porter les objets dans l’imagination des hommes. Ibid., dial. II.
Horace
et Virgile. Caractère de ces deux poëtes.
de grand comme votre poëme héroïque3. Virgile. En vérité, mon cher
Horace
, il y a déjà trop longtemps que nous nous donnons
f. Virgile, En., l. IV, v. 504 et suiv. 2. Ut pictura poesis, a dit
Horace
(Art poét., 361). Cette assimilation de la poésie
lui échappait de toutes parts », a dit M. Villemain. 4. Virgile et
Horace
lui-même n’ont pas laissé toutefois de représente
Odes, I, 3, la preuve de cette affection touchante. Cf. les Satires d’
Horace
, I, 5, 39. 3. C’est-à-dire immédiatement après
Castigat ridendo mores ; on dit qu’elle fut l’œuvre du poëte Santeul.
Horace
lui-même, dans son Art poét., v. 333 : Aut prode
æ. Aut simul et jucunda et idonea dicere vitæ. Voy. enfin l’épitre à
Horace
, dans les extraits de Voltaire. 1. Virgile a em
ant de l’Art poétique. 2. C’est la traduction de cette remarque d’
Horace
dans son Art poét., v. 47 : Dixeris egregie, not
avec intérêt ces observations, placées dans la bouche de Virgile et d’
Horace
par un juge si plein de délicatesse et de goût, d
s ? Les quatre poétiques les plus célèbres sont celles d’Aristote, d’
Horace
, de Vida et de Boileau. Nous dirons un mot de cha
parler plus longuement dans la partie de son ouvrage qui a disparu.
Horace
. Horace, célèbre poète latin, né à Venouse, l’an
plus longuement dans la partie de son ouvrage qui a disparu. Horace.
Horace
, célèbre poète latin, né à Venouse, l’an de Rome
us tard par Quintilien, a été ratifiée par l’usage. Dans cet ouvrage,
Horace
ne s’asservit à aucune méthode, s’exprime avec fa
plus, ce poème offre une ordonnance bien plus parfaite que l’épître d’
Horace
, et présente les règles de la poésie d’une manièr
r la poésie épique. — 153. Des sujets qu’il faut mettre sur la scène.
Horace
recommande d’approprier les mœurs à chacun des âg
itque legendo, 475 Non missura cutem, nisi plena cruoris, hirudo.
Horace
Art poétique. Aux Pisons. Si un peintre
do : 1375hirudo 1376non missura cutem, 1377nisi plena cruoris.
Horace
Art poétique. Aux Pisons. 1Si un peint
tte dénomination assez pompeuse d’Art poétique, et l’usage a prévalu.
Horace
n’avait donné à son œuvre que ce titre bien plus
t interdits. L’Épitre aux Pisons fut composée vers l’an 745 de Rome :
Horace
avait alors cinquante-six ans ; mais il est à peu
s urbanœ custos, au dire de Velléius Paterculus, était l’ami intime d’
Horace
. Il avait deux fils qui partageaient son goût pro
pas retrouver ici cette délicatesse de flatterie, si habituelle chez
Horace
; et je ne sais pas jusqu’à quel point Auguste au
il propose : Sterilisve palus prius, etc. Malheureusement le vers d’
Horace
, tel qu’il est dans toutes les éditions jusqu’à B
moignage. Et pourquoi se scandaliser, d’ailleurs, qu’il ait échappé à
Horace
une de ces fautes si bien excusées dans ces vers
nt il signifie : avoir de la douleur. Ayez une douleur véritable, dit
Horace
. Pleurez ne serait pas juste ; car enfin il y a d
caractère. Page 18. — 1. C’est le début de l’Odyssée dans Homère. —
Horace
dit seulement vidit : nous avons reproduit toute
« Vous dirai-je ce que c’est qu’un jeune homme de vingt-deux ans ?… »
Horace
lui-même a imité Aristote dans cette peinture si
ue. On peut même supposer qu’il y a une idée satirique dans ce vers :
Horace
ne se piquait pas d’être bien fervent en fait de
bilibus trimetris. Hic désigne le vers iambique, tel qu’il doit être.
Horace
veut dire, et il dit en effet, que rarement Acciu
dicam stulte… La postérité a cassé le jugement trop sévère porté par
Horace
sur un poëte comique, auquel nous devons l’idée d
s prête toujours à des esclaves. Comment les beaux esprits du temps d’
Horace
, et Horace lui-même, pouvaient-ils donc se montre
jours à des esclaves. Comment les beaux esprits du temps d’Horace, et
Horace
lui-même, pouvaient-ils donc se montrer si sévère
t un repas, Héliodore le rhéteur, Mécène, Plotius, Varius, Virgile et
Horace
enfin, qui, après nous avoir raconté cette querel
’est la modération satirique à laquelle la loi les contraignit. Voyez
Horace
, Art poétique, vers 283 et 284, et épître I, livr
toge, vêtement ordinaire des gens du peuple. — 3. Pompilius sanguis.
Horace
appelle les jeunes Pisons sang de Pompilius : Acr
ummorum. Pour être admissible dans l’ordre des Chevaliers, au temps d’
Horace
, il fallait posséder quatre cent mille sesterces
Page 50. — 1. In Metii descendat judicis aures…. Métius Tarpa, ami d’
Horace
, excellent juge en poésie, est le même dont il es
s âgé de dix-sept ou dix-huit ans, tout au plus. Nous croyons donc qu’
Horace
a voulu dire simplement qu’on ne devait pas se pr
avant cet âge, comme des fruits précoces dont on attend la maturité.
Horace
avait d’ailleurs suivi lui-même ce précepte, en n
lu évidemment, Acron et Porphyrion, les plus anciens commentateurs d’
Horace
: « Ferramentum male ductum redditur incudi, et b
éuni en un seul tableau ces deux portraits si habilement indiqués par
Horace
. C’est peut-être le cas d’exposer ici l’opinion,
plus familière, et entremêlée d’historiettes racontées comme raconte
Horace
, le poëte nous déclare, en vers charmants, qu’il
et mordante, qui rappelle assez les derniers vers de l’Art poétique,
Horace
ajoute, en passant, et sans avoir l’air d’y touch
crire. On remarquera facilement que, dans aucune de ces trois pièces,
Horace
n’a voulu astreindre à un plan systématique sa mu
, surtout, que l’Epître à Florus ; si, contre la manière habituelle d’
Horace
, elle renferme plus de principes de l’art considé
et se complètent l’une par l’autre. Cette préméditation de la part d’
Horace
, si fortement préoccupé (dit M. Walckenaër) des m
744, enfin, l’Épître aux Pisons, de 745. Ainsi que nous l’avons dit,
Horace
avait cinquante-quatre ans, quand il écrivait la
embre 1881). • Expliquer par l’histoire de la poésie latine ce vers d’
Horace
. : Nil intentatum nostri liquere poetæ . (12 nov
e ? (3 novembre 1883). • De la vérité des mœurs antiques peintes dans
Horace
, de Corneille. (7 août 1882). • Comparer le rôle
quelles il cherche à réhabiliter l’agriculture chez les Romains, puis
Horace
avec son épître aux Pisons (Art poétique), Ovide
ui, nous trouvons Boileau ; son Art poétique, où il suit les traces d’
Horace
, est une œuvre de premier ordre, parsemée de vers
ns doivent aux Grecs le meilleur de leur développement intellectuel ;
Horace
lui-même n’hésite pas à l’avouer : Græcia capta
par le pouvoir absolu, est remplacée par les déclamations. Virgile et
Horace
sont les deux grands noms qui dominent la poésie
e genre didactique avec ses Géorgiques, et l’épopée avec son Énéide :
Horace
fut poète lyrique, satirique et didactique, ainsi
e l’autre, la satire peut être considérée comme un genre tout latin ;
Horace
, en effet, la revendique et n’hésite pas à dire e
; mais d’autre part il faut convenir aussi que les Latins, Lucilius,
Horace
, Juvénal, ont donné à la satire sa forme propre e
ius ardens (Perse, Sat. I, 114) Infremuit… (Juvénal, Sat. I, 165).
Horace
lui reproche ses vers durs, à l’allure rude et fr
ique dans les Iambes ; mais il n’est satirique que par occasion. Avec
Horace
, la satire devient une causerie familière de mora
lerie douce, spirituelle et fine, discrète, persuasive, indulgente :
Horace
, à cette aigreur, mêla son enjouement (Boileau,
plerumque secat res. (Sat. X, 14). Nous avons dit que la satire dans
Horace
est surtout littéraire ; la satire politique ou m
invariablement des apologies de l’épicurisme. La grande originalité d’
Horace
, comme satirique, est donc la satire littéraire.
la morale, sans grande élévation, se rapproche un peu du carpe diem d’
Horace
. Après cette énumération, on voit comment le xvii
vent consignés dans ces vers de l’Épître aux Pisons (Art poétique), d’
Horace
: Scriptor, honoratum si forte reponis Achillem,
sant de la nature humaine, l’instinct de sympathie ; c’est ce que dit
Horace
dans son Art poétique : Ut ridentibus arrident,
grammaire, science astronomique, théologie, César avait tout abordé.
Horace
, ruiné après la bataille de Philippes et la mort
e de Boileau Plan 11. — Caractère simple et familier de l’épître d’
Horace
, qui ne veut avoir aucune prétention, et ne s’imp
est le type du genre ; il est plus général, plus complet que celui d’
Horace
. Il fait la théorie, l’histoire et la critique de
nous présente sont des types de vertu et d’abnégation. C’est le vieil
Horace
, glorieux d’immoler ses fils à sa patrie ; c’est
iose de nous présenter les personnages de l’ancienne Rome, l’auteur d’
Horace
et de Cinna est bien de son siècle ; et pourtant
1635 à 1641 cette période comprend : Médée (1635), — le Cid (1636), —
Horace
, et Cinna (1639), Polyeucte (1640). Dans ces prem
a vérité, retrouvait la précision, la force et l’élévation du style d’
Horace
et de Cinna, étaient perdues dans la froideur reb
nd, il prit le sujet de la Mort de Pompée (1643), Tite-Live lui donna
Horace
(1640), celle de ses tragédies qui porte le mieux
et Rodrigue, entre Rodrigue et Chimène après la mort du comte ; Dans
Horace
, ceux qu’échangent le jeune Horace et Curiace, le
mène après la mort du comte ; Dans Horace, ceux qu’échangent le jeune
Horace
et Curiace, le vieil Horace et Julie après le com
; Dans Horace, ceux qu’échangent le jeune Horace et Curiace, le vieil
Horace
et Julie après le combat ; Dans Cinna, l’entretie
intes sont souvent bien touchantes : Je suis Romaine, hélas ! puisqu’
Horace
est Romain ; J’en ai reçu le titre en recevant sa
rère : Qu’un de vous deux me tue, et que l’autre me venge. Après qu’
Horace
a commis le fratricide qui déshonore sa victoire,
nt toujours son rôle, vient encore invoquer le roi Tullus en faveur d’
Horace
, elle supplie de prendre sa vie, inutile et chanc
cela, nécessaire dans la pièce, pour opposer au fanatisme héroïque d’
Horace
un excès contraire, le fanatisme de l’amour, et p
nécessaire pour amener le choc terrible de ce caractère avec celui d’
Horace
qui est tout l’opposé. Il faut reconnaître que Ca
ue nous subissons. [16] (6 août 1884) Comparer les deux rôles d’
Horace
et de Curiace dans Corneille. Développement. —
é. Après avoir esquissé de main de maître l’admirable figure du vieil
Horace
, il lui donne un fils, moins sympathique, il est
ls, moins sympathique, il est vrai, mais plus romain encore. Le jeune
Horace
est courageux, mais violent ; il ne sait pas temp
riace : Je vous connais encore, et c’est ce qui me tue. Puis, quand
Horace
s’exalte dans sa fierté en disant : Une telle ve
e s’être fidèlement tenu à la vérité historique et d’avoir représenté
Horace
fratricide. Voltaire est du même avis. Il est cer
pêcherait que l’unité d’intérêt soit compromise par le double péril d’
Horace
dans la pièce, quand il va combattre, puis quand
s la pièce, quand il va combattre, puis quand il est mis en jugement.
Horace
reste semblable à lui-même jusqu’à la fin ; après
actère de Curiace, dans la pièce, est vraiment l’antithèse de celui d’
Horace
. Corneille a su varier les expressions du patriot
emble pressentir sa défaite, quand, apprenant le choix qu’on a fait d’
Horace
, il s’écrie : Puisque vous combattez, sa perte e
ns reproche, ou périra sans honte. On peut dire que ces deux rôles d’
Horace
et de Curiace, les deux plus intéressants de la p
ar nous sentons bien, malgré notre admiration mêlée d’étonnement pour
Horace
, que le premier est plus touchant, plus moderne,
ncipaux représentants Ésope et Phèdre, chez les Grecs et les Romains.
Horace
aussi a quelquefois mêlé une fable à une de ses é
e le ton et l’allure de notre critique sont bien différents de ceux d’
Horace
; « Il est, dit M. Geruzez, plus méthodique, plus
urce commune où elles ont puisé, Vauquelin de la Fresnaye ayant imité
Horace
avant Boileau. Ajoutons qu’il est bien plus près
traîtres, il a tout au moins égalé, disons même surpassé, l’auteur d’
Horace
et de Cinna ; témoin Narcisse et Mathan qu’il fau
e mot de poète. On peut l’être à différents degrés. Pindare, Virgile,
Horace
, Molière, La Fontaine sont de grands poètes, et p
’autre la sensibilité, la grandeur et le culte de la patrie romaine ;
Horace
représente l’esprit, le caractère vif, enjoué, ra
ers devenu proverbe : Avant donc que d’écrire, apprenez à penser.
Horace
, qu’il traduit à peu près, avait dit : Scribendi
tés secondaires : Verbaque provisam rem non invita sequentur, a dit
Horace
. Ronsard, parlant de l’invention, dit qu’elle vie
pour un homme qui vaut mieux que lui ; Corneille, l’auteur du Cid, d’
Horace
, de Nicomède, vient d’être rayé de la liste des p
la place qu’il doit occuper dans le drame, conformément au précepte d’
Horace
: « Actoris partes chorus officiumque virile defe
accords de la lyre, et on n’avait point de lyre. Aucun poète, depuis
Horace
inclusivement, ne paraît avoir modelé ses odes su
dans ce genre, de ces qualité si rares et si précieuses qui, suivant
Horace
, font le véritable poète : un génie créateur, un
c l’ensemble du morceau. Nous citerons comme modèle de début, l’ode d’
Horace
: Qualem ministrum… 181. Qu’appelle-t-on écarts
ie pour prouver ce qu’il a en vue. On peut citer comme modèle l’ode d’
Horace
: Sic te diva potens… 184. Quel doit être le dés
ne symétrie qui revenait beaucoup plus souvent. Ce sont ces formes qu’
Horace
a suivies. 190. Quelle est la forme de l’ode mode
ature païenne ne nous offre, dans ce genre, que le Carmen sæculare, d’
Horace
. 196. Qu’est-ce que l’hymne ? L’hymne (ὓμνος, ch
Outre les poésies tirées de l’Écriture Sainte et le Carmen sæculare d’
Horace
, dont nous avons fait mention précédemment, nous
belles odes héroïques ? Les odes de Pindare sont des odes héroïques.
Horace
en a aussi un certain nombre, parmi lesquelles on
ie lyrique. 207. Nommez quelques odes morales. Outre quelques odes d’
Horace
, en particulier les trois premières du livre III,
nre une ode de Joachim du Bellay sur la Vertu ; l’ode à la Fortune, d’
Horace
, mise en vers français par La Harpe, et comprenan
Elle tire son non d’Anacréon qui s’est illustré dans ce genre, et qu’
Horace
a souvent imité. Les tableaux les plus riants de
i même par les poètes qui l’ont cultivé. Si l’ode anacréontique, dans
Horace
et dans Anacréon surtout, brille par le sentiment
l’Amour piqué par une abeille, la Colombe et le Passant, et la Rose.
Horace
a laissé un grand nombre d’odes en ce genre. Nous
érêts de l’amour : elle servit à exprimer ses plaintes et ses succès.
Horace
et Boileau nous ont marqué les différents usages
ar Virgile ; et celle de l’ode, dans la pièce adressée à Virgile, par
Horace
, sur la mort de Quintilius Varus, leur ami. La po
ous les Latins, nous citerons : Anacréon et Pindare, chez les Grecs ;
Horace
, chez les Latins ; Malherbe, J. Racine, J.-B. Rou
celui qui, rougissant de son père, honnête artisan, ne sut pas, comme
Horace
son maître, être un bon fils ? En cela, J. B. Rou
y a chez J. B. Rousseau quelque chose de cette qualité distinctive d’
Horace
, qui consiste à combiner entre eux les mots d’une
, dans la préface de ces Œuvres, « qu’il avait tâché de se former sur
Horace
, comme celui-ci s’était formé sur les anciens lyr
r, plus méthodique et aussi plus moral que ses principaux devanciers,
Horace
(I, 35) et Pindare (XIIe Olymp.) : c’est ce qu’a
n de plus imposant, rien de plus majestueux que ce début prophétique.
Horace
avait aussi commencé par un mouvement analogue un
la mort remplissent les anciens poëtes et particulièrement Lucrèce et
Horace
. 1. Voltaire a rendu la même pensée dans un de
ible et le fort Vont tous également des douleurs à la mort. 2. Cf.
Horace
, Od., II, 3 et 14. 3. « Vers admirable, dit Le
’ai déjà parlé, l’invention de l’apologue de l’homme et du cheval, qu’
Horace
, Phèdre et La Fontaine ont si bien versifié. Mais
licat. Ses églogues sont embellies de toutes les grâces de la nature.
Horace
en a parfaitement exprimé le caractère : il consi
douceurs de la paix et des agréments de la campagne : à l’imitation d’
Horace
, il a développé, dans un style noble et plein de
nt d’idées ni de sentiments trop relevés. Poètes épistolaires.
Horace
, né à Venuse dans le royaume de Naples, l’an 63 a
à s’introduire en Italie : ses satires ne nous sont point parvenues.
Horace
, si célèbre dans le beau siècle d’Auguste, perfec
à Volterre dans la Toscane, l’an 34 de l’ère chrétienne, inférieur à
Horace
pour la grâce et la délicatesse, a plus de force
e de la satire. On peut dire qu’il réunit la finesse et la légèreté d’
Horace
, la sagesse et la raison de Perse, la force et la
trer des sentiments de tendresse et même de joie. La plainte, suivant
Horace
258, fut d’abord renfermée dans l’élégie, ensuite
cinquième églogue de Virgile sur la mort de Daphnis ; quelques Odes d’
Horace
, surtout celle où il déplore la mort de Quintiliu
re de poésie, de ces qualités si rares et si précieuses, qui, suivant
Horace
269, font le vrai poète ; d’un génie créateur, d’
par de riches comparaisons et de brillantes images. C’est ce que fait
Horace
, dans cette belle Ode, où il chante la victoire d
16, par le prince Eugène 273 ; début plus hardi peut-être que celui d’
Horace
, par la vivacité de l’enthousiasme, le retranchem
force et d’élévation, comme on va le voir dans ce morceau de l’Ode d’
Horace
, dont j’ai cité le début. Rome280, le Métaure281
il présente subitement, ornées de toutes les beautés poétiques. Ainsi
Horace
, dans son Ode au vaisseau qui devait porter Virgi
e transférer à Troie le siège de l’Empire romain. Voyez avec quel art
Horace
parvient à le détourner de ce dessein. Le poète d
es formidables bataillons, pour la réduire en cendres. C’est ainsi qu’
Horace
intimida Auguste et les Romains par la bouche d’u
lesse ne glaçait ses sens, et termine son ode par un trait emprunté d’
Horace
, mais qu’il a embelli. Il se promet l’immortalité
s genres de sublime réunis. L’auteur y fait allusion aux ennemis de l’
Horace
français. Le Nil323 a vu sur ses rivages De noir
es autres odes du même poète. C’est ce qu’on voit aussi dans celles d’
Horace
, qui, au milieu de son enthousiasme même, sait si
de morale, et y entremêler des louanges délicates. C’est ce qu’a fait
Horace
dans une ode charmante adressée à Mécène, qui lui
, Stésichore, Alcée, et Tyrthée, que par les grands éloges qu’en fait
Horace
. Car les fragments de leurs poésies qui nous sont
des images, les écarts et les transports fougueux de l’enthousiasme.
Horace
qui en avait fait une étude particulière, le rega
Pindare, et sauva du carnage tous ceux qui restaient de sa famille.
Horace
, le seul lyrique latin, n’a pas toute la hardiess
or. III STANCES DE TROIS VERS. Il n’y en a qu’une sorte dans
Horace
: un trimètre, un archiloquien et un dimètre. P
TRE VERS ET DE DEUX ESPÈCES DE VERS. Il y en a de deux sortes dans
Horace
: 1° Trois petits asclépiades et un glyconien.
E TROIS ESPÈCES DE VERS. Il n’y en a aussi que de deux sortes dans
Horace
. La première se compose de deux asclépiades, d’un
deuxième, qui est la plus belle et la plus fréquente parmi les odes d’
Horace
(il y en a trente-sept de ce genre), comprend deu
ici le régent du Parnasse, N’est qu’un gueux revêtu des dépouilles d’
Horace
. Avant lui Juvénal avait dit en latin Qu’on est a
appuyé de Lélie, Fit justice en son temps des Cotins d’Italie, Et qu’
Horace
, jetant le sel à pleines mains, Se jouait aux dép
ages ; Gilbert en a emprunté quelques traits dans son Apologie. — Cf.
Horace
, Sat., II, 1. 2. C’est à vous, mon esprit, que
éopâtre de La Calprenède, par exemple, allaient bien au delà. 1. Cf.
Horace
, Sat., I, 4, 33, et Quintilien, Inst. or., VI, 8.
e Régnier, qui a pour titre : Régnier apologiste de soi-même. 1. Cf.
Horace
, Sat., I, iv, 93 et suiv. 2. De se railler, … me
é une oraison funèbre. 2. C’est cet heureux mélange, recommandé par
Horace
(Art Poét., v. 343), qui fait goûter et vivre les
de Virgile, Én., VI, 686. 4. Hardiesse heureuse, analogue à celle d’
Horace
, lorsqu’il montre, dans la quinzième ode du Ier l
lle est juste et naturelle. Boileau excelle à pratiquer ce précepte d’
Horace
, Art poétique, v. 47 : Dixeris egregie, notum si
plus sèche les formes les plus aimables. On voit bien qu’il s’agit d’
Horace
, et c’est annoncer l’homme qui joignait le goût l
esprit essentiellement juste, un coup d’œil pénétrant, et c’est ce qu’
Horace
possédait dans un degré supérieur. Aussi est-il,
leçons de la sagesse divine, et celles de la sagesse humaine, ce même
Horace
, si admirable quelquefois dans ses réflexions mor
la proie et le vautour. (Prov. ch. 13). Voici maintenant le riche d’
Horace
. Congestis undique s
eté, Percera, tôt ou tard, le cœur qu’il a flatté. (Prov. chap. 15).
Horace
: ………… Frères, sœurs, voisins, maîtresse et femm
pes, que l’on va remarquer la différence de l’esprit qui les dictait.
Horace
s’arrête précisément où devait commencer l’excell
e, et c’est ce que va faire une philosophie bien supérieure à celle d’
Horace
. Riches, soyez humains, tendres et généreux. Que
fardeau. (Prov. ch. 28. v. 9). Voilà ce qui se trouve partout, ce qu’
Horace
, Virgile et beaucoup d’autres ont dit en vers mag
ien, sur toute la pompe poétique de l’écrivain profane. Le philosophe
Horace
fait aussi un éloge pompeux de la vie champêtre e
ge d’un riche campagnard Athénien. La convenance.] Même précepte dans
Horace
, Art Poétique, v. 114 et suiv. On a souvent indui
oétique, v. 114 et suiv. On a souvent induit de ces ressemblances, qu’
Horace
lisait et imitait l’ouvrage d’Aristote rien n’es
ge d’Aristote rien n’est moins démontré. La plupart des imitations d’
Horace
portent sur des préceptes qui devaient se trouver
.) C’est aussi le sens adopté par Dacier, qui rapproche de ce passage
Horace
, Art poétique, v. 179 et suiv. Résultant.] Παρά m
tus, ou des Orateurs illustres ; — l’Orateur ; — les Topiques, etc.
Horace
65 — 8 Art poétique (Épître aux Pisons). Après
elle est générale ou partielle. Ex. Définition du crime par le vieil
Horace
dans le procès de son fils : Aimer nos ennemis a
nfini, C’est ce qu’on nomme crime, et ce qu’il a puni. (P. Corneille,
Horace
, acte V, scène iii.) Énumération des parties
pe ou ses conséquences. Ex. Lire dans Corneille le discours du vieil
Horace
défendant son fils (Horace, acte V, scène ii.)
. Lire dans Corneille le discours du vieil Horace défendant son fils (
Horace
, acte V, scène ii.) 2° Extrinsèques Les li
mu soi-même : …………… Si vis me flere, dolendum est Primum ipsi tibi. (
Horace
, Art poétique, vers 102.) Pour me tirer des pl
ù l’on a omis quelque partie de la question. Ex. Le dilemme du vieil
Horace
défendant son fils : Dis, Valère, dis-nous, si t
r ? Tu ne saurais cacher sa peine à sa victoire : etc. (P. Corneille,
Horace
, acte V, scène iii.) Horace oublie un lieu où so
eine à sa victoire : etc. (P. Corneille, Horace, acte V, scène iii.)
Horace
oublie un lieu où son fils peut subir le supplice
uvement de l’âme avec line fierté souvent héroïque. Ex. Cri du vieil
Horace
, quand on lui annonce que deux de ses fils ont ét
e voulez-vous qu’il fit contre trois ? — Qu’il mourût. (P. Corneille,
Horace
, acte III, scène vi.) 3° Le sublime d’image, qui
ille : Rome, l’unique objet de mon ressentiment, etc. (P. Corneille,
Horace
, acte IV, scène v.) « Enfin, enfin, disent les
. Ex. Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce foudre ! (P. Corneille,
Horace
, acte IV, scène v.) Dubitation La dubitati
ἄλλος, autre, — ἀγορεύω, je parle) est une métaphore prolongée. Ex.
Horace
cherche à retenir au port un navire [symbole de R
pour l’ouvrage. Ex. Térence est dans mes mains, je m’instruis dans
Horace
. (La Fontaine, Epistre à Mgr l’Evesque de Soisson
ctu. Format enim natura priùs nos intùs ad omnem Fortunarum habitum. (
Horace
, Art poétique, vers 105 et suiv.) La mémoire ora
iter cette complication, au théâtre surtout, pour obéir au précepte d’
Horace
, qui condamnait absolument l’emploi d’un quatrièm
est seulement l’imitation et la peinture ( ut pictura, poesis , a dit
Horace
). Outre les conditions générales communes à toute
uniquement d’ïambes, Ex. Bĕa|tŭs il|lĕ quī | prŏcūl | nĕgō | tĭīs. (
Horace
, Épode II, vers 1.) où il est mêlé à d’autres pi
rement des ïambes, Ex. Aūt prē|ssă pū|rīs mē|liă cōn|dĭt ām|phŏrīs. (
Horace
, Épode II, vers 15.) Prosodie grecque Il e
nt joui de ces libertés, et l’on peut leur appliquer à ce sujet ce qu’
Horace
disait des conceptions poétiques :
Pictoribus atque poetis Quidlibet audendi semper fuit æqua potestas. (
Horace
, Art poétique, vers 9 et 10.) Enjambement
erruit Orpheus. Dictus ob hou lenire tigres rabidosque leones ; etc. (
Horace
, Art poétique, v. 391 et suiv.) Pleine de patrio
t d’Ovide. Religieuse et morale dans la partie officielle de celles d’
Horace
, elle chante aussi quelquefois avec lui Bacchus e
inutieuses des rhéteurs ; règles de bon sens et de goût ; préceptes d’
Horace
et de Boileau ; merveilleux païen et chrétien
assant quelques règles générales dictées par le bon sens et le goût.
Horace
dit que le poète épique doit chanter, comme l’a f
torze vers (de 160 à 334), où il a réuni et développé les préceptes d’
Horace
. Il recommande d’abord la grandeur et l’intérêt d
eur et de la force. Voir les règles et caractères de la tragédie dans
Horace
(Art poétique du vers 153 au vers 309), — dans Bo
médies de nos jours. Voir les règles et caractères de la comédie dans
Horace
(Art poétique, du vers 153 au vers 309, passim),
oétique (v. 61 et suiv.), Boileau a résumé en quelques vers, imites d’
Horace
, l’histoire incomplète et inexacte de la poésie d
ce Dieu, y était immolé en son honneur, et non, comme l’ont prétendu
Horace
et Boileau, parce que cet animal était le prix du
x et Jours Phénomènes et pronostics Lucrèce. Louis Racine. Virgile.
Horace
; Boileau. Berchoux. Hésiode. Aratus. Poème
ple que celui de Lucrèce, a rendu hommage à son maître. En même temps
Horace
, dans son Épître aux Pisons, plus familière que d
e, dans celui qu’il écrivit sur la Loi naturelle et dans son Épître à
Horace
, montrent, l’un une correction élégante, mais fro
familière ou badine, philosophique ou historique. (Ex. les Épîtres d’
Horace
et de Boileau.) 4° Satire La satire (satura
la satire prend le ton enjoué et légèrement moqueur, — (Ex. Satires d’
Horace
et de Boileau) — ou la voix plus ample de l’indig
la poésie, et en particulier la Poétique d’Aristote, l’Art poétique d’
Horace
et celui de Boileau, cités dans l’Histoire abrégé
, thèse, in-8, 1832 ; A. Nisard : Examen des Poétiques d’Aristote, d’
Horace
et de Boileau, thèse, in-8, 1845 ; P. Albert : L
poésie. Sic honor et nomen divinis vatibus atque Carminibus venit. (
Horace
, Art poétique, vers 400.) Chez les Grecs, l’Ilia
té du succès et celle de l’usage qui fait loi, suivant l’expression d’
Horace
. Ex. George Dandin, — L’Avare de Molière ; — Turc
crite, dans le genre pastoral, et surpassa Hésiode dans le géorgique.
Horace
perfectionna le lyrique, en réunissant l’enthousi
lus heureuse. Perse, et bientôt après, Juvénal marchant sur les pas d’
Horace
, lancèrent avec vigueur les traits de la satire c
icéron en avaient donné à l’éloquence profane. Boileau suivit de près
Horace
, et laissa derrière lui Perse et Juvénal. Madame
uèrent dans le genre historique. Rousseau tira de la lyre des sons qu’
Horace
et Pindare n’eussent point désavoués. Destouches
s durs. 2. Linquenda tellus, et domus, et placens Uxor, avait dit
Horace
, avec le même accent de mélancolie. Od., II, 11.
it le plus satisfait. 5. Heureuse imitation de l’imperiosius œquor d’
Horace
, Od., I, 12, 8 (édition classique). 6. Au lieu
taine, dans plusieurs de ses fables. 1. Cf. Virgile, Én., II, 304 ;
Horace
, Od., IV, 1,5. 2. Voy. sur cette révolte des Ti
ses Mimes : Fortuna vitrea est : tum quum splendet, frangitur. Cf.
Horace
, Sat., II, 3, 283 ; et Corneille, dans Polyeucte
ouvons citer en ce genre les Géorgiques, de Virgile, l’Art poétique d’
Horace
, celui de Boileau, etc. Ainsi, le devoir de l’écr
es de présenter les préceptes. Le plus souvent, on suit cette règle d’
Horace
: Quidquid præcipies, esto brevis. C’est la bri
ns ce genre. Cette brièveté, quand elle est jointe à la clarté, comme
Horace
le suppose, a plusieurs avantages. On saisit mieu
auteur des Phénomènes célestes ; chez les Latins, Lucrèce, Virgile et
Horace
; enfin, chez les modernes, Vida, Boileau, Dufres
commencement et la fin au milieu, d’après le précepte d’Aristote et d’
Horace
. Or, le poème descriptif est loin de briller par
ans chercher à le sonder : Circum præcordia ludit. C’est le genre d’
Horace
, qui se contente de plaisanter et do ridiculiser
e bon ton ! Nous citerons en ce genre les satires sur la noblesse, d’
Horace
, de Juvénal et de Boileau. Celle de ce dernier su
u vers de huit avec croisement de rimes. Ce mètre répond à l’allure d’
Horace
dans son ode sur les discordes civiles de Rome. I
rs de la paix et des agréments de la campagne ; il a, à l’imitation d’
Horace
, développé dans un style noble et plein de dignit
ns, pourvu que tout y soit exprimé avec grâce, comme dans la lettre d’
Horace
à Mécène, I, 7. Boileau, dans sa vie Épître, opp
ce genre était cultivé chez eux. Chez les Latins, nous mentionnerons
Horace
, qui nous a laissé des épîtres philosophiques rem
e vous un fils qui me ressemble ! Celui-ci est pris de la tragédie d’
Horace
, C’est Camille qui parle à Horace son frère. Rom
Celui-ci est pris de la tragédie d’Horace, C’est Camille qui parle à
Horace
son frère. Romeb, l’unique objet de mon ressenti
Qui ne sent que ce moi est le sublime du courage ? Dans la Tragédie d’
Horace
, le Héros de la pièce ayant été nommé avec ses de
s trois guerriers qu’Albe doit choisir, Curiace, Albain, beau-frère d’
Horace
, dont il doit même épouser la sœur, lui dit : Qu
s pleurs à répandre : De tous les deux côtés mes désirs sont trahis.
Horace
lui répond : Quoi ! vous me pleureriez mourant p
s trois Curiaces, mais qui n’en avait pas vu la fin, annonce au vieil
Horace
, que deux de ses fils ont été tués, et que le tro
lui dit alors : Que vouliez-vous qu’il fit contre trois ? Le vieil
Horace
lui répond : Qu’il mourût. Voilà, dit Voltaire
cette dernière image a été imitée d’Homère. On la retrouve aussi dans
Horace
et dans Ovide. Le premier dit que Jupiter qui si
s’en est tenu au signe de tête ; Ovide à l’agitation des cheveux ; et
Horace
au mouvement des sourcils. Bossuet présente une
ion de morale, de littérature ou quelque grande passion. Par exemple,
Horace
, dans son Épître à Auguste, défend les poètes de
ression méthodique des idées et à la marche régulière de la raison92.
Horace
avait donné d’excellents modèles en ce genre ; Bo
au vice et au scandale ; c’est celle de Juvénal : l’autre est celle d’
Horace
, qui prend plutôt pour sujet les travers et les r
ymétriser entre eux, comme on voit qu’ils symétrisent dans les odes d’
Horace
. Après eux vint Lucilius ou Lucile, qui florissai
; il fixa l’état de la satire, et la présenta telle que l’ont donnée
Horace
, Perse et Juvénal, et telle que nous la connaisso
uger de sa valeur. Après Lucile vinrent les autres satiriques latins,
Horace
, Perse et Juvénal, que Boileau a si bien caractér
que Boileau a si bien caractérisés par ces vers de l’Art poétique :
Horace
à cette aigreur mêla son enjouement. On ne fut pl
e de la satire. On peut dire qu’il réunit la finesse et la légèreté d’
Horace
, la sagesse et la raison de Perse, la force et la
er des sentiments de tendresse et même de joie. « La plainte, suivant
Horace
, fut d’abord renfermée dans l’élégie ; ensuite l’
s chansonniers ou auteurs de pièces fugitives que parmi les lyriques.
Horace
, le premier et le seul des Latins qui ait réussi
at., X, 4, nº 61. 116. Batteux, Caractère de Pindare. 117. Batteux,
Horace
. 118. Batteux, Malherbe. 119. Batteux, Rousseau
tentit encore des acclamations qu’excitèrent à leur naissance le Cid,
Horace
, Cinna, Pompée, tous ces chefs-d’œuvre représenté
n matière : « Pourquoi, dit-il, Homère, Théocrite, Lucrèce, Virgile,
Horace
, sont-ils heureusement traduits chez les Italiens
x, il devint le poète de la raison : — il égala et surpassa peut-être
Horace
dans la morale et dans l’art poétique. Vous eûtes
l’a été, en anglais, par Pope ; Virgile, par Dryden, Pitt et Warton ;
Horace
, par Francis ; Lucrèce, par Creech ; Lucain, par
de l’élégance et de l’agrément à cette autre pensée, déjà relevée par
Horace
, et qui est très commune : Le chagrin nous suit p
riture en parlant d’Alexandre. Scandit æratas vitiosa naves cura.
Horace
, livre II, 15. Post equitem sedet atra cura. H
a naves cura. Horace, livre II, 15. Post equitem sedet atra cura.
Horace
, livre III, 1. Le chagrin monte en croupe et ga
e ne donnent pas du caractère inflexible de Caton les vers suivants d’
Horace
! Et cuncta terrarum subacta, Præter atrocem ani
naissance dans le cœur ou la volonté plutôt que dans l’intelligence.
Horace
, dans le vers suivant, ne sépare pas ces deux élé
-je, et c’est assez… C’est là le sublime du courage. On dit au vieil
Horace
, indigné que son fils eût pris la fuite : Que vo
e vaste Olympe en est ébranlé . Cette image a été imitée par Virgile,
Horace
, Ovide, et André Chénier dans son idylle de l’Ave
st Jovis Clari Giganteo triumpho Cuncta supercilio moventis.
Horace
. Terrificam capitis concussit terque quaterque
’affectation et de recherche, elles ne peuvent être risquées, d’après
Horace
et Quintilien, qu’autant qu’elles sont autorisées
and on ne dit pas ce qu’il faut. Il n’y a alors ni clarté ni intérêt.
Horace
signale ce défaut, dans son Art poétique : Decip
tĭnĕ | ānt ŏnŭs Sylvæ laborantes, etc. Hor. La strophe alcaïque, qu’
Horace
affectionnait, se compose de quatre vers ; seulem
un dactyle et un spondée. Fūscĕ phă | rētrā. La strophe saphique, qu’
Horace
aimait de préférence, comprend trois vers saphiqu
ĕque | aūrĕ | um Mea renidet in domo lacunar. Hor. Ce vers, auquel
Horace
s’est astreint, admet, chez d’autres poëtes, le s
amp de bataille, formule dans l’Art poétique (1674), sous la dictée d’
Horace
, dont il n’a pas la grâce, ces lois éternelles du
e Gangantua, dans Rabelais. Boileau s’eu est évidemment inspiré. 2.
Horace
, Art poétique, vers 156. Voici les vers de Mathur
e peinture du jeune homme, Boileau écarte quelques traits fournis par
Horace
, vers 161. Il en ajoute qui sont bien français ;
qui se mette de plain pied en conversation avec moi. » (Fénelon.) 1.
Horace
l’a dit en latin avant Boileau. Il y a des emprun
» (La Buyère. Ouvrages de l’Esprit.) 3. Comparez à l’Art poëtique d’
Horace
. 1. Le goût et la conscience ne font qu’un : le
e aveuglément tous les néologismes, et veuille être plus classique qu’
Horace
lui-même. On sait ce qu’il dit du néologisme dans
aut, retenez ces deux conditions, il a recours au néologisme. Mais si
Horace
met Virgile sur la même ligne que Plaute, dans la
ffet le plus d’idées neuves, usent rarement de la faveur accordée par
Horace
, et peut-être est-ce pour cela même que les mots
téraires n’accordent point cette faveur sans condition. Je ne sais si
Horace
pardonnait à Plaute les scènes en patois carthagi
l n’est pas de sujet qu’elle ne puisse faire entrer dans son domaine.
Horace
, dans une épitre à Auguste, développe d’excellent
par la délicatesse et la grâce25. 25. Auteurs d’épîtres : Latins.
Horace
, Ovide. Français. Marot, Boileau. Voltaire, Gress
e, plutôt qu’avec le mot auquel il se rapporte en effet. Ainsi lorsqu’
Horace
a dit : Ut daret catenis Fa
bien commune. Voyez quelle noblesse elle emprunte de ces beaux vers d’
Horace
, imités par Malherbe : Pallida mors æquo pulsat
e aux barrières du Louvre N’en défend pas nos rois30.
Horace
, voulant représenter cette même pensée dans un au
lentes habitant Morbi, tristisque Senectus. (Virg.) Pallida Mors. (
Horace
). La fontaine Pyrène, consacrée aux Muses, la mor
tragédie sur les guerres civiles dont Rome venait d’être le théâtre.
Horace
lui dit à ce sujet : Motum ex Metello consule c
scours l’image dont on a emprunté les expressions. C’est ce qu’a fait
Horace
dans l’ode 14 du livre premier, où il considère l
uvre et le palais des rois, œquo pulsat pede ! Je ne retrouve point
Horace
dans les vers de Malherbe, et je n’y vois que la
faded, By envy’s hand, and murder’s bloody ax. 38. Cicéron, comme
Horace
, compare souvent la république à un vaisseau agit
et de Racine, après avoir déjà marché, non sans succès, sur celles d’
Horace
et de Virgile. Le rejet, ou enjambement, un des p
Grâces dictés, Ne quittent point vos mains, jour et nuit feuilletés.
Horace
, Art p., v. 268 : Vos exemplaria groeca Nocturna
pas d’autres rimes en ommes. 7. Souvent, d’après Boileau ; —
Horace
avait dit : « Quand on manque d’art, » In vitiu
In vitium ducit culpœ fuga, si caret arte. (Art p., v. 31 ) 8.
Horace
, Art p., v. 351. — Dès que le nombre des beautés
vie littéraire, Boileau a les plus grands traits de ressemblance avec
Horace
. Tous deux ont écrit des satires, des épîtres et
Tous deux ont écrit des satires, des épîtres et un art poétique. Mais
Horace
a, de plus, ses odes ; Boileau, son Lutrin. Horac
art poétique. Mais Horace a, de plus, ses odes ; Boileau, son Lutrin.
Horace
, peu habile à faire l’hexamètre, a composé les ve
bservation dans la Rhétorique, III, 7 cf. Physiognomonica, chap. iv
Horace
, Art poétique, v. 101-113 etc. Nature facile.] S
du beau il lui fallait ce grand cœur d’où est sorti le mot du vieil
Horace
. » (V. Cousin, Cours d’Hist. de la Philos. mod.,
la richesse altière, Et l’honnête homme à pied du faquin en litière.
Horace
à cette aigreur mêla son enjouement : On ne fut p
: Grecs. Archiloque, Aristophane. Latins. Pacuvius, Ennius, Lucilius,
Horace
, Perse, Juvénal. Français. La satire Ménippée (pr
En faisant ces vers, il pensait manifestement à Pope1, à Despréaux, à
Horace
, leur maître à tous. Cette théorie a du vrai, si
e. Non loin de lui, et avec le regret d’être séparé d’un ami si cher,
Horace
présiderait à son tour (autant qu’un poëte et qu’
aire dans ces vers délicieux : Jouissons, écrivons, vivons, mon cher
Horace
! …………… J’ai vécu plus que toi ; mes vers dureron
mme on boit d’un vin vieux qui rajeunit les sens. Enfin, que ce soit
Horace
ou tout autre, quel que soit l’auteur qu’on préfè
avec l’habilité de Molière ; il sait prendre dans l’occasion le ton d’
Horace
, et mêler l’ode à la fable ; il est à la fois le
4. C’est le même accent que celui de Virgile. (Géorg., II, v. 488.)
Horace
se reconnaîtrait aussi dans ces vers délicieux.
rouvé dans ses paysages la grâce, l’émotion, l’accent de Virgile et d’
Horace
. Il a été sensible même à l’humble beauté d’un po
du cœur. 1. Quittez le long espoir, etc., imitation de ce vers d’
Horace
, Vitæ summa brevis spem nos vetat inchoare longa
e dans le vitæ plenus conviva, de Lucrèce, et dans le conviva satur d’
Horace
. Au banquet de la vie, infortuné convive, J’appa
ui est restée dans endormir, enfuir, enflammer. 1. Il faut lire dans
Horace
le récit de la scène entre l’avocat Philippe et V
de génie, tout est l’ouvrage de l’instinct. Corneille fit la scène d’
Horace
et de Curiace comme un oiseau fait son nid, à cel
t. Lisez-le, et dites si Anacréon a su badiner avec plus de grâce, si
Horace
a paré la philosophie et la morale d’ornements po
scène française, aux applaudissements de la postérité, en compagnie d’
Horace
, de Cinna, de Polyeucte et de Pompée. A partir de
ort mesme. 5. Dans Géronte, comme dans don Diègue et dans le vieil
Horace
, l’amour paternel se montre mêlé de tendresse et
cœur sans l’étouffer. Il y a, entre Géronte et don Diègue ou le vieil
Horace
, les différences qui séparent les personnages com
« L’honneur dans don Diègue, comme l’amour de la patrie dans le vieil
Horace
, fait taire l’amour paternel sans l’étouffer. Don
’a pas le temps d’éprouver les alarmes qui troublent le cœur du vieil
Horace
, et qui trahissent malgré lui sa tendresse patern
ppas Dans ce bruit glorieux que laisse un beau trépas. Venez au vieil
Horace
apporter votre offrande : Venez, jeunes beautés,
e, l’histoire de Joseph, dans la Bible ; les Satires et les Épîtres d’
Horace
; les comédies de Térence ; les Commentaires de C
es, de Xénophon, de Sophocle, de Virgile, de Cicéron, de Tite-Live, d’
Horace
, de La Fontaine, de Jean Racine, de Fénelon, de F
oses agréables ; c’est la réunion du molle atque facetum dont parle
Horace
; c’est, pour ainsi dire, la perfection de l’art,
créon, Théocrite, Bion, Moschus, Catulle, Properce, Tibulle, Virgile,
Horace
, Ovide, La Fontaine, Racine, Hamilton, Voltaire,
ons Homère, Sophocle, Pindare, Platon, Démosthènes, Cicéron, Virgile,
Horace
, saint Basile, saint Jean Chrysostome, Corneille,
m et tenacem…, et le départ de Régulus : Fertur pudicæ conjugis…, par
Horace
; le discours du paysan du Danube, par La Fontain
dele me de libro tuo quem scripsisti. C’est par une pensée hardie qu’
Horace
nous peint le chagrin poursuivant sa victime : P
cle. On voit encore de la dureté dans le patriotisme sauvage du jeune
Horace
, qui s’écrie : Avec une allégresse aussi pleine
ponse de Curiace : Je vous connais encore, et c’est ce qui me tue. (
Horace
, acte II, sc. iii.) 63. La pensée sublime présent
se humaine une constance en quelque sorte divine. On demande au vieil
Horace
comment il voulait que son fils pût résister à tr
ois adversaires ; Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ? Le Vieil
Horace
.
rares, prudentes, heureusement choisies. Mais pourtant, comme le dit
Horace
, on ne peut pas interdire à un écrivain les légit
des alliances heureuses ou imprévues. C’est le résumé des conseils qu’
Horace
a donnés sur cette matière. Dixeris egregie, nol
que l’usage n’a pas consacrés. Cette intolérance a été condamnée par
Horace
et toujours combattue par les grands écrivains. J
et n’y atteignent presque jamais. C’est une observation présentée par
Horace
: Ut sibi
lle de Tobie dans nos saintes Écritures, les Satires et les Épîtres d’
Horace
, la première Églogue de Virgile : et parmi les au
d’argent, aller à cheval sur un bâton. Equitare in arundine longâ. (
Horace
.) 178. L’antonomase (ἀντὶ, pour, ὄνομα, nom) cons
ns la satire de Boileau sur la noblesse, et dans le discours du vieil
Horace
défendant son fils condamné à mort. Tite Live et
s moyens sur lesquels on veut insister. Valère dit en plaidant contre
Horace
: Je pourrais ajouter aux intérêts de Rome Combi
rneille.) On peut voir dans Athalie les imprécations de Joad, et dans
Horace
celles de Camille. (Voir le nº vii.) 219. La pros
niquement à ces pages inspirées que nous transporterons ce précepte d’
Horace
: Vos exemplaria sacr
sans trop de peine qu’il n’était qu’un gueux revêtu des dépouilles d’
Horace
. 282. L’imitation est très utile et suffit quelq
ns même qui présenteraient quelque chose d’irrégulier et d’incorrect.
Horace
et Boileau nous ont laissé sur ce point des conse
le et corrigez tout ce qu’il aura blâmé. Cet Aristarque, dont parlent
Horace
et Boileau, est nécessaire à tout âge. Les esprit
unité et la variété. Denique sit quodvis simplex duntaxat et unum. (
Horace
.) 310. La clarté consiste à mettre dans tout son
t pas. Nous avons déjà remarqué qu’on trouve moins d’inspiration dans
Horace
et les modernes que dans Pindare et les autres ly
ujet qu’il traite, soit pour l’embellir, soit pour le féconder. Ainsi
Horace
, à propos du voyage que Virgile doit entreprendre
raît s’en éloigner davantage. C’est ce qu’on remarque dans les odes d’
Horace
: Justum et tenacem… Cælo tonantem, et plusieurs
eux ; mais ces chants nous sont à peu près inconnus. Parmi les odes d’
Horace
, on peut considérer comme une ode sacrée le poème
genres : c’est à ce genre qu’appartiennent les odes de Pindare. Dans
Horace
, les plus belles du troisième livre ont aussi le
C’est ce qui donne à ses chants quelque chose d’imposant et de sacré.
Horace
ne puise d’inspiration que dans les impiétés et l
est bon, c’est-à-dire dans la vertu, dans la convenance et la vérité.
Horace
, dont la philosophie n’est souvent que l’apologie
oésie. Malheureusement les odes de ce poète et la plupart de celles d’
Horace
ne célèbrent que de honteuses et coupables volupt
, Job et David ; chez les Grecs, Alcée, Tyrtée, Simonide et Pindare ;
Horace
, chez les Latins ; chez les Français, Malherbe, R
e simple, courte, sans pompe et sans affectation, selon le précepte d’
Horace
et de Boileau. Ce n’est autre chose que le titre
x et les Jours d’Hésiode, les Géorgiques de Virgile, l’Art poétique d’
Horace
et celui de Boileau, la Religion de Racine fils,
e et la solidité des idées, par la concision et la rapidité du style.
Horace
et Boileau nous offrent sur ce point d’assez bons
i les élégies, l’Églogue de Virgile sur la mort de Daphnis et l’Ode d’
Horace
sur la mort de Quinlillius. 575. Notre grand sièc
le ton de l’ode héroïque ? 436. Les chants héroïques de Pindare et d’
Horace
sont-ils également religieux ? 437. Qu’est-ce que
das, poète ; Dorante, Uranie. LYSIDAS. Ceux qui possèdent Aristote et
Horace
voient d’abord que cette comédie39 pèche contre l
observations les fait fort aisément tous les jours sans le secours d’
Horace
et d’Aristote. Je voudrais bien savoir si la gran
ivains du siècle de Louis XIV. Celui-ci244 passe Juvénal, atteint
Horace
, semble créer les pensées d’autrui et se rendre p
e j’envie le bonheur de ceux qui sont dans cet autre lieu dépeint par
Horace
: Qua pinus ingens albaque populu
l’Énéide est sublime, le quatrième a plus de grâces. Quelques odes d’
Horace
respirent les grâces, comme quelques-unes de ses
ier rang, à juste titre, dans la mémoire des hommes. La belle scène d’
Horace
et de Curiace, les charmantes scènes du Cid, une
e temps, quelle succession de chefs-d’œuvre, consacrée par les noms d’
Horace
, de Cinna, de Polyeucte, de Pompée, de Rodogune.
remises aux mains des trois Curiaces et des trois Horaces : le vieil
Horace
encourage ses enfants au combat. Acte II, scène
e encourage ses enfants au combat. Acte II, scène VII. Le vieil
Horace
; Horace, son fils ; Curiace, amant de Camille ;
ge ses enfants au combat. Acte II, scène VII. Le vieil Horace ;
Horace
, son fils ; Curiace, amant de Camille ; Sabine, f
race ; Horace, son fils ; Curiace, amant de Camille ; Sabine, femme d’
Horace
et sœur de Curiace ; Camille, amante de Curiace e
me d’Horace et sœur de Curiace ; Camille, amante de Curiace et sœur d’
Horace
. LE VIEIL HORACE. Qu’est ceci, mes enfants477 ? é
attre ; et nous, allons mourir. Acte II, scène VIII. Le vieil
Horace
, Horace, Curiace. HORACE. Mon père, retenez des f
et nous, allons mourir. Acte II, scène VIII. Le vieil Horace,
Horace
, Curiace. HORACE. Mon père, retenez des femmes qu
yeux : Faites votre devoir, et laissez faire aux dieux480. Le vieil
Horace
reçoit une fausse nouvelle, qui lui fait croire q
que ses enfants ont été vaincus. Acte III, scène VI. Le vieil
Horace
, Sabine, Camille, Julie. LE VIEIL HORACE. Nous ve
neur de toute notre race, Et l’opprobre éternel qu’il laisse au nom d’
Horace
. JULIE. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ?
Nul n’a fait davantage éprouver au lecteur cette illusion dont parle
Horace
. À voir ces vers pleins d’aisance, qui n’ôtent à
moi tous ces rats du Parnasse ; Jouissons, écrivons, vivons, mon cher
Horace
. J’ai déjà passé l’âge où ton grand protecteur, A
ait changé. Profitons bien du temps810 ; ce sont là tes maximes. Cher
Horace
, plains-moi de les tracer en rimes : La rime est
carcan de pierreries. 6. C’est à peu près ce que dit le marchand d’
Horace
(Satires I, 1) quand il fait l’éloge de la vie mi
é avec une ferme précision le caractère des jeunes gens. Voyez encore
Horace
, Art poétique, v. 161 et suiv., et le morceau de
» Inst. or., X, 5. 188. C’est-à-dire avec caprice et passion… 189.
Horace
dit aussi en parlant de ces esprits médiocres (Ép
, ne procure à l’esprit du lecteur plus de ces agréables surprises qu’
Horace
recommande à l’écrivain de chercher et qu’il sait
n’était autre que l’élève de Fénelon, le duc de Bourgogne. 261. Cf.
Horace
, Art poét., v. 447. 262. On peut rapprocher ce p
mot doit mûrir sur l’idée, Et puis tomber comme un fruit mûr. 269.
Horace
, Art poét., v. 365. 270. Tandis que les Dialogue
la forme a plus ingénieuse, offre les conseils les plus sensés. 356.
Horace
. Art poét., v. 11. 357. Voltaire parle de sa tra
ieu. » (Génie du Christianisme, 1re partie, 5e livre.) 372. De même
Horace
, parlant, dans l’Art poétique, des grands travaux
adis, soit en Espagne, soit en France. 435. Ce trait est emprunté à
Horace
, Od., III, 3 : Quos inter Augustus recumbens Pur
xpressions vives et fortes. » A. C. — On reconnaît là des souvenirs d’
Horace
, Epod., VII : ………………………… Sua Urbs haec periret d
. 451. « Cela est charmant et d’une poésie exquise. » A. C. — Cf.
Horace
, Od., I, xi, 7. 452. « Belle tournure. » A. C.
nse, c’est toute la scène, c’est la gradation des sentiments du vieil
Horace
, et le développement de ce noble caractère, dont
cœur du second se réfugie. La grande beauté de ce caractère du vieil
Horace
, c’est qu’au patriotisme romain, qui lui fait pré
pare ce qui doit suivre. » (Voltaire.) — « Les trois premiers actes d’
Horace
, pris séparément, sont peut-être, malgré les impe
, le pinceau de Corneille se montre dans cette pièce le même que dans
Horace
, et l’ordonnance du tableau est cette fois bien s
latinisme, ou plutôt forme négligée. 501. Non omnis moriar, a dit
Horace
; et Racine, d’après ce double exemple : Ne lais
’expose ici mon âme toute nue. Ce sens figuré nous vient des Latins.
Horace
a dit, Od., I, 24 : Iccorropta fides, nudaque ve
em fructum capis Hoc ex labore ? quodve tantum est præmium ? 564.
Horace
avait dit, Od., I, 4 (cf. ibid., 11) : Vitæ summ
st point né pour les vastes désirs. 565. C’est le pallida mors d’
Horace
. Od., I, 4. 566. Cicéron : de la Vieillesse, ch
tions, qui caractérisa en effet la philosophie d’Aristote. 647. Cf.
Horace
, ode III du livre III, v. 1 et suiv. : Justum et
de la page 171 du même recueil. 671. Célèbre comédienne. 672. Cf.
Horace
, ode XVIII du livre III, v 31 : Virtutem incolum
e passage aux éditions spéciales de Boileau. Le mouvement est imité d’
Horace
(liv. I, sat. X, v. 78) : Men’ moveat cimex Pant
gnaler chacune de ces imitations, où il s’est souvent montré l’égal d’
Horace
, où quelquefois il lui a été supérieur. On les tr
e, principalement à la fin, de nobles accents et de beaux vers. 699.
Horace
, Art poétique, v. 240 et suiv. 700. Les comparai
celui qui, rougissant de son père, honnête artisan, ne sut pas, comme
Horace
son maître, être un bon fils ? En cela, J.-B. Rou
. C’est le μάντις, le vates des anciens ; le mouvement est emprunté d’
Horace
, Od., III, 3, 9. 763. Il faut voir l’aventure d’
célèbre de Pope pour le jour de Sainte-Cécile. 764. C’est ainsi qu’
Horace
s’adressait à Mécène, Od., I, 1 : O et præsidium
pour ses jours, n’est pas exempte de recherche et d’embarras. 768.
Horace
commence à peu près ainsi l’une de ses odes (IV,
. Le dernier vers cité n’est guère, il est vrai, qu’une traduction d’
Horace
, Épît., I, 10, 24. 789. C’est que Lycandre s’es
int souvent à l’éclat des vers. 801. 1771. « C’est dans son épitre à
Horace
et dans ses stances à Mme du Deffand, dit M. Vill
Le Capitole est détruit et la voix du temps chante encore les vers d’
Horace
. » 803. Ces trois avantages ont justement répan
ces de théâtre. 807. Voltaire avait alors soixante-dix-huit ans ; et
Horace
n’en avait que cinquante-sept au moment où- il te
ant à Auguste, il mourut dans sa soixante-seizième année. 808. Voy.
Horace
à la fin de la première de ses Satires, liv. I, v
Genève et avait eu le titre de premier médecin du régent. 810. Voy.
Horace
, Od., I, 8 et 10 : Quem fors dierum cumque dabit
Sainte-Beuve dans un article sur La Harpe, avait adressé une Épître à
Horace
dont tout le monde sait les derniers vers délicie
le monde sait les derniers vers délicieux : La Harpe fit la Réponse d’
Horace
; mais, en faisant parler l’aimable Romain, il se
ntum templa serena. 845. Cf. le début de la VIe satire (liv. II) d’
Horace
. 846. Voilà dans la poésie française un accent t
le a su tirer d’une seule phrase de Tite-Live. Il s’agit de la sœur d’
Horace
, qui, à l’aspect des dépouilles de son amant tué
raiment surpassé lui-même, c’est dans le personnage héroïque du vieil
Horace
défendant son fils ; et pour cela il a suffi au p
mençons par en donner une idée dans l’auteur original. C’est le vieil
Horace
qui parle : 75 « Hunccine, quem modò decoratum
icii vindicent » ? Écoutons maintenant Corneille, ou plutôt le vieil
Horace
lui-même : il s’adresse à Valère qui poursuivait
il s’adresse à Valère qui poursuivait avec acharnement l’exécution d’
Horace
. Dis, Valère, dis-nous, si tu veux qu’il périsse
Grèce et de Rome, et dont on trouve si fréquemment des exemples dans
Horace
. Voyez, dans la belle ode Æquam memento rebus in
e surmonter ! Qui ne serait tenté de s’écrier, avec un commentateur d’
Horace
(Lambin), que de pareils vers ne sont pas d’un ho
les vers suivants : Oh ! que plus varié, moins vague en sa peinture,
Horace
nous décrit en vers délicieux Ce pâle peuplier, c
ure ou l’art ? La question n’est pas d’hier. C’est la même que posait
Horace
à propos de la poésie : Natura fieret laudabile
Et aujourd’hui, comme alors, l’unique réponse péremptoire est celle d’
Horace
, quand il exige la collaboration, pour ainsi dire
le travail, et un travail obstiné, point d’écrivain. On sait combien
Horace
appuie sur cette idée dans son Art poétique. Un v
tentit encore des acclamations qu’excitèrent a leur naissance le Cid,
Horace
, Cinna, Pompée, tous ces chefs-d’œuvre représenté
ui d’avoir produit Auguste ne se glorifie guère moins d’avoir produit
Horace
et Virgile. Ainsi, lorsque, dans les âges suivant
Racine disait à son fils, en lui développant les beautés du Cid et d’
Horace
: « Corneille fait des vers cent fois plus beaux
et libre. De ces sublimes hauteurs, elle descendit avec Alcée, Sapho,
Horace
et plus tard les modernes, à l’expression de l’am
appareil des peintures, écueil des esprits médiocres. Épître. — Avec
Horace
et Boileau, la poésie didactique exprime dans l’é
forte raison dans un mot ou dans un cri du cœur. La réponse du vieil
Horace
est le sublime de cette éloquence. Que vouliez-v
ntausier, et d’une armée, dans l’Oraison funèbre de Turenne. Le vieil
Horace
, dans le procès de son fils, définit le crime en
Autrement, où trouver plus d’exemples, et de plus frappants, que dans
Horace
et Cinna, Iphigénie et Athalie ? D’après cette ét
Racine, expression idéale de toutes les passions humaines ? Chimène,
Horace
, Émilie, Polyeucte, Hermione, Mithridate, Agrippi
et partir du cœur, on sait le vers de Boileau traduit littéralement d’
Horace
: Pour me tirer des pleurs, il faut que vous ple
ans la famille même. On sait avec quelle simplicité héroïque le vieil
Horace
engage Camille à se consoler de la mort de son am
rir au hasard les chefs-d’œuvre des poëtes, d’entendre Camille devant
Horace
: Donne-moi donc, barbare, un cœur comme le tien
des femmes : « Arnolphe ne donne-t-il pas trop librement son argent à
Horace
? Et puisque c’est le personnage ridicule de la p
s parties de la question ont été omises. Le brillant dilemme du vieil
Horace
défendant son fils pèche par un vice de ce genre.
in de sa vaillance et de notre bonheur ? Il est cependant un lieu où
Horace
peut subir le supplice : c’est celui où il a tué
acte II, sc. vi. Quoi ! vous me pleureriez, mourant pour mon pays ?
Horace
, acte II, sc. i. Mes ordres n’ont encore assassin
Qui fait choir les méchants sous la main d’un bourreau ? Corneille,
Horace
, acte V, sc. iii. Plusieurs figures se rattachen
. iv. Trop faible pour eux tous, trop fort pour chacun d’eux. Id.,
Horace
, acte IV, sc. ii. Livre en mes faibles mains se
attendait à mieux, Et montrait un goût dédaigneux Comme le rat du bon
Horace
. La Fontaine, liv. VII, fab. iv. L’allusion ne
yeux Ce grand et rare exploit d’un bras victorieux, etc. Corneille,
Horace
, acte IV, sc. ii. Je ne vous dirai point combie
de temps, quelle succession de chefs-d’œvre, consacrée par les noms d’
Horace
, de Cinna, de Polyeucte, de Pompée, de Rodogune !
m., lib. I, v. 185. 1. Corneille s’est encore servi de ce mot dans
Horace
, et Voltaire l’en félicite avec raison : « Ce ter
professeur compare entre eux les personnages de don Diègue, du vieil
Horace
, et de Géronte dans le Menteur. 1. Chef était a
familier, c’est que le sujet qu’il traite l’oblige d’élever la voix.
Horace
a autorisé cette liberté dans son Art poétique :
2. On voit ici, dit Voltaire, « la même main qui peignit le vieil
Horace
et D. Diègue. Il n’est point de père qui ne doive
mirer leurs attraits. Térence est dans mes mains ; je m’instruis dans
Horace
; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse.
pprocher de ce passage l’aventure de Philippe et de Ména racontée par
Horace
, Epit., I, 7 : Strennus et fortis, causisque Phi
XIV, dirigea la belle collection des classiques ad usum Delphini. 2.
Horace
avait ainsi parlé des imitateurs, Ep., I, 19, v.
y, puis prévôt de la connétablie de France, qui traduisait ou imitait
Horace
, qui lit une ode sur la mort de Ronsard et reçut
u que, sans suivre la trace (Comme font quelques uns) d’un Pindare et
Horace
. Et sans vouloir, comme eux, voler si haultement,
compte avant celui de Boileau : comme Boileau il y met judicieusement
Horace
à contribution. Partout son style, encore qu’un p
a satire apologétique (XIe), sa satire littéraire (IXe) ; il a, comme
Horace
, sa Satire du Fâcheux (VIIIe), comme Horace et Bo
raire (IXe) ; il a, comme Horace, sa Satire du Fâcheux (VIIIe), comme
Horace
et Boileau, son Repas ridicule (Xe), comme Juvéna
e railleur qui voudrait bien suivre la trace de Juvénal et qui trouve
Horace
« trop discret » (Sat. Ire), a plus dune fois une
tilhomme campagnard et a aimé les champs ailleurs que dans les vers d’
Horace
qu’il traduisait. Des Périers Les roses
ié son nom à celui de Malherbe. Le premier a dit : Ces deux rivaux d’
Horace
, héritiers de sa lyre, Disciples d’Apollon, nos m
n vers, a mis Racan dans le voisinage ’Homère, a mis Voiture à côté d’
Horace
(Sat. IX, 1669), et, une autre fois, à côté de Ma
Richelieu. Il les réduisit au silence par de nouveaux chefs-d’œuvre :
Horace
(1640), Cinna (1640), Polyeucte (1640). Monté à c
es de l’histoire romaine. Pour ne parler que des plus significatives,
Horace
représente le patriotisme sous les rois ; Nicomèd
iste 829 Quarante ans après (1676). Au Roi. Sur Cinna, Pompée,
Horace
, Sertorius, Œdipe, Rodogune, qu’il a fait représe
plaisir à me ressusciter ; Qu’au bout de quarante ans, Cinna, Pompée,
Horace
, Reviennent à la mode et retrouvent leur place, E
rot et Rabelais), et, plus haut encore, le « bon Platon » et « le bon
Horace
. » Ainsi s’est formé, de son propre fond d’abord
est la nature même. Il charme l’enfant, il fait réfléchir l’homme. Si
Horace
est le livre de tous les sages, La Fontaine est l
mirer leurs attraits. Térence est dans mes mains ; je m’instruis dans
Horace
; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse.
s pour mon maître883 : Il pensa me gâter ; à la fin, grâce aux dieux,
Horace
, par bonheur, me dessilla les yeux884. L’auteur a
ici le régent du Parnasse, N’est qu’un gueux revêtu des dépouilles d’
Horace
; Avant lui Juvénal avoit dit en latin Qu’on est
t Poétique, chant 1er.) Quelques jugements de Boileau. Lucilius,
Horace
, Juvénal, Perse L’ardeur de se montrer, et no
richesse altière, Et l’honnête homme à pied du faquin en litière.
Horace
à cette aigreur mêla son enjouement ; On ne fut p
n œuvre poétique. La satire s’y glisse volontiers comme dans celles d’
Horace
et de Boileau, mais y laisse cependant dominer le
Épître à Horace1099 (1772) Je t’écris aujourd’hui, voluptueux
Horace
, À toi qui respiras la mollesse et la grâce, Qui,
qui précèdent les arts1103… Jouissons, écrivons, vivons, mon cher
Horace
. J’ai déjà passé l’âge où ton grand protecteur, A
it changé… Profitons bien du temps ; ce sont là tes maximes. Cher
Horace
, plains-moi de les tracer en rimes. La rime est n
arterre », planta ses choux dans « son petit potager », heureux comme
Horace
, sans avoir Tibur, de son bouquet de bois, de « s
loué, chacun sait au Parnasse Que Malherbe est un sot et Quinault un
Horace
. Dans un long commentaire il prouve longuement Qu
l’écho ». (Sainte-Beuve, 1840.) 137. Homère, Mæonides. 138. Cf.
Horace
, Sat., I, 10, 70 : In versu faciendo Sæpo caput
morsos sapit ungues. 139. Sur le Parnasse. 140. Pégase. 141. Cf.
Horace
, A. P., 408, sqq. 142. Gratificari, χαρίζεσθαι,
sur le gazon) Et sous leur pas tout l’herbage trembler ! 222. Cf.
Horace
, Od.. I, 4, vers 7 sqq. 223. Ordinairement Lesc
es se lient et s’équilibrent bien, C’est comme l’esquisse d’une ode d’
Horace
ou de telle pièce de Properce. 295. Couronne. Le
Voyez p. 78, note 2. 344. Latinisme : mea cura. 345. Cf. Corneille,
Horace
, II, 3, v. 62. 346. La tragédie de Garnier fond
üros, paoureux (Amyot). 400. Anciennement, nom du singe. 401. Cf.
Horace
, A. Poét. v. 101 : Ut ridentibus arrident, ita f
squisse, moins l’intention ironique, du tableau de La Bruyère (XIII),
Horace
, Epod. II : Ut garni et insitiva decerpens pira
à cornes. 442. Les chevaux. Étymol. : l’arabe faras, cheval. 443.
Horace
, loc. cit. : Has inter epalas, ut juvat pastas o
r, Sat. VI de Boileau). La dernière que nous citons en offre une avec
Horace
(Sat. I, 9, le Fâcheux) pour les élèves de Second
ner, comme on laisse sur le pré les toiles que l’on blanchit. 577.
Horace
, A. P. v. 28 : Serpit humi cautus nimium timidus
de sa notice. 596. Qui fait des morsures cuisantes. Loris urere (
Horace
). Douleurs cuisantes, remords cuisants. Malheurs
ez sur ce mot une note des Fâcheux de Molière, infra. — Comparez avec
Horace
, Sat. I, 9. 613. Étym., penna, plume, — Relevé.
e 1. 614. Le suffixe astre est approximatif : presque fou, étourdi.
Horace
, v. 11. O te Bolane, cerebri Felicem ! aiebam ta
uer dans Rabelais, dresser l’oreille, comme l’a droite la chouette. —
Horace
dit, au contraire, v. 20 : Demitto auricuias ut
, de ses entraves (pastorium). L’entraver : c’est l’empêtrer. 625.
Horace
, v. 16 : Nil opus est te Circumagi : quemdam vol
, v. 16 : Nil opus est te Circumagi : quemdam volo visere. 626.
Horace
, v. 21 : Cum gravius dorso subiit onus. 627.
ercé. 628. En avoir pour sa provision, être suffisamment pourvu de…
Horace
, v. 23 : Nam quis me seribere plures Aut citius
ivaut à tant d’honneur que d’approuver… 633. Il reprend ses propos.
Horace
, v. 43 : Mœcenas quomodo tecum ! Hinc repetit.
roi ? ou d’un verbe du haut-allemand qui signifie se hâter ? 637.
Horace
, v. 12. Quum quidlibet ille Garriret, vicos, urb
: Se mettre sur l’homme de qualité, sur son quant à soi, etc. 641.
Horace
, v. 40 : Dubius sum quid faciam, inquit ; Te-ne
re ; La Fontaine, sans plus longue demeure . Retard, délai. 643.
Horace
, v. 30. Namque instat fatum mihi triste Sabella
Fâch., I, 1 : Je me suis doucement esquivé sans rien dire. 646.
Horace
, V. 74 : Casu venit obvius illi Adversarius : et
Filets pour prendre les lièvres. 694. Il y a là quelques souvenirs d’
Horace
. Voyez la deuxième Épode. 695. Fonctions officie
autes, qui tua Castor et fut tué par Pollux (voyez Pindare, Ném., X).
Horace
, Ép. I, 1, v. 28 : Non possis oculo quantum cont
cène. » (La Harpe.) 801. Cf. dans Corneille, la séparation du vieil
Horace
et de son fils (Horace, III, 6), et, dans Racine
01. Cf. dans Corneille, la séparation du vieil Horace et de son fils (
Horace
, III, 6), et, dans Racine (Iphig, IV, 4), Agamemn
ut beau, ma passion, deviens un peu moins forte ; héroïque, du vieil
Horace
à sa fille (Horace, III, 6) : Ô mes frères ! Tou
, deviens un peu moins forte ; héroïque, du vieil Horace à sa fille (
Horace
, III, 6) : Ô mes frères ! Tout beau, ne les pleu
ce qu’ils valent. Qui d’entre eux ne s’est pas promis l’immortalité ?
Horace
(Od., III, 30), Virgile (Æn., IX, 445), Ovide (Me
rum protegat umbra ? La Fontaine goûtait autant Virgile et Homère qu’
Horace
. Voici un passage où l’un est nommé, et tous deux
prochements, auxquels on peut ajouter le somno et inertibus horis d’
Horace
(Sat. II. 7, 61) ; Seneque, Herc. fur., 164 sqq.
facile et mol abandon qui est son originalité et sa grâce. — Le « bon
Horace
» a fourni aussi plus d’un souvenir à La Fontaine
r à La Fontaine, Les élèves, qui en Seconde et en Rhétorique étudient
Horace
et notre fabuliste, les trouveront. Je parle moin
le premier, prit la plume contre les détracteurs des Anciens. 879.
Horace
, Ép. I, 19, v. 19 : O imitatores, servum pecus…
oileau, par aventure, a été une fois moins judicieux, et il a associé
Horace
et Voiture en un vers célèbre, dont depuis, mais
omédie-ballet. Pris substantivement, un fâcheux signifie un importun.
Horace
(Ép., I, 9), et Régnier (Sat., VIII voy. supra) r
Le chagrin monte en croupe et galoppe avec lui ; ce dernier, imité d’
Horace
, etc. Signalons, à ce propos, que deux vers qu’on
). Chassez le naturel, il revient au galop (III, 5). 952. Cf.
Horace
, Sat. I, 4 : Long
qu’on envoyât Boileau aux galères. 954. On lui reprochait de piller
Horace
et Juvénal. Et de fait, il les imite tous deux en
ruyère (Caract., ch. Ier). 966. C. Lucilius (148 av. J.-C.- ?). Cf.
Horace
, Sat, I, 4 et 10 ; II, 1, v. 63.
est tué, et elle se tue. Voilà un caractère suivi : Sibi constat ;
Horace
serait satisfait. Mais, de la menace à l’exécutio
c. 9e et dernière.) Ainsi finissent les imprécations de Camille dans
Horace
. Au début de la pièce, Syphax dit à Sophonisbe :
martine. La toute-puissance de la mort rappelle le indomitæ morti d’
Horace
(Od. II, 14) ; le « terrible passage », le irrem
; le « terrible passage », le irremeabilis unda de Virgile, et dans
Horace
(Ibid.) : …… unda, sollicet omnibus Quicumque te
égard, comme aux autres, fort inférieure a l’ode serrée et nerveuse d’
Horace
(I, 35), mais consacrée par le souvenir d’un pass
aralysé. 1055. Orphée. Cf. Virgile, Géorg., IV, 486 sqq. 1056. Cf.
Horace
, Od., I, 1, à Mécène : O et præsidium et dulce d
rnières strophes, qui ont de la grâce et de la grandeur. 1058. Cf.
Horace
(Od., IV, 2, 27) : …Ego, apis Matinæ More modoqu
puiserons la sagesse Qu’il chercha sans la trouver. (Odes, II, 8.)
Horace
disait aussi à Virgile (Od. IV, 12) : Misce stul
m constilis bravem : Dulce est desipere in loco. On voit la nuance :
Horace
veut étourdir la « sagesse » ; Rousseau, la trouv
travaux voilà quelle est l’histoire : Tout est fumée… 1086. Comme
Horace
et Boileau, Voltaire a toujours mêlé à ses épître
eur de Louis, Mais oracle du goût dans cet art difficile Où s’égayait
Horace
, où travaillait Virgile, Dans la cour du Palais j
t rien. Pas même académicien. 1092. Voltaire ici n’est pas loin d’
Horace
: C’est, avec moins de précision serrée et âne de
riche, et aussi bienfaisant. Il était à son aise pour chanter, comme
Horace
, l’aurea mediocritas. Il y a (en rabattant du mot
i arrachent ses sublimes beautés. (Voyez par exemple le commentaire d’
Horace
, acte II, sc. 3.) Il faut lui tenir compte d’avoi
ès Lucrèce (III, 951) : Cur non ut plenus vitæ conviva recedis ? et
Horace
(Sat., I, 1, 119) : Codat uti conviva satur.
ρ λιγύς, ΝύμΦαι λιγύμολποι. 1214. Ζεύς Ξείνιος. 1215. Orphée. Voy.
Horace
, A.P., 393 ; et Virgile, G. IV, 510 : Mulcentem
II : … Que, donnant de fureur tout le festin au diable. 1266. Cf.
Horace
, Ép. I, 1, 98 sqq. 1267. Cf. Lamartine, Nouvell
de mouvement et de bruit, le poète est à l’aise pour médire, — comme
Horace
et Sénèque médisaient de la navigation, — de ces
olière lui apprenne qu’elle court risque d’être « ridicule ». 1438.
Horace
a dit « lymphæ loquaces » ; Ovide, « garrulus riv
de tombeaux est la Via Appia, rendez-vous des élégants de Rome. Voir
Horace
, Épîtres, I, 6, 26. 1467. Cette élégie, considér
aces, s héros à y promener, et que sur elle pesât encore l’anathème d’
Horace
: Illi robur… , quand Autran, qui l’aimait comme
s quarante-cinq premiers vers si vrais et si féconds de la Poétique d’
Horace
. Je prie le lecteur de comparer les deux écrits,
de chaleur . » Chose singulière que cette identité de langage entre
Horace
et Buffon ; d’une part le poëte le plus brillant
, fut, dans son immense ouvrage, un poëte sublime et varié ; c’est qu’
Horace
, en se laissant emporter au vol de Pindare, fut e
dans la disposition d’un ouvrage, c’est l’unité. Voilà le précepte qu’
Horace
a mis en tête de l’Art poétique : Denique sit qu
; c’est uniquement qu’il leur a plu d’écrire le mot Fin. Anacréon et
Horace
offrent, il est vrai, quelques exemples de ce pro
s faits accessoires. Britannieus est mort, mais que deviendra Junie ?
Horace
a prouvé, par le meurtre de sa sœur, que l’amour
ppe ; là ou jamais, en effet, se rencontrait la condition imposée par
Horace
. Le nom de Louis XIV était la seule arme à employ
tentit encore des acclamations qu’excitèrent à leur naissance le Cid,
Horace
, Cinna, Pompée, tous ces chefs-d’œuvre représenté
ui d’avoir produit Auguste ne se glorifie guère moins d’avoir produit
Horace
et Virgile. Ainsi, lorsque dans les âges suivants
, Homère avec Ponsard, Platon avec Cousin, Milton avec Chateaubriand,
Horace
avec M. Patin. Je me suis abstenu de toute note a
ir aveugle et sans honneurs. « Plus heureux, je passai ma vie Près d’
Horace
et de Varius ; Pollion, Auguste et Livie, Me prot
e ne le puis souffrir. Racine Dévouement patriotique Le Vieil
Horace
. Qu’est ceci, mes enfants ? écoulez-vous vos flam
ous faut recourir : Tigres, allez combattre ; et nous, allons mourir.
Horace
. Mon père, retenez des femmes qui s’emportent Et,
it trop acheté, Si l’on nous soupçonnait de quelque lâcheté. Le Vieil
Horace
. J’en aurai soin. Allez : vos frères vous attende
uriace. Quel adieu vous dirai-je ? et par quels compliments… Le Vieil
Horace
. Ah ! n’attendrissez point ici mes sentiments. Po
sez faire aux dieux. Péripétie du combat des Horaces Le Vieil
Horace
. Nous venez-vous, Julie, apprendre la victoire ?
; Des trois les deux sont morts, son époux seul vous reste. Le Vieil
Horace
. Ô d’un triste combat effet vraiment funeste ! Ro
adversaires, Près d’être enfermé d’eux, sa fuite l’a sauvé. Le Vieil
Horace
. Et nos soldats trahis ne l’ont point achevé ! Da
rien voulu voir après cette défaite. Camille. Ô mes frères ! Le Vieil
Horace
. Tout beau, ne les pleurez
neur de toute noire race, Et l’opprobre éternel qu’il laisse au nom d’
Horace
. Julie. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ?
m d’Horace. Julie. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ? Le Vieil
Horace
.
osa jadis Apollon, Du laurier du divin Maron, Du lierre et du myrte d’
Horace
, Et des roses d’Anacréon. Voltaire. De la Grâ
l’Énéide est sublime, le quatrième a plus de grâces. Quelques odes d’
Horace
respirent les grâces, comme quelques-unes de ses
jour leur fin : L’usage est de la langue arbitre souverain. (Trad. d’
Horace
. P. Daru.) De l’Imitation Il ne faut pas c
mirer leurs attraits. Térence est dans mes mains ; je m’instruis dans
Horace
; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse.
vie, de la beauté, de la douleur et de la vertu. Émeric David.
Horace
et Virgile Virgile. Que nous sommes tranquill
euris, au bord de cette onde si pure, auprès de ce bois odoriférant !
Horace
. Si vous n’y prenez garde, vous allez faire une é
dans vos Odes, d’un ton si assuré : Je ne mourrai pas tout entier67.
Horace
. Mes ouvrages ont résisté au temps, il est vrai ;
us grands ouvrages, soit pour le poème épique, soit pour la tragédie.
Horace
. C’est bien à vous à parler de variété, vous qui
éclatent partout. Virgile. Mais je n’ai fait que le suivre pas à pas.
Horace
. Vous n’avez point suivi Homère quand vous avez t
pas les laisser si imparfaits ; vous savez que je voulus les brûler.
Horace
. Quel dommage si vous l’eussiez fait ! C’était un
ne songer qu’à peindre en tout la vraie nature ; en cela je lui cède.
Horace
. Vous êtes toujours ce modeste Virgile qui eut ta
ent coulant : il y a des choses que je croirais un peu trop tournées.
Horace
. Pour l’harmonie, je ne m’étonne pas que vous soy
avez trouvée presque toujours, et qui est plus variée que la mienne.
Horace
. Enfin, je n’ai fait que de petits ouvrages. J’ai
uté de grand comme votre poème héroïque. Virgile. En vérité, mon cher
Horace
, il y a déjà trop longtemps que nous nous donnons
fois pour mon maître : Il pensa me gâter ; à la fin, grâce aux dieux,
Horace
, par bonheur, me dessilla les yeux. L’auteur avai
ier rang, à juste titre, dans la mémoire des hommes. La belle scène d’
Horace
et de Curiace, les charmantes scènes du Cid, une
it toujours ; à côté de sa longue scie, le tailleur de pierres posait
Horace
et Virgile, Molière, Montaigne, qui furent les ad
édit.) 10. Mémoires. (Bordeaux, 1815). 11. Imperiasius æquor . (
Horace
, Odes, I, 14.) 12. Derniers chants. (Didier édi
fécondité du poète. 36. Et mihi res non me rebus subjungere conor. (
Horace
.) 37.
e Corneille. La gloire de leur mort m’a payé du prix de leur perte. (
Horace
, III, 6.) 42. Théâtre. (Michel Lévy édit.) 4
ise depuis son origine jusqu’à nos jours. (Didier édit.) 47. Compar.
Horace
, Ep i, 74. 48. « Cœur, disposition. » traduction
cours. (Didier édit.) 53. Fabula quæ posci vult et spectat reponi. (
Horace
, Ep. ii, 3.) 54. … Poeta meum qui pectus inani
pectus inaniter angit, Irritat, mulcet, falsis terroribus, implet. (
Horace
, Ep. ii, 2). 55. Expression consacrée de cette
s faisons trop bon marché. 56. Ficta voluptati sini proxima veris. (
Horace
, Ep. ii, 3). 57. Quodcumque ostendis mihi sic i
m ; servetur ad imum Qualis ab incepto processerit et sibi constet. (
Horace
. Ep. ii, 3) 60. Et qui frigidum septena Tanaïm
et sesquipedalia verba Si curat cor spectantos tetigisse querela. (
Horace
, Ep. ii, 3.) 62. Lettre à Scudéri. 63. En va
it.) 67. Non omnis moriar, multaque pars mei Vitabit Libitinam. (
Horace
, Odes, iii, 30.) 68. Dixeris egrerie, notum s
ixeris egrerie, notum si callida verbum Reddiderit junctura novum. (
Horace
, Épîtres, ii, 3.) 69. Des Pensées de Pascal. (
st l’image, se peint dans l’esprit avec des couleurs extraordinaires.
Horace
dit que les soucis volent autour des lambris dor
Et crois toujours la voir pour la première fois. Dans la tragédie d’
Horace
, par Corneille, Sabine, native d’Albe, et femme d
plus commun que cette pensée, la mort n’épargne personne. Voyez comme
Horace
la relève, et la rend, en quelque façon, neuve.
ublier que le principe et le fondement de l’art d’écrire est, suivant
Horace
, le bon sens, c’est-à-dire, ce jugement droit, ce
cteurs les comprennent parfaitement. S’il doit, suivant le précepte d’
Horace
, tâcher d’être court, c’est sans rien omettre de
au même sujet, et dépendantes de la même métaphore. L’Ode suivante d’
Horace
en est un bien bel exemple. « L’infortuné vaisse
science ; badine, si l’objet du chant est simple, léger et gracieux.
Horace
, chez les Latins, nous a laissé d’admirables modè
phée, Musée, Tyrtée, Pindare, Alcée, Sapho, Anacréon ; Rome ancienne.
Horace
. Chine. Le Chi-King, recueil de chants rassemblés
César et d’Auguste, et nous offre Catulle, Lucrèce, Térence, Virgile,
Horace
, Tibulle, Properce, Ovide, Phèdre, César, Cicéron
pas toujours des langues mortes : il fut un temps où Homère, Virgile,
Horace
étaient vus du même œil que nous ! voyons aujourd
dès le temps où vivait Juvénal, sous le règne de Domitien, Virgile et
Horace
étaient des poètes que l’on mettait comme des mod
astorales comparables à celles de Théocrite ; pour la poésie lyrique,
Horace
est resté sans rival. Le nom d’Horace ne se peut
crite ; pour la poésie lyrique, Horace est resté sans rival. Le nom d’
Horace
ne se peut prononcer sans éloges. Cette curiosa
ions : telles sont les odes de Pindare et un petit nombre de celles d’
Horace
. Le sublime et la grandeur doivent essentiellemen
ts inspirés par la vertu, l’amitié, l’humanité : telles sont celles d’
Horace
et de la plupart de nos poètes lyriques modernes.
our plaire et amuser : telles sont celles d’Anacréon, quelques-unes d’
Horace
, et la plupart des chansons modernes et de ces pr
les poètes lyriques anciens et modernes, aucun ne peut être comparé à
Horace
pour la correction, l’harmonie et le bonheur de l
ours été et sera-t-il toujours l’auteur favori des personnes de goût.
Horace
eut un grand nombre d’imitateurs parmi les poètes
ns le dix-septième siècle, publia quatre livres d’odes. Il est loin d’
Horace
pour la grâce et la facilité de l’expression ; il
ination, par Akenside ; le Poème sur la santé, par Armstrong ; ceux d’
Horace
, de Vida et de Boileau sur l’Art poétique. Comme
ous les poètes didactiques dont j’ai rappelé les noms tout à l’heure,
Horace
, dans son Art poétique, est celui auquel on a le
pleine de facéties. Ennius et Lucilius en corrigèrent la rudesse, et
Horace
finit par lui donner la forme sous laquelle sont
eux. Les trois poètes satiriques les plus célèbres parmi les anciens,
Horace
, Juvénal et Perse, l’ont traitée chacun d’une man
l et Perse, l’ont traitée chacun d’une manière différente. Le style d’
Horace
a peu d’élévation. Il a intitulé ses satires Serm
l prend un accent plus grave et plus véhément. Il a plus d’énergie qu’
Horace
, plus de feu, plus d’élévation dans le style, mai
de plus aigu ; ardet, instat, jugulat comme dit Scaliger, tandis qu’
Horace
admissus circum præcordia ludit . Dans Perse, on
on retrouve plutôt la force et l’ardeur de Juvénal que la politesse d’
Horace
. Il est remarquable par sa morale noble et sublim
ésies didactiques, il importe d’observer rigoureusement ce précepte d’
Horace
: Quidquid præcipies, esto brevis. Presque tout
r prêter des charmes aux réflexions les plus graves. Ses imitations d’
Horace
sont entre autres si heureuses, qu’on ne sait ce
tibus pardorum . (Cant. canticorum, c. 4, v. 8.) Il en est ainsi dans
Horace
: Quid dedicatum poscit Apollinem Vates ? quid o
liquidi fontes de Virgile, et les prata canis albicant pruinis d’
Horace
; car ne placer une épithète que pour dire que l’
t les bords ne sont habités que par des magiciens et des enchanteurs.
Horace
donne une épithète semblable au fleuve Hydaspe. U
est chargé du soin de sa défense. (Trad. de Daru.) Un commentateur d’
Horace
mit à la place de l’épithète fabulosus, celle de
ans pompe et sans affectation ; car, suivant le précepte bien connu d’
Horace
, le poète ne doit ni débuter sur un ton trop haut
es ravissantes merveilles ( speciosa miracula , ainsi que les appelle
Horace
) qui remplissent ce poème si extraordinaire, et d
n reproche injuste qu’ont trop accrédité ces deux vers, dans lesquels
Horace
a évidemment chargé le caractère de ce guerrier.
actes n’a d’autres fondements que l’usage, et l’autorité de ce vers d’
Horace
: Neve minor, neu sit quinto productior actu Fab
re d’un mérite égal. Les meilleures et les plus estimées sont le Cid,
Horace
, Polyeucte et Cinna. Racine, comme poète tragique
ne cesse de répéter, comme le Moi de Médée ; le Qu’il mourût du vieil
Horace
, la réponse de Porus En roi, le blasphème d’Ajax,
l.) « On cite comme sublime, et avec raison, le Qu’il mourût du vieil
Horace
; mais on ne fait pas réflexion que ces mots doiv
ne pyramide dont ils couronnent le sommet. On vient annoncer au vieil
Horace
que de ses trois fils, deux sont morts, et l’autr
neur de toute notre race, Et l’opprobre éternel qu’il laisse au nom d’
Horace
. JULIE. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois
nse, c’est toute la scène, c’est la gradation des sentiments du vieil
Horace
, et le développement de ce grand caractère, dont
rait son néant, Et, formé pour agir, se plaisait à rien faire, etc. «
Horace
combat ce préjugé avec autant de finesse que de f
s adorer. Vous avez une intelligence et des ressorts comme Virgile et
Horace
en avaient ; mais ce n’est pas peut-être absolume
te, imite et révère Ces dieux dont tu ne descends pas. Si tu crois qu’
Horace
est ton père, Il a fait des enfants ingrats. La n
fférents. Le vers, par exemple, que l’on appelait asclépiade, et dont
Horace
se servit dans la composition de son ode première
Lamotte, Discours sur l’Ode.) 24. Il n’est, sans doute, aucune ode d’
Horace
qui ne renferme de grandes beautés ; mais quelque
ination sans craindre d’être accusé d’extravagance. 33. Voici comme
Horace
décrit les fonctions du chœur dans une tragédie :
s s’il désespère de traiter élégamment une idée, qu’il suive l’avis d’
Horace
, qu’il y renonce, … Et quæ Desperat tractata nit
es personnages de Molière sont naturels, Agnès est naïve. Sa lettre à
Horace
est un chef-d’œuvre, comme vérité, et, si j’ose l
ales ; l’auteur de l’Esprit des lois, celui des Lettres persanes ; si
Horace
, le Pindare de Rome, en est aussi le premier sati
et achevée dans deux ou trois heures au plus, comme dans Œdipe, dans
Horace
, dans Athalie. Or, comme il est très rare de trou
x, trois ou quatre actes. Il n’y a donc rien d’absolu dans la règle d’
Horace
, quoiqu’elle soit observée la plupart du temps, a
s, et le tout en agissant. On voit le modèle de cette exposition dans
Horace
, et particulièrement dans Tartuffe. Les divers in
46. Batteux, des Trois unités. 147. Batteux, des Trois unités. 148.
Horace
, Art poétique, v. 189. 149. Batteux, des Trois u
ique, v. 189. 149. Batteux, des Trois unités ; unité d’action. 150.
Horace
, Art poétique, v. 192. 151. Voy. ci-dessus, § 6
i de toutes les règles du début, de ses vertus, comme de ses défauts.
Horace
et Boileau parlent du poëme épique : Que le débu
la bienveillance, en prévenant la crainte d’une narration infinie, qu’
Horace
conseille au poëte de ne point faire remonter la
endre cette assertion. 42. Most epie poete plunge in médias res ;
Horace
makes this th’heroïc turnpike road… That is the u
s, poète ; Dorante, Uranie. Lysidas. Ceux qui possèdent Aristote et
Horace
voient d’abord que cette comédie2 pèche contre le
observations les fait fort aisément tous les jours sans le secours d’
Horace
et d’Aristote. Je voudrais bien savoir si la gran
l’ancien régime, devant la cour de France. C’est le cas de dire avec
Horace
, que parfois la comédie hausse le ton . 2. Cett
pleins de fleurs, et le petit chemin Qu’on suit, entre les blés, son
Horace
à la main ? Plaisirs des dieux ! surtout si, dans
blable aux eaux stagnantes, se corrompt dans l’oisiveté. 4. Imité d’
Horace
: « Quo semel est imbuta recens, servabit odorem
demande-t-elle pas un choix convenable et une sérieuse préparation ?
Horace
recommande aux écrivains de choisir des sujets pr
beau en tout genre : Omnis porro pulchritudinis forma, unitas est.
Horace
avait dit la même chose sur la nécessité de l’uni
orceau, et ne jamais perdre de vue cette règle si simple rappelée par
Horace
, qui veut que le mérite d’une sage ordonnance con
e avec rapidité. Tout le monde connaît les préceptes de Quintilien, d’
Horace
et de Boileau sur ce point. 338. N’est-il pas uti
ncère, et écoutera avec docilité les avis du vir bonus et prudens d’
Horace
, de l’ ami sage, mais inflexible de Boileau. En
n littéraire et artistique, … Sit quodvis simplex duntaxat et unum,
Horace
n’est pas moins nécessaire à la narration qu’au
dre l’intérêt de plus en plus vif. Boileau a exposé ce précepte après
Horace
et La Fontaine : Que le début soit simple et n’a
: In medias res Non secùs ac notas auditorem rapit.
Horace
. Cette exposition a pour effet de surprendre, d’
est l’image se peint dans l’esprit avec des couleurs extraordinaires.
Horace
nous en donne un bel exemple, quand il nous dit q
nt composé une tragédie sur le morne sujet, Bérénice ; Boileau, comme
Horace
et Lafresnais-Vauquelin, a composé un art poétiqu
au, comme Horace et Lafresnais-Vauquelin, a composé un art poétique ;
Horace
, Boileau et Régnier ont encore écrit une satire s
s de l’art ? Tous ne sont-ils pas unanimes pour répéter le précepte d’
Horace
: … Si vis me flere, dolendum est Primum ipsi ti
e fiction est au fond du précepte des anciens. Dans le dolendum est d’
Horace
, je ne vois point de larmes, mais plutôt cet air
. Précurseur de Corneille, il a des vers héroïques et dignes du vieil
Horace
, mais ignore la mesure, l’ordre et la clarté. Ses
t à une renommée. Car le souffle d’Ézéchiel y respire avec l’esprit d’
Horace
. Si les révolutions coûtent cher à un pays, si la
rs qu’y conduit un pouvoir inconnu. Ainsi, avant tout, la belle ode d’
Horace
: O navis, refirent in mare te novi Fluctus…, l
ique Idalie… et vous comprendrez mieux l’incontestable supériorité d’
Horace
. Quelques rhéteurs distinguent l’allégorisme de l
ndant, en quelque sorte, sa vie propre et indépendante. Je puis, dans
Horace
, ne voir que le vaisseau, la description en est e
a terre. Avouez que ni Cicéron, ni Varron, ni Lucrèce, ni Virgile, ni
Horace
n’eurent la moindre part aux proscriptions. Mariu
riante, et au fond très-résignée, Voltaire rappelle certains traits d’
Horace
. 3. C’était une de ses manies de se croire toujo
tié à moi-même. Je ne peux plus lire ni dans mon Virgile, ni dans mon
Horace
, ni dans mon La Fontaine. Je me borne à décachete
n satirique, didactique et philosophe, remet en lumière les mérites d’
Horace
, de Juvénal, de Perse ; Rousseau, pour la verve,
tes d’Horace, de Juvénal, de Perse ; Rousseau, pour la verve, le même
Horace
et Pindare, l’incomparable Pindare. Fénelon, dans
ble à la nature qu’elle n’est redevable à l’art, nous ajouterons avec
Horace
et en traduisant sa pensée, d’un goût et d’un sen
, c’est de se sentir attendri, remué soi-même ; tel est le précepte d’
Horace
(Art poét., v. 103) : …… Si vis me flere, do
ins fiers. Si l’on ne doit point habiller de grands mots, de ceux qu’
Horace
(Art poét.) nomme sesquipetlalia verba , les pet
e aux barrières du Louvre, N’en défend pas nos rois.
Horace
, avec plus de brièveté et une égale noblesse, ava
constance de la divinité. » Tel est le sublime de la réponse du vieil
Horace
, lorsque Junie lui dit, parlant du survivant de s
ributs de la poésie que d’être une peinture, ut pictura poesis , dit
Horace
, dans son Art poétique. La prose, d’autre part, a
s Virgile, Énéide IV, les imprécations de Didon et dans la tragédie d’
Horace
, celles de Camille : Rome, l’unique objet de mon
’un cheval est ferré d’argent, qu’un enfant va à cheval sur un bâton.
Horace
(liv. II, Sat. 3, vers 24) dit : Ludere par impa
dre D’une amitié tendre… Mentionnons encore cette ode allégorique où
Horace
, sous l’image d’un vaisseau, représente la républ
’arbre qui la produit. Les poètes disent de la même manière, savoir :
Horace
, pallida Mors, la pâle Mort ; Virg., pallentes
souhaiter, se prend pour être regretté, être mort ou absent, manquer.
Horace
dit : Quinque dies tibi pollicitus me rure futur
: « Nec sum adeo informis, je ne suis pas si laid »; dans cet autre d’
Horace
(liv. I, ode 23) qu’il applique à Pythagore : « N
dans l’aveu, dans l’apologie, dans la plainte, dans la prière. Aussi
Horace
, Art poét. dit-il bien :
la pensée au lieu de l’éclaircir. Quintilien blâme cette expression d’
Horace
capitis nives, les neiges de la tête , pour dire
s : Urit enim fulgore suo, qui prægravat artes Infra se positas………
Horace
, Épître II. 1. Prends ta foudre, Louis, et va c
se garder d’entasser les métaphores sur un même objet, comme l’a fait
Horace
au commencement de l’ode à Pollion : Motum ex Met
nté sous l’emblème d’une vigne : Vineam de Ægypto… ; l’ode O Navis, d’
Horace
; le portrait de l’Envie, par Ovide ; la pièce si
de Corneille offrent un bel exemple de communication ; c’est le vieil
Horace
qui défend son fils contre Valère : Dis, Valère,
e est appelé par Tite-Live non spernendus auctor , et Pythagore, par
Horace
, non sordidus auctor naturæ verique . Il est bon
e sont le plus distingués en ce genre, nous citerons Homère, Virgile,
Horace
, Cicéron, La Fontaine, Bossuet, Fléchier, Racine,
car j’ai une grande nouvelle à vous apprendre. Je viens de donner mon
Horace
1 au public. — Comment ! dit le géomètre, il y a
ieu s’amuse, et parodie le langage de la science. 1. Ma traduction d’
Horace
. 2. Qu’il y est, c’est-à-dire qu’il a été publi
a marché sur les traces d’Homère, Cicéron sur celles de Démosthènes,
Horace
sur celles de Pindare. Les meilleurs orateurs et
me tout n’est pas également parfait dans les modèles, puisque d’après
Horace
, Homère sommeille quelquefois, il faut user d’une
e du sentiment maternel. On connait ce vers célèbre de Corneille dans
Horace
, au moment où le vieil Horace croit que son fils
nnait ce vers célèbre de Corneille dans Horace, au moment où le vieil
Horace
croit que son fils a fui devant l’ennemi : Julie
i devant l’ennemi : Julie. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ?
Horace
.
t en désuétude, on les oublie ; d’autres prennent faveur : ainsi, dit
Horace
, les feuilles des forêts se renouvellent chaque a
l’humanité. Les deux plus puissants sont l’âge et le sexe. Aristote,
Horace
, Scaliger, Vida, la Fresnaie-Vauquelin, Regnier,
de s’y arrêter. Qu’on relise les vers où Regnier et Boileau ont imité
Horace
. « Le temps, dit Boileau, Le temps, qui change
ste à bien définir et à bien peindre. Moïse. Homère, Platon, Virgile,
Horace
, ne sont au-dessus des autres écrivains que par l
l’en tirer avec grâce, et d’une manière qui plaise et qui instruise.
Horace
, ou Despréaux, l’a dit avant vous. Je le crois su
modèle lui-même difficile à imiter. Celui-ci53 passe Juvénal, atteint
Horace
, semble créer les pensées d’autrui, et se rendre
posa jadis Apollon Du laurier du divin Maron, Du lierre et du myrte d’
Horace
, Et des roses d’Anacréon. Sur son front règne la
ffet s’il n’est élégant ; c’est un des principaux mérites de Virgile.
Horace
est bien moins élégant dans ses satires, dans ses
même ; la simplicité relève souvent la grandeur, selon le précepte d’
Horace
: Et tragicus plerumque dolet sermone pedestri.
er leurs imperfections. Ainsi Lucilius fut chéri des Romains avant qu’
Horace
l’eût fait oublier ; Régnier fut goûté des França
ces nations, qui leur ait dessillé les yeux, comme il s’est trouvé un
Horace
chez les Romains, un Boileau chez les Français. O
es de morale les sons du sifflet de Rabelais parmi ceux de la flûte d’
Horace
. Il faut parler français : Boileau n’eut qu’un l
, n’ont pu copier que ses défauts ! Boileau, il est vrai, a dit après
Horace
: Heureux qui dans ses vers sait, d’une voix lég
ts d’Archimède seront à jamais un ouvrage admirable. La belle scène d’
Horace
et de Curiace, les deux charmantes scènes du Cid,
n, je crois, de condamner le sage Despréaux d’avoir comparé Voiture à
Horace
. La réputation de Voiture a dû tomber, parce qu’i
on, disait Racine, c’est que je sais écrire. Homère, Platon, Virgile,
Horace
, ne sont au-dessus des autres écrivains, dit La B
, dans le premier acte des Horaces) : Je suis Romaine, hélas ! Puisqu’
Horace
est Romain, il n’y a point là de lieux communs, p
ne cesse de répéter, comme le moi de Médée, le qu’il mourût du vieil
Horace
, la réponse de Porus, en roi, le blasphème d’Ajax
cal.) On cite comme sublime, et avec raison, le qu’il mourût du vieil
Horace
; mais on ne fait pas réflexion que ces mots doiv
ne pyramide dont ils couronnent le sommet. On vient annoncer au vieil
Horace
que de ses trois fils deux sont morts et l’autre
neur de toute notre race, Et l’opprobre éternel qu’il laisse au nom d’
Horace
. JULIE. Que vouliez-vous qu’il fit contre trois ?
nse, c’est toute la scène, c’est la gradation des sentiments du vieil
Horace
, et le développement de ce grand caractère dont l
combinent comme les éléments. Telle fable de la Fontaine, telle ode d’
Horace
, telle page de Cicéron, de Bossuet, ou de Racine,
tilités que des grossièretés de quelques scènes. Par exemple, lorsque
Horace
quitte Curiace, c’est-à-dire dans un dialogue d’a
st au plus haut point. Souffrez que je l’admire et ne l’imite point. (
Horace
, acte II, scène iii) Horace, le héros de cette t
ez que je l’admire et ne l’imite point. (Horace, acte II, scène iii)
Horace
, le héros de cette tragédie, lui répond : Non, n
tez un bien si doux. Voici venir ma sœur pour se plaindre avec vous. (
Horace
, acte II, scène iii) Corneille veut peindre appa
randes pensées. Les défenseurs de Rousseau répondent qu’il a surpassé
Horace
et Pindare, auteurs illustres dans le même genre
t « sans règle ». 7. Le mot dire manque clans le MS. 8. Tragédie d’
Horace
, acte II, scène iii. 9. Ignoti nulla cupido. 1
ression de J.-J. Rousseau dans sa Lettre à M. Grimm sur Omphale 73.
Horace
, Art poét., v. 311. 74. Boileau, satire X 75.
causerie aimable qui se ressent beaucoup de la lecture des anciens, d’
Horace
, de Perse, de Juvénal, d’Ovide, de Martial, et au
s qu’avec le génie grec. Il se nourrissait assidûment de la lecture d’
Horace
, d’Ovide, de Juvénal, de Stace, de Sénèque le Tra
d d’accusations de plagiat. Il répondit à ces reproches en produisant
Horace
(1639), œuvre dans laquelle tout, excepté le suje
éfaut d’unité et sans l’inutilité du cinquième acte. La même année qu’
Horace
, Corneille donna Cinna ou la Clémence d’Auguste.
t toujours l’amour à de plus nobles sentiments, excepté Camille, dans
Horace
, qui lui sacrifie tout, dieux, patrie et fraterni
du ciel j’ai fait beaucoup de rien. Au roi. — Sur Cinna, Pompée,
Horace
, Sertorius, Œdipe, Rodogune, qu’il a fait représe
plaisir à me ressusciter ? Qu’au bout de quarante ans, Cinna, Pompée,
Horace
, Reviennent à la mode, et retrouvent leur place ;
e plus souvent élevé au ton mâle et sublime de l’auteur de Cinna et d’
Horace
, et où il a peint le caractère d’un grand homme a
mirer leurs attraits. Térence est dans mes mains ; je m’instruis dans
Horace
; Homère et son rival sont mes dieux du Parnasse.
efois pour mon maître ; Il pensa me gâter. À la fin, grâce aux dieux,
Horace
, par bonheur, me dessilla les yeux. L’auteur avai
ont morts. Boileau-Despréaux (1636-1711) Boileau, cet élève d’
Horace
, de Perse et de Juvénal, représente la satire au
nd la précision et la vivacité qui rendent si alertes les dialogues d’
Horace
. Boileau poursuit sa tâche de satirique et de réf
rique et de réformateur dans un poème didactique discrètement imité d’
Horace
. Témoin des désastreux effets produits par les im
la fin de l’année 1668, et imitée de la première Satire du livre II d’
Horace
, l’auteur délibère avec sa Muse s’il doit continu
e dans ton sang cette ardeur de rimer. Eh quoi ! lorsqu’autrefois
Horace
, après Lucile, Exhalait en bons mots les vapeurs
mps et composait avec art de charmantes petites pièces dans le goût d’
Horace
et de Catulle, son unique but était de divertir s
ôme, il ne chante que le plaisir. Cependant il cherche, à l’exemple d’
Horace
, à mêler les réflexions les plus sérieuses sur la
r de la grande poésie ; ce poète d’une civilisation si raffinée goûte
Horace
, Virgile, le Tasse, Racine, mais le naturel subli
sont d’une morale extraordinairement incertaine et fluctuante. Comme
Horace
, suivant tour à tour Épicure et Zénon, il prêche
vir. La Critique. Virgile a-t-il bien fait de pincer Mévius ?
Horace
a-t-il raison contre Nomentanus ? Oui, si ces deu
atins, montés sur le Parnasse, S’égayaient aux dépens de Virgile et d’
Horace
. La défense est de droit, et d’un coup d’aiguillo
différents objets qui l’ont frappé. Imitateur de David, de Pindare, d’
Horace
, il prétendit offrir au lecteur un essai de poési
é sacrifiées par lui à l’imitation des anciens. Dans Homère, Virgile,
Horace
, il cherche beaucoup moins les idées que les secr
op factice. Dans ce manifeste, la déclaration de guerre à Aristote, à
Horace
, à Boileau, à Racine, s’accentue définitivement ;
lumeurs de quinquets qui voudraient être acteurs. Aristophane en rit,
Horace
les étrille ; Mais ce n’est rien auprès des versi
t la guerre et les combats, J’aime mieux, sur les pas de Virgile ou d’
Horace
, Dans quelque humble Tibur, comme eux cachant ma
rs (1852) où l’auteur, qui eut pour premiers maîtres Homère, Virgile,
Horace
, s’est efforcé de reproduire exactement et pour a
aussi la poésie latine ; il a essayé de faire une comédie d’une ode d’
Horace
. Ce fut un pitoyable échec. Selon la pensée du mê
are mali formidine pœne… qui est lui-même une imitation de ce vers d’
Horace
(Epist. I, XVI, 52) : Oderunt peccare boni virtu
ces, le chef-d’œuvre de Racan, offrent quelques imitations de l’ode d’
Horace
: Beatus ille… et de l’ode : Rectius vives, Licin
aquit à Fontenay, dans le Vexin. 103. Ceci est une pure traduction d’
Horace
(Od. II, xiv). 104. Tableau de la littérature a
1. Bavus, pour Bavius, misérable versificateur romain qui poursuivit
Horace
et Virgile de ses traits jaloux. 172. L’Homme d
e sont cités textuellement dans la Rhétorique, II, 24. Le chœur.] Cf.
Horace
, Art poétique, v. 193 et suiv., et nos extraits d
en prennent ordinairement aux souverains, et rien n’est plus naturel.
Horace
disait en se jouant : « Du délire des rois les p
ne sorte de poésie biblique. 3. Rare jeunesse, allusion à un vers d’
Horace
. 4. De Maistre dit encore : « Il y a des guerr
e l’empire de l’esprit et du goût. Rome n’a pas eu deux Cicéron, deux
Horace
, deux Virgile. Michel Ange, Raphaël, Le Tasse et
a Corneille, la Fontaine, Racine et Molière, comme nos pères lisaient
Horace
et Virgile. Une nouvelle littérature commence, qu
de notre enseignement classique, auprès des deux poëmes didactiques d’
Horace
et de Boileau. Il y a dans la Poétique des pages
e, Euripide, Platon et Démosthène ; chez les Latins : César, Cicéron,
Horace
et Tite-Live ; chez les Italiens : Dante, Arioste
is pour combattre les trois Albains ; Curiace, Albain et beau-frère d’
Horace
, lui dit : Quels vœux puis-je former, et quel bo
s pleurs à répandre ; De tous les deux côtés mes désirs sont trahis.
Horace
répond : Quoi ! vous me pleureriez mourant pour
atrie. On connaît aussi le Moi, de Médée, et le Qu’il mourût du vieil
Horace
, mot si sublime, dit Voltaire, qu’il n’en est auc
on, disait Racine, c’est que je sais écrire. Homère, Platon, Virgile,
Horace
, ne sont au-dessus des autre écrivains, dit la Br
illes, duplex, dirus Ulysses, Mezentius contemptor deûm, aspera Juno.
Horace
a dit : Medea ferox, flebilis Ino, perfidus Ixion
ent pas pour moi. » Voici une pensée simple : Omnibus moriendum est.
Horace
a su l’étendre au moyen d’une périphrase : Palli
rum tabernas Regumque turres. Hor., Odes, lib. I, iv. Et ces vers d’
Horace
ont été amplifiés d’une manière admirable par un
, Homère avec Ponsard, Platon avec Cousin, Milton avec Chateaubriand,
Horace
avec M. Patin. Je me suis abstenu de toute note a
ppas Dans ce bruit glorieux que laisse un beau trépas, Venez au vieil
Horace
apporter votre offrande. Venez, jeunes beautés, C
rte comme les vents emportent une feuille sèche. Lamennais 6.
Horace
et Mécène Sur le mont Esquilin, dans un lieu
différence des conditions, ramènent à l’égalité nécessaire en amitié.
Horace
n’est pas ce que tant d’autres voudraient être, l
e fortune, de l’autre un penchant très-naturel à abuser de la faveur.
Horace
s’y maintient par une habileté qui n’est pas à la
de cupidité. Ce n’est pas tout ; si reconnaissant, si dévoué que soit
Horace
à l’égard de Mécène, quoiqu’il se soit, donné à M
des Dieux, Dans un recueillement pieux, Graviront la roche éternelle.
Horace
, dira-t-on, le premier dans ces lieux Où l’Aufide
ts. Joubert 71. Des Lieux communs On a reproché souvent à
Horace
de n’avoir chanté que des lieux communs. Il est c
mptent plus de cent imités, ou plutôt, comme dit Goethe, repensés par
Horace
. J.-B. Rousseau a écrit : « Le fond de la poésie,
ous ces grands noms des Grecs ils n’aient à opposer que le seul nom d’
Horace
? Ces vainqueurs dans les fêtes de la Grèce, dans
ect, au tribunal de la justice publique. Quarante ans après Lucilius,
Horace
perfectionna la satire et lui donna une forme nou
tyrans si horribles et des esclaves si vils. On ne le voit pas, comme
Horace
, tourner autour de l’âme ; il y pénètre, la perce
échauffe, il entraîne, et c’est vraiment lui qui mérite cet éloge qu’
Horace
s’est peut-être un peu légèrement donné, Virtut
que la pudeur souvent est forcée d’en rougir. Boissonnade 81.
Horace
Horace représente cette justesse de pensée, c
ur souvent est forcée d’en rougir. Boissonnade 81. Horace
Horace
représente cette justesse de pensée, cette pureté
mander leur consolation à l’étourdissement, à l’ivresse des plaisirs.
Horace
peut être considéré sous tous ces aspects. Il ne
rs. Horace peut être considéré sous tous ces aspects. Il ne serait qu’
Horace
, un des hommes les plus spirituels et les plus ai
roïques, mais honnêtes et bons, un raisonnable éloignement des excès.
Horace
, c’est ce que nous appelons littérairement le siè
tentit encore des acclamations qu’excitèrent à leur naissance le Cid,
Horace
, Cinna, Pompée, tous ces chefs-d’œuvre représenté
e. Non loin de lui, et avec le regret d’être séparé d’un ami si cher,
Horace
présiderait à son tour (autant qu’un poète et qu’
a terre. Avouez que ni Cicéron, ni Varron, ni Lucrèce, ni Virgile, ni
Horace
, n’eurent la moindre part aux proscriptions. Mari
é la vivace matière, Et créer pour moi seul une unique beauté ; Quand
Horace
, Lucrèce et le vieil Épicure, Assis à mes côtés,
(Hachette édit.) 6. Œuvres. (Garnier et Didier édit.) 7. Œuvres d’
Horace
. (Charpentier édit.) 8. Méditations. (Mich. Lév
res (Didier édit.). 81. Critiques littéraires. (Didier édit.) 82.
Horace
. (Hachette édit.) 83. Poésies. (Charpentier édi
rits. » (Longin.) 92. Causeries. (Charpentier édit.) 93. Œuvres d’
Horace
. (Janet et Cotelle édit.) 94. Les Observations s
ristote, I, 13, 15. Cicéron, Pour Milon, ch. i, p. v. 104. Œuvres d’
Horace
. (Janet et Cotelle édit.) 105. Œuvres choisies.
? Le sublime n’est donc pas là. Il est dans le qu’il mourût du vieil
Horace
, parce qu’il est plus haut que l’homme le père qu
er héroïque, le monarque maître de soi comme de l’univers, Polycuete,
Horace
, Rodrigue, Auguste, sont sublimes. Il y a peut-êt
e idée. Je trouve, en effet, une ellipse d’idée dans l’Art poétique d’
Horace
: … Ego lævus Qui purgor bilem sub verni tempori
aumônes que j’ai partager les deniers. « Maladroit que je suis, dit
Horace
, à propos des poëtes excentriques et chevelus de
21. Principaux poètes didactiques. Grec. Hésiode. Latins. Virgile,
Horace
, Lucrèce. Persan. Sadi. Anglais. Prior, Pope, Tho
dernière formerait la césure du quatrième pied, comme dans ce vers d’
Horace
: Lectorem delectando pariterque monendo. 29
nité, de lieu, je n’en trouve aucun précepte ni dans Aristote ni dans
Horace
: c’est ce qui porte quelques-uns à croire que la
à la dernière rigueur de la règle. Je n’ai pu y en réduire que trois,
Horace
, Polyeucte et Pompée. Si je me donne trop d’indul
ie sans affaiblir, sans obscurcir, sans déranger le tout. C’est ce qu’
Horace
explique parfaitement : ……………………… nec lucidus ord
e temps, quelle succession de chefs-d’œuvre, consacrée par les noms d’
Horace
, de Cinna, de Polyeucte, de Pompée, de Rodogune !
plaisir à me ressusciter, Qu’au bout de quarante ans, Cinna, Pompée,
Horace
, Reviennent à la mode et retrouvent leur place, E
mon seul génie en marchant secondé, Studieux amateur et de Perse et d’
Horace
, Assez près de Régnier m’asseoir sur le Parnasse.
Nul n’a fait davantage éprouver au lecteur cette illusion dont parle
Horace
. À voir ces vers pleins d’aisance, qui n’ôtent à
il était nécessaire. » 37. Il faut se rappeler la recommandation d’
Horace
, parlant du personnage dramatique, Art poét. : …
is ab incepto processerit et sibi constat. 38. Au moment où… 39.
Horace
a dit pareillement. Art poét. : Nec deus intersi
vie, écrirait-on à présent. Ainsi, comme nous l’apprennent Varron et
Horace
, les formes du langage vont se modifiant toujours
été condamné par une assemblée de pairs. 131. « … Nugæque canoræ » (
Horace
. Art poétique, v. 322). Celui de nos auteurs, que
e, disait de lui : « C’est la raison habillée en masque. » 246. Cf.
Horace
, Art poét., v. 1 et suiv. 247. Nicole et le P. M
trait et un éclair sont ses emblèmes. » 368. C’est le précepte d’
Horace
, de Arte poet., v. 23 : Denique sit quodvis, sim
habet elocutionem et pæne puerilem (oratio) » : de Orat., I, 6 ; cf.
Horace
, de Arte poet., v. 311, et Quintilien, Inst. orat
ipium et fons, (De Art. poet., v. 809.) Et Montaigne, d’accord avec
Horace
: « Quand je vois ces braves formes de s’explique
mot, deux fois répété, dit Chateaubriand, égale les plus beaux mots d’
Horace
. Corneille, qui se connaissait si bien en sublime
6, fait représenter de suite devant lui, à Versailles, Cinna, Pompée,
Horace
, Sertorius, Œdipe et Rodogune. 442. Corneille fa
jusque dans l’Iphigénie de Racine. 451. Stans pede in uno , disait
Horace
, pour exprimer une action faite avec précipitatio
avec précipitation, à la légère. 452. Encore une belle imitation d’
Horace
; voy. la fin de la première de ses Satires :
e prodiguer à cette époque de tels jurements. 500. C’est ce qu’a dit
Horace
dans ses Satires, I, 1, v. 100 ; et on peut voir
te du Broussain, l’un des plus célèbres gourmets de ce siècle. 544.
Horace
(sat. II, vi, v. 60) : O rus, quando ego te aspi
ce qui n’empêchait pas les poètes de le traiter de soleil. 555. Cf.
Horace
. Épîtr. I, xx, 1 : Vertumnum Janumque, liber, sp
(1650). 571. Ce sont là ces taches ou plutôt ces signes dont parle
Horace
, Sat., I, vi, 67, qui ajoutent à l’attrait de la
dirigée contre le début des Troyennes de Sénèque le tragique. 577.
Horace
, Art poétique, v. 240 et suiv. 578. Les comparai
2. Harmonie imitative, analogue à cette chute de l’une des strophes d’
Horace
, 12e ode du liv. 1er : Unda recumbit. 733. L
742. « Ce début, dit La Harpe, est beau comme l’antique, beau comme
Horace
et Pindare » : on admirera surtout le trait qui t
ses détracteurs), a exprimé avec noblesse ces mêmes pensées imitées d’
Horace
: Vivant, nous blessons le grand homme : Mort, n
mmes tandis qu’il en est persécuté. » 752. Il ne fallait pas oublier
Horace
parmi les Latins, ni Malherbe parmi nous. 753.
pour le choix des tyrans. Et mieux encore dans ces deux rats du bon
Horace
: Rusticus urbanum murem mus paupere fertur Exce
rfait : Bacchator vates, magnum si pectore possit Excussisse Deum…
Horace
est encore plus hardi : Nune est bibendum, nune
Nul n’a fait davantage éprouver au lecteur cette illusion dont parle
Horace
. A voir ces vers pleins d’aisance, qui n’ôtent à
saura me déchirer ; Et je lui porte enfin mon cœur à dévorer. 1.
Horace
, Art poétique, v. 240 et suiv. 2. « Je sais, dit
vives étincelles, Je portais sous mon bras, noués par trois ficelles,
Horace
et les festins, Virgile et les forêts, Tout l’Oly
ant d’allusions aux classiques latins de l’enfance. 3. Rappelez-vous
Horace
disant de l’enfant : Iras colligil, ac ponit teme
étorique, i, 11. Le vers héroïque.] Voyez la Rhétorique, III, 3 et 8
Horace
, Art Poétique, v. 74 et suiv. Le plus plein.] Ὀγϰ
in de composer un poëme de quelque étendue. 4. Allusion à un vers où
Horace
nous dit qu’Homère dormait quelquefois. 5. Déso
de au bon sens : Scribendi rectè sapere est et principium et fons. (
Horace
).
resque. La meilleure traduction que nous en ayons, est celle de le.
Horace
, contemporain de ces deux derniers poëtes, entrep
teux l’a traduit en français. L’art poétique de Boileau efface ceux d’
Horace
et de Va. Tous les objets renfermés dans un plan
i des actes ne l’est pas non plus dans un ouvrage dramatique, quoique
Horace
ait dit qu’il doit en avoir cinq ni plus ni moins
Je ne ferai qu’ajouter ici la description que Boileau a faite, après
Horace
, des trois âges de l’homme. Un jeune homme toujo
eur attribue. Il est bon cependant de remarquer que ce qu’Aristote et
Horace
ont dit des moeurs de chaque âge, n’est pas une r
s le même que celui d’un simple citoyen. Un Dieu, suivant la pensée d’
Horace
, parle bien autrement qu’un héros ; un vieillard
ut qu’il les feuillette, qu’il les lise nuit et jour, comme le disoit
Horace
aux Romains, en parlant des excellens ouvrages de
rd parle quelquefois avec feu et avec emphase, suivant l’expression d’
Horace
; c’est lorsqu’il est indigné contre son fils. Ve
e personne qui devroit s’intéresser à sa conservation. C’est ainsi qu’
Horace
et Curiace, prêts à combattre l’un contre l’autre
utre, on le connoît avant d’achever l’entreprise, et l’achève ; comme
Horace
qui tue Curiace, Médée qui tue ses enfans, Clytem
r encor, Sacrés murs, que n’a pu conserver mon Hector ! Que le vieil
Horace
plaide la cause de son fils vainqueur, qui, par l
blé de douleur, et qui fond en larmes en faisant ce récit. On sent qu’
Horace
doit parler d’une manière plus forte et plus élev
patrie et une ardeur insatiable pour la gloire ? Qu’on écoute parler
Horace
dans Corneille, lorsque Curiace, en le félicitant
lles de Racine et de nos autres bons tragiques. Voici une scène entre
Horace
et Curiace, qui n’est pas moins un chef-d’œuvre p
al honneur, qui l’oblige de s’armer contre son beau-frère et son ami.
Horace
lui répond : Le sort, qui de l’honneur nous ouvr
ux de n’être pas Romain Pour conserver encor quelque chose d’humain.
Horace
. Si vous n’êtes-Romain, soyez digne de l’être ; E
imitée de la manière dont une génie créateur imite. Il donna ensuite
Horace
, Cinna, Polieucte, Rodogune, Heraclius, chef-d’œu
tentit encore des acclamations qu’excitèrent à leur naissance le Cid,
Horace
, Cinna, Pompée, tous ces chef-d’œuvres représenté
bographorum principis reliquiæ (Vienne, 1818), et les commentateurs d’
Horace
, sur l’Épître Ire du livre II, v. 145 et suiv. Et
elles sont les qualités essentielles du poète ? Le nom de poète, dit
Horace
, ne doit être donné qu’à celui qui possède un gén
eureusement doués s’égarent sur plusieurs points. Je ne vois pas, dit
Horace
, ce que peut le travail sans le génie, ni le géni
écoulera ainsi de l’invention et de la disposition. C’est la pensée d’
Horace
: ………… Cui lecta potenter erit res, Nec facundia
des raisons convaincantes ? C’est ici le lieu de répéter le conseil d’
Horace
: Sumite materiam vestris, qui scribitis, æquam
as avec son adversaire, c’est une peine complètement perdue. Le vieil
Horace
croit que son fils, après la mort des deux frères
d’après cette ignorance ou cette erreur qu’il raisonne et s’écrie :
Horace
. Que n’a-t-on vu périr en lui le nom d’Horace ; V
raisonne et s’écrie : Horace. Que n’a-t-on vu périr en lui le nom d’
Horace
; Valère. Seul vous le maltraitez après ce qu’il
nom d’Horace ; Valère. Seul vous le maltraitez après ce qu’il a fait.
Horace
. C’est à moi seul aussi de punir son forfait. Val
son forfait. Valère. Quel forfait trouvez-vous en sa bonne conduite ?
Horace
. Quel éclat de vertu trouvez-vous en sa fuite ? V
-vous en sa fuite ? Valère. La fuite est glorieuse en cette occasion.
Horace
. Vous redoublez ma honte et ma confusion ! Certes
digne de mémoire, De trouver dans la fuite un chemin à la gloire ! (
Horace
, act. IV, sc. ii.) Valère et le vieil Horace ont
n chemin à la gloire ! (Horace, act. IV, sc. ii.) Valère et le vieil
Horace
ont raison tous les deux, parce que l’un parle d’
versité des goûts et des penchants que produit la diversité des âges.
Horace
et Boileau ont recueilli les principaux traits de
us est quod disertos facit . Voulez-vous faire couler mes larmes, dit
Horace
, commencez par être ému vous-même : ……………… Si vi
pour développer ce talent, certains discours de Cicéron, les œuvres d’
Horace
, de Boileau et de La Fontaine, qui savent présent
ande étendue d’esprit. C’est ici que se présente l’écueil signalé par
Horace
: Infelix operis summa, quia ponere totum Nescie
es sentiments qu’on veut faire passer dans les autres. La nature, dit
Horace
, nous a disposés d’avance à toutes les impression
sont nombreux et d’un grand poids. Les noms d’Aristote, de Cicéron, d’
Horace
, de Quintilien, de Longin, chez les anciens ; de
s autres écrivains. Dans quelque langue que ce soit, Homère, Virgile,
Horace
, le Tasse, Milton, etc., ne seraient pas supporta
le que nous aurions également la poétique de l’élégie, si Aristote et
Horace
eussent trouvé le véritable type de ce genre de p
e ; car il n’a pas craint, dans un de ses vers, de le mettre à côté d’
Horace
. 2. Vaugelas, qui parlait et surtout écrivait fo
tesse élégante de cette observation d’Aristote, qui se rencontre avec
Horace
, Art poétique, v. 193 et suiv. : …..Ille bonis fa
vives étincelles, Je portais sous mon bras, noués par trois ficelles,
Horace
et les festins, Virgile et les forêts, Tout l’Oly
scène française, aux applaudissements de la postérité, en compagnie d’
Horace
, de Cinna, de Polyeucte et de Pompée. À partir de
rvile. Aristote, Cicéron et Quintilien, pour les orateurs ; Aristote,
Horace
, Longin et Boileau, pour les poètes, sont des gui
la vertu, lorsqu’on en peint fortement les avantages. C’est ainsi qu’
Horace
nous attendrit pour sa solitude, quand il s’écrie
comme lui, si vous voulez trouver accès dans son cœur : c’est l’art d’
Horace
lorsqu’il entreprend de consoler Virgile de la pe
e dans sa cadence, et plus expressif par sa double image, que celui d’
Horace
, Post equitem sedet atra cura128 ? S’il se trou
parer, opposons Malherbe à Racan ; tous deux ont imité cette pensée d’
Horace
: Pallida mors æquo pulsat pede pauperum taberna
ner plus de ressort. Tels sont ces vers de Camille dans la tragédie d’
Horace
: Voir le dernier Romain à son dernier soupir, M
téron., XXXII, 26.) Sublime de sentiment : On vient annoncer au vieil
Horace
que deux de ses fils ont été tués et que le trois
é de cette lâcheté. Julie. Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ?
Horace
.
nouïe, et plus elle est heureuse. C’est ce qu’un ancien appelait dans
Horace
, curiosa felicitas . Les écrivains médiocres, fa
plus étendue, et elle appartient alors aux figures de pensées. Ainsi
Horace
(Od., I, 14) se représente sa patrie exposée à de
s, comme mecum pour cum me ; quamobrem pour ob quam rem, etc. Et dans
Horace
, Carm., II, 19, 32 : Ore pedes tetigitque crura,
t , elle lui fait entendre bien plus que ces mots-là ne veulent dire.
Horace
(Od., 1, 28,14) désigne Pythagore par ces mots,
t., I, 33, 38) ; celui du père de Flaminius (ibid., Il, 17) ; celui d’
Horace
, meurtrier de sa sœur (ibid., II, 26), etc. C’éta
aubriand. 148. Duclos proposait : Sabine. Mais il est votre fils.
Horace
. Lui, mon fils !… il le fut. Nous croyons que La
pport avec le talent de l’écrivain. Tout le monde connaît la maxime d’
Horace
: Sumite materiam vestris, qui scribitis, æquam
ferai naître l’envie de m’y venir voir et d’y prendre une collation.
Horace
invitait Mécène à venir manger dans sa petite mai
[Notice] Sage et avisé comme Franklin, épicurien aimable comme
Horace
et La Fontaine, Béranger éleva la chanson à la di
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