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110. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

« Que l’on continue, ajouteront-ils, à faire de belles pirouettes, de beaux entrechats ; que l’on se tienne longtemps sur la pointe du pied pour nous avertir des difficultés de l’Art ; qu’on remue toujours les jambes avec la même vîtesse, & nous serons contents.

111. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

L’Amérique était découverte, l’œuf se tenait sur la pointe, l’Opéra se remplissait chaque jour, Franconi fut dépassé et fit faillite, et M.

112. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Au travail de la barre, gymnastique essentielle, aussi nécessaire à la danseuse que la gamme l’est au pianiste, s’ajoutait l’étude des mouvements et des figures qui constituent la grammaire de la chorégraphie, des pointes, des ronds-de-jambe, des jetés-battus, des pirouettes, des entrechats.

113. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

La longueur démesurée de ses membres faisait paraître interminable la ligne qui allait de l’extrémité des doigts à la pointe de l’orteil.

114. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Elle fut le dernier produit de l’école française aux poses géométriques et aux écarts à angle droit… Déjà, Marie Taglioni s’avançait sur la pointe du pied, — blanche vapeur baignée de mousselines transparentes, — poétique, nébuleuse, immatérielle comme ces fées dont parle Walter Scott, qui errent la nuit près des fontaines et portent en guise de ceinture un collier de perles de rosée !

115. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Quand il comparait les pas de Fanny Elssler à de l’écriture gothique, il condamnait la netteté des lignes et la précision des pointes auxquelles il préférait l’ampleur vaporeuse des courbes.

116. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Une variation prolongée que Fanny exécuta sur la pointe des pieds fit hurler de satisfaction les gens de New-York.

117. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

« Fanny, électrisée, entraînée, dansa comme jamais, elle fit des choses merveilleuses, surhumaines ; par exemple elle se tint en attitude trois minutes environ sur la pointe de l’orteil.

118. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Une pointe de jalousie perce à l’adresse de rivaux possibles, qui auront l’avantage de la jeunesse.

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