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119. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194

Le Maître de Ballets n’est instruit de rien ; on le charge d’une partition, il compose des Danses sur la Musique qui lui est présentée ; il distribue les pas particuliers, & l’habillement donne ensuite un nom & un caractere à la Danse.

120. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Viganò fit de la musique une étude particulière comme s’il avait eu l’intention de se consacrer à la composition.

121. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

A Pétersbourg, l’impératrice l’honorait de ses bontés particulières, et allait fréquemment dans sa loge assister à sa toilette.

122. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Cette Dolorès était Dolorès Serrai, l’étoile de la troupe, qui se montra pendant plusieurs années sur diverses scènes parisiennes, et dont Théophile Gautier donnait cette pittoresque description : « Son talent a un caractère tout particulier : dans les écarts les plus excessifs de cette danse si vive et si libre, elle n’est jamais indécente ; elle est pleine de passion et de volupté, et la vraie volupté est toujours chaste ; on la dirait fascinée par le regard de son cavalier ; ses bras se dessinent, pâmés d’amour ; sa tête se penche en arrière, comme enivrée de parfums et ne pouvant supporter le poids de la grande rose au cœur vermeil qui s’épanouit dans les touffes noires de ses cheveux ; sa taille ploie avec un frisson nerveux, comme si elle se renversait sur le bras d’un amant ; puis elle s’affaisse sous elle-même en rasant la terre de ses bras, qui font claquer les castagnettes et se relève vive et preste comme un oiseau, en jetant à son danseur son rire étincelant105. » Le Diable boiteux, qui transportait les spectateurs en Espagne, au pays de Gastibelza, l’homme à la carabine, de l’Andalouse au sein bruni, de Dolorès Serral, arrivait donc à son heure.

123. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Signe particulier de leur enthousiasme : il n’allait pas sans copieuses libations, et le bruit des bouchons de champagne succédait au tonnerre des applaudissements.

124. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Cédons la parole au maître : « La danse de Fanny Elssler s’éloigne complètement des données académiques, elle a un caractère particulier qui la sépare des autres danseuses ; ce n’est pas la grâce aérienne et virginale de Taglioni, c’est quelque chose de beaucoup plus humain, qui s’adresse plus vivement aux sens.

125. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Une année même, en signe de satisfaction particulière, il porta les honoraires à 20 000 ducats.

126. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Quelques rapports que les deux arts aient ensemble, il existe cependant2 des différences particulières, des nuances qui les séparent et les distinguent entre eux.

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