J’admirai beaucoup mon joli cadeau, mais j’étais loin de me douter qu’il contenait la petite semeuse d’où allait sortir pour moi une lampe d’Aladin. […] Lorsque nous sortîmes du théâtre il faisait nuit. […] Enfin, il sortit de son silence et baptisa ma danse « La Serpentine ».
je trace des jardins Anglais, je construis des ponts Chinois ; et si je veux orner mes plans de ruines, je sors et je trouve par-tout des modèles de destruction. […] Tel est, je le repète le sort des talens négligés ; ils meurent à l’instant où ils voyent le jour. […] Les Demoiselles Georges et Duchenois ne nous rassurent-elles pas sur le sort de la Tragédie ?
L’homme qu’à vous deux vous avez fait de moi, au fond de ce cher pays sauvage et de ce triste manoir où j’ai tant souffert et dont je ne veux plus sortir, ni lui ni vous ne l’avez connu. […] Pourquoi, vous qui êtes un homme supérieur, ne m’avez-vous pas fait subir un examen avant de m’épouser ; vous auriez vu que je suis une femmelette, et vous m’eussiez laissée chez moi d’où je ne demandais pas à sortir. » Pouvais-je lui répondre qu’elle avait tort de pas vouloir s’élever au niveau de l’homme supérieur qui lui avait fait l’honneur de la choisir ? […] Alors je restai près de lui et ma femme sortit seule.
Ils en faisaient sortir, à leur gré, quelques faibles traits de lumière qui servirent à établir leur puissance, et à égarer les peuples qu’ils avaient intérêt de séduire.
Si l’on reprenait aujourd’hui le fameux drame musical que calqua sur ce poème Richard Strauss, la partition tomberait, il se peut bien à plat, tellement notre entendement musical a évolué, mais le texte et surtout la formule théâtrale sortiraient de l’épreuve intacts !
Suivent Mme Egorova, au métier si délicat et si noble ; Nemtchinova, danseuse de toute sûreté, mais sans personnalité marquée ; Oghinska, qui a vingt ans, sort à peine de l’école de Pétrograd et dénote déjà certaines qualités de ces Polonaises de race qui ont, de tout temps, participé aux plus hauts faits du ballet russe ; Tchernicheva a la belle prestance décorative ; Schollar et Doubrovska, qu’on revoit avec plaisir.
Il y a deux ans, Edmond About n’en sortait pas Il n’y vient plus depuis que les blondes sont en majorité, et que j’y danse. […] (Elles sortent furieuses.)
Dès lors ne faut-il pas être frappé d’aveuglement pour ne pas voir que des danses même qui passent pour les plus honnêtes, naissent mille périls pour la chasteté ; qu’il est moralement impossible d’en sortir, sans qu’elle soit pour le moins affoiblie, même dans ceux et celles en qui elle paroissoit le plus affermie ? […] Poussée par le désir indiscret de voir et d’être vue, elle sortit pour aller voir, non des personnes d’un autre sexe, mais les femmes du pays de Sichem, apparemment pour étudier leur démarche, leurs ajustemens et leurs manières.
Déjà l’on conduit à l’autel la jeune Eucharis : le sort fatal l’a choisie pour être victime ; le coup affreux qui va trancher sa vie, est prêt de tomber sur elle ; mais il est suspendu par l’arrivée d’un jeune homme. […] Par un miracle inattendu, le temple élevé à Lybas et l’autel s’écroulent ; les jeunes Témessiennes ne craignent plus pour leurs jours ; les mères ne tremblent plus sur le sort de leurs filles ; les pères peuvent se livrer sans trouble à l’espoir de voir renaître leur postérité, et Eucharis peut posséder ce qu’elle chérit.