Avant de suivre Fanny Elssler à Paris, qu’on nous permette de revenir un instant en arrière pour raconter le roman de sa jeunesse, sa liaison avec Gentz.
Permettez-moi de ne plus vous parler du ballet nouveau.
Permettez moi donc de donner la préférence aux physionomies vives et animées.
Permettez-moi donc de donner la préférence aux Physionomies vives & animées.
Sans doute l’intuition et une prodigieuse mémoire, jointes à d’intelligentes lectures, lui permirent-ils de suppléer, comme ce fut le cas pour Beethoven, aux lacunes de son instruction.
Sa dignité ne lui permettait pas de reparaître au pied levé, sans avoir fait battre quinze jours d’avance, dans tous les journaux et sur tous les murs, la grosse caisse annonçant sa rentrée.
M. avait permis que l’on dressât avant son arrivée, était placée dans cette grande salle. […] Quelques Français qui avaient du génie trouvèrent les accès difficiles et la place prise : ils se répandirent dans les pays étrangers, et ils y firent éclater l’imagination, la galanterie et le goût, qu’on ne leur avait pas permis de déployer dans le sein de leur patrie. […] Les trumeaux et les panneaux étaient couverts des glaces les plus belles ; et on y avait multiplié les girandoles et les lustres, autant que la symétrie et les places l’avaient permis.
Mais qu’il soit permis de parler sans déguisement dans un ouvrage consacré à la gloire et au progrès des Arts.