*** L’auteur de la musique, M.
Les interlocuteurs sont trois ; le jeu de leurs reparties cache tantôt celui de l’auteur et tantôt le montre à découvert.
Il est un auteur dont j’ignore le nom, et qui s’est trompé grossièrement en faisant insérer dans un livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siècle, que la fléxion des genoux et leur extension étoit ce qui élevoit le corps.
Il est un Auteur dont j’ignore le nom & qui s’est trompé grossiérement, en faisant insérer dans un Livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siecle, que la flexion des genoux & leur extension étoient ce qui élevoit le corps.
Elle est seulette et pleure… » L’auteur de cet article ajoute avec galanterie : « Vous faut-il un consolateur, mignonne ?
D’Aubigné cependant, dans sa vie qui est à la tête du Baron de Fœneste, se prétend hardiment auteur de ce ballet. […] M. le maréchal de Richelieu avait fait succéder à La Princesse de Navarre, Le Temple de la Gloire, et Jupiter vainqueur des Titans, spectacle magnifique, digne en tout de l’auteur ingénieux et modeste (M. de Bonneval, pour lors intendant des menus-plaisirs du Roi), qui avait eu la plus grande part à l’exécution des belles idées de M. le maréchal de Richelieu. […] Les machines nouvelles qui, pendant le long cours de ces fêtes magnifiques, parurent les plus dignes de louange, furent, 1°. celle qui d’un coup d’œil changeait une belle salle de spectacle en une magnifique salle de bal : 2°. celle qui servit aux travaux et à la chute des Titans, dans l’opéra de M. de Bonneval, mis en musique par M. de Blamont surintendant de celle du Roi, auteur célèbre des Fêtes grecques et romaines : 3°. les cataractes du Nil et le débordement [voir Débordement] de ce fleuve. […] L’ouverture de ce théâtre fut faite par La Naissance d’Osiris, prologue allégorique à la naissance de monseigneur le duc de Berry ; on en avait chargé les auteurs du ballet des Fêtes de l’hymen et de l’amour, qui avaient fait la clôture des fêtes du mariage : ainsi les talents modernes furent appelés dans les lieux même où les anciens étaient si glorieusement applaudis. Le petit opéra d’Anacréon, ouvrage de ces deux auteurs ; Alcimadure, opéra en trois actes précédé d’un prologue, et en langue languedocienne, de M.
Un auteur qui a publié en 1808 un Tableau de la société dans le royaume de Prusse, Buchholz, parle avec indignation de certains fonctionnaires qui, avec un traitement de 2 000 à 3 000 thalers, en dépensaient de 300 à 400 en un seul souper offert à des femmes de théâtre ou à des filles de joie. […] Puis il parle d’un mauvais roman qu’il a lu pour faire plaisir à Thérèse Elssler qui s’intéressait à l’auteur.
Il le dit « intelligent et patient » et s’exprime ainsi sur le compte des chanteurs dirigés par lui : « C’est le plus beau chœur de théâtre que j’aie encore rencontré3. » Une maladie d’Elssler mit l’auteur de la Damnation de Faust en un cruel embarras.
… Auteur toujours heureux des conséquences merveilleuses d’un accident dialectique !