Il est un auteur dont j’ignore le nom, et qui s’est trompé grossièrement en faisant insérer dans un livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siècle, que la fléxion des genoux et leur extension étoit ce qui élevoit le corps.
Il est un Auteur dont j’ignore le nom & qui s’est trompé grossiérement, en faisant insérer dans un Livre qui fera toujours autant d’honneur à notre nation qu’à notre siecle, que la flexion des genoux & leur extension étoient ce qui élevoit le corps.
Un littérateur de troisième ordre, Darsigny, essayait de profiter de l’engouement général pour lancer un livre inspiré par le Diable boiteux : Descarnado ou Paris à vol de Diable. […] Le médaillon qui orne la couverture de notre livre est la photographie de la statuette de Barre.
Au premier Livre de Lantologie Grecque, il est parlé d’un Pylade excellent compositeur de Balets tragiques ; il en fit aussi un de Bacchus montant au Ciel, mangeant & dansant avec les Satyres & les Bacchantes, où il observa exactement toutes les loix du Balet.
Le rideau se lève sur une bataille qui se livre entre Grecs et Turcs.
Tircis abandonné, Tircis méprisé peint son trouble et sa douleur : bientôt la jalousie et la fureur s’emparent de son cœur ; il s’y livre tout entier, et il m’avertit par sa retraite qu’il court à la vengeance et qu’il veut immoler son rival.
Tircis abandonné, Tircis méprisé, peint son trouble & sa douleur ; bientôt la jalousie & la fureur s’emparent de son cœur : il s’y livre tout entier, & il m’avertit par sa retraite qu’il court à la vengeance, & qu’il veut immoler son rival.
… C’était le temps où Victor Hugo écrivait sur la première page d’un livre qu’il envoyait à la danseuse : a vos pieds, — a vos ailes.