La lenteur est un des grands défauts du chant français de scène, qu’on nomme aussi déclamation.
Le second se nomme le Bransle Gay, qui est composé de quatre pas, & se commence à fin de mieux prendre la cadance, par le dernier, en pliant tant soit peu les genoux pour assembler les deux talons en s’esleuant sur la pointe des pieds : Puis pour commencer les quatre pas, faut escarter le pied gauche, & faire que l’autre le suiue de pres contre le talon sur le mouuement du pied, & en releuant la pointe du pied gauche, le lascher doucement à costé en glissant sur le talon, pendant le quel pas glissé, il faut descendre le talon du pied droict plat à terre, & sans s’arreste là dessus, faut plier tant soit peu les genoux pour mieux prendre son temps, à fin d’assembler le pied droict au gauche, en se releuant sur les deux pointes des pieds pour recommencer, & quand on sçaura faire ce Bransle & non plustost, pour en donner la perfection, qu’on face faire tous les pas sur les mouuemens des pieds, sans plier en tout les genoux, que si i’ay dit qu’il faut au commencement faire plier vn peu aux pas assemblez, c’est à fin d’enseigner plus aisément les mouuemens necessaires, qui sont sans doute & plus doux & plus nobles quand ils procedent de la hanche & du pied, mais vn Escolier ne les peut faire qu’apres vn long exercice, du moins qu’auec contrainte.
On appelle le misanthrope, l’homme aux rubans verts : on me nommera peut-être l’homme aux poignards.
On appelle le Misanthrope l’homme aux Rubans verds, on me nommera peut-être l’homme aux Poignards.
Inutile de vous les nommer : vous avez reconnu Cléofas et le diable boiteux, son compère.
Gentz n’est pas nommé, mais c’est lui, sans aucun doute, que visait cette critique. […] Enfin il s’inquiète d’un certain livre qu’il ne nomme point, qui était entre les mains de Fanny, et qu’il voudrait savoir en lieu sûr.
La Gazette des Théâtres la nomme « la reine des airs qui fait honte à notre grossière nature72 ».
Je tiens d’un grand amateur de l’Opéra de Vienne, d’un fidèle et fervent admirateur des sœurs Elssler, que jamais le fils de Napoléon (puisqu’il faut le nommer) n’a vu ni au théâtre, ni ailleurs, l’artiste pour laquelle on lui a prêté de si tendres sentiments.
Les pièces dont j’ai parlé plus haut et que je crois absolument nécessaires seroient placées au dessus de la distribution que l’on nomme retirade.