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17. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XV. » pp. 83-88

Dauberval, mon élève ou plutôt celui de la nature, arriva à Paris. […] Cette danseuse étonna Paris et la cour. […] Le Picq quitta Naples un instant pour venir me voir à Paris où je le fis débuter. […] Je la donnai ensuite à Paris et à Fontainebleau.

18. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »

Ils voyaient une trop grande distance entre ce que Paris venait d’admirer, et ce que leur fortune ou la bienséance leur permettait de faire. […] On peut mettre au nombre des Bals publics ceux que la Ville de Paris a donnés dans les occasions éclatantes, pour signaler son zèle et son amour pour nos rois ou pour célébrer les événements glorieux à la France. […] [Voir Fêtes de la Ville de Paris] 106.

19. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Celle-ci conquérait son public, à Berlin, à Milan, comme à Paris, par sa légèreté éthérée. […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t.  […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t.  […] Paris, 1833-1834. […] Gautier, Paris, 1887, t. 

20. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »

Conc. syn. d’Odon évêque de Paris, Const. 26. […] I du livre 5, il y a un Arrêt de Règlement du Parlement de Paris, du 3 sept. 1667 qui fait les mêmes défenses.

21. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre III. Sur le même sujet. » pp. 19-23

Gluck parut à Paris avec l’éclat brillant d’un phénomène ; il captiva par son harmonie et sa mélodie les suffrages des gens de goût ; les applaudissemens des connoisseurs et de ceux qui ne le sont pas, furent universels. […] Après la mise d’Armide, et le nouveau triomphe que Gluck obtint dans cet opéra, qui n’est point une tragédie, ce célèbre compositeur fut sollicité par le Baron de Thoudy, auteur des paroles d’Echo et Narcisse, d’en faire la musique ; il céda aux instances des amis de l’auteur : cette nouvelle circule dans tout Paris, ou ceux qui aiment le mieux la musique répandirent le dégoût dans les sociétés, en annonçant que cette nouvelle production seroit médiocre ; tous ces propos retentirent même dans les cafés, avant que Gluck eût mis la main à la plume pour écrire la première scène de ce nouvel ouvrage ; il rioit de la prédiction de tous ces petits prophètes : il donna son opéra ; mais l’esprit de parti triompha du charme, de la beauté et de la grace qui règnoient dans cette production ; elle n’eût qu’un foible succès. Je voulus consoler Gluck de cette espèce de chûte ; il me répondit avec la gaieté et la franchise de son caractère, qu’il n’en étoit point blessé ; que le jugement des connoisseurs l’avoit amplement dédommagé de celui de la foule ignorante ; il ajouta qu’il falloit encore trente années pour que le bon goût de la musique se propageât à Paris ; que la majorité du public, fréquentoit les spectacles, moins par goût pour les arts que par ton et par désœuvrement ; que cette foule innombrable n’avoit point encore l’organe assez sensible pour juger des charmes de la musique, et qu’en général, elle avoit les oreilles doublées de peaux d’âne.

22. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Il faut que le bon peuple de Paris ait sa part de notre régal. […] Mademoiselle de Camargo quitta le théâtre en 1751, et mourut à Paris, en 1770, âgée de soixante ans et regrettée de tous comme un modèle de charité et de modestie. […] Ce fut au théâtre de Covent-Garden de Londres qu’elle donna ses deux grands ballets pantomimes : Pygmalion et Ariane, qui furent plus tard représentés à Paris, mais à la Comédie-Italienne, les portes de l’Opéra leur étant restées fermées. […] On la reconnut à la frontière, et la police la fit revenir à Paris. […] Mademoiselle Théodore, pour quelques épigrammes spirituelles dites et écrites sur l’Opéra et sa direction, fut d’abord, au retour d’un voyage qu’elle avait fait à Londres, conduite à la Force, puis exilée de Paris pendant dix-huit jours.

23. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 9 octobre. Madame Joergen-Jensen dans « Coppélia ». »

Mais si Mme Joergen-Jensen est reçue à son passage à Paris avec le même engouement que naguère sa compatriote Lucile Grahn, cela ne tient pas uniquement à cette belle solidarité internationale qui est une vertu de la confrérie chorégraphique. […] Ce sont donc les meilleurs souvenirs de ce terrible Paris qu’elle pourra rapporter dans son admirable capitale où le ballet danse un français si pur, où l’on peut voir la plus belle collection de sculpture française « extra muros », et où les amazones qui galopent au bord de la Lange Linie ont un sourire de fée, naïf et hautain, qu’on ne saurait oublier.

24. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55

Cette troupe d’artistes arriva à Paris en l’année 1644. et donna le 28. […] L’Abbé Perrin, Introducteur des Ambassadeurs auprès de Gaston de France Duc d’Orléans, fût le premier qui offrit à Paris un opéra Français ; il en fit les paroles, Cambert en composa la musique ; il donna ce nouveau spectacle à Issy, village aux environs de de Paris, dans la maison de M. de la Haye. […] Il y éleva un grand théâtre, et fit venir de Paris les ouvriers qui lui étoient nécessaires. […] Cette tragédie d’un genre absolument neuf fut ensuite donnée à Paris en l’année 1661, et obtint tout le succès quelle méritoit. […] Le triomphe de l’amour fit autant de bruit à Paris qu’il en avoit fait à la cour.

25. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t.  […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t.  […] Henri Heine, Der Karneval in Paris, 1842. […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t.  […] Mémoires d’un Bourgeois de Paris, t. 

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