Elle tourne, bercée par la valse du Danube ; ses beaux bras accompagnent le tournoiement du corps et quand tout à coup elle laisse aller le poignet en ouvrant la main, elle n’est plus que la petite vague fraîche qui vient se briser au rivage de la rampe.
Une génisse devait l’avoir conçu d’un coup de tonnerre.
Et je ne goûte que médiocrement le « coup de l’escalier praticable » construit de profil, inspiré de Hellerau, que monte et descend Salomé en mimant son triomphe et son épouvante.
Quel coup de pinceau mâle ! […] L’amour le plus tendre déguisé sous les traits du plus violent dépit, dans le cœur d’une femme toute puissante, est le premier coup de pinceau qui nous frappe dans cette belle composition.
Déjà l’on conduit à l’autel la jeune Eucharis : le sort fatal l’a choisie pour être victime ; le coup affreux qui va trancher sa vie, est prêt de tomber sur elle ; mais il est suspendu par l’arrivée d’un jeune homme. […] Elle l’arrache de l’autel, s’y précipite et sollicite le coup mortel.
Les coups qu’ils se portent, frappent de terreur les spectateurs ; et Hercule accorde pour prix de la valeur un bouclier superbement travaillé. […] Il marche à pas lents vers l’autel pour offrir son sacrifice ; mais un feu dévorant circule tout à coup dans ses veines ; il fait d’inutiles efforts, pour détacher cette robe fatale dont le poison subtil a filtré dans son cœur.
63 CLION, DÉESSE de l’HISTOIRE, Sous qui j’ouvre mon Écritoire, A là, pour son plus digne Ébat, L’Image d’un fameux COMBAT, Et surtout est considérée Ladite Martiale ENTRÉE Où les Combattants admirés Se portent des Coups mesurés, Autant d’Estoc comme de Taille, Sans ensanglanter la Bataille ; Et puis, par un plaisant Refrain, Tous cabriolent sur la fin.
. — Tout à coup, au milieu du silence, il croit entendre un vague gémissement. […] Cléofas s’approche de ce bocal, et d’un coup de marteau le fait voler en éclats… Aussitôt il s’en échappe une vapeur épaisse et noirâtre qui, en se dissipant, laisse voir une espèce de nain difforme, aux jambes inégales, au pied fourchu, d’une main s’appuyant sur des béquilles, et de l’autre agitant une petite sonnette d’argent. — C’est Asmodée, le Diable boiteux, que les conjurations de l’alchimiste tenaient enfermé là depuis quelque vingt ans. […] voilà le diable qui s’amuse à brouiller les cartes en faisant survenir tout à coup doña Florinde ! […] » Et, d’un coup de sa béquille, il change le sombre laboratoire de l’alchimiste en un délicieux séjour tout rempli des merveilles de la nature et de l’art. […] Le régisseur vient frapper les trois coups.
A cet état de langueur et d’inertie, tout à coup succédèrent l’intelligence, la force et la puissance ; et comme si un coup électrique eût animé tous les hommes, bientôt les arts et les sciences se montrèrent en Egypte, avec autant d’éclat que de majesté.