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77. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Belton et Eliza. Ballet pantomime. » pp. 223-233

Belton est rejetté avec horreur par les colons et par les officiers, ses Camarades ; il est frappé de repentir ; il perce la foule et se précipite aux pieds de sa maîtresse ; elle le repousse avec indignation ; son frère l’exhorte à ne pas se laisser fléchir.

78. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE IV. » pp. 47-60

N’allez jamais à la répétition la tête pleine de figures & vuide de bon sens ; soyez pénétrés de votre sujet ; l’imagination vivement frappée de l’objet que vous voudrez peindre vous fournira les traits, les couleurs & les pinceaux.

79. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IV » pp. 44-59

VIII Quand elles n’épousent pas, comme la belle…, un savetier ressemeleur qui les frappe, les injurie et leur reproche de n’avoir pas su conserver leurs bijoux.

80. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »

Il y en eut une qui lui fut très supérieure et qui ne l’a pas frappé.

81. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120

Raymond se met à genoux ; Renaud lui présente une épée nue, sur la quelle il lui fait prêter le serment usité, et après l’en avoir frappé de deux ou trois coups sur l’épaule, il lui donne l’accolade.

82. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

La même année, il frappait un grand coup en fondant la Revue de Paris, qui fut de plusieurs mois l’aînée de la Revue des Deux Mondes. […] Au Café de Paris ou sur le boulevard de Coblence, elle vous a certainement frappé plus d’une fois, cette apparition grasse et grotesque, avec le chapeau enfoncé de biais sur la tête, celle-ci étant entièrement enfouie dans une immense cravate blanche dont les bouts montent jusque par-dessus les oreilles, afin de couvrir d’énormes écrouelles, de telle sorte que son visage rouge et jovial, avec de petits yeux clignotants, émerge à peine. […] Une des plus réussies fut celle de Gustave III, l’opéra de Scribe et d’Auber, dont le cinquième acte, celui du bal masqué où le roi de Suède tombait frappé d’un coup de poignard, fut éblouissant.

83. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

Il ne lui faut que lever sa béquille ou frapper la terre de son ergot fourchu pour réaliser des Alhambras et des Généralifes. […] Le régisseur vient frapper les trois coups. […] » — Comme elle s’efforce de faire entendre raison à l’écolier, on frappe de nouveau à la porte de la loge.

84. (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23

Cependant tout se réveille dans la cabane, on frappe à la porte, c’est la fiancée du jeune homme, fraîche et parée, qui vient dire bonjour à son jeune cousin. […] Cet art a frappé même les meilleurs esprits et les plus graves.

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