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46. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XII. Règles générales à observer dans les actions de Danse »

On peut faire tout ce que vous avez fait, et tout ce que vous pouvez faire, sans avoir besoin de savoir lire.

47. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -

Cette vivacité, qui entretient et vivifie les relations sociales, a besoin d’être tempérée et réduite au ton de l’enjouement ; sans cette heureuse modération, elle dégénère en étourderie et conduit trop souvent à l’incivilité.

48. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre X » pp. 138-147

Elles y viennent par habitude ou pour les besoins de leur profession.

49. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre III. De la Danse théâtrale des Romains »

À Rome, ils avaient besoin d’un assemblage de talents beaucoup plus rare.

50. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre V. Mimes, Pantomimes, Danse Italique »

C’est une action ingénieuse, qui sans la voix, sans avoir besoin du discours a tous les caractères, les traits plaisants, les peintures badines d’une bonne Comédie.

51. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — II, mes débuts sur une vraie scène a deux ans et demi » pp. 16-21

Je n’avais alors besoin, avec ma mémoire sûre et toute fraîche, d’entendre un poème qu’une fois, pour le réciter, de bout en bout, sans me tromper d’une syllabe.

52. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 10 juillet. Le répertoire : « Sylvia » »

Le besoin d’anarchie est, chez certains, tel qu’ils voudraient voir les bras danser de leur côté !

53. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159

Lorsqu’une dame marche dans les rues, elle doit observer une bonne contenance et décence, et s’abstenir de précipiter sa marche ni de laisser tomber les bras comme les cavaliers ; elle les tiendra près d’elle, les coudes pliés, l’avant-bras et la main tournes devant elle, une ou les deux, selon l’usage nécessaire dont elle pourrait en avoir besoin : elle ne doit fixer personne, ni s’arrêter pour parler, à moins qu’elle n’y soit forcée par condescendance envers quelqu’un qu’elle rencontrerait et à qui elle devrait des égards ; elle s’arrêtera alors le moins long-tems possible, en faisant une révérence ou en s’inclinant. […] Un critique disait un jour qu’on apprenait à danser d’un maître de danse, et que pour cela on ne saluait pas comme un maître de danse : il n’en fallut pas davantage pour prouver que ce critique ignorait les usages des grands ; car un maître de danse, placé comme artisan dans la classe du vulgaire, a moins besoin de savoir saluer que les élèves à qui il l’enseigne, si ce n’est pour se présenter chez eux. Nous n’avons point eu la prétention d’orner, par cet ouvrage, l’esprit de nos lecteurs ; mais d’orner le corps par des principes puisés dans la nature, et combinés avec les besoins de la bonne société.

54. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

Les masques des Vents sont ceux qui ressemblent le mieux aux originaux que les peintres nous ont donnés ; et si l’on a besoin d’un masque au théatre, c’est sans doute de celui-lâ. […] Pourquoi laisser aux acteurs et aux chanteurs des chœurs leurs physionomies, dès qu’on la dérobe à ceux qui, privés de la parole et de l’usage de la voix, en auroient encore plus besoin qu’eux ? […] Pauvres, riches, tout le monde y étoit admis : il falloit donc de vastes enceintes pour contenir un nombre infini de spectateurs qui n’auroient point trouvé le plaisir qu’ils venoient chercher, si l’on n’eût eu recours à des masques énormes, à un ventre, à des mollets postiches et à des cothurnes fort exhaussés Mais aujourd’hui que nos salles sont resserrées, qu’elles ont peu d’étendue, que la porte est fermée à quiconque ne paye pas, on n’a pas besoin de suppléer aux gradations du lointain : L’acteur et le danseur doivent paroître sur la scène dans leurs proportions naturelles ; le masque leur devient étranger, il ne fait que cacher les mouvemens de leur âme ; il est un obstacle aux progrès et à la perfection de leur art. […] Sophocle et Euripide, après eux, n’introduisirent rien de nouveau ; ils perfectionnèrent seulement la tragédie, et ne changèrent aux masques d’Eschyle que la forme dont ils avoient besoins, pour les différents caractères de leurs pièces. […] Les danseurs avoient-ils moins besoin de s’enfler et de se grossir ?

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