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74. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

Dans un ballet qui fut donné en 1806, Paul et Virginie, on avait apprécié, outre sa technique parfaite, la grâce de sa pantomime et sa physionomie expressive, vivifiée par des yeux admirables.

75. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

Elle épousa, en 1832, le comte Gilbert de Voisins, un des familiers de Véron, qui passait pour une des plus mauvaises têtes du royaume, et que Joseph d’Arçay juge ainsi : « Enfin une des physionomies les plus curieuses de ce temps-ci, un homme plein d’élégance et d’esprit, portant facilement un des grands noms parlementaires de notre pays, le comte Gilbert de Voisins, le mari trop célèbre de la célèbre Taglioni, qu’il était assez plaisant de voir accepter en riant et remplir, comme il l’aurait fait à la cour de Louis XV, la charge d’intendant des menus chez l’ancien directeur de l’Opéra.

76. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Laissons Jason lui-même raconter sa conquête : « En 1834, dit Véron, je fis un voyage à Londres : j’y vis Mlle Fanny Elssler dont j’avais déjà beaucoup entendu parler ; elle me séduisit surtout par sa physionomie charmante, spirituelle, pleine d’expression, et par son talent de danseuse d’une certaine individualité.

77. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « Observations sur la construction d’une salle d’opéra. » pp. 3-32

Mais je voudrois encore que l’on pût supprimer toutes celles de la rampe ; elles sont préjudiciables aux charmes de la représentation et aussi fatigantes pour les spectateurs que pour les acteurs, de toutes les manières de distribuer les lumières, il n’en n’est pas de si incommodes ni de si ridiculement placées ; rien de si faux que ce jour qui frappe les corps du bas en haut ; il défigure l’acteur, il fait grimacer tous ses traits, et en renversant l’ordre des ombres et des clairs il démonte, pour ainsi dire toute la physionomie, et la prive de son jeu et de son expression.

78. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Les acteurs de Viganò faisaient aussi grand usage de jeux de physionomie.

79. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Ces marchands de porcs, de coton ou de tabac ne se doutaient pas de toute la science qu’elle dépensait en la dissimulant sous les grâces de son sourire et sous l’apparente aisance de ses gestes ; ils n’avaient aucun soupçon de la pureté classique de son style ; la finesse de ses jeux de physionomie leur échappait.

80. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Il faut lui laisser ses traits heurtés, ses lignes imprévues, sa physionomie d’exception.

81. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

La joûte de Cicéron et de Roscius à qui rendrait mieux la pensée ; Cicéron, par le tour et l’arrangement des mots, et Roscius par les gestes et la physionomie, prouve que nous sommes bien novices dans cet art.

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