C’est un garçon d’un vrai mérite et que je connais depuis longtemps ; je l’ai eu pour élève durant mon professorat au collège de… Il s’appelle Juste Odoard, nom de fantaisie ou pseudonyme, comme vous voudrez, car il sort des Enfants-Trouvés.
) que l’ange ayant sonné de la cinquième trompette, le puits de l’abîme s’ouvrit, qu’il s’éleva du puits une fumée semblable à celle d’une fournaise, qu’il sortit de cette fumée des sauterelles qui se répandirent sur la terre, et qui reçurent un pouvoir tel que l’ont les scorpions de la terre, qui est de piquer ; que ces espèces de sauterelles étoient semblables à des chevaux préparés pour le combat ; qu’elles avoient sur la tête comme des couronnes d’or, des cheveux de femme, et des dents comme des dents de lion : et voici l’explication morale que ce saint archevêque donne à cet endroit de l’Apocalypse, en en faisant usage contre les danses : « Ces sauterelles, dit-il, sont les personnes qui dansent. Le puits de l’abîme dont les sauterelles sortent, c’est le fond de l’enfer, parce que l’amour de la danse est inspiré par les démons dont l’enfer est la demeure. La fumée de la grande fournaise d’où sortent les sauterelles, représente les vapeurs spirituelles, et les effets de la concupiscence et de l’impudicité, qui ont donné naissance aux danses, et qu’elles enflamment de plus en plus.
Sur l’invisible bûcher, l’Athikté flambe et se consume… « On croirait que la danse lui sort du corps comme une flamme… Dévorée de figures innombrables… elle sort incessamment de soi »… Sortir de soi-même, n’est-ce pas le sens étymologique du mot extase ?
Honteux et dépité, je le gardai dans mon chapeau entre mes genoux, attendant je ne sais quel moment favorable qui ne se présenta plus, et je sortis du théâtre, remportant mon offrande inaperçue et ma douleur incomprise. […] Nous arrivons au nombre d’une trentaine (d’autres s’étant joints à nous) à la petite porte sombre par où sortent les artistes. […] Je n’étais pas couché, je travaillais, je sortis aussitôt et vis Mlle Fiori éperdue, qui cherchait du secours.
C’était, — la femme me le dit elle-même, à mi-voix, — une cuisinière qui devenait trop vieille pour pouvoir rester en place, et qui consentit à unir son sort à celui de l’aveugle nomade, afin de lui servir de guide par les rues. […] Et alors on ne peut pas sortir.
Elle fait sortir la fumée par les narines ou par l’oreille, au choix de la société. […] Il a reçu avec reconnaissance de la nature ses trente-deux dents, et il les considère comme un étau naturel confectionné pour étreindre un tuyau de pipe ; les vapeurs qui sortent du tabac sont les nuages sur lesquels trône ce roi de la création. […] Mais elle est femme de tête, elle avise aux moyens de sortir d’embarras : huit jours suffisent pour réparer l’échec. […] Une fois entré, il ne sortira plus. […] Au spectacle elle envahit la place de celui qui sort et met dans sa poche le gant qu’il a laissé comme signe de son retour.
La fossette du cou doit perpendiculairement correspondre au pied ; si on place un bras en avant, elle sort de sa perpendiculaire sur les pieds ; si une jambe se porte en arrière, la fossette est placée en avant, et elle change ainsi selon les diverses positions.
On arrive à une barrière, une très vulgaire barrière, qui ne ferme rien et n’est là, je pense, que pour empêcher les animaux errants d’entrer et ceux de la maison de sortir.
D’après cette description, on ne peut douter de l’antiquité des sciences, et des arts ; et il est naturel de penser qu’à peine sortis de leur enfance, ils furent dispersés sur la terre, et qu’ils abandonnèrent les lieux arides de leur naissance, pour chercher une nouvelle patrie ; qu’enfin ils choisirent l’Egypte de préférence, parce que ce pays jouissoit de la plus grande renommée.