/ 154
147. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Les hommes courageux qui osaient braver la vengeance des bandits embusqués au rez-de-chaussée d’une gazette, ou les naïfs, qui s’imaginaient que le mérite suffit, étaient rares.

148. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Quand sa bourse est épuisée, ce qui n’est pas long, il achète à crédit, car les marchands ne peuvent s’imaginer qu’un jeune seigneur si galamment troussé n’ait pas un maravédis vaillant ou un réal de vellon.

149. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

Nos actes, et singulièrement ceux de nos actes qui mettent notre corps en branle, peuvent nous faire entrer dans un état étrange et admirable… C’est l’état le plus éloigné de ce triste état où nous avons laissé l’observateur immobile et lucide que nous imaginâmes tout à l’heure.

150. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

On lit, à ce sujet, dans le docteur Véron : « Dans la Révolte au Sérail pendant les manœuvres militaires du corps de ballet, il se formait sur la scène un conseil de guerre composé des officiers supérieurs de l’armée ; le programme n’en disait pas plus, lorsque mademoiselle Duvernay, chargée d’un des principaux rôles, imagina, par la pantomime la plus spirituelle, par les gestes les plus expressifs et les plus passionnés, de représenter tous les incidents d’une discussion des plus animées, et de donner une idée d’un conseil de guerre tenu par des femmes.

151. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Si l’on voit dans la poésie des esprits lourds et laborieux, qui s’occupent à fabriquer des anagrammes et des acrostiches, on trouve aussi de prétendus danseurs, qui s’imaginent en savoir plus que tout le monde parce qu’ils font des sauts extraordinaires…. […] Le souverain qui sait bien choisir, pour imaginer, arranger et conduire une fête d’éclat, diminue quelquefois de moitié sa dépense, et double sa gloire ».

152. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VII. le diable boiteux  » pp. 220-261

Janin, de Mlle Fanny Elssler qui se puisse imaginer ».

153. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Les restaurants imaginèrent des plats à la cachucha ; on les faisait minuscules, sous prétexte qu’ils devaient être aussi légers que la danse dont ils portaient le nom.

154. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Séduits par le brillant et par la variété des pas, plusieurs élèves s’imaginent que plus ils en exécutent de forts et de difficiles, plus ils annoncent de talent et d’heureuses dispositions.

/ 154