Le Triomphe de l’Amour 138 fut le premier ouvrage en Musique où quatre vraies femmes dansantes furent introduites, et on vanta alors cet embellissement, comme on louerait de nos jours l’établissement d’une Salle de Spectacle bien régulière et proportionnée au degré de splendeur où nous pouvons croire sans orgueil que notre Ville Capitale est montée. […] L’Europe Galante, Issé, Le Carnaval et la Folie ne sont pas inférieurs aux meilleurs Opéras de ce beau génie ; mais il est froid, insipide, languissant dans tous ses autres ouvrages lyriques, et tel que ses ennemis l’ont cru, ou l’ont voulu faire croire.
Je crois qu’il y couche. […] Certainement ; si vous croyez que je n’ai que ça à faire ! […] Tiens, je croyais être en avance… Oscar. […] vous écrivez des lettres anonymes pour me faire perdre ma position, et vous croyez que cela se passera comme ça ! […] Et vous croyez que cela peut durer longtemps ainsi !
Je crois que ce que les Romains appelloient noter un discours, n’étoit que ce que nous nommons ponctuation. […] Je crois pouvoir comparer cette musique a celle du plein-chant, dans la quelle le serpent fait un assez bon effet. […] C’est encore une erreur de croire que les généraux haranguoient les troupes en chantant ; car parler à haute et intelligible voix, n’est pas chanter. […] La réunion de ces monstruosités ne nous donne-telle pas la liberté de croire que les le Kain et les Garick dégagés de toutes ces entraves, étoient supérieurs aux AEsopus et aux Roscius. […] Quant à notre danse, à sa brillante éxecution, à la perfection des mouvemens, et aux graces du corps ; elle ne peut-être comparée qu’à elle-même, malgré les licences nouvellement introduites par le caprice et la fantaisie. — Nonobstant ces taches que le temps et la réfléxion éffaceront sans doute ; je crois que cet art enchanteur qui fait les délices de nos spéctacles, n’éxistoit ni à Athènes, ni à Rome, et je lui accorde une préférence obsoluë sur ces mimes, qui n’avoient que des gestes de convention, et qui ignoroient parfaitement la danse.
) chant des anciens chœurs des Grecs, qu’ils exécutaient sans se mouvoir, pour représenter l’immobilité de la terre qu’ils croyaient fixe.
Croyez, monsieur, à mes sentiments tout dévoués.
L’un semble siffler en déclamant ; l’autre a tout l’accent d’un bas Normand, qui voudrait faire le beau parleur ; celui-ci change souvent les voyelles en s, écorche impitoyablement les oreilles par ses barbares élisions, & gasconise comme s’il était encore dans sa Province ; enfin celui-là parle tellement du nez, qu’on serait tenté de croire que sa langue est montée dans son cerveau. […] Je crois que l’on pourrait cependant faire quelque exception, si l’on jugeait à propos d’adopter mon systême : par exemple, une fois par mois on représenterait à l’ordinaire chacune des Pièces des plus fameux Poètes : on donnerait aussi quelquefois, à la manière usitée de nos jours, mais bien rarement, & sans tirer à conséquence, l’Hypermnestre de M. le Mi**, le Warwick de M. de la Har**, & Gaston & Bayard, de M. de Bel**, en faveur des beaux vers répandus dans ces trois Ouvrages. […] Ce n’est qu’aux gens du commun que j’offre mon projet, non que je m’imagine que les gens de condition soient plus heureux lorsqu’ils sont mariés ; mais parce qu’on m’a dit qu’il était d’usage parmi eux de ne point contredire leur épouse, qui, de son côté, s’inquiète peu des actions de Monsieur ; on se quitte lorsqu’on s’ennuie, chacun prend un hôtel séparé, & vit au gré de ses caprices : on appelle cela, je crois, le bon ton. […] Croyez-moi, les uns & les autres, ménagez davantage vos poumons, & n’instruisez point tout votre quartier de vos secrets domestiques. […] Maris, n’allez pas croire que je parle d’un certain geste expressif, qui met toujours une femme à la raison ; si je vous donnais un tel conseil, la conversation serait trop tôt finie, & vous n’en seriez pas meilleurs amis : je crois seulement que vous en devez faire la démonstration, &, à force de la réitérer à propos, vous aurez la paix dans votre ménage.
Cela sera d’autant moins inutile que bien des personnes croient que Rigolboche est mon nom de famille. […] Où il doit bien s’ennuyer, le malheureux, surtout lorsqu’il se souvient de son ancienne existence… C…, puisse ce livre t’apporter quelques distractions et le faire croire pour quelques instants que tu n’as pas encore quitté Paris, la ville de joie ! […] Jusqu’à ce moment je m’étais contentée de rester simple spectatrice de la chose, et c’est tout au plus si je m’étais permis quelques commentaires ; mais, à l’arrivée des sergents de ville, je crus qu’il était de mon devoir de défendre mon sexe et d’empêcher dame Police de s’immiscer dans nos plaisirs. […] VII Je crois être quitte avec la gloire.
Je lui répondis donc, sans autrement m’émouvoir : — Merci beaucoup, monsieur, je viens justement de voir le Louvre, et je crois que c’est aussi une belle collect… Rachel Boyer interrompit ma phrase en souriant, mais avec un air, cependant, quelque peu scandalisé. […] Je crois que j’aurais été beaucoup plus impressionnée si j’avais entendu parler de quelques-unes de ses bonnes œuvres. Je me décidai enfin à croire, pour complaire à mon hôtesse, que la collection était si colossale que tout devenait insignifiant auprès d’elle. […] Je croyais que nous avions vu toute la collection de M.
Les gens cependant qui se croyaient les plus sages des deux côtés, réfléchirent sur cet événement, et ils se communiquèrent leurs observations. […] Je ne crois point hasarder, dans tout ce que je vais dire, une simple conjecture.1°. […] Quelques Auteurs trompés, comme on l’a déjà dit, par le goût qu’il montra pour la Danse Italique, l’en ont cru l’Inventeur.