cadence des Romains sont le plus classique de ses écrits. Le génie de
Rome
y revit, idéalisé. Il y a approfondit les institu
laissai parler, et il décide encore1 Deux causes de la perte de
Rome
Lorsque la domination de Rome était bornée da
re1 Deux causes de la perte de Rome Lorsque la domination de
Rome
était bornée dans l’Italie2, la république pouvai
ne province était son général ou son ennemi. Tandis que1 le peuple de
Rome
ne fut corrompu que par ses tribuns, à qui il ne
perdit la république, la grandeur de la ville ne la perdit pas moins.
Rome
avait soumis tout l’univers avec le secours des p
ui regarde la mer Ionienne4 ; les autres alliés allaient les suivre1.
Rome
, obligée de combattre contre ceux qui étaient pou
cessé d’être fidèles2 ; et peu à peu elle l’accorda à tous. Pour lors
Rome
ne fut plus cette ville dont le peuple n’avait eu
es murailles, les mêmes temples, les mêmes sépultures, on ne vit plus
Rome
des mêmes yeux, on n’eut plus le même amour pour
les sentiments romains ne furent plus4. Les ambitieux firent venir à
Rome
des villes et des nations entières pour troubler
On n’entend parler, dans les auteurs, que des divisions qui perdirent
Rome
; mais on ne voit pas que ces divisions y étaient
erres civiles les tumultes populaires1. Il fallait bien qu’il y eût à
Rome
des divisions ; et ces guerriers si fiers, si aud
orts ensevelis les uns auprès des autres. Il est vrai que les lois de
Rome
devinrent impuissantes pour gouverner la républiq
a point l’ouvrage d’un législateur, mais celui de la corruption même.
Rome
était faite pour s’agrandir, et ses lois étaient
gouvernement même qu’on avait proscrit1. Quand Sylla voulut rendre à
Rome
la liberté, elle ne put plus la recevoir : elle n
, et tenir leurs richesses de la main de leurs destructeurs ! Bientôt
Rome
leur demanda pour otages trois cents de leurs pri
it des lois À M. le grand prieur de Solar, ambassadeur de Malte à
Rome
Fragments Monsieur, mon illustre commande
ouillée d’une infinité de petites affaires que j’ai ici. Si j’étais à
Rome
, je n’aurais que des plaisirs, et je mettrais mêm
e feriez. Je ne m’étonne pas que vous aimiez cette ville ; mais comme
Rome
est tout extérieure, on sent de continuelles priv
es, étaient dans la sixième classe. (Note de Montesquieu.) 4. Urbs,
Rome
. 5. Les soldats de Tibère et non de la patrie.
uieu.) 4. Guerre Sociale, qui dura trois ans (661 de la fondation de
Rome
) 1. Les Asculans, les Marses, les Vestins, les M
a force de la simplicité. 5. Le droit de suffrage ne s’exerçait qu’à
Rome
. 6. Voyez les Lettres de Cicéron à Atticus, livr
ssuet, qui ne fait des Romains qu’un épisode de l’histoire du monde ;
Rome
se montre plus étonnante dans Montesquieu, qui ne
peuples qui ne sont plus : je m’en allai m’asseoir sur les débris de
Rome
et de la Grèce, pays de forte et d’ingénieuse mém
ue de la Virginité endormie1 Tableau de la campagne romaine 2
Rome
, 10 janvier 1804. Figurez-vous quelque chose de
itude5. Il me serait impossible de vous dire ce qu’on éprouve lorsque
Rome
vous apparaît tout à coup au milieu de ses royaum
ments vous oppressent ; votre âme est bouleversée à l’aspect de cette
Rome
qui a recueilli deux fois la succession du monde3
emble idéale et plus belle que nature1 ? Eh bien, c’est la lumière de
Rome
! Je ne me lassais point de voir, à la villa Borg
bitants de l’Olympe sous le ciel mythologique ; quelquefois l’antique
Rome
semble avoir étendu dans l’Occident toute la pour
nta ses ondes inconnues. (Lettre à M. de Fontanes.) Les ruines de
Rome
Il faut maintenant, mon cher ami, vous dire q
ous m’avez recommandé de vous parler. Je les ai vues en détail soit à
Rome
, soit à Naples, excepté pourtant les temples de P
tablie par des sons religieux entre les deux plus grands monuments de
Rome
païenne et de Rome chrétienne me causa une vive é
religieux entre les deux plus grands monuments de Rome païenne et de
Rome
chrétienne me causa une vive émotion : je songeai
Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses sacrés tombeaux
Rome
m’a vu descendre ; Des mânes les plus saints toub
lité et veuvage. » Isaïe. (Note de Chateaubriand.) 2. La campagne de
Rome
est très-fertile : M. de Chateaubriand a dû la vo
l. (Note de Chateaubriand.) 3. Montaigne décrit ainsi la campagne de
Rome
telle qu’elle était il y a environ deux cents ans
1. Comparez la Liberté, de M. de Lamartine, entre autres ces vers :
Rome
, te voilà donc, ô mère des Césars ! J’aime à foul
à M. Joubert (Note de Chateaubriand.) 2. Dans ses notes de voyage à
Rome
, Montaigne disait : « Qu’on ne voyait rien de Rom
notes de voyage à Rome, Montaigne disait : « Qu’on ne voyait rien de
Rome
que le ciel sous lequel elle avait été assise et
es sens ; que ceux qui disaient qu’on y voyait au moins les ruines de
Rome
en disaient trop ; car les ruines d’une si épouva
il y avait de plus beau et de plus digne ; que les bâtiments de cette
Rome
bâtarde qu’on allait à cette heure arrachant à ce
’est donc plus en Grèce que nous suivrons son développement ; c’est à
Rome
que nous la verrons naître et fleurir, mais dans
its du peuple ou les priviléges du sénat, ne sont que les orateurs de
Rome
; Démosthène, le défenseur de la justice, est l’o
que, tant le spectacle est différent. Lisez les premières légendes de
Rome
, à leur couleur dramatique, vous reconnaîtrez déj
sprit des deux races que toutes les réflexions. Suivez les annales de
Rome
depuis sa naissance jusqu’aux temps malheureux de
ments que l’éducation nous apprend aujourd’hui à renfermer en nous, à
Rome
éclataient librement et se traduisaient au grand
rs de Cicéron Vous voyez maintenant pourquoi je n’ai pas cherché à
Rome
l’idéal de l’éloquence politique. C’est que dans
e, c’est le raisonnement qui domine au barreau comme à la tribune ; à
Rome
, c’est le pathétique. Qu’il s’agisse de défendre
procédés de la tribune, et les Romains ceux du barreau à la tribune.
Rome
est le vrai théâtre de l’éloquence judiciaire, co
e. Comment se fait-il cependant que le genre délibératif ait fleuri à
Rome
longtemps avant le genre judiciaire ? C’est que l
ogène le cynique lui eût envié cette pantomime. Il avait respiré dans
Rome
dès sa naissance la vertu que l’autre, au milieu
l faisait mieux, il le pratiquait. De même les orateurs de la vieille
Rome
s’étaient formés à la seule école de la vie publi
eux, sans le savoir. En l’an 161, les rhéteurs grecs apportèrent dans
Rome
leurs cahiers et leurs méthodes. C’était venir tr
e notre jeunesse, vous la corrompez en lui apprenant à mentir. Allez,
Rome
n’a pas besoin de beaux avocats et de phrases élé
d’abord apprendre la langue grecque, sans laquelle il n’y avait pas à
Rome
d’instruction libérale. Tous les hommes distingué
et les intérêts des citoyens, il lui suffirait de lire les annales de
Rome
, les traités des jurisconsultes et les livres des
es impressions, reçoit tout et retient tout, il est obligé de quitter
Rome
, où une première cause gagnée l’a rendu trop fame
ble. Cela forme un admirable groupe composé de tout ce qu’il y a dans
Rome
de joueurs, de libertins, d’impurs, de débauchés.
alors occupé à faire la guerre aux Germains. Son corps fut rapporté à
Rome
, où il entra au milieu des larmes et de la désola
de le reconnut : c’était Apollonius, philosophe stoïcien, estimé dans
Rome
, et plus respecté encore par son caractère que po
ets qu’il aperçut en sortant du berceau. Que dis-je ? on l’arracha de
Rome
et de la cour ; on craignit pour lui un spectacle
a cour ; on craignit pour lui un spectacle funeste. Eh ! comment dans
Rome
, où tous les vices se rassemblent des extrémités
une retraite où il fut mis en dépôt sous la garde des mœurs. Loin de
Rome
, il apprit à faire un jour le bonheur de Rome. Lo
arde des mœurs. Loin de Rome, il apprit à faire un jour le bonheur de
Rome
. Loin de la cour, il mérita d’y revenir pour comm
me. Loin de la cour, il mérita d’y revenir pour commander. » Appelé à
Rome
du fond de la Grèce, et chargé de l’instruire, on
continue Apollonius) d’être associé à ces maîtres illustres. Appelé à
Rome
du fond de la Grèce et chargé de l’instruire, on
ôté d’eux sur le trône ? Romains, oserai-je louer la philosophie dans
Rome
, où tant de fois les philosophes ont été calomnié
tes les parties de l’empire. Les uns se trouvaient depuis longtemps à
Rome
; les autres avaient suivi des différentes provin
e Marc-Aurèle mourant devait les donner à son fils ; et bientôt après
Rome
et l’univers le perdirent ». La péroraison, si l
: quand Néron eut empoisonné son frère, on lui dit qu’il avait sauvé
Rome
; quand il eut fait égorger sa femme, on loua dev
s Romains pâlirent. Apollonius fut frappé des malheurs qui menaçaient
Rome
. Il ne put achever. Ce vénérable vieillard se voi
nes que de se rendre. De là, résolu d’aller attaquer les Romains dans
Rome
même, il passe les Pyrénées, traverse les Gaules,
ut rendue à son père. Auguste ( Caius Julius César Octavianus), né à
Rome
, l’an 63 avant J.-C., fils d’Octave, sénateur, et
cle, qui l’avait adopté pour son fils et son héritier. Il se rendit à
Rome
, où il trouva plusieurs grands personnages, dispo
suprême pendant cinq ans, formèrent ce Triumvirat, qui fit périr dans
Rome
plus de trois cents sénateurs, plus de deux cents
tium (aujourd’hui Capo Figallo dans la Turquie d’Europe). De retour à
Rome
, l’an 30 avant J.-C., il ferma, en donnant la pai
de conserver les bonnes mœurs, surtout celles de la jeunesse ; décora
Rome
d’un grand nombre d’édifices utiles ou agréables
pitole, forteresse bâtie sur le mont Tarpéïen ; une des montagnes que
Rome
renfermait dans son enceinte. Céphale, fils, sel
guste, étant déjà mère de Tibère Néron, qui fut le second empereur de
Rome
, et enceinte de Drusus, dont elle accoucha trois
, trois enfants : Germanicus, Claude qui fut le quatrième empereur de
Rome
, et Livie, qui épousa un autre Drusus, fils de l’
u’il remporta sur Annibal en Italie, mérita qu’on l’appelât l’épée de
Rome
, comme Fabius, son collègue, en avait été appelé
xpulsion des Tarquins, fut avec cinq mille de ses vassaux s’établir à
Rome
, sous le nom d’Appius Claudius. Cette maison se d
mpée, fils de Pompée Strabon et de Lucilia, d’une famille noble, né à
Rome
l’an 106 avant Jésus-Christ, attaché au fameux Sy
ois fois du consulat ; établit plusieurs lois fort sages, et vit dans
Rome
une statue équestre s’élever en son honneur. Mais
rcia. Cette loi proposée par le tribun M. Porcius Caton, vers l’an de
Rome
554, environ 200 ans avant Jésus-Christ, défendai
s une plaine environnée de forêts. Romulus, fondateur de la ville de
Rome
, dont il fut le premier roi. Un jour qu’il faisai
été frappé du tonnerre ; soit que, suivant d’autres, les sénateurs de
Rome
l’eussent fait assassiner. Il était fils de la ve
vins, et tous les ans, ils lui offraient des sacrifices. Voyez le mot
Rome
dans les notes, à la fin du premier volume. S
ette loi, proposée par le tribun C. Sempronius Gracchus, vers l’an de
Rome
630, environ 124 ans avant J.-C., défendait de ju
euple. Elle confirma sur ce point la loi Valéria, rendue vers l’an de
Rome
245, environ 507 avant J.-C. ; la loi des douze t
nviron 507 avant J.-C. ; la loi des douze tables, rendue vers l’an de
Rome
304, environ 448 ans avant J.-C., et la loi Porci
s les notes, à la fin du premier volume. Tribuns, magistrats créés à
Rome
, pour défendre les intérêts du peuple, et qui dev
pouvoir dangereux et funeste, qui devint la source des factions dont
Rome
fut sans cesse déchirée, et qui bannirent de son
pour persuader à Pomone de l’épouser. On lui avait élevé un temple à
Rome
; et l’on célébrait ses fêtes au mois d’octobre,
échoué dans sa demande du consulat, Catilina, appuyé sur tout ce que
Rome
renfermait d’hommes corrompus, avait résolu le me
des hommes capables de méditer ma perte, la vôtre à tous, la ruine de
Rome
, et par suite celle du monde entier. Ces hommes,
poste où il devait se rendre ; tu as choisi ceux que tu laisserais à
Rome
, ceux que tu emmènerais avec toi ; tu as désigné
isqu’il en est ainsi, Catilina, poursuis tes desseins ; sors enfin de
Rome
, les portes sont ouvertes ; pars. Depuis trop lon
ouvement ? C’est le consul qui donne à un ennemi l’ordre de sortir de
Rome
. Tu me demandes si c’est l’exil que je t’impose ?
e mettre en état de te rendre compte des sentiments du sénat. Sors de
Rome
, Catilina ; délivre la république de ses craintes
mme, tu le laisses partir, sans voir que ce n’est point l’expulser de
Rome
, mais le déchaîner contre elle ? et tu n’ordonner
rs et l’accord de tous les gens de bien, qu’à peine Catilina sorti de
Rome
, vous verrez tous ses complots à découvert, au gr
es mêmes auspices que cette ville elle-même ; toi, le conservateur de
Rome
et de l’empire, car c’est le nom que nous te donn
e, mais qu’il faut se tenir en garde contre ses complices restés dans
Rome
. Il annonce à ces derniers qu’ils seront traités
letant après le crime, qui, dans sa rage impie, préparait la ruine de
Rome
et vous menaçait, vous et votre ville, du poignar
otre ville, du poignard et de l’incendie, nous l’avons donc chassé de
Rome
, ou, si l’on veut, nous lui en avons ouvert les p
. Il a perdu tout ce qui faisait sa force, le jour où il a dû quitter
Rome
. C’est maintenant ouvertement, contre un ennemi d
z juger combien je le trouve redoutable, maintenant qu’il est hors de
Rome
, puisque je regrette même qu’il n’en soit pas sor
ndra en Gaule, celui qui a sollicité le honteux honneur de surprendre
Rome
et d’y porter le carnage et l’incendie. Toutes le
ces. Je leur accorderai pourtant une grâce encore : qu’ils sortent de
Rome
, qu’ils s’éloignent ; qu’ils ne laissent pas Cati
te fange impure ! Déjà, rien que pour s’être débarrassée de Catilina,
Rome
semble respirer plus librement et revenir à la vi
rable de scélérats pour les grouper autour de lui ! Il n’y a pas dans
Rome
, il n’y a pas dans le moindre coin de l’Italie, u
élératesse. Ah ! si ses compagnons voulaient le suivre, s’il quittait
Rome
, ce hideux troupeau d’hommes perdus, quelle joie
uets, des menaces de mort contre les honnêtes gens, d’incendie contre
Rome
! Mais, j’en ai l’assurance, quelque grande catas
x, si ce n’est cependant de n’avoir pu m’ôter la vie avant de quitter
Rome
, souhaitons qu’il aille vraiment en exil, bien lo
m’inspire plus aucune crainte ? Et ceux qui se cachent, qui restent à
Rome
, qui vivent au milieu de nous, n’en dirons-nous r
’ils convoitent avec tant de fureur, pensent-ils donc qu’au milieu de
Rome
en cendres, noyée dans le sang des citoyens, ils
on manie un poignard, comment on verse du poison. S’ils ne sortent de
Rome
, s’ils ne périssent, Catilina lui-même aura beau
ville, ou plutôt que Catilina a laissés parmi nous, pour la perte de
Rome
, pour la vôtre à tous. Ce sont des ennemis, à cou
projet, de la moindre tentative contre la république, s’apercevra que
Rome
a des consuls vigilants, qu’elle a des magistrats
elle sorte que, s’il est possible, aucun des coupables ne subira dans
Rome
même la peine de son crime. Mais si des attentats
contre l’envie dont il prévoit les attaques, comme lui-même a défendu
Rome
contre les conjurés. Pour lui, il mettra tous ses
rnage, à l’abîme, où le destin allait, pour ainsi dire, l’engloutir ;
Rome
est sauvée, elle est rendue à la vie, vous le voy
connaissance et à celle de vos descendants le magistrat qui, trouvant
Rome
fondée et agrandie, l’a préservée de la ruine. La
ord, depuis le jour, peu éloigné, où Catilina, sortant brusquement de
Rome
, y laissa les complices de son crime, les chefs l
s criminels se trouver encore au milieu de nous et n’avoir pas quitté
Rome
, je m’attachai jour et nuit à ce que leurs manœuv
important, on ne pût pas m’accuser d’avoir, à la légère, répandu dans
Rome
d’aussi vives alarmes. Mais je m’y refuse, protes
as dédaigner le concours des esclaves et à s’approcher au plus tôt de
Rome
avec son armée. Son projet était qu’au moment où
aruspices, qu’il était ce troisième Cornélius auquel la royauté dans
Rome
et le pouvoir absolu étaient fatalement destinés
nnée était désignée par les destins pour être marquée par la chute de
Rome
et de l’empire, puisque cet événement devait arri
leur protection signalée. Je suis le premier, depuis la fondation de
Rome
, qui, sans avoir quitté la toge, ait reçu un pare
eçu un pareil honneur. Le décret porte ces mots : Pour avoir préservé
Rome
de l’incendie, les citoyens du massacre, l’Italie
. Lui seul était à craindre, lui seul, et encore tant qu’il restait à
Rome
. Il connaissait tout, avait accès partout : falla
festement reconnue et prise sur le fait. Si Catilina était resté dans
Rome
jusqu’à ce jour, malgré le zèle avec lequel j’ai
le renversement des lois, la guerre civile et domestique, la chute de
Rome
et de l’empire, si les dieux, apaisés à tout prix
alors les complots, qui se tramaient dans l’ombre contre le salut de
Rome
et de l’empire, éclateraient au grand jour et ne
ui. Le consul Cn. Octavius prit les armes et mit son collègue hors de
Rome
. Le lieu où nous sommes fut alors couvert d’un mo
’ai pas besoin de vous dire combien de victimes, combien de désastres
Rome
eut à déplorer. Enfin des dissentiments éclatèren
n fallait une où ils fussent les maîtres : ils ne demandaient pas que
Rome
disparût dans les flammes ; mais ils voulaient êt
me disparût dans les flammes ; mais ils voulaient être puissants dans
Rome
. Toutes ces dissensions néanmoins, dont aucune ne
n ennemis tous ceux qui pouvaient trouver leur salut dans le salut de
Rome
, j’ai si bien pris mes mesures, citoyens, que vou
Romains que ceux qui auraient pu échapper au massacre général, et de
Rome
elle-même que ce que les flammes n’auraient pu dé
que ce que les flammes n’auraient pu dévorer, j’ai déçu leur espoir ;
Rome
et les Romains, j’ai tout préservé de leur rage,
ien, jour qui, je l’espère, sera immortel, aura assuré l’existence de
Rome
et éternisé le souvenir de mon consulat. On dira
uvrir les portes à Catilina ; c’est pour cela qu’ils étaient restés à
Rome
. Vous avez leurs lettres, leurs cachets, leur écr
rminer le peuple romain, renverser l’empire, anéantir jusqu’au nom de
Rome
doivent un seul instant jouir de la vie, respirer
quand je vois Gabinius revêtu de la pourpre et Catilina entrant dans
Rome
avec son armée ; alors je me représente les mères
ont tout fait pour établir la nation des Allobroges sur les ruines de
Rome
et sur les cendres encore fumantes de l’empire. E
nateurs, Gabinius de massacrer les autres citoyens, Cassius de livrer
Rome
aux flammes, Catilina de dévaster et de piller l’
anctuaire. C’est que cette cause est la seule, depuis la fondation de
Rome
, qui unisse dans une même pensée tous les citoyen
nt dire qu’un des impurs agents de Lentulus parcourt les boutiques de
Rome
, dans l’espoir de séduire les malheureux et les h
italité qu’un proconsul se crée dans son gouvernement, et que, même à
Rome
, j’emploie tous mes moyens d’influence à conserve
défense ; de quelle nature avez-vous cru que seraient les jugements à
Rome
, si vous vous êtes imaginé que qui que ce soit vo
it en acheter que pour en remplacer un autre qui serait mort, » non à
Rome
, mais dans le lieu même où il commanderait. Ils n
rt de votre ville cette croix où coule encore le sang d’un citoyen de
Rome
! vous ne l’avez pas jetée au fond de la mer, et
ond de la mer, et vous n’avez pas purifié ce lieu avant d’entrer dans
Rome
et de vous présenter à cette assemblée ! C’est da
t jouissant de la faveur du peuple, avait son fils sénateur et juge à
Rome
; quoique Verrès ne l’ignorât pas, il lui enleva
. Mais si vous les aviez achetés, pourquoi Calidius se plaignait-il à
Rome
? Pourquoi disait-il que depuis tant d’années qu’
sfaire sa passion et ses yeux, mais encore d’assouvir, à son retour à
Rome
, les désirs des hommes les plus passionnés. Entra
t Verrès ne le remboursa point : Archagathe voulait lui en demander à
Rome
le remboursement ; Cn. Lentulus Marcellinus l’en
cris des Siciliens ni des poursuites judiciaires qui l’attendaient à
Rome
; le second voulut que toute l’Espagne sût d’où i
ême il aurait voulu avoir pour chacune de ses salles à manger, soit à
Rome
, soit dans ses maisons de campagne, trente lits b
s savez que les jeunes rois de Syrie, les fils d’Antiochus, étaient à
Rome
il n’y a pas longtemps. L’objet qui les y avait c
ux extrémités du monde. Ces deux rois dont je parle avaient apporté à
Rome
un candélabre enrichi de pierres éclatantes et d’
oute l’atrocité de cette seule action ? Antiochus, après avoir paru à
Rome
pendant près de deux ans avec le cortège et l’app
blique, doit intéresser à sa mémoire, non pas une seule famille, mais
Rome
tout entière. J’ai moi-même ici un rôle à remplir
résent. Il dépose que Verrès promit aux députés, depuis qu’ils sont à
Rome
, de leur rendre cette statue s’ils voulaient tair
le de Cérès, où elle est honorée avec le même respect qu’elle l’est à
Rome
, dans les autres lieux et dans presque tout l’uni
ège des décemvirs, et quoique cette déesse eût un temple magnifique à
Rome
, on les fit partir pour Enna ; car telles étaient
ocentes ; que son port, où ne purent alors pénétrer ni les flottes de
Rome
ni celles de Carthage, fut, durant sa préture, ou
is de l’humanité : il crut que l’une lui faisait un devoir d’enrichir
Rome
d’une partie des beautés de sa conquête, mais que
partage d’ornements, le vainqueur Marcellus n’en voulut pas plus pour
Rome
que son humanité n’en réserva aux Syracusains. Ce
ue son humanité n’en réserva aux Syracusains. Ce qui fut transporté à
Rome
, nous le voyons dans le temple de l’Honneur, dans
de ses jardins. Il crut que sa maison serait elle-même un ornement de
Rome
, si elle ne recélait point les ornements d’une vi
défigurées. Marcellus, qui avait fait vœu de consacrer deux temples à
Rome
s’il se rendait maître de Syracuse, ne voulut poi
les ornements des temples et des villes rempliront-ils ses maisons à
Rome
et à la campagne ? souffrirez-vous plus longtemps
semblable que, depuis qu’on a cessé de rendre une exacte justice dans
Rome
, les Grecs ont commencé de vendre ce qu’ils s’emp
eux, je crus d’abord, comme les amis de Verrès me l’avaient assuré à
Rome
, que la ville de Syracuse ne lui était pas moins
semblable à Syracuse. Je répondis que dans la visite que me firent à
Rome
les Siciliens, qui, par une députation générale,
é avec lui pour piller cet héritage ; que ces mêmes hommes, députés à
Rome
, étaient les ministres de sa méchanceté, les asso
int. L’habile préteur dit qu’il ne permettrait pas que j’emportasse à
Rome
un décret qui ne devait pas être ratifié. Enfin,
sseurs, a exigé d’eux une certaine quantité de grains, pour envoyer à
Rome
: ils ne pourront pas répondre affirmativement. E
nation que sa conduite soulevait non seulement en Sicile, mais même à
Rome
? il a accusé de trahison les commandants des vai
e C. Matrinius, chevalier romain, pour lors absent, puisqu’il était à
Rome
; vous aviez dit que ses pasteurs et ses fermiers
uvernement, lui qui, sorti de sa province, non pour venir triompher à
Rome
, mais pour y répondre à une accusation, ne renonç
ne foule d’objets, et surtout de ce qu’il n’avait pas voulu envoyer à
Rome
avec le reste de ses rapines, parce que c’était c
que vous conduiriez en Italie un vaisseau vide ; qu’à votre retour à
Rome
, vous feriez des voyages sur mer ? Personne ne po
i Cassia, les Mamertins n’ont dû contribuer aux approvisionnements de
Rome
ni par la vente ni par le transport du blé. Mais
secrétaires, d’autres à son fils et à ceux de sa suite ; il envoie à
Rome
six musiciens pour en faire présent à l’un de ses
u pirate est pris, le capitaine délivré, les musiciens sont envoyés à
Rome
, les jeunes gens d’une physionomie agréable et le
sous la garde d’un particulier ? Ceux même qui, devant triompher dans
Rome
, conservent par cette raison la vie aux généraux
ssez imposante pour mériter non seulement dans la province, mais dans
Rome
même, une grande considération. Ces hommes s’anim
Oh ! le triste et cruel spectacle que de voir insulter à la gloire de
Rome
et au nom du peuple romain ; de voir, au milieu d
ocent ne vous touchaient-elles point ? Vous aviez laissé votre père à
Rome
; vous aviez votre fils avec vous ; la présence d
s droits de notre empire doivent être inviolables, non seulement dans
Rome
, où sont les tribuns du peuple, les autres magist
et non en présence des citoyens, des plus recommandables sénateurs de
Rome
, sur la place publique, le détail de tous les tou
ent de paraître dans la place, de donner leurs suffrages, d’habiter à
Rome
et dans le sein de la république, étaient, par se
magistrats, et dans nos provinces ? La Sicile, province aux portes de
Rome
, fidèle, remplie d’excellents alliés, de très hon
ités avec honneur chez les barbares, parce qu’ils étaient citoyens de
Rome
, qui avaient échappé aux embûches des pirates et
n, on l’eût mis en prison. Il ne dissimula point qu’il allait droit à
Rome
, et qu’il s’y trouverait à l’arrivée de Verrès.
as affligé de n’avoir pu planter cette croix sur la place publique de
Rome
ou dans le champ de Mars, ou sur la tribune ? N’a
veux point que des juges que j’ai approuvés et choisis marchent dans
Rome
tellement flétris pour avoir acquitté Verrès, que
ain viennent chercher sans qu’ils y pensent. Je dois me conduire dans
Rome
par des principes bien différents. Je me rappelle
r Ascagne ou Iule, fils d’Énée, environ 300 ans avant la fondation de
Rome
, et 1054 avant J.-C. Après avoir subsisté pendant
nes qu’a été bâtie la ville épiscopale d’Albano, à quatorze milles de
Rome
; entre le lac Castel-Gandolphe et le Monte-Alban
et fortifiée par le maréchal de Vauban. Brutus (Marcus Junius), né à
Rome
, et descendant, selon quelques-uns, du fameux Bru
s effets bien funestes. Forcés, très peu de temps après, de sortir de
Rome
; poursuivis par Antoine et Octave jusques dans l
Carthaginois, et devint si puissante, qu’elle se déclara la rivale de
Rome
, contre laquelle elle soutint trois guerres, fame
mot Brutus.) Catilina (Lucius), d’une des plus illustres familles de
Rome
. Né avec de grands talents, mais avec les inclina
ateurs, et de mettre le feu en même temps dans les douze quartiers de
Rome
. Cicéron, alors consul, averti par une femme nomm
om de). On donne ordinairement ce nom aux douze premiers empereurs de
Rome
. Celui dont il s’agit, est Néron. (Voyez ce mot.)
César (Caius Julius), né d’une ancienne et très illustre famille de
Rome
, l’an 98 avant J.-C., avec une ambition démesurée
ls de ce même Pompée, et parvint enfin à la souveraine puissance dans
Rome
, sous le titre de dictateur perpétuel. Mais il fu
me si célèbre, le rendaient tel que devait être le maître de Rome, si
Rome
avait dû en avoir un. Charles I, roi d’Angleterr
le de la Gaule Narbonnaise : les Romains l’appelaient même la sœur de
Rome
. Elle est située sur un canal tiré de la rivière
quit le Roussillon et une partie de la Catalogne. Il mourut en 1642.
Rome
, ville d’Italie, autrefois la plus célèbre de l’u
dre des chevaliers, qui tenait le milieu entre le peuple et le sénat.
Rome
fut ainsi gouvernée par des rois jusqu’à l’an 244
, qui en fut reconnus le premier empereur l’an 31 avant Jésus-Christ.
Rome
était alors maîtresse du monde entier ; mais ce t
fut divisé, l’an 396 de l’ère chrétienne, en Empire d’occident, dont
Rome
fut la capitale, et qui fut détruit par les barba
nople, et qui fut envahi par Mahomet II, sultan des Turcs, l’an 1463.
Rome
, aujourd’hui capitale du monde chrétien, est le s
pennin et qui, après avoir passé près de Pérouse, d’Orviette, et dans
Rome
, se jette dans la mer à Ostie. Triptolème, fils
vos foyers déserts. Lucrèce. Quand mon mari combat en bon soldat de
Rome
, Je dois agir en femme ainsi qu’il fait en homme.
t, la main reste en repos. Poursuivons notre tâche. — Allons4 !
Rome
sous les tarquins Brute.5. Je veux le bien
ons4 ! Rome sous les tarquins Brute.5. Je veux le bien de
Rome
, et je le veux solide. Connais mieux mes projets.
s ne se nommera roi. Tarquin fut un tyran ; un autre pourrait l’être.
Rome
, telle qu’elle est, n’a plus besoin d’un maître.
té sous la gêne5 ; Le guerrier respirait dans le sujet soumis. — Mais
Rome
a triomphé de tous ses ennemis, Et, ne combattant
sent contre les citoyens. Son audace s’accroît du peu de résistance ;
Rome
, trop tôt sauvée, a perdu sa constance, Et, façon
après les autres, La pudeur de la femme a péri chez les nôtres. Enfin
Rome
se meurt, si, par un brusque effort, Une crise ne
en, et c’est la liberté. Cette seconde ardeur remplaçant la première,
Rome
redeviendra tout énergique et fière. Elle eût été
rvit sans peine un peuple dépravé. César, qui méditait l’esclavage de
Rome
, Soutient qu’après la mort rien ne survit à l’hom
cri de révolte contre les rois, apparaît comme le génie libérateur de
Rome
! L’impression fut profonde. Quiconque assistait
ou adoucir ses mœurs. Il devait arriver de deux choses l’une : ou que
Rome
changerait son gouvernement, ou qu’elle resterait
guerre et ses ravages À M. Chlewaski1 Fragment de lettre 2
Rome
, le 8 janvier 1799. … Dites à ceux qui veulent v
lettre 2 Rome, le 8 janvier 1799. … Dites à ceux qui veulent voir
Rome
qu’ils se hâtent ; car chaque jour le fer du sold
at de délabrement, de misère et d’opprobre où est tombée cette pauvre
Rome
que vous avez vue si pompeuse, et de laquelle, à
ants. Allez ! nous vengeons bien l’univers vaincu ! Les monuments de
Rome
ne sont guère mieux traités que le peuple. La col
e nefas 3 !) a un pied brisé4. Une inscription Fragment À
Rome
, avril 1812. … Ce matin, de grand matin, j’allai
ayons du soleil sans nuire à la vue ; tellement qu’on voit de là tout
Rome
au bas du Pincio, et les collines opposées de Sai
lever et à la transporter à Paris. Daunou, envoyé comme commissaire à
Rome
, écrivait au directeur La Revellière (30 mars 179
es est connu : on sait que Catilina, après avoir conspiré la perte de
Rome
et de tout ce qu’elle renfermait de citoyens esti
blique, eût intérêt à la renverser ; tandis qu’un Cicéron, citoyen de
Rome
par emprunt, en serait le conservateur ? Il ajout
qu’ils allument autour de moi. La nuit suivante, Catilina sortit de
Rome
et alla se mettre à la tête des troupes de Manliu
style était une sorte d’attrait qui se faisait sentir plus vivement à
Rome
, à mesure que tous les arts du goût et du luxe y
rrêter Catilina, et de ne l’avoir point fait, et d’avoir ainsi exposé
Rome
au hasard d’une guerre. Ceux qui réfléchissent et
ære, quàm valentes, quàm nobiles ? etc. » Voilà donc les ennemis que
Rome
doit redouter ! Voyons ce qu’elle peut leur oppos
létrir la gloire ? Et comment l’univers pourra-t-il jamais croire Que
Rome
eut un sénat et des législateurs, Quand les Romai
l délateur se vit presque flétri. Alors la liberté ne savait pas dans
Rome
Du simple citoyen distinguer le grand homme. Malg
bal Se soumit en tremblant à votre tribunal. Sylla vient, qui remplit
Rome
de funérailles, Du sang des sénateurs inonde nos
dans la place publique, dans l’enceinte même de nos maisons. Hors de
Rome
, Catilina cesse d’être à craindre pour nous : ce
tir, le peuvent en toute assurance : mais que ceux qui resteront dans
Rome
se persuadent bien que, s’ils y excitent le moind
détention dans les villes municipales, de peur que, s’ils restaient à
Rome
, leurs partisans secrets, ou la multitude soudoyé
. Comme s’il n’y avait en effet des pervers et des scélérats que dans
Rome
, et non dans l’Italie entière ; comme si leur aud
Des citoyens distingués par leur naissance ont conspiré l’incendie de
Rome
; ils appellent à leur secours les Gaulois, ennem
onautiques d’Apollonius de Rhodes, en Grèce, la Pharsale de Lucain, à
Rome
, en Italie la Jérusalem délivrée du Tasse, en Esp
t le plus fait pour élever au plus haut point la gloire littéraire de
Rome
: c’est un peuple guerrier, qui n’a pas le temps
t , Quintilien), l’épître et la littérature technique. — C’est que, à
Rome
, les sources nationales et religieuses ont été bi
ique. Utilitas rei publicæ, c’est-à-dire l’honneur et la puissance de
Rome
, romanam condere gentem, sa domination sans cesse
on, la religion ; mais la littérature n’y a guère puisé, parce que, à
Rome
« la mythologie a bien les mêmes légendes et les
les délicatesses. — Si nous comparons la littérature philosophique de
Rome
à celle de la Grèce, nous voyons qu’elle est émin
et lente à s’éveiller. Prenons comme exemple les progrès du théâtre à
Rome
: tant qu’il resta original et national, il ne pr
appelée le siècle d’Auguste. Après la Bataille d’Actium commence pour
Rome
une ère d’apaisement comparable à celle qui suivi
éveloppement. — La constitution des Républiques anciennes, Athènes et
Rome
par exemple, pourrait se définir par ces mots que
aient longtemps et glorieusement rempli. Si d’Athènes, nous passons à
Rome
, nous verrons que l’Éloquence n’y tint pas une pl
s considérable. Sans parler des orateurs des cinq premiers siècles de
Rome
, dont il ne nous reste que les noms, arrivons tou
ce rude adversaire de la noblesse et de l’hellénisme qui pénétrait à
Rome
; orateur véhément, son éloquence nerveuse et ple
on ami, tous deux orateurs distingués et qui furent très en honneur à
Rome
, il faut citer les Gracques, ces deux grands cito
Mais c’est ce dernier qui fut sans contredit le plus grand orateur de
Rome
; il fut orateur politique, parce qu’il était hom
litique, parce qu’il était homme d’État, et il eût certainement sauvé
Rome
des désordres sanglants qu’elle subit plus tard,
e au grand citoyen qui prononça les Catilinaires et les Philippiques.
Rome
lui décerna de son vivant les plus grands honneur
ie. Comme Démosthène en Grèce, il fut le dernier orateur politique de
Rome
, car après lui les Romains dégénérés abdiquèrent
e, désormais sans objet, se tut pour toujours. Tel fut à Athènes et à
Rome
, c’est-à-dire dans les deux principales républiqu
t 1884) Quels sont les principaux représentants du genre satirique à
Rome
? Nommer et caractériser chacun d’eux. Dévelop
Pacuvius. Lucilius peut être considéré comme le père de la satire à
Rome
: Lucile le premier osa la (la vérité) faire voi
emps pénétrée de sentiments romains ; il écrit en effet à l’époque où
Rome
vient de vaincre Carthage, Antiochus, la Macédoin
re faite homme. Comme Lucilius, les souvenirs des vieilles gloires de
Rome
lui font maudire la corruption au milieu de laque
re Rufin et Eutrope ; — et nous aurons indiqué à peu près tout ce que
Rome
nous a légué dans le genre satirique. On voit com
s sa mort qu’un poète incompris, aussi peu français que les poètes de
Rome
ou d’Athènes. [10] (20 novembre 1885) Que s
conté dans ses vers les vieilles légendes relatives à la fondation de
Rome
; mais, plus préoccupé de faire une œuvre histori
t les destinées de Troie. Cette légende était tout à fait populaire à
Rome
; c’est pourquoi, tout le public d’alors, connais
ues vers plus loin, il nous parle de Carthage, la puissante rivale de
Rome
, qui était anéantie à cette époque et dont le sou
a divinité intervenant et suscitant mille obstacles à la fondation de
Rome
, l’implacable Junon poursuivant sur terre et sur
dictions d’Anchise à son fils sont un tableau flatteur de l’avenir de
Rome
; le poète y a pris occasion pour adresser indire
Énée, protégé par les dieux, dans le Latium ; naissance et progrès de
Rome
; sa domination universelle ratifiée, voulue même
gile : origine divine de la race, naissance merveilleuse et fatale de
Rome
, son éternité promise par le père des dieux lui-m
prit guerrier qui les anima dès les premiers temps de la fondation de
Rome
et les poussa à s’agrandir jusqu’à ce qu’ils aien
odernes nous en offrent une multitude. Le plus grand poète comique de
Rome
, Plaute, fut obligé, pour vivre, de tourner la me
e peu familière ont dû être frappés de l’admiration enthousiaste dont
Rome
et les anciens Romains étaient l’objet à cette da
, à la lecture même des historiens latins, qui n’ont jamais inédit de
Rome
ni des Romains, et dont le xvie siècle, aveuglé
cle. Parcourons les tragédies que Corneille a tirées de l’histoire de
Rome
, et nous verrons se justifier le jugement de La B
tte manière grandiose de nous présenter les personnages de l’ancienne
Rome
, l’auteur d’Horace et de Cinna est bien de son si
d des Romains. Et notre siècle leur a donné raison, car l’histoire de
Rome
, mieux connue, nous a révélé que derrière l’héroï
dre sa vie, inutile et chancelante, en échange de celle du sauveur de
Rome
. Le rôle de ce personnage a exaspéré Voltaire ; i
alheurs ne sont qu’un épisode dans la pièce, et, au prix du destin de
Rome
et de ses fiers combattants, l’intérêt en est méd
eux, mais violent ; il ne sait pas tempérer un sentiment par l’autre.
Rome
est tout pour lui ; il lui sacrifie tout, non seu
; il le dit lui-même : J’accepte aveuglément cette gloire avec joie…
Rome
a choisi mon bras, je n’examine rien… Albe vous a
iques ailleurs que dans les tragiques ou historiens de la Grèce et de
Rome
. Il semblait, en effet, à toute sa génération, qu
e marquer tout à l’heure, à ses illustres prédécesseurs en Grèce et à
Rome
. Voyons maintenant en quoi il remporte sur les po
t 1885) Après la première guerre punique, Livius Andronicus ouvrit à
Rome
une école pour enseigner le grec et expliquer Hom
[3] (19 août 1884) Faire le tableau de la séance du Sénat, tenue à
Rome
le 8 novembre 63 avant Jésus-Christ, et dans laqu
on. Aussi, le seul parti qui reste à Catilina, c’est de s’éloigner de
Rome
, et d’emmener avec lui la troupe odieuse de ses c
ouceur, puis jetant le masque, sortit en proférant des menaces contre
Rome
, et en jurant d’éteindre sous des ruines l’incend
es ruines l’incendie allumé contre lui. — La nuit suivante, il quitta
Rome
et se rendit en Étrurie, au camp de Mallius. [
l’esclavage, cette plaie de notre société, nous ronge lentement. Dans
Rome
, règne la tyrannie, la délation, la terreur polit
tenant bien français, si son langage ne l’est pas encore, est venu de
Rome
en France, non plus que je ne dirai les services
’ose-t-il être Auguste et César que de nom ? Vous le dirai-je enfin ?
Rome
le justifie. Rome, à trois affranchis si longtemp
uste et César que de nom ? Vous le dirai-je enfin ? Rome le justifie.
Rome
, à trois affranchis si longtemps asservie, A pein
ndent qu’à sa gloire ; Pourvu que dans le cours d’un règne florissant
Rome
soit toujours libre, et César tout-puissant ? Mai
nquête : C’est l’effroi de l’Asie ; et, loin de l’y chercher, C’est à
Rome
, mes fils, que je prétends marcher. Ce dessein vo
. Ne vous figurez point que de cette contrée, Par d’éternels remparts
Rome
soit séparée : Je sais tous les chemins par où je
berté mourante. Non, princes, ce n’est point au bout de l’univers Que
Rome
fait sentir tout le poids de ses fers : Et de prè
e près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis,
Rome
, sont à tes portes. Ah ! s’ils ont pu choisir pou
croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans
Rome
. Noyons-la dans son sang justement répandu ; Brûl
ienne peut-être ; Et, la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que
Rome
y consacrait à d’éternels affronts. Voilà l’ambit
is trouver des défenseurs ; Je veux que d’ennemis partout enveloppée,
Rome
rappelle en vain le secours de Pompée. Le Parthe,
date. Que nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le bruit à
Rome
en vienne jusqu’à moi. (Racine, Mithridate, acte
’eus soin de vous nommer, par un contraire choix, Des gouverneurs que
Rome
honorait de sa voix ; Je fus sourde à la brigue,
tirai de l’armée, Et ce même Sénèque et ce même Burrhus Qui depuis...
Rome
alors estimait leurs vertus. (Racine, Britannicus
r le consul ; essuyer tête levée ses invectives ; jeter l’alarme dans
Rome
; faire trembler l’Italie ; oser enfin ce qu’un p
es de la république, attaché à une guerre importante mais opiniâtre :
Rome
est remplie de gens malintentionnés : les provinc
guerre des Romains contre Persée, roi de Macédoine, furent emmenés à
Rome
. Il y avait composé, mais en grec, une Histoire u
our la vie privée. Nous y voyons d’ailleurs les plus grands héros que
Rome
et la Grèce aient produits. Les comparaisons que
la Carie, où il était né vers l’an 60 avant Jésus-Christ, ayant été à
Rome
, qu’il habita pendant 25 ans, y composa en langue
e que les onze premiers, qui vont jusqu’à l’an 312 de la fondation de
Rome
, c’est-à-dire, à l’an 442 avant Jésus-Christ L’au
doue, l’an 59 avant Jésus-Christ, passa une grande partie de sa vie à
Rome
où il s’acquit l’estime d’Auguste, dont il reçut
s pour composer son Histoire romaine. Elle commence à la fondation de
Rome
, et finissait à la mort de Drusus sous Auguste. D
ville de l’Oratoire, et Beauzée de l’Académie française. César, né à
Rome
, l’an 98 avant Jésus-Christ, nous a laissé le dét
étienne, avait fait une Histoire abrégée de la Grèce, de l’Orient, de
Rome
et de l’Occident. Il ne nous en est parvenu qu’un
avaient été ses bienfaiteurs. L’abbé Paul l’a traduit. Tacite, né à
Rome
, environ l’an 53 de l’ère chrétienne, appelé avec
nne, a donné les Vies des plus illustres capitaines de la Grèce et de
Rome
. C’est un des meilleurs écrivains du siècle d’Aug
a vertu et la fait aimer. Son Histoire romaine depuis la fondation de
Rome
jusqu’à la bataille d’Actium, lui est inférieure.
jets au moment de son plus grand éclat. 4. Tableau d’un incendie à
Rome
. Plan. Le feu prend pendant la nuit dans la pl
autre chose que la description d’un tableau de Raphaël, qui se voit à
Rome
au Vatican. Raphaël Sanzio, le plus célèbre des p
, le plus célèbre des peintres modernes, né à Urbin en 1483, mourut à
Rome
en 1520. 5. Le repos des champs après les occu
Au premier rang des braves qui défendent contre les cruels enfants de
Rome
la liberté expirante de la Gaule, se distingue un
36. Les sortilèges. Sujet et plan. Dans un canton peu éloigné de
Rome
et habité par des colons, en général indolents et
Récit d’une bataille. (An 312.) Sujet et plan. Sous les murs de
Rome
et dans son enceinte même, se livre une terrible
e froid. 67. Trait de Pie IX. Sujet et plan. Un jeune prêtre, à
Rome
, voit passer un condamné politique que l’on condu
ope contre ceux du pays. 69. Apollonius. (Règne de Marc-Aurèle à
Rome
, de 161 à 180.) Sujet et plan. Malgré tous les
ien à ses semblables. Apollonius était un philosophe très-estimé dans
Rome
et jouissant d’un très-grand crédit. Il avait été
té son ami. 70. Sylla et Célius. (Épisode des guerres civiles de
Rome
.) Sujet et plan. L’impitoyable Sylla s’est emp
lui adresse les paroles les plus tendres, lui promet de le conduire à
Rome
et de lui faire partager sa puissance, et veut le
au. Sylla s’éloigne en frémissant de douleur et de honte. Sylla, né à
Rome
l’an 137 avant J.-C., mourut l’an 78. Sylla et Ma
78. Sylla et Marius étaient à la tête de deux partis qui déchirèrent
Rome
et l’Italie avec une fureur incroyable. Sylla fin
ur incroyable. Sylla finit par l’emporter, et devint maître absolu de
Rome
et de tout l’Empire romain, sous le titre de dict
ef des brigands fixe un jour après lequel, s’il n’a pas fait venir de
Rome
une forte rançon, il sera précipité du haut d’un
lèbre comme peintre. Né auprès de Naples en 1615, il alla s’établir à
Rome
à l’âge de vingt ans ; il y mourut en 1673. Les t
on complète du parti de Marius, Sylla, nommé dictateur, exerçait dans
Rome
une autorité absolue ; tous ceux qu’il proscrivai
mbre suivant, Roscius, citoyen d’Amérie (petite ville de 16 lieues de
Rome
) qui se trouvait à Rome, fut tué la nuit, probabl
itoyen d’Amérie (petite ville de 16 lieues de Rome) qui se trouvait à
Rome
, fut tué la nuit, probablement par des brigands,
as. Effrayés par la puissance de Sylla, les plus célèbres orateurs de
Rome
refusent leur secours à l’innocent qu’on veut écr
se soustraire du mécontentement de Sylla, s’éloigner quelque temps de
Rome
; mais sa conduite lui concilia au plus haut degr
à son pire Constance Chlore. Dévoré d’ambition, Maximien se rendit à
Rome
et essaya de détrôner son fils ; mais la peuple e
ble de tous les crimes. Il forma une vaste conspiration pour détruire
Rome
par le fer et par le feu, et pour s’emparer ensui
adressa une harangue incendiaire, et tous jurèrent de mettre le feu à
Rome
sur plusieurs points à la fois, et de profiter du
te par le célébré orateur Cicéron, alors consul. Catllina s’enfuit de
Rome
, revint pour attaquer cette ville à la tête d’une
uré comme les autres de faire périr les membres du sénat et de brûler
Rome
. Mais à peine est-il sorti du lieu de l’assemblée
voir, d’entendre, de faire. Il songe à l’affreux spectacle qu’offrira
Rome
livrée au pillage et à l’incendie. Le remords s’é
obie à des paysans. (An 53.) Lorsque l’empereur Claude régnait à
Rome
, les faits suivants se passèrent en Asie. Rhadami
r Narsès d’envoyer à Constantinople les trésors qu’il avait amassés à
Rome
pour la solde des troupes et la défense de l’Ital
s avant J.-C.) Lucius Manlius, qui avait été consul et dictateur à
Rome
, s’étant rendu odieux par une sévérité excessive,
r, le jeune homme apprend le sort qui menaçait son père. Il se rend à
Rome
, chez le tribun du peuple, demande à lui parler e
auvé. Quelque temps après, le bruit de cette action se répand dans
Rome
; un autre tribun accuse le jeune Manlius d’avoir
gnala depuis par de grands exploits. On appelait tribuns du peuple, à
Rome
, des magistrats annuels chargés de soutenir les i
e. La discipline militaire, qui, jusqu’à ce jour, a été le soutien de
Rome
, tu l’as, autant qu’il a dépendu de toi, compromi
plètement les Romains près de la rivière d’Allia, prirent la ville de
Rome
et la brûlèrent. Sujet et plan. Camille apprend d
et la brûlèrent. Sujet et plan. Camille apprend dans sa retraite que
Rome
vient d’être prise et incendiée, et que les reste
ec les Gaulois, qui, moyennant une rançon considérable, abandonnèrent
Rome
et son territoire. Les historiens romains ont alt
mbassadeur de France au pape. (XVIe siècle) Sujet. Le barigel de
Rome
(on appelait ainsi une sorte de prévôt) venait de
lare que si cette satisfaction ne lui est pas accordée, il va quitter
Rome
sur-le-champ et intimer à tous les Français l’ord
ité, et qu’il obtiendra la satisfaction qu’il réclame du souverain de
Rome
, du chef de l’Église, d’un ami de la France. L’am
es les personnes de sa suite et faisant charger les armes, il sort de
Rome
, en annonçant la ferme résolution de repousser la
ne donnerait point de suite à cette affaire. D’Estouteville rentra à
Rome
en triomphe. 149. Discours pour ou contre Isad
l vint bientôt, à leur tête, ravager le territoire romain et assiéger
Rome
même. Les Romains, effrayés, lui envoyèrent, pour
lait emporter la ville d’assaut, lorsque Véturie, sa mère, sortant de
Rome
, vint le trouver dans son camp et le supplier d’é
es faits se sont passés l’an 491 avant Jésus-Christ. Le territoire de
Rome
était alors peu considérable et ne s’étendait pas
jourd’hui Azzio et Nettuno, sur le bord de la mer, à 50 kilomètres de
Rome
. Vers l’an 338 avant Jésus-Christ, les Volsques f
ants de toutes les puissances catholiques. Le palais de Latran, à
Rome
, était alors le séjour des papes. Déjà deux autre
aste que comporte si bien le fond de l’idée ? Quand Florus compare la
Rome
des empereurs à cette Rome naissante qui portait
e fond de l’idée ? Quand Florus compare la Rome des empereurs à cette
Rome
naissante qui portait ses vœux au Capitole pour l
son front et dans ses regards, l’amère ironie, le profond mépris pour
Rome
et la cour esclave qu’elle s’asservissait, se pei
n’avez du cœur… à Laodice, après son entretien avec l’ambassadeur de
Rome
, Vous a-t-il conseillé beaucoup de lâchetés, Mad
ne. La Fontaine, Fables, IX, I. Les voyageurs étrangers insultent
Rome
, et les Romains, au lieu de s’indigner d’un affro
un sévère critique. Boilear, Art poét. Assurément, l’incendie de
Rome
et de l’Italie me font mépriser Sylla, et puisque
a, et puisque j’abhorre Attila, je n’admirerai pas Alexandre. Quoi !
Rome
et l’Italie en cendreMe feront Honorer Sylla ?J’a
omposition. Aussi, quand on compare les productions de la Grèce et de
Rome
, trouve-t-on dans les premières plus de génie et
.) Sur deux ou trois cents orateurs qui, en divers temps, parlèrent à
Rome
, à peine y en eut-il un ou deux, par siècle, qui
ibua à n’en faire qu’un peuple imitateur. L’époque où les orateurs de
Rome
commencèrent à déployer des talents réels, ne pré
n génie, l’égal de Pompée, de César ou de Caton. Il gouverna et sauva
Rome
; il fut vertueux dans un siècle de crimes, défen
on domestique, Messala passe à celle que les jeunes gens recevaient à
Rome
des professeurs publics, et de nouveaux désordres
des hommes. — 4. Homère et Hésiode sont antérieurs à la fondation de
Rome
. — 5. Il est mort, le moineau qui faisait les dél
ata, et Romani pertinax imperii æmula fuit. corrigé. Origine de
Rome
et de Carthage. Les premiers habitants de l’It
d’Albe, bâtit sur le mont Palatin une petite ville ; elle fut appelée
Rome
. Rome s’accrut en peu de temps, et devint la maît
, bâtit sur le mont Palatin une petite ville ; elle fut appelée Rome.
Rome
s’accrut en peu de temps, et devint la maîtresse
es. — 8. Cornélius Balbus était ami intime de César. — 9. La ville de
Rome
a produit peu d’hommes égaux à Métellus. — 10. Ta
nepos Pompilii, avo suo similis. corrigé. Caractère des rois de
Rome
. Les sept rois de Rome furent d’un caractère d
milis. corrigé. Caractère des rois de Rome. Les sept rois de
Rome
furent d’un caractère différent. Romulus, premier
ior est, expulsus fuit. corrigé. Suite du caractère des rois de
Rome
. Après Ancus régna Tarquin l’Ancien, d’une ori
aux lois très-sévères de Lycurgue. — 4. Les armées et les généraux de
Rome
cédèrent au Lusitanien Viriate, chef de brigands.
entes senum præceptis ad virtutum studia ducuntur. corrigé. 1.
Rome
fut fondée par des pâtres, dont les chefs Romulus
atues et de ses tableaux. — 14. Sylla remplit de meurtres la ville de
Rome
et l’Italie tout entière ; après sa victoire, il
res. — 4. Souvent les sénateurs, ayant pris en pitié le bas peuple de
Rome
, ont secouru la misère des pauvres citoyens. — 5.
pouvoir ; enfin toute la terre et toutes les mers furent à eux. — 2.
Rome
ne fut pas seulement prise, mais encore brûlée pa
lio fecit. corrigé. Accroissements et institutions nouvelles de
Rome
sous les rois. Numa Pompilius bâtit un temple
s établit toute la discipline militaire, et détruisit Albe, rivale de
Rome
; il réunit à la ville le mont Cœlius. Ancus Mart
our tel. — 3. Les hommes de cœur doivent être amis de la vérité. — 4.
Rome
peut être appelée la commune patrie des nations.
n moins loyalement que courageusement. C’est par des moyens dignes de
Rome
, par le courage, par les travaux et par les armes
ortune, qui en fut la conséquence. Il agitait les projets de détruire
Rome
, d’égorger les consuls, d’anéantir le nom Romain.
armi les cadavres des ennemis. Ainsi la conspiration fut étouffée, et
Rome
, par la vertu, la résolution, la prévoyance de Ci
— 13. Atticus fut enterré près de la voie Appienne, à cinq milles de
Rome
. — 14. Aulis était à trois milles de distance de
inquante-huitième Olympiade, l’an six cent huit après la fondation de
Rome
. — 10. Homère paraît avoir vécu plusieurs siècles
gnit le temple du Salut l’an quatre cent cinquante de la fondation de
Rome
; cette peinture a duré jusqu’au règne de l’emper
Perses à peu près dans le même temps que Tarquin le Superbe régnait à
Rome
. Les Juifs eurent ensuite des tétrarques, jusqu’à
; son nom était obscur dans cette ville, il le rendit très-illustre à
Rome
. — 12. Quarante mille volumes furent consumés par
vers les greniers vides. — 4. Curius le premier amena des éléphants à
Rome
. — 5. Au commencement de la guerre civile, César
émie, s’enfuit de son pays pendant la guerre de Mithridate, et vint à
Rome
. — 10. Tarquin le Superbe, chassé de Rome, alla e
re de Mithridate, et vint à Rome. — 10. Tarquin le Superbe, chassé de
Rome
, alla en exil avec ses enfants à Céré en Étrurie
t le corps par les veines. — 5. Les Gaulois vainqueurs entrèrent dans
Rome
par la porte Colline ; de là ils se rendirent au
rnélius Sylla est le premier qui soit entré en armes dans la ville de
Rome
. — 6. Évandre vint en Italie de Pallantée, ville
eu Mars et de Rhéa Silvia, vierge Vestale, furent originaires d’Albe.
Rome
fut fondée par ruine Romulus trois cent quatre-vi
Neuf ans après l’expulsion des rois, une nouvelle dignité fut créée à
Rome
; elle s’appela dictature. Les dictateurs étaient
e des magistrats Romains. L’an trois cent un après la fondation de
Rome
, le pouvoir fut transféré des consuls aux décemvi
des magistrats Romains. L’an trois cent dix après la fondation de
Rome
, les consuls furent remplacés par des tribuns mil
mptée autrefois comme une des trois plus grandes villes du monde avec
Rome
et Carthage. Mais le sol y tremble souvent ; des
e son nom, appelée voie Appienne. — 4. Il n’y eut pas de boulangers à
Rome
jusqu’au temps de la guerre contre Persée. — 5. L
incrai ou je serai vaincu par vous. — 6. Porsenna faisant le siége de
Rome
avec une armée Étrusque, Mucius se rendit seul au
lle, ayant détruit la nation des Gaulois Sénonais, releva la ville de
Rome
brûlée par eux. — 10. Les Égyptiens embaument les
sa fortune. Tarquin lui-même, parti de la ville de Tarquinies, vint à
Rome
, et y parvint au trône. § 174. Pronoms SE, SO
t qui se trouve heureux de vivre. — 3. Le dernier de tous les rois de
Rome
fut Tarquin, qui fut surnommé le Superbe à cause
Vespasien, et ignominieusement traîné en public à travers la ville de
Rome
, le corps nu, la tête maintenue haute par une épé
Épaminondas apprit-il à danser ? De Calliphron. — 9. En quelle année
Rome
fut-elle fondée ? En l’an sept cent cinquante qua
par les richesses ou par la vertu ? — 13. Aimeriez-vous mieux vivre à
Rome
, ou bien à Mitylène, ou à Rhodes ? — 14. La terre
en charge pendant cinq ans. Que les vierges vestales entretiennent à
Rome
le feu éternel du foyer public. » version 12
égal en gloire à Romulus, parce que, si ce dernier fonda la ville de
Rome
, l’autre fonda la liberté romaine. — 4. Les disci
grandes. — 7. A la bataille de l’Allia, si la fuite des Romains livra
Rome
aux ennemis, elle sauva l’armée. — 8. Quoique tu
s avoir égorgés. — 6. Carthage fut fondée quatre-vingt-deux ans avant
Rome
. — 7. Je perdrai la vie plutôt que d’abandonner m
céron jugeait Catilina redoutable tant qu’il était dans l’enceinte de
Rome
. Aussi, lorsqu’il l’accablait de ses invectives d
r. Aussi, après que les richesses eurent commencé à être en honneur à
Rome
, et que la gloire, l’autorité, la puissance en dé
’enfuir dans sa Grèce, au-delà des mers. Alors entra dans les murs de
Rome
le triomphe le plus beau et le plus éclatant ; ma
e. — 3. A l’approche des Gaulois, on entendit une voix, annonçant que
Rome
serait prise. — 4. Je vous assure que vous serez
des Volsques, avait fait marcher une armée ennemie contre la ville de
Rome
; des députés, et ensuite les prêtres, revêtus de
mais les Numantins refusèrent de le recevoir. Étant ensuite revenu à
Rome
, il ne craignit pas d’entrer au sénat ; Rutilius,
Pictor lui avaient fait un mérite de savoir peindre, il y aurait eu à
Rome
beaucoup de peintres distingués ? — 7. Tibère rep
n effet il la coupa. A partir de ce moment, l’art augural fut sacré à
Rome
. — 3. On demandait à Socrate s’il ne regardait pa
e de ces dernières années, dit-il, un jeune homme fut envoyé d’Asie à
Rome
en mission. Il était porté en litière. Il rencont
à Delphes, demandèrent à Apollon Pythien qui d’entre eux règnerait à
Rome
. Il répondit que celui qui aurait embrassé sa mèr
L’événement lui donna raison ; car, les Tarquins ayant été chassés de
Rome
, Brutus fut le premier promu au consulat. ver
vivants. En ce temps-là, la religion divine avait fait des progrès à
Rome
. Sur ces entrefaites, comme la multitude des Chré
titude des Chrétiens commençait à devenir considérable, il arriva que
Rome
fut dévorée par un incendie. L’opinion publique r
ni celui-là de supérieur. L’an sept cent trois après la fondation de
Rome
, la guerre civile éclata entre ces deux chefs : l
e que l’un ou l’autre ait lieu. — 13. Annibal dit que la guerre entre
Rome
et Carthage ne finirait que lorsque l’une ou l’au
t qu’il ne dût jamais briguer cet honneur, il fut envoyé en mission à
Rome
par Métellus, dont il était lieutenant dans la gu
ité à Tarquin Collatin, parce qu’on avait décidé qu’il ne resterait à
Rome
personne qui portât le nom de Tarquin. § 215.
r aucune amitié entre les méchants. — 3. Il se fait bien des choses à
Rome
. — 4. Il ne peut arriver aucun mal à l’homme de b
main. Je veux examiner quelles auraient été, pour les destinées de
Rome
, les conséquences d’une guerre avec Alexandre de
binius, accusé de concussion. — 6. Jugurtha envoya des ambassadeurs à
Rome
avec beaucoup d’or et d’argent. — 7. On vit fort
upé]ratio pro Ctesiphonte omnium est longè optima. corrigé. 1.
Rome
était délivrée depuis peu de la domination des ro
: cela se passa environ deux cent soixante ans après la fondation de
Rome
. § 238. Préposition SANS, suivie de l’infinit
à acheter. — 3. Autrefois la grammaire, bien loin d’être en honneur à
Rome
, n’était pas même en usage. — 4. Ceux qui ont com
orter l’ordre de lever le siége et de laisser en paix un roi allié de
Rome
. A leur arrivée, comme il tendait la main, après
per chez Pluton. » — 5. On rapporte que Jugurtha, après être sorti de
Rome
, se retourna plusieurs fois de ce côté sans rien
es Éques et les Volsques s’étant avancés jusqu’aux murailles mêmes de
Rome
en ravageant la campagne, et s’étant retirés sans
s Volsques se sont avancés impunément jusqu’aux portes de la ville de
Rome
! » — 2. Il faut être artiste pour pouvoir juger
fallut que Phocion ne fût mis sur le chevalet par les Athéniens. — 7.
Rome
faillit être prise par Porsenna, roi d’Étrurie. —
la grandeur d’âme du peuple Romain, c’est que, dans le temps même que
Rome
était assiégée par Annibal, le terrain sur lequel
bal, le terrain sur lequel il avait assis son camp fut mis en vente à
Rome
, et qu’aux enchères, il trouva un acheteur. Mais
ns perdre pour cela rien de sa valeur, ce fait qu’il s’était trouvé à
Rome
un acquéreur pour un terrain occupé et possédé pa
rieur public, et mettre en vente les comptoirs de banquiers établis à
Rome
autour du Forum. Cependant, frappé de cette circo
va le camp, et se retira près de la rivière de Tutia, à six milles de
Rome
. version 268. Agrigentinorum lepidè dictum.
ons, en voulant la rehausser.. — 4. Comme Livius Salinator sortait de
Rome
pour aller faire la guerre contre Asdrubal, Fabiu
ient un homme malgré lui, on l’excite à sortir. — 4. Titus renvoya de
Rome
, malgré lui et malgré elle, la reine Bérénice, à
Le lion d’Androclus. On donnait au peuple, dans le grand cirque de
Rome
, le spectacle d’un grand combat d’hommes contre d
fus découvert et arrêté par des soldats. On me conduisit d’Afrique à
Rome
, et on me ramena à mon maître. Sur-le-champ, il m
ui n’ont pas de passif en latin. (1). On appelait hommes nouveaux, à
Rome
, ceux dont la famille n’avait jamais rempli les g
raduisait à son salut, il y aurait une équivoque en français. (1). A
Rome
, la profession d’acteur était réputée infâme. (1
pses comme le présage de grands malheurs. (1). Le fleuve qui passe à
Rome
, le Tibre. (1). C’est-à-dire appellatione Dei.
guerre des Romains contre Persée, roi de Macédoine, furent emmenés à
Rome
en otage. Il y composa, en grec, une Histoire uni
à Padoue l’an 59 avant notre ère, passa une grande partie de sa vie à
Rome
, à la cour d’Auguste, et retourna dans sa patrie
s plus reculés jusqu’à la mort de Drusus, l’an 744 de la fondation de
Rome
. Des cent quarante-deux livres qui composaient ce
entier, rédigé par un auteur inconnu. Tacite, né à Intéramne, près de
Rome
, l’an 55 de l’ère chrétienne se consacra, sous Tr
es Carthaginois et les Romains. Carthage, devenue riche plus tôt que
Rome
, avait aussi été plus tôt corrompue. Ainsi, penda
tôt que Rome, avait aussi été plus tôt corrompue. Ainsi, pendant qu’à
Rome
les emplois publics ne s’obtenaient que par la ve
on. Des anciennes mœurs, un certain usage de la pauvreté, rendaient à
Rome
les fortunes à peu près égales ; mais à Carthage,
mpossible d’y jouir de l’une, ni d’y bien faire l’autre. Pendant qu’à
Rome
la guerre réunissait d’abord tous les intérêts, e
e le mal attaque ordinairement la puissance qui pourrait le guérir. À
Rome
, gouvernée par les lois, le peuple souffrait que
aire accepter à Carthage les conditions de paix les plus dures ; mais
Rome
ne se conduisait point parle sentiment des biens
llustres, nous a montré les plus grands personnages de la Grèce et de
Rome
. Les comparaisons perpétuelles qu’il fait entre u
votre sang, affronté la mort et passé les hivers au pied des Alpes !
Rome
est agitée par le tumulte des armes, comme si un
re, ce n’est pas une royauté que je veux conquérir : je veux empêcher
Rome
de se livrer aux caprices d’un tyran. » Traduit
arguments donneraient à mon éloquence les blessures de la malheureuse
Rome
! Les lois sont étouffées par la force, les droit
rmettront pas que César opprime à jamais et les lois et la liberté de
Rome
! » Traduit de Thomas May, écrivain Anglais mort
cessité ne t impose pas cette obligation ! » Traduit de Strada, né à
Rome
en 1572. XV. L’Isle Adam exhorte les habitants
uil, accompagnées de leurs jeunes enfants, les conjurent de sortir de
Rome
avec elles et de supplier Coriolan de les épargne
t-elle, deux fois dans de grands malheurs, des femmes sont sorties de
Rome
en députation : la première, à l’époque du roi Ta
luttes et les maux que tu nous prépares, de devenir le bienfaiteur de
Rome
et de la famille, plutôt que d’être le fléau de l
iolan. Deuxième partie. « Si je te demandais, mon fils, de sauver
Rome
en détruisant les Volsques, je te placerais dans
léaux de l’État ? Si nous devons semer éternellement la division dans
Rome
, attends du moins que j’aie payé mon tribut à la
pensée. » Traduit de Diodore de Sicile, historien grec, qui vivait à
Rome
, au siècle d’Auguste. XXXV. Discours de Nicola
vrai les Romains sur la terre et sur les eaux : je renouvellerai pour
Rome
les destinées de Troie. Ni les dieux du ciel, ni
torches gauloises, Camille séjourna à Veïes ; c’est là aussi que fut
Rome
. Jamais votre Ordre n’a perdu ses droits en chang
rive devant Marseille (Massilia). La ville fidèle à son alliance avec
Rome
refuse d’ouvrir ses portes-, et envoie à César de
les fils, les pères, les frères ont succombé dans les guerres contre
Rome
, qui, en un mot, ont perdu tout ce qu’ils posséda
devenu maître de presque toute l’Italie, me suis dirigé ensuite vers
Rome
. Là, après avoir établi mon camp à cinq mille pas
e : qu’à propos de ces contrées, Carthage ne fasse jamais la guerre à
Rome
: de même, toutes les îles situées entre l’Italie
ché le pouvoir que pour moi seul, afin de régner en faisant peser sur
Rome
une cruelle tyrannie et en donnant un libre cours
as si longtemps refoulé au fond de mon cœur des projets coupables, et
Rome
aurait déjà senti les coups démon glaive homicide
ue disparaîtront aussitôt. Puis le nombre des guerriers s’augmentera,
Rome
enverra sous les drapeaux des soldats tirés de so
alée par celle de plusieurs vaillants capitaines ; mais si tu rends à
Rome
, qui est sur le penchant de sa ruine, l’éclat de
talie, avant les provinces. Les Gaulois ne se sont-ils pas emparés de
Rome
autrefois ? Moi-même, n’ai-je pas anéanti les Rom
ot, littérateur, né en 1730 à Nancy (Histoire des premiers siècles de
Rome
). Voir le même sujet dans Plutarque (Vie de Numa)
Élevé à l’empire par les légions d’Illyrie, Sévère, avant d’entrer à
Rome
, convoque les cohortes des prétoriens désarmés, e
vous portez. Quant à vous, je vous donne l’ordre de vous éloigner de
Rome
, je vous défends d’en approcher de plus près que
ées, avale le poison et il se répand en violentes imprécations contre
Rome
qui lui est odieuse et contre le roi qui trahit l
théâtres. — On fait venir le blé des provinces d’outre-mer, pour que
Rome
ne souffre pas de la famine. « Quand je songe, m
des marchés pour recevoir du blé des provinces d’outre-mer, afin que
Rome
ne soit pas affamée ; nous achetons les vendanges
militaire de Jules César. — « Les hauts faits de tous les généraux de
Rome
, ceux des souverains les plus célèbres, ne peuven
plais à occuper ma pensée, c’est que les hauts faits des généraux de
Rome
, des nations étrangères, des peuples les plus rem
guerre contre Mithridate : il se vit obligé de quitter en toute hâte
Rome
où dominait Sylla. Après avoir erré longtemps sur
un bouclier orné d’argent ; ils étaient en Macédoine ce que furent à
Rome
les Prétoriens. 2. Voir Tite-Live, livre II. — V
rsions qui ne dépassent pas un membre de phrase. Ex : Qui langue a, à
Rome
va. 4° Syllepse La Syllepse fait accorder
it la coupe empoisonnée ; la terre se tait ; Toute la ville le sait ;
Rome
entière admirait les Fabiens, 5° Le nom de l’aute
……………… Voltaire, Zaïre. Camille exprime ainsi toute sa haine contre
Rome
: Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rom
Voltaire, Zaïre. Camille exprime ainsi toute sa haine contre Rome :
Rome
, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui
te sa haine contre Rome : Rome, l’unique objet de mon ressentiment !
Rome
, à qui vient ton bras d’immoler mon amant !, Rome
mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant !,
Rome
, qui t’a vu naître, et que ton cœur adore ! Rome
immoler mon amant !, Rome, qui t’a vu naître, et que ton cœur adore !
Rome
enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! Puisse
ai tiré une quantité prodigieuse de grains, que j’ai fait apporter à
Rome
, où j’ai rétabli l’abondance. Quelle faute ai-je
ent se charger du commandement de vos armées à condition de ramener à
Rome
tous tps soldats qui en seraient sortis sous leur
ris de leurs armées de s’enfermer dans leurs places, que j’ai enrichi
Rome
et vos soldats du butin qu’ils ont fait dans le p
: quand Néron eut empoisonné son frère, on lui dit qu’il avait sauvé
Rome
; quand il eut fait égorger sa femme, on loua dev
s Romains pâlirent. Apollonius fut frappé des malheurs qui menaçaient
Rome
. Il ne put achever. Ce vénérable vieillard se voi
iques histoires ; Je les peins dans le meurtre à l’envi triomphants ;
Rome
entière noyée au sein de ses enfants : Les uns as
i Romain Qui n’aspire en secret à le percer le sein ? Que le salut de
Rome
et que le tien me touche. Ton génie alarmé te par
sar, au nom des dieux dans ton cœur oubliés, Au nom de tes vertus, de
Rome
et de toi-même, Dirai-je au nom si un fils qui fr
u nom si un fils qui frémit et qui t’aime Qui te préfère au monde et
Rome
seule à toi, Ne me rebute pas. Voltaire, Mort de
, dans son Catilina, de faire connaître les personnages principaux de
Rome
, à l’époque de la conspiration, a fait parler le
ls arrivent ; je sors et je marche à leur tète. Au-dehors, au-dedans,
Rome
est votre conquête. Je combats Pétréius, et je m’
indignes Romains, Mais lavé dans leur sang, et vengé par vos mains. (
Rome
sauvée, Act. ii). Voilà le modèle de l’éloquence
auteur latin, et tout le monde sait par cœur l’imprécation sublime :
Rome
! l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qu
l’imprécation sublime : Rome ! l’unique objet de mon ressentiment !
Rome
, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome
e mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant !
Rome
qui t’a vu naître et que ton cœur adore ! Rome en
d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naître et que ton cœur adore !
Rome
enfin que je hais, parce qu’elle t’honore ! Puiss
er un si beau jour. Albe ne pourra pas souffrir un tel spectacle ; Et
Rome
, par ses pleurs, y mettra trop d’obstacle. (Acte
fers ces mêmes mains, qui, armées il n’y a qu’un moment, ont acquis à
Rome
le droit de commander : voile la tête du libérate
arquin l’ancien, et sœur de Tarquin le superbe, tous les deux rois de
Rome
. On le surnomma Brutus, parce qu’il contrefit le
t s’assembla ; la royauté fut abolie ; les Tarquins furent chassés de
Rome
; le gouvernement républicain fut établi, et Brut
les Tarquins, soutenus par Porsenna, roi d’Etrurie, marchèrent contre
Rome
. Il se livra un furieux combat, où ils furent ent
ateurs de forcer la maison, et de tuer Clodius. Son corps est porté à
Rome
par ses partisans, qui le présentent au peuple, d
époque ne pouvait varier : Clodius le savait. Il part brusquement de
Rome
la veille, afin de disposer devant sa terre le pi
nies religieuses ; celui qui, à la tête de vils esclaves, a chassé de
Rome
un citoyen que le sénat, que le peuple, que toute
e peuple, que toutes les nations regardaient comme le conservateur de
Rome
, et le sauveur de toutes les nations ; celui qui
naux, si la liberté, la pudeur et la chasteté ne sont point bannis de
Rome
, c’est à moi, citoyens, à moi seul qu’on en est r
secours de ces mêmes Romains, ô Milon, que tu as pu me rappeler dans
Rome
; et ils ne pourront m’aider à t’y retenir ! Que
qui m’y ont rétabli ! Ô trop heureuse la ville qui recevra Milon ! Ô
Rome
ingrate, si elle le bannit ! malheureuse, si elle
teur romain défend Milon, et il exhorte ses juges à le conserver dans
Rome
à cause de son innocence, de son courage, et de l
e Démosthène a régné dans la tribune d’Athènes, Cicéron dans celle de
Rome
, et Massillon dans nos temples. On peut définir l
er qu’un magistrat qui affecterait de porter la toge des sénateurs de
Rome
. L’éloquence de la chaire donne plus de liberté d
Tite-Live, l’éloquence nerveuse et populaire était déjà florissante à
Rome
dès le temps de Manlius. Cet homme, qui avait sau
voulait que les juges demeurassent persuadés que Milon était parti de
Rome
sans aucun dessein d’attaquer Clodius : rien étai
e ! Moi, je me retire, je pars : si je ne puis partager le bonheur de
Rome
, je n’aurai pas du moins le spectacle de ses maux
ois et la livrée des roses , et qu’il apprenne à un de ses amis qu’à
Rome
il se sauve à la nage au milieu des parfums ? Ce
coulantes. Cicéron, voulant prouver que Milon n’était point parti de
Rome
dans le dessein d’attaquer Clodius, décrit ainsi
tte gloire aux mânes d’un tel homme D’emporter avec eux la liberté de
Rome
. Act. II, sc. 1. Cette pensée a beaucoup d’éclat
pitole » (I, 11), cet auteur nous montre en même temps la grandeur de
Rome
et la petitesse de ses commencements ; et l’étonn
nnicus de Racine : Et ce même Sénèque et ce même Burrhus Qui depuis…
Rome
alors estimait leurs vertus. Et dans Phèdre : P
me que les discours de Démosthène ; et quand L. Plotius vint donner à
Rome
les premières leçons d’éloquence latine, les décl
ivèrent longtemps que l’éloquence pratique ; et dès qu’il s’établit à
Rome
des rhéteurs latins qui voulurent apprendre à la
surtout la gloire d’avoir réduit au silence le plus grand orateur de
Rome
, Hortensius, plaidant pour un ami (Orat., c. 38)
u’il en faut accuser ; car cette méthode fut suivie dès qu’il y eut à
Rome
des écoles de rhétorique, et l’on déclamait déjà
Annibal211 et ces héros qui défendirent contre Carthage la fortune de
Rome
; et Domitien, loin de repousser les barbares, qu
arangues ou les narrations dramatiques des historiens d’Athènes ou de
Rome
? Ils savent donc instruire, mais ils savent auss
d’aller combattre Philippe à la voix de Démosthène. Les historiens de
Rome
nous font la même illusion. Salluste ne nous dira
, déesse aujourd’hui propice, qui de l’Étrurie vient de nous suivre à
Rome
et dont les Gaulois auraient tremblé de profaner
qui, protecteur de nos armes, ne reculera jamais. Ô Mars, ô Quirinus,
Rome
abandonnerait-elle vos boucliers sacrés ? et toi,
giner ce qu’aurait pu dire Thucydide ou Tacite d’Attila aux portes de
Rome
, de Constantinople assiégée, des barbares dans l’
nt la puissance des rois succède le génie de Charlemagne, héritier de
Rome
dans l’Occident, et dont le seul nom remplit son
ngénieux, hospitalier, s’unissant à Pharamond, qui vient le venger de
Rome
; et le Franc superbe, invincible dans les combat
éclaire et anime les soldats, et Nerva est proclamé. Récit224.
Rome
, sous ses consuls, donnait des couronnes à la ver
s consuls, donnait des couronnes à la vertu ; elle était libre alors.
Rome
, esclave sous Domitien, honora les grands hommes
t : il abandonna sans regret une ville qui n’avait plus que le nom de
Rome
, et, emportant avec Platon et Démosthène les cons
mée romaine ; il y fixa sa course errante, et retrouva dans les camps
Rome
exilée de ses murs. Là, honorant sa misère par un
ns confirment les murmures de la renommée. Domitien n’est plus ; mais
Rome
, endurcie à l’esclavage, ne s’apercevait pas qu’e
s frappent leurs boucliers, ils enlèvent les aigles, ils crient : « à
Rome
! à Rome ! » ils tremblent d’avoir été prévenus p
t leurs boucliers, ils enlèvent les aigles, ils crient : « à Rome ! à
Rome
! » ils tremblent d’avoir été prévenus par une au
i vu le jour en Asie, mais mon cœur est romain ; je viens parler pour
Rome
; braves guerriers, croyez les paroles d’un homme
connu que par des bienfaits. Vous n’avez pas vu le sénat assiégé, et
Rome
inondée de sang ; vous n’avez pas vu Carus Métius
la vôtre par une mort prématurée. Romains, les dieux ont eu pitié de
Rome
; vous êtes libres : mais les plaies de la patrie
aintenant il cache dans l’obscurité d’un exil éloigné des vertus dont
Rome
n’est pas digne ; il exerce dans les méditations
nations, s’il se dévoue, l’empire ; lui seul peut encore ramener dans
Rome
la vertu et les dieux. Romains, vous allez décide
nce, la sagesse et l’exemple. Dion fut proscrit. Contraint de quitter
Rome
qu’il avait éclairée, il répandit quelques larmes
ait une nombreuse armée romaine ; à cette pensée il sentit l’amour de
Rome
se réveiller dans son cœur : « C’est là, dit-il,
jour d’une meilleure destinée. Cependant un Romain avait eu pitié de
Rome
et de l’empire ; Domitien n’était plus. Déjà le b
us ce dieu, ce seigneur qui vous outrageait ; votre justice a délivré
Rome
et l’univers. Oui, Romains, c’est par la volonté
sang du peuple et du sénat, étouffer les restes de cette liberté que
Rome
avait retrouvée sous Titus ; et, fier de quelques
er de quelques victoires qu’il dut à votre courage et à la fortune de
Rome
, fouler aux pieds l’empire avili et complice de s
les nations ? Ô mes concitoyens ! vous le connaissez tous, celui que
Rome
appelle par ses vœux. Combien de fois avez-vous e
aine héréditaire dans sa famille ; il a conservé surtout cet amour de
Rome
qui lui fut inspiré avec l’amour de la vertu. Le
vous de donner un maître au monde ; il faut à l’empire un sauveur, et
Rome
l’attend de vous seuls ! Jupiter lui-même vous dé
re rendues à l’empire, les barbares repoussés, les lois florissantes,
Rome
enfin rappelée à son ancienne grandeur. Il s’éton
dera s’il n’y avait pas aussi quelques avantages dans la situation de
Rome
, qui a soumis l’univers. C’est la tradition des s
ne religion nouvelle s’accroît chaque jour. Pour n’être pas funeste à
Rome
, il faut qu’elle établisse dans Rome le siège de
jour. Pour n’être pas funeste à Rome, il faut qu’elle établisse dans
Rome
le siège de son empire, et qu’elle y conserve le
terrestre ; ainsi, dès sa naissance, elle héritera de la grandeur de
Rome
, et lui communiquera son immortalité. Discours
u génie tutélaire de la ville éternelle ! il est enfin venu celui que
Rome
avait en vain si longtemps appelé de ses vœux, ce
ne ceindra plus le front de l’imbécile Gallus. Voyez-vous comme déjà
Rome
se relève plus belle de son long abaissement ? No
sacrées sur l’autel de la patrie ? voilà les dépouilles des barbares.
Rome
avait perdu ses tables, et l’épée du vainqueur, e
nfin rappelée à son ancienne grandeur, c’est au moment où je retrouve
Rome
, que j’irais me condamner à la perdre ! Ah ! plut
e consoler malgré moi. Peu nous importait alors de courir à Byzance ;
Rome
n’était plus ; nous n’avions plus de patrie. Mais
ons plus de patrie. Mais aujourd’hui que Constantin nous a rendu avec
Rome
la gloire et le bonheur, permettez-moi de livrer
de voir du haut d’un nouveau Capitole, dans les ports d’une nouvelle
Rome
, nos vaisseaux s’empresser tour à tour pour appor
ourd’hui seulement que Byzance nous offre ces précieux avantages ; et
Rome
. cette Rome qui a soumis l’univers, n’aurait-elle
lement que Byzance nous offre ces précieux avantages ; et Rome. cette
Rome
qui a soumis l’univers, n’aurait-elle pas aussi d
in leur mère commune d’un rempart invincible ? Vous allez transporter
Rome
dans une ville de la Grèce ; mais quel est le tém
es du Bosphore ; mais la victoire changera-t-elle aussi de patrie ? Ô
Rome
, ville chérie, il faudra donc abandonner tes mura
t opposer aux barbares que de faibles barrières. Qu’il n’y ait qu’une
Rome
, qu’il n’y ait qu’un empire l Ah ! si jamais nous
nous écoutions le funeste projet de déchirer l’héritage de nos pères,
Rome
dépouillée de ses droits, n’aurait plus que sa gl
ns toujours regardée comme notre héritage. Alors elle établirait dans
Rome
le siège de l’empire divin, et elle y recevrait l
rs, léguant à la religion naissante l’héritage de sa grandeur passée,
Rome
, par un heureux échange, en hériterait à son tour
exations des Préteurs qu’ils avaient envoyés dans ce pays. Il parut à
Rome
en plein Sénat. Voici la harangue que La Fontaine
urir on viole leurs lois ; Témoins nous que punit la romaine avarice.
Rome
est par nos forfaits plus que par ses exploits
va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de
Rome
: La terre et le travail de l’homme Font,
reux, Découragés de mettre au jour des malheureux, Et de peupler pour
Rome
un pays qu’elle opprime. Quant à nos enfa
t Gens de rapine et d’avarice. C’est tout ce que j’ai vu dans
Rome
à mon abord. N’a-t-on point de présent à
-même les vives impressions qu’ils durent faire, l’un sur le Sénat de
Rome
, l’autre sur Néron. On croira sans peine que le p
ande âme, si, pour votre malheur vous eussiez, vu la face pompeuse de
Rome
sauvée par votre bras, et que votre nom respectab
res mains s’illustrent par de vains talents : le seul talent digne de
Rome
, est celui de conquérir le monde, et d’y faire ré
parle à Horace son frère. Romeb, l’unique objet de mon ressentiment,
Rome
, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ; Rome,
de mon ressentiment, Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ;
Rome
, qui t’a vu naître et que ton cœur adore, Rome, e
d’immoler mon amant ; Rome, qui t’a vu naître et que ton cœur adore,
Rome
, enfin que je hais, parce qu’elle t’honore, Puiss
sar, au nom des Dieux dans ton cœur oubliés, Au nom de tes vertus, de
Rome
et de toi-même, Dirai-je au nom d’un fils qui fré
au nom d’un fils qui frémit et qui t’aime Qui te préfère au monde et
Rome
seule à toi, Ne me rebute pas. Réticence.
rque le P. Bouhours 1, ont dit de plus fort sur la ruine de Troie, de
Rome
et de Carthage, c’est qu’il ne restait que le lie
on pouvait faire de l’apologue un genre particulier de composition. À
Rome
, Ménénius-Agrippa avait ramené le peuple mutine d
nt la fable des Membres et de l’Estomac. Phèdre, esclave grec amené à
Rome
et affranchi par Auguste, imita Ésope, et se mont
bles : Inde. Bidpaï ou Pilpaï. Arabie. Lokman. Grèce. Ésope, Babrius.
Rome
. Phèdre, Avianus. France. Marie de France, La Fon
ni de Romains, dès l’instant qu’il ne fut plus permis, à Athènes ou à
Rome
, d’exposer publiquement, et de défendre avec cour
mité a quelque chose de bien affligeant. À Athènes et dans l’ancienne
Rome
, l’éloquence et les lettres n’eurent un grand écl
, l’éloquence politique, celle qui, dans les tribunes d’Athènes et de
Rome
, avait exercé la censure de l’administration publ
e des Antonins. C’est à la mort de Caton et de Brutus que commence, à
Rome
, l’histoire de la philosophie stoïcienne ; ce son
s accomplis par respect de soi-même et de sa dignité, se perpétuent à
Rome
de grands hommes en grands hommes. Les stoïciens
rs ; dérobez vos yeux et vos oreilles au spectacle de la servitude de
Rome
, aux cris de la populace, cette vieille ennemie d
l y a aussi un homme qui meurt. Ce n’est pas un sénateur, un grand de
Rome
: c’est un homme des dernières tribus, ou même un
ns l’histoire de l’esprit humain. Siècle de César et d’Auguste.
Rome
était encore presque sauvage, et n’ambitionnait q
arts exilés de ces belles contrées, vinrent établir leur empire dans
Rome
, et y brillèrent du plus vif éclat sous César et
ouvrir une école de grammaire latine et grecque. Les chefs-d’œuvre de
Rome
et d’Athènes furent alors reproduits avec des com
les annales de la tribune en France, en Angleterre, aux Etats-Unis, à
Rome
même et en Grèce ; le prédicateur, dans l’Ecritur
t ainsi qu’Eudore, dans les Martyrs de M. de Chateaubriand, décrit la
Rome
des Empereurs : « Analyse : Que de fois j’ai vis
viennent s’abreuver dans ses eaux ; cette campagne que le citoyen de
Rome
dédaigne maintenant de cultiver, se réservant de
r de le nourrir ; — Synthèse : que vous dirai-je enfin ? Tout porte à
Rome
l’empreinte de la domination et de la durée. » L
omination et de la durée. » L’aspect de la campagne qui environne la
Rome
moderne est dépeint de même dans l’ Itinéraire de
Titus (Vespasianus), né l’an 40 de J. C., de Vespasien, empereur de
Rome
, et de Fa. Il s’étoit signalé par la prise et la
s le royaume de Naples) par l’éruption du mont Vésuve ; l’incendie de
Rome
, qui dura trois jours et trois nuits, et l’horrib
dessus de la raison, de la justice et des lois ; il pense avoir ôté à
Rome
jusqu’à la liberté de la voix et de la respiratio
entissant. Voyez passer l’esprit de l’homme, De Thèbe et de Memphis à
Rome
, Voyageur terrible en tout lieu, Partout brisant
e vastes et beaux jardins, s’élève une maison superbe, qui domine sur
Rome
entière, sur sa magnificence, son bruit et sa fum
va donner à cet homme Qui, plus grand que César, plus grand même que
Rome
, Absorbe dans son sort le sort du genre humain ?
urs vertus les plus héroïques Ne sont que des crimes heureux. Quoi !
Rome
et l’Italie en cendre Me feront honorer Sylla ! J
est une immobilité stérile. Lacordaire 35. Les Catacombes de
Rome
Il faut se représenter les Catacombes comme u
des distances considérables sous les faubourgs et sous la campagne de
Rome
. On n’a pas compté moins de soixante de ces cimet
hrétiens, et les circonvallations qu’ils forment autour de l’ancienne
Rome
, à en croire la tradition populaire que répètent
zzolane qui ont servi, sans doute, à la construction des monuments de
Rome
et qui furent l’ouvrage des anciens. Mais au-dess
autant d’épouvante que d’admiration. Saint Jérôme, jeune, étudiant à
Rome
avec toute l’ardeur de son âme, descendait chaque
in de trembler sous un homme. J’ai visité plusieurs des principaux de
Rome
, Et tous, patriciens, chevaliers, sénateurs, Que
s cohortes, Le trajet sera court des tentes à nos portes. En outre, à
Rome
même il n’est pas sans appui ; Le sénat est pour
BRUTE. Une autre ambition que celle-là me guide : Je veux le bien de
Rome
, et je le veux solide. Connais mieux mes projets
s ne se nommera roi. Tarquin fut un tyran ; un autre pourrait l’être.
Rome
, telle qu’elle est, n’a pas besoin d’un maître. Q
fierté sous la gêne, Le guerrier respirait dans le sujet soumis. Mais
Rome
a triomphé de tous ses ennemis, Et, ne combattant
sent contre les citoyens. Son audace s’accroît du peu de résistance ;
Rome
, trop tôt sauvée, a perdu sa constance, Et, façon
après les autres, La pudeur de la femme a péri chez les nôtres. Enfin
Rome
se meurt, si par un brusque effort, Une crise ne
en, et c’est la liberté. Cette seconde ardeur remplaçant la première,
Rome
redeviendra tout énergique et fière. Elle eût été
nservons, en un mot, ce qui fut autrefois : Je ne veux rien changer à
Rome
que les rois. VALÈRE. Poursuis. BRUTE.
plus sage, Je voudrais qu’on puisât dans l’un et l’autre usage ; Que
Rome
, comme Sparte, obéit à deux chefs, Mais prescrivî
a fois du pays et de l’homme, D être conçu par Brute, et pratiqué par
Rome
. Ponsard 50. Sertorius SERTORIUS à Po
sous les ordres d’un homme ? N’y commandez-vous pas comme Sylla dans
Rome
? Du nom de dictateur, du nom de général, Qu’impo
roirais lui faire un présent magnifique ! Et que j’irais, seigneur, à
Rome
avec plaisir, Puisque la trêve enfin m’en donne l
sa patrie : C’est elle par ma voix, seigneur, qui vous en prie, C’est
Rome
… SERTORIUS. Le séjour de v
ntat, Qui n’a que ses fureurs pour maximes d’État ! Je n’appelle plus
Rome
un enclos de murailles, Que ses proscriptions com
it plein divorce ; Et comme autour de moi j’ai tous ses vrais appuis,
Rome
n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
comme autour de moi j’ai tous ses vrais appuis, Rome n’est plus dans
Rome
, elle est toute où je suis. Est-ce être tout Roma
nace, Si pour monter au trône et lui donner la loi Tu ne trouves dans
Rome
autre obstacle que moi, Si jusques à ce point son
. Apprends à te connaître, et descends en toi-même ; On t’honore dans
Rome
, on te courtise, on t’aime, Chacun tremble sous t
onquête : C’est l’effroi de l’Asie. Et, loin de l’y chercher, C’est à
Rome
, mes fils, que je prétends marcher. Ce dessein vo
s. Ne vous figurez point que de cette contrée Par d’éternels remparts
Rome
soit séparée. Je sais tous les chemins par où je
berté mourante. Non, princes, ce n’est point au bout de l’univers Que
Rome
fait sentir tout le poids de ses fers ; Et, de pr
e près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis,
Rome
, sont à tes portes. Ah ! s’ils ont pu choisir pou
croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les Romains que dans
Rome
. Noyons-la dans son sang justement répandu, Brûlo
ienne peut-être ; Et, la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que
Rome
y consacrait à d’éternels affronts. Voilà l’a
is trouver des défenseurs. Je veux que, d’ennemis partout enveloppée,
Rome
rappelle en vain le secours de Pompée. Le Parthe,
ate. Que nos tyrans communs en pâlissent d’effroi, Et que le bruit, à
Rome
, en vienne jusqu’à moi. Racine. Dernière
a le langage ? Sur les pas des tyrans veux-tu que je m’engage, Et que
Rome
, effaçant tant de titres d’honneur, Me laisse pou
us craignez la noirceur ? Faites périr le frère, abandonnez la sœur ;
Rome
, sur les autels prodiguant les victimes, Fussent-
ci les restes ! Si j’obtiens ces… vingt ans par vos secours célestes,
Rome
, qui peut presser les rangs des bienheureux, Près
rvit sans peine un peuple dépravé. César, qui méditait l’esclavage de
Rome
, Soutient qu’après la mort rien ne survit à l’hom
t il n’y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni
Rome
; mais aujourd’hui la banqueroute, la hideuse ban
t qu’on puisse dire, suivant la magnifique expression de l’Orateur de
Rome
, que vous avez travaillé en quelque sorte vous-mê
ivre ou l’épée à la main, Plus brillante qu’Athène et plus grande que
Rome
: Qui pour maître devrait exiger plus qu’un homme
quel parti prendre entre César entouré de tous les mauvais sujets de
Rome
, et Pompée affectant des airs de Sylla. Remontez
nêteté et de patriotisme. Le premier des orateurs et des écrivains de
Rome
a été aussi le plus grand de ses citoyens. Je sai
a trembler dans leurs tribunaux les juges devant lesquels on le cite.
Rome
même entendra sa voix ; et un jour cette ville ma
Paul a des moyens pour persuader que la Grèce n’enseigne pas, et que
Rome
n’a pas appris. Une puissance surnaturelle, qui s
re dans le gouffre de la puissance romaine. Marche, marche ! dit-il à
Rome
elle- même ; et ce peuple invincible qui sert d’i
e rayons et coloré de pudeur, comme ce jour où, entrant au théâtre de
Rome
dans le moment qu’on venait d’y réciter ses vers,
isins nouveaux, Combien d’enfants déjà sont pleurés par leurs mères !
Rome
voit tous les jours de lugubres hérauts Escorter
ont vous convenir. » Il ne faut aux petits que des plaisirs modestes.
Rome
n’a déjà plus tant de charme à mes yeux, Mais je
Voilà le second ministre que vous voyez mourir depuis que vous êtes à
Rome
; rien n’est plus différent que leur mort ; mais
ous vous trouvez embarrassé dans votre religion sur ce qui se passe à
Rome
et au conclave : mon pauvre cousin, vous vous mép
e gouvernement même qu’on avait proscrit. Quand Sylla voulut rendre à
Rome
la liberté, elle ne put plus la recevoir : elle n
, et tenir leurs richesses de la main de leurs destructeurs ! Bientôt
Rome
leur demanda pour otages trois cents de leurs pri
ent, dans l’héroïsme et le naturalisme mythologique de la Grèce et de
Rome
. La religion d’un Dieu fait homme est une religio
et la vulgarité. Voici comment il est jugé par un témoin de sa vie à
Rome
, par Mendelssohn, esprit délicat, âme rêveuse et
ins grand pour avoir exterminé les Cimbres que pour avoir abattu dans
Rome
l’aristocratie de la noblesse. » Voyez Rousseau d
les vertus romaines, l’esprit romain, la pensée puissante qui donne à
Rome
la vie et la gloire, n’est plus dans les muraille
nne à Rome la vie et la gloire, n’est plus dans les murailles même de
Rome
, mais dans son camp : Rome n’est plus dans Rome
e, n’est plus dans les murailles même de Rome, mais dans son camp :
Rome
n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
s murailles même de Rome, mais dans son camp : Rome n’est plus dans
Rome
, elle est toute où je suis. Œnone dit à Phèdre
s avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de
Rome
, et l’on délibère ! Et certes, il n’y avait autou
, il n’y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni
Rome
… Mais aujourd’hui la banqueroute, la hideuse banq
ux, elle lui propose de visiter avec elle les principaux monuments de
Rome
. Oswald et Corinne allèrent d’abord au Panthéon,
a hérité du paganisme ; mais le Panthéon est le seul temple antique à
Rome
qui soit conservé tout entier, le seul où l’on pu
quées des prisons très cruelles. Tous les événements de l’histoire de
Rome
, depuis Adrien jusqu’à nos jours, sont liés à ce
t ! s’écria lord Nelvil. Qui jamais éprouva le bonheur que je goûte ?
Rome
montrée par vous, Rome interprétée par l’imaginat
. Qui jamais éprouva le bonheur que je goûte ? Rome montrée par vous,
Rome
interprétée par l’imagination et le génie, Rome,
ome montrée par vous, Rome interprétée par l’imagination et le génie,
Rome
, qui est un monde animé par le sentiment, sans le
son abdication ; les Stuarts, depuis que leur dynastie est renversée.
Rome
depuis longtemps est l’asile des exilés du monde
st renversée. Rome depuis longtemps est l’asile des exilés du monde ;
Rome
elle-même n’est-elle pas détrônée ! son aspect co
n bas-relief les Métamorphoses d’Ovide. « On ne se scandalise point à
Rome
, lui dit-elle, des images du paganisme, quand les
ion, quando si posa20. Non loin de ces lions, on voit une statue de
Rome
mutilée, que les Romains modernes ont placée là,
à, sans songer qu’ils donnaient ainsi le plus parfait emblème de leur
Rome
actuelle. Cette statue n’a ni tête ni pieds ; mai
Tibre comme celui des fleuves sans gloire ; c’est un des plaisirs de
Rome
que de dire : Conduisez-moi sur les bords du Tibr
antiquité et la douceur du christianisme soient ainsi rapprochés dans
Rome
à travers les siècles, et se montrent aux regards
a tour du Capitole, Corinne lui montra les sept collines, la ville de
Rome
, bornée d’abord au mont Palatin, ensuite aux murs
qui servent encore aujourd’hui d’enceinte à la plus grande partie de
Rome
. Corinne rappela les vers de Tibulle et de Proper
t sortie la maîtresse du monde21. Le mont Palatin fut à lui seul tout
Rome
pendant quelque temps ; mais dans la suite le pal
n. Un poète du temps de Néron fit à cette occasion cette épi gramme :
Rome
ne sera bien plus qu’un palais. Allez à Veies, Ro
’étaient autrefois, lorsqu’elles méritaient le nom de monts escarpés.
Rome
moderne est élevée de quarante pieds au-dessus de
onts escarpés. Rome moderne est élevée de quarante pieds au-dessus de
Rome
ancienne. Les vallées qui séparaient les collines
llines24, non comprises dans les sept fameuses, donnent à la ville de
Rome
quelque chose de si pittoresque, que c’est peut-ê
ines et d’édifices, de campagnes et de déserts, qu’on peut contempler
Rome
de tous les côtés, et voir toujours un tableau fr
ée. Oswald ne pouvait se lasser de considérer les traces de l’antique
Rome
, du point élevé du Capitole où Corinne l’avait co
saïque dans l’extérieur de la plupart de nos villes européennes ; et,
Rome
, plus souvent qu’aucune autre, présente le triste
. de Chateaubriand, nommé secrétaire du cardinal Fesch, ambassadeur à
Rome
, donna bientôt sa démission, et le travail commen
omain Le jeune Grec Eudore, dont la famille est chrétienne, vint à
Rome
sous le règne de Dioclétien. Devenu suspect à Gal
t point tourner les yeux avec regret vers les délices de Naples et de
Rome
, mais elle réveilla en moi une autre espèce de so
se tourne vers la légion chrétienne : « Braves soldats, la fortune de
Rome
est entre vos mains. Marchons à l’ennemi. » Aussi
était en même temps déclaré chrétien, et se disposait à marcher vers
Rome
. Ces nouvelles, en portant le trouble dans l’âme
armée qui est entrée deux fois dans les murs de Vienne, dans ceux de
Rome
, de Berlin, de Madrid, de Moscou, qui a délivré P
ailes du repentir, de l’espérance et de l’amour. Heureux ceux qui, à
Rome
, au Vatican, dans les solennités du culte catholi
éroïsme de Decius, qui, pour ramener la victoire sous les drapeaux de
Rome
, se dévoue aux dieux infernaux ; de Régulus, qui
leur étendard, qui fut arraché et remplacé par la bannière envoyée de
Rome
. Les débris de l’armée anglaise, sans chef et san
r sur la scène du monde. Ils y paraissent quand l’heure est venue, et
Rome
s’écroule sous leur souffle. Et puis, plus tard,
e Robert dans les catacombes de Rome327 Sous les remparts de
Rome
, et sous ses vastes plaines, Sont des antres prof
ochers aux palais des Romains. Avec ses monuments et sa magnificence,
Rome
entière sortit de cet abîme immense. L’Église enc
ue345. Tibère. (Extraits) Acte I, Scène I (La scène est à
Rome
, dans le palais de Tibère.) Pison 346, sénateur
squ’aux bouches du Tibre un vaisseau m’a conduit ; Je suis enfin dans
Rome
, et je viens me défendre. Agrippine au sénat s’es
aient tristement des yeux accusateurs. Je respirais leur âme, et dans
Rome
flétrie Cnéius, au milieu d’eux, retrouvait la pa
me retraçaient le cours : Ici, du dictateur la victoire fatale ; Là,
Rome
, survivant aux débris de Pharsale, À la tribune e
ste vieillissant fit oublier Octave. Parlant de république au sein de
Rome
esclave, Il nous berçait encor de ces mots révéré
au tyran j’ai connu l’âme altière ; J’ai vu les chevaliers, le sénat,
Rome
entière, Tout l’empire, à l’envi, se faisant ache
Malheur aux citoyens coupables de vertu, Et dont la gloire offense, à
Rome
ou dans l’armée, Tibère impatient de toute renomm
oit les tribunaux, les temples, désertés ! Pourquoi ? Ces dieux, dont
Rome
adore les images, Jule, Auguste, en mourant, ont
ins d’hommages ; Moins de deuil éclatait même aux jours malheureux Où
Rome
a vu pâlir ses destins généreux, Où Canne et Tras
Pison, la veuve d’un grand homme Aurait dit à l’empire et répété dans
Rome
: César est indigné de ce deuil solennel ; En ple
BÈRE. Avez-vous oublié que Drusus est mon fils ? AGRIPPINE. Non, mais
Rome
a connu deux enfants de Tibère ; Et souvent mon é
ez m’entendre. Ce moment, il est vrai, s’est fait longtemps attendre.
Rome
ne m’offre plus que des yeux ennemis. Mes jours s
t frémirait de voir un consulaire Divulguant sans pudeur, aux yeux de
Rome
entière, Un ordre faux peut-être, ou mal interpré
essus du trépas ? Les Pisons vos aïeux mouraient dans les combats : À
Rome
, ils triomphaient d’une ligue ennemie. On peut br
je l’affronte ; Pour l’honneur de mon fils, j’en dois subir la honte.
Rome
, l’empire entier, tout se tait devant vous ; On n
ient la calomnie ; Et du chêne civique ils couronnaient le front Qu’à
Rome
on eût flétri d’un solennel affront. Ah ! si quel
Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses sacrés tombeaux
Rome
m’a vu descendre ; Des mânes les plus saints trou
ci les restes ! Si j’obtiens ces… vingt ans par vos secours célestes,
Rome
, qui peut presser les rangs des bienheureux, Près
on manteau militaire, Du lit de camp passe au cercueil ! II À
Rome
où du sénat hérite le conclave, À l’Elbe, aux mon
vait exigé que l’ainé des enfants fût, à l’âge de seize ans, envoyé à
Rome
comme otage. 50. . M. Augustin Thierry, dans son
signe dans cette phrase. 116. Diplomate français qui fut assassiné à
Rome
le 13 janvier 1793, pour avoir fait prendre à ses
nace, Si pour monter au trône et lui donner la loi Tu ne trouves dans
Rome
autre obstacle que moi ; Si jusques à ce point so
ffet arrivée au peintre Robert, alors élève de l’académie de France à
Rome
. Inspiré à son tour par les beaux vers du poète,
r les richesses de sa femme Plancine. Germanicus mort, Pison revint à
Rome
pour se défendre contre ceux qui l’accusaient de
s : quanto quis illustrior, tanto magis falsi ac festinantes. » — « À
Rome
, tout se précipite dans la servitude, consuls, sé
les coups de la fortune la hauteur de son âme et de ne pas irriter à
Rome
, par des prétentions rivales, un pouvoir au-dessu
ciel, a chassé, a exterminé les dieux de la terre3. Les ruines de
Rome
. A Rome, vous4 marcherez sur des pierres qui o
ssé, a exterminé les dieux de la terre3. Les ruines de Rome. A
Rome
, vous4 marcherez sur des pierres qui ont été les
oses, vous ne vous lassiez à la fin du repos et de la tranquillité de
Rome
, qui sont deux choses beaucoup plus propres à la
du monde, c’était lui dire bien formellement, que s’il avait conquis
Rome
par la force des armes, il ne régnerait sur les R
ns fruit, après avoir admiré le premier. 90. « Plût aux Dieux que
Rome
eût assez de braves et intègres citoyens, pour qu
ordé par les Dieux immortels ! » Quand Pompée serait aujourd’hui dans
Rome
, sans aucun commandement, il faudrait toujours le
amères, à ces soupçons si donloureux pour nous. Tous les citoyens de
Rome
, ceux surtout qui vous doivent la vie, ont-ils do
n’ait gardé aussi longtemps qu’elle l’empire de l’esprit et du goût.
Rome
n’a pas eu deux Cicéron, deux Horace, deux Virgil
quel parti prendre entre César entouré de tous les mauvais sujets de
Rome
, et Pompée affectant des airs de Sylla. Remontez
nêteté et de patriotisme. Le premier des orateurs et des écrivains de
Rome
a été aussi le plus grand de ses citoyens. « Je s
ins a laissé une tache ineffaçable sur la victoire des oppresseurs de
Rome
. Par cette mort il a confirmé toute sa vie, impri
ophète avait reproché à David son crime sous l’emblème d’un berger. À
Rome
, Ménénius Agrippa ramenait une partie du peuple m
ignés. C’est un ouvrage presque parfait ; cependant il était oublié à
Rome
même, cinquante ans, tout au plus, après sa mort,
t admiré. Virgile, né à Mantoue 70 ans avant J.-C, se fit connaître à
Rome
par ses poésies pastorales. Il est le seul poète
r très sensé d’un roi très imprudent. « Je vais, lui dit ce prince, à
Rome
où l’on m’appelle. — Quoi faire ? — L’assiéger. —
rise est fort belle, Et digne seulement d’Alexandre ou de vous ; Mais
Rome
prise enfin, seigneur, où courons-nous ? — Du res
nous avons fait la satire. Ce furent les Toscans qui l’apportèrent à
Rome
; elle n’était alors qu’une sorte de chanson en d
es choses. Livius Andronicus, qui était Grec d’origine, ayant donné à
Rome
des spectacles en règle, la satire changea de for
a gloire de l’emporter sur nos voisins et de le disputer à l’ancienne
Rome
dans le genre de la satire. On peut dire qu’il ré
par les superbes théâtres dont elle a voulu l’honorer ; et que, dans
Rome
enfin, ce même art a reçu aussi des honneurs extr
me art a reçu aussi des honneurs extraordinaires ; je ne dis pas dans
Rome
débauchée et sous la licence des empereurs, mais
s pas dans Rome débauchée et sous la licence des empereurs, mais dans
Rome
disciplinée, sous la sagesse des consuls, et dans
on ne s’avise point de défendre la médecine pour avoir été bannie de
Rome
, ni la philosophie pour avoir été condamnée publi
ilà le second ministre1 que vous voyez mourir, depuis que vous êtes à
Rome
; rien n’est plus différent que leur mort ; mais
ous vous trouvez embarrassé dans votre religion par ce qui se passe à
Rome
et au conclave ; mon pauvre cousin, vous vous mép
e de l’Oraison funèbre de Turenne par Fléchier. 2. Coulanges était à
Rome
, parmi la suite du duc de Chaulnes, ambassadeur e
u Mourant dans La Fontaine. 1. Coulanges avait vu mourir Seiguelay à
Rome
. 2. Pasteur protestant très-estimé par le clergé
e de Marius8 se remettoit sus9, et recouvroit grande puissance dedans
Rome
, il y eut quelques vieillards en la boutique d’un
nnu par sa rivalité avec Marius ; vainqueur de Mithridate, il entra à
Rome
, proscrivit ses adversaires et rétablit l’aristoc
’aristocratie, après avoir fait couler des flots de sang. Il gouverna
Rome
deux ans en maître absolu, abdiqua et mourut en 7
ue, la folie de la croix triomphante de la sagesse du monde, et enfin
Rome
, le centre du paganisme, punie comme Jérusalem l’
x, qui joint aujourd’hui le double empire des ondes. Ce fut alors que
Rome
(b) parut renaître de ses cendres, pour opposer à
e par le bon sens. Quel peintre s’aviseroit de représenter un héros à
Rome
et à Carthage sur la même toile ? On auroit tort
trop distinctement ; qu’il se contente de dire qu’il est à Athènes, à
Rome
, ou tout au plus dans un tel palais, et qu’il lai
les que l’ancien Jules César des Anglois, où Cassins et Brutus sont à
Rome
au premier acte, et en Thessalie dans le cinquièm
Grèce ne soit point représenté sous les mêmes traits qu’un citoyen de
Rome
, un Athénien sous les mêmes qu’un Spartiate, un E
même espèce de comédie. Livius Andronicus, grec de naissance, fut à
Rome
le créateur du théâtre comique, vers l’an 240 ava
s intérêts de toute une nation, comme dans les Horaces, où le sort de
Rome
est entre les mains de trois combattans ; dans Ip
urreau ? Romains souffrirez-vous qu’on vous immole un homme, Sans qui
Rome
aujourd’hui cesseroit d’être Rome, Et qu’un Romai
u’on vous immole un homme, Sans qui Rome aujourd’hui cesseroit d’être
Rome
, Et qu’un Romain s’efforce à tacher le renom D’un
er Horace dans Corneille, lorsque Curiace, en le félicitant de ce que
Rome
l’a nommé avec ses deux frères pour le combat, ne
Albe sa patrie. Loin de trembler pour Albe(a), il vous faut plaindre
Rome
(b). Voyant ceux qu’elle oublie et les trois qu’el
que soient les projets, Je ne me compte point pour un de vos sujets.
Rome
a trop cru de moi : mais mon âme ravie Remplira s
vaincre, est vaincu rarement ; Ce noble désespoir périt mal aisément.
Rome
, quoi qu’il en soit ne sera point sujette, Que me
ce, Si, pour monter au trône, et lui donner la loi, Tu retrouves dans
Rome
autre obstacle que moi ; Si jusques à ce point so
in. Apprends à te connoître et descends en toi-même. On t’honore dans
Rome
, on te courtise, on t’aime ; Chacun tremble sous
ses enfans du dessein qu’il a formé d’aller attaquer les Romains dans
Rome
même, est également admirable par la grandeur des
onquête : C’est l’effroi de l’Asie. Et, loin de l’y chercher, C’est à
Rome
(c), mes fils, que je prétends marcher. Ce dessein
, Ne vous figurez point que de cette contrée, Par d’éternels remparts
Rome
soit séparée. Je sais tous les chemins par où je
berté mourante. Non, Princes, ce n’est point au bout de l’univers Que
Rome
fait sentir tout le poids de ses fers : Et de prè
e près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis,
Rome
, sont à tes portes. Ah ! s’ils ont pu choisir pou
croyons en ce grand homme, Jamais on se vaincra les Romains que dans
Rome
. Noyons-la dans son sang justement répandu : Brûl
ienne peut-être ; Et, la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que
Rome
y consacroit à d’éternels affronts. On peut cert
depuis quand croit-il, qu’au mépris de ma gloire, A ne plus craindre
Rome
(c) instruit par la victoire, Oubliant désormais l
issé, n’offre au désir de l’homme Rien qui puisse tenter l’avarice de
Rome
. Mais pour trancher ici d’inutiles discours, Rome
tenter l’avarice de Rome. Mais pour trancher ici d’inutiles discours,
Rome
de mes projets veut traverser le cours ? Et pourq
que par ce choix, Albe(a) montre en effet Qu’elle m’estime autant que
Rome
(a) vous a fait, Je crois faire pour elle autant q
ue Rome(a) vous a fait, Je crois faire pour elle autant que vous pour
Rome
; J’ai le cœur aussi bon ; mais enfin je suis hom
anler : J’aime ce qu’il me donne, et je plains ce qu’il m’ôte ; Et si
Rome
demande une vertu plus haute, Je rends grâces aux
t lâchement se dispose. Ce droit saint et sacré rompt tout autre lien
Rome
a choisi mon bras, je n’examine rien. Avec une al
Britannicus. Et qui m’en instruira ? Néron. Tout l’Empire à-la-fois,
Rome
….(a) Britannicus. Rome met-elle au nombre de vo
instruira ? Néron. Tout l’Empire à-la-fois, Rome….(a) Britannicus.
Rome
met-elle au nombre de vos droits Tout ce qu’a de
tice et la force, Les emprisonnemens, le rapt et le divorce ? Néron.
Rome
ne porte point ses regards curieux Jusques dans d
où le Trissin donna Sophonishe, que le pape Léon X fit représenter à
Rome
: ensuite en France, où en présence de la cour de
et d’où sont sortis les rois d’Albe d et les fondateurs de la superbe
Rome
(e). » Voilà d’un côte un homme, et de l’autre un
vandre, qui avoit établi une colonie d’Arcadiens dans le lieu même où
Rome
fut depuis bâtie. Ce prince donne à Enée quatre c
Ce. La Guerre punique (c’est la deuxième) de Sitius Italicus, né à
Rome
vers l’an 55 de J. C. Ce poëme n’offre que quelqu
e, tels que la mort de Coligny, la bataille de Coutras, le tableau de
Rome
, le départ de Jacques Clément, l’attaque des faub
ue, qui signifie en grec toute Assemblée. Le même usage fut observé à
Rome
. Les Panégyriques prononcés dans Athènes, se sont
tre les Étrusques qui voulaient rétablir les Tarquins sur le trône de
Rome
: son corps fut exposé dans la place publique par
rédécesseur. Dans Athènes, on ne louait que la valeur militaire, et à
Rome
, toutes sortes de vertus. Aucune de ces Oraisons
scussion des causes entre les particuliers. Dans ceux d’Athènes et de
Rome
, elle s’étendait jusqu’à la discussion des affair
cours. Cicéron, né à Arpion en Toscane, l’an 106 avant J.-C., fut à
Rome
ce que Démosthène avait été dans Athènes. Ce prin
et à qui celui-ci avait accordé la vie, avec défense de rentrer dans
Rome
. Du Ryer, Gillet, et l’abbé Maucroix, ont mis en
uivants de Clément, et le dernier qui a paru, de Guéroult. Il y eut à
Rome
une infinité de personnages consulaires, ou de ci
eurs aux plus beaux chefs-d’œuvre sortis des barreaux d’Athènes et de
Rome
. Cet illustre magistrat, un des plus étonnants qu
e courage de passer outre, si je n’avais à solliciter votre procès de
Rome
. Sachez-moi gré, s’il vous plaît, de cela ; car j
and-duc de Toscane la naissance du dauphin. Il poussa ensuite jusqu’à
Rome
, où madame de Rambouillet avait un procès pour le
mentum. Versio XCVI. Ludorum Scenicorum Romœ institutio. (An de
Rome
389. av. J. C. 364.) 96. C. Sulpicio Betico, C
singulière dans ces lieux que Romulus a choisis pour l’emplacement de
Rome
; qu’après avoir passé le Tibre à la nage, en cha
chute de Séjan, qui fut un sujet d’allégresse pour le prince et pour
Rome
. Mais ses malheurs lui avaient donné une leçon tr
erve ; Delphes, par les oracles d’Apollon ; Délos, par sa naissance ;
Rome
heureusement placée, sur la foi des vau[illisible
es Romains, Messine, se plaignait de la tyrannie des Carthaginois. Or
Rome
et Carthage convoitaient la Sicile ; et, dans le
ient, avec une ardeur et des forces égales, à la domination du monde.
Rome
prit donc les armes, en apparence pour secourir d
n abondance, non-seulement à ses habitants, mais à l’Italie même et à
Rome
. Aux biens précieux qu’on trouve à sa surface, il
immobile, quand il me dit : Va, Proculus, annonce aux Romains que ma
Rome
doit être la capitale du monde : ainsi l’ordonne
se parler à lui-même. Et moi, je pensais aussi qu’il n’était bruit à
Rome
que de ma questure en Sicile. Dans une extrême di
resque anéanti, quand je m’entendis demander quel jour j’avais quitté
Rome
, et s’il n’y avait rien de nouveau dans cette vil
vantes, et de tant d’autres chefs-d’œuvre, qu’après le Capitole, dont
Rome
, l’auguste cité, s’enorgueillit à jamais, l’unive
rée triompha de la valeur romaine, qui avait fait trembler l’univers.
Rome
, sans doute, eut la supériorité des armes ; mais
déchut point de son antique noblesse. Transportée en grande partie à
Rome
, ainsi qu’elle l’avait été plusieurs siècles aupa
uissance de l’Apologue. 97. Le peuple s’était autrefois retiré de
Rome
, indigné de ce que les richesses, le commandement
est vrai, mais qui cependant n’est pas leur cité. Maintenant, laissez
Rome
et ces autres villes où l’agrément du site et la
; et ce furent ses fils et ses gendres qui, après l’avoir porté dans
Rome
sur leurs épaules, le mirent sur le bûcher. Ve
victorieuse, dont on peut dire avec plus de vérité que de l’ancienne
Rome
, qu’elle est supérieure à toutes les forces humai
l pensât que l’attente de l’événement occupait vivement les esprits à
Rome
, Métellus résolut de ne pas commencer la guerre,
t dans cette armée, sans parler de désordres plus graves encore. Mais
Rome
trouva Métellus aussi grand, aussi sage, au milie
r leur secours. Comme il tenait singulièrement à chanter en public, à
Rome
encore il avança l’époque des jeux Néroniens ; et
doute que leurs ancêtres, dont les mains ont créé l’immense empire de
Rome
, ne brillèrent point par leur opulence, mais par
26. Déjà l’on avait détaché en avant la cavalerie, pour transporter à
Rome
la population d’Albe. On fit marcher ensuite les
ux travaux guerriers que tu partageras un jour. Interroge le passé de
Rome
. Aimes-tu voir la liberté conquise ? Tu admireras
rt des auteurs étaient mes amis. Voilà ce qui a prolongé mon séjour à
Rome
au delà du terme que j’y avais fixé. Je puis main
plus estimé que dans ces âges antiques où le peuple était pauvre, où
Rome
commençait ; alors qu’une humble cabane suffisait
sénateur faisait paître lui-même ses brebis. Mais quand la fortune de
Rome
eut pris l’essor, quand cette ville eut porté jus
habitants des villes ; et l’on ne peut nier qu’après la fondation de
Rome
, les Romains ne soient toujours sortis de son sei
maladie ou par le poison, sa veuve Agrippine transporte ses cendres à
Rome
, pour les déposer dans le tombeau d’Auguste.
ius, frère de Germanicus, et les enfants que celui-ci avait laissés à
Rome
. Les consuls M. Valérius et C. Aurélius, qui avai
fort de l’hiver ; il n’avait cessé d’accompagner le corps jusque dans
Rome
; on avait rangé autour du lit funèbre les images
s humains ont une certaine pente vers le mal, ce nouveau goût envahit
Rome
entière par une funeste contagion. Les jeunes gen
d’un réseau de châtiments. Version LXII. Entrée de Trajan dans
Rome
. 62. Quel jour que celui où vous entrâtes, ob
ns. Version XLVIII. Triomphe de César. 68. César entre dans
Rome
sur son char de victoire. L’objet de son premier
s publiques. Mon malheur que je me suis attié en a offert aux yeux de
Rome
un éclatant exemple, malheur que je me suis attir
qu’elles émanent pour passer dans mon sein. Maintenant, je retourne à
Rome
, et j’adresse des vœux ardents aux divinités des
te ; les services des Emiliens et des Cornéliens, qui avaient délivré
Rome
et l’Italie de tant d’alarmes, ne permirent pas l
: on prit, pour former des pendants d’oreilles à Vénus, pour placer à
Rome
, dans le Panthéon, la moitié d’un souper d’Antoin
able, doivent renoncer à la société de leurs amis et aux agréments de
Rome
, se soustraire à tous les devoirs de la vie, et,
t tous les désordres qui en furent la suite, avaient pris naissance à
Rome
, quelques années auparavant, dans le repos et l’a
, l’enrôlement des esclaves, la disette de jeunes gens, la peste dans
Rome
, la famine et la sécheresse dans l’Italie, la rés
vrages parfaits. Version XCVI. Institution des jeux Scéniques à
Rome
. 96. Sous le consulat de C. Sulpicius Béticus
e belliqueux Tullus, et le religieux Numa, et Romulus le fondateur de
Rome
, il leur a fait haïr jusqu’au nom de la royauté.
xercées assidument. 272 52. Les cendres de Germanicus transportées à
Rome
; funérailles de ce prince. 272 53. Suite du mêm
amné la troupe des délateurs à l’exil. 290 62. Entrée de Trajan dans
Rome
. 292 63. De l’imitation des anciens. 292 64. L’
upérieurs chez les Romains. 352 96. Institution des jeux Scéniques à
Rome
. 354 97. De la mémoire. 356 98. Eloge de la bie
le poussaient à cette résulution. *. Ou marais de la Chèvre, près de
Rome
. *. Littéralem. : nouvel Hercule. Nous avons plu
ccède un tableau non moins énergique, celui des troubles excités dans
Rome
par Clodius et sa faction, pour empêcher que le d
evaliers romains, menaçait les sénateurs, se vendait à la populace de
Rome
: il se vantait d’avoir échappé par son secours à
omains, un de ces vieux républicains, un modèle des premiers temps de
Rome
, une image fidèle des vieilles mœurs, une colonne
sang arrosée, Je m’assis, Tacite3 à la main. Je lisais les crimes de
Rome
, Et l’empire à l’encan1 vendu, Et, pour élever un
énité de la nature. 2. Colissée ou Colisée, immense amphithéâtre de
Rome
, commencé par Vespasien et achevé par Titus. Il f
hui les ruines gigantesques. 3. Tacite, un des grands historiens de
Rome
, a raconté les sinistres annales de l’empire, ave
sa puissance, gouvernèrent après lui l’Empire romain. 5. Collines.
Rome
ancienne était bâtie sur sept collines ; on l’app
mme l’a dit Voltaire, aux plus énergiques écrivains de la Grèce et de
Rome
. Bon conseil d’Armand de Biron1 à Henri IV.
dient pour sauver l’Etat : c’était que, comme autrefois on avait vu à
Rome
deux princes associés au gouvernement de l’empire
e de la Virginité endormie1 Tableau de la campagne romaine 2
Rome
, 10 janvier 1804. Figurez-vous quelque chose de l
qui environnent Saint-Jean-de-Latran et Sainte-Croix de Jérusalem, à
Rome
. Des clairières5 se panachent d’élégantes et haut
lité et veuvage. » Isaïe. (Note de Chateaubriand.) 4. La campagne de
Rome
est très-fertile : M. de Chateaubriand a dû la vo
ies historiques, Britannicus (1669), énergique tableau qui nous peint
Rome
impériale, au moment où Néron devient un monstre
oire de son pays ; comparable, je ne dis pas à tout ce que l’ancienne
Rome
a eu d’excellents tragiques, puisqu’elle confesse
n discours plein de franchise et d’énergie, et il termine en menaçant
Rome
à son tour du joug affreux qu’elle fait peser sur
concitoyens. En Grèce, les Périclès, les Démosthènes, les Eschyle ; à
Rome
, les Gracques, les Scipion, les Cicéron et une fo
tique, le Lycée, pour les philosophes réunis dans ces lieux ; Genève,
Rome
, pour les doctrines religieuses dont ces deux vil
t ces deux villes sont le centre, Je ne décide point entre Genève et
Rome
. Métonymies du signe pour la chose signifiée : L
synecdoque avec la métonymie, pour l’esclavage, Tu dors, Brutus, et
Rome
est dans les fers ; l’airain, pour les trompett
ilà le second ministre3 que vous voyez mourir, depuis que vous êtes à
Rome
; rien n’est plus différent que leur mort ; mais
e de l’Oraison funèbre de Turenne par Fléchier. 2. Coulanges était à
Rome
, parmi la suite du duc de Chaulnes, ambassadeur e
u Mourant dans La Fontaine. 3. Coulanges avait vu mourir Seignelay à
Rome
.
2 avril 1704, à soixante-quatorze ans. Paris et la France pleurèrent,
Rome
même pleura avec la France, et Rome et Paris se d
s. Paris et la France pleurèrent, Rome même pleura avec la France, et
Rome
et Paris se disputèrent d’obsèques et de panégyri
s de lumière sur les points traités par Montesquieu : les origines de
Rome
, ses institutions politiques et religieuses, ont
es fit entrer, qui furent ses meilleures troupes141. D’un autre côté,
Rome
, travaillée par ses dissensions civiles, occupée
tait, il forma le dessein de porter la guerre en Italie, et d’aller à
Rome
avec les mêmes nations qui l’asservirent quelques
apidité de ses victoires, acheva le pompeux ouvrage de la grandeur de
Rome
. Il unit au corps de son empire des pays infinis
contre un culte nouveau, inouï jusqu’alors ; et comme autrefois, dans
Rome
florissante, on attribuait les débordements du Ti
t les autres effets de la nature à la colère des dieux, de même, dans
Rome
mourante, on imputait les malheurs à un nouveau c
ivre nos pères, qui ont suivi si heureusement les leurs. « Pensez que
Rome
vous parle, et vous dit : Grands princes, « pères
ouvernement même qu’on avait proscrit160. Quand Sylla voulut rendre à
Rome
la liberté, elle ne put plus la recevoir : elle n
, et tenir leurs richesses de la main de leurs destructeurs ! Bientôt
Rome
leur demanda pour otages trois cents de leurs pri
ueux et de voleurs, un corps redoutable aux armées et à la sagesse de
Rome
. Qu’un homme de ce caractère aurait porté loin la
t prendre une teinture de l’histoire de la Grèce, et même de celle de
Rome
. L’on ne mesure bien, d’ailleurs, la force et l’é
ns parler à Alcibiade, Agésilas et autres ; j’allais dans la place de
Rome
, pour haranguer avec les Gracques, et pour défend
s avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de
Rome
, et l’on délibère ! Et certes, il n’y avait autou
, il n’y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni
Rome
… Mais aujourd’hui la banqueroute, la hideuse banq
eux, elle lui propose de visiter ensemble les principaux monuments de
Rome
. Ils arrivent sous le portique de Saint-Pierre. «
son abdication ; les Stuarts, depuis que leur dynastie est renversée.
Rome
depuis longtemps est l’asile des exilés du monde
st renversée. Rome depuis longtemps est l’asile des exilés du monde ;
Rome
elle-même n’est-elle pas détrônée ! son aspect co
n bas-relief les Métamorphoses d’Ovide. « On ne se scandalise point à
Rome
, lui dit-elle, des images du paganisme, quand les
ecrétaire du cardinal Fesch, oncle du premier consul et ambassadeur à
Rome
, échangea, bientôt après, ce poste contre celui d
la solitude. Il me serait impossible de dire ce qu’on éprouve lorsque
Rome
vous apparaît tout à coup au milieu de ses royaum
ents, vous oppressent ; votre âme est bouleversée à l’aspect de cette
Rome
qui a recueilli deux fois la succession du monde3
semble idéale et plus belle que nature ? Eh bien, c’est la lumière de
Rome
! Lettre à M. de Fontanes (10 janvier 1804).
n, le premier grand capitaine que l’Europe eût vu depuis les jours de
Rome
, et que nos aïeux nommaient le bon connétable : t
i403. Rome, le 8 janvier 1799404. — Dites à ceux qui veulent voir
Rome
qu’ils se hâtent : car chaque jour le fer du sold
at de délabrement, de misère et d’opprobre où est tombée cette pauvre
Rome
, que vous avez vue si pompeuse, et de laquelle, à
nants. Allez ! nous vengeons bien l’univers vaincu ! Les monuments de
Rome
ne sont guère mieux traités que le peuple. La col
ailes du repentir, de l’espérance et de l’amour. Heureux ceux qui, à
Rome
, au Vatican, dans les solennités du culte catholi
éroïsme de Décius, qui, pour ramener la victoire sons les drapeaux de
Rome
, se dévoue aux dieux infernaux ; de Régulus, qui
leur étendard, qui fut arraché et remplacé par la bannière envoyée de
Rome
. Les débris de l’armée anglaise, sans chef et san
r sur la scène du monde. Ils y paraissent quand l’heure est venue, et
Rome
s’écroule sous leur souffle. Et puis, plus tard,
nie, — mais sans le foyer réflecteur d’Athènes. N’oublions jamais que
Rome
était déjà arrivée, par son énergie et son habile
que je ne crains pas de lui tant attribuer. Vous le savez comme moi :
Rome
toute seule, et si elle n’avait été touchée du ra
sa grandeur jaloux, Ne sache ce qu’il doit à des rois tels que vous :
Rome
n’ignore pas à quel point la victoire Parmi les n
és de combattants, Fait voir de toutes parts vos étendards flottants.
Rome
, de tant d’apprêts qui s’indigne et se lasse, N’a
ne et se lasse, N’a point accoutumé les rois à tant d’audace. Quoique
Rome
, peut-être au mépris de ses droits, N’ait point i
t depuis quand croit-il qu’au mépris de ma gloire, A ne plus craindre
Rome
instruit par la victoire, Oubliant désormais la s
ssé n’offre aux désirs de l’homme Rien qui puisse tenter l’avarice de
Rome
. Mais, pour trancher ici d’inutiles discours593,
er l’avarice de Rome. Mais, pour trancher ici d’inutiles discours593,
Rome
de mes projets veut traverser le cours : Et pourq
à Rhadamiste : il veut placer celle qu’il aime sous la protection de
Rome
; il annonce qu’elle-même va paraître pour réclam
n religieuse et guerrière. Au dix-huitième siècle, en France, comme à
Rome
sous les Césars, l’épopée ne pouvait être qu’une
intre Robert dans les catacombes de Rome687. Sous les remparts de
Rome
, et sous ses vastes plaines, Sont des antres prof
ochers aux palais des Romains. Avec ses monuments et sa magnificence,
Rome
entière sortit de cet abîme immense. Depuis, loin
ez m’entendre. Ce moment, il est vrai, s’est fait longtemps attendre.
Rome
ne m’offre plus que des yeux ennemis. Mes jours s
t frémirait de voir un consulaire Divulguant sans pudeur, aux yeux de
Rome
entière, Un ordre faux peut-être, ou mal interpré
essus du trépas ? Les Pisons vos aïeux mouraient dans les combats : A
Rome
, ils triomphaient d’une ligue ennemie. On peut br
l’affronte ; ‘ Pour l’honneur de mon fils, j’en dois subir la honte.
Rome
, l’empire entier, tout se tait devant vous ; On n
ient la calomnie ; Et du chêne civique ils couronnaient le front Qu’à
Rome
on eût flétri d’un solennel affront. Ah ! si quel
Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses sacrés tombeaux
Rome
m’a vu descendre ; Des mânes les plus saints trou
ci les restes ! Si j’obtiens ces… vingt ans par vos secours célestes,
Rome
, qui peut presser les rangs des bienheureux, Près
tère Sénèque, en louant Diogène, Buvait le falerne dans l’or ! Venez,
Rome
à vos yeux va brûler, — Rome entière ! J’ai fait
ne, Buvait le falerne dans l’or ! Venez, Rome à vos yeux va brûler, —
Rome
entière ! J’ai fait sur cette tour apporter ma li
du Cocyte. Néron le veut : ces tours, ces dômes tomberont. Bien : sur
Rome
, à la fois, partout la flamme gronde ! Rends-lui
es Promettaient l’avenir aux murs des sept collines ; Qu’aux pieds de
Rome
, enfin, mourrait le Temps dompté, Que son astre i
brasier l’environne… Otez de mon front ma couronne ; Le feu qui brûle
Rome
en flétrirait les fleurs. Quand le sang rejaillit
e ses victimes !…… Il faut l’étouffer dans des chants. Je punis cette
Rome
et je me venge d’elle ! Ne poursuit-elle pas d’un
le, Puisque ces vils Romains n’ont point assez de dieux. J’ai détruit
Rome
, afin de la fonder plus belle, Mais que sa chute
croix rebelle ! Plus de chrétiens ! allez, exterminez-les tous ! Que
Rome
de ses maux punisse en eux les causes802 ; Exterm
s bruyantes ; L’heure où le ciel est rouge, où le cyprès est noir, Et
Rome
en son désert encor superbe à voir... A cette heu
rvit sans peine un peuple dépravé. César, qui méditait l’esclavage de
Rome
, Soutient qu’après la mort rien ne survit à l’hom
a tragédie de Mithridate (1673) de Racine, acte III, sc. I : C’est à
Rome
, mes fils, que je prétends marcher. Ce dessein vo
e Dieu (427) ; lui-même le déclare au IIe livre des Rétractations : «
Rome
, envahie par les Goths, sous la conduite de leur
rreurs ; j’abordai l’œuvre de la Cité de Dieu. » 149. Symmaque, né à
Rome
vers l’an 340, mort en 409. Chateaubriand a retra
ubscribere odiis accusatorum Annibalis), une ambassade fut envoyée de
Rome
à Carthage pour accuser Annibal de concerter un p
(Note de Chateaubriand.) 393. Montaigne décrit ainsi la campagne de
Rome
telle qu’elle était il y a environ deux.cents ans
u’ils adorent. » Voir le chapitre intitulé : Les Peintres étrangers à
Rome
. 395. Nous conservons à ce morceau le cooracyèr
ù Pie VII était élu pape dans un conclave tenu à Venise et revenait à
Rome
constituée en république l’année précédente. 405
égoire XVI, celui-ci lui demandait depuis combien de temps il était à
Rome
. S’il y avait quelques jours seulement : « Addio
ment : « Addio » (Adieu) lui disait le pape ; mais s’il se trouvait à
Rome
depuis plusieurs mois, le pontife lui tendait la
rs. (Enéide liv.VI) 408. Mengs, né à Aussig (Bohème) en 1728, mort à
Rome
en 1779. Outre des tableaux célèbres, qui l’ont f
et paye encore moins. » 410. Une des cinq collines artificielles de
Rome
. 411. L’un des trois chefs-lieux du canton du Te
e la Littérature romaine par A. Pierron la conclusion dn chap. il : «
Rome
, à la chute des Tarquins, n’avait pas même encore
génie grec commencèrent à percer les ténèbres de la barbarie latine,
Rome
en était littéralement au même point que trois ce
ce, Si, pour monter au trône et lui donner la loi, Tu ne trouves dans
Rome
autre obstacle que moi ; Si jusques à ce point so
fet, arrivée au peintre Robert, alors élève de l’Académie de France à
Rome
. Inspiré, à son tour, par les beaux vers du poète
te (Annales, liv. II) dit seulement que le fils de Pison le précéda à
Rome
avec des instructions propres à lui assurer la fa
s pièces de M. V. Hugo sur l’enfance. 801. Relire, sur l’incendie de
Rome
, dans les Annales de Tacite, le livre XV, chapitr
sfaction que vous donneront les savants de la Grèce et les habiles de
Rome
. Ne leur en demandez pas davantage. L’inconstance
ien III. Il se donnait à lui-même le nom de fléau de Dieu. Eloigné de
Rome
à prix d’argent, il mourut subitement en 454 à la
quel éventail, quelles fontaines vous pourraient si bien préserver à
Rome
des incommodités de la chaleur5, comme un poêle e
de vie solitaire. 2. Balzac avait suivi le cardinal de La Valette à
Rome
. Las d’être en butte aux traits de l’envie, il se
l peuple donna les premiers Traités de rhétorique ? — Qu’ont écrit, à
Rome
, sur cet art, Cicéron et Quintilien ? — Qu’entend
xemple dans la Milonienne, lorsque Cicéron parle du retour de Milon à
Rome
après le meurtre de Clodius. Ce retour si prompt
eur, la preuve de l’innocence de Milon. Milon ne devait pas revenir à
Rome
, et on le prouvait par ce syllogisme disjonctif :
près une grande action. Donc, en aucun cas, Milon ne devait revenir à
Rome
. Cependant il y est revenu, dit l’orateur ; donc
. Je partirai, je m’éloignerai : si je ne puis partager le bonheur de
Rome
, je n’aurai pas du moins le spectacle de ses maux
e vos armes protègent ce tribunal, repousser, bannir, rejeter loin de
Rome
ce modèle de magnanimité ? Malheureux ! infortuné
ritannicus : « Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus, « Qui depuis…
Rome
alors estimait leurs vertus. Et dans Phèdre : «
puisse être supportée. Le sénat gémit ; les chevaliers se lamentent ;
Rome
entière est en pleurs ; les villes municipales se
s-vous les seuls à ignorer ce qui se passe ? êtes-vous étrangers dans
Rome
? vos oreilles n’ont-elles pas été frappées des b
malheur, rappelé à la vie, vous eussiez vu la face pompeuse de cette
Rome
sauvée par votre bras, et que votre nom respectab
res mains s’illustrent par de vains talents : le seul talent digne de
Rome
, est celui de conquérir le monde, et d’y faire ré
iel, l’assemblée de deux cents hommes vertueux, dignes de commander à
Rome
et de gouverner la terre.” » J. J. Rousseau.
d’effrayer le dogme. Remplaçant alors les divinités de la Grèce et d’
Rome
par les divinités des peuples du Nord, ces nouvea
s, aux sollicitations que lui fait Pompée de rentrer dans les murs de
Rome
: Rome ! Quoi, le séjour de votre potentat, Qui
ollicitations que lui fait Pompée de rentrer dans les murs de Rome :
Rome
! Quoi, le séjour de votre potentat, Qui n’a que
ntat, Qui n’a que ses fureurs pour maximes d’État ! Je n’appelle plus
Rome
un enclos de murailles, Que ses proscriptions com
plein divorce ; Et, comme autour de moi j’ai tous ses vrais appuis, «
Rome
n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
omme autour de moi j’ai tous ses vrais appuis, « Rome n’est plus dans
Rome
, elle est toute où je suis. » Au sujet du Sublim
he d’un mauvais bouffon qui se moquait d’un homme de bien12. Quand, à
Rome
, un capitaine général recevait de la reconnaissan
t, au contraire, défendu expressément, car la loi des Douze Tables de
Rome
portait qu’il n’est « pas permis de tuer un voleu
agirait le plus par ces vigoureuses maximes. Durant les bons temps de
Rome
, l’enfance même était exercée par les travaux : o
dre ce train, les grands hommes se font les uns et les autres ; et si
Rome
en a plus porté qu’aucune autre ville qui eût été
scours, IIIe partie, les Empires, chap. VI. Fin de la république à
Rome
: naissance de Jésus-Christ. Par la mort de C
, en Espagne : vainqueur de tous côtés, il fut reconnu comme maître à
Rome
et dans tout l’empire. Brutus et Cassius crurent
hir leurs citoyens en le tuant comme un tyran, malgré sa clémence110.
Rome
tomba entre les mains de Marc-Antoine, de Lépide
i désespère de la pouvoir conserver, se tue elle-même après Antoine ;
Rome
tend les bras à César, qui demeure, sous le nom d
lien, deux siècles après, en parlait encore aux païens, magistrats de
Rome
, comme d’un fait dont ils conservaient la traditi
u les a multipliés et tenus en réserve sous un ciel glacé, pour punir
Rome
païenne et enivrée du sang des martyrs : il leur
s n’ont entrepris d’écrire qu’après s’être enrichis des dépouilles de
Rome
et d’Athènes. C’est donc une obligation pour nous
itesse, est un secours qui avait manqué aux siècles les plus polis de
Rome
et d’Athènes : aussi ne se sauvèrent-ils pas long
tous les genres, on vit sortir de votre sein des hommes uniques, dont
Rome
et la Grèce se seraient fait honneur. La chaire e
’éloquence et celles des mœurs se donnent, pour ainsi dire, la main :
Rome
elle-même vit bientôt ses mœurs reprendre leur pr
a donner aux alliés ; en quoi il faisait deux choses : il attachait à
Rome
des rois dont elle avait peu à craindre et beauco
donner aux Romains tout l’argent du monde. Mais rien ne servit mieux
Rome
que le respect qu’elle imprima à la terre. Elle m
75, liv. III, chap. ii. Horace476. (Extraits.) Les destinées de
Rome
et d’Albe (voy. Tite-Live, liv. I, et Denys d’Hal
ndre la victoire ? JULIE. Mais plutôt du combat les funestes effets :
Rome
est sujette d’Albe, et vos fils sont défaits ; De
reste. LE VIEIL HORACE. Ô d’un triste combat effet vraiment funeste !
Rome
est sujette d’Albe ! et, pour l’en garantir, Il n
dernier soupir ! Non, non, cela n’est point : on vous trompe, Julie ;
Rome
n’est point sujette, ou mon fils est sans vie : J
ur perte : Ce bonheur a suivi leur courage invaincu483, Qu’ils ont vu
Rome
libre autant qu’ils ont vécu. Et ne l’auront poin
oir alors le secourût486. N’eût-il que d’un moment reculé sa défaite,
Rome
eût été du moins un peu plus tard sujette : Il eû
nfin nos desseins généreux : Le ciel entre nos mains a mis le sort de
Rome
; Et son salut dépend de la perte d’un homme, Si
de le punir : Je leur fais des tableaux de ces tristes batailles, Où
Rome
par ses mains déchirait ses entrailles494 Où l’a
ues histoires. « Je les peins dans le meurtre à l’envi triomphants. «
Rome
entière noyée au sang de ses enfants : « Les uns
mort, nous n’avons point de vengeur ni de maître498. Avec la liberté
Rome
s’en va renaître ; Et nous mériterons le nom de v
ur ou propice, Qu’il m’élève à la gloire ou me livre au supplice, Que
Rome
se déclare ou pour ou contre nous, Mourant pour v
Ne les compte-t-on plus pour les derniers Romains ? Leur mémoire dans
Rome
est encor précieuse Autant que de César la vie es
ne peut s’arrêter : Je veux me faire craindre, et ne fais qu’irriter.
Rome
a pour ma ruine une hydre trop fertile ; Une tête
Si tant de gens de cœur font des vœux pour ta mort. Et si tout ce que
Rome
a d’illustre jeunesse Pour te faire périr tour à
en jouisse pas. Mais jouissons plutôt nous-mêmes de sa peine ; Et, si
Rome
nous hait, triomphons de sa haine. Ô Romains ! ô
nace, Si pour monter au trône et lui donner la loi Tu ne trouves dans
Rome
autre obstacle que moi, Si jusques à ce point son
. Apprends à te connaître, et descends en toi-même : On t’honore dans
Rome
, on te courtise, on t’aime ; Chacun tremble sous
’ose-t-il être Auguste et César que de nom ? Vous le dirai-je enfin ?
Rome
le justifie. Rome, à trois affranchis714 si longt
uste et César que de nom ? Vous le dirai-je enfin ? Rome le justifie.
Rome
, à trois affranchis714 si longtemps asservie, À p
ent qu’à sa gloire ; Pourvu que, dans le cours d’un règne florissant,
Rome
soit toujours libre et César tout-puissant ! Mais
n, Néron veut faire voir Qu’Agrippine promet par-delà son pouvoir719.
Rome
de ma faveur est trop préoccupée : Il veut par ce
laudius par son choix De son fils et du vôtre a confondu les droits :
Rome
l’a pu choisir. Ainsi, sans être injuste, Elle ch
a le langage ? Sur les pas des tyrans veux-tu que je m’engage, Et que
Rome
, effaçant tant de titres d’honneur, Me laisse pou
us craignez la noirceur ? Faites périr le frère, abandonnez la sœur ;
Rome
, sur les autels prodiguant les victimes, Fussent-
naturelle, IX. 25. 111. À peu près l’an 4000 du monde et l’an 754 de
Rome
. 112. Cette première partie est un résumé rapide
humani ». Racine dit aussi en parlant de Caligula : Les délices de
Rome
en devinrent l’horreur. (Britannicus, I, 1.)
ésigné, parce qu’il faisait partie de la collection qu’avait formée à
Rome
la famille Farnèse, fameuse par la protection qu’
t dû se montrer plus attentifs à maintenir leurs privilèges. 488. À
Rome
le père de famille était magistrat, et avait sur
les Partitions, il a donné les préceptes de son art. Quintilien, né à
Rome
(ou à Calagurris, en Espagne) l’an 42 de J.-C, fu
ai la corde des ancres ; nous irons en pleine mer. Les deux tyrans de
Rome
sont dans vos mains ; les mânes de votre père ser
; les mânes de votre père seront vengés des deux héritiers de César :
Rome
sera en liberté. Qu’un vain scrupule ne vous arrê
r très-sensé d’un roi très-imprudent. — Je vais, lui dit ce prince, à
Rome
où l’on m’appelle. — Quoi faire ? — L’assiéger. —
ise est fort belle, Et digne seulement d’Alexandre ou de vous : Mais,
Rome
prise enfin, seigneur, où courons-nous ? — Du res
oésie retrouva ce style qu’elle avait perdu depuis les beaux jours de
Rome
; ce style toujours clair, toujours exact, qui n’
était l'amour de la patrie ; et l'effet était la gloire, le salut de
Rome
. Lieux communs extrinsèques. Les principau
u fait des vœux contre lui. Imprécations de camille, sœur d'horace.
Rome
, l'unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui
de camille, sœur d'horace. Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
Rome
, à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! Rome,
e mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !
Rome
, qui t'a vu naître et que ton cœur adore ! Rome,
d'immoler mon amant ! Rome, qui t'a vu naître et que ton cœur adore !
Rome
, enfin, que je hais parce qu'elle t'honore ! Puis
e je dis ! Tu vas sacrifier… qui, malheureux ? Ton fils ! Ce fils que
Rome
craint ! qui peut venger son père ! Pourquoi répa
livide, Suit d'un pied chancelant le soupçon qui la guide. On dit :
Rome
désapprouva la conduite des consuls, pour dire le
l'employer avec un nom de chose : Soutiendrez-vous un faix sous qui
Rome
succombe ? En poésie, l'adjectif frais peut s'em
dessus de la raison, de la justice et des lois ; il pense avoir ôté à
Rome
jusqu’à la liberté de la voix et de la respiratio
r de ce seul moyen qui me reste de me rapprocher de votre personne. À
Rome
, vous marcherez sur des pierres qui ont été les d
oses, vous ne vous lassiez à la fin du repos et de la tranquillité de
Rome
. Il est besoin, pour une infinité de considératio
à le second ministre161 que vous voyez mourir, depuis que vous êtes à
Rome
; rien n’est plus différent que leur mort, mais r
s vous trouverez embarrassé dans votre religion sur ce qui se passe à
Rome
et au conclave162 : mon pauvre cousin, vous vous
nt l’Église : elle ne peut se résoudre à renouveler une alliance avec
Rome
et avec Sparte, sans déclarer en esprit de foi qu
t au-delà de cette vie ? Mais tournons nos regards vers l’Église, que
Rome
païenne, cette Babylone enivrée du sang des marty
-roi, a été livré aux nations barbares : l’empire éternel est tombé ;
Rome
est ensevelie dans ses ruines avec les faux dieux
avec les faux dieux ; il n’en reste plus de mémoire que par une autre
Rome
sortie de ses cendres, qui, étant pure et sainte,
amais été si peu content que lorsque je me suis vu maître absolu dans
Rome
, que j’ai regardé autour de moi, et que je n’ai t
celle des hommes libres. « Lorsqu’avec mes soldats je suis entré dans
Rome
, je ne respirais ni la fureur ni la vengeance. J’
u’il avait faits aux nobles ; la crainte a suspendu les jalousies, et
Rome
n’a jamais été si tranquille330. « Vous voilà ins
ui Chéronée, Orchomène et Signion ; Sylla a donné à chaque famille de
Rome
un exemple domestique et terrible : chaque Romain
facées par des flots même de sang romain. Ne suis-je pas au milieu de
Rome
? Vous trouverez encore chez moi le javelot que j
se de sa naissance, entreprendre de ramener les premières familles de
Rome
dans la foule du peuple ; et, dans cette situatio
blique. « Lorsque, par le caprice du sort, je fus obligé de sortir de
Rome
, je me conduisis de même : j’allai faire la guerr
thridate demanda la paix : les conditions étaient raisonnables, et si
Rome
avait été tranquille, ou si ma fortune n’avait pa
t mille Romains.” Mithridate resta immobile ; et Marius, au milieu de
Rome
, en trembla. « Cette même audace, qui m’a si bien
ieux ont souffert que Sylla se soit334 impunément fait dictateur dans
Rome
, ils y ont proscrit la liberté pour jamais. Il fa
ire ; Il semblait triomphant, et tel que sur son char Victorieux dans
Rome
entre notre César. Après un peu d’effroi que m’a
urir, on viole leurs lois. Témoin nous que punit la romaine avarice :
Rome
est par nos forfaits, plus que par ses exploits,
va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de
Rome
: La terre et le travail de l’homme Font
eux : Découragés de mettre au jour des malheureux, Et de peupler pour
Rome
un pays qu’elle opprime. Quant à nos enfa
t Gens de rapine et d’avarice. C’est tout ce que j’ai vu dans
Rome
à mon abord. N’a-t-on point de présent à
de Corbulon, auquel il s’est découvert. Armé de toute la puissance de
Rome
, il veut l’employer contre ceux dont il a été la
sa grandeur jaloux, Ne sache ce qu’il doit à des rois tels que vous ;
Rome
n’ignore pas à quel point la victoire Parmi les n
és de combattants, Fait voir de toutes parts vos étendards flottants.
Rome
, de tant d’apprêts qui s’indigne et se lasse, N’a
ne et se lasse, N’a point accoutumé les rois à tant d’audace. Quoique
Rome
, peut-être au mépris de ses droits, N’ait point i
t depuis quand croit-il qu’au mépris de ma gloire, À ne plus craindre
Rome
instruit par la victoire, Oubliant désormais la s
ssé n’offre aux désirs de l’homme Rien qui puisse tenter l’avarice de
Rome
. Mais, pour trancher ici d’inutiles discours, Rom
enter l’avarice de Rome. Mais, pour trancher ici d’inutiles discours,
Rome
de mes projets veut traverser le cours : Et pourq
à Rhadamiste : il veut placer celle qu’il aime sous la protection de
Rome
; il annonce qu’elle-même va paraître pour réclam
de son père. Celui-ci persévère dans ses desseins de vengeance contre
Rome
. Il veut la braver par le châtiment du personnage
cite, avec une énergie éloquente le tableau de l’odieuse tyrannie que
Rome
supportait en silence : Quand sous le crime heur
tu, Malheur au citoyen coupable de vertu Et dont la gloire offense, à
Rome
ou dans l’armée, Tibère impatient de toute renomm
n ou pasquinade se disait d’une espèce de satire qu’on attachait dans
Rome
à une vieille statue. 8. On dirait aujourd’hui v
aient été convoqués pour régler les droits respectifs de l’État et de
Rome
dans les matières ecclésiastiques, comme nous l’a
rès moi personne n’abdiquera plus une telle magistrature. » 330.
Rome
, en proie aux fureurs des partis triomphants, Mou
Sylla sur la scène ; mais Sylla rappelle Marius, et il prédit César.
Rome
est désormais moins forte que les grands hommes q
n Italie, où il mourut en 1766. Charles-Édouard, son fils, était né à
Rome
, en 1720. 352. En Écosse, dans le comté d’Invern
s montre Mithridate annonçant à ses fils son projet de marcher contre
Rome
. Plus d’un de ses traits est digne aussi d’être r
aqué Boileau dans la préface de sa Phèdre. 547. C’était une statue à
Rome
, sur le piédestal de laquelle le peuple affichait
ait l’instruction que donnaient à leurs disciples les grammairiens de
Rome
et d’Athènes. § VI. La Phrase et la Propositio
mpléments circonstanciels, ex. : De Paris ou Pérou, du Japon jusqu’à
Rome
, Le plus sot animal, à mon avis, c’est l’homme.
; en la défendant à l’occasion contre les fanatiques indiscrets de la
Rome
antique ou de l’Italie moderne, comme Henri Estie
(médecin même du grand hôpital, 1536) avant et après le doctorat ; à
Rome
, dans la suite de son ancien compagnon d’études e
our, et reçut le titre de gentilhomme de la chambre de Charles IX ; à
Rome
, en 1581, il reçut celui de citoyen romain. Il fu
dict de soy mesme, que Rusticus, assistant à une sienne declamation à
Rome
, y receut un pacquet de la part de l’empereur, et
erres et par tout esteintes et amorties ; à cause que non seulement à
Rome
le peuple se trouva amolli et addoulci par l’exem
eine d’un vent salubre et gracieux, qui leur eust soufflé du costé de
Rome
pour les rafreschir : et se coula tout doulcement
Dernière entrevue de Brutus et de Porcia Estant ia la ville de
Rome
divisee en deux parts, les uns se rengeans du cos
estant sur le poinct de se departir d’avec luy, pour s’en retourner à
Rome
, taschoit le plus qu’elle pouvoit à dissimuler la
e de Cujas à Bourges, secrétaire de M. de Foy, ambassadeur français à
Rome
, il continua, après sa mort, ses négociations, et
a mort, ses négociations, et dès lors fit les affaires de la France à
Rome
, à Florence, à Turin. L’estime et la reconnaissan
sont un modèle de style admiré par Fénelon. Lettre au roi245 De
Rome
, le vendredi 23 décembre 1594. Sire, par la lett
elle s’estendoit si avant que Vostre Majesté laissast251 d’envoyer à
Rome
, et d’acquitter la promesse double qu’elle en a f
ictemenls reçus en vostre adversité, si n’auriez laissé de renvoyer à
Rome
et de rendre le respect et révérence au Sainct-Si
Lettre à monseigneur le cardinal de la Valette qui devoit se rendre à
Rome
… À Rome vous marcherez sur des pierres qui o
eigneur le cardinal de la Valette qui devoit se rendre à Rome … À
Rome
vous marcherez sur des pierres qui ont été les Di
oses, vous ne vous lassiez à la fin du repos et de la tranquillité de
Rome
, qui sont deux choses beaucoup plus propres à la
oire de son pays ; comparable, je ne dis pas à tout ce que l’ancienne
Rome
a eu d’excellens poëtes tragiques, puisqu’elle co
er des ouvrages immortels, falloit-il toujours emprunter la langue de
Rome
et d’Athènes ? Qui ne voit qu’il falloit plutôt,
a trembler dans leurs tribunaux les juges devant lesquels on le cite.
Rome
même entendra sa voix ; et un jour cette ville ma
Paul a des moyens pour persuader que la Grèce n’enseigne pas, et que
Rome
n’a pas appris. Une puissance surnaturelle, qui s
à le second ministre426 que vous voyez mourir, depuis que vous êtes à
Rome
; rien n’est plus différent que leur mort ; mais
ous vous trouvez embarrassé dans votre religion sur ce qui se passe à
Rome
et au conclave : mon pauvre cousin, vous vous mép
u les a multipliés et tenus en réserve sous un ciel glacé, pour punir
Rome
païenne et enivrée du sang des martyrs463 : il le
se de sa naissance, entreprendre de ramener les premières familles de
Rome
dans la foule du peuple ; et, dans cette situatio
publique. Lorsque, par le caprice du sort, je fus obligé de sortir de
Rome
, je me conduisis de même : j’allai faire la guerr
thridate demanda la paix : les conditions étoient raisonnables, et si
Rome
avoit été tranquille, ou si ma fortune n’avoit pa
mille Romains. » Mithridate resta immobile ; et Marius, au milieu de
Rome
, en trembla. « Cette même audace, qui m’a si bien
s dieux ont souffert que Sylla se soit impunément fait dictateur dans
Rome
, ils y ont proscrit la liberté pour jamais. Il fa
ut prendre une teinture de l’histoire de la Grèce et même de celle de
Rome
. L’on ne mesure bien, d’ailleurs, la force et l’é
ns parler à Alcibiade, Agésilas et autres ; j’allois dans la place de
Rome
, pour haranguer avec les Gracques, et pour défend
r dans sa touche. Il prend ses sujets champêtres dans les environs de
Rome
, et non dans les profondes forêts, ou dans les ha
l vivoit. Aucun poète n’excella comme Juvénal à peindre les crimes de
Rome
. Au milieu de tant d’infamies, comment auroit-il
t il n’y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni
Rome
… Mais aujourd’hui la banqueroute, la hideuse banq
ire an II, ou décembre 1793). [II] Il y avait anciennement à
Rome
, dit Tacite, une loi qui spécifiait les crimes d’
esse, comme dans les arts on va former son goût et mûrir son talent à
Rome
, en méditant les chefs-d’œuvre de Raphaël et de M
Marc-Aurèle mourant devoit les donner à son fils ; et bientôt après,
Rome
et l’univers le perdirent. » À ces mots, tout le
: Quand Néron eut empoisonné son frère, on lui dit qu’il avoit sauvé
Rome
; quand il eut fait égorger sa femme, on loua dev
Romains pâlirent ; Apollonius fut frappé des malheurs qui menaçoient
Rome
; il ne put achever. Ce vénérable vieillard se vo
ncore. Jamais incendie n’a été plus furieux : il a menacé de consumer
Rome
. Irrité par un vent impétueux, il s’enflamma tout
Oswald ne pouvait se lasser de considérer les traces de l’antique
Rome
du point élevé du Capitole où Corinne l’avait con
osaïque dans l’extérieur de la plupart de nos villes européennes ; et
Rome
, plus souvent qu’aucune autre, présente le triste
andeur morale de l’homme. Quand l’univers, dans les derniers temps de
Rome
, était soumis à des maîtres sans gloire, on trouv
de la famille littéraire du Télémaque, dont il avait conçu le plan à
Rome
, et pour laquelle il alla chercher de ses yeux de
u 26 septembre 1833.) Lettre à M. de Fontanes La campagne de
Rome
. — Les ruines de Rome. Rome, le 20 janvier 1804.
Lettre à M. de Fontanes La campagne de Rome. — Les ruines de
Rome
. Rome, le 20 janvier 1804. Nous étions convenus q
ettre à M. de Fontanes La campagne de Rome. — Les ruines de Rome.
Rome
, le 20 janvier 1804. Nous étions convenus que je
s autre préambule, je vais donc essayer de vous peindre les dehors de
Rome
, ses campagnes et ses ruines. Figurez-vous quelqu
la solitude. Il me serait impossible de dire ce qu’on éprouve lorsque
Rome
vous apparaît tout à coup au milieu de ses royaum
ments vous oppressent ; votre âme est bouleversée à l’aspect de cette
Rome
qui a recueilli deux fois la succession du monde6
semble idéale et plus belle que nature ? Eh bien, c’est la lumière de
Rome
! Je ne me lassais point de voir, à la villa Borg
bitants de l’Olympe sous ce ciel mythologique ; quelquefois l’antique
Rome
semble avoir étendu dans l’Occident toute la pour
que les sites de Naples sont peut-être plus éblouissants que ceux de
Rome
: lorsque le soleil enflammé ou que la lune large
encore le même. On cite plusieurs exemples de voyageurs qui, venus à
Rome
dans le dessein d’y passer quelques jours, y sont
ance d’avoir aussi son Winckelmann670… Une singularité de la ville de
Rome
, ce sont les troupeaux de chèvres, et surtont ces
ie ou d’Egérie672. Du haut des collines renfermées dans l’enceinte de
Rome
, ou à l’extrémité de plusieurs rues, vous apercev
ts de chaume de nos paysans. Ces circonstances contribuent à donner à
Rome
je ne sais quoi de rustique, qui va bien à son hi
mmandé de vous parler, et qui font une si grande partie des dehors de
Rome
; je les ai vues en détail, soit à Rome, soit à N
i grande partie des dehors de Rome ; je les ai vues en détail, soit à
Rome
, soit à Naples, excepté pourtant les temples de P
tablie par des sons religieux entre les deux plus grands monuments de
Rome
païenne et de Rome chrétienne me causa une vive é
religieux entre les deux plus grands monuments de Rome païenne et de
Rome
chrétienne me causa une vive émotion : je songeai
et plusieurs fois à deux doigts de sa perte la terrible et redoutable
Rome
et ne lâche sa proie que quand on met à profit la
ù il trouva le texte complet du roman de Longus, Daphnis et Chloé ; à
Rome
, il remania et publia la traduction d’Amyot. Fin
e catholique d’abord, ensuite du prosélytisme républicain. La cour de
Rome
s’inquiéta de l’intolérance farouche de son Essai
utrement. Les bourgeois, qui ne sont pas des citoyens d’Athènes ou de
Rome
, n’auront pas cette rage de mourir que leur a don
s mois toute la population de Paris, comme autrefois la population de
Rome
, s’en aller à la porte Catularia pour immoler un
temps de Charles-Quint « par le sac de Florence » ; ils avaient pillé
Rome
, puis Anvers, puis je ne sais combien de villes d
opposition au langage des provinces850, et qui était proprement pour
Rome
ce que l’atticisme était pour Athènes, ce mot-là
le croyant ; de même qu’avec les Brutus et les Manlius de l’ancienne
Rome
, il disparaît dans le citoyen. On dirait qu’au co
en France sa grande fortune, on avait vu s’établir silencieusement à
Rome
un Français qu’à son air grave et recueilli on au
ns surprenante que sa personne. On le voyait marcher dans les rues de
Rome
, ses tablettes à la main, dessinant, en deux coup
stable supériorité. Qu’on se figure l’effet qu’avait dû produire dans
Rome
, à cette époque, l’impassible austérité, l’audaci
efforts et de patience (c’est-à-dire vers 1639), il avait acquis dans
Rome
une célébrité presque populaire. (Études sur l’
iers pittoresques de la rive gauche ; le logis de Nevers, le logis de
Rome
, le logis de Reims, qui ont disparu ; l’hôtel de
de Reine de l’Orient. Vaincue par Aurélien, elle orna son triomphe à
Rome
(272 ap. J. C). 451. La Bruyère a fait du dévelo
rg., II, 172. 665. Claude Gelée, dit le Lorrain (1600-1682), vécut à
Rome
comme le Poussin, son ami. Le Louvre possède plus
I, 3. 668. Virgile, Géorg. II, 145. 669. P. L. Courier le connut à
Rome
. (Voy. Lettre du 18 juillet 1809). Né à Beauvais
Lettre du 18 juillet 1809). Né à Beauvais en 1714, vécut et mourut à
Rome
(1779-1814). Il commença en 1809 la publication d
t chez les anciens. 671. Virgile, Géorg., II, 147. 672. On sait que
Rome
est la ville du monde la plus arrosée par des fon
. 689. Secrétaire d’ambassade à Naples, assassiné par le peuple de
Rome
le 13 janvier 1793. 690. 1771-1847 ; oncle de l’
sin (1594-1665), né près du Grand-Andelys, vécut, peignit et mourut à
Rome
(1624-1665). Appelé à Paris par Louis XIII, il y
mpta parmi ses élèves, Lesueur, Lebrun, Mignard, etc. 869. Église de
Rome
. 870. Claude Gelée, dit le Lorrain (1660-1682),
0. Claude Gelée, dit le Lorrain (1660-1682), né près de Toul, vécut à
Rome
. 871. C’est le titre adopté par le critique. La
-père de Poussin, dit le Guaspre ou Guaspre Poussin (1613-1675), né à
Rome
. — Jacques Ruisdaël (1630-168), de Harlem (Hollan
dont fut le parfait modèle le panégyriste d’Athènes, Isocrate, et que
Rome
, en la personne de Pline, avec l’éloge, fort spir
eils tels que Marc Aurèle mourant devait les donner, et bientôt après
Rome
et l’univers le perdirent. » Voyez encore celle
s de convaincre et de toucher son fils, résolu à tuer le vainqueur de
Rome
. Or, il s’en présente naturellement trois : le pr
ses. Sénèque a dit de l’orateur romain qu’ « il fut le seul génie que
Rome
eût pareil à son empire », « illud ingenium quod
eint d’un seul trait l’objet dans l’esprit. « Les villes d’Albe et de
Rome
étaient en guerre ; et, bien armées, rangées en b
trait « la faute que commit le grand capitaine en ne marchant pas sur
Rome
, et les suites déplorables des délices de Capoue.
Romain Qui n’aspire, en secret, à te percer le sein ? Que le salut de
Rome
et que le tien te touche, Ton génie alarmé te par
ar, au nom des dieux, dans ton cœur oubliés, Au nom de tes vertus, de
Rome
et de toi-même, Dirai-je ? au nom d’un fils qui f
au nom d’un fils qui frémit et qui t’aime, Qui te préfère an monde et
Rome
seule à toi, Ne me rebute pas. Imprécation.
récations de Didon et dans la tragédie d’Horace, celles de Camille :
Rome
, l’unique objet de mon ressentiment… Obsécrat
nicus de Racine : Et ce même Sénèque et ce même Burrhus, Qui depuis…
Rome
alors estimait leurs vertus. Cet autre encore, d
malheur, rappelé à la vie, vous eussiez vu la face pompeuse de cette
Rome
sauvée par votre bras et que votre nom respectabl
res mains s’illustrent par de vains talents ; le seul talent digne de
Rome
est celui de conquérir le monde et d’y faire régn
iel, l’assemblée de deux cents hommes vertueux, dignes de commander à
Rome
et de gouverner la terre. » Cette figure, dit M.
ύ, c’est la ville d’Athènes. Urbs, chez les Romains c’est la ville de
Rome
. Xerxes protinus accessit Astu, dit Cornel. Nep.,
urir, on viole leurs lois. Témoin nous que punit la romaine avarice :
Rome
est, par nos forfaits, plus que par ses exploits,
va jusques à la fureur. Rien ne suffit aux gens qui nous viennent de
Rome
: La terre et le travail de l’homme Font pour les
ux5 Découragés de mettre au jour des malheureux, Et de peupler pour
Rome
un pays qu’elle opprime. Quant à nos enfants déjà
iendront Gens de rapine et d’avarice1 C’est tout ce que j’ai vu dans
Rome
à mon abord. N’a-t-on point de présent à faire, P
tré la Tortue en voyage, et je me demandais ce qu’elle venait faire à
Rome
, à Athènes, à Londres, à Berlin, à Constantinople
hes et efféminés protecteurs. Sans doute Mécène et tous les grands de
Rome
devaient s’accommoder d’une philosophie douce et
musâque pedestri ? (Horat. Lib. 2, sat. 6). Loin des ambitieux, de
Rome
et du fracas, À l’abri de ces vents qui portent l
omne quod obstat, Ad Mæcenatem memori si mente recurras. (Ibid.) À
Rome
, il faut courir devant les magistrats, Pour répo
es historiques : Britannicus (1669), énergique tableau qui nous peint
Rome
impériale, au moment où Néron devient un monstre
un choix où vous puissiez souscrire, J’ai parcouru des yeux la cour,
Rome
et l’empire. Plus j’ai cherché, madame, et plus j
eux dépositaire, Et ne peut dignement vous confier qu’aux mains A qui
Rome
a commis l’empire des humains. Vous-même, consult
de l’éloquence. Pour se faire une idée de la puissance de la parole à
Rome
, qu’on lise ce que disent Aper et Maternus dans c
approchements entre notre état social et politique actuel et celui de
Rome
aux derniers temps de la République et aux premie
rs vertus les plus héroïques Ne sont que des crimes heureux. Quoi !
Rome
et l’Italie en cendre Me feront honorer Sylla ! J
de excellente. « Il y a, ajoute-t-il, des endroits merveilleux ! Quoi
Rome
…, Quel est donc…, Héros cruels… ; et surtout on n
ts ; il y approfondit les institutions et les maximes qui donnèrent à
Rome
l’empire du monde. Dans le Dialogue de Sylla et d
onner le spectacle des choses humaines. Qu’on voie dans l’histoire de
Rome
tant de guerres entreprises, tant de sang répandu
nnance, Épuisaient sous tes yeux leurs magiques travaux ? De
Rome
antique, altière idole, Tombe, ô fastueu
Les talents furent ranimés ; Il fit luire à la fois, sur la moderne
Rome
, Les trois flambeaux des arts par ses mains rallu
plissait de notions et de souvenirs que, même au milieu des ruines de
Rome
, personne alors n’eût eu l’idée de recueillir. Pe
militaire, Du lit de camp passe au cercueil ! II À
Rome
où du sénat hérite le conclave, À l’Elbe, aux mon
ndre la victoire ? Julie. Mais plutôt du combat les funestes effets :
Rome
est sujette d’Albe, et vos fils sont défaits ; De
reste. Le Vieil Horace. Ô d’un triste combat effet vraiment funeste !
Rome
est sujette d’Albe, et pour l’en garantir Il n’a
dernier soupir ! Non, non, cela n’est point, on vous trompe, Julie ;
Rome
n’est point sujette, ou mon fils est sans vie : J
leur perte : Ce bonheur a suivi leur courage invaincu, Qu’ils ont vu
Rome
libre autant qu’ils ont vécu, Et ne l’auront poin
poir alors le secourût33. N’eût-il que d’un moment reculé sa défaite,
Rome
eût été du moins un peu plus tard sujette ; Il eû
et pesante à moi-même ; Traitez-moi comme ami, non comme souverain ;
Rome
, Auguste, l’État, tout est en votre main : Vous m
ment, et c’est sans attentat Que vous avez changé la forme de l’État.
Rome
est dessous vos lois par le droit de la guerre Qu
e est dessous vos lois par le droit de la guerre Qui sous les lois de
Rome
a mis toute la terre ; Vos armes l’ont conquise,
César de tyrannie, Qu’il approuve sa mort, c’est ce que je dénie.
Rome
est à vous, seigneur, l’empire est votre bien ; C
e enfin à tous Que tout ce qu’elles ont est au-dessous de vous. Votre
Rome
autrefois vous donna la naissance ; Vous lui voul
amie est le prix ! Je veux bien avouer qu’une action si belle Donne à
Rome
bien plus que vous ne tenez d’elle ; Mais commet-
la douceur de régner. Considérez d’ailleurs que vous régnez dans
Rome
, Où, de quelque façon que votre cour vous nomme,
devez vouloir ; Et cette liberté, qui lui semble si chère, N’est pour
Rome
, seigneur, qu’un bien imaginaire ; Plus nuisible
États, c’est l’État populaire. AUGUSTE. Et toutefois le seul qui dans
Rome
peut plaire. Cette haine des rois que depuis cinq
her des cœurs est trop enracinée. Maxime. Oui, seigneur, dans son mal
Rome
est trop obstinée ; Son peuple, qui s’y plaît, en
que cet ordre des cieux Change selon les temps comme selon les lieux.
Rome
a reçu des rois ses murs et sa naissance ; Elle t
il a combattu pour notre liberté ? Cinna. Si le ciel n’eût voulu que
Rome
l’eût perdue, Par les mains de Pompée il l’aurait
te gloire aux mânes d’un tel homme, D’emporter avec eux la liberté de
Rome
. Ce nom depuis longtemps ne sert qu’à l’éblou
t point de maître, et l’autre point d’égal. Seigneur, pour sauver
Rome
, il faut qu’elle s’unisse, En la main d’un bon ch
la terre. Actif, infatigable, invaincu comme lui, Quand je le vois de
Rome
et l’amour et l’appui, Tempérant la fierté des ve
’ose-t-il être Auguste et César que de nom ? Vous le dirai-je enfin ?
Rome
le justifie. Rome, à trois affranchis si longtemp
uste et César que de nom ? Vous le dirai-je enfin ? Rome le justifie.
Rome
, à trois affranchis si longtemps asservie, À pein
ndent qu’à sa gloire ; Pourvu que dans le cours d’un règne florissant
Rome
soit toujours libre, et César tout-puissant ? Mai
ins grand pour avoir exterminé les Cimbres que pour avoir abattu dans
Rome
l’aristocratie de la noblesse. Mais vous, commune
ut prendre une teinture de l’histoire de la Grèce et même de celle de
Rome
. On ne mesure bien, d’ailleurs, la force et l’éte
ns parler à Alcibiade, Agésilas et autres ; j’allais dans la place de
Rome
, pour haranguer avec les Gracques, et pour défend
s habitants des provinces (l’an 212 de l’ère chrétienne), les lois de
Rome
devinrent le droit commun dans presque toute la G
latin. Au lieu de dire : Romœ, Romam, on dit par-delà les Alpes : de
Rome
, à Rome, comme en deçà des monts on disait : di R
Au lieu de dire : Romœ, Romam, on dit par-delà les Alpes : de Rome, à
Rome
, comme en deçà des monts on disait : di Roma, a R
ante. L’auteur des Martyrs veut faire comprendre ce que c’était que
Rome
, la métropole de l’univers ; il énumère toutes le
i viennent s’abreuver dans ses eaux ; cettecampagne que le citoyen de
Rome
dédaigne maintenant de cultiver, se réservant à d
aura l’honneur de te nourrir : que vous dirai-je enfin ? Tout porte à
Rome
l’empreinte de la domination et de la durée : j’a
au sein d’une ville alliée, par les ordres « d’un homme qui devait à
Rome
les haches et les faisceaux qu’il faisait porter
sé capitaine qui fut jamais, mais tu ne sais pas user de ta victoire.
Rome
, que lu tenais, l’échappe ; et le destin ennemi t
n’enviassent peut-être Au-dessus de leur gloire un naufrage élevé Que
Rome
et quarante ans ont à peine achevé. Si un poëte
on, on en ajoute qui paraissent superflus. Camille dit, en parlant de
Rome
, dans ses imprécations : Puissé-je de mes yeux y
la phrase, est très-familière aux poètes. Camille dit à son frère :
Rome
, àqui vient ton bras d’immoler mon amant. Au lie
ulez-vous peindre d’un seul mot les services que Marcellus a rendus à
Rome
par son courage, et ceux que Fabius lui a rendus
s, avec les historiens de l’antiquité, que Marcel lus était l’épée de
Rome
, et que Fabius en était le bouclier. Pourquoi tr
. Voltaire fait dire à Henri IV : Je ne décide point entre Génève et
Rome
, au lieu de dire : entre les opinions des calvin
Sinaï. Les anciens disaient : la ville par excellence, pour désigner
Rome
ou Athènes ; le poëte, pour désigner Homère ; le
urreau ? Romains, souffrirez-vous qu’on vous immole un homme Sans qui
Rome
aujourd’hui cesserait d’être Rome, Et qu’un Romai
qu’on vous immole un homme Sans qui Rome aujourd’hui cesserait d’être
Rome
, Et qu’un Romain s’efforce à tacher le renom D‘un
endie d’Ancône. Argument. Oswald, lord Nelvil, Écossais, se rendait à
Rome
, pendant l’hiver de 1795, avec un gentilhomme fra
comte d’Erfeuil. Narration. « Lord Nelvil avait fixé son départ pour
Rome
au lendemain, lorsqu’il entendit pendant la nuit
sein même des grandeurs. Ce fut lui qui donna l’empire à Sparte et à
Rome
, en montrant à leurs habitants vertueux et pauvre
est ainsi qu’il vous a couvertes de majesté, ruines de la Grèce et de
Rome
, et vous aussi, mystérieuses pyramides de l’Égypt
t il n’y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni
Rome
. Mais aujourd’hui la banqueroute, la hideuse banq
Atius (les), famille considérable à
Rome
. Julie, sœur de Jules César, fut mariée à M. Atiu
On y distinguoit le vieux Latium, qui est aujourd’hui la campagne de
Rome
, et le nouveau, qui fait partie de la terre de La
t dans plusieurs actions, et porta le ravage jusques sous les murs de
Rome
. Il étoit prêt à faire une invasion dans la ville
, surnommé le Censeur, né à Tusculum, ville située à quatre lieues de
Rome
, l’an 234 avant J.C. Il occupa les premières plac
l’Asie mineure (aujourd’hui Natolie) ; et ses cendres, transportées à
Rome
, furent placées sous la colonne qu’on avoit élevé
est simple, et la précision de la pensée a quelque chose de sublime.
Rome
! si tu te plains que c’est là te trahir, Fais-to
dre l’abattement muet et la consternation profonde qui régnaient dans
Rome
, aux approches de la guerre civile, n’emploie qu’
et fonda un nouvel empire des Latins, qui fut le berceau de celui de
Rome
. Les Romains en effet regardoient Enée comme un d
, la nuit, défend le mont Palatin, ni celle qui, le jour, veille dans
Rome
, ni ces alarmes, ni cette rumeur du peuple, ni ce
re les Étrusques, qui voulaient rétablir les Tarquins sur le trône de
Rome
. Son corps fut exposé dans la place publique, par
osé faire entendre des menaces, disant que, dès qu’il serait arrivé à
Rome
, Verrès entendrait parler de lui, et rendrait bie
me poteau, et battu de verges en public par les ordres de celui à qui
Rome
avait confié les hacher et les faisceaux ? L’avi
éron, né à Arpino, près de Naples, l’an 106 avant Jésus-Christ, fut à
Rome
ce que Démosthène avait été dans Athènes : il a é
Ce qui s’appelle vu… Molière. Camille, dans ses imprécations contre
Rome
s’écrie : Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce
mme le vent, marcher comme une tortue, verser un torrent de larmes.
Rome
entière noyée au sang de ses enfants. Corneille
e tirai de l’armée Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus Qui depuis…
Rome
alors estimait leurs vertus. Racine. Voltaire a
ande âme, si, pour votre malheur, vous eussiez vu la face pompeuse de
Rome
sauvée par votre bras, et que votre nom respectab
consolez-moi, et ne me grondez pas. Ma destinée est d’avoir affaire à
Rome
, de façon ou d’autre. Ne pouvant y aller, je vous
faire à Rome, de façon ou d’autre. Ne pouvant y aller, je vous envoie
Rome
1 en tragédie, par le courrier de Hambourg, telle
êter son bonnet de nuit, sa robe de chambre, et son Cicéron, et lisez
Rome
sauvée dans cet équipage. Pendant que vous vous a
té charmante qui valez mieux que tous les royaumes. » 1. Tragédie de
Rome
sauvée. 1. Il fait comme les avocats qui se moqu
r Clodius, que, si Clodius l’eût voulu, il aurait pu être de retour à
Rome
avant le départ de Milon. Dès lors, et puisque to
; ainsi quand le Fabricius de Jean Jacques cherche vainement dans la
Rome
de marbre et d’or, esclave et énervée, ces toits
gloire de l’emporter sur nos voisins, et de le disputer à l’ancienne
Rome
dans le genre de la satire. On peut dire qu’il ré
tante journée À peine a rassuré les cœurs ; De la plus haute destinée
Rome
recueille les honneurs. Tous nos guerriers sont i
’histoire de Régulus, qui étant prisonnier à Carthage, et ayant été à
Rome
, sous le serment d’un prompt retour, pour y annon
leurs descendants. Elle n’y consentit qu’à condition que Troie297 et
Rome
seraient à jamais séparées par une étendue immens
ue le Capitole298 subsiste dans toute sa splendeur ; que l’invincible
Rome
se fasse un jeu de pénétrer dans ces plages aride
adressée à Mécène, qui lui avait donné une petite métairie auprès de
Rome
. En voici deux strophes mises en vers par le duc
s’apprête, Sans savoir seulement d’où viendra la tempête. Voltaire,
Rome
sauvée, II. Nous citerons comme exemples d’allég
rents contre parents Combattaient seulement pour le choix des tyrans…
Rome
entière noyée au sang de ses enfants. Corneille.
ffrenata jactabit audacia ? Patere tua consilia non sentis ? Quoi !
Rome
et l’Italie en cendre Me feront honorer Sylla ? J
e enfin te voilà roi… Telles sont les imprécations de Camille contre
Rome
, dans les Horaces : Rome, l’unique objet de mon
les sont les imprécations de Camille contre Rome, dans les Horaces :
Rome
, l’unique objet de mon ressentiment !… et celles
irable transition : De tous les superbes monuments de la Grèce et de
Rome
, à peine un seul est venu jusqu’à nous. Ce qui n’
andonnerais aussitôt ma maison ; et vous ne croyez pas devoir quitter
Rome
! Cette forme de raisonnement est très éloquente
’on va brûler sur les autels. Montesquieu fait l’éloge de l’ancienne
Rome
en rappelant les causes de sa grandeur : Lorsque
me en rappelant les causes de sa grandeur : Lorsque la domination de
Rome
était bornée dans l’Italie, la république pouvait
nos jours ! O d’un État penchant l’inespéré secours ! Vertu digne de
Rome
, et sang digne d’Horace, Appui de ton pays, et gl
e, au sein d’une ville alliée, par les ordres d’un homme qui devait à
Rome
les faisceaux portés devant lui, un citoyen romai
t décisive, il commence par cette audacieuse apostrophe à l’ennemi de
Rome
: Jusqu’à quand enfin, Catilina, viendras-tu abu
. L’avocat se propose de persuader aux juges que Milon était parti de
Rome
sans nul dessein d’attaquer Clodius, sans nulle p
être remplacé par un collectif au singulier : La Grèce a triomphé de
Rome
triomphante, au lieu des Grecs et des Romains, De
ue Boileau trace de l’empereur Titus : Tel fut cet empereur sous qui
Rome
adorée Vit renaître les jours de Saturne et de Rh
je tirai de l’armée Et ce même Sénèque et ce même Burrhus Qui depuis…
Rome
alors estimait leurs vertus. Dans ce passage du
al, M. Thiers, offre un bel exemple d’allégorie : Lorsque la vieille
Rome
tomba vaincue et toute sanglante aux pieds des ba
menace Néron : Ne crois pas qu’en mourant je te laisse tranquille ;
Rome
, le ciel, ce jour que tu reçus de moi, Partout, à
tte gloire aux mânes d’un tel homme D’emporter avec eux la liberté de
Rome
. Cette pensée a beaucoup d’éclat, et même un air
s blessures. — Agrippine suivie de ses enfants en deuil porte jusqu’à
Rome
l’urne qui contient les cendres de Germanicus. Ci
ri de la France victorieuse. Mais peut-être, se rappelant le héros de
Rome
, les Anglais qui restent ont-ils réparer par la r
scours éclaire les soldats, et Nerva est proclamé. Développement. —
Rome
, sous ses consuls, donnait des couronnes à la ver
s consuls, donnait des couronnes à la vertu ; elle était libre alors.
Rome
, esclave sous Domitien, honora les grands hommes
fut proscrit : il abandonna sans regret une ville qui n’avait plus de
Rome
que le nom, et, emportant avec Platon et Démosthè
mée romaine ; il y fixa sa course errante, et retrouva dans les camps
Rome
exilée de ses murs. Là, honorant sa misère par un
s confirment les murmures de la renommée ; Domitien n’est plus ; mais
Rome
, endurcie à l’esclavage, ne s’apercevait pas qu’e
-frappent leurs boucliers, ils enlèvent les aigles, ils crient : « A
Rome
! à Rome ! » ils tremblent d’avoir été prévenus p
leurs boucliers, ils enlèvent les aigles, ils crient : « A Rome ! à
Rome
! » ils tremblent d’avoir été prévenus par une au
le jour en Asie, mais mon cœur est romain. Je viens vous parler pour
Rome
; braves guerriers, croyez les paroles d’un .
omitien que par des bienfaits. Vous n’avez pas vu le sénat assiégé et
Rome
inondée de sang ; vous n’avez pas vu Carus Métius
aintenant il cache dans l’obscurité d’un exil éloigné des vertus dont
Rome
n’est pas digue ; il exerce dans les méditations
ations, s’il se dévoue à l’empire ; lui seul peut encore ramener dans
Rome
la vertu et les dieux. Romains, vous allez décide
pays. Alexandre a voulu conquérir le monde connu : César, dans cette
Rome
qui a presque conquis l’univers, ne veut conquéri
comme Marius et Sylla, mais par la corruption qui allait aux mœurs de
Rome
et par l’esprit qui allait à son génie. Enfin, le
lace ou le lieu. À. Attacher à la muraille ; vivre à Paris ; aller à
Rome
. Dans. Être dans la maison ; serrer dans une cas
e sur Catilina, tué dans une bataille que ce fier conspirateur contre
Rome
sa patrie, livra à l’armée de la république : so
que Racine, dans sa tragédie de Bérénice, donne à Titus, empereur de
Rome
, parlant de cette reine de Palestine, qu’il devai
orace, par Corneille, Sabine, native d’Albe, et femme d’un citoyen de
Rome
, voit la guerre allumée entre ces deux villes. Ce
enviassent peut-être, Au-dessus de leur gloire un naufrage élevé, Que
Rome
et quarante ans ont à peine achevé. Je suis arrê
nomie : cette licence ne put être arrêtée que par des lois sévères. À
Rome
, la satire commença aussi sur le théâtre, dans le
gue française un excellent professeur de rhétorique2. Les ruines de
Rome
A Rome, vous3 marcherez sur des pierres qui on
ise un excellent professeur de rhétorique2. Les ruines de Rome A
Rome
, vous3 marcherez sur des pierres qui ont été les
oses, vous ne vous lassiez à la fin du repos et de la tranquillité de
Rome
, qui sont deux choses beaucoup plus propres à la
quel éventail, quelles fontaines vous pourraient si bien préserver à
Rome
des incommodités de la chaleur72, comme un poêle
e courage de passer outre, si.je n’avais à solliciter votre procès de
Rome
. Sachez-moi gré, s’il vous plaît, de cela ; car j
il sut allier le sens historique. Chez lui revit l’Espagne féodale et
Rome
républicaine ou impériale. Ses acteurs ont l’âme,
agirait le plus par ces vigoureuses maximes. Durant les bons temps de
Rome
, l’enfance même était exercée par des travaux : o
rendre ce train, les grands hommes se font les uns les autres ; et si
Rome
en a plus porté qu’aucune autre ville qui eût été
e l’éloquence et celles des mœurs se donnent pour ainsi dire la main.
Rome
elle-même vit bientôt ses mœurs reprendre leur pr
ts ; il y approfondit les institutions et les maximes qui donnèrent à
Rome
l’empire du monde. Dans le Dialogue de Sylla et d
héronée, Orchomène et Signion1026 ; Sylla a donné à chaque famille de
Rome
un exemple domestique et terrible1027 : chaque ro
facées par des flots même de sang romain. Ne suis-je pas au milieu de
Rome
? Vous trouverez encore chez moi le javelot que j
les lois ; le sénat a pour lui mon génie, ma fortune et ma gloire.
Rome
maitresse du monde. Maîtres de l’univers, les
conquérants qu’en qualité de législateurs. Mais rien ne servit mieux
Rome
que le respect qu’elle imprima à la terre Elle mi
onner le spectacle des choses humaines. Qu’on voie dans l’histoire de
Rome
tant de guerres entreprises, tant de sang répandu
ame Denis Darget dit qu’il veut voir la première représentation de
Rome
; je ne sais si elle sera sauvée ou perdue. C’est
ns laquelle vous trouverez du rouge, avec quelques pots de pommade de
Rome
. Ame candide, personne nette et fraîche n’a pas b
omme si elles eussent vécu pendant ce temps1521. Pompéia1522 A
Rome
, on ne trouve guère que les débris des monuments
qui environnent Saint-Jean-de-Latran et Sainte-Croix-de-Jérusalem, à
Rome
. Des clairières1544 se panachent d’élégantes et h
ant furent l’évangile aventureux de sa rébellion contre les arrêts de
Rome
. Une poésie sombre colore ce pamphlet inspiré par
ouvoir absolu érigé par César, on vit le plus humain des empereurs de
Rome
, Marc-Aurèle, révéler dans quelques édits et grav
lles figures de tous les temps et de tous les lieux, qui à Athènes, à
Rome
, à Florence, avaient agi autrefois comme ceux que
u à cœur de les surpasser, et de se faire par eux, dans la mémoire de
Rome
, un nom qu’aucun de ses successeurs ne pourrait p
es chaînes et qu’il avait désiré voir1755. Cet homme était étranger ;
Rome
ne l’avait pas nourri, et la Grèce ignorait son b
ous toutes ses formes, faisaient partie de la nature grecque ; et, si
Rome
, moins heureuse1758, imitait plus qu’elle ne créa
Comme Jérusalem avait été assise sur les tables de Sinaï, Athènes et
Rome
le furent sur d’autres tables1759, moins sacrées
de vie solitaire. 62. Balzac avait suivi le cardinal de La Valette à
Rome
. Las d’être en butte aux traits de l’envie, il se
rand-duc de Tscane la naissance du dauphin. Il poussa ensuite jusqu’à
Rome
, où madame de Rambouillet avait un procès pour le
e de Rambouillet avait un procès pour lequel il sollicita beaucoup. A
Rome
, il fut parfaitement accueilli par le cardinal Ba
pas inconnus ; mais le vrai usage de toutes ces choses se trouvait à
Rome
. Rome était la boutique où les dons du ciel étaie
nconnus ; mais le vrai usage de toutes ces choses se trouvait à Rome.
Rome
était la boutique où les dons du ciel étaient mis
la province religieuse à laquelle il appartient. Le supérieur habite
Rome
. 665. Il a comme un scupule d’humilité. 666. Ce
donnant, la frayeur qu’il inspire. (Tibère.) 1024. Sylla naquit à
Rome
en 137 av. J.-C., et mourut en 78. La grande pens
ens latin : frappé de stupeur. 1030. Les rois conduits en triomphe à
Rome
étaient, au retour de la fête, mis à mort dans la
ique ; si on leur faisait grâce, ils languissaient en prison, hors de
Rome
. 1031. Ils cachaient autant qu’ils pouvaient le
venait sujet sans qu’on pût donner une époque de si sujétion. Ainsi
Rome
n’était pas proprement une monarchie ou une répub
est bon et fait de main d’ouvrier. » 1138. A propos de Catilina ou
Rome
sauvée, Voltaire écrivait à M. de Gide-ville : A
rahi, mais il eut le tort de faire payer ses services. 1485. Étant à
Rome
, je me suis précipité moi-même en bas de la Roche
de M. Beulé (Drame du Vésuve : Revue des Deux-Mondes). 1523. J’ai vu
Rome
; mais aucun de ses monuments n’a produit sur moi
r les étés, de la couleur jaune et dorée des édifices de Pæstum ou de
Rome
; ses vieilles tours, gardiennes de ses murailles
rétaire de légation, envoyé à Naples par la convention, se trouvant à
Rome
le 13 janvier 1793, fut assassiné dans un attroup
nerve, dont on voit les ruines, à Athènes. 1722. Palais des papes, à
Rome
. 1723. Variétés littéraires, morales et philoso
es de Justinien. 1760. Lacordaire a dit ailleurs : « Pensez-vous que
Rome
ait régné par le fer de ses légions, et que la Gr
n’auriez pas la première idée de l’homme ni la première idée de Dieu.
Rome
a soumis le monde, la Grèce a vaincu l’Asie par d
e rayons et coloré de pudeur, comme ce jour où, entrant au théâtre de
Rome
dans le moment qu’on venait d’y réciter ses vers,
u Laocoon et de l’Apollon du Belvédère, et l’église de Saint-Pierre à
Rome
, le plus magnifique édifice qui soit peut-être au
et des Odes ; de léguer à la poésie française, dans ses Antiquités de
Rome
, impressions premières de son séjour en cette vil
toine, soldats. MARC BRUTE. Le Tyran est tué, la liberté remise, Et
Rome
a regaigné sa premiere franchise. Ce tyran, ce Cé
aptivant veuf de sa liberté. Toutefois aujourd’huy cette orgueilleuse
Rome
, Sans bien, sans liberté, ploye au vouloir d’un h
TOINE. Mais330 cruel ravisseur de leurs droits envahis. CÉSAR. J’ay à
Rome
soumis tant de riches provinces. ANTOINE. Rome, n
envahis. CÉSAR. J’ay à Rome soumis tant de riches provinces. ANTOINE.
Rome
, ne peut souffrir commandement de Princes. CÉSAR.
il s’échappe et rejoint l’oncle poète à Paris. À vingt ans il suit à
Rome
le cardinal de Joyeuse, revient à Paris, retourne
ns il suit à Rome le cardinal de Joyeuse, revient à Paris, retourne à
Rome
à la suite de l’ambassadeur Philippe de Béthune.
tée dans la satire VI, que Régnier écrivit dans son voisinage même, à
Rome
. Quant à « pétrarquiser », Régnier n’y songeait n
endre, Que j’aimerois bien mieux, chargé d’age et d’ennuis, Me voir à
Rome
pauvre, entre les mains des Juifs. Il me prit
ateur, eut une heureuse rencontre en vers ; Olivier de Magny, exilé à
Rome
dans les fonctions de secrétaire d’ambassadeur, c
ur. Tous les siècles et toute la terre sont à lui. Il nous conduit de
Rome
à Sparte, à Thèbes, à Nicomédie, à Nicée, à Séleu
, il est vaste, il est plein de noblesse ; Il me feroit trembler pour
Rome
et pour la Grèce. Quant aux autres talens, l’ode,
it-il de Paris ? VALÈRE. Non, il étoit de
Rome
. Dix fois à carte triple être pris le premier1005
e sont pas des raisons à calmer ton dépit, Et je compte pour rien que
Rome
favorable Me déclare innocent quand tu me crois c
à lu France, à l’Amérique, à la Chine, aussi bien qu’à la Grèce et à
Rome
; il lit Shakespeare, l’appelle « fou sublime » e
âme plus égale, Sous l’heureux vainqueur de Pharsale Eût souffert que
Rome
pliât ; Mais, incapable de se rendre, Il n’eut pa
ns la tombe emporia votre estime. BRUTUS. Son remords me l’arrache. Ô
Rome
! ô mon pays ! Proculus… à la mort que l’on mène
courage ; Va, ne t’attendris point, sois plus Romain que moi ; Et que
Rome
t’admire en se vengeant de toi1111. (Brutus, V.
orte aujourd’hui sur Patru ! Vous parlez du barreau de la Grèce et de
Rome
, Lieux propres autrefois à produire un grand homm
en vers, commencée en 1829, continuée par Stockholm, Fontainebleau et
Rome
(1830), Antony (1831), Caligula (1837), etc., et
va donner à cet homme Qui, plus grand que César, plus grand même que
Rome
, Absorbe dans son sort le sort du genre humain ?
n ! — Quand l’enfant de cet homme Eut reçu pour hochet la couronne de
Rome
; Lorsqu’on l’eut revêtu d’un nom qui retentit ;
ettes du Campo Santo de Pise, ou dans la solitude du Campo vaccino de
Rome
(Il Pianto). Les vers vigoureux, enfiévrés et col
in de trembler sous un homme. J’ai visité plusieurs des principaux de
Rome
, Et tous, patriciens, chevaliers, sénateurs, Que
s cohortes, Le trajet sera court des tentes à nos portes. En outre, à
Rome
même il n’est pas sans appui ; Le sénat est pour
e, et Abraham à Agamemnon. 116. Du Bellay resta environ quatre ans à
Rome
(1551-1554), attaché en qualité de secrétaire à s
sa liberté au service de maîtres ingrats. Comme eux, il était allé à
Rome
, à la suite des prélats ambassadeurs. C’est donc
imées aussi par Du Bellay et Régnier, qui avaient, comme lui, servi à
Rome
des ambassadeurs, sur l’oubli qu’ils leur reproch
n à ses chefs-d’œuvre : Nos plus nouveaux sujets, les plus dignes de
Rome
, Et les plus grands efforts des veilles d’un gran
e fait que sortir encor d’une victoire. (Ibid.) Je n’appelle plus
Rome
un enclos de murailles Que ses proscriptions (de
tôt le tombeau…, Et, comme autour de moi, j’ai tous ses vrais appuis,
Rome
n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
comme autour de moi, j’ai tous ses vrais appuis, Rome n’est plus dans
Rome
, elle est toute où je suis. (Sertorius, III, 1.
s Nicomède (IV, 4) : Tout beau, Flaminius, je n’y suis pas encore (à
Rome
, où il eût été otage). C’est ailleurs une interr
en tout sujet. Cf. Nicomède, II, 3. Flaminius : Mais on ne voit qu’à
Rome
une vertu si pure ; Le reste de la terre est d’un
Nicom. Le vôtre toutefois m’ouvrira seul la bouche. De quoi se mêle
Rome
? et d’où, prend le sénat, Vous vivant, vous régn
rêter l’épaule au monde chancelant. 976. Pompée, III, 2 : Elle (
Rome
) qui d’un même œil les (les trônes) donne et les
ssé n’offre aux désirs de l’homme Rien qui puisse tenter l’avarice de
Rome
. Comparez encore, Alexandre, V, 3 : PORUS. Auss
ication piquante ici, c’est que le duc de Créqui, étant ambassadeur à
Rome
, y avait essuyé, le 20 août 1662, une insulte trè
eune, elle avait été fiancée. Scipion la réclame pour être conduite à
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dans le triomphe. Elle se soustrait à cette honte
te. Massinisse, avant de se frapper, prononce ces imprécations contre
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: Cependant en mourant, ô peuple ambitieux, J’ap
, Te reprennent les biens que tu leur as volés ; Que Mars, faisant de
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une seconde Troie, Donne aux Carthaginois tes ric
d’ennuis. J’aurois dessus le front ma couronne affermie. Car j’aurois
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encore et la Fortune amie. Mais quoi ! m’ayant pe
’École des beaux-arts, les tableaux, prix du concours pour l’École de
Rome
, de MM. Baudry et Bouguereau.) La tragédie de Cré
té ennemi, convoite l’Arménie : il vient pour combattre, au profit de
Rome
. cette ambition. — Vous allez-vous perdre : que p
e classique, à part le style, dans Oreste (1750), et dans Catilina ou
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sauvée (1750). Ces deux dernières tragédies étaie
nes bordées de tombeaux est la Via Appia, rendez-vous des élégants de
Rome
. Voir Horace, Épîtres, I, 6, 26. 1467. Cette élé
économie. — Racine : pecus (qui a produit aussi pecunia) parce que, à
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, primitivement, le bétail, représentait la riches
la richesse. 1499. Comparer dans Tite-Live (III, 36 sqq.) l’état de
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qui commence à se lasser des decemvirs : Circumsp
x actions qui composent la pièce, la mort de Lucrèce et la liberté de
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…, et un des plus heureux ressorts de la tragédie
de sa fille, qui sacrifie un honnête et ardent amour pour le suivre à
Rome
où le saint office le cite à comparaître. À Rome
our pour le suivre à Rome où le saint office le cite à comparaître. À
Rome
(acte IIIe), il cède aux alarmes et aux prières d
nventeur du pendule, du télescope, etc. Le livre déféré. à la cour de
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en 1633 est intitulé : Quatre dialogues sur les s
utes choses. Elle a pris naissance en Grèce, de là s’est introduite à
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et n’a été à l’origine que la théorie de l’art or
e tirai de l’armée Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus Qui depuis…
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alors estimait leurs vertus. (J. Racine, Britanni
ice de la malédiction. Ex. Imprécations de Camille dans Corneille :
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, l’unique objet de mon ressentiment, etc. (P. Cor
x faire saisir. Comme l’ironie, elle est familière à la passion. Ex.
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entière noyée au sang de ses enfants. (P. Corneil
rolongée. Ex. Horace cherche à retenir au port un navire [symbole de
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] qui va braver de nouveaux orages. O navis, refe
etc. On compare quelquefois deux villes entre elles. Ex. parallèle de
Rome
et de Carthage dans Montesquieu (Grandeur et déca
; — Cicéron dans celui qu’il a composé sur les orateurs illustres de
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; — Caton l’ancien dans le dialogue du même écriv
e) avec Philémon et Ménandre dans la nouvelle. Poésie dramatique à
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Les Romains, imitateurs des Grecs, ne nous off
discours étaient fort en usage. Dans les républiques d’Athènes et de
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, les généraux avaient souvent occasion de parler
furent des hommes publics, généraux ou orateurs. Il en fut de même à
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, Chez les modernes, Machiavel, Guichardin, Paolo
belles-lettres, etc. Ex. Chez les Grecs, Aristote, Longin, etc. ; — à
Rome
, Cicéron, Quintilien, etc. ; — en France, Fénelon
escription des lieux. Ex. la topographie de Jérusalem, la campagne de
Rome
, la description de la Judée dans Chateaubriand (I
érales de la phrase, page 14 de ce volume. Caractère des sept Rois de
Rome
. (Tiré de l’Histoire universelle de Bossuet.) Bos
ion le caractère et les principales actions des sept premiers rois de
Rome
. On remarquera que dans cette page, il n’y a ni e
ivée des Barbares. Causes de la Décadence de l’Empire romain À peine
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était-elle née, qu’elle portait dans son sein le
mée empêche le sénat de rétablir la république à la mort de Caligula.
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ne peut plus étendre sa domination ; elle ne tend
a trembler dans leurs tribunaux les juges devant lesquels on le cite.
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même entendra sa voix ; et un jour cette ville ma
Paul a des moyens pour persuader que la Grèce n’enseigne pas, et que
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n’a pas appris. Une puissance surnaturelle, qui s
dans le gouffre de la puissance romaine ; — Marche, marche ! dit-il à
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elle-même ; et ce peuple invincible, qui sert d’i
ylone, prêtre à Memphis, législateur à Sparte, citoyen à Athènes et à
Rome
, il change de temps et de place à son gré ; il pa
disparu. Horace. Horace, célèbre poète latin, né à Venouse, l’an de
Rome
689, entreprit aussi de tracer les règles de la p
naturelle de ces phrases : Des rois gouvernèrent d’abord la ville de
Rome
, ou Urbem Romam a principio reges habuere ; Alexa
e : Urbem Romam a principio reges habuere. Il fallait que la ville de
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existât préalablement pour que des rois pussent l
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