Ne pourroit-on pas même dire que Dieu est comme foulé aux pieds des personnes qui dansent ; parce qu’elles mettent, en quelque sorte, sous leurs pieds sa loi, en la violant en beaucoup de manières, et donnant à d’autres occasion de la violer ? […] J’en prends à témoins les personnes qui ont autrefois le plus aimé ce pernicieux divertissement, mais que la grâce a touchées ; ne reconnoissent-elles pas, en gémissant, qu’elles y ont commis, et en même temps vu commettre à d’autres beaucoup de fautes ?
C’était une espèce de branle44 que ces jeunes Spartiates exécutaient vivement avec des pas légers, des mouvements rapides et des figures variées qui exigeaient la plus grande prestesse et beaucoup de vigueur.
L’Image fut placée tout de fuite sur un riche brancard et entourée, en des positions subalternes, de toutes les Images des autres Saints particulièrement honorés en Portugal : elles étaient toutes portées sur des brancards dorés, ornés de festons, de banderoles, et de beaucoup de pierreries.
— Oh oui, dit le président, et elle a eu beaucoup de succès.
Il ne lui manquait absolument qu’une seule phalange du petit doigt de la main gauche, que la mère chercha avec beaucoup de soin. […] Enfin nos deux voyageurs arrivèrent à de magnifiques palais d’une architecture originale, divisés en une infinité de chambres et d’appartements au fond desquels ils trouvèrent une petite chambrette ; “il y avait, dit le conte, beaucoup de pots tout neufs, le fond en l’air et l’ouverture en bas”. — Qu’y a-t-il donc dans ces pots ? […] Cette jeune fille devenue mortelle, qui périt en épousant celui qu’elle aime, création tout à fait aimable que l’auteur allemand peut revendiquer, a été mise en œuvre avec beaucoup de charme et de talent.
Cette joie simple et naïve, supposait des mœurs douces et sans fard, que nous avons troquées contre un peu d’esprit, et beaucoup de corruption.
Un Bal éclairé avec beaucoup de goût, dans des Salles préparées avec grande magnificence termina cette première nuit.
Je vais emporter beaucoup de livres et de papier pour écrire. » Et il m’a quitté sans montrer aucun mécontentement.
Le coude, comme le poignet, a son mouvement de haut en bas, et de bas en haut, avec cette différence, que lorsque vous pliez les coudes, les poignets les accompagnent ; ce qui empêche que les bras ne soient roides, et ce qui leur donne beaucoup de grâce.