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172. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180

Le contraire de ce que je viens de vous dire est un défaut qui n’est pas moins désagréable.

173. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361

Le contraire de ce que je viens de vous dire est un défaut qui n’est pas moins désagréable ; des pas serrés, des temps maigres & rétrecis, une exécution enfin trop petite choquent également le bon goût.

174. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Les paroles de toutes les tragédies lyriques que nous venons de citer sont de Quinault, excepté Psyché et Bellérophon, qui sont de Thomas Corneille. […] A toutes les époques, les élémens de prospérité furent nombreux pour l’Opéra ; dans les différentes phases que nous venons de parcourir, nous l’avons vu non pas résister à toutes les tourmentes, mais s’y plier toujours avec adresse et souvent savoir en tirer parti.

175. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Les uns nomment Fanny Elssler qui vient de débuter dans la Tempête, les autres Louise Duvernay, la séduisante Miranda de la Tentation.

176. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Ainsi, les bras étant placés comme nous venons de le démontrer, lorsqu’on veut en lever un ou deux, selon que l’exige le sens de la danse, on le soutient près de soi, le coude toujours en dessus ; on le lève à la hauteur de la poitrine sans hausser l’épaule, laissant un peu plier le coude que l’on développe en levant l’avant-bras, pour porter la main tournée en dessus en face de la poitrine, ayant soin de tenir les bras arrondis. […] Par les règles que nous venons de démontrer, on voit que l’exécution de la contredanse n’exige point un grand nombre de pas ; mais elle permet de varier et d’y placer un nombre infini d’autres pas, lesquels varient encore par la composition des enchaînement, comme nous venons d’en donner un exemple pris sur le petit nombre de ceux que nous avons démontrés, lesquels offrent encore beaucoup de variétés : ces changements s’opèrent le plus souvent dans les traits figurés à deux par l’inconvénient que les autres présentent ; d’abord par les mouvemens des bras qu’il faut soigner, mais encore plus par les personnes qui ne sachant pas danser, ou qui n’ayant pas d’oreille, trouvent presque toujours trop long chaque trait de contredanse, qui est composé de quatre mesures.

177. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

Les uns qui leur viennent de leurs parents ; et les autres, de leurs intimes… PHÈDRE C’est toi, l’intime !

178. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Tels furent les arrangements magnifiques qui se déployèrent le 15 Novembre 1744, jour solennel où le Roi, à son retour de Metz, vint jouir des transports d’amour et de joie d’un peuple qui venait de trembler pour ses jours. […] Il chanta un récit, dans lequel il racontait l’adresse dont il venait de se servir pour ravir à Apollon qui gardait les troupeaux d’Admette, un veau gras dont il faisait hommage aux nouveaux mariés. […] On trouve les traces de ce qu’on vient de dire dans toutes les fêtes qui furent données sous ses yeux.

179. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

« Partout on sent l’effort et le travail : Mlle Elssler arrondit ses gestes et prépare à loisir ses moindres poses… L’art des autres danseuses s’apprend comme un métier ; l’art de Taglioni vient de la nature… Taglioni appartient aux éléments, comme dirait Gœthe ; il lui faut des rôles en dehors de ce monde : aussi que de rôles élémentaires n’a-t-on pas inventés pour elle, ondines, sirènes, hamadryades, que sais-je ?

180. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Mais ce fut en 1766, que Mademoiselle Heinel et un jeune danseur nommé Ferville, vinrent de Stutgard débuter à Paris.

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