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304. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »

Au-devant de l’attique et au-dessous du Roi, étaient écrits en lettres d’or sur un fond de marbre, en deux lignes, Ludovico redivivo, Ludovico triumphatori. […] Quelque temps après M. le prévôt des marchands eut l’honneur de présenter un livre relié en maroquin bleu sur vélin et en lettres d’or, à sa Majesté, à Monseigneur le Dauphin, et aux princes. […] Il jouit à la fois de l’honneur de l’avoir éclairé, et des progrès rapides que doivent à ses efforts les Lettres, les Arts, et les Sciences dans le nôtre. […] Toutes les boutiques avaient pour couronnement un cartouche qui contenait en lettres d’or le nom du marchand le plus connu de la cour, par rapport à la marchandise de la boutique. […] A l’un c’était le fleuve du Guadalquivir, avec un lion au bas ; on lisait en lettres d’or, sur l’urne de ce fleuve ces deux vers d’Ovide : Non illo melior quisquam, nec amantior aqui Rex fuit, aut illa reverentior ulla dearum, et à l’autre parterre c’était la rivière de Seine avec un coq.

305. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180

LETTRE XII.

306. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361

LETTRE XII.

307. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre V. marie taglioni  » pp. 156-187

La spirituelle Berlinoise écrivait, le 21 juin 1832, à Louis Robert une longue lettre qui est une critique impitoyable de la danseuse alors idolâtrée sur les bords de la Sprée.

308. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

Lettre IX.

309. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IX. » pp. 195-260

LETTRE IX.

310. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Nulle fatigue, nul effort ; ni sueur, ni respiration entrecoupée ; ces merveilles accomplies, Carlotta retourne s’asseoir sous les grands arbres séculaires de la place de Gand, comme une jeune femme qui viendrait de danser une contredanse dans un salon. » Plus tard encore, après le grand succès de la Péri, — dont il est l’un des auteurs, avec Coralli et Burgmuller, et dont il rend compte, sous forme de lettre, à son ami Gérard de Nerval, — l’inimitable écrivain continue à prodiguer à sa ballerine favorite, à l’héroïne de cette orientalerie toutes les caresses de sa plume, tous les trésors de sa palette et de son pinceau : « Le pas du Songe a été pour Carlotta un véritable triomphe.

311. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

« Voyez au contraire, dit-il, ce qui se passe en Espagne : c’est là une danse parlée qui a des signes, des gestes et des bonds, pour chaque lettre de l’alphabet ; sans cesse, vous la voyez traduire une phrase d’amour et de volupté ; elle vous fait rire et pleurer ; elle vous rend amoureux, tendre, sensible, colère, jaloux ; c’est là de l’éloquence ! 

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