sure de ses biens plus grande que celle de ses maux. Sans toi, jouets
éternels
du sort, nous passerions dans les pleurs les Long
rroux formidable ; Et son affreuse profondeur. Des desseins
éternels
l’abîme impénétrable. Comme Dieu, en son sein, pa
certains, qu’un plaisir peu tranquille ; Des soucis dévorants c’est l’
éternel
asile, Véritables vautours que le fils de Japet R
récolte ; l’autre, qui jouit de l’héritage de ses pères, souhaite une
éternelle
paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des c
s’appellent encore Prémisses. Premier exemple : Majeure. Ce qui est
éternel
ne passe point ; Mineure. Or, nous savons que Di
i est éternel ne passe point ; Mineure. Or, nous savons que Dieu est
éternel
: Concl. Donc, Dieu ne passera point. Deuxième e
ez ma douleur. Cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source
éternelle
. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils
dain ce fléau qui, prolongeant sa rage, Grave au front des humains un
éternel
outrage. D’un mal contagieux tout fuit épouvanté
sein concerté dans un conseil plus haut, c’est-à-dire dans ce conseil
éternel
qui renferme toutes les causes et tous les effets
enait auparavant un si beau rang parmi les étoiles. Mon Dieu, lumière
éternelle
, c’est la figure de ce qui arrive à mon âme, quan
ette action empressée et tumultueuse ; ils s’abîment dans un commerce
éternel
d’intrigues et de visites, qui ne leur laisse pas
contraire ce qui les engage. Car au lieu d’aller à un bien solide et
éternel
sur lequel le hasard ne domine pas, et de méprise
! Ce qu’il y a d’assuré, c’est la peine de tes rapines, la vengeance
éternelle
de tes concussions et de ton ambition infinie. O
e de crimes, tu crains avec raison l’immortalité qui rendrait ta mort
éternelle
! Mais voici en la personne de Jésus-Christ la ré
quelque reste de nos travaux, et n’arriver pas sans ressource à notre
éternelle
demeure, avec le roi de la terre, il faut encore
ne, au milieu de sa cour : Sire, elle est digne de votre audience4. O
éternel
Roi des siècles ! vous êtes toujours à vous-même,
s oraisons funèbres ; mais Bossuet renouvelle sans cesse ces sujets d’
éternelle
méditation. 2. Ces mouvements partent du cœur. I
en amusements frivoles un temps qui peut être le prix de notre salut
éternel
, et de laisser aller en fumée l’espérance de notr
e nous sachions ce que nous sommes, nous nous formons des engagements
éternels
, et arrêtons ce que nous devons être pour toujour
n jour pour éviter ce malheur et changer la rigueur de notre sentence
éternelle
; et ce jour unique, et ce jour rapide, nous le p
te éternellement, et triomphe enfin de ses ennemis, parce qu’elle est
éternelle
et puissante comme Dieu même. » Nous lisons dans
en amusements frivoles un temps qui peut être le prix de notre salut
éternel
, et de laisser aller en fumée l’espérance de notr
es hommes cherchent en vain dans le dérangement et dans une agitation
éternelle
. » La Bruyère a dit : « L’ennui est entré dans
n jour pour éviter se malheur et changer la rigueur de notre sentence
éternelle
; et ce jour unique, et ce jour rapide, nous le p
nts suprêmes ? Un sépulcre funèbre, où vos noms, où vous-mêmes Dans l’
éternelle
nuit serez ensevelis. Les figures touchantes ou
Et les flammes qui l’environnent, Sont ses vêtements
éternels
. Ainsi qu’un pavillon tissu d’or et de soie. Le
vole, La terre en silence frémit. Du seuil des portes
éternelles
, Des légions d’esprits fidèles À
nt pour déshonorer son nom, et tomber au sortir de là entre les mains
éternelles
de sa colère et de sa justice. » Celui-ci est la
us temps : il voit la gloire qui l’opprime : Il tombe enseveli dans l’
éternel
abîme… Et loin des voluptés où fut livré son cœur
fin de son espoir. Mais il n’a plus besoin de foi ni d’espérance : Un
éternel
amour en est la récompense. Tout ce qu’on pourra
vert quelque vérité morale non équivoque, ou ressaisi quelque passion
éternelle
dans ce cœur où tout semblait connu et exploré ;
quêtes de l’art et du génie, et qu’impatiente, qu’ennuie à la fin cet
éternel
passé qu’on déclare inimitable, veuillez y songer
s ont les premiers reproduites glorieusement, conservent ce privilége
éternel
de ne pas vieillir, ce sort un peu sombre, mais f
et durables, les âges futurs verront se confirmer à chaque épreuve l’
éternelle
jeunesse. (Nouveaux Lundis. Édition Michel Lévy.)
vous tendraient les bras, afin de vous recevoir dans les tabernacles
éternels
! Ah ! si vous aviez soulagé leurs maux, si vous
sse dans le trésor de la sagesse divine qui subsiste toujours. O Dieu
éternel
! quel sera mon étonnement, lorsque le juge sévèr
tte action empressée et tumultueuse ; ils s’abîment dans un commerce1
éternel
d’intrigues et de visites, qui ne leur laisse pas
toi. Le coup est lâché ; l’enfer n’est pas loin de toi ; ses ardeurs
éternelles
nous touchent de près, puisque nous en avons en n
dée : « Si vous voulez voir, chrétiens, des peintures de ces gouffres
éternels
, n’allez pas rechercher bien loin ni ces fourneau
aquilon ni la froidure : Dans son temps il donne des fruits, Sous une
éternelle
verdure Par la main de Dieu reproduits. (Lefranc
parlent en vain ? 138 … Celui qui fait sa demeure Dans les royaumes
éternels
; Qui suit en tous lieux, à toute heure, Les pas
s amusent les idoles Sur eux prêtes à s’écraser. …………………………… 139Fils
éternel
comme ton père, Je t’engendrai pour les humains.
oilà sans flatteurs, sans cortège, et perdu Dans les ténèbres
éternelles
! Les Juifs reprennent la parole, et insultent,
à tous les artifices Des enfers conjurés. Règne, ô Père
éternel
, Fils, sagesse incréée ; Esprit saint
dent leurs délices Sur tes seules bontés. Règne, ô Père
éternel
, Fils, sagesse incréée, Esprit saint,
, Céphise, à cette nuit cruelle, Qui fut pour tout un peuple une nuit
éternelle
; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entra
destinez-vous l’appareil qui vous suit ? Venez-vous m’enlever dans l’
éternelle
nuit ? Venez, à vos fureurs Oreste s’abandonne. M
oit venir du haut des montagnes apporter la paix2, annoncer les biens
éternels
, prêcher le salut, et dire : O Sion, ton Dieu rég
rs avec tant de fatigues et de périls, pour vous faire part de la vie
éternelle
qu’ils ont découverte ? Nations ensevelies dans l
ce qu’on voudrait pouvoir mépriser. On ne peut forcer. cette barrière
éternelle
de la vérité et de la justice. Le maître intérieu
est commune à tous les hommes, supérieure à eux ; elle est parfaite,
éternelle
, immuable, toujours prête à se communiquer en tou
t que le corps. Il faut songer à rajeunir en Jésus-Christ pour la vie
éternelle
, et laisser vieillir cet homme extérieur, qui est
pensée de l’homme à la pensée de Dieu. » 1. Le peuple juif mérite l’
éternelle
reconnaissance du genre humain pour avoir conserv
là pourquoi l’immensité de l’espace, l’infini des nombres et la durée
éternelle
, remplissent l’âme de si grandes idées. La source
es relatives à la Divinité. Ouvrez Milton : …………………………… Eh ! voyez l’
Éternel
Prendre au sein de la nuit un air plus solennel.
attacher à des mérites de forme, quand il s’agit pour eux des vérités
éternelles
: Cependant, parmi tous ceux qui nous écoutent,
avons d’un remède qui la guérisse, les inconstances et les variations
éternelles
de cette raison apprennent encore à l’homme qu’il
tiels à sa destinée, si décisifs pour son malheur ou pour son bonheur
éternel
, étaient pourtant devenus des problèmes qui, de p
sent dans l’espérance de leur entière réunion et de leur résurrection
éternelle
. § 11. Genres de discours chez les modernes.
pour ne traiter que des sujets qui regardent le bonheur ou le malheur
éternel
de l’homme. Aussi quelle élévation dans le génie,
s et de dissolutions, où la Providence avait marqué dans ses conseils
éternels
la naissance de ce grand homme : la foi éteinte p
. Le dogme de l’immortalité de l’âme et des récompenses ou des peines
éternelles
après la mort a fait de ces éloges une œuvre abso
t Jacob par ses vertus et par ses exploits, dont la mémoire doit être
éternelle
. Cet homme, qui défendait les villes de Juda, qui
’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un plan
éternel
dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépare en si
ce, et de placer un certain nombre de pierres numéraires sur la route
éternelle
du temps. Le passé est comme la distance ; notre
r avec lui, et voler sur l’aile des zéphyrs à la suite d’un printemps
éternel
. Les Indiens, frappés de l’éclat et du feu que re
onté les sommets sourcilleux de ces montagnes embrasées où des glaces
éternelles
bravent également et les feux souterrains et les
osant sa vue sur l’immensité des êtres paisiblement soumis à des lois
éternelles
et nécessaires. »
ont toujours verts, l’ombre toujours fraîche, l’air toujours pur ; un
éternel
printemps y règne ; il faut donc que les acteurs
ésirs contents : Et par elle on verra reluire en ce rivage Un
éternel
printemps, Tel que nous le voyons paraître en son
it de la nature, M’apprendra-t-il jamais par quels subtils ressorts L’
éternel
artisan fait végéter les corps ? Pourquoi l’aspic
e, où l’on trouve ces beaux vers : Ta douleur, Du Perrier, sera donc
éternelle
? Et les tristes discours Que te met en l
bois À tes yeux jauniront encore, Mais c’est pour la dernière fois. L’
éternel
cyprès t’environne ; Plus pâle que la pâle automn
, Et les flammes qui l’environnent Sont ses vêtements
éternels
. Ainsi qu’un pavillon tissu d’or et de soie, Le
vole, La terre en silence frémit. Du seuil des portes
éternelles
, etc. Voilà la stance de dix vers octosyllabes r
chais à mon couchant. La Mort, déployant ses ailes, Couvrait d’ombres
éternelles
La clarté dont je jouis ; Et dans cette nuit fune
eu même conduisant tous ces grands mouvements, et de nous ramener aux
éternelles
vérités de la foi et de la raison, à travers les
an commence sa narration : 168Lorsqu’autrefois un juge, au nom de l’
Éternel
, Gouvernait dans Maspha les tribus d’Israël, Du c
st faible, cependant, auprès de celle qui, en l’appelant l’aigle de l’
Éternel
, place sa chaire dans le ciel, et n’entend plus,
xprimer tes grandeurs immortelles, Toi qui bien au-dessus des sphères
éternelles
, Si loin de mes regards, sièges au haut des cieux
es ton retour Entre la nuit mourante et le berceau du jour, Célèbre l’
Éternel
dont la main fait éclore Cette tendre lueur, prém
nde, Soleil ! toi qu’il empreint de sa vive splendeur, Dans ta course
éternelle
, atteste sa grandeur ; Cours proclamer son nom du
ins du monde, éléments fraternels, Qui rajeunissez tout dans vos jeux
éternels
, Dont le fécond mélange entretient ses ouvrages,
e et d’azur embellissent le ciel, Naissez, montez, tombez, et louez l’
Éternel
! Célébrez l’Éternel, fiers autans, doux zéphirel
ives fortunées, Car je vais vous conduire en un terrible lieu, Dans l’
éternel
enfer et de glace et de feu ! Et toi, vivant, qui
s yeux, Adressaient, de leurs voix plaintives Aux restes d’Ilion, ces
éternels
adieux : « D’un peuple d’exilés déplorable patri
rez point à la troupe immortelle : Ces rides, ces cheveux, cette nuit
éternelle
, Voyez ; est-ce le front d’un habitant des cieux
agrandit l’âme, Ressuscite l’honneur dans un cœur abattu ; Proverbes
éternels
dictés par la vertu ; Morale populaire à force de
inité ! Réveiller l’homme enfant emmaillotté de songes, Des instincts
éternels
séparer nos mensonges, Des nuages obscurs qui cou
nations en peuple fraternel Marqués au front par Dieu de son chiffre
éternel
. Au lieu de mille lois qu’une autre loi rature, D
, Au fond du Parthénon le marbre inhabité Garde de Phidias la mémoire
éternelle
, Et la jeune Vénus, fille de Praxitèle, Sourit en
ac Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit
éternelle
emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur
vagabond s’inclinent devant toi ; Des peuples, des cités, de la ville
éternelle
Ta puissance est l’effroi. Le tyran fastueux red
le prêtre des Dieux, Dans un recueillement pieux, Graviront la roche
éternelle
. Horace, dira-t-on, le premier dans ces lieux Où
s ans, et les siècles ne tracent Qu’un sillon passager dans le fleuve
éternel
. Bourreaux, n’en doutez pas ; n’en doutez pas, v
la vallée ; Mais les siècles jaloux épargnent ta beauté. Un printemps
éternel
embellit ta jeunesse, Tu t’empares des cieux en m
es jardins des rois. Mais ici, dans le domaine de Dieu, les jeux sont
éternels
. Chaque jour ils recommencent et varient chaque j
eulent être achevés. Ne vous figurez point que de cette contrée Par d’
éternels
remparts Rome soit séparée. Je sais tous les chem
la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que Rome y consacrait à d’
éternels
affronts. Voilà l’ambition dont mon âme est s
, si je m’en croyais, ce triomphe indiscret Serait bientôt suivi d’un
éternel
regret. Mais de tout l’univers quel sera le langa
uvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout périt, vous seriez
éternel
! Roi, Dieu ne le veut pas. Sa faible créature Ne
bien de payer les dettes paternelles ; Mais c’était obéir aux règles
éternelles
: Tu serais méprisable, ayant autrement fait ; Pu
à qui l’on va prononcer ou une sentence de grâce, ou un arrêt de mort
éternelle
: car vous avez beau vous flatter, vous mourrez t
vre, est un libre travail de la pensée ; elle se confond avec l’image
éternelle
du grand et du beau ; elle n’est vraie qu’en deve
le, ô Socrate, qui est la fin de tous ses travaux précédents : beauté
éternelle
, exempte de décadence comme d’accroissement, qui
qui peut donner du prix à cette vie, c’est le spectacle de la beauté
éternelle
. Auprès d’un tel spectacle que seraient l’or et l
mplation et à son commerce ? Et n’est-ce pas en contemplant la beauté
éternelle
qu’il pourra enfanter et produire, non des images
ux qui dorment dans la poussière se réveilleront, les uns dans la vie
éternelle
, les autres dans l’opprobre pour le voir toujours
t incorruptible. C’est de là que résulte cette admirable clarté, base
éternelle
de notre langue. Pour apprendre les langues à inv
les jours des maladies causées par la famine ; enfin, que votre salut
éternel
, incompatible avec cette idole de gloire. Voilà,
idèle expression de la succession turbulente de ses pensées et de ses
éternels
mouvements. La Rochefoucauld. Les deux In
Qui siège aux sombres bords près des Dieux souterrains. Leurs ordres
éternels
régissent les humains ; Et je n’ai pas pensé qu’a
omme sous l’or et la soie : nous voulons dire l’orgueil. Oui, c’est l’
éternel
espoir de l’orgueil humain de se dégager de tout
e présentaient à mon esprit, les uns chantant sur la harpe celtique l’
éternelle
attente du retour d’Arthur, les autres naviguant
hi pour jamais de tes liens mortels, Vas-tu jouir enfin de tes droits
éternels
? « Vain espoir ! s’écriera le troupeau d’Épicur
des soleils, pleurant l’homme détruit, Se perdre dans les champs de l’
éternelle
nuit ; Et quand, dernier témoin de ces scènes fun
re infaillible et bon, j’espérerais en toi, Et certain du retour de l’
éternelle
aurore, Sur les mondes détruits je t’attendrais e
Buvons ; voilà le flot qui ne fera qu’un pli Et nous recouvrira d’un
éternel
oubli, Glissons-y ; dérobons sa proie à l’existen
Elles te porteront avec facilité Jusqu’à l’abîme heureux des clartés
éternelles
. Celle-ci doit régner sur tes intentions, Celle-l
mage ; Tout l’univers subsiste à l’ombre de sa main ; L’être, à flots
éternels
découlant de son sein, Comme un fleuve nourri par
es dieux de sa main, ces fils de sa puissance, Mesurent d’eux à lui l’
éternelle
distance, Tendant par leur nature à l’être qui le
sein concerté dans un conseil plus haut, c’est-à-dire dans ce conseil
éternel
qui renferme toutes les causes et tous les effets
er, édit.) 61. Figaro est ici un tribun populaire. Ce qui fera son
éternel
à-propos, c’est d’être une sorte de manifeste viv
chrétienne. (Mich. Lévy édit.) 114. Manichéisme, qui admet la lutte
éternelle
du bien et du mal. 115. Le théisme, qui admet un
agent secret, négociateur, publiciste, tribun par occasion, plaideur
éternel
, Pierre Caron de Beaumarchais eut une existence a
ers amis3 1. Figaro est ici un tribun populaire. Ce qui fera son
éternel
à-propos, c’est d’être une sorte de manifeste viv
se et de paix, jour des espérances satisfaites, des joies et du repos
éternel
. Jacob comptait pour bien peu de choses cent quar
llons jusqu’au bout : il n’est pas loin. Et puis le repos, la joie, l’
éternelle
vision de tout bien. Facie ad faciem. » 3. Il e
é de son indolence. Mais qui ne reconnaît à son langage, à ce mélange
éternel
de morgue et d’apathie, la sécheresse d’une âme a
st qu’enfin cette amertume qui les accompagne entre dans les desseins
éternels
de la providence, et n’a d’autre motif que de nou
i, mettant sans façon leur sagesse prétendue à la place de la sagesse
éternelle
, ont soumis sans pudeur ses œuvres à leur examen,
udeur ses œuvres à leur examen, et ses jugements à leurs jugements. L’
Éternel
lui-même s’est fait un jeu d’abandonner un moment
samment ouvert, et d’où partent, comme autant de rayons glorieux, ses
éternels
décrets : voilà l’unité de dessein. Bossuet l’a m
e merveilleuse puissance de génie, il leur assigna pour loi unique et
éternelle
leur concours à l’accomplissement des desseins de
fureur du démon ? De la conduite de l’esprit à l’égard de Jésus, type
éternel
et universel des vérités morales, dans chacun des
t de spectateurs, et cependant ils sont tout seuls comme le spectacle
éternel
du reste de la terre. 32. Enfin, l’ambition et l
me déchargerait en un moment de la dette immense d’une reconnaissance
éternelle
… Oh ! pourquoi sa volonté toute-puissante ne me c
aient des milliers d’étincelles Qui tombaient au milieu de ces fleurs
éternelles
Et semblaient des rubis enchâssés dans de l’or.
ur noble et sainte Semblait dans leur enceinte D’un royaume
éternel
jeter les fondements. J.-B. Rousseau. Prise
e Où, dans sa grandeur solitaire, Réside à jamais l’
Eternel
. C’est ainsi que, par ce grand homme,
cieux Tout prêts à le couvrir de leur ruine immense. C’en est fait, l’
Éternel
, trop longtemps méprisé, Sort de la nu
cœur d’airain contre ses fils ingrats. Sortez de la nuit
éternelle
, Rassemblez-vous, âme des morts ;
s, Les morts du sein de l’ombre avec terreur s’élancent, Et près de l’
Éternel
en désordre s’avancent, Pâles, et secouant la cen
ste enfin remporte la victoire, Et de ses longs combats, au sein de l’
Éternel
, Il se repose environné de gloire. Ses plais
t il aima l’empire ; Il en est plein, il chante ses bienfaits. L’
Éternel
a brisé son tonnerre inutile ; Et, d’ailes et de
Là brille du narcisse en fleurs, Sous la rosée
éternelle
, Le calice aux fraîches couleurs ;
De la maison céleste, allume nuit et jour L’huile sainte de vie et d’
éternel
amour ? Crierons-nous à Tarquin : « Il est temps,
qu’il a fauché du troupeau des humains, Avant que l’envoyé de la nuit
éternelle
Vînt sur son tertre vert l’abattre d’un coup d’ai
romenant sur un roc où passent les orages Sa pensée, orage
éternel
. Qu’il est grand, là surtout ! quand, puissance
on sans cesse y fatigue son aile ? Son pied colossal laisse une trace
éternelle
Sur le front mouvant du désert. II
nous avons vécu de divines journées, Parlant des vérités et des biens
éternels
; De célestes lueurs nous y furent données : La s
gner celui des ombres. Bientôt des étoiles innombrables et d’un éclat
éternel
brillèrent au sein des ténèbres. Oh ! si le jour
t qu’il n’a osé rompre le silence depuis qu’il a entendu la voix de l’
Éternel
. Chateaubriand. Venise L’aspect de Venis
is tout ; soleil, flambeau du ciel, Embrassant, l’univers d’un regard
éternel
. Voyez tous de quels maux les dieux, dans leur co
avec vous retournées ; Et ce triomphe heureux, qui s’en va devenir L’
éternel
entretien des siècles à venir. Racine. Premiè
Soleil, aux flammes radieuses, Vous serez les témoins de mon deuil
éternel
!… Ainsi qu’au fond des bois Philomèle plaintive,
renvoie Hermione, et je mets sur son front Au lieu de ma couronne un
éternel
affront : Je vous conduis au temple où son hymen
e, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit
éternelle
; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entra
otre front ; Pleurez le déshonneur de toute noire race, Et l’opprobre
éternel
qu’il laisse au nom d’Horace. Julie. Que vouliez-
s sa possession j’ai trouvé pour tous charmes D’effroyables soucis, d’
éternelles
alarmes, Mille ennemis secrets, la mort à tous pr
it défendue37: Il a choisi sa mort pour servir dignement D’une marque
éternelle
à ce grand changement, Et devait cette gloire aux
e celui des nobles ! car les privilèges finiront ; mais le peuple est
éternel
. Mirabeau. La Noblesse française en 1815
é : L’humble vertu le charme, il prend en main sa lyre, Et plein de l’
Eternel
, il la chante et l’inspire. Ducis. Bienfaits
vant nous les flots d’un fleuve inépuisable ; et pour que sa jeunesse
éternelle
nous fasse songer à notre existence passagère, el
omède et Persée ; Leurs amours immortels échauffent de leurs feux Les
éternels
frimas de la zone glacée ; Tout l’Olympe est peup
de plus effrayant que la mort ; il peut faire descendre des cieux une
éternelle
espérance sur ces tombeaux où Périclès n’apportai
morale, cette expérience de l’homme, ces secrets des passions, étude
éternelle
des philosophes et des orateurs anciens, doivent
’immortalité à la tête de tant de déclamations qui n’annoncent rien d’
éternel
que l’oubli auquel elles sont condamnées. Il est
notre unique but était la vertu. Nous songions à rendre notre amitié
éternelle
en nous préparant nous-mêmes à la bienheureuse im
voix fut sauvée, Tu lui dis : Levez-vous ; la fille s’est levée. De l’
éternel
sommeil elle dormait pourtant ; La mienne au moin
irgule. Aussi la joie qu’il en témoigna fut mêlée de surprise. « Père
éternel
! s’écria-t-il avec transport, lorsqu’il eut parc
ès nous ramène ; L’air seul a tout produit, nous dit Anaximène ; Et l’
éternel
pleureur assure que le feu De l’univers naissant
e Dieu. C’est la loi de Trajan, de Socrate, et la vôtre : De ce culte
éternel
la nature est l’apôtre, Le bon sens la reçoit, et
certains, qu’un plaisir peu tranquille ; Des soucis dévorants c’est l’
éternel
asile ; Véritables vautours, que le fils de Japet
! Des fleurs d’Éden sa tête est couronnée ; Il resplendit de l’éclat
éternel
. Dès le berceau, sa voix mystérieuse Des vœux con
r la réflexion, je voyais moins tel ou tel individu passager, que les
éternelles
figures de tous les temps et de tous les lieux, q
ris, parce que j’assistais non à une scène d’un jour, mais à la scène
éternelle
que Dieu a dressée en mettant l’homme en société
la mort le souvenir que nous déposons sans crainte dans le sein de l’
Éternel
. » Ibid., liv. IV, ch. ier . Saint-Pierre
l est uniforme, comme l’édifice est régulier. L’
éternel
mouvement et l’éternel repos15 sont ainsi rapp
’édifice est régulier. L’éternel mouvement et l’
éternel
repos15 sont ainsi rapprochés l’un de l’autre.
parole ne semble digne d’être ainsi répétée dans une demeure presque
éternelle
! La prière seule, l’accent du malheur, de quelqu
itectes anciens, vous rappellent qu’il y a dans l’homme une puissance
éternelle
, une étincelle divine, et qu’il ne faut pas se la
s avec moins de fracas quand un tourbillon, descendu par l’ordre de l’
Éternel
, a déchaîné les cataractes de l’abîme. Les Gauloi
vient d’abattre sur le gazon. Eudore la suit un moment après dans les
éternelles
demeures : on eût cru voir un de ces sacrifices d
inte. Honneur à ces braves soldats, la gloire de la patrie ; et honte
éternelle
aux Français criminels, dans quelque rang que la
ne du grand Napoléon… Quel abîme entre ma misère profonde et le règne
éternel
du Christ prêché, aimé, adoré, vivant dans tout l
es mobiles de l’art justifient, loin de les contredire, les principes
éternels
du beau. L’histoire littéraire, grâce à celle mét
effrayant que la mort ; il peut faire descendre du haut des cieux une
éternelle
espérance sur ces tombeaux où Périclès n’apportai
morale, cette expérience de l’homme, ces secrets des passions, étude
éternelle
des philosophes et des orateurs anciens, doivent
temps la religion du cœur ; elle excelle à transporter aux pieds de l’
éternelle
miséricorde l’âme tremblante sur les ailes du rep
in que, si nous perdons nos fils, nous échappions du moins aux peines
éternelles
. » Obéissant à l’impulsion qui lui était donnée,
ouveraine, qu’elle l’honore et s’y soumet comme à sa loi naturelle et
éternelle
. Violer l’ordre, c’est une indignité aux yeux de
, et par conséquent sa fin et son bien. Ainsi rattaché à sa substance
éternelle
, l’ordre sort de son abstraction métaphysique et
les habitants, leur rigide abstinence, Leur saint recueillement, leur
éternel
silence, Et, la bêche à la main, la pénitence en
rre, et l’esprit dans le ciel, Vos vœux iront ensemble aux pieds de l’
Éternel
. Les Jardins, chant IIe. La Mélancolie
Christ vit ses premiers fidèles, Et de ces grands tombeaux les ombres
éternelles
. Dans un coin écarté se présente un réduit, Mysté
rant dans ces noires demeures. Ce lieu d’effroi, ce lieu d’un silence
éternel
, En trois lustres entiers voit à peine un mortel
xprimer tes grandeurs immortelles, Toi qui bien au-dessus des sphères
éternelles
, Si loin de mes regards, sièges au haut des cieux
es ton retour Entre la nuit mourante et le berceau du jour, Célèbre l’
Éternel
dont la main fait éclore Cette tendre lueur, prém
nde, Soleil ! toi qu’il empreint de sa vive splendeur, Dans ta course
éternelle
, atteste sa grandeur ; Cours proclamer son nom du
ins du monde, éléments fraternels, Qui rajeunissez tout dans vos jeux
éternels
, Dont le fécond mélange entretient ses ouvrages,
e et d’azur embellissent le ciel, Naissez, montez, tombez, et louez l’
Éternel
! Célébrez l’Éternel, fiers autans, doux zéphire
nce cependant est profonde ; la tragédie n’est plus le spectacle de l’
éternelle
lutte du devoir avec la passion, c’est le dévelop
ton âme, y plongeant loin du jour et de Dieu, À dit à l’espérance un
éternel
adieu ! Comme lui maintenant, régnant dans les té
es. Il entendit de loin dans le divin séjour L’harmonieux soupir de l’
éternel
amour, Les accents du bonheur, les saints concert
la cherchaient dans des yeux expirants. Sur ces sommets noircis par d’
éternels
nuages, Sur ces flots sillonnés par d’éternels or
sommets noircis par d’éternels nuages, Sur ces flots sillonnés par d’
éternels
orages, J’appelais, je bravais le choc des élémen
élança de ma lyre : « Gloire à toi dans les temps et dans l’éternité,
Éternelle
raison, suprême volonté ! Toi dont l’immensité re
route obscure où ton doigt le conduit Réfléchit d’un côté les clartés
éternelles
Et de l’autre est plongé dans les ombres mortelle
tes doigts l’hymne de tes douleurs, Ou si, du sein profond des ombres
éternelles
, Comme un ange tombé tu secouais tes ailes, Et pr
ppelant sept fois, Ensemble éveillera ceux qui dorment à l’ombre De l’
éternelle
croix406. Nouvelles Méditations poétiques.
est regardée par de bons juges comme son chef-d’œuvre. Le sujet est l’
éternel
à propos du danger des unions mal assorties ; l’i
u, la Grèce libre en ses jours glorieux N’adorait pas encor ta parole
éternelle
: Chrétienne, elle est aux fers, elle invoque les
uvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout périt, vous seriez
éternel
! Roi, Dieu ne le veut pas. Sa faible créature Ne
e nuages, Promenant sur un roc où passent les orages Sa pensée, orage
éternel
. Qu’il est grand, là surtout ! quand, puissance
on sans cesse y fatigue son aile ? Son pied colossal laisse une trace
éternelle
Sur le front mouvant du désert439. III Hi
ai comprise et sentie, J’en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est
éternelle
, Et ceux qui se sont passés d’elle Ici-bas ont to
la maison céleste, allume nuit et jour463 L’huile sainte de vie et d’
éternel
amour ? Crierons-nous à Tarquin : « Il est temps,
qu’il a fauché du troupeau des humains Avant que l’envoyé de la nuit
éternelle
Vînt sur son tertre vert l’abattre d’un coup d’ai
bien de payer les dettes paternelles ; Mais c’était obéir aux règles
éternelles
: Tu serais méprisable, ayant autrement fait ; Pu
té renvoyée par tous les siècles comme un écho mélancolique ; c’est l’
éternel
tourment des grandes âmes blessées par le spectac
ironnent ; qu’il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe
éternelle
pour éclairer l’univers ; que la terre lui parais
peine voilée : Oui, vous qui, de l’Olympe usurpant le tonnerre, Des
éternelles
lois renversez les autels, Lâches oppresseurs de
notre âme, comme nous sentons celles de notre corps ; si notre salut
éternel
nous intéressait autant qu’une fortune de boue, o
lui découvrent un frère ; que l’espérance de retrouver devant le juge
éternel
la même indulgence dont il aura usé envers les ho
ait eu tort. — Des discours vagues, des doutes usés, des incertitudes
éternelles
, des suppositions chimériques, sur lesquels on ne
sont-elles momentanément restreintes, non, certes, sur la mappemonde
éternelle
dont Dieu a marqué les compartiments avec des fle
fait Rome pour l’homme ancien et Paris pour l’homme nouveau. Le doigt
éternel
, visible, ce me semble, en toute chose, améliore
et avec joie de belles renommées surgir de toutes parts dans le champ
éternel
de la pensée. Oh ! qu’elles se tournent avec conf
n’était pas comparable à la pureté de notre lumière. Ou le monde est
éternel
, ou il a eu un commencement ; ou l’âme de l’homme
dérer l’histoire comme le développement dans l’espace et le temps des
éternels
desseins de la Providence. 2. Il faudrait aujour
nera le cœur de tous les hommes. Quelle récompense vous recevrez de l’
Éternel
! il vous tiendra compte non-seulement de votre b
clémence de l’empereur lui gagnera les cœurs de tous les hommes. 2° L’
Éternel
l’en récompensera. Cinquième moyen. — Si l’em
oublier les sujets rebelles. « Quelle récompense vous recevrez de l’
Éternel
! il vous tiendra compte non-seulement de votre b
séricorde que votre exemple produira dans la suite des siècles. » L’
Éternel
. Attribut qui convient à Dieu seul, et qui est ic
sont plus que de faibles mortels. Votre père céleste. Le séjour de l’
Éternel
est dans les cieux ; c’est pour cela que les homm
les, comme les traits des hommes qu’ils représentent : ils sont seuls
éternels
les traits de l’âme, que nul art, nulle matière n
e, qui jouit encore en repos de l’héritage de ses pères, souhaite une
éternelle
paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des c
rnicieux auteur, « Qui dans le trouble seul as mis tes espérances ; «
Éternel
ennemi des suprêmes puissances ! « En l’appui de
as : On ne les voyait plus, mais leurs voix héroïques Chantaient de l’
Éternel
les sublimes cantiques : Plus la flamme montait,
ez ma douleur. Cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source
éternelle
. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils
quelque reste de nos travaux et n’arriver pas sans ressource à notre
éternelle
demeure, avec le roi de la terre il faut encore s
’échappent avec mon sang ! Et vous, ô Tyriens, poursuivez d’une haine
éternelle
sa race et tous ses descendants ! Tels sont les h
le impérissable ; tes couleurs sont vives et conservent une fraîcheur
éternelle
. Ton pouvoir s’étend sur tout ce qui respire : l’
pices effroyables, gravir les glaciers immenses, surmonter les neiges
éternelles
, vaincre l’éblouissement, le froid, la lassitude,
voulons produire une œuvre de style. La nature travaille sur un plan
éternel
, avec une sage lenteur, et sait ainsi donner la p
c’est que chaque ouvrage et un tout, et qu’elle travaille sur un plan
éternel
dont elle ne s’écarte jamais. Elle prépare en sil
tous les temps ; car il n’y a que la vérité qui soit durable, et même
éternelle
. Or, un beau style n’est tel en effet que par le
ban dont le sommet fend les nues et va toucher les astres ; une glace
éternelle
couvre son front ; des fleuves pleins de neige to
e (1674), sous la dictée d’Horace, dont il n’a pas la grâce, ces lois
éternelles
du goût, qui doivent être la conscience de tout é
l’honneur par de honteuses brigues. Que les vers ne soient pas votre
éternel
emploi : Cultivez vos amis, soyez homme de foi1 ;
fier ; qui fait sentir enfin, et prouve, à chaque instant, cet axiome
éternel
: Rien n’est beau que le vrai. » (Discours prélim
zième livre. Ainsi que la rosée en nos champs répandue, Du sein de l’
Éternel
la grâce descendue, Au couple infortuné, touché d
teur, fils de Dieu, Dieu lui-même, Sur l’autel d’or où fume un encens
éternel
, La bénit et la porte aux pieds de l’Éternel. J’
l d’or où fume un encens éternel, La bénit et la porte aux pieds de l’
Éternel
. J’engage ceux de mes lecteurs à qui la poésie a
est leur berceau, ce flanc est leur repaire, Et, de leur faim cruelle
éternel
aliment, Comme pour leur fureur, renaît pour mon
instant tout leur bonheur, et tomber en sortant de là entre les mains
éternelles
de sa colère et de sa justice. 15° Pensées gr
eance ne dure qu’un moment ; mais celle qu’on tire de la clémence est
éternelle
. » 16° Pensées magnifiques Si la pensée gr
jouit en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses pères, souhaite une
éternelle
paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des c
: « Athéniens ! vous venez de donner aux ennemis d’Athènes un sujet
éternel
de la blâmer. Ils diront que vous avez condamné l
objet sur la terre, pourra s’approcher après la mort de cette vérité
éternelle
et céleste : celui surtout dont le cœur aura été
’un sujet, d’un verbe et d’un attribut, telle que celle-ci : Dieu est
éternel
; que quelquefois elle est complétée par le moyen
antons, publions ses bienfaits ; plusieurs attributs, ex. : Dieu est
éternel
, indépendant, immuable et infini ; plusieurs comp
stances de consolation à du Périer : Ta douleur, du Périer, sera donc
éternelle
, écrites en 1599, attestent un nouveau progrès. M
i de ses aïeux, ton amour et ta crainte, Dont il porte dans l’âme une
éternelle
empreinte, D’actes de piété ne pourront l’assouvi
st avec plaisir qu’on survit à sa mort. Mais ce roi, des bons rois l’
éternel
exemplaire, Qui de notre salut est l’ange tutélai
n’a contre lui que l’invraisemblance. Le poète novateur y supprime l’
éternel
récit du dénouement des tragédies, et met sous le
ole mon père ! on le fait criminel ! On attache à son nom un opprobre
éternel
! Je suis fils d’un pêcheur, mais non pas d’un in
bler le Maure, et triompher nos rois, Reçût de sa naissance une tache
éternelle
; Tant de valeur mérite une source plus belle. Ai
avec vous retournées ; Et ce triomphe heureux, qui s’en va devenir L’
éternel
entretien des siècles à venir71. Acte II, scè
eulent être achevés. Ne vous figurez point que de cette contrée Par d’
éternels
remparts Rome soit séparée. Je sais tous les chem
mais où de philosophiques railleries tombent sur les universelles et
éternelles
faiblesses de l’humanité. Dans l’espace de vingt
rrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres
éternels
ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque
anités d’autrui vengeait Dieu sur ses traits. Sa beauté lui donnait d’
éternelles
alarmes : Ses mains avec plaisir auraient détruit
du feu. Malherbe avec Racan, parmi les chœurs des anges, Là-haut de l’
Éternel
célébrant les louanges, Ont emporté leur lyre ; e
uchais à mon couchant. La mort déployant ses ailes, Couvrait d’ombres
éternelles
La clarté dont je jouis ; Et dans cette nuit fune
toute distinction du bien et du mal, et faisait du monde un ensemble
éternel
de mouvements sans moteur, et de l’homme une mach
jadis, aux temps de la Phrygie, De la terre et des cieux les moteurs
éternels
Mêlés dans les combats sous l’habit des mortels ;
es le couronnent, Et les flammes qui l’environnent Sont ses vêtements
éternels
. Ainsi qu’un pavillon tissu d’or et de soie, Le v
part, l’aquilon vole, La terre en silence frémit. Du seuil des portes
éternelles
, Des légions d’esprits fidèles À sa voix s’élance
s épars. Les cieux, sous sa démarche altière, Courbent leurs sommets
éternels
; Et les astres sont la poussière Que foulent ses
ner les orbes divers. Portés du couchant à l’aurore Par un mouvement
éternel
, Sur leur axe ils tournent encore Dans les vastes
à jamais sur ses ouvrages, Triomphe, entretiens tous les âges De son
éternelle
grandeur. Les deux Serpents attaquant la géni
eil ; Souvent le cri de l’aigle avança leur réveil : Ils chantaient l’
Éternel
sur le roc solitaire, Au bruit sourd du torrent d
âme attendrie Voit, dans le double aspect des tombes et des flots, L’
éternel
mouvement et l’éternel repos. Avec quel saint
ns le double aspect des tombes et des flots, L’éternel mouvement et l’
éternel
repos. Avec quel saint transport tout ce peup
Vallons délicieux, fraîche et riche verdure, Bondissante cascade à l’
éternel
murmure, Doux prés, riants coteaux, magnifiques v
voix fut sauvée. Tu lui dis : Levez-vous, la fille s’est levée. De l’
éternel
sommeil elle dormait pourtant ; La mienne au moin
u, la Grèce libre en ses jours glorieux N’adorait pas encor ta parole
éternelle
; Chrétienne, elle est aux fers, elle invoque les
uvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout périt, vous seriez
éternel
! Roi, Dieu ne le veut pas. Sa faible créature Ne
e sa supériorité ! quelle lassitude de vivre, âme dépareillée, dans l’
éternel
célibat du génie. Quel poids au cœur ! Quelle sub
encor, la poudre de ses ailes, S’envoler comme un souffle aux voûtes
éternelles
: Voilà du papillon le destin enchanté. Il ressem
, invoquant ici son regard paternel, Je remplis le désert du nom de l’
Éternel
; Et celui qui du sein de sa gloire infinie, Des
bâillons 251 ». Mais il n’aurait pas dû oublier qu’il y a des règles
éternelles
supérieures à toutes les conventions, qu’il n’est
in caché ; C’est moins de n’avoir pas visité ces rivages Que des noms
éternels
peuplent de leurs images, Où l’orange est si mûre
ut du monde à l’autre, Esprit de nos aïeux, qui te réjouissais Dans l’
éternel
bon sens, lequel est né Français, Fleurs de notre
it pas même murmurer. L’autre, comme un torrent sans digue, Dans une
éternelle
fatigue, Sous les pieds de l’enfant prodigue Roul
comprise et sentie, J’en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est l’
éternelle
, Et ceux qui se sont passés d’elle Ici-bas ont to
ppelle, Supporter tous cette uniformité, Sans défaillir sous l’extase
éternelle
? » Ces questions, que déjà bien des fois Dans s
belle Et, t’abaissant aux choses de ce lieu, Tu m’enivras de ta joie
éternelle
. « Eh bien ! voilà que je viens d’écouter, Penda
jour, Se consumant dans les ardeurs du doute, Craindre l’espoir de l’
éternel
séjour, Car une voix a chanté sur ma route. « Ce
r encore Près de l’oiseau qui chante un bien perdu, Et le lever d’une
éternelle
aurore. » Paul a parlé : tout son corps palpitan
; L’écho des morts y mêle sa réponse, Et tous les temps confessent l’
Éternel
! Brizeux (Auguste) (1803-1858) Le Breton
ont permis que le nom paternel Fût souillé par un fils d’un opprobre
éternel
! Le Notaire. C’est un malheur sans doute. Geor
tôt. Labeur Travail. Cité Ville. Nautonnier Matelot. L’
Éternel
, le Tout-Puissant Dieu. Flanc Côté. Borée
ns un vers les mots suivants : loi évangélique, Dieu immuable, vérité
éternelle
, vrai honneur, foi assurée, etc. Il y a donc hiat
ngeurs s’arment pour ta querelle, Des prêtres, des enfants, ô sagesse
éternelle
! 72. Dans quels cas la rime est-elle défectueu
les airs. Dieux mortels, c’est vous qu’il appelle Il tient la balance
éternelle
Qui doit peser tons les humains. Dans ses yeux la
nature il ne faut s’écarter. Oui, je viens dans son temple adorer l’
Éternel
. 105. Dans quel cas l’inversion devient-elle vic
perdu son à-propos, la verve d’une ironie éloquente, des principes d’
éternelle
morale, la dialectique d’un bons sens convaincu,
te éternellement, et triomphe enfin de ses ennemis, parce qu’elle est
éternelle
et puissante comme Dieu3. Parabole Un hom
eucte. Célestes vérités ! Pauline. Étrange aveuglement ! palyeucte.
Éternelles
clartés ! Pauline. Tu préfèrés la mort à l’amour
e vivante. 2. Parce que l’égoïsme rend l’homme misérable. 3. La vie
éternelle
. 4. Le langage si simple de cette méditation co
uvenir : Le tombeau qui l’attend l’engloutit tout entière, Un silence
éternel
succède à ses amours ; Mais les siècles auront pa
agrandit l’âme, Ressuscite l’honneur dans un cœur abattu : Proverbes
éternels
dictés par la vertu ; Morale populaire à force de
perdu son à-propos, la verve d’une ironie éloquente, des principes d’
éternelle
morale, la dialectique d’un bon sens convaincu, e
vironnent, qu’il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe
éternelle
pour éclairer l’univers ; que la terre lui parais
rétabli la véritable leçon. 1. Pascal a dit ailleurs : « Le silence
éternel
de ces espaces infinis m’effraye. » 1. Qui nou
œur , nous ordonne aussi d’être certains que la gloire, et une gloire
éternelle
, est la récompense de la vertu. Et saint Paul, pa
acher à notre vie, c’est la certitude de travailler à quelque chose d’
éternel
; et nous l’avons. Nous l’avons par la vertu. Ouv
a assujettis ; car quelle autre fin pouvait se proposer votre sagesse
éternelle
, qui a présidé à tous vos ouvrages ! Cependant, ô
Au fond du Parthénon le marbre inhabité Garde de Phidias2 la mémoire
éternelle
, Et la jeune Vénus, fille de Praxitèle, Sourit en
’ai comprise et sentie J’en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est
éternelle
, Et ceux qui se sont passés d’elle Ici-bas ont to
t Jacob par ses vertus et par ses exploits, dont la mémoire doit être
éternelle
. Cet homme qui défendait les villes de Juda, qui
encore en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses pères, souhaite une
éternelle
paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des c
avec lui, et voler sur l’aile des zéphirs, à la suite d’un printemps
éternel
. Rien n’égale la vivacité de ces petits oiseaux,
t, comme David ; mais tous deux sont arrivés au même but, à la gloire
éternelle
; leurs vertus et leur piété nous le font espérer
resseraient sur ton front, et tout ton poil se hérisserait : mais cet
éternel
mystère ne doit pas être confié aux oreilles d’un
rouble effleure à demi sa paupière, Sa voix ne s’unit pas au cantique
éternel
, Mais son regard plus tendre et presque maternel,
s ; Sa splendeur, qui s’échappe en éclairs formidables, Jette un jour
éternel
sur le front des coupables, Sur ces grands crimin
les bonnes œuvres du vieillard, qui jouit dès ce moment d’un bonheur
éternel
. Mais combien sa nombreuse postérité envia le sor
en l’essence précieuse qui les précédait dans les régions où règne un
éternel
bonheur. Guyet. N° 84. — Le docteur Zeb. L
le court temps de sa vie de manière à partager les joies d’un bonheur
éternel
. Guyet. N° 86. — Le amis après la mort. L
isition desquels il expose encore sa vie présente et même son bonheur
éternel
. Ces amis restent chez eux quand on le porte en t
gner celui des ombres. Bientôt des étoiles innombrables et d’un éclat
éternel
brillèrent au sein des ténèbres. Oh ! si le jour
ive ; alors le premier chantre de la création entonne les hymnes de l’
Éternel
. D’abord il frappe les échos des brillants éclats
ntenant devenue un désert desséché, bridé et condamné à une stérilité
éternelle
. Cette masse noire d’eaux ondoyantes ne ressemble
Et de glaciers enfin, vaste et solide mer, Où règne sur son trône un
éternel
hiver ? Là, pressant sous ses pieds les nuages hu
ue sans cesse elle habite ; Tu luis entre elle et Dieu comme un phare
éternel
, Comme ce feu marchant que suivait Israël ; Et tu
Ses cheveux, sa barbe et ses sourcils, semblables aux pics de glaces
éternelles
des Alpes ou des Pyrénées, hérissent son aspect f
pices effroyables, gravir les glaciers immenses, surmonter les neiges
éternelles
, vaincre l’éblouissement, le froid, la lassitude
infatigables, vous osez pénétrer dans ces vastes mers dont je suis l’
éternel
gardien, dans ces mers sacrées qu’une nef étrangè
l du départ lorsque l’ange des ténèbres, agité du pressentiment que l’
Éternel
allait enchaîner le courage des ennemis et sauver
vieillard, dont l’aspect vénérable et radieux annonce un favori de l’
Éternel
. La messagère du Ciel s’approche des barbares, et
er de toi. En attendant, adresse pour nous tes innocentes prières à l’
Éternel
, tandis que je prierai pour toi et pour les autre
ureux, c’est bassesse et cruauté. » Le Même. N° 175. — Le Fardeau
éternel
. (Conte.) Le calife Hakkam, qui aimait la mag
Christ vit ses premiers fidèles, Et de ces grands tombeaux les ombres
éternelles
. Dans un coin écarté se présente un réduit, Mysté
ant dans ces noires demeures ; Ce lieu d’effroi, ce lieu d’un silence
éternel
, En trois lustres entiers voit à peine un mortel
lle incertaine et n’osant croire encore Au choix trop éclatant dont l’
Éternel
m’honore. Mais trois fois, quand la nuit ramèn
acrée incarnation, et où se fict la très-adorable conception du Verbe
éternel
: et là ce digne pèlerin se mit à contempler l’ab
ieux encore ouverts, d’où, celuy sembloit, descendoit la voix du Père
éternel
, disant : C’estuy-ci est mon fils bien-aimé auque
seront-ils brisés, tandis qu’ils dépend de vous de rendre notre union
éternelle
? Ah ! grand roi des Francs, si vous étiez chréti
faisant perdre une palme céleste, laisserait sur leur cœur un remords
éternel
. Ainsi séparés par votre révolte et des chrétiens
la tendresse de tous les hommes. Quelle récompense vous recevrez de l’
éternel
! Il vous tiendra compte, non-seulement de votre
s rois qu’ils n’ont plus son amour. Vous n’achèverez pas. D’une tâche
éternelle
Vous ne souillerez point une vie aussi belle, Mad
s, à qui l’on va prononcer une sentence de grâce, ou un arrêt de mort
éternelle
. » Cette prosopopée majestueuse est certainement
au criminel, qui attend, en tremblant, une sentence de vie ou de mort
éternelle
. Y a-t-il dans cette description admirable un mot
e. Ce ne sont que des déclamations cent fois rebattues, qu’invectives
éternelles
contre les jeunes gens ; mais surtout il fait bea
ugles au milieu des précipices. Celui-ci couvre son nom d‘un opprobre
éternel
, et fait rougir l’ombre de ses pères par un établ
ses blanches ailes L’ange à ces mots a pris l’essor Vers les demeures
éternelles
... Pauvre mère, ton fils est mort !... Jean Rebou
ne gravent point sur la pierre sépulcrale que la mort est un sommeil
éternel
, persuadés qu’avec cette morale-là on ne fait que
mortel, que les conceptions de leur âme et la gloire de la vertu sont
éternelles
; et si nous voyons cette opinion consacrée dans
et des athées. Touché par la beauté morale, il défendit les croyances
éternelles
du genre humain, il eut le cœur religieux, et fut
ant loin de la nature, vivent hors du monde. Ils vous trouveraient, ô
éternelle
beauté ! toujours ancienne et toujours nouvelle,
ort bon modèle ; Cette affectation d’un grave extérieur, Vos discours
éternels
de sagesse et d’honneur, Vos mines4 et vos cris a
rrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres
éternels
ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque
a fresque, dont la grâce, à l’autre3 préférée, Se conserve un éclat d’
éternelle
durée, Mais dont la promptitude et les brusques f
les sept trompettes retentissent, et la sentence de grâce ou de mort
éternelle
plane au-dessus de cette petite troupe qui se ser
ts, à qui l’on va prononcer une sentence de grâce ou un arrêt de mort
éternelle
; car vous avez beau vous flatter : vous mourrez
ent au cœur de l’homme, qu’autant qu’on y introduit l’homme ; c’est l’
éternelle
devise de Poussin : Et in Arcadia ego. La nature
e, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit
éternelle
; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entra
e en un clin d’œil, et nous replonger pour toujours dans des ténèbres
éternelles
: le spectacle que nous donnons au monde n’est qu
jour pour éviter ce malheur, et changer la rigueur de notre sentence
éternelle
; et ce jour unique, et ce jour rapide, nous le p
le dernier moment qui la terminera, et qui décidera de mes destinées
éternelles
? Quelle vie, grand Dieu ! Pour une âme destinée
irgule. Aussi la joie qu’il en témoigna fut mêlée de surprise. « Père
éternel
! s’écria-t-il avec transport lorsqu’il eut parco
politique en la fondant tout à la fois sur le principe de la justice
éternelle
et sur la comparaison approfondie des différentes
les arsenaux remplis, les grands chemins entretenus : c’est la gloire
éternelle
du duc de Sully, et celle du roi, qui osa choisir
immortalité à la tète de tant de déclamations, qui n’annoncent rien d’
éternel
que l’oubli auquel elles sont condamnées. Il est
es secousses de la terre, ont conservé un souvenir durable et presque
éternel
de ces malheurs du monde : l’idée qu’il doit péri
nécessaire de la nature et de la constitution de cet univers. L’Être
éternel
et bienfaisant qui le gouverne eût voulu t’en gar
le Beaumarchais du dehors, le dramaturge, le publiciste, le plaideur
éternel
, avec sa science de la réclame, son amour du brui
poules, des tables et des tonneaux. On vit alors un objet digne d’une
éternelle
pitié : une jeune demoiselle parut dans la galeri
e et assuré, elle nous faisait signe de la main, comme nous disant un
éternel
adieu. Tous les matelots s’étaient jetés à la mer
t incorruptible. C’est de là que résulte cette admirable clarté, base
éternelle
de notre langue. Ce qui n’est pas clair n’est pas
résignation réfléchie ; si nous savons unir notre raison à la raison
éternelle
, au lieu de n’être que des patients, nous serons
a dit, par la bouche d’un de ses envoyés : « Je vous aime d’un amour
éternel
. » (Jérémie). Cette parole doit nous servir de so
parole ne semble digne d’être ainsi répétée dans une demeure presque
éternelle
! La prière seule, l’accent du malheur, de quelqu
s avec moins de fracas quand un tourbillon, descendu par l’ordre de l’
Éternel
, a déchaîné les cataractes de l’abîme. Les Gauloi
milieu de ce terrain inculte, que s’élève la grande ombre de la Ville
Éternelle
. Déchue de sa puissance terrestre, elle semble, d
es mobiles de l’art justifient, loin de les contredire, les principes
éternels
du beau. L’histoire littéraire, grâce à cette mét
effrayant que la mort ; il peut faire descendre du haut des cieux une
éternelle
espérance sur ces tombeaux où Périclès n’apportai
morale, cette expérience de l’homme, ces secrets des passions, étude
éternelle
des philosophes et des orateurs anciens, doivent
temps la religion du cœur ; elle excelle à transporter aux pieds de l’
éternelle
miséricorde l’âme tremblante sur les ailes du rep
que, si nous perdons « nos fils, nous échappions du moins aux peines
éternelles
. » Obéissant à l’impulsion qui lui était donnée,
nd l’ouvrit en deux coups de, sa Durandal. C’est le symbole du combat
éternel
de la France et de l’Espagne, qui n’est autre que
sans s’éloigner du nid ? N’importe ; ce vol circulaire, ce mouvement
éternel
de retour, nous a toujours pris les yeux et le cœ
irique du gouvernement et de la société à cette époque. Ce qui fera l’
éternel
à-propos de Figaro, c’est que c’est une sorte de
es, inouïes, Sans cesse renaissant, sans cesse évanouies, Qu’écoute l’
Éternel
durant l’éternité, L’une disait Nature ! et l’aut
de ton trépas, à cet hymen réduite, Enchaînée à Gusman par des nœuds
éternels
, J’adorais ta mémoire au pied de nos autels. Nos
monde, ils emplissent les cieux. Confidents du Très-Haut, substances
éternelles
, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes
e Dieu, loin de ce corps mortel, L’esprit semble écouter la voix de l’
Éternel
. Épitres, liv. La liberté. Dans le cours
ngés dans le luxe, énervés de mollesse, Nourrissez dans votre âme une
éternelle
ivresse ; Apprenez, insensés, qui cherchez le pla
Christ vit ses premiers fidèles, Et de ces grands tombeaux les ombres
éternelles
. Dans un coin écarté se présente un réduit, Mysté
rant dans ces noires demeures. Ce lieu d’effroi, ce lieu d’un silence
éternel
, En trois lustres entiers voit à peine un mortel
présenter aux regards des humains. Veillez sur Cléotas ! Qu’une fleur
éternelle
, Fille d’une âme pure, en ces traits étincelle ;
ton âme, y plongeant loin du jour et de Dieu, A dit à l’espérance un
éternel
adieu ! Comme lui maintenant, régnant dans les té
es. Il entendit de loin dans le divin séjour L’harmonieux soupir de l’
éternel
amour, Les accents du bonheur, les saints concert
la cherchaient dans des yeux expirants. Sur ces sommets noircis par d’
éternels
nuages, Sur ces flots sillonnés par d’éternels or
sommets noircis par d’éternels nuages, Sur ces flots sillonnés par d’
éternels
orages, J’appelais, je bravais le choc des élémen
élança de ma lyre : « Gloire à toi dans les temps et dans l’éternité,
Éternelle
raison, suprême volonté ! Toi dont l’immensité re
oute obscure où ton doigt le conduit, Réfléchit d’un côté les clartés
éternelles
, Et de l’antre est plongé dans les ombres mortell
tes doigts l’hymne de tes douleurs, Ou si du sein profond des ombres
éternelles
, Comme un ange tombé tu secouais tes ailes, Et, p
rage, Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l’ancre
éternelle
à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder
ppelant sept fois, Ensemble éveillera ceux qui dorment à l’ombre De l’
éternelle
croix764. Nouvelles Méditations poétiques.
est regardée par de bons juges comme son chef-d’œuvre. Le sujet est l’
éternel
à propos du danger des unions mal assorties : l’i
u, la Grèce libre en ses jours glorieux N’adorait pas encor ta parole
éternelle
; Chrétienne, elle est aux fers, elle invoque les
uvre au pouvoir d’un mortel. Vous seul, quand tout périt, vous seriez
éternel
! Roi, Dieu ne le veut pas. Sa faible créature Ne
au sommet du rocher, Et la cascade unit, dans une chute immense, Son
éternelle
plainte au chant de la romance. Ames des Chevalie
’ai comprise et sentie, J’en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est
éternelle
, Et ceux qui se sont passés d’elle Ici-bas ont to
la maison céleste, allume nuit et jour838 L’huile sainte de vie et d’
éternel
amour ? Crierons-nous à Tarquin : « Il est temps,
qu’il a fauché du troupeau des humains Avant que l’envoyé de la nuit
éternelle
Vînt sur son tertre vert l’abattre d’un coup d’ai
ente ; Dans ses rares fureurs la foudre est inconstante ; Moi je suis
éternel
ainsi que tes ennuis. LE PATRE. Voici ce que nous
bien de payer les dettes paternelles ; Mais c’était obéir aux règles
éternelles
: Tu serais méprisable, ayant autrement fait ; Pu
ère de sa destinée nous a été renvoyée par tous les siècles : c’est l’
éternel
tourment des grandes âmes blessées par le spectac
ironnent ; qu’il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe
éternelle
pour éclairer l’univers ; que la terre lui parais
peine voilée : Oui, vous qui, de l’Olympe usurpant le tonnerre, Des
éternelles
lois renversez les autels, Lâches oppresseurs de
, mais d’ailleurs toujours goûté, et répondant, faute de mieux, à cet
éternel
besoin de la représentation et de l’illusion dram
t les yeux aux tenebres mortelles, Tu les viendras ouvrir aux clartés
éternelles
? Certes je croy que Dieu veut se servir de moy,
erre » et « grand maréchal de camp », les monts, « enfarinés de neige
éternelle
», — j’en passe et des moins bonnes, — toutes ces
ans toutes les mémoires ce vers fameux : Et l’Enfer est partout où l’
Éternel
n’est pas ; en ses Sepmaines, œuvre de théologie
urée, Bien que sans mât, sans rame, et loin, loin de tout port, Car l’
Eternel
étoit son pilote et son nort. Trois fois cinquant
cords, A fait venir la mort cependant qu’il sommeille, Qui d’un somme
éternel
a fait dormir son corps Afin que son esprit plus
r ses outrages sur moy. Dieu, qui de ceux qu’il aime est la garde751
éternelle
, Me tesmoignant contre eux sa bonté paternelle, A
u certains, qu’un plaisir peu tranquille. Des soucis dévorans c’est l’
éternel
asile859 ; Véritables vautours, que le fils de Ja
894. Malherbe avec Racan895, parmi les chœurs des anges, Là-haut de l’
Éternel
célébrant les louanges, Ont emporté leur lyre ; e
r sa fausse vertu, téméraire s’endort. Hàte-toi d’éclairer, ô lumière
éternelle
, Des malheureux assis dans l’ombre de la mort989.
a suprême science, Et le suprême amour, unis en trinité, De son règne
éternel
forment la majesté. Sous son trône étoilé, patria
ppelle, Sans vouloir reculer et sans se plaindre d’elle, Dans la nuit
éternelle
il entre sans regret1036. (Maucroix.) XV
rt (1717-1803) croyait donner un Thomson à la France. Ses apostrophes
éternelles
excèdent et glacent. L’âme lui manque, écrit Dide
ens suprêmes ? Un sépulcre funèbre, où vos noms, où vous-mêmes Dans l’
éternelle
nuit serez ensevelis1040. Les hommes, éblouis de
ois à mon couchant : La mort, déployant ses ailes ; Couvroit d’ombres
éternelles
La clarté dont je jouis, Et, dans cette nuit fune
otre devise. Combien de rois, grands dieux ! jadis si révérés, Dans l’
éternel
oubli sont en foule enterrés ! La terre a vu pass
ta profonde sagesse, Ta mâle probité n’a point cette faiblesse ; À d’
éternels
travaux tu t’étais dévoué Pour servir ton pays, n
ne ; en vérité, Je n’ai vu que l’ennui chez la méchanceté : Ce jargon
éternel
de la froide ironie, L’air de dénigrement, l’aigr
s trois derniers vers de la première (le Jugement dernier, 1773) : L’
Éternel
a brisé son tonnerre inutile ; Et d’ailes et de f
t l’Hermès, qui eût été l’épopée de la terre et des mers, de L’Océan
éternel
où bouillonne la vie, et de la vie physique, int
t. Accours, grande nature, ô mère du génie ; Accours, reine du monde,
éternelle
Uranie, Soit que tes pas divins sur l’astre du Li
mon œil et se perd et se mêle, Dans les torrents profonds de lumière
éternelle
. Me voici sur les feux que le langage humain Nomm
z point à la troupe immortelle : « Ces rides, ces cheveux, cette nuit
éternelle
, « Voyez ; est-ce le front d’un habitant des cieu
pieds je tombe, Frappé du trait que j’ai lancé…, Du sein des ombres
éternelles
S’élevant au trône des dieux, L’envie offusque de
ranlèrent ; Des soleils allumés les feux étincelèrent : Tu naquis ; l’
Eternel
te prescrivit ta loi. Il dit au mouvement : Du te
acent, Des siècles qui s’entassent, Sont comme le néant aux yeux de l’
Éternel
. Mais moi, sur cet amas de fange et de poussière
est point la vertu d’un mortel ; Et, pour être constant, il faut être
éternel
. D’ailleurs, quand on y songe, il seroit bien étr
bois À tes yeux jauniront encore, Mais c’est pour la dernière fois. L’
éternel
cyprès t’environne : Plus pâle que la pâle automn
9 Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit
éternelle
emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur
qui semble, fondu dans ces bruits du désert, La basse sans repos d’un
éternel
concert. (Ibid., VIe Époque.) Socrate à se
lemagne, à Mahomet l’Asie1349, Mais tu1350 ne prendras pas demain à l’
Éternel
! III Ô revers ! ô leçon ! — Quand l’enfa
é par les mains paternelles, Pour doter l’humble enfant de splendeurs
éternelles
; Lorsqu’on eut de sa vie assuré les relais ; Qua
tout effaré1351 ! IV Oui, l’aigle un soir planait aux voûtes
éternelles
, Lorsqu’un grand coup de vent lui cassa les deux
ns l’écume, Sur le mât d’un vaisseau perdu ! Longue nuit ! tourmente
éternelle
! Le ciel n’a pas un coin d’azur. Hommes et chose
lus purs, l’ombre parait meilleure ; Un vague demi-jour teint le dôme
éternel
; Et l’aube douce et pâle, en attendant son heure
au sommet du rocher, Et la cascade unit, dans une chute immense, Son
éternelle
plainte au chant de la romance. Âmes des chevali
té : Grèce, ô mère des arts, terre d’idolâtrie, De mes vœux insensés
éternelle
patrie, J’étais né pour ces temps où les fleurs d
De la maison céleste, allume nuit et jour L’huile sainte de vie et d’
éternel
amour ? Crierons-nous à Tarquin : « Il est temps,
qu’il a fauché du troupeau des humains Avant que l’envoyé de la huit
éternelle
Vint sur son tertre vert1412 l’abattre d’un coup
lque part là-bas la fièvre et l’insomnie Ne t’avaient fait songer à l’
éternel
repos ?… De quoi te plains-tu donc ? l’immortelle
nde l’acier. Dormons sur une cime avec effort gravie ; Dans la neige
éternelle
il faut laver nos mains ; L’air fait mouvoir là-h
t de J.-B. Rousseau. Écoutons-le : Delivre-moy, Seigneur, de la mort
éternelle
Et regarde en pitié mon ame criminelle, Languissa
et souriante, mais avec une gravité et une élévation inaccoutumées. L’
éternel
lieu commun du néant de toutes choses y est « gra
et divise composent son essence. Ses saints, dans les douceurs d’une
éternelle
paix, D’un torrent de plaisirs enivrés à jamais,
élange affreux qu’accompagne un grand bruit Luit éternellement dans l’
éternelle
nuit. Voilà de beaux vers. Mais quelle étrange i
Deutéronome, XXVII, v. 1.) 1039. Voilà un de ces lieux-communs d’
éternelle
vérité, qui ont toujours inspiré les plus hautes
lui ! l’impure Envie S’acharne sur sa noble vie, Semblable au Vautour
éternel
; Et, de son triomphe irritée, Punit ce nouveau P
vainement me frappe de son aile, Quand je contemple, ému, cette fête
éternelle
. Que le ciel rayonnant donne au monde la nuit !
ut du monde à l’autre. Esprit de nos aïeux, qui te réjouissais Dans l’
éternel
bon sons, lequel est né français, Fleurs de notre
ter vivant. Autour ne lui sans fin le silence et le vide, Et du sable
éternel
la mer morte et livide. La lumière inondant son i
qu’il est du meilleur comique, n’était le ton sujet. C’est l’histoire
éternelle
de la poutre et de la paille. 1482. C’est ce que
r le glacier, épurés et fortifiés, Le calme et la clarté de la neige
éternelle
. Comme on respire bien sur nos Alpes sublimes !…
it aussi : Qu’il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe
éternelle
pour éclairer l’univers ; que la nature lui paroi
e insomnie, Des cascades du Nil la lointaine harmonie ; Dans ses cris
éternels
, le nocturne grillon Demande au sol brûlant un hu
littéraires. Elle nous vient de l’antiquité, et Platon en est resté l’
éternel
modèle. Là elle se conçoit. L’antiquité vivait en
le Ibrahim, sans craindre sa naissance, Traine, exempt de périls, une
éternelle
enfance ; Indigne également de vivre et de mourir
au Japon. Que la littérature classique reste donc comme l’exemplaire
éternel
du beau dans l’art ! qu’elle soit la ressource et
ère du ciel ; un Platon pénétrant jusque dans le sanctuaire des idées
éternelles
; un Aristote embrassant dans sa vaste science la
sivement attachée à la pratique des anciens veut réduire le génie à l’
éternelle
servitude d’une étroite imitation. » (Marmontel,
u dans le livre de Job : Ubi eras quando ponebam…, et dans Esther : L’
Éternel
est son nom… ; les stances de Malherbe sur la van
instant tout leur bonheur, et tomber au sortir de là entre les mains
éternelles
de sa colère et de sa justice. 172. Quels sont l
ltaire. Dieu se lève, il s’élance, il abaisse la voûte De ses cieux
éternels
ébranlés sous ses pas. Lamartine. IV. Sublim
t arriver du haut des montagnes, apporter la paix, annoncer les biens
éternels
, prêcher le salut, et dire : O Sion ! ton Dieu ré
nt pour déshonorer son nom, et tomber au sortir de là entre les mains
éternelles
de sa colère et de sa justice. » Massillon a prés
t Jacob par ses vertus et par ses exploits, dont la mémoire doit être
éternelle
; cet homme qui défendait les villes de Juda, qui
quelque reste de nos travaux, et n’arriver pas sans ressource à notre
éternelle
demeure, avec le roi de la terre il faut encore s
ivent prendre des routes si différentes, selon qu’il y aura des biens
éternels
à espérer ou non, qu’il est impossible de faire u
e disposition du cœur que de ne pas souhaiter la vérité des promesses
éternelles
; rien n’est plus lâche que de faire le brave con
ironnent ; qu’il regarde cette éclatante lumière mise comme une lampe
éternelle
pour éclairer l’univers ; que la terre lui parais
’apercevoir quelque apparence du milieu des choses, dans un désespoir
éternel
de connaître ni leur principe ni leur fin ? Toute
le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d’une fuite
éternelle
. Rien ne s’arrête pour nous. C’est l’état qui nou
plaisirs, elle est morte toute vive198 ; parce que, oubliant le deuil
éternel
et le caractère de déflation qui fait le soutien
n’est pas moins caché ni moins trompeur à lui-même qu’aux autres ? Ô
éternel
Roi des siècles, qui possédez seul l’immortalité,
quelque reste de nos travaux et n’arriver pas sans ressource à notre
éternelle
demeure, avec le roi de la terre il faut encore s
nt matière ; ni par le défaut d’objet, tant qu’il y aura un Dieu et d’
éternelles
vérités : elle est donc incorruptible. Je ne conç
ait d’être le peuple-roi, a été livré aux nations barbares : l’empire
éternel
est tombé ; Rome est ensevelie dans ses ruines av
e n’avoir qu’une durée courte et rapide, et de tomber aussitôt dans l’
éternel
oubli d’où elles étaient sorties. Mais votre Égli
ace et de placer un certain nombre de pierres numéraires sur la route
éternelle
du temps. Le passé est comme la distance ; notre
’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un plan
éternel
dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépare en si
tous les temps ; car il n’y a que la vérité qui soit durable, et même
éternelle
. Or un beau style n’est tel, en effet, que par le
acrifice mercenaire du bonheur public à l’intérêt propre est le sceau
éternel
du vice. On demande si la plupart des vices ne co
Étrange aveuglement ! POLYEUCTE.
Éternelles
clartés ! PAULINE. Tu préfères la mort à l’amour
aisant, vous louez des sottises518 ? ORONTE. S’il faut qu’une attente
éternelle
Pousse à bout l’ardeur de mon zèle, Le trépas ser
avec moi, Venez, et qu’à l’autel ma promesse accomplie Par des nœuds
éternels
l’un à l’autre nous lie. MONIME. Nous, seigneur ?
, Qui s’est acquis sur moi ce cruel avantage, Et qui, me préparant un
éternel
ennui, M’a fait rougir d’un feu qui n’était pas p
t des cieux, N’est point tel que l’erreur le figure à vos yeux601 : L’
Eternel
est son nom, le monde est son ouvrage ; Il entend
iers des rois de Juda). ABNER. Oui, je viens dans son temple adorer l’
Éternel
; Je viens, selon l’usage antique et solennel, Cé
Jourdain ne voit plus l’Arabe vagabond, Ni l’altier Philistin, par d’
éternels
ravages, Comme au temps de vos rois, désoler ses
de ton trépas, à cet hymen réduite, Enchaînée à Gusman par des nœuds
éternels
, J’adorais ta mémoire au pied de nos autels. Nos
monde, ils emplissent les cieux. Confidents du Très Haut, substances
éternelles
, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes
arque sous la couronne Et le pontife sur l’autel. Du sein des ombres
éternelles
S’élevant au trône des dieux, L’envie offusque de
présenter aux regards des humains. Veillez sur Cléotas ! Qu’une fleur
éternelle
, Fille d’une âme pure, en ses traits étincelle. Q
ne isolée de Pascal, pénétrée d’une si sombre harmonie : « Le silence
éternel
des espaces infinis m’effraye. » Quel coup d’œil
, quel animal ne porte pas l’empreinte de celui que Platon appelait l’
éternel
géomètre ? Il me semble que le corps du moindre a
st-ce encore que l’Esprit divin, si ce n’est l’Amour même, essentiel,
éternel
, l’Amour qui est la vie du Souverain Être et de t
llons jusqu’au bout : il n’est pas loin. Et puis le repos, la joie, l’
éternelle
vis on de tout bien. Facie ad faciem. »
ulent être achevés. Ne vous figurez point que de cette contrée, Par d’
éternels
remparts Rome soit séparée : Je sais tous les che
la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que Rome y consacrait à d’
éternels
affronts. Voilà l’ambition dont mon âme est saisi
s, pernicieux auteur, Qui dans le trouble seul as mis tes espérances,
Éternel
ennemi des suprêmes puissances ! En l’appui de to
ni des préjugés ; il ne peut ni passer, ni renaître ; il a sa source
éternelle
dans le cœur de l’homme juste, et dans la règle i
hi pour jamais de tes liens mortels, Vas-tu jouir enfin de tes droits
éternels
? Oui, tel est mon espoir, ô moitié de ma vie ! C
des soleils, pleurant l’homme détruit, Se perdre dans les champs de l’
éternelle
nuit ; Et quand, dernier témoin de ces scènes fun
e infaillible et bon, j’espérerais en toi ; Et certain du retour de l’
éternelle
aurore, Sur les mondes détruits, je t’attendrais
ser à ceux même qui ont dicté les premiers ces préceptes d’une vérité
éternelle
, ou à ceux qui les ont mis en pratique, et dont l
de ses femmes, de ses maîtres, l’auteur de tant de crimes, livré à d’
éternelles
horreurs, dans des transes qui vont jusqu’à l’ali
; la bonne foi n’est plus que la vertu des simples ; les haines sont
éternelles
; les réconciliations sont des feintes, et jamais
e, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit
éternelle
; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entra
vous aimez qui nage dans son sang et dont les yeux sont fermés par l’
éternelle
nuit37. Virgile prend pour Pallas, fils d’Évandre
ippe. Car ne vous imaginez pas que son bonheur présent soit immuable,
éternel
, comme celui d’un dieu : il en est qui le haïssen
à qui l’on va prononcer ou une sentence de grâce ou un arrêt de mort
éternelle
… Or, je vous le demande, et je vous le demande fr
encore ; Denain et Landrecies étaient encore cachés dans les conseils
éternels
. Cependant notre cause était juste ; mais l’avait
combien la mélodie des paroles ajoute à la grandeur des pensées : L’
Éternel
est son nom, le monde est son ouvrage ; Il entend
instant tout leur bonheur, et tomber au sortir de là entre les mains
éternelles
de sa colère et de sa justice142. » Ceux qui aff
à la grandeur. Telle est cette image de David (Ps. XVII, v. 10) : « L’
Éternel
a abaissé les cieux, et il est descendu : les nua
Pompée : Le ciel choisit sa mort pour servir dignement D’une marque
éternelle
à ce grand changement, Et devait cette gloire aux
rai : les mânes de Pompée devaient plutôt obtenir du ciel le maintien
éternel
de cette liberté, pour laquelle on suppose qu’il
ennemi la terreur et la fuite. Les barbares ont passé ; la patrie est
éternelle
. » Nous pourrions parcourir ainsi tous les siècl
u ciel et les sables de la mer ; tu as promis à ses enfants un empire
éternel
; et voilà que nous languissons de douleur sur un
t vous reculerez jusqu’aux bornes du monde les frontières de l’empire
éternel
!…” « Romains, cet homme que vous demande la patr
Discours226. Grâces soient rendues au génie tutélaire de la ville
éternelle
! il est enfin venu celui que Rome avait en vain
, il faudra donc abandonner tes murailles sacrées ! il faudra dire un
éternel
adieu à tous ces pieux souvenirs qui du moins éch
avid se rend ce témoignage à soi-même, « qu’il a patiemment attendu l’
Éternel
, lequel ne l’a point trompé ». Et néanmoins cette
de révolte, n’eût pas manqué de se rebeller et nous eût obligés à une
éternelle
dépense. Ce royaume n’avait que deux sortes d’enn
n concerté dans un conseil plus haut103, c’est-à-dire dans ce conseil
éternel
qui renferme toutes les causes et tous les effets
vous tendraient les bras, afin de vous recevoir dans les tabernacles
éternels
? Ah ! si vous aviez soulagé leurs maux, si vous
enait auparavant un si beau rang parmi les étoiles. Mon Dieu, lumière
éternelle
, c’est la figure de ce qui arrive à mon âme quand
t venir du haut des montagnes apporter la paix276, annoncer les biens
éternels
, prêcher le salut, et dire : Ô Sion, ton Dieu rég
ce que vous enseignez ? Ô foi chrétienne ! vengez-vous ; laissez une
éternelle
nuit sur la face de cette terre couverte d’un dél
ts à qui on va prononcer ou une sentence de grâce ou un arrêt de mort
éternelle
; car vous avez beau vous flatter, vous mourrez t
comme Job301, que le jour qui les vit naître eût été lui-même la nuit
éternelle
de leur tombeau : vous sentirez alors le plaisir
ci-bas les premières sanctions qui devancent les arrêts de la justice
éternelle
. 5. Ces promesses des récompenses ou des châtimen
int délicat pussent faire dommage, S’en allèrent fleurir au printemps
éternel
. Le peu qu’ils ont vécu leur fut grand avantage,
eure, Qui n’a rien que de mal, pour avoir de bonne heure Aux plaisirs
éternels
une éternelle part466 ? Les Larmes de saint Pie
rien que de mal, pour avoir de bonne heure Aux plaisirs éternels une
éternelle
part466 ? Les Larmes de saint Pierre 467 (1587)
couter ta voix réunit tous ses sens, Et trouve les douceurs de la vie
éternelle
En ses divins accents. Trad. de l’I
otre front ; Pleurez le déshonneur de toute notre race, Et l’opprobre
éternel
qu’il laisse au nom d’Horace. JULIE. Que vouliez-
coupable on vous charge du crime, Et que, vous offensant d’un soupçon
éternel
, Au bras du sommeil même on vous fait criminel. S
rrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres
éternels
ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque
. O repos ! ô tranquillité ! O d’un parfait bonheur assurance
éternelle
, Quand la suprême autorité Dans ses conseil
, si je m’en croyais, ce triomphe indiscret Serait bientôt suivi d’un
éternel
regret. Mais de tout l’univers quel sera le langa
ois chrétiens contre les Turcs774. Ô honte ! ô de l’Europe infamie
éternelle
! Un peuple de brigands, sous un chef infidèle, D
ourdain souillant les saintes ondes, Profaner le tombeau du fils de l’
Éternel
, L’Occident, réveillé par ce coup de tonnerre776,
noble et sainte Semblait dans leur enceinte D’un royaume
éternel
jeter les fondements. Mais chez ses successeurs
histoire de la religion, dont l’unité et la suite attestent la vérité
éternelle
; la troisième, historique et philosophique conti
placé au rang des saints, est devenu pour la France une espèce de roi
éternel
». 256. Ce détail physiologique ne doit pas éto
a dit La Harpe, si cette faculté souveraine, émanée de l’intelligence
éternelle
, voulait apparaître aux hommes sous les traits le
es) : Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit
éternelle
emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur
é jusqu’à son principe et à celui de tous les êtres, jusqu’à la cause
éternelle
, jusqu’à Dieu. En vain voudrait-on nous détourner
les montagnes seraient ébranlées par la force de ses vagues ; « Car l’
Éternel
des armées est avec nous ; le Dieu de Jacob nous
certains, qu’un plaisir peu tranquille ; Des soucis dévorants c’est l’
éternel
asile, Véritable vautour, que le fils de Japet Re
ur représenté par Prométhée ! c’est tout autre chose. Rapportera-t-on
éternel
asile à biens et plaisir ? il y a ambiguïté, et d
perdu son à-propos, la verve d’une ironie éloquente, des principes d’
éternelle
morale, la dialectique d’un bon sens convaincu, e
te éternellement, et triomphe enfin de ses ennemis, parce qu’elle est
éternelle
et puissante comme Dieu339. Epitaphe D’Étienne
la jouissance de ce trésor, et prie sa bonté de combler de sa gloire
éternelle
celui qu’il avait comblé ici-bas de plus de grâce
sse dans le trésor de la sagesse divine qui subsiste toujours. O Dieu
éternel
! quel sera mon étonnement, lorsque le juge sévèr
’intelligence de la vérité, et juger une telle vie seule digne d’être
éternelle
, et d’être la vie de Dieu ; mais surtout qui voit
articulières, qui, ayant toutes leurs secrets rapports avec cette loi
éternelle
qui réside dans le créateur, font que tout marche
vous tendraient les bras, afin de vous recevoir dans les tabernacles
éternels
! Ah ! si vous aviez soulagé leurs maux, si vous
toi. Le coup est lâché ; l’enfer n’est pas loin de toi ; ses ardeurs
éternelles
nous touchent de près, puisque nous en avons en n
e chère et aimable enfant lui a fait trouver dans la mort la félicité
éternelle
. Consolez-vous, monsieur, avec Dieu, et croyez qu
les jours des maladies causées par la famine ; enfin que votre salut
éternel
, incompatible avec cette idole de gloire. Voilà,
à qui l’on va prononcer ou une sentence de grâce, ou un arrêt de mort
éternelle
; car vous avez beau vous flatter, vous mourrez t
et des athées. Touché par la beauté morale, il défendit les croyances
éternelles
du genre humain ; il eut le cœur religieux, et fu
ant loin de la nature, vivent hors du monde. Ils vous trouveraient, ô
éternelle
beauté ! toujours ancienne et toujours nouvelle,
agent secret, négociateur, publiciste, tribun par occasion, plaideur
éternel
, Pierre Caron de Beaumarchais eut une existence a
e leva sur l’horizon. Bientôt des étoiles innombrables, et d’un éclat
éternel
, brillèrent au sein des ténèbres. Oh ! si le jour
poules, des tables et des tonneaux. On vit alors un objet digne d’une
éternelle
pitié ; une jeune demoiselle parut dans la galeri
e et assuré, elle nous faisait signe de la main, comme nous disant un
éternel
adieu. Tous les matelots s’étaient jetés à la mer
nce même de la vie qu’offre ce séjour fait sentir plus tristement son
éternel
silence. C’est avec des morceaux de lave pétrifié
t qu’il n’a osé rompre le silence depuis qu’il a entendu la voix de l’
Éternel
. Le printemps en Bretagne1542 Le printemps
t attentive, le premier chantre de la création entonne ses hymnes à l’
Éternel
. D’abord il frappe l’écho des brillants éclats du
se et de paix, jour des espérances satisfaites, des joies et du repos
éternel
. Jacob comptait pour bien peu de chose cent quara
r la réflexion, je voyais moins tel ou tel individu passager, que les
éternelles
figures de tous les temps et de tous les lieux, q
ris, parce que j’assistais non à une scène d’un jour, mais à la scène
éternelle
que Dieu a dressée en mettant l’homme en société
é jusqu’à son principe et à celui de tous les êtres, jusqu’à la cause
éternelle
, jusqu’à Dieu. En vain voudrait-on nous détourner
les montagnes seraient ébranlées par la force de ses vagues, « Car l’
Éternel
des armées est avec nous ; le Dieu de Jacob nous
uel ils appuyaient la tête, et s’en vont. Faisons du moins une amitié
éternelle
au milieu de ce monde où il ne reste rien de dura
e, la plus soudainement tonnante. Il roule en son cours des trésors d’
éternelle
morale humaine. Il est unique pour nous, et, quel
s ; c’est ne pas se laisser prendre aujourd’hui plus qu’autrefois à l’
éternelle
Philaminte, cette précieuse de tous les temps, do
dée : « Si vous voulez voir, chrétiens, des peintures de ces gouffres
éternels
, n’allez pas rechercher bien loin ni ces. fournea
aux de miel, Où les âmes des bons, de Dieu seul altérées, D’un nectar
éternel
ne sont pas enivrées, Mais où les mânes saint, le
vous tendraient les bras, afin de vous recevoir dans les tabernacles
éternels
? « Voici, messieurs un grand spectacle : venez
s hommes cherchent en vain dans le dérangement et dans line agitation
éternelle
. » La Bruyère a dit : « L’ennui est entré dans
des collines qui vont se joindre à des montagnes couvertes de glaces
éternelles
, éloignées de vingt-cinq lieues, et tout le terri
survis au combat, elle ne partira pas. Chère femme, je vous fais mon
éternel
adieu, si c’est la volonté de Dieu que je sois en
, invoquant ici son regard paternel, Je remplis le désert du nom de l’
Éternel
; Et Celui qui, du sein de sa gloire infinie, Des
s jusqu’au bout, le bout n’est pas loin, et puis le repos, la joie, l’
éternelle
vision de tout bien. » 1634. Il allait publier
blanches ailes, « L’ange aussitôt prend son essor « Vers les demeures
éternelles
… « Pauvre mère, ton fils est mort ! 7° Style
omenant sur un roc où passent les orages Sa pensée, orage
éternel
. Qu’il est grand, là surtout, quand, puissance b
ais goût, nous ne voulons pas dire qu’une langue soit condamnée à une
éternelle
immobilité. Les langues varient sans cesse, avec
entrer dans un vers ces mots, loi évangélique, Dieu immuable, vérité
éternelle
, vrai honneur, foi assurée, etc. Il en est de mêm
airs. Dieux mortels, c’est vous, qu’il appelle : Il tient la balance
éternelle
, Qui doit peser tous les humains. Dans ses yeux l
populaire le tombeau de Néron 3, s’élève la grande ombre4 de la Ville
Éternelle
. Déchue de sa puissance terrestre, elle semble, d
les plus variés, sur la terre, sur les eaux, dans les cieux, dans son
éternel
foyer. Les scènes humaines jetées dans un coin n’
reinte de la domination et de la durée : j’ai vu la carte de la ville
éternelle
tracée sur des rochers de marbre au Capitole, afi
vrance si miraculeuse. « Ceux qui sont échappés du naufrage disent un
éternel
adieu à la mer et aux vaisseaux ; et, comme disai
quelque reste de nos travaux, et n’arriver pas sans ressource à notre
éternelle
demeure, avec le roi de la terre, il faut encore
-il que vous naissiez en la puissance des ennemis de votre maison ! ô
Eternel
, veillez sur elle ! Anges saints, rangez à l’ento
voir la lumière du jour. Ne me précipitez pas, avant le temps, dans l’
éternelle
nuit… La vie est pour les mortels le premier des
piré de l’esprit de l’Écriture, exprime ainsi la toute-puissance de l’
Éternel
: Au seul son de sa voix, ta mer fuit, le ciel t
: On ne les voyait plus ; mais leurs voix héroïques Chantaient de l’
Éternel
les sublimes cantiques : Plus la flamme montait,
être immatériel, immuable, infini ; qu’ils méditent sur cette source
éternelle
de beauté, de justice, d’amour et d’intelligence
inspire les hommes de génie, en se montrant à eux sous les attributs
éternels
. Il présente au géomètre les progressions ineffab
ion des chefs-d’œuvre a cet avantage, qu’elle se confond avec l’image
éternelle
du beau et du vrai, tandis qu’il ne peut y avoir
vre, est un libre travail de la pensée ; elle se confond avec l’image
éternelle
du grand et du beau ; elle n’est vraie qu’en deve
’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un plan
éternel
dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépare en si
tous les temps ; car il n’y a que la vérité qui soit durable, et même
éternelle
. Or un beau style n’est tel en effet que par le n
re et confuse ; mais une lettre, une fois lancée, devient un monument
éternel
qu’on peut vous opposer : vous n’y pouvez plus ri
encontre dans la société des hommes qui sont atteints d’une tristesse
éternelle
: si cette tristesse est dans leur âme, on doit l
onde réel. Ce sont des vallées enchantées, embellies par un printemps
éternel
; des jardins délicieux où tout se réunit pour ch
ras de chaque jour, le tourment des affaires, le choc et le contraste
éternel
de ce qui serait possible dans la nature, et de c
e du prix à l’humaine existence, Ah ! c’est de la beauté le spectacle
éternel
. Rien n’égale en splendeur le destin d’un mortel
on Dieu, de la crainte de votre nom ; vous l’aviez écrit sur le livre
éternel
, dans la succession des saints rois qui devaient
nt pour déshonorer son nom, et tomber au sortir de là entre les mains
éternelles
de sa justice et de sa colère. Massillon, Sermon
tique ; il a pour fondement l’étude des anciens, qui sont les maîtres
éternels
de l’art d’écrire, non pas comme anciens, mais co
s ; c’est ne pas se laisser prendre aujourd’hui plus qu’autrefois à l’
éternelle
Philaminte, cette précieuse de tous les temps, do
e révoltes, n’eût pas manqué de se rebeller et nous eût obligés à une
éternelle
dépense. Ce royaume n’avait que deux sortes d’enn
image ; Tout l’univers subsiste à l’ombre de sa main ; L’être à flots
éternels
découlant de son sein, Comme un fleuve nourri par
-il que vous naissiez en la puissance des ennemis de votre maison ! Ô
Éternel
, veillez sur elle ! Anges saints, rangez alentour
irain. Le rauque son de la trompette appelle les habitants des ombres
éternelles
; les noires cavernes en sont ébranlées, et le br
égal. (Racine.) La majesté : Oui, je viens dans son temple adorer l’
Éternel
; Je viens, selon l’usage antique et solennel, Cé
le plus fréquemment. La mort, déployant ses ailes, Couvrait d’ombres
éternelles
La clarté dont je jouis, Et, dans cette nuit fune
s blanches ailes, L’ange à, ces mots a pris l’essor Vers les demeures
éternelles
… Pauvre mère, ton fils est mort. (J. Reboul.) Ô
quité, puisque aussi bien vous en moissonnez les larmes et les peines
éternelles
. Mais non, mon cher auditeur, nous ne vous donnon
u toit paternel deux fois nous arracher. Partout des cris, du sang, d’
éternelles
alarmes, Et je vis bien souvent, non sans verser
ance profonde, Rétablit en secret l’équilibre du monde, Aux yeux de l’
éternel
égale tous les droits, Nos rires passagers, nos p
de la réalité, Descend de sa haute importance Dans l’
éternelle
égalité, Tel le vaste Apennin, de sa cime hautain
rible du néant. Oui, vous qui, de l’Olympe, usurpant le tonnerre, Des
éternelles
lois renversez les autels, Lâches oppress
ieu. » Ruth le conduit alors dans les bras de sa mère. Tous trois à l’
Éternel
adressent leur prière, Et le plus saint des nœuds
es blanches ailes, L’ange à ces mots a pris l’essor Vers les demeures
éternelles
… Pauvre mère !… ton fils est mort ! (J. Reboul.)
i par l’obscurité de la pensée. Dieu Toute existence émane de l’Être
éternel
, infini ; et la création tout entière avec ses so
t Jacob par ses vertus et par ses exploits, dont la mémoire doit être
éternelle
; || cet homme qui défendait les villes de Juda,
t tu voilas ta lumière : Tu refusas le jour à ce siècle pervers ; Une
éternelle
nuit menaça l’univers. Que dis-je ? tout sentoit
faveurs ; Et ses derniers neveux partagent ses honneurs. Un opprobre
éternel
suit tout mortel parjure : Son nom pour ses enfan
rrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres
éternels
ne me contentent pas ; Et, hors un grand Plutarqu
rroux que je retiens à peine. C’est bien assez pour moi de l’opprobre
éternel
D’avoir pu mettre au jour un fils si criminel, Sa
ulent être achevés, Ne vous figurez point que de cette contrée, Par d’
éternels
remparts Rome soit séparée. Je sais tous les chem
la flamme à la main, effaçons tous ces noms Que Rome y consacroit à d’
éternels
affronts. On peut certainement mettre à côté des
, Céphise, à cette nuit cruelle, Qui fut pour tout un peuple une nuit
éternelle
: Figure-toi Pyrrhus(a), les yeux étincelans, Ent
péra de Thésée, en est un exemple. Sortez, ombres, sortez de la nuit
éternelle
, Voyez le jour pour le troubler : Que l’affreux d
implacable, Sortez du gouffre épouvantable Où vous faites régner une
éternelle
horreur. Sauvez-moi de l’amour ; rien n’est si re
eu vengeur, Ce glaive dont s’arma l’ange exterminateur, Quand jadis l’
Eternel
, à la mort dévorante, Livra les premiers nés(b) d
de la traduction en vers de Beaulaton. Célestes légions, puissances
éternelles
; De l’Être qui peut tout rivales immortelles, Si
habitant nouveau comblé des dons du ciel, Sera le favori du Fils de l’
Eternel
. C’est là que nous devons diriger notre course ;
la source. Non, je ne croirois pas qu’en ces antres cachés A des fers
éternels
nous soyons attachés. Mais de ces hauts projets l
a point ses mains de rapine et de sang, Ô jours ! ô mœurs ! ô temps d’
éternelle
mémoire ! Le peuple étoit heureux, le roi couvert
vil et abject versificateur ne peut qu’imprimer sur son nom une tache
éternelle
: en devenant l’opprobre de son siècle, il voue s
dieu, la mythologie s’arrête nécessairement où commence la grande, l’
éternelle
vérité. Écoutez le véritable poète : 123« Teten
e la Providence dirigeant les évènements humains d’après ses desseins
éternels
: on croit sentir en le lisant qu’il a vu dans le
e éternellement1, et triomphe enfin de ses ennemis, parce qu’elle est
éternelle
et puissante comme Dieu même2. Douzième Provinci
ant loin de la nature, vivent hors du monde. Ils vous trouveraient, ô
éternelle
beauté, toujours ancienne et toujours nouvelle, ô
encore en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses pères, souhaite une
éternelle
paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des c
sa providence se sert pour élever ou pour abattre, selon ses décrets
éternels
, la fortune des rois et des royaumes. » 1. Sign
ours, des nuits et des saisons. Le dragon de l’abîme est la damnation
éternelle
; l’ange est la religion qui tend les bras à l’ho
es précieuses auxquelles un meilleur sol devenait nécessaire. Alors l’
éternel
jardinier qui fait fructifier les fleurs de tous
exposées aux rigueurs de l’hiver, elles soupirent après le printemps
éternel
!… Mme Amable Tastu. Avis. Dites ce qui est re
at des couleurs et les parfums de la fleur ; 4ºpar l’hiver ; 5º par l’
éternel
jardinier ; Cº par l’ange envoyé ; 7º par ta seme
me, qu’on placera dans la bouche du derviche. N° 175. — Le Fardeau
éternel
Exposition. Le calife Hakkam, pour agrandir s
nt de vastes souterrains qui s’étendent sous les remparts de la ville
éternelle
et sous les vastes plaines qui l’environnent. Ce
s sujets fidèles de citoyens parjures, et Dieu mettra dans la balance
éternelle
ce pardon généreux, et les actions miséricordieus
ts, à qui l’on va prononcer une sentence de grâce ou un arrêt de mort
éternelle
; car, vous avez beau vous flatter, vous mourrez
homme vous a élevés, et sa fragilité vous a donné la vie et une durée
éternelle
. Que de fois, m’asseyant silencieux à votre base,
e là ces globes lumineux, dans les sphères où est assis le trône de l’
Eternel
. 74. Bienveillance du chien du curé pour les étr
épistolaire, dont la règle est de n’en avoir d’autres que les règles
éternelles
de la morale et du goût, a fourni des monuments i
ne justice infinie ne s’exerce pas à la fin par un supplice infini et
éternel
? » (Or. fun. d’Anne de Gonzague.) On voit que
ate avec ses fils : Ne vous figurez point que de cette contrée Par d’
éternels
remparts Rome soit séparée, etc. Mais un ordre p
rois parties. Cette division est commune à tous les arts, et elle est
éternelle
. Depuis les créations les plus brillantes et les
tude des uns et des autres qui nous apprend les qualités générales et
éternelles
de style. 1° Clarté. — La première est la Clarté,
que dans les Dialogues et la Lettre sur l’Éloquence, où les principes
éternels
du goût sont exprimés avec l’exquise justesse d’u
lque tempête. Écoutez ce grand bruit du monde, ce tumulte, ce trouble
éternel
; voyez ce mouvement, cette agitation, ces flots
lui-même, disons, pour n’en parler jamais, que, comme dans la gloire
éternelle
, les fautes des saints pénitents, couvertes de ce
on ensemble, elle renferme ces vers dignes à jamais d’être cités : L’
Éternel
a brisé son tonnerre inutile ; Et, d’ailes et de
uel ils appuyaient la tête, et s’en vont. Faisons du moins une amitié
éternelle
au milieu de ce monde où il ne reste rien de dura
sans cesse dans un ciel pur, Où la lumière sur l’azur Verse un air d’
éternelle
fête. Combien à la plaine de Caux, Bien que de
A chanter1 doucement les antiques noëls, A se faire conter des contes
éternels
, A s’empresser autour du vieux livre d’images, A
idèle expression de la succession turbulente de ses pensées et de ses
éternels
mouvements1. De la conversation Ce qui fa
Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit
éternelle
; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entra
ippe. Car ne vous imaginez pas que son bonheur présent soit immuable,
éternel
, comme celui d’un dieu : il en est qui le haïssen
à qui l’on va prononcer ou une sentence de grâce ou un arrêt de mort
éternelle
.... Or, je vous le demande, et je vous le demande
encore ; Denain et Landrecies étaient encore cachés dans les conseils
éternels
. Cependant notre cause était juste ; mais l’ava
n autre substantif. — Phèdre dit, à propos d’Hippolyte : Et mes cris
éternels
L’arrachèrent du sein et des bras paternels. po
ns deviennent ainsi une suite de sanglantes représailles qui seraient
éternelles
; s’il n‘arrivait un jour où l’on s’arrête, où l’
dans ce beau début d’Athalie : Oui je viens dans son temple adorer l’
Éternel
. peut se rendre encore sous les formes : Non je
ut se rendre encore sous les formes : Non je ne veux ici qu’adorer l’
Éternel
. Comment ne pas venir adorer l’Éternel ? Laissez-
Non je ne veux ici qu’adorer l’Éternel. Comment ne pas venir adorer l’
Éternel
? Laissez-moi dans son temple adorer l’Éternel.
ne pas venir adorer l’Éternel ? Laissez-moi dans son temple adorer l’
Éternel
. Il va sans dire que de toutes ces formes la mei
avec moins, de fracas, quand un tourbillon, descendu par l’ordre de l’
Éternel
, a déchaîné les cataractes de l’abîme. Les Gau
instant tout leur bonheur, et tomber au sortir de là entre les mains
éternelles
de sa colère et de sa justice. La véhémence n’es
re la plus féconde pour un style magnifique. — Ainsi David a dit : L‘
Éternel
a abaissé les cieux et il est descendu : les nuag
et de ses méditations religieuses, a écrit ces vers magnifiques : L’
Éternel
est son nom, le monde est son ouvrage ; Il entend
Pompée : Le ciel choisit sa mort pour servir dignement D’une marque
éternelle
à ce grand changement, Et devait cette gloire aux
rai : les mânes de Pompée devaient plutôt obtenir du ciel le maintien
éternel
de cette liberté, pour laquelle on suppose qu’il
roît, je parie la perte de-la gravité du magistrat. Voilà l’histoire
éternelle
des effets de la physionomie, du geste et de la v
eu mieux notre passé universitaire ; on se montrerait fidèle aux lois
éternelles
de la logique et de la raison, en revenant d’une
t vous reculerez jusqu’aux bornes du monde les frontières de l’empire
éternel
!… » « Romains, cet homme que vous demande la pat
t l’on est obligé de les séparer. Leur flamme en liberté devait être
éternelle
: La nécessité gâta tout. C’est ain
certains, qu’un plaisir peu tranquille. Des soucis dévorants c’est l’
éternel
asile : Véritable vautour, que le fils de Japet20
Ainsi le glaive fidèle De l’Ange exterminateur, Plongea dans l’ombre
éternelle
Un peuple profanateur, Quand l’Assyrien274 terrib
eil embrase de tous ses feux, et dans ces climats glacés, séjour d’un
éternel
hiver, pourvu qu’ils ne songent point à rebâtir l
a douleur !….. Cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source
éternelle
. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils
nière à mériter les récompenses promises par Jésus-Christ dans la vie
éternelle
. Château-briand a dit : « Les anciens n'ont connu
branlèrent, Des soleils allumés les feux étincelèrent ; Tu naquis ; l'
Éternel
te prescrivit ta loi. Il dit au mouvement : « Du
acent, Des siècles qui s'entassent, Sont comme le néant aux yeux de l'
Éternel
. Et moi, sur cet amas de fange et de poussière, E
ut, et ne saurait avoir d’autre mérite, que de défendre les principes
éternels
du goût et de la raison.
tracées, et leur voix ne fut que l’écho de la raison et de la justice
éternelle
. « L’homme digne d’être écouté, dit Fénelon, est
encore en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses pères, souhaite une
éternelle
paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des c
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