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216. (1845) Notice sur Giselle pp. 3-24

Guyet, fut son maître ; puis vint Perrot, qui lui donna d’excellentes leçons et d’utiles conseils.

217. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Ils sont des maîtres impérieux parce qu’ils créent, parce qu’avec de la pensée ils font de la vie. […] « Assis à califourchon sur une chaise comme sur un cheval de guerre, il saisissait le premier objet venu qui pût tenir lieu d’épée ou de lance ; il montrait avec la précision d’un maître d’escrime comment à San Vicente il avait, d’un seul coup, embroché et désarçonné deux partisans de Marie-Christine, et comment à Carvajales il se comporta dans son fameux duel avec le lieutenant-colonel ennemi ; il faisait avec une exactitude extrême la théorie de chacun de ses coups156. » D’autres importants personnages, princes, généraux, Excellences, prirent si bien l’habitude de se rendre aux jeudis de Fanny qu’ils y retournèrent machinalement jusqu’à leur dernier soupir.

218. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

La licence de cet exercice fut poussée si loin pendant le règne de Tibère, que le sénat fut forcé de chasser de Rome par un arrêt solennel tous les danseurs et tous les maîtres de danse.

219. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

Mayer, administrateur général ; Mérante, maître de ballet ; Vasquez et Soria, danseurs soli, — et, enfin, de quelques personnalités féminines de la maison.

220. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111

Le Roi en 1664 fit encore faire un Balet, dont le sujet fut les Amours déguisez, par rapport à ses nouvelles amours : il fut représenté au Louvre ; le Roi y dansa encore masqué dans les trois Entrés, avec les principaux Seigneurs de sa Cour, & les plus fameux Maîtres à danser.

221. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Il faut se méfier de ces prétendus maîtres, comme il y en a beaucoup maintenant, qui abusent de l’ignorance où l’on est aujourd’hui sur les vrais principes, pour professer un art dont ils n’ont fait souvent qu’une étude superficielle ; et qui, loin de réprimer ou de corriger vos défauts, ne font que les accroître et les multiplier. Sans doute, il est facile à un maître de mettre en peu de tems un élève en état de figurer dans un bal ; mais alors il faut renoncer pour jamais à se perfectionner et à se former un bon maintien.

222. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

ÉRYXIMAQUE Parle, ô Maître dans l’art divin de se fier à la naissante idée !

223. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Cédons la parole au maître : « La danse de Fanny Elssler s’éloigne complètement des données académiques, elle a un caractère particulier qui la sépare des autres danseuses ; ce n’est pas la grâce aérienne et virginale de Taglioni, c’est quelque chose de beaucoup plus humain, qui s’adresse plus vivement aux sens.

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