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1 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France  : là, vous serez l’objet de mes tendres sollicitu
russe Entrée en campagne Soldats, L’ordre de votre rentrée en France était parti ; vous vous en étiez déjà rapprochés
urt jamais. Soldats, il n’est aucun de vous qui veuille retourner en France par un autre chemin que par celui de l’honneur. N
gloire. Les puissances alliées ont armé toute l’Europe contre moi… La France a voulu d’autres destinées. Avec vous et les brav
, j’aurais pu entretenir la guerre civile pendant trois ans ; mais la France eût été malheureuse, ce qui était contraire au bu
re au but que je me suis proposé. Soyez fidèles au nouveau roi que la France s’est choisi ; n’abandonnez pas notre chère patri
ssée montre assez que l’équilibre de l’Europe n’est pas menacé par la France , et les événements de tous les jours prouvent qu’
n’est pas pour l’Europe une grande découverte que d’apprendre que la France est du triple plus populeuse, et aussi brave et a
si elle veut la connaître. Les archives de l’État en sont pleines. La France y trouvera les monuments de sa gloire, et, si ell
erve et organise le pays conquis, on pressent le réorganisateur de la France . Ses conseils en Italie vont, par-dessus les Alpe
ce. Ses conseils en Italie vont, par-dessus les Alpes, apprendre à la France les conditions d’une société réglée. » (M. Nisard
ver, où nous serons joints par les nouvelles armées qui se forment en France  ; et alors la paix que je ferai sera digne de mon
en, où les Français entrèrent en 1806. La paix y fut conclue entre la France et la Saxe. 2. Jean Sobieski, un des héros de la
s. Rendons-lui le coq des Gaulois ; Il sut aussi lancer la foudre. La France , oubliant ses douleurs, Le rebénira, libre et fiè
embre 1799, lorsque l’Autriche méditait une nouvelle guerre contre la France  ; le premier consul avait en vain conjuré l’emper
ement préoccupé d’organiser à l’intérieur le gouvernement civil de la France . 2. Il est habile de rejeter la faute sur les An
elques scrupules que jamais le gouvernement militaire ne prendrait en France , à moins que la nation ne fût abrutie par cinquan
2 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
ans celle des individus, il doit y avoir des grands et des petits. La France a toujours tenu et tiendra longtemps, suivant les
i se réduit uniquement à ceci : « Que l’empire de la Coalition sur la France et la division de ce royaume seraient un des plus
es n’ont point de racines. Le caractère d’Alcibiade n’est pas rare en France . Le déréglement des mœurs et de l’imagination ne
la célérité. » « Les journaux et les livres sont plus dangereux en France qu’ailleurs, parce que tout le monde y veut avoir
u’ils lisent, et se hâtent de penser on de parler comme lui. » « En France , il semble qu’on aime les arts pour en juger bien
par un étranger cette belle page de M. Victor Hugo sur le rôle de la France dans le monde ; « Nous pouvons le dire avec calm
as besoin de hausser la voix pour une chose si simple et si vraie, la France est aussi grande aujourd’hui qu’elle l’a jamais é
lle a commencé le rajeunissement de toutes les sociétés vieillies, la France semble avoir fait deux parts égales de sa tâche e
tats des secousses violentes. Peut-être les limites matérielles de la France sont-elles momentanément restreintes, non, certes
ns. Mais si les coalitions, les réactions et les congrès ont bâti une France , les poëtes et les écrivains en ont fait une autr
n puisse dire, je ne crois pas plus à l’affaiblissement graduel de la France qu’à l’amoindrissement progressif de la race huma
i en sa providence. « Rien donc, non, rien n’a dégénéré chez nous. La France tient toujours le flambeau des nations. Cette épo
3 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Henri IV, 1553-1610 » pp. -
ons tour à tour le chef de parti, le roi reconnu par une moitié de la France , combattu par l’autre, le vainqueur, le souverain
que royale, il rétablit l’Université de Paris, il fonda le collége de France , il y institua un enseignement encyclopédique, il
l y institua un enseignement encyclopédique, il établit dans toute la France de nouvelles chaires. S’il n’eût pas le loisir de
re plus, la faute en est au coup de poignard qui frappa le cœur de la France avec le sien. Consolation A Monsieur de L
u gouvernement de Guyenne, maire perpétuel de Bordeaux et maréchal de France , il mourut à Lectoure en 1625. 2. Comme vous le
mode d’éducation qui excitait l’indignation de Montaigne. Les fils de France étaient soumis au même traitement que les écolier
4 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
le duché de Bar, qui, par le traité de 1738, furent réversibles à la France après la mort du roi Stanislas. Le cardinal mouru
XII, dans une des salles de ce château. Fontevrault, petite ville de France en Anjou, à une lieue de la Loire, non loin de Sa
de Saumur, avec une célèbre abbaye de filles, qui est chef d’ordre. France (Henriette Marie de), fille de Henri IV et de Mar
t les dangers auxquels elle y était exposée, l’obligèrent de venir en France , où elle passa les seize dernières années de sa v
mourut en 1669, âgée de 60 ans. François I, parvenu à la couronne de France en 1515, et le plus vaillant prince de son temps.
de), marquis de Basville, un des plus grands magistrats qu’ait eus la France . Il fut reçu conseiller au Parlement à 18 ans ; m
manuel de Blanchefort de Bonne de Créqui, duc de Lesdiguière, pair de France , comte de Saux). Il se fit remarquer au passage d
la construction du temple de Jérusalem. Loire, fleuve qui partage la France en deux parties presque égales. Il prend sa sourc
cipitèrent dans ces erreurs, qui inondèrent de sang l’Allemagne et la France . Il était né à Islèbe, dans le comté de Mansfeld,
en 1642, réduite aux plus fâcheuses extrémités. Depuis son départ de France , en 1631, elle avait erré pendant plusieurs année
du corps semblable à celle d’un bouc. Paris, capitale du royaume de France , et située sur les deux rives de la Seine qui la
ablement la trop redoutable maison d’Autriche. Sous son ministère, la France acquit le Roussillon et une partie de la Catalogn
et la queue d’un bouc. Seine (la), une des plus grandes rivières de France . Elle prend sa source dans un endroit nommé le Do
22 ans, le grade de maréchal de camp ; à 38, le bâton de maréchal de France , et à 48, le titre de maréchal général des camps
amille noble de Nivernais, en 1633, et le plus grand ingénieur que la France ait produit. Il porta la manière de fortifier les
ion, auquel personne n’était parvenu avant lui. Il mourut maréchal de France , à Paris, en 1707, après avoir travaillé à 300 pl
et celui de l’art. Vendôme (Philippe, chevalier de), grand-prieur de France , arrière-petit-fils de Henri IV et de Gabrielle d
augustes seigneurs qu’elle a eus, et qui sont montés sur le trône de France en la personne de Henri IV. Verney, (Pâris du).
ctor de Rochechouart, duc de Mortemart et de), général des galères de France . Il montra la plus grande intrépidité dans l’acti
5 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mézeray. (1610-1683.) » pp. 12-14
la mer. Ces nouvelles ayant en peu de jours été portées par toute la France , le parlement, qui était à Tours, alarmé d’ailleu
de conserver votre royaume que de le quitter. Si vous n’étiez pas en France , il faudrait percer au travers de tous les hasard
aurait contraindre de faire. En l’état que sont les choses, sortir de France seulement pour vingt-quatre heures, c’est s’en ba
affaires entre eux-mêmes que contre nous. Enfin, sire, nous sommes en France , il nous y faut enterrer : il s’agit d’un royaume
e résolut d’attendre l’ennemi dans un poste avantageux3. Histoire de France , liv. LXII. 1. C’est le premier maréchal de Bi
combat de Fontaine-Française. Celui-ci, après être devenu maréchal de France comme son père, devait périr misérablement sur l’
6 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
nre historique. (Lyon, avril 1891.) Exposer ce qu’a été l’histoire en France jusqu’au xix e siècle. Pour quelles causes le xvi
moyen âge. (Clermont, novembre 1888.) Les commencements du théâtre en France . La tragédie et ses règles. Le drame. (Dijon, jui
iser les principaux types d’œuvres dramatiques qui se sont succédé en France (les mystères, la tragédie, le drame), et indique
 1891.) Montrer les progrès du patriotisme et de l’autorité royale en France , pendant la guerre de Cent ans. (Clermont, août 1
ndant la guerre de Cent ans. (Clermont, août 1890.) La Renaissance en France . – Savants, artistes, littérateurs. (Paris, août 
rière tout d’abord consacrée au service du roi et à la grandeur de la France . 2° Il exprime le regret sincère d’avoir ensuite
écompensés, que l’armée reçoive le prix du sang qu’elle verse pour la France . 3° Reconnaissance des troupes ; zèle redoublé ;
) Les Colonies françaises au xviii e siècle. Lutte maritime entre la France et l’Angleterre. Les Indes et le Canada. (Caen, o
ière ? Quelles victoires ont-ils remportées ? Quelles ont été pour la France les résultats des campagnes qu’ils ont faites ? (
de la politique extérieure et les agrandissements territoriaux de la France aux xvii e et xviii e siècles. (Montpellier, avri
opposés, ont-ils voulu développer la richesse et la prospérité de la France . (Chambéry, juillet 1890.) Discours du ministre a
7). Il l’engage à se joindre à La Fayette qui se dispose à quitter la France pour soutenir les droits du peuple américain. Il
du philosophe, et rappelle les relations que Franklin a eues avec la France . (Paris, août 1884.) Montrer comment les grands é
enir de leurs ancètres. (Besançon, novembre 1890.) Quand on apprit en France la mort de Washington, le premier Consul adressa
l-Kader. On supposera que le lendemain du combat le maréchal écrit en France à un de ses amis et l’on écrira cette lettre. Le
courage de ses soldats : les uns et les autres ont bien mérité de la France . Il rappelle que pour beaucoup de Français l’occu
Lui-même a partagé ce préjugé. Aujourd’hui la fortune a prononcé. La France est engagée d’honneur à conserver la terre arrosé
gée d’honneur à conserver la terre arrosée du sang de ses soldats. La France du reste saura tirer parti de la conquête. Le mar
rti de la conquête. Le maréchal prédit que dans un avenir prochain la France trouvera dans l’Afrique du Nord un vaste champ d’
r le développement colonial des nations européennes, l’Angleterre, la France , la Hollande et l’Allemagne, depuis le traité d’U
) Le régime parlementaire : transformations générales de ce régime en France , de 1815 à 1875. (Poitiers, août 1891.) Géogra
e homme, qui a profité des vacances de Pâques pour faire un voyage en France , écrit à son frère et lui fait part de ses impres
s traces des hommes dévoués et courageux qui vont porter le nom de la France chez les peuples sauvages et de servir ainsi les
1.) Expliquer comment et pourquoi Paris est devenue la capitale de la France . Faire ressortir les causes de sa prospérité pass
s de l’ancien chef arabe, en lui racontant les désastres subis par la France en 1870. Pour toute réponse, Abd-el-Kader s’excus
es besoins mutuels. » (Rennes, août 1888.) Quelle est la part de la France dans les progrès sociaux, politiques et économiqu
Il dira les services que cette Académie serait appelée à rendre à la France , et la gloire qui serait attachée au nom du roi.
système de poids et mesures fût adopté dans toutes les parties de la France et même dans tous les pays civilisés ; 2° Il faud
auteur contemporain : « Tout homme a deux pays : le sien et puis la France . » (Chambéry, novembre 1890.) Expliquer cette ph
thalie est le chef-d’œuvre de Racine ? Paris, août 1882.) A-t-on, en France , transporté sur le théâtre l’expression des senti
la poésie lyrique ? Donnez une idée sommaire de la poésie lyrique en France depuis le commencement du xvii e siècle jusqu’en
’éloquence politique ? Vous prendrez vos arguments dans l’histoire de France . (Paris, août 1881.) Qu’appelle-t-on éloquence po
dites quels contrastes il y avait entre la situation du roi et de la France à cette époque et celle que présentaient le royau
année, et sans être certain que sa nouvelle lettre puisse parvenir en France , il raconte à son ami, dans une brève et pathétiq
prosateurs et poètes. (Paris, octobre 1881.) Depuis cinquante ans la France ne s’est pas contentée d’admirer ses grands homme
sous la forme d’une lettre, écrite par un voyageur qui a parcouru la France et qui a été heureux de saluer, dans les villes q
e la gloire et de la puissance. Depuis longtemps, il désirait voir la France . Enfin, il vint à Paris en 1717. Il reçut de tout
de s’exercer ? En donner quelques exemples empruntés à l’histoire de France . Dire pourquoi il est plus rare que le courage mi
est allé séjourner pendant quatre à cinq ans à l’étranger. Revenu en France pour s’engager dans l’armée, il veut revoir la ma
Richelieu. – Que faut-il penser de Mazarin ? – Quels ont été pour la France les résultats de la guerre de Trente ans ? A qui
seconde moitié du règne de Louis XIV, ont diminué la puissance de la France . – Faites, d’après l’histoire et d’après Saint-Si
cette tentative. – Les guerres de Louis XV ont-elles été utiles à la France  ? – Frédéric II et la France. – Que faut-il pense
es de Louis XV ont-elles été utiles à la France ? – Frédéric II et la France . – Que faut-il penser de Frédéric II ? – Rivalité
aut-il penser de Frédéric II ? – Rivalité maritime et coloniale de la France et de l’Angleterre sous Louis XV. – Politique et
e siècle ? – Les idées et les institutions étaient-elles d’accord en France vers le temps de la Révolution ? – Comparer Turgo
Turgot à Necker. – Washington et Franklin. – Quel a été le rôle de la France pendant la guerre d’indépendance en Amérique ? – 
en Amérique ? – Quelles étaient les ressources et la situation de la France en 1789 ? Programme de la classe de troisieme
e ? – Quelles ont été les premières formes de la poésie dramatique en France  ? On en expliquera les transformations successive
icacité. Les succès de la diplomatie et des armées ne rapportent à la France que de médiocres avantages et les revers la ruine
s le Parlement n’y saurait consentir. Agir ainsi, ce serait trahir la France . La discorde peut exister parmi les Français, mai
r des troubles pour reprendre tout ce qu’il a perdu ; l’intérêt de la France ne saurait le toucher ; il faut être en garde con
comme on l’a dit, le Renard succédant au Lion. Tous deux ont aimé la France et tous deux ont voulu la faire grande et puissan
tournée vers des guerres difficiles. Si Richelieu a fait peser sur la France de lourds impôts c’était pour les besoins de l’Ét
t l’Édit de Nantes. Il a surtout servi les intérêts des ennemis de la France . De nouvelles idées se sont répandues ; on procla
sont répandues ; on proclame partout la nécessité de la tolérance. La France serait bien de donner l’exemple en rendant à plus
soutiennent et ils perfectionnent les industries qui enrichissent la France  ; il sont des sujets fidèles du roi. Ceux qui pou
fidèles du roi. Ceux qui pour échapper à la persécution ont quitté la France après la fatale révocation de l’Édit de Nantes so
ui se rendait si redoutable à tous les autres. C’est le tableau de la France , sous Louis XIV, que nous avons sous les yeux. Il
’un pays étranger ne soit point jetée dans le même moule que celle de France  ; il veut une topographie exacte des pays dont on
rce n’est pas en nous-même. Ministre, vous avez dignement servi et la France et le roi, vous avez fait tout ce qu’un homme int
rands empires en Amérique et dans l’Inde. Ces colonies donneront à la France plus de prospérité et ce sera pour le roi un gran
dans la dernière guerre. Votre Majesté a voulu que les flottes de la France , qui se sont illustrées jadis par tant d’actions
jesté ; elle sait mieux que moi quels sont ses intérêts et ceux de la France , mais je suis marin, j’ai vu de quel cœur combatt
pas oublier, pourtant, que ces batailles qui font tant d’honneur à la France , ne lui rapportent que de médiocres avantages. Un
autre qui ne vaut pas moins. Si l’Angleterre a plus de vaisseaux, la France a plus de soldats. Qu’elle se contente de faire u
 ; tournez contre elle le meilleur des ressources et des forces de la France , et vous l’accablerez rapidement. Vous savez, Sir
leur aide, Sire, mettez à leur disposition les soldats et l’or de la France et ces vastes régions où l’Angleterre médite d’ét
re qu’une puissance continentale, mais l’intérêt et la position de la France exigent qu’elle soit aussi une puissance maritime
s’en servit pour acquérir de vastes colonies et pour les défendre. La France n’a pas vu de plus beaux jours ni de plus grands.
procéder. Renouveler toute l’administration d’un grand État comme la France , supprimer d’antiques privilèges, renverser de vi
s ces barrières et les produits circuleront librement d’un bout de la France à l’autre. Le commerce a surtout besoin d’argent
C’est par de tels moyens que je compte relever nos finances. Quand la France sera riche, grâce au développement de l’agricultu
lirai une grande municipalité du royaume, une assemblée nationale. La France entière jouira ainsi vraiment de la liberté ; ell
résistance, mais si j’obtiens votre concours, rien ne m’arrêtera. La France a besoin d’être régénérée ; toute demi-mesure ser
 ; c’est à rougir pour tous ces Parisiens légers et oublieux, pour la France dédaigneuse de sa propre gloire ! Corneille mort
t, c’est Corneille qui les a faits. Le nouvel Auguste qui gouverne la France , n’a qu’à se régler sur le sien pour surpasser le
s grandes les portes de notre Cité, et ne vous semble-t-il pas que la France affranchie et régénérée est digne de reconnaitre
s ne failliront pas à la tâche qui leur incombe ; ils voudront que la France continue à marcher la première dans la voie des r
ntiment et de l’imagination. Si d’autres conditions firent défaut, la France d’alors parut à peine s’en apercevoir. (Section d
ce la prose, est-ce la poésie qui, au xviii e siècle, fut cultivée en France avec le plus de succès ? Par quelles raisons peut
rincipaux hôtes. – Imaginez une conversation entre eux. – En 1697, la France était en proie à de grandes calamités. Mme de Mai
formes similaires appartenant aux différents dialectes de l’ancienne France , et sur les Doublets. Le point de vue littéraire
orteur. Le sujet de la composition d’histoire était : Les Reines de France au XVIIe siècle : leur influence politique et lit
de la société. Expliquez cette pensée. Vous prendrez pour exemple la France au xviii e siècle, dans ses plus grands prosateur
de nos agrégées, chargée de raconter les traités intervenus entre la France et l’Europe de 1795 à 1809, nous a étonnés par la
traité d’Amiens, pour tant d’actes de folle ambition si funestes à la France . » Concours de 1884. Ordre des lettres
donna en charge à un Allemand, qui depuis est mort fameux medecin en France , du tout ignorant de nostre langue, et tres bien
de leurs pensées. » – Qu’entend-on par la Renaissance des lettres en France au xvi e siècle ? Quelles sont les principales in
du xviii e siècle ? – Les satiriques français. – La poésie épique en France . Est-il vrai que le Français n’a pas la tête épiq
principales espèces de comédies ? Esquisser l’historique du genre en France jusqu’au milieu du xix e siècle. Copies d’élèv
élèves. – Si vous aviez à choisir parmi les héroïnes de l’Histoire de France , quelle est celle que vous préféreriez ? Fondez
r dans l’éducation. Excès à éviter. – Quelle est, parmi les reines de France , celle pour laquelle vous vous sentez le plus de
tes pourquoi vous, au contraire, vous vous intéressez à l’histoire de France et quelles sont les parties de l’histoire auxquel
e sentiment, le patriotisme. Concours de 1885. Littérature. La France élève des statues à ses grands hommes. Quelles ré
e l’art roman, l’art gothique ? A quelles époques florissaient-ils en France  ? Citer quelques monuments. (Mêmes observations
toire moderne. I. – Quelles sont les dynasties qui se sont succédé en France depuis la chute de l’empire romain jusqu’au xiv e
ure, juillet 1888.) Il existait autrefois dans le trésor des rois de France , une tapisserie dite de du Guesclin, où étaient r
n de noms propres écrits au hasard. Il convient de diviser par pays : France , Italie, car c’est là surtout que la Renaissance
re : les Este ; à Naples : Alphonse le Magnanime. 2e Paragraphe. – En France  : Louis XII, François Ier, Henri II, Catherine de
ands monuments historiques qui sont dus aux Romains dans le Sud de la France  ? – Attila et sainte Geneviève. – Raconter les pr
les de Tolbiac et de Poitiers. – Raconter les batailles auxquelles la France a dû son salut après d’extrêmes périls. – Que sav
s au cours d’histoire inscrit au programme, ou bien aux annales de la France maritime, il est nécessaire que les candidats con
llesse, toute l’ardeur du jeune âge. C’est au service du roi et de la France , c’est sur l’élément, où il lui a été donné d’ill
iers de son escorte que Cassard est le plus grand homme de mer que la France ait en ce moment. Il raconte sa belle conduite, p
lienne avait repassé le Taro, laissant douze mille morts. La route de France était libre. » Concours de 1860. Vous direz
s sont enlevés ; et la ville délivrée se met sous la protection de la France . Vous direz l’admiration qu’excite de toute part
uvrier du faubourg Saint-Antoine, l’un des premiers manufacturiers de France , mourut pauvre et presque oublié, après avoir emp
ement des forces navales, mais de la puissance et de la dignité de la France . C’est à leur marine que l’Espagne, les Pays-Bas
les Pays-Bas et l’Angleterre doivent leur richesse et leur force. La France , dont une frégate, ayant Sully à son bord, a été
e flotte, le ministre propose d’imposer les marchandises importées en France par des bâtiments étrangers, et, pour donner à la
côtes en sûreté et de faire respecter de près ou au loin le nom de la France . On fera parler Richelieu. Concours de 1868.
nt les actes qu’il avait accomplis, en insistant sur sa lutte avec la France  ; il ajouta qu’il n’était plus d’âge à continuer
arrivée de son remplaçant Godeheu, ses derniers succès, son rappel en France , et pour l’engager à continuer la politique qu’il
auteur contemporain : « Tout homme a deux pays : le sien et puis la France . » – Lors du voyage de Louis XIV à Cherbourg, un
rt, et en montre l’importance pour la marine et pour la défense de la France . – Catherine II, au lendemain du traité d’Iassy (
s robinets de la cale, – Sauvés ! – Quels sont les grands ports de la France  – ports de guerre et de commerce, – quels avantag
anisation de la marine militaire (1669). 1° Le haut rang qu’occupe la France en Europe et la protection de notre commerce et d
de notre marine. 2° Admirable situation et ressources maritimes de la France . 3° Projet de Colbert….. Ainsi sera assurée la dé
on de l’Algérie par une puissance civilisée, et exprime le vœu que la France vienne un jour s’établir sur cette terre, dont la
graphe. – Les traités d’Utrecht ont changé l’équilibre des États : la France a perdu une partie de sa puissance en Europe ; el
uverné. 3e Paragraphe.– L’alliance de la Russie compenserait pour la France celle de la Suède et des princes allemands ; elle
France celle de la Suède et des princes allemands ; elle aiderait la France à contenir l’ambition de la Prusse et peut-être m
omination en Orient. C’est l’empire d’Occident que le ezar offre à la France . – 1° Le prince de Galles, qui fut plus tard Henr
x hollandais s’étaient emparés de cent navires chargés de blé pour la France . Jean Bart rencontre la flotte et, avec six vaiss
l dit aux officiers : « Il faut avancer et combattre, l’intérêt de la France le demande. » Et il ajouta : « Camarades, point d
atelots français en rade. Prise du navire anglais et du traitre. – La France au-dela des mers. – Quelle glorieuse suite d’expl
e fut fondée Marseille (600 ans av. J.-C.). Henri Martin, Histoire de France populaire. – La peste de Barcelone. – Dévouement
e tomber. Ed. Bouet-Willaumez, Capitaine de vaisseau. Extrait de la France maritime (1852). On trouvera des sujets de littér
t Louis. Qui sait ? peut-être à cette heure même, Dieu qui protège la France , lui suscite un sauveur inattendu. (Paris. – 1re
xemples glorieux, il veut donner un nouveau genre d’illustration à la France . Il est temps qu’elle sorte de l’ignorance et de
suivant….. ….. Jamais il ne consentira à livrer la première ville de France aux excès d’une soldatesque furieuse….. Sans dout
es habitants par la terreur….. La ruine de Paris serait mortelle à la France  : cette ville est à la fois l’ornement, la tète e
le gouverneur de paris a Charles vii (1437). L’orateur félicitera la France d’avoir enfin chassé les Anglais et reconquis son
é leurs forces. La domination de l’étranger est enfin brisée….. et la France va reprendre le cours de ses glorieuses destinées
empereur…. (Besançon.) mort de jeanne d’arc. Une bergère a sauvé la France ….. Sortie de son hameau… elle a ranimé le courage
Concours de 1856. jeanne d’arc a orléans. Déplorable état de la France en 1429 : elle est en proie aux ravages de la gue
t pour faciliter l’obéissance, soit pour affermir le commandement. La France est en deuil, elle aspire à reconquérir sa grande
le même sens et proclame que rien ne peut rétablir la puissance de la France . Pour que ces prophéties soient également déjouée
e jamais en rien. L’historien français doit se rendre neutre entre la France et l’Angleterre : il doit louer aussi volontiers
perd l’esprit militaire. Concours de 1888. Une nation comme la France a-t-elle besoin de colonies ? Indiquer les avanta
ial excessif peut devenir un danger. Etablir une comparaison entre la France et l’Angleterre considérées comme puissances colo
oposé, à la veille de vous présenter à l’École, de faire un voyage en France et on vous a demandé quelle était la province que
ns des occcasions rares heureusement, aura sa vie à sacrifier pour la France . N’est-il pas pour tous, dans toutes les position
ers de l’Europe ? – Quelles sont les grandes régions houillères de la France  ? Les préciser. Donner quelques détails. – Quelle
x que la santé elle-même, c’est le dévouement à la science. » – « La France est aussi grande aujourd’hui qu’elle l’a jamais é
de vue industriel. – Faites connaître les bienfaits principaux que la France doit à la révolution de 1789. (Politique, adminis
si pratique qui a été successivement autorisé et rendu obligatoire en France , et presque universellement adopté par les autres
phé, mettre humblement ses découvertes au service de la théologie, en France au contraire elle les tourne au xviii e siècle co
hommes les plus remarquables du département. Examen de 1884. La France était autrefois divisée en provinces. Choisir l’u
t agricole. Examen de 1885. Décrire l’un des départements de la France au point de vue géographique, industriel et agric
par agriculture. Montrer l’importance et le rôle de cette science en France . Réfuter l’erreur qui consiste à croire que l’agr
dustrielles, agricoles. Examen de 1888. I. – Les colonies de la France . – Rappeler succinctement leur rattachement à la
olonies de la France. – Rappeler succinctement leur rattachement à la France , leur situation géographique, leurs principales p
urs de 1890. « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France  », disait Sully, pour expliquer l’intérêt qu’il p
rs de 1891. Quels sont les quatre grands siècles littéraires de la France  ? – Citez les plus grands noms, et les œuvres pri
ibre circulation des grains ? Critiquer la législation qui régnait en France avant les réformes de Turgot. – Services rendus à
e occasion, vous rappelez comment l’armée est recrutée et composée en France . – Vous avez entendu chez vos parents un voisin s
pre. – Si l’on vous proposait de faire un voyage, quelle partie de la France visiteriez-vous ? Indiquez les motifs de votre pr
ni leurs traditions, ni leur idéal, etc. 3e Paragraphe. – Loin de la France , on apprécie son génie, sa bonté expansive, la do
1. Supposez que vous êtes sur le point d’entreprendre un voyage en France . Vous direz quel itinéraire vous avez choisi ; qu
térinaire. – Justifiez cette belle pensée d’un auteur étranger : « La France est le plus beau royaume du monde après le ciel. 
e religion, et lui conseillant d’abjurer, en 1593, pour le bien de la France . 2° Le montrer comme ministre dans l’exercice de
a Savoie, qui nous vaut la Bresse et le Bugey) ; comme grand-voyer de France (rétablissement des routes, canal de Briare, colo
désastreux de cette révocation pour le commerce et l’industrie de la France . CONSEILS ET PLAN CONSEILS La révocation en elle
re session La renaissance des lettres et des arts a été favorisée en France , au xvie siècle, par le roi François 1er et les V
devant Saint-Jean-d’Acre. – Victoire d’Aboukir. Bonaparte revient en France . – Kléber au Caire. – Évacuation de l’Égypte (180
mme patriote, venant à la cour de Louis XVI demander des secours à la France , et soulevant l’enthousiasme de la noblesse ; com
ri iv et de Louis xiv. Le premier, en montant sur le trône, trouva la France divisée, épuisée par les guerres civiles ; néanmo
ondenser….. Deux idées doivent dominer le devoir : la situation de la France au début des deux règnes, son état à la mort des
s Expliquer pourquoi et comment Paris est devenu la capitale de la France . Montrer les avantages de son emplacement et les
mais le sort conduisait le monarque espagnol dans les Etats du roi de France , le roi de France se souviendrait de ce qui est d
fermeté du vaincu et obtenir de lui quelque sacrifice honteux pour la France , il le déclare hautement, il ne consentira jamais
inistres français qui ont contribué à la prospérité commerciale de la France  ? – Pourquoi vous présentez-vous à une Ecole comm
et économique. – Qu’entend-on par l’équilibre européen ? – Rôle de la France dans les progrès politiques, sociaux, intellectue
uel pays préféreriez-vous de voyager ? – La politique coloniale de la France au xixe siècle. – Histoire coloniale de la France
que coloniale de la France au xixe siècle. – Histoire coloniale de la France sous Louis XV – La frontière française du Nord et
a langue allemande ? » – Quels sont les avantages commerciaux que la France peut retirer de sa situation à la fois continenta
de l’envoi dans nos colonies et dans les ports qui commercent avec la France de jeunes gens ayant une éducation et une instruc
es à la fois poétiques et précis la part d’influence qui restait à la France , et l’audience qu’elle pouvait et devait prétendr
n’est plus aujourd’hui que de 114. Les départements limitrophes de la France sont peuplés d’étrangers, Espagnols, Italiens, Fl
plupart dans des pays qui ne sont pas soumis à la souveraineté de la France . Le seul groupe de langue française dans le monde
ont déjà par le sang, et de fonder dans le Nouveau Monde une Nouvelle France  ; – et c’est à cette tâche, en effet, qu’ils se c
douzaines de parcelles un peu partout, en tout environ quatre fois la France  – et le jour où nous le voudrons, toute la partie
pouvons espérer maintenir dans le monde le rang et l’influence de la France qu’autant que nous propagerons sa langue ; – d’au
x écoles encore à peu près inconnues1. Sortie enfin de sa torpeur, la France devra essayer d’arracher ses enfants à leur rare
les colonies sont nécessaires à la grandeur et à la prospérité de la France  ! Aussi bien le goût de l’expansion extérieure de
é de ses steppes asiatiques « dans le pays où l’on se battra ». Et la France resterait en arrière dans le mouvement actuel ? E
sion des races sur la terre habitable, les résolvent ? Non certes. La France n’est pas encore assez éprise de rêveries et de b
ise sur le monde, et vous ne remarquez même pas qu’elle n’augmente en France qu’avec une inquiétante lenteur ? Les nations de
nombre de leurs habitants dans une moyenne de cinquante-six ans : la France n’effectue ce doublement qu’en cent quatre-vingt-
frères que les hasards des batailles ont arrachés à l’affection de la France . » C’est là, il faut en convenir avec sincérité,
a vérité. Mais repose-t-il sur de solides fondements ? Sans doute, la France , saturée de population, n’a pas l’enviable fécond
igrants affaiblirait notre armée ? Peut-on supposer un instant que la France cesserait de penser à l’Alsace et à la Lorraine p
ce qu’elle songerait à étendre et à fonder au dehors « la plus grande France  » ? Les colonies ne s’établissent pas nécessairem
er, ni détruire, c’est commercer, c’est labourer, c’est civiliser. La France , pour venger l’honneur de son drapeau, a dû récem
ompatriotes que le chancelier de fer essaie en vain de germaniser. La France ne se laisse pas distraire de son affection par l
it l’Alsace et la Lorraine, elle ne serait plus digne de s’appeler la France  ! Mais, ajoute-t-on, à supposer que vous ne compr
ultiver le sol ? « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France  ; » n’allez pas les chercher… au Pérou… ou ailleu
inutiles dans leur patrie, utiles à la patrie extérieure, aussitôt la France pourra renaître à la prospérité et respirer libre
des Anglo Saxons, s’affurachir de toute tutelle et se détachent de la France , nous ne nous en désolerons pas autre mesure. L’é
vilisateur, nées au progrès, à la lumière et à la liberté, grâce à la France , mère et éducatrice des peuples enfants ? « Trêv
songes, s’écrient encore les adversaires de l’expansion coloniale, la France , ne le savez-vous pas, n’a pas réussi dans ses en
Anglais, que nous avons aiguisée et tournée contre nous. Eh quoi ? la France n’a pas le génie colonisateur ? Mais alors il fau
qui a failli bâtir dans l’Inde un immense empire, prolongement de la France au-delà des terres et des mers orientales ; de Du
ttend un monument dans sa patrie, qu’il a voulu doter d’un monde ? La France n’a pas le génie colonisateur ! Mais les deux mil
et par le cœur, ne descendent-ils pas de 65.000 colons français ? La France n’a pas le génie colonisateur ! Mais, hier comme
trompe les esprits les plus pondérés ! Alors que les vrais fils de la France emportaient avec eux au dehors les qualités nativ
ue du Nord et l’Asie du Sud I1 Mais, en vérité, le gouvernement de la France était-il la France ? Faut-il confondre et les min
e du Sud I1 Mais, en vérité, le gouvernement de la France était-il la France  ? Faut-il confondre et les ministres et l’entoura
e avec les sujets et avec le pays ? Aussi de nos jours, depuis que la France est redevenue maîtresse de ses destinées, elle re
onneur de la troisième république que d’avoir étendu le domaine de la France extérieure. L’esprit public s’éveille : les Franç
dagascar et forcent les Hovas jusque dans leurs repaires. En Asie, la France a su conquérir un domaine d’un seul et solide tén
cœur de l’empire chinois, ouvert enfin à la civilisation, grâce à la France . » Table des matières BACCALAURÉAT DE
7 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417
dans le royaume de Naples. Il se fit connoître, en 1630, à la cour de France , où il vint traiter de la part du duc de Savoie.
e. C’est à lui que nous devons ces deux traités si avantageux pour la France  ; celui de Westphalie, signé en 1648, et celui de
Louis XIV avec l’infante Marie Thérèse ; alliance qui acquéroit à la France des droits à la couronne d’Espagne, si le prince,
mme cela arriva. (On peut voir sur ce sujet l’Abrégé de l’Histoire de France par l’auteur cité, année 1659.) Mazarin mourut en
8 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
s pays libres. C’est à Athènes, à Rome, à Florence, en Angleterre, en France , à l’éclat des plus vives lumières, par l’enseign
N’est-ce pas d’ailleurs grâce à cette culture non interrompue que la France a occupé un si haut rang parmi les États1, a entr
reçoit un homme d’État aussi éclairé dans ses rangs, de rappeler à la France que c’est l’esprit des nations qui fait leur gran
tion de M. le baron Pasquier, 8 décembre 1842). La grandeur de la France Péroraison du discours de réception à l’Acadé
e réception à l’Académie prononcé par M. Mignet le 25 mai 1837 La France , marchant la première vers l’avenir immense qui a
la métropole le courageux agent des colonies soumises ; auprès de la France et de l’Espagne le négociateur heureux des coloni
e tout entière portât son deuil, mais que l’Assemblée constituante de France s’y associât par un décret public. Sans doute il
9 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -
e, Rome et la faction Lorraine se disputaient le droit d’imposer à la France un roi de leur choix. Le tocsin avait partout app
nant avec la logique de Sganarelie que « le roi est le vrai soleil de France , et que le soleil est une belle invention, quoiqu
compte. Je n’ay point leu les livres, ny les histoires, et annales de France , et n’ay que faire de sçavoir s’il est vray qu’il
stance du peuple, comme des choux de leur jardin. 1. La Satire en France au xvie  siècle. — Hachette. 1. Le sieur de Rieu
rre le Cruel. 8. « Ceux qui estoient commis au mesnagement de nostre France , au lieu de soulager des tailles, aydes et subsid
paternel et du côte maternel. 1. Poton de Xaintrailles, maréchal de France , mort en 1461. 2. Pour ce qui regarde la gloire.
10 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
erre de sept ans (de 1756 à 1763). Les Abenakis s’étaient alliés à la France contre les Anglais. Les Abenakis et les Mohicans
it dans ce pays pour y exercer son industrie. L’autre était envoyé de France , par sa famille, auprès d’un oncle fort riche don
ujet et plan. Une sécheresse affreuse désole une riante contrée de la France . Deux jeunes cultivateurs, conduisant leurs troup
aise qui, sous les ordres du comte d’Enghien, prince du sang royal de France , venait d’entrer en Piémont. Sujet et plan. Avant
e ses amis, nommé Ernest de Katt, dans l’intention d’aller visiter la France . On courut après les deux fugitifs ; on les arrêt
les moyens de s’évader. Quelques années après, le proscrit rentra en France et recouvra la plus grande partie de sa fortune ;
Après de glorieux exploits, le chevalier s’embarque pour retourner en France  ; mais on refuse d’admettre dans le navire son re
l se réserve de te la redemander toutes les fois que le service de la France l’exigera. » 74. Ladislas. Sujet et plan. L
avoir été obligée de fuir et avoir perdu toute sa fortune, rentre en France dénuée de toute ressource. Elle apprend que la fe
de Louis III, arrivée en 883. Cette époque était désastreuse pour la France , réduite à d’étroites limites, déchirée par les d
relevé la gloire de la dynastie carlovingienne et rendu le calme à la France . Sujet. Carloman, étant à la chasse, fut blessé m
s. L’industrie de la soie ; passa ensuite en Italie, et de là dans la France , dont elle est une des plus grandes richesses. L’
spéré, renonça pour jamais au monde et fit don de sa principauté à la France . Plan. Cette narration se divise naturellement en
ments, l’Isère, la Drôme les Hautes-Alpes. Ce pays était séparé de la France depuis 879, et faisait partie du royaume de Bourg
rration, fut le dernier dauphin de Vienne. En cédant sa province à la France , il y mit pour condition que le fils aîné des roi
nce à la France, il y mit pour condition que le fils aîné des rois de France porterait toujours le titre de dauphin. Jean, duc
ris les armes contre la Convention nationale, qui gouvernait alors la France  : nobles, prêtres et paysans s’étaient soulevés e
. 98. Hedwige. Louis, surnommé le Grand, de la maison royale de France , descendant d’un frère de saint Louis, était roi
enne, après avoir amassé, en Amérique, une grande fortune, revient en France avec l’intention de la partager avec ses parents,
onjure de le modérer dans l’intérêt de l’humanité et dans celui de la France . Si Paris était pris d’assaut, comment retenir la
cendie. Quel triomphe pour le roi d’Espagne et pour les ennemis de la France  ! Loin de faire de nouvelles victimes, Henri voud
er-Rhaman, que les Français appellent Abdérame, ils avaient envahi la France . La France était alors gouvernée, au nom des rois
que les Français appellent Abdérame, ils avaient envahi la France. La France était alors gouvernée, au nom des rois fainéants,
se prépara à une grande bataille. Cette bataille devait décider si la France et l’Europe devaient rester libres et chrétiennes
fureur de Charles d’Anjou et qui les protège contre les menaces de la France . Leurs ambassadeurs se présentent à la cour de do
. C’est un des plus habiles et des plus sages ministres qu’ait eus la France . Il était calviniste et ne voulut jamais abjurer,
ait voir quels effets aura relativement à l’ennemi, relativement à la France , relativement à Charles lui-même, la conduite que
rendra plus redoutables ; qu’il est insensé d’employer l’argent de la France à enrichir les ennemis de la France ; que payer l
insensé d’employer l’argent de la France à enrichir les ennemis de la France  ; que payer leur départ, c’est les exciter à reve
ys. Il fera voir que par une telle conduite on frappe mortellement la France dans son honneur ; qu’on la couvre de honte aux y
À l’aide de quelques précautions oratoires, il fera comprendre que la France n’obéira pas longtemps à des princes qu’elle n’es
ignal de l’attaque, et à écraser si complètement les barbares, que la France soit désormais à l’abri de leurs incursions. Ces
nts eurent lieu après la mort de Carloman (Voyez le 79e exercice). La France , envahie et ravagée, avait choisi pour roi (à l’e
ommé le Mauvais, roi de Navarre, ne cessa de fomenter des troubles en France , dans l’espoir d’arriver à la couronne ; il tenta
it à la fois roi d’Angleterre et possesseur de plusieurs provinces de France . En effet, il tenait de sa mère Aliénor la Guyenn
succéder dans le royaume d’Angleterre et dans les duchés et comtés de France , et s’empara de tout au préjudice d’Arthur, fils
nité et de la nature outragées, au nom de la chevalerie, au nom de la France et de l’Angleterre même. Il réfute ce qu’on pourr
te pas de ceux que l’on assassine ; et d’ailleurs, Jean, vassal de la France , a commis ce forfait sur la terre de France, et s
leurs, Jean, vassal de la France, a commis ce forfait sur la terre de France , et sur la personne d’un enfant de la France. Il
forfait sur la terre de France, et sur la personne d’un enfant de la France . Il finit en demandant l’arrêt de mort du coupabl
t du coupable et la conjuration de tous les domaines qu’il possède en France . Jean, d’une voix unanime, fut condamné à mort co
mme assassin, félon et traître. Par le même arrêt, ses possessions en France furent confisquées et réunies à la couronne. Phil
le-champ de la Normandie, qui se trouva ainsi réunie à la couronne de France , dont elle était séparée depuis 292 ans ; il s’em
ve et animée : que Clovis songe enfin à remplir ses devoirs envers la France et envers lui-même ; qu’il s’occupe des affaires 
r le terrain. Le roi d’Espagne Philippe II (qui était en paix avec la France ), voulant s’attribuer la possession exclusive de
erres civiles qui probablement vont recommencer : ils auront servi la France et honoré leur jeunesse par une action immortelle
spagnols, mais comme assassins. 148. Discours de l’ambassadeur de France au pape. (XVIe siècle) Sujet. Le barigel de
affreux ministère. L’ecclésiastique va se plaindre à l’ambassadeur de France . L’ambassadeur (c’était le cardinal d’Estoutevill
’il réclame du souverain de Rome, du chef de l’Église, d’un ami de la France . L’ambassadeur n’obtint pas Justice. Exaspéré, il
il fait saisir le barigel, le fait traîner dans la cour du palais de France , et là le fait suspendre à un gibet. Puis, rassem
11 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre II. »
ents les plus impétueux de l’imagination et du cœur. Le plus connu en France est le dithyrambe de Delille sur l’immortalité de
. C’est à l’ode badine que nous pouvons rattacher ce qu’on appelle en France la poésie légère, muse sémillante et folâtre, don
ale, et même de l’ode, comme nous le voyons souvent dans Béranger. La France est par excellence le pays de la chanson : c’est
ou quelques rimes ; en un mot, comme dit le proverbe : Tout finit en France par des chansons. La Ligue et la Fronde faisaient
ler, Léopold de Stolberg, Hardenberg, Kœrner, Matthison, Heine, Grün. France . Les Troubadours et les Trouvères au moyen-âge. R
12 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
e. Racine, né trois ans après que la merveille du Cid avait ouvert en France des voies nouvelles à l’art dramatique, paya ains
ons point, Corneille tiendra sa place parmi toutes ces merveilles. La France se souviendra avec plaisir que sous le règne du p
e. De là vient que, dans un temps que toute l’Europe était en feu, la France ne laissait pas de jouir de toute la tranquillité
ttre en mer six vaisseaux de guerre et quatre galères : maintenant la France compte dans ses ports vingt-six galères et cent v
, que le roi, par ses largesses, n’ait excité à travailler1. Aussi la France , sous son règne, ne se ressent en rien ni de l’ai
Essex ont eu beaucoup de réputation. — Quant à Pierre Corneille, « la France , dit Voltaire, lui donna le surnom de Grand non-s
13 (1881) Rhétorique et genres littéraires
). Tacite 54 ? — 119 ? Dialogue sur les Orateurs ? Rhétorique en France . XVIe siècle. Sibilet (Thomas) 1512 ? — 15
cte V, scène ii.) 6° le concret pour l’abstrait. Ex. « La maison de France garda son rang sur celle d’Autriche jusque dans B
s, les Dialogues de Platon, de Xénophon, de Lucien, de Cicéron ; — en France , ceux de Fénelon : Dialogues sur l’éloquence, — D
rs roys. » Transporté en Italie, il y fit la gloire de Pétrarque. En France au xvie siècle, Ronsard et les autres poètes de
siens, ranimait son regard. Moi, je veux rajeunir le doux sonnet en France . Du Bellay, le premier, l’apporta de Florence, Et
te aussi quelquefois avec lui Bacchus et Vénus. Chez les modernes, en France particulièrement, la poésie lyrique a absorbé tou
e laisser aucune trace durable. Poésie épique chez les anciens, en France au Moyen-Âge ; épopée moderne en France Dans l
e épique chez les anciens, en France au Moyen-Âge ; épopée moderne en France Dans les temps primitifs, l’épopée a trouvé de
ossible. Voltaire a dit que les Français n’ont pas la tête épique. La France est au contraire la plus épique de toutes les nat
e faut pas le confondre avec la pantomime, dont le nom a été donné en France à des ballets tirés de sujets mythologiques, et q
’art dramatique chez les Latins un vif éclat. Tragédie et drame en France En France, ce fut l’école de Ronsard qui resta
ue chez les Latins un vif éclat. Tragédie et drame en France En France , ce fut l’école de Ronsard qui restaura la tragéd
nous l’expression la plus complète et la mieux réussie. Comédie en France Bien plus que la tragédie, la comédie a changé
ns Delille. Poésie didactique chez les Grecs, chez les Romains, en France Née avec le génie grec, la poésie didactique d
resque faire oublier. Au dix-huitième siècle, la poésie didactique en France prend, sous la double influence des économistes e
) Poésie pastorale primitive, chez les Grecs, et les Romains, en France Les anciens ont souvent compris sous le nom d’
ésien, et au quatrième dans les Idylles d’Ausone. Presque inconnue en France au Moyen-Âge, la poésie pastorale renaît au seizi
Grecs, la prose de Platon ; chez les Romains, celle de Tite-Live ; en France , celle de Bossuet, de Fénelon, etc. Principaux
ire ; abrégé historique de la prose chez les Grecs et les Romains, en France La prose de la science n’est pas toujours la p
premiers historiens (Grandes annales, Livres des pontifes), etc. En France , lorsque parurent les premiers prosateurs, Villeh
ous, ont dû l’honneur de passer à la postérité. Chez les modernes, en France , le barreau a longtemps été barbare et ne s’est r
vième siècle, de célèbres professeurs en Allemagne, en Angleterre, en France , ont ouvert une nouvelle carrière à la parole pub
ec tant d’éclat devant les auditoires de la Sorbonne et du Collège de France la philosophie, l’histoire, l’éloquence et la poé
ivain, tantôt le tableau littéraire, scientifique ou économique de la France à une époque déterminée. Ex. les éloges de Montai
chardin, Paolo Sarpi en Italie, de Thou, d’Aubigné, Guizot, Thiers en France , pour n’en citer que quelques-uns, ont été mêlés
chez les Grecs, Thucydide, Polybe ; — chez les Romains, Tacite ; — en France , Ph. de Commines, et la plupart de nos historiens
été réunis dans les Collections de mémoires relatifs à l’histoire de France , de Guizot, — de Buchon, — de Michaud et Poujoula
usieurs ont été exhumés ou reproduits par la Société de l’histoire de France , qui en a soumis les textes à la critique la plus
un art. Dans l’antiquité grecque et latine Aristote et Quintilien, en France , aux dix-septième et dix-huitième siècles, le P. 
ry, Portraits historiques et littéraires, — Ch. Lenient, La Satire en France au moyen âge et au seizième siècle, et les nombre
rages qui traitent d’une seule branche de la science. Ex. Quérard, La France littéraire. La bibliographie particulière a pour
s particulières publiées dans les éditions des Grands Écrivains de la France , sous la direction de M. Regnier (Malherbe, Mme d
et de Lucien chez les Grecs, — ceux de Cicéron chez les Romains, — en France , au xviiie  siècle, ceux de Fénelon sur l’éloquen
ient aussi à l’ordre moral. Ex. Quesnay Turgot, Dupont de Nemours, en France , au dix-huitième siècle ; — de nos jours, J.-B. S
, Aristote, Longin, etc. ; — à Rome, Cicéron, Quintilien, etc. ; — en France , Fénelon, Voltaire, Marmontel, Ch. Lévêque (Scien
lée à l’histoire. Ex. La plupart des romans d’Alexandre Dumas père en France  ; — ceux de Walter Scott en Angleterre, etc. 3° L
eur retrace des scènes de la mer. Ex. Quelques romans d’Eugène Sue en France  ; — ceux de Cooper en Amérique, etc. 4° Le roman
hez les Allemands, les travaux de Lessing, de Winckelmann, etc., — en France , ceux de Théophile Gautier, de Paul de Saint-Vict
l de Saint-Victor, etc. Le roman chez les Grecs et les Romains, en France Chez les Grecs, le roman fut élégant, gracieux
u rôle effacé de la femme dans les sociétés antiques, se développe en France au moyen âge, à mesure que la femme, quoique enco
tout à la fois. Genre épistolaire chez les Grecs et les Romains en France Chez les Grecs, on ne rencontre aucun recueil
mportance et l’intérêt varient avec le talent des écrivains. C’est en France , chez les modernes, que le genre épistolaire a je
s de Voiture, de Balzac, surnommé de son temps le grand épistolier de France , de Mme de Sévigné, de Mme de Maintenon au dix-se
14 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Mignet Né en 1796 » pp. 261-264
N’est-ce pas d’ailleurs grâce à cette culture non interrompue que la France a occupé un si haut rang parmi les États2, a entr
reçoit un homme d’État aussi éclairé dans ses rangs, de rappeler à la France que c’est l’esprit des nations qui fait leur gran
tion de M. le baron Pasquier, 8 décembre 1842). La grandeur de la France Péroraison du discours de réception a l’acad
de réception a l’académie prononcé par m. mignet, le 25 mai 1837. La France , marchant la première vers l’avenir immense qui a
15 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
rda loyale affection au souverain dont la vie était si précieuse à la France . Après l’assassinat, qui fut un malheur public, i
, par le génie d’Henri IV, la religion et la royauté, c’est-à-dire la France d’alors. Parlons d’abord du poète, de ces Tragiq
ngagements. Après l’acte d’abjuration, qui pacifia si heureusement la France , il resta ce qu’il était avant, l’âpre censeur qu
savoyardes de l’une à l’autre, et plus que de Paris à Estampes, ou de France en Angleterre. Si on allegue le detour, il n’y en
n de parvenir. 2. Vatable était un professeur d’hébreu au Collège de France , que François Ier venait de créer. 3. Louis Ier,
16 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
uple ayant reçu de la Providence sa mission sur la terre, celle de la France soit de répandre toutes les grandes et utiles vér
. Or c’est là un des caractères du génie français. Ailleurs, comme eu France , on fait des découvertes, on a des idées, on crée
s, on a des idées, on crée des systèmes, on établit des théories ; en France seulement on vulgarise tout cela. Ailleurs on écr
n vulgarise tout cela. Ailleurs on écrit des volumes ; ce n’est qu’en France , de l’aveu de tous, que l’on sait faire un livre.
près de lui échapper. Au reste, il est rare que l’obscurité soit, en France , comme en Allemagne, le résultat d’un parti pris
me ? » Depuis que notre langue a été étudiée, chaque demi-siècle, en France , a eu son jargon. Au xvie , les savants de la Ren
17 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voiture, 1598-1648 » pp. 21-25
comme présentes, comptons combien cet homme, qui, dit-on, a ruiné la France , lui a épargné de millions par la seule prise de
re Important 4, Elle sait faire des actions qui le soient si fort. La France , que vous venez de mettre à couvert de tous les o
lus glorieuses défaites dans les armées, et que la plus belle tête de France soit aussi la meilleure et la plus ferme. Il n’y
lettre, dont nous ne pouvons donner qu’un fragment, s’adressait à la France entière, et parle comme la postérité. Voiture l’é
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
Le siècle de Louis XIV Au dix-septième siècle, le génie de la France était mûr pour enfanter de grandes choses ; et to
ne à la guerre, ses armes heureuses et rapides paraissent justes à la France éblouie. La pompe des fêtes se mêle aux travaux d
vastes ports sont creusés : une enceinte de forteresses environne la France  ; les colonnades du Louvre s’élèvent ; les jardin
s Pays-Bas et de la Hollande se voit surpassée par les ateliers de la France  ; une émulation de travail, d’éclat, de grandeur,
es applaudissements qui suivent votre nom sur tous les théâtres de la France et de l’Europe. L’Académie l’avait prévu : elle é
t par là, Monsieur, que vos pièces, transplantées, ont amusé toute la France , et que, passant à l’étranger, traduites, mêlées,
19 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
plus grande précaution, à cause des obscénités qu’ils renferment. En France , nous n’avons guère de poètes qui n’aient fait qu
. Le suivant est également très délicat : A un roi étranger venu en France . Un roi qu’on aime et qu’on révère A des sujets
vous forme la différence : C’est qu’il fut autrefois légat du pape en France , Et la France en voudrait un envoyé de vous.
différence : C’est qu’il fut autrefois légat du pape en France, Et la France en voudrait un envoyé de vous. Article VI.
un des meilleurs. Sans user de pouvoir magique, Mon corps, entier en France , a deux tiers en Afrique. Ma tête n’a jamais rien
causer le naufrage.                                 Orange, ville de France . La langue latine se prête mieux que la nôtre à
20 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
ère, et née à Munich en 1660. Elle épousa, en 1680, Louis, dauphin de France , fils de Louis XIV. Cette princesse, qui avait un
r et de faire des heureux, il donnait les plus belles espérances à la France , lorsqu’il lui fut enlevé à la fleur de son âge,
avait lancé. Jupiter le métamorphosa en astres. Charente, rivière de France qui prend sa source près de Rochechouart, sur les
arbrisseau, qui lui fut depuis consacré. Dauphin. Louis, dauphin de France , dit le grand dauphin, fils de Louis XIV et de Ma
ui ne lui fut pas non plus accordé. Sensible à ce refus, il quitta la France , et entra au service de l’empereur en qualité de
seaux qui lui étaient consacrés. L Landau, ville très forte de France , et l’une des plus fortes de toute l’Europe, à l’
de Queich. Elle était autrefois impériale : mais elle lut cédée à la France par le traité de paix de Westphalie, en 1648. Le
par le traité de paix de Westphalie, en 1648. Lens, petite ville de France , dans l’Artois, sur le ruisseau de Souchets, au n
igue, et prit le titre de lieutenant général de l’État et couronne de France . Henri IV le battit dans toutes les rencontres, e
grand dauphin. Elle mourut, en 1671, âgée de 64 ans. Reims, ville de France en Champagne, très ancienne, bien peuplée, et don
On l’appelle souvent la Déesse aux cent voix. Rocroi, ville forte de France en Champagne, sur les confins du Hainaut, à deux
21 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
torisés, par exemple ceux de la Collection des grands écrivains de la France , celui de la grande édition de Molière, M. Moland
la parole de ses professeurs. François Ier lui donnait le collège de France (1531) en même temps qu’il mettait fin, par un ar
, comme Budé, qui conseilla à François Ier la fondation du collège de France , Budé « le prodige de France », dit Érasme ; Dole
François Ier la fondation du collège de France, Budé « le prodige de France  », dit Érasme ; Dolet, le « Cicéronien » ; Joseph
poète latin et français à ses heures, et auteur des Recherches de la France . Parmi les savants, la littérature proprement dit
Sully, grand ami de labourage et pâturage, ces deux « mamelles de la France  », devait goûter le Théâtre de l’Agriculture et M
rance civile, Michel de l’Hôpital (1505-1573), qui fait entendre à la France son éloquence honnête et élevée, pendant qu’à la
tingue son Histoire ecclésiastique de l’Eglise réformée au royaume de France . — Aux nombreux traités dogmatiques de Duplessis-
écritures, mais son « loyal » serviteur y supplée1. Les maréchaux de France dictent comme Vieilleville (1509-1571), ou écrive
. VIII. ellipse — De l’article devant les noms propres de pays ( France , Allemagne) ; — devant certains noms communs (hom
esse, et qui est restée comme le code doctrinal de la réforme dans la France du xvie  siècle, et comme un chef-d’œuvre de la l
éface de « l’Institution de la religion chrestienne83 » Au Roy de France très chrestien François Ier de ce nom, son Prince
nture, aux regles de leur langage, que le meilleur maistre ez arts de France . Il ne sçait pas la rhetorique, ny, pour avant ie
donna en charge à un Allemand, qui depuis est mort fameux medecin en France , du tout ignorant de nostre langue, et tresbien v
Buchanan121, ce grand poëte escossois ; Marc Antoine Muret122, que la France et l’Italie recognoist pour le meilleur orateur d
u Concile de Trente, surintendant des finances en 1554, chancelier de France de 1560 à 1568. Sa vie politique, sa médiation en
de corps, mais de main et de toutes aultres parties. Anciennement, en France , des juges ne prenoient rien des parties pour fai
st embrasement est universel, et a déja gaigné beaucoup de pays en la France  ; et toutesfois toutes ces calamités, encore qu’e
e la guerre ne peult remplir que de ravages et massacres cette pauvre France , la rendre farouche et sauvage, sans pitié, human
et plus chrestienne qu’humaine debonnaireté de leurs majeurs roys de France envers leurs subjectz, qui est le seul bien qui a
d’ycelle ; c’est-à-dire le jugement de Dieu sur ceste noble maison de France , humiliant les choses élevees, et aneantissant le
eux des Homeres, Demosthenes, Virgiles et Cicerons, aussi bien que la France a quelquefois produit des Pericles, Nicies, Alcib
r de François Ier, précepteur des fils de Henri II, grand-aumônier de France sous Charles IX et Henri III, évêque d’Auxerre à
isita, en voyageant pour vivre de son métier de peintre de vitres, la France des Pyrénées au Rhin, les Flandres et les Pays-Ba
ses batailles. Mutilé par une dernière blessure, en 1570, maréchal de France de 1573, il prit la plume en déposant l’épée, et
nnent du Roy és provinces de Toscane et de la Guienne et mareschal de France  ; me voyant stropiat presque de tous mes membres,
je laisse aprés moy, qui suis aujourd’huy le plus vieux cappitaine de France , que je n’ay jamais eu repoz pour acquerir de l’h
ventre ; je sçay que vous n’en avés pas besoin ; il n’y a noblesse en France qui esgalle celle de nostre Gascongne. A eulx don
pirituel et vaniteux capitaine et courtisan périgourdin. Il servit en France sous François de Guise, en Italie sous le marécha
mplie de son nom et de sa renommée tellement qu’alors de l’admirai de France en estoit-il plus parlé que du roy de France. Et
bourguemaistres, qui sont comme consuls en Gascogne et eschevins e*n France . Tout y estoit ce jour-là en desbauche ; tout le
t si authentique qui tient lieu de contract de mariage d’une fille de France , veuslent attirer sur votre majesté le blasme d’u
sé en ses sonnets ; Jean Passerat, le savant professeur du collège de France , plus marotiste que ronsardiste en ses vers ; Pie
t appuis de la Couronne et Monarchie françoise ? Où sont les pairs de France , qui devroient estre icy les premiers pour ouvrir
ces chenilles qui succent et rongent les belles fleurs des jardins de France , et s’en peignent de diverses couleurs, et, en un
st déjà faict par la nature, né au vray parterre des fleurs de lys de France , rejeton droit et verdoyant du tige de Saint-Loui
4°, publiés dans la Collection des documents inédits de l’Histoire de France , 1843-1835, et complétés par différentes publicat
arre je vous aimois et faisois cas de vous. Depuis que je suis Roy de France , je n’en fais pas moins, et vous honore autant qu
miens, que, lorsque Dieu m’a appellé à ceste Couronne, j’ay treuvé la France non seulement quasi ruynee, mais presque toute pe
, après sa mort, ses négociations, et dès lors fit les affaires de la France à Rome, à Florence, à Turin. L’estime et la recon
de faict à l’Eglise et à la Couronne, comme si le Pape recouvrera en France l’authorité qu’il y a perduë. Et horsmis le poinç
tablissant, et à qui il ne reste meshuy que fort peu à acquérir en la France  ; ou du Pape, qui va tousjours y perdant si fort,
bat, va étudier à Genève sous Théodore de Bèze, revient se battre en France , échappe à la Saint-Barthélemy, s’oublie dans les
tre sept ou huit mille personnes, il s’escria : « Ils ont décapité la France , les bourreaux ! » Puis le fils ayant picqué près
ent, il le convieroit à venir voir en un pré une des bonnes espees de France  ; la responce fut telle : « Je ne suis pas si mal
ne telle espreuve de sa valeur. Responce : « Monsieur, nous sommes en France , où les Princes qui sont nés en la peau de leur g
éry, il entra ensuite dans les ordres, et prêcha avec grand succès en France  ; puis, évêque du diocèse de Genève, qu’il ne vou
huit ans que sa forte complexion et santé, et que tous les vœux de la France , et plusieurs gens de bien hors de France, lui pr
et que tous les vœux de la France, et plusieurs gens de bien hors de France , lui promettoient encore de vie vigoureuse, eusse
ui par lequel, se rendant enfant de l’Eglise, il se rendit pere de la France  ; se rendant brebis du grand pasteur, il se rendi
s Guez, seigneur de), né à Angoulême, réputé « la plus belle plume de France  », a dit Bayle, oracle de l’hôtel de Rambouillet,
ds de la Charente, et qui l’ont fait appeler « le grand épistolier de France  », qu’à sa part considérable dans la constitution
et de nos laquais. Et ces gens si déterminés, qui dévoient percer la France jusqu’aux Pyrénées, qui menaçoient de piller Pari
outes nos forces furent jointes ensemble pour cet effet ; et toute la France se trouva devant une place. Ici, au contraire, il
eur propre pays, et qui, pour perdre un homme seul, voudraient que la France se perdit, se moquoient de tous les préparatifs q
Avein, et qu’ils verront que, tant qu’il a présidé à nos affaires, la France n’a pas un voisin sur lequel elle n’ait gagné des
me présentes, comptons combien cet homme, que l’on dit qui a ruiné la France , lui a épargné de millions par la seule prise de
s n’alloient pas trop bien en Italie ; et comme c’est le destin de la France de gagner des batailles et de perdre des armées,
tous les jours avis que l’on y fait des pratiques pour le perdre. La France et l’Espagne, par manière de dire, sont conjurées
avec les jansénistes dont il partagea toutes les fortunes, fugitif en France , en Belgique, puis fixé à Chartres et enfin à Par
n’occupa jamais. Évadé, il alla prendre part à un conclave, rentra en France en 1661, fut le dernier abbé de Saint-Denis, et m
voue que le cœur m’en saigne quelquefois, et cela est honteux pour la France . CLIMÈNE. Il est vrai que le goût des gens est ét
ons point, Corneille tiendra sa place parmi toutes ces merveilles. La France se souviendra avec plaisir que sous le règne du p
siastiques, et l’inspirateur et l’orateur de l’Assemblée du clergé de France , en 1682. Il entra, en 1671, à l’Académie françai
oyons tous les jours passer les beautés, et qui devenoit barbare à la France même dans le cours de peu d’années ? Quoi donc ?
place à l’autorité légitime ? Ou bien étoit-ce comme un travail de la France prête à enfanter le signe miraculeux de Louis ? N
r discours est une prière au roi, le second un mémoire au roi et à la France , les deux derniers des adresses aux juges de Fouq
: « Louis XIV, véritablement donné de Dieu pour la restauration de la France , fut grand en la guerre, grand en la paix. Il eff
e sa grandeur, mais ce n’est pas un petit dessein, que de réformer la France . Il a été moins long et moins difficile à Votre M
lui plaît, pour un moment en sa mémoire ce grand et beau jour que la France vit avec tant de joie, que ses ennemis, quoique e
lui de l’édition de M. Monmerqué (Collect. des grands écrivains de la France ). À Madame de Grignan. Séparation À Paris,
différents mémoires destinés à éclairer le roi sur l’épuisement de la France et sur la nécessité de nombreuses réformes politi
ur de vos prédécesseurs ensemble, c’est-à-dire pour avoir appauvri la France entière, afin d’introduire à la cour un luxe mons
de ce pauvre peuple, il faudroit lui faire l’aumône et le nourrir. La France entière n’est plus qu’un grand hôpital désolé et
s, lorsqu’il apprit que le Roi l’avoit honoré du bâton de maréchal de France . Il s’étoit opposé lui-même, quelque temps aupara
aux que par d’autres encore plus nécessaires. Le titre de maréchal de France produisit les inconvéniens qu’il avoit prévus ; i
agistrale est commencée dans la Collection des grands écrivains de la France (Hachette et Cie), par M. de Boislisle. Mort d
emier, esprit inventif et ingénieux, le créateur du jardin anglais en France , que Montesquieu emprunta le cadre de ses Lettres
sprit français, dit Sainte-Beuve, « il est cet esprit même ». Venu en France en 1648, et, pour toujours, en 1688, il fut de la
lier de Gramont, la chronique de la jeunesse du comte et des cours de France et d’Angleterre. Ce petit livre a fait oublier se
tiens un homme qui a plus agi que parlé, « le meilleur citoyen que la France ait eu », dit Maury, Vincent de Paul (1576-1660),
er aux sources et aux documents originaux pour écrire son Histoire de France (3 vol. in-folio). Son caractère indépendant se r
hilosophiques et théologiques. Il eût été oublié sans son Histoire de France (17 vol. in-4°), histoire purement militaire, mai
. qu’il m’a paru que de tout temps on n’avoit pas eu assez d’égard en France pour le menu peuple et qu’on en avoit fait trop p
, les lois de la nature. Dans la première partie du xviie  siècle, la France avait, dans l’ordre littéraire, subi passagèremen
est seulement dans une science nouvelle, l’économie politique, que la France , par les écrits de Boisguilbert, de Vauban, au dé
niversité, principal du collège de Beauvais, professeur au collège de France , fut destitué comme janséniste, et, dans sa retra
uefois le papier ; Voltaire a rempli de ses écrits de toute nature la France , l’Europe qui lisait et parlait le français, le x
t point redevable au cavalier Bernini, qu’on fit venir inutilement en France avec tant de frais, et qui fut construite par Per
élégance Des Romains il n’a peint les mœurs ; Tu tus le peintre de la France  : Nos bourgeois à sots préjugés, Nos petits marqu
ièrement tournées du côté de l’Afrique. Il ne pouvait s’adresser à la France , où la marine était toujours négligée, et les aff
Académie de Bordeaux par des Mémoires d’histoire naturelle, puis à la France par la spirituelle satire des Lettres Persanes (1
tion d’entendre parler la vertu : c’est l’abeille de la France551. La France n’a jamais eu de meilleur citoyen que Louis XII.
ier et restent l’incomparable modèle de la critique des beaux-arts en France . De l’allégorie dans la peinture574 Je ne
naliste à Amsterdam, officier et ingénieur en Russie, en Finlande, en France , à Malte, à l’Île de France, il arriva un peu tar
re-d’Or ; on m’envoie au port avertir le gouverneur qu’un vaisseau de France est mouillé sous l’île d’Ambre. Il tire du canon
improvisateur irrésistible, il inaugura dans le régime nouveau de la France l’éloquence politique, et exerça un ascendant dû
s stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France , impassibles égoïstes, qui pensez que ces convuls
c’est le temps de ses pamphlets et de son journal, les Révolutions de France et de Brabant : la terreur déchaînée, il essaya d
Pitt !606 je rends hommage à ton génie ! Quels nouveaux débarqués de France en Angleterre t’ont donné de si bons conseils et
textes et documents du passé, dans ses Observations sur l’histoire de France , le plus célèbre de ses nombreux ouvrages ; chez
774), secrétaire perpétuel de l’Académie française, historiographe de France , est un historien exact et judicieux de Louis XI,
tration, mais de méthode dans ses nombreux ouvrages sur l’histoire de France , dont le plus connu est une Histoire de François 
avec élégance. — Les travaux d’Anquetil (1723-1806) sur l’histoire de France  ; l’Histoire de France de Velly (1709-1759), cont
n joli garçon, un brave garçon, un seigneur de bon goût de la cour de France  : voilà ce que c’est que Roger de Damas. 1er août
ation sociale sous une révolution politique (Essais sur l’histoire de France , 1823) et la marche de la civilisation en Europe
oire de France, 1823) et la marche de la civilisation en Europe et en France  ; avec Augustin Thierry et de Barante, elle retro
e monument, un Français, M. Henri Martin, ajoute le sien (Histoire de France ), œuvre d’érudit et de patriote. M. Thiers écrit
scriptions et belles-lettres qui continue l’Histoire littéraire de la France commencée par les Bénédictins, où se détachent de
es noms d’illustres écrivains, le roman. Le roman n’est pas d’hier en France . Il a été chevaleresque dans les Amadis, pastoral
terre le roman historique et descriptif, et son école fait fortune en France . Mais bientôt, à côté du Cinq-Mars, d’Alfred de V
ntes équipées des héros d’Alexandre Dumas au travers de l’histoire de France , et de la Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, com
hiller, puis l’Italie et la Russie : elle ne rentra définitivement en France qu’après la chute de Napoléon. De sa retraite de
in de morale, de poésie, de liberté » que l’on ne pouvait respirer en France . Ses premiers ouvrages considérables avaient été 
était à six cents lieues de leur demeure. Dans toutes les classes, en France , on sent le besoin de causer : la parole n’y est
nce des auditeurs, s’établissent trop à leur aise dans les récits. En France , celui qui parle est un usurpateur qui se sent en
gincourt669, qui y vit seul depuis vingt-cinq ans, et qui promet à la France d’avoir aussi son Winckelmann670… Une singularité
et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France  : là, vous serez l’objet de mes tendres sollicitu
sage semble dire : Le voilà ! Telle était la situation des esprits en France , en l’année 1799, lorsque, le 9 octobre, les frég
Éloge funèbre du général Drouot722 Monseigneur723, Messieurs, La France venait d’être visitée par les plus grands revers
’effaçaient point l’éclat de son mérite personnel, un nom connu de la France et respecté de l’armée. Mais si belle que fût cet
, et qui appelle tout homme, quel qu’il soit, au tribunal de Dieu. La France avait eu le temps d’oublier ce vieux serviteur. T
elle le montra tirant dans Waterloo724 le dernier coup de canon de la France  ; elle fit revivre des mots fameux qui avaient ét
t revivre des mots fameux qui avaient été dits de lui ; elle amena la France tout entière visiter son jardin, sa maison, et re
s splendeurs des Tuileries. …………………………………………………………………………………………………… La France avait besoin de soldats pour défendre son indépen
oup à Dieu ! Et vous qui avez nourri ce grand homme, vieille terre de France et de Lorraine, conserves-en avec respect tout ce
un événement brusque, nul ne peut savoir quel en sera le résultat. La France et l’Europe sont trop éloignées de Jésus-Christ,
aire perpétuel et l’orateur. Laissons l’homme public, député, pair de France ou ministre. Historien, il a donné des Histoires
l a professé et écrit des histoires de la Littérature au moyen âge en France , en Italie, en Espagne et en Angleterre, de la Li
ans la pensée de l’auteur, ce qui prédomine, c’est l’Angleterre et la France  : l’Angleterre, avec ses victoires, son invasion 
re et la France : l’Angleterre, avec ses victoires, son invasion ; la France , avec la défaite de son roi Jean, les victoires e
e par épisode. Du Guesclin et le Prince Noir, après s’être heurtés en France , se rencontrent en Espagne. Froissard suit ses hé
érables de ses travaux historiques, dans ses Essais sur l’histoire de France , il a éclairé la vie civile et politique de la so
ire philosophique de la Civilisation en Europe, de la Civilisation en France , et l’histoire du Gouvernement représentatif ; da
assez de liberté pour qu’ils déploient avec confiance leurs ailes. La France et Bossuet croyaient sincèrement au droit souvera
n’offrait rien de semblable : l’Empereur Napoléon, qui avait sauvé la France de l’anarchie et qui la couvrait de gloire en Eur
aucun degré, sous aucune forme, l’Empire n’admettait l’opposition. En France et dans notre siècle, c’est là, tôt ou tard, pour
mé de s’en débarrasser. Lorsque Clarendon eut à grand’peine obtenu en France un asile contre l’ingratitude de son maître et la
ar le cardinal de Bérulle, il aurait très-bien pu faire son chemin en France . Il aima mieux courir le monde, errer en Allemagn
ey776 ne pouvait manquer de produire ? Et cependant ces personnes (en France on ne trahit pas l’incognito par les paroles que
rès du tiers-état, publié en 1853. Dans ses Lettres sur l’histoire de France (1820 et 1827), dans ses Dix ans d’Études histori
Il en vint du Maine et de l’Anjou, du Poitou et de la Bretagne, de la France et de la Flandre, de l’Aquitaine et de la Bourgog
ion armée, a mis le pied sur la terre qui porte aujourd’hui le nom de France , il ait été écrit là-haut que cette servitude n’e
ypte ne pouvait remplacer. Avec Kléber, l’Égypte était perdue pour la France  ! Un seul homme pouvait l’égaler, le surpasser mê
te pas d’autre conduite à tenir. S’ils se comportent avec sagesse, la France sous leur autorité peut être heureuse et respecté
miliantes ; elles ne le sont pas pour les Bourbons. Ils retrouvent la France qu’ils avaient laissée, et peuvent l’accepter ave
avaient laissée, et peuvent l’accepter avec dignité. Telle quelle la France sera encore bien puissante, et quoique géographiq
ché de Cologne ; il les dégagea en même temps de la suzeraineté de la France sur la Flandre et sur l’Artois. Mais comment empê
voir affermi ses établissements en Italie, renouvelé ses victoires en France , étendu ses conquêtes en Afrique, il marcha en Al
e, ayant soutenu une lutte et fait une trêve sans désavantage avec la France , il réalisa le projet d’abdiquer qu’il avait médi
rivale de l’Angleterre et de la Hollande, et qui avaient illustré la France par leurs victoires, n’étaient plus. Lionne, l’hé
s nourricières de la puis-sauce de l’État étaient taries. La terre de France ne produisait plus822, Louis XIV pesait sur elle 
écrits historiques (Histoire romaine, Histoire ancienne, Histoire de France ) un fauteuil académique, le général Philippe Paul
Notice Un enseignement historique de dix années au collége de France , où il succéda à Daunou en 1838 ; des ouvrages hi
des ouvrages historiques considérables (Histoire romaine, Histoire de France , Histoire de la Révolution française, Précis de l
le cœur de l’histoire. « Il semble, dit M. Despois de son Histoire de France , qu’il l’avait vécue avant de l’écrire. » Il est
l’exécute malgré les siens et malgré tout le monde. Elle traverse la France ravagée et déserte, les routes infestées de briga
oussé le fer, brisé l’épée ennemie, couvert de son sein le sein de la France . La récompense, la voici. Livrée en trahison, out
attre… Elle ne dit qu’un mot : « La pitié qu’il y avoit au royaume de France . » Souvenons-nous toujours, Français, que la Patr
e, fruit des travaux destinés à un cours, non professé, au Collège de France  ; et surtout une Histoire de Port-Royal, monument
t que conquérir des héritages douteux et reculer les frontières de la France . Toutes ces brillantes chevauchées de Charles VII
catholicisme capable de vaincre le protestantisme, et de demeurer en France la religion du plus grand nombre. En attaquant le
que temps ayant que Simon Vouet868 quittât l’Italie et vînt fonder en France sa grande fortune, on avait vu s’établir silencie
dire au lieutenant : — Comment trouvez-vous que nous représentons la France  ? Le vieillard passa et nous salua froidement de
l s’élança dans l’avenir, jeune, beau, immortel dans la mémoire de la France , avec tout son enthousiasme et quelques taches dé
, a-t-il écrit, je les portais avec moi » ; ils ont ainsi traversé la France des Vosges aux Pyrénées, avant d’éclore. En 1826,
de Batz, ne resremble-t-elle à rien de ce que les voyageurs voient en France . Elle est silencieuse autant que Venise. Il n’y a
ire, ajouta-t-il en la ramenant dans la cabane. — Allez, retournez en France , dit-il en regardant le marquis, mes ordres vous
mbre de l’Académie française. Inspecteur des monuments historiques de France , il a écrit des études d’art et d’archéologie. L’
uit par M. Géruzez (Histoire de l’éloquence poitique et religieuse en France , XIVe leçon), de l’ouvrage de Calvin intitulé Sup
’Écosse). 122. Muret (1526-1585), de Muret près Limoges, professa en France et en Italie. A écrit en latin 46 orationes, des
on. 211. Fils du Maréchal Pierre Strozzi, Florentin au service de la France , dont la vie est la dernière des grands capitaine
re des offres que fit le roi à l’évêque pour l’attirer et le fixer en France . 272. On a dit Henri le Grand comme Louis le Gra
ut de l’Académie ; deux autres d’Estrées, un prélat et un maréchal de France , furent de l’Académie au dix-huitième siècle. — D
tyle à son sujet. 563. Buffon distingue onze espèces de fauvettes en France . 564. « C’est dans ces parties fines et transpa
isé des adversaires de Beaumarchais, était directeur de la Gazette de France , et censeur royal. Il a écrit plusieurs ouvrages 
ût 1792, l’armée austro-prussienne partit de Coblentz pour envahir la France . Le 10 août l’Assemblée législative décréta la dé
Louis XVI, il fut le plus ardent promoteur de la coalition contre la France . 607. Depuis l’arrestation des Girondins (2 juin
« Le 1er mars, à trois heures du matin, Napoléon aborde la côte de France entre Cannes et Antibes : il descend, parcourt la
ineté par le traité de Paris, après sa déchéance. 727. Nommé pair de France après 1830. 728. On remarquera l’art avec lequel
4. Jean Froissart (1337-1410), de Valenciennes. Sa Chronique (sic) de France , d’Angleterre, d’Écosse et d’Espagne a été publié
Winckelmann (voir la lettre de Chateaubriand à M. de Fontanes) de la France . 757. Lapsus de l’écrivain. On entre dans une c
laume Ier, roi d’Angleterre. 788. Histoire allégorique du peuple de France , sous un nom donné par les Suzerains féodaux aux
tillon (février et mars), dont parle l’empereur, voulait imposer à la France les limites de 1790. Napoléon, exigeait celles de
avait 57 ans qu’il régnait. Il avait vieilli, tout avait vieilli. La France semblait pâlie de la vieillesse de son roi. Toute
va tomber et s’éteindre la grande voix du siècle, Bossuet (1704). La France , au lieu de Colbert et de Louvois, avait Chamilla
ans le convaincre, de la nécessité de réunir toutes les gloires de la France autour d’un pouvoir réparateur. Comme il insistai
ût de la pastorale se répand en Italie, en Espagne, en Angleterre, en France … Pendant la Révolution française, même contraste.
Erasme (1467-1536) de Rotterdam. Il refusa la direction du collège de France que lui offrit François Ier. 859. La Boétie mour
eintre, sculpteur, architecte, ingénieur, écrivain, musicien, mort en France , près d’Amboise. — Raphaël Sanzio (1443-1520), né
-1431, de Troyes. Prévôt des marchands de Paris (1388), chancelier de France (1413). 919. Situé près de la Seine entre le Pet
ais, lut blessé mortellement à Bautzen (1813) ; Berthier, maréchal de France , vice-connétable, fut le chef d’état-major de l’e
é à Châtillon-sur-Loing, colonel général de l’infanterie et amiral de France  ; chef du parti huguenot. — Voir p. 6 et p. 89 (R
22 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
uand tomba l’empire, il ressentit douloureusement les blessures de la France . Avocat à Paris en 1822, il ne demandait au ciel
ajouté aux obstacles qui s’opposent au rétablissement de mon ordre en France . Je l’ai fait, j’ai porté cet habit dans les chai
t dans les chaires de Paris, de Bordeaux, de Nancy ; j’ai traversé la France six fois sous ce costume ; je lui ai obtenu parto
préparer une si douloureuse surprise. Ils ont besoin de prouver à la France que leur cœur n’a point faibli, et que leur parol
t l’audace même touchera ceux qui ne voudraient pas être touchés ; la France a un instinct de l’honneur qui la charme partout
en ferme les portes, je prêcherai ailleurs ; si toutes les chaires de France me sont successivement interdites, j’attendrai d’
ande qualité politique, un moyen pratique de gouvernement ? Puisse la France ne cesser jamais de l’honorer et d’y croire ! »
23 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
dix-septième et le dix-huitième siècles. — Au dix-septième siècle, en France , le génie littéraire s’était formé et avait grand
des faveurs et des pensions. Sous Louis XIV, il n’y a bientôt plus en France qu’un salon, qui est Versailles. « La cour ne ren
é essentiellement une littérature de propagande et de conquête. Si la France emprunte à l’Angleterre sa philosophie et ses doc
s de langage. » Dans cet échange, le génie clair et sympathique de la France donne plus qu’il ne reçoit, et partout, à la fin
rs du Nord se montrent curieuses de tout ce qui se fait et s écrit en France . Bien avant le règne de Catherine II, il y a un p
Russie. Dès le début du siècle (1716), ce fut sous le patronage de la France que Pierre le Grand voulut entrer dans le concert
sans doute, n’a pas non plus élevé le monument épique qui manque à la France  ; mais sa critique, plus pénétrante, a mieux conn
place dans les grands systèmes du dix-septième siècle. Ici, c’est la France qui tient le premier rang par l’éclat, la hardies
la liberté des communes ; l’abbé Mably qui propose comme modèle à la France les institutions des républiques anciennes ; Boul
e qui ait vraiment enrichi notre littérature. Rollin, l’abeille de la France , compose son miel des plus belles fleurs de l’ant
e, au moins par l’honnêteté des sentiments. L’Abrégé de l’Histoire de France du président Hénault ne serait qu’une table des m
’éducation publique26. » Cependant deux genres à peu près nouveaux en France , et qui se complètent, naissent directement de la
règles gênantes de leur discipline intérieure, ne permirent pas à la France , comme à l’Angleterre, de fonder le droit de disc
s la physionomie littéraire de l’époque, pourtant si grandiose, où la France s’éveilla douloureusement à la vie politique28. »
e dix-neuvième siècle allait-il accepter cet arrêt ou le reviser ? La France , qui sortait meurtrie et épuisée de la Révolution
écouvrir les applications possibles ? Le génie vif et impatient de la France devait-il s’accommoder de ces lenteurs ? Devait-i
le cartésianisme qui règne dans l’Europe entière. Au dix-huitième, la France reste le centre du mouvement philosophique ; mais
s leçons mémorables sur l’histoire de la civilisation en Europe et en France  ; Barante, dans ses Chroniques de Bourgogne, atta
ent et stérilisent ; mais ils n’ont jamais dominé ni surtout duré. La France a donné raison à Descartes contre Gassendi, à Rou
crète satisfaction d’entendre parler la vertu : c’est l’abeille de la France . » Rollin mourut à quatre-vingts ans, le 14 septe
ténèbres, de la privation la plus sensible, et qui réfléchira sur la France dans toute la suite des générations, comme le com
e ; mais qu’il n’était pas moins obligé de faire justice aux pairs de France qui l’avaient demandée en même temps au Roi par u
es très humbles remerciements, les leurs et ceux de tous les pairs de France , de la justice si ardemment désirée qu’elle prena
eignit à Paris le 12 avril 1704, à soixante-quatorze ans. Paris et la France pleurèrent, Rome même pleura avec la France, et R
quatorze ans. Paris et la France pleurèrent, Rome même pleura avec la France , et Rome et Paris se disputèrent d’obsèques et de
l’Église et pour tous les vrais savants. Il est honteux à l’Église de France que personne encore n’ait osé entreprendre d’écri
on. Il passa en Angleterre. La société anglaise, encore mal connue en France , fut pour Voltaire comme une révélation. Le théât
veau souverain, valurent à Voltaire la faveur passagère de la cour de France . Nommé gentilhomme de la chambre du roi et histor
e France. Nommé gentilhomme de la chambre du roi et historiographe de France , il remplaçait, en 1746, le président Bouhier à l
isent assez quelles avaient été les déceptions de son hôte. Rentré en France , Voltaire hésite sur le lieu où il se fixera. Enf
e, et à ranimer encore les efforts de ceux qui voulaient démembrer la France . Henri, dans ce nouveau malheur, manquait d’argen
rer181. De là, il court pacifier le reste du royaume : enfin toute la France est à lui. Il ne restait qu’à faire la paix avec
à Vervins (2 mai 1598), et ce fut le premier traité avantageux que la France eût fait avec ses ennemis depuis Philippe-Auguste
a pauvreté, reparaissent avec plus d’éclat et enrichissent Lyon et la France . Il établit des manufactures de tapisseries de ha
votre faveur. Il y a toujours trois ou quatre gazettes littéraires en France , et autant en Hollande ; ce sont des factions dif
sujets qu’il traite ; de l’autre, il montre, pour la première fois en France , ce que l’éloquence, sans rien ôter à la science
é de prise de corps pour ce dernier ouvrage, J. J. Rousseau quitta la France . De jour en jour plus ombrageux, se voyant sans c
e les six premiers livres des Confessions, et retourne brusquement en France . Son dernier écrit politique fut une dissertation
pages de causeries qui ont véritablement, selon Sainte-Beuve, créé en France la critique des beaux-arts. Né à Langres, en 1713
uvenargues des relations d’un caractère bientôt affectueux. Rentré en France au commencement de 1742, et obligé de renoncer à
re au marquis de Mirabeau270. Les vies de Plutarque. L’histoire de France , que vous lui conseillez271, est une lecture esse
s stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France , impassibles égoïstes, qui pensez que ces convuls
dié avec une plus persévérante attention l’histoire et le génie de la France , n’a proclamé plus haut sa mission civilisatrice,
oque de la Révolution. Quand la Savoie eut été réunie violemment à la France , il s’exila et alla vivre en Suisse, où il connut
mier ouvrage qui rendit son nom célèbre fut les Considérations sur la France (1797). Le dessein de l’auteur était d’exposer le
du sien par le penchant de son cœur. » Dans les Considérations sur la France , J. de Maistre avait touché au problème de l’orig
, pour faciliter cette union, nomma ambassadeur de Suède à la cour de France . Elle a raconté elle-même dans quelle disposition
ice impériale. Ce livre, le chef-d’œuvre de Mme de Staël, initiait la France à un monde nouveau, qu’elle connaissait mal et dé
était à six cents lieues de leur demeure. Dans toutes les classes, en France , on sent le besoin de causer : la parole n’y est
apprit la fuite de Varennes. Il conçut soudain le désir de revoir la France , et, en effet, il rentrait à Paris au mois de mar
aise. Dans les derniers mois de 1807, Chateaubriand repartait pour la France , et, à son retour, il touchait l’Afrique et l’Esp
re, doublement étayée sur les traditions chevaleresques de l’ancienne France et sur des garanties analogues à celles de la Con
dans l’opposition légale et dans les conseils de la Couronne, pair de France , ambassadeur, ministre des affaires étrangères, i
s seront toujours plus belles que les vallées les plus fertiles de la France et de l’Angleterre. Ainsi, après des siècles d’ou
e la vie. Voyage en Amérique 398. Charles V et Du Guesclin. La France paraît perdue : ses finances sont épuisées ; ses
e Rome, et que nos aïeux nommaient le bon connétable : tant ce sol de France est fécond ! tant notre patrie a de ressources da
eux guerrier, souverain d’un royaume florissant et de la moitié de la France  ; il lutte contre Charles le Mauvais, prince qui
ui tombaient les remparts ennemis. Analyse raisonnée de l’Histoire de France . Jean II. Néron et Tacite. Il y a des genre
te distingué, dans le mouvement de renaissance des études grecques en France , le nom de Courier ne saurait être oublié. En 181
vous y revoir quelque jour : car j’irai à Toulouse, si je retourne en France . Deux amis, dans le même pays, m’attireront par u
Les ouvrages de Guizot sur les origines et la suite de l’histoire de France représentent son enseignement. Augustin Thierry l
ustin Thierry les juge en ces termes : « Les Essais sur l’Histoire de France , L’Histoire de la Civilisation européenne et L’Hi
t à sa fille les dernières pages du quatrième volume de l’Histoire de France racontée à mes petits-enfants. Sa fille, Mme de W
i était si grand, qu’elle voulait s’enfuir, s’embarquer, retourner en France , et faisait déjà ses préparatifs de départ. Troub
arole du P. Lacordaire. Si la mort du général Foy venait de priver la France d’un de ses plus patriotiques orateurs, la grave
e école sut. éviter les obstacles qui avaient si longtemps entravé en France les progrès de la critique : elle ne s’enferma pa
oyal de l’instruction publique, directeur de l’École normale, pair de France , il profita de cette haute situation pour imprime
ait sa curiosité, et ce fut dans la Première Lettre sur l’Histoire de France qu’il posa nettement les termes de la question. P
avoir agité plus encore que résolu dans ses Lettres sur l’Histoire de France cette question des origines, à laquelle il devait
après la révision complète et sévère de ses Lettres sur l’Histoire de France , qu’il conçut la pensée d’entreprendre la peintur
de ces épisodes sous le titre de Nouvelles Lettres sur l’Histoire de France  ; en 1840, les sept fragments qui composent l’ouv
l monté dans la chaire de philosophie grecque et latine du Collège de France , que sa santé le forçait de suspendre son cours.
mon âme entre vos mains. » Elle croyait qu’on l’exécuterait comme en France , dans une attitude droite et avec le glaive. Les
e la métropole le courageux agent des colonies soumises, auprès de la France et de l’Espagne le négociateur des colonies insur
e tout entière portât son deuil, mais que l’Assemblée constituante de France s’y associât par un décret public498. Sans doute
ésenter devant Toulon, où elle avait rendez-vous avec les Anglais. La France avait deux armées : celle d’Allemagne, portée à 1
te pas d’autre conduite à tenir. S’ils se comportent avec sagesse, la France , sous leur autorité, peut être heureuse et respec
miliantes ; elles ne le sont pas pour les Bourbons. Ils retrouvent la France qu’ils avaient laissée, et peuvent l’accepter ave
avaient laissée, et peuvent l’accepter avec dignité. Telle quelle, la France sera encore bien puissante, et, quoique géographi
re, et je n’ai pu me résoudre à déchirer plus longtemps le sein de la France . Jouissez du repos que vous avez si justement acq
De 1833 à 1843 il publiait les six premiers volumes de l’Histoire de France , depuis les origines jusqu’à la mort de Louis XI,
ntes abruptes, en retardèrent la rapidité, et formèrent du côté de la France cet escalier colossal dont chaque gradin est un m
cents pieds la plus haute cascade de l’ancien monde517. Ici finit la France . Le port de Gavarnie, que vous voyez là-haut, ce
deux coups de, sa Durandal. C’est le symbole du combat éternel de la France et de l’Espagne, qui n’est autre que celui de l’E
st autre que celui de l’Europe et de l’Afrique. Roland périt, mais la France a vaincu. Comparez les deux versants : combien le
518 ? » « Et nous, dit le Basque, nous ne datons plus. » Histoire de France , tome II, liv. III (Tableau de la France). Fin
datons plus. » Histoire de France, tome II, liv. III (Tableau de la France ). Fin et résultats du règne de Louis XI (1483)
gleterre ne fit rien. Sa fureur fut pourtant extrême. Répudiée par la France , elle l’était encore par l’Écosse. Deux mariages
é que c’était le dix-huitième siècle, et qu’un homme qui serait né en France vers 1705 ou 1706, qui aurait échappé par l’enfan
ntentements plutôt que des malheurs : voilà le dix-huitième siècle en France , fort différent du temps que racontait Tacite, te
Amérique quand éclata la Révolution de 1830. Décidé alors à rester en France , il se consacra tout entier au triomphe de sa foi
le monde, après quarante ans de paix, cette antique persuasion que la France est un peuple soldat535. Mais la bravoure n’exige
la science, même du génie, et ne pas avoir de caractère. Telle est la France de nos jours. Elle abonde en hommes qui ont tout
première fois dans sa précoce et brillante expansion au Midi de notre France , au bord de la Méditerranée, semble avoir été eff
it humain, qu’elle étudie dans son imposante unité, ni au génie de la France , qu’elle veut montrer toujours semblable à lui-mê
st plus dans la tradition classique, qui est l’originalité même de la France . Il procède de La Fontaine, voire de Boileau, quo
i le menaçait, il passa en Suisse, où le comte du Luc, ambassadeur de France , lui offrit un asile. Là, il apprit qu’un arrêt d
à toutes les cordes de la lyre. Il eut même la pensée de donner à la France ce qui lui a toujours manqué, une épopée national
é à la hauteur de son ambition, l’âge de l’épopée était passé pour la France  : âge unique et court, tout doré encore des refle
ouble inspiration religieuse et guerrière. Au dix-huitième siècle, en France , comme à Rome sous les Césars, l’épopée ne pouvai
urvécut pas longtemps à l’avènement de ce prince, qui promettait à la France un gouvernement réparateur, et qui devait bientôt
ise en 1774, Delille fut appelé en même temps à occuper au Collège de France la chaire de poésie latine675. Le poème des Jardi
es poètes descriptifs : le comte de Choiseul-Gouffier, ambassadeur de France à Constantinople, l’appela auprès de lui. Quelque
genre bien différent, allaient bientôt s’offrir à Delille ; revenu en France , il assista au drame sanglant de la Terreur et fa
octobre 1762 à Constantinople, était fils de Louis Chénier, consul de France en Turquie, et d’une Grecque célèbre par sa beaut
vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France avait paru à un moment où notre poésie n’était pl
fange Ces bourreaux, barbouilleurs de lois, Ces vers cadavéreux de la France asservie, Égorgée, ô mon cher trésor ! O ma plume
le voix Demandait à grands cris du sang et non des lois ! Ceux que la France a vus ivres de tyrannie, Ceux-là même, dans l’omb
érance Suit jusqu’en ces brûlants climats, Sans doute vous quittez la France  : De mon pays ne me parlez-vous pas ? Depuis troi
onne espérance ! Je cours de tons ses malheurs, Sons Paris, venger la France . Il part ; et comme un trésor J’ai depuis gardé s
nte simplicité de l’êpitre. Mais bientôt une muse sévère, celle de la France en deuil, vint arracher à l’âme du jeune poète de
brutalité de la force ; elle fut accueillie avec enthousiasme par la France entière, qui consola sa défaite en répétant tour
a condition de jurer qu’il favorisera la réunion de la Bourgogne à la France . Coitier, médecin du roi, conduit Nemours dans la
nt de faiblesse Perdait tout, livrait tout aux mains d’un favori : La France périssait, si le roi n’eût péri. Les intérêts d’É
on n’ait jamais disputé à ces compositions, c’est d’avoir devancé, en France , toutes celles de ce genre, dans lesquelles une p
Delille809. L’Idole.(Fragment.) O Corse à cheveux plats, que ta France était belle, Au grand soleil de messidor ! C’étai
théâtre de l’action, les Flamands de la Belgique et les Bretons de la France l’ont entrepris aussi dans le domaine de la cultu
ur son cœur encor vivant. Dirons-nous aux héros des vieux temps de la France De monter tout armés aux créneaux de leurs tours,
 ! C’est que dans cette Afrique où, depuis deux grands lustres, Notre France accomplit tant de choses illustres, Au front du r
e ; Développer l’essor des instincts généreux ; Ne pas souffrir qu’en France il soit un malheureux ; Fonder l’égalité, ce beau
tté là, lutté sans espérance, Pour le grand empereur et pour la douce France , Les superbes héros, mes nobles compagnons, Dont
ds vite. « Les avons-nous bien vaincus, cette fois ? « Sommes-nous en France , et sont-ils en fuite ? » Et l’enfant, voyant que
grande édition qui doit prendre place dans les Grands Écrivains de la France . Les deux premiers volumes ont paru (1879-1880).
épouillé de ses prérogatives et réduit au titre et au rang de pair de France . Sainte-Beuve recommande cette scène à « ceux qui
e Sainte-Beuve sur « les vicissitudes de la réputation de Henri IV en France . » Voir Causeries du lundi, tome XI, Henri IV écr
s 184 et 224 de l’édition de Saint-Simon dans les Grands Ecrivains de France (Hachette, 1879). 188. Cf. avec le morceau de Ro
rmomètre, auquel son nom est resté attaché, Réaumur fit le premier en France des essais sur l’incubation artificielle. 194. C
ans le livre cité plus haut, en a beaucoup parlé. 272. L’histoire de France , telle qu’elle est écrite de nos jours, en a bien
trigues, avait reçu une lettre du roi qui lui ordonnait de quitter la France  ; mais, quand cette nouvelle se répandit dans Par
Il quitta le ministère en septembre 1790 et sortit définitivement de France 309. L’Assemblée nationale, au mois de mai 1790,
de cette page. C’est que les étrangers ont souvent mieux parlé de la France , de son caractère, de son génie, que nous-mêmes n
res philosophiques ont paru à la librairie Michel Lévy. L’Histoire de France racontée à mes petits-enfants a été éditée par MM
au, Art poétique, chant Ier : Enfin Malherbe vint, et, le premier en France , Fit sentir dans les vers une juste cadence… 4
M. Mignet de celle de notre vieil annaliste dans ses Recherches de la France , ch. XXX, éd. Léon Feugère (Didot, 1849). Schille
t. 495. On pourra lire cette justification dans les Recherches de la France , d’Étienne Pasquier, ch. xxx, éd. citée plus haut
. Chéruel dans une étude publiée en 1856, souleva l’indignation de la France . Les prédicateurs racontèrent la passion de la re
nèrent le traité d’alliance et de commerce entre les États-Unis et la France (6 février 1778), et il eut la gloire de signer l
rments, déclare qu’il renonce pour lui et ses héritiers aux trônes de France et d’Italie, parce qu’il n’est aucun sacrifice pe
l, même celui de la vie, qu’il ne soit prêt à faire à l’intérêt de la France .  » 509. Châtillon-sur-Seine (Côte-d’Or), où se
rd Ier, sire de Montmorency, parmi les grands feudataires du duché de France . 519. « Cependant il réfléchit sans doute qu’un
a fille d’Edouard IV avec le dauphin. 521. Les Grandes Chroniques de France , écrites dans l’abbaye de Saint- Denys. La premiè
pure et d’un style facile. 545. Poète polonais, né en 1790, mort en France en 1855. Ses poésies les plus remarquables lui on
en Suisse (1712), fut accueilli avec distinction par l’ambassadeur de France en ce pays, le comte du Luc, qui s’honora d’être
a nécessité de réunir toutes les célébrités, toutes les gloires de la France , autour d’un pou­voir réparateur : même silence,
it, en effet, arrivée au peintre Robert, alors élève de l’Académie de France à Rome. Inspiré, à son tour, par les beaux vers d
vires de Villeneuve, était anéantie (1er août). » (Duruy, Histoire de France , tome II, chapitre lxii.) 796. Dans le sens de d
lire, au tome second de l’Histoire de la Réunion de la Bretagne à la France , par M. Dupuy (1880), pages 353 et suivantes, d’i
24 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
ne des changements opérés par le temps dans l’esprit littéraire de la France . Quel progrès dans l’art de décrire et de sentir
a renommée de nos grands écrivains et même la gloire littéraire de la France , c’est la correction et l’exactitude des textes.
tion En dépit de bien des efforts estimables, la routine jouit, en France , d’une autorité toute-puissante ; elle règle en s
berté. Personne n’ignore qu’au moment où il s’est saisi du pouvoir en France , le besoin dominant, impérieux de notre patrie ét
re, l’État et la société avaient été également compromis. Replacer la France nouvelle dans la confédération européenne, la fai
seule pensée, étrangers aux besoins réels de notre temps et de notre France . Elle l’a suivi quelque temps à grands frais dans
it révoqué les intendants des provinces, et rétabli les trésoriers de France en la fonction de leurs charges ; il prétendait e
mencer une révolution et la finir. Guizot 14. Louis XVI et la France Il faut être juste envers Louis XVI, il faut
Il faut être juste envers Louis XVI, il faut l’être aussi envers la France . Si les intentions de Louis XVI étaient droites e
les de père, le peuple, de son côté, aimait et respectait le roi ; la France , malgré des espérances tant de fois déçues ou ajo
-devant de lui. C’était moins contre le roi que contre la cour que la France demandait des garanties. Louis XVI ne savait pas
ance. Forcade 16. La Fayette Quand c’est un pays comme la France qui vous encourage, on se sent doublement fort et
t pas, et à qui elle demandait aussi de la sympathie. Tout à coup, en France , un jeune homme, presque un enfant, il avait dix-
sympathies de la vieille Europe, il venait dire aux Américains : « La France est avec vous. » Deux ans après le départ de cet
cet enfant perdu qu’on avait voulu rattraper à tout prix, la cour de France s’engageait après M. de La Fayette ; M. de Maurep
ine, du maximum, et de la banqueroute, la fortune et le travail de la France , qu’il était si aisé de conserver et de développe
re à vous d’admirer, et même d’imiter ces gens qui ont conjuré sur la France une tempête qui n’a pas encore fini de gronder ;
uple s’est levé pour vaincre ou pour mourir. Il a brisé ses fers. Une France nouvelle, La France des manants, a chassé devant
vaincre ou pour mourir. Il a brisé ses fers. Une France nouvelle, La France des manants, a chassé devant elle Les maîtres, le
quelle souffrance !… » « Nous devons, dit le vieux, notre sang à la France . C’est notre mère à tous ; elle a bâti sur nous S
nsifs dans l’ombre des bivacs ! Et combien revoyaient au beau pays de France Le chaume verdoyant ou notre cœur s’élance, La ru
les territoires et les législations, s’étaient abaissées. La nouvelle France apparut belle et forte de son unité, et chacun de
s les avoir lus, de les prendre pour des barbes grises ; tandis qu’en France , l’arrière-ban du xviiie  siècle et le vieux publ
théorique et n’eût pesé que sur les esprits ! Mais, par deux fois, la France venait d’en faire la triste expérience, il en éta
ir le mieux ; et qu’il n’avait jamais voulu sacrifier l’intérêt de la France à l’intérêt d’un pouvoir. Telle était l’explicati
uments littéraires de tous les âges. L’éloquence politique est née en France avec la politique. L’histoire, qui ne pouvait guè
diter et faire court. P.-L. Courier 24. Le xixe  siècle La France , marchant la première vers l’avenir immense qui a
encore par les mœurs de ses habitants, de la plupart des provinces de France . Il est formé de collines en général assez peu él
nt de faiblesse Perdait tout, livrait tout aux mains d’un favori : La France périssait, si le roi n’eût péri. Les intérêts d’É
vous ai supporté. RICHELIEU. C’est que vous me sentez salutaire à la France  : Voilà tout le secret de votre tolérance ; Car j
dans son conseil, Le royaume au mourant qu’on vole était pareil ; La France s’en allait en lambeaux, démembrée Par deux usurp
ent qu’aux larcins. Des maux intérieurs c’était la conséquence Que la France au dehors changeât de contenance. L’honneur natio
on d’Autriche, On ne consomma point notre honte à demi : On attela la France au char de l’ennemi ! Ah ! sire, vous parliez du
sser l’opprobre s’accomplir ! LE ROI. Doutez-vous que l’honneur de la France m’émeuve ? RICHELIEU. Comment en douterais-je ? E
douterais-je ? En suis-je pas la preuve ? Si vous ne l’aimiez pas, la France , avec ferveur, Auriez-vous supporté le joug de so
, le succès a passé la souffrance ! Voyez la royauté, c’est-à-dire la France , Assise fortement, les deux pieds appuyés Sur les
ttez-moi l’orgueilleuse assurance De dire que je suis nécessaire à la France  ! Moi seul peux jusqu’au bout soutenir le fardeau
: mon front blanchi s’incline, et je supplie. Sire, daignez sauver la France par mes mains, Et, dépouillant tous deux les inté
s malheurs du pays ; Car, je l’affirme ici sur mon âme immortelle, La France périra si je m’éloigne d’elle. LE ROI. À défaut d
êches sont là : lisez tranquillement. Pour moi, que les destins de la France rejettent, Je retourne à mes chiens, — seuls amis
sme, Développer l’essor des instincts généreux, Ne pas souffrir qu’en France il soit un malheureux, Fonder l’égalité, ce beau
Dès lors quel cœur de fer, quel homme sans entrailles Eût condamné la France à tant de funérailles ! Et quand c’est pour sauve
succès facile, Envoie imprudemment son fils dans la grand’ville ; La France s’y bouscule ; et le Parisien Après s’être épuisé
dans sa cour et bienfaisant envers ceux qui l’environnent ; et si la France , et peut-être l’Europe entière, est accablée sous
ttes qui existent encore aujourd’hui. Si, à votre avénement, toute la France a fait éclater par ses acclamations son amour pou
s stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France , impassibles égoïstes qui pensez que ces convulsi
dirons : Périsse l’Assemblée nationale, et sa mémoire, pourvu que la France soit libre ! Périsse l’Assemblée nationale, et sa
ns de l’Europe que, malgré les calomnies dont on cherche à flétrir la France , il est encore, et au sein même de l’anarchie mom
vent établir l’édifice d’une constitution qui assure le bonheur de la France et consolide le règne de la liberté. Je demande q
el on l’accuse. Je voudrais pouvoir être entendu dans ce moment de la France entière, je voudrais que cette enceinte pût s’agr
ude le jugement que vous allez rendre ; mais il ne s’occupe que de la France . Il sait bien que la postérité recueillera un jou
acile de la consommer. À l’avenir, il ne s’imprimera pas une ligne en France , je le veux. Une frontière d’airain nous préserve
oublés admirant la puissance, Il croit que Varignon fut seul utile en France , Et s’étonne surtout qu’inspiré par l’amour, Sans
de l’esprit français et la gloire privilégiée de ce grand Institut de France , c’est que le génie des lettres y fut toujours gl
sse ton éloquence à ton nouvel emploi, Gonfle-la de mots creux, et la France est à toi. Oui, la France, entends-tu ? Cette an
vel emploi, Gonfle-la de mots creux, et la France est à toi. Oui, la France , entends-tu ? Cette antique patrie De la moelle d
doit être considéré comme le premier grand artiste qu’ait produit la France . Depuis les Provinciales, la prose française est
élégance Des Romains il n’a peint les mœurs. Tu fus le peintre de la France  : Nos bourgeois à sots préjugés, Nos petits marqu
à sur quoi je vous laisse, mon cher cousin. Mme de Sévigné. La France en 1694 Au Roi. Au lieu de tirer de l’argent
e ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l’aumône, et le nourrir. La France entière n’est plus qu’un grand hôpital désolé et
e espèce de ministre du saint Évangile, nommé Pérard, né comme moi en France  ; il demandait permission d’aller à Paris pour se
e n’ose encore me flatter d’avoir lavé le reproche que l’on fait à la France de n’avoir jamais pu produire un poème épique ; m
s-humble et très-obéissant serviteur. Voltaire. Le Rôle de la France Rien ne marche au hasard, mon cher ami ; tout
ans celle des individus, il doit y avoir des grands et des petits. La France a toujours tenu et tiendra longtemps, suivant les
i se réduit uniquement à ceci : « Que l’empire de la Coalition sur la France et la division de ce royaume seraient un des plus
nent. Voyez l’histoire de notre glorieuse Révolution ? Pour sauver la France , et lui inoculer l’amour de l’égalité, de la just
s de province, mon nom n’a rien à craindre du temps ni de l’envie. La France a toujours vénéré les Olybrius. Gardez-vous cepen
la métropole le courageux agent des colonies soumises ; auprès de la France et de l’Espagne le négociateur heureux des coloni
e tout entière portât son deuil, mais que l’Assemblée constituante de France s’y associât par un décret public. Sans doute il
ndrait amèrement, si, revenant du tombeau parmi nous, il comparait la France telle qu’il l’avait laissée avec la France telle
armi nous, il comparait la France telle qu’il l’avait laissée avec la France telle que nous l’avons faite, ces pays naguère to
irez pour la religion de l’Évangile. Soyez aussi très-persuadés qu’en France la démocratie traversera toujours la liberté, qu’
es. Bossuet. La Religion et la Liberté Il y a des gens en France qui considèrent les institutions républicaines co
gés, Cent automates bleus, à la file rangés (Voltaire.) 108. La France nouvelle. (Michel Lévy édit.) 109. Mélanges. (C
25 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
ence, ensuite dans les ouvrages ingénieux des trouvères au nord de la France . Mais ces romans chevaleresques et poétiques, œuv
eur du Vaisseau des fous. Le roman de Renard était une allégorie ; la France la continuait d’une manière plus délicate, plus c
ce, que Marguerite de Navarre, sœur de François Ier, devait imiter en France  ; mais ces contes sont des récits d’aventures, et
corps qui songe à sa conservation. L’Espagne avait eu ses Amadis ; la France les imita, puis elle tomba dans les Artamènes, ra
26 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
faut les savoir par cœur : Enfin, Malherbe vint ; et le premier, en France , Fit sentir dans les vers une juste cadence, D’un
iques,   Et dont l’orgueil ne connaît point de lois. Allez, fléaux de France , et les pestes du monde ; Jamais un seul de vous
vein ; et qu’ils verront que, tant qu’il a présidé à nos affaires, la France n’a pas un voisin sur lequel elle n’ait gagné des
ce roi : Jupiter, Lion, Hercule ! 3. Il veut dire le bon génie de la France . 4. Les fronts de ces âmes. L’expression est ma
27 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
emperere est repairiez d’Espaigne, E vient a Ais3, al meillor siet de France  ; Monte el palais, est venuz en la chambre. Es li
t’en donrai molt esforciet eschange ; Çost Lodewis, meillor ne sai en France  : Il est mes filz de ma moillier la gente, E si t
empereur est rentré d’Espagne — et vient à Aix, au milieu du siège de France . — Monte au palais, est venu en la chambre. — Voi
ose de considérable) : — c’est Louis ; je ne sais meilleur (homme) en France  : — il est mon fils (né) de ma femme la noble, — 
issy, par la diversité de ses talents et son énergie multiple est, en France , parmi tous les artistes et les écrivains de son
t industrielles. Recette véritable par laquelle tous les hommes de la France pourront apprendre à multiplier et augmente leurs
epteur des enfants de Henri II, évêque d’Auxerre et grand aumônier de France , et mourut en 1593. Il a traduit du grec plusieur
tres l’avaient fait connaître, conseiller d’État et historiographe de France . Cependant, soit amour de la retraite, soit regre
de 1635 et de 1636, se mit à travailler à sa volumineuse Histoire de France , dont la première partie parut en 1643, et la tro
isité toutes les côtes de cette terre, donné les noms des rivières de France aux principales, et planté en plusieurs endroits
planté en plusieurs endroits des colonnes de pierre avec les armes de France , commença à bâtir un fort auquel il imposa491 le
fit alliance avec les roitelets du pays. Cela fait, il s’en revint en France , y492 laissant une partie de ses gens, auxquels i
y demeurèrent, et les vivres leur manquant, ils reprirent la route de France . Deux ans après, l’amiral494, étant bien en cour,
geance et d’avoir redonné la liberté à la Floride, il fit voile en517 France , où il arriva à la Rochelle, ayant, par un rare b
rare bonheur, fait onze cents lieues en dix-huit jours. (Histoire de France 518 : Charles IX.) Cardinal De Retz (1613-16
e, le représentant le plus éminent et le plus autorisé de l’Eglise de France . Comme orateur et comme écrivain, il est digne d’
in, il est digne d’être comparé aux plus célèbres de l’antiquité ; en France nul prosateur ne s’est élevé plus haut que lui.
je ne sache d’original819 : je l’ai appris de Sethon, ambassadeur de France dans cette cour, revenu à Paris depuis quelques j
fut, après la chute du roi d’Angleterre Charles ler (1648), amené en France où s’écoula son enfance. Il retourna à la cour d’
remonta sur le trône de ses pères (1660) et revint définitivement, en France , où il avait fait dans l’intervalle plusieurs séj
ouleur, pour cela même qui le combla d’honneur, et qui ailleurs qu’en France lui eût tout mérité et acquis.... Patriote1033 co
ré par toute l’Europe, et par les ennemis mêmes, ni moins regretté en France de tout ce qui n’était pas financier ou suppôt106
terre, il y publia la Henriade, poème épique en dix chants. Rentré en France en 1729, il donna, entre autres ouvrages, les tra
établi définitivement dans sa terre de Ferney, sur la frontière de la France et de la Suisse, il donna encore quelques grandes
ureur honnêtement, parce que le président de Meinières est l’homme de France le plus doux et le plus honnête, qu’il en a la ré
eurs que, si l’action se passe en apparence en Espagne, c’est bien la France et es abus de la justice française que vise en ré
nesse aventureuse, indécise et tourmentée, avait été envoyé à Pile de France , en qualité de capitaine-ingénieur. A son retour
à Pile de France, en qualité de capitaine-ingénieur. A son retour en France , il écrivit le récit de son voyage (1773) et publ
il naquit à Chambéry en 1754, et que la Savoie ne fut conquise par la France qu’en 1792. Adversaire déclaré des idées révoluti
ime et de la religion ; les principaux sont les Considérations sur la France (1796), le livre Du Pape (1819) et les Soirées de
presque pendant toute la durée du Consulat et de l’Empire. Rentrée en France en 1815, elle y composa son intéressant récit Dix
qui aillent à votre air, Psyché, par exemple1442. (Lettres écrites de France et d’Italie.) Un tyranneau de village sous la
e de la civilisation en Europe (1845), Histoire de la civilisation en France (1845), Méditations sur l’état actuel de la relig
progrès du Tiers Etat (1853), et, outre ses Lettres sur l’histoire de France (1827 et ses Considérations sur l’histoire de Fra
ur l’histoire de France (1827 et ses Considérations sur l’histoire de France (1840), les beaux morceaux réunis sous le titre d
mon âme entre vos mains ». Elle croyait qu’on la frapperait comme en France , dans une attitude droite et avec le glaive. Les
mais ils y étaient surveillés de près. J’avais connu cet officier en France . Nous nous retrouvâmes avec plaisir, dans une sit
la préparation des entreprises, sa fierté dans l’attitude donnée à la France , et enfin toutes les qualités qui composent le gr
qui fut professeur à l’Ecole Normale, à la Sorbonne et au Collège de France , s’est immortalisé par ses œuvres historiques. Hi
oire romaine (1831), Précis de l’Histoire moderne (1833), Histoire de France (1837-1867), Histoire de la Révolution française
aire de langues et littératures de l’Europe méridionale au Collège de France (1842-1846), se distingua, pendant toute sa carri
a à l’étranger les dix-huit ans que dura le second empire ; rentré en France en 1870, il fut de nouveau élu député en 1871. So
i imprévu, gigantesque, qui perce les nues : Aux armes ! Ce cri de la France , prolongé d’échos en échos, immense, surhumain, r
and-père arrivait toujours à son thème favori, la glorification de la France et l’exécration de l’étranger. L’étranger, pour l
’Anglais et le Russe. « Tous ces gens-là, disait-il, veulent avoir la France , parce qu’ils ne trouvent chez eux que du sable,
eux que du sable, de la boue, de la neige et du brouillard, et que la France est le plus beau pays du monde, le plus doux à ha
t de colère en apprenant que l’étranger foulait le sol sacré de notre France , et le mouvement spontané qui l’avait fait soldat
ngtemps molestés chez eux, revenaient à la charge et envahissaient la France par tous les bouts, le volontaire de 92 se réveil
grande bataille. Chaque fois que papa Dumont racontait la campagne de France , il y avait toujours un moment où il baissait la
mant. (Contes choisis 1776, XIX.) Anatole France (né en 1844) M. Anatole France , né à Paris, s’est illustré comme poète, comme cr
ut une troisième conception. Il s’écria : « Composons une Histoire de France , avec tous les détails, en cinquante volumes. » C
ns dormir, tant j’étais agité par la pensée sublime d’une Histoire de France en cinquante volumes, avec tous les détails. Nous
par-dessus Teutobochus, » me dit-il. Je n’osai point. L’Histoire de France en cinquante volumes s’arrêta à Teutobochus. Que
e déjà âgée, était venue recommander au maître1817 avant le départ de France . L’autre, celui qui s’était écrasé sur le pont, o
brutale Voulant marcher, sans raison péremptoire, Sur les climats de France occidentale1844. Prenez haut cœur, doncque, Franc
Sur les climats de France occidentale1844. Prenez haut cœur, doncque, France et Bretagne1845, Car, si en camp tenez fière faço
inée1850 fatale Veut ruiner leur outrageuse gloire Sur les climats de France occidentale. Doncque, piétons marchant sur la cam
arçon. Faites rougir du sang de Germanie Les clairs ruisseaux dont la France est garnie : Si1851 seront mis vos hauts noms en
éfaite totale Vous rapportiez la palme de victoire Sur les climats de France occidentale. Envoi 1853 Princes remplis de haut
ale1855 ; Car de nos vins ont grand désir de boire Sur les climats de France occidentale. (Ballades, IX.) Le lion et le ra
s1934 Belaud, premièrement, Ne fut pas gris entièrement, Ni tel qu’en France on les voit naître, Mais tel qu’à Borne on les vo
pas toujours à l’apparence : On s’y laisse duper autant qu’en lieu de France  ; Et parmi tant d’esprits plus polis et meilleurs
, Il y vient de tous lieux des gens de toute sorte ; Et dans toute la France il est fort peu d’endroits Dont il n’ait le rebut
royez-vous qu’il suffit d’être sorti de moi ? Dorante. Avec toute la France aisément je le croi2140. Géronte. Et ne savez-vo
isément je le croi2140. Géronte. Et ne savez-vous pas, avec toute la France , D’où ce titre d’honneur a tiré sa naissance, Et
t dans les bouts-rimés2341 je vous trouve adorable. Trissotin. Si la France pouvait connaître votre prix, Vadius. Si le sièc
même dans l’indigence, Qu’un commis2367 engraissé des malheurs de la France . Non que je sois du goût de ce sage insensé2368
on père et Boileau n’avaient pas connu et qui commençait à trouver en France un public pour l’admirer2471. L’existence de di
vous estime assez pour oser contre vous Vous adresser ma voix pour la France et pour nous. En vain nous prétendons le droit247
our nous. En vain nous prétendons le droit2479 d’élire un maître : La France a des Bourbons ; et Dieu vous a fait naître Près
une mère grecque, André-Marie de Chénier, qui fut amené tout jeune en France et y fit de brillantes études, s’engagea d’abord,
lui ? (Id., Détails et choses de la vie rustique, viii, 14.) A la France France ! ô belle contrée, ô terre généreuse, Q
., Détails et choses de la vie rustique, viii, 14.) A la France France  ! ô belle contrée, ô terre généreuse, Que les die
antichambre T’exposer au mépris d’un grand ? Pour des rubans2599, la France entière Fut en proie à de longs débats. La fleur
templations (1856) ; et la poésie épique, dans les temps modernes, en France , n’a rien produit de comparable à la suite des pi
La voix d’un peuple entier les berce en leur tombeau. Gloire à notre France éternelle ! Gloire à ceux qui sont morts pour ell
nnes2689 Que le soleil levant redore tous les jours ! Gloire à notre France éternelle ! Gloire à ceux qui sont morts pour ell
uvelle, Fait luire leur mémoire et redore leurs noms ! Gloire à notre France éternelle ! Gloire à ceux qui sont morts pour ell
lant ne luit sur leur tombeau ; Mais, soldats, ils sont morts pour la France , leur mère : Honneur à la vertu, le génie est moi
sse est prête ; Ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Mes neveux Sont en France  : ils auront mon bien. — Si tu le veux, Moser, — 
’as pas émigré2904, Après tes enfants morts et l’Alsace perdue, Et la France par toi jusqu’au bout défendue. Sont-ce là tes dé
n moins élevée : les Noces d’Attila (1881), l’Apôtre, Mahomet (1889), France … d’abord (1899). Dénouement de « la fille de Ro
des braves gens ! (Poèmes et récits, d’après de vieilles chansons de France 2982.) 1. Nous avons, à propos de chaque au
le d’Azincourt (1415) et resta en Angleterre jusqu’en 1440. Revenu en France , il attira à son château de Blois les meilleurs p
, fils de Louis VIII, et Alix de Champagne, femme de Louis VII roi de France . 80. Eremburges, à qui son père Elie de la Flèch
le moine allemand Luther (1485-1546). 511. Huguenots, nom donné en France , dès le xvie siècle, aux protestants. On en a pro
ger, et, par conséquent, désirer se venger. 516. . Les trésoriers de France étaient des officiers de finances préposés à la r
nts subalternes. 517. En. Nous disons plutôt : il lit voile pour la France . 518. Tome III, pages 147 et 148 de l’édition de
son pays (1547). 520. On se reportera aux divers cours d’histoire de France , pour le détail des événements qui précédèrent à
-Michel. 528. Charles de la Porte, duc de la Meilleraie, maréchal de France et grand maître de l’artillerie. C’est en cette d
de robe courte. 554. Pistole. Ce nom, qui désignait proprement en France une monnaie d’or espagnole, était également emplo
est peut-être pas de lui. 664. Les fleurs de lis, armes des rois de France , qui décoraient les chambres de justice. 665. Le
irituel et galant. 675. Antoine de Gramont (1601-1678), maréchal  de France depuis 1611. 676. Impertinent, déplacé, déraiso
u avec lui : un Français né dans les colonies et qui n’a jamais vu la France peut cependant et doit même l’aimer comme un enfa
isément un devoir de s’expatrier pour mieux servir les intérêts de la France . 760. Comme ils parlaient alors. C’est-à-dire :
fondée en Italie par saint Philippe de Néri en 1548, et introduite en France en 1611 par le cardinal de Bérulle, a produit, da
ins contre les Espagnols (1647-1648) ; mais il était surtout connu en France pour son élégante frivolité. 875. Que. Voir la
mps après l’aventure dont on vient de lire le récit, a été rappelé en France . On va lire un épisode de son voyage de retour, q
soldats de la compagnie des Cent-Suisses, garde d’honneur des rois de France . 885. Tranchant, dont la couleur est sans nuanc
rminée par une ou deux pointes) est proprement l’étendard des rois de France . Par figure, le mot se trouve ironiquement employ
fils aîné de Louis XIV. En 1349, le Dauphiné avait été acquis par la France à condition que les fils aînés de nos rois porter
griffant, etc.) 1032. Vauban (1633-1707) avait été nommé maréchal de France en 1703. Saint-Simon, en racontant cette nominati
it : sans qu’ils se connussent. 1043. Il est intitulé : Détail de la France (1695). 1044. Les traitants étaient des financie
sont partis de leur pays pour visiter l’Europe et particulièrement la France et Paris, et c’est la correspondance que ces pers
liance formée par Frédéric II, roi de Prusse, contre l’Autriche et la France coalisées (guerre de Sept Ans (1756-1763). 1134.
evint plus tard, sous Louis XVI, ministre de la marine et maréchal de France . 1136. . Rhinsberg, ou plutôt Rheinberg, à 72 ki
is. 1178. Rousseau et ses amis du canton de Neuchâtel, où, bannis de France et de Genève, il séjourna, de juillet 1762 à 1765
212. Les expositions de peinture appelées Salons furent inaugurées en France en 1673. Après avoir eu lien à des intervalles ir
i-heure, façon de parler encore en usage dans certaines parties de la France  : on dit plus généralement une demi-heure. 1255
signifie cheval de poste). 1365. Boucicaut (1364-1421), maréchal de France , qui fit ses premières armes sous Du Guesclin et
1471. Augereau (1757-1816), soldat de fortune qui devint maréchal de France et fut l’un des plus brillants lieutenants de Nap
liberté, le dessein de tuer Marat, en qui elle voyait le tyran de la France et comme le mauvais génie de la Révolution. Elle
ndamna à mort. Née en 1542, elle avait, en 1538, épousé le dauphin de France , François, qui, devenu roi sous le nom de Françoi
, dépeignant la tristesse de Marie Stuart au moment où elle quitte la France après la mort de son époux, le roi François II (1
elle estoit partie, prononçant toujours ces tristes paroles : Adieu, France ,… jusques qu’il commença à faire nuict… Elle ne v
qu’il seroit jour, s’il voyoit et découvroit encore le terrain de la France , qu’il l’éveillast et ne craignist de l’appeler :
te nuict ; si bien que le jour paraissant, parut encore le terrain de France , et n’ayant failly le timonnier au commandement q
luy avoit faiet, elle se leva sur son liet et se mit à contempler la France encore et tant qu’elle put… Adonc redoubla encore
encore et tant qu’elle put… Adonc redoubla encore ces mots : Adieu la France  !, Cela est faict. Adieu la France, je pense ne v
edoubla encore ces mots : Adieu la France !, Cela est faict. Adieu la France , je pense ne vous voir jamais plus. » 1532. Co
vait amener après elle la campagne d’Allemagne (1813), la campagne de France (1814) et l’abdication de Napoléon (6 avril 1814)
au précédent), devait passer cette rivière pour reprendre la route de France . Le pont sur lequel il comptait ayant été brûlé p
n lui abandonnait la souveraineté, le roi Louis XVIII était rentré en France (24 avril). 1601. M. Oblet, maître d’école de V
’y avait qu’un an que la république de Gênes avait cédé la Corse à la France . 1607. Ses œuvres sont publiées par l’éditeur Ca
pèces de viandes : c’est le mets national de l’Espagne ; introduit en France , il y était désigné sous le nom d’oille, prononce
e capitaine. Il s’agit d’un capitaine de reîtres allemands servant en France dans les troupes protestantes. Cet aventurier, qu
roférant les menaces les plus outrageantes pour notre pays, entrer en France afin d’y rétablir Louis XVI dans tous ses droits.
qui, à l’époque de Louis XIII, contribuèrent puissamment à fonder en France la vie de société et à épurer la langue. Puis ce
aujourd’hui partie de l’Alsace-Lorraine, sur la frontière même de la France . 1721. Dieuse. Voir page 125, note 1. 1722. S
emière station située sur le territoire allemand, pour qui sortait de France par Strasbourg. 1727. Emblavure, action de seme
s ont formé cet adjectif du mot confort, qu’ils avaient emprunté à la France , en lui donnant le sens que nous avons indiqué, t
a France, en lui donnant le sens que nous avons indiqué, tandis qu’en France le mot signifiait seulement, au xviie siècle : a
rnier lui-même qui est ici censé parler. 1731. Plusieurs villages de France , notamment en Bretagne et en Normandie, portent c
s sa conduite, se joignirent aux étrangers qui envahissaient alors la France . 1737. Traités de Bâle signés par la France avec
i envahissaient alors la France. 1737. Traités de Bâle signés par la France avec la Prusse (5 avril 1795) et l’Espagne (22 ju
ifice est devenu, en 1806, et il est encore le siège de l’Institut de France . 1780. C’est-à-dire le long des quais Conti, Mal
core en usage pour désigner les gens du Hainaut. 1844. L’ouest de la France , ou la France qui est à l’ouest (par rapport à l’
pour désigner les gens du Hainaut. 1844. L’ouest de la France, ou la France qui est à l’ouest (par rapport à l’Allemagne, don
Bretagne ne devait être officiellement et définitivement réunie à la France qu’en 1531. 1846. La forme tambour (étymologie d
iade, emprunté à l’astronomie, et qui fut repris, au xvie siècle, en France , par la société formée de l’humaniste Daurat, de
it Marguerite. » (Ludovic Lalanne, édition des Grands Écrivains de la France .) 2028. Amitié, fréquent dans la langue du xvi
. 2044. N’orra. Ludovic Lalanne (édition des Grands Écrivains de la France ) écrit, d’après les textes originaux, n’aura ; ma
ants immédiats de Henri IV, qui étaient protestants, mais les rois de France , dont il s’était trouvé le plus proche héritier a
if de la couronne portait ce titre depuis la réunion du Dauphiné à la France (1349), la cession n’ayant été faite qu’à cette c
termina par le traité de Vervins (1598), qui restituait du moins à la France toutes les places dont l’Espagne s’était emparée
atique qui mettait en scène des bergers, fut tout à fait en faveur en France dans les premières années du xviie siècle. 2071
trois vers suivants. 2077. Le Louvre était la résidence des rois de France à Paris. Ce palais avait été construit par Franço
nt qui manque à ses engagements 2120. Tuileries, palais des rois de France et jardin qui y était attenant. — Sur dedans, voi
a été depuis cette époque, sauf au xviiie siècle, très en faveur en France . Boileau a dit, en exagérant d’ailleurs volontair
alant. 2340. Ballade, pièce de poésie qui fut surtout en honneur en France au xive et xve au siècle. Elle se compose de tr
s, un savant, disait-il, qui sait du grec, Madame, autant qu’homme de France . Malheureusement, on l’a vu, l’entretien a tourné
les troupes prussiennes exécutaient leurs manœuvres était célèbre en France  : le comte de Saint-Germain notamment cherchait à
use influence. Étienne Pasquier (1528-1615) dans ses Recherches de la France (VI, 32) a conservé le souvenir de cette légende.
la guerre de 1870-1871, à la mémoire de leurs camarades morts pour la France . 2831. C'est-à-dire que le but de la vie n’est p
cendante du grand Corneille, tua, on le sait, Marat, pour délivrer la France de sa tyrannie, et fut condamnée à mort et exécut
rf. Le servage ne fut définitivement aboli sur toute la surface de la France que par un décret de l’Assemblée constituante du
’analyse dans le tome XXIII (page 216) de l’Histoire littéraire de la France . L’auteur moderne reprend le même thème, mais d’u
e s’agit point ici du maudit alcool, mais du vin, de l’honnête vin de France , non travaillé, non falsifié. » 2982. Hachette
28 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre IV. De l’Éloquence chez les modernes. »
e de trente ans ; en Angleterre, sous Charles II, après Cromwell ; en France enfin, après les troubles de la ligue et les agit
s avocats ont été oubliés avec la cause qu’ils avaient pour objet. En France , au contraire, on se souvient encore des plaidoye
’exécution, mais sont restés méthodiques et froids par conséquent. En France , le style des orateurs est orné de figures plus h
29 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
u genre épistolaire. — À quelle époque a-t-il fleuri de préférence en France  ? Pourquoi semble-t-il menacer de disparaître au
erre Ier écrit au Régent pour lui faire part de son désir de venir en France et lui montrer les avantages pour le présent et p
fin de l’année 1710, expose la situation politique et militaire de la France , et déclare hautement son intention de tenter un
a Jérusalem délivrée du Tasse, en Espagne les Lusiades de Camoëns, en France enfin le Télémaque de Fénelon, les Martyrs de Cha
ments ajoutés au dithyrambe, chant sacré en l’honneur de Bacchus ; en France , on vit de même, au moyen âge, la religion donner
e talent, à la fois élevé et souple, qu’il déploya pour acclimater en France les genres de l’antiquité classique, ne mérite pa
olontaire, il ne délaissa pas ses occupations favorites, et revint en France avec sa tragédie d’Œdipe, d’une part, et de l’aut
dignes de l’épopée, des héros capables d’inspirer un poète, c’est la France . La chanson de Roland était un beau modèle à suiv
nant ses sujets dans l’histoire moderne, elle pouvait lui fournir, en France ou dans les pays voisins, quelque action plus nob
jamais hors de pair » (Darmesteter et Hatzfeld, Le x vie  siècle en France , p. 182). Enfin on voit paraître Mélite, de Corne
ère a renouvelé entièrement, et nous pouvons dire fondé la comédie en France , et il ne l’a pas transformée seulement pour le f
II) ; prise de Valenciennes par Louis XIV (chap. XIII) ; réception en France du roi Jacques II détrôné et fugitif (chap. XV) ;
 siècle ? Développement. — Pendant le moyen âge, la littérature en France est l’expression d’une société où la vie seigneur
soutenu et encouragé dans ma longue et difficile carrière, ceux de la France à qui j’ai voué, depuis tantôt vingt ans, mes for
n devoir reste le même, et mes dernières pensées auront pour objet la France et mon roi. Je le sais, Sire, j’ai fait bien moin
ouverez-vous ce ministre prudent et ferme qu’il faut aujourd’hui à la France  ? Je crois pouvoir vous l’indiquer, Sire, et je v
ate ; enfin, tout dévoué, Sire, à vos intérêts et à la grandeur de la France , sa seconde patrie ; tel est le cardinal Mazarin.
ien français, si son langage ne l’est pas encore, est venu de Rome en France , non plus que je ne dirai les services qu’il a dé
és en vue d’accroître la grandeur de votre nom et la prospérité de la France  ; vous ne pourriez donc, sans une coupable incons
le prestige auxquels il a droit, il poursuivra l’agrandissement de la France , glorieusement inauguré par la récente conquête d
e dernière prière d’un ministre qui n’a vécu que pour vous et pour la France et qui meurt à votre service. [8] (27 octobr
i-je pu vous le prouver plus tôt ! Quel poète vous eussiez donné à la France , si vous aviez daigné écrire en français ! Car si
ld, Mlle de Montpensier). 5º Et puis, derrière le ministre, il y a la France  ; que le Coadjuteur pense à la populace armée, me
nt de vendre la maison où il est né. Voilà où en est Corneille. 4. La France ne doit pas rester indifférente à la misère du gr
l’honneur des lettres, pour la gloire du Roi, de son ministre, de la France , que sa pension lui soit rendue. 6. Boileau ne co
nuer de toucher sa pension si Corneille est privé de la sienne. Si la France est trop pauvre, il sera heureux d’abandonner sa
aindre qu’en s’exilant ils n’enrichissent l’étranger aux dépens de la France . Que de noms glorieux la noblesse verrait passer
 Monsieur, — Voilà un bel emploi pour la plume de l’historiographe de France , et vous allez inaugurer votre nouvelle charge pa
e par le récit d’une victoire. Il y a trois cents ans que les rois de France n’ont rien fait de si glorieux ; je suis fou de j
te solennité par une représentation en l’honneur de celui qui créa en France l’art dramatique ; par cet hommage public rendu à
i, plus que tout autre, de la grandeur intellectuelle et morale de la France  ; or l’admiration pour Corneille et la sublimité
e toute française, et venez offrir à l’un des plus beaux génies de la France , trop délaissé pour les auteurs contemporains, un
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
ule annonçait un homme supérieur, il voit, juge et peint l’état de la France . « Dans quel état j’ai laissé la France ! Dans q
, juge et peint l’état de la France. « Dans quel état j’ai laissé la France  ! Dans quel état je la retrouve ! Je vous avais l
mmuable qu’il faut de suite travailler, pour consolider enfin dans la France la liberté et la république ». Il nous serait fa
31 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lamennais 1782-1854 » pp. 243-246
9 février 1839. Vous allez entrer dans le printemps, plus hâtif qu’en France dans le pays que vous habitez4 ; j’espère qu’il a
en ce monde a sa mesure, ses bornes ; et encore faut-il dîner. La France Chère France ! elle est encore, à tout prendr
mesure, ses bornes ; et encore faut-il dîner. La France Chère France  ! elle est encore, à tout prendre, ce qu’il y a d
32 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un père qui y représentait la France comme consul, fit d’excellentes études au collége
vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France , qui à une haute inspiration joignait une raison
, dans son poëme inachevé sur le czar Pierre le Grand (chant II de la France ), a rappelé aussi ces œuvres glorieuses de la pai
nt comme lui périr sur l’échafaud. 2. La composition de l’hymne à la France , comme on le voit par ce passage, se rapporte au
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123
Siam : « Pays, dit Voltaire, où l’on avait ignoré jusqu’alors que la France existât. » Siècle de Louis XIV, ch. xii. 1. C’es
ce destiné à réformer l’Europe, si elle avait pu l’être ; à rendre la France triomphante et policée, et à être en tout le modè
iand, dans ses Etudes historiques, analyse raisonnée de l’histoire de France  : Louis IX.
34 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
tous les grades militaires, avant de parvenir à celui de maréchal de France . La bataille de Staffarde, gagnée en 1690 ; et ce
ortalisé. Louis XIV lisant dans son cabinet la liste des maréchaux de France , s’écria, au nom de Catinat : Voilà bien la vertu
35 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — G — article »
de Bretagne, en 1311, et l’un des plus grands généraux qu’ait eus la France . La captivité du roi Jean avoit mis le royaume à
prix de tous ces services fut le double honneur d’être connétable de France et de Castille. Ce héros mourut de maladie en 138
36 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — L — article » p. 416
meuse campagne de Hollande en 1672, et obtint le bâton de maréchal de France en 1675. L’envie lui suscita des ennemis qui le c
ert de gloire et regretté comme le plus grand général qu’eut alors la France .
37 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mirabeau, 1749-1791 » pp. 368-376
s stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France , impassibles égoïstes qui pensez que ces convulsi
Mirabeau au grand maître des cérémonies de la cour : “Les communes de France ont résolu de délibérer ; et vous, monsieur, qui
rabeau lui disait : « Je paye bien cher les fautes du passé. Pauvre France  ! on te les fait payer aussi. » Et un autre jour 
autre jour : « Oh ! que l’immoralité de ma jeunesse fait de tort à la France  ! » À l’époque de sa présidence, il disait à M. d
38 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
t si bien le soutenir, etc. » 3º. Grand dans la prospérité. Jamais la France n’avait été plus florissante, ni le peuple plus h
93, et ceux qui, avant lui, s’étaient distingués sur le théâtre de la France , possédaient plus ou moins de ces qualités. L’un
’honorer lui-même. Delà vient que le Prince de Condé valait seul à la France des années entières ; que devant lui les forces e
oir occupé les hautes places de la magistrature, devint chancelier de France , nous a laissé des discours qu’il prononça étant
ènes et de Rome. Cet illustre magistrat, un des plus étonnants que la France ait jamais eus, joignait une infinité de connaiss
plus haut degré de perfection possible. Richelieu a été le premier en France qui ait conçu et exécuté le projet d’un établisse
ons point, Corneille tiendra sa place parmi toutes ces merveilles. La France se souviendra toujours avec plaisir que, sous le
x jusqu’au pied de votre trône. La naissance, Sire, vous a donné à la France pour roi ; et la religion veut que nous tenions a
s plaisirs. Toute votre conduite en Angleterre, où les intérêts de la France vous étaient confiés, a bien vengé l’honneur du g
politique. 90. S. Aug. de Doctr. Christ. L. 4. 91. Voyez le mot France , dans les notes, à la fin du premier Volume. 92.
39 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14
rès, il y succombait à la rigueur du climat. Ses restes, rapportés en France en 1667, reposent à Paris, dans l’église Saint-Ét
se Saint-Étienne-du-Mont. De tous les grands esprits qu’a produits la France , nul n’a régné plus souverainement sur son siècle
ins et des chartreux, mais aussi à toutes les plus belles demeures de France et d’Italie2. Quelque accomplie que puisse être u
40 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Retz, 1614-1679 » pp. 38-42
emier n’aurait pas pu devenir, avec un peu de temps, aussi odieuse en France que le fut par l’événement celle de maire du pala
r. Fléchier disait avec plus de raison : « Déjà, pour l’honneur de la France , était entré dans l’administration des affaires u
vivant, soit après sa mort. » (Abrégé chronologique de l’Histoire de France , IIIe race, 1679.)
41 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — V — article » p. 425
à Fridelinghem, lui valut, huit jours après, le bâton de maréchal de France . En 1703, il fut pleinement vainqueur à Hochstet 
mandés par le prince Eugène, menacèrent de venir à Paris, il sauva la France , en forçant leurs retranchemens à Denain ; et par
42 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
s stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France , impassibles égoïstes, qui pensez que ces convuls
tôt rompue d’un commun accord. Les grands événements qui agitaient la France et la précipitaient vers des destinées inconnues
ice impériale. Ce livre, le chef-d’œuvre de Mme de Staël, initiait la France à tout un monde nouveau qu’elle connaissait mal e
ment moral. Il ne fit presque au retour de ce voyage que traverser la France , où la révolution portait les derniers coups à la
dans l’opposition légale cl dans les conseils de la couronne, pair de France , ambassadeur, ministre des affaires étrangères, i
s seront toujours plus belles que les vallées les plus fertiles de la France et de l’Angleterre. Ainsi, après des siècles d’ou
ar lequel elles s’engageaient à fomenter une ligue générale contre la France . L’Autriche avait accédé à la ligue ; elle commen
et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France  : là, vous serez l’objet de mes tendres sollicitu
n’est pas pour l’Europe une grande découverte que d’apprendre que la France est du triple plus populeuse, et aussi brave et a
à me singer. Je sus, dans le courant de janvier, que les ministres de France avaient décidé le congrès à m’enlever de l’Île d’
au sort qu’on me destinait, et, pour cela, à remonter sur le trône de France . » Du golfe Juan il adressait cette proclamation
e nous dans les rangs des armées étrangères en maudissant notre belle France , prétendraient-ils commander et enchaîner nos aig
dant vingt-cinq ans, servirent de ralliement à tous les ennemis de la France . Arborez cette cocarde tricolore ; vous la portie
César, Alexandre : le grand Louis XIV, qui a jeté tant d’éclat sur la France et dans le monde, n’avait pas un ami dans tout so
s ouvrages de M. Guizot sur les origines et la suite de l’histoire de France représentent son enseignement. M. Augustin Thierr
ustin Thierry les juge en ces termes : « Les Essais sur l’Histoire de France , l’Histoire de la civilisation européenne et l’Hi
i était si grand, qu’elle voulait s’enfuir, s’embarquer, retourner en France , et faisait déjà ses préparatifs de départ. Troub
arole du P. Lacordaire. Si la mort du général Foy venait de priver la France d’un de ses plus patriotiques orateurs, la ferme
ole sut éviter les deux obstacles qui avaient si longtemps entravé en France les progrès de la critique : elle n’eut pas la da
de je ne sais quelle grâce asiatique165… Envoyé de Constantinople en France , André Chénier, l’aîné des deux frères, fut placé
lui impose trois ans de retraite, pendant lesquels tout va changer en France . Il préparait sa tragédie de Charles IX pour cett
oyal de l’instruction publique, directeur de l’école normale, pair de France , il profita de cette haute situation pour imprime
ait sa curiosité, et ce fut dans la Première lettre sur l’histoire de France qu’il posa nettement les termes de la question. P
avoir agité plus encore que résolu dans ses Lettres sur l’histoire de France cette question des origines à laquelle il devait
après la révision complète et sévère de ses Lettres sur l’histoire de France , qu’il conçut la pensée d’entreprendre la peintur
de ces épisodes sous le titre de Nouvelles lettres sur l’histoire de France  ; en 1840, les sept fragments qui composent l’ouv
Franks Dans le première partie de la VIe lettre sur l’histoire de France 194, M. Augustin Thierry marque l’origine des Fra
posent la monarchie qui, étendue, selon eux, jusqu’aux limites de la France actuelle, est dissoute vers le dixième siècle par
fut point réalisée politiquement par les empereurs ; mais les rois de France s’en prévalurent avec succès : pour eux, les prét
ueux des habitants du nord de la Gaule. C’est ainsi que le royaume de France , considéré comme supérieur aux autres États gaulo
voirs de la féauté, de ce moment naquit le germe encore informe de la France moderne et de la monarchie française. Le lien d’o
travaillèrent pour que cette assemblée eût lieu dans une ville de la France romane : « Mais l’empereur, dit le même historien
artagé le royaume après la mort de leur père, Sighebert avait reçu la France orientale ou Ostrasie ; Chilpéric (Hilperik), la
avait reçu la France orientale ou Ostrasie ; Chilpéric (Hilperik), la France occidentale ou Neustrie ; Gontran, la Bourgogne ;
l monté dans la chaire de philosophie grecque et latine du Collège de France , que les soucis d’une santé depuis longtemps mena
mon âme- entre vos mains. » Elle croyait qu’on l’exécuterait comme en France , dans une attitude droite et avec le glaive. Les
e la métropole le courageux agent des colonies soumises, auprès de la France et de l’Espagne le négociateur des colonies insur
e tout entière portât son deuil, mais que l’assemblée constituante de France s’y associât par un décret public259. Sans doute
lques écrits, réclamé les privilèges de sa province, à l’époque où la France était réduite encore à réclamer des privilèges de
charme. Elle trompa son père, et lui écrivit que, les troubles de la France devenant tous les jours plus effrayants, elle all
où elle avait rendez-vous avec les Anglais et les émigrés du Midi. La France avait deux armées, celle d’Allemagne, portée à 13
ise en 1774, Delille fut appelé en même temps à occuper au collège de France la chaire de poésie latine305. Le poème des Jardi
es poètes descriptifs : le comte de Choiseul-Gouffier, ambassadeur de France à Constantinople, l’appela auprès de lui. Quelque
genre bien différent, allaient bientôt s’offrir à Delille ; revenu en France , il assista au drame sanglant de la Terreur et fa
le voix Demandait à grands cris du sang et non des lois ! Ceux que la France a vus ivres de tyrannie, Ceux-là même, dans l’omb
érance Suit jusqu’en ces brûlants climats, Sans doute vous quittez la France  : De mon pays ne me parlez-vous pas ? Depuis tro
onne espérance ! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la France . Il part ; et comme un trésor J’ai depuis gardé s
nte simplicité de l’épître. Mais bientôt une muse sévère, celle de la France en deuil, vint arracher à l’âme du jeune poète de
orce ; elle fut accueillie avec enthousiasme et reconnaissance par la France entière, qui consola sa défaite en répétant tour
a condition de jurer qu’il favorisera la réunion de la Bourgogne à la France . Coitier, le médecin du roi, conduit Nemours dans
nt de faiblesse Perdait tout, livrait tout aux mains d’un favori : La France périssait, si le roi n’eût péri. Les intérêts d’É
ur son cœur encor vivant. Dirons-nous aux héros des vieux temps de la France De monter tout armes aux créneaux de leurs tours,
trigues, avait reçu une lettre du roi qui lui ordonnait de quitter la France  ; mais quand cette nouvelle se répandit à Paris,
Boileau, Art poét., ch. Ier : Enfin Malherbe vint, et, le premier en France , Fit sentir dans les vers une juste cadence… 1
Dix ans d’études. 194. Les cinq premières lettres sur l’histoire de France sont la partie critique de l’ouvrage. M. Augustin
en allant au combat. On pourra lire dans l’Histoire littéraire de la France avant le douzième siècle, par M. Ampère, un curie
tte lettre de M. Augustin Thierry du deuxième Essai sur l’Histoire de France , par M. Guizot, intitulé : De l’origine et de l’é
s miens. » (A. T.) 212. M. Guizot, dans les Essais sur l’Histoire de France , a porté une grande lumière sur la question de l’
squ’à l’Èbre, fut donnée à Charles le Chauve, sous le nom de nouvelle France . Le nom d’ancienne France désigna le royaume de L
Charles le Chauve, sous le nom de nouvelle France. Le nom d’ancienne France désigna le royaume de Louis le Germanique, qui co
M. Mignet de celle de notre vieil annaliste dans ses Recherches de la France , ch. xxx, éd. Léon Feugère (Didot, 1849). Schille
Revue contemporaine du 30 novembre 1856, souleva l’indignation de la France . Les prédicatrices racontèrent la passion de la r
nèrent le traité d’alliance et de commerce entre les États-Unis et la France (6 février 1778), et il eut la gloire de signer l
a nécessité de réunir toutes les célébrités, toutes les gloires de la France , autour d’un pouvoir réparateur : même silence, m
tait en effet arrivée au peintre Robert, alors élève de l’académie de France à Rome. Inspiré à son tour par les beaux vers du
43 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Maintenon. (1635-1719.) » pp. 76-82
, le duc de Richelieu, petit-neveu du cardinal et père du maréchal de France . 1. Le bon sens élevé qui caractérise cette lett
nte, et qui, après être parvenu, en 1733, à la dignité de maréchal de France qu’avait aussi possédée son père, mourut en 1766.
ues. Il fut révoqué par Louis XIV en 1685 ; et cet acte fit sortir de France un grand nombre de familles qui professaient la r
44 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
u que l’on connaît des Grecs et des Romains. Il suffira de dire qu’en France les romans prirent naissance entre le xe et le x
ècle dernier. En effet, la conversation s’était bien perfectionnée en France sous les règnes de Louis XIV et de Louis XV. Auss
âce a fait quelque tort au magnétisme, qui fait dans Paris et dans la France presque autant de bruit que Figaro ; mais cela n’
45 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
antichambre   T’exposer au mépris d’un grand ?   Pour des rubans2, la France entière   Fut en proie à de longs débats. La fleu
espérance !   Je cours, de tous ses malheurs,   Sous Paris, venger la France .   Il part, et, comme un trésor,   J’ai depuis ga
spirituelle. 7. Allusion à l’invasion des armées coalisées contre la France . 8. Trait touchant et ingénieux. Il fut patriote
46 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
L’Anglais Mandeville racontera ses voyages en notre langue. Bref, la France est déjà reconnue dans le monde comme la patrie p
in hiver. Il faudra que la guerre contre les Anglais fasse saigner la France au cœur pour que des cris chevaleresques lui écha
nt qui nous rappelle l’œuvre principale du xve  siècle, l’unité de la France conquise enfin par la victoire définitive de la m
e Tite-Live, plus précieux pour lui qu’une province. Mais revenons en France . A défaut de solides conquêtes, les aventureuses
impartiale histoire. Tandis que la guerre civile ou religieuse met la France en feu, nous sommes aussi tentés d’appeler sagess
47 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
ueil, marquis de Racan, disciple de Malherbe, mort en 1670, releva en France la gloire de la pastorale. Il avait un génie aisé
l’école, Poussa jusqu’à l’excès sa mordante hyperbole. Nous avons en France beaucoup de poètes satiriques d’une très grande v
t il ne nous reste rien. Que si nous passons à l’étude de l’élégie en France , nous sommes obligés de distinguer. Entendrons-no
ère édition ; enfin une suite d’élégies faites après l’invasion de la France en 1814, par Casimir Delavigne, et auxquelles il
rmé, La flamme l’environne, et sa voix expirante Murmure encore : « Ô France  ! ô mon roi bien-aimé ! » Il est clair, par ces
ces exemples, que, quoi qu’on en ait dit, l’élégie a été cultivée en France avec succès, et que nous avons eu à toutes les ép
la mollesse et la douceur d’Anacréon117. Malherbe est le premier, en France , qui ait montré l’ode dans son véritable état. Av
citerons rien de lui, puisque ses odes sont dans toutes les mains. La France compte un troisième lyrique : c’est Lebrun (Écouc
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
Critique conservateur, M. Nisard a fait un livre qui manquait à la France . Il est le premier, il est le seul qui ait consac
in dans les livres ; elle s’en est fait un du génie particulier de la France , un autre de sa langue3 ; elle met chaque auteur
rit humain qu’elle étudie dans son imposante unité, ni au génie de la France , qu’elle veut toujours montrer semblable à lui-mê
qualités d’obligation, sans lesquelles on n’écrit rien de durable en France , sont comme autant de priviléges pour le lecteur 
49 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
e, capitaine, mestre de camp, lieutenant du roi, et enfin maréchal de France , il assista, durant un demi-siècle, à cinq batail
ventre ; je sçay que vous n’en avés pas besoin ; il n’y a noblesse en France qui esgalle celle de nostre Gascongne. A eulx don
épisode appartient au siège de Sienne, qui avait pris le parti de la France , en 1555. 2. Si est l’antécédent de que, quand l
50 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
eodore De Beze aux réfugiés français de Genève. C’est tout, ce que la France poétique avait à sa disposition quand l’éclosion
e xvie . Une révolution littéraire était inévitable. Pouvait-elle, en France , se faire dans la poésie, qui seule nous occupe i
ologie. Derrière le bataillon sacré viennent de tous les points de la France les volontaires de la poésie, qui l’ont avant tou
’épée, avocat, un des braves d’Ivry, puis prévôt de la connétablie de France , qui traduisait ou imitait Horace, qui lit une od
c’est Jean Passerat (mort en 1602), l’éminent latiniste du collège de France , ami de la vigne et de la poésie, fin chansonnier
tienne Pasquier (mort en 1645), le savant auteur des Recherches de la France qui, lui aussi, fit des vers sur tous sujet (Jeux
et ceux de Pierre Mathieu (mort en 1621), avocat et historiographe de France , le code populaire de l’enfance aux xvie et xvii
. II, ch. v, et MM. A. Darmesteter et Hatzfeld, le Seizième Siècle en France , sect. II, ch. ii), qui de verve tirait verver et
e donner, dans son Poète courtisan, le premier modèle de la satire en France  ; enfin | de mériter, par les poésies diverses de
sez pour lui assurer une belle place dans les gloires poétiques de la France . Nous citons l’édition P. Blanchemain, 8 vol., 18
daigné, et mourut pauvre et oublié à l’âge de quarante et un ans. La France lui nia le pain, a dit d’Aubigné. Qui se sert d
riotiques. Il sentit vivement l’horreur des guerres qui désolaient la France  ; c’est sur elle qu’il pleure par les voix de plu
ra qu’il n’est point de vaillance Qu’on doive comparer à la valeur de France . Rois et empereurs323 I. Nabuchodonosor
en Angleterre pour échapper à un procès criminel, le ramena gracié en France , le fixa dans l’Orléanais par des travaux industr
prens bien plus haut, car j’apprens à ma plume Un autre feu auquel la France se consume. Ces ruisselets d’argent que les Grecs
as à Bourges, latiniste consommé et successeur de Ramus au Collège de France , anti-ligueur, anti-espagnol, anti-allemand, Fran
mai et chansonne l’Espagnol, ami de la science, de la nature et de la France . Le rossignol ……………………………… Viens, ami, vie
ant à son col sa charrue inutile. Que le ciel faict d’horreur sur la France pleuvoir ! Delbenc, en nostre temps eussions nous
tré, les Seize sont sortis, Et les feus de la guerre ont été amortis. France se va remettre en paix et en concorde ; Pendés vo
auge. Brief, tous souhaits vous puissent advenir, Fors seulement d’en France revenir, Qui n’a besoin, o estourneaux estranges4
ans l’édition de Malherbe de la Collection des grands Écrivains de la France , tome IV, ses Remarques sur les Œuvres de Desport
tes effects, prince né pour éteindre Les flammes qui souloient539 la France consumer, Que ny ton ennemy ne peut assez te crai
Marie Stuart Adieux a la France705 Adieu, plaisant pays de France , O ma patrie La plus cherie, Qui as nourri ma jeu
, O ma patrie La plus cherie, Qui as nourri ma jeune enfance ; Adieu, France  ! adieu mes beaux jours ! La nef qui disjoint nos
isième). Il faut leur adjoindre le créateur de la poésie burlesque en France et de la Mazarinade, Scarron (1611-1660), gai et
ujours été, dans les villes, la passion littéraire la plus vive de la France populaire, bourgeoise, aristocratique. On sait ce
loire épique à Childebrand ! (Childebrand ou les Sarrasins chassés de France , seize chants, 1666-1670)706 ». De tout ce fatras
en 1666 ses œuvres réunies. La Collection des grands écrivains de la France contient une édition définitive de ses œuvres de
sant Doit à vostre bras agissant Tous les estez une victoire, Pour la France et pour vostre gloire, Taschez d’en vivre jusqu’à
de la Grèce. « Craindre ces écrivains ! on écrit tant chez nous ! La France excelle aux arts, ils y fleurissent tous ; Notre
nt de Platon890 ? La Grèce en fourmilloit dans son moindre canton. La France a la satire et le double théâtre891 ; Des bergère
, y entrevoit tous les exploits de ses successeurs et des héros de la France , jusques et y compris Turenne. Un passage que nou
nes diverses, tous les genres de poésie, et a même cru doter enfin la France de l’épopée qui lui manquait. Dans l’histoire par
ichit l’héritage. Il meurt en lui laissant son patriotique Hymne à la France , écrit avant 1786 ; la monarchie tombe en 1792 au
d et des chansons de geste du moyen âge, a cru trouver l’épopée de la France pour donner un démenti au scepticisme ironique du
ix chants des voyages du czar à travers la Hollande, l’Angleterre, la France et la Thuringe, qui ressuscitera l’épopée. « Un s
lisibles, où Saint-Lambert (1717-1803) croyait donner un Thomson à la France . Ses apostrophes éternelles excèdent et glacent.
le coup de canon d’Adélaïde Du Guesclin ; il demande ses sujets à lu France , à l’Amérique, à la Chine, aussi bien qu’à la Grè
logues de Florian (1755-1794). « Enfin Chénier vint, et le premier en France  » retrouva et fit jaillir la source perdue de Thé
nre secondaire depuis La Fontaine ; le conte ne l’avait jamais été en France . Personne au xviiie  siècle ne conte mieux en ver
Il a transmis sa valeur aux soldats ; Il va venger les malheurs de la France . Sous ses drapeaux marchez dès aujourd’hui, Et mé
me aura franchi le seuil, Du sein brillant de l’empyrée, Tu verras la France éplorée T’offrir des honneurs immortels, Et le te
hateaubriand, qui lui valut une chaire de poésie latine au Collège de France et un fauteuil à l’Académie. Il donna ensuite les
Pense au nom des Trudaine et bénit leur ouvrage1247 ?… ……………………………… Ô France  ! trop heureuse Si tu voyais tes biens, si tu pro
fange Ces bourreaux barbouilleurs de lois ! Ces vers cadavéreux de la France asservie, Égorgée !.… Ô mon cher trésor, Ô ma plu
d’A. Chénier, et Léonard. Nicolas Léonard (1744-1793) eut toujours en France la nostalgie de son pays natal, la Guadeloupe. Il
 ; Et, dans les antres qui gémirent, Le lion répandit des pleurs. La France a perdu son Orphée !… Muses, dans ces momens de d
elille, qui se fait toujours lire, écouter et applaudir au Collège de France , et, après lui, par une pléiade de beaux esprits,
ix Demandait à grands cris du sang et non des lois 1277 ! Ceux que la France a vus ivres de tyrannie, Ceux-là mêmes, dans l’om
onde Restauration de la liste de l’Académie et proscrit, il rentra en France en 1819, et, en 1829, par une nouvelle élection,
té. Mais dans ses chansons nationales (le Cinq mai, les Enfants de la France ), militaires (le Vieux Sergent, le Vieux Caporal)
r des martyrs à chanter ! (Le Malade.) Honneur aux enfants de la France  ! (Les Enfants de la France) quelquefois la m
usins) Le début de l’Orage est souriant, le début des Enfants de la France est vibrant : Reine du monde, ô France ! ô ma pa
t, le début des Enfants de la France est vibrant : Reine du monde, ô France  ! ô ma patrie ! Soulève enfin ton front cicatrisé
nne espérance ! Je cours, de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la France . Il part ; et, comme un trésor, J’ai depuis gardé
nt vu mon palais paternel. Ils descendent du nord, ils volent vers la France  ; Oh ! saluez le lieu de mon heureuse enfance ! S
pirent et l’animent ; on savait gré à un poète français de dire de la France au lendemain de Waterloo : J’ai des chants pour
s appartient ici), il a donné à la poésie lyrique un essor inconnu en France . Âme vibrant à toutes les émotions de la joie ou
oujours poète à quatre-vingts ans, il remplit le siècle. Il a créé en France l’école romantique que Byron avait créée et dével
soir enfin, les vents qui soufflent des Florides L’entraînent vers la France et ses bords pluvieux. Un pêcheur accroupi sous d
n cœur encor vivant…1410 Dirons-nous aux héros des vieux temps de la France De monter tout armés aux créneaux de leurs tours,
vec A. Chénier. La cavale1442 Ô Corse à cheveux plats, que ta France était belle, Au grand soleil de messidor1443 ! C’
Idylles héroïques (1858) les Voix du Silence (1865), le ramènent à la France et à nos jours : les Cévennes, son berceau, et le
s l’éloigne de son point de départ et le rapproche de nous. Il est en France , au xiie  siècle, avec Agnès de Méranie (1845), d
n Le torrent, rejeté hors de notre terrain ! Que d’un sublime élan la France tout entière Se lève à notre appel et coure à la
oup d’essai délivre la Belgique, Et vengeons-nous des rois, contre la France armés, Par l’affranchissement des peuples opprimé
! lorsque nous avons, ô débiles manœuvres ! La raison pour appui ; la France pour levier, Nous ne soulevons pas encor le monde
et les taureaux ruminant sur l’herbe des prairies ensoleillées de la France . Il vautre l’hippopotame dans les joncs du Nil bl
ité de secrétaire à son cousin, le cardinal du Bellay, ambassadeur de France . 117. Subridere, sourire. 118. Monsieur, non 
gile, elles ne donnent ni leurs bergers, ni leurs nymphes. La cour de France y est déguisée sous des noms de ferme, quelquefoi
njou, le roi de Navarre. On y fait force descriptions, on y chante la France délivrée des Allemands, la France honorée des Val
force descriptions, on y chante la France délivrée des Allemands, la France honorée des Valable et des Budé. Dans d’autres, J
quelin, et avant Régnier, compter parmi les créateurs de la satire en France . Témoins la première partie du morceau précédent
tion pour l’adolescence de Charles IX, de sa Remontrance au peuple de France , de sa Response aux calomnies des prédicans, etc.
’Imitation de Corneille. Il est pathétique, il pleure sur « la pauvre France  » ; il s’adresse, pour guérir ses plaies, a tous,
a Cléopâtre de Jodelle, que celle de la tragédie du xviie au Cid. La France , comme l’Italie, avait eu dans le moyen âge ses p
ant leur malheur d’une trop basse voix : La tienne comme foudre en la France s’écarte. Heureux en bon esprits ce siècle plant
urs » le rapport « des effects aux causes ». Les Misères du peuple de France ont pour cause les vices des Princes, la corrupti
quois, et toujours sincere et franc, des Ménippéens. 481. Appelés en France et soudoyés par les Ligueurs. 482. L’armée du du
de Passerat. Elle se trouve dans la Satire Ménippée. 486. Appelés en France et soudoyés par les Huguenots. 487. Reîtres ou
strées, marquis de Cœuvres, frère de Gabrielle d’Estrées, maréchal de France , mort en 1670 presque centenaire. — Cette satire
s prélats ambassadeurs. C’est donc pourquoi, si jeune abandonnant la France , J’allay, vif de courage, et tout chaud d’esperan
semaine sainte. 704. Affirmer. 705. Vers écrits en vue des côtes de France , sur le vaisseau qui conduisait la reine en Écoss
ous ait acquis la paix sur la terre et sur l’onde ; Que l’hydre de la France , en revoltes feconde, Par vous soit du tout morte
vec le Sonnet de Job, par Benserade, partagea la cour, la ville et la France , dit La Harpe, en Uranistes et Jobelins. Voici ce
ilosophie. Il fut précepteur du frère de Louis XIV, historiographe de France , académicien. — Son fils, l’abbé Le Vayer, mourut
 comédien ». 959. Le commandeur de Souvré, plus tard grand-prieur de France  ; — le vicomte du Broussin, son ami, qui sortit e
aire. 994. Ce furent un cardinal et un abbé qui fondèrent l’opéra en France , en 1647 et en 1671. En 1647, Mazarin fit représe
un accueil bienveillant auprès du comte du Luc, qui y représentait la France . Il le suivit en 1715 à Vienne, où il trouva auss
u Luc n’ait arrêté « mille peuples fougueux » prêts à se jeter sur la France , et que « ses conseils » n’aient déconcerté leurs
quittez les chansons… La nature t’appelle, apprends à l’observer ; La France a des déserts, ose les cultiver… Change en épis d
ndal (le comte de), fils d’un Irlandais qui avait suivi Jacques II en France , servit avec éclat, décida la victoire de Fonteno
à Raucoux, délivra Gênes des Autrichiens (1748), fut fait maréchal de France , prit Port-Mahon en 1756, etc. 1265. Cf. Boilea
de la mollesse ». (Sainte-Beuve.) 1291. Pendant les invasions de la France en 1814 et 1815. 1292. Voilà en quatre coups de
lle ne sait que ce qu’elle a vu, trois jours de la vie de Napoléon en France  : l’empereur triomphant visite par des rois, le p
it que les prières du saint prolongeraient sa vie. Il ne se rendit en France que sur l’ordre du pape, y resta en grand crédit
bien, mais qui pourroit mieux faire 1442. Allégorie célèbre de la France gouvernée par Bonaparte, consul, et Napoléon, emp
ent proscrits à Caen et essayent d’armer la province pour délivrer la France du despotisme de la Terreur. Charlotte Corday, qu
Vergniaud dit de même (I, 1) : Certe, une royauté, vieille comme la France , Désarmée, en un an, de sa toute-puissance. Les v
ouvriers que tu ne connais pas… Fils rebelles déjà des sauveurs de la France , etc. 1516. Voilà des métaphores poétiques au
51 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
t à Metz. Madame la Duchesse de Ventadour, Gouvernante des Enfants de France , allait lui écrire pour le féliciter sur le rétab
léance. SIRE, « Après la grâce que le Seigneur vient d’accorder à la France , en lui conservant Votre Majesté, il ne fallait r
te, pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes qui pût arriver en France  ; c’est celle de M. de Turenne, dont je suis assu
ux, aux Évêques, au Chancelier, au Garde des sceaux, aux Maréchaux de France , etc. Il y a d’autres personnes à qui on le donne
52 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
le corps de l’histoire. C’est ainsi que Garnier, dans son Histoire de France , désapprouvant un traité que signa Louis XII avec
t de saint Léon-le-Grand. Le P. Daniel, jésuite, dans son Histoire de France depuis l’établissement de la monarchie dans les G
et curieuse pour tous les lecteurs. L’abbé Velly dans son Histoire de France depuis l’établissement de la monarchie jusqu’au r
y, dans les huit premiers volumes des Vies des hommes illustres de la France  ; ouvrage écrit avec chaleur, et qui honore autan
résident Hénault offre dans son Abrégé chronologique de l’histoire de France , le plus parfait modèle qu’on puisse choisir pour
ur. Enfin, les Mémoires pour servir à l’histoire de Louis, dauphin de France , père de Louis XVI ; bien faits pour plaire à l’h
53 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
ie ou de mort pour la majorité des Français ; et le cri unanime de la France pour la liberté d’enseignement, et, par-dessus to
s qui sont encore alarmés par l’arrêt du malheureux Lally, ceux de la France entière qui demande à être purgée de la honte de
sang à celui des rois et des empereurs et qui a donné des reines à la France . Mais que dis-je ? au lieu de le louer ici, il fa
loignée des affaires, aucune discussion grave ne pouvait s’élever. En France , l’éloquence politique a commencé seulement à l’o
reau offre encore une assez belle carrière au talent véritable, et la France a produit un bon nombre de magistrats et d’avocat
lui donner du prix à mes yeux. Soldats, bientôt je vous ramènerai en France . Là, vous serez l’objet de mes plus tendres solli
qu’on dira d’eux. Pas un mot des chefs. L’empereur et les soldats, la France en perspective, la paix pour récompense, la gloir
pas un homme. Un jour aussi, sur la tombe de son grand capitaine, la France gravera ces paroles, et elles y brilleront d’un p
us de faveur. Je voudrais pouvoir être entendu, dans ce moment, de la France entière ; je voudrais que cette enceinte pût s’ag
tude le jugement que vous allez rendre, mais il ne s’occupe que de la France . Il sait bien que la postérité recueillera un jou
itations que ses services, parvient aux premiers grades militaires de France . Toute sa vie a été une épreuve continuelle de fi
continuelle de fidélité et même de dévouement pour les intérêts de la France , de haine et presque de fanatisme contre les enne
la France, de haine et presque de fanatisme contre les ennemis de la France . Il est choisi à cinquante-quatre ans pour aller
-quatre ans pour aller à six mille lieues régir les possessions de la France et détruire les possessions rivales de celles de
ions de la France et détruire les possessions rivales de celles de la France . On l’envoie avec des promesses qui ne sont pas e
des succès, il remporte des victoires, il fait des conquêtes pour la France . Réduit bientôt à se défendre, il lutte seul cont
l brave la pauvreté, la faim, le poison, l’assassinat, pour servir la France . Obligé enfin de succomber sous la nécessité, il
me de sa chute ; et à son retour, il est diffamé, calomnié, accusé en France . Il invoque la justice du ministère contre ses ca
s qui ne se sent pas le courage d’être juste, le presse de quitter la France . Il se refuse avec indignation à ce projet révolt
s, et l’on imagine de le poursuivre comme ayant pu voler et trahir la France . Ces premiers juges sont trouvés incompétents : u
ction formée par tout ce qu’il y a de plus vil et de plus coupable en France . On assemble d’abord cette commission quatre ou c
la faculté de défendre cette vie qu’il a tant de fois exposée pour la France . On l’assemble ensuite deux fois par jour, pour n
ion que laissent à un accusé ce qu’on appelle les lois criminelles de France . Enfin, on fait lire rapidement à cette commissio
pplice ; et cet étranger, dévoué presque en naissant au service de la France , meurt à soixante-cinq ans sur un échafaud dressé
urt à soixante-cinq ans sur un échafaud dressé dans la capitale de la France , vainement défendu dans ses derniers moments par
erniers moments par les murmures impuissants de tous les guerriers de France , mais insulté, outragé, bourrelé arbitrairement p
es de nos frères morts, faibles et derniers débris de cette Église de France , naguère si illustre et si florissante, nous fass
rinces et princesses, nobles rejetons de tant de rois, lumières de la France , mais aujourd’hui obscurcies et couvertes de votr
s stoïques des maux incalculables que cette catastrophe vomira sur la France  ; impassibles égoïstes, qui pensez que ces convul
contre moi. Quelques-uns de mes généraux ont trahi leur devoir et la France . Elle-même a voulu d’autres destinées : avec vous
ont restés fidèles, j’aurais pu entretenir la guerre civile ; mais la France eût été malheureuse. Soyez fidèles à votre nouvea
t le saisit au moment où il se croyait sûr de sauver la monarchie, la France et sa propre gloire. Il avait trop longtemps spéc
la plus noble victime ?… Pour moi, j’avoue que dans les annales de la France et du monde, je ne sais rien, je n’imagine rien d
la fille de Marie-Thérèse, après le petit-fils de Louis XIV. Non, la France n’a point encore expié ce crime, le plus grand de
54 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »
ue dans la fable. De tous les fabulistes connus, c’est La Fontaine en France , et Kryloff en Russie, qui nous semblent l’expres
Pilpaï. Arabie. Lokman. Grèce. Ésope, Babrius. Rome. Phèdre, Avianus. France . Marie de France, La Fontaine, Lamotte, Florian,
55 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
s étaient appelés à leur succéder. Toutes les voix étaient libres. La France , au comble de la puissance, était maîtresse de to
si je pouvais me flatter de vivre, je voudrais écrire une histoire de France à ma mode. J’ai une drôle d’idée dans ma tête : c
aité de Campo-Formio, suite des préliminaires de Léoben, il céda à la France , en échange des États de Venise, occupés chemin f
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463
cho de paris A M. MARMONTEL Mon très-aimable successeur, De la France historiographe1, Votre indigne prédécesseur Atten
ublés admirant la puissance, Il croit que Varignon2 fut seul utile en France , Et s’étonne surtout qu’inspiré par l’amour, Sans
Il a transmis sa valeur aux soldats ; Il va venger les malheurs de la France . Sous ses drapeaux marchez dès aujourd’hui, Et m
incomparable en variété et diversité de commoditez ; la gloire de la France , et l’un des plus nobles ornements du monde. Dieu
57 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
rès, il y succombait à la rigueur du climat. Ses restes, rapportés en France en 1667, reposent à Paris, dans l’église de Saint
urs de la pensée humaine. De tous les grands esprits qu’a produits la France , nul n’a régné plus souverainement sur son siècle
ristote, se trouvait encore aussi loin de la vérité. « Enfin parut en France un génie puissant et hardi, qui entreprit de seco
58 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »
ragiques, un mélange de beautés sublimes et de défauts monstrueux. En France , Marot charmait les esprits par ses poésies plein
s. Siècle de Louis XIV. Le feu des guerres civiles embrasait la France . Richelieu, après avoir pacifié le royaume, établ
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Staël 1766-1817 » pp. 218-221
nt son exaltation sans décourager son amour de la liberté. Revenue en France au lendemain de la Terreur, elle y réveilla l’esp
upérieure ; et l’Allemagne, tableau brillant d’une littérature que la France ignorait. Intelligence sympathique aux nobles idé
60 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
les. — Cela est fort commun, madame ; mais que peut un ambassadeur de France contre la rage de faire de mauvais vers ? — Monsi
urir pour me partager entre ma mère et mon mari ; M. l’ambassadeur de France est le seul qui puisse finir mes malheurs. » J’ai
il a écrit des sottises, soyez très-persuadée que M. l’ambassadeur de France n’en sait rien, qu’il ne lit point ces pauvretés,
otre faveur. Il y a toujours trois ou quatre gazettes3 littéraires en France , et autant en Hollande ; ce sont des factions dif
parlant du mot gazette : « Le médecin Théophraste Renaudot donna en France les premières gazettes en 1631, et il en eut le p
de politique, d’histoire et de littérature. 2. Tyrconnel, envoyé de France auprès de Frédéric-le-Grand. 1. Il est fort hont
61 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
que qui rebute plus qu’elle n’impose. Si les beaux-arts fleurirent en France par les soins de son roi, ils furent négligés en
laquelle des ministres et des généraux ont ajouté des provinces à la France , sur un ordre de leur roi ; qui s’étonnent davant
n grand nombre de résumés ou d’abrégés non seulement de l’histoire de France , mais des histoires de tous les peuples. Un des m
le président Hénault a intitulé Abrégé chronologique de l’histoire de France . Domairon le déclare, avec un peu d’exagération p
l’histoire ancienne, Éléments de l’histoire moderne, de l’histoire de France , de l’histoire d’Angleterre, des abrégés qui ont
62 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
ers : par là il mérita la faveur de ce qu’il y avait de plus grand en France , où l’on commençait alors à goûter beaucoup les c
t de la plus grande importance que nous ayons vue de notre siècle. La France , que vous venez de mettre à couvert de tous les o
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
triotisme littéraire On entend dire trop souvent que l’esprit, en France , court des périls. Unissons-nous tous, maîtres, é
es, élèves, parents, pour les conjurer. Quand il s’agit du rang de la France dans les choses matérielles, l’émulation des peup
64 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
tons point, Corneille tiendra sa place dans toutes ces merveilles. La France se souviendra avec plaisir que sous le règne du p
ult, si justement regretté : « Il fut un temps où l’on s’imaginait en France qu’un homme de génie, un grand poëte était un hom
65 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
ur la maison ; Cent voiles, pour cent vaisseaux ; La Seine, pour la France (ce qui est aussi une métonymie) ; Un castor, po
aut que l’on pourrait remarquer dans les lignes qui suivent ; dans la France industrielle, M. Aimé Martin s’exprime ainsi : D
des difficultés que Henri IV eut à vaincre pour parvenir au trône de France  : Combien de traverses, d’obstacles, combien de
table de Bourbon pour le détourner de négocier avec les ennemis de la France , et lui dit : Je sais bien qu’il n’importe guère
it souffrir d’énormes injustices ; mais quel déplaisir vous a fait la France , elle qui vous a si chèrement nourris vous et vos
Dans la Henriade, Potier défend les droits de Henri IV, au trône de France  ; et dans le discours qu’il prononce devant le du
e Henri IV eut affaire, valait bien Pompée, le rival de César ; et la France fut pour tous deux un champ de victoire. César co
66 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
amme mieux que J.-B. Rousseau et Lebrun, les plus sérieux lyriques de France avant Lamartine ? Le poëte du Cid a écrit le Ment
cune des subdivisions de la plaisanterie analysées par Quintilien. En France , toujours malin et sensé, l’enjouement a varié av
lexandre Dumas, l’auteur de Jérôme Paturot, etc. Ce n’est guère qu’en France non plus que l’on a connu le badinage, plus léger
67 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
ques. Tel est le nouveau ressort dramatique dont Corneille a donné en France les premiers exemples dans ses chefs-d’œuvre. Le
la platitude grossière et la bassesse triviale. C’est La Chaussée, en France , qui a créé la tragédie bourgeoise18. 2° Le drame
, Lope de Vega et Calderon ; en Allemagne, par Goethe et Schiller. La France , longtemps fidèle à l’imitation classique des Gre
us de succès que le Misanthrope ; mais cette vogue a été limitée à la France et au siècle de Louis XIV : de nos jours, elles n
68 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
grâces, quitta la Russie, erra quelque temps en Pologne et rentra en France épuisé par ces fatigues et dénué de toute ressour
relation de son voyage qu’il publia trois ans après, à son retour en France , fut le brillant début d’une réputation qui se co
69 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
e tous côtés pour favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens attendait le succès d’une entreprise q
e oublié, messieurs ; cette funeste nouvelle se répandit par toute la France comme un brouillard épais qui couvrit la lumière
70 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
x de 1709. — Humanité de Fénelon L’année 1709 est désastreuse pour la France dans les annales de notre histoire. Elle est marq
et par-dessus tout, un hiver des plus rigoureux qui sévit surtout en France et en Italie, où gelèrent les lagunes de Venise.
ées de Louis XIV, où il semblait que le ciel voulût faire expier à la France ses prospérités orgueilleuses, et obscurcir l’écl
vait commencé de suivre, il fût devenu l’un des premiers génies de la France . Lectures. — 1° Jésus-Christ ; Divinité de sa mi
rmée et de toute la retraite, et lui avait recommandé l’honneur de la France . Monsieur de Bayard qui avait en quelque pique au
a nature accorde à des écrivains privilégiés. Beaucoup d’entre eux en France ont été comblés de cette faveur, et la lecture de
71 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
et de nos laquais. Et ces gens si déterminés, qui devaient percer la France jusqu’aux Pyrénées, qui menaçaient de piller Pari
outes nos forces furent jointes ensemble pour cet effet ; et toute la France se trouva devant une place. Ici, au contraire, il
eur propre pays, et qui, pour perdre un homme seul, voudraient que la France se perdît, se moquaient de tous les préparatifs q
ein23, et qu’ils verront que, tant qu’il a présidé à nos affaires, la France n’a pas un voisin sur lequel elle n’ait gagné des
me présentes, comptons combien cet homme, que l’on dit qui a ruiné la France , lui a épargné de millions par la seule prise de
s n’allaient pas trop bien en Italie ; et comme c’est le destin de la France de gagner des batailles et de perdre des armées,
tous les jours avis que l’on y fait des pratiques pour le perdre. La France et l’Espagne, par manière de dire32, sont conjuré
sse pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes qui pût arriver en France  : c’est la mort de M. de Turenne, dont je suis as
e112, les Époques. IX. Influence de Louis XIV sur la fortune de la France . Bombardement d’Alger. Sous lui la France a a
IV sur la fortune de la France. Bombardement d’Alger. Sous lui la France a appris à se connaître. Elle se trouve des force
ervir secrètement à ses desseins. Par les soins d’un si grand roi, la France entière n’est plus, pour ainsi parler, qu’une seu
éloignement combien la main de Louis était secourable. Avant lui, la France , presque sans vaisseaux, tenait en vain aux deux
ment : Voilà un bon livre ; vous le dites, il est vrai, avec toute la France , avec les étrangers comme avec vos compatriotes,
eune, dans la carrière périlleuse des missions étrangères : retenu en France par la délicatesse de sa santé, il devint le préc
les fruits, par l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France . Outre ce livre pénétré de l’esprit antique et de
ures du temps. Ce goût règne aujourd’hui parmi vous, et dans toute la France  ; et, par d’heureux et insensibles accroissements
ste284, et, par des ouvrages qui ne périront jamais, a acquis à notre France une gloire immortelle. Mais plus nous voyons que
ture étala toutes ses beautés, et tout prit une nouvelle forme295. La France ne vit plus rien qu’elle dût envier aux meilleurs
reté du langage et le goût du bon siècle commença à s’altérer ; et la France aurait sans doute la même destinée, si l’Académie
re désastreuse de Sept ans allait éclater : déjà fermentaient dans la France ces vagues désirs de réformes qui aboutirent à de
dans la route qui mène de Champagne en Bourgogne. Cette partie de la France était remplie de mouvements dont on ignorait la c
id, qui ménageait une province jalouse de ses droits et voisine de la France . Besançon même se gouvernait comme une ville impé
teville, frère de celui qui, ayant insulté à Londres l’ambassadeur de France , avait procuré, par cet outrage, l’humiliation de
rès la guerre une grosse pension et le grade de lieutenant général en France . Ces intrigues secrètes, à peine commencées, fure
onies américaines contre l’Angleterre, applaudie et encouragée par la France , annonçait que le siècle des révolutions allait c
e jour, À peine la quatrième438 lune Achève de faire son tour ; Et la France a les destinées Pour elle tellement tournées Cont
elques traits sublimes ; à trente, il faisait paraître le Cid : et la France ravie saluait de ses applaudissements enthousiast
ur haine, il faut que je l’avoue, Qu’au faible et vain talent dont la France me loue. Leur venin, qui sur moi brûle de s’épanc
un arrêt de bannissement, il passa tout le reste de sa vie loin de la France dont il est demeuré l’une des gloires. L’élévatio
die, il a tenté seul avec un certain succès de donner une épopée à la France . Excellent aussi dans le poème didactique, l’un d
qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un père qui y représentait la France comme consul, lit d’excellentes études au collège
vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France , qui à une haute inspiration joignait une raison
y toucher, il n’y a point de doute qu’il ne porte bonheur à toute la France , et qu’encore qu’il ne conseille pas le roi, il n
un digne enfant de saint Louis. Sa mort prématurée fut pleurée par la France entière à l’égal d’un malheur public. Saint-Simon
. de Chateaubriand, qui, placé au rang des saints, est devenu pour la France une espèce de roi éternel ». 256. Ce détail phy
r fut Philippe Auguste : on peut consulter Pasquier, Recherches de la France , III, 29. 286. C’est-à-dire de toutes les nobles
294. Cf. Art poét., ch. I : Enfin Malherbe vint, et, le premier en France , Fit sentir dans les vers une juste cadence. 2
re la campagne d’Allemagne, et cette année même (1743) il rentrait en France avec une santé épuisée qui le forçait d’abandonne
e l’éloquence du Promeneur solitaire sur M. de Lamartine. C’est qu’en France , de même que dans toute l’Europe, J.-J. Rousseau
lheur, ne devait pas confirmer. Jadis, il avait salué sa bienvenue en France , en 1600, lorsque son ami du Perrier l’avait prés
disait alors indifféremment Calis et Cadis, soit en Espagne, soit en France . 435. Ce trait est emprunté à Horace, Od., III,
agne de Fouquet, qui avait prodigué pour l’embellir les trésors de la France . Si, à cet égard, sa prodigalité fut sans excuse,
moire adressé au roi sur les moyens de remédier aux calamités dont la France , dès 1697, commençait à être assaillie par suite
nissement (1712), fut accueilli avec distinction par l’ambassadeur de France en ce pays, le comte du Luc, qui s’honora d’être
72 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
v.) Paris et Montaigne Ie ne me mutine1 iamais tant contre la France , que ie ne regarde Paris de bon œil. Elle2 a mon
incomparable en varieté, et diuersité de commoditez : la gloire de la France , et l’vn des plus nobles ornements du monde. Dieu
une rude écorce, Les tendresses du cœur et la croyance en Dieu. Si la France un matin vous aligne en phalange, Fiers, vous fai
73 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
Ce penultieme d’apvril 1549. (Lettres françaises.) A l’Église de France 8 Très chers seigneurs et freres, ie ne doubt
1547, cette lettre est une sorte de mandement adressé aux réformés de France . Par le fond et la forme, elle nous révèle le car
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
ait l’empire : son cœur ressentit douloureusement les blessures de la France . Avocat à Paris en 1822, il quitta bientôt la car
nde, abstenez-vous de l’office de juges. » 1. Il faut prouver que la France n’en est point réduire à cette extrémité.
75 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
ngt ans ; Qu’à moins d’un sang nouveau qui du vieux sol5 renaisse, La France et l’avenir ont perdu leur printemps. On dit que
age de l’Histoire contemporaine, celle qui raconte les malheurs de la France envahie en 1815 par l’Europe coalisée. 2. Ce sif
76 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
des talents qui ont établi, dans le passé, la gloire littéraire de la France . Assurément, le dix-neuvième siècle n’a jusqu’à p
rs imitateurs. Et déjà, sous Henri IV, Antonio Perez avait importé en France le gongorisme, ou le cultisme, art singulier qui
nnue par toute l’Europe qui s’empressa de se faire l’imitatrice de la France , et non seulement dans les lettres, mais aussi da
ève, Et pour ses factions qu’il n’ira point en Grève ; Car il aime la France , et ne souffrira point, Le bon seigneur qu’il est
Malherbe opéra une révolution littéraire, en faisant « le premier en France sentir dans les vers une juste cadence », en ense
à Aix, en 1600, à la jeune reine Marie de Médicis sur sa bienvenue en France . Malgré bien des banalités froides et fastidieuse
estins. Il est bas le parricide ; Un Alcide fils d’Alcide42, À qui la France a prêté Son invincible génie, A coupé sa tyrannie
t homme enfin qui, dans tous les genres de l’art scénique, mérita, en France , le titre glorieux de créateur. En 1636, il s’éla
Discours de la Méthode, commence l’époque classique de la tragédie en France . On avait accablé l’auteur du Cid d’accusations d
de Lope de Vega est la première comédie de caractère qui ait paru en France , la première où les aventures romanesques et les
emps ce que la critique a droit de lui reprocher. Son génie a créé en France la tragédie et la comédie. Il a tout renouvelé au
est ainsi qu’il parvint à tirer une leçon du sens délicat qu’on a, en France , du ridicule. Le rire de Molière est souvent bien
pourrais m’agrandir : J’ai de l’esprit, du cœur, plus que seigneur de France . Je joue, et j’y ferais fort bonne contenance. Ma
t un nom glorieux dans l’opéra, dont il est le véritable fondateur en France . Armide, Roland, Thésée, Amadis, sont d’admirable
et de la Grèce. Craindre ces écrivains ! on écrit tant chez nous ! La France excelle aux arts, ils y fleurissent tous ; Notre
chant de Platon ? La Grèce en fourmillait dans son moindre cantons La France a la satire et le double théâtre ; Des bergères d
rois talents ne formaient qu’un esprit Dont le bel art réjouissait la France . Ils sont partis ! et j’ai peu d’espérance De les
étique qui mérita, dès son apparition, de faire loi, non seulement en France , mais chez les étrangers qui le traduisirent. Flé
fait lui-même qu’une copie pure et simple de l’antique, remontra à la France une grande et sévère poésie qu’elle ne connaissai
ut achevé en 1724, et publié d’abord à Londres, où l’auteur, banni de France , avait dû chercher un asile. Ce poème fut accueil
Il a transmis sa valeur aux soldats ; Il va venger les malheurs de la France . Sous ses drapeaux marchez dès aujourd’hui Et mér
plaisirs qui sont trompeurs comme eux. Bon citoyen, travaille pour la France , Et du public attends ta récompense. » Qui ? le p
ffamés usurpe les autels ; Et lorsque, abandonnée à son idolâtrie, La France qu’il corrompt touche à la barbarie, Flatteur d’u
t pas jusqu’au simple soldat Qui ne se soit, un jour, cru maréchal de France  ; Et le pauvre lui-même est riche en espérance.
ue, en son jeune printemps, Belle, au lit d’un époux nourrisson de la France , Me fit naître Français dans les murs de Byzance1
s on l’entend célébrer sur son luth les plus nobles aspirations de la France . Les idées, l’imagination modernes n’ont nullemen
      Ces bourreaux barbouilleurs de lois ! Ces vers cadavéreux de la France asservie,                 Égorgée ! ô mon cher tr
de. De bons juges y ont vu la plus belle traduction que nous ayons en France d’un poème épique de grand caractère. Ces éloges
paravant, et les avait lues par fragments à l’Académie, au Collège de France , dans les salons. La Partie de trictrac et d’éc
de lui185. Mais que de pages immortelles de cette poésie nouvelle en France enrichiront notre trésor littéraire !   Les tenta
er par des formes simples. Il pensa aux illettrés qu’oublient trop en France les poètes, punis de ce dédain par une réputation
 Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France . » Il part et comme un trésor, J’ai depuis gardé
ts le Besoin de s’unir après le départ des étrangers électrisèrent la France libérale. Delavigne fut aussitôt salué poète nati
, de chanter les grands événements qui intéressaient la liberté de la France et du monde ; mais son talent en ce genre cessa d
nt de faiblesse Perdait tout, livrait tout aux mains d’un favori : La France périssait, si le roi n’eût péri. Les intérêts d’É
ouvait dire de ses diverses compositions qu’elles avaient devancé, en France , toutes celles de ce genre, dans lesquelles une p
i auraient pu être abrégés de moitié, il se fit lire, d’un bout de la France à l’autre, comme un roman. Il méritait ce succès,
sa famille, des motifs continuels de voyages et de déplacements, — de France en Italie, d’Italie en Espagne, d’Espagne en Fran
éplacements, — de France en Italie, d’Italie en Espagne, d’Espagne en France , — qui, selon son expression, lui firent parcouri
arer que Victor Hugo est le premier poète lyrique non seulement de la France , mais de toutes les nations anciennes et modernes
lemagne et de l’Italie. C’est un des poètes les plus originaux que la France ait produits, et en même temps une des natures le
George.                          Il est mort, quand j’étais hors de France  ; Je ne recevais point de lettre, et je n’appris
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
elques traits sublimes ; à trente, il faisait paraître le Cid : et la France ravie saluait de ses applaudissements enthousiast
royez-vous qu’il suffit d’être sorti de moi ? Dorante. Avec toute la France aisément je le croi1 Géronte. Et ne savez-vous
aisément je le croi1 Géronte. Et ne savez-vous point avec toute la France D’où ce titre d’honneur a tiré sa naissance, Et q
ar tous les poëtes. » Il eût pu ajouter que le père de la tragédie en France ne l’avait nullement inventé, mais qu’il l’avait
78 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
dt. C’est un des premiers livres bien écrits qui aient été publiés en France . Que de choses à apprendre dans ce petit recueil,
A la suite des Mémoires pour servir à l’histoire de Louis, dauphin de France , père de Louis XVI, on a imprimé un Traité de la
ffet étoit honoré de l’estime et de la confiance de Louis, dauphin de France , père de LI. Ce prince, dont les vertus sublimes
79 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fléchier. (1632-1710.) » pp. 69-75
supériorité personnelle et montrèrent que le mérite allait devenir en France le premier des titres. On a de lui des Sermons, d
e tous côtés pour favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens attendait le succès d’une entreprise q
80 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
arut, à peu près en même temps que le Cid , tout ce qu’il y avait en France d’esprits solides, amateurs du vrai, du beau et d
votre retraite, et à le préférer à toutes les plus belles demeures de France et d’Italie, et même à ce célèbre ermitage que vo
rs le début du règne de Louis XIV. Commencements de la Fronde. La France avait déclaré la guerre en l’année 1635 à la mais
t un signal pour tous les mécontents, les rentiers, les trésoriers de France , les secrétaires du roi, les officiers des taille
it révoqué les intendants des provinces, et rétabli les trésoriers de France en la fonction de leurs charges ; il prétendait e
e sa grandeur, mais ce n’est pas un petit dessein, que de réformer la France . Il a été moins long et moins difficile à Votre M
lui plaît, pour un moment en sa mémoire ce grand et beau jour que la France vit avec tant de joie, que ses ennemis, quoique e
roi ; Mademoiselle, destinée au trône, Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de Monsieur. Voilà un beau sujet de
place à l’autorité légitime ? Ou bien était-ce comme un travail de la France prête à enfanter le règne miraculeux de Louis ? N
rinces et princesses, nobles rejetons de tant de rois, lumières de la France , mais aujourd’hui obscurcies et couvertes de votr
eune, dans la carrière périlleuse des missions étrangères : retenu en France par la délicatesse de sa santé, il devint le préc
les fruits, par l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France . Outre ce livre pénétré de l’esprit antique et de
re désastreuse de Sept Ans allait éclater : déjà fermentaient dans la France ces vagues désirs de réformes qui aboutirent à de
qui renoncent tous deux à leur patrie, qu’ils honorent, pour venir en France jouir de l’estime et des bienfaits de Louis XIV34
excellentes critiques ? L’évêque Burnet avoue que ce goût, acquis en France par les courtisans de Charles II, réforma chez vo
théâtre français ? Quelle nation ne suivait pas alors les modes de la France  ? Vous m’apportez, milord, l’exemple du czar Pier
ont porté chez vous-mêmes une industrie qui faisait la richesse de la France . Comptez-vous pour rien tant de manufactures de s
esta que Sheridan et Sullivan, qui l’avaient suivi quand il partit de France . Il marcha avec eux cinq jours et cinq nuits, san
e même île de Wist où il était venu prendre terre lorsqu’il arriva de France  : il y trouve un peu de secours et de repos ; mai
eurs dont on préparait la mort. Dans les inquiétudes où l’on était en France sur la destinée du prince Édouard, on avait fait
ard ne fut pas alors au terme de ses calamités ; car étant réfugié en France , et se voyant obligé à la fin d’en sortir pour sa
sa personne ; il fut arrêté, garrotté, mis en prison, conduit hors de France  : ce fut là le dernier coup dont la destinée acca
elques traits sublimes ; à trente, il faisait paraître le Cid : et la France ravie saluait de ses applaudissements enthousiast
die, il a tenté seul avec un certain succès de donner une épopée à la France . Excellent aussi dans le poème didactique, l’un d
Et dans les antres qui gémirent, Le lion répandit des pleurs742. La France a perdu son Orphée !… Muses, dans ces moments de
urvécut pas longtemps à l’avènement de ce prince, qui promettait à la France un gouvernement réparateur, et qui devait bientôt
qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un père qui y représentait la France comme consul, fit d’excellentes études au collège
vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France , qui à une haute inspiration joignait une raison
e curieuse de Louis XIV à sa mère ; elle est citée dans l’Histoire de France du père Daniel), et Pellisson lui-même fut enferm
dans le Béarn et que la révocation de l’édit de Nantes éloigna de la France . Il est auteur d’un livre sur la Vérité de la rel
« On dit que, dans ce temps (1649), le cardinal résolut de quitter la France , ne croyant pas se pouvoir conserver au milieu de
e seul des sermons de Bossuet qui parut de son vivant. Les évêques de France avaient été convoqués pour régler les droits resp
de Charles IX et de Henri III, évêque d’Auxerre et grand aumônier de France . Si les traductions d’Amyot sont peu fidèles, son
reau pour les armes et s’éleva par son mérite au grade de maréchal de France . Ce fut en Savoie, contre le prince Eugène, qu’il
rouverait son développement naturel dans les Essais sur l’histoire de France par M. Guizot, Voy. le quatrième essai, chap. III
éré comme auteur. 346. Célèbre professeur d’astronomie au collège de France , qui eut part à la construction de l’Observatoire
. 347. « C’est ainsi, dit Fontenelle dans l’éloge de Cassini, que la France faisait des conquêtes jusque dans l’empire des le
t en 1765. 357. Charles-Édouard, abandonné par Louis XV et chassé de France , vécut en Italie sous le nom de comte d’Albany et
i qu’à leur tour les sciences devaient jeter un nouveau lustre sur la France , que les lettres avaient fait briller de tant de
re a dit récemment, dans son rapport sur les Poésies populaires de la France  : « Le Henri de cette vieille chanson, comme l’ap
e Bausset, t. II, p. 352) ne devint celle du public que vers 1716. La France , dès lors, comme l’a dit Voltaire, n’a cessé de s
81 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
s d’un redoutable ennemi tournées à sa honte, la régence affermie, la France en repos, et un règne qui devait être si beau, co
e la postérité ne saurait confirmer. 2. Cette victoire, qui sauva la France et prépara la grandeur du règne de Louis XIV, fut
déjà, en parlant de la race ingénieuse et forte d’où est sortie notre France  : Duas res gallica gens industriosissime persequi
82 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
ne des changements opérés par le temps dans l’esprit littéraire de la France . Quel progrès dans l’art de décrire et de sentir
a renommée de nos grands écrivains et même la gloire littéraire de la France , c’est la correction et l’exactitude des textes.
tion En dépit de bien des efforts estimables, la routine jouit, en France , d’une autorité toute-puissante ; elle règle en s
 ; c’était à la fois le meilleur chevalier et le meilleur chrétien de France  : on le vit à Taillebourg et à la Massoure. C’est
de l’un à l’autre parti ; décrié dans tous ; entretenant à la cour de France des relations suspectes, et s’étant attiré, soit
e ne possédait aucun droit ; la royauté n’avait pas de limites, et la France était livrée il la confusion de l’arbitraire mini
r son cœur encor vivant. Dirons-nous aux héros des vieux temps de la France De monter tout armés aux créneaux de leurs tours,
me à l’horizon ! Victor Hugo. La Popularité Dans le pays de France , aujourd’hui que personne            Ne peut chez
   Suit jusqu’en ces brûlants climats,     Sans doute vous quittez la France  : De mon pays ne me parlez-vous pas ?     Depuis
ans une autre espérance. T Trop de sang, trop de pleurs ont inondé la France  ; De ces pleurs, de ce sang, un homme est héritie
us, envahir leur puissance ? Déserteur de l’Égypte, a-t-il conquis la France  ? Jeune imprudent, arrête : où donc est l’ennemi 
s de Henri III ? Il néglige du moins de rien connaître aux maisons de France , d’Autriche, de Bavière : « Quelles minuties ! »
es n’ont point de racines. Le caractère d’Alcibiade n’est pas rare en France . Le dérèglement des mœurs et de l’imagination ne
 ; de ces États généraux enfin, où le monarque lui-même désire que la France se régénère. Pour moi qui, dans ma carrière publi
de tant de classes rivales, en présence et du travail qui féconde la France , et de l’industrie qui l’enrichit, et du commerce
quelle il faut renforcer l’autorité royale ? Messieurs, il y avait en France , en 1788, une monarchie absolue, avec ses lits de
sure. Ces choses amenèrent la révolution, qui fit momentanément de la France une république. Cette république fut livrée à une
resque de manières, transportée dans la poésie, n’appartenait qu’à la France , et Voltaire, en fait de grâce, était le premier
core. Il se plaisait à consulter Ces grâces simples et naïves Dont la France doit se vanter ; Ces grâces piquantes et vives, Q
N’est-ce pas d’ailleurs grâce à cette culture non interrompue que la France a occupé un si haut rang parmi les États, a entra
reçoit un homme d’État aussi éclairé dans ses rangs, de rappeler à la France que c’est l’esprit des nations qui fait leur gran
oileau. Apologie du Cid … Considérez62, Monsieur, que toute la France entre en cause avec l’auteur du Cid, et que peut-
Le Poète au XVIIe siècle Il fut un temps où l’on s’imaginait en France qu’un homme de génie, un grand poète était un hom
in dans les livres ; elle s’en est fait un du génie particulier de la France , un autre de sa langue ; elle met chaque auteur e
rit humain qu’elle étudie dans son imposante unité, ni au génie de la France , qu’elle veut toujours montrer semblable à lui-mê
ger un auteur consulte son parti, Aigrit nos passions et dénonce à la France L’écrit qu’il n’a pas lu, mais qu’il flétrit d’av
heur, me dessilla les yeux. L’auteur avait du bon, du meilleur, et la France Estimait dans ses vers le tour et la cadence. Oui
te, pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes qui pût arriver en France  : c’est la mort de M. de Turenne. Si c’est moi qu
roi ; Mademoiselle destinée au trône; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de Monsieur. Voilà un beau sujet de
votre faveur. Il y a toujours trois ou quatre gazettes littéraires en France , et autant en Hollande ; ce sont des factions dif
qu’on fil l’empire, l’homme qui voulait être la gloire publique de la France , ut s’occupait d’attirer, d’absorber dans l’abîme
a nécessité de réunir toutes les célébrités, toutes les gloires de la France , autour d’un pouvoir réparateur. Même silence, mê
aut pas le plus petit acte d’honnêteté, et que Rousseau a inauguré en France le règne des sophistes ampoulés, comme Voltaire c
83 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
confus de mon peu d’abondance, Je me fais un chagrin du bonheur de la France . Le mot de Louis XIV à Villeroi, après la défait
e : In solis tu mihi turba locis. Les adieux de Marie Stuart à la France renferment encore plus de délicatesse : Adieu, p
ance renferment encore plus de délicatesse : Adieu, plaisant pays de France ,       O ma patrie,       La plus chérie, Qui as
patrie,       La plus chérie, Qui as nourri ma tendre enfance ! Adieu France  ! adieu mes beaux jours ! La nef qui déjoint nos
signification de ces deux termes : Or, apprenez comme l’on parle en France  :     Votre longue persévérance     A nous donner
84 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Maintenon, 1635-1719 » pp. 138-145
disait de sa création chérie : « Puisse Saint-Cyr durer autant que la France , et la France autant que le monde ! Rien ne m’est
réation chérie : « Puisse Saint-Cyr durer autant que la France, et la France autant que le monde ! Rien ne m’est plus cher que
85 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
                    Sans user de pouvoir magique, Mon corps entier en France a deux tiers en Afrique, Ma tête n’a jamais rien
eut causer le naufrage, Le mot de ce logogriphe est Orange, ville de France . Les deux tiers sont Oran, ville d’Afrique. La tê
i, que fit, en 1745 le C. de B*** sur le mariage de Louis, Dauphin de France , fils de Louis XV, avec Marie-Thérèse, Infante d’
86 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
me sur Théocrite, les éternels modèles du naturel et de la vérité. En France , à la fin du xvie  siècle et au commencement du x
té, à la précision de l’esprit français. Les poëmes d’Ossian jetés en France à la fin du xviiie  siècle, et qui plaisaient tan
87 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
[Notice] Né à Dijon, dans une ville qui donna saint Bernard à la France , Jacques-Bénigne Bossuet fut promis à l’Église dè
in, et sa gloire si pure doit rester toujours une des religions de la France . Éloquence de saint Paul 1 N’attendez pas
vieilli, que nous retrouvons dans ce vers : Adieu, plaisant pays de France . (Marie Stuart.) 4. Il y a dans ce passage com
ars 1660, devant le prince de Condé, peu de temps après sa rentrée en France , qui fut une suite de la paix des Pyrénées. 1.
ples. » Corneille, dans le prologue de son Andromède, fait tenir à la France , qu’il personnifie, ce noble langage : À vaincre
88 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
-à-dire en 1625, puisqu’il donna sa première pièce à dix-neuf ans, la France n’avait pour théâtre qu’un amas confus d’objets d
me sur cette différence qu’est fondée la distinction que l’on fait en France de plusieurs comiques différents,, ou, si on l’ai
pas toujours à l’apparence : On s’y laisse duper autant qu’en lieu de France , Et parmi tant d’esprits plus polis et meilleurs,
e, Il y vient de tous lieux des gens de toute sorte, Et dans toute la France il est fort peu d’endroits Dont il n’ait le rebut
89 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
choses bien agréables : l’une que nous verrons monseigneur Cérati en France  ; l’autre, que madame la marquise Ferroni4 se sou
près de moi à Bordeaux. Il verrait son ami, mais il verrait mieux la France , où il n’y a que Paris et les provinces éloignées
dit : « Voilà un livre qui opérera une révolution dans les esprits en France . » 1. Il écrivait à Suard : « Je suis fini ; j’
90 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
portrait qu’il trace de ce père de la philosophie : « Enfin parut en France un génie puissant et hardi qui entreprit de secou
théâtre consacré à la joie, où Molière instruisait autrefois toute la France en riant, elle y va porter de savantes analyses d
91 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119
s jours, qu’on désignait ainsi, remarque Dupleix dans son Histoire de France , « par quelque allusion au grand jour du jugement
r les Valois, comme nous l’apprend Pasquier dans ses Recherches de la France , II, 3. 1. C’est-à-dire Louis XIV. 1. On peut
92 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Musset 1810-1857 » pp. 564-575
s de souffrir, Pour renaître ou pour en finir, J’ai voulu m’exiler de France  ; Lorsque, impatient de marcher, J’ai voulu parti
traînais à ton char un peuple transporté, Et que Londre et Madrid, la France et l’Italie, Apportaient à tes pieds cet or tant
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
e tous côtés pour favoriser et pour précipiter cette retraite ; et la France en suspens attendait le succès d’une entreprise q
e oublié, messieurs ; cette funeste nouvelle se répandit par toute la France comme un brouillard épais qui couvrit la lumière
94 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
nt son exaltation sans décourager son amour de la liberté. Revenue en France au lendemain de la terreur, elle y réveilla l’esp
voltent pas comme un supplice injuste. La jurisprudence criminelle en France induit souvent le juge en erreur, et il serait à
95 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
. En effet, puisque l’Histoire contemporaine s’enseigne dans toute la France , pourquoi hésiterions-nous à en détacher un chapi
été faits. Certainement, quand le feu s’allume aux quatre coins de la France , et qu’à cent pas d’ici la terre est toute couver
rès, il y succombait à la rigueur du climat. Ses restes, rapportés en France en 1667, reposent à Paris, dans l’église de Saint
de Saint-Étienne-du-Mont. De tous les grands esprits qu’a produits la France , nul n’a régné plus souverainement sur son siècle
ins et des chartreux, mais aussi à toutes les plus belles demeures de France et d’Italie62. Quelque accomplie que puisse être
as à présent de meilleurs fruits, et l’aise que j’ai de savoir que la France a évité le naufrage en une très-grande tempête83
ille, Philisbourg103 et Norlinghen étaient des lieux funestes pour la France  : elle n’en pouvait entendre les noms sans gémir 
de Louvois. Que vous dirai-je ? magnificence, illumination, toute la France , habits rebattus et brochés d’or, pierreries, bra
oi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France qui fût digne de Monsieur 484. Voilà un beau suje
1627-1704 Né à Dijon, dans une ville qui donna saint Bernard à la France , Jacques-Bénigne Bossuet fut promis à l’Église dè
in, et sa gloire si pure doit rester toujours une des religions de la France . La royauté Certes, ce ne sont ni les trônes
les menaces d’un ennemi tournées à sa honte, la régence affermie, la France en repos, et un règne qui devait être si beau com
si heureux présage574. L’armée commença l’action de grâces : toute la France suivit ; on y élevait jusqu’au ciel le coup d’ess
miens, que, lorsque Dieu m’a appelé à cette couronne, j’ai trouvé la France non-seulement quasi ruinée, mais presque toute pe
e ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l’aumône, et le nourrir. La France entière n’est plus qu’un grand hôpital désolé804
reté du langage et le goût du bon siècle commença à s’altérer ; et la France aurait sans doute la même destinée, si l’académie
devenue la gloire et l’intérêt public de la nation ; le destin de la France paraît attaché au vôtre. Ses prospérités ont pu é
cureur honnêtement, parce que le président de Mézières est l’homme de France le plus doux et le plus honnête. « Monsieur, il y
avec les roses de la pudeur1475. La patrie Lorsque j’arrivai en France sur un vaisseau qui venait des Indes, je me rappe
nt son exaltation sans décourager son amour de la liberté. Revenue en France au lendemain de la Terreur, elle y réveilla l’esp
upérieure ; et l’Allemagne, tableau brillant d’une littérature que la France ignorait. Intelligence sympathique aux nobles idé
s seront toujours plus belles que les vallées les plus fertiles de la France et de l’Angleterre. Ainsi, après des siècles d’ou
fait savoir ce que je suis, ce que j’ai fait ; comment j’ai élevé la France au-dessus de tous les peuples de l’Occident ; par
février 1834. Vous allez entrer dans le printemps, plus hâtif qu’en France dans le pays que vous habitez1635 ; j’espère qu’i
en ce monde a sa mesure, ses bornes ; et encore faut-il dîner. La France Chère France ! elle est encore, à tout prendre
a mesure, ses bornes ; et encore faut-il dîner. La France Chère France  ! elle est encore, à tout prendre, ce qu’il y a d
t été exécuté sur les origines, le fonds et la suite de l’Histoire de France . L’ensemble en est imposant. Ses travaux sont dev
ent, cet ouvrage, longtemps unique, demeure toujours original ; et la France , enrichie tout à coup de tant de brillantes merve
pouvait, au moindre danger, passer sur le territoire limitrophe de la France . Le jeune Sismondi, ayant été placé en sentinelle
mon âme entre vos mains. » Elle croyait qu’on l’exécuterait comme en France , dans une attitude droite et avec le glaive. Les
centaines de soldats fidèles, reconquiert en vingt jours le trône de France , lutte de nouveau contre l’Europe exaspérée, succ
ait l’empire : son cœur ressentit douloureusement les blessures de la France . Avocat à Paris en 1822, il quitta bientôt la car
n, tant aimer Racine, c’est risquer d’avoir trop, ce qu’on appelle en France le goût, et qui rend si dégoûté1792. Aimer Boilea
Ces conseils sont le cri commun de tous ceux qui vous aiment. Oui, la France des illustres morts, la France remontée, en ces d
de tous ceux qui vous aiment. Oui, la France des illustres morts, la France remontée, en ces derniers jours, à la tête des na
atriotisme littéraire On entend dire trop souvent que l’esprit, en France , court des périls. Unissons-nous tous, maîtres, é
es, élèves, parents, pour les conjurer. Quand il s’agit du rang de la France dans les choses matérielles, l’émulation des peup
out Egmond, petit village non loin d’Alkmaer. Trois fois il revint en France (1644, 1647 et 1648). 60. Il craint d’être déçu
à l’Ile d’Ithaque. 81. On appelle encore la Touraine le jardin de la France . 82. La Suède gouvernée par la reine Christine.
104. Bossuet dit : « L’armée commença l’action de grâces ; toute la France suivit. » 105. Havre, port de mer. 106. La F
e, port de mer. 106. La Flandre, et l’Artois, furent restitués à la France par le traité des Pyrénées (1659). 107. Auprès d
ivant, soit après sa mort. » (Abrégé chronologique de l’Histoire de France , iiie race, 1676.) 171. Il parle à ses valets.
sur la manie des titres : Se croire un personnage est fort commun en France . On y fait l’homme d’importance, Et l’on n’est so
aites, si vous pouvez, du bien aux lettres, qui en ont tant fait à la France . » 242. Il vient d’être battu par le maître d’
choux ; c’est une sorte de complainte : Condé, le grand Condé que la France révère, Recevoit de son Roi la visite bien chère,
e remontrance. 700. La jeune princesse de Savoie venait d’arriver en France ; comparez le portrait tracé par Saint-Simon. 701
lors chargé par M. de Tracy de porter des dépêches à l’ambassadeur de France en Hollande. 733. Homère appelait les rois past
euse, Fénelon disait encore : « Vous me direz que Dieu soutiendra la France  ; mais je vous demande où en est la promesse ; av
it en 1770 : « C’est bien pis ici que dans le fond d’une province de France . Les Berlinois veulent avoir de l’esprit, parce q
de la Révolution. Il profita de la paix pour fermer les plaies de la France , mit un terme aux réactions des partis, pacifia l
ouveau concordat, réorganisa tous les services, institua la banque de France , le grand livre de la dette publique, fit achever
96 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article »
urcs s’en servirent au siége de Rhodes, en 1522. On n’en fit usage en France qu’en 1634, au siége de La Mothe, ville forte du
97 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
Clovis, le cinquième des rois de France de la première race, mais regardé comme le vérita
98 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
petit-fils de Claude de Lorraine, duc de Guise, qui vint s’établir en France en 1312, et y épousa en 1513, Antoinette de Bourb
99 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — T — article » p. 424
onde en grands hommes, et des plus anciennes et des plus illustres de France . Dès l’âge de 28 ans, il gagna, en 1488, la fameu
100 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
rince de Condé, pour faire ressortir la ; grandeur de la perte que la France vient de faire. Éloge de Condé Nous le vîmes par
t tous ses soins et son orgueil à protéger les lettres et les arts en France  : aussi Louis XIV, prenant ce prince pour modèle,
. Le voici :     L’Europe est la plus belle partie du monde ;     La France est le plus beau royaume de l’Europe ;     Paris
plus beau royaume de l’Europe ;     Paris est la plus belle ville de France  ;     Ma rue est la plus belle rue de Paris ;    
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