/ 151
144. (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51

Puis pour finir les douze pas, escarter doucement le pied gauche, & le porter à costé comme le quatriesme, & ainsi continuer ces mesmes pas face à face de ceux du bransle, ayant la main de laquelle on meine au costé sur la ceincture, iusqu’à ce qu’on paruienne à celuy qui occupe la derniere place, où il la faudra relascher apres auoir tourné sur la main gauche pour reprendre le mesme chemin, à fin que sans changer de pas il continuë iusqu’au lieu où il aura commencé, auquel il doit finir par des temps & des pas assemblez, qu’il fera en se retirant en presence de la femme, ce qu’estant obserué, on laissera ceux du bransle en bel ordre, & fera dansé sans confusion.

145. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Il rendit accessibles à la classe bourgeoise, qui prétendait exercer sa royauté dans la vie mondaine comme dans la politique, les parties du théâtre occupées jusqu’alors par la caste privilégiée.

146. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

J’étais occupée, monsieur, dit-elle ; quand vous êtes entré, je repassais vos lettres. […] Une des amies de madame de Longchamps occupe, rue Laffitte, un appartement magnifique ; elle se nomme Joséphine.

147. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Sa vue se portant de la vers le sommet d’une colline, elle y découvre un berger occupé du tendre soin de couronner sa bergère, et de l’orner des fleurs que le plaisir fait éclore autour d’elle.

148. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Toutes les deux sont occupées du soin de nous imposer ; & pourvû que nous voulions leur donner notre attention, elles nous transportent, comme par un effet de magie, d’un pays dans un autre.

149. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

En février, un gros événement artistique, la première représentation de la Juive, occupa le public.

150. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

Ils avaient aussi des chansons pour les diverses professions : telles étaient les chansons des bergers, dont une espèce appelée bucoliasme, était le véritable chant de ceux qui conduisaient le bétail ; et l’autre, qui est proprement la pastorale, en était l’agréable imitation : la chanson des moissonneurs, appelée le lytierse, du nom d’un fils de Midas qui s’occupait par goût à faire la moisson : la chanson des meuniers, appelée hymëe ou épiaulie, comme celle-ci tirée de Plutarque : Moulez, meule ; moulez ; car Pittacus qui règne dans l’auguste Mytilene, aime à moudre ; parce que Pittacus était grand mangeur : la chanson des tisserands, qui s’appelait eline : la chanson jule des ouvriers en laine : celle des nourrices, qui s’appelait catabaucalese ou nunnie : la chanson des amans, appelée nomion : celle des femmes, appelée calycé, et harpalyce celle des filles ; ces deux dernières étaient aussi des chansons d’amour.

151. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Avant de démontrer ces tems, nous ferons remarquer que si nous répétons dans chaque leçon les mêmes observations sur les principes, c’est pour les tenir sans cesse présens à la mémoire et à l’attention des élèves qui les oublient trop souvent, pour s’occuper du jeu des pas qu’on leur montre, et courir à leur exécution.

/ 151