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1 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
ier les facultés intellectuelles, le plus efficace est cet ensemble d’ études dont la base est celle des langues anciennes, et
crant cette expression, avaient compris et témoigné que de toutes les études qui peuvent occuper la jeunesse, de toutes les gy
ré les trois facultés essentielles de l’esprit humain. Cet ensemble d’ études commence par celle de la langue nationale. La lan
ns, ou dans le présent ; historiquement, ou dans le passé. D’abord, l’ étude du présent, c’est-à-dire de la langue usuelle et
ude du présent, c’est-à-dire de la langue usuelle et courante ; cette étude est plus facile, mieux définie, d’une utilité plu
ynonymie, les règles qui les modifient et les coordonnent. Ensuite, l’ étude du passé, non-seulement historique, dans l’ordina
t aider, s’il en est besoin, à conclure l’avenir même de la langue. L’ étude de la langue nationale commence au berceau ; auss
l’accentuation, à la ponctuation, à l’orthographe, à la grammaire. L’ étude de la grammaire doit réunir les avantages de l’an
eux seulement que ces ouvrages synthétiques ne viennent que lorsque l’ étude analytique en aura bien fait comprendre la signif
es comportent, on en trouvera d’excellents modèles dans le Traité des Etudes de Rollin, et dans la Chrestomathie française de
etc. ; enfin, et comme complément obligé des travaux précédents, de l’ étude historique de la langue. Qui apprend le grec ne s
de vie. Pourquoi n’en serait-il pas de même du français ? Pourquoi l’ étude de la langue nationale n’embrasserait-elle pas to
attache surtout à cette partie essentielle des humanités. Nulle autre étude ne peut la remplacer ; et de tous les exercices,
t les consulter. Seulement, qu’on ne perde pas de vue le but de cette étude . Elle est destinée surtout à exercer les diverses
ion et presque la reproduction littérale des formes de l’antiquité. L’ étude approfondie de la langue maternelle, celle des la
qui en facilite l’acquisition, que l’élève, tout en s’appliquant à l’ étude de la langue maternelle et des langues anciennes,
econd moyen : la science, c’est-à-dire l’observation dans le passé, l’ étude de ce qui nous a précédés, ajoutée à celle de ce
nse. Ce n’est pas seulement en augmentant le nombre des idées que ces études étrangères sont utiles, elles perfectionnent l’e
ue plus tard l’individualité de vos idées perde quelque chose à cette étude . Une telle crainte n’est qu’une excuse de la pare
pour en traiter solidement une en particulier. » Mais de toutes les études préliminaires de l’écrivain, la plus importante e
Si celui-ci, en effet, est bien choisi, l’élève comprendra par cette étude en quoi consiste la plénitude d’un développement,
dent les professeurs les plus expérimentés. Mais de tous ces genres d’ étude , celui qu’ils affectionnent le plus, et avec rais
s un milieu entre l’excès et le défaut. Quatrième moyen d’invention : Étude analytique et synthétique des ouvrages bien pensé
nt, ou des faits d’imagination. 6. J’avoue que je tiens beaucoup à l’ étude du vocabulaire ; rien ne contribue plus tard à la
2 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
ion. Vous venez, mon cher fils, d’achever le cercle ordinaire de l’ étude des humanités et de la philosophie ; vous l’avez
s les biens dans l’ordre de la nature comme dans celui de la grâce… L’ étude de la religion, mon fils, doit être le fondement,
. Deux choses peuvent être renfermées sous ce nom : la première est l’ étude des preuves de la vérité de la religion chrétienn
des preuves de la vérité de la religion chrétienne ; la seconde est l’ étude de la doctrine qu’elle enseigne, et qui est ou l’
peut nous faire trouver. Par rapport au premier point, c’est-à-dire l’ étude des preuves de la vérité de la religion, je ne cr
, ou la conviction à laquelle on peut parvenir en cette matière par l’ étude et par le raisonnement, ne doit jamais être confo
cette conviction et cette espèce de foi humaine qu’on acquiert par l’ étude des preuves de la religion chrétienne soient d’un
ctériser, pour ainsi dire, la véritable religion. Non-seulement cette étude affermit et fortifie notre foi, mais elle nous re
de douter s’il y a eu un César ou un Alexandre… Pour ce qui est de l’ étude de la doctrine que la religion nous enseigne, et
t qui est l’objet de notre foi ou la règle de notre conduite, c’est l’ étude de toute notre vie, mon cher fils : vous en êtes
ste, après cela, que de prier Dieu qu’il répande sa bénédiction sur l’ étude que vous en ferez, qu’il vous préserve de cet esp
oins pour les connaître que pour les pratiquer. Instructions sur les études propres à former un magistrat : 1re instruction,
3 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
magination : tout dépend de là, facilité, succès, et plaisir dans les études . « C’est, dit Buffon, pour n’avoir pas assez réf
es idées que l’on a acquises dans la société, dans la lecture, dans l’ étude  ; il n’y a que les hommes de génie qui créent vér
son jugement, son goût et son style. Ce résultat s’obtient ; 1° par l’ étude et l’observation en général ; 2° par la lecture ;
ar la lecture ; 3° par la traduction ; 4° par la conversation. 1° L’ étude et l’observation. On ne peut écrire que sur ce
e peut écrire que sur ce que l’on sait ; or le savoir s’obtient par l’ étude  ; de même l’enfant ne peut parler qu’en apprenant
e personne bien élevée. L’instruction peut s’acquérir partout, dans l’ étude de la nature, dans les livres, dans- les voyages,
uiconque a beaucoup vu Peut avoir beaucoup retenu. La Fontaine. L’ étude suppose toujours l’observation : on n’acquiert de
n approfondir, on n’acquiert que des connaissances superficielles : l’ étude doit toujours nous conduire à une spécialité, sin
damnés à ramper dans la médiocrité. Mais, tout en nous adonnant à une étude particulière, nous devons chercher à acquérir des
 ; il vous indiquera ceux qui conviennent le mieux à votre âge, à vos études , à l’état de votre âme et de votre esprit. Choisi
euples, et en même temps à vous connaître vous-même. L’histoire est l’ étude de la vérité : on y trouve à la fois le drame, le
hommes le possèdent en principe, mais il a besoin d’être formé par l’ étude et par l’éducation. Il n’est personne qui ne sent
sir est varié ! l’homme instruit, dont le goût est perfectionné par l’ étude , découvre mille beautés, mille nuances délicates
préceptes du monde ne suffisent pas pour donner du goût ; c’est par l’ étude et par la comparaison des modèles qu’il se forme 
à former leur jugement par une critique éclairée et impartiale. Nulle étude n’est plus avantageuse sous ce rapport que l’hist
de l’esprit, mais il a besoin d’être développé et perfectionné par l’ étude , sinon il reste inconnu, semblable à ces pierres
talent porté à sa plus haute puissance. C’est un don de la nature ; l’ étude peut le perfectionner et le polir, mais non le do
4 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
endances actuelles, écrivait récemment un critique, sont hostiles à l’ étude sérieuse des lettres. Quelque but qu’on se propos
nseignement des belles-lettres. Quoi de plus utile, en effet, après l’ étude de la religion et des langues anciennes, surtout
a langue latine qui devra toujours être parmi nous la base des hautes études , quoi de plus avantageux que la connaissance des
t aimé à s’inspirer de ces paroles de l’illustre orateur pour louer l’ étude , et pour rendre hommage aux lettres et aux beaux-
hommage aux lettres et aux beaux-arts ! Écoutons-en quelques-uns : L’ étude , utile à tous, est à tous agréable… Lebrun. Be
n de l’infortune, De l’enfant, du vieillard nourriture commune, ……… L’ étude …… Rend à son nourrisson la nature asservie ; Au d
de ce nom. Nous croyons même que l’on pourrait utilement commencer l’ étude de la littérature vers la fin de la quatrième. Qu
années à la littérature, et ne peuvent par conséquent s’occuper de l’ étude de la poésie. Comme notre Poétique, tout en compl
les moyens de former le style. Nous avons examiné en détail, outre l’ étude des chefs-d’œuvre et les sources de l’amplificati
ondaires. La description, la narration et la lettre ont été l’objet d’ études très approfondies. Nous n’avons négligé aucun moy
5 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
iques, les autres théoriques. Les moyens pratiques sont la lecture, l’ étude des bons auteurs, et l’exercice de la composition
teurs, et l’exercice de la composition ; les moyens théoriques sont l’ étude des règles de l’art d’écrire et l’histoire critiq
littérature. Selon nous, il faut faire marcher de front ces diverses études , qui doivent s’éclairer et se soutenir mutuelleme
première est une théorie générale de l’art d’écrire ; la seconde, une étude des genres de littérature en vers et en prose. No
t et complet. Nous y avons exposé tout ce qui peut servir de base aux études littéraires. Nous en avons banni toute citation l
n de former le goût et le jugement. La seconde partie, qui contient l’ étude des genres, est précédée d’une sorte d’esthétique
ient accessibles à tous et faciles à retenir ! Après avoir exposé une étude complète des genres de composition en vers, nous
n abrégé des règles de la versification française. Nous croyons cette étude d’une utilité incontestable, non pour former des
ils auraient plus d’oreille, plus de goût, et moins de prétentions. L’ étude des genres en prose qui termine l’ouvrage renferm
6 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Principes généraux des Belles-Lettres. » pp. 1-5
le que soit la carrière que nous devions fournir dans le monde. Cette étude , en débrouillant le chaos de nos idées, les multi
toute sa grandeur et toutes ses forces. Mais plus on se livre à cette étude , plus on sent la nécessité d’asservir toujours l’
ière. Mais ce ne sont pas là les seuls avantages que l’on retire de l’ étude des Belles-Lettres. Il en est d’autres mille fois
s les lieux, dans tous les âges, dans tous les états de la vie, cette étude si variée, si attrayante, nous procure les plaisi
et inaltérable. Que de motifs pour la jeunesse, de la regarder cette étude , comme une des plus importantes, des plus nécessa
gnification. Je la restreins, comme on le fait assez communément, à l’ étude de la Grammaire, de la Rhétorique et de la Poétiq
e la Grammaire, de la Rhétorique et de la Poétique, c’est-à-dire, à l’ étude des principes nécessaires pour bien écrire en not
7 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Silvestre de Sacy Né en 1804 » pp. 271-274
tres favoris avec leur tour d’esprit et presque dans leur langue. Ses études sont inpirées par la passion des livres, l’amour
aux lettres qui n’ait pas fait ce rêve d’une vie toute plongée dans l’ étude et dans la lecture ? Qui ne s’est figuré, avec dé
uel plaisir de ne se sentir pas tiraillé, au milieu de ces enivrantes études , par l’affaire qui vous rappelle à la maison, de
is de la journée ; demain, ce sera Tacite. On se crée des semblants d’ étude , on se ménage des récréations. Le fond de la vie,
e, parce qu’une âme se connaît et que l’univers ne se connaît pas2, l’ étude de l’âme ne sera-t-elle pas toujours la première
de l’âme ne sera-t-elle pas toujours la première et la plus noble des études  ? Compter les astres dans le ciel, chercher dans
8 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PRÉAMBULE. » pp. -
t de la noblesse au style et caractérisent le véritable écrivain. A l’ étude des règles grammaticales, il faut donc ajouter un
n. A l’étude des règles grammaticales, il faut donc ajouter une autre étude plus sérieuse et plus attrayante, celle du génie
des modèles qu’ils auront sous les yeux, et d’en faire l’objet d’une étude toute spéciale. En suivant cette méthode, qui nou
s ne manquera pas de mettre à profit cette partie si intéressante des études latines. Mais, pour obtenir à cet égard des résul
réparé avec le plus grand soin, en s’aidant de son expérience, de ses études approfondies sur la langue latine ; en s’aidant s
9 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
ruit du travail ; ce sont des talents qui ne s’acquièrent point par l’ étude  : nous les devons à la seule nature. Il n’y a don
en voici une autre qui ne l’est pas moins. Éloquence acquise par l’ étude . L’éloquence consiste, comme je viens de le di
ureuses dispositions, mais qu’ils n’ont pas eu soin de cultiver par l’ étude . C’est ce qu’ont fait même les plus grands génies
et ce guide, ce sont les règles. Il est vrai, encore une fois, que l’ étude de ces règles ne donne point cette éloquence qui,
ands mouvements, le plus vif enthousiasme. Mais il est constant que l’ étude de ces règles, en développant et perfectionnant l
surément le plus grand nombre) où règne cette éloquence acquise par l’ étude , sont comme ces objets, dont la beauté naturelle
’autre espèce d’éloquence est un art qui ne peut s’acquérir que par l’ étude et l’exercice. L’objet de cette étude pour l’Orat
ui ne peut s’acquérir que par l’étude et l’exercice. L’objet de cette étude pour l’Orateur, est une connaissance profonde des
n successeur. Or sur qui tombera le choix de ce prince vieilli dans l’ étude et dans la connaissance des hommes ; de ce prince
10 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
Préface Le célèbre auteur du Traité des Études désirait qu’on se servît d’une rhétorique imprimé
signés par Marmontel aux disciples de la rhétorique, ainsi que pour l’ étude de l’art qu’on a appelé le premier des arts agréa
re, nous avons développé, plus qu’on ne l’a fait jusqu’à ce jour, les études sur les poètes bibliques et liturgiques. L’Écritu
uses. Puisse cet ouvrage rendre plus agréable aux jeunes humanistes l’ étude de la poésie ! Puisse-t-il leur faciliter l’intel
dre plus vigoureuse cette sève de christianisme qui doit vivifier les études et l’éducation tout entière, puisque c’est en ce
11 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
ependant le jeune Bernardin ne laissa pas de se livrer à de sérieuses études  ; il cultiva même les mathématiques avec succès,
rillant début d’une réputation qui se confirma bientôt (1784) par les Études de la nature et la touchante histoire de Paul et
rai, monsieur, reprit le bon vieillard, mais il n’était pas à moi. » Études de la nature (notes de l’auteur). Symptômes d’
emande, il lui annonce la tempête avant qu’elle arrive. Même ouvrage ( étude Xe). Les forêts agitées par les vents. Qui
les violettes colorent d’or et de pourpre le sein des noirs rochers. Études de la nature (étude Ire). 1. M. Aimé Martin a
t d’or et de pourpre le sein des noirs rochers. Études de la nature ( étude Ire). 1. M. Aimé Martin a donné, en 1820, une
12 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
ité réelle. En quoi consiste-t-elle en définitive ? En trois points : Etudes générales pour préparer aux spécialités ; Lieux e
de genre ? Quand a-t-on blâmé l’artiste de multiplier, en un mot, ses études et ses cartons ? Eh bien, le littérateur ne eut-i
en, le littérateur ne eut-il pas avoir, lui aussi, des cartons et des études  ? ne peut-il pas traiter ici de la justice ou de
tous les détails enfin que le hasard, sa fantaisie ou un plan suivi d’ études générales lui auront suggérés ? Il y aurait, sans
moins exercé le coup d’œil et assoupli la main. La justification de l’ étude des lieux externes n’est pas moins aisée. Que fau
re se peut, tout ce que d’autres ont écrit sur la même matière. Cette étude vous sera d’un grand secours dans l’invention. Ig
adressé par Boileau à ces poëtes riches d’imagination, mais pauvres d’ études préliminaires, Dont le feu, dépourvu de sens et
ns, on peut admettre les lieux externes, et recommander dans ee but l’ étude attentive et complète de tous les objets extérieu
phes même, eux qui méprisent si fort tout ce qui est étranger à leurs études , daignent emprunter quelquefois l’autorité d’un v
13 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
naturel, la justesse, la grâce, un don acquis ou au moins accru par l’ étude , qui se montre principalement dans les détails et
éminemment perfectible, se développe par un exercice fréquent, par l’ étude des règles, par la connaissance des modèles, par
pas le réduire à cette seule faculté. Le jugement perfectionné par l’ étude sert à guider l’esprit et à le régler dans la com
poètes, de nouveaux écrivains qui, joignant les talents naturels à l’ étude de ces observations, réussirent mieux que leurs p
nt paru réunir le plus de suffrages. 20. Quelle est l’importance de l’ étude des belles-lettres ? L’étude des belles-lettres
rages. 20. Quelle est l’importance de l’étude des belles-lettres ? L’ étude des belles-lettres est une étude utile, sérieuse,
e de l’étude des belles-lettres ? L’étude des belles-lettres est une étude utile, sérieuse, en même temps qu’agréable. C’est
14 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
res brillants qui allaient se lever à l’horizon1. Le bonheur de l’ étude Oh ! qui m’emportera sous un ombrage épais ?
rtout si, dans la solitude, L’amitié quelquefois vient se joindre à l’ étude  ; Si de leur double ivresse on goûte les douceurs
s livres qu’on aime. Chaque abeille2 à la ruche apporte son trésor, L’ étude à l’amitié3 semble ajouter encor. Heureux, qui
uvelle, A son premier parfum il restera fidèle4 ; Car l’homme dont l’ étude eut d’abord les amours, De son premier penchant s
ntissage ! Combien mes souvenirs vous sont restés amis, Royaumes de l’ étude  ! ô regrettés pays, Dont le peuple, aux yeux vifs
es sur les Femmes et les Livres, par Gustave Merlet, on peut lire une étude sur M. Lebrun. Les œuvres de M. Lebrun ont été pu
15 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
Préface. Le plan d’ études arrêté par le ministre de l’Instruction publique,
énéral sur les deux formes de langage (la prose et les vers), vient l’ étude des ouvrages en prose, et d’abord celle des disco
iscours prononcés : c’est proprement le traité de rhétorique ; puis l’ étude du genre épistolaire ; celle du genre didactique 
sont pas le modèle que nous nous proposons ici. Ce n’est pas pour une étude première comme celle de nos collèges qu’il faut r
ux Facultés des lettres seules et aux écoles supérieures appartient l’ étude systématique et complète de l’histoire littéraire
16 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
La pratique ou l’exercice de la composition à laquelle se rattache l’ étude et l’imitation des modèles. Chapitre II. Le
les agrandir et à les fortifier, le plus efficace est cet ensemble d’ études auquel on a donné le nom d’humanités et qui s’occ
s idées acquises et de celles qu’on veut traiter. Le quatrième est l’ étude analytique et synthétique des ouvrages bien pensé
ou lieux communs. La théorie des topiques consiste en trois points : Études générales pour préparer aux spécialités ; Lieux
ux d’entre eux qui peuvent lui être applicables. Chapitre VI. L’ étude des mœurs et des passions n’est pas moins féconde
nt, ce qui constitue la couleur locale. L’auteur doit ajouter à cette étude celle de ses propres rapports avec ses auditeurs
ses lecteurs, ce qui constitue les bienséances. Chapitre VII. L’ étude des mœurs considère l’individu dans son état norm
de des mœurs considère l’individu dans son état normal et habituel, l’ étude des passions considère l’espèce dans les accident
’expression la plus juste pour rendre la pensée. On s’y habitue par l’ étude des synonymes et des origines des différents mots
17 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre II. Études du Prédicateur. »
Chapitre II. Études du Prédicateur. L’éloquence de la chaire demand
tre II. Études du Prédicateur. L’éloquence de la chaire demande une étude méditée et suivie des écrivains sacrés. Le champ
rateur évangélique. Ce n’est pas néanmoins qu’il doive exclure de ses études les bons auteurs profanes ; les pères de l’église
eure avec ces sources inépuisables de tous les genres de beautés. À l’ étude suivie des saintes écritures, il est essentiel de
18 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
à réfléchir et à voir clair dans leurs idées. Après quelques années d’ études , les connaissances manquent bien moins que l’art
On n’y saurait donner place à la littérature contemporaine puisque l’ étude en est exclusivement réservée à la classe de Prem
i du fond, et c’est là, sans doute, le résultat qu’on doit attendre d’ études sérieusement faites. La dissertation se présente
Géruzez, les Grands Maîtres du xvii e siècle de M. Emile Faguet, les Études de MM. Urbain et Jamey sur Corneille, Racine et M
aisons historiques, économiques et morales. (Besançon, avril 1891.) L’ étude de l’économie politique est pour un citoyen instr
par les inventions. (Dijon, juillet 1890.) Exposer les avantages de l’ étude des sciences pour l’éducation. (Grenoble, octobre
ble, octobre 1888.) Indiquer les principales qualités nécessaires à l’ étude des sciences physiques et naturelles. (Grenoble,
n ami. » (Clermont, août 1886.) Montesquieu a dit quelque part : « L’ étude a été pour moi le souverain remède contre les dég
rseille, novembre 1888.) Expliquer cette pensée de Montesquieu : « L’ étude a été pour moi le souverain remède contre les dég
ente la connaissance d’une langue vivante. (Dijon, octobre 1888.) Vos études terminées, vos obligations militaires remplies, v
0.) Un de vos amis vous a écrit qu’il apportait beaucoup d’ardeur à l’ étude des sciences, mais très peu à celle des lettres,
nes gens appartenant à des familles de Lyon, après avoir achevé leurs études et obtenu le diplôme final, ont formé le projet d
ment spécial avait reçu de son père, pour prix de ses succès dans ses études , une somme assez ronde, destinée à l’achat de liv
e ni ses amis, ni sa femme, ni ses enfants ». S’enrichir est sa seule étude  ; acquérir et ne point perdre sa seule volupté. R
’est une partie de l’aisance. La vivacité, elle aussi, est un don ; l’ étude la stimule et lui procure les moyens de s’exercer
consoler, il lui vantera le plaisir de la lecture et lui dira que « l’ étude a été pour lui le souverain remède contre les dég
u’une heure de lecture n’ait dissipé ». Il l’engagera à s’adonner à l’ étude et aux lettres. D’Argenson. – Je ne pouvais pas,
ne vous appartenait pas. Profitez de vos loisirs, préparez-vous par l’ étude à remplir mieux encore la charge qu’on peut vous
 Je ne leur ai demandé que des consolations et des joies. J’ai aimé l’ étude pour elle-même. Tout jeune, à Juilly, j’en faisai
des déceptions ; je n’ai pas obtenu tout ce que j’ai souhaité, mais l’ étude a été pour moi le souverain remède contre les dég
es et vous serez utile à vos successeurs. C’est à nous autres, gens d’ études , qu’on laisse le soin de raconter le passé, ce de
rels ! Or Fénelon tout plein de cette idée préconçue n’a pas abordé l’ étude de nos tragiques avec un esprit bienveillant et s
e à s’incliner devant un argument solide. La discussion sera donc une étude de la question proposée, mais cette étude sera be
La discussion sera donc une étude de la question proposée, mais cette étude sera beaucoup plus facile et ses résultats beauco
atique de Saint-Marc Girardin, les Moralistes de Prévost-Paradol, les Etudes de Paul-Albert, Émile Faguet, les Extraits de Sai
société polie qui aimait les plaisirs de l’esprit ; chez les auteurs, étude des grands modèles et véritable originalité ; équ
mer simplement et noblement sa pensée sans effort. Ce n’est point une étude  ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est b
vers qu’on se passait sous le manteau. Par contre, elle dédaignait l’ étude des écrivains classiques. Elle fuyait tout écrit
de même. Pour qui ne connaîtrait pas les lettres de Mme de Sévigné, l’ étude même rapide de sa vie ferait comprendre quelle pu
oriser à publier les extraits de ces rapports, qui sont de véritables études sur l’instruction féminine. Examen de 1882.
oire de la langue leur échappent. Elles n’ont pas fait remonter leurs études au-delà du xvii e siècle. En littérature, l’insuf
fection qui vient d’être signalée, elle témoigne d’un fonds sérieux d’ études et porte trace visible d’un enseignement de la mo
egarder et juger le tout d’une seule vue ; d’autres ont substitué à l’ étude d’ensemble du morceau une analyse terre à terre e
n’appelle d’une façon particulière ni la curiosité grammaticale, ni l’ étude réfléchie du sens, ni le commentaire esthétique.
de la part des maîtres, de quels efforts de la part des élèves cette étude est aujourd’hui l’objet : il y a de ce côté progr
tions saines, justes, puisées à bonne source, appuyées sur un fonds d’ études psychologiques bien comprises, et qu’elles savaie
cieux emploi des lumières qu’elles pouvaient tirer de ce supplément d’ études . »   Le rapport se termine sur une page charmant
ominées plus encore par le nom de Fénelon, ou peu préparées par leurs études à bien juger de notre langue classique, se sont a
en mettait pas moins à sérieuse et forte épreuve les aptitudes et les études de nos aspirantes. Nous étions sûrs que toutes y
issertation banale et froide, ou, pour dire le mot, au lieu commun. L’ étude du singulier empire que prend le livre, le livre
p plus près, c’est à côté de nous qu’il fallait chercher des sujets d’ étude et des exemples. De même, on n’avait point à s’oc
culté du style s’aggrave dans les questions de cette nature, dans ces études d’influences, d’influences aussi impalpables que
le lui aviez recommandé, profiter de ses loisirs pour poursuivre ses études , parce que, dit-elle, elle se trouve à la campagn
t passé. Montrer de quel intérêt et de quelle utilité peut être cette étude dans l’enseignement. Morale. Expliquer et discut
ux deux autres. Ce qui a manqué de ce côté, ce n’est ni l’effort ni l’ étude , mais un résultat d’études plus acquis, mieux pos
anqué de ce côté, ce n’est ni l’effort ni l’étude, mais un résultat d’ études plus acquis, mieux possédé et plus utile. En vue
l’ignorance de l’étymologie latine donne lieu trop aisément dans une étude de la nature de celle dont il s’agissait. Dans l’
ensée de Pascal, où le grand physicien, le grand géomètre demande aux études morales le soutien de l’âme et les consolations q
point l’unique expression et usent de synonymes. » – Importance de l’ étude des synonymes pour l’écrivain. – Notre langue est
à propos, dans un bon nombre de compositions, ou s’est trop mêlé à l’ étude directe et bien entendue de la question. Au lieu
t que nous l’eussions voulu, et pouvions l’espérer dans ces délicates études de synonymie auxquelles on était appelé par le su
amens de 1890. Ordre des lettres Langue française. En quoi l’ étude des langues étrangères peut-elle nous aider à mie
ue est devenue les délices des étrangers et l’objet constant de leurs études . » (Le même, Avertissement de l’édition de son Th
faire valoir leurs propres et naturelles richesses » ; et les seules études qu’il trouve bonnes à leur usage, ce sont, « pour
s, n’y a-t-il pas lieu de recommander aujourd’hui aux femmes d’autres études que celles-là, notamment certaines parties des sc
es plus beaux ouvrages des anciens, ne pouvait trouver dangereuse une étude dont il occupait lui-même ses loisirs avec raviss
i-même ses loisirs avec ravissement. Il dira dans quelle mesure cette étude doit être faite, et comment une âme vertueuse et
s publications : la Vie des mots, l’Histoire des mots, et celui d’une étude de Littré : Pathologie du langage. Ils vous en on
but de farder les vices afin de les rendre aimables. Démontrer, par l’ étude de la tragédie de Britannicus et de la comédie du
, et si, par « savants », il entend des esprits livrés uniquement aux études abstraites ; ou bien des savants uniquement préoc
il ne faut pas croire que la poésie ne puisse se trouver que dans les études littéraires. La vraie science, la science féconde
Jules Gay Lectures scientifiques (Extraits de Mémoires originaux et d’ études sur la science et les savants). (Hachette.) Paul
on ne saurait accorder dans les écoles normales trop d’importance à l’ étude sérieuse de la lecture à haute voix ; la science
re ; mais l’analyse d’une belle page classique demande ou suppose une étude un peu approfondie du génie des grands écrivains,
aspirantes. S’il importe de ne pas introduire prématurément dans nos études grammaticales les résultats encore douteux d’une
aujourd’hui de connaître les principes essentiels qui en fécondent l’ étude et en éclaircissent les apparentes irrégularités.
jourd’hui, sa conjugaison et sa syntaxe. Il était à désirer que cette étude formât un développement d’ensemble, un tout bien
avait été fort agréablement traité, parce qu’il était restreint. Les études , les lectures, les exercices ordinaires de nos as
t de scepticisme littéraire, contre lequel il importe de protéger nos études , tend à dépraver le goût ou, tout au moins, à émo
surent à l’art même de critiquer avec plus de malice. Pour donner aux études une durable assise, c’est par le respect et l’adm
. Y réussir est l’art délicat et supérieur, le triomphe de toutes nos études classiques. Cet art, nous l’avons presque trouvé
fables. » On voit sans peine quel était l’écueil de cette matière : l’ étude devait porter sur la langue, non sur le style de
uns à lui et à tous les auteurs de son temps. Plus de lectures et une étude plus approfondie de la langue du xvii e siècle me
ittérature. A quels points de vue différents peut-on se placer pour l’ étude et la critique des ouvrages de littérature ? Quel
e d’un enseignement déterminé, qu’on peut recevoir et reproduire. Les études grammaticales, qui occupent une si large place da
eignement primaire semblent un peu trop détourner nos aspirantes de l’ étude générale de la littérature et de l’histoire litté
Littérature. Du rôle utile et des dangers de l’imagination dans l’ étude des sciences. Abandonnée à elle-même, elle substi
ire y déborde sur la littérature. Non que nous prétendions blâmer une étude si nécessaire, ou nous plaindre du succès qu’on y
es. … L’épreuve était bonne en général, bien que le sujet exigeât des études très précises, une solide connaissance de l’histo
, plusieurs copies sont très dignes d’éloge, et dénotent une sérieuse étude de l’histoire grecque. Nous avons trouvé moins de
t intelligence, il semble que la prose soit restée plus étrangère aux études de nos aspirantes ; quelques noms propres pour l’
ser. » Que faut-il croire de ce reproche qu’on a souvent adressé aux études grammaticales ? Extrait du rapport de M. Eugène M
n’offrent point de mérite. Peut-être même à des juges étrangers à nos études et à nos concours paraîtrons-nous très exigeants
que Voltaire en aurait écartés. Nous ne demandions pas davantage une étude philosophique sur le sens du beau, sur le sens es
s, fait leurs preuves ? N’a-t-on pas vu que nous voulions opposer à l’ étude surannée et stérile d’une grammaire qui verrait d
tionnaires et grammaires ne sont que des herbiers. La syntaxe, avec l’ étude de ses constructions et de ses tours, n’est que l
ces mêmes aspirantes à qui plaît la grammaire, et qui en ont fait une étude spéciale depuis l’école primaire, ne sont pas en
ombre d’aspirantes seulement ont bien compris le sujet, quoique leurs études scientifiques eussent dû, semble-t-il, les prépar
bons termes, l’utilité de la méthode en général et de l’ordre, dans l’ étude et dans la vie. Quant à l’ensemble de la composit
nsations au désavantage dont Voltaire se plaint ? Langue française. étude comparée des trois textes suivants, au point de v
un même but (la vérité) nos recherches, dans les différents genres d’ études , emploient des procédés qui sont les mêmes. Les o
e du raisonnement mathématique peut-elle convenir à tous les genres d’ études  ? Est-elle même applicable à toutes les formes de
incipaux orateurs sacrés français : les caractériser. – Montrer que l’ étude de l’histoire des littératures est le complément
tude de l’histoire des littératures est le complément nécessaire de l’ étude des chefs-d’œuvre. – Développer et commenter ce m
cette pensée : « C’est une erreur de vouloir faire tenir toutes les études dans le travail de quelques années de la jeunesse
érivé, figuré ? Citer des exemples. – Montre quel a été le réveil des études historiques au xix e siècle. Caractériser nos pri
Petit de Julleville. (Masson.) Quand on aura fait de ces ouvrages une étude approfondie, on pourra et on devra aborder le Cou
ion vous en avez reçue ? Pédagogie. Entre les différentes matières d’ études des écoles normales, en est-il une pour laquelle
Littérature. Commentez et appréciez le mot de Montesquieu : « L’ étude a été pour moi le souverain remède contre les mau
as atténué, adouci ? – Sens du mot lecture, qui est renforcé du mot : étude . Il ne s’agit pas de lectures frivoles, mais de l
Division. – A. Marquer la part de vérité contenue dans la pensée. L’ étude est une consolation. B. Part d’erreur, d’exagérat
le sentiment même, une arrière-pensée d’égoïsme. 1er Paragraphe. – L’ étude est un soulagement, un soutien, un réconfort. La
Commenter la pensée de Vauvenargues : « Trop de dissipation et trop d’ étude épuisent également l’esprit et le laissent à sec.
antes, exprime dans une lettre adressée à sa sœur son dédain pour les études littéraires, qui ne servent, dit-il, qu’à former
des femmes dans les pièces de Corneille. Indiquer les avantages que l’ étude de ces héroïnes peut amener dans l’éducation des
omparer qu’à porter sur chacun d’eux un jugement précis, appuyé sur l’ étude que vous avez dû faire de Polyeucte et d’Andromaq
et commentez cette maxime. – Par quels exercices faut-il commencer l’ étude d’une langue étrangère avec une classe d’élèves n
e fille qui sort d’une école primaire supérieure avec le certificat d’ études , écrit à une amie qu’hier ses parents, après l’av
té, ou par une certaine légèreté qui les empêche de suivre une longue étude , ou par le talent et le génie qu’elles ont seulem
vos maîtres, vous commencez à former votre bibliothèque. Vous aimez l’ étude , vous avez le goût des lettres, et une éducation
les poètes placent si loin derrière nous, est devant. » – Comparer l’ étude des sciences mathématiques à celle des sciences p
au jour le jour par l’occasion et les relations, les lectures et les études du moment. 1er Paragraphe. – Histoire littéraire
p.) Or la violence n’a jamais fait œuvre durable, elle peut imposer l’ étude à l’enfant, elle ne la lui fait point aimer ni ac
nts, ch. iv. Concours de juillet 1881. Pédagogie. Utilité de l’ étude de la botanique pour les futures institutrices. V
oin de relever le sexe, ne servent qu’à le déshonorer. » (Traité des études .) – La Rochefoucauld a dit que la préoccupation
se qui se plaint de la difficulté et de l’ennui qu’elle trouve dans l’ étude de l’histoire. Vous lui dites pourquoi vous, au c
d’épreuves du brevet supérieur. Vous lui indiquez aussi celles dont l’ étude vous a coûté le plus de peines et d’ennuis, et vo
confiées. – Exposer l’influence que les habitudes d’ordre ont sur les études . – De la médisance et de la calomnie. – Définir c
rs de 1881. Pédagogie. Montrer comment et en quoi les différentes études littéraires qui composent le programme des écoles
Littérature et Grammaire. Du rôle et de l’utilité des exemples dans l’ étude de la grammaire à l’école primaire. – Comment pen
l… Expliquer cette pensée de M. O. Gréard : « Il n’y a pas d’ étude qui ne prête à la culture des sentiments. » PLA
sentiments. » PLAN Préambule. – Divorce apparent qu’il y a entre l’ étude ou plutôt certaines études arides, abstraites et
mbule. – Divorce apparent qu’il y a entre l’étude ou plutôt certaines études arides, abstraites et les sentiments. – Au fond i
pliquer et apprécier ce mot d’un écrivain contemporain : « Le but des études est, avant tout, de créer l’instrument du travail
s de 18811. Pédagogie. Montrer comment et en quoi les différentes études scientifiques qui composent le programme des écol
point de vue tout à fait particulier que les candidats envisageront l’ étude de l’histoire. Ils ne devront pas se contenter de
ois, Mariéjol, etc. , de la Collection Hachette. Sans entrer dans une étude particulière de l’esthétique, on devra connaître,
ux-Arts – May et Motteroz, éd.). On y peut ajouter l’Introduction à l’ étude des Beaux-Arts de M. Carteron (Hetzel), les Préci
er des caractères généraux. PLAN Préambule. – Intérêt que présente l’ étude de l’antiquité grécolatine surtout au point de vu
hiens. fornoue. CORRIGÉ Voici la narration par M. J. Zeller dans son étude sur l’Italie et la Renaissance. Elle ramasse tous
Il mit un jour à profit les connaissances qu’il avait acquises par l’ étude ou dans son commerce avec les philosophes. Dans l
d’avoir amassé un certain nombre de souvenirs par la lecture et par l’ étude , on doit être fort embarrassé quand on se trouve
e, embellit Paris, fait construire le château-fort du Louvre, fonde l’ Étude de Paris, la future Université. Conclusion. – Ri
écit, et apprécier les avantages que l’éducation navale trouve dans l’ étude et la pratique sérieuse des langues vivantes. – F
’armée entière. Raconter et juger ce trait d’héroïsme. (Besançon.) l’ étude . Que de fois n’a-t-on pas fait l’éloge de l’étude
sme. (Besançon.) l’étude. Que de fois n’a-t-on pas fait l’éloge de l’ étude  ? Quelles louanges ne lui a-t-on pas données ? Po
nvi. Et cependant, on n’a point encore assez vanté les bienfaits de l’ étude . C’est par elle et par les comparaisons inépuisab
ne cherchent à cela que le plaisir de l’étalage. Pour profiter dans l’ étude des minéraux, il faut être chimiste et physicien 
lement les Lectures scientifiques(Extraits de mémoires originaux et d’ études sur la science et les savants), (physique et chim
Exposer les travaux réservés aux savants, carte des pays à dresser ; étude des productions et observations utiles à la physi
guments, la conclusion, fortement unis, forment un tout harmonieux. L’ étude des sciences ne saurait faire négliger l’étude de
un tout harmonieux. L’étude des sciences ne saurait faire négliger l’ étude des lettres. Comme le disait si bien Biot, qui do
exercer, assouplir, perfectionner les ressorts de votre esprit par l’ étude des lettres. N’écoutez pas ceux qui les dédaignen
s nobles origines de nos connaissances, en leur apprenant le prix des études abstraites, en les accoutumant à ne pas mesurer l
fforts. 2° Outre l’intérêt pour ainsi dire spécial qui s’attache aux études d’histoire scientifique, il en est encore un autr
favorables ou contraires, elles ont accompli leurs progrès. Dans les études de M. Biot, Galilée, persécuté pour ses découvert
une place importante dans l’histoire des sciences. En s’ajoutant aux études de critique proprement dite, il n’en diminue en r
ésenter à l’Institut agronomique ; vous ferez ressortir l’intérêt des études auxquelles vous contribuerez, les avantages et le
du candidat : villes principales, industries, commerce, agriculture. Études antérieures du candidat : ses projets d’avenir ;
se présenter à Grignon. Que se propose-t-il de faire au terme de ses études  ? Examens de 1875 à 1881. Données sommaires
é le candidat : agriculture, commerce, industrie. Quelles ont été les études antérieures du candidat et quelles sont les raiso
ans lesquels le candidat a passé avant de se présenter à l’École, ses études et les titres ou diplômes obtenus. – Raisons qui
– Positions qu’il a en vue pour l’époque de sortie et à la fin de ses études agricoles. Examen de 1889. Indiquer quels s
ropriant à votre future profession. – Un jeune citadin, fatigué par l’ étude , a dû partir pour la campagne. Il passe chez un f
, l’entoura de soins, étudia les progrès de sa croissance, etc. Cette étude le sauva du désespoir. – Dans une excursion scola
Le troisième sort de l’école primaire supérieure avec le certificat d’ études . Ils se racontent ce qu’ils sont devenus depuis l
manuels. Cette assertion vous parait-elle fondée ? Montrer comment l’ étude et le travail manuel peuvent au contraire se prêt
r des exemples. Écoles supérieures de commerce École des hautes études commerciales Écoles supérieures de commerce Insti
seront avec une facilité de virtuoses la composition française. Leurs études antérieures certes leur serviront, mais elles ne
ommerce français, par Ch. Périgot (Maurice, éd.). École des hautes études commerciales Examens de 1881. Première s
on pour le grand ministre. Concours de 1891 École des hautes études commerciales écoles supérieures de commercé insti
de l’envoyer en Allemagne tout de suite, avant qu’il ait commencé ses études , quand sa mémoire est encore dans toute sa fraîch
maximes 30 Sujets donnés aux examens pour l’obtention du Diplome d’ études de l’enseignement secondaire spécial Sujets litt
e 468 Sujets proposés 481 1. On peut consulter à ce propos nos Études sur le théâtre contemporain dont la première édit
lytechnique arriveront en mathématiques spéciales préparés, par leurs études antérieures, à l’épreuve de composition française
19 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
atoire quelle que soit la carrière à laquelle ils se destinent, cette étude ne sera jamais sans fruit, et elle peut être d’un
ec honneur au milieu de nos assemblées législatives. Mais cette noble étude est indispensable à ceux qui, par état, doivent p
’art de parler, je puis contribuer à réveiller le goût de cette noble étude , peut-être trop négligée par ceux-là même à qui l
ificielle à celle que la nature et l’observation doivent enseigner. L’ étude de la rhétorique doit occuper une place distingué
posséderait beaucoup moins, et qui saurait mieux les faire valoir. L’ étude ne peut, il est vrai, seule et sans le secours, d
us cultivons notre propre intelligence par la liaison intime de cette étude avec les progrès de nos facultés. La vraie rhétor
ui existe entre la pensée et les mots qui servent à l’exprimer. Cette étude a encore le grand avantage de nous apprendre, en
langage, et entraîner au torrent du goût populaire et dominant. Cette étude obtient encore du goût et des mœurs du jour un no
e rare et précieuse faculté est un don de la nature ; mais l’art et l’ étude peuvent la perfectionner. Si nous examinons maint
ù une logique plus profonde et plus exquise ait été mise en usage ; l’ étude de ces principes est extrêmement utile ; c’est à
aucune idée claire ; mais aussi il faut éviter qu’une trop minutieuse étude de la précision, surtout dans les sujets où elle
s qu’aucun système à cet égard ne peut être indiqué. L’attention et l’ étude des meilleurs écrivains doivent nous servir de gu
s complète. Dans nos temps modernes ce sujet a été l’objet de moins d’ étude , et il est plus difficile d’établir sur ce point
usage, sont plutôt courtes et correctes que hardies et brillantes. L’ étude et l’attention soutenue aux règles de la rhétoriq
. Les bons modèles, dans chaque genre, tiennent lieu de règles ; leur étude est l’unique moyen de parvenir à l’élégance et au
au-dessous de l’original, et la comparaison le décourage. « Dans les études de ma première jeunesse, je lisais avec attention
un style correct et orné, qu’il ne serait pas prudent d’en négliger l’ étude . Mais quiconque n’aspire pas à quelque chose de m
t telle qu’on se la figure ; ce serait un art méprisable indigne de l’ étude d’un bon ou d’un sage citoyen ; mais rien n’est p
Le raisonnement, l’éloquence et tous les arts qui font l’objet de nos études , peuvent devenir abusifs et dangereux entre les m
et imiter la nature ; et plus cette imitation sera complète, et cette étude parfaite, plus nous serons en garde contre l’abus
ur la société, qui exige du génie naturel et le perfectionnement de l’ étude . Comme art de persuasion, il demande, dans son ét
n plus étendue, où l’on traite d’importantes matières qui exigent une étude plus approfondie de l’art de persuader. Partout o
vant Plutarque, le premier qui se distingua parmi les Athéniens par l’ étude de l’art oratoire. Il employa son habileté dans c
une musique étudiée et une cadence harmonieuse ; mais il porta cette étude jusqu’à l’excès. Que penserons-nous d’un auteur q
ourageantes pour ceux qui étudient l’éloquence, et montrent combien l’ étude et l’application sont puissantes pour nous faire
ut est changé. Le système des lois est beaucoup plus compliqué ; leur étude est devenue si difficile que c’est l’objet princi
ls. Né observateur, ses réflexions avaient plus formé son génie que l’ étude . C’est dans le grand livre de la nature qu’il ava
eau ne laissera pas flétrir les lauriers de ses maîtres ; et, par une étude persévérante des règles de l’art, et surtout par
enteront naturellement, et, dans tous les cas, ils ne méritent qu’une étude secondaire. Cura sit verborum solicitudo rerum.
ent de naturel : on voit qu’ils ne naissent pas de la circonstance. L’ étude et l’ostentation sont ordinairement visibles, et
ges. L’éloquence formait, bien plus que la jurisprudence, l’objet des études de l’orateur. Cicéron dit quelque part que trois
et des études de l’orateur. Cicéron dit quelque part que trois mois d’ étude suffisaient pour acquérir une connaissance complè
éron serait peu judicieuse. Cependant l’avocat peut encore tirer de l’ étude des ouvrages de ce grand maître d’immenses avanta
e sa profession. Rien n’est plus important pour lui, et ne mérite une étude plus sérieuse et plus profonde, car, quelle que p
le de la loi, peu de personnes lui confieront leur cause. Outre cette étude préliminaire, et en supposant acquis un fonds de
sant l’avocat ainsi préparé et muni de toutes les connaissances que l’ étude de la loi en général, et celle de sa cause en par
né, qu’il n’existe plus d’éloquence possible au barreau, et que cette étude est superflue. Quoique le genre soit changé, il y
est de toute nécessité. On ne saurait donner trop d’attention à cette étude . S’il y a du désordre ou de l’embarras dans notre
’art de l’éloquence étudiée ; sans cette conviction, les secours de l’ étude ne seront jamais capables de faire entièrement di
ppliquant aux circonstances, vous êtes certain de l’entraîner. Aucune étude n’est plus nécessaire, pour ce dessein, que celle
er des expressions et des figures qu’il n’aurait pu préparer dans son étude . » Sans doute, l’improvisation donne au discours
usement nécessaire doit être élagué avec sévérité. C’est l’usage et l’ étude des modèles vivants qui peuvent seuls enseigner l
tiguera et sera bientôt oubliée. Pour arriver à cette clarté, outre l’ étude des règles générales que nous avons indiquées, la
ner les moyens mécaniques de devenir orateur sans le moindre génie. L’ étude de ces préceptes pouvait produire des déclamation
ant à faire de la rhétorique un art trop parfait, ils en rendraient l’ étude inutile et dérisoire. Je pense donc qu’il serait
e nerf de l’éloquence, que l’esprit philosophique du siècle en rend l’ étude plus que jamais nécessaire ; et si la dialectique
nature ; en suivant religieusement cette règle, nous éviterons que l’ étude ne leur donne une apparence de raideur et d’affec
ction, j’accorde cependant, dans cette matière, quelque influence à l’ étude et à l’art. En effet, quelques hommes sont nature
ut, en partie au moins, être corrigée par l’application et le soin. L’ étude de l’action, pour le discours public, consiste do
les moyens les plus propres à perfectionner l’art oratoire et sur les études les plus nécessaires pour arriver à ce but. L’élo
oindre que celui des poètes que la renommée place au premier degré. L’ étude de l’éloquence donc cet avantage sur celle de la
culture est indispensable à leur développement. Il est certain que l’ étude et l’instruction sont plus nécessaires au perfect
plus favorable que la vertu pour nous soutenir dans la poursuite des études honorables. Elle excite en nous un généreux désir
e qu’il doit avoir reçu une éducation libérale, et s’être formé par l’ étude régulière de la philosophie et des arts libéraux.
eulement le plus éloquent, mais le plus savant des Romains. C’est à l’ étude de la philosophie qu’il devait cette richesse d’é
n lien commun unit tous les arts et toutes les sciences dont la noble étude charme et élève l’esprit de l’homme ; et cette vé
ales de mathématiques et d’astronomie, entreront dans le cadre de ses études , et la philosophie, cette majestueuse souveraine
ateur ; c’est donc surtout l’homme moral qui doit être l’objet de nos études . Mais, pour connaître l’homme au moral, il ne suf
nique, et le jurisconsulte retirera toujours de grands avantages de l’ étude philosophique de l’anatomie du corps humain. Quel
éclat ; il a dérobé le secret de la nature ; il a deviné l’univers. L’ étude des autres sciences lui présentera aussi de grand
ses concitoyens dans les lumières d’un homme qui n’aura pas borné ses études à une seule science, mais qui, les embrassant tou
soutenir et convaincre les juges. Le prédicateur doit s’appliquer à l’ étude de la théologie, des pratiques religieuses, de la
e le sujet des délibérations. L’orateur ne demeurera pas étranger aux études littéraires, à la poésie, qui peut embellir son s
me le génie ou plutôt trahit sa stérilité. Cicéron recommande aussi l’ étude des bons modèles, et se sert d’une comparaison fr
r sa diction, et donner à son style du coloris et de l’élévation. À l’ étude des auteurs anciens et modernes joignons la fréqu
es distinguent, se les approprier et s’en parer avec orgueil. Outre l’ étude des modèles, de fréquents exercices de compositio
tout ce que nous écrivons. Les analyses, les discussions critiques, l’ étude des diverses acceptions des mots, les versions ou
avocat distingué, pour prévenir les inconvénients sans nombre de ces études solitaires, qu’ont été inventées les conférences.
gement plus sain et plus parfait que Quintilien se sont appliqués à l’ étude de l’art oratoire. J’ai rempli la tâche que je m’
s importants, j’ai pu contribuer à ranimer le goût d’éloquence dont l’ étude doit, aujourd’hui, entrer essentiellement dans le
20 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
s s’il l’altère ou la néglige, il manque au premier de ses devoirs. Études de l’historien. Aucun genre de composition ne
tudes de l’historien. Aucun genre de composition ne demande plus d’ étude , plus de jugement, plus de connaissances que l’hi
rit un enseignement solide et profitable. C’est donc par de sérieuses études que l’écrivain doit se préparer à l’histoire. Qua
ur ; constater les progrès de la pensée et de la langue mêler à cette étude des observations justes et profondes sur les mœur
: tel est l’objet multiple de l’histoire littéraire. Il n’est guère d’ étude plus propre à former le jugement et l’imagination
21 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
is simillimi, judicare1. Quintilien, Inst. orat., X, 1. Les plans d’ études les plus récents de l’enseignement secondaire ont
. Rien n’était plus efficace, selon le judicieux auteur du Traité des études , pour donner aux jeunes gens de bons principes et
duit de plus parfait ; et ce sera là, nous l’espérons, le fruit d’une étude attentive de ces recueils, conçus dans un dessein
d’écrivains, les plus remarquables de tous. Les personnes amies de l’ étude reconnaîtront ensuite aisément quels sont ceux qu
22 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
amme officiel ci-dessous, où rentrent tous les points essentiels de l’ étude des lettres. Il s’est publié bien des Manuels de
la Lettre et les Dialogues de Fénelon sur l’Éloquence. le Traité des Études de Rollin, les Leçons de de Rhétorique de Blair,
frappants, et renvoyer souvent l’élève aux leçons des maîtres et aux études de la classe. A. D. Questions du programme du 30
ar les effusions de l’âme les vives émotions que fait naître en eux l’ étude de Dieu et de l’homme. III. Principaux genres
armi les chefs-d’œuvre. VI. Philosophie.  La philosophie est l’ étude des facultés de l’homme, de ses devoirs envers Di
l’art, mais que l’art était né de l’éloquence. » (Rollin, Traité des Études , iii, 1.)2 2° Utilité pratique et but moral de
autres attaquent ou défendent avec une habileté qui est le fruit de l’ étude et de l’expérience. Ceux-là connaissent, l’art or
ue, élevée au rang d’une science, objet, sous le nom de Mnémonique, d’ études longues et minutieuses. Ces deux parties de la Rh
Rhétorique ancienne sont pour nous une curiosité plutôt qu’un objet d’ étude . Les trois premières sont essentielles et impéris
irer. Tout cela doit se faire d’une manière simple et naturelle, sans étude et sans affectation ; l’air, l’extérieur, le gest
gens à s’y rendre attentifs, à l’étudier et à l’imiter. » (Traité des Études , liv. III, chap. iii, § 7.) Il est fâcheux pour
I, scène II.) Les poëtes dramatiques fournissent, comme on voit, à l’ étude des mœurs et des caractères une mine inépuisable.
pants, que dans Horace et Cinna, Iphigénie et Athalie ? D’après cette étude , il est aisé d’apprécier les mœurs oratoires par
iscours et les obligeant de se rendre comme malgré eux. » (Traité des Études , liv. III, chap. iii, 7.) Toutes les passions se
la passion et le sentiment. La Lettre de Fénelon à l’Académie est une étude exquise de la passion chez l’orateur et chez le p
vrage, nous ne pouvons pas même toucher une matière si riche ; mais l’ étude des passions appelle quelques règles de goût qui
ngage de Bossuet à la simplicité de l’histoire. On peut faire la même étude sur le récit de la mort de la duchesse d’Orléans
es sentiments et de son âme, pour toucher l’âme d’autrui, demande une étude profonde des mœurs et des passions. La dignité, l
e matière, et que la science gâte les dons naturels, en substituant l’ étude et l’affectation aux inspirations naïves. S’il en
dans le travail journalier des affaires et de la vie, comme dans les études . Il peut paraître singulier, de nos jours, que po
précision, la propriété, le bonheur des termes sont des qualités où l’ étude et l’art ne sont pas indifférents. Le mépris que
pour les former à la manière de bien faire un rapport. » (Traité des Études , liv. IV, chap. i, 1, vi). Il n’y a pas beaucoup
es et des génies moins désespérants : Massillon, par exemple. C’est l’ étude des uns et des autres qui nous apprend les qualit
nds écrivains. Il faut que l’éducation y ramène les jeunes gens par l’ étude des vrais modèles. 2° Propriété. — La Propriété c
brutes et les plus irrégulières y trouvent leur place. » (Traité des Études , liv. III, chap, iii, § iv.) On voit qu’il y a p
développée, d’après les anciens dans le troisième livre du Traité des études (ch. III, articles i à iv). Nous lui emprunterons
ré du moyen âge, et perfectionnée aux xviie et xviiie siècles par l’ étude savante des classiques, hérita des qualités essen
l’Académie, à une discipline librement consentie ; mais leurs graves études , la supériorité de leurs écrivains et le génie de
s sur la logique étaient, pour Port-Royal, le fondement de toutes les études de langue et de goût. Tout, dans l’art d’écrire,
elques lignes d’une clarté parfaite, la matière des réflexions et des études de tout un siècle. Près de Bossuet, Bourdaloue ra
urs où les écrivains du xviie siècle s’embarrassaient quelquefois. L’ étude plus générale des sciences et des arts, l’exemple
restait de merveilleuses ressources dans le génie français et dans l’ étude sérieuse et recueillie des grands maîtres anciens
sée appelée Litote, dont nous avons parlé plus haut. On voit, par ces études sommaires de littérature, de composition et de st
avail, malgré ses imperfections, aider nos élèves à goûter ces belles études de l’intelligence humaine et de la langue nationa
23 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
urs de l’homme sont en possession de nous inspirer1 ? (Méditations et études morales.) L’amour-propre chez l’enfant L’
re pensée les préoccupations étrangères ; concentrez vos forces sur l’ étude profonde et désintéressée. L’étude poursuivie ave
ères ; concentrez vos forces sur l’étude profonde et désintéressée. L’ étude poursuivie avec sincérité élève et purifie le cœu
elle enrichit et arme l’esprit pour toutes les carrières de la vie. L’ étude donne à l’enfance même ces habitudes sérieuses qu
24 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
des jeunes gens ; non plus que des personnes qui n’ont point fait des études longues et sérieuses. Les uns et les autres ne sa
nous restent des Grecs, sont excellents, et méritent qu’on en fasse l’ étude la plus sérieuse. Nous avons d’Aristote une rhéto
pour la manière dont ces objets y sont présentés, sont le Traité des études par Rollin ; les Réflexions sur la poésie et la p
tres latines, le guide le plus sûr qu’ils puissent choisir pour cette étude  : c’est le Ratio discendi et docendi du P. Jouvan
que s’il avait pu le connaître lorsqu’il travaillait à son Traité des études , la plume lui serait tombée des mains. Les meille
25 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
nce et de volonté courageusement soutenue pendant vingt-cinq années d’ études . Au lieu de flatter les goûts dominants qui récom
la convoitise. Heureux celui qui se souvient un jour qu’il a fait des études , et qui, dans un moment où il est accablé de son
l’esprit1 ! (Discours au lycée Charlemagne.) Le profit des bonnes études Pour que la culture de l’esprit produise ses
sprit a de pénétration, tout ce que votre âme a d’ouverture. Si par l’ étude patiente de ce que leurs paroles expriment ou cac
26 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
as le droit d’être dangereux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’ étude , la lecture et la comparaison, et je ne prétends
réflexions, que possèdera d’abord la critique ; il a pour fondement l’ étude des anciens, qui sont les maîtres éternels de l’a
’art d’écrire, non pas comme anciens, mais comme grands hommes. Cette étude doit être soutenue et tempérée par la méditation
e pouvait nous rappeler au respect des lois du beau, à l’amour et à l’ étude des modèles, ce serait cette critique qui semble
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
as le droit d’être dangereux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’ étude , la lecture et la comparaison ; et je ne prétends
réflexions, que possèdera d’abord la critique ; il a pour fondement l’ étude des anciens, qui sont les maîtres éternels de l’a
’art d’écrire, non pas comme anciens, mais comme grands hommes. Cette étude doit être soutenue et tempérée par la méditation
ciété, mais un esprit grave et sincère, nourri par la méditation et l’ étude , illustré souvent par de touchants sacrifices, pu
. Vous savez ce qu’on doit de respect aux muses sévères, aux pénibles études , aux succès laborieux et contestés. Vous le savez
e pouvait nous rappeler au respect des lois du beau, à l’amour et à l’ étude des modèles, ce serait cette critique qui semble
28 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la deuxième édition. » pp. -
n. La Poétique d’Aristote ayant été récemment mise au programme des études pour la classe de rhétorique, il a paru opportun
itique, et en le complétant par quelques additions que le progrès des études sur Aristote avait rendues nécessaires. Comme on
entaire. 1. Cette réimpression, pour mieux répondre aux besoins des études , a dû être faite en deux volumes séparés, l’un co
29 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
oges, mais une propagation qui ne peut être que profitable aux bonnes études . La légèreté et le pédantisme sont trop souvent l
ience d’un collégue, qui met à leur disposition un aussi riche fond d’ études personnelles. On doit savoir un gré particulier à
vous avez eu en vue d’en faire profiter la jeunesse à initier dans l’ étude de la poésie. On vous doit des encouragements Mai
difice pierre par pierre sur une seule base fondamentale. Ensuite vos études sur la parole divine ne sont, Monsieur le Profess
30 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
car il était à la fois leur supérieur et leur pareil, formé aux mêmes études , habile aux mêmes exercices, étranger, comme eux,
mais en toute occasion, les formait lui-même, par la vue simple ou l’ étude attentive des faits, sans aucune entremise ni inf
re pensée les préoccupations étrangères ; concentrez vos forces sur l’ étude profonde et désintéressée. L’étude poursuivie ave
ères ; concentrez vos forces sur l’étude profonde et désintéressée. L’ étude poursuivie avec sincérité élève et purifie le cœu
elle enrichit et arme l’esprit pour toutes les carrières de la vie. L’ étude donne à l’enfance même ces habitudes sérieuses qu
31 (1873) Principes de rhétorique française
ole étant le privilège de l’homme, le plus haut intérêt s’attache à l’ étude des rapports entre la parole et la pensée ; cette
s’attache à l’étude des rapports entre la parole et la pensée ; cette étude est l’œuvre propre de la rhétorique. Et comme l’i
s bel éloge. En attendant, c’est une œuvre utile que de présenter à l’ étude de nos enfants et à la méditation de tous ceux qu
n trouverait tout naturel qu’un ignorant sût parler, sût écrire, sans étude et sans travail. Cette illusion trop commune me r
leur langue maternelle, par cela seul qu’ils la parlaient. Pour que l’ étude de ce livre soit vraiment profitable, chacune de
. procédés expéditifs pour parcourir en peu de temps un long cercle d’ études  ; vaine utopie, il faut en revenir aux procédés d
ourquoi la rhétorique tenait alors une place si considérable dans les études libérales. Aujourd’hui, la publicité d’un discour
livre qui, tiré à des milliers d’exemplaires, peut être l’objet d’une étude attentive et suivie ; l’art d’écrire doit donc se
us les arts et le plus difficile ; que de travail il réclame, quelles études , quelle patience, quelle assiduité sans relâche !
cle ? Non, il y a encore dans ces belles œuvres de la réflexion, de l’ étude , c’est-à-dire de la rhétorique venant s’ajouter a
elle comprend toutes les réflexions provoquées par le spectacle et l’ étude attentive des grands modèles. Les préceptes sont
ntelligence. La rhétorique est une science d’observation fondée sur l’ étude de l’esprit humain et des chefs-d’œuvre de l’éloq
les procédés par lesquels ils ont réussi ; elles ne suppléent ni à l’ étude directe des grands modèles, ni à la méditation, n
ons de ceux qui nous ont précédés, elles n’en dispensent nullement. L’ étude sérieuse de la rhétorique donne aux bons esprits
r ou de défendre ; et les règles simples et générales suggérées par l’ étude des grands modèles s’appliquent également dans to
rs accessoire. Les rhéteurs anciens avaient fait de la mnémonique une étude longue et minutieuse qui n’est plus guère pour no
préparée par une éducation morale et par une instruction étendue. Les études littéraires et morales, en généralisant les idées
amenant sans cesse à des réflexions sur l’homme et sur le devoir, ces études ne perfectionnent pas seulement l’intelligence, e
l’intelligence, elles forment aussi le cœur. Il faut ajouter que ces études ne sont point confinées dans les murs de l’école,
lus nécessaire de l’art, celle qui en est comme le fondement, c’est l’ étude des preuves. Cependant, l’homme étant un être sen
des mœurs. Ainsi, la rhétorique mettra une parfaite harmonie entre l’ étude des moyens oratoires et l’analyse des parties du
re : Tout cela doit se faire d’une manière simple et naturelle, sans étude et sans affectation ; l’air, l’extérieur, le gest
mentation philosophique et la preuve oratoire. — 12. Utilité de cette étude . — 13. Règles. 1. Des arguments. — Prouver est
uvements de toutes sortes ne servent qu’à faire valoir les preuves. L’ étude des moyens de prouver comprend deux choses : les
longtemps l’objet de mon application ; enfin si je dois beaucoup à l’ étude des lettres, c’est à Licinius qu’appartient surto
unes années, je le vois déjà qui m’introduit et qui me guide dans ces études littéraires. Si donc cette voix, animée par ses c
a forme logique réduite à sa rigoureuse nudité. 12. Utilité de cette étude . — Il n’en reste pas moins vrai que l’argumentati
ière. Raison de plus pour donner une attention toute particulière à l’ étude des arguments ; l’écrivain saura d’autant mieux e
ntre les moyens d’action qu’Aristote a donné une place importante à l’ étude et à l’analyse des caractères et des passions ; e
aînements de la passion, car ce ne sont pas des anges. C’est donc une étude fort délicate, un travail de toute la vie que de
ns conduit très-vite au ridicule. VI. La réflexion, l’expérience et l’ étude attentive des grands maîtres sont indispensables
e la recherche et de la découverte des moyens de convaincre ; après l’ étude des Mœurs, qui sont destinées à faire la force de
eux communs. (Voir page 32.) De même qu’il faut un apprentissage, une étude préliminaire pour savoir observer les faits même
ar Augustin Thierry comme introduction à son livre intitulé Dix ans d’ études historiques : Si, comme je me plais à le croire,
toutes les poitrines, pas d’emploi pour toutes les intelligences ? L’ étude sérieuse et calme n’est-elle pas là ? et n’y a-t-
style. 1. De l’évolution. — 2. Du style. — 3. Importance de cette étude . — 4. Division du sujet. 1. De l’élocution. — 
apport au fond des idées et des sentiments16. 3. Importance de cette étude . — Buffon dit encore avec l’autorité d’un homme d
torité d’un homme de goût qui a consacré ses soins et ses veilles à l’ étude sérieuse et réfléchie du style : Les ouvrages bi
l’homme : le style est l’homme même. 4. Division du sujet. — Cette étude longue, diverse et très-délicate doit être partag
e plus profitable dans cette sorte de gymnastique littéraire, c’est l’ étude attentive des synonymes, des équivalents et des é
plus expressif qu’aimer ; bravo ! dit plus que bien ! etc. C’est une étude intéressante et propre à développer la délicatess
mes les plus simples de la proposition se rattachent des tours dont l’ étude n’est pas sans importance pour qui veut connaître
e mot. 4. Règles relatives aux    figures. —    Avant d’en venir aux études et aux explications de détail  relatives au style
et l’ imprécation. Chacune de ces figures mérite une mention et une étude spéciale. 2. Des figures qui servent à la clarté
ormer des vœux excessifs, chimériques, extravagants. Cette admirable étude morale qui réunit tous les caractères de l’ambiti
faut faire et comment il convient d’employer les figures de pensée. L’ étude attentive de    ces    beaux    modèles    condui
is que mensonge, erreur, incertitude Et de la vérité je fais ma seule étude . Bossuet présente sous la même forme l’éloge de
figures. — Bien que l’emploi de ces figures s’apprenne surtout, par l’ étude , la méditation et la comparaison des bons exemple
ble vieillard, illustre par une longue vie consacrée tout entière à l’ étude , abjurant à genoux, contre le témoignage de sa co
nuation, astéisme, etc. Une observation générale doit compléter cette étude su les tropes, c’est que l’usage est seul juge so
de pensée et de mots. 10. Règles relatives à ces figures. — De cette étude on peut conclure les six règles suivantes : I. L’
u’au style élevé. 11. Résumé sur les figures de mots. — De ce que l’ étude des figures peut gagner à être débarrassée du lux
Pour apprendre à écrire et à parler correctement, il faut joindre à l’ étude de la grammaire la lecture et l’usage : la lectur
ts des spéculations philosophiques. Par suite de la difficulté de ces études , le philosophe est tenu de donner à son langage t
és et se rapporte à des faits qui n’intéressent que l’orateur ; cette étude n’a aucun intérêt pour l’écrivain. Cette partie d
tiver et retenir par tous les prestiges du geste et de la voix. Cette étude est donc beaucoup moins étrangère qu’on ne le cro
er sur ce sujet, pour rester convaincu de l’importance propre à cette étude , même encore aujourd’hui : L’action est, pour ai
rmer dès longtemps son esprit à la composition ; il a eu besoin d’une étude assidue et d’un exercice constant, pour retenir e
que assidue et rien, pour elle, ne remplace l’action du temps et de l’ étude . Riche de beaux et précieux souvenirs, l’esprit t
arguments et aux mots ; elle est le fruit d’une longue culture, de l’ étude et de la méditation des maîtres. Leçon XLV. A
e talent qui s’en inspire et se les identifie à force de réflexion, d’ étude et d’exercice. Mais ce n’est jamais dans les comp
patrie et par le respect des lois, tel fut d’abord l’unique objet des études de la jeunesse romaine. Cependant vers 90 avant J
e, un plaidoyer, une discussion. Voilà pourquoi les écoliers dont les études sont complètes et bien dirigées trouvent dans la
au ont été commentées et justifiées par Marmontel dans une excellente étude  : Vous avez à peindre un vaisseau battu par la t
re : le début des dialogues sur l’éloquence fournira la matière d’une étude instructive : Du véritable orateur. Sujet, — Un
, des caractères du beau en littérature ou dans les arts, telle est l’ étude des manifestations de la volonté libre dans l’hom
it espèces principales, dont chacune est digne d’une analyse et d’une étude à part. Ce sont le caractére, le portrait, l’élog
. — Voici, comme preuve des formes diverses qu’on peut donner à cette étude littéraire, deux caractères très-différents tracé
t Je blâme à l’éloge ; c’est ce qu’a fait. M. Thiers dans cette belle étude historique et morale : César. Né avec tous les
ont les statues ! 8. Du parallèle. — La comparaison est un procédé d’ étude et d’amplification qui éclaire deux idées ou deux
la recherche et l’explication offrent au penseur une ample matière d’ études et de réflexions. Parmi les principes littéraires
encontre avec nos sympathies. 5. De l’analyse critique. — L’une des études les plus intéressantes pour les jeunes esprits, c
écrivains et par les grands maîtres est la meilleure école du goût. L’ étude critique de leurs œuvres est soumise à un ordre m
e ces principes élémentaires de la bonne critique se rencontre dans l’ étude suivante de Batteux : ANALYSE CRITIQUE DE LA FABL
32 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
, et appuyer tous mes préceptes sur la nécessité de fortes et solides études . La maladie dominante de notre âge, et dont les f
public de demain sera-t-il celui d’aujourd’hui ? Ainsi s’en vont les études sérieuses, et les arts, qui ne peuvent fleurir qu
des sophismes qui l’attirent, qu’elle se prépare à cet avenir par des études graves et substantielles ; qu’elle soit bien conv
us arriverez à la vie active et militante, ne faites pas alors de vos études métier et marchandise, que la plume et la parole
33 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
’en faire d’autres. Cela peut être ; mais j’ai cru cependant que de l’ étude raisonnée de ces rhéteurs fameux, il pouvait résu
prononcée de ramener les jeunes gens à la vertu, en les rappelant à l’ étude et a l’admiration du beau et du vrai, et de leur
é ; mais j’y puisai, du moins, l’amour du travail, le goût des bonnes études , et le désir sincère de les propager. 2. Cours d
34 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
tres favoris avec leur tour d’esprit et presque dans leur langue. Ses études sont inspirées par la passion des livres, l’amour
grâces. Je l’appellerais volontiers l’humoriste du bon sens, car ses études sont comme des confidences d’impressions personne
aux lettres qui n’ait pas fait ce rêve d’une vie toute plongée dans l’ étude et dans la lecture ? qui ne s’est figuré, avec dé
uel plaisir de ne se sentir pas tiraillé, au milieu de ces enivrantes études , par l’affaire qui vous rappelle à la maison, de
is de la journée ; demain, ce sera Tacite. On se crée des semblants d’ étude , on se ménage des récréations. Le fond de la vie,
35 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
rte, et à leur exemple en faire les moyens et non pas la fin de notre étude , et ainsi tâcher de les surpasser en les imitant.
se perd avec les besoins qu’ils en ont : comme ils la reçoivent sans étude , ils n’ont pas le bonheur de la conserver ; et to
résent, en ajoutant aux connaissances qu’ils avaient celles que leurs études auraient pu leur acquérir à la faveur de tant de
l’avantage de l’expérience avec la tendresse de l’âge, le loisir de l’ étude avec l’occupation d’une royale naissance, et l’ém
ître au prince cette même machine arithmétique. (Voyez M. V. Cousin : Étude sur les Pensées de Pascal, nouvelle édition.) 1.
i ne fut sa victime qu’en l’année 1657. 1. M. Cousin dit de Pascal ( Études sur les Pensées) : « Dans Pascal, la forme n’est
36 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
ous restent des Grecs sont excellents, et méritent qu’on en fasse une étude sérieuse. Nous avons d’Aristote une logique extrê
eur côté, à l’égard des platoniciens ? C’est-à-dire qu’à mesure que l’ étude et la science avancent, on s’aperçoit que les tra
emps, et dont l’un est resté plus célèbre que l’autre : le Traité des études de Rollin, et les Règles de l’éloquence, de Giber
aient des points dogmatiques. Les deux premiers volumes du Traité des études , de M. Rollin, ont paru si pleins d’erreurs à M. 
goût. Me sera-t-il permis de hasarder mon jugement sur le Traité des études , de M. Rollin ? Cet auteur me paraît exceller dan
37 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »
a pensée que pour la vérité et la vertu. » § II. Rhétorique. L’ étude de l’éloquence et des moyens de persuader, l’art
lité essentielle à un prédicateur est une foi ardente et profonde ; l’ étude , la science, lui sont utiles sans doute, mais ave
un talent qui tient à la nature, mais qui se développe par de fortes études et par une longue pratique. L’écueil de l’improvi
délicatesse de la conscience la plus pure, toute l’attention, toute l’ étude , toute l’éloquence d’un talent élevé. L’orateur d
38 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
d’exercices préparatoires à la composition, nous comprenons, outre l’ étude et la connaissance des principes littéraires, la
sante : Longum iter per præcepta, breve et efficax per exempla. A l’ étude des principes littéraires, il faut donc joindre l
religion chrétienne a ouvertes aux lettres. Son style est plein de l’ étude des Pères, surtout de celle de saint Augustin. 30
tre. La traduction est un des meilleurs moyens de rendre fructueuse l’ étude des modèles, et un des exercices les plus utiles
39 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
s, et la jurisprudence était, bien moins que l’éloquence, l’objet des études et du travail de ceux qui se destinaient à la pro
vocats. Au rapport de Cicéron lui-même, trois mois suffisaient pour l’ étude du droit ; il était reçu même que l’on pouvait br
droit ; il était reçu même que l’on pouvait briller au barreau, sans études préliminaires de la jurisprudence. Il y avait che
40 (1881) Rhétorique et genres littéraires
t de l’observation, qui comprend l’ensemble des règles puisées dans l’ étude des modèles et dictées par le bon sens. Avec l’ar
ne à l’éloquence instinctive une supériorité qui est le résultat de l’ étude et de l’expérience. La Rhétorique a aussi un but
ne et naissance de la rhétorique Fondée sur l’observation et sur l’ étude des chefs-d’œuvre de l’esprit humain, la Rhétoriq
adémie française. XVIIIe siècle. Rollin 1661 — 1741 Traité des études (livres IV et V). Dumarsais 1676 — 1756 Traité
713 — 1780 Principes de littérature. Condillac 1715 — 1780 Cours d’ études (Art d’écrire, etc.) Marmontel 1753 — 1799 Élé
ment. C’est le secret des passions oratoires. (Cf. Rollin, Traité des Études , livre IV, ch. iii, § 7.) Par les passions ou le
ion. C’est une partie dont l’orateur et le comédien doivent faire une étude spéciale. Les anciens attachaient à l’action orat
x). Dans nos habitudes modernes, le discours repose entièrement sur l’ étude de l’histoire. Il est de tous les exercices de rh
péroraison ou conclusion brève du rapporteur. Cf. Rollin, Traité des études , livre V, chap. i. Ex. Rapport sur les inondatio
igieuse : Ex. Le sentiment de la divinité (Bernardin de Saint-Pierre, Études de la nature) ; 2° morale ou philosophique : Ex.
it de l’anglais par Prévost, 2 vol. in-8, 1821 ; E. Laurentie : De l’ étude et de l’enseignement des lettres, 2e édit. in-8,
ar les grands maîtres, 1 vol. in-12, 1878, etc. Littérature Étude des genres littéraires. Tableau synthétique
lle, Églogue. 5° Épistolaire. Lettres philosophiques, familières. Étude des genres littéraires Introduction Défi
ire critique des œuvres de l’esprit humain. Elle comprend donc : 1° l’ Étude des genres littéraires et des règles auxquelles i
Pour composer des ouvrages en vers ou en prose, pour en faire une étude critique, il faut certaines qualités spéciales, s
t philosophique, 4° — romanesque, 5° — épistolaire. Avant d’aborder l’ étude des divers genres de composition en prose, nous r
des matériaux de l’histoire exige un grand talent de composition, une étude particulière des faits, une critique attentive et
le alimente la source de ses méditations et agrandit le cercle de ses études . Excepté Hérodote et quelques autres, tous les hi
Thierry, Michelet, etc., n’ont jamais été chez nous que des hommes d’ étude . Différentes espèces d’histoire 1° Histoi
s un simple récit, quelquefois même dans l’énumération des faits sans étude critique, année par année, suivant l’ordre chrono
elle traite et le genre d’esprit de l’écrivain (Tableaux littéraires, études et portraits, monographies, etc.). Ex. Villemain
générale, spéciale, ou particulière. La bibliographie générale est l’ étude critique et raisonnée des différents ouvrages rel
ccupent. Ex. la Rhétorique et la Poétique d’Aristote, — le Traité des études de Rollin, etc. 2° Il est difficile, pour ne pas
nnent cependant des leçons indirectes, puisées dans la recherche et l’ étude des vérités littéraires, scientifiques, morales,
idactiques. On appelle philosophes les écrivains qui ont pour objet l’ étude de la philosophie proprement dite, c’est-à-dire l
pour objet l’étude de la philosophie proprement dite, c’est-à-dire l’ étude de l’homme en lui-même, dans ses rapports avec le
verselle ; mais, au sixième siècle avant J. C., Socrate la ramena à l’ étude de l’homme (γνῶθϊ σεαυτόν). Redevenue universelle
e les règles propres à diriger l’activité humaine. 4° La théodicée ou étude rationnelle de Dieu, de son existence, de ses att
science, — ὤντος, de l’être). 2° L’histoire de la philosophie, est l’ étude critique des doctrines philosophiques chez les an
41 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
es, humaniores litteræ. 9. La culture des belles-lettres est donc une étude sérieuse et utile ; elle épure le goût, développe
gles, a dit un écrivain célèbre, sont l’itinéraire du génie. » 28. L’ étude des règles est très importante pour tout homme qu
les esprits, quels sont les défauts qui les rebutent. Négliger cette étude , c’est se condamner à faire seul et avec ses prop
nnait pas, ou dans un premier mouvement qui paraît nous échapper sans étude ni réflexion. En voici un exemple : Un bouclier
ue. Pour réussir dans ces innovations, il faut puiser des mots dans l’ étude du grec et du latin ; faire quelques emprunts tan
reprochent aux auteurs anciens d’avoir attaché trop d’importance à l’ étude des figures. Il y a en effet quelque chose d’un p
r qui veut se former à l’art d’écrire : la connaissance des règles, l’ étude des modèles, l’exercice de la composition. Les pr
utiles ; mais ce serait une erreur peut-être plus grave de faire de l’ étude des règles notre occupation principale et de croi
sposer les matériaux, ii les employer avec discernement et sagesse, l’ étude des modèles et l’exercice du style nous enseigner
lons donc parler de ces deux principaux moyens de former le style : l’ étude des modèles et l’exercice de la composition. Ar
étude des modèles et l’exercice de la composition. Article premier. Étude des modèles11. 251. Par modèles littéraires, o
une pureté sans tache. 253. Le premier modèle que nous proposons à l’ étude de la jeunesse, dit le R. P. de Boylesve, sera do
enser et à bien agir autant qu’à bien parler et à bien écrire. 257. L’ étude des modèles se réduit à quatre exercices : la lec
le christianisme avait ouvertes devant lui. Son style est plein de l’ étude des Pères et surtout de celle de saint Augustin.
er son admiration ou sa censure sur une œuvre qui est soumise à notre étude . § III. De la traduction. 275. La traductio
n bon style. 279. Outre l’interprétation du sens, qui se rapporte aux études grammaticales, le jeune homme qui traduit doit co
évite tout ce qui sent la contrainte et la gêne, tout ce qui décèle l’ étude et le travail. « Soyez vous et non autrui, dit en
ou un art à la portée de ceux qui l’ignorent suppose donc beaucoup d’ étude et de talent. Il existe assez de belles pages sur
igeassent un examen détaillé d’un morceau défectueux et mal écrit : l’ étude sérieuse de ces défauts de style serait très prop
française appartiennent à la prosodie et sont comme le complément des études grammaticales. Néanmoins, pour être plus complet,
t de la production du talent, l’homme éclairé, sensible, versé dans l’ étude de l’art, n’a pas besoin qu’on le lui dise, et le
our les massacres ; c’étaient de jeunes hommes, qui, négligeant leurs études de médecine et de droit, s’étaient exaltés dans l
      En vain je promène mes jours Du loisir au travail, du repos à l’ étude , Rien n’en saurait fixer la vague inquiétude, Et
e puisse être cité comme modèle ? 257. Combien d’exercices embrasse l’ étude des modèles ? 258. En quoi consiste une lecture b
e littérature, art. Beau, Génie, Talent, Goût, etc. ; Laurentie, De l’ étude et de l’enseignement des lettres, ch. i, ii, iii 
consulter : Longin, Traité du sublime, ch. viii ; Rollin, Traité des études , liv. III, ch. iii; le P. Bouhours, La manière de
iii : Blair, Leçons de littérature, IIIe partie ; Rollin, Traité des études , liv. III, ch. iii ; Crevier, Rhétorique français
. xxxvii, xxxviii ; Cicéron, Orator, nºs 162-236 ; Rollin, Traité des études , liv. II, ch. xi, art. 2 ; Le Batteux, Constructi
orat., liv. I et II ; Fénelon, Lettre à l’Académie ; Laurentie, De l’ étude et de l’enseignement des lettres, chap. iv et v ;
Cours théorique et pratique de la version grecque et latine, suivi d’ études critiques sur diverses traductions, à l’usage des
v. X, chap. iii, iv, v ; Marmontel, art. Rhétorique ; Laurentie, De l’ étude et de l’enseignement des lettres, chap. v ; L’abb
De l’étude et de l’enseignement des lettres, chap. v ; L’abbé Capot, Études sur la composition. 15. Auteurs à consulter : Bl
ême principe, 3e partie ; Blair, Lecture xxxviii ; Rollin, Traité des études , liv. II ; Marmontel, art. Poésie, Poète, Poétiqu
, liv. II ; Marmontel, art. Poésie, Poète, Poétique ; Laurentie, De l’ étude et de l’enseignement des lettres, ch. vi ; Cormen
rt. Lyrique, Ode ; Lowth, Poésie sacrée des Hébreux ; Laurentie, De l’ étude des lettres, ch. ix ; Mgr Plantier, Études littér
s Hébreux ; Laurentie, De l’étude des lettres, ch. ix ; Mgr Plantier, Études littéraires sur les pactes bibliques. 23. Auteur
Le Batteux, Principes de littérature, 4e traité ; Rollin, Traité des études , liv. II, de la lecture d’Homère ; Blair, leç. xl
ame, Tragédie, Comédie, Comique, Opéra, Chœur, etc. ; Laurentie, De l’ étude des lettres, chap. viii ; Victor Hugo, Préface de
rique, leç. xxxix ; Marmontel, art. Églogue, Idylle ; Laurentie, De l’ étude des lettres, ch. x. 27. Auteurs à consulter : Le
42 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
sait à son temps, c’est-à-dire à la moins poétique des époques15. » L’ étude de chacun des genres poétiques confirmerait ce ju
orneille et Racine transmettaient au dix-huitième siècle ; et, dans l’ étude de son théâtre, il conviendra de relever, d’une p
le génie même du dix-huitième siècle. Les écrivains consacrés à cette étude s’appelèrent publicistes 20. « Les idées de réfor
ar craindre et par supprimer, attestent l’esprit nouveau et le goût d’ études politiques que rencontra Montesquieu, et dont il
queurs la vie de l’histoire ; on n’en tirait que des restes arides. L’ étude des monuments semblait propre à éclaircir les fai
ues savants entraient peu à peu, par un point ou par un autre, dans l’ étude de notre passé : Galland, Caylus, l’abbé Lebeuf,
eler. Les vues générales risquent toujours d’être trop absolues, et l’ étude du détail, sans démentir le jugement d’ensemble,
être un art ; qu’elle doit, par conséquent, tirer toute sa force de l’ étude critique des documents originaux. Monuments écrit
, Ampère, Damiron, Dubois, Magnin. Grâce à cette liberté nouvelle des études , à la connaissance plus approfondie de l’histoire
ain, doctrinale avec M. Nisard, elle est chez Saint-Marc Girardin une étude du cœur, qui conduit à une leçon morale ; Sainte-
eloppement et une diversité de caractères qui mériteraient une longue étude  ; mais ce n’est pas sans raison, on en conviendra
avec sa finesse ordinaire quelques-uns des principaux rapports que l’ étude découvrirait, la question morale réservée, entre
sprits une curiosité dont le moindre danger serait de les détourner d’ études plus solides. « La littérature de l’Empire, remar
inions jansénistes. Où il revit tout entier, c’est dans le Traité des Études , dont les deux premiers volumes parurent en 1726,
vre à un progrès raisonnable, l’intelligence avec laquelle il étend l’ étude des lettres françaises sans diminuer la part des
x. Sans cela, en effet, faudrait-il faire tant de cas de ces sortes d’ études , qui, selon l’expression d’un sage païen, ne sera
x, ombrageux44. Il est aisé de faire l’application de ce principe à l’ étude des belles lettres et des sciences. Il nous appre
truments très utiles, si l’on sait en faire un bon usage. Traité des Etudes , Discours préliminaire. Du goût. Le goût46
du jugement, et d’une espèce de raison naturelle perfectionnée par l’ étude . Elle sert dans la composition à guider l’esprit
discernement était une espèce de raison naturelle perfectionnée par l’ étude . En effet, tous les hommes apportent avec eux en
si peu de se concilier les cœurs : il ne faut pour cela ni effort ni étude  ; une seule parole, un sourire gracieux, un seul
r la comparaison approfondie des différentes constitutions. Parmi les études détachées de Montesquieu, il faut compter au nomb
orces. Esprit des Lois, liv. III, ch. iii. Pensées diverses. L’ étude a été pour moi le souverain remède contre les dég
uissance de travail, sévère dans l’emploi de son temps, apportant à l’ étude cette suite patiente qu’il estimait une partie au
tement à Buffon d’avoir trop dédaigné, dans l’histoire des animaux, l’ étude comparée des espèces et leur classification métho
odifié la surface du globe, et d’en déterminer la date relative par l’ étude des couches terrestres. Buffon, qui appartenait d
problèmes contemporains. Cette conclusion se dégage mieux encore des études nouvelles dont Diderot a été l’objet depuis la pu
, d’une santé frêle, toujours menacée, et qui contraria ses premières études , Vauvenargues avait cependant l’impatience et le
en moi qu’un homme constamment gai ; aimant avec une égale passion l’ étude et le plaisir ; enclin à la raillerie, mais sans
ui donna au nom de Bernardin de Saint-Pierre tout son éclat. Dans les Études de la Nature (1784), on retrouve, en effet, cette
si grand nombre, et d’une si grande variété, que je laissai là cette étude , quoique très amusante, parce que je manquais de
s éléments de la nature, les principes de la science s’évanouissent. Études de la Nature, Première Partie. La fiancée norm
e le palais des grands ne saurait donner à leurs passions300. Ibid., Étude VIIe. La mort de Virginie. Tout présageait
Au milieu des aventures de sa jeunesse, il ne cessa de se livrer aux études les plus variées et les plus étendues : sa vive c
ème siècle. Né à Bagnols (Languedoc) le 27 juin 1753, après de bonnes études au séminaire de Sainte-Garde, à Avignon, il vint
n 1753, élevé dans une famille de tradition sévère, il s’appliqua à l’ étude du droit tout ensemble en homme de pratique et de
er, de compulser. Mais, hors de là, qu’il se souvienne bien que toute étude lui est inutile ; qu’il ait pour seul but, dans s
’est qu’il marqua l’avènement de la critique nouvelle, agrandie par l’ étude comparée des sociétés et des littératures étrangè
tion emprunte aux souvenirs de l’histoire ; il a réveillé le goût des études historiques, en faisant entrevoir de combien de p
rages, qui, d’ailleurs, n’ajoutèrent rien à sa gloire : c’étaient les Études historiques, rapides ébauches, dont quelques bril
ittéraire. Helléniste distingué, dans le mouvement de renaissance des études grecques en France, le nom de Courier ne saurait
rti pour une meilleure fin, et d’un état en apparence ennemi de toute étude , je fais la source principale de mon instruction
82. Frêle de santé, timide et renfermé, ne suivant dans ses premières études que son caprice ou ses instincts, il s’attacha bi
ms qui personnifient à l’époque de la Restauration la renaissance des études historiques, Guizot peut être regardé comme le ch
ner à l’histoire les couleurs et l’intérêt du drame qu’à retirer de l’ étude des événements les leçons politiques et morales q
s de Guizot, à ses discours parlementaires, il faut joindre plusieurs études d’art et de critique d’un grand prix : celle entr
là ce que l’on retrouve dans les autres œuvres de Villemain : dans l’ étude sur Pindare, comme dans le Tableau de l’Éloquence
es Souvenirs contemporains d’Histoire et de Littérature, comme dans l’ Étude sur M. de Chateaubriand. Secrétaire perpétuel de
u’elle fait naître, aux instincts généreux qu’elle excite, aux fortes études qu’elle encourage, se rapporte tout mouvement heu
losophique ou poétique. Qu’est-ce, en effet, que la littérature ? Une étude plus ou moins ingénieuse des formes du langage, u
où la philosophie, l’histoire, la politique, sont l’objet d’une libre étude , d’un véridique et complet examen, l’étincelle du
porter ni la complète liberté, ni la complète servitude438. » Choix d’ études sur la littérature contemporaine. De l’éloquen
de la morale, cette expérience de l’homme, ces secrets des passions, étude éternelle des philosophes et des orateurs anciens
ribuer avec art et admirablement ménager. Cet art était pour Buffon l’ étude de sa vie entière, et, s’il définissait le génie
. Cousin.(1792-1867.) Né à Paris en 1792, Victor Cousin, après des études couronnées par le prix d’honneur de rhétorique, e
pair de France, il profita de cette haute situation pour imprimer aux études philosophiques une nouvelle impulsion. Chef recon
ent ; dans l’intervalle de ces sévères travaux, il publia une série d’ études brillantes sur la société française au dix-septiè
observation approfondie et complète de la nature humaine. C’est par l’ étude attentive et impartiale de l’homme et de ses facu
de la valeur absolue de l’éclectisme, il imprima un nouvel essor aux études d’histoire de la philosophie, et c’est un honneur
ta, on ne peut le nier, la réforme de l’histoire, en la rappelant à l’ étude des monuments originaux. D’ailleurs, Augustin Thi
t, Augustin Thierry reporta son attention sur le premier objet de ses études , l’Histoire de la Conquête de l’Angleterre par le
mouvement politique de notre époque : le goût de la méditation, de l’ étude silencieuse de soi-même, aussi bien que les exige
Collard à la Sorbonne, Jouffroy poursuivit pendant plusieurs années l’ étude du droit naturel ; mais il faut regretter qu’il n
riques et littéraires, réunis en 1852, forment un ensemble précieux d’ études variées et solides. Des œuvres plus vastes et d’u
n séjour et sa mort au. monastère de Saint-Just, ainsi qu’une série d’ études d’un égal intérêt sur la Rivalité de François Ier
rroir, il unissait dés sa première jeunesse cette persévérance dans l’ étude qui est le signe des grandes volontés. L’Eloge de
, il semblait, par la diversité même de ses tendances, prédestiné aux études historiques comme à l’activité de la vie politiqu
erons pas Thiers, comme l’a fait Chateaubriand dans la Préface de ses Études historiques, à la tête de cette école fataliste q
la partie peut-être la plus précieuse est celle qui est consacrée à l’ étude des populations chrétiennes de l’Orient. Mais le
s le Drame (1843-1863) ; La Fontaine et les Fabulistes (1867), et les études par malheur inachevées sur la Vie et les Ouvrages
chaire chrétienne 11e pouvait échapper à ces influences. Là aussi, l’ étude des idées, la critique des doctrines religieuses
critique des doctrines religieuses et sociales, ont pris le pas sur l’ étude de l’homme et de ses passions. La conférence a re
logne-sur-Mer, le 23 décembre 1804, Sainte-Beuve, après de brillantes études aux collèges Charlemagne et Bourbon, s’était adon
eurs fois à marquer l’influence que reçut son esprit de ces premières études physiologiques536. Mais il sentit bien vite que l
crivit d’abord le manifeste contre la Littérature française, puis les Études sur les Poètes latins de la Décadence, « Sur ce d
et la fécondité de l’éminent écrivain : ses Souvenirs de Voyages, ses études sur la Renaissance et la Réforme, sur les Quatre
ue, celui d’homme de talent. Il sort des écoles, ayant fait de bonnes études . Mais les études roulent plus sur les mots que su
de talent. Il sort des écoles, ayant fait de bonnes études. Mais les études roulent plus sur les mots que sur les choses ; on
ie, de la phrase, et point d’idées : priez Dieu qu’il n’avorte pas ! Études sur les Poètes latins de la Décadence, tome I : P
ant l’un, et en plaignant l’autre. Ibid., tome IV ; Conclusion. L’ étude des lettres. Que n’a-t’on pas dit des lettres,
la convoitise. Heureux celui qui se souvient un jour qu’il a fait des études , et qui, dans un moment où il est accablé de son
dans la longue carrière de Ducis un jour de désordre ni d’oubli. Ses études achevées, il fut attaché au maréchal de Belle-Isl
appointements, qui ne lui furent pas retirés, il put se livrer à ses études dramatiques. Sa première tragédie imitée de Shaks
étiques ne tardèrent pas à se révéler, et à peine avait-il achevé ses études qu’il entreprenait avec l’heureuse confiance de l
. Une partie de sa jeunesse s’écoula dans le Languedoc. Il acheva ses études à Paris au collège de Navare, où avaient été élev
si l’art n’est pas quelquefois sans effort, quel mélange admirable d’ étude et de passion ! Et quand sa muse naïve et de hain
plutôt les émotions d’un roman que le sérieux et grave intérêt d’une étude solide. Cette tendance même à tout idéaliser cond
ançaise donnait une mention à sa pièce de vers sur les Avantages de l’ Étude , et trois années de suite l’Académie des Jeux Flo
varier à l’infini la forme et le mouvement. Mais, on le comprend, une étude de l’œuvre lyrique de M. Victor Hugo dépasserait
’ennui. Il Pianto Brizeux.(1806-1858.) Dans une remarquable étude sur la renaissance de la poésie provençale, M. Sa
t le don des larmes823. » Né à Paris en 1810, A. de Musset, après des études brillantes, justifiées par un prix de philosophie
res, à choisir son drapeau et à le soutenir, un temps précieux pour l’ étude et la méditation ; il resta lui-même et s’appliqu
ture française au dix-neuvième siècle, p. 19. 35. Villemain, Choix d’ Etudes sur la Littérature contemporaine, p. 329. 36. Ré
s Pièces diverses. (2 vol. in-8°, Hachette.) Lire, sur Saint-Simon, l’ étude de M. Sainte-Beuve placée en tête de l’édition de
me siècle, faut-il ajouter ; ce qui faisait dire à Rollin (Traité des Études , I, 1) : « On a justement comparé le commun des t
a altéré quelques traits de la vérité historique. Voir, à ce sujet, l’ étude de Villemain intitulée : De Symmaque et de saint
énie, et le tableau l’ouvrage du travail, de la patience, des longues études et d’une expérience consommée, etc. » Voir, dans
uvres choisies de Vauvenargues donnée par Garnier) ; Prévost-Paradol, Études sur les Moralistes français. 264. Il est diffic
pprocher de ce morceau quelques pages de M. D. Nisard au tome Ier des Études sur les Poètes latins de la décadence, page 37 et
chapitre xvn de l’ouvrage de M. de Loménie : Les Mirabeau, Nouvelles Études sur la Société française au dix-huitième siècle.
uffisent pour donner à un jeune homme le goût de ces fortes et graves études . 274. Cf. la lettre de Henri IV sur Plutarque (3
es). 306. Lire, sur la famille de Mirabeau : Les Mirabeau, Nouvelles Études sur la Société française au dix-huitième siècle,
dix-huitième siècle, V. tome II : Coppet et Mme de Staël. Al. Vinet : Étude sur la Littérature au dix-neuvième siècle. 362.
ubliée avec des remarques par M. Saint-René Taillandier. Voir aussi l’ étude de M. Caro, citée plus haut : La Fin du dix-huiti
i pris ‘de mettre en relief les misères de l’homme. — Vinet, dans ses Études sur la Littérature française au dix-neuvième sièc
t de Schopenhauer. 375. Augustin Thierry, dans son livre : Dix ans d’ Études historiques, a raconté l’impression qu’il éprouva
prose du dix-septième siècle, a dit Cousin dans l’avant-propos de son Étude sur Pascal, est presque indéfinissable, et on n’e
oire de mes Idées et de mes Travaux historiques, Préface de Dix Ans d’ Études . Les ouvrages d’Augustin Thierry ont été publiés
» et qu’il leur prête un système. Mais ce qui, dans cette Préface des Études historiques, mérite d’être relu, c’est l’éloquent
 La nouvelle de la mort de Marie Stuart, écrivait M. Chéruel dans une étude publiée en 1856, souleva l’indignation de la Fran
hie. Son esprit inventif ne se tourna pas avec moins de succès vers l’ étude des secrets de la nature : il démontra le premier
de DFrance, des leçons qui ont été publiées sous le titre de Cours d’ Etudes historiques. M. Miguet a écrit son éloge (1843).
toriens romains et les Mélanges ont été édités chez Michel Lévy ; les Études sur les Poètes latins, chez Hachette, et l’Histoi
e type. Sur ces imitations, on peut lire un chapitre intéressant de l’ étude de M. Fontaine : Le Théâtre et la Philosophie au
éressants détails dans le livre de M. Saint-René Taillandier intitulé Études littéraires (Pion. 1881), page 279 et suivantes.
e la Littérature française au dix-huitième siècle, par Villemain. Une étude bien faite de M. Charles Labitte sur Joseph Chéni
fragment de ses Mémoires (1790-1815) et des Poésies inédites. Dans l’ étude critique de l’œuvre de Lamartine, les Poésies iné
bre génie du Dante. 812. C’est le nom moderne donné au forum. 813. Études littéraires, La Renaissance de la Poésie provença
es béquilles. » 840. M. de Laprade a aussi publié un livre composé d’ études détachées et intitulé : Questions d’Art et de Mor
n’est rien moins que sûre. Lire ce que dit à ce sujet Patin dans les Études sur les Tragiques grecs, t ; I, p. 17. 849. Il n
43 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
s causes : tantôt il s’inspire de lui-même, par la réflexion et par l’ étude  ; tantôt il est excité par un objet extérieur, pa
lles couleurs naturelles ! quelle émotion saisissante ! La lecture, l’ étude , la comparaison, prêtent à l’imagination ce qui l
aît avec nous, mais qui a besoin de l’éducation pour se développer. L’ étude la rend plus vive en l’appliquant à la contemplat
la source de douces jouissances. L’imagination, ainsi cultivée par l’ étude , tend à sortir d’elle-même et à devenir créatrice
44 (1853) Éléments de la grammaire française « Préface. » p. 2
Préface. C’est par la langue maternelle que doivent commencer les études , dit M. Rollin. Les enfants comprennent plus aisé
d’épargner à cet âge aimable une partie des larmes que les premières études font couler ! 1. Une définition présente une i
45 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XV. Genre didactique en prose. »
orale, sur les arts et les sciences ; tous les livres de théorie, les études et les descriptions de la nature, les livres d’éd
’écrit pas comme Buffon ou comme Bernardin de Saint-Pierre dans leurs études de la nature ; Aristote ne ressemble pas à Platon
46 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
avec pureté et distinction : ils sont le complément indispensable des études grammaticales. Nous engageons donc les jeunes élè
ue nous leur offrons est partagé en deux volumes. Premier Volume. Les études contenues dans cette première partie conviennent
nt, et leur enseignait les règles de la versification. Cette première étude était suivie de celle des langues, de la lecture
47 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe 
féconde originalité d’une émulation indépendante, qui, inspirée par l’ étude pratique et intime des modèles, rivalise au lieu
de la France. Car nous sommes vraiment ses fils, comme le confirme l’ étude de notre épanouissement littéraire, en particulie
rgique, pittoresque et coloré, il serait puéril de faire dévier cette étude vers un pastiche artificiel qui étonnerait l’orei
tienter des lecteurs aux-quels ne convient guère la sécheresse de ces études . Qu’ils nous permettent seulement de terminer not
rivains du xvie  siècle méritaient, entre tous, d’être l’objet de nos études  ; car, si le jour est venu où il est urgent de re
cabulaire, tiré du grec, ne dit rien à un Français qui n’a pas fait d’ études classiques. 1. Ici, nous avons généralisé et gro
48 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
vues nouvelles et ingénieuses, et par une méthode claire et facile. L’ étude de l’éloquence et de la philosophie fut l’occupat
int l’éclairer lui-même sur ses moyens, et le décider à se livrer à l’ étude avec ardeur. Il faisait sa logique, et on lui ava
rit du jeune Blair une impression profonde, et décida son goût pour l’ étude de la littérature. Par une espèce de sentiment de
résage heureux de la gloire qui l’attendait. Dès lors il se livra à l’ étude avec une constance qu’il soutint jusqu’à ses dern
et sur le sujet. Il appliqua plus particulièrement cette méthode à l’ étude de l’histoire, et, pour mieux réussir, il s’assoc
bien supérieur. Elles sont, comme nous l’avons déjà vu, le fruit de l’ étude de toute sa vie, et d’un professorat de vingt-qua
ture un cours d’instruction utile à la jeunesse, une introduction à l’ étude approfondie de l’art de parler et d’écrire. Elles
d’Édimbourg. Ils avaient eu d’abord un fils qui mourut très jeune. L’ étude est la consolation et le bonheur de toute la vie 
es. Ces Lectures furent d’abord destinées à servir d’introduction à l’ étude des belles-lettres et de la composition littérair
x qui veulent cultiver leur goût, former leur style, ou se livrer à l’ étude de l’art de parler et d’écrire, trouveront dans s
nements que l’expérience leur a fait apprécier, longtemps avant que l’ étude et l’application de ces ornements devinssent l’ob
r leurs idées. Aussi voyons-nous que, chez les peuples policés, cette étude est regardée comme très importante, et mise au pr
imagine qu’il est fastueux et décevant ; qu’il ne consiste que dans l’ étude minutieuse et frivole des mots, dans la pompe de
n. Nous ne devons pas nous étonner que, sous de telles imputations, l’ étude du langage, considéré comme un art, ait pu être d
ci quelques réflexions sur l’importance et les avantages attachés aux études dont nous allons nous occuper, et sur le rang qu’
pas à exagérer cette importance aux dépens d’aucune autre science. L’ étude de la rhétorique et des belles-lettres suppose, e
mi ceux qui liront cet ouvrage, les uns se proposent de se livrer à l’ étude de la composition, ou au débit oratoire, à cause
e belles-lettres. À l’égard des premiers, il est évident que quelques études préparatoires leur sont indispensables pour arriv
s progrès que, dans toutes les parties de la littérature, on doit à l’ étude sont si remarquables, il y a des exemples si éton
avec une bonne volonté constante, et une application particulière à l’ étude , qu’avec la meilleure des méthodes connues ; mais
moins servent-elles à nous empêcher de commettre de graves erreurs. L’ étude de la littérature est digne de toute notre attent
s les rapports des pensées avec les mots qui nous les représentent. L’ étude du style, importante en elle-même dans tous les t
ins ni orateurs, examinons quels avantages elles peuvent retirer de l’ étude qui fait l’objet de ce traité. Pour elles, la rhé
hétorique. Si l’on a cru quelquefois que la rhétorique n’était qu’une étude pédante de mots, de phrases et de tropes, la crit
prendre part à des discussions sur ces matières, il est évident que l’ étude des belles-lettres ne lire pas moins son importan
nature humaine. De semblables recherches sont intimement liées avec l’ étude de nous-mêmes ; elles nous portent nécessairement
exercent une puissante influence sur les circonstances de la vie. Ces études ont encore un avantage qui leur est particulier,
igne de nous, qu’en les consacrant au perfectionnement du goût et à l’ étude des belles-lettres ? Celui qui est assez heureux
r de bonne heure une idée des plaisirs du goût. On passe aisément des études qui nous y forment aux premiers devoirs de la vie
’est ainsi qu’à l’égard des beautés de l’art de parler et d’écrire, l’ étude attentive des vrais modèles et la comparaison des
vions à la nature ce talent ou cette aptitude à exceller ; l’art et l’ étude peuvent sans doute les perfectionner beaucoup, ma
le est de la plus grande importance pour tous ceux qui se livrent à l’ étude de la composition. Car, dans un poème épique, dan
ligé de faire des lois qui défendirent aux sénateurs de se livrer à l’ étude de la pantomime. On ne saurait douter qu’à cette
oixante mille. Bien écrire et bien parler sont à peine le fruit d’une étude de toute la vie. C’est un obstacle que chez eux l
z les anciens, passait pour le berceau des arts et du gouvernement. L’ étude importante des caractères hiéroglyphiques avait d
e amplement, dans un âge plus avancé, des peines que nous a coûtées l’ étude que nous en avons faite, et c’est à l’ignorance d
e construction grammaticale est de la plus grande facilité, et rend l’ étude de notre langue bien moins pénible ; l’arrangemen
ause que souvent on la parle et on l’écrit avec plus de négligence. L’ étude des langues compliquées, et dans la construction
s à quelques règles grammaticales. Il est reconnu que l’on peut, sans études , s’exprimer en anglais d’une manière très convena
vé leur langue. Quelques connaissances que l’on puisse acquérir par l’ étude des langues étrangères, on ne peut les déployer a
assez qu’il faut que celui qui veut écrire correctement se livre à l’ étude la plus attentive de sa langue28. Troisième p
u’il y a essuyé un affront ; il quitte le chemin de l’ambition pour l’ étude ou la retraite, et laisse ses prétentions aux gra
ne idée obscure ou confuse. Nous devons néanmoins prendre garde que l’ étude trop assidue de la précision ne donne à notre sty
tion de dessus sa politique et son ministère, mit en vogue ce genre d’ étude , et l’esprit français fut dans le dernier siècle
que chacun de ces endroits est bien distinct. Ceux qui se livrent à l’ étude de l’éloquence doivent apporter toute leur attent
euses. Sa manière d’écrire le conduisait naturellement à en faire une étude attentive ; et, pour que ses gradations soient pa
rtout de parler en public avec succès, doivent en faire l’objet d’une étude sérieuse. Une oreille exercée est, à cet égard, l
musicale de ses phrases paraît étudiée, il semble au moins que cette étude lui coûtait fort peu de peine. Parmi nos classiqu
que le sujet l’exige, doit être de la part de l’orateur l’objet d’une étude attentive. Ainsi, en supposant que des sons unifo
ui décrit le plaisir, la joie, ou des objets agréables, puisera, sans étude et sans réflexion, dans le sentiment même de son
cum41 (Georg. lib. IV, v. 468.) Pour peu que l’on soit versé dans l’ étude des poètes anciens et modernes, on trouvera une m
st point dans les écoles qu’elles ont été inventées, ce n’est pas à l’ étude qu’il faut attribuer leur origine ; bien au contr
i cette manière de s’exprimer commença-t-elle à devenir l’objet d’une étude sérieuse, dès qu’on apprécia toute l’étendue de l
ses qui ne sont à la portée que de personnes qui se livrent à quelque étude ou à quelque profession particulière, ne sauraien
lles qu’elles puissent être, laissent néanmoins apercevoir l’art et l’ étude  ; ainsi quoiqu’elles soient très convenablement p
ornements du plus mauvais goût. J’engagerais ceux qui se livrent à l’ étude de l’art oratoire à imiter plutôt la piété de M. 
entes, les observations qu’il ne faut jamais perdre de vue dans cette étude . Je ne connais pas d’exercice plus propre à forme
ce dans l’état social, et qui n’est accordé qu’au génie secondé par l’ étude . Considérée seulement comme art de persuader, ell
mportance, et où, par conséquent, l’art de persuader est l’objet de l’ étude la plus sérieuse. C’est au milieu d’un État libre
uel il s’enfermait dans une cave, pour que rien ne pût l’arracher à l’ étude  ; ses déclamations sur le bord de la mer, avec de
ue nous apprend Plutarque, doivent encourager ceux qui se livrent à l’ étude de l’éloquence, et nous prouvent que l’art et l’a
lois est bien plus compliqué, et les connaître est le résultat d’une étude si pénible, si difficile, qu’elle forme en quelqu
un sage avis qu’on ne saurait trop répéter à ceux qui se livrent à l’ étude de l’art oratoire. Je crois, en second lieu, que
e. Cicéron dit quelque part qu’il ne fallait pas plus de trois mois d’ étude pour avoir une connaissance complète de la législ
personne ne voudra lui confier ses intérêts à défendre. Cependant des études approfondies et des connaissances étendues ne suf
qu’il n’est plus de carrière ouverte à ce genre d’éloquence, et que l’ étude de l’art oratoire est désormais superflue. Si le
’ai cru devoir adresser à l’orateur qui se livre particulièrement à l’ étude de l’éloquence du barreau. Pour jeter plus de lum
avant, l’éloquence n’était qu’un art brillant et insidieux, une vaine étude de mots et de raisonnements spécieux, dont le seu
rouve, vous êtes sur de l’intéresser. Pour y parvenir, il n’est pas d’ étude plus nécessaire que celle du cœur humain et des é
nie supérieur, original, mais génie trop sauvage que n’a point poli l’ étude de l’éloquence. Je ne tenterai pas de donner une
n montre beaucoup de talent pour la narration, et, sous ce rapport, l’ étude de ses harangues peut être de la plus grande util
e de Lysias tient de la nature la grâce dont Isocrate fait un objet d’ étude , » Il regarde Lysias comme supérieur à tous les o
49 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVIII. des qualites essentielles du style. — harmonie  » pp. 240-256
faut s’occuper des soins minutieux de l’harmonie, ce doit être là une étude préliminaire comme celle de la langue elle-même,
n fera pour y exercer son oreille et sa plume doivent être, comme des études de peintre, destinées à ne pas voir le jour. Dès
minutieuses prescriptions de l’art ; c’est qu’ils n’ont pas cru que l’ étude de toutes les délicatesses du nombre nuisît aux s
chose qu’un vieillard abécédaire : on peut continuer en tout temps l’ étude , non pas l’écolage. » Voir le Moliere d’Aimé Mart
50 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47
Du discernement à apporter dans nos lectures et les objets de nos études . Il faut considérer que l’étude est la culture
nos lectures et les objets de nos études. Il faut considérer que l’ étude est la culture et la nourriture de notre esprit.
nt sur la belle morale de Nicole, dont elle ne cesse de recommander l’ étude à sa fille. Il lui semble que c’est de la même ét
51 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Eugénie de Guérin , 1805-1848. » pp. 578-584
. Ces œuvres ont été publiées par M. Trébutien. 1. On peut voir deux Études sur Eugénie de Guérin, Causeries sur les femmes e
lle-même : « Je lisais hier au soir Bernardin, au premier volume des Études , qu’il commence par un fraisier, ce fraisier qu’i
tant de cœur, qui ferait, dit-il, écrire des volumes sans fin, dont l’ étude suffirait pour remplir la vie du plus savant natu
52 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
age ne soient pas encore assez solidement pourvus de la moelle de nos études classiques. Il est temps qu’on mette à leur porté
ent de ce qu’ils savaient bien. Socrate tenait ce langage après que l’ étude , la méditation, l’exercice, la connaissance de l’
econde ne lit guère que des sophistes et que de vains déclamateurs. L’ étude de l’homme en général et de l’homme modifié par l
la langue et du cœur, les Romains ne laissèrent pas de s’adonner à l’ étude de l’éloquence avec une ardeur incroyable. Postea
ne foi pour se vanter d’être son élève. On distingue dans Cicéron les études qu’il avait faites dans les écoles de rhétorique,
qu’il me semble, perfectionné chez les Romains, cet art qui faisait l’ étude la plus assidue et la plus sérieuse des Périclès,
e vide et de harangueurs importuns. A quoi donc employer cet âge où l’ étude de la rhétorique et les exercices de l’éloquence
nt dans leur ensemble la grandeur, l’élégance et la solidité. Après l’ étude des langues savantes, et singulièrement de sa pro
es un objet d’émulation de les décomposer, de les développer : et ces études philosophiques seraient comme le vestibule du san
istingue et l’excepte de la loi générale et de l’ordre commun. De ces études on verra se former, non pas un système de philoso
expetis, nemo unquam assequetur. (De Orat. I. I.) Dans ces premières études de l’éloquence, Pétrone, le grand ennemi de la dé
peu plus savantes, elles amènent les disciples à ce troisième degré d’ études , où ils auront à saisir d’un coup d’œil l’ordonna
ation dans l’âme ; enfin la composition en grand est insensée avant l’ étude îles modèles. Quel moyen reste-t-il pour en grave
; enfin une richesse, une abondance d’élocution que nul autre genre d’ étude et d’exercice ne peut donner. Cependant, comme, a
quœdam ad commonendum oratorem. Mais l’élève qui, après les premières études , aurait besoin d’aller chercher dans ces lieux or
t Antoine dans ce même dialogue, un jeune homme qui ait bien fait ses études  ; si, avec un peu d’usage de l’art oratoire, il a
s formules de rhétorique, ne s’introduiront qu’à propos et comme sans étude et sans dessein dans l’éloquence. Je sais que les
pénètre dans tous les cœurs. Enfin, la conclusion de ce long cours d’ étude sera d’avertir les élèves les mieux instruits, qu
ce qu’ils ont appris : car sans compter, pour l’avocat, cette immense étude des lois ; sans compter, pour l’homme d’État, la
s, dont il doit être plein comme de sa propre substance ; leur grande étude à tous, l’étude de toute leur vie, sera celle des
être plein comme de sa propre substance ; leur grande étude à tous, l’ étude de toute leur vie, sera celle des hommes qu’ils a
es qu’ils auront à persuader, à dominer par la parole ; et pour cette étude , la véritable, la seule école, c’est le monde : n
de tracer, d’après les plus grands maîtres de l’art, on voit que les études de la rhétorique ont trois degrés : que celles de
l’orateur, au philosophe, à l’historien, et au poète ; enfin que les études de la troisième classe, où l’on enseigne expressé
esprits. On peut me demander quel temps je veux que l’on donne à ces études . Le temps qu elles exigeront. Dans les beaux jour
aturel : mais quel serait pour nous le fruit, l’emploi de ces longues études  ? où serait la place de ces talents cultivés avec
e profonde ou à une facile et agréable érudition. Si l’on remet cette étude si pénible à un âge un peu plus avancé, et qu’on
nd nombre de gens superficiels, vient de l’oubli de cette pratique. L’ étude des textes ne peut jamais être assez recommandée 
her de persuader aux hommes. Il veut que l’orateur ait commencé par l’ étude de l’homme en général : qu’après, il se soit appl
pres à le faire vivre en paix et à entretenir la société. Après cette étude générale vient la particulière. Il faut connaître
nnaissance exacte de tous les principes de la morale, mais encore une étude particulière de l’antiquité. Il recommande la lec
style, mais encore pour les faits de l’histoire ; surtout il exige l’ étude des portes, à cause du grand rapport qu’il y a en
ourrait, de temps en temps, faire des essais ; mais il faudrait que l’ étude des bons livres fût longtemps son occupation prin
er des expressions et des figures qu’il n’aurait pu préparer dans son étude . B. Pourquoi ? Un homme s’anime dans son cabinet
ture. L’envie de dire quelque chose de singulier les jette dans cette étude . La diction de Tertullien, qui est extraordinaire
us, messieurs ? point du tout ; Ce n’est pas là, grâce au ciel, notre étude  : Le goût n’est rien ; nous avons l’habitude De r
péré et le sublime. Rollin a suivi cette division dans son Traité des Études  ; et, ce que Cicéron ne dit pas, il prétend que «
sont frères, quoique les artistes soient bien loin de l’être. Dans l’ étude que j’ai faite de l’histoire, j’en ai toujours ti
, on ait traité du fondement des lois en épigrammes. La gravité d’une étude si importante devait avertir l’auteur de respecte
is à peine vous parler de vers. Mon imagination s’appesantit dans des études qui sont à la poésie ce que des garde-meubles som
dire ou à faire dire ce qui semble avoir dû se présenter d’abord sans étude et sans aucun effort de réflexion et de recherche
r véritablement né pour le sublime, et entièrement perfectionné par l’ étude , ce ton de majesté et de grandeur, ces mouvements
beauté, leurs grâces naturelles. Et ce n’est pas sans choix, sans  l’ étude et sans art, mais avec un choix, une étude, un ar
st pas sans choix, sans  l’étude et sans art, mais avec un choix, une étude , un art imperceptible, et d’autant plus difficile
pas du côté de l’expression ? Laissez dire à ceux qui regardent cette étude comme au-dessous d’eux. Qui peut croire avoir plu
e nous, que nous n’étions pas incapables de les concevoir. XLII. Deux études sont importantes : l’éloquence et la vérité ; la
incipes fixes et puisés dans la vérité. Tout continue notre maxime, l’ étude du vrai la première, l’éloquence après. XLIV. Tou
dère un grand maître, on découvre toujours qu’il a profité des bonnes études de ses prédécesseurs, et que c’est justement à ce
53 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
professeur à faire observer ces nuances, à multiplier les exemples. L’ étude des synonymes ainsi conçue est du plus haut intér
lus de plaisir ; il me tient trop tendu, et sa lecture me devient une étude . Tant d’éclairs m’éblouissent ; je cherche une lu
nnonce la santé. Le naturel qu’on dirait venir de prime abord et sans étude demande au contraire un jugement fortifié et un g
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
e : ses plus légères nouvelles sont comme sculptées sur l’airain. Ses études historiques ont une haute valeur, et restent défi
illustre, qui, dans ce siècle où beaucoup de gens n’approuvent que l’ étude des langues modernes, disait avec autant de coura
profonde d’une langue difficile et d’une étonnante richesse, puis des études sérieuses sur toutes les branches de l’archéologi
55 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
amme officiel de l’enseignement secondaire spécial (troisième année d’ études ), et compléter les recueils de M. Léon Feugère po
ure définitive avec cet esprit de critique orgueilleuse et étroite. L’ étude comparée des sociétés et des littératures étrangè
avait vécu de leur temps. Les souvenirs de l’esprit sont acquis par l’ étude  ; les souvenirs de l’imagination naissent d’une i
1815, la vie publique disputa trop souvent M. de Chateaubriand à ses études . Son rôle politique ne fut pas d’ailleurs sans gr
ouvrages qui d’ailleurs n’ajoutèrent rien à sa gloire : c’étaient les Études historiques, rapides ébauches dont quelques brill
[Notice] Le dix-neuvième siècle a été l’âge de renaissance des études historiques. Trop souvent dédaignée au dix-septiè
eloppement. Une cause explique le retour sérieux des esprits vers ces études . La révolution française a posé devant nous des p
ise a été mieux dépeinte. Ce fut par ce scrupule plus exigeant dans l’ étude des faits et la vérité des peintures que les hist
rien. Parmi les noms éminents qui personnifient cette renaissance des études historiques, M. Guizot peut être regardé comme le
ner à l’histoire les couleurs et l’intérêt du drame qu’à retirer de l’ étude des faits les enseignements qu’ils renferment. Né
amnant M. Guizot à une retraite prématurée, l’a rendu tout entier aux études historiques. Semblable à ces orateurs d’une cause
une ambition commune, celle d’entretenir dans la jeunesse le goût des études , la passion du beau et l’enthousiasme pour tout c
rent que doubler sa prodigieuse activité. En 1846 paraissait la belle étude sur l’Éloquence chrétienne au quatrième siècle, q
nt les Souvenirs contemporains d’histoire et de littérature (1856), l’ Étude sur M. de Chateaubriand (1857), l’Essai sur le gé
de la morale, cette expérience de l’homme, ces secrets des passions, étude éternelle des philosophes et des orateurs anciens
ribuer avec art et admirablement ménager. Cet art était pour Buffon l’ étude de sa vie entière, et, s’il définissait le génie
et des chants de sa mère. Il fit des progrès rapides dans toutes les études classiques. À quatorze ans, plus instruit que tou
ur libre et rêveuse. Il la quitta, et se livra de nouveau à de fortes études , à la méditation assidue des chefs-d’œuvre antiqu
ue lui, se précipita plus vite vers la renommée littéraire. Après des études incomplètes et rapides dans le même collège, aprè
xemple du malheur des révolutions. L’un d’eux se dévoue lentement à l’ étude de l’art : sa gloire est obscure, son imagination
[Notice] Né à Paris en 1792, M. Victor Cousin, après de fortes études couronnées par le prix d’honneur de rhétorique, e
pair de France, il profita de cette haute situation pour imprimer aux études philosophiques une nouvelle et vigoureuse impulsi
t, et les loisirs de ces sévères travaux nous valurent les brillantes études sur la société française au dix-septième siècle (
observation approfondie et complète de la nature humaine. C’est par l’ étude attentive et impartiale de l’homme et de ses facu
de la valeur absolue de l’éclectisme, il imprima un nouvel essor aux études d’histoire de la philosophie, et c’est un honneur
âta, on ne peut le nier, la réforme de l’histoire en la rappelant à l’ étude des monuments originaux. D’ailleurs M. Augustin T
M. Augustin Thierry reporta son attention sur le premier objet de ses études , l’Histoire de la conquête d’Angleterre par les N
mouvement politique de notre époque : le goût de la méditation, de l’ étude silencieuse de soi-même, aussi bien que les exige
lard à la Sorbonne, M. Jouffroy poursuivit pendant plusieurs années l’ étude du droit naturel ; mais il faut regretter qu’il n
riques et littéraires, réunis en 1852, forment un ensemble précieux d’ études variées et solides. Des œuvres plus vastes et d’u
ation, son séjour et sa mort au monastère de Saint-Juste. Une série d’ études d’un égal intérêt sur la rivalité de François Ier
rroir, il unissait dès sa première jeunesse cette persévérance dans l’ étude qui est le signe des grandes volontés. L’Éloge de
que, semblait, par la diversité même de ses tendances, prédestiné aux études historiques comme à l’activité de la vie politiqu
me des luttes quotidiennes de la politique militante, poursuivait ses études avec la même ardeur. En 1840, il commençait l’His
M. de Chateaubriand n’a pas craint de le faire dans la préface de ses Études historiques, à la tête de cette école fataliste q
dans la longue carrière de Ducis un jour de désordre ni d’oubli. Ses études achevées, il fut attaché au maréchal de Belle-Isl
appointements, qui ne lui furent pas retirés, il put se livrer à ses études dramatiques. Sa première tragédie imitée de Shake
étiques ne Lardèrent pas à se révéler, et a peine avait-il achevé ses études , qu’il entreprenait avec l’heureuse confiance de
, Qui de nous peut la voir sans quelque émotion ? Ah ! c’est là que l’ étude ébaucha ma raison ; Là je goûtai des arts les pre
des souffrances d’une santé détruite que le poète composa cette belle étude , que les meilleurs juges s’accordent à regarder c
arme et les émotions d’un roman que le sérieux et grave intérêt d’une étude solide. Cette tendance même à tout idéaliser cond
ançaise donnait une mention à sa pièce de vers sur les Avantages de l’ étude , et trois années de suite l’académie des Jeux flo
our ainsi dire, à violer tout rythme et toute mesure. On avait, par l’ étude du moyen âge et des littératures étrangères, agra
t le don des larmes448 ». Né à Paris en 1810, A. de Musset, après des études brillantes, justifiées par un prix de philosophie
tres, à choisir son drapeau et à le soutenir un temps précieux pour l’ étude et la méditation ; il resta lui-même et s’appliqu
l’art antique et moderne, sont plutôt pour Mme de Staël des objets d’ étude morale et de méditation philosophique. 26. C’est
 de Chateaubriand a jeté des vues si neuves sur la littérature, Celle étude des différentes expressions des passions humaines
ome comme otage. 50. . M. Augustin Thierry, dans son livre Dix ans d’ études historiques, a raconté l’impression qu’il éprouva
et sévère de M. Guizot ne laisse rien à désirer ! » 140. Les belles études religieuses de M. Guizot, dont les deux premières
et la force de remplir ce vaste programme, et d’élever à côté de ses études historiques un second monument aussi glorieux pou
se du dix-septième siècle, a dit M. Cousin dans l’avant-propos de son Étude sur Pascal, est presque indéfinissable, et on n’e
oire de mes idées et de mes travaux historiques, préface de Dix ans d’ études . 194. Les cinq premières lettres sur l’histoire
èque, un hôpital, furent aussi tourna pas avec moins de succès vers l’ étude des secrets de la nature : fondés par Franklin à
hie. Son esprit inventif ne se tourna pas avec moins de succès vers l’ étude des succès de la nature : il démontra le premier
a littérature française au dix-huitième siècle, par M. Villemain. Une étude fort bien faite sur le même écrivain a été publié
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
compagnons des champs, ses amis de voyage5 ; Et de paix, de vertus, d’ études entouré, L’exil même avec vous est un abri sacré6
Qui de nous peut la voir sans quelque émotion1 ? Ah ! c’est là que l’ étude ébaucha ma raison ; Là, je goûtai des arts les pr
ermont-Ferrand. 1. Comparez à la pièce de M. Lebrun, le Bonheur de l’ étude , t. II. 2. Le maréchal de Villars disait avoir é
57 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — [Notice] Maurice de Guérin, 1810-1839. » pp. 598-606
itage philosophique pour se fixer à Paris, et s’y vouer à ses goûts d’ étude , sans autre fortune que son talent. Il apprit aux
le l’ardeur singulière de M. Féli1 pour le même labeur ; les heures d’ étude et d’épanchement poétique, qui nous mènent jusqu’
Maurice de Guérin. Didier, Librairie académique. 1. On peut lire une étude sur Maurice de Guérin dans les Portraits d’hier e
58 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
, parce qu’il ne repose pas sur des divisions arbitraires, mais sur l’ étude des lois immuables de la pensée et sur la connais
i les témoins sont nombreux ou suspects. Le bon sens, la réflexion, l’ étude me fournissent mes développements. S’il me fallai
nds hommes de guerre qui l’ont précédé, qui osera prétendre que cette étude sera stérile pour son génie ? De même, si la rhét
moins des notions générales. Que son intelligence, nourrie de fortes études , soit comme une source d’où les développements le
ous connaissons l’esprit fin et délié, mais un rhéteur qui a fait ses études à Athènes, dans les écoles où on apprend à plaide
elle et courante. On acquiert cette justesse et cette propriété par l’ étude de la langue et par la lecture des bons auteurs.
rmes en un seul. Expliquons ceci par un exemple. M. Mérimée, dans son étude de Colomba, une belle œuvre qui rappelle l’Électr
sur le style ne vous apprendront pas plus à parler éloquemment que l’ étude de la logique ne vous apprendra à raisonner juste
59 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
, 5, où cette pensée se rattache aux plus belles considérations sur l’ étude de la nature. Cf. Plutarque, De la Manière d’ente
propos de l’Alceste d’Euripide, dans l’Annuaire de l’Association des études grecques (1873). A la grandeur et à la noblesse.]
60 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217
otre Majesté n’ignore pas qu’il faut, pour l’École polytechnique, des études préparatoires, et je ne m’en suis pas occupé. — Q
n pourrait lui donner une petite place de petit régent ou de maître d’ études . Le temps presse : il a dix-huit ans3. Je sens bi
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Mignet Né en 1796 » pp. 261-264
ans doute pas à craindre pour le pays qui conserve l’amour des nobles études  ; qui, après s’être mis à la tête de la civilisat
voulait s’y livrer aux soins de la culture, et au plaisir des grandes études . — Sismondi est un de nos historiens. (1773-1842.
62 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300
que la botanique est pour les fleurs des champs et des jardins. » L’ étude théorique des figures est done indispensable à to
orique des figures est done indispensable à tout homme bien élevé ; l’ étude pratique l’est plus encore à l’écrivain. Arrêtons
du dessin, mais point de couleur ; il ne faut donc pas en négliger l’ étude . Loin de là ; plus le temps en a rendu l’emploi d
63 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
e désir de les apprendre. Mais sitôt que j’eus achevé tout ce cours d’ études au bout duquel on a coutume d’être reçu au rang d
ne et l’autre étaient des dons de l’esprit plutôt que des fruits de l’ étude . Ceux qui ont le raisonnement le plus fort, et qu
de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l’ étude des lettres ; et, me résolvant de ne chercher plu
64 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
es règles, dans tous les arts de l’imagination, sont le résultat de l’ étude raisonnée des grands modèles : c’est l’Iliade et
eneuil a bien conçu tout le parti qu’un écrivain pouvait retirer de l’ étude et de la connaissance des livres saints, sources
par les beautés de détails, par des traits épars et isolés, que cette étude peut influer sur une composition quelconque ; c’e
’il est rare, et qu’il se trouve offert pour la première fois ici à l’ étude des jeunes gens. LE PATRIARCHE, OU LE VIEUX LABOU
65 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
r être traité à fond, demande des développements considérables et des études toutes spéciales. C’est ainsi que le prêtre doit
22, elle sera encore assez vaste et féconde. Nous abandonnerons à des études spéciales : 1° les conférences, sermons, prônes,
garde contre les surprises et les ruses de l’adversaire. De là cette étude profonde que recommandaient les anciens de l’inté
r but, en consacrant un paragraphe au plaidoyer, de nous jeter dans l’ étude des lois, des règlements de toutes sortes, et des
s, et des arrêts de cour, qui constituent sa jurisprudence. C’est une étude toute particulière à laquelle se dévoue 1’homme q
de la pensée et de la diction en littérature, et c’est à quoi tend l’ étude des trois premiers chapitres de cet ouvrage. La d
, le rhéteur ne peut avoir la prétention de former des poètes. Mais l’ étude de la rhétorique serait incomplète si l’on néglig
iolet. Le lay. Voilà la matière d’un bel et bon volume. J’abandonne l’ étude de tous ces genres aux élèves qui ont des disposi
66 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
d’éloquence grecque, un cours d’éloquence française, font entendre l’ étude de tous les ouvrages en prose, grecs ou français.
vrages où toutes ces parties déjà connues doivent se retrouver. Cette étude fait bientôt juger qu’il y a des règles pour leur
67 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
n dans la rhétorique, comme dans tout le reste. Quoi qu’il en soit, l’ étude de l’homme, considéré géographiquement, en quelqu
. La contemplation intelligente de ces portraits présentera toute une étude de mœurs ; elle aura, pour les siècles passés, le
vait peint, dans l’Odyssée et l’Iliade, le père, le fils, l’épouse. L’ étude des diverses relations naturelles ou sociales con
68 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
étré de tout ce qui vient d’être dit, aura trois objets en vue dans l’ étude de l’expression : se former un style, saisir le t
ous joignez à cette inévitable homogénéité avec ce qui vous entoure l’ étude à peu près exclusive des contemporains, il ne vou
r cette alliance des idées d’aujourd’hui et des formes d’autrefois, l’ étude si utile du modèle compromettra beaucoup moins vo
69 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
’apprendre, parce qu’elle est un don naturel que ni l’expérience ni l’ étude ne sauraient donner, et qui tient à la délicatess
ence. Voyez dans quelles circonstances leur génie s’est développé : l’ étude du passé vous donnera de grandes lumières pour co
la patrie de Montesquieu ? Vous avez fait, je le sais, d’excellentes études littéraires, n’en perdez pas le fruit. Lisez et r
70 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
de persuader les hommes, s’il n’a acquis celui de les connaître. » L’ étude de la morale et celle de l’éloquence sont nées en
stante et intrépide, cet amour invincible de la patrie ; c’est dans l’ étude de la morale qu’il avait reçu des mains de la rai
71 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
ût de l’observation, et le petit volume des Maximes que lui inspira l’ étude des hommes a suffi pour l’immortaliser. Ce n’est
fait la même remarque dans son épître ix : La simplicité plaît sans étude et sans art. Tout charme en un enfant dont la lan
72 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
vent servir qu’à votre récréation, et non pas à faire votre véritable étude . Ainsi je souhaiterais que vous prissiez quelquef
ni le grand poëte : un bon père de famille qui fait de beaux vers. » ( Études littéraires et morales, t. IV, p. 486.)
73 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
rémisses. Exemple : Il faut acquérir des connaissances utiles ; or, l' étude de sa langue maternelle et celle des mathématique
opositions se nomme antécédent, et la seconde conséquent. Exemple : L' étude de sa langue maternelle est d'une utilité indispe
faut accoutumer au silence ; d'impatients, toujours prêts à quitter l' étude pour le jeu, qu'il faut accoutumer à la constance
aux expressions propres, elles manquent de justesse. En parlant de l' étude ou ne dirait pas : les fruits qui en éclosent son
« Mais l'esprit humain produira peu s'il n'a pas été fécondé par l' étude , l'expérience ou la méditation. Et pourtant l'étu
été fécondé par l'étude, l'expérience ou la méditation. Et pourtant l' étude , l'expérience et la méditation ne font ni le gran
ns vu grandir, il n'est sorti que quelques jets superbes, c'est que l' étude et la méditation peuvent seules apprendre quels s
; elle a sa source dans l'intelligence des ouvrages de Dieu et dans l' étude de soi-même et des autres hommes. La morale doit
uche que faiblement. 1. La Rhétorique de Le Clerc, les nouvelles Études françaises par Châteaubriand et Lamartine, et les
74 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
très-sensé, et qu’il ramenât tout au bon sens ; qu’il fît de solides études  ; qu’il s’exerçât à raisonner avec justesse et ex
aisir. Il me tient trop tendu ; la lecture de ses vers me devient une étude . Tant d’éclairs m’éblouissent : je cherche une lu
lus, il y a eu des pays où les mœurs, la forme du gouvernement et les études ont été plus convenables que celles des autres pa
ontraire, les Grecs avaient une très-longue tradition de politesse, d’ étude et de règles, tant sur les ouvrages d’esprit que
au commencement du IIe Dialogue. Voyez aussi dans Rollin, Traité des Études , livre IV, chap I, art. 1, § 3, Jugement des anci
75 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
out un talent ou un don de la nature, la rhétorique est un fruit de l’ étude ou un art ; l’une trace la méthode, l’autre la su
être éloquent, et rien ne serait plus commun que les orateurs. 10. L’ étude des préceptes est indispensable pour tous. Sans d
est presque sûr de triompher. 76. Il est très important de faire une étude sérieuse de ces divers arguments. « La dialectiqu
t les projets de Philippe. Celui qui ne les aurait pas connus par une étude longue et attentive, fût-il zélé, fût-il opulent,
Toutefois, il est d’expérience que la sensibilité se développe par l’ étude , par la réflexion et surtout par la pratique des
ns vive chez les différents hommes, mais qui peut être fécondée par l’ étude et le travail de la composition ; on la fortifie
ce défaut, exercez votre jugement par des lectures réfléchies, par l’ étude et l’analyse des bons auteurs, et n’admettez jama
provient de ce qu’on n’a pas encore enrichi son intelligence par des études suffisantes, il faut lire beaucoup, méditer beauc
d’hui d’usage de traiter du style avant d’initier les jeunes gens à l’ étude de l’art oratoire, et ces questions ont été dével
ans la sienne. 311. La deuxième source de l’éloquence sacrée, c’est l’ étude des Pères de l’Église. Les Pères de l’Église, dit
t fortifier son discours. La dialectique, la rhétorique, et surtout l’ étude du cœur humain, sont des ressources précieuses po
on du sujet et la préparation du discours. Parler sans avoir fait une étude sérieuse de la question qu’on veut traiter, c’est
ns ce genre, et elles présentent à nos orateurs de tribune un objet d’ étude plus utile que les plus beaux chefs-d’œuvre de Ci
, les Romains donnèrent aussi plus de soin à la forme oratoire qu’à l’ étude du droit. 395. L’éloquence du barreau a rarement
truire son règne. Cet homme donc au comble de sa gloire, initié par l’ étude aux siècles passés, et par sa vie au siècle dont
breuvés de tant d’amertumes, où est notre loisir pour nous livrer aux études et aux méditations profondes, dans lesquelles nos
t On peut intéresser par un langage vrai, sympathique, varié, par des études de mœurs bien faites, par des traits piquants, pa
? 9. Les préceptes seuls peuvent-ils rendre un homme éloquent ? 10. L’ étude des règles est-elle nécessaire pour tous ? 11. Le
lle nécessaire pour tous ? 11. Les modèles peuvent-ils dispenser de l’ étude des règles ? 12. De quelle manière faut-il étudie
des règles ? 12. De quelle manière faut-il étudier les règles ? 13. L’ étude de la rhétorique n’est-elle pas utile pour toutes
léments de littérature, art. Éloq., t. II, p. 32-48 ; Laurentie, De l’ Étude et de l’enseignement des lettres, 1re édit., p. 2
11. Auteurs à consulter : Quintilien, l. XI, c. i. Rollin, Traité des Études , l. III, ch. iii, § vi ; Maury, Essai, LIV ; le P
; Girard, l. v ; Cormenin, Livre des orateurs, l. I, ch. x ; Bautain, Étude sur l’art de parler en public, 1re partie, ch. iv
Éloquence chrétienne ; Maury, Essai sur l’éloquence ; Laurentie, De l’ Étude et de l’enseignement des lettres, ch. xii ; Corme
menin, Livre des orateurs, toute la première partie ; Laurentie, De l’ Étude et de l’enseignement des lettres, ch. xi ; Amar,
e. 40. Auteurs à consulter : Quintilien, l. XII ; Rollin, Traité des études , l. IV, ch. i ; Blair, 4  part., leç. xxviii ; Ma
arreau ; Crevier, 1re  part., Maury, Essai, xiii-xv ; Laurentie, De l’ Étude et de l’enseignement des lettres, ch. xi ; Cormen
ilon, Rhétorique française, 3e part., ch. iii et iv ; Laurentie, De l’ étude des lettres, ch. xiii et xiv ; Cormenin, Livre de
76 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Boileau 1636-1711 » pp. 401-414
x, joint à loisir, forme une alliance de mots juste et piquante. 3. Étude est ici synonyme de soin, occupation. 4. Ce vers
semblaient avocats et plaideur. 3. Ce mot signifie les papiers d’une étude de procureur. 4. Étique, maigre, exténuée par l
aisir ; il me tient trop tendu, la lecture de ses vers me devient une étude . Tant d’éclairs m’éblouissent ; je cherche une lu
77 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
nce et de volonté courageusement soutenue pendant vingt-cinq années d’ études , ce beau travail est un exemple considérable dans
uve. La troisième4 sorte de critique choisit, parmi tous les objets d’ étude qu’offrent les lettres, une question qu’elle trai
valent les mots dont nous nous servirons à notre tour. Il faut que l’ étude les place dans la mémoire de l’écrivain, qui les
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
et de Saint-Bernard, Henri-Dominique Lacordaire termina de brillantes études vers l’époque où tombait l’empire : son cœur ress
Sage de la grande armée. Le jeune Drouot s’était senti poussé vers l’ étude des lettres par un très-précoce instinct. Agé de
79 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »
ie de sa langue, et d’en tirer le meilleur parti possible. Mais cette étude ne doit point dégénérer en une recherche puérilem
nexpérience des jeunes gens dans leurs propres compositions et dans l’ étude des orateurs, il nous semble que l’on peut les ré
80 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
2-1673.) [Notice] Né à Paris en 1622, Molière, après de bonnes études terminées dans le collége des jésuites, devenu de
son Histoire de la littérature française ; et M. Bazin, auteur d’une étude où sont réfutées bien des erreurs sur les commenc
81 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE I. De la propriété des mots. » pp. 2-8
pour nous faire comprendre toute l’importance qu’il faut attacher à l’ étude des étymologies4. Ce sont elles en effet qui rédu
radicaux. Ce sont elles aussi qui répandent le plus d’intérêt dans l’ étude des langues, en nous faisant remonter à l’origine
82 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
ces topiques ou lieux communs. Les personnes qui penseraient que leur étude fût pour elles de quelque utilité, pourraient con
qui ne cherche qu’à plaire en amusant, doivent en faire l’objet d’une étude attentive. En effet, toutes les fois que l’on adr
ent de ce ton naturel, pour prendre une manière affectée qui décèle l’ étude . Il est ridicule de croire que dès que l’on monte
re le principal guide dans cette partie du débit oratoire, l’art et l’ étude peuvent cependant contribuer beaucoup à son perfe
vail et l’application corrigent, en grande partie, les défauts. Cette étude doit avoir surtout pour objet de réformer les mou
plus propres à se perfectionner dans l’art de l’éloquence, et sur les études préparatoires auxquelles il convient surtout de s
elle veut que l’art fasse davantage encore ; et il est certain que l’ étude contribue bien plus au perfectionnement du génie
que ne pourra jamais atteindre l’orateur qui ne s’est point livré à l’ étude du style, de la composition et du débit. Homère n
i l’ont précédé dans la carrière. Le prédicateur doit s’appliquer à l’ étude de la théologie, de la religion pratique, de la m
s le lui permettent, cultiver toutes les parties de la littérature. L’ étude de la poésie pourra contribuer à embellir son sty
ingué. Ce n’est point une application momentanée, ou quelques légères études qui peuvent y conduire : non, l’on n’y atteint qu
ourd’hui marcher sur leurs traces. Les jeunes gens qui se livrent à l’ étude de l’art oratoire doivent éprouver cet honorable
s’allume alors, leur âge mûr sera sans chaleur. En quatrième lieu, l’ étude attentive des meilleurs modèles contribue beaucou
omposition, soit pour le débit, ne puisse tirer un heureux parti de l’ étude des, meilleurs exemples ; cette étude ouvre toujo
sse tirer un heureux parti de l’étude des, meilleurs exemples ; cette étude ouvre toujours quelque idée nouvelle, ou développ
ssi dangereuses, car on pourrait tirer les plus grands avantages de l’ étude de son style. Cinquièmement. Ce n’est pas assez d
unes gens forment dans la louable intention de se livrer ensemble à l’ étude de l’éloquence, ont encore besoin d’être bien dir
tiles, et que toujours ils aient quelques rapports soit à l’objet des études , soit à la morale, soit au bon goût, soit enfin a
ve. Il nous reste maintenant à examiner de quelle utilité peut être l’ étude des traités de critique et de rhétorique pour ceu
s nos temps modernes, l’art oratoire n’avait jamais été l’objet d’une étude très suivie. Cet art n’a pas, dans nos gouverneme
nt laissé de bon et de mauvais, suffirait pour dégoûter à jamais de l’ étude de l’éloquence. Les Français ont en ce genre un p
avocat. Il serait difficile de trouver un auteur qui ait appliqué à l’ étude de l’art oratoire plus de goût et de jugement que
re industrie, sont toujours pauvres. Qui nous dira, ajoute-t-il, si l’ étude n’éteint point le génie de l’invention chez un ho
siècle d’Auguste. Qu’il me soit donc permis de recommander vivement l’ étude des anciens classiques de la Grèce et de Rome à c
plan général ; il compare la faible instruction que l’on retire de l’ étude des faits isolés qu’on ne rapporte point à des co
n sera convaincu qu’on ne saurait se livrer avec trop d’attention à l’ étude des règles du style et de la composition. Outre l
ue l’on met en avant par des citations empruntées à l’histoire ou à l’ étude du cœur humain. Les sujets de morale et de politi
trop grande délicatesse dans le choix des mots décèle le travail et l’ étude  ; aussi doit-on éviter avec soin les phrases harm
n peut reprocher une manière trop affectée. Il y a visiblement plus d’ étude et bien moins d’épanchement dans les lettres qu’i
e fut d’abord dur et grossier ; il plaisait cependant ; on en fit une étude , et, par degrés, la versification devint un art.
r à la mémoire les événements passés. Les hommes livrés désormais à l’ étude de la politique et au perfectionnement des arts u
siècles postérieurs, l’on eut fait de la poésie un art régulier, à l’ étude duquel on se livra pour acquérir de la gloire et
r véritablement né pour le sublime, et entièrement perfectionné par l’ étude , ce ton de majesté et de grandeur, ces mouvements
l’abondance de Platon, et la douceur d’Isocrate. Mais ce n’est pas l’ étude qu’il en a pu faire qui lui a donné ce qu’il y a
ommencement du seizième siècle, à Kellern, comté de Lénox, et fit ses études à Paris. Il mourut en 1582, laissant une Histoire
re on le touche. Le reproche qu’on lui fait quelquefois, de manquer d’ études , est le plus grand éloge que l’on puisse lui donn
83 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
il ne remplira jamais dignement son ministère. Une longue et sérieuse étude de la théologie, qui n’est autre chose que la sci
grande simplicité en fait le mérite. Cet homme, qui après une longue étude des lettres françaises et surtout des latines, co
 XV. Voici à peu près ceux dont les jeunes Orateurs peuvent faire une étude particulière. Les Sermons du P. Segaud offrent un
e prêter ; les dépositions des témoins qui ont été entendus, etc. Une étude encore importante, à laquelle l’Orateur du barrea
ne connaissions que de nom Hypéride, dont Cicéron, qui avait fait une étude particulière des orateurs grecs, vante la justess
qu’étrangères, tant anciennes que modernes, On doit donc juger qu’une étude réfléchie de l’histoire est ici absolument nécess
84 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
les âges, les conditions12. De là, pour l’orateur, la nécessité d’une étude très longue et très délicate du cœur humain, étud
la nécessité d’une étude très longue et très délicate du cœur humain, étude dont nos grands orateurs sacrés nous donnent à to
il ne remplira jamais dignement son ministère. Une longue et sérieuse étude de la théologie lui est indispensable pour distin
ces autres lieux extérieurs que nous avons indiqués précédemment. Une étude encore importante à laquelle l’avocat doit s’appl
ur son chef-d’œuvre ; mais presque tous ses discours sont dignes de l’ étude et de l’admiration des érudits. En France, le bar
te de manuel ou de vade-mecum pour les jeunes gens qui se livrent à l’ étude de l’éloquence. Chez nous, l’éloquence politique
85 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152
autant d’efforts que de gloire. Auparavant, Buffon s’était livré à l’ étude des sciences : son puissant génie s’attacha dès l
-six volumes furent publiés jusqu’en 1788. On sait quelle impulsion l’ étude des sciences naturelles a reçue de cet ouvrage ;
86 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
enacé d’ostracisme dans les écoles officielles par la bifurcation des études , pour employer une expression presque aussi barba
s de littérature auquel vous avez consacré vos talents et vos longues études , j’ai fait examiner avec soin cet important ouvra
87 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
dez des conseils ; il ne vous en faut point d’autre que votre goût. L’ étude que vous avez faite de la langue italienne doit e
mer simplement et noblement sa pensée sans effort. Ce n’est point une étude  ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est b
aisir : il me tient trop tendu, la lecture de ses vers me devient une étude  ; tant d’éclairs m’éblouissent ; je cherche une l
88 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
’un père qui y représentait la France comme consul, fit d’excellentes études au collége de Navarre, où avaient été élevés jadi
ie et féconde imitation de l’antiquité doit avant tout, reposer sur l’ étude attentive des chefs-d’œuvre qu’elle nous a transm
89 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
destinée suivie avec une rare constance, et vouée tout entière à des études de prédilection. « Il aurait pu être ministre à s
ans doute pas à craindre pour le pays qui conserve l’amour des nobles études  ; qui, après s’être mis à la tête de la civilisat
90 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
du prosateur comme du poète, tel qu’il devint au siècle suivant, et l’ étude du grec, disons-le, des chefs-d’œuvre grecs, plus
usion. Exemple : il faut aimer ce qui contribue à notre bonheur. Or l’ étude contribue à notre bonheur, donc il faut aimer l’é
e bonheur. Or l’étude contribue à notre bonheur, donc il faut aimer l’ étude . Enthymème. Le syllogisme (du grec συλλογισ
mmées, la première antécédent, et la deuxième conséquent. Exemple : l’ étude contribue au bonheur, donc il faut aimer l’étude.
séquent. Exemple : l’étude contribue au bonheur, donc il faut aimer l’ étude . Dans l’ordre inverse : il faut aimer l’étude, ca
r, donc il faut aimer l’étude. Dans l’ordre inverse : il faut aimer l’ étude , car elle contribue au bonheur. Aristote l’appell
vient de faire des arguments divers, est une preuve suffisante que l’ étude de la logique est indispensable à l’orateur. Or l
s expérience ; ou si ce faible mérite me vient de mon application à l’ étude des beaux-arts, pour laquelle je conviens qu’à au
pour prouver que le jeune homme n’a pu, en même temps, s’adonner à l’ étude , si pénible, si attachante, de l’éloquence et se
jets qu’on veut peindre, aux ressorts qu’on veut mettre en jeu, par l’ étude approfondie du cœur humain, le commerce des homme
les mouvements mêmes, les plus convenables, que lui ait pu suggérer l’ étude des passions, n’apparaîtront qu’à l’état de masse
é, Jadis à tout son siècle a dit la vérité, Qui mit à tout blâmer son étude et sa gloire, A pourtant de ce roi parlé comme l’
dénote, de la part de l’écrivain, un tact qui trouve sa mesure dans l’ étude approfondie du cœur. Virgile (Én., X, 392), à pro
élégance recherchée. Il n’y entendit point cette éloquence frivole, l’ étude et le charme des hommes futiles. Que vit donc Cyn
ment. Aussi les meilleurs sont-ils toujours les plus naturels et leur étude même, celle de la nature, à qui seule il est donn
91 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
ligibles pour des générations illettrées ; et nous savons aussi que l’ étude de l’idiome Roman fut imposé au clergé par le con
le cours du xiiie  siècle. La langue vulgaire profita du progrès des études qui florissaient dans les écoles. Plus discipliné
ir de notre sujet. Hâtons-nous d’y revenir, en terminant cette rapide étude par l’esquisse des caractères particuliers au xvi
92 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117
azouille, il perche, il rêve la nuit qu’il mue ou qu’il couve2. L’ étude des langues L’on ne peut guère charger l’enfa
profonde, ou à une facile et agréable érudition. Si l’on remet cette étude si pénible à un âge un peu plus avancé, et qu’on
voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes livres, mes études , mon ouvrage, cette ligne qui est commencée ? Que
93 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
lus aux champs et aux camps qu’à la ville ; on bornait sa science à l’ étude des douze tables, sa philosophie à l’observation
ommerce ou de guerre, l’Athénien concentre toutes ses facultés dans l’ étude des mœurs et des institutions de sa patrie. Il ap
et profit. Mais d’abord il a été fait : les analyses abondent, et les études , et les dissertations, et les éloges. Et puis que
94 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux parties du sujet  » pp. 64-74
nner trop de perfection à la rhétorique, ils en font, en réalité, une étude insignifiante et puérile. » Nous avouons avec Bl
velopper et démontrer une vérité. Bernardin de Saint-Pierre, dans les Études de la nature, cherche-t-il à prouver que le senti
95 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
armontel, Fénélon, Clément xiv se font lire, mais leur travail sent l’ étude  ; l’esprit y perce partout et détruit la perfecti
ivées. C’est la lettre missive ; c’est le genre de composition dont l’ étude porte ses fruits pendant toute la vie, et à ce po
96 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
ne se conserve dans son innocence ni par la crainte des lois ni par l’ étude de la sagesse ; pour bien faire, il suit simpleme
un tapissier du roi, élevé au collège de Clermont, puis dirigé vers l’ étude du droit, Jean-Baptiste Poquelin suivit son étoil
ue Dieu regarde le plus362. La lecture Il faut considérer que l’ étude est la culture et la nourriture de notre esprit36
z pas, monseigneur585, qu’on vous reprenne si sévèrement, pendant vos études , pour avoir simplement violé les règles de la gra
entendre des harangueurs qui ne voulurent rien perdre de toutes leurs études passées, et qui prétendirent se mettre en réputat
int vous tenir autant à cœur qu’elles font. Vous êtes engagé dans des études très-sérieuses qui doivent attirer votre principa
ter tout ce qui peut dissiper votre esprit et vous détourner de votre étude Non-seulement votre conscience et la religion vou
flot survient et l’abîme ; on ne le revoit plus, il est noyé788, L’ étude des langues L’on ne peut guère charger l’enfan
profonde, ou à une facile et agréable érudition. Si lion remet cette étude si pénible à un âge un peu plus avancé, et qu’on
a discrétion que lui donnait la connaissance de leur caractère, que l’ étude et l’expérience lui avaient acquise, pour les deg
nt quand on se rencontre ensuite dans le monde1082. Le temps de leurs études était sur le point de finir, quand un tailleur ap
is apprendrait à danser1092. On imagine bien qu’éloigné de toutes les études qui doivent occuper un jeune homme, il fut bientô
us, prévenez celles qui peuvent vous attaquer. Puisque vous chantez l’ étude avec tant d’esprit et de courage, ayez aussi le c
dez des conseils ; il ne vous en faut point d’autre que votre goût. L’ étude que vous avez faite de la langue italienne doit e
mer simplement et noblement sa pensée sans effort. Ce n’est point une étude  ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est b
sa jeunesse, il se faisait réveiller avant l’aube pour se mettre à l’ étude . Toutes les sciences le passionnaient. Après deux
nces que ce procureur ne se pressait pas d’acquitter. Il entre dans l’ étude sans façon ; il s’adresse au procureur honnêtemen
tout entiers, nous rendait incapables de toute application, de toute étude , que nous étions presque en délire, et que, ne sa
dans les affaires, qui est le plus instruit par l’expérience ou par l’ étude  ; ce n’est ni un savant, ni un politique, ni un o
s1418 de leurs connaissances, et le fruit de leurs longues veilles. L’ étude d’une vie entière s’y peut recueillir dans quelqu
en moi qu’un homme constamment gai ; aimant avec une égale passion l’ étude et le plaisir ; enclin à la raillerie, mais sans
maladie noire causée par ses épreuves et ses mécomptes, il publia les Études de la nature (1784), œuvre originale qui le rendi
otre Majesté n’ignore pas qu’il faut, pour l’École polytechnique, des études préparatoires, et je ne m’en suis pas occupé. — Q
n pourrait lui donner une petite place de petit régent ou de maître d’ études . Le temps presse : il a dix-huit ans1514. Je sens
litaire, peu discipliné, assez récalcitrant, et plus passionné pour l’ étude du grec que pour son métier de soldat. Après la c
de l’homme sont en possession de nous inspirer1651 ? (Méditations et études morales), Portraits de deux frères Henri et
isé français sur une terre étrangère, a cherché et cru trouver dans l’ étude une renommée comparable à celle de ses habiles co
passion le suivit dans sa retraite dont il charma les loisirs par des études historiques, où les vues pénétrantes mais parfois
des autant qu’immuables. Ma vie, j’ose le dire, a donc été une longue étude historique, et si on en excepte ces moments viole
tres favoris avec leur tour d’esprit et presque dans leur langue. Ses études sont inspirées par la passion des livres, l’amour
ntiers l’humoriste du bon sens. Il faut se connaitre soi-même. L’ étude de l’homme1724 est une étude immense ; mais l’hom
s. Il faut se connaitre soi-même. L’étude de l’homme1724 est une étude immense ; mais l’homme est partout le même. Les n
parce qu’une âme se connaît et que l’univers ne se connaît pas1731, l’ étude de l’âme ne sera-t-elle pas toujours la première
de l’âme ne sera-t-elle pas toujours la première et la plus noble des études  ? Compter les astres dans le ciel, chercher dans
et de Saint-Bernard, Henri-Dominique Lacordaire termina de brillantes études vers l’époque où tombait l’empire : son cœur ress
ïvement, sans songer au spectateur qui les regarde et les écoute. Ses études historiques ont une haute valeur, et restent défi
on du Belvédère : l’artiste offensé ne répondit que par cette larme. ( Etude sur Virgile, Garnier frères.) La Fontaine P
nce et de volonté courageusement soutenue pendant vingt-cinq années d’ études . Au lieu de flatter les goûts dominants qui récom
d’un lucre immédiat dès la sortie du lycée. L’esprit, sous prétexte d’ études pratiques, se laisse attacher comme le bœuf au si
la convoitise. Heureux celui qui se souvient un jour qu’il a fait des études , et qui, dans un moment où il est accablé de son
esprit1841. (Discours au lycée Charlemagne.) Le profit des bonnes études Pour que la culture de l’esprit produise ses f
sprit a de pénétration, tout ce que votre âme a d’ouverture. Si par l’ étude patiente de ce que leurs paroles expriment ou cac
llard abcécédaire ! dit Montaigne ; on peut continuer en tout temps l’ étude , non par l’Escholage. 253. M. Jourdain est ici
les paroles, et une heureuse facilité, qui est le fruit d’une longue étude . On ne peut rien ajouter à ce qu’il écrit sans y
Extravagance. Montesquieu emprunte ce trait à Saint-Evremond. (Voir l’ Etude sur cet écrivain, par Gustave Merlet.) 1068. Tém
puis elle a été mis à découvert par des fouilles successives. Lisez l’ étude de M. Beulé (Drame du Vésuve : Revue des Deux-Mon
n’étaient pas de bons ergoteurs. » 1657. Didier. — Méditations et Études morales, p. 312. Comparez aux pages de la Rochefo
e pouvait nous rappeler au respect des lois du beau, à l’amour et à l’ étude des modèles, ce serait cette critique qui semble
commentaires de César. 1677. Pensées de Marc Aurèle. Lisez une belle étude de M. Martha, dans Les moralistes sous l’empire (
voulait s’y livrer aux soins de la culture, et au plaisir des grandes études . 1699. Le 18 février 1587. Comparez à cette page
nt le plus besoin pour adoucir l’amertume de leur vie. Il n’y a que l’ étude et les connaissances qui élèvent les hommes à l’h
97 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
icare1. Quintilien, Inst. orat., X, 1. [Préface.] Les plans d’ études les plus récents de l’enseignement secondaire ont
. Rien n’était plus efficace, selon le judicieux auteur du Traité des études , pour donner aux jeunes gens de bons principes et
duit de plus parfait ; et ce sera là, nous l’espérons, le fruit d’une étude attentive de ces recueils, conçus dans un dessein
aisir : il me tient trop tendu, la lecture de ses vers me devient une étude  ; tant d’éclairs m’éblouissent : je cherche une l
relus, ils se font toujours redemander ; leur lecture n’est point une étude , on s’y repose, on s’y délasse. Les ouvrages bril
rer de plus importantes réformes. Non content d’élargir le cercle des études , en fortifiant celle des langues classiques et pa
. Il mourut à Paris en 1741. Rollin fait hommage de son Traité des études aux chefs de l’Université. 1. Après avoir témo
rmer des poètes et des orateurs parfaits ; elle veut seulement, par l’ étude de l’antiquité, jeter dans l’esprit des jeunes ge
après m’avoir formé par de salutaires leçons pendant le cours de mes études , après m’avoir fait passer par les différents deg
règne pareillement le goût épuré de la saine éloquence. Traité des Études 288 : préface. Massillon (1663-1742.) [N
ez des conseils ; il ne vous en faut point d’autres que votre goût. L’ étude que vous avez faite de la langue italienne doit e
mer simplement et noblement sa pensée sans effort. Ce n’est point une étude  ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est b
autant d’efforts que de gloire. Auparavant, Buffon s’était livré à l’ étude des sciences : son puissant génie s’attacha dès l
suites de Marseille, il s’était déjà tracé à lui-même un vaste plan d’ études qui embrassait, avec les langues classiques, l’hé
oque, on a pénétré plus avant, non sans intérêt et sans fruit, dans l’ étude des premiers monuments du génie français ; mais n
uen, que sa famille avait élevé pour le barreau, et qui préférait à l’ étude des lois le travail de la composition et des vers
1673.) [Notice.] Né à Paris en 1622, Molière, après de bonnes études terminées dans le collège des jésuites, devenu de
tions qu’on fait, Elle sache ignorer les choses qu’elle sait : De son étude enfin je veux qu’elle se cache, Et qu’elle ait du
l’œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaie
uteur. Suivant d’autres, qui paraissent mieux instruits, à la suite d’ études soignées et complètes, il aurait porté quelque te
e et sur le théâtre, et jusqu’à sa mort (1734) ne s’occupa plus que d’ études théologiques, Sa vie avait été assez régulière et
’un père qui y représentait la France comme consul, lit d’excellentes études au collège de Navarre, où avaient été élevés jadi
d’écrivains, les plus remarquables de tous. Les personnes amies de l’ étude reconnaîtront ensuite aisément quels sont ceux qu
ui a donné une édition nouvelle des Pensées de Pascal, précédée d’une étude  ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un liv
le de M. Sainte-Beuve (Revue des deux mondes, 1er juillet 1836), et l’ étude publiée par M. Walckenaer en tête des Caractères,
i colorari. » 288. Les critiques contradictoires dont le Traité des Études fut l’objet, lorsqu’il parut de 1726 à 1728, l’ho
adjectif conforme à son étymologie latine (stupere). 322. Dans cette étude profonde de l’antiquité romaine (1734), chef-d’œu
était l’épouse d’Aridée. 329. En offrant ce morceau pathétique à l’ étude de la jeunesse, on ne dissimulera pas qu’aux gran
-six volumes furent publiés jusqu’en 1788. On sait quelle impulsion l’ étude des sciences naturelles a reçue de cet ouvrage ;
l’excellent traducteur de Plutarque, et dont Rousseau avait fait une étude très profitable. 407. Ce désenchantement de la s
ar lui-même sa valeur, et son théâtre et sa langue offrent encore une étude digne d’intérêt. Voltaire, qui a rapproché sa tra
son Histoire de la littérature française ; et M. Bazin, auteur d’une étude où sont réfutées bien des erreurs sur les commenc
gnis Burrhus. Ce qui fait l’intérêt moral de cette tragédie, c’est l’ étude profonde du la lutte d’une nature perverse contre
en aucune façon l’agrément. M. Saint-Marc Girardin lui a consacré une étude pleine d’intérêt dans le ch. 21 de son Cours de l
z les modernes ses prédécesseurs. Il a particulièrement trouvé dans l’ étude intelligente des étrangers, qu’il a dénigrés parf
98 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « À mes anciens élèves de l’école militaire de Paris. » pp. -
’ils s’appliquent, comme vous vous êtes appliqués vous-mêmes, à cette étude des Belles-Lettres, ils n’y fassent les mêmes pro
99 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
Corneille et Racine n’ont-ils pas profité d’une manière éclatante des études qu’ils ont faites sur les auteurs anciens ? Fénel
té d’une manière solide, il existe un art qui doit être l’objet d’une étude sérieuse ; cette étude, c’est la logique. Il ne n
, il existe un art qui doit être l’objet d’une étude sérieuse ; cette étude , c’est la logique. Il ne nous appartient point ic
omprendre les différents caractères de ses auditeurs, et de faire une étude spéciale et profonde du cœur humain. C’est en cel
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
, on ne dit pas assez ; et de peur d’être trop simple, on se fait une étude de devenir obscur. Rien de plus mal entendu que c
un air facile et naturel, qui, sans nuire à la correction, déguise l’ étude et la gêne. Le point essentiel et difficile est d
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