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2. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Une ombre large tombait sur le bonheur de Fanny. […] Marie est la fée de l’Occident, Fanny la péri de l’Orient. […] Fanny surtout pouvait se féliciter. […] Par modestie autant que par prudence, Fanny refusa. […] Quelle imprudence aussi, à Mlle Fanny Elssler !

3. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

La chute du ballet était un désastre pour Fanny. […] Janin, de Mlle Fanny Elssler qui se puisse imaginer ». […] Fanny résolut de passer son congé en France. […] Elle acclama Fanny indistinctement dans tous ses rôles, bons ou mauvais. […] Le rétablissement de Fanny le tira de son cruel embarras.

4. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Fanny désirait beaucoup venir à Paris ; elle m’accueillit avec bonne grâce. […] En réalité, Fanny fut engagée, ainsi que Thérèse, à raison de 8 000 francs par an. […] C’est surtout Fanny que le journaliste vante à ses lecteurs. […] Debout derrière un portant, Fanny attend avec angoisse son tour de paraître. […] Fanny était habituée à danser avec Thérèse.

5. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

On ne pardonna pas à Fanny de l’avoir oublié. […] La popularité de Fanny ne faisait que croître. […] Fanny dansait « sur un volcan ». […] Fanny ! […] Fanny donnait Esmeralda.

6. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

Le ballet romantique lui apparut sous ses deux espèces, personnifiées par la Taglioni et Fanny jusqu’au jour où Carlotta Grisi vint réaliser l’équilibre, la synthèse suprême. […] « Mademoiselle Fanny Elssler a compris parfaitement cette vérité. […] C’est à ce point de vue qu’il se place en abordant encore une fois le sujet Elssler. […] Le jour que Fanny reprend les deux rôles, qui avaient été les plus beaux titres de Taglioni à la gloire théâtrale, ceux de la Sylphide et de la Fille du Danube, non seulement Gautier ne crie point au sacrilège, mais franchement il se déclare — dans un nouveau portrait parallèle — pour Elssler. […] Bien différemment, son appréciation de Fanny, qui fut le « double », l’incarnation prodigieuse de la muse de Gautier, sensuelle et plastique, — ne fait que s’approfondir, que s’orner de nouvelles métaphores éblouissantes.

7. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Dès sa plus tendre enfance, Fanny fut enveloppée, imprégnée de musique. […] Toute sa vie Fanny resta fidèle aux habitudes du foyer paternel. […] Là était le péril qui menaçait Fanny. […] Il applaudit indifféremment Thérèse et Fanny. […] Il vit représenter plusieurs ballets à la Porte de Carinthie ; il constata la valeur des deux Elssler, en donnant la préférence à Fanny.

8. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Mlle Elssler a opéré ce miracle. […] Fanny se soumit gaîment à cette obligation. […] Fanny est à la fois heureuse et un peu effrayée. […] Fanny eut, comme en Europe, les honneurs de la parodie. […] Fanny fit entrer les malheureux exécutants à l’hôtel.

9. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Il y a d’abord celles qu’il écrivit à Fanny. […] Gentz doit voir Fanny dans quelques heures ? […] Il était sûr que pendant son absence Fanny lui serait fidèle. […] Sa pensée se reporte à la première entrevue de Rahel et de Fanny. […] C’est de cette bonté délicate que Fanny fut profondément touchée.

10. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

L’Opéra comptait — depuis trois ans — les sœurs Elssler dans ses cadres. […] Deux Viennoises l’y attiraient : les sœurs Elssler, — Fanny et Thérèse, — qui dansaient, depuis quelques mois, au Théâtre-Royal, où elles étaient même assez faiblement et assez irrégulièrement payées. […] Véron offrit aux sœurs Elssler un engagement de quarante mille francs par an. […] — Ma Fanny, disait-elle, est digne d’un trône. […] Je n’ai plus rien à envier à Elssler.

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