Tout eût du succès dans ce ballet, sans en excepter même la scène du dépit, jouée partie assis et partie debout ; elle parut aussi vive, aussi animée et aussi naturelle que toutes les autres, il y a dix mois que l’on voit ce spectacle, et qu’on le voit avec plaisir ; effet certain de la danse en action ; elle paroit toujours nouvelle, parce qu’elle parle à l’ame, et qu’elle intéresse également le cœur et les yeux.
Il y a dix mois que l’on donne ce Spectacle & qu’on le voit avec plaisir ; effet certain de la Danse en action ; elle paroît toujours nouvelle parce qu’elle parle à l’ame, & qu’elle intéresse également le cœur & les yeux.
La même année, il frappait un grand coup en fondant la Revue de Paris, qui fut de plusieurs mois l’aînée de la Revue des Deux Mondes.
On feroit encore tous les quinze jours en présence des administrateurs, ou des directeurs, l’essai des pompes, ainsi que l’inspection des réservoirs dont on renouvelleroit l’eau au moins tous les mois.
Deux Viennoises l’y attiraient : les sœurs Elssler, — Fanny et Thérèse, — qui dansaient, depuis quelques mois, au Théâtre-Royal, où elles étaient même assez faiblement et assez irrégulièrement payées.
Il fit représenter, sur un théâtre bâti exprès dans le jeu de paume de l’hôtel Guénégaud, l’opéra de Pomone,au mois de mars 1671. […] L’Académie Royale de Danse, établie par Louis xiv au mois de mars 1661, en vertu de lettres-patentes qui furent enregistrées au parlement le 30 mars 1662.
Six mois après, tous les airs depuis l’ouverture jusqu’à la dernière gavote, furent parodiées et sus de tout le monde.
L’aîné des enfants de Henri II ne régna que dix-sept mois ; il en coûta peu de soins à sa mère pour le distraire du gouvernement, que son imbécillité le mettait hors d’état de lui disputer ; mais le caractère de Charles IX, prince fougueux, qui joignait à quelque esprit un penchant naturel pour les Beaux-Arts, tint dans un mouvement continuel l’adresse, les ressources, la politique de la reine : elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire perdre de vue sans cesse le seul objet dont elle aurait dû toujours l’occuper. […] Le mardi 17, autre combat à la pique, à l’estoc, au tronçon de la lance, à pied et à cheval ; et le jeudi 19, fut fait le ballet des chevaux, auquel les chevaux d’Espagne, coursiers, et autres en combattant s’avançaient, se retournaient, contournaient au son et à la cadence des trompettes et clairons, y ayant été dressés cinq mois auparavant.
Souvent, tel pas qu’ils auront dédaigné, à cause de sa simplicité, ne pourra être exécuté par eux suivant les principes, qu’après plusieurs mois d’exercice, C’est aux principes qu’il faut s’attacher, et c’est à force d’attention et de patience qu’on pourra en recueillir les fruits.