
qu’il vous parle de son voyage en Égypte, de ses
oires : « Voulant, dit-il, parler de mon temps et de ma propre vie, j’
aime
mieux le faire du bord que du fond de ma tombe. P
loureuse passion dans le cœur de ce vieillard qui l’avait sincèrement
aimée
et laborieusement servie. Il vint s’établir à Rou
nal de Bérulle, il aurait très-bien pu faire son chemin en France. Il
aima
mieux courir le monde, errer en Allemagne et en I
et la tyrannie ; elle apprend à tous les hommes à se respecter et à s’
aimer
. Concourir selon nos forces à relever, à défendre
ous vous montrons ici le principe de vos maux et leur remède. Si vous
aimez
la liberté et la patrie, fuyez ce qui les a perdu
La Rochefoucauld est devenu écrivain Je ne m’en défends pas, je n’
aime
pas La Rochefoucauld : je veux dire l’homme et le
pte, qu’il échappe à l’œil aussi rapidement que l’oiseau qui vole. Il
aime
à recevoir la chaleur du soleil ; ayant besoin d’
l’être, il avait applaudi au talent naissant de Barnave, quoiqu’il n’
aimât
pas ses jeunes amis807 ; il appréciait l’esprit p
rétention de gouverner une révolution qu’il savait lui appartenir. Il
aimait
peu le duc d’Orléans et son ambition incertaine,
ne, ni pour les talents, ni pour le caractère, à côté de Desaix. Il l’
aimait
d’ailleurs : entouré de compagnons d’armes qui ne
fin et connût bien les hommes au milieu desquels il avait vécu, il n’
aimait
pas à les mener, et peut-être n’avait-il pas ce q
lement le voir et l’embrasser. Son instinct paternel le pousse, et il
aime
son fils, quel qu’il soit, bon ou mauvais. Dans l
société : ils représentent l’état de l’imagination. Or, l’imagination
aime
et cherche surtout ce qui n’est pas. Quand la gue
Horace : elle vante le repos du rivage quand gronde la tempête ; elle
aime
les flots et les orages, quand le vaisseau est da
mieux à la société qu’elle lui ressemble moins. La société autrefois
aimait
à trouver, dans la littérature, l’image embellie
aient si enfoncés dans l’étude dû passé, qu’ils pensaient, sentaient,
aimaient
, haïssaient dans les langues mortes. Des hommes q
omie avec les sourires et l’insouciance de la première jeunesse. On l’
aimait
familièrement au pied de la tribune. On s’étonnai
us m’encouragez à vous expliquer à mon tour ce qui se passe en moi. J’
aime
véritablement les objets qui sont, pour ainsi dir
dans ce vaste tableau qui m’entoure, j’ai des sites favoris et que j’
aime
de préférence ; de ce nombre est l’ermitage que v
ans des temps plus heureux et dont la mémoire s’est effacée en moi. J’
aime
surtout à contempler les montagnes éloignées qui
ut se dispenser dans un petit endroit comme le nôtre. — Colomba, je n’
aime
point à voir ma sœur se donner ainsi en spectacle
414. Elle dit ailleurs (5 oct. 1673) : « Dieu me fasse la grâce de l’
aimer
un jour comme je vous aime. » 415. Avec Mme de
ct. 1673) : « Dieu me fasse la grâce de l’aimer un jour comme je vous
aime
. » 415. Avec Mme de Lafayette rue de Vaugirard.
uivre de l’infinitif, précédé ou non de la préposition de, les verbes
aimer
, désirer, souhaiter, espérer (voy. le morceau sui
it, le vieillard « lui prend fortement le bras, et lui dit : Général,
aimez
-vous la chasse ? Cette question inattendue laisse
question inattendue laisse le général embarrassé. — Eh bien ! si vous
aimez
la chasse, aimez-vous chasser quelquefois aux can
ue laisse le général embarrassé. — Eh bien ! si vous aimez la chasse,
aimez
-vous chasser quelquefois aux canards sauvages ! C
it. Les mémoires lui laissent la liberté de se livrer à son génie. Il
aime
à dire : J’étais là, le Roi me dit… J’appris du p
as ! ce que disaient nos pères : Que, lorqu’on meurt si jeune, on est
aimé
des Dieux ? 947. L’auteur, alors officier, y é
e et l’instruit souvent plus que le simple récit de leurs actions. Il
aime
qu’on lui montre le cœur humain à découvert, et à
que Louis était affable. Il haïssait les femmes autant que Louis les
aimait
. Louis faisait la guerre en roi, et Guillaume en
royaume sans aucun droit de la nature, de s’y être maintenu sans être
aimé
, d’avoir gouverné souverainement la Hollande sans
au salut de ses concitoyens. C’est le lot d’un peuple qui aura mieux
aimé
mourir libre que de vivre esclave. C’est le lot,
sans cesse la recette et la dépense, firent toujours la guerre sans l’
aimer
. Des batailles perdues, la diminution du peuple,
sement ; il réduisit sa table à la frugalité la plus grande. Il avait
aimé
le faste dans les habits, il ne fut plus vêtu que
uteurs immortels du xviie siècle, malgré des négligences ou, si on l’
aime
mieux, de véritables fautes dont la noblesse se p
chés indifféremment de tout ce qui rappelle leurs premières années, n’
aiment
peut-être dans Œdipe que le souvenir de leur jeun
tent de soi et de son esprit l’est de vous parfaitement. Les hommes n’
aiment
point à vous admirer ; ils veulent plaire : ils c
froid dans le péril3, ne ménager sa vie que pour le bien de son État,
aimer
le bien de son État et sa gloire plus que sa vie
ifices surprenants ; un génie enfin supérieur et puissant qui se fait
aimer
et révérer des siens, craindre des étrangers ; qu
Corneille.) 4. Ils naissent instruits. C’est trop d’hyperbole. J’
aime
mieux la malice de La Fontaine disant : Le fils
9.) 1. On lit dans Racine : Il faut désormais que mon cœur, S’il n’
aime
avec transport, haïsse avec fureur. (Andromaque,
uitième siècle, satire.) Gœthe a dit : « Voilà bien les hommes ! ils
aiment
à voir, en vrais badauds, les malheurs du prochai
e faire craindre, sans se mettre en danger d’être haï ; pour se faire
aimer
, sans perdre un peu de l’autorité, et sans relâch
sans estimer ; où l’on applaudit, sans approuver ; où l’on sert, sans
aimer
; où l’on nuit, sans haïr ; où l’on s’offre par v
et la persuasion dans les âmes. Un des plus efficaces moyens de faire
aimer
la vertu, c’est de persuader qu’on l’aime soi-mêm
efficaces moyens de faire aimer la vertu, c’est de persuader qu’on l’
aime
soi-même. Un des plus efficaces moyens de faire g
ins suspecte d’intérêt que celle des personnes plus âgées. Mais s’ils
aiment
avec transport, on peut dire aussi qu’ils haïssen
mes, ils croient les hommes meilleurs qu’ils ne le sont en effet. Ils
aiment
la joie, l’amusement, la gaieté. » On peut compte
se part, et à ne former aucun attachement bien solide et durable. Ils
aiment
, disait un sage de la Grèce, comme s’ils devaient
devaient haïr un jour ; mais aussi ils haïssent, comme s’ils devaient
aimer
un jour. L’amour et la haine sont dans leur cœur
caractère de la noblesse est de rendre amateur de la gloire ; car on
aime
à augmenter les avantages qu’on possède : or la n
. Comme ils ont occasion d’acquérir et de montrer plus de vertus, ils
aiment
à faire de grandes choses que leur puissance les
ou utiles ? Notre volonté se porte vers ces objets, les poursuit, les
aime
, et s’y attache : de là l’amour. Ces objets lui p
ne, et à la tendresse des peuples, qu’elle commençait à regarder et à
aimer
comme ses sujets. Vos vengeances, ô mon Dieu, se
Supplément aux exemples. Manière de lire les vers. C’est peu d’
aimer
les vers, il les faut savoir lire ; Il faut avoir
nné : la vie et la lumière, Le blé qui fait le pain, les fleurs qu’on
aime
à voir, Et mon père et ma mère, et ma famille ent
puissent leurs enfants les contenter sans cesse, Pour être
aimés
d’eux et de vous ! Madame Tastu. * Portrait de
c. Exemples : On ne doit jamais parler de soi. Chacun songe à soi. N’
aimer
que soi, c’est être mauvais citoyen. 128. — Il
e plus proche, cela désigne une chose plus éloignée. Exemples : Je n’
aime
pas ceci ; donnez-moi cela. 136. — Le mot perso
un t devant il, elle, on. Exemples : Appelle-t-il ? Viendra-t-elle ?
Aime-t
-on les paresseux ? L’usage ne permet pas toujour
z rien, et laissez demander mon évêché à ceux qui le croiront vacant.
Aimez
-moi toujours. 16 décembre 1695. Qu’est-ce qu’
re en danger d’être haï, et bien souvent abandonné ? Comment se faire
aimer
sans perdre un peu de l’autorité, et relâcher de
que particularité de sa vie et de ses vertus. L’un disait qu’il était
aimé
de tout le monde sans intérêt ; l’autre, qu’il ét
de trompette, dans le régiment de Furstemberg. Il y fut généralement
aimé
pour son intelligence et sa docilité envers ses c
on voyage ; il prend sa trompette, sonne un air guerrier que son père
aimait
beaucoup, puis il s’écrie : « Cent pièces d’or so
yez ingrate ; le moyen de rendre tout cela ? je vous embrasse et vous
aime
, et vous le dirai toujours, parce que c’est la mê
armontel, est une espèce d’ingénuité, de franchise enfantine que nous
aimons
à rencontrer et à laquelle il échappe des traits
tout cela entre Dieu et lui, et sans que personne lui en sût gré. Il
aime
la paroisse, il fréquente les temples où se fait
uvais s’en est servi pour montrer que le but de l’homme ici-bas est d’
aimer
, de connaître et de servir Dieu de plus en plus.
Vol. II, nº 104. § IX. Le Style académique Le style Académique
aime
les traits les jeux d’esprit et les antithèses. I
pe et de noblesse pour exprimer tout ce qui frappe l’imagination : il
aime
particulièrement l’harmonie imitative, et fait un
e style, ce sont les images riantes, la douceur et le sentiment qu’il
aime
. Ces qualités se font sentir dans les lignes suiv
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