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78. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128

Je finirai cette lettre en avançant que rien ne prête tant au goût, à l’imagination et à l’invention, que le plan d’une grande fête.

79. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XII. Le foyer de la danse » pp. 270-287

. — Comment elles finissent. — Celles qui se marient — Celles qui se retirent. — Celles qui disparaissent. — Où les neiges d’antan ? […] *** … Et, maintenant, comment finissent ces demoiselles de l’Opéra ?

80. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95

L’artiste dont je parle, doit se distinguer en tenant la partie supérieure du corps bien placée, par des mouvements de bras parfaitement combinés, et par le beau fini des principes de son école.

81. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 18 septembre. Je fais l’école buissonnière. »

Le music-hall est donc un laboratoire, en permanence de recherches théâtrales dont les grandes scènes, voire surtout le cinéma, finissent par profiter.

82. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XII. » pp. 115-121

Cette harmonie intime de mouvemens de toute la machine ne peut être le résultat des principes de l’école ; l’élève est, si j’ose m’exprimer ainsi, un bloc que les principes dégrossissent ; ils l’ébauchent, mais le goût seul, je le répète, finit et donne à la figure les contours et la grace qu’elle doit avoir pour être vraiment belle.

83. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre XXVIII. Des pas de Bourée & des Fleurets. » pp. 122-132

D’autres qui se font de côté en effaçant l’épaule ; qui se pratique de la maniere suivante, sçavoir le corps posé sur le pied gauche, vous pliez dessus ayant le pied droit en l’air prés du gauche, & vous le portez à côté en vous élevant sur la pointe & en retirant l’épaule droite en arriere, mais la jambe gauche suit la droite, & se pose derriere à la troisiéme position, les genoux étendus sur la pointe ; & pour le troisiéme vous laissez glisser le pied droit devant à la quatriéme position, en laissant poser le talon à terre ce qui finit ce pas ; le corps étant posé sur le droit vous pouvez plier dessus, & en faire un autre du gauche, en observant les mêmes principes, on les trouve placés à la fin de la Bretagne, & dans plusieurs autres danses de Ville ; lorsque ces pas sont bien pris, ils sont des plus gracieux.

84. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Ne leur refusons point cet hommage posthume et passons une rapide revue de ces belles et folles créatures du bon vieux temps, — délirantes sangsues qui pompaient l’or des grands seigneurs et des traitants, l’éparpillaient en pluie de fantaisies ruineuses, et finissaient, le plus souvent, par mourir à l’hôpital, dans le voisinage des gazetiers et des rimeurs auxquels elles avaient fait largesse de pistoles et de baisers ! […] Mademoiselle Desmatins qui finit chanteuse, avait eu de bruyants succès comme ballerine, et c’est en cette qualité que sa réputation avait commencé. […] Mademoiselle Lyonnais Elle commença à six cents livres et finit par en gagner treize cents, plus « cent livres de pain et de vin. » Son plus grand succès fut Zoroastre.

85. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre sixième. Des temps, des pas, des enchaînements et de l’entrechat » pp. 71-78

(a) On peut terminer tous les entrechats que l’on finit sur une jambe ; ainsi que les ronds de jambe en l’air, dans les attitudes et les arabesques qu’offrent les planches indiquées dans le chapitre précédent.

86. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VIII » pp. 106-119

— J’ai envie, disait-il, maintenant que la pièce est finie, de prier le public de venir processionnellement examiner mes coulisses, la place qu’occupent mes décors, les cahutes où s’habillent mes acteurs et mes actrices, de causer avec eux et avec elles, de juger par lui-même des innombrables difficultés qu’il a fallu vaincre pour arriver simplement à donner cette représentation ; je suis convaincu qu’au lieu d’un succès il me ménagerait un triomphe.

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