voilà une belle occasion de danser. […] Cher Albrecht, avec ta facilité à te laisser aller à toutes les bonnes occasions chorégraphiques, ton sort futur nous alarme, et nous craignons pour toi une fluxion de poitrine ou un bain glacé dans l’eau du lac.
Perrin, — cet administrateur dont la réputation fut si singulièrement surfaite, — à aller chercher à l’étranger des sujets d’une valeur contestable, alors qu’il avait sous la main des artistes, comme mademoiselle Beaugrand, auxquelles il n’avait qu’à donner l’occasion de s’affirmer dans des créations dignes de leur talent.
. — Quatrain à l’occasion de ses débuts au Gymnase. — Troisvallets.
Les mémoires qu’il écrivit en 1811 à l’occasion de la réforme des finances autrichiennes lui attirèrent la reconnaissance de plusieurs grandes maisons de banque. […] « J’ai le courage de croire que, moi aussi, je ne pourrai par rien être arraché de ton cœur, et si, par une simple pression de ta main, tu m’affirmes que je ne me suis pas trompé, il ne me restera plus de vœux à former à l’occasion de la fête du 23 juin, après le bonheur que j’ai eu la veille. » Les deux amants sont à Vienne. […] Elle portait des gants blancs qu’elle n’eut pas l’occasion de quitter, de telle sorte qu’il fut impossible d’admirer la finesse de ses mains. […] Dites-lui tout cela, si vous avez l’occasion de lui parler de moi et de nos relations. […] Les souffrances endurées par Gentz l’année précédente à la même occasion revinrent plus aiguës.
Mezeray, dans son Histoire de France, Tome IV. dit que le 29 Janvier 1393, la Duchesse de Berry donna un bal dans son Palais aux Gobelins, à l’occasion de la noce d’une Dame de la Reine, où toute la Cour étoit.
La vie que je menais en Amérique ne m’avait donné ni l’occasion ni le loisir de m’intéresser aux chefs-d’œuvre et ce que je connaissais dans le domaine de l’art ne vaut pas la peine d’être mentionné.
(B) Danse sacrée Danse sacrée, c’est la danse que le peuple Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établies par la loi, ou dans des occasions de réjouissance publique, pour rendre grâces à Dieu, l’honorer, et publier ses louanges. […] Aussi les anciens qui suivaient dans les arts les idées primitives, ne se contentèrent pas de la faire servir dans les occasions d’allégresse ; ils l’employèrent encore dans les circonstances solennelles de tristesse et de deuil.
Je l’ai toujours regretté, car une autre occasion ne s’est plus présentée.