Chapitre II.
Éloge
de Démosthène par Lucien. Un écrivain que la t
sprit portait plus volontiers à la satire et même au sarcasme, qu’à l’
éloge
; qui a semé partout le sel de cet enjouement et
re anglaise, Lucien va figurer ici comme panégyriste de Démosthène. L’
éloge
qu’il nous a laissé de ce grand orateur est surto
al des ouvrages du sage de Samosate. Lucien se promène, en rêvant à l’
éloge
de Démosthène ; il rencontre le poète Thersagoras
hène ; il rencontre le poète Thersagoras qui, de son côté, méditait l’
éloge
d’Homère. La conversation s’engage sur le mérite
élèvera plus haut la gloire de son héros. La discussion s’anime, et l’
éloge
en sort naturellement. Thersagoras sent et peint
mment vous y prendre, dit-il à son ami, et par où commencer un pareil
éloge
? À quoi vous arrêterez-vous d’abord ; et ne vous
cet ouvrage ; il le parcourt avec avidité, et la seconde partie de l’
éloge
de Démosthène n’est que le texte prétendu de ce l
expire89. Il faut convenir qu’il y a dans cette dernière partie de l’
éloge
, un ton de grandeur et une élévation d’idées qui
qui les ont immortalisés ! 89. Ce n’est pas, comme l’on voit, de l’
Éloge
de Marc-Aurèle, que date la méthode, si vantée de
ue. On sait d’ailleurs que l’idée première et le plan dramatique de l’
éloge
de Marc-Aurèle, furent fournis à Thomas par Dider
Chapitre VI. Des
éloges
funèbres. Éloge des Athéniens morts dans la g
Chapitre VI. Des éloges funèbres.
Éloge
des Athéniens morts dans la guerre du Péloponèse.
ment pas permis d’imiter longtemps, c’est la coutume de consacrer des
éloges
funèbres à la mémoire de ceux qui avaient répandu
ous a conservé un monument précieux de ce genre d éloquence : c’est l’
éloge
funèbre que prononça Périclès en l’honneur des gu
es combats, crut devoir y ajouter celle qui ordonne de prononcer leur
éloge
: sans doute ils pensaient que c’est une belle in
es ? l’envie leur dit que la louange est exagérée. L’homme supporte l’
éloge
de la vertu d’autrui, tant qu’il se croit au nive
ra possible, de ce que pense et veut chacun de vous ». Un magnifique
éloge
d’Athènes, de sa constitution, de ses lois, de se
endre. Il fallait d’ailleurs fortifier par d’incontestables preuves l’
éloge
des héros dont nous honorons la tombe. Que dis-je
carrière je vois s’ouvrir à vos efforts ! On prodigue volontiers les
éloges
à ceux qui ne sont plus. Un jour peut-être vous l
ssemblées des hommes la publicité des censures, même la publicité des
éloges
. » J’ai satisfait à la loi ; j’ai développé les i
é à la louange des Saints. L’Orateur s’y propose de les honorer par l’
éloge
de leurs vertus, et de nous engager nous-mêmes à
joignant l’instruction au récit de ces vertus : un juste mélange des
éloges
et de la morale, fait la première perfection du P
eurs Orateurs Panégyristes. Chez les Grecs, on faisait publiquement l’
éloge
des grands hommes, qui avaient rendu quelque serv
perdus au milieu du bouleversement des Empires. Je ne parle point des
éloges
d’Hélène et de Busiris, et de quelques autres dis
irigée par le goût. Le texte d’une Oraison funèbre doit être comme un
éloge
raccourci du Héros, et mettre d’abord sous les ye
e la chaire chrétienne ne permet pas à l’Orateur de se borner, dans l’
éloge
des Héros, à des fins purement humaines. Son but
est le tout de l’homme ». C’est ainsi que le P. Bourdaloue rapporte l’
éloge
qu’il fait du même Prince à l’instruction de ses
us que jamais, que la chaire de l’Évangile n’est point faite pour des
éloges
profanes, je viens m’acquitter d’un devoir plus c
ivinité que la religion doit être le principe et la fin de tous leurs
éloges
; et que s’ils rehaussent par la pompe et la magn
Quant à la marche qu’ils doivent suivre dans la composition de leurs
éloges
funèbres, elle est la même que dans le Panégyriqu
la défection même de ce Prince, une abondante matière pour faire son
éloge
; et ils ne pourront s’empêcher de remarquer que
oucher ce point délicat de son histoire. Division. L’Orateur fonde l’
éloge
du Prince sur les qualités de son cœur, et nous e
dans le tombeau de nos Rois, est le premier Héros dont on ait fait l’
éloge
funèbre. Ferri de Cassinet, évêque d’Auxerre, le
i de Cassinet, évêque d’Auxerre, le prononça dans sa cathédrale : cet
éloge
n’a point passé jusqu’à nous. Mais ce n’est propr
le plus illustre et le plus éloquent de la république, prononça leur
éloge
. Les Romains, suivant Polybe, ouvrirent cette car
même sous les Empereurs, puisque Néron parvenu à l’empire, prononça l’
éloge
de Claude son prédécesseur. Dans Athènes, on ne l
arrière de l’éloquence. Leurs ouvrages ne nous sont point parvenus. L’
éloge
qu’en fait Cicéron lui-même, doit nous les faire
de réception ; les harangues, ou compliments à des puissances, et les
éloges
des académiciens. I. Des Mémoires, et des Disco
directeur de l’académie réponde au récipiendaire et qu’il en fasse l’
éloge
, ainsi que de l’académicien qu’on a perdu. L’orat
s naturelle : c’est un vrai chef-d’œuvre. II. Des Harangues et des
Éloges
. Les Harangues, ou compliments de félicitation
’élégance, la délicatesse surtout doivent les distinguer, parce que l’
éloge
en fait ordinairement le fond. On remarquera ces
mais qu’il rejaillira quelque chose sur elle. » Je suis, etc. ». Les
Éloges
académiques sont oratoires, ou historiques. Ceux
ses talents, son esprit, et les qualités de son cœur. On sent que ces
éloges
doivent varier suivant le rang, les titres, les d
rançaise, lorsque Destouches succéda à Campistron. Après avoir fait l’
éloge
des talents du premier pour le genre comique, et
t traité un sujet de littérature, sans s’être néanmoins affranchi des
éloges
de devoir. Son exemple a été déjà suivi, et mérit
é déjà suivi, et mérite bien de l’être constamment dans la suite. Les
éloges
qu’on prononce dans l’Académie des sciences, et d
leurs mœurs, de leur goût, de leurs talents. Le style de ces sortes d’
éloges
doit être élégant, plein de noblesse, mais en mêm
plus satisfaisante, tant pour l’agrément, que pour l’instruction. Les
Éloges
des membres de l’Académie des sciences par Fonten
lants. Boze, secrétaire de l’Académie des belles-lettres, a fait les
Éloges
des membres de cette compagnie. Il écrit naturell
e et Le Beau, qui l’ont successivement remplacé, ont publié aussi les
Éloges
de leurs confrères. Ils sont remarquables par la
ence ; il absout celui qu’il avait déjà condamné, et Cicéron mérite l’
éloge
qu’il avait donné à César, d’avoir su vaincre le
une courte et belle péroraison, celle qui termine, dans Fléchier, son
Éloge
funèbre de Julie d’Angennes, duchesse de Montausi
était pas autre chose chez les anciens, et alors il ne différait de l’
éloge
ordinaire que par la grandeur de l’assemblée. Le
é à la louange des saints. L’orateur s’y propose de les honorer par l’
éloge
de leurs vertus, et de nous engager nous-mêmes à
n joignant l’instruction au récit de ces vertus. Un juste mélange des
éloges
et de la morale fait la première perfection du pa
loué dans les livres saints, à celui dont j’entreprends aujourd’hui l’
éloge
? L’épouse de Jésus-Christ ne s’était jamais vue
etière. On croit communément que les Grecs commencèrent à user de ces
éloges
après la bataille de Marathon, vers 490 avant J.-
ère, et que Périclès, l’orateur le plus éloquent alors, prononça leur
éloge
. Les Romains, suivant Polybe, ouvrirent cette car
ême sous les empereurs, puisque Néron, parvenu à l’empire, prononça l’
éloge
de Claude, son prédécesseur24. Mais ces éloges, p
à l’empire, prononça l’éloge de Claude, son prédécesseur24. Mais ces
éloges
, purement humains, n’avaient à peu près de commun
des récompenses ou des peines éternelles après la mort a fait de ces
éloges
une œuvre absolument nouvelle, dont l’antiquité p
’orateur prononce avant de commencer son discours, doit être comme un
éloge
raccourci du héros, et mettre d’abord sous les ye
sainteté de la chaire chrétienne ne permet pas qu’on se borne, dans l’
éloge
des héros, à des faits purement humains. Le but e
autre sont semblables, et il ne manque aujourd’hui à ce dernier qu’un
éloge
digne de lui. Oh ! si l’esprit divin, l’esprit de
ent différents, et que nous séparerons avec soin ici, savoir : 1º les
éloges
historiques prononcés dans le sein des sociétés s
he, en rappelant leurs actions, de faire apprécier leurs travaux. Ces
éloges
appartiennent essentiellement à la biographie, et
émie française s’est composé d’un remercîment suivi de quatre ou cinq
éloges
: 1º celui du prédécesseur du récipiendaire ; 2º
L’académicien chargé de répondre au récipiendaire reprenait tous ces
éloges
, et y joignait celui de son nouveau confrère. On
de Fontenelle à l’évêque de Luçon, consacrée presque tout entière à l’
éloge
de Lamotte, auquel succédait cet évêque ; celle d
i les discours d’apparat étrangers aux réceptions, on peut signaler l’
Éloge
funèbre de Louis XIV, prononcé par Lamotte dans l
ur objet tantôt des questions philosophiques ou littéraires, tantôt l’
éloge
des grands hommes ; mais il n’en a pas toujours é
faire honneur, de proposer désormais pour sujet du prix d’éloquence l’
éloge
des hommes célèbres de la nation. Le public reçut
es pièces. La proposition de Duclos de donner pour sujets de prix les
éloges
des grands hommes, adoptée, à l’imitation de l’Ac
un assez grand nombre d’ouvrages estimés ou même célèbres. Le premier
éloge
proposé fut celui du Maréchal de Saxe ; ce fut Th
réchal de Saxe ; ce fut Thomas qui remporta le prix. Plusieurs autres
éloges
composés par le même Thomas et par La Harpe ont e
posés par le même Thomas et par La Harpe ont eu un succès mérité. Les
éloges
de La Fontaine et de Molière, par Chamfort, dans
x, Disposition oratoire. 16. Batteux, de l’Exorde. 17. M. de Séguy,
Éloge
de Villars. 18. Domairon, Rhét, de la Confirmati
formes de style, § 61, p. 148. 32. Condorcet, Vie de Voltaire. 33.
Éloge
de Mongin, note a. 34. D’Alembert, lieu cité.
Chapitre V. Analyse de l’
éloge
de Marc-Aurèle, par Thomas. La Harpe était tro
emiers écrivains, il y aura toujours une distance prodigieuse entre l’
éloge
du Dauphin, par exemple, et celui de Fénelon. On
sus de la portée de l’écrivain ; et d’avoir, en général, moins fait l’
éloge
de Fénelon, que la satire de Bossuet. Son éloge d
général, moins fait l’éloge de Fénelon, que la satire de Bossuet. Son
éloge
de Racine essuya également de nombreuses critique
oins l’intention d’élever Racine, qui d’ailleurs n’avait pas besoin d’
éloge
, que le projet bien formel de déprécier le grand
à se répandre au sujet du père de notre tragédie. Plus heureux dans l’
éloge
de Voltaire, La Harpe l’a jugé en homme de goût,
res ; et si l’enthousiasme de l’amitié l’a tant soit peu égaré dans l’
éloge
du philosophe, c’est un excès que son motif rend
’autres ont la bassesse de chercher à affaiblir108. Mais revenons à l’
Éloge
de Marc-Aurèle. Après un règne de vingt-ans, Mar
r dans presque tout le discours. C’est un philosophe qui entreprend l’
éloge
d’un monarque philosophe, dans la vraie significa
se perdre tout à fait entre celles de Sénèque et de ses imitateurs. L’
éloge
de Marc-Aurèle paraît moins entaché de ce vice ra
s ». Que cette cérémonie est noble et touchante en même temps ! Quel
éloge
pour un prince, que cet hommage solennellement re
physique, le monde moral, le monde intellectuel, etc. Et c’est dans l’
éloge
d’un guerrier, d’un magistrat, d’un ministre, que
le dans la nature, et de ce qui cesse de l’être par les passions ». (
Éloge
de Sully). Voici comme Fontenelle décrit le goût
idélités, on en pourrait excepter son goût pour les pierres, etc ». (
Éloge
de Tournefort). Voilà deux morceaux d’un caractèr
la vérité des taches, et des taches beaucoup trop nombreuses dans ses
éloges
académiques ; mais il était aisé de les faire dis
nt pas les bornes de leur esprit, mais celles de l’esprit humain ». (
Éloge
de Newton). Voilà ce qu’est Fontenelle, quand son
par préférence embrasser le dernier ; et ils l’ont fait ». (Thomas,
Éloge
de Descartes). Encore une citation et ce sera la
s XII. Ce même parallèle s’offrait naturellement à Fontenelle, dans l’
éloge
académique du czar, et voici comme il s’en est ti
à l’exemple de Thomas, qui ne serait tenté de le prendre, en lisant l’
éloge
de Maurice, pour un militaire consommé dans l’étu
balancent avec un art terrible et profond la destinée des états ». (
Éloge
de Sully). Veut-on savoir comment le maréchal de
du soldat, et lui donner le plus grand degré d’activité possible ». (
Éloge
de Maurice, comte de Saxe). S’agit-il des préjugé
uplé auparavant d’opinions et d’idées, devient un désert immense ». (
Éloge
de Descartes). « Il franchit les barrières qui s
use, poussa la complaisance académique jusqu’à louer outre mesure les
Éloges
de Thomas107. Il est vrai qu’il ne s’est guère ar
fort indulgent, sur le meilleur ouvrage de Thomas, son Essai sur les
Éloges
. « La diction de M. Thomas procède peut-être d’u
p souvent la délicatesse du goût . Et un peu plus loin, à propos de l’
Éloge
de Marc-Aurèle, « que le goût sain de l’antiquité
el de cette compagnie ; et ce fut en cette qualité qu’il prononça ses
Éloges
des savants, qui forment son principal titre litt
nde qui ne soit le monument de quelque sottise des hommes. Ibid.
Éloge
de d’Argenson. (Fragment.) M. d’Argenson1 v
ici sont en si grand nombre et si importantes, que j’affaiblirais son
éloge
en y faisant entrer la reconnaissance que je lui
rai toujours pour sa mémoire. Histoire de l’Académie des sciences 2 (
Éloges
des académiciens). Homère et Ésope. Homèr
uées qui portent toutes les espèces de fruits. » 2. On a de Garat un
Éloge
de Fontenelle, couronné en 1784 ; mais il vaut mi
m. 2. Dans son Histoire de l’Académie des sciences, qui renferme les
Eloges
des académiciens et passe pour le modèle du genre
mais sans abdiquer son indépendance, que Vauvenargues a honoré de ses
éloges
, dont l’esprit s’est montré vaste, lumineux, univ
s Præstrinxit, stellas exortus uti æthereus sol. On peut voir un bel
éloge
d’Homère considéré comme moraliste dans l’une des
près un triomphe si rare, il ne fallait pas une vertu commune ». Cet
éloge
, entièrement fondé sur des faits racontés avec ce
panégyriste, quand il lui suffit d’être historien exact pour tracer l’
éloge
de son héros ! « L’histoire déposera que, sans l
négyrique, on n’a fait qu’un récit simple. Ô force de la vérité ! les
éloges
ne peuvent venir que de vous. Et qu’importe encor
é ! les éloges ne peuvent venir que de vous. Et qu’importe encore des
éloges
? nous devons des actions de grâces. Quel est le
Maury : mais il ne me paraît pas avoir rendu à ce Panégyrique et à l’
Éloge
funèbre des officiers, toute la justice que mérit
glise nous ont laissé beaucoup d’homélies. Le panégyrique sacré est l’
éloge
d’un saint ; il a pour objet de célébrer les vert
lu doit louer son prédécesseur ; le président lui répond, et fait son
éloge
en même temps que celui de l’académicien décédé.
ons politiques envahir les paisibles solennités de l’Académie. 2° Les
éloges
historiques et les questions de concours. Les aca
es proposent, pour le prix d’éloquence qu’elles doivent décerner, les
éloges
des écrivains- distingués, des grands hommes dont
e. Au lieu de se renfermer dans les bornes étroites et monotones de l’
éloge
, les concurrents académiques prennent un vol plus
nt un vol plus élevé ; ils ne s’évertuent plus, comme Thomas dans ses
Éloges
, à balancer harmonieusement des périodes, à couri
rendu à la mémoire des morts, et souvent prononcé sur leur tombe. Cet
éloge
a pour but moral d’inspirer aux vivants le respec
plus éloquent des panégyristes ; et la forme, le ton et le style de l’
éloge
, tout est aussi neuf ici, que les vertus mêmes qu
rit, le caractère et les principes de son maître : c’est un véritable
éloge
, éloge d’autant plus éloquent, qu’il n’a rien qui
caractère et les principes de son maître : c’est un véritable éloge,
éloge
d’autant plus éloquent, qu’il n’a rien qui semble
ands traits de la véritable éloquence, louant des vertus réelles, les
éloges
trop vantés et si peu lus d’Isocrate ! Que le rhé
socrate à Platon ! elle est aussi grande que de Socrate à Évagoras. L’
éloge
de ce roi de l’île de Chypre est pourtant, de tou
t sans doute pour quelque chose ; et c’est par la même raison que les
éloges
d’Hélène et de Busiris, du même auteur, ne sont q
mbrasse, 1º les discours de réception ; 2º les sujets proposés ; 3º l’
éloge
des académiciens, prononcés dans l’académie même,
se renfermèrent longtemps dans un cadre aussi monotone qu’étroit : l’
éloge
du roi, l’éloge de l’académicien auquel on succéd
longtemps dans un cadre aussi monotone qu’étroit : l’éloge du roi, l’
éloge
de l’académicien auquel on succédait, l’éloge du
oit : l’éloge du roi, l’éloge de l’académicien auquel on succédait, l’
éloge
du cardinal fondateur de l’académie ; telle était
t ce même homme, qui se montra si éloquent quelque temps après dans l’
éloge
du grand Corneille, fut sec, froid et stérile pou
ctère de notre langue comparée aux langues étrangères. Après un court
éloge
du président Bouhier, et une revue rapide de ses
nts d’histoire, fort bien écrits, qu’il nous a laissés, surtout par l’
éloge
qu’il a fait de Pierre Corneille. Rien de plus cu
ayé la carrière un noble tribut de reconnaissance. L’éloquence de son
éloge
a sa source dans la sincérité de son admiration ;
nçaise, le 2 janvier 1685, pour la réception de Thomas Corneille2.
Éloge
de Louis XIV1. La fortune a pris, ce semble, p
il sera curieux de rapprocher sa Vie par son neveu Fontenelle et sou
Eloge
par Victorin Fabre, enfin et surtout le travail q
que M. Guizot a publié sur ce grand homme. 1. Racine a fait aussi l’
éloge
de Louis XIV dans le discours dont nous venons de
e partie dans ses Œuvres publiées en 1806, confirme en tout point cet
éloge
: on y trouve les Instructions qu’il rédigea pour
Chapitre III.
Éloges
de Pompée et de César, par Cicéron. Après l’él
Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. Après l’
éloge
de Socrate par Platon, celui de Caton par Cicéron
rceaux oratoires célèbres, dans le genre du panégyrique : ce sont les
éloges
de Pompée, dans le discours pour la loi Manilia,
(Nos 31 et 33). Des talents militaires de Pompée, Cicéron passe à l’
éloge
de ses vertus domestiques. 93 « Jàm verò ita fa
am judicarint ? etc. ». (Nºs 41, 42). Toutes les autres parties de l’
éloge
sont parcourues et traitées avec la même supérior
sur les Romains que par la douceur et la bienveillance. Sans doute l’
éloge
est prodigué à César dans cette harangue : mais i
nte des conquêtes, Cicéron en vient au véritable sujet du discours, l’
éloge
de la clémence du vainqueur. 95« Domuisti gente
a conservé un monument précieux de l’éloquence de Périclès ; c’est l’
éloge
funèbre qu’il prononça des guerriers morts pendan
régulières et harmonieusement cadencées, dont Cicéron fait un si bel
éloge
, et pour lesquelles il eut lui-même tant de prope
es sur le mérite d’Isocrate comme orateur. Si Platon en fait un grand
éloge
, Aristote dit, en propres termes, qu’il est honte
et nous nous y arrêterons avec l’étendue convenable, à l’article des
Éloges
funèbres.
utre sont semblables ; et il ne manque aujourd’hui à ce dernier qu’un
éloge
digne de lui. O si l’Esprit divin, l’Esprit de fo
paraît le plus éclatant dans une si belle vie. Tous entreprennent son
éloge
; et chacun, s’interrompant lui-même par ses soup
la gloire de cet illustre mort, est le plus grand et le plus glorieux
éloge
de sa vertu. Les peuples répondirent à la douleur
it toutes les convenances de genre, de personnes et de positions. Les
éloges
mondains sont pour la douleur naturelle du neveu
re épistolaire.) 1. Voilà des consolations bien dogmatiques. 2. Cet
éloge
a de l’onction et de la convenance. 3. Les conso
de rhétorique. Narration, Description, Tableau, Portrait, Parallèle,
Éloge
, Discours, Allégorie, Lettre, Rapport, Dialogue,
? Attaquer Chapelain ! ah ! c’est un si bon homme ! Balzac en fait l’
éloge
en cent endroits divers. Il est vrai, s’il m’eût
glogue III, vers 90.) On peut citer comme exemple de la réciproque l’
éloge
indirect de Louis XIV, contenu dans les reproches
rration, 2° Description, 3° Tableau, 4° Portrait, 5° Parallèle, 6°
Éloge
, 7° Discours, 8° Allégorie, 9° Lettre, 10° Rappor
icéron par Fénelon, dans sa Lettre à l’Académie française, § 4. 6°
Éloge
L’éloge est un portrait destiné à faire aimer
Fénelon, dans sa Lettre à l’Académie française, § 4. 6° Éloge L’
éloge
est un portrait destiné à faire aimer ou admirer
entière. Ex. en général, les discours académiques ; en particulier l’
éloge
de Dupin par M. Cuvillier-Fleury (11 avril 1867).
expressions choisies, telles sont les qualités indispensables à tout
éloge
. Le panégyriste doit surtout tenir compte de la l
issertation. religieuse, philosophique, scientifique, littéraire.
Éloge
. Analyse littéraire. simple, critique Discou
ne puissance. Un habile prosateur de nos jours, L. Veuillot, a fait l’
éloge
de la prose dans quelques vers bien frappés : Ô
nnu la forme la plus élevée. Chez eux, il consistait seulement dans l’
éloge
ou le blâme, le panégyrique et l’éloge funèbre. C
il consistait seulement dans l’éloge ou le blâme, le panégyrique et l’
éloge
funèbre. C’est au christianisme que nous devons l
e, et en rattacher les faits à leur principale vertu. Juste mélange d’
éloge
et de morale, tel est l’idéal du genre. Ex. Bourd
eur naissance, leur rang, leurs vertus et leurs actions. Toutefois, l’
éloge
de ces grands personnages est subordonné aux doct
connaissaient. En Égypte, les prêtres faisaient, devant le peuple, l’
éloge
des rois après leur mort. Dans la république démo
e comme une sorte de récompense nationale pour ceux dont on faisait l’
éloge
. C’est ainsi que Valérius Publicola fut chargé de
avoir interdit la tribune aux citoyens, Auguste y monta pour faire l’
éloge
funèbre de Marcellus, son neveu, et de Drusus, fi
etc. Toutes ces oraisons funèbres sont aujourd’hui perdues. Mais ces
éloges
, sans caractère religieux, n’avaient qu’un rappor
nominal avec notre oraison funèbre. On peut rapprocher chez nous des
éloges
funèbres de ce genre, celui qu’a prononcé Voltair
cadémique ou savante comprend : 1° les discours de réception ; 2° les
éloges
historiques, 3° les rapports sur les prix de vert
ie française, le sujet de ce genre de discours a été invariablement l’
éloge
de l’académicien décédé, celui de Richelieu, fond
asse en revue et on apprécie les œuvres de l’académicien : décédé.
Éloge
L’éloge, pris dans son sens le plus étendu, es
ue et on apprécie les œuvres de l’académicien : décédé. Éloge L’
éloge
, pris dans son sens le plus étendu, est un discou
onfondait avec le panégyrique et l’oraison funèbre. Chez les Grecs, l’
éloge
public des guerriers morts pour la patrie était u
soldats athéniens morts à la bataille de Chéronée. On faisait aussi l’
éloge
des citoyens qui avaient rendu quelques services
s services à la patrie. Ex. celui de Léonidas à Sparte, etc. D’autres
éloges
étaient politiques et historiques. Ex. le panégyr
étaient politiques et historiques. Ex. le panégyrique d’Athènes, — l’
éloge
d’Évagoras par Isocrate, — celui d’Agésilas par X
, — celui d’Agésilas par Xénophon, etc. Chez les Romains, l’usage des
éloges
en l’honneur des grandes actions ou des vertus d’
nnage illustre exista dès les premiers temps de la république. Ex. L’
éloge
collectif des soldats de la légion de Mars, morts
eux de Virginius Rufus, à Agricola par Tacite. Chez les modernes, les
éloges
consistent en oraisons funèbres, dont nous avons
r Racine à l’Académie française, celui de Bossuet par La Bruyère, les
éloges
historiques de Thomas, etc. On peut ranger dans c
rançaise ou les autres classes de l’Institut. Leur sujet est tantôt l’
éloge
d’un grand écrivain, tantôt le tableau littéraire
entifique ou économique de la France à une époque déterminée. Ex. les
éloges
de Montaigne et de Montesquieu par Villemain, — l
u seizième siècle par Philarète Chasles et Saint-Marc Girardin, — les
éloges
de Vauvenargues et de Regnard par Gilbert, — ceux
gyrique, Oraison funèbre, etc. 5° Académique : Discours de réception,
Éloge
historique, Rapport littéraire, Compliments, Mémo
n que l’orateur a dû saisir, et qui se trouvent nécessairement dans l’
éloge
de ces grands hommes. Et quand de pareils sujets
Nous allons donc terminer cet article par l’examen détaillé des trois
éloges
funèbres consacrés à la mémoire de Condé et de. T
c’est ce qui nous dispense de le placer ici. Celui de Bossuet dans l’
éloge
du grand Condé, est d’un caractère tout différent
onstance délicate, et trop marquante cependant pour être écartée d’un
éloge
historique, présentait à leurs panégyristes un en
véritable science littéraire, nous a semblé mériter non seulement des
éloges
, mais une propagation qui ne peut être que profit
essant volume sont appréciés comme ils le méritent ; une juste part d’
éloge
et de blâme leur ont été faite, et un légitime ho
aute de la noble mission de l’écrivain Je ne trouve pas moins digne d’
éloge
votre sévérité ou plutôt votre justice à condamne
ujourd’hui vous remercier des services qu’il m’a rendus. J’en ferai l’
éloge
en trois mots : des nombreux manuels que je possè
sipe, ont été jusqu’à le comparer à Bossuet. Il suffit de dire, à son
éloge
, qu’il s’est une fois rapproché de ce modèle : un
paraît le plus éclatant dans une si belle vie. Tous entreprennent son
éloge
; et chacun, s’interrompant lui-même par ses soup
ent.) Caractère du duc de Montausier : franchise qui convient à son
éloge
. Je viens vous faire admirer un homme qui ne s
-je dans celui-ci, où la franchise et la candeur font le sujet de nos
éloges
, employer la fiction et le mensonge ? Ce tombeau
ectives ; et l’on n’entend qu’avec peine ceux qui font eux-mêmes leur
éloge
. Eschine avait donc pour lui ce qui captive l’att
e fussent point favorables ; de payer un juste tribut de regrets et d’
éloges
à ces illustres morts, dont il a osé louer la bra
née, ne s’aperçoit pas qu’il veut aussi vous priver du juste tribut d’
éloges
que vous doit la postérité ; car, si vous me cond
ès ». Voilà ce serment si célèbre dans l’antiquité, cité avec tant d’
éloges
par Longin, et si souvent rappelé de nos jours. I
deux harangues qui avaient causé son bannissement. On donna de grands
éloges
à la sienne ; mais quand il passa à celle de Démo
é qui ont suggéré plus d’une imitation à Chénier : en premier lieu, l’
éloge
de l’Attique, qui forme le IIe chœur de l’Œdipe à
’éloge de l’Attique, qui forme le IIe chœur de l’Œdipe à Colone, et l’
éloge
de l’Italie, que renferme le IIe livre des Géorgi
Ie livre des Géorgiques. On comparera aussi avec intérêt à ces vers l’
éloge
de l’Angleterre par Thompson dans le IIe chant de
’éloge de l’Angleterre par Thompson dans le IIe chant des Saisons ; l’
éloge
du Languedoc par Rosset, dans le chant III du poë
nous pleurons ont été autrefois assez publiées : la magnificence des
éloges
a égalé celle des événements ; les hommes ont tou
Panégyrique de saint Louis 1 (Extrait de la première partie). 2. L’
éloge
de Massillon a été composé par d’Alembert, en 177
llon a été composé par d’Alembert, en 1774. On peut rapprocher de cet
éloge
une lettre de Mme de Maintenon au duc de Noailles
s personnes ; les panégyriques des saints, les oraisons funèbres, les
éloges
, les compliments, etc. 2° Le Genre Délibératif, a
nres, on pourra lire comme exemple de démonstratif la Péroraison de l’
éloge
funèbre de Washington par M. de Fontanes ; comme
Socrate à ses juges, par Barthélemy. Lectures. — 1° Péroraison de l’
Éloge
funèbre de Washington. Vol. II, nº 147. — 2° Appe
ange directe. Le seul récit des faits doit tenir lieu de censure ou d’
éloge
. Les vies des hommes illustres ont, du reste, ce
de l’Histoire littéraire, que les modernes ont composé sous le nom d’
éloges
historiques un très grand nombre de biographies r
tingués. Cette dernière partie comprend les notices biographiques, ou
éloges
des académiciens morts par les confrères survivan
avons dit quelques mots à propos de l’éloquence académique. Entre ces
éloges
historiques, il faut distinguer ceux de d’Alember
es qui l’avaient précédé, imitant avec plus de liberté et d’idées les
éloges
historiques de Pélisson et de d’Olivet ; et, sur
publiés, un Précis historique de son établissement, par Roze ; et les
éloges
des membres de cette académie forment aussi une s
harme que peut offrir ce genre d’histoire, un court passage tiré de l’
Éloge
de Marivaux par d’Alembert. Il s’agit d’une pièce
e du Christianisme, IIIe partie, l. IV, chap. 5 ; M. Villemain dans l’
Eloge
qu’il lui a consacré et que l’Académie française
il lui a consacré et que l’Académie française a couronné en 1816 (son
éloge
avait été fait une première fois par d’Alembert),
1. Ce pronom ils désigne les Troglodites. 1. On pourra lire dans l’
Éloge
de Montesquieu de M. Villemain une page d’excelle
honore la sagesse de Montesquieu, c’est qu’ils renferment le plus bel
éloge
de la vie sociale… Montesquieu fonde le bonheur s
ar la façon dont parient ou écrivent ses détracteurs est son plus bel
éloge
. En attendant, c’est une œuvre utile que de prése
chante, de faire aimer le bien et le beau par des images vives, par l’
éloge
des grandes et bonnes actions. Il ne s’agit pas p
enre démonstratif. On lui rapporte les sermons, les panégyriques, les
éloges
, les oraisons funèbres, les compliments ou remerc
nérales : I. Il ne faut louer que par les faits. Bossuet a dit dans l’
éloge
du grand Condé : Le sage a raison de dire que leu
e réunissent souvent dans le même discours. Que sont presque tous les
éloges
et les panégyriques sinon des exhortations à la v
oi Henri IV, aussi habile que généreux, fait de sa propre conduite un
éloge
qui aurait dû lui gagner tous les cœurs ; voilà l
alité, comme lorsqu’on dit que la description du lever du soleil ou l’
éloge
de la paix est un lieu commun. D’ailleurs, rien n
eu tel aujourd’hui qu’il fut dans tous les temps. Fléchier prépare l’
éloge
de Turenne en énumérant : Les effets glorieux.de
re un usage très oratoire ; pour prouver qu’il est inutile de faire l’
éloge
du prince de Condé, il rattache l’espéce au genre
ombragée, j’aurais une petite maison rustique. Il s’agit de faire l’
éloge
de la paix : Si la guerre est la cause des plus
séquents). Racine a très-heureusement fait servir ce lieu commun à l’
éloge
du grand Corneille : En quel état se trouvait la
se et l’effet. — Ce sont des circonstances d’une grande valeur pour l’
éloge
ou pour le blâme. Fléchier, pour montrer qu’il es
ins de cet encens qu’on va brûler sur les autels. Montesquieu fait l’
éloge
de l’ancienne Rome en rappelant les causes de sa
ent de bienveillance qu’il faut marquer au début peut aller jusqu’à l’
éloge
de l’auditeur ; mais cette louange même doit être
habileté, il prépare si bien les esprits qu’il triomphe et mérite cet
éloge
de Pline l’Ancien : « A ta voix, le peuple rejett
fond même du discours : les oraisons funèbres, les panégyriques, les
éloges
académiques ne sont guère qu’une suite de récits.
n’avait eu qu’à se défier de ses propres désirs ; ce roi dont tant d’
éloges
et de trophées publics avaient immortalisé les co
de Bourgogne. Saint-Simon pouvait-il faire en termes plus éloquents l’
éloge
de son immortel ami : M. le duc de Bourgogne naq
dans Polyeucte, Sévère, avec la précision d’un homme d’État, fait cet
éloge
des chrétiens : Ils font des vœux pour nous q
endrir Assuérus ; elle se sert d’une admirable amplification dans cet
éloge
de : Juifs : Adorant dans leurs fers le Dieu qui
tion qui valait beaucoup mieux que ce dilemme, ce fut la lecture de l’
éloge
d’Athènes que Sophocle venait de composer et qui
ssions que Bossuet cherche à exciter dans l’admirable péroraison de l’
éloge
funèbre du prince de Condé. L’orateur, avec une h
e de la construction des mots et pour expliquer que Boileau faisant l’
éloge
de Malherbe ait pris soin d’y ajouter ce détail :
vérité je fais ma seule étude. Bossuet présente sous la même forme l’
éloge
de la fermeté déployée par le roi Charles Ier :
e vous fuis ; absente, je vous trouve. De même Cicéron, pour faire l’
éloge
de l’amitié : Grâce à elle, les absents sont sou
erver encor pour vous quelque bonté ; tantôt la forme détournée d’un
éloge
ou d’un blâme qu’on rendrait lourd et maladroit s
Démosthène excelle dans l’art de faire passer le blâme à l’ombre de l’
éloge
; en même temps qu’il reproché aux Athéniens leur
uation peut même aller jusqu’à dissimuler le blâme sous la forme de l’
éloge
, c’est alors ce que les Grecs appelaient astéisme
t je passai le temps avec les dames qui nous vinrent voir. Il fait l’
éloge
de l’activité de son oncle en même temps qu’il s’
re. L’euphémisme devient alors une ironie qui, sous l’apparence d’un
éloge
, cache ou plutôt fait mieux sentir la raillerie :
misme et l’atéisme donnent au blâme une forme moins blessante, à l’
éloge
plus de poids et plus de charme. VI. L’ironie
? Attaquer Chapelain ? Ah ! c’est un si boa homme : Balzac en fait l’
éloge
en cent endroits divers. Il est vrai, s’il m’eût
ils soit exilé ? Molière Bossuet en a fait un très-bel emploi dans l’
éloge
de Charles Ier d’Angleterre : Je veux bien avoue
d’une liberté portée à l’excès, mais qui ne sert qu’à faire valoir un
éloge
. C’est une façon très-adroite de faire passer la
e dans un discours où la franchise et la candeur font le sujet de nos
éloges
, employer la fiction et le mensonge ? Ce tombeau
marche qu’au bruit de la chute des empires ! ‘ Jamais l’auteur des
Eloges
n’a mieux justifié l’allusion cruelle du mot gali
use en font un grand usage : Il y a des reproches qui louent et des
éloges
qui médisent. La Rochefoucauld. Notre mérite
près avoir décrit la réunion des sages dans les Champs Elysées fait l’
éloge
de Caton en un seul mot ; Caton présidait l’assem
endre les sentiments doux et agréables, elle donne plus de charme aux
éloges
. — C’est par un tour ravissant qu’Iphigénie avoue
z demandé que ma vie. Quelle forme plus délicate de consolation et d’
éloge
que les vers célèbres de Malherbe à propos de la
élicatesse convient surtout à l’expression des sentiments doux et aux
éloges
qui ne veulent pas tomber dans la platitude et la
à composer des fables, des développements littéraires ou moraux, des
éloges
, des accusations, des réfutations, etc. De cet en
auvaises causes, à ravir tour à tour les mêmes applaudissements par l’
éloge
de la paix et par l’éloge de la guerre. Dans ce p
our à tour les mêmes applaudissements par l’éloge de la paix et par l’
éloge
de la guerre. Dans ce pays, où l’amour de la paro
ements d’un mot célèbre ou d’une vérité morale, analyses littéraires,
éloges
, plaidoyers, discours politiques, tous les genres
; presque tous renferment une narration. Le portrait, le parallèle, l’
éloge
ou la critique sont des moyens employés dans la c
oyens employés dans la confirmation. Enfin le discours est souvent un
éloge
, un plaidoyer, une discussion. Voilà pourquoi les
° Compositions philosophiques : Caractères — Portraits — Parallèles —
Éloges
— Développement d’un mot historique — d’une vérit
X. Compositions morales et philosophiques. Caractères. — Portraits. —
Éloges
. — Parallèles. 1. Des compositions morales et
de caractères. — 4. Du portrait. — 5. Modèles de portraits. — 6. De l’
éloge
. — 7. Modèles d’éloges. — 8- du parallèle. — 9. M
portrait. — 5. Modèles de portraits. — 6. De l’éloge. — 7. Modèles d’
éloges
. — 8- du parallèle. — 9. Modèles de parallèles. —
e analyse et d’une étude à part. Ce sont le caractére, le portrait, l’
éloge
, le parallèle, le développement historique, le dé
sion noble et feconde, il s’en faut que tous les portraits soient des
éloges
; témoin le portrait de Tibère par Tacite, Le plu
souvent l’historien est obligé de mêler dans un portrait Je blâme à l’
éloge
; c’est ce qu’a fait. M. Thiers dans cette belle
ir été le mortel le plus complet qui ait paru sur la terre. 6. De l’
éloge
. — L’éloge est un portrait destiné à faire aimer
ortel le plus complet qui ait paru sur la terre. 6. De l’éloge. — L’
éloge
est un portrait destiné à faire aimer ou admirer
ans le choix des expressions est indispensable au succès sérieux d’un
éloge
; tout panégyriste doit avoir sans cesse présente
goût ; et la comparaison en peut être très-instructive. 7. Modèles d’
éloges
. Saint Louis. Sujet. — Saint Louis est le modèle
re principal du modèle doit servir de point central au tableau. IV. L’
éloge
ne doit dire que la vérité dans un style sobre d’
isi le second à l’exclusion du premier, le lui aurait-on pardonné ? L’
éloge
de la folie ou de la paresse, la diatribe contre
osez-les écrits par Cicéron même, nous intéresseront-ils autant que l’
éloge
de Caton ou les Philippiques ? Le sur quoi et le
incidents tenaient le lecteur en haleine jusqu’à la lin. Le plus bel
éloge
à leur goût, c’était que, une fois la lecture com
in, « un grand écrivain dans le siècle de Bossuet », on peut voir les
Eloges
imprimés de madame Tastu et de M. Caboche, et sur
vec autant de finesse que de grâce. Il suffirait de rappeler pour son
éloge
que, sur la fin de sa belle vie, M. Royer-Collard
de Vatel, il n’est aucune personne sensée qui puisse lui accorder des
éloges
. 1. De Coulanges. 2. Jardinier des Rochers. 3.
ques, aussi bien que le modèle des fabulistes 2 Le Val-de-Grâce :
éloge
du peintre Pierre Mignard 1. Digne fruit de vi
e manque à sa gloire, il manquait à la nôtre. Elle mit également son
éloge
au concours (1769), et le prix fut obtenu par Cha
ère de peindre sur les murailles) par Mignard, dont on voit ensuite l’
éloge
. 1. Cette pièce est de 1661, et ce fut à Vaux, d
ouvons que les constater, pour garantir l’impartialité de nos propres
éloges
. Nous dirons cependant encore que ces volumes, qu
ute de la noble mission de l’écrivain. Je ne trouve pas moins digne d’
éloge
votre sévérité ou plutôt votre justice à condamne
ujourd’hui vous remercier des services qu’il m’a rendus. J’en ferai l’
éloge
en trois mots : des nombreux manuels que je possè
les mêmes choses qu’on a épuisé toutes les formules de souhaits et d’
éloges
. Il faudrait une merveilleuse adresse pour ne pas
e des tournures à employer pour ne pas tomber dans l’affectation et l’
éloge
outrés. Dans les lettres à l’occasion des anniver
rosité, la grandeur d’âme du donateur. On ne se mêlera soi-même à ces
éloges
que pour dire un mot de sa reconnaissance. Les ré
Chapitre VII.
Éloge
funèbre des officiers morts dans la guerre de 174
e genre d’éloquence, du ton et du style qui lui conviennent, dans son
Éloge
funèbre des officiers morts dans la guerre de 174
l faut avoir soin d’abord « de relever un peu leur personnage par des
éloges
», ἵνα μὴ πρὸς φαῦλον ϰαὶ εὐτελὲς διαλέγεσθαι δοϰ
rgk) et l’école d’Aristophane jusqu’à Molière, en passant par Érasme (
Éloge
de la Folie, chap. vii, p. 33, éd. 1777, dont Mol
blâme comme les autres célébraient leurs héros par des hymnes et des
éloges
. VIII. Des poètes antérieurs à Homère, il n’en es
nécessairement, l’un ou l’autre. Quant au démonstratif, il comprend l’
éloge
ou le blâme. IV. Les périodes de temps propre à c
ent, car c’est généralement sur des faits actuels que l’on prononce l’
éloge
ou le blâme ; mais on a souvent à rappeler le pas
mploie accessoirement des arguments propres aux autres genres. Pour l’
éloge
ou le blâme, c’est le beau et le laid moral, auxq
ouvent étrangère au débat. De même encore l’orateur, dans le cas de l’
éloge
ou du blâme, ne considère pas si celui dont il pa
fait des choses utiles ou nuisibles, mais souvent, en prononçant son
éloge
, il établit qu’il a fait une belle action au détr
avoir lieu. IX. De plus, comme tous les orateurs, qu’il s’agisse de l’
éloge
ou du blâme, de l’exhortation ou de la dissuasion
je portais du poisson d’Argos à Tégée. Iphicrate faisait son propre
éloge
quand il disait : « Quels commencements a eus l’
la vertu et du vice. Du beau et du laid (moral). — Des éléments de l’
éloge
et du blâme. Nous parlerons ensuite de la vertu
hent à celles qui existent réellement pour les identifier en vue de l’
éloge
ou du blâme ; par exemple, d’un homme prudent fai
à tout le monde. XXX. Il faut considérer aussi devant qui on fait un
éloge
. En effet, comme le disait Socrate, « il n’est pa
ère, pour mari et pour frères autant de tyrans. XXXII. Mais, comme l’
éloge
se tire des actions accomplies et que le propre d
nc que les actions soient présentées comme ayant ce même caractère. L’
éloge
(ἐγκώμιον) porte sur les actes. On y fait entrer
ation, tant vaut l’homme qui l’a reçue. C’est pourquoi nous faisons l’
éloge
d’après les actes, mais les actes sont des indice
XXXIV. La béatification et la félicitation ne font qu’un seul genre d’
éloge
par rapport à celui qui en est l’objet, mais ces
rincipe dans la délibération, transporté dans le discours, devient un
éloge
. XXXVI. Ainsi donc, puisque nous savons ce qui co
e façon a la valeur d’un précepte. De cette autre manière, ce sera un
éloge
: « S’enorgueillissant non pas de ce qui lui étai
, et lorsque tu veux énoncer un précepte, vois sur quoi porterait ton
éloge
. XXXVII. Le discours sera nécessairement tourné e
lui ; si c’est en sa faveur qu’a été composé pour la première fois un
éloge
; tel, par exemple, qu’Hippolochus248 ou Harmodiu
par excès de vertu ou de vice et qui provoquent les invectives et les
éloges
, les honneurs et les affronts, puis enfin, les pr
des plaisanteries de bon goût. XIV. On aime encore : Ceux qui font l’
éloge
de nos bonnes qualités et, principalement, de cel
Louer une personne en sa présence est un acte de flatterie. Faire un
éloge
outré de ses qualités et passer l’éponge sur ses
voquent une admiration générale, ou la nôtre propre. VII. Ceux dont l’
éloge
et les louanges sont célébrés par les poètes ou l
un fait, soit que l’on conseille ou que l’on dissuade, qu’on fasse un
éloge
, ou qu’on présente une défense. V. Ces points dét
itions, et tant d’autres questions analogues ? VI. Comment faire leur
éloge
, si nous ignorions le combat naval de Salamine, o
toujours sur de belles actions, réelles ou apparentes, que repose un
éloge
. VII. Semblablement, on leur inflige un blâme d’a
s on s’égare dans les généralités. XII. J’appelle « généralité402 » l’
éloge
d’Achille fondé sur ce que c’était un homme, un d
tout autant à beaucoup d’autres, de telle sorte que l’auteur d’un tel
éloge
ne dirait là rien de plus en faveur d’Achille que
it honteux qu’il y eût contradiction. C’est ainsi qu’Isocrate, dans l’
Éloge
d’Hélène, a écrit qu’elle fut une femme de valeur
’Alexandre431, « lui que les déesses choisirent pour juge ». Dans son
éloge
d’Évagoras, Isocrate, pour prouver que c’était un
es plus augustes sacrifices. Citons encore le cas où, voulant faire l’
éloge
de tel chien, on le met en parallèle avec le Chie
« ceux qui se pressent dans les panégyries625 ». Autre exemple dans l’
Éloge
funèbre : « Il était juste et digne que, sur le t
niforme. II. Les exordes des discours démonstratifs ont pour texte un
éloge
ou un blâme. Par exemple, Gorgias, dans son disco
le : « Il faut honorer les hommes de bien. » C’est pourquoi il fait l’
éloge
d’Aristide. Ou encore on louera ceux qui ne sont
gé670… Les exordes des discours démonstratifs ont donc pour texte un
éloge
, un blâme, l’exhortation, la dissuasion, les fait
urs a l’apparence d’une œuvre sans art, s’il n’y en a pas. Tel sera l’
éloge
des Éléens, par Gorgias, qui, sans préparation, s
lancer une imputation, consiste à placer un blâme sévère à côté d’un
éloge
insignifiant, à mentionner en peu de mots un fait
e la matière ne lui faisait pas défaut : parlant d’Achille, il fait l’
éloge
de Pélée, puis d’Éaque, puis du dieu (Jupiter), p
s’agit, selon nous, de la valeur attribuée à ce qui fait l’objet de l’
éloge
ou du blâme. 209. Le beau, le juste, l’utile (no
458. Majeures. 459. Μῦς, rapproché de μυστήριον. Exemple tiré de l’
Éloge
de la Souris, par Polycrate. Cp. ci-dessous. 460
bres l’Océan. 577. Isocrate a commencé par ce péan le Panégyrique, l’
Éloge
d’Hélène, Busiris, etc. 578. La brève ne corresp
ομένως). 625. Cp. Isocrate, Discours à Philippe, § 12. 626. Lysias,
Éloge
funèbre, § 60. (Voir la note dans la traduction d
manuscrit de Paris (1741), on a reproduit ici le passage relatif à l’
éloge
, l. I, ch. ix, §§ 33-37 (p. 1367 b 26 — 1368 a 10
délibération porte toujours sur l’avenir, le jugement sur le passé, l’
éloge
ou le blâme ordinairement sur le présent. Je répo
ment porte toujours sur le passé, il en est fort souvent de même de l’
éloge
ou du blâme, qui ne sont en définitive qu’une esp
t aussi qu’il y a presque toujours du démonstratif, c’est-à-dire de l’
éloge
ou du blâme dans le judiciaire et même dans le dé
e que son client est citoyen romain, et il charme ses auditeurs par l’
éloge
du poète et des lettres elles-mêmes. Enfin, il ar
n partout. Nous croyons qu’il y a également un excès dans ces pompeux
éloges
et dans cet injurieux mépris. 49. Il n’est point
. Il n’est jamais permis de refuser à un adversaire la justice ou les
éloges
qu’il mérite, de lancer contre lui des traits tro
cadémiques, les oraisons funèbres, les panégyriques des saints et les
éloges
des grands hommes. L’exorde de Bossuet dans l’ora
es du fond du sujet. On cite comme modèle l’endroit où Cicéron fait l’
éloge
des lettres dans son discours pour le poète Archi
aines parties de la confirmation, et au discours tout entier dans les
éloges
académiques ; le style pourra être sublime vers l
bunaux, sont soumises à un jugement ; et le démonstratif comprend les
éloges
, les panégyriques et les discours satiriques. 298
be rappeler ses exemples et encourager les fidèles à l’imiter. 344. L’
éloge
des saints se tire des diverses positions où ils
re saint pour relever davantage votre propre héros. 345. En faisant l’
éloge
des saints, il vaut mieux insister sur les moyens
ant. Il est cependant permis de l’embellir d’une certaine élégance. L’
éloge
est une couronne ; ornez-la de fleurs et même de
’oraison funèbre, telle que Bossuet l’a créée parmi nous, n’est ni un
éloge
, ni un panégyrique, ni un sermon ; mais elle tien
’ensemble de la vie du héros, et, du moins en partie, appuyée sur son
éloge
. 350. Le premier devoir de l’orateur, dans l’orai
ue, à la face des autels et au milieu des saints mystères, on fasse l’
éloge
d’un homme qui a toujours mal vécu. À chaque mot,
mies ou sociétés littéraires, comprend les discours de réception, les
éloges
historiques, les mémoires scientifiques ou littér
éception, contient d’ordinaire un remercîment à cette compagnie et un
éloge
du prédécesseur. C’est Patru qui, en 1640, donna
nd on loue les qualités, l’esprit et les talents du prédécesseur, ces
éloges
se nomment oratoires ; on les appelle historiques
on éblouit par trop de beautés, et l’on déplaît à force de plaire. L’
éloge
que Racine fit du grand Corneille est un modèle d
huitième siècle, l’Académie française proposa pour prix d’éloquence l’
éloge
historique de nos grands hommes. Cette idée parut
et chaque pays s’empressa de l’imiter. À Londres on mit au concours l’
éloge
de Newton, à Berlin celui de Leibnitz, comme à Pa
ccessivement. La philosophie alla elle-même emprunter à l’antiquité l’
éloge
de Marc Aurèle, et l’académicien Thomas se rendit
n d’une fête ou de quelque grande solennité. Elles doivent contenir l’
éloge
des personnages qui ont été l’occasion de ces dém
Quand on adresse des compliments à une personne qu’on veut honorer, l’
éloge
doit faire le fond du discours ; mais si la louan
Extrait d’une oraison funèbre. Saint Grégoire de Nazianze, dans l’
éloge
de son frère Césaire, fait entendre ces plaintes
en que de naturel, et qui ne peuvent même qu’être flattés en voyant l’
éloge
qu’un étranger fait de leurs philosophes et de le
panégyrique d’un grand saint loué par un grand prédicateur : c’est l’
éloge
de saint François de Sales par Bourdaloue. En voi
ieu l’a fait saint par l’efficace de sa foi et de sa douceur. C’est l’
éloge
que l’Écriture fait de Moïse, et qui convient par
ce ? 343. Qu’est-ce que le panégyrique chrétien ? 344. D’où se tire l’
éloge
des saints ? 345. De quelle manière faut-il prése
tire l’éloge des saints ? 345. De quelle manière faut-il présenter l’
éloge
des saints ? 346. Combien de formes diverses peut
égance des discours académiques ? 406. Comment doivent être faits les
éloges
historiques ? 407. Quelles qualités doivent avoir
Bossuet Grand homme, ta gloire vaincra toujours la monotonie d’un
éloge
tant de fois entendu. Le privilége du sublime te
génie de Bossuet doit lire avant tout ses sermons. 1. Il faut lire l’
Éloge
de Bossuet, par M. Patin, l’éminent doyen de la f
nts particuliers, où les murmures des malheureux balancent toujours l’
éloge
que les heureux sont tentés de donner. Je l’aurai
ur s’amollir, se fondre de reconnaissance et de plaisir au plus léger
éloge
que j’entends faire de mon courage ou de mon honn
n en gêne le cours1 ; que sans la liberté de blâmer, il n’est point d’
éloge
flatteur, et qu’il n’y a que les petits hommes qu
instant de nouvelles finesses, Des charmes neufs variaient son débit.
Eloge
unique et difficile à croire Pour tout parleur qu
iote, a écrit sa vie (Paris, 1779, in-12) ; plusieurs ont composé son
éloge
, et parmi eux on peut citer Noël et le célèbre Sy
paraît le plus éclatant dans une si belle vie. Tous entreprennent son
éloge
; et chacun, s’interrompant lui même par ses soup
la gloire de cet illustre mort, est le plus grand et le plus glorieux
éloge
de sa vertu. Les peuples répondirent à la douleur
? Attaquer Chapelain ! ah ! c’est un si bon homme ! Balzac en fait l’
éloge
en cent endroits divers4 Il est vrai, s’il m’eût
r qui fasse plus d’honneur à notre siècle que Despréaux : en faire un
éloge
plus étendu, ce serait entreprendre sur ses ouvra
en Boileau savait relever par un tour noble et délicat le prix de ses
éloges
. 2. Association de mots qui surprend l’esprit e
st un exemple comme ses œuvres sont des modèles, aussi cordial dans l’
éloge
que sincère et vif dans le blâme, il a l’autorité
l trépigne de joie, il pleure de tendresse3; Il vous comble partout d’
éloges
fastueux. La vérité n’a point cet air impétueux.
édantisme. « Il faut qu’un auteur reçoive avec une égale modestie les
éloges
et la critique que l’on fait de ses ouvrages. » (
us, pour m’avoir prêté un concours énergique et dévoué, reçoivent des
éloges
bien mérités et bien justes. L’homme courageux, q
r en Afrique et à abandonner l’Italie ! Comblons des plus magnifiques
éloges
le second Africain, sous qui tombèrent les deux v
e est la seule qui, par une commune délibération, fait publiquement l’
éloge
de Verrès. Haï et détesté du reste de la Sicile,
s, qui, chargé de e justifier votre conduite, fait publiquement votre
éloge
, car c’est l’objet de sa mission, il en a reçu l’
e l’eussent sévèrement puni, de quel poids, à votre avis, serait leur
éloge
, s’ils avaient décerné une punition contre celui
témoignage est reconnu conforme à la vérité ? Au reste, quel est cet
éloge
, si le panégyriste interrogé se trouve obligé de
point le temps de concerter les moyens d’appuyer leur parjure. Que l’
éloge
d’une seule ville vous tienne lieu de celui des a
en digne de foi. Verrès prend ces vases l’un après l’autre, en fait l’
éloge
et les admire ; le prince était charmé qu’un prét
urs grecs en ont décrit la beauté et les richesses. Je veux que leurs
éloges
soient outrés, et qu’ils aient ajouté à la vérité
abandonner l’intérêt général et la cause commune, et à rétracter cet
éloge
que la force et la crainte leur avaient, disaient
eau public, et j’ordonnai qu’on les apportât chez moi. À l’égard de l’
éloge
en question, voici comme ils m’exposèrent le fait
i avait l’autorité, de prendre un arrêté ; qu’on avait obéi, et que l’
éloge
de Verrès avait été tourné de façon, qu’il pouvai
ire agitée. Conséquemment à cet usage, on proposa au sénat de faire l’
éloge
de Verrès ; plusieurs, pour gagner du temps, inte
uhaitâmes, pour reconnaître ses grands et nombreux services, faire un
éloge
public de ses vertus : Verrès nous en empêcha. Qu
ha. Quoique Péducéus ne soit plus dans le cas de faire usage de notre
éloge
, il serait injuste de ne pas statuer sur cet obje
t. » Pourquoi ? Comment, personne ne se portait de lui-même à faire l’
éloge
de votre préture, à vous sauver du précipice, sur
le décret qu’ils avaient rendu à l’avantage de Verrès était moins un
éloge
qu’une satire fine, qui remettait devant les yeux
arrêté, et presque toutes les voix se réunirent pour ordonner que « l’
éloge
de Verrès serait biffé et rétracté. » L’assemblée
r de leurs droits, que c’est violer leur liberté ; le peuple comble d’
éloge
son sénat et lui témoigne sa gratitude ; les cito
r. Profitez donc de tous les avantages que vous pouvez retirer de cet
éloge
, je ne les combattrai point. À l’égard de la vill
es fait dans vos vols et dans vos rapines ; il s’agit d’examiner quel
éloge
vous est dû comme général. VI. Qu’avancez-v
ace, vous tâchez de les couvrir par la grandeur des exploits et par l’
éloge
du général ? Je crains, en effet, de vous voir, à
de la ville, et le chef de cette députation envoyée pour faire votre
éloge
, n’a-t-il point dit que la construction de ce vai
aient pas la même décision. Il osera encore me faire ici mention de l’
éloge
qu’ont fait de lui des Mamertins ! Mais qui de vo
t de lui des Mamertins ! Mais qui de vous ne comprend pas combien cet
éloge
renferme de charges contre Verrès ? Premièrement,
ait ne prouve-t-il pas que vous sentez toute l’utilité d’un véritable
éloge
, mais que vous vous en êtes nécessairement privé
uverné la province ? Eh ! quel est enfin, comme je l’ai déjà dit, cet
éloge
dont les principaux interprètes ont dit qu’on vou
uis pas de ceux qui ayant dessein, comme vous dites, de convertir des
éloges
en brevets22, font des miracles de toutes les act
, à l’énergie et à la noblesse continues de son langage. Son plus bel
éloge
est dans ces mots du cardinal de Bausset : « Il o
un grand de la terre, et que j’en examine l’épitaphe : je n’y vois qu’
éloges
, que titres spécieux157, que qualités avantageuse
tre, plus digne de Jésus-Christ, dont j’ai à vous faire aujourd’hui l’
éloge
funèbre. Car il ne s’agit pas ici de pleurer la m
dantisme186 Il faut qu’un auteur reçoive avec une égale modestie les
éloges
et la critique que l’on fait de ses ouvrages. Ent
érudition entassée sans choix décidait de la beauté et du mérite des
éloges
; et, pour louer son héros avec succès, il fallai
fortement agi sur son temps. Pour lui on a épuisé les censures et les
éloges
: on se bornera à dire qu’il a justifié pleinemen
Vous ne manquez pas ! Ah ! vraiment ! je le croi ! Bel
éloge
, en parlant d’un homme tel que moi ! PASQUIN lit.
u près ce que dit le marchand d’Horace (Satires I, 1) quand il fait l’
éloge
de la vie militaire, qu’il regrette de n’avoir pa
uis XIII. 22. C’est-à-dire en brevets de pensions, se faire de leurs
éloges
des titres à des récompenses. 23. Les Français f
in, « un grand écrivain dans le siècle de Bossuet », on peut voir les
Éloges
imprimés de Mme Tastu et de M. Caboche, et surtou
vec autant de finesse que de grâce. Il suffirait de rappeler pour son
éloge
que, sur la fin de sa belle vie, M. Royer-Collard
tée du 22 novembre 1679. — Déjà celle que nous avons donné confirme l’
éloge
ingénieux que La Harpe a fait de Mme de Sévigné :
ment nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de quatrième, un bel
éloge
des vertus de Turenne et, en particulier, de sa p
été. 98. … Lex orandi fuit Demosthenes , X, 1. 99. Il faut lire l’
éloge
qu’ont fait de Bossuet La Bruyère, dans son disco
u 5 février 1674, du 3 et du 25 avril 1687, etc. Il faut voir aussi l’
éloge
que fait l’abbé Maury du morceau que nous avons e
ce de Suard, écrite en 1782, un chapitre du Génie du Christianisme, l’
Éloge
de Victorin Fabre, couronné par l’Académie frança
t M. Villemain ont parlé de lui avec une faveur marquée. En 1818, son
Éloge
a été proposé par l’Académie française. L’ouvrage
l’objet, lorsqu’il parut de 1726 à 1728, l’honorèrent autant que les
éloges
qui l’accueillirent, les uns accusant l’auteur d’
s la mort l’arrêta dans la composition de ce dernier travail. 289. L’
éloge
de Massillon a été composé par d’Alembert, en 177
llon a été composé par d’Alembert, en 1774. On peut rapprocher de cet
éloge
une lettre de Mme de Maintenon au duc de Noailles
plus signalé son étonnante fécondité d’expression) » ; et il motive l’
éloge
qu’il en fait sur les considérations suivantes :
du Christianisme, IIIe partie, l. IV, chap. 5 ; M. Villemain, dans l’
Éloge
qu’il lui a consacré et que l’Académie française
il lui a consacré et que l’Académie française a couronné en 1816 (son
éloge
avait été fait une première fois par d’Alembert),
iquait à l’homme la secte des stoïciens, dont il a fait un magnifique
éloge
dans son Esprit des lois, xxiv, 10. A la précisio
neille ? 366. Célèbres peintres italiens du seizième siècle. 367. L’
éloge
de Buffon a été fait par Vicq d’Azyr, qui fut son
remarquables à Buffon, et l’on rapporte que Mirabeau lui appliquait l’
éloge
que Quintilien a fait d’Homère : « Hunc nemo in m
ante, célébrait encore cette princesse, et il a souvent renouvelé son
éloge
, que l’histoire, par malheur, ne devait pas confi
671, des 15 janvier, 9 et 16 mars 1672. Nous recommanderons de plus l’
éloge
couronné de Victorin Fabre et l’article de cet au
re et M. Saint-Marc Girardin ont parlé de Rotrou, le premier dans son
Éloge
de Corneille ; le second dans son Cours de littér
547. Parmi les travaux qui concernent La Fontaine, on remarquera les
Eloges
que lui ont consacrés La Harpe et Chamfort. Ce de
e du liv. VIII, dont la fin, observe Chamfort, est au-dessus de tout
éloge
. Dans l’apologue qui précède celui des deux Amis
e manque à sa gloire, Il manquait à la nôtre. Elle mit également son
éloge
au concours (1769), et le prix fut obtenu par Cha
sentaient trop le travail. 633. Trait excellent, qui annonce que les
éloges
des précieuses sont loin d’être désintéressés : e
r qui fasse plus d’honneur à notre siècle que Despréaux : en faire un
éloge
plus étendu, ce serait entreprendre sur ses ouvra
ons, dans le nombre ceux de La Harpe, qui lui a consacré un excellent
éloge
, de Geoffroy, d’Aimé Martin et de M. Louandre, qu
nous reproduisons ici, et qui mérite particulièrement les plus grands
éloges
, on a pensé que l’idée en avait pu être suggérée
1. On peut voir aussi Suétone, in Nerone, c. 10. 738. La plus grand
éloge
de ces paroles de Burrhus, remarque La Harpe, c’e
dernes, auquel il avait consacré de nombreuses années. On trouvera un
éloge
de Destouches dans le recueil des Éloges des Acad
reuses années. On trouvera un éloge de Destouches dans le recueil des
Éloges
des Académiciens, faits par d’Alembert. Il faut,
anger qui l’enlèverait à cette affection. 799. La Harpe signale avec
éloge
l’intérêt peu commun de ce dénouement, qui ne lui
n trait de l’auteur italien Algarotti, dont Voltaire a fait souvent l’
éloge
: « Le Capitole est détruit et la voix du temps c
es choses aussi bien pensées que bien écrites ; que son Essai sur les
Éloges
est un ouvrage neuf, plein de recherches curieuse
i compte peu de morceaux oratoires plus véritablement éloquents que l’
Éloge
de Marc-Aurèle. Mais comme les vices que je comba
mpossible de la reconnaître avec une entière certitude57. Ce sont les
éloges
qu’ils donnent eux-mêmes à leurs préceptes. Mais
fortement agi sur son temps. Pour lui on a épuisé les censures et les
éloges
: on se bornera à dire qu’il a justifié pleinemen
s jure amitié, foi, zèle, estime, tendresse, Et vous fasse de vous un
éloge
éclatant. Lorsqu’au premier faquin il court en fa
des périodes. » 21. Pour connaître ce grand homme il faudra lire l’
Éloge
que lui a consacré Thomas (M. Cousin l’a réimprim
e et en Italie. » (Lett., VI, 38.) 29. Il suffit de rappeler pour l’
éloge
de ce discours, qui parut en 1637, que Bossuet le
ne de ses Fables (L’homme et son image), en a fait aussi un ingénieux
éloge
. Bayle, plein d’admiration pour les Mémoires du m
. Voy. le chant VIe du poème de l’Imagination, par Delille. 124. Son
éloge
a été fait par Fénelon, qui fut son successeur à
in, « un grand écrivain dans le siècle de Bossuet », on peut voir les
Éloges
imprimés de madame Tastu et de M. Caboche, et sur
vec autant de finesse que de grâce. Il suffirait de rappeler pour son
éloge
que, sur la fin de sa belle vie, M. Royer-Collard
e ? 168. Lex orandi fuit Demosthenes , X, 1. 169. Il faut lire l’
éloge
qu’ont fait de Bossuet La Bruyère, dans son disco
solu des rois les glorieux représentants de l’épiscopat français. Les
éloges
mêmes qu’ils adressaient à la puissance étaient t
ir ces touchantes paroles de Bossuet à la louange de Henri IV, dont l’
éloge
fut peu encouragé et assez rare sous le règne de
ort, par plus de cinq cents panégyristes : voy. Thomas, Essai sur les
éloges
, c. xxvi. 175. Henriette de France, fille de Hen
e de Suard écrite en 1782 ; un chapitre du Génie du Christianisme ; l’
Éloge
de Victorin Fabre, couronné par l’Académie frança
us avoir entendu, j’ai toujours été mécontent de moi-même. » 277. L’
éloge
de Massillon a été composé par d’Alembert, en 177
llon a été composé par d’Alembert, en 1774. On peut rapprocher de cet
éloge
une lettre de Mme de Maintenon au duc de Noailles
sé le panégyrique. 280. Cette magnifique période oratoire justifie l’
éloge
du cardinal Maury : « Nul n’a porté l’élégance et
i depuis 1693, et il mourut à près de quatre-vingts ans, en 1718. Son
éloge
a été composé par Fontenelle, qui ne nous laisse
u Christianisme, IIIe partie, liv. IV, chap. v ; M. Villemain, dans l’
Éloge
qu’il lui a consacré et que l’Académie française
il lui a consacré et que l’Académie française a couronné en 1810 (son
éloge
avait été fait une première fois par d’Alembert),
ovingiens. 325. « Comme œuvre historique, dit M. Villemain dans son
Éloge
de Montesquieu, ce morceau est un incomparable mo
, Vie de César, chap. I. 336. « Montesquieu, dit M. Villemain dans l’
Éloge
cité plus haut, n’a présenté que Sylla sur la scè
ui fut associé à notre Académie des sciences, ainsi que l’atteste son
éloge
qu’on peut lire dans Fontenelle. Mais on ne voit
hap. xxv du Siècle de Louis XIV, et dont Fontenelle a laissé aussi un
éloge
, où l’on remarque en effet ce passage : « L’an 16
ronomie moderne, au t. II. 347. « C’est ainsi, dit Fontenelle dans l’
éloge
de Cassini, que la France faisait des conquêtes j
pson a fait prouve de plus de justice en consacrant de beaux vers à l’
éloge
du grand roi et de son siècle. 349. On peut voi
hoses les plus éloignées. » (De l’Esprit humain, chap. xi.) 360. L’
éloge
de Buffon a été fait par Vicq d’Azyr, qui fut son
remarquables à Buffon, et l’on rapporte que Mirabeau lui appliquait l’
éloge
que Quintilien a fait d’Homère : « Hunc nemo in m
671, des 15 janvier, 9 et 16 mars 1672. Nous recommanderons de plus l’
éloge
couronné de Victorin Fabre et l’article de cet au
e que tragique. Ces mots font frémir ; et ce qui mérite encore plus d’
éloges
, c’est que la situation est aussi bien dénouée qu
On ne peut mieux louer leurs discours ; et c’est même le plus solide
éloge
qui puisse être fait des discours en général. 4
444. Parmi les travaux qui concernent La Fontaine, on remarquera les
Éloges
que lui ont consacrés La Harpe et Chamfort. Ce de
e manque à sa gloire, il manquait à la nôtre. Elle mit également son
éloge
au concours (1769), et le prix fut obtenu par Cha
r qui fasse plus d’honneur à notre siècle que Despréaux : en faire un
éloge
plus étendu, ce serait entreprendre sur ses ouvra
ns, dans le nombre, ceux de La Harpe, qui lui a consacré un excellent
éloge
, de Geoffroy, d’Aimé Martin et de M. Louandre, qu
elle ne le fut jamais en effet, a parlé de cette œuvre avec de grands
éloges
; voy. la lettre à Mme de Grignan, du 21 février
ramatique celui d’être très utile à l’action. — On peut voir encore l’
éloge
de ces vers dans le Génie du Christianisme de Cha
ntrer la sagesse et le génie de l’auteur. 686. D’Alembert a fait son
éloge
. On consultera encore sur lui, outre le Cours de
cours des comètes et le flux et le reflux de la mer. — Il faut lire l’
éloge
de Newton par Fontenelle. « De cette pure intelli
imait le vœu, dans son discours de réception (1785), que, « pour tout
éloge
, on gravât ces strophes sur son tombeau ». Toutef
iote, a écrit sa vie (Paris, 1779, in-12) ; plusieurs ont composé son
éloge
, et parmi eux on peut citer Noël et le célèbre Sy
or et se dispersent dans les campagnes. Même ouvrage : ibid. 1. L’
éloge
de Buffon a été fait par Vicq d’Azyr, qui fut son
remarquables à Buffon, et l’on rapporte que Mirabeau lui appliquait l’
éloge
que Quintilien a fait d’Homère : « Hunc nemo in m
s qui leur sont propres ; en un mot de ne louer que ce qui mérite les
éloges
de l’homme honnête et éclairé. Mais tout cela doi
i la louange. Le seul récit des faits doit tenir lieu de censure ou d’
éloge
. Remarquons ici qu’il y a une différence assez es
onnaître les grands hommes du siècle dernier, en donnant un recueil d’
éloges
historiques des gens de lettres, des savants et d
nie a été établie, et le but qu’elle se propose dans ses travaux. Les
Éloges
des membres des diverses Académies font partie de
a montagne, c’est-à-dire en s’attaquant à des sujets plus élevés, à l’
éloge
du comte du Luc, par exemple. Mais à quoi revient
ne s’acquiert qu’à force de travail, il l’aurait ensuite renouée à l’
éloge
de son protecteur. Quant à ce dernier, je ne veux
t : l’indécence du siècle et l’avilissement des cours honorent même d’
éloges
publics les attraits qui réûssissent à les séduir
venger qu’ils l’humilient, et qu’il faut soi-même mériter beaucoup d’
éloges
pour supporter patiemment l’éloge d’autrui. J’avo
l faut soi-même mériter beaucoup d’éloges pour supporter patiemment l’
éloge
d’autrui. J’avoue que j’ai trop de vanité pour so
1. Je suis bien aise que vous soyez content de l’Esprit des lois. Les
éloges
que la plupart des gens pourraient me donner là-d
dictature de Sylla, furent ses maîtres : Phédrus, dont il fait tant d’
éloges
dans sa correspondance, Philon l’académicien, Mol
ur politique prête le flanc aux critiques, l’avocat est au-dessus des
éloges
. C’est une adresse, un esprit, une chaleur, une a
: les analyses abondent, et les études, et les dissertations, et les
éloges
. Et puis quelles réflexions vaudraient comme char
les rappellent les écrits polémiques de Bossuet : c’est le plus grand
éloge
que l’on en puisse faire, et elles le méritent.
é par l’académie française, en 1755, c’est-à-dire, quatre ans avant l’
éloge
du maréchal de Saxe, duquel date la révolution op
s avec beaucoup de réserve, comme l’on voit, et de circonspection. Un
éloge
pompeux des Gracques fortifie, dans l’idée du peu
l’âme de l’orateur. Les rhéteurs anglais citent avec les plus grands
éloges
, le début d’un sermon de l’évêque Atterbury. Il a
donnée chez Le Normand (1808, 6 vol. in-8°) : elle est précédée de l’
éloge
de l’auteur par Lebeau. On peut encore consulter
ouffle créateur de l’imagination : il n’en mérite pas moins de grands
éloges
. Suivant J. B. Rousseau, c’est un des ouvrages le
ur la louange, les panégyriques, les remercîments ou compliments, les
éloges
, les oraisons funèbres, les discours académiques.
s, les discours académiques. L’orateur doit louer par les faits ; les
éloges
de la flatterie avilissent celui qui les prodigue
traire arrive dans la plupart des discours. Que sont presque tous les
éloges
et les panégyriques, sinon des exhortations à la
s exhortations à la vertu ? On délibère sur le choix d’un général ; l’
éloge
de Pompée détermine les suffrages en sa faveur (C
n’est ni persuadé ni convaincu. Ce n’est point ici le lieu de faire l’
éloge
de la modestie ; mais on peut dire en général qu’
ppé de ce beau triomphe de l’art oratoire, s’écrie-t-il, en faisant l’
éloge
de Cicéron : Te dicente, legem agrariam, hoc est
n’avait eu qu’à se défier de ses propres désirs ; ce roi dont tant d’
éloges
et de trophées publics avaient immortalisé les co
ntentai d’éclaircir les points obscurs par des définitions ; je fis l’
éloge
du droit ; j’expliquai les mots équivoques. Dans
hamps Élysées l’assemblée des hommes vertueux, fait d’un seul trait l’
éloge
de Caton, en ajoutant qu’il y préside : … His da
grand, mes frères ! Voilà, dans Massillon, les premières paroles de l’
Éloge
de Louis XIV : c’est un beau mot que celui-là, pr
n parlait d’abord, pour l’adresser à d’autres. Fléchier, dans le même
éloge
: « Puissances ennemies de la France, vous vivez
c. 19 ; pro Cælio, c. 14.) Fléchier nous en fournit un exemple dans l’
éloge
funèbre de Montausier, dont le caractère propre a
, dans un discours où la franchise et la candeur font le sujet de nos
éloges
, employer la fiction et le mensonge ? Ce tombeau
) Fontenelle disait à un ministre plus digne cependant de blâme que d’
éloge
: Vous avez travaillé vingt ans à vous rendre in
nt de telles comparaisons, ne se les interdisent pas. Bossuet, dans l’
éloge
de la reine d’Angleterre, voulant la peindre seul
us sa chute. » Thomas présente une belle comparaison morale dans son
éloge
de Sully : « L’idée seule de Sully, dit-il, était
? Attaquer Chapelain ! ah ! c’est un si bon homme ; Balzac en fait l’
éloge
en cent endroit divers. Il est vrai, s’il m’eut c
liberté, mais au fond il a pour but de plaire à César, et de faire l’
éloge
de sa clémence. Une autre intention plus louable
éveloppements, des sentences, des lieux communs, des réfutations, des
éloges
, etc. Vers le même temps, le nom de sophiste ayan
èbre ou, d’une vérité morale, requêtes, rapports, analyses critiques,
éloges
, plaidoyers, tous ces genres sont à la dispositio
ataille la voix des héros, s’il n’eût mis dans la bouche des Perses l’
éloge
de leurs vainqueurs, Athènes n’eût point reconnu
ieu des regrets et des gémissements, il s’élève une voix pour faire l’
éloge
de la patrie et celui des braves qui l’ont défend
naïfs, célèbre les vainqueurs des tournois ; l’orateur sacré, dans un
éloge
funèbre, regrette Du Guesclin regretté par ses en
téisme. C’est la manière que Boileau emploie lorsque, voulant faire l’
éloge
de Louis XIV, il lui fait adresser des reproches
quand on saura que les auteurs sont deux poètes gascons. L’un fait l’
éloge
du grand Condé ; l’autre témoigne des regrets sur
qui s’allume dans le vaisseau ennemi l’oblige de s’écarter. Thomas,
Éloge
de Duguay-Trouin. Mais de ce souvenir mon âme p
ette figure se trouve dans la bouche d’Apollonius, lorsque, faisant l’
éloge
du vertueux Marc Aurèle, il adresse ses conseils
our exprimer les émotions touchantes ou profondes. La péroraison de l’
éloge
de Duguay-Trouin, par Thomas, contient un bel exe
ette parole a survécu à ses trophées ; elle lui méritera à jamais les
éloges
et les bénédictions de tous les hommes. Qu’est-il
le sera entendue des siècles à venir ; elle lui méritera à jamais les
éloges
et les bénédictions de tous les hommes. » Cette
lieu à la discussion, et il faut l’exposer ; dans le démonstratif, l’
éloge
des grands hommes roule sur des actions utiles à
paraît le plus éclatant dans une si belle vie. Tous entreprennent son
éloge
, et chacun, s’interrompant lui-même par ses soupi
du général ; supposez que le mémorateur soit chargé de prononcer cet
éloge
devant l’armée, la définirait-il de même ? non, s
résulte rien de défavorable pour celui qu’on défend ou dont on fait l’
éloge
; à plus forte raison si cet aveu tourne à sa glo
léchier, après avoir loué la naissance de M. de Turenne, rétracte cet
éloge
par la correction : « Si sa vie avait moins d’éc
du vulgaire : « Valeant inquit, cives mei, etc.16 » Tacite termine l’
éloge
d’Agricola par une optation attendrissante : « Si
r se déchire… »]. 17. Voir page 46 [= § Style élevé, péroraison de l’
éloge
d’Agricola : « S’il est un lieu réservé aux mânes
, en regrettant l’heureux siècle des rois fainéants, fait le plus bel
éloge
de la triomphante activité de Louis XIV ; ainsi p
une figure que celle d’un conseil, d’une demande, d’une plainte, d’un
éloge
, d’un remercîment, en un mot de tous les sentimen
ans les plaidoyers et les sermons : il y a des discours, tels que les
éloges
, les oraisons funèbres qui n’admettent que la con
possible de lire ce morceau sans être vivement ému. Péroraison de l’
Éloge
funèbre du Prince de Condé Jetez les yeux de tout
de la foi, etc. Voici quelques exemples : Ne vous enivrez point des
éloges
flatteurs Que vous donne un amas de vains admirat
ne fait plus la même impression. Massillon, après avoir fait un grand
éloge
du prince de Conti, s’exprime ainsi : Mais ne se
qu’il a été, et plus propres à rappeler ses défauts qu’à servir à son
éloge
? Vous m’interrompez ici, messieurs, et je sens q
rté ; mais, en réalité, il a pour but de plaire à César et de faire l’
éloge
de sa clémence, afin de sauver Ligarius. 241. Fai
u reproche et du blâme, et réciproquement. Tel est, dans le Lutrin, l’
éloge
de Louis XIV par la Mollesse. 243. En quoi consis
trieux les a placés dans le véritable poste qui leur convient. Dans l’
éloge
du grand Condé, Bossuet, après l’avoir comparé à
me que votre piquant théâtre a pu faire à de tels juges est encore un
éloge
; et cette illusion serait impossible, s’il n’y a
ntrer avec quel esprit et quelle finesse M. Villemain sait tempérer l’
éloge
par la malice des restrictions qui se tournent en
gramme dont la pointe, sans satire comme sans fadeur, est toujours un
éloge
délicat et gracieux. Le madrigal n’est d’ailleurs
tinée à être gravée sur un tombeau. Le poète y fait le plus souvent l’
éloge
du mort ; et il doit alors y mettre les grâces et
éloquente. Peut-être, ajoute M. de La Harpe, faut-il restreindre cet
éloge
en l’expliquant. Bourdaloue fut le premier qui eu
quence ou à la poésie, c’était toujours quelque trait de morale, ou l’
éloge
de Louis XIV. De tels sujets pouvaient ne pas ouv
s machines qui l’avaient guindé si haut, par l’applaudissement et les
éloges
, sont encore toutes dressées pour le faire tomber
uyère traite en collègue. La traduction pénible dont il s’agit en cet
éloge
est une traduction de l’Imitation de Jésus-Christ
x, Que les enfants des autres dieux. (xi, 2.) 5. Ce morceau est un
éloge
de Louis XIV. Pour un auteur satirique, la précau
hie, sont d’admirables modèles. Quand Massillon est appelé à faire l’
éloge
de Louis XIV, son esprit frappé de la misère de t
sciple de Cicéron. Voyez comme il rend l’auditeur bienveillant, par l’
éloge
qu’il lui donne dès l’abord ; attentif, par la no
autre sont semblables, et il ne manque aujourd’hui à ce dernier qu’un
éloge
digne de lui. Quelle matière fut jamais plus disp
x ? « Retenons nos plaintes, Messieurs, il est temps de commencer son
éloge
, et de vous faire voir comment cet homme puissant
parmi les monuments les plus remarquables de la poésie française. Ces
éloges
répondent assez à des censures étroites ou passio
re se montre touché des beautés de la nature doit être remarqué à son
éloge
: car c’est chose trop rare chez lui. On a dit, a
erai ainsi usage des exemples ; enfin, pour donner plus de prix à mon
éloge
, je recourrai aux citations des auteurs qui ont p
t qu’il s’agisse de faire un reproche, soit qu’on veuille adresser un
éloge
. 6. L’hypallage est une figure qui paraît attribu
L’admiration entasse les hyperboles ; L’envie cache la satire sous l’
éloge
; L’orgueil provoque, défie, insulte ; La crainte
On prend texte d’un fait heureux arrivé au correspondant pour faire l’
éloge
de son mérite, sans exagération comme sans rétice
et quelconque, parce qu’on ne ferait plus alors un caractère, mais un
éloge
ou une satire. 10. Un portrait peut être placé da
e ses personnages, en leur distribuant, suivant qu’ils le méritent, l’
éloge
ou le blâme ; elle sera une, si tous les détails
a foi, donner des leçons à tous les rangs et à tous les âges, faire l’
éloge
des hommes justes, tel est l’objet de l’éloquence
de l’orateur. Cochin avait autant de modestie que de talent ; et les
éloges
qu’on lui donnait étaient constamment suivis de r
u sujet. Si tel auteur profite d’un talent incontestable pour faire l’
éloge
du vice et tâcher de décrier la vertu, je suis en
e dans tous les discours. On délibérait sur le choix d’un général ; l’
éloge
de Pompée déterminait les suffrages en sa faveur.
e les rares vertus ou les grandes actions1. Son objet. L’objet de l’
éloge
est d’élever nos esprits par la sublimité des pen
endre l’empreinte ; tel est le genre de persuasion de l’éloquence des
éloges
. Lieux qui lui sont propres. Pour louer justeme
s actions honorées de l’approbation générale, sont de dignes sujets d’
éloges
. On ne doit pas oublier non plus les choses grand
aissons parmi nous le panégyrique des saints, l’Oraison funèbre, et l’
éloge
des grands hommes proposés par les Académies. Pa
ré à la louange des saints, l’orateur se propose de les honorer par l’
éloge
de leurs vertus, et de nous engager nous-mêmes à
ésentent assez d’elles-mêmes à tous les auditeurs. Un juste mélange d’
éloges
et de morale fait la perfection du panégyrique.
commun, rien de médiocre. L’orateur chrétien ne se borne pas, dans l’
éloge
des héros, à des fins purement humaines. Son but
de Condé, se propose de montrer que la piété est le tout de l’homme.
Éloges
mis au concours par les académies. Le but des él
ut de l’homme. Éloges mis au concours par les académies. Le but des
éloges
que les académies ont coutume de donner pour suje
peut avoir rendus aux arts, aux lettres ou à la société. « Dans ces
éloges
, dit Marmontel, on doit se souvenir que ce ne son
t contraire à celui de sa bouche, il en détruit tout l’effet. Dans l’
éloge
. Dans l’éloge, l’orateur n’a pas moins besoin de
elui de sa bouche, il en détruit tout l’effet. Dans l’éloge. Dans l’
éloge
, l’orateur n’a pas moins besoin de donner une idé
concevoir de la confiance en sa sincérité, il donnera du poids à ses
éloges
. Dans le blâme. S’il se trouve dans l’obligatio
on, ceux des oraisons funèbres de Bossuet et de Fléchier, et ceux des
éloges
de Thomas et de La Harpe couronnés par l’académie
personnage, avec de grandes leçons pour les mortels. La division de l’
éloge
de la reine d’Angleterre est : « Le bon usage de
la éloquence académique. Elle embrasse les discours de réception, les
éloges
des académiciens, etc… Comme ces ouvrages ont sur
rs ; l’envie cache le dépit sous le dédain, prélude à la satire par l’
éloge
; l’orgueil défie, la crainte invoque, la reconna
ression est en sens renversé : « A quoi se réduisent ces magnifiques
éloges
qu’on leur donne |, et que nous lisons sur les su
n dit par métaphore, s’enivrer de plaisir. Ne vous enivrez point des
éloges
flatteurs Que vous donne un amas de vains admirat
uste, un frein pour le mal, un encouragement pour le bien. » (Thomas,
éloge
de Sully.) Sources des comparaisons. Ordinaire
tion s’ils l’ont trouvée un peu trop sévère. Je ne puis donner trop d’
éloges
au courage et à la fermeté de Silanus ; je suis b
un devoir sacré ? Quelque ambitieux que je puisse être de mériter cet
éloge
, je ne veux point qu’on me l’accorde à moi seul.
e cette princesse, et l’a mise, par son estime, au-dessus de tous nos
éloges
. » Quelquefois la prétérition est un tour fin pa
re des reproches, etc…. Exemples. Fléchier interrompt le récit et l’
éloge
des vertus chrétiennes de la reine Marie-Thérèse,
é allobroge en français, on dit élogier, au lieu de louer ou faire un
éloge
; éduquer pour élever ou donner de l’éducation ;
ses espèces de panégyriques. Panégyrique des saints. Oraison funebre.
Éloges
mis au concours par les académies. Chez nous le b
écessité d’inspirer la confiance à la tribune. Dans la chaire. Dans l’
éloge
. Dans le blâme. L’orateur doit être homme de bien
fort mécontent de moi-même. » Cette qualité caractérise surtout les
éloges
de Boileau à Louis XIV. On peut en juger par les
araît le plus éclatant dans une si belle vie ; tous entreprennent son
éloge
; et chacun s’interrompant lui-même par ses soupi
Chapitre IV.
Éloge
de Trajan, par Pline le jeune. Tels furent, ch
eux disant de son siècle ». Ses Lettres missives ne démentent pas cet
éloge
. Dans sa correspondance à la fois militaire, poli
œux et son affection. 1. On se convient souvent, a dit Fontenelle (
éloge
de Malezieu), par ne pas trop se ressembler. 2.
e manière telle que vous ayez captivé notre attention et commandé nos
éloges
, nous vous rendrons grâces. Nous ne pourrons appl
e ; soit que, par l’entremise du plus muet des poissons, il donne les
éloges
les plus vifs et les plus délicats à son compère
ie 1. 1. … Lex orandi fuit Demosthenes, X, 1. 2. Il faut lire l’
éloge
qu’ont fait de Bossuet La Bruyère, dans son disco
élèbre (Dodart : il était attaché à la personne de Louis XIV), dont l’
éloge
a été fait par Fontenelle, admirait beaucoup l’ex
ences morales en 1839 ; c’est à ce titre qu’il a prononcé de nombreux
éloges
, qui sont autant de pages accomplies. L’histoire
araît le plus éclatant dans une si belle vie : tous entreprennent son
éloge
; et chacun s’interrompant soi-même par ses soupi
re ressortir la ; grandeur de la perte que la France vient de faire.
Éloge
de Condé Nous le vîmes partout ailleurs, comme un
t de deux fameux capitaines qu’on venait de perdre, il leur donna cet
éloge
: « Plus vites que les aigles, plus courageux que
l’élégance et de la grâce, et les critiques ont fait les plus grands
éloges
des plaidoyers imprimés de Cochin et de d’Aguesse
tés où ils se livrent à cet exercice sont des établissements dignes d’
éloges
, qui, bien dirigés, peuvent offrir de très grands
lus grand nombre de bons auteurs que les Anglais. J’ai déjà cité avec
éloge
les écrits de Fénelon, Rollin, Batteux, Crévier,
orace est resté sans rival. Le nom d’Horace ne se peut prononcer sans
éloges
. Cette curiosa felicitas , heureuse expression d
ue trait d’une physionomie. Les historiens grecs font quelquefois des
éloges
, mais presque jamais ils ne tracent un caractère
public, sont très recommandables, et méritent que nous en fassions un
éloge
particulier. Aucun écrit de ce genre n’est à la f
de simplicité, que c’est à bien juste titre qu’on en fait un si grand
éloge
. Les lettres de lady Mary Wortley Montague mérite
sonnes, en certaines circonstances, avaient de blâmable ou de digne d’
éloge
. Quelques ouvrages, publiés en France d’après ce
énements se succèdent avec une rapidité et une vraisemblance dignes d’
éloge
. Le plus moral de tous nos romanciers, c’est Rich
cle, où, feignant d’exalter le mérite de Philips, il lui prodigue des
éloges
ironiques, lui lance les traits les plus aigus de
t, sont : une digression sur les maux enfantés par la superstition, l’
éloge
d’Épicure et de sa philosophie, la description de
qui semble n’avoir point de bornes. Mais on doit, je pense, autant d’
éloges
au jugement du poète qu’à son génie. Son action e
cependant il y reste assez de beautés pour justifier les plus grands
éloges
. C’est un poème plus amusant, plus varié, qui ren
s dans tous les temps, qu’il est inutile de nous arrêter à en faire l’
éloge
. Si, maintenant, sous le rapport de leur mérite e
, et soutenues avec une énergie et une chaleur dignes des plus grands
éloges
. Mais il était dans la destinée de ce poète qu’on
toujours. Le style et la poésie de Milton sont dignes des plus grands
éloges
. L’un, plein de grandeur et de majesté, est toujo
es les pièces soient dignes d’une critique particulière, ou de grands
éloges
. Dans les tragédies de Dryden et de Lee, il y a b
brusque et forte), de n’avoir ni pompe ni ostentation (ce qui est un
éloge
plutôt qu’une critique) ; “Démosthène, ajoute Lon
ise. Tome I, page 161. Il est assez curieux de placer à côté de l’
éloge
que fait Blair de l’abondance, de la richesse et
e un sol ingrat par ses bœufs affaiblis. « L’antiquité est pleine des
éloges
d’une autre antiquité plus reculée : Les hommes,
n plus tempéré. 25. Voyez la Poétique française de Marmontel. 26. L’
éloge
que le docteur Johnson, dans ses Vies des poètes
e qui l’ont surpassé. » Après avoir prodigué à Homère les plus grands
éloges
, M. de Lamotte cherche à rabaisser le mérite de l
he qu’on lui fait quelquefois, de manquer d’études, est le plus grand
éloge
que l’on puisse lui donner ; la nature seule étai
sans mesure, et ceux qui le maudissent sans réserve. Il a justifié l’
éloge
comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’
concilie la politesse et le bon sens qui raille finement. 3. Chaque
éloge
cache l’ironie. 1. Voltaire habitait alors les D
érieur ; autrement sa grandeur seroit sans hommages et sa gloire sans
éloges
. Elle se contente de recevoir un grand effort d’e
é et d’élévation. » La lettre à la reine Christine ne dément pas cet
éloge
; si l’on y trouve des hyperboles que Balzac eût
n en gêne le cours1 ; que sans la liberté de blâmer, il n’est point d’
éloge
flatteur, et qu’il n’y a que de petits hommes qui
dien de la parole évangélique. Voilà toute sa vie : c’est le plus bel
éloge
qu’on en puisse faire. Né à Bourges, fils d’un av
nous pleurons ont été autrefois assez publiées : la magnificence des
éloges
a égalé celle des événements ; les hommes ont tou
t sans mesure et ceux qui le maudissent sans réserve. Il a justifié l’
éloge
comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’
rmes recueils de vers médiocres, de compliments, de harangues, et ces
éloges
qui sont quelquefois aussi faux que l’éloquence a
concilie la politesse et le bon sens qui raille finement. 4. Chaque
éloge
cache l’ironie. 1. Voltaire habitait alors les D
Hérodote, historien et observateur, autant d’honneur au moins que les
éloges
de ses propres concitoyens, c’est la vérification
trépidité dans les périls, qui méritent et obtiennent l’estime et les
éloges
». (Thucydide, Liv. ii). Un homme aussi célèbre
Quel homme mérita jamais mieux et justifia plus pleinement un pareil
éloge
, que l’illustre chancelier d’Aguesseau, qui serai
te-t-il pas à en dire ? Chaque époque en renouvelle pour ainsi dire l’
éloge
. Quelque idéal que se fasse une société d’une con
tionale, pour lui annoncer la mort de Franklin, avril 1790. Il fait l’
éloge
du citoyen, du savant et du philosophe, et rappel
nt dix jours : « Le buste de Washington fut placé aux Tuileries ; son
éloge
funèbre prononcé solennellement par M. de Fontane
e voulait-il qu’on élevât les enfants ? – Faire, d’après Montaigne, l’
éloge
de la poésie et en montrer l’utilité et les agrém
– Racine remercie Boileau qui lui avait envoyé ses Epîtres. Il fait l’
éloge
du poète. – Un secrétaire de Colbert remercie Boi
vez égalé les anciens et je ne saurais rien dire qui fût plus à votre
éloge
. J’ai pourtant une critique à vous faire, ou, si
« qu’elle est la plus purement française de toutes les proses ». Cet
éloge
emporte sans doute, avec lui, plus d’une restrict
st son bon goût irrité qui lui dicte ce vers. Voltaire, impatient des
éloges
qu’on donnait au style de Voiture, même de son te
re des affaires étrangères, avait été renvoyé du ministère, « sans un
éloge
dans la Gazette et sans pension ». Vous supposere
énelon répond à la marquise de Lambert pour la remercier de ce double
éloge
, le plus délicat et le plus complet qu’il pût sou
tes et de leurs admirateurs, c’est que l’esprit qu’on a se mesure aux
éloges
qu’on leur adresse ! Et puis je suis vraiment tro
ne pas offrir comme modèle – et comme encouragement aux aspirantes. L’
éloge
du talent de leurs ainées est chaleureux – et sin
auteur pousse, chez les jeunes gens, de plus profondes racines qu’un
éloge
? Un maître spirituellement imprudent a vite fait
u croire, par une erreur singulière, qu’il s’agissait de distribuer l’
éloge
sans mesure aux devoirs et aux exercices de la cl
ialement historique et militaire, plusieurs copies sont très dignes d’
éloge
, et dénotent une sérieuse étude de l’histoire gre
Ordre des sciences Composition littéraire. Fontenelle, dans l’
Éloge
de Viviani (savant géomètre italien, mort en 1703
t, jusqu’aux plus petits détails, selon leurs rapports essentiels. » (
Éloge
de Lacépède). Vous expliquerez le sens de cette r
de sa part, bien hardi. Mais elle n’a pu résister. Passe encore si l’
éloge
des sciences n’avait pas été suivi d’une attaque
la pièce et se tient pour fort honorée d’un si précieux hommage ; 2°
Éloge
de la pièce ; 3° Les amateurs du théâtre pourront
he grec dit : (citer le texte). 1er Paragraphe. – (A) La santé (petit
éloge
de la santé, ses bienfaits, elle est un élément d
tre répondait par quelques conseils, où, bien souvent, sous couleur d’
éloges
, se cachait la note moqueuse. Tragédies, comédies
ent destinés à une mort certaine. Vous terminerez par quelques mots d’
éloges
pour le commandant Maury, et pour la science, don
nd qu’aux besoins les moins élevés de la nature de l’homme. (Paris.)
éloge
de la mémoire. Que serait l’esprit de l’homme san
rompés en prodiguant tant de louanges à la vie des champs. (Metz.)
éloge
de la science. Désir de connaître naturel à l’hom
ait d’héroïsme. (Besançon.) l’étude. Que de fois n’a-t-on pas fait l’
éloge
de l’étude ? Quelles louanges ne lui a-t-on pas d
ovidence divine que d’attribuer de la puissance au hasard. (Rennes.)
éloge
de l’histoire. L’histoire est pour le genre humai
a Fontaine. Et Boileau a montré plus d’une fois, par exemple dans ses
éloges
obstinés du grand Arnauld, comme il l’appelle, qu
ême sujet qu’au concours de 1851 (Toulouse). Concours de 1869.
éloge
de la science. Même sujet qu’au concours de 1851
e sujet qu’au concours de 1851 (Strasbourg). Concours de 1870.
éloge
de l’histoire. Même sujet qu’au concours de 1851
M. Jules Gay (Hachette). Il y est fait mainte citation empruntée aux
éloges
des savants, aux mémoires, rapports et comptes re
airage. – Décrire la vie dans les phares, – les gardiens des tours. –
Éloge
de la science. 1° Elle satisfait dans l’homme so
re initiation au premier mystère des sciences deviendra facile. »
Eloge
du Progrès 1 PLAN 1° Il n’y a plus de distanc
le, plus rapide en son vol que la messagère des dieux1. J.Bertrand. (
Eloge
historique de Regnault.) Démontrer quelle ser
la campagne en hiver. Est-elle sans charme, sans agrément ? – Faire l’
éloge
du bœuf de labour. – Son aspect, – son caractère,
, du vigneron ? Laquelle adopteriez-vous de préférence ? Pourquoi ? –
Éloge
du paysan français. – Ses qualités, – son rôle da
cateur préféré de Louis XIV vieillissant, il reçut un jour du roi cet
éloge
délicat : " Mon père, j’ai entendu dans ma chapel
prenait pas à les vaincre ; et ses préceptes pompeux étaient plutôt l’
éloge
de la vertu que le remède du vice. Il était même
er. Je suis amoureux de l’amitié. Il faut soi-même mériter beaucoup d’
éloges
pour supporter patiemment l’éloge d’autrui. Aimer
l faut soi-même mériter beaucoup d’éloges pour supporter patiemment l’
éloge
d’autrui. Aimer à lire, c’est faire un échange de
gement est impossible. L’essayer, ce serait trahir le parti pris de l’
éloge
ou du blâme. Bornons-nous ici à rappeler les fait
rmes recueils de vers médiocres, de compliments, de harangues, et ces
éloges
qui sont quelquefois aussi faux que l’éloquence a
ue sous le maréchal de Belle-Isle. Son premier écrit fut sans doute l’
éloge
funèbre d’un de ses jeunes compagnons d’armes qu’
ron visita la Grèce, il n’osa entrer dans Lacédémone. Quel magnifique
éloge
de cette cité ! Itinéraire de Paris à Jérusalem,
avait obtenu trois fois le prix d’éloquence à l’Académie française. l’
Éloge
de Montaigne (1812), le Discours sur la Critique
l’Éloge de Montaigne (1812), le Discours sur la Critique (1814) et l’
Eloge
de Montesquieu (1816) étaient plus déjà que des e
nt restés le modèle d’une causerie pleine de nuances et de goût, où l’
éloge
se répète sans monotonie, où l’épigramme, pour êt
u Bossuet ? Grand homme, ta gloire vaincra toujours la monotonie d’un
éloge
tant de fois entendu. Le privilège du sublime te
de Paris, où, dit-il, on ne lui accordait, avec raison, que le mince
éloge
d’élégant écrivain et de grand coloriste. Permis
ain et de grand coloriste. Permis à Marmontel de compter pour peu cet
éloge
; mais, en vérité, si le mot de grand coloriste,
aine 488. M. Mignet.(1796.) M. Mignet est né à Aix en 1796. Un
éloge
de Charles VII, couronné en 1818 par l’académie d
et politiques. L’un des devoirs de cette dignité est d’honorer par un
éloge
public la mémoire des académiciens qui ont appart
te persévérance dans l’étude qui est le signe des grandes volontés. L’
Eloge
de Vauvenargues, couronné en 1821 par l’académie
ernières années de la Restauration, deux couronnes académiques par un
Éloge
de Bossuet et le Tableau de la Littérature frança
eu en triomphant si haut d’adversaires si au-dessous de lui. Pour ses
éloges
, il ne les gâta point par cet excès qui prouve qu
te-t-il pas à en dire ? Chaque époque en renouvelle pour ainsi dire l’
éloge
. Quelque idéal que se fasse une société d’une con
nstant de nouvelles finesses, Des charmes neufs, variaient son débit.
Éloge
unique et difficile à croire Pour tout parleur qu
d’un fat ignorant la marque la plus sûre : L’homme éclairé suspend l’
éloge
et la censure ; Il sait que sur les arts, les esp
ques de Virgile. L’ouvrage de Delille parut en 1769 et lui mérita les
éloges
de Voltaire, qui le défendit contre les malveilla
me, Des brigands, parvenus à l’empire suprême, Souillant la liberté d’
éloges
imposteurs, Immolaient en son nom ses premiers fo
emier ouvrage. La critique même pourrait mêler quelques regrets à ses
éloges
. La pureté première de la forme s’est parfois alt
’école du bon sens. Chez plusieurs, il se cachait une ironie sous cet
éloge
: on voulait faire entendre par là qu’il manquait
qui contient un sermon par jour. 54. D’Alembert a composé en 1774 un
éloge
de Massillon. Outre La Harpe, l’abbé Maury le lou
lus aujourd’hui qu’une acception défavorable. 84. Lire sur Le Sage l’
Éloge
de M. Patin, couronné par l’Académie française en
. Laboulaye, en 7 volumes, chez Garnier. — Lire sur Montesquieu : son
Éloge
, par d’Alembert ; la xive et xve leçon du Tableau
e roi Antiochus. 165. Rapprocher de ce mot ce que d’Alembert, dans l’
Éloge
cité, dit de la conversation de Montesquieu : « I
aite à un homme qui donne envie « de marcher à quatre pattes. » — Cet
éloge
des lettres rappelle une des pages les plus brill
par Flourens ; Sainte-Beuve, CauseHes du Lundi, tomes IV, X, XIV ; l’
Eloge
de Buffon, par Michaut (Hachette, 1878). 209. On
inte-Beuve, Causeries du Lundi, tome VI (2 art.) ; — Prévost-Paradol,
Éloge
de Bernardin de Saint-Pierre (Firmin Didot). — L’
ux Lundis, 1. p. 77), c’est la revanche complète de la prose contre l’
éloge
absolu qu’avait fait des vers A. de Musset (J’aim
andé comment je parlerais de lui, s’il m’arrivait d’avoir à faire son
éloge
funèbre à l’Académie française, je répondis que j
ationale de porter pendant trois jours le deuil du grand citoyen. Son
éloge
a été heureusement résumé dans un vers célèbre :
aux tyrans. » 498. S’il fallait mêler quelques restrictions à cet
éloge
, on pourrait rapprocher avec intérêt de ce morcea
es sous le titre de Cours d’Etudes historiques. M. Miguet a écrit son
éloge
(1843). 530. Le nom de Figaro a beaucoup intrigu
cours des comètes et le flux et le reflux de la mer. — Il faut lire l’
éloge
de Newton par Fontenelle, « de cette pure intelli
iote, a écrit sa vie (Paris, 1779, in-12) ; plusieurs ont composé son
éloge
, et parmi eux on peut citer Noël et le célèbre Sy
rices dans la versification. A. de Musset méritait alors le spirituel
éloge
de M. Nisard, qui, le recevant au nom de l’Académ
des Tragiques grecs, éd. Wagner, p. 101. Majestueux et calme.] Mêmes
éloges
dans la Politique, VIII, 7 cf. Héraclide de Pont
ne par ce vers : Un sonnet sans défaut vaut seul un long poème. Cet
éloge
, qui nous paraît aujourd’hui fort exagéré, était
dien de la parole évangélique. Voilà toute sa vie : c’est le meilleur
éloge
qu’on en puisse faire. Né à Bourges, fils d’un av
enveillance et de surpasser leur attente. Ainsi Bossuet, commençant l’
éloge
du grand Condé 42, se reconnaît au-dessous de son
elque puissants qu’ils aient été, à quoi se réduisent ces magnifiques
éloges
qu’on leur donne, et que nous lisons sur ces supe
. On va voir qu’il prouve d’abord cette proposition par un magnifique
éloge
de César, et ensuite par trois raisons qu’il déve
ses auditeurs sa harangue, qui lui mérita de leur part de très grands
éloges
. Mais après qu’il eut lu celle de Démosthène, les
ec le personnage, et lui fait éprouver tout ce qu’il a senti. C’est l’
éloge
surtout que lui donnait Quintilien : « Ses harang
imè dicam, nemo historicorum commendavit magis. (Quint. Lib. x). Cet
éloge
est grand, sans doute ; mais il est justifié à ch
me un savant, malin comme un enfant, Qui m’embrassait, disant, car un
éloge
excite : Quoiqu’il n’ait que neuf ans, il expliqu
▲