On ne connaissait plus ni bienséances, ni honnêteté, ni retenue.
Connaissez-vous la genèse du poème ?
En dépit d’eux, le Public va me connaître.
Quoique je vous aye donné une démonstration particuliere de ces quatre Figures differentes, c’est pour vous en donner une claire intelligence, & vous en faire connoître tous les differens tems : afin que vous puissiez les mettre en pratique avec facilité, mais comme toutes ces quatre Figures ne sont que pour l’intelligence d’un seul pas, elles se doivent faire de suite dans l’étenduë de ce pas ; mais comme on doit sçavoir faire un pas d’un pied comme de l’autre, je vous conseillerois de vous mettre au bas de la salle.
Ainsi, pour la grande URANIE Qui des CIEUX connaît l’Harmonie, Des Danseurs lestes et fringants Font les SEPT PLANÈTES ERRANTS.
À la Muse du Sieur Perrin, Qui, des mieux, connaît le Terrain, Du Mont sublime du Parnasse, De ce bel Ouvrage, on doit grâce.
Nous sommes ici comme dans bien d’autres choses, comparables aux Peintres à qui on conseille de ne jamais présenter dans leurs tableaux que des Personnages connus. Il n’est permis qu’à la Poésie de faire connaître ses personnages, même puisés dans son imagination ; les Peintres et nous, nous ne pouvons que les faire reconnaître ; et tous le monde sait l’indifférence des Spectateurs pour des Personnages inconnus.
Outre que Platon demeure d’accord, après avoir bien approfondi cette matiere, qu’elle n’est pas moins difficile à connoître qu’à persuader : son sentiment a beaucoup de rapport à celui d’Hérodote, ce fameux Historien de l’Antiquité, parlant des Oracles dans son Liv. […] Je crois avoir assez éclairci cette matiere, pour faire connoître en quoi les anciens Auteurs qui en ont parlé, ont fait consister cette prétendue Musique élémentaire & magique, & dont je n’ai traité, malgré toutes ces preuves, que par raport à l’Histoire Générale de la Musique ; sçachant bien que toutes ces opinions qui ont rapport aux fables de l’Antiquité, ne sont plus du goût du siécle, qui est entierement désabusé de toutes ces erreurs : mais il est bon de tout sçavoir.
La vie que je menais en Amérique ne m’avait donné ni l’occasion ni le loisir de m’intéresser aux chefs-d’œuvre et ce que je connaissais dans le domaine de l’art ne vaut pas la peine d’être mentionné. […] Je connus ensuite le Louvre, et enfin la plupart des grands musées de l’Europe.